
Luchino et Visconti
On ne saurait mieux justifier la nécessité du portrait d’un artiste en contrepoint, en complément, en prolongement mais non à la place d’une biographie, que par la lecture de précieux Luchino (traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, introduction de Giovanni Agosti, 85 pages, 15 euros, Cahiers de l’Hôtel de Gallifet) de Giovanni Testori. C’est bien de Visconti (1906-1976) qu’il s’agit mais manifestement « Luchino » suffit comme s’il n’y en eut jamais qu’un. La bibliographie consacrée au cinéaste est pourtant abondante mais justement, elle est plus cinéphilique qu’humaine. Or ce que ce petit livre à l’écriture étincelante apporte, c’est un tremblé d’émotions, un feuilleté de sensations, un bouquet de choses vécues. Si cela ne modifie pas la vue d’ensemble, chaque détail l’enrichit de perceptions invisibles insoupçonnées.
Poète, dramaturge, romancier, historien de l’art et critique littéraire, l’auteur (1923-1993) fut son ami et son compagnon de travail à partir de l’Arialda (1960), tragédie populaire de Testori mise en scène par Visconti qui déclencha de vives polémiques lancées par les milieux catholiques contre « l’obscénité » et « la perversité » dans l’exposition des amours homosexuelles. L’écriture de ce portrait fut entreprise au début des années 70 entre la sortie de Mort à Venise et les préparatifs de tournage de Ludwig. En ayant eu vent, il est probable que Visconti l’ait mal pris puisque les deux hommes se sont publiquement affrontés et brouillés à ce moment-là. Ils conclurent un gentleman’s agreement en vertu duquel le manuscrit devait être détruit. Manifestement, Max Brod a fait école et l’on ne peut que s’en féliciter.
Il serait vain d’y chercher des informations inédites et croustillantes encore que le livre n’en manque pas. Il obéit à une autre nécessité : mettre à nu la poétique de Visconti en en revenant toujours à l’homme, ses contradictions, ses névroses, ses angoisses, ses inhibitions. A plusieurs reprises, il insiste sur la nature « très lombarde » et « très milanaise », voire « lourdement et bruyamment lombarde » de son personnage sans que ce soit nécessairement péjoratif- d’autant que Testori était lui-même milanais mais d’un tout autre milieu. A croire que cette double qualité par lui mise en avant s’aggrave lorsqu’on a affaire à un aristocrate à l’orgueil blasonné dont la famille possédait de tous temps sa loge à la Scala, un jeune homme déjà tout de hauteur et de certitude princières qui avait grandi dans l’atmosphère du mélodrame et qui, avec le temps, fera spectacle de toute sa vie fut-il privé, intime dans ses relations amoureuses (Alain Delon, Franco Zefirelli, Helmut Berger…) laissant libre cours à un tempérament de Pygmalion.
Sous sa plume et dans ses réminiscences, Visconti apparait comme un homme au travail, tout le temps, n’émergeant d’un projet en finition pour se jeter aussitôt dans un autre ; un provocateur prêt à tout pour fuir le spectre de l’ennui bourgeois ; mais aussi un homme doté d’une patience et d’une endurance remarquables lorsqu’il mettait son génie au service des autres, des acteurs, de l’équipe quand bien même cela devait aboutir au mûrissement de son œuvre. Testori souligne à raison son flair inné dans la distribution des rôles sur les scènes de théâtre ou d’opéra comme sur les plateaux de cinéma. Visconti n’aimait rien tant que rapprocher des personnalités opposées tant par éducation que par nature. Ainsi pour l’Oreste de Vittorio Alfieri qu’il monta au Quirino à Rome en 1949, qu’on en juge : Ruggero Ruggeri (Egiste), Vittorio Gassman (Oreste), Rina Morelli (Electre), Paola Borboni (Clytemnestre) et Marcello Mastroianni (Pylade).
Le portrait du collectionneur en Visconti tel qu’il le brosse est celui d’un accumulateur qui jouit d’acheter et de posséder avant de se désintéresser aussitôt. Il recherche l’émotion ; une fois celle-ci dissipée lorsque l’objet désiré et acquis a trouvé sa place, il en recherche une autre aussitôt. Sa maison, qui déborde pourtant de milliers d’objets chinés çà et là, reflète une triste image de vide absolu, reflet de l’intime solitude de son propriétaire. C’est un artiste, un vrai en ce que la technique et son habileté, une fois maitrisées, ne l’intéressent pas. Seule le retient la grâce qui parfois lui fait cortège. L’auteur ne nous cèle rien des doutes du maestro dont les Français ont tendance à voir la carrière critique semée de roses alors que ce ne fut pas toujours le cas, notamment au début des années soixante lorsqu’une nouvelle avant-garde dicta le ton du jour. Testori apporte beaucoup à notre intelligence du créateur lorsqu’il repère les moments où son destin tourne sur ses gonds : à la mort de sa mère ; au moment où il s’apprête à passer sept années à se consacrer fanatiquement à sa passion des chevaux de course qu’il élevait depuis 1929 et qu’il baptisait des noms de Sanzio ou de Lafcadio (merci, Gide !) d’où son admiration pour les toiles équines de Géricault ; à la vente de son écurie en 1935 ; à son obsession quasi amoureuse pour les chiens rugissants vus comme des gardiens de sa solitude et que l’auteur, radicalement hostile à ces bêtes, tient pour la plus exacte incarnation de « l’arrogance de la Renaissance » en Visconti car ce sont de grands chiens dont la musculature, la férocité, la carrure évoquent ceux peints par Mantegna dans la chambre des Époux au Palais ducal de Mantoue.
Lorsqu’un livre venu d’ailleurs nous enchante par sa finesse, on ne sait s’il faut en l’auteur ou le traducteur dans la mesure où l’on n’a pas lu l’original. Sauf que certains traducteurs possèdent si bien leur métier, comme l’en atteste leur œuvre de passeur, qu’un style s’en dégage fut-il mis à chaque fois au service de l’auteur. Le cas de Jean-Paul Manganaro, traducteur notamment de Gadda dont il est un spécialiste, Calvino, Goldoni, Pasolini, Carmelo Bene, Pirandello, et de… la nouvelle version du Guépard de Lampedusa, jugée rigoureuse, sensible et fidèle au phrasé lyrique et baroque de l’original, ce qui nous ramène à notre héros qui fit de ce roman un chef d’œuvre sur pellicule. Il use d’une langue précise, aiguë, acérée même si parfois, quelque chose nous échappe de ce qu’il a voulu faire passer. Ains à propos de la puissance dramatique de ses mises en scène de théâtre lorsqu’il est question d’un « symphonisme torve et sussultoire ». A côté de cela, on trouve des pages lumineuses sur la nature si particulière du silence chez Visconti, condensation si particulière du drame et de la menace, qui n’annonce pas une pause mais une tension. Dans l’ensemble, ce portrait du créateur nous invite à envisager autrement ses oeuvres. Par exemple Mort à Venise comme un beau film muet…
Chez cet homme, et seul un proche comme Testori pouvait mettre cette tension à nu, tout s’articule en permanence sur deux pôles : l’aristocrate y côtoie en permanence le communiste quand bien même cette relation dialectique, le populisme et la noblesse, la langue de Dante et le parler milanais, finirait par le confondre. Je me souviens de ce que me racontait Henri Cartier-Bresson à ce sujet. Visconti et lui s’étaient connus grâce à Jean Renoir. Le cinéaste les avait recrutés pour être assistants aux côtés de Jacques Becker et de deux autres lors du tournage de Partie de campagne en 1936. Mais pour le film suivant La vie est à nous réalisé la même année, puis pour la Règle du jeu, il gardera sensiblement la même équipe technique à l’exception de Visconti renvoyé chez sa mère en son palais :
« Il nous snobait et partageait rarement nos repas, préférant rentrer à Paris pour aller au restaurant. D’ailleurs, il ne couchait pas dans les petits hôtels de campagne où nous logions. Il rentrait chaque soir dans la capitale pour dormir dans un palace. Cette attitude passait mal auprès de l’équipe » se souvenait Cartier-Bresson.
Visconti ayant mis en scène cinq opéras interprétés par Maria Callas, on guette l’analyse de leur relation. Elle ne déçoit pas même si on aimerait en lire davantage sur la transformation de la cantatrice en actrice, l’évolution de l’alliance entre la gorge et les gestes d’abord gauches puis actifs, grâce à son lien avec lui. A son propos, et à celui de Birgitt Nilsson, Testori écrit :
« Qui, travaillant avec Luchino, n’est pas en quelque sorte resté pris dans ses filets ? »
Étrangement, Luchino m’a renvoyé au scénario écrit par Visconti avec Suso Cecchi d’Amico pour son grand projet avorté adapté d’A la recherche du temps perdu. 363 pages écrites en français, 98 scènes, soit sur le papier 4 heures de film… La dernière montre Marcel au lit, cerné par ses manuscrits ; et, alors qu’il ferme les yeux pour toujours en se laissant envahir par ses souvenirs d’enfance, une voix off : »Longtemps je me suis couché de bonne heure… ». Visconti, que toute son oeuvre, sa personne et son âme destinaient à tourner ce film plutôt qu’un autre, savait que sa transposition perdrait la musicalité proustienne mais il espérait bien pénétrer dans le labyrinthe de l’auteur pour dire avec des images la tristesse, la jalousie, une attitude, un souffle d’air… Visconti-Proust « ça allait de soi » comme disait Nicole Stéphane, la productrice de ce non-film. C’était en 1971. Tout était prêt, le financement bouclé, les contrats signés, le script écrit et Sylvana Mangano en Guermantes, Alain Delon en narrateur, Helmut Berger en Morel, Marlon Brando en Charlus, Simone Signoret en Françoise, Edwige Feuillère en Verdurin et la Garbo elle-même en Reine de Naples, tout ce beau monde habillé par Piero Tosi sous les yeux d’une Albertine qui aurait été une comédienne inconnue. On peut imaginer ce qui aurait pu être mais qui n’a pas été : la magnificence du Guépard sans les défauts de Mort à Venise. Et puis au dernier moment ça ne s’est pas fait. A la place, il y a eu Ludwig. Pourquoi ? Visconti ne s’en est jamais expliqué vraiment. On invoque des raisons personnelles. Parce que c’est comme ça. Le vrai motif est dans son rapport au temps si proustien : l’idée que quelque chose vient trop tard. la nostalgie du prince Salina, la mélancolie du professeur Aschenbach sont celles d’un Bergotte bouleversé à en mourir par la Vue de Delft.
Giovanni Testori insiste sur le souci de l’authenticité la plus maniaque dont Visconti faisait preuve notamment lors du tournage du Guépard, remplissant les tiroirs des commodes de vêtements d’apparat, demandant aux aristocrates de la région de jouer leur propre rôle en participant à la danse. A la fin du film, si vous avez du mal à le quitter tant il est difficile de se déprendre de son atmosphère, de ses personnages, de son climat, de sa couleur même, plongez-vous non plus seulement dans le Luchino de Testori mais aussi dans la passionnante biographie de référence de Laurence Schifano Visconti. Les feux de la passion parue en 1989 en poche dans la collection Champs Contre-Champs de Flammarion. On y apprend beaucoup sur la genèse du film, l’inspiration proustienne pour le bal, l’influence du Verga des Malavoglia. On sait que Visconti s’est identifié au personnage principal, le prince Salina puissamment interprété par Burt Lancaster (à défaut de Brando…), auquel Lampedusa avait prêté beaucoup de lui-même. Mais il y a une réflexion de l’écrivain que le cinéaste n’aurait pu faire sienne, bien qu’ils fussent tous deux aristocrates :
Le seul pêché que nous ne nous pardonnons pas, nous autres Siciliens, c’est tout simplement l’action.
Le Visconti de Laurence Schifano est exemplaire. Finesse de l’écriture, sensibilité, empathie, originalité, érudition cinéphilique, mise en contexte… Tout y est de ce qui fait le meilleur d’une biographie. Au diapason de son héros, aristocrate d’âme et de coeur sinon de blason, alliage secret de charme et d’acuité, rare alchimie de sens de l’Histoire et d’intelligence de l’art, qu’elle fait sinuer en son siècle dans des eaux troublées entre son fleuve d’origine et celui vers lequel il n’a cessé de tendre. La réflexion d’outre-tombe de Chateaubriand placée en épigraphe dit bien cet écartèlement entre ancien et nouveau monde, le trop connu mais si attachant et l’inconnu mais si attirant.
Dans un ultime chapitre en manière d’essai, rajouté dans l’édition de poche et intitulé « La part de l’ombre », Laurence Schifano engage à attaquer la montagne Visconti plus seulement par la face Proust ou la face Thomas Mann. Ce nouveau chapitre vaut à lui seul le détour, en sus du reste. Laurence Schifano y fait le point des innombrables textes, analyses, conférences, articles, témoignages parus sur Visconti. Elle donne surtout le compte-rendu de ses visites à des cinéastes qui paient leur dette au maître, Glauber Rocha et Bernardo Bertolucci, ainsi qu’au premier cercle de ses collaborateurs (scénaristes, costumiers décorateurs…). La clé ? Il était Ludwig, dit l’un ; non, il se prenait pour le Guépard, assure l’autre. Ils s’interrogent sur son statut d’intouchable au PCI alors que le Parti ne dissimulait pas réprobation vis à vis de l’homosexualité. Dominique Païni invite opportunément à s’affranchir des clichés qui nimbent sa gloire : l’esthète décadent d’un monde englouti, le classique Visconti régulièrement opposé au baroque Fellini en une querelle qui reprendrait les arguments du différend opposant Racine à Corneille. Qui sait si en adaptant La Montagne magique comme il en avait formé le projet, il aurait mieux donné du sens au chaos… On apprend au passage que sa famille n’a pas légué ses riches archives à l’Université, au Teatro di Roma non plus qu’au Centro sperimentale du cinematografia, mais bien à la Fondazione Istituto Gramsci. Car qui s’intéresse à l’oeuvre de Visconti s’intéresse à l’histoire de l’Europe au XX ème siècle. Manière d’affirmer haut et fort qu’elle n’appartient pas aux seuls cinéphiles ou aux seuls universitaires.
Artiste et intellectuel engagé, Visconti avait de l’allure, « batailleuse et conquérante », irréductible à une analyse limitée. Qui perce à jour son allure saisit sa vraie quête de l’unité et permet de mieux comprendre sa défiance vis à vis des fausses avant-gardes et des constructions intellectuelles fumeuses. Bien sûr, on pourra gloser à loisir sur son abus détestable du zoom, mais il est plus intéressant, à la suite de Bertolucci, de voir comment il a été avec Jean Renoir un pont entre la vision XIX ème et la vision XX ème siècle du réel. La bottega viscontiana, cet atelier Visconti qui a terrorisé tant de jeunes cinéastes, c’était aussi cela. Une école du regard et de la sensibilité entre deux mondes. Il suffit de savoir qu’il voyageait toujours avec un exemplaire de Jean Santeuil dans sa valise, cet homme qui avait renoncé à porter la Recherche à l’écran tant il voyait dans cet accomplissement le reflet de sa mort annoncée. A l’origine, cette biographie était sous-titrée Les feux de la passion. En format de poche, elle est sous-titrée Une vie exposée. Tout est là. Le récit s’achève exactement comme il a débuté : par le blason des Visconti di Modrone, une guivre sinuant sur la façade d’un vieux palais milanais. Corps de serpent, ailes de chauve-souris, pattes de pourceau. Ainsi la boucle est bouclée.
(; « Jument morte étendue sur la grève », 1814, huile sur toile de Théodore Géricault, 28x43cm, collection particulière ; « Luchino Visconti », photo D.R.; » La chambre des époux », détail, Palais ducal de Mantoue, Photo D.R. « )
1 608 Réponses pour Luchino et Visconti
Et alii
Nous jouons également beaucoup au scrabble avec ma maman, qui elle, pratique aussi un jeu de lettres, les mots fléchés. Excellent travail pour la mémoire qui se doit quand même d’être stimulée autant que faire se peut.
Haniwa, Japon, le cheval
https://images.app.goo.gl/7781begBZ9pRSkNd9
Japon VIème siècle, période des kofun
Figures en terre cuite modelées destinées à figurer les tertres funéraires (kofun).
Les haniwa (cylindres d’argile) adoptent différentes formes : figures humaines ou animales, maisons, mobilier, bateaux, armes etc.
Le cheval est un des premiers animaux à être apparu, et le plus représenté en raison du statut social élevé dont il est le symbole.
Musée des arts asiatiques
…
Addendum
Le Japon
« L’espace dédié au Japon rassemble plusieurs objets témoignant de savoir-faire ancestraux d’un grand raffinement. Les matières parfaitement maîtrisées mais aussi les couleurs et les motifs participent à la recherche d’une harmonie entre usage et esthétisme.
Publié le 23/04/2024 – Mis à jour le 2/10/2024
L’Armure d’Andô Naoyuki
Au milieu du XIXe siècle, au Japon, Andô Naoyuki va avoir 15 ans. Héritier du fief de Tanabe, il est destiné au titre de baron. Ses ancêtres se sont battus en 1600 aux côtés de Tokugawa Ieyasu à la bataille de Sekigahara et ont été anoblis en 1612 par le Shôgun.
Élevée au rang de daimyô, sa famille s’est vue attribuer un domaine avec château et revenus. Naoyuki est le 17e seigneur féodal de la branche cadette des Andô. Il ne le sait pas encore mais il en sera également le dernier.
Cette armure a été conçue pour lui, plus précisément pour son genpuku, cérémonie de passage à l’âge à adulte durant laquelle un jeune samouraï porte pour la première fois une coiffure d’adulte ainsi que son armure et ses sabres.
À la fois sobrement fonctionnelle et luxueuse, cette armure d’apparat est composée de plus de 3500 écailles d’acier et de cuir, laquées et dorées, assemblées par plus de 200 mètres de tresse de soie. Son casque est garni de cornes de cerf stylisées et d’un shishi : un lion gardien. Son demi-masque terrifiant , en acier laqué, est agrémenté d’une longue moustache blanche.
Partout sur l’armure, on retrouve les armoiries de la branche cadette des Andô, une glycine entourant un idéogramme. Naoyuki meurt en 1908 et les biens de sa famille sont vendus à Tokyo en 1918. 200 ans plus tard, cette pièce exceptionnelle constitue un des chefs-d’œuvre conservés au musée départemental des arts asiatiques à Nice.
L’Armure d’Andô Naoyuki – Agrandir l’image, fenêtre modale
Armure de type dô-maru Epoque d’Edo (1603-1868), vers 1850 Acier, cuivre, cuir, soie, laque et feuille d’or Achat, 2002 Inv. 2002.3.1
©Musée départemental des arts asiatiques
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Plus d’informations sur l’armure d’Andô Naoyuki
La plateforme ouverte du patrimoine du ministère de la culture regroupe les contenus numériques du patrimoine français afin de les rendre accessibles au plus grand nombre. Parmi les bases hébergées sur cette plateforme, le portail Joconde permet de consulter les notices des œuvres numérisées des Musées de France. Le musée départemental des arts asiatiques y intègre progressivement ses collections et vous propose d’explorer en détail les œuvres mises en ligne.
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Ulysses Grant au Japon – Agrandir l’image, fenêtre modale
Toyohara Chikanobu (1838-1912) Célébration de la civilisation moderne Ère Meiji (1868-1912), 1879 Xylogravure polychrome sur papier Don Herrli Inv. 2015.6.A.1
Ulysses Grant au Japon
Datée de 1879 et réalisée par Chikanobu, cette estampe représente la réception au palais impérial du président des États-Unis, Ulysses Grant, et de son épouse, durant leur visite au Japon en 1879. L’archipel est la dernière étape d’un tour du monde entamé deux ans plus tôt, durant lequel le couple américain rencontre les plus grandes figures internationales. Avant de traverser le Pacifique pour rentrer aux États-Unis, Grant est accueilli par l’empereur Meiji.
L’estampe montre à l’arrière-plan les invités d’honneur assis sur une plateforme centrale avec le couple impérial à droite. Derrière eux, les draperies rouges sont décorées de deux aigles américains.
Parmi les personnages féminins réunis au premier plan, deux dames d’honneur portent des paniers contenant des pâtisseries. Derrière elles, une table basse présente un mont Fuji miniature.
Cette œuvre illustre parfaitement l’utilisation au Japon des estampes pour relayer les actualités nationales et internationales avant le développement de la photographie.
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Paire de paravents à envol de rouleaux et livres illustrés
L’époque Edo (1603-1838) possédait une culture hautement florissante illustrée ici par le décor de cette paire de paravents qui met en scène des livres et des rouleaux richement décorés et éparpillés dans tout l’espace.
Certains sont encore fermés tandis que d’autres sont ouverts et illustrent des textes anciens, notamment, le Dit des Heike, des récits japonais du XVIe siècle, les contes d’Ise ou encore le Dit du Genji écrit par Murasaki Shikibu, dame de la cour au Xe siècle.
Paire de paravents à envol de rouleaux et livres illustrés – Agrandir l’image, fenêtre modale
Paravent à envol de rouleaux et livres illustrés Epoque d’Edo (1603-1868), fin du XVIIe siècle Or, bois, pigment, encre, textile et papier Achat, 1998 Inv. 98.6.1
©Musée départemental des arts asiatiques / Marlène Poppi
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Cheval Haniwa – Agrandir l’image, fenêtre modale
Japon, Epoque des grandes sépultures-Kofun, VIe siècle ap. J.-C., Terre cuite modelée. Achat, 1998. inv : 98.1.1
©Musée départemental des arts asiatiques / Laurent Sully Jaulmes
Cheval Haniwa
Les « Haniwa », littéralement « cylindres de terre cuite » étaient des objets placés autour des tertres des tombes protohistoriques.
La taille et la splendeur de ces sculptures sont caractéristiques de la « période Kofun ».
Les fabricants de Haniwa étaient des potiers plutôt que des sculpteurs. Le cheval, monture précieuse des sociétés guerrières de cette période, rappelle le rang élevé du défunt. »
Addendum simplicimus
Cheval Haniwa –
Japon, Époque des grandes sépultures-Kofun, VIe siècle ap. J.-C., Terre cuite modelée. Achat, 1998. inv : 98.1.1
©Musée départemental des arts asiatiques / Laurent Sully Jaulmes
Cheval Haniwa
Les « Haniwa », littéralement « cylindres de terre cuite » étaient des objets placés autour des tertres des tombes protohistoriques.
La taille et la splendeur de ces sculptures sont caractéristiques de la « période Kofun ».
« Les fabricants de Haniwa étaient des potiers plutôt que des sculpteurs. Le cheval, monture précieuse des sociétés guerrières de cette période, rappelle le rang élevé du défunt.»
Nota :
L’apprentissage du latin et du grec permet de manière magnifique approfondissement des notions parcellaires.
Rajoutons donc Ponce Pilate dans les protagonistes de l’histoire et son « je m’en lave les mains ».
Et aussi, la nuit passée dans le jardin de Gethsémani, dit aussi Mont des oliviers, à réfléchir et à prier.
Enfin, les quarante jours dans le désert sont derrière nous, et c’est une grande nouvelle, parce que ce n’était pas de la tarte.
Nous abordons maintenant la passion du christ.
Ce soir, dernier repas avec les disciples, avec Jean l’évangéliste, le préféré, le chouchou, un espèce d’enfant gâté, il en aura plus de chagrin, et les onze autres, dont deux traîtres, Judas et Pierre, quatre évangélistes, Jean, Luc, Marc et Matthieu, qu’a qu’un ch’veu. Et quelques autres.
Zacharie est ailleurs mais bien présent.
Samuel aussi. Et Élie. Que pas un ne soit laissé sans du pain et du vin. Et que comme Martin sur son âne, en le chœur de Ganagobie, si un mendiant a froid, coupons notre manteau pour lui en donner la moitié. C’est notre histoire, aussi belle que la fille du puisatier.
Précisons toutefois, pour quelques mécréants qui traînent leurs guêtres ici, que lorsque Ponce Pilate a dit « je m’en lave les mains », la décision était prise de crucifier le christ. Et que lui n’en a rien voulu avoir à faire.
Ce qui est terrible.
Les chevaux du temps
Quand les chevaux du temps s’arrêtent à ma porte.
J’hésite un peu toujours à les regarder boire
Puisque c’est de mon sang qu’ils étanchent leur soif.
Ils tournent vers ma face un oeil reconnaissant
Pendant que leurs long traits m’emplissent de faiblesse
Et me laissent si las, si seul et décevant
Qu’une nuit passagère envahit mes paupières
Et qu’il me faut soudain refaire en moi des forces
Pour qu’un jour où viendrait l’attelage assoiffé
Je puisse encore vivre et les désaltérer.
Jules SUPERVIELLE
(1884-1960)
Bon anniversaire Passou !
Et à toi aussi vieux keuf, à retardement, et exceptionnellement, un sepante c’est pas tous les jours.
Les quatre évangélistes dans le livre de Kells, Dublin, Irlande
https://images.app.goo.gl/BV2G1McnCKdKf4HH7
S’cuse, lire
un septante c’est pas tous les jours.
N’oublions pas Nicodème et Joseph d’Arimathie.
Le sanhédrin ce sera pour l’année prochaine puisque, à chaque jour suffit sa peine.
Qq.infos sur Pilate, Ponce de son prénom :
https://www.nationalgeographic.fr/histoire/2020/02/ponce-pilate-le-juge-controverse-de-jesus
Bon jeudi, si ce n’est saint, sain à tout le moins.
@Dans l’ensemble, ce portrait du créateur nous invite à envisager autrement ses oeuvres. Par exemple Mort à Venise comme un beau film muet…
____
Des fois, une analyse plus technique, permet de démystifier le beau.
Grâce à ceux qui font les études qui vont bien, on comprend que l’idéal esthétique,le Beau viscontien doit beaucoup, si ce n’est tout, au zoom.
Et en fait de » muet « …
« C’est
aussi
par
la
voix
d’Alfred que
Visconti
fait
référence
aux
théories
de
Schopenhauer
sur
l’Art.
Selon
le
philosophe,
l’Art
est
un
des sommets
de
l’activité
humaine,
une
forme
de puissance
qui
vient
libérer l’homme
et
le
grandir.
La
création
et
la
contemplation
artistique permettent
à
l’individu
de
s’élever
au-dessus
de
lui-même.
Ce
passage particulièrement
semble
s’inscrire
dans
le
chemin
que
traverse
Gustav depuis
son
arrivée
à
Venise
-et
même
avant,
en
prenant
son
moi
passé
du
temps
des
conversations
avec
Alfred
en
flash-back-
jusqu’à
sa
révélation face
à
Tadzio.
Schopenhauer
indique que,
« dans
le
Beau,
nous saisissons
toujours
les
formes essentielles
et
primordiales
de
la
Nature animée
et
inanimée,…
et
cette perception
a
pour
condition
sa
corrélation essentielle,
le
sujet
connaissant libéré
de
la
Volonté,
soit
en d’autres
particulièrement
semble
s’inscrire
dans
le
chemin
que
traverse
Gustav
depuis
son
arrivée
à
Venise
-et
même
avant,
en
prenant
son
moi
passé
du
temps
des
conversations
avec
Alfred
en
flash-back-
jusqu’à
sa
révélation
face
à
Tadzio.
Schopenhauer
indique que,
« dans
le
Beau,
nous
saisissons
toujours
les
formes essentielles
et
primordiales
de
la
Nature
animée
et
inanimée,…
et
cette
perception
a
pour
condition
sa
corrélation
essentielle,
le
sujet
connaissant
libéré
de
la
Volonté,
soit
en
d’autres termes,
une
pure
intelligence
sans
objectifs
ni
intention. »
Recherche complète, ici :
Décadence et idéal esthétique chez Visconti : une étudedu zoom dans Mort à Venise
Mathilde Tattegrain
Le copier coller est très mal fait, lire :
« C’est
aussi
par
la
voix
d’Alfred que
Visconti
fait
référence aux théories
de
Schopenhauer
sur
l’Art.
Selon
le
philosophe,
l’Art
est
un
des sommets
de
l’activité
humaine,
une
forme
de puissance
qui
vient
libérer l’homme
et
le
grandir.
La
création
et
la
contemplation
artistique permettent
à
l’individu
de
s’élever
au-dessus
de
lui-même.
Ce
passage particulièrement
semble
s’inscrire
dans
le
chemin
que
traverse
Gustav depuis
son
arrivée
à
Venise
-et
même
avant,
en
prenant
son
moi
passé
du
temps
des
conversations
avec
Alfred
en
flash-back-
jusqu’à
sa
révélation face
à
Tadzio.
Schopenhauer
indique que,
« dans
le
Beau,
nous saisissons
toujours
les
formes essentielles
et
primordiales
de
la
Nature animée
et
inanimée,…
et
cette perception
a
pour
condition
sa
corrélation essentielle,
le
sujet
connaissant libéré
de
la
Volonté,
soit
en
d’autres termes,
une
pure
intelligence
sans
objectifs
ni
intention. »
En cette semaine pascale, il vaut mieux s’adresser à dieu qu’à ses saints, un livre enquête (*) vient définitivement enterrer le mythe de l’abbé Grouès, -dont on apprend au passage que son antisémitisme abject l’avait un temps poussé a proposer ses se(r)vices à petain, son soutien au negationniste garaudy n’est ainsi , pas non plus, un ecart de vieillesse-,
et mettre à jour la complicité, quasi criminelle, de la curaille française depuis 1955 qui a tout fait pour minimiser les signalements effectués au Vatican.
Légende pour légende, Rose, il est dit que le personnage assis ay la droite du Christ sur le tableau de la Cène de Léonard de Vinci ne serait pas l’apôtre Jean mais Marie-Madeleine…
‘art est le passeur de ces rites de la Semaine Sainte.
Une mémoire où la religion catholique prend son sens et ses rites, l’eucharistie.
Vous évoquez Pessah, autres rites, autres fêtes. Et aussi un anniversaire double selon M. S. Passou, c’est évident mais Ui est le deuxième, un huissier ? Diantre !
Meilleurs voeux de bonheur à eux.
Et pour le reste de cette mémoire, elle tient lieu de repère plus que de foi. Les grandes fêtes religieuses ou laïques, les
anniversaires, les fêtes, les solstices, les saisons, le jour et la nuit, l’heure… Autant de marques pour ne pas se perdre dans un temps informel.
Visconti aussi interrogé le temps mais dans ses films la joie se perd laissant place, souvent à l’amertume.
Les repères donnent l’avant et l’après, certes mais cela n’empêche pas dans cette vie morcelée de chercher. Ce qui nous rattacher ait à un tout. Trouver une transversale… Mais si l’essentiel était hors de portée de notre imaginaire ? Qu’en est-il de nos métamorphoses ? Sommes-nous comme la chenille appelés à un vol éphémère juste le temps de se poser sur la beauté d’une prairie en fleurs ? Tout passe… Tout est inachevé…
Fatras du jour… Jour de fatras. –
Merci rôz, je vous admirerai toujours. Il joue également beaucoup aux mots fléchés mais n’a personne pour le scrabble. Résultat : sa mémoire n’est pas assez stimulée. – Merci Ma soeur, vous m’étonnerez toujours. Un brin. Il faut savoir la décrypter et la capturer, l’onde positive sous votre masque. Car en deça de la violence de vos mots, qui est votre marque de f’abrik habituelle, j’ai appris à la ressentir depuis longtemps. Je sais qu’elle est là, en tapis noix. – HEMOPHILIE, des femmes en souffrent aussi, semblerait-il. Durant leurs règles, leur souffrance est terrible. et souvent mal diagnostiquée. J’espère que ce n’est pas le cas de Passoul. – L’abbé Pierre, l’horreur intégrale, depuis des documents acdablants exhumés du Vatican. Pourquoi ai-je été berné comme tant d’autres à son sujet ? En y réfléchissant bien, je crois que cela remonte à sa confrontation télévisée avec Bourdieu, lors de la parution de la « Misère du monde » (1993 ?) où ce dernier masquait mal son admiration troublée pour le petit curé. Mais comment et où retrouver ce moment ? (ah, ma soeur, 6.17 – vous venez de me brûler mon message, avant que je le poste… décidément… ! hein. J’ai l’air de quoi, maintenant ?)… – @ etalii, vous m’énervez aussi avec vos remarques. « Foutez moij la paix », comme dirait notre amie Cricri, qui s’emporte parfois, à juste titre.
Car tout erdélien est humainement humain peut en être sujet, en dehors de deux ou trois robocops qui sévissent éternellement.
Je souhaite à tous.tes de ne pas se trumper de crémerie, epicéltout.
Hommage à « mon amie Flika », surtout. Elle calmait l’enfant, jadis. Bàv,
Pauvre gigi, tu es mal lu…dans cet ehpad…
Visconti et Vinci mettent la mort en scène dès le début. C’est comme un noyau vide de l’histoire qu’ils racontent avec leurs images. Le prince Salina qui pleure en se regardant dans un miroir, le Christ qui se prépare à une nuit de solitude sur le mont des Oliviers, comme ils se ressemblent par leur humanité mélancolique…
@ 7.17 /// Trouver une transversale
Cherchez plutôt du côté d’une vieille diagonale. Quant à l’huissier (véreux ?), laissez le dormir pour le moment. Bàv,
La vieille mater dolorosa a commencé son chemin de pathos, on dirait ste Thérèse celle qui, quelle plaie.
Note vieux keuf, que cette vieille folle sous exta(se) te suppose huissier. Tu y perds, lol.
Tu m’as grillée d’une minute, ah.
Vu l’état du monde je ne sais pas s’il est de bon ton de souhaiter un bon ou un joyeux anniversaire à Passou. Je vais me contenter de lui souhaiter une meilleure santé que celle du cheval là-haut. Et plein d’idées en cascade pour ses futures oeuvres.
Comme la cène avait lieu chez les Esséniens, il ne pouvait y avoir de femmes.
« Le Guépard », d’après un roman de Giuseppe Tomasi di Lampedusa,
Oui, Phil. Il est bon de le rappeler. Littérature et cinéma, littérature et art.
C’est la force de ce blog de lier ces créations, ces fictions. L’art n’est-il pas cette transversale que je cherchais et qui donne un radeau pour échapper au naufrage ? (Merci, Géricault !)
Renato, 7h35.
Parfois vous êtes trop sérieux. Dans les fictions, les légendes, tout est possible…
Merde aux rabat-joie
Bon anniversaire, et restez solidaires de tous vos âges.
JJJ,
Comme j’aime vous lire ! Vous êtes très drôle. Je ne suis pas l’actualité de cet espace commentaire. Juste, lors de mes passages je cherche des participants dont vous. Vous peignez le monde avec des mots, vous jouez au passage avec eux.
J’ai cueilli pour vous cette pensée de Nicolas de Staël trouvée dans son carnet du Maroc. Il regarde un paysage où l’on s’affaire pour la cueillette des olives et son regard se porte au loin…
« Plus loin la courbe calme des bêtes aux yeux d’enfants qui mangent cette herbe de feu, des bêtes blanches – des bêtes noires. La voix qui chante, suit les notes des arbres, d’autres reprennent le chant. Toute la forêt n’est que musique. »
Voilà, cadeau pour tous vos anniversaires omis.
Belle journée.
JJJ, la diagonale, c’était vous dans l’ancien blog de Passou. Je me souviens…
renato, sérieux ?! Il n’y a pas plus bouteille en train que lui !
boute
@ 8.07, merci pour l’entrée dans ce club du 3e age de la septantrionne. Voilàj une troisième vie qui commence formoij. Dans un irréversible déclin mnésique, compensé chaque jour par une lutte intensive pour jouir plus intensément de chaque minute qui passe. Les bruissements du monde, les hirondelles, Mme Nicolas de Staël (Germaine !), de l’humour noir & blanc dont on ne peuxj empêcher l’insoutenable ou l’insondable lourdeur. La vie, encore et toujours, jusqu’à plus soif. Avec un coeur qui pulse, muscle programmé pour battre trois milliards de fois. J’ai compté les miens, de battements, depuis mes le moment de mes 27 premiers jours intra utérins [et ceux de mon frère univitellin, raccourcis = 1 377 722 fois)], … pour l’instant, j’en suis arrivé à 2 247336 de battements à l’instant où je vous poste. Attention, le temps d’appuyer, le nombre aura changé.
Bàv, et surtout encore bien du carburant à votre bon coeur !
MS, cette semaine ce n’est pas la semaine pascale mais la semaine sainte. La semaine Pascale est la suivante.
Il y a quelques armures de samouraïs également au musée de l’Armée aux Invalides.
(@8.23) Fallait lire : 1 377 722 000 fois et 2 247 336 000 fois… Ah, misère des nombres quand ils sont trop gros… Laissons les aux miardaires égoïstes qui pourraient pourtant consoler toute la planète de sa misère, s’ils le voulaient bin. Mais non, ils te préfèrent crever en emportant leurs 3 miards de battements dans leur tombe en dollars, comme le plus humble des hères sans un rond qui trime comme un damné ou quémande un peu de pain pour pas crever de faim comme un chien.
Allez, « oublie tout ça »…, comme disait Louise B. au Québec, qui détestait l’opéra. JE ME SOUVIENS.
Et pour Passou, cet haïku de Issa :
« Le papillon bat des ailes
comme s’il désespérait
de ce monde »
laisse D compter et mets un chapeau en papier crépon et danse en rond avec ton blouson les 3J, est-ce vraiment ton non anniversaire ?
« Pour échapper au naufrage ».
Tout est relatif.
Hurkhurkhurk!
Pauvre Gigi, comment charmer la mort quand on n’a jamais charmé personne?
Nous attendons la suite du professeur « Barnard », le greffé du choeur de 8.53, qui tarde à rappliquer. Bàv,
Laure Adler vient de créer une chaîne sur Youtube : Télé Vioc !
C’est pas une blague, allez voir…
« RÉCIT – Il y a cinquante ans, le 17 avril 1975, Le Monde, L’Humanité, Libération célébraient l’arrivée des forces révolutionnaires dans la capitale du Cambodge. L’intelligentsia progressiste acclamait ce régime communiste sanguinaire qui allait exterminer un quart de sa population. » Figaro
Et s’il n’y avait que les khmers rouges! J’ai appris récemment qu’Emmanuel d’Astier de la Vigerie, célèbre compagnon de route, avait osé témoigner CONTRE Kravchenko dans son fameux procès.
Et cette racaille cloue au pilori Zemmour et d’autres au moindre supposé « dérapage »…
Heureusement qu’il y a le Figaro, VA et la presse Bolloré pour donner d’autres points de vue.
Encore de la neige.
Le plus fort épisode neigeux de cette saison d’hiver au printemps.
https://www.lefigaro.fr/meteo/meteo-d-abondantes-chutes-de-neige-dans-les-alpes-ce-jeudi-20250417
Il y a 50 ans ? le Roc des Fiz.
@ »L’intelligentsia progressiste acclamait ce régime communiste sanguinaire qui allait exterminer un quart de sa population »
les choses n’ont guère changées : aujourd’hui ces mêmes progressistes acclament les bandéristes au pouvoir à Kiv qui sont aussi en train d’exterminer leur population.
un détail assez marrant : le journal le Monde a écrit je sais plus quand en 2022 ou 2023 un article assez élogieux sur Stepan Bandera, voyant en lui le libérateur de l’Ukraine un peu comme le nazi ovationné au Canada.
et le seul à l’époque qui avait eu le courage de dire que les mecs au Monde ils pataugeaient dans la semoule c’est Arno Karsfeld ! et Dieu sait s’il fallait en avoir du courage pour s’élever contre la doxa progressiste.
donc tu vois closer : rien de nouveau sous le soleil…
Dans ce même Figaro (celui du jeudi qui contient le Littéraire), un certain Tristan Audras dresse un bilan ultra positif de la politique de Meloni. Si elle obtient qqchose de Trump au cours de sa visite d’aujourd’hui, ce sera le succès absolu.
Elle sera peut-être aidée par le fait qu’Elon Musk est amoureux d’elle.
Renato aussi est amoureux d’elle, mais, évidemment, il a moins d’influence que Musk.
d’ailleurs on peut voir des échanges assez marrants sur YT (des trucs de LCI je crois ?) entre Luc Ferry et Daniel Cohn Bendit sur le conflit en Ukraine.
Ferry qui dit « il faut arrêter le massacre »
et l’autre écologiste progressiste et grand amoureux du genre humain qui « non pas question faut qu’ils continuent de se battre ! »
les plus fervents bellicistes aujourd’hui c’est les écologistes et les socialistes, limite tu dis le mot « paix » devant un socialiste ou un écolo le mec il prend un couteau et vlan il t’égorge tellement ce mot « paix » les révulse.
c’est là où faudrait faire intervenir des psys parce qu’on doit trouver les raisons d’un tel comportement plutôt en analysant l’inconscient.
« Si elle obtient qqchose de Trump au cours de sa visite d’aujourd’hui, ce sera le succès absolu. »
je fais le pari qu’elle l’obtiendra ne serait-ce que parce qu’un des objectifs de Trump est de faire exploser l’UE.
et le fait qu’un chef d’état européen vienne le voir pour discuter de pays à pays sans passer par l’UE c’est sûr et certain qu’elle va obtenir tout ce qu’elle veut.
pour la France c’est marrant de voir que notre façon de se moquer de Trump comme dans l’article de passou on retrouve eaxctement la même chose aux US avec Macron.
en ce moment le truc c’est de dire que la femme de Macron est un mec, c’est une femme qui s’appelle Candice Owen, une black, une femme brillante opposée à la discrimination positive, on peut voir une vidéo d’elle où elle étripe la patronne de Harvard (celle qui a tenu des propos antisémites et négationnistes : Harvard c’est plus ce que c’était).
Candice Owen est parie la première sur ce truc : Brigitte Macron est un transgenre et Candice est tellement douée qu’elle a réussi à diffuser son discours partout aux US.
à tel point que même Joe Rogan a fait une une émission où il fait l’éloge de Candice Owen et quand il arrive à sa thèse Brigitte est un mec Rogan dit « vraiment j’en sais rien mais si je devais faitre un putain de pari ‘c’est sa façon de parler) je miserai que Candice a raison.
dans cette même émission Joe Rogan dit que les français ont voulu filer beaucoup d’argent à Candice Owen pour qu’elle arrête et comme elle a refusé l’argent ils en sont passé aux menaces de mort.
le Trump = Ubu de passou c’est limite gentillet à côté de la façon des américains de traiter Macron.
et un tas de podcasters américains expliquent l’impossibilité de la France de faire pression sur l’Algérie parce que l’Algérie ferait chanter Macron parce qu’ils ont des preuve que Brigitte est un mec.
sérieux c’est pour ça que perso, depuis que je suis devenu conspirationniste je me rends compte à quel point ma vie était chiante avant.
le conspirationnisme et le complotisme c’est limite un façon de percevoir pleinement le monde un peu comme on fait de la randonnée en haute montagne ou de l’escalade dans les calanques ou du saut à l’élastique ou du kite surf.
erratum : depuis que je suis devenu complotiste conspirationniste trumpiste poutinien je me rends compte à quel point ma vie d’avant était ch.ante.
en tout cas c’est que je décris dans le chapitre 5 de mon ouvrage « comment je suis devenu conspirationniste ».
je suis sûr que Gallimard va me le publier !
L. Viscont est né le jour des morts, c’etait plus compliqué pour faire la teuf à son anni
MELIMELO’VOX
J J-J dit: 17 avril 2025 à 8h56 Nous attendons la suite du professeur « Barnard », le greffé du choeur de 8.53, qui tarde à rappliquer. Bàv, /// Bernard dit: 17 avril 2025 à 9h03 Laure Adler vient de créer une chaîne sur Youtube : Télé Vioc ! C’est pas une blague, allez voir…
=> Anéfé, l’aura-de-l’air, l’a pas trainé longtemps, l’Henriette-Bernard (10 minutes, tout juste).
https://mairie-barbezieux.fr/agenda/concert-chorale-melimelovox/
Water closet a certainement des liens documentaires sur l’engagement de L. Visconti avec le PC italien.
On peut en effet s’en étonner, même s’il a sublimé ? cette forme de contradiction dans plusieursde ses films, a la fois de par sa lignée aristocratique paternelle-il ne serait pas un cas isolé, loin s’en faut- mais plus surprenant encore venant sur d’un héritier, car descendant, de l’un des plus importants groupes pharmaceutiques italiens, accessoirement premier distributeur de cannabis » thérapeutique « , herbe donc, deux fois plutôt qu’une…
@ »Et cette racaille cloue au pilori Zemmour et d’autres au moindre supposé « dérapage »… »
Quelle saloperie ce water closet, doit pas connaître les condamnations de celui pour qui il tracte.
A 82 ans, Michel Drucker s’apprête à faire son retour en prime time sur France 3 avec une émission nommée « Familles je vous aime ».
Pour Michel Drucker, un plateau télé est comme sa salle à manger, et France Télévision, comme sa maison.
naître le jour des morts?
ENCORE UN SYMPTOME D’ANNIVERSAIRE
Raphaël nait donc à Urbino « l’année 1483, le Vendredi saint à trois heures du matin,
« Water closet a certainement des liens documentaires sur l’engagement de L. Visconti avec le PC italien. »
Alors Mme Sasseur vous avez assisté à la messe des Rameaux ? Vous avez fait bénir votre petit morceau de buis ?
Tu faisais l’aumône à la porte de l’église, flou ?
Ça te plaît pas cette histoire de Luchino, compagnon des communistes italiens? Tu préférais militant gay?
Contrairement à ce qu’affirme l’étroniforme Gigi la plus que visqueuse, je ne suis pas « Bernard ».
L’assasseure et ses obsessions maladives. Une variété de Rantanplan à tendance braillarde.
Flou, je vais aller à la messe dimanche pour Pâques, fais-toi beau.
Fais toi beau, si tu veux une petite pièce; comme le vicomte je suis très économe de mon mépris.
Enfin, si la neige s’arrête de neiger…
J’ai lu que Luchino avait eu une love affair avec une dame, à Kitzbühel, tu connais, flou ?
Plus de son ni d’image, Fl.ou comme ses copines se prépare pour partir à Rome, certainement.
en tout cas c’est que je décris dans le chapitre 5 de mon ouvrage « comment je suis devenu conspirationniste ». je suis sûr que Gallimard va me le publier !
PPPPPP (Puck la Pute Pathétique Payée Par Poutine)
Gallimard va te dire que ton titre est trop long, que «Comment je suis devenu con» suffit.
Si tu veux je peux faire la préface, Puck.
pedro tu sais quoi, je sens pas mal de négativité en toi, je veux dire au niveau des énergies, alors t’es pas le seul rassure toi, 3j aussi dégagé pas mal de négativité, mais lui c’est différent, il a passé un petite vie de chiotte de petit fonctionnaire servile toute sa vie, limite on peut comprendre, je veux dire 3j quand il avait 25 ans il était déjà très vieux, je veux dire son corps, ses organes, son cerveau, tout ça était déjà dans la fin de vie, mais toi pedro, on te sent dans la force de l’âge et malgré ça sérieux tu dégages un max d’ondes négatives, tu vois c’est pas trop mon genre le prosélytisme, mais t’as déjà essayé le conspirationnisme ? je veux dire au niveau énergétique c’est un truc qui peut supprimer tes énergies négatives pedro, pas dans le genre de penser que la terre est plate, mais déjà te dire que les médias nous mentent, exemple au hasard : l’Ukraine, en fait c’est pas un pays démocratiques, les mecs ils ont mis en prison plusieurs centaines d’opposants politiques et de journalistes, donc déjà là si en ne croyant pas ce que tu lis dans Tribune ou dans le Monde ça te permet de te reconnecter avec le monde et la nature, déjà je pense que ça peut améliorer tes énergies, voilà après je dis ça je dis rien, t’en fais ce que tu veux, mais tu peux commencer mollo et y aller par étapes, limite je peux t’aider si tu as du mal à te connecter avec le réel, bon voilà, réfléchis-y un peu avant de répondre parce que j’ai remarqué que souvent t’es un peu brutal, en fait la brutalité c’est lié aux mauvaises énergies. ciao mon pedrito !
@ »Si tu veux je peux faire la préface, Puck. »
c’est vrai ? alors là tu pas savoir comment ça me touche ta proposition, sérieux j’en ai des larmes aux yeux, c’était tellement en dehors de tout ce que j’espérais que je n’aurais même pas osé te le demander.
je veux pas être trop exigeant, mais tu crois que sur la couverture on pourrait mettre la photo d’une de tes tes poules, avec le titre pas dessus « comment je suis devenu conspirationniste » préface de D. sérieux ça aurait de la gueule.
limite ça peut faire un best seller parce que beaucoup de gens dans notre pays aspire à le devenir, je veux dire à devenir complotiste, ce serait la meilleure façon de leur permttre de se ré emparer de la chose politique et de se reconnecter au réel.
sans compter bien sûr le côté « démarche spirituelle ».
La pauvre femme radote. Elle répète toujours la même histoire.
mais RAPHAEL EST SON NOM français pour: Raffaello Sanzio (aussi nommé Raffaello Santi, Raffaello da Urbino, Raffaello Sanzio da Urbino),il a aussi signé
Santi,
Tiens, keupu
« A ne pas manquer ce soir 23 h le 4ème numéro de la Guerre de l’Info, hors série de Complément d’Enquête qui décrypte les stratégies d’influence et de désinformation, signé Julie Benzoni et Valentine Watrin. Elles montrent comment la Russie cherche à s’immiscer dans les failles de l’actualité française pour déstabiliser l’opinion, à travers une société d’influence basée près du Kremlin, la SDA, Social Design Agency. Plus inattendu, elles dévoilent comment l’Azerbaïdjan, en conflit avec une Arménie soutenue par la France, approche et soutient les indépendantistes kanaks en Nouvelle-Calédonie. Une enquête édifiante (…)Une production France.tv presse ! »
https://www.france.tv/
plus précisément, il est écrit
» le patronyme « Sanzio », avec lequel il est connu, est l’une des déclinaisons possibles de « Santi » dérivé du latin « Sancti », avec lequel Raphaël signera habituellement ses œuvres dans sa maturité. «
Je reviens à vous, Paul Edel.
Quelle finesse d’analyse dans ces textes de Jacques Rivière quand il évoque le grand roman d’Alain Fournier, « Le Grand Meaulnes » !
Ce n’est plus l’introduction d’Ariane Charton mais les mots de Jacques Rivière dans une conférence sur « Le Grand Meaulnes » qu’il prononça le 15 février 1918 à Genève dans l’école où Rivière enseignait. A l’époque le lieutenant Fournier était porté disparu, « une façon de maintenir en vie son ami et beau-frère ».
Il écrit, page 49 :
« Tout le tragique du « Grand Meaulnes » n’est-il pas dans une certaine inaptitude de ses personnages à la vie et dans une préférence insensée de n’importe quelle chimère aux conditions qui leur sont faites par l’évènement ? (…) il y a des gens qui ne sont pas tout à fait de ce monde, et qui sentent que ce monde ne peut leur faire que du mal, même quand il leur tend le bonheur.
Pour moi, le plus profond intérêt du « Grand Meaulnes », commence au moment où François Seurel retrouve par hasard la trace du domaine inconnu. C’est là que commence vraiment le drame, au moment où la réalité revient, reflue sur le rêve et cherche à le remplacer. (…) Comme si c’était la même chose, comme si vraiment la vie pouvait prendre la même valeur, le même poids, la même réalité que nos imaginations ! (…) C’est un écroulement, c’est une catastrophe. C’est comme si le monde de l’imagination où il s’était réfugié, s’écroulait sous lui. C’est un naufrage sous les apparences d’un heureux atterrissage aux bords de la Terre Promise. C’est la fin d’une adolescence. (…) Les rêves sont trop grands dans cette âme, ils ont pris trop de place et trop d’empire ; et quand le mystère qui les alimentait se tarit, ils entraînent leur victime n’importe où, quelque part où ils puissent reprendre et se survivre ; ils cherchent désespérément et au prix des plus grands sacrifices une atmosphère où de nouveau respirer et s’épanouir. Vous connaissez l’histoire de Peter Pan, le petit garçon qui ne voulait pas grandir. « Le Grand Meaulnes » c’est l’histoire de l’adolescent non seulement qui ne veut pas, mais qui ne peut pas devenir homme, de l’adolescent qui ne veut pas finir.(…)
Son idée est qu’il ne rentre pas dans la vie comme les autres, qu’il n’y mord pas, qu’il ne la joue pas pour de bon. Il a le mysticisme de l’action ; tous les évènements qui lui arrivent, il les embellit spontanément, il les rend plus douloureux et plus profonds, il les agrandit selon des dimensions inconnues. »
Ah, vous avez bien fait de signaler la parution de ce livre, Paul Edel :
« Jacques Rivière – Critique et création – Édition établie par Robert Kopp avec la collaboration d’Ariane Charton – Préface de Jean-Yves Tadié. Collection Bouquins / Mollat.
Informations de l’abîme :
je ne suis pas « Bernard ». La mort, au Puy du Fou, lui va pourtant si bien. Sérieux je veux dire, au niveau de, alors là tu sais quoi, sérieux, limite je peux t’aider, sérieux, limite on peut comprendre, sérieux, t’as des ondes négatives, je le sens, sérieux, c’est pas trop mon genre le prosélytisme, sérieux ça aurait de la gueule, limite ça peut faire un best seller, j’ai les larmes aux yeux, je veux dire. Il luttait sérieux pour se faire accroire qu’il était déjà jeune à 25 ballets. Il était déjà a-câblé, non ? Transpirait la constipationniste… Jamais guéri depuis. Kissa ?
Profitez bin de la neige, mais allez pas vous mett’hors piste, hein !? ils disent qu’il y a des risques d’aval-hanches. Nous, côté océan, on a beau, ce soir. Fait doux. Ca y est, ma vieille maison natale dont j’étais devenu proprio, vient d’être enfin mise en vente : 130 000 euros, hors frais d’agence. Pour les amateurs, on peut la voir sur le site du boncoin.com. N’hésitez pas à vous y rendre, c’est une affaire. Pour les erdélien.nes sympathiques, désireux d’acquérir une jolie résidence secondaire saintongeaise, je leur fais une ristourne de 10% sur le prix de vente, à condition de payer cash, sans recourir à l’emprunt.
Bàv @ Trévite.
son psy ne lui a pas dit que son interprétation était vintage
Je n’ai vu Madeleine Renaud que tard dans sa vie, et très tôt dans la mienne, dans l’épouvantable tartine à-théâtrale de Duras intitulée «Savannah Bay ». L’INA a cependant eu l’excellente idée de mettre en ligne quelques unes des pièces enregistrées par la compagnie Renaud-Barrault, dont Les fausses confidences. Elle y est éblouissante, une vraie révélation. (Quant à Jean-Louis Barrault, je l’ai vu également une fois, toujours au Rond-Point, dans Le Cid mis en scène par Francis Huster, avec aussi Jean Marais et la sublime Martine Chevallier dans le rôle de l’infante, un de mes plus chers souvenirs de théâtre).
Entendu en direct à Notre-Dame, cela doit donner la chair de poule:
Te Deum (Gregorian) – Pierre Cochereau – Maîtrise de Notre-Dame de Paris
https://www.youtube.com/watch?v=v94pqarmgfw
(Avec de bons casques audio, c’est aussi le cas).
@ son psy ne lui a pas dit que son interprétation était vintage. (vingt’âge ?) hélas, il n’en nage amais zu, même depuis 20 ans… Des doigts gourds à la St Jean… Bàv,
https://www.google.com/search?q=ferson+st+jean+du+doigt&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&oq=ferson+st+jean+du+doigt&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUyBggAEEUYOTIHCAEQIRigATIHCAIQIRifBdIBCjEzODU4ajFqMTWoAgiwAgE&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:5137c9c7,
la première fois « judeochristianisme »:
sur le monde » La paternité du terme est attribuée au théologien Ferdinand Christian Baur (1792-1860), qui l’utilise pour la première fois en 1831. Au-delà de ce représentant du courant de l’exégèse biblique allemande, c’est chez son maître revendiqué Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770-1831) que s’opère le geste théorique fondamental, «
La classe moyenne, la fameuse, existe-t-elle encore en France ?
On compte nos sous, on ne fait plus d’économies, les factures sont lourdes, on sort rarement le soir pour se divertir, on ne voyage plus…
Et on continue de travailler, pas pour vivre mais pour survivre.
Vivre, c’est cher.
Eh oui, Maurice. La classe moyenne du début des années 60, c’était exactement ça.
Le petit Nicolas de Goscinny allait en vacances non pas à l’hôtel mais dans une pension. En Bretagne et pas sur la Côte d’azur. Dans une petite bagnole et sans prendre l’autoroute.
Dans les années 80-90, la classe moyenne s’est crue un moment aisée. Retour à la case départ.
je leur fais une ristourne de 10% sur le prix de vente, à condition de payer cash, sans recourir à l’emprunt.
–
… voilà bien une proposition gigisqueuse à souhait…
@je leur fais une ristourne de 10% sur le prix de vente, à condition de payer cash, sans recourir à l’emprunt
Et hors la comptabilité du notaire ?
La colonie pénitentiaire, chorégraphie originale
https://youtu.be/gj0Rz-uP4Mk?si=wrj-HbcD6B5pLap9
Merci à qui m’a souhaité un bon anniversaire !
Y’en a marre du canasson.
Visconti, je trouve son cinéma relativement ennuyeux et trop long.
C’est un cinéma dont on aurait pu parfaitement se passer. S’il y avait eu des difficultés de production, il n’aurait tout simplement jamais existé.
100
A propos du livre du père Franchi « traité de l’amour du mépris de soi-même » supérieur des philippiens de Florence (Italie),
« Ne cherche pas à lire ce livre. Ce livre ne peut m’aller… »
Sans l’humilité, point de Dieu, mais un maître inexorable et terrible ! Malheur ! Malheur ! Malheur ! Malheur aux orgueilleux ! Malheur à moi , Isacaron ! C’est l’orgueil, l’ingratitude et la désobéissance qui m’ont rendu de chérubin , un cochon horrible : transformation honteuse, transformation abominable, qui fait… »
(Le démon parlait trop vite, les notes furent impossibles)
99
C’est Marie qui me force à vous faire voir le néant des choses de ce monde. N’oubliez jamais que les croix sont préférables à tous les honneurs et à tous les avantages. Pourquoi donc préférer sa perte à son bonheur ? Le bonheur n’est pas ici-bas, il faut donc chercher son bonheur en Dieu, celui qui possède Dieu , possède le trésor des trésors, le bien de tous les biens. Celui qui possède Dieu, possède tout. Que les hommes sont insensés !
Il faut vous consoler et vous attacher fortement à Marie : elle vous obtiendra de grandes grâces.
Il faut prendre pour protecteur saint Joseph, et avoir une grande dévotion aux saints anges.
98
Dieu permet les revers pour le bien spirituel des hommes, les faire rentrer en eux-mêmes et revenir à lui. Ce n’est pas un mauvais signe quand Dieu envoit des revers. Dans sa miséricorde, il fait voir par là qu’il faut s’attacher parfaitement à lui et réfléchir à ces paroles : « ne vous inquiéter ni pour la nourriture, ni pour le vêtement : chercher le royaume de Dieu et le reste vous sera donné par surcroît. » Vous le voyez très bien par toutes les personnes que Dieu afflige pour leur mériter d’avantage. Quant à ceux qui vivent dans les richesses et les délices, c’est souvent un mauvais signe. »
97
Malheur au faux dévots ! Malheurs aux athées ! Malheur à tous ceux qui appartiennent à des sectes et qui restent étranger à la sainte religion, ô Eternel et Tout-Puissant !
Infâme Satan ! Voici des coups de foudre contre toi et contre tous les infâmes démons de l’orgueil : ces toi qui a inventé toutes ces fausses doctrines ; tu fais servir de tes enfants, que tu as rempli de ton maudit orgueil, pour séduire la majeure partie de l’univers ; mais bientôt tu vas être foudroyé par l’Eternel, le Tout-Puissant ; je le vois courroucé d’une manière terrible ! Tu es humilié ô grande et infâme bête.
L’homme de perdition est en ton pouvoir : tu le feras agir ce grand fou en lui donnant une partie de ta puissance, qui lui sera bientôt ôtée ; séducteur abominable ! Que vas-tu faire, maudit Antéchrist ? Tu vas donc travailler à la perte des autres ? Et en récompense tu seras placé à côté du roi de l’enfer ! Oh ! La belle place ! Abominable fou !
Heureux ceux qui te demeurerons attachés, ô Jésus-Christ, vrai Dieu et par conséquent, vrai et unique Christ, vrai Fils de Dieu, créateur de toutes choses, vrai rédempteur des hommes.
Tu veux que toutes les nations soient éclairées par toi, Souverain Maître. Tu veux que ta très sainte Croix soit plantée parmi toutes les nations. La nation juive tu vas bientôt l’éclairer ; tu lui fais dèjà apparaître quelques traits de lumière, tandis que des épaisses ténèbres environnent quantité de malheureux catholiques, parce qu’ils sont conduits par de nouveaux pharisiens.
Malheur à vous, nouveaux pharisiens, si vous ne changez de conduite ! Voyez comme un de vos séducteurs est forcé de crier contre vous, c’est moi , Isacaron, le cochon infernal.
Et toi maudit Béelzébuth, je suis forcé par le grand Maître de t’attaquer fortement, malheureux prince des démons d’avarice ! Quoique je sois associé avec toi pour perdre les hommes, tu sais que le tout-Puissant veut que notre infâme empire tombe en ruine. Malheur à ceux qui font pacte avec toi ! Malheur par conséquent aux magiciens, magiciennes que nous séduisons d’une manière horrible
O grand Maître tu m’as fait déjà crier contre le spiritisme, tu me l’as fait combattre fortement, tu m’as fait prouver qu’il était diabolique et tout cela devant un grand nombre de personnes. Tu veux ô Tout-Puissant que le spiritisme soit aboli. Ce qui est horrible à tes yeux est qu’il se trouvent des prêtres, si aveuglés par nous, esprits infernaux, qui font ce détestable métier (de magnétiseur) et laisse croire au peuple qu’il n’y a aucun mal. Aussi bien des gens se font guérir par le diable en la personne magnétisée Je déclare donc forcément que le magnétisme est une invention du diable.
O Souverain Maître, ils t’ont quitté pour nous suivre !qu’avez-vous fait malheureux ? Vous avez quitté le maître dont la bonté est infinie, pour vous donner à nous maudits esclaves ! Vous êtes biens fous, nous n’avons que des tourments inconcevables à vous offrir, une puanteur horrible !
Ne voyez-vous pas que nous sommes les exécuteurs des vengeances divines ? Mais à qui est-ce que je parle, moi, Isacaron, maudit cochon infernal ? Je parle à ceux que l’infâme Satan tient dans ses griffes, à ces orgueilleux incrédules qui ressemblent en quelque sorte à celui qui les tient d’une manière invisible à son gré sans doute.
Maudit Satan tu ne t’es pas perdu seul, tu es cause que le tiers des anges est damné pour t’avoir obéi ! Maudite bête ! Ceux que tu gouvernent ne se perdent pas seuls non plus, ils entraînent une partie considérable du pauvre malheureux peuple avec eux. Arrêtez malheureux ! Au nom du Souverain Maître, ne dévorez pas plus longtemps les pauvres brebis qui vous sont confiées, demandez au souverain médecin la guérison de la peste dont vous êtes atteints ; foulez aux pieds l’orgueil dont Satan vous nourrit, regardez l’image de votre souverain rédempteur, humiliez-vous à ses pieds et bientôt Satan emportera le venin dont il vous repaît.
65 77
Isacaron fît des réflexions très remarquables sur l’humilité, la charité et la contrition qu’un chrétien doit avoir de ses fautes , puis il ajouta : « en suivant ces conseils, on pourrait ne pas aller en purgatoire. »
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Le démon se récria contre la manière dont on se tient dans les églises et parla en ces termes : « on dirait que les fidèles y assistent comme s’ils n’avaient rien à demander : ils se tiennent le front haut avec un maintien pharisaïque, au lieu de s’humilier et de se prosterner devant Dieu.
79
Saisissez promptement l’occasion de faire tout ce qui est bien. Si vous avez une bonne pensée, elle vous vient de Dieu : exécutez-la ; si vous voulez faire une aumône, faîtes-la tout de suite, ne dites pas : « c’est trop, je ne devrai donner que tant. »Toutes vos bonnes pensées viennent de Dieu, vous ne pouvez rien par vous-même.
80
L’orgueil est une bête féroce qu’on ne peut rassasier ; c’est comme un chien enragé qui est forcé de mordre. Et quand les personnes qui veulent se consacrer à Dieu, entrent dans cette voie, nous faisons tout pour les perdre.
81
Dans une circonstance, Isacaron fit un sourire diabolique, impossible à décrire, à la réminiscence d’une faute qu’il avait voulu faire commettre ; il continua son infernal sourire très longtemps et il clama : « le bien me fait horreur, je me délecte dans le mal. »
82
« Les anges fidèles désirent plus votre salut que nous autres démons votre perte. Celui qui veut recevoir beaucoup de grâce doit être humble et prier saint Joseph, les saints anges…On ne peut se faire une idée des avantages qu’il en retirerait : il progresserait dans la vertu »
83
Le démon tourmente le possédé et l ‘empêche de prier et de dire son chapelet.
84
Toutes les distractions que vous avez soit dans l’église, soit dans vos prières viennent des démons, nous enrageons quand nous vous voyons faire le bien. Lorsque vous êtes sortis de l’église nous vous laissons tranquille.
85
On lui disait : « tu ne peux rien contre Dieu »
Il répondit : « j’ai bien plus de pouvoirs que tu ne penses. »
86
Les pères et mères répondront de leurs enfants , âme pour âme, et ils ne pourraient être sauvés si ceux-ci s ‘étaient perdus par la faute de leur père et mère
87
Malheur à moi ! que les démons, que tous les tourments des damnés retombent sur moi, afin de m’anéantir. Que toutes les souffrances des créatures tombent sur moi à la fois. Que toutes les créatures du Créateur me maudissent ! Que maudit soit Belzébuth et toutes ses sales créatures ! Que par la puissance de Dieu, je leur fasse lever les quatre fers en l’air. Que je crève à l’instant aux pieds du possédé et aux vôtres. Vous ne pouvez comprendre que je souffre plus de soixante fois plus qu’en enfer ! C’est Marie qui m’a fait venir. Malheur aux diables et aux imitateurs des démons !
91
Le confesseur du possédé lui donna la permission de se donner la discipline deux jours de suite, le démon confessa qu’il en avait été très humilié.
En conscience, on doit attester la vérité quand on en a des preuves et aucune autorité n’a le pouvoir de l’empêcher ; cela vaut face aux preuves de la possession. Dieu le veut. Ces choses sont dites au nom du Souverain Maître.
Il ne faut pas craindre les dires des hommes, mais imiter son Dieu qui ne laissera pas sans récompense la plus petite chose faite à l’un des siens. Quand on manque de charité envers son prochain, on se rend coupable.
Il n’y a point de coup si fatal que l’humilité de votre Sauveur ; lorsque le possédé veut méditer sur ce sujet, il m’écrase, il me fait souffrir horriblement . Quand il prie pour ses ennemis, il m’écrase, il m’assomme.
96
Ordinairement le démon ne voulait rien dire sans que des témoins fussent présents
« C’est moi, disait-il, qui suis forcé de faire venir des témoins, bougre de scélérat que je suis. Mon Maître n’est pas un petit maître, c’est le Maître des maîtres, le Grand des grands, celui qui est tout.
Les démons de l’orgueil sont les plus forts et les plus à craindre : ils se glissent d’une manière imperceptible, prenez garde à vous.
54 61
Je ne veux rien dire à « x » , je ne veux plus rien lui dire, il mettrait trop à profit ce que je lui dirais. J’aurai bien voulu qu’il ne vienne pas içi, si j’avais pu lui casser les bras et les jambes, je l’aurai bien fait.
55 62
Un jour, le démon pris à partie la personne qui, la première rédigea ces notes : « je voudrais bien te casser les bras et les jambes, si j’avais pu, cela te prouve la force de votre Dieu et notre faiblesse, si je pouvais t’empêcher d’écrire, je te casserais les poignets
56 63
Le démon expliqua que le chrétien ne doit se prévaloir de rien, mais tout rapporter à
Dieu .Il démontra parfaitement que nous devons tout rapportez à Dieu ; que nous ne pouvons rien faire de bien par nous-même ; que les dons, les grâces qu’il nous fait sont son œuvre, sue rien n’est à nous ; que nous ne pouvons rien sans lui ; que nous lui devons tout, puisque nous sommes ses créatures.
« Tenez-vous fortement attachés à Marie, cette puissante Reine du ciel, qui est la terreur des démons, et vous ne périrez point. Invoquez souvent Saint Joseph, lui qui est au-dessus des chérubins et des séraphins : il a un grand pouvoir.
57 65
Que votre Dieu est bon ! Combien il a d’égards pour vous ! Combien il vous aime votre Dieu dont la bonté est infinie et qui fait prêcher la vérité par d’infâmes démons pour ramener les hommes à lui !
58 66
Le mal est effroyable, il est à son comble, il n’a jamais été si grand ! Que les mauvais chrétiens sont nombreux, ainsi que les nouveaux pharisiens ! Nous approchons de la fin des temps, et si on avait bien observé, on aurait déjà observé les signes avant-coureurs. Humiliez-vous et faîtes pénitence, sinon vous périrez tous a dit votre Sauveur, ayez une grande contrition de vos fautes car le péché est bien redoutable puisqu’il offense un Dieu si grand. L’offense étant relative à la puissance, l’on devient bien criminel quand on la commet. Priez au pied de la croix votre divin Sauveur qui n’est qu’amour pour les hommes.
59 67
Moi, démon, quand je suis dans toute ma rage, dans toutes mes fureurs, qu’on me mette un petit enfant dans les bras, aussitôt je suis forcé de me calmer en présence de l’innocence et de respecter les personnes dévouées à Dieu. Les impies croient nous faire plaisir en péchant ou en s ‘en faisant gloire. Les malheureux ! Ils ne se doutent pas que dès ce moment nous devenons leur plus cruels ennemis ; et nous nous réservons de le leur démontrer en enfer, car nous devenons pour leur âmes comme des tigres voulant les déchirer !
60 68
Parfois, le démon entraînait le possédé dans les bois et la faisait se mettre tout nu, là il lui faisait couper des branches de bois pour lui faire sculpter des cannes. Il ne fut pas permis que quelqu’un le rencontra en cette tenue.
61 69
Le démon faisait souvent jeûner son possédé ou il lui faisait manger de la nourriture qu’on n’eut pas donné aux chiens. Souvent il s’est vanté des tours qu’il faisait subir au possédé : « j’ai fait manger une bonne soupe au possédé, c’était une soupe qu’il avait faite depuis longtemps, il y avait de la mousse de moisissure dessus, je lui ai fait mettre un peu de vinaigre dedans. Voilà un tour d’Isacaron. »
62 71
Saint Joseph a été conçu sans péché , et il est monté au ciel en corps et en âme ; saint Joseph tient la deuxième place (parmi les créatures) il est à côté de Marie et au-dessus des séraphins »
Puis le démon prononça cette salutation en l’honneur de saint Joseph :
« Je vous salue Joseph,
plein de grâces,
Jésus et Marie sont avec vous :
vous êtes béni entre tous les hommes
et Jésus, le fruit unique des entrailles de la Très Sainte Vierge Marie, est béni. »
63 73
Il y a 20 personnes possédés à Perpignan, cette ville est bien mauvaise, nous autres démons d’impureté, nous gouvernons en partie la ville et non seulement la ville mais le diocèse. Voilà la vérité.
La puissance de Dieu faisait parlait le démon malgré lui comme un apôtre de la Vérité.
( cf. « Je suis (…) la Vérité et la vie »)
64 76
Je dit au nom du souverain Maître que le spiritisme est tout diabolique (ajout perso car lui a dit magnétisme).
Qu’il est fait pour perdre le genre humain ; c’est une grande innovation des démons pour perdre les hommes je suis obligé de travailler à sa destruction.
41
« Le clergé ne s’occupe plus des gens qui sont affligés par les possessions et les obsessions ; trop de prêtres sont plus ignorants que des enfants sur cette situation surnaturelle : ils sont dans un aveuglement effroyable jusqu’à empêcher des personnes de croire au surnaturel diabolique, bien que les démons, par la bouche des possédés, leur aient donnés des preuves nombreuses et de diverses manières. »
le démon « allumette d’impureté, chérubin s’est fait connaître la première fois à Loudun.
42
La science ne sert trop souvent qu’à la perte de l’homme, autrefois on vivait pour Dieu, aujourd’hui on vit pour le monde
43
Maudit soit Satan dont l’orgueil nous a perdu ! Maudits soient les hommes ! J e maudis tout, oui, je me maudis moi-même ! Maudite soit l’éternité ! Oh ! L’éternité ! L’éternité ! L’exécrable éternité ! O éternité ! Eternité ! Eternité ! Notre plus cruel tourment !
O mortels qui m’écoutez, proféra le démon d’une voix plaintive, profitez de ces avertissements, humiliez-vous devant votre Dieu, pratiquez la plus sublime vertu : la sainte humilité ; oui mettez-la en pratique et vous gagnerez le Paradis.
44
On fait échouer beaucoup de conversions. J’avais révélé les péchés à une quantité de personnes, leurs confesseurs sont causes qu ‘elles ne croient pas à ma mission, en les empêchant de croire à cette possession.
45
Quand j’ai dit à des prêtres qu’il laissaient travailler le dimanche et profaner le Sang du Souverain Maître, ils n’ont pas voulu en tenir compte.
46
Nous autres démons, nous ne pouvons laisser les hommes en paix. Lorsque votre Dieu vous afflige, ô bonnes âmes, vous êtes contentes , vous êtes en paix.
47
Un orgueilleux est affligé d’une petite affaire qui attaque son orgueil : il ne peut dormir ; mais celui qui est humble accepte tout patiemment , s’humilie, en toutes choses devant Dieu.
48 (= N°54)
Habitants de la Terre ! Vous n’avez qu’une chose à craindre : le péché. La faim, la soif, la mort ne sont rien, le péché seul est redoutable ! Depuis que je suis dans le corps de ce vieillard , les conseils que je suis obligé de donner n’ont jamais été mauvais.
49 N°55
J’aime mieux tenir un prêtre que 6.000. laïques, en se perdant, il perd les autres.
50 N°57
Il faut que vous ayez une grande confiance envers votre Dieu, la Sainte Vierge et Saint Joseph, dont le culte deviendra universel.
Dieu ne refuse à Saint Joseph aucune de toutes les grâces qu’il demande, mais il les demande toutes par les mains de la Mère de Dieu, le canal de grâce et de bénédiction. Et il obtient autant de grâce que l’excellente Vierge Marie. Tenez-vous toujours bien sous la protection de Marie, de Joseph et des saints anges, et vous obtiendrez le paradis.
51 N°58
Il était questions de dire vêpres et complies, le démon s’écria : « que ces louanges sont nécessaires ! Qu’elles sont agréables à Dieu ! »
52 N°59
Cette possession est la plus extraordinaire qui n’ait jamais existé, le possédé a déjà souffert deux immolations : la première par son séjour à l’ hopital psychiatrique et la deuxième c’est une maladie que je lui ai donné, une maladie diabolique.
53 N°60
Tu feras bien de faire prier pour le possédé, tu as déjà été averti ; je te dirai beaucoup de choses parce que tu a fait prier pour le possédé et Dieu t’en récompensera beaucoup plus que tu ne crois : tu auras part à toutes les prières que tu feras faire et les personnes qui prieront, leur prières seront bien plus méritoires que si elles priaient pour elles mêmes.
Dieu récompense jusqu’à un verre d’eau donné en son nom ; il tient compte d’une pensée, d’un désir de faire le bien, quand même on ne pourrait pas l ‘exécuter. Tu ne doutais pas de cela.
Les 10% couvriront la comptabilité du notaire, justement.
Comment vendre sa maison natale ?
Je ne fais pas du prosélytisme.
Cela s’est passé comme ça et raconté de cette manière : cela se passe à Gethsemani, un terrain en pente, rempli d’oliviers qui ont 3000 ans. À côté, sur la même pente, un immense cimetière juif. En face de l’autre côté du vallon dans lequel il y a nombre de choses qui comptent Jérusalem. Le tout tourne le dos au mur des Lamentations et à l’esplanade des mosquées.
D’ailleurs, comment ont ils dressé la table avec cette pente ?
En haut, au-dessus de Gethsemani, un monastère, une esplanade, une vue minérale à couper le souffle et les taxis pour aller à Bethléem. Ou au tombeau des patriarches (la prochaine fois).
C’ est la naissance de l’Eucharistie : la nuit où il fut livré, il prit le pain, le rompit, le donna à ses disciples en disant « ceci est mon corps […] ».
À la fin du repas, idem avec le vin, ceci est mon sang.
Il se déshabille, ceint ses reins d’un linge, lave les pieds de ses disciples, Pierre s’insurge, le christ lui dit « je vous sers de modèle tu le feras à ton tour ».
C’est pourtant hyper difficile et dégueulasse les pieds, en vérité je vous le dis. Mais le christ c’est pas à ça près. Nuit de réflexion et de prière, sur le mont des oliviers.
Aujourd’hui, c’est la Passion.
Ceci est mon corps livré pour vous.
Au dessus en attente de modération.
Livré, dit-il.
Mon père ne croyait pas en la résurrection.
J’ai prié pour les possédées, deux.
Et pour un autre.
Aujourd’hui, c’ est la Saint Parfait. L’aînée de mon père ne manquait jamais de lui souhaiter. Il en était fier comme d’Artaban.
On voit, j’ai vu, où cette simagrée les a conduits, ces pauvres demeurés.
Les bocaux Le Parfait vous offrent la livraison de leurs produits aujourd’hui, je ne comprenais pas pourquoi.
Hop, et la lumière fut : c’est parce que c’est la Saint Parfait.
Légende urbaine ?
Rituels.
« Bergers », un peu longuet au début, mais déjà beau, le film gagne en intensité dramatique au fil des images souvent magnifiques…
Il marque le spectateur après sa sortie plus qu’il ne l’aurait pensé pendant la séance.
Etrange phénomène.
@ Merci à qui m’a souhaité un bon anniversaire ! (2.06)
Je vous en prie, Pierre.
@ Les 10% couvriront la comptabilité du notaire, justement (4.01).
Oui, c’est l’acheteur qui paie le notaire. Si c’est un.e erdélien.ne, anéfé, l’opération sera « à somme nulle ».
@ Comment vendre sa maison natale ? (4.01)
C’est très cruel, le sais-j bin, mais serait trop long à expliquer. Tout n’est d’ailleurs pas perdu, car une partie de cette maison a été scindée et claquemeurée, puis vendue à la soeur aînée dans une premier temps. Il y survivra donc quelque chose d’une mémoire familiale. Mais les choses étant devenues ce qu’elle sont avec masseur lainée, hein, etc. Souvenez-vous de Bohumil le pragois : https://www.babelio.com/livres/Hrabal-Vends-maison-ou-je-ne-veux-plus-vivre/56442
Vous y reconnaîtrez sans peine la crispation d’un petit fonctionnaire servile, vieux avant le reste de son âge, parti de Liré sans espoir de retour. Bàv,
Mettez votre Perfecto dans un bocal en verre et laissez le mariner durant des années, il en prendra une inestimable valeur. Joyeuses Pâques… Triste jour, pourtant, du Vendredi de la Passion si l’on y croit comme notre ami Michel On a Frais.
Bàv,
@ 4.31 – Il n’était pas un des trois saints de glace, Mais ne fut pas un abbé Pierre Grouès, non plus.
@ D / MSL / RPTV / etalii… / B / & -°-°_°_°-°-
Les Cénobites tranquilles. Triques au repos. Suisj un lecteur autodidacte.
(googl translucide 🙂 = > Cenobitas tranquilos. Descansando erecciones. Soy un lector autodidacta.
Paroles de Satan durant les exorcismes prononcés pour libérer Antoine Gay
La possession d’Antoine Gay
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Il a y beaucoup de choses à te dire, cela me fatigue, je voudrais être détruit avant de te le dire, cela me fait trop honte de te le dire : mes souffrances vont toujours en augmentant . Oh ! Je suis forcé de te louer Ô Souverain Maître ! Tes créatures sont forcées de te louer et reconnaissent ta puissance et ta bonté, mais aussi ta justice terrible , car il est terrible de tomber entre les mains d’un Dieu vengeur ! (Le démon prononça ces paroles d’un ton lamentable , capable de faire frémir.)
O mortels qui ne réfléchissez pas, avez-vous jamais pensé à la chute de vos premiers parents ? Je vous demande de quel moyen mon infâme roi (Lucifer) s’est servi pour les perdre ; il s’est servi de la sensualité ; si vous y réfléchissiez bien , vous seriez tous des hommes de pénitence, ce n’est pas une plaisanterie, c’est votre Dieu qui me force de vous le dire ; réfléchissez un moment et vous verrez comment les hommes se perdent et si ce n’est par toujours pour satisfaire leur misérable corps.
Nous, démons, nous avons voulu aussi nous satisfaire, et nous tâchons de faire pécher les hommes comme nous avons pécher nous-même.
Qu’a pu faire Dieu de plus qu’il ne cesse de faire encore chaque jour en faveur des hommes , en faveur même des plus ingrats ! Mais l’homme se préférant à Dieu, Dieu souvent l’abandonne à lui-même, et étant ainsi abandonné, les démons le conduisent et les démons sont ses maîtres, quoique Dieu soit toujours maître de toutes les créatures .
12
Celui qui veut être aimé de Dieu, doit s’humilier sans cesse, se considérant moins que le néant : le néant n’ayant pas offensé le Souverain Maître. L’âme pénitente gémit sans cesse, je n’entends pas dire répandre des larmes matériellement, mais des gémissements d’un cœur qui se repent devant Dieu, parce que le démon ne peut pas troubler cette âme, quoiqu’elle gémisse, son cœur est content, elle voudrait n’avoir jamais connu le péché ; considérant la grandeur du Tout-Puissant, elle s’écrie : « Misérable créature, comment ai-je osé vous offenser, moi qui suis moins qu’un vermisseau ; je vous ai outragé, grandeur infinie, que mon cœur soit brisé de douleur ! Que mes yeux fondent en larmes ! O Sagesse incompréhensible ! Comment avez-vous pu me souffrir dans ce moment où j’ai péché , où je vous ai outragé avec tant d’audace ? Je pleure par les yeux du possédé ! Faut-il donc que je serve d’instrument, pour instruire les hommes, moi qui enrage de les perdre ? O Souverain Maître détruis-moi, écrase-moi, ou fais moi sortir du corps de cet homme, ou renvoie moi dans l’abîme ; permets-moi de me manifester d’une manière forte, extraordinaire , pour étonner ces ingrats mortels, permets moi de parler toutes sortes de langues, de dire les noms, prénoms des personnes, de dévoiler ce qu’il y a de plus caché, de le faire voir à nu, à la confusion de ces scélérats et scélérates ! Permets-moi d’attaquer fortement plusieurs de ceux qui se disent des bergers tandis qu’ils ne sont que des loups. Permets-moi de faire voir comment ils perdent les fidèles en se perdant eux-mêmes, comme ils attaquent le pasteur et le troupeau, car le souverain maître est le grand pasteur.
13
Cela me tue lorsqu’il me faut travailler contre moi-même, je suis battu, tellement battu que par la figure du possédé, vous voyez l’abattement du démon (en effet, le corps du pauvre affligé ressentait cette profonde affliction au point qu’il en était courbaturé et brisé).
J’attaquerai fortement la sorcellerie et la magie.
14
Celui qui sait renoncer à lui-même pour s’humilier aux pieds de la majesté divine et se prosterner en esprit et de cœur aux pieds de la divine Marie, Dieu le remplira de son esprit, l’éclairera de ses divines lumières, lui fera observer fidèlement ses devoirs, se servira de lui pour éclairer les autres et le conduira dans une éternité de bonheur qu’aucun esprit humain ne peut comprendre, il louera incessamment son Dieu, et il dira : « O Dieu infiniment grand, infiniment saint, infiniment juste, infiniment bon, vous ne dédaignez pas la plus misérable de toutes vos créatures. Qu’ai-je fait pour mériter les grâces que vous m’accordez ? Indigne que je suis . Que n’ai-je des larmes de sang pour pleurer toutes mes ingratitudes et toutes les offenses que j’ai eu le malheur de commettre contre vous moi qui suis moins qu’un moucheron, j’ai osé, indigne que je suis , vous outrager. O grandeur suprême, donnez-moi la contrition parfaite de tous mes péchés, faites que je souffre tous les tourments imaginables plutôt que de retomber dans ces désordres déplorables qui me font gémir continuellement. O divine Marie, c’est à vous que je m’adresse avec une entière confiance, vous qui ne délaissez personne, qui avez tant à cœur le salut des hommes et à qui Dieu ne peut rien refuser de tout ce que vous demandez, prenez-moi sous votre grande et puissante protection. Si vous daignez exaucer mes humbles prières, tout l’enfer ne pourra me nuire. Vous êtes en quelques sortes , maîtresse de mon sort, je peux dire que mon sort est entre vos mains ; si vous m’abandonnez, je serai perdu sans ressource ; mais non vous êtes trop bonne pour délaisser ceux qui espèrent en vous ; priez, priez pour moi la Trinité-Sainte et je suis sur de mon salut. Ah ! Que je voudrais pouvoir vous faire connaître de tous les habitants de la Terre, que je voudrais pouvoir annoncer partout votre grandeur, votre bonté et votre puissance ! Ce que je ne puis pas faire, je désire que les intelligences célestes le fassent et que les démons mêmes soient forcés de publier que vous êtes le chef d’œuvre des mains divines, que vous avez la puissance de Dieu en main, que vous êtes terrible aux démons et que tout vous est soumis. Vous êtes la créature incomparable, vous seule êtes vierge et mère, vous avez donné au monde le Rédempteur, vous faîtes un rang à part avec Saint Joseph, vous êtes auprès des trois personnes adorables de la Trinité, vous êtes donc plus élevée que tous les anges et tous les saints, vous êtes vraiment divine. J’espère en vous, je crois fermement que toutes les puissances infernales ne pourront triompher de moi . Ainsi soit-il . Que tous les anges et tous les saints vous bénissent à jamais. »
Qu’ils aillent dans asiles chercher des fous qui dicteront une prière semblable. Voilà donc une preuve qu’ils sont plus fous que le possédé : les fous le respecte, eux le méprisent.
(Par ces paroles , le démon fait allusion à ceux qui firent mettre le possédé dans un asile psychiatrique à Lyon : l’Antiquaille.)
15
Je dis , Oh Dieu de toute majesté, que tu es grand, que tu es puissant, que tu es bon, mais que tu es terrible aux démons. Je suis forcé par toi, o souverain maître , d’instruire malgré moi les hommes, moi qui suis un de leurs infâmes séducteurs.
Que tu es bon envers les mortels qui ne reconnaissent ni ta puissance ni ta bonté, ni ta justice. Que peux-tu faire de plus que tu ne fais déjà pour les hommes ? Tu fais sans cesse de nouveaux prodiges que la plupart méconnaissent ; ils se raidissent contre tes ordres, contre ta bonté, contre ta puissance, et au lieu de bien réfléchir, de bien s’humilier devant toi et de faire pénitence, non contents de se perdre, ils entraînent avec eux quantité d’âmes dans le chemin de la perdition ;
Tu me forces, o souverain maître, moi ton ennemi, Isacaron , chérubin déchu , à prêcher la vérité. Mais quantité de personnes ne croient même pas qu’il y ait des démons : elles rient de ce qui devraient les faire trembler et frémir, elles sont tellement matérielles qu’elles ne veulent croire à aucune chose surnaturelle, se rangent du côté des démons, foulent aux pieds tes divines lois, tes paroles les plus sacrées du saint évangile et vivent au dessous de la brute.
16
Nous sommes forts contre les faibles qui sont à nous, et nous sommes faibles contre les forts qui sont à Dieu.
17
Si tu veux te sauver, mets bien tout cela à profit ; mais rappelle-toi que je ferai tous mes efforts pour t’en empêcher : je ferai tout ce que je pourrai pour te perdre.
18
Je ne peux m’empêcher de tourmenter les hommes dans mon orgueil infâme, que malgré moi il faut que je satisfasse. Nous sommes des chiens enragés et nous ne pouvons nous empêcher de pousser les hommes au mal, c’ est plus fort que nous.
19
Considère l’animal le plus gros qui existe dans la mer, la baleine, suppose des moucherons qui veulent s’attacher à son corps, voilà ce que nous sommes à l’égard de la puissance de ton Dieu.
20
Nous n’avons plus rien à faire : nous faisons tout ce que nous voulons, les hommes sont à nous, nous les conduisons comme un berger conduit des troupeaux , et ils courent même après les démons comme des fous, tant ils sont matériels.
21
Sur 52 personnes qui se convertiront du vice d’impureté, seul 3 se convertiront du péché d’orgueil.
[pour 52 personnes qui arriveront à arrêter de commettre des péchés sexuels, seuls 3 arriveront à arrêter de commettre des péchés d’ogueil]
22
Nous réussissons à perdre les âmes en faisant faire de mauvaises premières communions
23
Je voudrais être anéanti, je suis plein d’orgueil ! Je suis l’infernal Isacaron, le démon de l’impudicité.
Il exprima avec quels charme et quel air enjoué il séduit les âmes ; alors il produisit sur le visage du possédé un sourire de malice infernale.
Içi , dit-il , voici une jeune fille simple et candide, j’adresse à sa famille un jeune homme qui a l’air bon, affable, qui fait le dévot, : c’est un hypocrite, il la séduit et je triomphe.
24 [ pour le webmestre: ce N° existe sur disquette Mac]
26
Dans un autre circonstance, le démon clamait contre les séductions du monde ; il sanglotait de rage et de désespoir, parce qu’il était obligé de parler contre lui-même ; puis, essuyant les yeux du possédé, il s’écria : « Sainte Madeleine, je croyais bien la perdre ! Et c’est aujourd’hui une grande sainte » . Il explique comment il est nécessaire de sa détacher du monde et ajouta : « ce sont des dards que je lance contre moi-même . »
28 (suite)
Et il ajouta que le texte de cette possession serait propageait aussi
30
Un jour Isacaron proférait d’exécrables blasphèmes contre Dieu, la Sainte Vierge, saint Joseph, et les saints anges, il disait des choses infâmes que seul l’enfer peut vomir ; alors quelqu’un lui parla de l’éternité. Il s’écria :
« O éternité ! Oh l’effroyable chose ! »
il prononça ce mot éternité de manière à glacer d’effroi. Tout à coup , il se jeta dans une rage épouvantable en demandant l’anéantissement de son être avec une énergie étonnante et une grande véhémence de langage ; il disait entre autres paroles : « que Dieu, la sainte Vierge, saint Joseph, les saints anges, et tous les saints qui sont au ciel que Satan et ses légions, tout l’enfer déchaîné, tous les hommes, tous les êtres créés, tout ce qui a vie, se ligue contre moi, Isacaron , pour m’anéantir, que tout ce qui a vie me maudisse ! » Il rugissait comme un lion furieux, c’était affreux de l’entendre. Puis , il s’écria avec un geste imposant : « Mortels qui m’écoutez, profitez de cet enseignement : c’est votre Dieu qui me force de vous dire que cet avertissement est plus fort que celui d’hier et devrait vous éviter jusqu’à l’ombre du péché. »
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Ensuite le démon dit
« j’ai mérité mon sort, si je savais que quelqu’un voulut s’apitoyer sur moi, je voudrai pouvoir le dévoré ; je veux me plaindre, mais je ne veux pas qu’on me plaigne .»
Une autre fois il dit : « je n’ai pas le regret de m’être révolté contre Dieu, mais j’ai le regret d’avoir été chassé du Ciel. »
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Ce qui me désole c’est de penser que la fin des temps approche, et que nous ne pourrons plus faire le mal ni perdre les âmes : l’abîme sera refermé sur nous. Maintenant nous avons un certaine liberté, Satan est depuis un certain temps sur la terre, il sera bientôt enchaîné . Depuis qu’il est déchaîné la Terre a changé de face ; on blasphème le nom du Seigneur, le saint jour du dimanche est profané, le désordre est effroyable, l’impiété augment tous les jours, il y a de quoi frissonner. »
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« L’aveuglement des hommes est à son comble. Le mal est bien plus grand qu’on ne pense : l’on ne peux s’en faire une idée depuis que Satan est sur la Terre, et il y est depuis le 26 janvier 1846.
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Que l’Eglise se fortifie par la paix, qu’elle se défende par l’unité, qu’elle se lie par la charité.
A la fin des temps , il y aura toutes sortes de signes : la croix doit paraître dans les airs ; la croix sera plantée partout ; nous démons nous serons chassés pour un temps de dessus la Terre ; je n’en connais pas la durée mais alors les hommes seront heureux.
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Si vous méditiez la vie bien sur la vie de votre Sauveur et sur celle de sa Sainte Mère, je vous met au défi de faire contre Dieu, la plus légère faute. Voilà ce que le grand Maître m’ordonne de vous dire.
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Ton archevêque de Paris (Mgr Affre) est un saint, il pratiquait la vertu et faisait pénitence en secret, il est au ciel, c’est un modèle, c’est un grand saint, il est mort martyr de la charité : son âme n’a pas été au purgatoire : elle est montée droit au ciel.
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Le démon dit aussi quelques mots sur les grandes qualités de Saint Louis ; il parla de sa charité, et des vertus qu’il pratiquait sur la Terre en lavant les pieds aux pauvres et en leur faisant l’aumône jusque dans son palais, après les avoir servis à table de ses propres mains.
N°38 0/20
N°39 idem
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Isacaron ayant été forcé de travailler contre lui-même, s’écria : « il est bien cruel à un esclave de se fouetter lui-même ! » et il ajouta avec colère : « O Grand Maître , tu ne veux pas me détruire, si j’avais le pouvoir, je te détruirai ! »
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Le bon Dieu témoigne une grande bonté envers les hommes en envoyant d’infâmes démons sur la terre pour les avertir
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« Les apôtres vinrent dire à leur Sauveur : « Maître, nous avons trouvés un homme qui n’est pas des nôtres et qui chasse les démons en votre nom, faut-il l’en empêcher ? Non, dit Jésus, laisser-le faire : celui qui est pour moi ne peut être contre moi.
Jésus dit à ses apôtres et à ses disciples : « allez par toute la Terre, enseignez les nations, baptisez-les au nom du Père du Fils et du Saint Esprit. Ceux qui croiront seront sauvés, ceux qui ne croiront pas seront condamnés. Voiçi les miracles que feront ceux qui croiront : ils chasseront les démons en mon nom , … »
Luchino Visconti venait d’une famille aristocratique extrêmement riche — les Visconti di Modrone, une des grandes familles nobles de Milan. Il a grandi dans un palais, entouré d’art, de musique et de culture, et a eu accès à une éducation très privilégiée.
Mais malgré cette richesse familiale, il n’a pas produit lui-même ses films au départ. Visconti a commencé dans le cinéma en travaillant comme assistant de Jean Renoir en France dans les années 1930, ce qui l’a formé à l’art du cinéma. Son premier film, Ossessione (1943), considéré comme l’un des précurseurs du néoréalisme italien, a été produit avec des moyens modestes et en marge du système officiel fasciste — pas avec ses propres fonds.
Donc, même s’il aurait pu théoriquement financer ses propres films grâce à sa fortune familiale, ce n’est pas ce qu’il a fait. Il a travaillé avec des producteurs et dans le cadre de structures classiques de production, bien qu’il ait pu bénéficier d’un certain poids social et d’un réseau d’influence grâce à ses origines.
Tu veux que je te fasse une petite frise chronologique de sa carrière et de ses soutiens financiers ?
Non.
Parfait ! Voici une frise chronologique simplifiée de la carrière de Luchino Visconti, avec un focus sur les soutiens financiers et les conditions de production de ses principaux films :
—
1930s – Formation artistique
1936-39 : Travaille comme assistant de Jean Renoir en France.
Se rapproche du mouvement marxiste, malgré ses origines aristocratiques.
—
1943 – Ossessione
Premier film réalisé en Italie.
Adaptation non autorisée de The Postman Always Rings Twice.
Produit sans soutien officiel du régime fasciste.
Budget très modeste, financé de manière informelle (pas par Visconti lui-même).
Jugé subversif : interdit pendant un temps.
—
1948 – La Terra Trema
Produit par Universalia, une petite maison liée au Parti Communiste Italien.
Tourné avec des pêcheurs non-professionnels en Sicile.
Budget limité, mais ambition esthétique forte.
Aucun financement personnel direct.
—
1954 – Senso
Changement de cap : production plus ambitieuse, en couleur.
Produit par Lux Film, un grand studio italien.
Début des collaborations avec des producteurs puissants, notamment Goffredo Lombardo plus tard.
Visconti est désormais un réalisateur établi.
—
1960s – Période faste et internationale
Films comme Le Guépard (1963) ou Mort à Venise (1971) sont coproduits par de grandes maisons européennes, parfois en partenariat avec la France.
Le Guépard est produit par Titanus et financé en partie par la 20th Century Fox.
Il bénéficie de prestige international, ce qui attire les fonds.
—
Années 70 – Derniers films
Toujours financés par des producteurs professionnels, pas en autoproduction.
Les budgets sont souvent élevés (costumes, décors somptueux).
Ex : Ludwig (1973) est une coproduction italo-allemande très coûteuse.
—
Conclusion :
Visconti n’a jamais autoproduit ses films, bien qu’il ait eu l’influence sociale pour faciliter des financements. Il a toujours travaillé avec des producteurs traditionnels, mais avec une liberté artistique importante grâce à sa réputation.
le gros D a été contaminé par le petit keupu. Ca craint t’un max, les poules & les ferrailleurs. Obligé de subir leurs CC, sans les lire, dieu mercij. Mais faut faire défiler, le doigt sur la souricette, et ça, hélas, ça perd du time (square), et on cherche pas les E. parmi les salades du jardin d’Anton Voyl.
Eh bien il vaudrait mieux les lire.
Les sociétés de production financent les films, les réalisateurs les produisent. Je ne sais pas comment ça se passe en France, et je m’en fous ; mais les artistes savent généralement que leur première responsabilité est de trouver l’argent pour créer l’œuvre. Leur réseau de contacts importe peu, car l’investisseur doit être convaincu de la valeur de son placement. Finalement, la question de savoir qui paye quoi n’est rien de plus qu’un sujet fascinant pour les boutiquiers.
Il suffit d’un film pour ruiner son producteur, dear Renato. Voir H Balsan. Visconti n’a pris que le risque aristocratique d’embrasser les communistes qu’il supposait plus homophiles malgré leurs mauvaises manières. Senso montre qu’il s’est trompé, l’aristocrate déçoit sans déchoir et le bon peuple abusé n’est pas prêt de ressembler à Farley Granger.
Non, il vaut mieux pas s’enfumer avec les taches.
Visconti, je trouve son cinéma relativement ennuyeux et trop long. C’est un cinéma dont on aurait pu parfaitement se passer.
D. dit: 18 avril 2025 à 2h56
Un peu moins que des commentaires de Dedé l’Endive.
Dedé l’Endive de Chaville a eu cette nuit une attaque de « puckisme » théologique. À force de maintenir ici plusieurs identités depuis des années, il est en train de décoller de la réalité.
Visconti savait que les communistes étaient — et sont —homophobes, Phil. Par ailleurs il était bisexuel. Sa proximité avec le parti était plutôt une conséquence de son engagement dans la Résistance. Il y avait aussi son amitié avec Togliatti qui l’a toujours défendu dans ses choix.
Rendre hommage à l’autodidaxie et ses figures historiques, bien connues de MC/PR, par leurs Mémoires « d’en-bas »; voilà ce qu’il faut faire pour combler un sacré manque : au 18e, au berger Valentin Jamery-Duval, au vannier Gottlieb Hiller, au paysan Ullrich Bräker, puis au boutiquier Benjamin Franklin, et au 19e, par ex., à l’ouvrier menuisier Louis-Gabriel Gauny, au maçon Martin Nadaud, ou au « compagnon » menuisier Agricol Perdiguier. Voilà qui es réparé…
En dehors des erdéliens, cette chaine n’évoque jamais ces lecteurs miraculés des bases couches qui furent les premiers à écrire leurs mémoires…, dont on retrouve des traces psychologiques chez pas mal d’internautes du 21e siècle.
Bàv, et Joy Pak…,
A écouter : L’émisssion TV « Complément d’enquête » sur Vincent Bolloré.
un très bel entretien avec un jeune journaliste américain qui montre l’effondrement du narratif occidental sur l’Ukraine.
on notera que la plupart des références citées renvoient à des articles du Washington Post et du NY Times, ce qui montre le décalage avec les médias européens qui continuent de pédaler complet dans la semoule :
« A écouter : L’émisssion TV « Complément d’enquête » sur Vincent Bolloré. »
effectivement nous sommes en train d’assister à une guerre entre les oligarques français à travers médias interposés, les médias d’état macronistes se rangeant du côté des oligarques ayant porté Macron au pouvoir.
« C’est à cause de nos fautes qu’il a été broyé »— Is 52, 13 – 53, 12
Du livre du prophète Isaïe
Mon serviteur réussira, dit le Seigneur ;
il montera, il s’élèvera, il sera exalté !
La multitude avait été consternée en le voyant,
car il était si défiguré
qu’il ne ressemblait plus à un homme ;
il n’avait plus l’apparence d’un fils d’homme.
Il étonnera de même une multitude de nations ;
devant lui les rois resteront bouche bée,
car ils verront ce que, jamais, on ne leur avait dit,
ils découvriront ce dont ils n’avaient jamais entendu parler.
Qui aurait cru ce que nous avons entendu ?
Le bras puissant du Seigneur, à qui s’est-il révélé ?
Devant lui, le serviteur a poussé comme une plante chétive,
une racine dans une terre aride ;
il était sans apparence ni beauté qui attire nos regards,
son aspect n’avait rien pour nous plaire.
Méprisé, abandonné des hommes,
homme de douleurs, familier de la souffrance,
il était pareil à celui devant qui on se voile la face ;
et nous l’avons méprisé, compté pour rien.
En fait, c’étaient nos souffrances qu’il portait,
nos douleurs dont il était chargé.
Et nous, nous pensions qu’il était frappé,
meurtri par Dieu, humilié.
Or, c’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercé,
à cause de nos fautes qu’il a été broyé.
Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui :
par ses blessures, nous sommes guéris.
Nous étions tous errants comme des brebis,
chacun suivait son propre chemin.
Mais le Seigneur a fait retomber sur lui
nos fautes à nous tous.
Maltraité, il s’humilie,
il n’ouvre pas la bouche :
comme un agneau conduit à l’abattoir,
comme une brebis muette devant les tondeurs,
il n’ouvre pas la bouche.
Arrêté, puis jugé, il a été supprimé.
Qui donc s’est inquiété de son sort ?
Il a été retranché de la terre des vivants,
frappé à mort pour les révoltes de son peuple.
On a placé sa tombe avec les méchants,
son tombeau avec les riches ;
et pourtant il n’avait pas commis de violence,
on ne trouvait pas de tromperie dans sa bouche.
Broyé par la souffrance, il a plu au Seigneur.
S’il remet sa vie en sacrifice de réparation,
il verra une descendance, il prolongera ses jours :
par lui, ce qui plaît au Seigneur réussira.
Par suite de ses tourments, il verra la lumière,
la connaissance le comblera.
Le juste, mon serviteur, justifiera les multitudes,
il se chargera de leurs fautes.
C’est pourquoi, parmi les grands, je lui donnerai sa part,
avec les puissants il partagera le butin,
car il s’est dépouillé lui-même
jusqu’à la mort,
et il a été compté avec les pécheurs,
alors qu’il portait le péché des multitudes
et qu’il intercédait pour les pécheurs.
– Parole du Seigneur.
un des faits politiques les plus importants de ces 30 dernières années en France est la main mise des oligarques sur les médias.
certains se demandent si
1/ les journalistes se soumettent aux règles imposées par les oligarques auxquels ils sont soumis
ou alors si,
2/ par le biais du recrutement, chaque tendance oligarchique sélectionne les journalistes qui correspondent à leurs propres intérêts ?
perso je miserais sur le 1 sans toutefois écarter le 2.
Bolloré a la spécificité de faire exception dans le paysage oligarchique français dans la mesure où il serait le seul qui défendrait une idéologie alors que les autres ne feraient que défendre leurs intérêts économiques.
c’est là un raisonnement faux car il part de l’idée qu’un oligarque qui défend ses intérêts par le biais des médias qu’il dirige ne serait pas un concept porté par une idéologie, ce qui est faux.
à partir de là on arrive à la conclusion que Bolloré n’est pas le seul à défendre un idéologie au travers des médias qu’il dirige, mais c’est bien le cas de tous nos oligarques.
d’ailleurs le fait de voir que Bolloré est la cible de tous les autres oligarques au travers des médias qu’ils dirigent est une stratégie qui essaie de faire croire que ces autres oligarques seraient plus « convenables » ou « acceptables » que Bolloré dans la mesure où ils ne défendent pas une idéologie, ce qui est un leurre évident et une façon d’enfumer le peuple.
le fait même d’avoir un président mis au pouvoir par des oligarques démontrent que ces oligarques ne valent pas mieux que Bolloré.
après ils peuvent faire en sorte d’utiliser les médias qu’ils dirigent pour diaboliser Bolloré en se disant que cette façon de faire permettrait d’échapper eux-mêmes à toute diabolisation.
c’est une excellente stratégie comme on l’a vu avec les néoconservateurs en Ukraine : les américains construisent des bases de la cia à la frontière russe et utilisent les ukrainiens pour commettre des attentas ciblés en Russie etc… tout en réussissant à faire passer l’idée que le diable c’est Poutine.
les mecs commettent des actes en soi diaboliques tout en désignant l’autre comme étant le diable.
pour nos oligarques c’est pareil : les oligarques qui diabolisent Bolloré sont aussi diaboliques que lui.
après les gens étant ce qu’ils sont et il est tellement facile de les enfumer qu’on ne peut pas leur en vouloir.
cette façon de gober quand un camp désigne l’autre camp comme diabolique tout en étant lui-même tout aussi diabolique démontre le niveau très infantile des peuples à qui on peut faire bouffer n’importe quoi.
extrait de mon ouvrage « comment je suis devenu conspirationniste chap 4 p68 » : « limite les histoires qu’on lit aux gamins de 6 ans pour les endormir sont plus subtiles que les c.nneries qu’on essaie de faire gober aux peuples dans nos sociétés occidentales, en ce sens nos sociétés ont tout intérêt à la persistance l’immaturité. »
Après les guignoleries burlesques de Puck, les espagnoleries grotesques de Pablo, voici maintenant les bondieuseries dantesques de Dédé !!!
Ce blog, décidément… Quelle foire aux nigauds !
pour comprendre la prise de pouvoir en France par l’oligarchie il faut remonter à la première élection de Macron.
pour résumer l’ambiance de l’époque il s’agissait alors de passer dans une ère « post politique » et de faire de la France une « start up » et de gérer la France comme une start up.
ça c’est le matraquage médiatique par le biais de médias dirigés par des oligarques.
donc l’idée de passer dans ère post politique et de gérer la France comme une start up était l’objectif non pas de nos politiques, mais bien de nos oligarques.
à partir de là la stratégie à consister à dire : les politiques sont tous des pourris et la France doit entrer dans la modernité et ressembler à la Californie.
pour atteindre cet objectif qui visait surtout à défendre leurs propres intérêts économiques ces oligarques ont choisi pour en faire botre président le type le plus débile qu’ils avaient sous la main : Macron, d’une part parce qu’il était stupide et qu’il serait facile pour eux de le contrôler, mais aussi parce qu’il était un homem de théâtre comme le président ukrainien et qu’il pourrait tout comme le président ukrainien jouer n’importe quel rôle que ces oligarques décideraient de lui faire jouer, c’est ce qu’on appelle vulgairement une « marionnette » et c’est vrai que si on se met à la place de nos oligarques Macron coche toutes les cases.
@ »Après les guignoleries burlesques de Puck »
alors toi si tu me supplies de t’envoyer un exemplaire dédicacé de mon ouvrage « comment je suis devenu complotiste » publié chez Gallimard, à priori, même si tu me supplies à genoux makache walou !
@puck,l’immaturité est, je crois devenue un concept quasi philosophique à cause GOMBRO, ce littéraire!
« L’homme a deux idéaux, la divinité et la jeunesse.
Il veut être parfait, immortel, tout-puissant, il veut être Dieu. Et il veut être florissant, frais et rose et toujours rester dans la phase ascendante de la vie — il veut être jeune !
GOMBROWICZ, Journal
« Je supposerais donc qu’il y a, non point un vrai Dieu, qui est la souveraine source de vérité, mais un certain mauvais génie, non moins rusé et trompeur que puissant, qui a employé toute son industrie à me tromper. »
René DESCARTES, Méditations métaphysiques
in
Article de revue
Eloge de l’immaturité
allons, ce jour saint, je vous donne le lien pour que vous puissiez vous mettre à travailler
https://shs.cairn.info/revue-topique-2006-1-page-57?lang=fr
Et alii, ne comptez pas sur moi pour un quelconque « travail » sur un texte contenant des citations de Desproges ou de Freud, ce un vendredi saint.
C’est moi qui vous invite à travailler sur ce refus bien net.
Non mais des fois…
… y’en a des qui sont gonflées que même le bibendum Michelin en est jaloux…
si mon souvenir est bon;vous avez sur ce blog un collègue- comme on dit dans le midi, dès la classe maternelle!- qui ne se plaindra pas de votre réserve;bonne journée, cher monsieur,et mon indifférence distinguée à votre personne
parce que je suis à l’occasion « une honnête personne », monsieur D,je ne peux accepter votre invitation ce jour que je passe avec les miens
Puck,
Ton bouquin à la con, tu peux te le carrer dans le fion, ok ?
Pour un jour comme aujourd’hui Bach a composé la Passion selon St. Jean.
Personne ne dirige son extraordinaire Premier Chœur comme le japonais (et chrétien) Masaaki Suzuki
J.S. Bach: St John Passion, BWV 245 – Bach Collegium Japan, Masaaki Suzuki (HD 1080p)
https://www.youtube.com/watch?v=SiKgrevzT-g
(Peut-il un non-chrétien interpréter de façon si profonde une telle oeuvre? J’en doute).
Peut-il un non-chrétien interpréter de façon si profonde une telle oeuvre? J’en doute).
vette question me laisse abasourdie;j’arrive bien à penser une sétie de remarques, relevant de cette veine malheureuse de pensées, mais pouvez vous l’expliciter pour votre propre sensibilité, entendement,
merci
Giovanni Testori – Luchino – traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro. Édité pour la collection Cahiers de l’Hôtel de Galliffet – Imprimé
en Italie.
Dans la même collection on trouve des ouvrages de Dante, d’Itali Calvino, d’Alfieri, de Tabucchi, de Bassani, de Gabriele d’Annunzio, un hommage à Zanzotto, un colloque sur Machiavel, des poèmes de Anna Maria Orthese, …
Belle collection qui se présente sous forme de cahiers broches, imprimés avec soin sur un papier crème, lisse et agréable.
J’ai donc tenu ce livre longuement, le feuilletant pour le plaisir. Un bel objet.
Puis j’ai lu l’introduction de Giovanni Agosti avant de rencontrer ce très étrange texte, assez bref, 85 pages.
Impression de me trouver face à des notes, écrites par strates dans un ton poétique ou crû. L’auteur s’adresse à un lecteur imaginaire qui accepterait sa vérité. C’est un portrait très personnel, passionné, énigmatique. Il tourne autour de la mort, du silence, de la solitude, du doute, de la fatigue. Un portrait provoquant traversé par l’ombre de la tentation du fanatisme des passions, c’est-à-dire de ne pas lâcher prise.
Il écrit qu’il lui est impossible de s’expliquer clairement, donc il procède par allusions, cherchant ce qui rend les films de « Luchino » si vibrants de ce grand romancier de l’écran.
Il ne comprend pas pour quelle raison l’origine sociale et familiale d’un homme serait sa seule définition. Lui s’attache à sa passion intellectuelle, à cette intelligence passionnelle, à son empreinte. A ce déchirement historique face à quelque chose qui est en train de s’achever. Il n’omet pas l’obscène, l’obscur de ses vadrouilles nocturnes dans Rome pour revenir à la rigueur de son métier, à ce flair pour percevoir les possibilités de ses acteurs. Ses colères, des futurs. La marque qu’il laisse sur eux, presque hypnotique. De sa patience, aussi. De son invention du silence comme état de condensation du drame, de la menace. « Mort à Venise », un film muet…
Il évoque sa passion des chevaux et ne peut s’empêcher de citer Géricault qui a fait du cheval la fêlure freudienne de son monde. Admiration lumineuse et tragique pour la beauté masculine…
C’est un très beau portrait, un récit qui éclaire la personnalité de Luchino Visconti. Testori le connaît bien. Le cadre de cette vie est magnifiquement peint comme les sons, les tintements,le lac, les fulgurantes destructions du crépuscule, la maison, les grands chiens qui dorment …
des futurs = ses fureurs
cru (sans accent)
Passion selon Saint_Jean? Je préfère René Jacobs ou J. E. Gardiner.
Le Guépard restauré est en circulation depuis 2013.
Si l’occasion se présente, voir le documentaire Les Deux Guépards.
Yourcenar a détesté « Mort à Venise », disant que le livre avait été détourné.
Peu de gens comprennent que Visconti se fichait complètement de ce que les autres pensaient de lui. De plus, venant d’une culture où la « fierté du cul » était largement ignorée (déprécié et ridiculisé, même), il s’appuyait beaucoup plus sur ses lectures que sur ses aventurer sentimentales.
Cela dit, le, étant donnée leur nature, film dénaturent toujours le livres.
Dans Le Guépard le roman est plutôt respecté, on peut toutefois remarquer quelques différences significatives par rapport au roman. Certes, l’architecture est construite de blocs narratifs semblables à celle du roman, mais certaines parties sont exclues du film même si elles sont présentes dans le roman, tandis que d’autres, exclues du roman, sont introduites ex novo dans le film. Pas envie de taper, mais une comparaison la lecture vs visionnage du film peut être instructive.
Idem pour Mort à Venise, avec la différence que ce film est plutôt lourdaud, se comprend donc que Yourcenar ait détesté.
étant donnée leur nature, film > étant donnée leur nature, LES filmS
@ »(Peut-il un non-chrétien interpréter de façon si profonde une telle oeuvre? J’en doute). »
pedro t’es tellement lourd que t’en deviens attachant.
sérieux quand on lit ça limite on a envie de te prendre dans ses bras et te faire un gros câlin tellement c’est touchant.
ça rappelle quand Baudelaire (je crois ?) qui lui avait écrit à Wagner pour lui dire qu’il avait écouté une de ses oeuvres et qu’il avait kiffé à donf (pas sûr des mots exacts : je retranscris de mémoire) et Wagner lui avait répondu que c’était pas normal vu que seul un allemand pouvait comprendre et aimer sa musique.
et toi tu nous refais pareil avec les chrétiens.
tu sais quoi pedro ? c’est même pour ça que tes ancêtres ont forcé les juifs et les indiens à convertir au christianisme : pour leur permettre d’apprécier les subtilités la passion selon saint jean de Bach.
sauf que le livret est écrit à partir de la traduction de la Bible de Luther je suis même pas sûr que les catholiques sont capables de bien comprendre ce qu’ils écoutent : c’est ballot non ?
en fait il n’y a que les protestants qui peuvent apprécier la musique de Bach… je veux dire que les luthériens.
Aij toujours préféré la Passion selon Matthieu, dirigée par Herreweghe. Le final, notamment. Et plus récemment, la version initiale revisitée par Raf Pichon. – Deux manières de considérer le bateau ivre, épinglé par P. Edel : ou bien, une « orgie d’enfant prodige » faite d’un bric à brac d’mages issues des lectures enfantines de son auteur, ou bien une « parabole métaphysique » exprimant l’ivresse exaltée et déçue d’une liberté, d’un destin inabouti. – Marcelline avait souvent du jugement à l’emporte-pièce, mais pas toujours l’inspiration du bon goût. Elle était cinglante et sans douceur en dépit des apparences. Mais sûre de son talent dominateur. Avec Raison, Grâce et sans Dénuement.
pedro sérieux : un catholique peut-il comprendre la théologie luthérienne ?
je veux dire toi : connais la doctrine religieuse luthérienne ?
parce que si tu la connais pas je suis pas sûr que capte tout de ce oeuvre de Bach.
en fait je crois que la Passion selon Saint Jean de JS Bach n’a pas été écrite pour toi, mais que pour ceux qui connaissent la théologie luthérienne !
voilà comme ça, tu vois, avec ta logique de lourdingue toi aussi tu te mets hors jeu tout seul.
pedro je t’aime.
@ »Aij toujours préféré la Passion selon Matthieu »
normal selon un sondage ipsos 63,8% des petits fonctionnaires serviles à la retraite préfèrent la Matthieu à la Jean.
c’est ce qu’on appelle le déterminisme social…
« Peu de gens comprennent que Visconti se fichait complètement de ce que les autres pensaient de lui. »
et vlan ! dans les rotules à passou…
L’athéisme d’un athée doit-il être respecté ? Bien évidemment non.
Seule sa personne doit être respectée.
On entend trop souvent dire « il est libre de… ». Oui. Il est libre de pécher mortellement. Seulement le devoir de tout chrétien est de le lui dire.
« Passion selon Saint_Jean? Je préfère René Jacobs ou J. E. Gardiner. »
non pas Gardiner ! achtung Gardiner faire musique de Bach trop contemporaine, lui être english décadent confondre musique baroque et Beatles…
non le meilleur de très loin c’est Harnoncourt ou à la limite Herreweghe, tous deux trouvent le parfait compromis entre l’aujourd’hui et le hier…
sinon pour les fruits de la Passion il faut les acheter bio au marché tous les mardis matin sur la place de l’église.
@ »L’athéisme d’un athée doit-il être respecté ? Bien évidemment non.
Seule sa personne doit être respectée. »
avant de respecter un athée il faut d’abord le plaindre, le considérer avec une grande empathie comme un être perdu dans ce monde, sans but, ne sachant d’où il ni où il va, un errant cherchant sa route dans la profonde obscurité de son âme déchue…
TEMPS/
ELLE EST BIZARRE L’HEURE DE LA RDL
il va être 17H
on va voir ce qu’elle dit depuis l’adagio!
3Hde retard! la RDL? C’EST SUR QUEL MERIDIEN?
c »est pas luthérien, tout ça
non,2Hde retard!
D. encore qu’il ne faut pas faire la confusion entre les mots : un athée est celui ne croit pas en Dieu, de façon général, certains ne croient pas en lui parce qu’ils ne croient pas en son existence, mais d’autres ne croient pas en lui sans nier son existence, ces derniers sont les moins nombreux que ceux qui ne croient pas en Macron je te l’accorde, mais ils existent quand même.
exemple au hasard : moi ! moi vois-tu D. je me considère comme athée, parce que je crois pas en Dieu, mais je considère que Dieu existe, et ça crois moi D. c’est une situation extrêmement douloureuse : croire en l’existence de Dieu, mais ne pas croire en lui, très douloureux…
Passion selon Saint_Jean? Je préfère René Jacobs ou J. E. Gardiner.
Paul Edel dit: 18 avril 2025 à 13h42
Chez Gardiner, aucun sens du tragique. Du grand spectacle. Et les coeurs hurlent (on se demande pourquoi)… Comme tant d’autres, il a oublié que l’oeuvre qu’il dirige est une Passion, chose qu’on entend dès les premières notes de la version de Suzuki.
Bach: St. John Passion (Gardiner)
https://www.youtube.com/watch?v=1UYce_ECEuk
Entre les chefs très connus, Gardiner en Bach est pour moi l’un des pires. Dans ses Cantates il a oublié tout simplement qu’avant tout elles sont belles. Et ses Concertos Brandebourgeois sont vraiment quelconques. O le si impressionnant « Sanctus » de la Messi en si dirigé par lui.
Passion selon Saint_Jean? Je préfère René Jacobs ou J. E. Gardiner.
Paul Edel dit: 18 avril 2025 à 13h42
René Jacobs est pour moi bien meilleur en Bach que Gardiner. Mais sa Passion selon Saint Jean est « molle », on dirait un opéra parfois. Pas de tragique non plus. On est loin aussi de la mort que fait entendre si bien Suzuki.
Bach: St. John passion – 1. Herr, unser Herrscher – Jacobs
https://www.youtube.com/watch?v=quBYEomIAZM&list=PL2k8ekJXk4nUVeflR4DaZvlbn3M7g5FZM
Je ne plaisante pas avec ça, Puck.
sauf que le livret est écrit à partir de la traduction de la Bible de Luther je suis même pas sûr que les catholiques sont capables de bien comprendre ce qu’ils écoutent : c’est ballot non ?
PPPPPP (Puck la Pute Pathétique Payée Par Poutine)
Sauf que j’ai parlé de « chrétiens », pas de catholiques, Grosse Andouille de Chaville.
Et que la réponse de Wagner à Baudelaire tu te l’inventes, comme toutes les conneries que tu balances ici avec des fausses références. Wagner n’a jamais répondu à la lettre de son admirateur pour la simple raison que Baudelaire finissait sa lettre ainsi:
« Je n’ajoute pas mon adresse ; parce que vous croiriez peut-être que j’ai quelque chose à vous demander. »
Vraiment, tu es un Menteur Pathologique, comme ta vie de communiste passé chez les fascistes le prouve si bien.
par contre Herreweghe est le meilleur pour tout le reste de Bach : Cantates, Saint Matthieu etc… peut-être justement parce qu’il se place au dessus du religieux, un truc plus universel, plus humain, une forme d’éthique, éthique de l’absolue, là où Harnoncourt essaie de restituer une espèce de pureté d’un sentiment religieux dépouillé, Herreweghe nous donne à voir à travers Bach non pas ce qui est, mais ce qui pourrait être, ce qui aurait pu être, Herreweghe transmet à travers la musique un horizon, il rend comme atteignable cet horizon, Herreweghe est dans une éthique, c’est un peu le Spinoza de la musique de Bach, sauf que si pour Spinoza cette éthique est un cheminement, chez Herreweghe il donne d’avoir atteint le but, il y a des moments chez lui, pas tout le temps, mais juste des moments où l’on se dit c’est là, tout ce que l’humanité dans son essence même portait comme destinée est là, à ce point où il nous amène, et ça c’est le seul, peut-être parce qu’il est moins religieux que Harnoncourt, du coup peut-être a-t-il moins cette limite du religieux pour nous amener plus loin.
par contre Herreweghe est le meilleur pour tout le reste de Bach : Cantates, Saint Matthieu etc…
puck dit: 18 avril 2025 à 15h28
N’importe quoi…
Herreweghe est surtout l’interprète le plus ennuyeux de Bach.
Herreweghe même dans ses interprétations de compositeurs du XIX siècle (Bruckner, Mendelssohn, Brahms, Berlioz, etc) il est assommant.
Il a, d’ailleurs, la tête d’un type très ennuyeux.
J’écoute depuis un moment le concerto brandebourgeois nº 5 de Bach par Gardiner… qu’est-ce que c’est mauvais !!
Karl Richter est mille fois meilleur:
J.S.Bach: Brandenburg Concerto No.5 in D major, BWV 1050 // Karl Richter
https://www.youtube.com/watch?v=AWVGkNRIR-s
peut-être essayer l’interprétation de Diego Fasolis de ces mêmes concertos, j’ai aimé l’abondance de couleurs, de détails et l’ivresse instrumentale qui s’empare avec fougue de ce Bachet sont bien sont contagieux : c’est une version de solistes conscients de leurs qualités, qui savent séduire, chanter, danser, rebondir et inventer la musique à mesure qu’elle se déroule – comme s’ils l’improvisaient.
https://www.youtube.com/watch?v=wlJGfBBv-UE&list=PLT0S6yTwZ4fDN_LIbmeBtNdogkmN-DnhT
« Seulement le devoir de tout chrétien est de le lui dire. »
C’est l’opinion de tous les peuples archaïques, convaincus qu’ils sont que leur superstition est la vérité ; comme tous les branleurs, par ailleurs !
« Il fit œuvre de missionnaire. Mais, de ses débuts, il eut peu de succès en essayant de convaincre ses pupilles de leur responsabilité dans un crime commis au commencement de la création, un crime que, tel qu’ils le comprenaient, ils étaient tous disposés à reprendre à leur compte (ils portaient même des amulettes pour les y aider). Il ne les convainquit pas d’avantage qu’un homme était mort sur un arbre pour les sauver tous : action qu’un vieil Indien, si la traduction de Gwyon était correcte, considérait comme une « criante présomption ». Il compta peu de conversions, et elles furent en général parmi les femmes, créatures faibles et malades, en transit entre ce monde et l’autre, qui acceptaient le paradis qu’il leur était offert comme des enfants s’inscrivent pour une sortie dans un parc d’attractions. Encore un vieil guerrier endurci n’accepta-t-il de se convertir que s’il était sûr de finir dans l’Enfer vivant décrit par Gwyon : cela paraissait mieux la place d’un homme ; et, en entendant les références sanglantes de ce candidat plein de zèle (qui offrait d’ajouter le scalp de son mentor à sa collection en manière de garantie), le missionnaire l’assura qu’il serait exaucé. »
William Gaddis, Les Reconnaissances
Messe royale de du Mont. C’est la messe de la paroisse Saint-Louis de Versailles, pour moi un des centres du monde.
De Du Mont, Chaloux.
Mais toujours la Missa Dolores de Pierre de la Rue. Cet enregistrement m’enchante depuis plus de quarante ans.
Un pays dont on ne revient jamais.
je n’ai jamais été à Saint Louis de Versailles, mais je reconnais les Kyrie, dans ma mémoire pour aujourd’hui ce serait plutôt les impropères du vendredi saint de Palestrina.
Très beau en effet le de la Rue, merci.
Exact.
Et les Lamentations de Jérémie de Thomas Tallis.
https://www.youtube.com/watch?v=zrPkHlDjWLU
La Messe en si par Herreweghe, ce n’est quand même pas mal.
Moi qui vous parle, j’ai chanté deux fois Saint-Matthieu à Pleyel en 85 dans les chœurs de l’AROCEA dirigés par Claude Pétillot. Les répétitions avaient lieu dans la chapelle d’Henry IV. Grand souvenir.
Changement d’atmosphère… Volodos.
https://www.youtube.com/watch?v=S1XvnskfluU&list=RDS1XvnskfluU&start_radio=1
Ah Volodos, c’est un excellent interprète, il est passé à Flagey en février et au Sigel en début de mois.
Ce devait être impressionnant votre chorale, plus modestement j’ai chanté du grégorien et tout particulièrement la semaine sainte dans un petit village à la frontière dans un coin perdu où l’on parle allemand, Steffeshausen. Le curé était un organiste réputé d’une famille de musiciens liégeois. Il est décédé au volant de sa cx noire du côté de Vianden, dans les sapins.
Chantal, bonsoir,
votre commentaitr des que je lai lu (c’est une version de solistes conscients de leurs qualités, qui savent séduire, chanter, danser, rebondir et inventer la musique à mesure qu’elle se déroule – comme s’ils l’improvisaient.a fait écho, pour moi, (qui ai reçu ,dans ma jeunesse, une petite formation musicale de-la pianiste alors un peu connue des musiciens euxmêmes et des mélomanes-GiSèle KUHN
é »Gisèle Simone Kuhn, née le 9 juin 1910 à Soisy-sous-Montmorency et morte le 14 août 1996 à Ézanville, est une pianiste concertiste française.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gis%C3%A8le_Kuhn,était une parente de mon père-
a faiy écho à une brève « histoire de l’interprétation » sortie sur google pour la RDL
https://www.universalis.fr/encyclopedie/interpretation-musicale/2-histoire-de-l-interpretation/
c’est juste un « cadre « académique »pour situer maintenant les présentations des contributeurs
La cx a rarement été produite en noire, dear chantal, sauf pour un corbillard. Viandé dans les sapins, le surréalisme belge.
ce qui n’est pas dans la page de wiki sur sa bio(je ne oarlerai pas de la guerre où unr interprétation sauva un village français des allemands qui y furent reçus non avec des fusils et des canons, mais avec un
piano et une belle jeune femme qui se mit à jouer)elle eut une fille d’un mari (qui n’aimait pas la musique mais la renommée pour lui)qui n’alla oas à ses concerts, non plus que la fille devenue actrice épouse d’un cinéaste grec et mourut,quasi folle d »une maladie dégénérative
Chantal, je vois que nous ne sommes plus fâchés, j’aime autant ça. Oui très impressionnant, j’aurais dû continuer.
Comment peut-on écouter religieusement de la musique sacrée sur des supports technologiques profanes ?
Si, selon Georges Bernanos, tout le monde moderne est une conspiration contre la vie intérieure, de même, les « joujous » numériques d’aujourd’hui sont des obstacles dirimants à la pieuse écoute d’une musique inspirée par les sphères célestes aux génies compositeurs d’autrefois.
La civilisation, c’est le bruit, c’est le vacarme, c’est le chaos sonore… À tout jamais, loin du Sacré.
…les joujoux…
Le problème de la CX c’est que sa base avait tendance à se déformer. Ses angles droits ne le restaient pas toujours.
peut-être essayer l’interprétation de Diego Fasolis de ces mêmes concertos, j’ai aimé l’abondance de couleurs, de détails et l’ivresse instrumentale
Chantal dit: 18 avril 2025 à 16h08
Excellent Fasolis en Bach. Pour moi, l’un des meilleurs chefs baroques.
Comment peut-on écouter religieusement de la musique sacrée sur des supports technologiques profanes ?
Maurice revient… dit: 18 avril 2025 à 18h51
Très belle connerie, dans le style de celles de Dedé l’Endive de Chaville.
Belle voiture la cx, dear Chaloux, mais qui effectivement commençait à rouiller sur le catalogue, comme disaient les Allemands qui l’auraient volontiers achetée.
Moi qui vous parle, j’ai chanté deux fois Saint-Matthieu à Pleyel en 85 dans les chœurs de l’AROCEA dirigés par Claude Pétillot. Les répétitions avaient lieu dans la chapelle d’Henry IV. Grand souvenir.
Chaloux dit: 18 avril 2025 à 17h47
Avec quel orchestre et quel chef?
je ne suis plus fâchée, eh oui la CX avec son fameux coussin d’air, nous en avions aussi une d’un étrange bleu métallisé et elle a perdu une roue sur l’autoroute à hauteur de Narbonne, c’était quand même très bizarre, il faut avoir la foi pour y croire, enfin on n’est pas morts.
Du coup, plus tard, on ne va pas se mentir choisir une Volvo c’était ce qu’il y avait de plus sûr, n’est-ce pas Chaloux ?
Nathalie Sarraute, « Pour un oui, pour un non »
« Pour un oui ou pour un non est un travail de recherche non seulement sur le ressenti mais aussi sur sa manière de s’exprimer à l’extérieur, et notamment dans l’intonation. Quelque chose d’infime, une intonation a été interprétée par quelqu’un et cela a déclenché un drame intérieur. C’est le comble du théâtre ; une interprétation de ce qui est dit et comment c’est dit, qu’est-ce que ça recèle et qu’est-ce que ça révèle9.
Le rapport entre « ce qui est dit » et « comment c’est dit »…
Cette citation de Nathalie Sarraute pour un promeneur qui passe parfois ici, les mains dans les poches, en sifflotant…
effecyivemeny, messieyurs mrsdames les censeurs de la RDL QUI N ONt PAs lAISSe LA PAGE DE Notoriété;sur la toile de cette pianiste (à qui ça ne peut rien ra pporté, non plus qu’ç moi;JE NE CONNAISSAIS PAS LE NOM Du GENDRE CINEAStE
de FEUE GISELE KUHN QUE J’AI PERSONNELLEMENTrevue peu avant sa mort om elle était tres seule et parfois délirante;si vous croyez qu’on vous attendus pour « connaître des oersonnes talentueuses , et relevez les mensonges ‘(car oui, j’ai vérifié!)éhontes que vous avez passés ici en « conseils »sur des tiers »;c’est renato qui a raison:il y en a qui se moquent de vos considérations:
et c’est chrétien de signaler un de vos mensonges éhontés avec les preuves!
Chaloux dit: 18 avril 2025 à 17h47
La Messe en si par Herreweghe, ce n’est quand même pas mal.
Même dans le si beau Sanctus, moi il m’endort:
Bach: Mass in B minor – Sanctus – Pleni sunt coeli – Herreweghe
https://www.youtube.com/watch?v=MKSepgvTxfM
ça ne peut rien rapporter, non plus qu’à moi
À comparer par exemple avec la très belle version de Raphaël Pichon:
Bach Mass in B minor | Pygmalion, Raphaël Pichon | Sanctus
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