de Pierre Assouline

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Maugham & Floc’h & Rivière : Tremendous !

Maugham & Floc’h & Rivière : Tremendous !

L’anglophilie est-elle une maladie textuellement transmissible ? Si c’est le cas, alors ça craint à la lecture de Villa Mauresque du duo Floc’h & Rivière (104 pages, 20 euros, La Table ronde) car l’album est irrésistible. Il n’est pas indispensable de bien connaître la langue de Maugham (prononcez « Môôôme » si vous ne voulez pas passer pour un froggie) pour succomber à son charme. Car c’est bien de lui qu’il s’agit ainsi que l’annonce le bandeau « Somerset Maugham  et les siens » pudiquement placée par l’éditeur non au bas, comme il est d’usage, mais au centre de la couverture représentant l’écrivain nageant saisi en sa natation, de manière à masquer la verge de l’homme chaloupé qui l’observe au bord de la piscine (ce qui ne manque pas de sel au moment où le film L’Inconnu du lac est interdit d’affichage à Versailles et Saint-Cloud). Nous voilà déjà dans l’ambiance de cette Vie-du-grand-écrivain (1874-1965) racontée sous forme de roman graphique. Il tient autant de l’autobiographie que de la biographie : les pages où il se raconte alternent avec celles où ses proches le racontent. Frère, neveu, chroniqueur, partenaire de bridge, cuisinière… Pas complaisants pour autant. Ce qui donne un (auto)portrait éclaté du meilleur effet car une lumière trouble et stimulante née des versions contradictoires de la vérité l’éclaire mieux que toute enquête, fût-ce le très complet Willie. L’exercice est aussi audacieux que rare ; peu de biographes s’y sont essayés car un point d’ancrage est indispensable au récit afin qu’il ne s’éparpille pas et ne désoriente le lecteur dans ce labyrinthe de voix. En l’espèce, c’est la fameuse Villa Mauresque, maison tapie dans un nid de verdure odorante au Cap-Ferrat (Alpes-Maritimes) ; le roi des Belges l’avait fait construire pour son confesseur dans un style plus ou moins arabisant afin de lui rappeler les heureuses années où il évangélisait l’Algérie,

Plus encore qu’Oscar Wilde, qui traverse ces pages car son destin le traumatisa, W. Somerset Maugham n’avait mis que son talent dans son œuvre, et une touche de génie dans sa vie ; à se demander s’il ne voulait pas en faire une œuvre d’art. Encore qu’il avait une certaine idée de ses livres, notamment Servitude humaine/ Of Human Bondage (1915), Mr Ashenden, agent secret/Ashenden : Or the British Agent (1928), Le Fil du rasoir/The Razor’s Edge (1944) sans oublier son abondante production dramatique, qui fit sa fortune, ses innombrables nouvelles, et celui de ses livres pour lequel il nourrissait la plus grande estime La Ronde de l’amour/ Cakes and Ale : or the Skeleton in the Cupboard (1930), où la veuve d’un écrivain qui ressemble fort à Thomas Hardy demande à un jeune confrère d’écrire sa biographie.

Les deux complices qui signent cet album sont là à leur meilleur, en parfaite harmonie avec leur héros, son monde, son décor, son univers. Depuis 1977, ils ont fait œuvre commune au service d’une commune passion pour l’Angleterre et sa mythologie telle que la littérature et le cinéma nous l’ont transmise. « Sans la Grande-Bretagne, la vie ne vaudrait pas la peine d’être vécue » lâche Floc’h avec un sens consommé de la litote devant un journaliste du Monde qui lui tire le portrait. Ils sont du genre à vous entretenir pendant des heures de Tallulah Bankhead, égérie émancipée des années 1930 en Angleterre et héroïne du Lifeboat d’HitchcockGrâce au ton so brit de François Rivière, et malgré la ligne claire (pas d’ombre dans le trait  continu) de Jean-Claude Floch, question atmosphère, on se croirait dans Les Chariots de feu ou dans Les Vestiges du jour. A ceci près que des personnages littéraires y sont mis en abyme dans une bande puissamment dessinée. Il ne manque pas une rayure à la cravate club, et elle renseigne tant sur l’université que sur le régiment. Mais c’est de Maugham qui s’agit, dandy nonchalant au caractère épouvantable, excentrique et mondain, affligé d’un bégaiement qui n’était pas sans charme, homosexuel décomplexé, cuirassé de cynisme, masochiste en robe de chambre chinoise, amateur de ragots et mauvaise langue d’anthologie, d’un humour sarcastique dévastateur. Même dans le small talk, cette spécialité anglaise qui tue la conversation en la ramenant au plus anodin dans le fol espoir de lui conférer la légèreté de l’ineffable, il avait le chic plutôt vache, et l’air blasé, même quand il était jeune et pas encore revenu de tout et de presque tous. Lorsque le diariste en lui se mettait à la table d’écriture, il s’imaginait être la version gentleman de Jules Renard. L’homme au visage parcheminé et aux paupières de reptile n’en était pas moins un séducteur. Entouré d’éphèbes et d’égéries, il avait le sens de l’hospitalité. La Villa Mauresque a souvent servi d’auberge de vieillesse à Cecil Beaton, Noel Coward, Winston Churchill, Max Beerbhom, H.G. Wells, Arnold Bennett, Virginia Woolf, Jean Cocteau, Ian Fleming, les inévitables Windsor… Tous à poil dans la piscine ! car en principe, c’était la règle (enfin, peut-être pas Winston, encore qu’un cigare suffisait à l’habiller). Voilà pour l’homme et l’essentiel passe mieux que dans bien des biographies ou des portraits, y compris le très complet Willie de Robert Calder (Heinemann, 1990). Mais qu’on n’aille pas y chercher une analyse de la pertinence des reproches de la critique à son endroit : lexique réduit, impuissance à élever l’understatement au rang des beaux-arts, faibles qualités lyriques… A quoi il répondait en haussant les épaules : »On apprend à tout âge ».

Quelle prouesse d’avoir su rendre si british cette dolce vita sur la Riviera ! On en redemande. Il faudra attendre longtemps peut-être car il semble que les deux artistes ne peuvent plus s’encadrer ; un article fait état en effet d’un divorce dans le ménage Floc’h & Rivière ; il est vrai que trente-six années se sont écoulées depuis qu’ils ont fait connaissance dans une librairie, noué amitié en rendant visite à Hergé (pour son génie du trait, mais pour l’esprit, ils étaient des enfants d’Edgar P. Jacobs) et imaginé dans un wagon du Bruxelles-Paris Le rendez-vous de Seven Oaks… Mon seul regret : n’avoir pas eu la présence d’esprit de le signaler à mes petits camarades de la Société littéraire des Goncourt pour le rajouter à nos recommandations de lectures pour l’été. Quoi, un roman graphique chez Drouant ? Shocking !

(Dessins de Floc’h extraits de l’album Villa Mauresque)

 

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commentaires

968 Réponses pour Maugham & Floc’h & Rivière : Tremendous !

La mauvaise langue dit: à

Leur nom, on dirait une agence de notation…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…une auberge de jeunesse privé,…comme on voudrait en voir plus souvent,…
…Amsterdam,…etc,…Bruxelles-Paris,…Cap-Ferrat,…un manuel des confesseurs,…etc,…

des journées entières dans les arbres dit: à

In english:
« En l’espèce, c’est la fameuse Villa Mauresque, maison tapie dans un nid de verdure odorante au Cap-Ferrat (Alpes-Maritimes) ; le roi des Belges l’avait fait construire pour son confesseur dans un style plus ou moins arabisant afin de lui rappeler les heureuses années où il évangélisait l’Algérie »

In french:
« Monseigneur Charmettant, ancien missionnaire et aumônier du roi Léopold II de Belgique, acquiert vers 1900 une parcelle de 40000 m2 dans le lotissement du Cap-Ferrat. Il y fait construire une villa de style mauresque appelée Villa Charmettant, par un architecte inconnu. Il ne subsiste de l’état initial de l’édifice que la dépendance avec ses fenêtres inscrites dans des arcs outrepassés. La villa, achetée en 1927 par l’écrivain anglais Somerset Maugham est rebaptisée La Mauresque. L’architecte américain Barry Dierks (Théoule-sur-Mer) élimine le décor arabe, simplifie les façades, classicise le patio, modernise la distribution et crée l’escalier. Endommagée pendant la Seconde Guerre mondiale, la villa est restaurée dans son état d’origine par l’architecte Henri Delmotte. Elle est achetée en 1967 par l’américaine Lynn Wyatt qui charge l’architecte niçois Marcel Guilgot du réaménagement intérieur et de la décoration des façades, dans un goût classique. »

et en belge ?

La mauvaise langue dit: à

« lexique réduit, impuissance à élever l’understatement au rang des beaux-arts, faibles qualités lyriques… A quoi il répondait en haussant les épaules : »On apprend à tout âge ». (passou)

La Rhétorique à Herennius (86-83 av. JC) distinguait déjà trois genre : gravis, mediocris et extenuatus ou attenuatus.

La sécheresse et l’absence de vigueur guette le discours ténu. Intéressant de savoir que Maugham juge encore qu’il a quelque chose à apprendre du grand style, qui n’était donc pas mort, du moins dans les têtes (alors qu’il l’était déjà depuis longtemps dans les faits). Avec sa piscine, il pouvait barboter tranquille dans l’esprit décadent ; il était adapté.

Bo.ux dit: à

« La mauvaise langue dit: 12 juin 2013 à 0 h 17 min
L’Europe du déclin est incompatible avec l’esthétique du sublime. »,

Mais il est vrai que le sublime est à jamais incompatible avec le LML !!!.
Dommage pour les 5eme B(etc)…

Le moisi du fromage a encore frappé !.

Henri III dit: à

« Oscar Wilde, qui traverse ces pages »

Un rêve de jeune fille pour baroz

N'oublions pas que Good game se traduit par bien profond dit: à

« L’anglophilie est-elle une maladie textuellement transmissible ? »

D’après la bobine et le Quai d’Orsay asiatique la réponse est oui.
D’après la 5ème A2B6 la réponse est non.
D’après TKT une touche cosmopolite indispensable.
Qui croire ?

Thierry la fronde dit: à

« Même dans le small talk, cette spécialité anglaise qui tue la conversation en la ramenant au plus anodin »

La rdl penche plutôt pour une spécialité zürichoise.

Bo.ux dit: à

« A quoi il répondait en haussant les épaules : »On apprend à tout âge ». »,

Certes, et vous tournant le dos :
« Bien le Bonjour !!!. ».

MCourt dit: à

Mis à part le dessin, il y a beau temps que tout cela est connu, l’inévitable secrétaire ayant vendu la mèche in « Somerset and all the Maugham. On peut se demander si réduire une biographie à des dessins de piscine n’aura pas l’effet inverse que celui escompté. des économies s’imposent par les temps qui courent et on y sacrifiera ces « plus belles histoires de l’Oncle Somerset nouveau style…
Bien à vous.
MC

xlew.m dit: à

« Tout le monde à poil nageant dans la piscine de la Villa Mauresque… »
Bien entendu avec toute la retenue britannique possible et imaginable, le fameux « restraint » de la britannitude la plus élégante. But (car il y a un but), nihil novi sub sole ; Semeursette Meaugheammes n’a rien inventé, le Byron révolutionnaire de Missolonghi fumait déjà le cigare avec ses amis, allongé dans l’herbe sur les berges du Grand Canal « pour ne pas perdre de vue les étoiles », c’est un grand classique qui ne s’est perdu que depuis que Peter Mayle et Ridley Scott ont envahi la Provence vers 1985. Julian Barnes est fort mauvais buveur et Martin Amis tire toujours une tronche de trois kilomètres (de plus Lawrence Durell serait paraît-il décédé), les deux sont donc impossibles à saisir au vol dans une belle croquade de ligne claire par un Le Floc’h, un Prigent, ou même un Rivière. On peut comprendre et pardonner les auteurs d’aller chercher l’inspiration (celle qui fait littéralement « tremere » l’esprit) propice à la trémulation la plus trépidante, celle qui donne haute trémeur aux artistes mais qui finalement les sauve du cul-de-sac de la page blanche (tout ça c’est pour pas laisser ‘tremendous’ barboter tout seul dans la baignoire aux anglicismes.) C’est vrai que le trait de Le Floc’h ne prend pas de gant pour dessiner les contours du visage du môme Maugham, beaucoup de ravines trahissant un « quant-à-soi » un peu pète-sec apparaissent, était-cet donc la réalité ? mince, comment pouvais-je en avoir la moindre idée à lire ses livres… On croirait apercevoir un vieux Robert Doisneau ou un antique Pierre Seghers sous l’empire de la colère la plus inquisitoriale, demandant à tous les poètes, et surtout à Aragon, rangés bien sagement sur leurs serviettes de bain autour de la piscine en forme de colombe de la paix, leurs papiers. (C’est toute la veine du talentueux humour de Le Floc’h de faire penser à Willem et aux actuels dessinateurs de Charlie sans tomber dans leurs tics professionnels.) Aujourd’hui, les écrivains contemporains britanniques ne se bousculeraient pas au portillon pour inspirer quelqu’un comme Le Floc’h. C’est peut-être chez lui en France qu’il pourra prochainement prospecter ; il y a un renouveau du « Chapisme » actuellement dans le pays, très net. D’ailleurs les Anglais nous ont, dès l’origine de leur mouvement « chap », beaucoup piqué, Huysmans, Rigaut, et même Rabelais en leur temps avaient tout co-inventé. En tout cas tous les jours à Paris on croise de nouveaux David Niven dans les rues, ça fait tout drôle à force. Don’t call zhe pullizzh pour ça quand même, stay cool Raoul. Mon chap à moi, c’est Pierre Bonnard anyway-de toute façon.

xlew.m dit: à

« …d’aller chercher l’inspiration vers le milieu du vingtième siècle », c’est ce que je voulais dire.
En outre presque assez plutôt d’accord avec MCourt sur les réserves qu’il émet.

Continuons la lutte, camarades !............. dit: à

Travailleurs ! Travailleuses ! Vous l’avez compris, notre salut, votre salut, ne viendra plus du communisme hasbeen qui donna fort peu de grands écrivains et beaucoup trop de dictateurs, il ne viendra pas du religieux explosif qui restera confis derrière de haut-murs, il ne viendra pas de l’exception culturelle française qui dévale la côte en roue libre, freins pétés, depuis les Lumières… Cessons ces grèves improductives, faucille et marteau ne peuvent rien changer au monde numérique. Le salut vient de ce billet.

Désormais, la voie est tracée : pour réussir votre élévation sociale, bâtir votre piscine, vivre instruit, riche et à poil, votre salut est dans l’anglophilie homophile !

Ecoutez Notre-Seigneur Passou de la Sainte Verge Libre! De bonnes indications du chemin révolutionnaire à suivre vous sont données dans ce billet où son trait ne comporte, lui aussi, aucune ombre …. Courage, enfilez-vous les uns les autres : la réussite est au bout du colon ! Evidemment, il y a le risque de finir comme un cinglé à la bergé plutôt que riche, bien en cour et célèbre.

PS : Pour ceux qui ont vu l’album , ce trait, ce dessin sec, ne fait-il pas mal aux yeux à la fin de la lecture ? Prudemment, ayant terminé « Une femme aimée » de Makine, je m’en vais achever les merveilleux récits de Vitaliano Brancati traduits par Sarrabayrouse chez Fayard, en attendant d’autres points de vue éclairés.

Reagan & Thatcher....... dit: à

Le tyran grec actuel a compris comment faire cesser la gabegie de la télévision publique grecque qui empêche toute réforme : on vire tout le monde, et on réengage ceux qui travaillent, en laissant les syndicalistes branleurs dehors…

On va fêter ça, tous les deux Maggie et moi au Paradis des Libéraux*, et lancer nos archanges contre les féodalités françaises … juste pour voir. Révolution !

* les collectivistes ont leur propre Paradis. faut pas mélanger torchons et bavoirs.

renato dit: à

73 avocats interpellés par la police…

Justice ?...... Taubira veille.... ! dit: à

Attaque du RER D
Une douzaine de jeunes hommes, vols en bande organisée et association de malfaiteurs, en liberté … mais, attention ! … »sévèrement admonestés » !

Un fait divers de plus. Tout va bien…

Bloom dit: à

Merci Passou d’avoir indiqué la prononciation du redoutable « Maugham ».
La transcription phonétique officielle est la suivante:
– pour Maugham :[mɔːm]
– pour Somerset: [ˈsʌməsɪt]
Ce qui donne un syntagme continu fortement accentué sur la première syllabe qui se termine par un [ɔː] long (comme dans ‘ball’, ‘door’, ‘gore’, ‘nor, ‘morning’, ‘more’, ‘bought’, ‘saw’, etc.):[ˈsʌməsɪt mɔːm]


Pour le fun, quelques noms qui peuvent donner du fil à retordre:

– Worcester, pour la sauce,
– Glouscester, et son comte ou son équipe de rugby,
– Greenwich, son observatoire, son hôpital
– Des Moines, Iowa
– le comté irlandais de Laois, anciennement Queen’s County.
– Dun Laoghaire, anciennement Kingstown, le port de Dublin
– Cobh, anciennement Queenstown, grand port de la baie de Cork.

obsy dit: à

les brêles regrettent les décennies de corruption et d’escroquerie

deby...... dit: à

les simplets découvrent que le monde est peuplé de corrompus et d’escrocs … depuis toujours !

bérénice dit: à

enfin quoi! Je m’étonne que si l’usage de la parole s’offre à tous pour plus de démocratie(liberté égalité fraternité) celui de l’entendement ne s’adresse qu’aux élus pourvus de sonotones . Y’a quelqu’un? Non personne pour recevoir que les jeux sont joués d’avance que la mise en scène au bord de la piscine se pose en drap blanc qui dissimule un chef d’oeuvre que seul les initiés peuvent comprendre sans délit ni délai ni manche à effets. Pierre Mauroy est au ciel, bleu. Qu’on relaie l’info, c’est urgent.

bouguereau dit: à

(enfin, peut-être pas Winston, encore qu’un cigare suffisait à l’habiller)

le tigre aurait ajouté « j’espère que c’est toujours le sien »

bérénice dit: à

obsy je ne vois qu’il y ait à regretter, ça continue avec une ponctuation plus voyante, un média part par ci un juge Van Ruymbeke par là constituent le progrès.

bouguereau dit: à

L’anglophilie est-elle une maladie textuellement transmissible ?

c’t’un look chiqué lassouline, edgar p jacobs l’étoie et a brossé olrik le méchant à jamais, vincent price carambouillé par un belge ça c’était de la création popu..là c’est une ressucée vintage intello pour table basse de néolibérale..les comics anglais contemporains sont pas mal du tout et trés fortement déjanté

TKT dit: à

@ Fuckmouth dit:12 juin 2013 à 1 h 03 :
Une touche de cosmopolitisme, c’est trop peu.
Je suis anglophile depuis l’âge de 11 ans, l’année de mon premier séjour en UK. L’anglophobie me parait d’une autre époque, aujourd’hui il faudrait quand on est limité et peureux, être sinophobe.

bouguereau dit: à

Ce qui donne un syntagme continu fortement accentué sur la première syllabe

on s’en branle à mort kabloom de cette science de trou du cul..pourquoi tu dis pas que tu préfères montrer que t’as voulu faire cet effort surhumain qui fait de toi qu’une semelle de brit d’oxford a leurs oreilles

bouguereau dit: à

aujourd’hui il faudrait quand on est limité et peureux

…l’aveu vontraube, c’est ce qui te sauve quelquefois

Ce n'est qu'un début... dit: à

Continuons la lutte, camarades !…………. dit: 12 juin 2013 à 6 h 07 min

Mais dites donc, le bâton de bergé n’est pas en berne ni tenu par la bride, le brigou!

TKT dit: à

Bloom, j’ajouterais Warwick et Leicester.
Je viens de passer une semaine à Stockholm, les lettres se prononcent d’une manière inattendue…
Ne pas oublier quand même que Duras et Dumas ou mas ne se prononcent pas toujours à l’identique. Bref le français n’est pas toujours logique.
Et une dot ne prend pas de e…

Thierry la Frondette..... dit: à

Sinophobe ! Mais nous avons tout à gagner à nous soumettre à ces voyous intelligents, il faut être « limité » et « peureux » pour être inquiet …

Islamophobe me parait plus que parfait pour les limités et les peureux… car là, ce sont des voyous inintelligents, détestables théocrates.

TKT dit: à

Bouguereau: Je suis sinophile, nipponphile et bibliophile.
Albabousephobe etc…
Si les Chinois sont des concurrents économiques, je ne vois pas en quoi les Anglais, pourraient encore faire peur.

bouguereau dit: à

si j’étais miniss de la culture je convoquerais une conférence de presse international et j’y paraitrais en habit de grand veneur de frankreich et je dirais comme ça « celui qui ne prononce pas mogame je sors mon révolvère lûgueur p08 et je lui tire une balle entre les deux noeils »..et le lendemain je fais la une du times..tellement qu’y sont con ces angliches

bouguereau dit: à

je ne vois pas en quoi les Anglais, pourraient encore faire peur

chtement..tu montres l’outpout du principe, du tractatus..le procèsse comme ils disent

John Brown dit: à

Maugham auteur pour dames ? C’est du moins ce qe suggère la jolie chanson d’Alain Souchon : « … comme dans ces nouvelles pour dames / de Somerset Maugham « … Au fond, le côté rétro des billets d’Assouline ne manque pas de charme ni d’utilité. Je suppose qu’on ne lit plu guère les romans et nouvelles de Maugham. « Les trois grosses dames d’Antibes « , par exemple. On trouverait sans peine chez Maugham quelques pages pour nourrir une anthologie sur le thème de la Riviera française évoquée par les écrivains étrangers ( Maugham, Scott Fitzgerald, Nietzsche, Süsskind ) et français (Maupassant, Modiano…). Mais sans doute cette anthologie existe-t-elle déjà.

John Brown dit: à

« Albabousephobe  » (revendiqué par TKT)

Je sollicite mon inscription au club !

Continuons la lutte, camarades ! .... dit: à

Une anthologie de la Riviera ? Celle en 2 volumes de Simon Leys sur « la Mer dans la littérature française » est déjà énorme, l’autre, si elle existe étrangers et français, devrait courber l’espace-étagère…

bouguereau dit: à

On trouverait sans peine chez Maugham quelques pages pour nourrir une anthologie sur le thème de la Riviera française

ces pages sont tellement écrites et forclose qu’on ne peut plus que les dessiner à la manière d’un dépliant du global tourisme démoustiqué garantie sans tourista
quand j’étoie môme j’allais en vacances dans une famille anglaise ousque le dimanche on buvait une bouteille de bordeaux..je te dis pas comment il prononçait les chateaux..mais jle savais pas, et maintenant il me parait meilleur quand je le prononce à l’angliche..c’est un peu comme une femme nue qui a un accent..elle y gagne vachement..enfin je veux dire..plus de chien

bérénice dit: à

JB marre de vos querelles intestinales!

Taupe albaphile dit: à

Vous pouvez m’inscrire à votre Albabousephobe Club, mes petits chéris ?

John Brown dit: à

Merci Passou d’avoir indiqué la prononciation du redoutable « Maugham ». (rédigé par Bloom)

Redoutable ? Qu’y a-t-il de plus voluptueux que la phonologie de l’anglais ? De toutes les langues d’Europe, c’est incomparablement la plus musicale. Le problème, c’est l’orthographe de l’anglais : il y a effectivement un gouffre entre la graphie « Maugham » et sa prononciation. D’où l’allergie de beaucoup de jeunes Français à l’anglais, dont l’enseignement pâtit chez nous, encore aujourd’hui,de méthodes pédagogiques obsolètes.

bérénice dit: à

Contunions, quoi qu’est-ce? renseignez-moi car je me souviens à peine de la mer de Debussy et de cette autre du fou chantant, visez l’étendue de ma lagune espace infini comme se tend le savoir à portée de chacun pour peu qu’on entrebâille la porte grande, de service acceptée.

renato dit: à

« Le problème, c’est l’orthographe de l’anglais : il y a effectivement un gouffre entre la graphie « Maugham » et sa prononciation. »

Bof, John Brown, ce sont les particularités curieuses de chacun. Pour un Italien il y a un gouffre entre la graphie « Bouguereau » et sa prononciation, et on n’en fait pas toute une histoire.

bérénice dit: à

« Qu’y a-t-il de plus voluptueux que la phonologie de l’anglais? » justement entre autre chose j’aimerais tant le découvrir, parti pris que d’écrire une telle chose, je ne vous crois pas même si votre phrase correcte fait jolie elle reste à prouver.

bouguereau dit: à

Qu’y a-t-il de plus voluptueux que la phonologie de l’anglais ?

beurt lancastère c’était bien..quirk douglasse l’apellait ainsi parait il quand il était « nominé »..le plusse mieux c’était eddy barclay appelant son pote couineçy..tout simplement quincy (sic)

Continuons la flûte, camarades ! .... dit: à

 » une femme nue qui a un accent..elle y gagne vachement..enfin je veux dire..plus de chien »

La femme nue… vachement… du chien…Avoue Bouguereau ! tu es zoophile au fond de ton âme corrompue d’électeur de gauche vicelard … (redondant)

xavier dit: à

deby…… dit: 12 juin 2013 à 8 h 29 min
(les simplets découvrent que le monde est peuplé de corrompus et d’escrocs … depuis toujours )

les fascistes nourrissent de m erde leur unique neurone, se vautrent dans la merde

bouguereau dit: à

Pour un Italien il y a un gouffre entre la graphie « Bouguereau » et sa prononciation

marlborough has left for the war

renato dit: à

Hé ! bouguereau ! J’ai bien écrit « et on n’en fait pas toute une histoire » ou pas ?

Continuons la lutte, camarades !..... dit: à

Bérénice, les tomes de Simon Leys chez Amazon à 38 euros pièce : valent le détour.

TKT dit: à

@ John Brown dit:12 juin 2013 à 9 h 14: Je rends à Jacques Barozzi, l’idée d’avoir créé le néologisme albalousien, par automatisme bouse me semble plus apte pour Michel blanc-moisi. Bouse, bouseux, intello-bouseux, bouseux livresque. Quoique, albalooser serait pas mal non plus.

bouguereau dit: à

tu es zoophile au fond de ton âme corrompue d’électeur de gauche vicelard … (redondant)

..et tu crèves de te rallier à ce blanc panache

daniel dit: à

« vols en bande organisée et association de malfaiteurs, en liberté … mais, attention ! … »sévèrement admonestés  »

Les truands milliardaires que tu admires tant, JC le naze pauvre pervers au QI de moule, donnent l’exemple et font à grande échelle : vols de milliards avec évasions fiscales & paradis fiscaux corruption en tout genres- de quoi t’en boucher réellement un coin

renato dit: à

À propos de fascistes, je trouve farcesque que les propagandistes de la DDR (État parfaitement fasciste) appelassent le Mur de Berlin ‘antifaschistischer Schutzwall’…

bouguereau dit: à

« et on n’en fait pas toute une histoire » ou pas ?

les italiens ont aussi italianisé pas mal de mot français..de la cuisine bourguignone par exemple

bérénice dit: à

Le monde n’est pas seulement peuplé d’escrocs et de corrompus, quelques uns suffisent à décider comment régler les paramètres en usage pour la machine à produire l’or, les escrocs les sans scrupules sont les prédateurs situés au sommet de la chaîne, une écologie règne encore dans cet équilibre corrompu qu’aucune force à ce jour ne parvient à combattre, les marchands sans foi ni loi ont fait du temple leur résidence.

bouguereau dit: à

eh bien essaie de faire plus farcesque rénato..c’est le début du commencement de l’art

John Brown dit: à

« Qu’y a-t-il de plus voluptueux que la phonologie de l’anglais? » justement entre autre chose j’aimerais tant le découvrir, parti pris que d’écrire une telle chose, je ne vous crois pas même si votre phrase correcte fait jolie elle reste à prouver. (rédigé par Bérénice)

Aucun parti- pris. Les chatoiements musicaux d’un poème de Keats ou de Cummings sont sans équivalent dans la littérature européenne, voilà tout. Le problème d’un poète ou d’un musicien français (allemand aussi bien), c’est toujours de forcer son idiome à une musicalité qui ne lui est pas naturelle. Pour un poète ou musicien anglais, c’est le contraire : il a affaire au départ à une langue presque trop musicale. Mais abondance de biens…

TKT dit: à

L’allemand par contre, se prononce comme il s’écrit, oui, bon, il faut quand même connaitre l’allemand et la prononciation des voyelles.
Sans oublier les différences régionales, le fameux s du plattdeusch et le g en fin de mot, König par exemple, des saxons.
Albabouse parle t’il le yiddish avec l’accent français ?

renato dit: à

Selon la définition donnée sous un autre fil par l’obsédé auquel on doit « … tu es zoophile au fond de ton âme corrompue… », l’accusation de zoophilie faite contre bouguereau ne tient pas car quiconque peut témoigner que style bien à part, notre Petit Célinien joue sur un registre de plus de 300 mots…

renato dit: à

« les italiens ont aussi italianisé pas mal de mot français… »

Et vice-versa, donc — et justement — « on n’en fait pas toute une histoire ».

Vétérinaire Service dit: à

John Brown, pour quoi ne pas appeler miaulements, tout simplement, vos « chatoiements musicaux » des poèmes, blablabla… ?

renato dit: à

L’inénarrable Michel n’arrive même pas à écrire correctement le nom « Guggenheim »…

Cron en bourre dit: à

TKT dit: 12 juin 2013 à 9 h 45 min
@ John Brown dit:12 juin 2013 à 9 h 14: Je rends à Jacques Barozzi, l’idée d’avoir créé le néologisme albalousien, par automatisme bouse me semble plus apte pour Michel blanc-moisi. Bouse, bouseux, intello-bouseux, bouseux livresque. Quoique, albalooser serait pas mal non plus.

L’athlète de Vaux fait dans sle cocasse.

Bloom dit: à

(l’anglais) dont l’enseignement pâtit chez nous, encore aujourd’hui,de méthodes pédagogiques obsolètes.

Merci de préciser (vous voulez certainement parler de la pédagogie actionnelle, inpsirée du FLE et du FOS)?

Comment être bouffé sans comprendre..... dit: à

Daniel, dans la fosse aux cons …

bérénice dit: à

JB je ne connais ni l’un ni l’autre quand bien même je pourrais les lire en anglais et s’il reste acceptable d’établir des hiérarchies dans la qualité des œuvres leur musicalité leur réception je vous dirai quand même que vous avez tort votre expérience de la lecture ne couvrant pas l’ensemble; ce qui ne remet pas en cause votre sensible intelligence de la poésie.

A moi Compte de Mots !... dit: à

Renato ne sait pas compter

Chemin de traverse dit: à

JC s’engage résolument sur la troisième voie.

Bloom dit: à

Ne pas oublier quand même que Duras et Dumas ou mas ne se prononcent pas toujours à l’identique.

Marrant, TKT, je parlais du -s voisé de Duras ce matin avec un officiel d’ici. Il le prononçait à l’anglaise du-râ…
La prononciation du français est une horreur pour les estangers.
L’anglais a ses diffcultés pour un frankofone, l’accent tonique, les diphtongues, les triphtongues. Sans parler d’une phonologie inverse à la notre, dans les accents de phrase notamment et la prosodie.

TKT dit: à

John Brown, j’avais le souvenir, mauvais, de « La Flute Enchantée » filmée en suédois d’Ingmar Bergman. Or, j’ai été très étonné de la grande musicalité du suédois et de ces mots qui n’en finissent pas d’être chantés et les dernières syllabes rallongées (un peu comme Marguerite Yourcenar, mais sans être figé dans l’aspic). Pour ce qui est du français, les étrangers disent souvent que c’est la plus belle langue, pour moi c’est le russe, puis vient le castillan.
Pour revenir à Somerset Maugham, he is a U piece of England, quand j’étais encore adolescent, il y avait sur la Côte encore de ses spécimens more british than thou, MBTT.
Un auteur pour lectrices et pas pour lecteurs ? Weird statement !

John Brown dit: à

« Qu’y a-t-il de plus voluptueux que la phonologie de l’anglais? » (rédigé par mézigue)

Si j’en crois le TLF, j’emploie ici le mot « phonologie » de façon quelque peu impropre. J’aurais dû parler de « système phonologique ». Bien sûr, il y a le mot « prononciation », mais il ne retient pas l’idée de système. Il me semble que le TLF devrait admettre « ensemble des phonèmes d’une langue formant système » comme un des sens de « phonologie ».

TKT dit: à

Bloom, en dehors des francophones, Thierry est toujours mal prononcé.
À 12 ans, j’étais dans une famille anglaise, qui prononçait Cherry, sans oublier les chinois incapables de prononcer les r. Les germanophones prononcent thiry.

TKT dit: à

Dés que l’on sort des beaux quartiers parisien, les gens ont un drôle d’accent…

Comment se moquer de TKT sans peine ........ dit: à

Thierry doit être prononcé par les Brits, non pas Cherry, mais Chéri

bérénice dit: à

Quoi de plus important que la linguistique dans la force des circonstances quand on n’a plus vingt ans et que meure un petit cheval blanc, il est vrai que plus loin, dans l’ombre sans projecteur, femmes enfants hommes survivent sans protection pour remplir les pages de nos romans.

Bloom dit: à

Noel Coward = Noël Couard
Arnold Bennett = Arnold Petitbéni
Winston Churchill = Winston Eglise à Flanc de Côteau.
HG Wells = HG Puits
Tallulah Bankhead = Tallulah Haut de Talus

Michael Douglas dit: à

On ne se méfiera jamais assez de la linguistique

John Brown dit: à

« Marrant, TKT, je parlais du -s voisé de Duras ce matin avec un officiel d’ici. Il le prononçait à l’anglaise du-râ… » (rédigé par Bloom)

En quoi il était probablement dans le vrai. Ces « s » finaux des toponymes méridionaux (Duras, Queyras) sont souvent de purs artefacts orthographiques hérités des graphies manuscrites d’ancien Régime. De même, il convient de prononcer : « Queyrâ ». Il en va de même de patronymes dauphinois comme « Mouroz » ou « Moroz », qu’il faudrait prononcer « Mourô », « Morô », mais le « z » (simple tic graphique de tabellion ou d’officier d’état-civil à l’origine) a été intégré depuis longtemps dans la prononciation.

Bloom dit: à

les chinois incapables de prononcer les r.

Qui devient « l », TKT, en Chine comme en Thailande: Chiang Rai = Chiang Lai, Paris = Pa’li.
Tlop mimi….

bérénice dit: à

10h22
pour ça les coloscopies sont remboursées mais la secte se moque aussi de l’église.

renato dit: à

« Renato ne sait pas compter »

Peut-être bien, toutefois j’arrive aisément jusqu’à 90 sans me servir de mes pieds.

nico bigconsultan dit: à

« Dés que l’on sort des beaux quartiers parisien, les gens ont un drôle d’accent »

si yen a qu’ça les dérange de pas causer correct, i zont qu’à se casser qu’i ces pov cons

Allobroge dit: à

« (simple tic graphique de tabellion ou d’officier d’état-civil à l’origine) a été intégré depuis longtemps dans la prononciation. »
Bloom

Ah si RM était là tu la prendrais ta baffe bloomy

TKT dit: à

Sauf Ducornaud, que les anglophones ne savent pas prononcer chéri. Vous feriez mieux de vous moquer de vous-même avec peine, mais pertinence…

Bloom dit: à

« (simple tic graphique de tabellion ou d’officier d’état-civil à l’origine) a été intégré depuis longtemps dans la prononciation. »
Bloom

Ah si RM était là tu la prendrais ta baffe bloomy

Y sait pas lire, le ladre, c’est du JB.

Castro, urbaniste dit: à

« Dès qu’on sort des beaux quartiers », y en a même qui causent pas le français, qu’ont les babouches qui puent, les mousmées sous housse, et d’autres non seulement le visage pas pâle mais des gros bites d’avenir !

Sors pas, Thierry ! Sors pas des beaux quartiers, sois prudent : y z’ont un accent… !

TKT dit: à

Bloom, Ren se prononce quand même pas Len
Ren Shen
Ren Hai
Extraordinaire manière poétique de dire qu’il y a foule.
Cela me fait penser à Lady Diana, parlant de son ménage à trois comme d’une foule.

Phil dit: à

Voyons passou..Maugham a autrement d’allure que cette histoire d’affiche pédoporno des inconnus dans le lac.
Quand Morand sodomise ses héros, c’est au titre de l’Europe galante.
En quelle langue faut-il dire que le mariagepourtous manque de manières ?

TKT dit: à

Ma provocation fait toujours mouche, je plaisantais. Mon père pensait que seuls les parisiens comme lui, parlaient sans accent.

Allobroge dit: à

« Y sait pas lire, le ladre, c’est du JB. »
Bloom

?????????
Tu yoyotes l’anglomaniaque

Après plusieurs Islay.... dit: à

… fixant librement l’illustration du billet proposé par le divin Passou, je vois soudainement la main gauche de la mémère en deux-pièces king size grattouiller délicatement la noisette droite de Somerset Môgâme ! Sinistre cartoon …

TKT dit: à

Phil, le mariage pour tous c’est les mêmes droits pour tous.
Vous n’êtes pas pour l’égalité devant le Droit ?
Avouons aussi que le mariage n’est qu’une affaire de formalités juridiques, pas une assurance sur la durée d’un couple.
Le Président Hollande, jamais marié, a voulu le mariage pour tout ceux qui en auraient envie, le divorce n’étant pas interdit, pourquoi pas ?

L'origine de tout dit: à

« Mon père pensait que seuls les parisiens comme lui, parlaient sans accent. »
TKT

Né à Neuilly, incapable de se faire comprendre de son père, le petit Thierry s’enfuit en Suisse.

TKT dit: à

Phil, bizarre que vous, vous amalgamiez pédophilie et homosexualité masculine.

Frigo Rigide.... dit: à

Le mariage pour tous, il existait déjà, et c’était criminel, ce truc. Admettre les pédés et les gouines à accéder à ce cloaque pour hétéros ? Pouah !!!

TKT dit: à

Bof, mon père né à Paris 16ème (à la maison), et moi dans une clinique de Neuilly, aucune différence, différentes époques, différentes manières d’accoucher. Je suis allé en Suisse, car mon père y avait une société, vous avez tout faut.
Amusant et ridicule cette focalisation sur Neuilly et la Suisse.

Congre comme un Thierry dans son aquarium.... dit: à

« Vous n’êtes pas pour l’égalité devant le Droit ? »

Je veux épouser ma maman, veuve consentante : je peux, j’invoque, j’exige, au nom de l’égalité devant le Droit !

Bloom dit: à

Bloom, Ren se prononce quand même pas Len

Attention, TKT, vous confusez, ‘ren’ est du pynyin, pas du français, un simple système de translitération phonétique.
Ce « r » est un « j » palato-labialo-nasalisé (prononcé dans la goge avec la langue légèrement repliée qui pousse vers l’avant et expulse l’air vers le haut du palais et le conduit nasal).
Une excellente préparation au cunnilingus, la rencontre féconde d’une langue et d’un peuple.

saint benoax dit: à

ya p’us que les homos et les curés pour vouloir se caser

Faulx dit: à

« vous avez tout faut »

Oh ça faux bien le dire.

Encore que dit: à

« Amusant et ridicule cette focalisation sur Neuilly et la Suisse. »
TKT

Aucune focalisation.
Ecrire « Né à Aubervilliers le petit Thierry s’enfuit en Mongolie » serait une inexactitude.

renato dit: à

« ya p’us que les homos et les curés pour vouloir se caser »

Que voulez-vous, c’est la décadence : « Ça sent le moisi », dirait l’autre… « C’est vrais que le sublime c’était autre chose…
— Qu’est-ce que le sublime vient faire ici ?
— Quoi, vous n’avez pas senti le moisi ?
— Non, pas spécialement, c’est d’ailleurs pour ça que je demande ».

xlew.m dit: à

Pourtant « Graham Green » se prononce bien « gras-âme-gruinne » (on ne dit pas « grôm-graine ») si je ne Mabuse, mon cher docteur.
Pourquoi « Maugham » échappe-t-il à la plus décente des euphonies les plus claires ? Il y a anguille sous rock, il y a quelque chose de poisseux dans cette histoire, les cookies linguistiques ne sont pas très nets, on a la bizarre impression d’avoir trop de facilité à avoir son gâteau et pouvoir le manger, tout a l’air de sortir directement depuis la bouche d’un cheval, on tourne en rond dans les broussailles du bush ceinturant la piscine, tout nous enjoint à aller nous faire flotter un cerf-volant plutôt que de fouiller la question de cette étrange prononciation d’un nom non moins estrange. On croirait sentir un rat, peut-être que monsieur Mâume était un honorable correspondant non pas du KGB comme c’était la tradition chez les fils des grands bourgeois des Public schools, mais bien plutôt de la NSA et de la DCRI. Pendant que tous les insouciants et fringants jeunes hommes pataugeaient dans le pool aux yeux d’or, Summer-sets allait vider les boîtes-mail de leurs portables Sony Vaio. Bloody f****** Sommie, tu les as bien eu mon coco !

On est prié de rire .... dit: à

Renato fait de l’humour à 11h26

On est prié de rire ... dit: à

xlew : un magnifique exemple à suivre, pour toi, renato, rien n’est perdu !

renato dit: à

« On est prié de rire… »

Malheureusement ce n’est pas de l’humour. D’ailleurs, lorsqu’on a la chance de rencontrer sur le terrain du blog un humoriste de la qualité du scootériste, s’essayer serait stupide car jamais le comique volontaire réussira à s’imposer si confronté au comique involontaire.

renato dit: à

« un magnifique exemple à suivre »

Montre voir comment tu suit… puis tu donne des leçons… si le souffle tre reste…

On est prié de rire ... dit: à

je m’as trompé : scusi !

TKT dit: à

Vous savez Ducornaud, il y a plus d’étrangers venus comme ouvriers en Suisse, que de gens venus pour le confort fiscal. D’autre part, à Neuilly il y a aussi des humbles, des petites-gens. Comme il y a aussi des laborieux domiciliés à Blankenese.
Bref, vous devez confondre Neuilly-sur-Seine avec Palm-Beach, FL.

Les oies défilent dit: à

JC n’est pas involontaire, au contraire c’est très volontairement qu’il s’engage dans la troisième voie.

TKT dit: à

Renato, le paradigme du comique involontaire, reste D.
Le pauvre type dont vous parlez n’est ni comique, ni amusant, il est une publicité pour Rennie ou Marga, médicaments contre les maux d’estomac. JC c’est avant la prise de médicaments, on aimerait qu’il se noie dans sa bile, comme albabouse va s’étouffer en avalant sa langue moisie.

bouguereau dit: à

Admettre les pédés et les gouines à accéder à ce cloaque pour hétéros ? Pouah !!!

..hetero rules yeah qu’y dirait kabloom

9-2 dit: à

D’autre part, à Neuilly il y a aussi des humbles, des petites-gens.
TKT

Bien sûr Monseigneur, il est bien connu que la rue de Chartres ressemble au marché Saint-Pierre et que Livio est une pizzeria des restaus du coeur.

bouguereau dit: à

JC n’est pas involontaire

..mais si hé..y’est plein de tic et de toc..mais pour un hétéro beau et sain d’esprit, eh ben un rabougri diminué reste son égal..

Bloom dit: à

Allez, l’Abrogé abrégé de service va nous dire pour quoi « ghoti » se prononce « fish » en anglais.
Fastoche!

Phil dit: à

Dear TKT, Robespierre et ses amis votaient aussi pour « l’égalité ».
Les inconnus du lac ne vise pas le troisième âge. Cessez de parler d’amalgame, nous ne sommes pas chez le dentiste. Dans cette affaire du mariagepourtous, beaucoup ont perdu les pédales (kein wortspiel). M. Bergé, fort têtu.

Roger dit: à

TKT dit: 12 juin 2013 à 11 h 48 min

La vermine vontraube s’abat sur le monde.

bouguereau dit: à

JC n’est pas involontaire

y’a bien longtemps que c’est pus oxford ou neuilly qui rules.. faut qu’ils encanaille leur flow sinon ils passent pour des lourdaux consanguins au finiche..

Veuve JC dit: à

le scooter de feu mon époux est à vendre, sa bibliothèque de même, ambiance Riviera pour la visite. Paiement cash, en livre anglaise, accepté.

bouguereau dit: à

M. Bergé, fort têtu

c’est au danemark je crois et d’où ils ont un miniss pédé con et incompétent et tellement moche qu’ils se demandent ce que son gars lui trouve..et les articles le concernant se terminant immanquablement par « nous sommes enfin arrivé à l’égalité »

bouguereau dit: à

La vermine vontraube s’abat sur le monde

..que dans le calbar du bas clergé ça aurait été raciss et encore antigoye vontraube..

Phil dit: à

« Match Point » n’est qu’une histoire d’inégalité. Toute la séduction du film. sapré tkt..voulez-vous boire votre champagne dans des rinces-doigts ?
Sommerset M. n’est pas la panacée non plus. mâchoire inférieure lourde à la Montherlant. destin à la charlequinade.

renato dit: à

Veuve JC, exposée à une renommée qui n’est pas des meilleures, vous ne désirez que vous mettre à l’abri, éloigner de vous l’image peu gratifiante que votre époux trimballe et je vous comprends, mais pourquoi feindre un deuil là où un divorce serait plus élégant ?

bouguereau dit: à

ces amerloques « héritent » des angliches leur rivalry..lors que c’est point la rivalry qui a fait qu’ils ont tant de mot french mais la norman conquete..qui était viking of course..le tout fait que c’est eux le west, et pour terminer vontraube les linguiss disent que l’angliche a profité de l’emploi de la langue « tierce » en asie (pour éviter les rapport de dominant dominé) bref que tout peut aussi trés vite changer..

bouguereau dit: à

mais pourquoi feindre un deuil là où un divorce serait plus élégant ?

..qu’un coup monté pour palper les pounds..

La mauvaise langue dit: à

John Brown dit: 12 juin 2013 à 10 h 12 min
« Qu’y a-t-il de plus voluptueux que la phonologie de l’anglais? » (rédigé par mézigue)

Si j’en crois le TLF, j’emploie ici le mot « phonologie » de façon quelque peu impropre. J’aurais dû parler de « système phonologique ». Bien sûr, il y a le mot « prononciation », mais il ne retient pas l’idée de système. Il me semble que le TLF devrait admettre « ensemble des phonèmes d’une langue formant système » comme un des sens de « phonologie ».

Que d’ignorance pompeuse !

Le mot « phonologie » n’est pas un synonyme de « prononciation » ! Il contient le mot logos (logie) qui signifie science. La science des sons phonème n’a absolument rien à voir avec la volupté…

JB le prétentieux, qui argumente en plus sur les -s à la final qui ne seraient pas prononcés dans le sud de la France… C’est n’importe quoi la science de JB. Comme le reste d’ailleurs ! Bête, con et méchant !

u. dit: à

Bloom dit: 12 juin 2013 à 10 h 24 min
les chinois incapables de prononcer les r.

Je vous demande de vous allaiter.

TKT dit: à

@ Bloom dit:12 juin 2013 à 11 h 16: Merci de l’explication, mais soyez assuré que je ne prononce jamais « à la française » les mots qui ne sont pas francophones. Disons que je sais passer d’une langue à l’autre…
Bien entendu j’ai entendu le mot Ren ou, par exemple Kiasu, avant que de les lire.
Ce que j’ai appris en premier en 2007, d’abord à Beijing, la manière de dire « fout le camp! », puis la première expression, le deuxième jour à Singapore: Ren Shen, Ren Hai
Le peuple étendu comme la mer et haut comme la montagne, pour dire qu’il y a foule.
J’ai un petit recueil de mots singlish humoristique, mélange de divers dialectes chinois, de bahasa malaysiu et bien entendu d’anglais. C’est plein d’humour.

Veuve JC dit: à

Le divorce ? Vous ignorez, à votre âge, ce qu’est la passion ?
Un meurtre…

La mauvaise langue dit: à

En tout cas, je n’aime guère cette graphie des dessins. Elle a quelque chose d’homosexuel qui me produit sur moi une espèce d’écœurement.

Le problème du mariage pour tous n’est pas une question de droit mais de changement de paradigme de civilisation avec la PMA qui va suivre et le marché des mères porteuses. On entre dans un autre monde que je ne souhaite pas voir advenir. Que des pédés s’enculent et se marient, j’en ai vraiment rien à foutre. Mais qu’il me fasse changer de civilisation avec une marchandisation des corps, des spermes, je ne suis pas d’accord !

Bloom dit: à

Je vous demande de vous allaiter.

J’allaite tous les soir et le prend tous les matins.

TKT dit: à

Langue Moisie, au contraire de vous, John Brown sait avoir de l’humour, et sa culture, sa belesenheit, me semble plus naturelles que chez vous. Vous adorez faire des grandes phrases creuses, plus personne ici ne peut encore vous prendre pour un « honnête homme », cultivé et naturel.
Vous êtes une sorte de clown triste en pleine dépression.

renato dit: à

La passion ?! à mon âge, Madame, on manie ça avec beaucoup de précaution…

u. dit: à

Mauvaise langue s’est fait habillé pour l’été (maillot à bretelles et rayures?).

Mais à mon avis, il a droit à un point contre Brown.

Si on jouit des sons d’une langue (la « musique » comme on dit), il s’agit davantage de phonétique que de phonologie, qui ne retient que les différences phonétiques ayant pour effet de changer de sens.

La jouissance phonologique n’aurait de sens que si on éprouvait du plaisir au passage de /c/ à /m/ dans:
The cat is on the mat.

Pourquoi pas?

Collectionnons les luttes, camarades !...... dit: à

Personne ici n’arrive à la cheville de la mauvaise langue : il parle vrai, actuel, fort, là où un zombie comme TKT, un curé laïc comme JB, une folle de son cul comme JB, un « artiste » comme renato, se croient encore en Autriche-Hongrie d’avant 1914…

renato dit: à

« Mais qu’il me fasse changer de civilisation avec une marchandisation des corps… »

Le marché du travail, comme son nom l’indique, n’est qu’une marchandisation des corps…

Pour ce qui est des mères porteuses, etc., un cadre définit par la loi est préférable à une situation où les choses se passent hors de tout contrôle.

u. dit: à

Ren shen ren hai > Ren shan ren hai.

Collectionnons les putes, camarades !...... dit: à

Mettre les marchandes « sous contrôle » ne règle pas la prostitution…

Chaloux dit: à

a mauvaise langue dit: 12 juin 2013 à 12 h 30 min
« En tout cas, je n’aime guère cette graphie des dessins. Elle a quelque chose d’homosexuel qui me produit sur moi une espèce d’écœurement. »

Merveilleux, Mauvaise Langue.
Le puits de forage arrive aux couches sublimes de la c… humaine.

Chaloux dit: à

Il faudra un jour qu’un anthropologue vienne mettre son nez dans tout ces commentaires.
« Prenez votre temps », c’est un peu vrai. Je le prends dès maintenant…
A bientôt.

renato dit: à

Pour ce qui est du dessin, c’est vrai que c’est plutôt naze, cependant je le classerais plutôt comme ingénu (pas naïf) que comme homo… D’ailleurs, il faudrait m’expliquer, avec exemples éventuels, qu’est qu’un dessin homo — enfin, on le reconnaît par quoi ?

TKT dit: à

Que disait MàC à votre propos, que vous n’étiez pas encore déniaisé ? Allégation méchante ou réalité ?
Nous savons tous que vous êtes homophobe, pourquoi d’ailleurs ?
Les hommes hétéros bien dans leur peau, et sûr de leur sexualité, sont rarement homophobes. D’autant plus que vous n’avez rien d’une proie, que veut dire votre dégoût ? Vous avez peur ?
Quelle est votre réaction, si vous comprenez qu’un de vos élèves est homosexuel ?
Bref, Langue Moisie, albabouse, vous êtes mûr pour vous enrôler dans un mouvement skinhead. Avec les cheveux coupés à ras, vous aurez au moins l’air propre sur le crâne.

xlew.m dit: à

Gosh, comme cela fait plaisir (pas autant qu’à His Excellency Bloom, j’en suis persuadé) de voir des erdéliens à la réputation parfaitement bien assise, et cela à bon droit, proposer des liens vers les blogs de The Economist (Bagehot restant un must pour qui veut suivre l’actu politique britannique, tout comme Lexington pour les USA.)
Dans le temps on avait un professeur (d’origine îlienne lui-même puisqu’il était un somptueux corse fort peu ombrageux qui plus est) qui ne pouvait pas sentir les avis (toujours un peu lâchés de haut c’est vrai) de ce « newspaper », pour lui les gens de cet organe de presse s’étaient toujours trompés, notamment en 1939. Vers 1996, intrigué, je voulus en savoir plus et obtint un petit stage de quelques mois (le journal entamait sa dernière année sur Fleet street) au sein du canard libéral (qui appelle régulièrement ses nombreux lecteurs américains à voter démocrate) ; misérable petit ver de terre et minuscule « intern », je fus pourtant magnifiquement accueilli, à l’époque on pouvait discuter pendant une demi-heure avec le rédac-chef (qui d’ailleurs n’avait pas de titre, la démocratie régnante était très émouvante au journal) et retrouver le fil de discussion entamée dans l’article principal du « leader » hebdomadaire. Je me souviens un jour lui avoir dit qu’il devrait consacrer un blog dédié à la Chine et l’appeler « Sun Yat-sen », il avait ri en disant q’il ne fallait pas brusquer les choses avec le lectorat asiatique (ce qui voulait dire les dirigeants chinois, coréens et japonais dans le langage codé de the Economist…) C’était l’époque où Pierre Assouline n’avait pas encore scindé son blog-mère en multiples avatars, ce n’était pas encore dans l’air, mais depuis les journaliste londoniens (la rédaction est pourrie d’américains by the way, aujourd’hui) se sont bien rattrapés.

Collectionnons les putes, camarades !...... dit: à

Ceux qui voudraient mettre dans leur collection les Duflette, les Taubiroute, les Filipéteuse sont des salauds, des imbéciles, et des fascistes !

TKT dit: à

@ u. dit:12 juin 2013 à 12 h 43 min
Ren shen ren hai > « Ren shan ren hai ».
Xie Xie !
Bonne preuve que je ne l’avais jamais lu écrit, mais il y a-t’il vraiment un orthographe défini pour le chinois écrit pour les Occidentaux ? Lesquels d’ailleurs ?
Renne chêne
Renne aïl

Sigmund, l'homme au chow-chow.... dit: à

« Les hommes hétéros bien dans leur peau, et sûr de leur sexualité »

… vous passerez me voir Thierry, un de ces jours…?

Corrompus et escrocs : une tendance qui se confirme .... dit: à

C’est une histoire comme seule Marseille sait les inventer.

Marie-Arlette Carlotti, ministre chargée de la Lutte contre l’exclusion et candidate préférée de l’Élysée à la mairie de Marseille, est en proie à des démêlés judiciaires avec le patron du Don Corleone, un restaurant de la cité phocéenne. Le restaurateur a déposé une plainte contre la ministre auprès du procureur de la République de Marseille pour « grivèlerie alimentaire ».

Le motif ? Une addition de 1 120 euros pour 32 couverts non réglée.

romain dit: à

« vous êtes mûr pour vous enrôler dans un mouvement skinhead. Avec les cheveux coupés à ras, vous aurez au moins l’air propre sur le crâne »

ça vaut aussi pour son émule le pervers de proquerolles

bouguereau dit: à

qui me produit sur moi une espèce d’écœurement

..se produit sur dracul la mémoire de forme dans sa culotte qu’il s’est trop branlé en lisant alix quand il étoie jeune..sapré dracul..on lit chez lui comme dans un grimoire en skaï de beuffi et les vampires..
le coup du dessin pédé c’est pas mal trouvé, ça a été coupé par les studios dracul, phil aurait acheté le cédé intégral..y’a un marché pour toi dracul

TKT dit: à

@ Phil dit:12 juin 2013 à 12 h 11: Match-Point, Phil, c’est l’image de la bague volée qui tombe dans la Tamise et non sur le trottoir de la rue. C’est au tennis, la balle qui rebondie sur le bord du filet et tombe soit sur un coté, soit sur l’autre. C’est le destin qui par hasard est attiré/aspiré d’un coté ou de l’autre. Magda Goebbels est le paradigme du Match-Point, lire la biographie d’Anja Klabunde, ou sur mon blog une Note sur ce livre.
Quant à ce dont vous parlez, les inégalités, le personnage du tennisman a un physique qui le rend bien inégal, en vérité, il est beau, jeune et sexy, il sait s’adapter, bref il a quelques atouts supérieurs… Et puis il a beaucoup de chance, la bague tombe du bon coté, pour lui.

Allo, quoi !.... dit: à

on voit bien que le billet anglophile homophile de Passou est parfaitement illustré par cette bande dessinée, honteusement bergénaine !

TKT dit: à

qui me produit sur moi
Est-ce du bon français ? Ou une faute de frappe ? Une coquille sortie de votre coquille pas encore propre sur le crâne ?
ML vous cliquez trop vite, prenez votre temps, c’est la réputation de l’EN qui est en péril.

bouguereau dit: à

l’autre. Magda Goebbels

pfiou reusement que t’es pas tombé dans son berceau vontraube..même si tu te trouves pas beau et sexy..t’as eu un vache de vache de pot..en suisse

bouguereau dit: à

dracul se met son calbut sur le crane quand il écrit..ça se fait beaucoup chez les kaballiss..t’y connais rien vontraube

Assistance Publique de Paris / Services d'Urgences..... dit: à

Nous recevons beaucoup trop de personnes écœurées par le dessin homosexuel proposé sur ce blog.

Conseil au gestionnaire : retirer cette saleté anglophile homophile avant plainte au pénal !

bouguereau dit: à

son émule le pervers de proquerolles

les mules z’en ont même pas de grosse jicé..ha t’es pas tombé dans le berceau de magda..mais presque presque

John Brown dit: à

Si on jouit des sons d’une langue (la « musique » comme on dit), il s’agit davantage de phonétique que de phonologie, qui ne retient que les différences phonétiques ayant pour effet de changer de sens. (rédigé par u.)

Ah oui, mais comment séparer totalement le son du sens ? C’est pourquoi cette jouissance me paraît relever de la phonologie plutôt que de la seule phonétique.

louis dit: à

Les opposants au mariage pour tous menacent le Tour de France: l’huître de PQ ira par-derrière avec son scooter rose les aider à pédaler

TKT dit: à

Bouguereau, comme je répondais à une PFAT (personnel féminin de l’armée de terre), j’avais 19 ou 20 ans, le problème ce n’est pas de se trouver beau soi-même, mais de tomber sur des Autres qui le pensent. Je ne crois pas avoir été tellement mal doté. Pour ce qui est de la Suisse, que vient faire la chance là dedans ? Quoique, j’ai vécu ou plutôt été domicilié dans un pays où je travaillais en partie, payait mes impôts, dans une Suisse économiquement stable avec une fiscalité confortable pour les contribuables. Quand j’observe le mauvais esprit qui règne en France, et la lutte contre les nantis ou ceux qui gagnent bien leur vie, oui, c’est une chance de vivre expatrié. La haine de la réussite, une maladie française, qui ne va pas faire de la France, un pays qui peut marcher bien dans un monde globalisé. Bien entendu les médias donnent une image de la France, qui n’est peut-être pas vraiment la vraie situation. Je parle de la lutte des classes, pas de la situation économique.

u. dit: à

« Ah oui, mais comment séparer totalement le son du sens ? C’est pourquoi cette jouissance me paraît relever de la phonologie plutôt que de la seule phonétique. » (J. Bro)

Il faut sans doute préciser s’il s’agit d’une langue qu’on comprend, ou pas.
La « musique » d’une langue complètement étrangère est différente de celle que l’on éprouve, en quelque sorte de l’intérieur.
La question de la « phonologie » ne se poserait naturellement que dans le deuxième cas.

Ex: j’aime beaucoup le suédois, mais ne comprends pratiquement rien (à l’oreille).

gg nanard and nico dit: à

« la lutte contre les nantis  »

les pauvres, c rien que des feignasses

Bloom dit: à

L’article oublie malgré tout qu’à l’époque coloniale d’assez nombreux mots en chinglish ou persan (Inde) étaient compréhensibles pour le lecteur du Times.

Shi da, ueda: par ex. ‘chop chop’ (du cantonnais ‘k’wâi-k’wâi’), tous les dérivés de « wallah » (rickshawallah, carpet-wallah, dhobi-wallah…), chowkidar, etc.

Pour Ghoti se prononçant Fish, personne…pourtant c’est fastoche:

GH = ‘f’ comme dans touGH /tʌf/
O = ‘i’ comme dans wOmen /ˈwɪmɪn/
TI = ‘sh’/ʃ’ comme dans naTIon /ˈneɪʃən/.

Sapré George Bernard Shaw! (adj Shavian)

John Brown dit: à

 » Que des pédés s’enculent et se marient, j’en ai vraiment rien à foutre.  » (rédigé par LML )

Ah! qu’en termes galants ces choses-là sont mises !

La suite prouve que LML n’en a pas du tout « rien à foutre », car la nouvelle loi sur le mariage homosexuel ouvre,selon lui, à un « changement de paradigme de civilisation avec la PMA qui va suivre et le marché des mères porteuses. » On retrouve, en somme, les arguments de la Manif pour tous et des cathos intégristes contre le mariage homosexuel. LML est contre, lui aussi, tout en prétendant n’en avoir rien à foutre.
A la manière d’Alain Badiou, on pourrait esquisser un  » De quoi LML est-il le nom ? « , ce qui serait sans doute faire un peu trop d’honneur à cet ectoplasme mal embouché. Mais enfin, d’un post à l’autre, outre l’agressivité hystérique du personnage à l’égard de quiconque ne partage pas ses vues, s’y étalent, de façon récurrente, les glaviots malsains d’imprécations réactionnaires( « France moisie », « Europe foutue »), les torche-culs inspirés par un certain sionisme flirtant sans complexe avec la xénophobie, le racisme anti-arabe, la haine de l’Islam, les dithyrambes à la gloire des folliculaires les plus nauséeux de l’extrême-droite ( Richard Millet, Renaud Camus ), dont les amalgames et les prophéties les plus simplistes sont salués comme autant d’éclats de génie et de courage. L’homophobie est en harmonie avec le reste. En somme, une brave petite bourrique fascisante qui, en plus, a le front de me trouver « méchant ». On voit bien que LML a eu la chance de ne pas avoir encore rencontré la véritable méchanceté. Mais à mon sens, il prend des risques. Je me suis laissé dire que les sorties de collège, et même les petites routes de Sologne, autrefois si paisibles, n’étaient plus des endroits très sûrs… Que ne se limite-t-il à nous servir ses modestes suppléments au Lagarde-et-Michard tels que ce résumé de la « Rhétorique à Herennius » de ce matin ? Ce ne serait pas très passionnant mais au moins ce serait plus prudent.

Sergio dit: à

On dirait vraiment Anne-Marie Stretter avec ses muguets…

Sergio dit: à

louis dit: 12 juin 2013 à 14 h 07 min
Les opposants au mariage pour tous menacent le Tour de France

Oui enfin vaut mieux se taper le tour de France que le mariage, ça dure moins longtemps, corboeuf !

TKT dit: à

@ Ueda: En effet difficile de comprendre la moindre part d’une conversation en suédois. C’est une langue musicale, je veux dire par là que c’est une musique agréable à l’ouïe. J’ai repéré un mot récurent dans les conversations: Absolut et, ils ne semblaient pas parler de la marque de vodka.
Je crois que l’on est mauvais juge de la musique propre à sa langue maternelle, puisque l’on n’a pas de recul. Et quand une langue est tout à fait inconnue, on n’en observe que la musique, les tonalités, les sons qui peuvent nous paraitre exotiques.
Pour ce qui est de l’anglais, on ne peut pas vraiment parler d’une musique, mais de différentes musiques dues à la géographie et aussi aux classes sociales. C’est moins vrai pour le français, mais tout aussi vrai pour l’allemand.

TKT dit: à

Sergio, personne ne se dope quand c’est le moment de passer devant le maire. Bref, le vélo c’est plus physique; pédaler est plus fatiguant que faire la lessive, le ménage, le repassage etc…
Langue Moisie, célibataire sur pied triste/triste pied, haineux têtu, berger sans bergère ni lauriers, est une caricature, un jarret de porc lardé de pastrami et relevé à la crème moisie, le tout cuit dans une seule casserole.

Sergio dit: à

TKT dit: 12 juin 2013 à 15 h 26 min
Sergio, personne ne se dope quand c’est le moment de passer devant le maire.

Ha moi je suis arrivé bourré, quand même ; mais c’est normal, il y avait une trentaine de kilomètres jusqu’à la place Stan. En ces temps-là, on pouvait se garer dessus, maintenant c’est comme une sorte de check-point…

u. dit: à

Oui enfin vaut mieux se taper le tour de France que le mariage, ça dure moins longtemps, corboeuf ! (Sergio)

Dans les mariages aussi, on balance des « cochonou » sur l’assistance en clacsonnant?

u. dit: à

Il faudrait questionner Mme Lance Armstrong, Sergio.
Les vieux cyclistes, ça ne perd pas ses habitudes.
Ils dorment en chandelle, ils continuent la testérone ou deviennent obèses.
Lui de toute manière avaient des couilles en zinc.

La mauvaise langue dit: à

John Brown dit: 12 juin 2013 à 14 h 38 min

Voilà ce qu’est devenue la France de gauche. De quoi vous dégouter de l’humanité plusieurs galaxies peuplées d’extra-terrestres ! Si seulement ils pouvaient le téléporter pour nous en délivrer, de ce gros mouton provençal…!

Doc Barbarin dit: à

christiane est bien silencieuse ces temps-ci… les propos de son cher Michel LML Alba ne lui conviennent pas ?

La mauvaise langue dit: à

JB qui fait l’éloge de la prudence après les menaces de cassage de gueule. Si c’est pas de la rhétorique d’extrême droite ça ! La même rhétorique qu’on voit dans les manifs antisémites sous couleurs d’antisionisme. Là voilà la France d’extrême droite avec son obsession antiisraélienne et son désir d’anéantir Israël comme les nazis. JB est un antisémite, un néonazi.

Continuons le con bas, camarades !......... dit: à

John Brown dit: 12 juin 2013 à 14 h 38 min

Que de bêtise crasse… on nous avait habitué à mieux chez les Brown, homophiles angloïdes vieillissants !

La mauvaise langue dit: à

John Brown dit: 12 juin 2013 à 14 h 03 min
Si on jouit des sons d’une langue (la « musique » comme on dit), il s’agit davantage de phonétique que de phonologie, qui ne retient que les différences phonétiques ayant pour effet de changer de sens. (rédigé par u.)

Ah oui, mais comment séparer totalement le son du sens ? C’est pourquoi cette jouissance me paraît relever de la phonologie plutôt que de la seule phonétique.

C’est vraiment une vieille bourrique ce JB ! Il ne pourrait prétendre réussir au moindre concours avec un raisonnement pareil. Même pas pour les fonctionnaires de catégorie B !

Continuons le con bas, camarades !......... dit: à

Vous qui ne lisez pas ce qui vous déstabilise, Millet, Camus, vous faites comme les vieilles fardées, en salle d’attente chez le barbier : toujours les mêmes lectures, toujours les mêmes magazines, les mêmes choses apprises par cœur … pas de surprise !

La surprise viendra plus tard et vous regretterez votre innocence perdue. dormez bien les petits, hurk, hurk !.

Sergio dit: à

u. dit: 12 juin 2013 à 15 h 39 min
des couilles en zinc.

Dans les anciens temps, mais alors très anciens, quand les vélos pesaient au moins quatre-vingts kilos, il y avait un coureur qui, chaque soir avant d’aller se coucher, se ligaturait le… Enfin la mécanique, quoi, en sorte de ne pas risquer de fuites d’énergie pendant son sommeil. Mais c’était l’époque où l’essentiel du peloton allait en boîte aux étépes !

Phil dit: à

La graphie de cette « bd » rappelle celle de Tom of Finland. Mauvaise Langue a le coup d’oeil.
Se garer sur la place Stanislas, oui mais avec des voitures vintage.

renato dit: à

« La graphie de cette « bd » rappelle celle de Tom of Finland. »

Où ça ?! comment ? par quels élément de style ?

La mauvaise langue dit: à

C’est aussi la graphie de Cocteau. Une graphie de pédé qui me ferait presque vomir. Une vraie répulsion physique.

Succession dit: à

La haine de la réussite, une maladie française
TKT

Mais vous n’avez rien réussi TKT, vous avez hérité, légère différence qui coûte très cher outre-atlantique.

renato dit: à

« C’est aussi la graphie de Cocteau. »

Non, mais… et puis des gens de cet acabit pretendent causer Rembrandt… monde pouri !

La mauvaise langue dit: à

Toutes ces vieilles bourriques ne conçoivent d’interlocuteur qu’avec eux-mêmes. Il est bien évident au regard de ce qu’elles publient ici qu’elles sont intolérantes et stigmatisent tout ce qui n’est pas conforme à leur étroitesse d’esprit. Bref, c’est la France moisie toutes ces vieilles bourriques (et certaines en plus se trouvent « beau », y a vraiment de quoi se marrer !) : JB, Tkt, Baroz et j’en passe et des meilleurs… S’entendent bien entre elles toutes ces vieilles bourriques ; qui se ressemble s’assemble, c’est bien connu.

renato dit: à

Pourri aver deux r, naturellement…

La mauvaise langue dit: à

Tkt prétend avoir réussi ; mais il n’a même pas été fichu de décrocher son bachot…! Heureusement qu’il y a eu l’héritage pour ne pas sombrer dans les sans domicile fixe…

La mauvaise langue dit: à

Eh oui, renato, pourri pour pourri, faut ce qu’y faut…!

u. dit: à

« JB est un antisémite, un néonazi. » (ML)

Si ce n’était que ça.
Mais il n’aime pas Quignard.

Phil dit: à

Le moustachu de gauche, renato. qui ressemble à camus jeune. un comble. ceci dit, pas de quoi faire une crise comme mauvaise langue. A venise au dix-septième, les femmes au balcon étaient autorisées de l’enlever (le balconet) pour faire baisser le taux de conversions gays, qui ne s’appelaient pas comme ça. on disait le vice italien. hurkhurk

renato dit: à

« Le moustachu de gauche… »

Une ressemblance ne fait pas un élément de style, Phil…

La mauvaise langue dit: à

C’est pas qu’il n’aime pas Quignard, c’est qu’une vieille bourrique comme lui n’y comprend rien. C’est trop raffiné pour ce genre de bourrique rétive.

Sergio dit: à

La mauvaise langue dit: 12 juin 2013 à 16 h 00 min
Une graphie de pédé

Forcément c’est de l’à-plat ; la ligne claire c’est de l’à-plat, mais sans noir, sauf pour la nuit évidemment, là faut bien se compromettre avec mélange…

Phil dit: à

étépes..Barrès causait avec cet accent.

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