Maudits droits d’auteur !
C’est difficile à croire, et plus encore à imaginer surtout si l’on est soi-même écrivain, mais tous les droits d’auteurs ne sont pas les bienvenus. Certains sont même maudits. Les éditeurs se les repassent comme une patate chaude car ils sont attachés à une œuvre qui sent le souffre. Le cas de Mein Kampf cette année en France. Le Land de Bavière étant héritier d’Adolf Hitler, il gérait ses droits d’auteur jusqu’à ce que ceux-ci tombent dans le domaine public en 2016. Aussitôt fut lancée dans le public allemand une réédition qui se préparait depuis quelques années sous les auspices des meilleurs spécialistes sous une forme érudite et critique.
En 2020, au printemps ou à l’automne, le programme de domination de l’Europe imaginé par Adolf Hitler va donc reparaître en France. Une édition méticuleusement encadrée, annotée et préfacée par une équipe d’historiens. Un seul volume d’un bon millier de pages, dans lequel les commentaires, contextualisations et analyses expertes excèdent le texte de l’auteur. Le considérable et indispensable index des noms est actuellement en cours d’achèvement. Ce ne sera probablement pas un best-seller comme cela le fut récemment en Allemagne mais l’effet de curiosité jouera sans aucun doute. Que faire de cet argent qui brûle les doigts ?
« On ne gagnera pas un euro dessus ! » assure Sophie de Closets. Pdg de Fayard. Une fois que la maison se sera remboursée des frais (édition scientifique, traduction, fabrication etc), les bénéfices d’exploitation et les droits d’auteur iront à parts égales à deux associations liées à la Shoah : l’une caritative, l’autre mémorielle. Auparavant, la Fondation pour la mémoire de la Shoah (FMS) avait bien été approchée indirectement. La question était remontée jusqu’au conseil d’administration car elle engageait une décision politique. Il y eut débat et unanimité. « Une question de principe : on ne veut pas toucher aux bénéfices que cette publication pourrait générer » reconnaît Philippe Allouche, directeur général de la FMS. Il est vrai que cela n’aurait fait que renforcer les vieux fantasmes antisémites, mais toujours bien actuels, sur les Juifs avides d’argent, Pour autant, la Fondation ne montera pas au créneau contre la publication de Mein Kampf comme elle l’a fait lorsqu’il fut question l’an dernier de rééditer les pamphlets de Céline.
Il y a eu un précédent au cas Mein Kampf : la publication de l’imposant, et autrement plus passionnant, Journal inédit de Joseph Goebbels, ministre de la Propagande et confident d’Hitler. La FMS avait alors accepté la proposition des éditions Tallandier d’accueillir droits et bénéfices du livre car le document original est une véritable somme et une source essentielle sans équivalent sur le plan historique. « L’air du temps était tout autre en 2007. Pas sûr que l’on accepterait aujourd’hui… » admet Philippe Allouche. Depuis, la Fondation a par exemple décliné une demande de subvention d’un documentaire télévisé sur le collaborationniste Jacques Doriot. De toute façon, s’agissant du Journal de Goebbels, dont le premier tome s’est vendu à 17 000 exemplaires et les deux suivants trois fois moins, aucun droit d’auteur ne fut finalement versé, l’éditeur n’étant pas rentré dans ses frais.
En 2018, avant même que fut lancée une campagne qui conduira finalement son éditeur à reporter la publication des pamphlets de Louis-Ferdinand Céline, la question du partage des bénéfices d’exploitation fut envisagée par Antoine Gallimard. Une façon de montrer que le but de sa maison n’était pas de « faire de l’argent » avec ça. Une solution fut trouvée en proposant à un organisme de recherche dépendant du CNRS d’en devenir le co-éditeur avec les éditions Gallimard, à charge pour lui d’en assurer la validité intellectuelle. Approché indirectement, l’Institut d’histoire du temps présent (IHTP) déclina la proposition.
Nicolas d’Estienne d’Orves, lui, a hésité lorsque, par un concours de circonstances, il s’est retrouvé héritier de « l’œuvre publiée et méditée » de Lucien Rebatet. Ecrivain et journaliste né en 1974, rien ne prédestinait ce petit-neveu d’un martyr de la Résistance à devoir gérer les droits de l’auteur collaborationniste des Décombres, best-seller de l’Occupation. « J’avoue que j’ai hésité avant d’accepter par coquetterie et provocation » avoue-t-il. Une décision qui lui a moins rapporté que porté préjudice. Depuis il a réglé son problème moral en confiant les archives de Rebatet à l’Imec (Institut Mémoires de l’édition contemporaine), et en rééditant aussi tout ce qui, dans cette œuvre ne pose pas problème de conscience. Le gouvernement américain, lui, n’en a pas eu en réclamant, et en obtenant par voie de justice, les droits d’auteur de l’ex-analyste de la NSA devenu lanceur d’alerte Edward Snowden, pour ses Mémoires vives (Seuil).
1 364 Réponses pour Maudits droits d’auteur !
en ce qui concerne mon rappel de Memmi, je répondais à quelqu’un;
il y a par ailleurs sur la toile une présentation où il n’est plus question « d’israélites »
https://www.persee.fr/issue/rfsoc_0035-2969_1963_num_4_3?sectionId=rfsoc_0035-2969_1963_num_4_3_6189
https://www.persee.fr/doc/rfsoc_0035-2969_1963_num_4_3_6189
en ce qui cocerne Memmi, je répondais à quelqu’un qui me signalait une « image du juif »;il reste qu’il y a un article sur la toile, où il n’est pas question d' »israélites »!
https://www.persee.fr/doc/rfsoc_0035-2969_1963_num_4_3_6189
un autre article sur la suite du portrait :la libération!
https://www.persee.fr/doc/rfsoc_0035-2969_1967_num_8_2_3184
@et alii
je ne comprends pas le sens de votre reaction a mon post.
il semble que vous n’ayez pas compris ce que je voulais dire en parlant d’israelites et non de juifs
Au temps pour moi,
Cela montre que ma manière de m’exprimer est maladroite et trahit ma pensée
à parler de MEMMI, respectez son souvenir :
» Elève brillant, il parvint à décrocher une bourse qui lui ouvrira, en 1932, les portes du lycée Français de Tunis. Cet évènement, dira Albert MEMMI, «sera l’évènement majeur de ma vie», puisque le voilà en possession de la clé qui l’aidera dans la maitrise de la langue française, l’instrument essentiel de son périple d’intellectuel et d’écrivain français. Au lycée il rencontre Aimé PATRI (1904-1983) et Jean AMROUCHE (1906, Algérie, 1962, Paris), écrivain, journaliste littéraire, homme de radio et négociateur des accords d’Evian mettant fin à la guerre d’Algérie ; ce dernier l’a fortement influencé : «J’ai connu Jean Amrouche, qui était un excellent poète et qui fut mon professeur de littérature en première puis en classe de philo. Lui ne croyait qu’à la poésie : elle était la clef du savoir, l’intuition du monde, il y avait quelque chose de mystique dans cette approche. À mon avis, il allait trop loin ; mais j’ai subi cette influence, j’ai donc éprouvé le besoin de rendre compte d’une manière littéraire de la vie, du vécu» écrit Albert MEMMI. En 1939, il obtient son baccalauréat au lycée Carnot de Tunis. Il s’inscrit en philosophie, tout en restant surveillant d’internat, mais démissionne de son poste en raison de la politique de Vichy. De 1941 à 1943, parallèlement à ses études, il fait du journalisme. En 1943, il est renvoyé de l’université d’Alger, parce que Juif et fait l’expérience d’un camp de travail obligatoire, dans l’Est tunisien.
une présentation de Memmi plus étoffée et génereuse que celle de wiki
http://baamadou.over-blog.fr/2017/07/albert-memmi-15-decembre-1920-a-tunis-entre-identites-multiples-alienation-et-dependance-par-m.amadou-bal-ba-http/baamadou.over-blog
@Et alii
« respectez son souvenir’
si c’est à moi que cette injonction s’adresse, d’une part j’ai beaucoup d’admiration pour et je pense qu’elle etait visible dans mon post.
Quant à respecter son souvenir je n’y manquerai pas
» le moment venu »
» le moment venu »ça c’est du césar!
j’ai appris d’un maître cité dans la bio de reconnaissance en lien
« il est toujours trop tard »
bonne soirée
Pour être protégé par le droit d’auteur, un produit doit aussi répondre à deux autres critères de base : « L’expression doit être originale, et il faut qu’elle soit fixée, tangible, qu’elle puisse durer », explique Gaëlle Beauregard. Originale, comme un livre jamais écrit auparavant, et fixée, comme une toile ou une sculpture.
Ironie du sort, les livres de recettes sont protégés par le droit d’auteur, mais pas les recettes qui les composent ! « Les recettes appartiennent au bien commun », dit Anne Fortin, propriétaire de la Librairie Gourmande, au marché Jean-Talon, qui en connaît un rayon côté livres de recettes. « N’importe qui peut se les approprier et les diffuser comme bon lui semble. C’est pourquoi je privilégie toujours les livres de recettes qui sont signés par un auteur, plutôt que ceux du genre « Tous les desserts ». Ces recettes ont été copiées et recopiées et ne valent pas celles qui ont été conçues par un auteur, qui va signer son livre et nommer ses sources s’il en a. »
A table.
The dinner book.
https://www.lexpress.fr/culture/livre/a-table-avec-james-salter_1720137.html
Christiane,
Il doit avoir un boulot à finir avant 17h, Chaloux.
Quand je corrigeais des copies, j’avais ce mode aussi de « hue da ». Peu sympathique mais efficace sur le plan stimuli.
Moi aussi, je subis la guerre des nerfs, mais j’ai adopté la zenitude. Bien plus efficace que toute guerre larvée.
Bien cordialement,
rose
DHH
éo-arabe, l’itinéraire classique d’un homme qui s’éloigne de son milieu d’origine par l’accès au savoir des autres , et qui en éprouve à la fois le bonheur d’une émancipation et l’inconfort d’une trahison . Comme mutatis mutandis l’itinéraire d’un Didier Eribon ou celui de l’héroïne dans la saga d’Elena Ferrante.
Comme Annie Ernaux
Ou comme Esouard Louis que je n’ai pas lu, mais clopine oui.
conflits!
Les faits: avant même sa sortie, et avant même d’en avoir lu le contenu, Yann Andréa s’oppose, par l’intermédiaire de son avocat, à la publication des recettes de cuisine de Marguerite Duras. Le livre, à peine sorti en librairie, est l’objet d’une demande d’interdiction d’exploitation, repoussée dans un premier temps par le juge des référés, puis accueillie par les juges du fond, qui l’interdisent le 19 mai 1999, décision confirmée par la première chambre de la cour d’appel de Paris d’une façon définitive, le 13 septembre dernier.
Yann Andréa, en sa seule qualité d’exécuteur littéraire, peut s’opposer à la divulgation d’une oeuvre posthume ou inédite de ma mère (sous réserve d’un contrôle judiciaire); c’est le seul droit qui lui est reconnu, et il entend lui donner le champ le plus étendu. Cet ouvrage aura pu néanmoins être lu et apprécié pendant trois mois par plus de 10 000 lecteurs, dont certains, proches de ma mère, m’ont félicité et se sont dit enchantés par le livre.
Je voudrais rappeler que ce livre est fait à partir des recettes que ma mère avait souhaité publier dans la Vie matérielle en 1987, puis avait
renoncé à ce projet en accord avec son éditeur, les éditions POL, avec l’idée de faire, plus tard, de ces recettes un petit livre. Le livre, également composé de transcriptions d’entretiens radiophoniques, permet d’évoquer Marguerite Duras dans son activité quotidienne qu’elle n’hésitait pas, en souriant, à tenir pour aussi créatrice que l’écriture. J’affirme qu’il n’y a pas un mot ni même une virgule dans ce livre qui ne soit pas d’elle. Cette mise en forme a été effectuée sous son entière responsabilité.
libé
Et les contes magnifiques, ce florilège, recueillis par Marguerite Taos Amrouche de la bouche de sa mère, tel Le grain magique
Taos Amrouche, soeur de Jean Amrouche
Et maintenant que Yann Andréa s’est suicidé ?
Qui est l’exécuteur litteraire de Marguerite Duras ?
Très beau texte, Chaloux. Ignoble mais beau. Vous devriez écrire.
@rose
lisez ce livre magnifique qu’est l’autobiographie de la mère de jean Amrouche
modeste et obscure destinée d’une pauvre paysanne kabyle chrétienne
rose dit: « Christiane, Il doit avoir… »
Bonsoir, Rose,
il fait une vraie fixation sur Paul Edel ? Est-il un homo taraudé par un désir qui n’ose pas se révéler, se concrétiser ? Pourtant, il était plutôt féroce à son égard du temps où ils échangeaient, ici.
Il est apparemment pris d’une folie haineuse irrépressible. Quelle souffrance se cache sous ces tirades.
Au moins, il s’exprime, perce son furoncle, montre ce qui est en lui.
Je juge souvent les gens à partir de ce qu’ils disent des autres, des fantasmes qu’ils alimentent au secret de leur cœur ou de leur corps.
Ce chaloux aura sali bien du monde, ici, y compris celui qui tient ce blog. C’est dans sa nature…
Bon, je passe à autre chose.
amicalement.
il fait une vraie fixation sur Paul Edel ? Est-il un homo taraudé par un désir qui n’ose pas se révéler, se concrétiser ?
Pour quelqu’un qui connait mes « addictions », pauvre Cricri Gobetout, vous me surprenez. Les vieux messieurs… Je ne suis pas tailleur…
Je mettrai tout cela sur mon blogounet avec des extraits de votre prose si amusante…
Ismérie SAISON
1 Mémoire La protection du Street Art de Mélany Billard
2 https://dailygeekshow.com/hyuro-street-art/
3 Street Art et propriété intellectuelle : quels enjeux ? https://www.avocats-mathias.com/propriete-intellectuelle/street-art
4 https://www.avocats-mathias.com/propriete-intellectuelle/street-art
5 Le Street Art, hors-la-loi à quel point ? http://blog.leclubdesjuristes.com/street-art-loi-jusqua-point/
et la protection du street art?
c’est déjà pensé -et même jugé-
1 Mémoire La protection du Street Art de Mélany Billard
http://master-ip-it-leblog.fr/la-protection-du-street-art-en-droit-dauteur-un-statut-complexe-et-un-art-devant-faire-face-a-des-enjeux-technologiques/
…mardi 18 février 2020 à 17 h 50 min
…
…question recettes de cuisine,…
…
…le grand livre de la cuisine Méditerranéenne
…FIOREDITIONS 2004
…imprimé en Chine
…le grand livre de la cuisine italienne
…MARABOUT 2003
…etc,…
bref, pour des gens qui se présentent comme directeurs de sexe, vous incitez à conclure qu’il vaut mieux aller voir ailleurs si on cherche des conseils
je m’en doutais depuis longtemps!
en matière de sexe, on a surtout compris que vous n’y comprenez rien de rien!
@ ma manière de m’exprimer est maladroite et trahit ma pensée
Voulez-vous dire qu’elle la révèle ou qu’elle la trompe ? (quand je pense à vos insinuations d’antisémitisme, voir de négationnisme, appuyées ici par d’autres, adressées à l’encontre de Georges Steiner au lendemain de sa mort, j’ai ma petite idée comme on dit à la campagne)
« Amok » le chef d’oeuvre de Zweig en nouvelle traduction » n’exagérons rien, la traduction supprime l’effet « amok » induit par la phrase rythmée de Zweig.
et alii, le travesti au secours de chaloux la bibine. Vraiment, c’est Medrano !
Cricri Gobetout, vous fantasmez, je bois pas, je ne fume pas.
christiane parkle tropde ses amiEs pour qu’on ne comprenne pas qu’elle parle d’elle et a oublié le billet en dépit ses clics pour Pour P.Assouline que d’aucuns appellent lèche
La pauvre Cricri Gobetout touche le fond… C’est vous qui êtes saoule, la vieille… Gardez plutôt votre armagnac pour faire des crêpes…
Artiste radical ?! Dans la pratique « usage du corps » j’ai connu mieux : Vito Acconci, Wiener Aktionismus — Otto Mühl, Hermann Nitsch —, Marina Abramović, Gina Pane, Vettor Pisani.
Pierre Assouline protège ses vieilles biques. Il aime le lait tourné.
Bonne soirée,
Un nouveau prix littéraire vient d’être créé, celui de la gendarmerie nationale.
On attend avec impatience celui des proctologues !
Là nous avons affaire avec des pseudo anarchistes empêchés par une culture artistique limitée de comprendre les limites des actions qu’ils entreprennent, ce qui n’est pas extraordinaire dans le monde contemporain — les gens font n’importe quoi pour un brin de publicité, et non seulement les artistes sans épaisseur, mais les politiques — politiciens dans ce cas —, et ainsi de suite.
Le prix Cricri Gobetout couronnera, avec les éloges les plus éhontés, l’ouvrage le plus inepte de l’année.
Chaloux est un saint, Christiane est une sainte. Leur échange, d’une richesse exceptionnelle, est un signe de respect et d’estime partagé…
Marions-les, et basta !
« Comment se passent les émoluements, donc ? »
Au black et en cash, rose, payable en deux fois (à la remise du manuscrit et à la publication) et de préférence en petites coupures !
Juste de quoi me payer mes cigarettes et quelques petits extras…
Superbe présentation de l’oeuvre de Memmi, que je ne connais pas encore, DHH. Merci.
Et alii semble avoir un peu de mépris pour le petit peuple séfarade ?
pour en finir avec le cinéma de l’homme enfant bouche-trou
et qui a introduit MEMMI sur ce blog en proposant une bio compréhensive , si ce n’est mézigues? qui ici oppose Derrida aux monolingues? mézigues! allez vous faire éduquer par Naouri qui reconnait avoir fait une psy lacanienne ,lui!
Tigers meet
www.http://youtu.be/xCsoRmahWpI
Ed dit: « L’évocation du roman de Toni Morrison Beloved, cette mère, Sethe, qui étouffe sa fille nouveau-née pour éviter que son destin tragique se reproduise ». Roman que vous avez évoqué sur votre blog :
https://tomtomlatomate.wordpress.com/2019/12/14/beloved-toni-morrison/
Vous faites allusion à un passage de la chronique « Le corps de la mère » de Nicoletta Vallorani (Mots et choses – Littérature et réalité). Texte (en italien) mis en lien par Renato à l’intention de Rose.
Après un développement passionnant sur la difficulté pour une fille de s’occuper du corps « inconnu » de la mère malade et vieillissante, elle aborde dans ce paragraphe les relations anormales « mère-fille », la façon dont elles se manifestent dans des situations difficiles ou d’urgence et c’est là qu’elle aborde l’infanticide illustré par ce roman de Toni Morisson Beloved qu’elle analyse dans une dimension abstraite.
Pour elle ce qui se passe c’est que le corps reproducteur et reproduit de la mère (celui de Sethe) « désactive » la vie (physique) de la fille qu’elle a engendrée pour l’empêcher de devenir à l’âge adulte, un instrument de reproduction et surtout un corps que les hommes pourront violer. Le corps physique disparaît, la fille nouveau-née meurt. La mère tente de reconstruire une vie jusqu’à ce que la fille tuée revienne sous la forme d’un fantôme pour la culpabiliser.
J’ai lu votre chronique. L’écriture, avec ses nombreux retours en arrière, semble vous avoir lassée. Je crois que Toni Morisson a mis tant de tant à écrire ce livre qu’elle a voulu traduire la façon dont la mémoire lui revenait, pas seulement de ce drame qui a réellement eu lieu, mais aussi de sa mémoire de l’esclavage, surtout pour les femmes. Non parce qu’elle l’aurait vécu mais parce que ça a existé et qu’elle est une femme.
SUR WIKI
?NAOURI? DONT ON CONNAIT LES ENFANTS MUSICIENS
il entreprend une psychanalyse lacanienne qui dure de 1973 à 1980. Il commence à publier dès 1982 des ouvrages centrés sur l’environnement de l’enfant, sur son éducation et sur les relations intra-familiales, ouvrages auxquels la critique et le public font un excellent accueil[réf. nécessaire].
Après avoir été expulsé de Libye avec sa famille en 1942 en raison de sa nationalité française, Aldo Naouri s’installe en Algérie, à Orleansville. En 1956, il part faire des études de médecine2 qu’il commence à Besançon et qu’il poursuit dès l’année d’après à Paris . Sa famille, rapatriée comme la majorité des français d’Algérie le rejoint en 1962. Il termine ses études de spécialiste en pédiatrie en 1965. En 1966 il ouvre dans le 13e arrondissement un cabinet de pédiatrie qu’il ne quittera qu’en 2002 au moment de son départ à la retraite. Tout au long de sa carrière, il ne cesse de s’intéresser aux sciences humaines et de se former ainsi en psychologie, sociologie, linguistique, ethnologie et anthropologie. Passionné par la relation médecin-
c’est bien connu, mais
Aldo Naouri est le père de trois enfants : deux filles, la romancière Agnès Desarthe et la metteuse en scène d’opéra Elsa Rooke, et un garçon, le chanteur d’opéra Laurent Naouri.
LE Mépris, c’est de dire « le petit peuple » , pas de rappeler les auteurs et traducteurs et professeurs, par leur nom
christiane dit: à
Ed dit: « L’évocation du roman de Toni Morrison Beloved, cette mère, Sethe, qui étouffe sa fille nouveau-née pour éviter que son destin tragique se reproduise ». Roman que vous avez évoqué sur votre blog :
https://tomtomlatomate.wordpress.com/2019/12/14/beloved-toni-morrison/
Vous faites allusion à un passage de la chronique « Le corps de la mère » de Nicoletta Vallorani (Mots et choses – Littérature et réalité). Texte (en italien) mis en lien par Renato à l’intention de Rose.
Pas eu le temps de le traduire.
Lors de mon trajet aller, ai eu toit le long de l’autoroute les panneaux alerte enlèvement enfant et les barrages douaniers aux péages.
Pensais classiquement à un papa interdit de voir son fils ou sa fille.
C’était une petite fille Vanille, àgée de un an ce jour précis, quand sa maman lui avait enlevé la vie pck elle était virée de son centre d’accueil.
Et qui sait l’importance pour une femme d’avoir un chez soi pour vivre en sécurité ? Avec une salle de bains.
j’ai entendu Naouri dans une rencontre dans une librairie « le divan » (après son déménagement);il y avait aussi Derrida et Roudinesco (cette dernière arriva « évidemment » en retard!)
Et bien Jazzi, je dis bravo à votre éditeur.
Et s’il vend des millions d’exemplaires du Le goût de la paresse, à lui les royalties ?
inutile d’insinuer , par jalousie, des contre-vérités sur mes affects,par jalousie comme ces femmes qui préférèrent se mettre en scène dans leur cuisine;j’ai suivi l’enseignement de Charles TOUATI?où venait Mireille Hadas-Lebel,une femme remarquable et ouverte
le divan était alors
Adresse : 203 Rue de la Convention, 75015 Paris
« une femme remarquable et ouverte »
à l’esprit ou à tous les vents ?
Et alii et DHH
Avons vu ma maman et moi lundi après-midi sur Arte ce film dramatique sur un enfant juif
Cours sans te retourner
D’après le livre d’Uri Orlev.
À 62 ans, c’est un bel âge, il.est parti vivre en Israël, est tombé fou amoureux, a fait deux enfants.
Dans ce film terrible, il y a deux passages atroces :
le premier, lorsqu’une jeune paysanne accorte l’accueille dans sa carriole pour l’embaucjer aux champs et elle.l’emmène droit à la Gestapo en réclamant sa récompense.
Le.second lorsqu’il a un accident sur l’aire de battage et hospitalisé le jeune médecin assène : »je refuse de soigner un juif. » Et sa vie sera sauvée de justesse.
L’image de l’enfant juif.
Et en analepse finale, la reprise du début avec son père qui lui dit « cours sans te retourner », alors qu’ils sont cachés tous deux sous l’arche d’un pont.
Hélas oui, rose !
Certains de mes titres ont mainte fois été réédités…
mireille HADAS LEBEL SA BIBLIOGRAPHIE SUR WIKIPEDIA.
vous dénigrez par jalousie ;on se fout de votre homosexualité qui plait tant à votre chère cricri
non, rose;où je suis, je n’ai pas voulu la télé mais du silence
bonsoir
Dhafer Youssef – Soupir éternel
Dhafer Youssef , né le 19 novembre 1967 à Téboulba, est un compositeur, chanteur et oudiste tunisien.
[…]
Sa musique est nourrie de traditions soufies, de lyrisme arabe, d’influences multiculturelles et d’une instrumentation puisée dans le jazz et l’improvisation.
Lebel c’est un palindrome, et alii !
Bonsoir et alii
Et d’Aldo Naouri éceit en 2⁰06 ce livre Adultères
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/13180
dans lequel il.explicite.comment le.lien à la mère se coupant permet d’aller vers l’autre. Sinon ne favorisant que relations adultérines.
Yaron Pe’er : « Winter sun »
Yaron Pe’er, afgani rabab & Leat Sabbah, cello
Lebel c’est un palindrome,
quel rapport avec le billet?
Lebel quel rapport avec le billet ?
A propos des droits d’auteur et des droits sur les images ainsi que de la performance en général et en particulier :
Nicole Esterolle sur facebook,
Nicole Esterolle
Un Benjamin, un Branco, un actionniste russe , un artiviste permaculteur et un art bio -contemporain.
Voici une image qui traine sur les réseaux sociaux et sur laquelle on voit :
* Alexandra de Tadeo, la douce fiancée de Piotr Pavlenski (à côté d’elle). C’est elle qui recevait, à l’insu de son plein gré, les messages salaces et les images coquines de Benjamin .
* Piotr Pavlenski, son compagnon , actionniste russe bien connu pour s’être cloué les testicules sur le sol de la Place Rouge après avoir sexuellement agressé une actrice moscovite . Il se réclame de Sophie Calle, de l’ « actionnisme viennois » et de son prophète Hermann Nitsch, qui vient de faire un expo à Paris de ses grandes toiles avec giclures ensanglantées d’entrailles de vache. (voir image d’Hermann accompagné de son exquise directrice végane de la galerie RX). Ces toiles ont une valeur astronomique sur le marché du financial-art.
Piotr ( gendre idéal selon la maman d’Alexandra et son papa ex-entraineur dit-on de l’équipe de foot de Metz) est aussi écrivain, soutenu par son éditeur français et par le premier critique d’art 100% bio, Paul Ardenne…voir video : https://vimeo.com/268066264…
C’est à son statut d’artiste performeur contemporain et d’écrivain russe ne parlant pas français, que Piotr a sans doute pu obtenir asile en France, avec les recommandations compatissantes des réseaux de la gauche hidalgo-identitaire progressiste et bien pensante….qui s’en mord les doigts car ce boulet-là (comme celui de Matzneff, de Girard, de Medhi Meklat, etc.) lui a cruellement éclaté dans la figure…
* Stéphane Chatry , ex co-directeur d’une galerie d’art parisienne et fondateur d’Artivism CA, qui « est une hybridation de la galerie d’art et du centre culturel, menant des actions dans la monstration des oeuvres, la promotion des artistes, le marché de l’art et les initiations pédagogiques dédiées à notre public. Artivism CA a pour vocation de faire émerger de nouvelles perspectives sociétales grâce à une dynamique solidaire fondée sur l’aboutissement de projets d’arts plastiques, vecteurs d’un partage des savoirs » Ben voyons Ginette !.
Plus d’infos : https://www.artivism-contemporary-art.com/genese/
https://www.artivism-contemporary-art.com/video/43/
* Juan Branco, lointain descendant d’un célèbre guerrillero zapattiste, avocat de LFI, des gilets jaunes et de Pavlenski…et qui revendique une stricte neutralité déontologique dans cette triste affaire … et qui dit ne connaître rien à l’art contemporain…bio ou pas
Et pour compléter le tableau :
A la « Colonie » de Kader Attia, Le Collectif Français de soutien à l’artiste Petr Pavlensky avait proposé une soirée de débat ( avec Chatry, Ardenne et Pavlenski…Tiens, y avait pas Franco…) autour de la liberté créative aujourd’hui et de la « French theory » – Derrida-Deleuze-Foucauld (« Créer c’est résister et résister c’est créer» disait Deleuze, ouvrant ainsi le champ de tous les possibles, dont l’actionnisme russe de Piotr ou celui du sinoricain Ai Weiwei)
« La colonie » est un bistro-restau « SYMPA » (comme disait Coluche) et convivial , lieu de RV des PIR (parti des indigènes de la République) ,, des intersectionnalistes mondiaux, des subversifs subventionnés, quartier général de l’intelligentsia « décoloniale », insoumise, bien-pensante et surtout re-pen-tante !…un « rendez-vous des idées qui questionne l’héritage colonial »….sous l’œil attendri des frérots mahomettants planqués pas loin.
L’objet de cette rencontre autour de Petr Pavlensky, actuellement incarcéré à Fleury-Mérogis pour son action artistique « Éclairage » (oct. 2017),(il avait foutu le feu à la Banque de France) est d’interroger la question de la liberté créative. Cette liberté est moins garantie que jamais, en France notamment, où l’on constate un double discours institutionnel. En paroles, la défense de la liberté et de la dignité des artistes. Dans les faits, une culture démagogique et ennemie du risque et de l’audace?
Avec Petr Pavlensky, militant/artiste russe- Paul Ardenne, historien et écrivain – Stéphane Chatry, Artivism Contemporary Art -Frank Perrin, Artiste -Pierre Lautier, avocat spécialisé en droit d’auteur…Nul doute en effet que Piotr Pavlenski a capitalisé par mal de droits d’auteur… s’il a bien souscrit à l’ADAGP !
• https://www.lacolonie.paris/…/2018/septembre/eclairage/…
« où je suis, je n’ai pas voulu la télé mais du silence »
En EHPAD, et alii ?
PERSONNE NE PENSE A L’EXPRESSION AUTEUR DENOS(VOS)JOURS
je ne veux pas de conversation avec des escrocs intellectuels qui se prétendent lacaniens sans pouvoir attester de façon crédible d’une psychanalyse ou d’un enseignement -ou même une rencontre de « discussion »chez des lacaniens connus comme tels;
j’aurais dû préciser escrocs intellectuels et leurs « amies » ! voilà qui est fait
@ et alii
vous savez donc fait partie avec avec Mireille Hadas su happy few des séminaires du vendredi de Charles Touati qui »pendant pres de 10 ans [lui]lui a appris à aborder les textes rabbinique sous l’angle scientifique en trouvant la voie juste entre le dédain scientiste et la naïveté dévote » comme elle l’ecrit dans les remerciements qui chapeautent sa these
Vous avez eu beaucoup de chance
ceux qui ont une passion pour « le petit peuple » de sepharades n’ont qu’à raconter pourquoi ils en parlent ici
madame DHH, je ne sais plus le jour! mais je me souviens comment il étaqit fréquenté, le séminaire de Touati à l’EPHE.ET i_l n’y avait pas que des juifs,juives, mais des couples mixtes (ça c’était frappant)je ne vois pas où est la chance de suivre un enseignement »ouvert » (il fallait simplement avoir appris l’hébreu et la littérature hébraique d’autant qu’il y avait des invités
par contre, je me souviens assez bien des rares mots dont C Touati apprécia son confrère qui avait écrit dans une leçon « mon ami C.Touati » et ce que ce même Touati dit de Levinas (qui ne lui avait rien apporté;cela m’a beaucoup apporté à moi, dans ma naiveté
et maintenant assez testé ;retournez vers vos ami-e-s
une chose est sure aussi, c’est que C.Touati citait aussi par coeur et n’avait pas encore fini de sortir une petite bible qu’il avait fini de citer;alors il pouvait prendre tout son temps pour trouver la page;
personnellement, je ne recommande rien à aucun erdélien!(alors injonctions, je les laisse à ceux et celles dont c’est le lexique et l’esprit d’intervention sur ce blog,et qui seraient mieux inspirés de s’occuper de leur passion explicite :la sexualité, qui n’est pas la mienne ; ils elles sont brillants dans ce répertoire:grand bien leur fasse!
d’ailleurs sur ce blog, évoquer Memmi, quand c’est méziques, ce n’est pas partager selon « cricri » ; alors occupez-vous de vos ami-e-s et fichez moi la paix
pour P.Assouline qui m’identifiera, lui:j’ai parlé avec M.Hadas Lebel de l’abbé grégoire, et elle m’a donné son opinion;
et non seulement elle m’a donné son opinion, mais celle des erdéliens sur l’objet précis de cette discussion, avant d’entrer en salle, ne m’intéresse pas plus que le tour de poitrine de X ou les sirops de y
patisserie levantine(je ne peux pas écrire ce mot sans penser à un déguisement de Max Jacob)
Ils se sont entourés du chef boulanger-pâtissier Benoît Castel pour les aider à réaliser la recette de brioche parfaite pour leurs babkas. Après de longs mois de travail, ils ont ouvert Babka Zana le 15 janvier 2020.
Ils gèrent tous deux la boutique et créent les recettes ensemble : garnitures des babkas, rugelach, sandwiches dans le pain traditionnel Hallah (fait maison) et d’autres spécialités qui intégreront prochainement la gamme.
Tout est réalisé sur place avec leur chef boulanger. Andrée Zana-Murat les accompagne également avec tout son savoir-faire de cuisinière. C’est une véritable aventure familiale puisque même l’architecte renommé Charles Zana a contribué à la décoration de la boutique.
* Babka est la contraction de Babouchka qui veut dire grand-mère en polonais
Babka Zana 65, rue Condorcet – 75009 Paris – Téléphone :
bonne soirée
Jazzi dit: à
« où je suis, je n’ai pas voulu la télé mais du silence »
En EHPAD, et alii ?
Non aux EHPAD, jazzi, comme la pharmacienne du village de ma maman à Marseille. Le mouvement a pris corps.
@ t alii
Effectivment compte tenu du prérequis indispensable que vous indiquez la participation à ce séminaire était réservée à un tout petit nombre d’auditeurs.
Mireille Hadas Lebel est une universitaire de grande envergure mais je ne comprends pas pourquoi vous êtes si marquée par le fait que vous avez eu un jour une conversation avec elle au sujet de l’abbé Grégoire.
A ce propos savez vous que son mémoire sur les juifs qui a été retenu comme le plus pertinent du concours qui avait été lancé était fortement inspiré sinon plagié d’un travail allemand antérieur dont l’auteur s’appelait Daum
Moi je ne suis pas dans la voie juste qui est celle du milieu.
Je suis dans la naïveté dévote, comme l’imbécile que je suis.
occupez vous de la pornographie qui vous intéresse tant!
merci de me ficher la paix
Daum comme la pâte de verre et alii et dhh
https://www.google.com/search?source=hp&ei=zEdMXpSZBOqCjLsP-eqL2AM&q=pâte+de+verre+Daum&oq=pâte+de+verre+Daum&gs_l=mobile-gws-wiz-hp.3..0j0i22i30l7.2051.9816..11854…0.0..0.137.2028.3j15……0….1…….8..41j41i10j41i13j0i131j46i131j46j46i275j0i10j0i22i10i30.Y68xDohbBfw#imgrc=hBzYUFb7XQZWsM:&scso=_2EdMXpP-MsOEjLsP3PGLyAM60:284.952392578125
je ne comprends pas pourquoi vous êtes si marquée par le fait que vous avez eu un jour une conversation avec elle au sujet de l’abbé Grégoire.
je ne comprends pas pourquoi vous avez été si empressée à m’inventer un cousin , et ça m’est égal ;
occupez vous de vos ami-e-s ;de vos jugements sur les universitaires, j’en ai assez !
La pâte de verre Daum
https://leverreetlecristal.wordpress.com/tag/daum/
on a eu ici le Hagège de DHH C’EST SUFFISANT
Une création
https://leverreetlecristal.files.wordpress.com/2019/02/v6.jpg
VOUS SOUVENEZ VOUS QUE CE BILLET S’INTITULE
Maudits droits d’auteur !
Déguisement de Max Jacob
« Et ma blouse blanche plus qu’une soutane ».
À la condition de ne pas être sévère, parce que quelle catastrophe que la sévérité, surtout d’un soignant.
Oui, et alii, maintenant allez-vous coucher, ça ira mieux demain.
Droits d’auteur, ma seule relation avec ça fut une lettre avec la quelle je déclarait à un éditeur y renoncer.
Indirectement. L’une de mes amies, artiste, attend encore, après 5 ou 6 ans, de voir la couleur des sous versés par l’utilisateur d’une image à elle.
je ne m’adresserai certainement pas à des personnes s’identifiant par des initiales , ou un simple prénom sur internet où elles ne causent que sexe et nourriture pour un autre registre de propos;donc ciao les italiennes d’ascendance et leurs ami-e-s
Demain, je vous parlerai du film de la semaine qu’il ne fallait surtout pas manquer.
Un film dont la morale de l’histoire intéresse rose au premier chef…
Et nous tous, accessoirement !
lorsque le nommé jazzi aura compris que je lui dis merde ,ses »copines seront plus intéressantes et ce n’est pas demain la veille; le nommé jazzi qui n’est qu’un escroc qui la joue avec des femmes bien sur pour se donner des illusions de judéité ça me dégoute
« ça me dégoute »
Moi, l’auteur à ce jour de 24 Goût de… !
Grâce à Marie Sasseur, qui l’eut cru, j’ai trouvé aujourd’hui la dernière pièce manquante au puzzle anthologique général de Jeanne d’Arc !
Bételgeuse va exploser en supernova et Orion perdra l’une de ses étoiles.
« il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel. »
Ce que « l’affaire Ravel » révèle du droit d’auteur
Les héritiers ont-ils des droits exorbitants sur les œuvres de leurs aïeux ? La législation actuelle conduit parfois à des situations ubuesques, comme dans l’affaire du « Boléro » de Ravel.
le monde
https://www.lemonde.fr/idees/article/2016/06/09/ce-que-l-affaire-ravel-revele-du-droit-d-auteur_4944578_3232.html
La Sacem accusée d´avoir spolié les juifs
La Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (Sacem) s´est-elle rendue complice du régime de Vichy dans sa répression contre les juifs ? Elle est l´objet d´accusations selon lesquelles elle aurait bloqué, sous l´Occupation, les so
j’avais entendu une émission sur france musique sur cette questionh mais vais je la retrouver?
http://www.leparisien.fr/faits-divers/la-sacem-accusee-d-avoir-spolie-les-juifs-07-05-1999-2000611112.php
Jazzi dit: à
Demain, je vous parlerai du film de la semaine qu’il ne fallait surtout pas manquer.
Un film dont la morale de l’histoire intéresse rose au premier chef…
Et nous tous, accessoirement !
Merci Jazzi.
Nous attendons cela.
Et alii
Dans les souvenirs d’enfance d’Aldo Naouri, il y a les paroles de sa mère dans la cuisine, qu’il a décryptées un jour par une sorte de miracle.
La dernière étape de cette stratégie, pour le moins maladroite, a eu lieu hier. Lors d’une conférence de presse, la Sacem a produit quelques documents épars, pour récuser les accusations portées contre elle. Une façon de couper l’herbe sous le pied de la Mission d’étude sur la spoliation des juifs, présidée par Jean Matteoli, qui s’est saisie du sujet mais se donne le temps de faire un travail de recherche recoupé, sous la direction de l’historienne Annette Wieviorka. Hier, Tournier a affirmé que la mission n’avait pas encore démarré son travail, parce qu’il lui manquait un archiviste. Un propos manifestement inexact, alors que la Sacem elle-même se montre peu coopérative pour ouvrir ses archives. Surtout, Tournier a tenté d’obtenir que la mission prenne position tout de suite. Réponse de Matteoli: «Vous comprendrez aisément que la mission ne saurait aujourd’hui préjuger des résultats de travaux sur le point de débuter. Elle entend donc se garder de toute prise de position sur les conclusions auxquelles elle aboutira dans les prochains mois.» A condition que la Sacem joue le jeu
libé
C’est surtout, pendant la guerre et en Allemagne, l’interlocuteur de Goebbels, qu’il a rencontré, sur la question des droits d’auteur. A mesure que sont exhumées des pièces d’archives, ce n’est plus seulement le rôle de la Sacem qui se trouve mis en cause, mais plutôt celui d’une histoire de famille. D’autres éléments sont étonnants. Dans son livre le Roi des Aulnes, Michel Tournier, frère de Jean-Loup, précisait qu’avant la guerre son père avait placé à la tête de la Stagma (la Sacem allemande) à Berlin un Français du nom de Pierre Crétin, à qui «il ne fallut rien de moins que l’armée Rouge pour le débusquer des ruines de ses bureaux et l’obliger à réintégrer la France» » Durant la guerre, l’entente avec les Allemands semblait donc parfaite. Après guerre, Pierre Crétin, le protégé de Tournier, retrouve son poste en Allemagne. Quant à Alphonse Tournier, il connaît la même trajectoire heureuse, puisqu’il retrouve en 1950 un rôle équivalent à celui tenu à la tête du comité créé par Pétain, mais cette fois-ci au sein de la Commission de la propriété intellectuelle mise en place à la Libération. Une longévité qui permet aujourd’hui à Alphonse Tournier d’avoir une plaque en cuivre à son nom posée à l’entrée du conseil d’administration de la Sacem. On comprend mieux que son fils, entré au sein de la société en 1950, s’arc-boute sur «ses» vérités.
évidemment, ça dérangeait que je parle de la Sacem , j’aurais dû me coucher, voilà la crapulerie d’un erdélien qui vient pêcher ici!et cherche à se faire faire sa bibliographie par la RDL trop bête pour ne pas céder à cet escroc pseudolacanien
vous pouvez regarder aussi qui était manuel ROSENTHAL sur la toile!
Maître de conférences à l’université de Rouen, Yannick Simon travaille sur la vie musicale en France sous la iiie République et l’Occupation. Il a participé, à ce titre, aux travaux de l’équipe de recherche, dirigée par Myriam Chimènes, sur la vie musicale en France sous l’Occupation. Dans le cadre de la Mission d’étude sur la spoliation des juifs de France, Yannick Simon a consacré un rapport aux droits d’auteur des sociétaires de la SACEM considérés comme Juifs sous l’Occupation (La SACEM et les droits des auteurs et compositeurs juifs sous l’Occupation, La Documentation française, 2000).
Ses travaux portent aussi sur l’histoire des concerts populaires en France à la fin du xixe siècle. Il est l’auteur de L’Association artistique d’Angers (1877-1893), histoire d’une société de concerts populaires suivie du répertoire des programmes des concerts (Société française de musicologie, 2006) et de Composer sous Vichy (Symétrie, 2009).
Simon, Yannick. L’Association artistique d’Angers (1877-1893), histoire d’une société de concerts populaires, suivie du répertoire des programmes des concerts, Société française de musicologie, 2006, 416 p.
Simon, Yannick. « Composer sous Vichy (1940-1944) », Résistances et utopies sonores, musique et politique au xxe siècle, direction scientifique de Laurent Feneyrou, Centre de documentation de la musique contemporaine, 2005, p. 39-47.
Simon, Yannick. « Les écrits sur la musique publiés sous l’Occupation (1940-1944) : étude des ouvrages conservés à la Bibliothèque municipale d’Angers dans le fonds Riobé », Revue de musicologie, tome 89, n° 1, 2003 : « Revue de musicologie, t. 89/1 (2003) (Revue de musicologie tome 89, n° 1, 2003) », Société française de musicologie, p. 93-128.
sur daniel vangarde sur wikipedia:
D’origine juive polonaise10, il trouve, en 1999, dans les archives de la Sacem, dirigée alors par Jean-Loup Tournier, des documents inédits sur son comportement à l’égard des artistes juifs, via une note interne du 7 novembre 1941, qui « a édicté le fichage des auteurs “non aryens”, décidé du blocage de leurs droits, et menacé d’internement “en camp de concentration” »11.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Vangarde
et après le père, le fils
Sans le dire, Daft Punk a fait savoir qu’il mettait fin à sa vie commune avec les Victoires de la Musique. Sans le dire, car Daft Punk ne parle pas. Depuis « The Artist » et le mime Marceau, on sait que le Français qui s’exporte le mieux aux Etats-Unis est le Français muet – n’en déplaise à Cyrano. Le 26 janvier, aux Grammy Awards, le binôme, fidèle à son esthétique androïde, n’a pas lâché un mot sur la scène du Staples Center de Los Angeles, malgré ses cinq trophées – parmi lesquels celui du « meilleur enregistrement de l’année » (« Get Lucky »). « La France contre les robots », titrait jadis Bernanos. Aujourd’hui, la France qui gagne, c’est la France des robots.
« Victoire historique des #daftpunk aux Grammy Awards ! La France est fière de vous ! » : le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a salué d’un tweet cocorico ce triomphe national, sinon made in France.
Les Superdupondt de l’électrofunk (Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo) ont enregistré « Random Access Memories » principalement à New York et à Hollywood. Quant à leurs célèbres casques, difficile d’y voir une survivance du heaume de Guillaume le Conquérant : inspirés par le robot extraterrestre du film « le Jour où la Terre s’arrêta » (1951), ils sont l’ oeuvre de l’Américain Tony Gardner, un spécialiste du maquillage et des effets spéciaux.
Le silence est d’or
Le 14 février, Daft Punk ne concourt donc pas aux Victoires de la Musique, mais sera en lice aux Brit Awards du Royaume-Uni, le 19 février. Comment expliquer cette anomalie ? Selon le règlement, chaque maison de disques présente une liste d’artistes qui est soumise aux 600 votants de l’Académie des Victoires de la Musique (auteurs, techniciens, producteurs de spectacles, etc.). Daft Punk n’a donc pas souhaité figurer dans la liste de Sony Music France. « C’est leur libre choix, on ne force pas les artistes, dit Gilles Désangles, directeur général des Victoires. Quand Julien Gracq refuse le Goncourt, il s’exprime sur ses raisons. Apparemment Daft Punk ne souhaite pas s’exprimer. »
Interrogé sur les causes de ce boycott, Stéphane Le Tavernier, président de Sony France, se renferme dans le plus impénétrable mutisme, à l’exemple de son taulier américain – Daft Punk ayant signé un contrat aux Etats-Unis avec Columbia (propriété du japonais Sony). Bref, dans le camp de Daft Punk, ce n’est plus « Harder, Better, Faster, Stronger », c’est la pièce pour silence de John Cage. Il est vrai que ce silence est d’or et d’euro.
Faut-il attribuer cet orgueilleux retrait à une meurtrissure ? Malgré une demi-douzaine d’hymnes planétaires, le duo n’a jamais reçu aucune victoire – à peine une misérable nomination, en 2008, pour le spectacle musical « Alive 2007 ». Faut-il imputer ce refus à France 2, qui retransmet la cérémonie ? En 1997, la cour d’appel de Paris condamnait la chaîne publique à publier 26 messages d’excuses à Daft Punk pour avoir illégalement utilisé le morceau « Da Funk ». « Quand t’es Julien Clerc ou Jean-Louis Aubert, tu ne fais pas ça [attaquer France 2] parce que sinon tu passes pas à ‘Taratata’, déclare alors le Daft Punk Thomas Bangalter au magazine « Coda ». Nous, on s’en fout de passer à ‘Taratata »’. Donc il n’y avait aucun moyen de pression de la chaîne. »
Faut-il remplacer la « Marseillaise » par « Get Lucky » ?
Faut-il invoquer les litiges qui opposèrent Daft Punk à la Sacem, membre du conseil d’administration des Victoires ? Litige historique. En 1999, le père de Thomas Bangalter, le musicien Daniel Vangarde, auteur de « C’est bon pour le moral » et sociétaire de la Sacem, attaque cette société d’auteurs sur sa gestion des droits patrimoniaux des artistes juifs pendant la guerre en se fondant sur un document de la Sacem daté de 1941, stipulant que chaque sociétaire doit « attester qu’il est aryen [ …]. Toute fausse déclaration pourrait entraîner l’internement dans un camp de concentration ».
Litige économique. En 1996, au moment d’adhérer à la Sacem, Daft Punk, loin de lui confier l’administration de l’intégralité de ses droits, veut se réserver la gestion des droits internet. De peur de créer un précédent fâcheux, la Sacem refuse leur adhésion mais non sans percevoir des droits sur les concerts des deux artistes. Daft Punk dépose plainte à Bruxelles pour « abus de position dominante ». Aujourd’hui, le glorieux tandem est inscrit parallèlement à la Sacem, à la PRS anglaise et à la BMI américaine. C’est bon pour le moral. Pour redorer celui de la France, Matignon devra-t-il remplacer « la Marseillaise » par « Get Lucky » ?
avec mes excuses, je ne voulais pas me substituer à chaloux pour la défense de la musique , parente pauvre des erdéliens, mais quand même, il y a une histoire qui compte !bonsoir
Aucune ni aucun artiste ne devrait signer un contrat d’édition si la part consacrée aux droits d’auteurs atteint moins de 10 % pour une version papier, moins de 50 % pour une édition numérique. Aucune ni aucun artiste ne devrait être amené à céder ses droits sans limitation de temps sur tous les supports présents ou à venir », poursuivent-ils.
https://www.actualitte.com/article/monde-edition/le-sne-n-est-pas-l-edition-une-remuneration-juste-n-est-pas-une-limite-a-la-creation-sea/99284?origin=newsletter
Tout nous szvons.
Et le silence dort.
il y a bien sur un hommage-bio de TOURNIER(LE FRERE)SUR LA TOILE!
Jean-Loup Tournier entre à la Sacem à l’âge de vingt ans, en 1950. Doctorant en droit, il fait ses premiers pas au sein du service juridique. En novembre 1955, il est nommé délégué général de la Sacem pour l’Amérique du Nord, par le Conseil d’administration présidé par Georges Auric. Outre-Atlantique, il veille alors à la gestion du répertoire français qu’il représente, tout en observant le fonctionnement des sociétés d’auteurs des États-Unis et du Canada. Il rentre en France cinq ans plus tard, pour être nommé à l’unanimité directeur général de la Sacem.
Dès les années 1960, il participe activement à la construction du droit international en matière de propriété littéraire et artistique. Lors de la conférence de Stockholm, en 1967, il fait entendre la voix des créateurs et permet d’introduire le droit exclusif de reproduction dans la Convention de Berne. Dans les années 1980, il collabore très étroitement avec le ministre de la Culture, Jack Lang, pour l’adoption de la loi de 1985, qui met en place la rémunération pour copie privée, la protection des droits patrimoniaux 70 ans après le décès du dernier auteur ou compositeur, ou encore la rémunération équitable pour les droits voisins. À Bruxelles, dans les années 1990, il joue également un rôle de premier plan dans l’élaboration de nombreuses directives européennes sur la propriété intellectuelle.
l’hommage audit jean loup frère de l’écrivain
https://www.irma.asso.fr/Jean-Loup-Tournier-s-en-est-alle
c’est plus fort que moi, je ne peux pas le copier!
Cela s’appelle la spoliation. Son propre enrichissement sur le dos des biens d’autrui.
Peut-être cela en passera par DHH la découverte de vous, de votre sensibilité propre, qui vous appatient en privé.
Après avoir rencontré Abel, un zoulou violent et alcoolique avec qui elle aura un enfant, c’est justement son salaire qui permet de garder – à peine – hors de l’eau le garage de réparation automobile de son conjoint. La fin de l’histoire est malheureusement de notoriété publique et nous montre que les femmes les plus indépendantes, libres et intelligentes ne sont pas à l’abri des violences conjugales et du féminicide. C’est ainsi qu’après plusieurs coups et convocations de la police – sans succès, puisque ces messieurs en uniforme n’ont jamais inquiété Abel, préférant demander à Patricia ce qu’elle avait bien pu faire pour se prendre une droite – cette grande croyante sort miraculeusement indemne d’une balle dans la jambe puis dans la tête de son ex-mari. Dès sa sortie de l’hôpital, les deux principaux traits de caractère de cette belle femme désormais défigurée, à savoir l’esprit/l’humour et la foi, s’expriment de manière bouleversante. Ainsi elle déclare à son fils qu’il est devenu le plus beau de la famille et que Jésus est la seule explication à l’enrayement de l’arme et au fait que la balle tirée dans la tête en soit ressortie par la narine sans atteindre les organes vitaux.
Chez notre Ed nationale, in Born a crime, pour Jacques Drillon en vue de tentative d’explication.
Nota : pour sourire carnassier, et pour la Sévérité, ne ferai nulle tentative. Qu’elles se démerdent.
on ne sait pas à qui parle rose mais si elle n’a pas connu des gens spoliés (guerre de 39 45 ) moi si ; et elle n’a peut être pas suivi la RDL où elle trouvera de billets édifiants par exemple sur
L’INTRANQUILLE
GÉRARD GAROUSTE
je ne trouve pas le billet ;j’ai lu le livre de Garouste que j’aime beaucoup comme peintre;
wiki précise quand même :
. Il est le fils d’Henri Auguste Garouste (1919-2008), antisémite et pétainiste convaincu, condamné le 25 juin 1945 à rembourser les établissements Lévitan qu’Henri Auguste Garouste avait spoliés en 1943, durant la guerre. Gérard Garouste voit dans cette terrible histoire familiale l’origine de ses troubles mentaux4.
la découverte de DHH par elle -même passe peut-être par la RDL et P.Assouline?
j’ai personnellement rencontré tant de gens, hommes et femmes,-et pas tous intellos:je connais une femme de chaudronnier justement!-que je n’ai pas faim de rencontres ni d’hommes, ni de femmes! de livres encore, si !
tenez rose, je vous mets un entretien de garouste parce que je pense qu’il vous plaira;son oeuvre est surement dans les images de google (je ne cherche pas je veux me coucher et il vaut mieux les voir en expo)
https://www.parismatch.com/Culture/Art/Gerard-Garouste-confession-tempetes-141878
courage
P.Assouline, j’ai lu GAROUSTE à la suite de votre billet (la chance c’est qu’on m’a offert chez Templon la plaquette à l’expo;je le connaaissais déjà) et à recherche , je ne trouve pas le billet ;on va encore me calomnier que j’invente ;je refuse ce massacre parce que l’intendance ne suit pas! quel dommage!j’aurais eu plaisir à relire ce billet, moi
Merci Et alii. Je vais le lire. J’aime ds l’article comment il parle d’Elisabeth. Il n’est pas si lointain. Je ne le cherche pas pck je voudrai dormir.
du coup, c’est moi qui regarde un peu les »noveautés » sur Garouste et je vois qu’il a exposé à CHAMBON SUR LIGNON, qui m’est cher aussi; Gérard Garouste, familier du Talmud, découvrait l’histoire de ces jeunes intellectuels juifs qui avaient fondé ici durant quelques mois L’école des Prophètes qui a contribué au renouveau du judaïsme français. Après la guerre, elle est devenue l’école juive d’Orsay à Paris, haut lieu culturel animé par des penseurs intéressés par l’éthique et la philosophie juives.
Il découvre aussi l’histoire du Chambon, de Tence, du Mazet-Saint-Voy… Tous ces villages et hameaux du plateau Vivarais-Lignon où les habitants, en majorité des Protestants, dont l’inconscient collectif gardait en mémoire les persécutions qu’ils ont subies eux-aussi à cause de leur religion, refusèrent la collaboration, décidèrent de résister par tous les moyens et surtout d’accueillir des Juifs, dont beaucoup d’enfants, menacés de déportation vers les camps de la mort. Le Plateau allait devenir la montagne-refuge comme l’ont surnommé les historiens.
. Pour l’occasion(d’une expo là) il a réalisé une œuvre originale baptisée Le Sablier ou l’âkédat d’Yitshak.
« Cette exposition s’adresse à l’Europe. Cette montée de l’extrême droite, ce populisme que l’on revoit partout, est à l’opposé de ce qu’il s’est passé au Chambon. Il faut résister. »
Gérard Garouste
https://www.francetvinfo.fr/culture/patrimoine/histoire/le-peintre-gerard-garouste-rend-hommage-aux-justes-du-chambon-sur-lignon-et-appelle-a-resister-au-populisme_3533121.html
pour ceux qui exigent et critiquent , l’âkédat d’Yitshakou la ligature d’isaac(au mont moriah par abraham) autrefois traduit improprement « sacrifice » alors qu’il n’y a pas eu de sacrifice :on qa dit qu’en cette ligature consistait tout le judaisme
Beloved est effectivement une tannée. J’ai rarement autant détesté un livre.
Rose, pourquoi cet extrait sur Born a crime (un livre formidable) ?
J’ai une grande nouvelle à vous annoncer : je vais démissionner.
Ed
Je vous ai écrit
Chez notre Ed nationale, in Born a crime, pour Jacques Drillon en vue de tentative d’explication.
Pck Jacques Drillon a écrit
Femmes battues avec homme alcoolique. Pourquoi l’homme boit.
J’m mieux votre extrait d’un point de vue féminin, et j’aime bien aussi votre absence de jugement.
Ed
Vous allez démissionner d’où ?
la nouvelle:Pennsylvania Museum Discovers That It Owns an Authentic Rembrandt Painting
conservationists discovered, hidden beneath layers of overpainting and thick varnish, traces of the Dutch Master’s vivid brushwork. X-ray, infrared, and electron microscopy confirmed their speculations: the small Pennsylvania museum owns an authentic Rembrandt van Rijn piece.
le lien pour l’image
https://www.artnews.com/art-news/news/rembrandt-reattributed-allentown-art-museum-1202678103/
Et alii
Annelise Roux serait contente d’apprendre que Timothé Chalamet y a passé plusieurs étés dans la maison de son grand-père Roger Chalamet, pasteur du village.
Et alii
Et la nuit ?
rose, nous c’était une nuit dans un village voisin sous une tente avec notre petit chien!
harold, le petit chien!
Psychology researchers provide new evidence that bilingualism can delay symptoms of dementia. Researchers found bilingualism provides the brain with greater cognitive reserve, delaying onset of symptoms.
Et alii
Harold
♡
Jamais pensé appeler un chien Harold. Trop beau.
Ce qui fait le lit de, c autre chose. Je le sais.
Bises
quoi qu’il en soit, à part rose et renato, vous donnez tous ici l’impression qu’il est interdit d’avoir eu une vie personnelle avant d’aller sur la RDL,( et même des parents! une scolarisation !c’est interdit c’est votre exclusivité,(avec M.Serres dit « un mondain » et Hagège « un vieux libidineux » qui fait du one man show au mieux -on craint de penser au pire-)
vous ne reculez devant aucune calomnie ,aucun mot injurieux , vous considérant les « maîtres » ,on se demanderait presque pourquoi P.Assouline concocte un billet si dense qu’il est une incitation à la recherche
je n’ai aucun plaisir à être en votre compagnie qui réclame des compliments et des éloges incessants comme si vous étiez là pour ça ;non seulement, je n’ai aucun plaisir mais je me reproche moi-même la moindre tentative d’évocation d’une question-comme celle de la sacem aujourd’hui;
bien sur P.ASSOULINE peut « gronder »contre moi , et ce serait clair, le petit « clan »continuerait à fonctionner et se congratuler :pourquoi pas? ayez seulement le courage de vos désirs , vous les « lacaniens »:il ne faut pas céder sur son désir a été assez répété(compris c’est une autre affaire) je me couche maintenant et me souhaite des rêves fructueux
u terme du Séminaire sur L’éthique de la psychanalyse, Lacan lance une sorte de défi de langage. Il nous dit ceci : « Je pense avoir assez fait le tour de cette opposition entre le centre désirant et le service des biens pour proposer quelque chose au vif du sujet » et il ajoute « à titre expérimental formulons-le en manière de paradoxe. Voyons ce que ça donne, au moins, pour des oreilles d’analystes : Ne pas céder sur son désir [1]
[1]
Jacques Lacan, Le Séminaire, Livre VII, L’éthique de la…. »
Le désir dans la subversion lacanienne du sujet : « Ne pas céder sur son désir »
Isabelle Dhonte
Mercredi 19 février 2020, 5h30
Je n’ai rien à dire ce matin. Il fallait que ce soit dit. Certain(e)s ici parlent pour ne rien dire. Je les envie. Cela m’est viscéralement impossible…
…
…il y a de cela,…du droit d’auteur et des intérêts du groupe dominant à publier les livres qui lui convienne; pour asservir une majorité asservie et soumise.
…
…il n’y a, pas; d’autre logique, à la Bible.
…
…droits d’auteur, ou maître des convenances sociales dans la société, y compris les zizanies et guerres sociales » organisées « , par le pouvoir,…pour le pouvoir,!…
…
…Homère pour nous en remettre une couche de » fromage « .
…les » morales « , pour rester riche, sous couvert de religions,…
…Liberty, ou çà,!,pour qui, pour quoi faire,!…
…des notaires et l’état, pour nous spolier.
…etc,!…
L’homme boit parce qu’il a une pulsion naturelle de mort.
Rose, je démissionne de mon CDI et quitte l’Allemagne.
Ed, alcooliques de père en fils, nous buvons dans notre lignée familiale d’ivrognes pour voir la mort tituber, traverser la rue et s’en prendre à un buveur d’eau minérale sans défense…Boire est une pulsion de vie.
Ed, alcooliques de père en fils, nous buvons dans notre lignée familiale d’ivrognes pour voir la mort tituber, traverser la rue et s’en prendre à un buveur d’eau minérale sans défense…Boire est une pulsion de vie.
Tres bon numéro Et Al. Bravo.
Merci pour la Tournier story . Pas souvenir qu’elle ait été déballée lors du dernier billet-hommage.
« Eurovision : le refrain de Tom Leeb «a cassé les oreilles» du ministre Riester »
« Boire est une pulsion de vie. »
Fumer aussi, JiCé.
« je démissionne de mon CDI et quitte l’Allemagne. »
Pour aller où, Ed ? Merde pour la suite !
Justin Crétin, fiotte et ivrogne : la Totale !
Et Al qui a bien mérité de dormir toute la journée après sa nuit intense a demandé de coller au billet, pas à Rebatet.
C’est du Droit qu’il s’agit, pas du pognon qui » brûle les doigts ».
« Après la guerre, on se limite à organiser les relations entre auteurs et intermédiaires économiques, en laissant de côté la question de la juste articulation entre l’intérêt public et l’intérêt privé. Il est peu surprenant, dès lors, que les droits d’auteur soient devenus une question avant tout « juridique », et donc « technique », dont la défense est accaparée par les spécialistes, et bientôt par les groupes d’intérêts et les groupes de pression organisés.
Il y a cependant bien eu un contre-projet sous le Front populaire, avec le projet de Jean Zay [16]. Celui-ci proposait une nouvelle définition de l’auteur. Il voulait établir la loi sociale du travailleur intellectuel. Le créateur était défini comme un travailleur, et non comme un propriétaire, à rebours de la tradition juridique française. Ce projet, totalement oublié ensuite, peut retrouver une certaine actualité aujourd’hui, dans un contexte d’explosion démographique du nombre d’auteurs. Il replaçait aussi au centre du débat les droits du public et jetait les bases d’un nouveau contrat social entre l’auteur et la société, à travers la notion de domanialité publique.
La loi Jean Zay était une grande loi politique, une loi partisane et une loi faite à l’ancienne manière, les hommes politiques s’asso ciant avec les auteurs. Elle est plus proche des lois révolutionnaires que de la loi de 1957. Le débat autour de l’initiative de Jean Zay représente la dernière grande bataille politique du droit d’auteur dans laquelle plusieurs figures intellectuelles interviennent. Avec la loi de 1957, ce sont les adversaires du projet Jean Zay qui l’emportent. C’est le succès de la « tendance Grasset », le triomphe des médiateurs et des organisations professionnelles, sous couvert d’une sacralisation de l’auteur, certes, mais avec un auteur traité de façon fonctionnelle. C’est sans doute aussi ce qui explique l’absence de grands débats intellectuels (une loi sans Beaumarchais) et le peu de prises de position politiques marquées à son sujet. Le débat de société n’a pas vraiment lieu. »
https://www.cairn.info/revue-l-economie-politique-2004-2-page-21.htm
Droits d’auteur, droits du public : une approche historiqueAnne LatournerieDans L’Économie politique 2004/2 (no 22), pages 21 à 33
Chère Luchienne de Chiasses,
Julien Crétin est un ami fidèle, ne l’escagassez pas trop. Comme tout crétin qui se respecte, il est l’innocence même, le produit de géniteurs avariés. La génétique, hélas !
Aimons nous les uns les autres, non ? A cet égard je vous enfile cordialement dans le local poubelles de l’immeuble : la zoophilie est l’un de mes vices caché ! Bien à vous !
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Propri%C3%A9t%C3%A9_intellectuelle
Bonne journée
Et bien Ed, vous quittez Hambourg !
Pas encore découvert, las, ce grand port sur la Baltique.
Et savez-vous pour où ?
Je ne comprends pas l’association boire-violence. Il y en a qui n’ont pas besoin de boire pour battre les femmes. Par ailleurs, boire n’est pas une caractéristique propre aux mâles de l’espèce — ma grand-mère maternelle à bu son kirsch et fumé son Brissago jusqu’à ses 98 ans et ça sans pratiquer la violence d’aucune façon que ce soit. Il m’est arrivé, par contre, de rencontrer des abstinents (mâles et femelles) qui pratiquaient joyeusement la violence politique, physique et intellectuelle.
19.02, 09.22
Burroughs :
Très chère Rose,
J’ai quelque fois régaté du côté de Hambourg, comme du côté de Kiel, durant la Kieler Woche. Savez vous comment Merkel, la Reine du Caramel, a réussi à faire glisser Hambourg de la Mer Baltique… à la Mer du Nord où la cité se trouve actuellement, semble t il ? Merci pour votre aide : je suis nul en géographie… !
Quoi qu’il en soit, Ch. a donné ici la preuve, hier, qu’il est interdit d’avoir une vie personnelle hors la RDL.
De tous les mensonges et accusations délirantes qu’il a écrits ici à mon intention, hier, ce qu’il m’a le plus choquée a été celle concernant les obsèques de mon ami. Invitée, j’y suis allée tristement, comme tous ceux qui étaient présents. Il n’avait plus donné signe de vis à ses amis depuis quelques mois et il nous revenait par l’annonce de sa mort et par cette cérémonie que sa famille ouvrait à tous ses amis. Et les amis, serrés dans cette petite salle, réunis autour de sa famille, étaient là.
A la fin des témoignages de ses proches, une invitation a été faite par son frère à l’assistance de prendre la parole si un ou une le désirait.
J’ai alors répondu à cet appel. Debout, à côté de son cercueil qui allait disparaître en cette fin de cérémonie (crémation), j’ai dit adieu à mon ami, rappelant à ses enfants qui étaient juste en face de moi, à quel point leur père était fier d’eux, à quel point il les chérissait. Puis j’ai évoqué, dans les souvenirs de cette amitié, l’homme que j’avais découvert : cultivé, fou d’art (que d’expositions nous avons sillonnées !), étonnamment philosophe et en quête d’une inaccessible paix intérieure.
A la fin de la cérémonie, alors que les uns et les autres avaient du mal à se séparer, son père s’est avancé vers moi et m’a remercié pour ces paroles qui étaient très justes et l’avaient touché.
Puis j’ai marché longuement dans les allées du cimetière, si grand, auprès d’un ami délicat et cultivé aussi.
Voilà, pour le pire mensonge que ce sinistre commentateur a osé écrire ici.
Quand je pense que toute sa hargne est venue d’une émission « Répliques » où il n’avait pu supporter les commentaires d’Alexandre Postel et plus tard n’ayant eu de cesse de me contredire parce que j’évoquais la qualité de son dernier livre paru Un automne de Flaubert…
Comme il lui a été facile de passer du désaccord à propos de ce livre (qu’il n’avait pas lu) à la rancœur, à la calomnie, à la bassesse, à la vulgarité. J’espérais qu’il n’était pas dans son état normal, qu’il était ivre mais, a-t-il écrit dans une bordée d’injures : « je ne bois pas ». C’était donc consciemment qu’il a multiplié sur cette page ces insultes méprisantes. Quel homme est-ce donc que ce commentateur ? Je n’aimerais pas être son amie !
Quant à la supposée et délirante évocation d’une historiette amoureuse avec P.E… Cet homme, écrivain, je ne l’ai rencontré que trois fois et à son initiative. Il y avait toujours une table entre nous et sur cette table : un repas ou deux cafés serrés. L’amitié et l’admiration que je lui portais étaient uniquement d’ordre littéraire car j’aime ses livres. Qu’il habite à Saint-Malo ou au fin fond de l’Alaska m’est indifférent. Nous n’avons pas à multiplier des rencontres. Ce que nous avions à nous dire l’a été.
signe de vie
Voir l’embouchure de l’Elbe.
Pour traduire en images terrifiantes toute la lutte splendide évoquée par cette chère Christiane, il faudrait Sergio Leone sur un scénario de Dante avec Salvini dans le rôle du héros !…
renato a raison:l’alcoolisme est souvent présenté par les thérapeutes comme une pathologie de femmes, pas forcément violentes; j’en ai connue une que je ne crois pas avoiété très heureuse, et qui buvait, buvait, je crois qu’on dit « comme un trou »
je vous laisse chercher des témoignages de professionnels;
merci Marie de poursuivre l’enquête pour le billet
sur les 200 000 personnes âgées de 18 à 64 ans interrogées, 15% des femmes de moins de 35 ans ont un usage dit « à risque » de l’alcool (contre 30% pour les hommes).
Un phénomène inquiétant, qui touche toutes les femmes sans exception, quel que soit leur milieu social et professionnel.
Les femmes diplômées davantage concernées par l’alcoolisme
La gueule de bois serait-elle la rançon de l’égalité ? Pas si simple, répond Gérard Haddad, auteur des Femmes et l’alcool, quatre récits d’un psychanalyste (éd. Grasset) : « On ne devient pas dépendant malgré soi. Chez la majorité des gens, le filet de sécurité est en place. Ne pas réussir à dire stop révèle un traumatisme grave. Une femme qui craque et devient alcoolique a été cassée à un moment donné. Il y a dans son histoire une blessure de la féminité : un avortement, un abus sexuel, un viol, des mensonges liés à la sexualité … Une profanation du pacte symbolique sacré entre hommes et femmes. »
Ce livre raconte l’histoire de quatre femmes qui, un jour, se sont adonnées sans limite à la boisson. A travers ces histoires s’est dégagée la cause de cette compulsion suicidaire : Une femme qui boit est une femme blessée, profanée dans sa vocation à être mère. La maternité n’est pas seulement une fonction biologique. C’est aussi et surtout l’assomption à une place symbolique qui appelle à être reconnue par le partenaire. Que celui-ci se dérobe ou, pire encore, qu’il s’évertue à détruire ce désir, il peut briser
le livre de G.HADDAD UN PSY QUE J’AIME BIEN
JiCé… dit:…
Scénariste et réalisateur ?
Après la nuit, le jour ! Il est intarissable…
19 février 2020 à 10 h 06 min
« Deux » de Filippo Meneghetti.
Deux voisines s’aimaient d’amour tendre.
Mais comment s’y prendre, s’inquiétait l’une d’entre elles pour le dire à ses enfants ?
Un premier film intimiste, subtil et tendre, entre deux femmes âgées, aux corps et dans leurs décors fanés, qui ne sombre pourtant jamais dans le mélo.
Ici, malgré le drame qui se profile, l’amour parviendra-t-il encore à irradier l’amour secret qui unit ces deux femmes, splendidement incarnées par Barbara Sukowa et Martine Chevallier (de la Comédie française) ?
A la veille de quitter Sommières pour aller vivre leur passion commune à Rome, la ville où elles se sont rencontrées vingt ans plus tôt, celle qui fut mariée et veuve, mère de deux enfants, un garçon et une fille (excellente Léa Drucker) et grand-mère, fait soudainement un AVC la laissant muette et paralysée.
Ainsi, ces deux femmes qui furent tout l’une pour l’autre, se retrouvent n’être plus rien aux yeux de la loi et de leur entourage et sont impitoyablement séparées.
Que savons-nous des adolescents demandait avec perspicacité l’avocate de « La Fille au bracelet » ?
Qu’est-ce que les enfants savent de leurs parents, pourrait-on pareillement se demander ?
Tandis que l’une est placée en EHPAD, où son état se délabre dangereusement, l’autre se désespère dans son coin, jusqu’au jour où elle prendra la (bonne) décision de faire… évader sa compagne, que ses enfants, soupçonnant la nature de leur relation, et choqués par celle-ci, ont volontairement éloignée d’elle.
« Deux » ou La voisine d’en face, un film passionnel aussi beau que « La Femme d’à côté ».
En moins désespérant toutefois, car ici l’amour ne mène pas à la mort, comme dans le film de François Truffaut.
C’est en effet une bombe d’amour que le personnage joué par Barbara Sukowa lance dans le marigot familial de sa compagne, déclenchant aussitôt à son encontre haine et incompréhension.
Une belle histoire de défragmentation où, à la fin, tous les espoirs sont permis !
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19587095&cfilm=268333.html
la vieille directrice d’école en rajoute une couche. Non, je ne bois pas mais la lucidité sur le ridicule de gens qui paraissent et s’exhibent ici peut parfois ressembler à de l’ivresse. J’en dirai davantage sur ces danses de Salomé ailleurs et ferai, soigneusement et gaillardement, leur portrait. Pour le reste, je maintiens que des livres comme celui d’Assouline et de Postel sont dangereux pour le patrimoine littéraire et historique et qu’ils ne devraient pas être publiés. Ce ne sont évidemment pas les oies qui règnent ici et sont déjà dans la nasse qui seraient en mesure de le comprendre.
Quant au reste, on me rendra compte un jour où l’autre d’une tentative de chantage. J’ai tout mon temps.
Faites comme moi aujourd’hui, prenez des vacances, L’air ambiant de ce blog est devenu irrespirable.
« Faites comme moi aujourd’hui, prenez des vacances »
Voilà un conseil de grande qualité ! Exécution !
« L’air ambiant de ce blog est devenu irrespirable. »
Le coronavirus serait-il passé par les crachotis d’un commentateur/trice ta-mère ? Impossible : chacun ici porte un masque.
…
…régulièrement, mes posts n’apparaissent pas,!
…
…Opus Dei, dans l’air,!…ou autres sectes de l’état bourgeois dans l’air, du temps,!…
…tous torchons du capitalisme. etc,…
…
sur mediapart:
’interview que je vous reproduis ci-dessous permet de cerner l’objet de son livre. Il s’inscrit dans le parcours théorique déjà initié avec “Manger le livre”, un ouvrage précédent qui lui permet de penser que l’alcool est un substitut du livre, un équivalent symbolique. “Parce qu’il brule la bouche comme du feu”.
Haddad pose l’utilisation de l’alcool par les femmes comme l’effet d’une“mutilation subie”, la réponse à “un désir bafoué”. Cette réponse du sujet tend vers “un suicide lent et masqué”.
Donc, très logiquement, Haddad nous explique qu’il ne s’agit pas de savoir comment sortir de l’alcool, mais de se demander pourquoi l’on y entre. Ce qui est une position classique des psychanalystes depuis Ferenczi. Ce qui démasque aussi la bêtise de qui voudrait s’aventurer à maitriser la chose.
Haddad fait tourner la catastrophe qui conduit une femme à l’alcool, autour du désastre et de la déroute d’un pacte symbolique qui existerait dans la maternité. Il ne faut pas se tromper sur ses termes. Haddad n’a pas une conception étroite de cette maternité. Il l’élargit à la demande adressée aupartenaire qu’il tienne sa place dans le couple. Dans le cas où ce ne serait pas le cas, c’est-à-dire dans celui où le partenaire masculin lui refuserait depouvoir s’échapper, le refus, la “profanation” de cette autre jouissanceéquivaudrait à une mutilation.
Ce point est très discutable, il pourrait même nous laisser entrevoir que Haddad a beaucoup de mal à assimiler cette notion compliquée de Lacan. C’est placer la maternité avant tout, même si son désir est impérieux. C’est surtout penser que l’autre jouissance serait contingente, déterminée par ce fameux pacte, s’il existe. Ce dont l’on peut douter.
t ce n’est pas le recours à un néologisme comme celui de “pa(ma)ternité”qui pourrait nous rassurer là dessus.
Mais, son idée est pourtant intéressante car elle ouvre à une approche inédite de l’alcool pour les femmes. Elle permet à Haddad d’articuler son intuition, étayée par ses observations cliniques, à “la débacle du signifiant paternel dans la société (…) et du livre”. C’est peut-être une piste utile pour la suite de la réflexion.
Enfin, ce livre fait plaisir. Il ouvre les questions et nous change du baratin habituel de nos chers alcoologues.
mediapart
je ne bois pas,même parfois pas un verre de longtemps;cela ne me tente pas du tout(pour les curieux-ses)
Pourquoi une femme se met-elle à boire ?
Gérard Haddad
Dans Savoirs et clinique 2011/1 (n° 13), pages 40 à 43
https://www.cairn.info/revue-savoirs-et-cliniques-2011-1-page-40.htm
#Il n’avait plus donné signe de vis( sic) à ses amis depuis quelques mois
7 ans.
Griveaux le Priape avait, lui, donné signe de vis, euh…de vie, euh…de vit.
« Rose, je démissionne de mon CDI et quitte l’Allemagne. »
Suite à une déception sentimentale?
C’est toujours comme ça.
Dans un petit journal estimable, les variations de la météo cessent d’être erratiques pour devenir « hiératiques »…
Un exemple parmi d’autres.
…
…pour bien se faire mettre, nos futur torchons,…en Liberty style.
…lisons du » Harry Potter « , et autre débilités circonscrites dite » bourgeoises « .
…romans d’angoisses sans nombres,!…etc,…
…Jeanne d’Arc en hi-fi.
Pardonnez-moi Ed, mais JB vous aurait de toute façon posé la question d’une manière ou d’une autre…
A propos d’alcool féminin, notre hôte a relevé un sacré défi, je trouve, en adaptant pour France Cul « Le Chat » de Simenon…
Parce que pour faire oublier Signoret, sa voix, son jeu, je ne sais pas quelle interprète Assouline a trouvée, mais je lui souhaite bon courage…
Bon, ce sera, me dit-on dans le poste, radiophonique. La pauvre comédienne n’aura au moins pas à lutter avec ses yeux-là…
(Ed, n’allez pas voir ce film, je vous en prie, surtout si vous êtes un tantinet découragée par la vie !)
assez souvent ai-je évoqué, moi aussi, G.Haddad sur ce blog ,avec son oeuvre, assez nombreuse maintenant, ses vidéos et ses conférences à Akadem , avec débats pour ne pas en rajouter, eu égard aux personnalités jalouses -qui cabotent ici en toute calomnie projective; il y a longtemps que je suis Haddad ;je crois qu’il est un des rares chercheurs -il l’était en agronomie avant de se réorienter ,parmi les psys qui réveillent ma confiance :ce qui est tout dire:il y va de sa peau dans cette aventure de la psychanalyse;
bonne journée
Non, certainement pas sept ans ! L’amie fidèle qui l’a hébergé jusqu’à sa dernière opération était là aussi. Nous avons longuement parlé…
Sauf raison médicale sérieuse, je n’aime pas trop cellzéceux qui ne boivent pas de ces merveilleux produits de la vigne, de la fermentation et de la distillation qui font partie de notre civilisation depuis des siècles, voire des millénaires…
Cette affaire privée ne nous regarde pas.
On ne peut que s’étonner que les « amis » n’en étaient apparemment pas.
Question alcoolisme. Peu importe si mâles ou femelles. On peut avoir le goût des boissons alcoolisées — vins, eaux-de-vie, liqueurs — sans être dépendents. Il faudrait prêter attention à ne pas devenir dépendant — moi, par exemple, je me tiens à un conseil de ma grand-mère : l’on observe 3 jours d’abstinence tous les 15 jours, si on n’y arrive pas il faut arrêter de boire le temps qu’il faut pour retrouver le plaisir du goût.
Naturellement il y a les abruti-e-s qui boivent pour oublier et ça c’est une belle connerie, car tout le monde sait que la mort seulement est un bon médicament si on a quelque chose à oublier.
closer, j’ai ri à la lecture de votre commentaire. C’est vrai que JB est très « potins ». Genre « t’as un petit ami ? », mais je vais m’arrêter là sinon clopine va encore dire que je suis homophobe.
Pas de déception sentimentale. Enfin si, mais il y a longtemps et si je déménageais à chaque déception…Ce serait un sacré bordel !
Et les deux cracs en géo, Hambourg n’est ni au bord de la mer du Nord ni au bord de la Baltique. Ceci dit, on est plus proche de la seconde.
Ed
Vous êtes un tantinet découragée par la vie ?
Je vous vois là, à deux pas de Lübeck, loin de l’estuaire de lElbe renato, à deux pas de Brême et ses musiciens, pas loin de Berlin et au pied du Danemark.
Lorsque vous descendrez l’Elbe, vius arriverez en baie de Helgoland : à votre gauche, les îles de la frise occidentale suivies des îles de la frise orientale, à votre droite les îles de la frise septentrionale.
Je ne vois pas marqué ler du nord.
Ne quittez pas, j’arrive !
« Boire est une pulsion de vie »
En apparence, oui. uhuh « bons vivants », etc. Mais il suffit de creuser un peu pour voir que les gros buveurs, même « sociaux » ont de sacrés tendances dépressives et boivent non pas pour oublier, mais pour échapper ! Chacun son truc, moi je suis ivre d’amour envers et de la part de qui vous savez ahah.
« … mer du Nord — au bord de la Baltique. Ceci dit, on est plus proche de la seconde. »
C’est, il me semble, sa position [d’Hambourg] près de l’embouchure de l’Elbe qui fait reference, et puisqu ce ruisseau se jette dans la mer du Nord…
Les îles sont magnifiques. Je ne suis allée qu’à Sylt (bon sur les photos elles se resemblent toutes), et c’est vraiment sublime.
Merci Ed.
Mais je n’aime pas non plus les ivrognes, de façon générale tous ceux qui perdent le contrôle de leur comportement, qui ne peuvent plus « s’empêcher »…
Merci Clopine pour cette extraordinaire scène entre Signoret et Gabin. Inoubliable.
Je ne vois pas marqué mer du nord.
La mer Baltique, elle, démarre de trois golfes, de Botnie, de Finlande, de Riga.
À sa gauche, la Suède, plus bas le Danemark. À sa droite, la Finlande, la Russie, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, l’Allemagne.
Elle va jusqu’à Lübeck où derrière l’attendent la baie de Kiel et la grande baie de Langeland.
Bref.
Je suis tombée dans l’atlas.
Ai découvert plusieurs chapelets d’îles toit bonnement extraordinaires.
Ahlalalala.
Sur mon vieil atlas je n’ai pas le nom des îles. Il est bon pour la refonte.
D’ailleurs je démissionne jeudi prochain. Oh mon Dieu j’ai pas envieeee. Pour en revenir aux potins, c’est quand même vachement plus facile de quitter un mec.
J’ai oublié qui a dit « on ne boit pas pour oublier, on boit pour se souvenir… »
Peut-être Antoine Blondin, un spécialiste.
Oh combien juste.
Quelle est la différence entre boire pour oublier ou échapper, Ed ?
Ma curiosité était surtout pour la nouvelle ville que vous aviez choisi pour poser vos bagages et vos chattes…
closer, la curiosité n’est pas un vilain défaut, j’y vois plutôt une marque d’intérêt à l’autre, aux autres. Assume la tienne sans me la coller sur le dos…
Jazzi
Quoique j’aurais en aimé un homme et une femme, chabadabada, ton compte-rendu fait envie.
L’amour le soutien la solidarité la confiance l’échange la tendresse en fin de vie en choisissant et en ne subissant pas.
Un rêve étrange et pénétrant quoi.
Les mômes, ils s’occuperont d’eux-mêmes.
P.S : tu avais drôlement bien vu ; ma maman s’était trouvé un amoureux dans les.ateliers géniaux où elle participait.
Quand je lui ai demandé si ce n’était pas difficile de partir pour cela.elle m’a.répondu j’en trouverai un autre (hein Ed) et moi je veux retourner dans ma ville natale, qu’est ce que je fous ici, ce n’est pas chez moi.
« Cette affaire privée ne nous regarde pas. »…
Spéciale dédicace à Chaloux.
Le port de Hambourg est situé sur l’Elbe, ruisseau qui prend sa source dans les monts des Géants — République tchèque — se jette dans la mer du Nord par un long estuaire d’une centaine de kilomètres sur lequel se trouve Hambourg, premier port d’Allemagne. Chic, élégant, kotelette, aurait dit mon ami Dieter Schnebel.
« Mais je n’aime pas non plus les ivrognes, de façon générale tous ceux qui perdent le contrôle de leur comportement, qui ne peuvent plus «s’empêcher»…
Idem !
Pour saluer pierre Guyotat
https://www.telerama.fr/livre/lecrivain-pierre-guyotat-est-mort,-a-lage-de-80-ans,n6602376.php?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1581099949
J’assume (comme on dit dans la macronie) JB!
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