Mon père, cet anti-héros
Certain(e)s disent « mon père » ; d’autres, « papa ». Il en va de même pour la mère, rassurez-vous, mamans. En quoi les un(e)s et les autres se distinguent. Il semble que ce soit une question d’éducation, du moins à l’oral. De circonstances aussi. Deux romans y reviennent en cette seconde rentrée littéraire. Enfin, « romans », on se comprend. Un label de convenance. Une manière de s’autoriser le cas échéant au détour d’un paragraphe erreurs, approximations, oublis, pas de côté, tremblements, émotions, fantasmes. Toutes choses constitutives de ces traces qui disent l’intime vérité d’un être. Dans le cas de Régis Jauffret comme dans celui de Marianne Vic, le géniteur débarque en anti-héros littéraire pour se métamorphoser au fil des pages en héros de sa progéniture. Malgré tout… Comme si, dès lors qu’on se construit contre ou avec lui, on n’échappe pas à son ombre portée et à son emprise.
Dans Papa (200 pages, 19 euros, Seuil), le père s’appelle Alfred Jauffret et son fils Régis. Pas de place au doute. Enfin, son fils : son autoproclamé spermatozoïde, comme il se présente le jour où le Petit Larousse illustré fait l’honneur à l’écrivain de l’accueillir dans ses pages. Jauffret père n’étant pas terrible (gris, indifférent, bipolaire, égoïste, pingre et sourd en plus, enfermé dans la capsule d’une vie sans perspective), Jauffret fils, né en 1955, s’en est réinventé un autre en enquêtant sur lui. Tout ça à cause du passage d’un documentaire sur « La police de Vichy » découvert tout récemment à la télévision : des images d’archives datant de l’Occupation, Marseille 1943 pour être précis. On l’y voit un homme sortir d’un immeuble menotté, encadré par deux gestapistes qui l’engouffrent dans une traction avant. Le narrateur est frappé par la ressemblance de cet inconnu avec son propre père. Il envoie le photogramme du documentaire aux membres les plus âgés de sa famille. Au terme de son enquête, il acquiert la conviction qu’il s’agit bien de son père, Alfred Jauffret, décédé en 1987. Mais quand exactement, pourquoi et comment, nul n’en sait rien. Toutes les hypothèses sont formulées, jusqu’aux plus rocambolesques : collabo ? résistant ? trafiquant ? réfractaire du Sto ? Juif ? et quoi encore ?… Après tout, ce n’était peut-être qu’une reconstitution. On se console comme on peut.
A partir de cet argument se déroule le meilleur Jauffret, celui des délires admirablement maitrisés de Histoire d’amour (1998), Clémence Picot (2000), Asiles de fous (2005) ou des exquises Microfictions (2007 et 2018) plutôt que celui des compte rendus d’audience et des faits divers de Sévère (2010) ou Claustria (2012). Il s’y perd et nous aussi mais qu’importe. Un tremblé, une émotion, une mélancolie sont là magnifiquement restitués avec le grain de folie et l’humour qui font le son et la signature de cet écrivain. « La réalité justifie la fiction » clame l’auteur en exergue. On entend claquer au vent la bannière sous laquelle il place son histoire oscillant entre ces deux pôles, hésitant entre une hostie et des chips.
« Quand on a été éduqué religieusement on conserve toujours dans un repli de son cerveau la terreur de Dieu »
Depuis trente ans que son père n’est plus, l’auteur dit avoir conservé dans son inconscient sa mémoire à l’état de momie ; sans ces images énigmatiques venues le troubler inopinément, il se serait métamorphosé à son tour en momie pour n’avoir pas mis à jour ce qu’on ne peut qualifier autrement, après l’avoir lu, que d’épais myspère. Pendant toutes ses années d’enfance, le père était à peu près là mais « de papa j’en avais pas ». Il est le fils de sa mère. Mais dans la reconstitution de son roman familial façon puzzle, Régis Jauffret s’est employé à rassembler les pixels du couple.
« On ne doit dire de ses parents que le vrai. Nous apparaissons en creux, c’est eux qui nous ont moulé. Je n’invente ici aucun souvenir même si l’imaginaire me soumet à la tentation. Je n’étais pas un enfant menteur, pour la raconter j’essaie de me montrer digne de lui ».
L’écrivain peut se féliciter d’avoir osé sortir son papa (ainsi soit-il) des égouts de sa mémoire. Car sa tentative est si accomplie qu’à l’issue de sa recherche, il découvre rien moins que la note juste de sa propre vie d’écrivain. L’aveu ne pourra manquer de troubler ses fidèles lecteurs :
« Je n’ai peut-être écrit tout au long de ma vie que le livre sans fin de tout ce que nous ne nous sommes jamais dit. Une parole continue, jamais interrompue par l’interlocuteur sourd et indifférent ».
Au fond, si Régis Jauffret s’est constitué depuis une trentaine d’années en un bloc de fictions, c’était pour protéger sa propre biographie de toute indiscrétion tant il avait honte de cette partie de lui-même : papa. Ce n’est pas parce qu’il l’a vu exister qu’il doit se priver d’en faire un personnage de fiction et de le peindre plus beau et meilleur qu’il n’était. Il voudrait tant l’aimer mais que c’est difficile avec un père si peu aimable. Tant pis si cela rouvre des plaies et ressuscite des réflexions si oubliables mais impossibles à chasser. Celle-ci par exemple : « tu nous coûtes cher ». On dit ça à un enfant de sept ans qui ne réclame rien d’extraordinaire ? On peut quand on est Alfred Jauffret, quitte à ce que l’enfant se laisse transpercer par ce couteau jusqu’à la fin de ses jours. Régis Jauffret n’a pas réussi à tuer l’enfant en lui. Il le traine encore et c’est pesant même si on imagine, sans verser dans l’illusion de l’autothérapie littéraire, que la publication de ce livre allègera son fardeau.
« Du souvenir de toi je voudrais faire ce papa adoré dont tu n’étais même pas l’ombre portée ».
Un jour ils ont eu une vraie conversation sans témoin. Une seule. Pour une fois empathique, le père a interrogé le fils sur ses projets d’avenir. En retour, le fils a questionné le père sur son passé, ses regrets. Celui-ci a avoué qu’il aurait rêvé d’être professeur de français mais le hasard et la nécessité en ont décidé autrement. Puis il s’est renfermé dans sa coquille. Pour le fils, cette « poche de bonheur » vécue de concert et conservée en lui comme un trésor intact suffit à le sauver à ses yeux. A moins que ce soit le fruit de son imagination. On ne sait plus in fine, à l’issue de cette méditation sur le travail de la mémoire, émouvante et drôle, parfois déchirante.
D’une toute autre facture est le roman de Marianne Vic Guerre et père (18 euros, 240 pages, Fayard). Ne pas se fier aux apparences : Tolstoï n’y est pas. Dès l’entame nous surprend Marc Bloch, le médiéviste métamorphosé par la circonstance en historien de l’immédiat avec L’Etrange défaite : son évocation occupe les deux premières pages en raison d’une expression qui hante l’auteure depuis qu’elle l’a lue – et qui aurait pu tout aussi bien servir de titre au roman : « Un beau mourir ». Cette fois encore comme chez Jauffret, un père et son enfant qui ratent leur rendez-vous ; et lorsqu’il leur arrive, tout de même, de se retrouver, ça ne sort pas facilement. Comme s’il était écrit que cela devait rester au fond de la gorge. Mais comment font ceux qui n’écrivent pas de livre ?
Longtemps, le père et la fille ne se sont pas vus. Puis une quinzaine de fois. En quarante ans, c’est peu. Difficile dans ce cas de dire « papa » sauf quand on est petite. D’ailleurs dans le livre elle l’appelle Gabriel. Le nom du père lui importe aussi peu que le nom du mari. Seul compte le prénom, Marianne. Les sept premières années se déroulent dans la propriété familiale près d’Antibes avec de longues échappées du côté de la Corse et notamment de Solenzara où il possède des vignes de même qu’au Maroc et dans le berceau familial du sud-ouest (« Le paysage de mon père, c’est la mer »). La première vie se déroule entre le père, qui ne cesse de voyager, et la grand-mère, socle immuable. La mère est partie. Il en est ainsi jusqu’à ce que le divorce soit prononcé et que le juge confie la garde de l’enfant à l’évaporée. Dès lors le père fait une croix sur sa fille. De toute façon, il est ailleurs. Afrique, Argentine, Brésil.
Comment se construire « une vie sans père, sans repères » avec « un intermittent de la paternité » ? Deux vérités coexistent alors dans la mémoire blessée de la narratrice : une vérité consciente et immédiate et une autre, refoulée, inhibée, tue. Il faudrait un évènement, puissant et inattendu, pour exfiltrer celle-ci et la mettre à nu. Il prend la forme banale d’un SMS. Celui d’une inconnue qui se présente comme sa demi-sœur surgie d’outre-tombe et lui annonce la mort de « papa ». Les deux femmes se retrouvent trente ans après s’être connues.
L’aura-t-elle attendu, ce père… Il est bien là maintenant mais à l’état de cadavre. Une autre tirerait définitivement le rideau. Elle, au contraire, se lance dans une enquête à sa découverte au risque d’ouvrir des placards pleins de cadavres. Sa manière de forcer une transmission qui ne s’est pas faite et qui lui a fait défaut pour se fonder. Car finalement, que sait-elle de ce disparu autant désiré que haï ? Accordant alors une tonalité mythologique à son roman, ce qui lui donne sa véritable ampleur, Marianne Vic en fait son Ulysse. Et tant pis si Télémaque est un fils, elle endosse sa tunique pour se créer un père de papier. Le puzzle se reconstitue sous ses yeux effarés : ce Gabriel est donc né à Oran en 1927 – et ce qui surgit alors lui explique à retardement « pourquoi ma mère n’aimait pas les Arabes et pourquoi mon père ne voyait pas d’objections à les assassiner » ; sur ses photos de jeunesse, il a le masque et la silhouette d’Alain Delon dans La Piscine ; il bascule du côté de l’OAS dans les derniers temps de l’Algérie française ; condamné à mort, sauvé par Michel Baroin, homme de l’ombre, des réseaux, du Renseignement ; il ne cesse de se marier et de se remarier, de faire des enfants, de voyager ; un homme en mouvement perpétuel non pour s’agiter mais pour se déplacer, sensible à la seule musique des moteurs d’avions et de voitures. Un insaisissable toujours en quête de combats à mener même quand il n’y a plus de guerres pour lui. Mais au moins n’avait-il rien d’un nostalgique : jamais il ne se retournait. Toute à l’édification incertaine de son roman familial, l’enquêtrice trouve des documents, exhume lettres et photos, cherche des témoins, mais ça n’est jamais assez.
Sartre enflaubertisé, en proie aux milliers de pages de son idiot de la famille, assurait qu’on entre dans un mort comme dans un moulin. « Ca dépend des morts » lui répond à distance Marianne Vic. De leur père, sa demie sœur avait fait un héros quand elle se le figurait plutôt en monstre, quitte à réprimer en elle « la déception d’une attente trahie ». Elle aurait seulement espéré qu’il fit preuve de bonté et d’empathie. Mais non, rien de tel. Etait-ce trop demander ?
Lu en parallèle avec celui de Régis Jauffret, ce récit coupant (ici un extrait) a la même force dérangeante, troublante car il pose la même question avec des moyens autres mais tout aussi efficaces : peut-on aimer un père coupable ? Les deux auteurs ont été pris de ce désir d’inventaire familial en même temps en 2018, à la suite lui d’un documentaire, elle d’un texto. De quoi bouleverser une vie d’adulte jamais guéri des blessures d’enfance. In fine, après les avoir traduits devant leur tribunal intime, le fils d’Alfred et la fille de Gabriel leur accordent l’absolution. Comme si l’amour devait nécessairement l’emporter à l’heure de juger celui à qui vous devez la vie, malgré tout.
(Photos Passou et D.R.)
2 335 Réponses pour Mon père, cet anti-héros
Dans L’homme qui plantait des arbres, de Giono, il s’agit de chênes verts.
D’ailleurs, il plante des glands, c’est dire.
Sommes sortis de la sécheresse, pour plusieurs années.
Avons maintenant à changer notre mode de vie.
Fini le fuel, hier matin.
Chaudière éteinte.
En Corrèze, il y a 50 ans, les maisons étaient tellement froides que les draps étaient humides.
m’a raconté Nathalie, qui a vécu en Corrèze et garde ce souvenir atroce de son enfance.
M’a dit aussi » si mon mari je veut plus de moi » « ai 500 euros de retraite par mois pour vivre ».
N’a pas envisagé elle ne voulant plus de son mari.
À l’homme l’argent.
À la femme les soins, l’affection, la distribution de l’amour.
Ai vu le résultat.
mon mari ne veut plus de moi.
Hier matin tôt, avons tracté et milité pour le retrait de l’âge pivot à 64 ans. Pourquoi pas 72 tant qu’on y est ?
Le soir, retrait de ce point par Philippe.
Militants de la base 👍👏✊
À onze heures, cela s’est mal terminé, la CGT est arrivée, nous a traités de putes à Macron, a dit ici nous sommes chez nous a menacé d’appeler les dockers pour nous casser la gueule, et a commencé à molester un des » chefs ». La rançon du succès.
À la base, y rester.
54 milliards d’euros consacrés au projet Iter (5 milliards était le pronostic de base) : les prendre et les mettre dans la caisse des retraites.
Bon dilanche.
Amis, petite bouffe.
Bon dimanche.
rose, avant Cunningham, il y eut dans la vie de Cage Xenia Andreyevna Kashevaroff, plasticienne et musicienne, passionnée de reliure et conservation des livre.
Ici l’act de mariage John Cage—Xenia Andreyevna Kashevaroff :
https://www.latimes.com/entertainment/arts/culture/la-et-cm-john-cage-htmlstory.html
[taoer Xenia pour la recherche]
Oups ! taoer > taPer
12 janvier, 8.42
Renato
C’est comme cela : les hommes virent leur cutie.
Les femmes se posent la question, et ne virent pas. Le ciel les protège.
Xenia a du avoir un sacré choc.
Lorsque Cunningham a quitté l’endroit où ils se sont rencontrés Cage l’a rejoint, à New York.
Ce qui est hyperintéressant est ce fait : lorsque Merce s’est produit à Paris, années 70, il a été reçu par des projectiles divers, dont la tomate. Il a dit j’aurais préféré une pomme, j’avais faim.
Puis, ils sont arrivés à Londres, le succès fut total et radical.
Lorsqu’ils sont revenus à NYC, la porte était ouverte, le succès fut total.
Ceci explique pkoi Boris Johnson l’emporte où Teresa May a échoué, et comment les anglais vont garder leur place dans le monde par leur modernité.Cf Harry et Meghan qui quittent la royauté.
Xenia est enterrée en Alaska.
On surmonte toujoirs les trahisons.
Les traîtres sont les péteux.
Comme ça va la vie.
Bon dimanche
Vers l’âge de seize ans, j’avais accroché dans ma chambre le tu seras un homme de Kipling. Mon père, qui était l’homme le plus mordant que j’aie connu, me dit:
-Tu as raison d’aimer ce poème, tous les légionnaires le mettent au-dessus de leur lit.
Décroché aussitôt.
D’où mon fou-rire lorsque j’ai découvert le titre ridicule du livre d’Assouline.
Corrigé.
Vers l’âge de seize ans, j’avais accroché dans ma chambre le tu seras un homme de Kipling. Mon père, qui était l’homme le plus mordant que j’aie connu, me dit:
-Tu as raison d’aimer ce poème, tous les légionnaires le mettent au-dessus de leur lit.
Décroché aussitôt.
D’où mon fou-rire lorsque j’ai découvert le titre ridicule du livre d’Assouline.
rose, Xenia n’a pas mal pris l’événement et n’a pas vécu ça comme une trahison mais plutôt comme une mutation — ce n’est pas pour ouïe-dire que je le sais.
Aviary Parrot Box with Wire Drawers :
Pck votre père était encore vivant alors que vous aviez 16 ans ?
La question de l’égalité vue par quelques danseuse italiennes.
Les danseuses contre la retraite qui arrive trop tôt
Retraitée tôt, mais pas trop tôt, et surtout pas cinq ans avant les hommes, car dans ce cas ne serait pas respecté le principe de l’égalité de traitement entre hommes et femmes en matière d’emploi.
Telle est la position de quelques danseuses qui, en 2014, ont été licenciés pour des limites d’âge, 47 ans — pour les danseurs c’était de 52 —, du théâtre où ils travaillaient, alors qu’elles auraient souhaité poursuivre l’activité.
Le problème a trouvé une bonne solution : 45 ans pour tout le monde.
un père -dont je connaissais bien le fils,m’a dit un jour mon fils, c’est une loque;
le père était jaloux des patrons avec lesquels le fils avait appris son métier,alors que le fils devait travailler avec son père, comme de tous les hommes et les femmes que son fils connaissait
Je n’y peux rien, JJJ, étant globalement fidèle à mes philosophes! Je crois qu’on a mentionné ailleurs le choc Pierre Legendre, et je me garderais de penser que Crouzet n’est qu’un simple épigone de De Certeau, avec lequel d’ailleurs je ne suis pas toujours d’accord.
J’ai un sens historique trop aigu pour tomber dans le piège Foucault dont l ‘érudition « hospitalière » est plus que discutable. Cela commence à se voir outre-Atlantique. Les noces de la Philosophie et de l’érudition enfantent en France de singuliers monstres depuis Cousin.
Personne ne vous force à prendre parti pour l’un ou l’autre dans les démêlés cycliques qui m’opposent à la chère Clopine sans laquellle le blog ne serai pas tout à fait ce qu’il est. Je vous remercie toutefois de ne pas me confondre avec Lucien Bergeret!
Bonne journée. MC
PS
Qui me dira pourquoi le robot ne tolère que Petit Rappel?
Encore plus prétentieux et risible que MC : Petit Rappel, tout petit petit
Christiane, à propos de l’infanticide toléré évoqué par Ariès, lu ce propos en forme de planning familial, prêté à un sabotier:
« Si tu me donnes un fils, passe encore. Si tu me donnes une fille, je la garde et je tue les trois autres. »
On suppose que la fille veut faire l’objet d’un retour sur investissement… Il y a dans Furetière pour la ville un jubilatoire « tarif des partis sortables ». Ce n’est toutefois pas toujours le cas quand il y a disparition du père nourricier , initialement chargé « de l’éducation et de la nourriture » dit la Coutume de ses enfants. Un autre père, fut-il étranger, privilégiera parfois ses propres enfants au détriment de celles et ceux du premier lit. On cite encore dans les livres de droit du Dix-huitième siècle la vieille loi romaine donnant permission au père de vendre ses enfants…
Bien à vous. MC
Bien à vous.
MC
JC l’andouille toujours aussi nuisible, il devrait se faire trépané
je signale quand même que l’ecclésiaste -que je viens de relire-קהלת- est le livre d’un fils d’un grand roi adressé aux fils d’Adam ,avec pour « conclusion » « tout est vanité »
bonne journée
Non nous ne mangeons pas trop de viande, il faut s’insurger contre ces préceptes.
Le corps humain est génétiquement configuré pour en manger sinon cela se traduit par des carences.
Mais certaines pratiques spirituelles peuvent dans une certaine mesure atténuer voire compenser celles-ci. Lorsqu’on est pas sur de savoir les pratiquer correctement (cette pratique est de l’ordre du parcours sur des dizaines d’années ça ne s’improvise aucunement et il y derrière un maitre qui enseigne et à qui il faut obéir – rien que ça vous élimine 99 % de la population aspirant à cette spiritualité.
L’être humain lambda exerçant une activité physique moyenne doit donc consommer une bonne quantité de viande, et de la viande de qualité seulement, sans sauce de préférence. Cette consommation doit impérativement, systématiquement s’accompagner de légumes là encore de qualité et non traités par des pesticides ou désherbants, et d’une activité physique réelle et constante (je n’ai pas écrit sportive).
Mais il y a un bémol à apporter : le système digestif n’est pas génétiquement programmé pour durer plus de 60 ans. Il est donc recommandé tout au long de la vie de diminuer les viandes rouges et grasses et de privilégier la volaille et le poisson, surtout le poisson gras, voire ne manger comme viande que de la volaille, de première qualité c’est à dire bio, non traitée par antibiotiques.
Enfin il faut manger des œufs, 1 à 2 par jour, mais toujours accompagner cette consommation d’œufs de poisson gras et de fruits secs à oméga III (amandes, noix, noisettes
On pardonnera beaucoup aux inexactitudes de Michel Foucault, y compris les historiens orthodoxes (Perrot, Farge, Artieres, etc.), et surtout les historiens hétérodoxes (Veyne) qui ne se sont pas trop attardés, eu égard à ce qu’il a pu leur apporter d’ouverture d’esprit à leur époque. Tous ces gens ont appris à penser différemment en son compagnonage, à se dépoussiérer de leurs humanités traditionnelles, dirions-nous, à transgresser leurs catégories disciplinaires trop étroites. D’autres n’ont jamais réussi à le faire.
Merci pour cette mise au point éclairante. Apparemment, vous êtes sensible à ce que j’essaie de vous dire, puisque vous répondez du mieux que vous pouvez. NB/ N’ai jamais su qui était Lucien Bergeret, votre amie CT a l’air de vous confondre. Saura-t-elle reconnaître que c’est grâce à elle que vous apparaissez pour le plus grand plaisir de l’ensemble ? Pour ma part, je ne spécule pas sur les pseudos, sauf parfois pour obtenir des dénégations.
Je remarque également que des gens s’expliquant sur leurs éclats de rire inaudibles sur cet écran. Y vois un progrès. Est-il appelé à durer, j’en doute.
->(@ M.O) Trouvé l’hommage à sa famille un poil trop complaisant, sinon lourd. On ne sait pas trop les sentiments que ces gens de la fratrie portent à leur célèbre frère, sauf la maman qui a sa légitime fierté. Un jour, nous saurons ce qu’ils ont pensé de lui et le tableau sera plus complet.
Quand j’avais 20 ans, je notais toutes les pensées de Schopenhauer qui me transperçaient le cœur et m’agitaient la cervelle. Et quand j’en ai eu 30, toutes celles de Cioran. Et puis, vers 40, j’ai mis fin à toutes ces puérilités : il me fallait enfin exister par moi-même, aussi médiocre, dérisoire et absurde me paraissait l’êtant-au-monde.
Et maintenant je suis fier de ma mère, mais elle ne le sait pas. Je pense à tort à la mère d’Albert Camus. On a toujours le cerveau peu ou prou encombré par des comparaisons biographiques…, on n’y peut pas grand chose, même si on essaie de prendre ces distances avec l’exercice de comparaison, (une archéologie libidinale spontanée).
B.: j’admire votre sens de la repartie, le contenu bien sûr, mais surtout la tranquillité débonnaire avec laquelle.
Toutes les manières d’intervenir des internautes sur ce blog me passionnent. Chacun a sa patte unique… On a souvent tort de répondre au contenu, mais il faut bien provoquer des réactions pour confirmer les intuitions que l’on nourrit sur la vie des uns et des autres. Cela me passionne. Ce blog est une source de connaissance et d’enseignement d’une infinie richesse, dans la manière dont s’éploient les agents d’un segment très particulier d’une humanité virtuelle, dite des « erdélien.nes ».
Bonne journée,
MC
MC
(Stic, le 12.1.20, 10.22)
Peut-être que les danseuses s’usent plus vite que les danseurs, renato !
rose, pour savoir si vous êtes la plus géniale des trois enfants, on attendra l’avis des deux autres…
« Tu as raison d’aimer ce poème, tous les légionnaires le mettent au-dessus de leur lit.
Décroché aussitôt. »
Et aussitôt remplacé par la photo des légionnaires, Chaloux !
personne pour évoquer TOURGUENIEV?
Elle demandaient la retraite à 52 ans comme les danseurs, Jacques. Elle ont obtenu 45 ans pour les femmes et les hommes : logique sans peine.
M.Court,
merci pour ce petit rappel.
Dans les contes aussi, les enfants sont menacés d’abandon. Entre la fin du XVIIe siècle et le début du XVIIIe, Charles Perrault publie la première édition du conte du Petit Poucet(1697), la France (selon Ariès) est au plus fort d’une période difficile : étés pluvieux, hivers sibériens (la Seine est gelée), famines endémiques comme une répétition de l’hiver de 1705 . Le sol aussi est gèle. il n’y aura ni récoltes, ni fruits, ni vin. Les loups s’attaquent aux hommes. Les guerres ruineuses de Louis XIV ont épuisé le Trésor.
Perrault, dans ses contes, aborde ces grandes problématiques de la société de l’Ancien régime, et les conditions de vie des gens (la pauvreté des parents qui abandonnent leurs enfants pendant une famine…).
Dans celui du Petit Poucet, une famille de bûcherons très pauvres et leurs sept enfants touchée par la famine…
Toujours heureuse, grâce à vos sources d’éclairer mes jugements hâtifs trop dépendants de la mentalité et de l’actualité de notre temps. Merci.
Quand même, Rousseau abandonnant ses enfants…
Abandonner les enfants, c’était chrétien : ils avaient une infime chance d’être recueillis. En Chine, lors des famines du Grand Bond en Arrière engagé par l’illustre poète à la splendide graphie, on a mangé du poulbot en trop dans les chaumières de l’Empire du Milieu ….
Il y a des Luchien de chasse, mais pas ici ! Ici il y a une Luchienne de chiasse, c’est déjà beaucoup et nous l’adorons car nous sommes bons…
DE QUI est-ce?
« Au moment du travail, quand peu à peu une compréhension s’amorce, prend forme, s’approfondit ; quand dans une confusion peu à peu on voit apparaître un ordre, ou quand ce qui semblait familier soudain prend des aspects insolites, puis troublants, jusqu’à ce qu’une contradiction enfin éclate et bouleverse une vision des choses qui paraissait immuable – dans un tel travail, il n’y a pas trace d’ambition ou de vanité. Ce qui mène alors la danse est quelque chose qui vient de beaucoup plus loin que le « moi » et sa fringale de s’agrandir sans cesse (fut-ce de « savoir » ou de « connaissance ») – de beaucoup plus loin sûrement que notre personne ou même notre espèce. »
Tout le monde se souvient, je suppose, du pamphlet de Jonathan Swift :
Modeste Proposition.
A Modest Proposal: For Preventing the Children of Poor People in Ireland from Being a Burden to Their Parents or Country, and for Making Them Beneficial to the Public
Dimanche, 12 janvier 2020 à 11 h 41
@ Chaloux
Je connais mal Szymanowski, à part ses deux concerts pour violon, que j’aime beaucoup:
Le premier, par l’excellente Lydia Mordkovitch (qui a aussi un magnifique disque avec les deux concertos pour violon de Prokofiev)
https://www.youtube.com/watch?v=ftaC90mOcFE
Et quelques pièces de piano…
… comme la belle Étude op. 4 nº 3:
Ici par Van Cliburn
Lorsqu’un fonctionnement amène à la catastrophe, c’est que ce fonctionnement est mauvais.
rose dit: à
Rose, ton nom de famille est La Palice, non?
Ici l’act de mariage John Cage—Xenia Andreyevna Kashevaroff :
renato dit:
C’est quoi l’intérêt de publier ici l’act de mariage de l’un de plus grands escrocs esthétiques du XXe siècle?
12 janvier 2020 à 11 h 49 min
« Nina Wu » de Midi Z.
Un film bien dérangeant, comme on les aime.
Ici, le jeune cinéaste taïwanais (37 ans) n’hésite pas à mettre les pieds dans le plat.
Et quel plat, tout à la fois savoureux et ragoutant !
Un film qui pourrait le vouer aux gémonies des biens pensants et des féministes de tous poils, s’il n’était épaulé pour ce faire par la sublime Wu Ke-Xi, scénariste et interprète principale.
Résultat, un mélange de « Mulholland drive » dans la forme, et une adaptation de l’affaire Weinstein pour le fond.
Etrangeté et malaise garanti.
On ne devient pas une star internationale par hasard ni avec innocence.
Pourquoi Nina Wu, hier encore inconnue, est-elle parvenue, en concurrence avec de nombreuses actrices toutes aussi belles et douées qu’elle, à obtenir le rôle principal et à se retrouver propulsée sur le tapis rouge à Cannes ?
Grâce à la « magie du cinéma » répondrez- vous ?
Pas après avoir vu l’envers du petit monde merveilleux du cinéma donné à voir ici : sous les paillettes se cachent bien des noirceurs !
Mais à vrai dire, ça on le sait depuis longtemps…
Le producteur emblématique du film, peu importe qu’il soit taïwanais ou hollywoodien, personnage récurrent et interchangeable à volonté, lui ayant expliqué qu’il n’y avait pour lui que deux sortes de films : les rentables et les primés, Nina Wu lui donnera la preuve qu’elle en veut plus que toutes ses rivales réunies pour obtenir le premier rôle.
« A star is Born », dira le producteur à l’issu du visionnage des premiers rushes…
Après avoir vu par où elle dut en passer, avec la complicité du réalisateur et la kyrielle des assistants et autres intermédiaires de la profession, tous coupables, répond en écho le spectateur.
Oui, dérangeant, très dérangeant, pour l’image des stars en particuliers et celle du monde du cinéma en général.
Malaise aussi dans les rangs de la critique pour rendre compte de ce film : tout le monde voyait bien que le roi était nu mais personne ne le disait.
Mais dérangeant aussi pour le spectateur qui se dit que le talent est vraisemblablement à ce prix !
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19586355&cfilm=273582.html
« A Modest Proposal: For Preventing the Children of Poor People in Ireland from Being a Burden to Their Parents or Country, and for Making Them Beneficial to the Public » (renato)
Un des meilleurs souvenirs de lecture de toute une vie de lecteur !
Et Alii
Alexandre Grothendieck, Récoltes et semailles – Réflexions et témoignage sur un passé de mathématicien ?
En guise d’avant-propos : (p.27)
30 janvier 1986
Il ne manquait plus que l’avant-propos à écrire, pour confier Récoltes et Semailles à l’imprimeur. Et je jure que j’étais de la meilleure volonté du monde pour écrire quelque chose qui fasse l’affaire. Quelque chose de raisonnable, cette fois. Trois quatre pages pas plus,mais bien senties,
pour présenter cet énorme « pavé » de plus de mille pages. Quelque chose qui « accroche » le lecteur blasé, qui lui fasse entrevoir que dans ces peu rassurantes « plus de mille pages », il pourrait y avoir des choses qui l’intéressent (voir même, qui le concernent, qui sait? ). C’est pas tellement mon style, l’accroche, ça non. Mais là j’allais faire l’exception, pour une fois ! Il fallait bien que « l’éditeur assez fou pour courir l’aventure » (de publier ce monstre, visiblement impubliable) rentre dans ses frais tant bien que mal. »
» Elle m’a fait prendre la mesure des effets dévastateurs de la manipulation d’un adulte sur une toute jeune fille. Dans le ’Journal’ de Gabriel Matzneff, il y avait une part manquante : la victime. »
(dixit Antoine Gallim). Certes, a-t-il raisonné de la même façon pour les victimes de LF Céline, par hasard pour ne pas donner suite à la publication des pamphlets antisémites dans sa Pléiade ?
ah la victimologie ! cette part maudite de la criminologie… Il serait temps de passer à la zemiologie de la féministe marie-andrée Bertrand… une Bombardier plus conséquente. Pais à son âme !
https://www.erudit.org/fr/revues/crimino/2008-v41-n1-crimino2279/018424ar/
Il faudrait donc la mettre, cette « science des torts sociaux » (ui n’a pas acquis droit de cité), en adéquation avec la gestion de la dissonance cognitive des marchands de livres, dont le commerce risque de tanguer vers le bas pour des motifs de désertion morale de leur lectorat traditionnel. Les temps sont durs pour tout le monde, Passoul et MS, si vous voyez ce que je veux dire.
Depuis quelques jours on a accès aux 1 131 lettres d’amour de T.S.Eliot à Emily Hale, qu’elle avait léguées à la Bibliothèque Firestone de l’Université de Princeton (Eliot, lui, demanda qu’on brule celles de son amie).
https://elpais.com/cultura/2020/01/11/actualidad/1578757612_021570.html
OUI CHRISTIANE;une bonne présentation d’alexandre,le mathématicien , sur la vérité, la foi;
https://www.youtube.com/watch?v=irNEJwh2_No
Gallimard, beauf. Guetta a été moins chafouin. dès que ça arrive sur Polanski par contre, ça crispe.
Après avoir contracté avec d’autres la kiplingite sur RDC la semaine dernière, je l’ai transmise à mes élèves. Inoculation vendredi, ça incube. Pic d’épidémie attendu en classes prépa dans les semaines à venir.
13H29
Comme on le voit avec l’exemple cité plus haut du Petit Poucet, les contes et les chansons populaires d’autrefois sont un révélateur de la misère matérielle et morale de leur époque, à travers des transpositions qui ancrent dans le merveilleux ou le badinage irresponsable des maux tristement répandus alors
On peut citer pour les contes
Peau d’Ane : L’inceste
Le Petit Poucet : Situations de misere qui amenent à abandonner les enfants qu’on ne peut plus nourrir ; et avec le personnage de l’Ogre l’existence d’une menace representée pour les enfants par les pervers pedophiles et tueurs d’enfants rodant dans les campagnes
Cendrillon et Blanche-neige :La marâtre jalouse et mechante , sous-produit d’ un monde où les femmes mouraient tres souvent jeunes en couches ,laissant des orphelins mal aimés par une seconde épouse
Le petit chaperon rouge :encore une histoire de pedophilie qui transpose les pièges que ces pervers pouvaient tendre aux enfants
Pour les chansons :
Jeanneton prend sa faucille : Une tournante dans le monde rural
Le roi a fait battre tambour ;Droit de cuissage des dominants sur les dominés
La mere Michel :un chat accomodé et servi comme une viande
Il était un petit navire : mœurs du temps de la marine à voiles
On se souvient que Bruno Bettelheim et sa psychanalyse des contes de fées, très en vogue dans les années 1970, DHH !
Moi, j’aime beaucoup Pinocchio de Carlo Collodi. L’histoire d’un pauvre homme qui se fait un enfant tout seul !
sans parler de la pédophilie de l’auteur d’Alice au pays des merveilles…
souvenez vous le roi des aulnes on a ditquec’était une histoire de pédophilie;merci onsait
non, on en est revenu de la croyance en Carroll pédophile;ce sont les lecteurs qui projettent leurs tendances sur lui
JB, ton commentaire sur Nina Wu me rappelle la blague de Blanche Gardin à Cannes après l’affaire Weinstein: « mais alors est-ce-qu’on va pouvoir encore coucher pour avoir des rôles? Parce que, sinon, il va falloir bosser, apprendre son texte, etc… »
Le public riait jaune me semble-t-il.
DHH,
belle piste d’exploration. Merci.
bizarre que personne ne rapporte cette coutume des vieux messieurs de jouer avec le sexe des petits garçons, ce que j’ai lu, et vu de mes yeux ;
autres témoignages
https://www.persee.fr/doc/enfan_0013-7545_1981_num_34_1_2748
« Tout mur est une porte » disait le djinn Sarjoune à Abdallah le pauvre cordonnier, injustement emprisonné dans une sombre geôle pour un vol qu’il n’a pas du tout commis, dans l’un des contes des Mille et Une Nuits.
Les contes d’autrefois sont avant tout des histoires d’espoir pour les enfants avant qu’ils ne grandissent et des histoires de sagesse pour les adultes avant qu’ils ne meurent.
Si j’écris Maria Sophia Margaretha Catharina d’Erthal à qui songez-vous ?
Frédéric Worms
Professeur de philosophie, École normale supérieure (ENS) le colloque « Questions d’Humanités », qui se tiendra du 14 au 16 janvier prochains.
à l’ENS, dans l’École universitaire de recherche Translitterae de PSL, et partout ailleurs, comme un jalon entre des projets déjà entamés (Humanités dans le texte en lien avec le site du Ministère et sa Maison numérique des Humanités, Médecine et Humanités, ce programme de bourses en humanités pour des étudiants en médecine à l’ENS), d’autres qui se lancent à l’occasion du colloque (Planète vivante et milieux humains, Humanités européennes, Études africaines), d’autres encore qui
https://theconversation.com/vers-de-nouvelles-humanites-129203?utm_medium=email&utm_campaign=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%207%20janvier%202020%20-%201502314292&utm_content=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%207%20janvier%202020%20-%201502314292+CID_c99c54d71db1cdbbd0df22cbf766682c&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=Vers%20de%20nouvelles%20humanits
Et Alii,
cet homme, Alexandre Grothendieck,(1928-2014) est un « personnage » fascinant. Il est né en 1928 à Berlin de parents anarchistes et porte le nom de sa mère, journaliste. Son enfance est chaotique, et la montée du nazisme l’amène en France, où il connaît le statut de réfugié. Son père meurt en camp de concentration. Et c’est à Montpellier qu’il débute ses études de mathématiques.
Je l’ai découvert, récemment, dans une émission de France Inter.
Il obtient la médaille Fields, l’équivalent du Nobel en mathématique. C’est aussi un écologiste radical.
De cet « énorme » livre, il parle à un ami dans une lettre d’introduction très poétique. (« S’il n’avait pas été mathématicien, Alexandre Grothendieck disait souvent qu’il serait devenu écrivain », se souvient cet ancien élève qui anime cette conférence (votre lien).) :
« dans l’écriture de I>Récoltes et Semailles/I>, ou dans telle de ses étapes, qu’il me suffise de te dire qu’il y a eu, dans ce travail, quatre grandes étapes nettement marquées ou quatre « souffles »- comme les souffles d’une respiration, ou comme les vagues successives dans un train de vagues surgi, je ne saurais dire comment, de ces vastes masses muettes, immobiles et mouvantes, sans limites et sans nom, d’une mer inconnue et sans fond qui est « moi », ou plutôt, d’une mer infiniment plus vaste et plus profonde que ce « moi » qu’elle porte et qu’elle nourrit. »
Une sorte d’autobiographie ? (disponible gratuitement en ligne. Je n’ai lu que les 60 premières pages.)
Les recherches de ce géant des mathématiques, Alexandre Grothendieck, menées alors qu’il vivait en ermite à Lasserre, un village isolé de l’Ariège, ont concouru à prouver l’existence du boson de Higgs.
Il décède en 2014 en laissant derrière lui des milliers de pages de notes.
28 000 d’entre elles se trouvent à l’Université de Montpellier où elles ont été sauvegardées et numérisées. 70 000 autres pages issues dorment actuellement dans la cave d’une librairie de Saint-Germain-des-Prés sans que personne pour le moment n’arrive à estimer leur valeur. Chaque page représenterait des heures de déchiffrage.
Cédric Villani, grand mathématicien français également (et pas que…), a avoué qu’il lui faudrait sans doute travailler 8 heures par jour pendant 5 ans pour vraiment comprendre les mathématiques de Grothendieck.
La Vérité, dernier film du réalisateur japonais Hirokazu Kore-Eda se penche à nouveau sur les secrets de famille, avec un regard sceptique sur le monde. Paré d’une distribution prestigieuse, il cherche paradoxalement les effets de vérité dans la fiction.
était présenté dans philomagazine: ». Fabienne vient de faire publier son autobiographie, que lit bien sûr Lumir, stylo à la main pour y traquer les approximations de sa mère. Un secret les unit, et combien de vérités trompeuses ?
le père d’Alexandre : une bio ici
https://www.pourlascience.fr/sr/article/grothendieck-un-genie-des-maths-devenu-ermite-9242.php
christiane, merci de garder vos approximations sur Grothendiek pour vos amis erdéliens:j’ai rencontré personnellement de ses visiteurs dans un café; et ceux qui peuvent encore être curieux de son histoire, qui passe par des lieux connus (dont Chambon sur lignon )-cahotique dites vous-peuvent commencer à se faire une idée sur internet :il avait lu Freud ,mais oui, et ne cédait pas aux sirènes genre psychologie RDL .JE NE VOUS DEMANDE RIEN
WIKIPEDIA a fait une notice d’introduction sur Grothendieck; christiane , vous vous moquez du monde de résumer la présentation de gtothendieck sur ce fil sur la paternité en me signifiant votre fascination aveugle,occupez vous de Vos bulbes
sur Grothendieck
Début 2016, soit un peu plus d’un an après sa mort, les enfants du mathématicien, qui contestent à l’université la propriété des cartons, font en outre inventorier 65 000 autres pages d’archives qui se trouvaient entreposées dans des cantines au dernier domicile de Grothendieck au moment de sa mort47,48 wiki
occupez vous christiane de vos ami-e-s dont je ne suis pas, heureusement pour moi!figurez-vous que j’ai dit un jour à un psy que je ne supportais pas la chanson « c’est la mère michel » ;il ne savait quasiment rien de ma biographie et m’a dit « chantez la » et croyez moi, il n’en es pas ressorti du erdélien!j’avais une excellente mémoire !
il n’en est pas ressorti!
bulbe rachidien (wiki)
La moelle allongée (ou medulla oblongata, aussi appelée bulbe rachidien en ancienne nomenclature ou myélencéphale) est la partie inférieure du tronc cérébral (la plus caudale) chez les chordés. Elle prolonge en haut la moelle spinale et se situe en avant du cervelet dans la fosse postérieure du crâne. Elle est en continuité en haut avec la protubérance. Dans l’ancienne nomenclature, on remarque que le terme « rachidien » est un composé de « rachis », du grec ancien ῥάχις (rakhis) « épine dorsale »1 (élargi par analogie avec des mots de radical en -id-). Cette moelle allongée est percée d’un conduit permettant la circulation du liquide céphalorachidien, ce conduit étant en continuité avec le 4e ventricule en haut et le canal de l’épendyme en bas.
scoop ! la véritable identité de J C : Justin Crétin
« Si j’écris Maria Sophia Margaretha Catharina d’Erthal à qui songez-vous ? »
A Jeanne d’Arc, renato !
Pauvre Christiane, qui tente de remettre de l’ordre dans le fourbis de et alii, comme elle se fait ramasser !
Il avait raison votre psy de vous la faire chanter en entier la Mère Michèle, et alii. Ainsi, il a pu repérer toutes vos phobies. Principalement celle concernant le chat-chatte…
Vous ne voudriez pas nous la chanter ?
témoignages sur GROTHENDIECK
https://reporterre.net/Genie-des-mathematiques-et-ecologiste-radical-l-exemplaire-destinee-d-Alexandre
Blanche-Neige, Jacques !
BAROZZI? INSTRUISEZ VOUS au lieu d’emmerder des gens qui n’ont rien àç fa ire de votre grossièreté ;si ça plait à christaine, elle pourra entendre un témoignage d’un psy sur ce mathéamaticien exceptionnel et comparer avec le erdélien :je ne vous demande rien
@ et alii
Mais t’es une vraie salope, une pute de rien du tout.
FERME TA GUEULE BORDEEEEEL, tes commentaires de merde ne servent à rien. TU ES CHIANTE, CHIANTE, CHIAAAAAAAAANTE… LA FEEEEEEEERME !
C’est la même blancheur virginale, renato !
Il y a un peu de ça, closer. A part que dans le film il n’y a pas un brin d’humour. C’est gore de chez gore. Hors champs et sur le plateau, elle donne de sa personne l’actrice. Il ne suffit pas seulement d’apprendre et de dire son texte…
va coucher, carmen et instruis-toi aussi avant de l’ouvrir ,ta g….e ;
Erik Pigani, un psychothérapeute, explique à etalli que ce conte décrit les étapes de la puberté chez la jeune fille
. La première reine, mère de Blanche-Neige, se pique le doigt et fait tomber trois gouttes de sang sur la neige blanche avant de mourir quelque temps plus tard en couche. C’est une scène au tout début de l’histoire, préparant la jeune fille à son avenir, qui fait écho à l’innocence de l’enfance qui se perd avec la couleur rouge des menstruations, et le début de la sexualité mais aussi de la possibilité d’une conception. Le symbolisme de la pomme renvoie au fruit défendu de la Genèse. Le fait de croquer la pomme marque le passage entre la vie insouciante de l’enfance et celle d’adulte. Selon Pigani, une notion morale s’ajoute avec le fait que la mère, même si elle souhaite garder sa beauté et sa jeunesse, doit laisser la place à sa fille.
Pigani était un double de FLLP, je crois, jzmn
NB / Dans Solenoïde, au chapitre 12, le roumain Mircea C. raconte être né avec un frère jumeau Victor qui ne lui survécut pas plus d’un an. Il eut cette particularité de se présenter au monde comme un être en miroir, phénomène dont je n’avais encore jamais entendu parler jusqu’à présent, alors que je suis censé en savoir long sur la question : à savoir un être (déformé) dont tous les organes du corps sont inversés par rapport à son double. Or, i aurait été impossible de déterminer s’ils étaient monozygotes ou univitellins comme on dit.
Si quelqu’un a des éclairages à ce sujet, je serais preneur (en dehors d’Hergé sur les DuponT/B vus par Clément Rosset), je lui en serais bien reconnaissant car je suis extrêmement troublé ce soir par cette nouvelle révélation.
des jumeaux sesquizigotes !!!!
Incroyab ! (le Romain a dû broder autour de cette découverte datant de 2007). Incroyab’ !
https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2019/03/01/jumeaux-du-troisieme-type/
la pomme et blanche neige, c’est pour les fans de turing et VOTRE ADOREE CLOPINE QUI RELANCE SUR LES REGLES SUR CE BLOG.erreur de destinataire ! décidément sur ce blog, vousêtes obsédés thérapie ;
WG n’a pas marché à ces soupirs et ce n’était pas un illettré, lui ;
allez vous faire tatiner à ROUEN
« dont tous les organes du corps sont inversés par rapport à son double. »
Vous avez le coeur à droite, JJJ ?
« Le symbolisme de la pomme renvoie au fruit défendu de la Genèse. »
Dans l’Allemagne de l’époque une orange ou une poire aurait été trop cher même pour la marâtre de Blanche-Neige — il faudrait, parfois, lire Wittgenstein.
Cela dit, amusante cette obsession pour le sang menstruel.
Parfois j’ai comme un doute, et alii serait-il Alba ?
« Cela dit, amusante cette obsession pour le sang menstruel. »
La légende veut que Jeanne d’Arc n’ait jamais eu ses règles, renato. Et Michelet, historien, n’émet pas l’ombre d’un doute à ce sujet !
@ et alii
Quel est ton problème ? Tu n’as pas d’amis autour de toi pour parler avec eux ? Tu es seule, moche, vieille, malade, aigrie, pleine de morgue et de haine ?
Moi je pense que tu es pauvre, misérablement pauvre.
J’ai un bon conseil à te donner : SUICIDE-TOI et décharge la terre de ton poids inutile.
« BAROZZI? INSTRUISEZ VOUS au lieu d’emmerder, etc. »
C’est gentil de respecter la bonne orthographe de mon nom, et alii, malgré votre écriture incertaine. Merci.
(Parfois je me demande si vous n’êtes pas A.lba ?)
oui, Jazzi,
on ne m’y reprendra pas. Il est vraiment dérangé cet HOMME ! Il devrait faire un autre usage de ses liens…
Les post sur Grothendieck que multiplie Alii sont typiques de sa manière .
Elle a pris l’habitude nous accabler sur n’ importe quel sujet d’une montagne de détails rares , de citations et de références bibliographiques pointues, multipliant les liens vers des revues savantes ou des œuvres confidentielles .Mais en cela elle semble apparemment plus animée par un besoin pédant de briller que par la pertinence de la matière apportée.
Et surtout ,le plus souvent, elle a soin de signaler qu’elle accédé à l’information ainsi livrée par un canal particulier,une source personnelle , qui la positionne, liée à son statut d’universitaire riche en réseaux, à tu et à toi avec les figures de l’intelligentsia , ou qu’elle la doit à sa familiarité avec des gens de leur parentèle, toujours rencontrées dans des circonstances rares
L’essentiel ici pour elle, en face de nous autres braves internautes lamda qui nous informons sur wikipedia ou dans les livres de tout le monde, est d’affirmer son statut de reine intellectuelle du blog.
De sorte que si quelqu’un se risque sur un sujet donné à oser échanger d’égal à égal avec elle , elle le renvoie avec hauteur à son néant d’amateur minable , a qui elle n’a rien a dire, ne pouvant pas condescendre à boxer dans cette catégorie
Christiane vient d’en faire l’expérience,c se faisant remettre en place a propos de Grothendieck dont probablement et alii est incapable de comprendre une miette de l’œuvre .Mais ayant à son propos joué les initiées avec trois bribes biographiques glanées ,c’est ce qui importe, dans un cadre qui n’est pas celui du tout venant, elle a pu affirmer une nouvelle fois en humiliant Christiane qu’ elle est d’une autre essence que la pietaille infréquentable qui habite ce commentarium,
On peut se demander pourquoi elle y fait les 3/8
Si cette petite salope ignare et débile de « et alii » continue de sévir débilement sur la Rdl, moi, je quitte ce blog.
elle est atteinte du même syndrome qu’AMS et chalumeau réunis. Je crois plutôt qu’ils ne font qu’un.
Et oui, DHH vous venez d’en dresser le meilleur portrait. Mais que faire ? ui va bien ouvoir prendre sa défense, si Ch. elle-même s’y est cassée les dents ?
Taxifofolle va nous répondre qu’elle n’attend rien de personne, mais on sait bien depuis le temps que ce mensonge EHNAURME fait partie intégrante de son appel au secours permanent aux erdéliens. Peut-on la laisser crever sans rien faire, alors que les erdéliens sont le seul lien de comm. qui la retiennent à la vie ? Elle est en grande souffrance et grande détresse. Passoul pourrait-il essayer de lui envoyer un message d’aide de la revue ? C’est le seul recours que nous ayons, je pense, avant de faire intervenir les services de la préfecture, hélas… Nous savons en outre que de lui couper l’accès le ferait périr instantanément. On ne peut quand même pas lui souhaiter cela, et ce serait contraire à notre déontologie, JC.
ohh ben finalement non.
Vous fréquentez ces clubs à Ibiza, D., pleins de techno de cames et de bimbos ?
Je trouve que cela vous ressemble assez en effet. Vous avez su rester d’jeune, c bien !
euh ben non justement
christiane n’a apparemment jamais imaginé qu’l ne suffit pas d’avoir des amies juives comme elle s’en flatte pour que toutes les femmes attendent ses révélations sur les psys juifs; et les autres;quant à ma « famille » , je veux dire ceux qui ont prétendu à la « qualité de « père » et « mère » sur moi depuis ma naissance,ET même depuis ladite « mère michel » elle est plus nombreuse que toute la RDL ; je ne fais pas thérapeute et n’ai pas attendu les erdéliens pour élucider de pareilles prétentions des adultes supposés normaux
On suppose que la fille veut faire l’objet d’un retour sur investissement…
oui , ça c’est très bien vu!
Wouaouh ! Visite d’une amie rouennaise, cet après-midi (je ne dévoilerai pas qui c’est, m’enfin disons que je suis sûre d’une chose : c’est que ses convictions écologiques, féministes et humanistes font partie intégrante de sa personnalité, fort attachante au demeurant, bref).
Il semble que les choses bougent (enfin), du côté politico-environnemental rouennais. Un peu tard, un peu trop tard, sans doute de manière encore trop politicienne, m’enfin : des choix semblent s’opérer, et dans le bon sens encore… Et puis Lubrizol est passé par là…
Je ne souhaite qu’une chose : que mon amie aille au bout de ses combats. Fissurons le vieux monde, mettons le pied au bas de la porte pour l’empêcher de se refermer. Mon amie, lucide, n’est guère optimiste sur le devenir de notre planète (moi non plus). Mais c’est d’autant plus remarquable, pour elle, de se mettre ainsi à l’avant des lignes.
Et, très sincèrement, je souhaite tellement qu’elle le fasse (elle a encore quelques doutes, parce qu’elle sait pertinemment, comme elle le dit elle-même, qu’elle va nager « au milieu des grands requins blancs » rouennais) que j’en suis déjà fort fière, et fort émue.
pour christiane
Jean-Jacques Moscovitz que j’ai signalé est aussi un psy juif qui tenait séminaire à SAINT GERMAIN.ET IL A PARLE DE SON FILS ET s’intéresse au cinéma
« Rêver de réparer l’histoire… Psychanalyse, Cinéma, politique »,
de Jean-Jacques Moscovitz
Collection « Le regard qui bat », Èrès, 2015, 206 p.
http://www.psychanalyseactuelle.com/textes/rever-de-reparer-l-histoire-de-moscovitz-par-a-m-houdebine
@ mettons le pied au bas de la porte pour l’empêcher de se refermer
C’est bien d’être ambitieux mais de savoir raison garder
12 janvier 2020 à 20 h 00
@ Ceux qui se plaignent de « et alii »
Mais pourquoi lisez-vous ses messages? Pourquoi rentrez-vous dans son jeu? Pourquoi lui répondez vous?
Pourquoi discutez-vous avec une folle?
C’est bien plus inexplicable cela que ses délires…
12/01/2020, 20h07
Bonsoir Passou, je vous souhaite la bonne année sur le billet du premier janvier, avec un peu de retard.
pour moi, je me limite à vous rappeler des références comme à l’instant Moscovitzsur le cinéma puisque vous vous targuez d’être des lacaniens!ces personnes qui font référence tiennent séminaire, sont invitées dans des rencontres et je jouent pas à la pétomanie;par ailleurs beaucoup ont une formation éclectique,parlent plusieurs langues,ce que j’apprécie ; ils sont bien plus modestes que vous tous avec vos icite et capabe et n’ont pas besoin de ça;les fous, c’est vous parce que vous le voulez
– Jean-Jacques Moscovitz, vous êtes psychiatre, psychanalyste, membre d’Espace analytique, membre fondateur de “Psychanalyse actuelle” (1986) et de l’association “Le regard qui bat”. Vous êtes l’auteur de “Rêver de réparer l’histoire… Psychanalyse Cinéma Politique” (érès). Peut-on faire un rapprochement entre psychanalyse et cinéma?
Jean-Jacques Moscovitz : Oui puisque je le fais . Le cinéma nourrit notre imaginaire, il nous civilise bien qu’il montre des crimes ou des
http://culture-com-06.over-blog.com/2015/03/interview-de-jean-jacques-moscovitz.html
c’est en recherchant
Mensch !
Jean-Jacques Moscovitz
Dans Figures de la psychanalyse 2012/1 (n° 23), pages 155 à 164
que j’ai retrouvé le souvenir de ses séminaires que je vous ai déjà indiqués;christiane a décidé que je ne partageai rien:si une référence n’est pas un partage, je le regrette pour elle
pour christiane qui veut dire qui est qui comme ses amies, je signale une présentation de moscovitz par
François Ardeven
Professeur de lettres classiques, Psychanalyste, Lecteur du midrach laïque au centre Medem
http://www.psychanalyseactuelle.com/le-blog/jean-jacquesmoscovitzfaitsoncinemaparfrancoisardeven
« non, on en est revenu de la croyance en Carroll pédophile;ce sont les lecteurs qui projettent leurs tendances sur lui »
C’est on ne peut plus exact Et Al, et je vous remercie pour ma part, du lien que vous aviez donné, s’il fallait encore insister pour les abrutis qui ne lisent pas l’anglais.
voilà ce qu écrivit Drillon (dernier billet)
mais aussi et surtout exclusive d’une culture historique et scientifique. […
il n’y a de pire sourd …..
pourtant, en sciences, la paternité d’une théorie, d’une invention n’est pas une amusette pour erdéliens qui digèrent un repas dominical
La première fois que les travaux de Grothendieck,tout comme l’homme, ont ete mentionnés sur ce blog, qui ne le mérite pas, c’est vous Et Al. Il y a des années, déjà.
Et si on a pu téléchargé Recoltes et Semailles, c’est à vous qu’on le doit.
Et a personne d’autre.
Il m’a semblé utile de le rapporter, en passant.
merci, marie;vous savez, je signale ce que je crois devoir signaler pour que tous les lecteurs en profitent, même ceux qui ne viennent que lire; mais merci à vous de ce retour encourageant ;je vous souhaite plein de choses pour vous importantes et de trouver la manne qui sera bonne pour vous
Marie Sasseur et et alii,
Deux pseudonymes de merde pour une même connasse.
Une connasse mal-non baisée ou carrément anti-baisable.
SUICIDE-TOI ET DISPARAIS POUR TOUJOURS, MEEERDE !
« c’est vous Et Al. Il y a des années, déjà »
Sous quel pseudo, Marie Sasseur ?
Ciao, les losers.
Au fait j’ai oublié un truc.
Je ne comprends pas, personne ne vous oblige à lire et alii, Sasseur, JC ou n’importe quel autre intervenant : si une manière, une forme, des contenus vous emmerdent vous n’avez qu’à passer votre chemin, ce n’est quand même pas difficile.
« rose dit: à
mon mari ne veut plus de moi. »
Je prends 🙂
(Le crabe-tambour)
La nuit est sainte comme un silence pieux.
Bonne nuit à tous et à toutes.
@Pablo, cette version de l’étude n’est pas mal non plus. Daniel Pollack.
https://www.youtube.com/watch?v=Qnad2T5U5jA
(Sans savoir, je dirais que c’est du Scriabine).
@Pablo.
Les autres études ne sont pas mal non plus, même si elles sont très influencées.Tu y entends déjà l’ampleur de l’artiste, comme dans les œuvres de jeunesse de Prokofiev, la première sonate, par exemple. Des pages qui expriment tant de choses justes sur la jeunesse.
Je ne sais pas qui est ce pianiste, Martin Roscoe, mais c’est aussi une pointure.
renato, ce n’est pas tant ce qu’ils, qu’elles disent qui importe ici. Chacun est assez grand en effet pour faire son tri entre les commentaires, en fonction de l’intérêt qu’il y trouve.. Merci du conseil. Ce sont plutôt les attaques personnelles et le mépris manifeste que l’on conteste. Sinon, perso, je suis pour que tous le monde s’exprime librement. C’est d’ailleurs l’un des principaux mérite du blog à Passou…
Tout le monde…
pour m’aider, j’ai regardé sur wiki à paternité d’invention, mais j’ai succombé à la déclaration de
Jules Renard:
(Jules Renard lança d’ailleurs l’expression : Ma femme, c’est comme une invention française : je l’ai trouvée et ce sont les autres qui en profitent ;
je vous laisse le soin de trouver mieux !
et mérites… L’heure de la retraite au flambeau vers le dodo à sonné !
Jacques, les attaques personnelles et le mépris font partie du folklore du net, il suffit de ne pas les prendre en considération… laisser pisser les mérinos… bon, ça fait moins de post au compteur, certes, mais beaucoup de temps non perdu.
Soleil vert
« C’était un de ces capitaines légendaires ! Donc on a fait connaissance, et l’on s’est pris de sympathie. Quand j’ai commencé à écrire mon livre, Le Crabe-tambour, je me suis dit qu’il y avait dans son histoire quelque chose qui m’intéressait. Ce n’est pas sa biographie, c’est mon histoire telle que je l’ai rêvée… J’ai dédié mon roman à mon fils cadet, Ludovic, parce qu’enfant, il avait un petit ventre rond sur lequel il tambourinait, et comme il marchait à quatre pattes et de travers, je l’appelais le crabe. D’où le Crabe-tambour ! Vous voyez, c’est quelque chose de tout à fait personnel. Ce n’est pas sa vie, ce n’est pas la mienne. C’est autre chose2. »
— Pierre Schoendoerffer
dear Soleil vert
faudrait peut-être voir à accélerer le rythme parce que la sieste promise il y a environ trois ans, j’en attends encore la couleur douceur.
P.S : il s’agit de Nathalie, pas de moi, Soleil Vert, mais vous avez bon goût, oui.
C’est finement analysé, DHH. il manque un éclairage, celui de la maladie. JJJ a bien perçu dans la fébrilité de et alii, cette incapacité qu’elle (IL) a à échapper aux crises ahurissantes qu’elle (IL) traverse.
Humiliation ? certes non ! je n’attends rien de cette personne. J’ouvre parfois ces liens, pas tous. Je les ignore souvent et lui réponds selon mes envies et succintement sauf quand la personne évoquée m’intéresse, puis je l’oublie sans remords.
Ainsi va la RDL… Pas de crise de conscience ou de pitié comme JJJ.
J’ai d’autres activités.
Surprise, à mon retour d’avoir lu ses commentaires chaotiques.
Bon, il s’est trouvé une amie. Chic, on va être tranquilles. Passons à autre chose.
J’ai lu le commentaire de Ozymandias (« Les contes d’autrefois sont avant tout des histoires d’espoir pour les enfants avant qu’ils ne grandissent et des histoires de sagesse pour les adultes avant qu’ils ne meurent. »)
J’ajouterais, pas tous.
Revenons au « Petit Poucet ». Ce conte est sombre et effrayant. Rares sont les contes où le héros meurt. Dans celui de Collodi (pas le film de W.Disney), il meurt, pendu. Collodi a dû rajouter une suite, pseudo magique (ou religieuse) pour qu’une fée (vêtue de bleu…) lui redonne vie.
De plus la recherche d’une mère lui est nécessaire pour redevenir un vrai enfant et pour que par ricochet, Gepetto devienne père. Sans la femme pas de mère ni de père.
Beaucoup d’enfants n’ont retenu dans les versions édulcorées du conte que le coté moralisateur : s’ils mentent , ça se verra, comme un nez qui grandit…
Beaucoup d’autres pistes dans le conte de Collodi réservées à des adultes…
Renato dit: »les attaques personnelles et le mépris font partie du folklore du net, il suffit de ne pas les prendre en considération… laisser pisser les mérinos… bon, ça fait moins de post au compteur, certes, mais beaucoup de temps non perdu. »
Pablo75 dit: « Mais pourquoi lisez-vous ses messages? Pourquoi rentrez-vous dans son jeu? Pourquoi lui répondez vous?Pourquoi discutez-vous avec une folle?C’est bien plus inexplicable cela que ses délires… »
Exact !
Oui Christiane, pour Perrault, dont la parution du recueil coincide avec une année de famine mais l’intéressant est que ce conte-là a été collecté en 1914.
Il faut donc penser que, dans un processus d’Histoire longue, la mémoire de situations tragiques et extrêmes perdurait à la veille de la première guerre mondiale, l’histoire ayant été adaptée pour le milieu breton, le bucheron étant remplacé par les sabotiers, milieu très pauvre mais dépositaire de traditions orales, déjà en voie de disparition en tant que corporation à l’époque de La Villemarqué,soit entre 1840 et 1876 à peu près.
Il n’a pas écrit sur les Fantômes, Patrice Charoulet, le cher Schopenhauer?
Schopenhauer à propos des fantômes, quelque page dans Parerga et Paralipomena.
[Qu’est-ce qu’un esprit, sinon la partie indestructible de l’être humain, la partie que la mort n’a pas le pouvoir d’anéantir, car rien ni personne ne pourrait anéantir, dans son essence, la Volonté elle-même?]
Peut-être lui pardonnera-t-on, JJJ. Et il est vrai qu’il lui est arrivé d’exhumer des textes intéressants. je crois avoir cité « le Cercle Amoureux d’Henri Legrand » meme si la trouvaille et le percement du code reviennent à Pierre Louÿs. Mais un Dix-Septièmiste sérieux ne peut admettre son concept d’enfermement des malades via son analyse de la fondation de l’Hôpital Général,il suffit de la confronter aux statuts d’époque. 5hotel-Dieu de Lyon, de Paris) pour que cela s’écroule.
Noter des pensées ne signifie pas construire une Pensée, ce pourquoi j’ai du aussi , plus toto que vous, me détacher de cet exercice. Mais on peut y trouver un plaisir anthologique. Je me rappelle avoir beaucoup fréquenté Chamfort, un peu moins Vauvenargues, beaucoup Corneille. Je suis mal placé pour dire s’il en reste quelque chose.
J’aimerais dire que je ne vole pas dans les plumes de Clopine ou de toute autre pour le plaisir, mais elle possède parfois à un si haut degré le génie de l’énormité que, tout himalayesque qu’il soit, on se sent naturellement poussé à intervenir. ça n’est pas toujours le cas, elle peut dire des choses parfaitement sensées, mais ce sont ses interventions-là qu’elle retient. Il fut un temps pourtant , et il m’arrive encore, d’être d’accord avec elle. Quant à Lucien Bergeret, j’ignore aussi qui c’est, je sais seulement que ce n’est pas moi.
Ce blog est un peu comme le silex. Les étincelles sont capricieuses, mais elles jaillissent. C’est sans doute la raison qui en pousse beaucoup ici à continuer à le fréquenter.
Bien à vous
( « Bis repetita ne plaisent pas toujours! » pour citer le cher Goscinny).
MC
Clopibe, elle habite dans quel coin de Rouen, votre pote Lucile ? Parce que je connais moi aussi une Lucile à Rouen.
première « réponse » de christiane moi adressée: »vous êtes un homme pour moi » cela je ne le comprenais pas était-ce une « règle » de la RDL? Je voyais bien que les pseudos pouvaient prêter à mille jeux mais quand même, surtout avec un accent étrange sur « le sexuel » décidément je ne comprenais plus eu égard à un investissement certain de ce blog sur l’homosexualité; (j’avais été choquée déjà lorsque je ne faisais que lire par les revendications de « judéité » par des « traductions » des conversations comme « pilpoul » , puis l’accent sur la sexualité obligatoire donnée comme la fleur de la pensée lacanienne;c’était très déconcertant pour moi cette façon de s’exhiber comme « psychanalystes » ; mais il y avait les billets , des livres , autre chose que des gens qui demandaient des compliments parce qu’ils se soumettaient à des injonctions de persiflage de tout et de tous comme si c’était de la critique!
c’est facile de dire de la psychanalyse, « absconse » de se proposer en conseiller d’orientation, au mépris des gouts des SUJETS non reconnus,ni les gouts (la musique pour renato, ( avec des sciences), les langues et j’en passe :pressante sur ce blog la sexualité toujours plus de sexualité ; on voulait vous refaire votre éducation sexuelle depuis « la genèse »
je ne conteste pas que les années de ma jeunesse n’ont pas été accompagnées par une éducation éveillante aux problèmes que j’ai plus tard découverts, aussi avec l’aide de livres , et qui explosent aujourd’hui en « convergeant » avec la scène politique, mais christiane, je regrette, j’ai même une petite fille institutrice, et une autre infirmière ! vous n’êtes pas la première institutrice à me parler d’enfants ;et quant aux interprétations d’autres mathématiciens , je n’ai pas attendu votre bibliographie!
et puisque l’hébreu est pour vous secondaire , comme on dit sur la RDL, pour se frotter à la « littérature juive » je ne vois pas lieu de revenir sur ce chapitre j’ignore si la RDL est la nouvelle Babylone, ça ne me préoccupe tout simplement pas parce que les questions entre contributeurs et contributrices me semblent des questions qu’on dit aujourd’hui de « domination »,vous dites chercher des domestiques , vous ne savez pas ce que vous dites,oui,avec vos « amies » et vos « amis »:le mépris, c’est de se servir de ce blog pour jouer vos fantasmes à bon compte ; et cette société que vous cherchez ne m’intéresse pas du tout; je n’ai aucun besoin de parler des gens « célèbres » « populaires » ni des autres ;je vois mes « proches » quand c’est possible, ils ont été surpris que j’ai assez dit la vérité sur mon histoire pour autant que ça les concernait, et surtout comparé avec d’autres biographies de gens que j’ai connus, polydivorcés , avec maladies dégénératives , déficits cognitifs , et telles épreuves que je me sens épargnée d’avoir eu mon lot plus tôt; (pas de ces maladies là !) je ne veux pas subir les fantasmes erdéliens
maintenant sur la presse que je lis (et le reste)
ah,oui, christiane, il n’y a pas à rentrer dans mon jeu puisque je ne joue pas ni à chercher à savoir de quiconque, ni à dire que je comprends , ni à raconter que j’ai des amis chinois !je vous ai mis en garde contre la gastro qui sévissait point barre;je ne vous demande pas de recette de couscous, et ne me vante pas de mes pratiques « manuelles » (en électricité of course) je ne suis pas du même milieu, voilà , ni « comme »!eh non, la maman de grothendieck n’était pas juive! nobody is perfect
@ et alii
Il faut dormir maintenant ma petite cochonne répugnante et n’oublie pas de demander à ton chien galeux de sucer ta sale chatte, ça te fera gerber de plaisir.
Pauvre conne.
M.Court,
c’est intéressant l’histoire des rééditions des contes ou leur réécriture quand on les situe sur des périodes bien précises de l’histoire. J’avais vu il a quelques années une exposition passionnante sur les illustrations de la littérature enfantine de 1900 à nos jours.
Je me souviens d’une illustration d’Arnoux du « Petit Chaperon Rouge dans la Grande Guerre » (édité en 1917 aux éditions Lutetia, je crois… et gardé dans les archives de la ville de Dijon. La Grande guerre envahissant les conte !
Sur cette couverture, le Petit Chaperon Rouge porte un bonnet phrygien et une robe tricolore quant au loup, il est devenu un animal-soldat, un officier allemand au casque pointu, au long manteau vert de gris, portant des bottes militaires noires et brandissant un sabre (Le fourreau du sabre sortant à l’arrière du manteau représentait peut-être la queue du loup).
L’enfance en guerre… Exaltation du sentiment patriotique… Qui est l’auteur de la réécriture ? j’ai oublié…
(Serait-ce, pour suivre DHH, une métaphore des femmes violées pendant la guerre ?)
(Je me souviens aussi de « Bécassine chez les alliés »…)
aux éditions de la Librairie Lutetia , je crois… gardé dans les archives de la ville de Dijon.
allons donc,la pauvre christiane aux amies juives, comme elle me dit , pourquoi? (il se trouve que c’est une blague juive,roudinesco l’a écrit dans le monde! elle sait ça au moins quoi qu’on lui reproche!)c’est moi qui n’ai rien à faire de vos histoires de sexualité! de « dévotion » de « conformisme » !clopine a dit plus juste qu’elle ne se l’imagine!
« Totus mundus agit histrionem »
carmen vous vous trompez de destinataire !demandez à
christiane , elle vous conseillera avec ses amies !je n’aime ni les cabots ni les cabotines ,ni vos modèles
ce n’est pas seulement du mépris que m’inspirent les « flatteurs » qui prétendent faire du pilpoul et de l’interprétation psy, c’est du dégout ; ils défendent une position ou une place contre ce qu’ils ressentent comme une menace ou une agression :mais je ne vois sur le blog aucun signe irrécusable de leur puissance comme de « nouveaux » contributeurs commentant le billet,ouvrant une échappée sur une discussion fertile pour notre temps;l’identité sexuelle d’un contributeur ou d’une contributrice ne m’apparait pas a priori un une idée féconde ; si certain-es d’entre vous se plaignent de ne pas avoir été découverts dans « leur vérité », j’en suis désolée pour eux(elles) et précise que je n’ai jamais eu d’attente de cet ordre qui vous obsède ; mon refus est d’autant plus catégorique que je ne suis pas en manque (…)
possible que les flatteries s’adressent à P.Assouline:je trouve que ce serait désolant et souhaite qu’il prenne lui-même conscience qu’il y a lieu de s’en questionner;
si la RDL est devenue Babylone; je ne m’y laisserai pas réduire en grande prostituée par les erdéliens
d’origine et leurs ami-e-s
christiane,je n’ai pas vu l’opéra dont vous parlez, peut-être est-ce possible en replay …
Vous êtes dans les contes, semble t-il; j’ai entendu sanedi sur France Culture (j. n jeanneney) une émission consacrée à Barbey, avec une analyse de « la vengeance d’une femme », très intéressante. A propos de l’édition en Quarto, je crois. Contes pour enfants ? pas vraiment … »Diaboliques », de la même famille que les « contes cruels » de Villiers..Allez y voir. Je vais chercher le Quarto, la préface est paraît-il,consistante & remarquable.
La Nef devient folle…
Pas de panique.Il suffit de garder la passerelle inaccessible aux dément(e)s !
L’Iranie reste folle !
Un extrait de presse témoignant du traitement lamentable de nos sœurs iraniennes par les mites islamites mollakonnes :
« La taekwondiste Kimia Alizadeh, seule femme médaillée olympique d’Iran, a annoncé samedi avoir quitté définitivement son pays, n’en pouvant plus de l’ «hypocrisie» d’un système qui, selon elle, utilise ses sportives à des fins politiques et ne fait que les «humilier».
La sportive déroule une charge au vitriol contre les autorités de la République islamique. «Je fais partie des millions de femmes opprimées en Iran avec qui ils jouent depuis des années», dit-elle. «J’ai porté tout ce qu’ils m’ont dit de porter», ajoute celle qui a décroché le bronze aux JO de Rio en 2016, en faisant allusion au voile islamique, obligatoire pour toutes les femmes dans l’espace public en Iran, et notamment dans le sport.
«J’ai répété tout ce qu’ils m’ont ordonné de dire» et eux, ils «ont mis mes médailles au crédit du respect du voile obligatoire», poursuit-elle, «aucune de nous n’a d’importance pour eux». (Figaro Sport)
Que font nos autorités autoritaires pour remettre les madones de nos quartiers perdus dans le droit chemin de l’Egalité homme/femme et ainsi échapper au travail des mites enturbannées ?
BABYLONE
La RdL devient Babylone ? Je commence les fouilles tout de suite…!
HORLOGE ATOMIQUE DE PORQUEROLLES
Il est 6h04, ce lundi 13 janvier 2020
Justin Crétin est réveillé, quelle nouvelle !
Et alii et marie sasseur
ps;l’identité sexuelle d’un contributeur ou d’une contributrice ne m’apparait pas a priori un une idée féconde ;
lle est, au contraire, extrêmement féconde. Un homme qui se dit femme pour commettre toutes fes saloperies -constantes, va à l’encontre de ce que nous femmes attendons des hommes.
En un, nous attendons le respect.
Ici, il est incessamment bafoué.
L’hystérie de la rosse n’a plus de limite, depuis qu’elle a fait son comingoutte, au goulot;-)
Lundi, 13 janvier 2020, 8h 22
@ Chaloux
J’ai douté entre la version de Van Cliburn et celle de Pollack.
Et c’est vrai que l’influence de Scriabine est très claire (comme celle de Chopin parfois). Idem dans ses Préludes opus 1 (écrits à 17-18 ans), dont certains (les 1, 2, 7, 8. 9) valent le detour.
Ici par Martin Roscoe, justement, qui est un excellente pianiste anglais qui a beaucoup enregistré pour Naxos – dont l’oeuvre pour piano complète – je crois – de Szymanowski:
« je ne m’y laisserai pas réduire en grande prostituée »
Fantasmes de travelo !
« REFLEXIONS SUR L’AFFAIRE MATZNEFF… »
par Roland Jaccard
Bel exercice de virtuosité de Roro qui a le mérite de ne pas renier ses engagements passés. Il manque dans son effort d’analyse de ce qui se passe en ce moment, la mise en lumière de la puissance du numérique à l’expression de mœurs jusqu’alors paisibles en répugnance feutrée.
Sa conclusion, à Roro, est incomplète ! Non, les gens d’aujourd’hui ne sont pas plus cons qu’hier. L’usage du démultiplicateur, de l’accélérateur, numérique les mets simplement – ces connards/gueulards – en pleine lumière, alors qu’en 68 ils étaient ignorés, impuissants, bien loin des crapules cachées au sein d’un cénacle protégé par le silence de classes sociales au pouvoir, dont les membres civilisationnels, friqués, allaient joyeusement sodomiser petits garçons et petites filles pauvres en des territoires lointains…..
C’était mieux avant, hein, les copains ?….
Documentaire Arte sur Michelangeli, le pianiste est sans conteste admirable, mais quel orgueil chez cet homme! On retiendra toutefois que ses master class étaient dispensées gratuitement, Argerich et Pollini furent parmi ses élèves…enfin, une scène édifiante: Michelangeli teste un piano avant un concert, insatisfait de la façon dont sonne une note, il entend un défaut que seule l’expertise de l’accordeur viendra confirmer: un minuscule morceau de métal coincé dans un feutre d’une tête de marteau!
Je crois me souvenir qu’il voyageait lorsqu’il le pouvait avec son propre STEINWAY ! Comment ne pas être orgueilleux, de nota, lorsqu’on est un artiste de cette qualité ?
C’est pas comme ici, où….euh…. !
La petite bourgeoisie intellectuelle voudrait faire passer son ignominie pour vertu — un pédophilie reste un pédophilie quelle que ce soit son statut : prêtre, écrivain, comptable.
trop de larmes chez Jaccard; écriture typiqsuement adroite quand la question évidente, c’est comment passer l’arme à gauche!(réponse sincère à des histoires de nain :fête!)
je ne suis pas un travelo
messieursmesdames,c’est pas mon trip
moi je striptease du calot;
jusqu’au grand jeu quand on joue RIP
Michelangeli fut un grand lecteur de Mickey Mouse et admirateur de l’œuvre de Walt Disney et Ub Iwerks.
Oups ! quelle > QUEL
Pas d’accord avec vous, renato ! Un comptable est heureux, lorsqu’il a niqué le fisc : il a fait son devoir ; un écrivain est heureux lorsqu’il a obtenu un prix-sucette et niqué ses confrères : il a fait son devoir lui-aussi… Ils sont heureux !
Alors, soyons sérieux ! Un prêtre est heureux lorsqu’il a niqué un petit enfant de chœur ! Pourquoi le priver de sa seule satisfaction terrestre, à monsieur le curé, à son excellence cardinalesque, à son éminence apostolique ? Pourquoi ? Par méchanceté, hein !
Ne vous attaquez pas, renato, à cette fonction importante du clergé romain et vaticaneux : entrainer et former des pédophiles pour le monde entier, agir au bon endroit pour la formation sexuelle des enfants, entreprendre le meilleur amour pour la gloire de Dieu !
Il me plait de croire que Michelangeli fut une réincarnation de Dōgen.
Voir le post #2.
#1 :
https://blogfigures.blogspot.com/2010/03/arturo-benedetti-michelangeli_26.html
#2, Dōgen :
C’est comme si ce porc de JiCé ne suffisait pas pour salir ce pauvre blog, il faut maintenant qu’on se tape les commentaires indigestes et insanes de cette truie de et alii.
Remarquez, ces deux-là vont bien ensemble dans la même fange, se complaisant avec plaisir dans la souillure la plus abjecte et ne réalisant même pas à quel point ils sont sales comme deux sacs à merde.
Écoeurant tout cela.
minute de culture pour les illettré-e-s de la ferme
En littérature, Rudyard Kipling écrira deux romans célèbres autour du thème du Grand Jeu, l’homme qui voulut être roi en 1888 et Kim en 1902
Passer l’arme à gauche
Mourir.
Origine
Cette expression du début du XIXe siècle est d’origine militaire, un métier où la ‘mort professionnelle’ est très pratiquée.
Mais l’origine exacte est discutée.
Avec tout le respect que je vous dois, vous êtes CARMEN, LUCHIENNE, LAURA, la honte absolue de ce blog prestigieux.
Tous ensemble, vous, moi et d’autres en formation sommes l’engrais dont cette agora a besoin. Je me réjouis de vous savoir à mes côtés pour le mauvais et pour le pire. Tous ensemble ! Tous ensemble, ouais !
Le titre du livre de vulgarisation scientifique de J. Michael Bailey (en), The Man Who Would Be Queen (en) (2003), est une référence au titre de Kipling.
Le film a été diffusé très récemment à la télé.
Les plus longues scènes sont des prouesses d’orateur. Le fond de l’histoire, des croyances.
Avant de jeter vos robes, examinons, chers élèves de l’EFB, les arguments dont « l’avocat » Roland Jaccard s’exonère de « l’affaire Matzeneff », tout en ne reniant rien de son amitié et de sa solidarité… Que reprendriez-vous de ses arguments littéraires si vous deviez plaider vous-même pour la défense de Gabriel Matzneff, au vu de sa mise en cause par le Parquet et des accusations de l’une de ses « victimes, partie civile ?
Voici les principaux arguments de son témoignage à décharge :
AU NOM D’UNE SOLIDARITE AMICALE ET QUASI FRATERNELLE, JE DEMANDE NE NE PAS JUGER PAS LES FAITS INCRIMINES AVEC DES CRITERES ACTUELS –
LE MOBILE MAJEUR DE LA TALENTUEUSE Mme SPRINGORA RESIDE DANS SA DECEPTION D’AVOIR ETE TROMPEE AU PROFIT D’AUTRES AMOURS DE CELUI QU’ELLE ACCUSE AUJOURD’HUI. –
MAIS LA CAUSE PRINCIPALE DE LA MONTEE EN « AFFAIRE », C’EST LE NEO-FEMINISME CASTRATEUR, QUI PAR DEFINITION ETOUFFE TOUT DESIR… –
L’AFFAIRE EST SURTOUT UNE HISTOIRE REGRESSIVE DE GROS SOUS ET DE JUDICIARISATION DES RAPPORTS HUMAINS –
GM A DES CIRCONSTANCES ATTENUANTES : IL A SOUS-ESTIME LA FEROCITE DE LA CHASSE CONTRE LES EROTOMANES, CE QUI A BLESSE SON NARCISSISME –
JE RESTE SON AMI ET NE SENS PAS COUPABLE DE CETTE AMITIE, CAR PERSONNELLEMENT, JE NE SUIS PAS PEDOPHILE.
JE GARDE UN BON SOUVENIR DE MES PROPRES CONQUËTES, CAR J’ETAIS PLUTÔT UNE PROIE DES JEUNES FILLES MAJEURES QUE JE FREQUENTAIS EGALEMENT DANS LES PISCINES, PLUTÔT QU’UN CHASSEUR.
JE PRENDS DES RISQUES EN DEFENDANT DES PROSCRITS EN GENERAL, CAR JE SUIS UN RESISTANT.
DONC, JE VOMIS GALLIMARD ET LES LACHES. NOUS RESTONS OPTIMISTES POUR L’AVENIR ET DISANT « MERDE AUX CONS ».
Vous avez une heure pour préparer votre plaidoirie, à l’aune de ces arguments…
« LE NEO-FEMINISME CASTRATEUR, QUI PAR DEFINITION ETOUFFE TOUT DESIR »
Il ne faudrait pas lâcher des conneries pareilles. Bon, évidemment, les archaïques perçoivent le féminisme comme une punition, mais ils sont archaïques, justement.
Sur Kipling.
Il faudrait reprendre cette Ethique à Alexandre.
Il me semble qu’il y a plus que l’histoire des animaux, entre Kipling et Aristote.
Les pseudo-excuses de Monsieur Gallimard, sont un sommet de fauxculterie, comme si la délinquance et la criminalité, sciemment élaborées, et mises en forme, dans les récits de Matzneff étaient à juger à l’aune de la souffrance de Mme Springora.
Mort aux cons, ça c’est de la bagnole !
Le féminisme est une source de joie pour le partisan mâle qui souhaite la profonde égalité complémentaire entre les sexes. Il est bon, éternel, respectable.
Le néo-féminisme castrateur est de la merde, badigeonnée à tort et à travers par des connes, complètement égarées, à hospitaliser tout de suite. Il est con, minable, à démolir en riant.
@gisèle
L’Opéra-ballet enregistré au Théâtre de Caen « Le ballet royal de la nuit » est programmé sur Mezzo le 21/01 et le 1/2 à 16h30. C’est vraiment une mise en scène audacieuse (Francesca Lattuada / Olivier Chapentier) et fascinante.
Dans la deuxième partie de votre commentaire vous évoquez les « Diaboliques» de Barbey d’Aurevilly et des «Contes cruels» de Villiers de L’Isle-Adam »
Je n’ai pas écouté l’émission. Dommage !
Je garde un souvenir halluciné des six nouvelles de Barbey d’Aurevilly Etrange fascination pour le raffinement dans le mal comme le développe Germain Souchet sur le blog de Juan Asensio.
« Dans chaque nouvelle, des secrets, des mensonges, des masques se dressent sans cesse pour cacher la vérité au lecteur. » avec une gradation « la débauche, le blasphème, le sacrilège, la parodie, la duplicité et l’idolâtrie. […] nous voyons comment le Mal appelle le Mal […] et comment il peut « engendrer quelque chose de plus grand que la Mort : la damnation. »
Je les ai lues après le roman cruel « Une vieille maîtresse » (la malédiction de la Vellini…) que j’avais apprécié.
Quant aux 37 « Contes cruels du symboliste et idéaliste Villiers de L’Isle-Adam » : macabres, satiriques, pas toujours fantastiques mais tous mystérieux, « cruels » ? plutôt provocants, non ? Ils soulignent souvent la bêtise, l’hypocrisie et la médiocrité de ses contemporains dans un milieu très parisien (XIXe s.). Je ne les ai pas tous lus quitte à perdre la construction du livre n’ayant pas réussi à situer cet auteur paradoxal dont l’écriture est un peu précieuse. Satires ? Obsessions ?
Qu’est-ce que le fantastique ? (Pablo en connaît un brin !) des évènements extraordinaires, auxquels il est impossible d’apporter une explication rationnelle.
Ces recueils, évidemment, ne sont pas destinés à des enfants ! J’étais venue aux contes à partir d’une remarque de M.Court citant l’historien P.Ariès à propos d’un essai concernant « L’enfant et la vie familiale sous l’Ancien Régime » et les questions posées par la reconnaissance tardive de la spécificité de l’enfance.
DHH a proposé un éclairage probant des contes de Perrault.
Entre « Petit Poucet » et « Chaperon Rouge » nous étions effectivement parties sur la piste des contes. Votre apport est subtil.
Quels écrivains singuliers…
Gallimard est un commerçant, pris à vendre un produit toxique, il a peur de la tache de foutre sur son blason !
Quand on ose écrire dans un flot nauséabond purulent
Tatitata
Matzneff
Springora
Marions-les
C’ewt que l’on est dans le cyl de basse-fosse.
Vous vous y plaisez.
Vius vous y délectez.
Moi pas.
Quant au féminisme de jc, il me fait hurler de rire.
C pile poil ceux dont on ne veut pas, ce genre de mec, tordus et pervers.
Quant au cul de la bouteille, faites une cure, pour vous, pas pour nous, on s’en fout, on est déjà loin.
Babylone ? Il ne reste plus qu’à s’asseoir et pleurer (on ne peut pas chanter n’importe où, pour n’importe qui).
Jazzi dit: à
« je ne m’y laisserai pas réduire en grande prostituée »
Fantasmes de travelo !
Ben ouais.
La question étant peut on être travelo et féministe, j’en doute.
Quand on extrait des mots de commentaires dûment libellés, pour en faire de la pâtee pour chiens, le mieux pour la rosse est de retourner à la niche!
Et oui, la démarche de Mme Springora n’aura de sens que lorsqu’elle ira au bout. Matzneff en prison.
Car utiliser les mêmes moyens que lui, c’est vengeance et non justice.
@ Christiane
E. T. A. Hoffman « Le Fantastiqueur » et ses contes aussi étranges qu’absurdes. Faut pas l’oublier.
père de jeux:
Sauf à considérer comme le concepteur d’androïdes Hiroshi Ishiguro, professeur de l’Université d’Osaka (ouest), qu’on peut aimer à l’identique des êtres qui ne sont pas des humains.
« La présence d’un corps d’homme ou de femme n’est plus la condition qui définit un être humain, lequel n’a pas l’apanage de l’amour: il est tout à fait concevable d’aimer réellement des robots, des personnages virtuels, et cela doit être accepté. La question est plus de savoir si les robots seront aussi un jour capables d’aimer un humain », affirme à l’AFP le géniteur d’humanoïdes.
Et Mme Springora ne semble pas avoir été la seule, à avoir écrit, comme déjà signalé, sur ce blog.
Comme elle s’en étonnait, que personne ne se soit plaint. Et justifiait ainsi son exercice littéraire, plus que laborieux !
« Son témoignage avait pourtant été accepté par une éditrice chez Grasset, la même maison d’édition qui publie en 2020 « Le Consentement » de Vanessa Springora. Mais, selon nos informations, il a été renvoyé aux oubliettes par le patron de Grasset de l’époque, Jean-Claude Fasquelle, aujourd’hui âgé de 89 ans, que nous n’avons pas réussi à joindre, ainsi que par les cadres dirigeants dont Yves Berger, directeur littéraire, écrivain, décédé en 2004. »
JJJ, une heure ? Comme vous y allez ! Si l’on met de côté les préjugés, opinions tendancieuses et affirmations gratuites contenues dans le texte produit ci-dessous (je présume que c’est un pastiche que vous avez écrit en reprenant des déclarations éparses, ici ou là, non ?), la réponse tient en quatre phrases :
« Gabriel Maztneff s’est-il rendu coupable de faits prescrits par la loi ? Si oui, il doit être condamné. Ses écrits tombent-ils également sous le coup de la loi, qui interdit de tenir certains propos : « l’incitation à la haine raciale, ethnique ou religieuse, l’apologie de crimes de guerre ou du terrorisme, les propos discriminatoires à raison d’orientations sexuelles ou d’un handicap, l’incitation à l’usage de produits stupéfiants, le négationnisme » ? Si non, il faut donc lui permettre de continuer à les tenir. »
Perso, je pense qu’en matière d’humanité, il est aussi grave de faire l’apologie de la pédophilie, du viol, du crime sexuel, que d’inciter à la « haine raciale, ethnique et religieuse », par exemple.
Mais visiblement, la société n’est pas encore au point de penser comme moi.
Parce que les siècles de machisme ordinaire ont occulté les violences faites aux femmes, si souvent niées, si souvent acceptées comme « naturelles », au point d’ignorer que les crimes sexuels sont, dans leur grande majorité, commis à l’égard de femmes. (sans nier les souffrances des petits garçons et des hommes violés, hein)
Je pense donc que les affaires DSK, Weinstein, Mazneff, Polanski etc. sont en fait des « marqueurs » de l’évolution des consciences, elle-même issue de l’évolution des moeurs.
Les femmes (occidentales, hein) étant libérées des contraintes de la procréation non désirée, ayant combattu et par suite obtenu des droits qui les conduisent à l’égalité avec les hommes dans pratiquement tous les domaines de la société publique, ayant conquis leur indépendance économique (même si tout n’est pas parfait), il était logique que leur perception d’elles-mêmes les conduisent à (enfin) réclamer la chute des tabous et la reconnaissance de la dignité de leur sexe, et de leur place. Et du coup, les tabous autour de TOUTES les violences sexuelles (comme celle que des membres (ahaha) du clergé catholique font subir aux petits garçons) sont enfin dénoncées à voix haute, clairement.
Cette nouvelle conscience d’elles-mêmes que pratiquent les femmes oblige la société toute entière à reconsidérer des positions qui étaient, auparavant comme « allant de soi », comme par exemple celle qui entérinait que la parole d’un écrivain reconnu par ses pairs et à la tête d’un capital social et symbolique puissant prévaudrait toujours sur celle de sa, ou de ses, victimes sexuelles.
Et savez-vous ? Eh bien, c’est tant mieux. Il reste à la société à digérer ce changement. (et in fine, à l’inscrire dans la loi, selon la meilleure forme possible). Que la vitesse d’assimilation de ce changement fondamental soit dépendante des sucs gastriques des individus lambdas, c’est inévitable : et donc, les plus réactionnaires, les moins intelligents, les plus imbus d’eux-mêmes, les plus bornés, auront donc, pendant quelque temps, des remontées digestives amères, ou des difficultés à avaler. Mais qu’importe ?
Encore une fois, les filles vont tellement plus loin, plus haut, plus fort que leurs mères. Je m’en réjouis plus que tout.
Pas plus féministe et moins machiste qu’un travelo, rose !
J’avais oublié Roland Jaccard qui faisait la paire avec Matzneff, Pablo75.
En voilà au moins un fidèle en amitié !
Matzneff s’est réfugié en Italie, il ne risquera pas d’être extradé ?
« Mais visiblement, la société n’est pas encore au point de penser comme moi. »
Quelle insolente, cette société !
Carmen dit: « Hoffman « Le Fantastiqueur » et ses contes aussi étranges qu’absurdes. Faut pas l’oublier. »
Oui, inoubliable représentation de mars 2000 à l’Opéra Bastille.
Un des plus beaux moments des «Contes d’Hoffmann» ? L’air de «la Barcarolle» :
«Belle nuit ô nuit d’amour, souris à nos ivresses»… interprétée par une chanteuse recouverte de boudins plastique qui la transforme en une sorte poupée gonflable à la Fellini … Un autre souvenir ? La poupée mécanique démantibulée chantant dans une boîte à chaussures géante… ou Stanislas Nordey devenant rossignol mécanique…
Robert Carsen offrait à Hoffmann une mise en scène délirante et satirique.
Merveilleux souvenir… Merci.
Lumière poudreuse… Une muse s’approche du poète endormi et ivre dans une taverne.
Le fantastique d’un songe dans un opéra entre Romantisme allemand et Fantaisie vénitienne.
transforment
@ Clopine
Toi aussi clopine t’es féministe ? Mais pourquoi donc ? T’as qu’à dire à ton hamster de te faire une turlute pour te faire oublier pour un moment les mecs qui ne veulent pas de toi, moche que tu es. Quoi ? Ton hamster aussi ne veut pas te la faire la turlute ! Oh là là, mais t’es laide à ce point là. Ok ! Je comprends maintenant. Il te reste une seule chose à faire ma pauvre : SUICIDE-TOI !
@ CT / « je présume que c’est un pastiche que vous avez écrit en reprenant des déclarations éparses, ici ou là, non ?) »
Vous avez mis moins d’une heure. Très bonne clopie ! hie, hie,… Bravi.
Non, le texte est celui de Roland Jaccard justement mis en ligne par P57 (merci) et résumé par mes soins pour mes étudiants, futurs avocats. Le revoici : https://leblogderolandjaccard.com/
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Troisième genre : Les éphèbes dans les estampes japonaises
Exposition passée
7 mai 2016 – 27 novembre 2016
Les femmes (occidentales, hein) étant libérées des contraintes de la procréation non désirée, ayant combattu et par suite obtenu des droits qui les conduisent à l’égalité avec les hommes dans pratiquement tous les domaines de la société publique, ayant conquis leur indépendance économique (même si tout n’est pas parfait), il était logique que leur perception d’elles-mêmes les conduisent à (enfin) réclamer la chute des tabous et la reconnaissance de la dignité de leur sexe, et de leur place. Et du coup, les tabous autour de TOUTES les violences sexuelles (comme celle que des membres (ahaha) du clergé catholique font subir aux petits garçons) sont enfin dénoncées à voix haute, clairement.
Cette nouvelle conscience d’elles-mêmes que pratiquent les femmes oblige la société toute entière à reconsidérer des positions qui étaient, auparavant comme « allant de soi », comme par exemple celle qui entérinait que la parole d’un écrivain reconnu par ses pairs et à la tête d’un capital social et symbolique puissant prévaudrait toujours sur celle de sa, ou de ses, victimes sexuelles.
Et savez-vous ? Eh bien, c’est tant mieux. Il reste à la société à digérer ce changement. (et in fine, à l’inscrire dans la loi, selon la meilleure forme possible). Que la vitesse d’assimilation de ce changement fondamental soit dépendante des sucs gastriques des individus lambdas, c’est inévitable : et donc, les plus réactionnaires, les moins intelligents, les plus imbus d’eux-mêmes, les plus bornés, auront donc, pendant quelque temps, des remontées digestives amères, ou des difficultés à avaler. Mais qu’importe ?
Clopine
100% avec ce que vous écrivez.
Peu importe : on s’en fout
Il y a quatre siècles, au Japon, de jeunes adolescents appelés wakashu éveillaient le désir des hommes et des femmes. Formant un troisième genre, les wakashu se distinguaient physiquement des hommes et des femmes et jouaient des rôles différents dans la société et sur le plan de la sexualité.
L’exposition Troisième genre explore le système fort complexe du désir sexuel et des attentes de la société japonaise de 1603 à 1868, à l’époque d’Edo. À travers de superbes gravures sur bois, estampes, peintures, livres illustrés, un kimono et une armure, elle raconte un chapitre essentiel de l’histoire de la sexualité humaine. Bouleversant les valeurs nord-américaines, l’exposition vous invite à réfléchir autrement aux questions de genre et de sexualité.
https://www.rom.on.ca/fr/expositions-et-galeries/expositions/troisieme-genre-les-ephebes-dans-les-estampes-japonaises-0
« La pédopornographie explose. Sur Internet, le nombre d’images augmente. Autre phénomène : le live streaming (le visionnage de contenus en direct) sur des plateformes comme Skype. Les pédophiles n’ont plus besoin de se déplacer en Asie du Sud-Est, notamment aux Philippines, pour « voir des viols d’enfants » assure Yann Le Goff, commissaire divisionnaire et attaché de sécurité intérieure à l’ambassade de France de Singapour. Entretien. »
https://information.tv5monde.com/info/pedocriminalite-le-phenomene-du-viol-d-enfants-en-direct-est-en-forte-augmentation-329718
« Le procès du père Preynat, accusé d’agressions sexuelles sur dix mineurs dans les années 80-90, débute lundi à Lyon. Retour sur l’histoire d’un homme adoubé par l’Eglise lyonnaise dont les agissements, connus de tous, n’ont été révélés que trente ans plus tard. »
E1
Une histoire de « livre » ?
Il y a une grave similitude entre les agissements de ce prêtre pedocriminel, célébrité lyonnaise, et l’affaire Matzneff pope défroqué, célébrité adoubée par la hiérarchie éditoriale parisienne.
Et bientôt ce sera le tour de Matzneff, de passer devant ses juges, pour le jugement dernier.
tout un programme (une brochette-brochure de « fils »)
http://www.ciph.org/#
un exemple?
SÉMINAIRE PHILOSOPHIE/ARTS ET LITTÉRATURE
Débords – du cinéma
Laura ODELLO et Peter SZENDY
Date : 17/01/2020 Début : 19h -> Fin : 21h O.K.
« Encore une fois, les filles vont tellement plus loin, plus haut, plus fort que leurs mères. Je m’en réjouis plus que tout. »
Changez de quartier, bourgeoises de mes deux !
Et ce n’est pas une question de classe sociale. Un fait remarquable et remarqué de la crise des « gilets jaunes » a été la très forte présence féminine sur les ronds-points, la détermination de ces femmes et leur volonté de prise de parole.
Il est loin le temps où, quand une fille s’avisait de « faire de la politique », de mener des combats, quoi, la première (et souvent la seule) tâche qu’on lui assignait, dans les structures mixtes, était forcément subalterne : imprimer les tracts et faire le café. Vous pouvez me croire : je l’ai vécu. (j’ai été sauvée, entre autres et pour égayer un peu ce constat historique, par mon incapacité notoire à faire un café buvable… Ahahah).
Oh, bien sûr, on aura toujours besoin des « petites mains », partout… M’enfin, elles ne seront plus automatiquement féminines !!!
Pauvre Clopinou, c’est tu seras une fille, mon fils.
C’est tout ce que vous trouvez à dire, Marie Sasseur ?
pff…
Décidément.
Pauvre Clopine…. une plante grasse qui se prend pour un chêne.
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