de Pierre Assouline

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Nager et nager encore, de l’ivresse électrique au nirvana

Nager et nager encore, de l’ivresse électrique au nirvana

Ne demandez jamais à un nageur compulsif pourquoi il nage. C’est encore plus vain que de demander à un écrivain pourquoi il écrit. Le nageur ne peut même pas se rabattre sur la réponse définitive de George Mallory lorsqu’on lui demandait pourquoi il voulait gravir l’Everest (« Parce qu’il est là »). Le nageur va d’un bord à l’autre de la piscine toucher des carreaux de faïence, retourner au point de départ, recommencer encore, compter les carreaux au fond du bassin avant de compter les virages, enfiler les séries, et ainsi de suite jusqu’à épuisement durant son entrainement plusieurs heures par jour. Ce qui à la réflexion n’est pas plus absurde que de pousser un ballon puis de courir après. Sauf qu’on ne s’y amuse pas autant. Encore que nager en pleine mer favorise les rencontres inopinées en l’absence de ligne d’eau.

Nager est tout sauf ludique. On y acquiert sens de la résistance, faculté d’obstination, goût du dépassement de soi ; pour les nécessiteux, la résilience y est favorisée ; pour ceux qui ont du mal à habiter leur corps, la natation offre une réconciliation ; pour tant d’autres elle permet de réaliser un rêve d’harmonie intérieure, une douce sensation de grand vide, une capacité inouïe de se mettre à l’écoute de soi pour une fois loin du monde, hors d’atteinte. Autant la nage que la natation. Exactement ce que l’on ressent à la lecture de Nages libres (153 pages, 17 euros, Equateurs), doux recueil de 22 textes brefs qui sont autant de nouvelles (mais le genre est, on le sait, invendable en France, aussi l’éditeur ne précise rien et on le comprend). L’auteur Lucas Menget a été un jour grand reporter mais nageur toujours. Dès qu’il perçoit le clapot d’une piscine, il la cherche et saute dedans ; dès qu’il devine au loin les rouleaux d’un océan, il court et saute dessus. Le plus souvent, il nage à domicile, dans le Finistère nord, dans le fol espoir de capter cette fameuse « ivresse électrique » évoquée par Michelet dans La Mer (1860). Il admire ces retraités réunis au sein de clubs très actifs et qui se donnent pour rituel de se retrouver tous les matins toute l’année sur le rivage pour plonger dans une eau souvent glacée (et pas seulement le 1er de l’an sur la plage de Nice). Parmi ces cénacles de papys et mamys résistants, celui des « Ours blancs de Biarritz » ou celui des « Bonnets rouges de Locquirec » parait bien persuadé qu’il n’est pas de meilleure hygiène que la baignade en eau froide, vieille pratique qui remonte au début de notre ère tant elle avait, déjà, la réputation d’être bénéfique pour la circulation et la respiration. On ne brûle pas seulement davantage de calories : le nombre de globules blancs augmente et les défenses immunitaires s’accroissent.

On y apprend des choses surprenantes : qu’au XIXème siècle, la plupart des marins ne savaient pas nager ; que Benjamin Franklin, oui, le rédacteur de la Déclaration d’indépendance, n’est pas seulement l’auteur d’une théorie de la natation qui fait référence mais aussi l’inventeur des palmes et plaquettes, ces dernières étant bricolées avec des morceaux de palettes de peintres. L’auteur passe, sans prendre le temps de se sécher, de la piscine de l’hôtel Hamra sous les bombes à Bagdad, à l’invention du désir de plage par le photographe du bonheur français Jacques-Henri Lartigue.

Un chapitre m’a comblé particulièrement car il rend justice à un livre et au film qui en a été tiré- les deux aujourd’hui oubliés : « The Swimmer », nouvelle de John Cheever parue en 1964 dans The New Yorker, suivi par The Swimmer (Le Plongeon), réalisé par Frank Perry (mais terminé par Sydney Pollack) sorti en 1968 avec le très athlétique (et pour cause : un ancien acrobate de cirque) Burt Lancaster. L’histoire d’un homme en maillot de bain surgi d’une forêt du Connecticut qui plonge dans la première piscine venue, celle de riches amis heureux de le retrouver, et qui décide sur sa lancée de rentrer chez lui en nageant de piscine en piscine et de jouir de ses rencontres… ; mais au-delà de son aventure aquatique aussi excentrique que captivante, c’est à une critique de la vanité du rêve américain que les auteurs se livrent dans la traversée de cet univers de piscines privées. Lucas Menget a eu la bonne idée de relire et revoir les deux œuvres en parallèle et il a relevé la présence d’une scène si bouleversante dans le film, mais qui n’existait pas dans la nouvelle, qu’elle lui met les larmes aux yeux : rencontrant un petit garçon triste et solitaire assis au bord d’un bassin vide, le nageur le prend par la main, l’emmène au fond et lui apprend à nager en lui mimant patiemment tous les gestes avant de lui confier :

 « N’oublie jamais, petit, que quand tu nages, tu es le capitaine de ton âme »

Quelques écrivains sont convoqués ici ou là : Albert Camus dès l’épigraphe pour son évocation de « la mer chaude » dans La Mort heureuse, ou l’immonde Paul Morand pour ses pages éblouissantes sur les bains de mer et cette réflexion : « La mer n’a pas d’âge, couverte de rides, elle les perd aussitôt ». Sinon, par moments le ton de Lucas Menget fait penser à celui d’Olivier Frébourg dans La Grande nageuse (Mercure de France, 2014) et celui de Christian Authier dans De chez nous (Stock, 2014), deux bijoux d’écriture fluide et douce qui signalent une même famille d’esprit.

Récemment, le Journal de nage (Seuil) de Chantal Thomas nous a rafraichi avec bonheur et mélancolie ; et on peut déjà révéler (mais pas plus) qu’à la rentrée, Julie Otsuka réserve de belles surprises aux amateurs dans La Ligne de nage, traduit de l’anglais à paraitre chez Gallimard ; la romancière américaine y note par exemple que lorsqu’on nage longtemps, « vous ne savez plus où finit votre corps et où commence l’eau, la frontière s’estompe entre vous et le monde. C’est le nirvana »– ce qui ne va pas de soi lorsqu’on passe l’essentiel de son temps en allers-retours  » au fond d’une boite en béton géante ». Mais à la réflexion, hormis le classique, incontournable, unique et scintillant classique du genre Héros et nageurs (réédité par Nevitaca en 2019) de Charles Sprawson, les livres sur les nageurs, la nage et la natation sont assez rares. Non que celle-ci soit peu inspirante mais elle résiste à la transposition littéraire. Difficile d’écrire quand on a la tête sous l’eau et les bras occupés.

Avant Nages libres, le dernier choc dans le genre remontait à 2012. Certains s’en souviennent peut-être, dans La Traversée de la France à la nage (25 euros, 716 pages, Pol). Pierre Patrolin donnait une preuve d’amour pour la littérature, ses pouvoirs d’enchantement, son explication du monde, une fiction où tout est vrai. Le narrateur de ce livre hors-genre aux allures de récit traverse la France, Massif Central avec le reste autour, à la nage tous sens aux aguets. Une course d’obstacles (rapides, goulets, barrages) que ce voyage dans la France plutôt qu’un voyage en France. Il observe les chemins de halage, hume les berges, écoute la rumeur du monde, s’imprègne de la nature, regarde les gens, toise les péniches. Les merles babillent, les mésanges zinzinulent, les bécasses croulent, les crapauds coassent et le nageur nage. Ainsi va la France vue du fleuve. Au début, on se demande combien de temps il va tenir ; non pas physiquement mais littérairement ; car c’est souvent monotone et donc nécessairement répétitif, en dépit de la diversité des régions traversées ; et pourtant le courant nous emmène, nous emporte et nous capture jusqu’au bout.

Des lecteurs rameront certainement avant de renoncer à mi-parcours et de couler. Ils ne sauront jamais ce qu’ils ratent. Rarement la France nous aura paru aussi agréablement profonde. Une France sans chichis, sans politique, sans médias, sans embarras. Une France rêvée peut-être, mais une certaine France. Celle des chambres d’hôte, des gîtes d’étape, des écluses, des auberges qui ne se poussent pas du col, des bistros à flippers, des bar-tabac qui vendent de tout en vous du donnant du Monsieur tout en vous appelant par votre prénom. Hôtel du Lac, hôtel des Beaux-Arts, hôtel des Platanes, hôtel Terminus, le Repos du Pèlerin, et mon préféré, l’hôtel des Demoiselles Coiffées…

 Le narrateur se laisse aller, ce dont on ne saurait le blâmer car ses aventures entre barrages et vallées ont de la grandeur. Gide disait qu’il faut toujours se laisser aller à sa pente, pourvu que ce soit en montant. Ce qui est le cas. On voit passer le cirque Roger-Lanzac à Aiguillon. La nuit, il rêve qu’il marche dans un désert brûlant. Enfin un écrivain qui mouille sa chemise ! Le nageur solitaire raconte et décrit au présent de l’indicatif. Son regard géologique emprunte à Julien Gracq pour l’art du paysage et à Roger Caillois pour le toucher des pierres. Son lexique végétal est d’une étonnante richesse. Il lui arrive de croiser des humains, du genre sac à dos, casquette et canne, randonneurs essoufflés aux souliers lourds. Pas le moindre dialogue pour autant. Quelques propos rapportés, des signes, des traces, de quoi se faire son petit cinéma portatif et il repart pour son road movie aquatique. Patrolin patrouille ainsi pendant des dizaines de pages, que dis-je, des centaines de pages, protégé par sa combinaison de plongée. Sereinement, tranquillement, ardemment, passionnément, indifféremment, selon les circonstances où la météorologie, les couleurs de l’eau et l’harmonie des lieux ont leur part, autant que son niveau d’épuisement.

Car ce n’est pas sans danger ; notre héros prend des risques. On ne sait trop où il va, ce qui est au fond sans importance. Aussi loin que l’on aille, ce n’est jamais qu’à la recherche de soi. On croit se rappeler qu’il s’est fixé la frontière belge comme objectif, mais là ou ailleurs… Voici la Meuse qui glisse plus qu’elle ne coule, le bassin de l’Oise par la Vesle. Voici la Garonne. Voici la Loire. Voici l’Aisne. Des aulnes, des peupliers, des saules, des frênes, des roseaux. Voici le Quercy. Et là, la Truyère, ses gorges et ses barrages. Il nage aussi en ville, ce qui nous vaut des moments émouvants page 537 : nageant dans une rue, il perçoit la musique de la famille à l’heure du dîner, les enfants qui rient dans leur chambre, la mère qui les appelle, des bruits d’assiette qu’on pose sur la table, les informations à la télévision ; et lui qui croise un rat souriant et rase les murs. Il nage en forêt et dans les bois. Quand le fleuve n’a plus de rives, il nage dans le paysage tel un peintre marchant dans le motif. Il nage pour avancer, fouette l’eau de ses jambes, d’une brasse économe.

Il nage en brasse coulée. Il nage sur le dos, se laissant tirer par le courant et par son seul compagnon de voyage, qu’il appelle affectueusement « mon baluchon », sac étanche qui contient sa carte de crédit, ses allumettes, ses chaussettes de laine, ses clés. Ce baluchon est si incarné qu’il en devient le Sancho Pança de ce Quichotte en slip de bain. Le narrateur nage des palmes aux pieds mais pas aux mains alors que des plaquettes feraient l’affaire. Il dit n’avoir le sentiment d’être vraiment mouillé que lorsqu’il sort de l’eau, ce qui ouvre des abîmes de perplexité. De toute façon, à peine sorti, il a hâte de reprendre l’eau. Lorsqu’il n’est pas dans l’eau, il est au bord de l’eau. Il faut un grand effort pour qu’il aille jusque chez Proxi se ravitailler, même s’il avoue souvent guetter les villages et espérer une boulangerie. Pas de lecture signalée si ce n’est, dans un bistro, celle d’une affiche promotionnelle pour le dernier numéro de Tracteurs, passion et collection annonçant un beau dossier sur « De Troyes à Vierzon en SFV 302 ». Il s’arrête dans des endroits où l’on n’aurait pas idée d’aller mourir : Loures-Barousse, Montréjeau, Granges-sur-Lot, Castelmoron, Port d’Agrès, Pierrefiche, Châtillon-Coligny, Entraygues, Sainte-Livrade auprès desquels Montargis, c’est New York.

 Le nageur est un solitaire dont les civils sur la berge s’imaginent qu’il s’ennuie, alors que, comme le coureur, il écrit dans sa tête, s’invente des mondes, dresse le bilan de sa vie, imagine le passé et revisite le futur. Et parfois, rien. On n’est pas chez Maupassant. On est chez personne d’ailleurs tant cela ne ressemble à rien de connu ou répertorié dans nos catalogues. Cette histoire, rapportée d’une écriture douce et fluide, est fascinante. D’autres s’y seraient noyés.

(« Burt Lancaster dans The Swimmer » photo D.R.; « A Noël, le froid n’arrête pas les « Ours blancs de Biarritz » photo D.R. ; « Le toulousain Léon Marchand, champion incontesté des Mondiaux de natation à Budapest tout récemment » photo Attila KISBENEDEK : « Nageur dans la Seine » photo D.R. )

P.S. du 13 juillet : « En attendant Nadeau » consacre son hors-série d’été à « Nager »...

Cette entrée a été publiée dans Essais.

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commentaires

1 279 Réponses pour Nager et nager encore, de l’ivresse électrique au nirvana

JC..... dit: à

Mille commentaires…!!!

Somptueuse réussite assoulinienne, non ?…une de plus !

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…dimanche 17 juillet 2022 à 06 h 22 min.

…c’est tout de même loufoque,!…

…écrire, pour vérifier, si mon texte apparait encore, comme signal démocratique apparent,!…

…samedi 16 juin 2022 à 12 h 41 min.

…ou est’il, avec vos obscurantismes du régal quotidiens,!…
…des serviettes aux luxures,!…etc,!…

Marie Sasseur dit: à

Le chlordécone
Caractéristiques physico-chimiques
Le chlordécone (n° CAS 143-50-0) est un composé organochloré de synthèse absent à l’état naturel dans l’environnement. Il possède une structure chimique en cage avec dix atomes de chlore et une fonction cétone. Sa formule chimique est C10Cl10O et sa masse molaire de 490,6 g/mol. Les principales propriétés physico-chimiques du chlordécone sont : a) une forte affinité et capacité de rétention pour les sols organiques (carbone organique), b) une affinité élevée pour les composés hydrophobes, c) une faible volatilité, d) une faible solubilité dans l’eau.

https://www.irset.org/fr/etudes-destinees-identifier-les-dangers-et-risques-sanitaires-associes-lexposition-au-chlordecone#:~:text=Le%20chlord%C3%A9cone%20(n%C2%B0%20CAS,chlore%20et%20une%20fonction%20c%C3%A9tone.

Patrice Charoulet dit: à

PROPAGANDE, LES NOUVEAUX MANIPULATEURS

Le vendredi 15 juillet de 20h30 à 21h30 une émission initulée « Propagande, les nouveaux
manipulateurs » a été diffusée sur la chaîne LCP  PUBLIC SENAT . Ont été analysées les techniques de manipulation du trio infernal Trump-Salvini-Bolsonaro.
A suivi le débat doc animé par Jean-Pierre Gratien. Trois invités bien choisis : David Colon, agrégé d’histoire, auteur du livre « Propagande, la manipulation de masse dans le monde contemporain », Thomas Huchon, auteur du livre « Anti fake news » , et Asma Mhalla, qui enseigne les enjeux politiques et géopolitiuqes de l’économie numérique à SciencePo Paris et à Polytechnique.
Si vous avez raté ce documentaire et ce débat, n’hésitez pas à les regarder en replay.

renato dit: à

Puisqu’il n’y a pas assez de poètes pour polluer les lacs de leur mort, voilà que les sentimentaux, les trahis, les abandonnés, ceux qui ne savent point évaluer leurs compétences viennent mettre la dernière main au quota de noyés dans les lacs. Aucun respect pour les autres ! comme celles et ceux qui se jettent dans le vide du haut des cathédrales sans tenir en compte qu’en bas il y a des gens. Je comprends : la détresse, le chagrin, l’illusion/désillusion ; mais ils pourraient se suicider de manière moins polluante ou spectaculaire. Enfin, nous avons déjà affaire avec ceux qui mettent en jeu la vie des autres car ils se rêvent-croient pilote automobile et autres cons avec ce gabarit-là. Par ailleurs la mort par eau ce n’est pas une mort purificatrice et transformatrice vers une nouvelle vie comme le suggère Eliot, mais quelque chose de définitif — le passé a cessé et ne reviendra pas. Bref, la mort par eau ce n’est pas une mort de purification et de rédemption, mais de châtiment et de douleur… et, par-dessus le marché un emmerde pour les autres.

renato dit: à

« Ont été analysées les techniques de manipulation du trio infernal Trump-Salvini-Bolsonaro. »

Il faudrait plutôt analyser la pensée des masses qui se contentent du discours des Trump, Salvini, Bolsonaro, etc. : niveau d’alphabétisation, d’éducation et ainsi de suite.

(Non sans avoir préalablement analysé le déclin des élites : la politique et l’information désormais entre les mains de gens qui, en voyage dans le tiers-monde, s’étonnent qu’il soit moins bien entretenu que le gazon du stade de football de leur ville.)

Bloom dit: à

Histoire de casser l’ambiance, pas le pseudo art véritablement antisémite indonésien à la Dokumenta de Kassel, mais l’histoire d’une petite piscine qui illustre l’existence d’un enfer terrestre dont le chemin est pavé des intentions les plus nobles.
G est un des grands spécialistes mondiaux de l’Afghanistan, pays qu’il découvre à l’âge de 18 ans, et qui décide de sa vocation d’anthropologue. Il s’y rend une quinzaine de fois en voiture, depuis sa Bretagne natale, il en parle une des langues, il étudie ses populations et se lie d’amitié avec son plus grand poète, et surtout le fils de celui-ci, qui est comme un frère choisi. La tribu lui offre un lopin de terre où il sera toujours chez lui. L’hospitalité n’est pas un vain mot en Afghanistan. Dans les années 2000, devenu diplomate culturel, il travaille pour l’UE dans la capitale d’un pays limitrophe où il fait tellement chaud l’été qu’il construit dans son jardin, de ses mains, une petite piscine pour pouvoir y barboter de retour du boulot. Un jour le fils du poète, de retour d’exil et nouvellement papa, passe quelque jours chez lui. Échange d »hospitalité. Un matin, avant le déjeuner, les amis s’apprêtent à se mettre à table quand le petit gamin du fils du poète tombe dans la piscine et se noie…
Je ne sais pas ce qui s’est passé ensuite. G n’est plus le même homme depuis.Les Afghans croient à une forme de prédestination, de providence et pratiquent la résignation active, un stoïcisme militant. Peut-être cela aide-t-il…

Janssen J-J dit: à

le 17.7.22 @ 9.30

@ la résignation active…, une attitude à creuser chez les nantis.

@ ces gens qui se suicident avec l’intention (ou le risque) de déstabiliser les bien-portants, pmp, j’ai toujours trouvé ça limite. Suicidons-nous à l’écart des autres et sans esbroufe.

@ la piscine qui sauve la vie et celle qui la noie.

*Beaucoup d’hommes se noient dans leurs propres excréments, mais peu crèvent en appelant le docteur (mot d’auteur)

@ il faut multiplier O,O1 km2 par 1000… pour obtenir le résultat demandé, et si possible, sans faire de morale aux handicapés des maths modernes. Ce n’est pas en les traitant d’imbéciles qu’on y arrivera, surtout sous le coup d’une pulsion d’exaspération calculée,

@ le déclin des élites ou le déclic des zélotes.

@ du stoïcisme militant, pour plomber l’ambiance du matin. Faudra vérifier en son âme et conscience si elle l’est.

@ Vous n’êtes pas complètement stupide, espèce d’attardé mental (…). Savez-vous ce que disait Confucius ? : « celui qui a le cul nu a toujours une grande gueule » ! (mot d’auteur)

Bàv,

renato dit: à

Il y en a qui peuvent vanter une grande gueule tout en étant en pantalon !

JC..... dit: à

….ou en jupette rasducul, bien plus provocante qu’un sac poubelle grillagé hallal….

Amanda Lire dit: à

Mondain a commencé par du figuratif

Il a finit comme danseur de claquettes!

Amanda Lire dit: à

Très drôle, juste avant de lire les commentaires juste avant celui de Clopine, j’ai appris ce matin en souhaitant par téléphone, son anniversaire à l’un de mes beaux-frères, qu’il avait remplacé le chlore par de l’eau salé dans sa piscine domestique!
32° l’eau de la piscine tout de même!

Paul Edel dit: à

L’un des meilleurs romans sur les incendies de forêt , sur le plan technique, et fondé sur une documentation sérieuse est incontestablement « Rouge « d’un auteur qui signe sous le pseudo de Koz( éditions Fleuve noir ». Un résumé de ce livre est sur le site Babelio. Le voici :
« On pourrait qualifier Rouge de polar écologique tendance collapsologie. Mais aussi plus simplement de bon polar qui se lit avec plaisir et fait la part belle à des sujets de préoccupation actuels. Réchauffement climatique, sites Seveso, incendies de forêt…
Koz nous emmène du côté des soldats du feu luttant pied à pied contre des pyromanes dont la motivation est obscure.
Le début du roman est particulièrement réussi, notamment en raison de la parfaite description des mouvements des pompiers, des termes techniques utilisées, et de la façon dont le lecteur ressent la fournaise contre laquelle se battent les hommes du SDIS13. “Le type était désolé, mais il leur expliqua que les feux ne respectaient pas vraiment les horaires de bureau. Ce faisant, l’activité des Dash 8 et des Canadairs ne cessait jamais tout à fait, surtout en cette saison.”
Cerise sur le gâteau l’action se déroule près d’Aubagne sur les pentes du Garlaban chères à Pagnol.
L’indice forêt météo (IFM) est au coeur du récit. La canicule frappe la France dans sa totalité et la Cellule Nouvelles Menaces placée sous l’autorité du Ministère de l’Intérieur est notamment chargée du suivie des déclenchements d’incendies.
Autres réussite du roman, la guerre des institutions qui agit sur le récit comme de l’harissa sur un bon couscous.
Gendarmerie, police, corps des pompiers, préfecture, associations bénévoles, sont sommées par le ministère de l’intérieur de travailler main dans la main, mais la nature humaine fait qu’entre les « locaux » et les « parisiens » le courant ne passe pas toujours et génèrent les chicailleries habituelles. Informations tronquées, initiatives individuelles et j’en passe… le déroulement de l’enquête montre également comment les responsables politiques sont mis devant le fait accompli par les responsables de l’enquête et abandonnent le sempiternel “pas de vagues” pour s’engager aux côtés de leurs subordonnés, “Confronté à l’une des décisions les plus épineuses de sa jeune carrière, le ministre de l’Intérieur accueillit l’exposé de la flic d’un grognement dubitatif, sourcils froncés. Son faciès juvénile venait de prendre dix ans en quelques secondes.”
Entre Hugo Kezer et Anne Gilardini pourtant collègues, le courant ne passe pas non plus. Leur point commun est qu’ils délaissent leur vie amoureuse pour leur « boulot » et se livrent à une concurrence féroce pour diriger la Cellule Nouvelles Menaces, parfois au détriment de l’avancement de leurs dossiers.
Heureusement, pour contrebalancer cette guerre des égos, il y a les bons copains, Franck Caillot dit le Hobbit, une sorte de geek sympathique, et Samuel Markovic le flic marseillais, bougon mais coopératif :
« Pour Samuel Markovic, alias Marko, cette journée était vraiment celle des missions poubelles. Après les obsèques à Aubagne et leur farandole de pompiers irascibles, voilà qu’on l’envoyait jouer les chauffeurs pour un cador venu de la capitale. À trente-cinq ans révolus, le flic se sentait déjà englué, à l’étroit dans son poste. Depuis l’affaire Cornil, son seul réel titre de gloire au sein de la Crim’ marseillaise, son quotidien se résumait à des filatures de dealers à la petite semaine dans les quartiers nord. Mais tenir une pancarte sur laquelle était écrit « Hugo Kezer » dans un hall d’aérogare bondé de vacanciers, ça frisait carrément la mise au placard. »
Tous les personnages contribuent à donner du sens et du corps à l’intrigue, le commandant Ludovic Rossi de la gendarmerie, les agents de l’Office National des Forêts, le préfet de police Alain Cavaillet, le patron des pompiers Fabien Mascarret, Louis Bloch, le préfet du département pour ne citer que ceux-là…
Je ne dévoilerai rien de l’intrigue, véritable course contre la montre qui tient le lecteur en haleine. »

Amanda Lire dit: à

Nous, on veut des glaçons, pas du feu, Paul Edel!

Amanda Lire dit: à

des pyromanes dont la motivation est obscure.

Non pas, Paul Edel.
La fascination du feu et cela dès l’enfance.
( Ou bien alors, si tant est obscure la motivation, une allumette incendiaire éclaircira le problème!)

Amanda Lire dit: à

La petite Sirène sent donc le soufre! 🙂

Amanda Lire dit: à

Mondain a commencé par du figuratif

La peinture figurative mondaine, c’est d’une banalité!

Amanda Lire dit: à

B va nous en trouver des noms de peintres figuratifs mondains, c’est certain.

Amanda Lire dit: à

Ce matin,
Bloom,
JJJ,
renato,
Clopine,
Paul Edel,
Patrice Charoulet…
Des textes longs mais pas de liens abracadabrantesques,
c’est très agréable à lire!

Janssen J-J dit: à

@ mais pas de liens abracadabrantesques,

ça va venir, elle est pas encore bien réveillée toute croche, son amie d’enfance israélienne et sa domestique arabe lacanienne sont en train de l’alimenter. Hein ! Bonsoir !

Jazzi dit: à

et alii n’a pas d’ami.es, JJJ, ni ici ni ailleurs.
Seulement des connaissances de fils ou filles d’ami.es de la soeur d’une parente d’un médecin qui était marié à une avocate qui…

J J-J dit: à

@ jzmn c’est une cantatrice chauve, alors ?…
C’est triste, non ? Que peut-on faire pour elle ? Y trouver une vraie Chedlie ? – Bàv,

vedo dit: à

DHH (sur la rafle et sa perception). Comme toujours, intéressant de vous lire. On pourrait écrire un long texte à partir de votre remarque. (Mais, si je puis, ici n’utilisez pas l’adjectif « immonde », ni aucun adjectif. Dans ce cas, un adjectif diminue: si on a besoin de s’aider d’un adjectif pour mieux comprendre, c’est qu’on ne peut pas comprendre.)

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…dimanche 17 juillet 2022 à 11 h 04 min.

…à l’occasion ses jours-ci, je vais vous envoyez des photos d’œuvres personnelles,!…

…dès que je trouve le système,bien au point avec l’épingle de documents et textes,!…

…je suis, encore un peu bloqués, que pour inonder,!…le marché de l’art, avec juste mon petit Vincent van Gogh, à diffuser,!…
…et impressionnismes, et autres divers d’humeurs personnels d’art-libre,!…

…etc,!…honnis soit qui mal y pense,!…c’est évident, en somme,!…
…bien entendus,!…of course,!…Go,!…

J J-J dit: à

c’est exact, JC, il est souvent préférable de se taire 80 ans plus tard, plutôt que d’en rajouter par un adjectif d’indignation additionnel qui ne fait que plomber un peu plus la dérisoire comédie humaine du jour. Et puis, d’essuyer sa toile cirée sans barguigner du mondain.

renato dit: à

« des pyromanes dont la motivation est obscure »

Le plaisir pervers de regarder les flammes bien à part, l’immobilier — permis de construire, etc. — peut se révéler une ‘bonne’ motivation.

Jazzi dit: à

Damien, il me semble que le cinéaste français, interprété par Louis Garrel, est également une incarnation de Woody Alden himself, du temps où il était jeune, beau et con à la fois, et au faite de sa gloire : l’envers du vieux Mort Rifkin, le Woody actuel ?

renato dit: à

« A quoi reconnait-on un.e con.ne ? »

Un.e con.ne ? Je ne sais pas les autres intervenant, mais moi lorsque j’entends un fasciste parler je le reconnais. Cela dit, en Europe on laisse beaucoup de jeux à la soi-disant gauche, ce qui n’est pas du tout insignifiant.

Jazzi dit: à

« A quoi reconnait-on un.e con.ne ? »

C’était une fausse interrogation et une vraie affirmation, renato, pour qualifier cette députée LFI traitant Macron de collabo pétainiste le jour de la commémoration du 80e anniversaire de la rafle du vel’ d’hiv !

renato dit: à

Afin que chacun puisse rattraper, dans les limites du possible, le temps perdu :
Un avion serbe s’écrase en Grèce, huit morts.
Le ministre serbe de la Défense, Nebojsa Stefanovic, a informé lors d’une conférence de presse à Belgrade que les huit personnes à bord de l’avion, dont aucune n’était de nationalité serbe, étaient décédées. La cargaison est partie hier à 20h40 de Nis, dans le sud de la Serbie : propriété de la société ukrainienne Meridian Ltd, elle transportait 11,5 tonnes de matériel militaire serbe à destination du ministère bangladais de la Défense et avait pour destination finale Dacca avec une escale technique à Amman, en Jordanie.

Amanda Lire dit: à

Oui, Jazzi, le rouge/brun est majoritaire aujourd’hui en France.
Il faut résister!
On ne dit quasiment rien face à ce fascisme ordinaire comme la majorité des français au temps de Pétrain…

Amanda Lire dit: à

La sémantique est imprégnée de ce fascisme ordinaire.
Saleté de piquette!

renato dit: à

Oups ! «… lorsque j’entends un fasciste… »

Évidemment, dans le cas que vous rapportez Jacques, UNE fasciste !

Jazzi dit: à

Ici, renato, sont plus à incriminer l’inculture et l’ignorance, qui, mêlées à une certaine dose d’arrogance et de suffisance, conduit certains de nos représentants politiques à l’approximation et à l’amalgame.
Une faute, une connerie, la preuve d’une incompétence, d’une malhonnêteté notoire, d’une mauvaise foi patente, mais ne galvaudons pas les termes de fascistes ou nazis à tout propos…
Sinon, que nous restera t-il pour désigner les vrais fascistes ou nazis ?

Jazzi dit: à

conduisent…

Janssen J-J dit: à

1 – il aurait fallu écrire « à quoi ON reconnait une conneé (suivi du lien libéré) pour arrêter la surenchère… R. entend souvent les choses à travers son prisme déformé de l’italien… A quoi tiennent les malentendus –
3 – Non le brun et le rouge ne sont pas majoritaires aujourd’hui, pas plus qu’ils ne l’étaient dans l’Allemagne de Weimar. « La gauche » n’a rien à voir avec le fascisme ordinaire, pas plus que « la droite »… C’est une invention. Personne ne sait plus au juste à quoi « résister », à son niveau personnel, tout simplement. On le mesure tous les jours ici, avec nos grandes gueules.
Ceux qui résistent vraiment ont tendance à cacher les petits juifs à la campagne et à la boucler, sans savoir qu’ils « résistent », ni vraiment à quoi. On dira plus tard qu’ils furent des justes, mais en réalité, ils ne dépareillaient pas du « fascisme ordinaire. Et si le langage en est infecté aujourd’hui (LTI), maintes attitudes réelles d’une population désemparée par l’ampleur des défis qui l’attendent ne sont pourtant pas éligibles à cette vulgate de merde. Ce qu’il faut stopper, c’est la paresse consistant à suivre le cours d’une pensée prétendument dominante. Et cela commence ici-même sans en prendre le chemin, hélas. Démontrer d’auto démontage, en somme.

JC..... dit: à

Nous avons un Président qui l’est et une Mathilde qui le vaux bien !…

Cons ! Connes ! Tous ensemble ! Tous ensemble ! Ouais….

JC..... dit: à

Tant de cons et de connes, rassemblés autour de ce saint homme admirable, l’Eveque Illuminé des Pauvres, Jean-Luc Grégoire de la Mélenche !

Janssen J-J dit: à

oui jzm on peut le dire comme vous, inculture arrogance, ignorance et suffisance… Touiller ces quatre qualificatifs, et sociologiser la sauce pour stigmatiser le comportement exact de celui ou de celle que l’on veut accabler de « vrai.e » nazi.e ou de « vrai.e » fasciste… Démontrer que l’impétrant doit les rassembler TOUTES, condition préalable nécessaire mais tout à fait insuffisante, bien sûr (cf. les mésaventures de l’islamo-fascisme-verts). Bàv, jzmn. Houlà !

renato dit: à

Bien à part le fait que l’antisémitisme de certains de gauche est prouvé, Jacques, le fascisme et le marxisme ont un point commun : ils veulent tous deux la destruction de l’ancien ordre des choses. Or, les gens civilisés préfèrent une méthode dont l’objectif est l’évolution vers un autre ordre, au contraire de ces deux idéologies qui se veulent révolutionnaires ; même s’elle n’entendent pas s’attaquer à toutes les structures économiques traditionnelles, même s’elles n’entendent viser que le capitalisme et non la propriété privée et la notion de profit.

Jazzi dit: à

La vraie question clivante aujourd’hui ne serait-elle pas : « Entre Marine Le Pen et Jean-Luc Mélanchon, qui éliriez-vous président.e de la République ?

A tout prendre, je crois que je préfèrerais la première…

renato dit: à

Puis il y a les conformistes de gauche standard-intégrales qui croient (sincèrement) qu’il y a une différence entre les extrémistes : les bons de gauche et les méchants de droite… mais ça va sans dire : culture historique limité aux hystérismes pseudo égalitaires — en gros mauvaise formation et carrière de pistonnés.

Jazzi dit: à

Hier soir, avec Chedly, nous sommes partis à Houilles (en voiture).
Nous sommes allés participer, avec son fils, ses deux soeurs, deux neveux, une nièce et une amie, à la cérémonie du 40e jour de la mort de notre voisine Malika, emportée après cinq ans de lutte par un cancer du pancréas.
Réunis autour d’un délicieux couscous marocain, il y eu quelques larmes et beaucoup de rires, ainsi qu’elle l’aurait probablement souhaité…

DHH dit: à

@vedo
Merci vous avez mille fois raison ;j’ai apprecié cette leçon de sobrieté
Mais je suis excusable car la pensée de ces evenements me révolte toujours avec tant de violence passionnelle que je me laisse aller à la tentation d »en faire trop » , et ,ce faisant, je n’en fais pas assez
Honnête contribution du cinema à la memoire de cette journée avec « les guichets du Louvre » en 1973 et « la Rafle » il y aune dizaine d’années
Curieux que personne, pas même Jazzi le spécialiste n’y ait fait encore allusion ici

Marc Court dit: à

Sur les variations de Mémoire quant au Vel d’Hiv, pour ajouter à DHH souvenir d’un article lu je nr sais ou (Match grande epoque?)et quand, intitulé « Adieu mon Vieux Vel’d Hiv ». façon vieux Paris qui s’en va…
MC

Amanda Lire dit: à

façon vieux Paris qui s’en va…

Eh oui, MC, la sémantique est là, prégnante d’un fascisme larvé…
( La nostalgie n’est plus ce qu’elle était.)

Jazzi dit: à

J’ai vu ces deux films, DHH.
Mais s’agissant de cet évènement historique, j’ai préféré la réalité des témoignages et documents à la fiction.
Il y a aussi Mr Klein de Joseph Losey, déjà cité, dont les dernières minutes, sont censées se passer au vel’ d’hiv, mais ont été tournées à la Cipale, dans le bois de Vincennes.

J J-J dit: à

-> Condoléances avec les proches de Malika…Sans les avoir bien connus, je veux leur témoigner de ma souffrance avec ceux qui souffrent, de ma douleur avec ceux qui endurent lésion et souffrance, de ma plainte avec ceux qui gémissent. Sincèrement.

-> Et oui…, RM, la « résistance » de l’homme commence par l’effort du premier à se dessaisir de son ego cogito (moij pense, moij veux, moij suis, moij possède), d’en finir avec ces prédicats métaphysique et la possession économico-juridique, de les annuler en soi-même. Juste devenir un être vivant, à l’égal de n’importe quel animal…
C’est là notre seul horizon et salut possibles.
Bàv,

Jazzi dit: à

A la Cipale on ne nage pas mais on… pédale !

rose dit: à

Vu « Seule la terre est éternelle »de François Busnel et Adrien Soland

« Seule la terre est éternelle doit son titre à un chapitre des mémoires de Jim, En Marge, où il écrit : « J’ai appris qu’on ne peut pas comprendre une autre culture tant qu’on tient à défendre la sienne coûte que coûte. Comme disait un proverbe Lakota : “Courage! Seule la terre est éternelle.” »

La vie de Jim Harrison déroulée par des gens qui l’aiment, l’admirent. Le Patagonia dont il parle, son second fanch est en Arizona.
L’Amérique telle que l’on l’aime, avec un écrivain que l’on aime aussi.

rose dit: à

second ranch

renato dit: à

Dana Claxton, film-maker, performer, photographe de nationalité Hunkpapa Lakota, elle travaille sur les stéréotypes, le contexte historique et les études de genre des peuples autochtones des Amériques, en particulier ceux des Premières Nations.

https://vucavu.com/fr/video-out-distribution/2007/hope-fr

et alii dit: à

chers pseudos;une citation qui n’est pas en option pour pseudos thérapeutes de médecine esthétique

« “Il faut dire la vérité à quelqu’un qui va mourir… Il faut qu’il sache la vérité, sans cela il ne pourrait pas dormir…”
De Maurice Maeterlinck / Pelléas et Mélisande

Jazzi dit: à

Qui donc avait traduit « Pelléas et Mélisande » par « Pédéraste et Médisance » ?

Jazzi dit: à

« C pourtant la même histoire que Mitterrand, non ? »

Ne cherchez pas à noyer le poisson, rose !
rien à voir.

et alii dit: à

rose, restez dans le sujet:on LIQUIDE!

et alii dit: à

le duel (« linguistique »)
Le duel n’est pas aussi systématique en hébreu que dans d’autres langues sémitiques. Il indique un pluriel symétrique, le plus souvent égal à 2, par exemple יוֹמַ֫יִם “deux jours” (Ex 16,29 ; 21,21 ; Nb 11,19).

C’est vrai pour nombre de parties du corps, par exemple יָדַ֫יִם “deux mains” (Gn 27,22…).
Dans quelques cas, ce pluriel est supérieur à 2 mais dénote néanmoins une symétrie, par exemple שִׁנַּ֫יִם “deux ‹rangées de› dents” (Gn 49,12…) et non “deux dents”, du moins je l’espère ! 😉

JC..... dit: à

NOTRE JEU DOMINICAL

Nuls !
Une
Peuplade
Empuantie
Sans exception…

MC dit: à

Renato. C’est attribué à Jean Lorrain, mais on ne prête qu’aux riches. Ce qui est certain c’est qu’un de ses recueils les plus connus s’appelle « Les Pelleastres »

renato dit: à

Rien ne change vraiment, à un moment une étoile reviendra sur la pyramide de Khéops ou de Caïus Cestius, une autre sur la vespasienne au coin de la rue, une autre encore sur le kiosque à journaux au bout de la rue. Envers et contre mon âge je regarde encore avec plaisir une belle femme qui plonge dans le lac même si je sais qu’elle effraie les poissons.

https://famigros.migros.ch/.imaging/mte/famigros-web/image_stage_content_large/dam/famigros/ausfluege-freizeit/ausflugsziele/naturwunder-caumasee/naturwunder-caumasee-buehne-content-1.jpg/jcr:content/naturwunder-caumasee-buehne-content-1.jpg

J J-J dit: à

@ pédérasme & médusance -< une ou un acrostiche : nos urnes puent l'encaustique et le sperme.
@ jissé & portfolio -< de plus en plus d'hommes aujourd'hui attendent d'avoir eu des enfants avec leur ex-femme pour se mettre en ménage avec un compagnon. La honte, pour les enfants de ces "gens-là". A-t-on pensé et suffisamment réfléchi à leur destin si difficile ?
Bàv, Réveillée; enfin ?

Jazzi dit: à

APOLLINAIRE dans le « Flâneur des Deux Rives » :

« Helleu. Le Watteau à vapeur. – Bourget. Le Bourget gentilhomme. – Serge Basset. Le Con Serge. – Philéas Lebesgue. Le Coq du village. – Armand Sylvestre. Le conteur à gaz. – Paul Léautaud. Léautaud didacte… Brancova. La belle aux bras d’Hermant « ou le derrière émerveillé »… J. Lorrain. Jus in rectum. Péderaste et médisance. Entrée en matière, un mr qui a des couilles au cul mais jamais les mêmes (le mot est de Scholl). – Élémir Bourges qui sort peu et voit peu de monde. Élémir hypocondre »… – François Coppée. Anus Dei (Le mot est de Tailhade)…

Janssen J-J dit: à

(émulsion diazoïque) Il n’y a plus de rats dans le canal st-martin, Mme H les a tous fait enlever pour pouvoir s’y baigner. Les socialistes ont retrouvé la joie de vivre. Merci Anne d’y avoir pensé et une fois encore, infatigablement, d’avoir œuvré pour notre confort et celui de tous les autres parisiens qui n’ont point accès à une piscine privée payante. Bàv,

renato dit: à

Je ne compreds pas MC, à quel propos me parlez-vous de cette attribution à J Lorrain ?

D. dit: à

Ce soir je mange des endives à la !!! Brésilienne.

Janssen J-J dit: à

RM / il vous a confondu avec jzmn, cela nous arrive à toutes,

Janssen J-J dit: à

@ RM, un nouveau billet ce jour sur la chaine de Paul, un de nos erdéliens bretons émérites : Claude Simon et Le Vent.

et alii dit: à

des enfants avec leur ex-femme pour se mettre en ménage avec un compagnon
j’ai personnellement connu un antiquaire qui fit un bel appartement pour elle et ses deux fille avec leur père -et mari lequel voulut prendre son compagnon avec elles : lesquelles refusèrent et l’appartement fut vendu:mauvais calculs des hommes!
c’est l’antiquaire qui avait l’argent et le talent !

et alii dit: à

connu unE antiquaire!

et alii dit: à

et ses deux filles !

et alii dit: à

les deux filles de la dame antuquaire et son mari :
c’est une version réelle et franco française de:
Françoise Héritier
Les Deux Sœurs et leur mère
Anthropologie de l’inceste
Une mère et sa fille, ou encore deux sœurs, peuvent-elles partager le même homme ? À côté des relations entre père et fille, entre mère et fils, entre frères et sœurs, il existe un inceste « du deuxième type » qui concerne en particulier les consanguins de même sexe partageant un même partenaire. Pourquoi ce type de relations est-il considéré comme tabou ?

Françoise Héritier est professeur au Collège de France, où elle dirige le Laboratoire d’anthropologie sociale.
le livre:
https://www.odilejacob.fr/catalogue/sciences-humaines/anthropologie-ethnologie/deux-soeurs-et-leur-mere_9782738128447.php

renato dit: à

«… mari lequel voulut prendre son compagnon avec elles… »

Ce n’était peut-être qu’un prétexte pour se tirer d’une situation pas du tout emballante.

Janssen J-J dit: à

Le deuxième mari de la mère de Goliarda Sapienza, son père l’avocat, tomba éperdument amoureux de l’une des deux filles du premier mariage d’icelle, elles demeuraient sous le même toit. Il délaissa la mère et vécut avec sa première fille comme sa nouvelle épouse, la demi-soeur de Goliarda, donc. Cette histoire traumatisante dans la vie de G, qui considéra très sévèrement son père adoré comme un impudent incestueux dans la famille plutôt qu’un anarchiste libre des conventions sociales fit que, la mère, femme d’esprit indépendante, l’une première féministe italienne très engagée contre le fascisme, sombra dans la déprime et la folie. Goliarda S., soeur quasi jumelle d’un frère adoré, Goliardo, qui mourut jeune, se mit à l’adolescence haïr son père qui lui avait appris tout de la liberté et de la manière de s’émanciper du carcan des conventions sociales et de toutes les religions enfumantes. Et c’est de ces monstrueux drames familiaux et de conscience trop longtemps intériorisés dont témoigne une œuvre admirable, immense et douloureuse. l’Art de la Joie n’est qu’une représentation des contradictions existentielles de Goliarda, portée à la hauteur d’un mythe libertaire hallucinant. Un roman ungenré majeur de l’Italie du mitan du 20e siècle !

Bloom dit: à

Françoise Héritier est morte, hélas. Allons!

MC dit: à

Et s’appeler Goliarde, en’ plus!

renato dit: à

La goliardia è morta nel 38.

et alii dit: à

BLOOM certes HERITIER est morte, le jour de son anniversaire, comme Pontalis, Raphael, on dit symptome d’anniversaire;leur travail n’a pas vieilli pour autant ,et n’en conserve pas moins une portée pour d’autres temps , ça ne veut pas dire qu’il soit »incontestable »,héritier a offert le sien en débat ,même à Levi-STRAUSS auquel elle succéda,et à des psychanalystes,dont l’oeuvre fut féconde! autres temps;
je ne discute pas l’art d’aimer d’OVIDE qui compte encore pour notre temps;
bonsoir!

Janssen J-J dit: à

@ RM – La nôtre est morte en août 1996, accidentée dans l’escalier de sa maison.
@ MC – Elle haïssait le prénom qu’on lui avait infligé. Et puis, elle finit par l’accepter.

J J-J dit: à

Pour beaucoup d’internautes, à partir du moment où un.e intellectuel.le ayant laissé une oeuvre est mort, son oeuvre devrait être nécessairement périmée. Singulier moyen d’expédier un héritage féminin de la pensée… Pour une oif, je vous approuve de vous rebeller contre pareille insinuation, ma fille, ma soeur, ma petite, ma vieille, ma folle, mon amour<… en héritages !

et alii dit: à

une situation pas du tout emballante.
qui a soutenu que le mariage serait TOUJOURS « une situation » et de surcroit une situation nécessairement « emballante »pour tous les protagonistes de la « story »?
surement pas moi!

renato dit: à

Goliardo (feminen goliarda), nom donné, à partir de la seconde moitié du XIIe siècle, aux clercs dits vagabonds, c’est-à-dire aux clercs et aux moines, hommes d’église et d’école à la fois, qui, ayant quitté leur siège, allaient fréquenter les écoles des grands centres urbains, pour faire ensuite carrière dans les cours des princes et des puissants ecclésiastiques ; leur contact avec les nouvelles expériences du milieu urbain favorisait leur sécularisation progressive avec l’affirmation d’intérêts purement mondains, comme en témoignent les poèmes (goliardici) qui leur sont attribués, dont les principaux thèmes étaient l’exaltation de l’amour, la jeunesse, le vin, le printemps, la critique sociale adressée contre le monde ecclésiastique, poussé jusqu’à parodier les rites liturgiques eux-mêmes.

Plus récemment, étudiant universitaire mais comme dit, la goliardia (celle des étudiants universitaires) è morta nel 38.

renato dit: à

Vous admettrez que vivre en cohabitation avec son ami sa femme et ses deux filles ça ne doit pas être emballant : le type se retrouve avec tous les emmerdes : les récriminations, les jalousies (pas la tarte) et ainsi de suite.

Janssen J-J dit: à

@ pour aller plus loin avec elle… des fois qu’on voudrait arrêter d’ironiser sur Goliarda Sapienza, si on ne la connaît pas bien.
https://www.youtube.com/watch?v=ysKZPNdaEk4
…sinon, il vaut toujours mieux passer son chemin. L’ignorer, car il n’est sans doute pas utile de connaître ces vieilleries pour continuer le futur à vivre.

renato dit: à

Je crois que c’est vous qui ne la connaissez pas bien ! la seule chose que je n’ai pas lu d’elle ce sont les trois pièces et sujets pour le cinéma. Cela dit, son écriture et ses histoires ne m’ont pas intéressé, c’est un droit, je suppose ; mais il est vrai que des années durant les gens qui se croient de gauche se sont arrogé le droit de juger ce qui était bien ou pas — désormais ce temps est passé mais l’arrogance reste.

et alii dit: à

renato, c’est lui qui avait désiré l' »arrangement », je n’ai rien su des « tractations » entre eux,et si elles ont duré longtemps, ni par qui l’idée fut initialement ébauchée;ce qui est sur c’est que le « choc du réel » a rebattu les cartes de leurs jeux!

Janssen J-J dit: à

je crois que vous n’avez jamais vraiment aimé les mélodrames au cinéma. Surtout, quand ils sont trop parfaits. Bàv,

Janssen J-J dit: à

entre lui et moij, ai toujours noté, depuis juillet 2014 environ, comme une alternance troublante de considérations sérieuses et de futilités, comme pour donner le change sur son quant-à-soi mais ne jamais couper définitivement l’échange.

J J-J dit: à

Et nous sommes bien d’accord, le MELO d’Alain Resnais ne valait pas un clou, dans sa longue filmographie.
Bàv,

Jazzi dit: à

Les mélo parfaits sont ceux de Douglas Sirk, JJJ.

D. dit: à

Je rappelle que le sport est proscrit par très fortes chaleurs.

Jazzi dit: à

« A la mémoire de Danielle Q. »

L’aînée de mes trois petites cousines cannoises vient de mourir d’un AVC.
Elle avait 74 ans.
Ma soeur, qui a assisté à la messe d’enterrement à l’église de la Castre, au Suquet, me dit que les deux autres ne sont pas d’une santé très brillante.
Souvenir de ma première rencontre avec elles.
A la suite de l’internement psychiatrique de sa mère, le petit Jazzi fut placé pour plusieurs mois chez la soeur aînée de son père :

« Mon retour dans le vieux Cannes, à deux pas de l’hôpital où j’étais né cinq ans plus tôt, marqua pour moi un changement de vie radical. Tenant mon père par la main, je fis une entrée intimidée dans la famille de ma tante, dont je rencontrai pour la première fois l’importante smala. Outre Eliette, la sœur aînée de mon père, et son vieux mari, Roger Venturi, il y avait là leurs trois enfants : Jojo, Lucien et Jeanne-Marie. Mes cousins et cousine germains, tous trois déjà adultes. Jojo était accompagné de sa jeune épouse, Josiane (Josiane 1), qui tenait dans ses bras leur fille Mireille, née peu de temps après ma soeur Nelly. Jeanne-Marie avait aussi un mari, Guido Pastorelli, et trois filles : Sylvie, Josiane (Josiane 2) et Christine, âgées respectivement de neuf, sept et cinq ans. Tandis que les adultes m’accueillirent avec une bienveillance attendrie, je remarquai que mes petites cousines m’observaient en silence, telle une bête curieuse. Au cours du déjeuner qui s’ensuivit, je fus étonné de voir combien mon père était fêté dans ce foyer, où il trônait en bout de table, joyeux et détendu, comme si je lui découvrais une double vie !
C’est dans cette atmosphère-là qu’il m’abandonna après le repas, en m’embrassant tendrement et me recommandant de rester bien sage.

Je devins aussitôt l’objet d’un conflit entre les plus grandes des sœurs, qui voulurent, chacune, me faire sentir son ascendant. Relégués dans une chambre, pendant que les adultes faisaient la sieste, Sylvie, grande brune dégingandée, aux yeux marrons, les cheveux mi-longs, une grosse frange sur le front, nous proposa mielleusement de jouer à l’école. Elle serait l’institutrice et nous les élèves. Josiane, de taille moyenne, les cheveux brun roux, resserrés en deux longues nattes autour d’une raie centrale, les yeux vert noisette et les dents du dessus très écartées au centre (les fameuses dents du bonheur), rejeta brutalement sa proposition. Pour elle, il valait beaucoup mieux jouer à l’épicière. Nous serions ses clients. Tandis que les deux aînées commencèrent à se chamailler, je me rapprochai instinctivement de Christine, petite blondinette bouclée, aux yeux bleu clair, que je trouvai jolie, quoiqu’un peu forte. D’un air résigné, elle me dit de ne pas faire attention à ses sœurs, qui n’étaient que des chipies ! Elle sortit un jeu de cartes de sa poche et me demanda si je savais jouer à la bataille. Un peu honteux, je lui répondis que non. « C’est facile, rétorqua-t-elle, je vais te montrer. » A côté, la situation s’était envenimée. Sylvie avait entraîné Josiane à terre, en la tirant par les cheveux et celle-ci, perdant l’avantage, appela : « Maman ! Maman ! Maman !»
Soudain la porte de la chambre se rabattit violemment. Jeanne-Marie, matrone d’au moins cent kilos, apparut dans toute sa splendeur. Seulement revêtue d’une combinaison moulante en nylon, le visage bouffi, les cheveux plaqués par la sueur, celle-ci montra à Sylvie sa main droite, large comme un battoir, et lui dit, d’une voix qui résonna dans toute la maison : « Tu la vois celle-là ! Si j’entends encore un seul bruit, je t’en colle une que le mur t’en redonne une autre ! » Pendant qu’elle prononçait cette réplique mémorable, je regardais, fasciné, ses énormes seins, qui montaient à l’assaut, l’un de l’autre, comme prêts à jaillir hors de la combinaison !

Je fus heureux dans la tribu haute en couleur du vieux Cannes, où je trouvai bien vite mes repères… »

D dit: à

Ce serait bien que le ministre de l’intérieur donne une conférence de presse sur la situation en Gironde.

D. dit: à

Où il est prévu demain 45 degrés en de nombreux endroits, amenant l’hygrométrie à 10 %. Le moindre brin de paille devenant dans ces conditions une matière presque auto-inflammable. C’est à dire qu’alor très peu d’énergie d’activation est nécessaire pour déclencher une inflammation. Une étincelle, une friction un peu prononcée, un éclat de verre…

D. dit: à

Les moyens aeriens sont assurément insuffisants pour faire face à cette situation gravissime.

D. dit: à

Je ne suis pas là pour faire peur aux gens mais pour les avertir.

renato dit: à

et al., il était donc incapable de prévoir les conséquences de ses actions? ça arrive plus fréquemment qu’on l’imagine.

Janssen J-J dit: à

l’étincelle d’une voiture électrique pourrait avoir…
Mais d’où proviendrait-elle au juste ?… Si c’était avéré, ce serait bel et bien « foutu pour la transition des bagnoles électriques », que m’a dit le beloteur qui n’apprécie pas trop que je m’en sois équipé avec l’incitation gouvernementale, et me l’envoie pas dire. JKe préf_re avertir D. que la istuation n’est pas drôle en Gironde, mais ce n’est pas le MI, GD totalement incompétent en matière de sécurité civile qui va nous rassurer… Quelle idée !

JC..... dit: à

LUNDI 18 JUILLET 2022, 5h31, 25°, temps calme

Objectif identique à celui de chacune des journées précédentes : ne pas la perdre …

rose dit: à

Conversion
« Un hectare correspond à une superficie de 10 000 mètres carrés, soit pour vous faire une idée,une parcelle carrée de 100 mètres de côté. Ce jardin de 3 hectares fait donc 30.000m² (ce qui correspond par exemple à la surface d’une parcelle rectangulaire de 200 mètres de longeur sur 150 mètres de largeur.31 juil. 2015 »

10 000 hectares = 100 000 000 m²

On divise par 0,0001

B dit: à

13000 hectares =
130 kilomètres carrés.

B dit: à

Le feu a progressé avant hier en 24 h de 2000 hectares puis pour hier de 3000 hectares. Vents tournants.
En Espagne c’est pire, au Portugal et en Grèce des incendies également
Il va être nécessaire d’accroître les moyens de lutte contre les incendies si on ne veut pas perdre les forets et tout ce qu’elles contiennent. Hameaux, villages, faune, flore.

rose dit: à

Moyen mnémotechnique, hecto représente 100.
1 hectogramme = cent grammes
1 hectolitre = cent litres

Plus difficile les centi en milli. Peut sortir la calculette.
Deca c’est dix, facile avec la décade.

rose dit: à

Jim Harrison, dans son dernier projet de roman avait prévu d’écrire l’histoire d’une fille qui aimait les arbres.

renato dit: à

Difficile ?!
Centi 0.01mètre
Milli 0.001 mètre

Jazzi dit: à

Les départements en alerte rouge : Finistère, Morbihan, Ille-et-Vilaine, Côtes-d’Armor, Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Vendée, Deux-Sèvres, Charente-Maritime, Charente, Gironde, Dordogne, Lot-et-Garonne, Landes et Gers.

Le léZard témoigne sa solidarité à de tous les ressortissants erdéliens de ces départements, tels Paul Edel et JJJ !

Marie Sasseur dit: à

A l’eau.

Ivresse electrique, c’est pour dire que le courant passe ?
Quel apôtre de bazar pour nageurs gonflés comme une bouée qu’était ce Michelet.

Marie Sasseur dit: à

Renato, c’est bien simple, n’est pas le centième d’un âne, ni même le millième, mais peut-être bien un hectâne.

D. dit: à

En combien de dimensions ?

B dit: à

Ivresse électrique, l’eau est conductrice. Peut être pour dire qu’elle est un transport au physique , aux sens et à l’esprit.

B dit: à

Au cube, D, matière dense, cultivée, raffinée .). D’une humeur exécrable quelquefois, quand on le sait, hein, on s’en gout.

Marie Sasseur dit: à

Sont pas au courant…
« JUZZY est une application pour smartphone qui permet de visualiser (en temps réel et en prévisions) tous les courants de marée du littoral de Manche et d’Atlantique. »

JC..... dit: à

Une certitude.

Renato est un exemple pour nous tous, enfermés dans nos châteaux désuets en location temporaire, au jour le jour.

A suivre ou à ne pas suivre, c’est votre problème ! Pas le mien. Il m’a guéri. Je me croyais intelligent, je ne le suis plus…et c’est bien agréable !

D. dit: à

Non, l’eau n’est pas conductrice.
L’eau ultra-pure a une résistivité d’environ 18 Mégaohm par cm.
Seulement voilà, l’eau ultra-pure n’existe pour ainsi dire pas. Il faudrait pour cela dès sa production la protéger dans une ampoule scellée parce que, Monsieur Charoulet, même une très petite quantité de gaz, non rare, dissout, modifie sa résistivité en créant des ions.
Parce que, Monsieur Charoulet, ce sont les ions qui rendent l’eau conductrice.

Jazzi dit: à

« Seulement voilà, l’eau ultra-pure n’existe pour ainsi dire pas. »

Tout comme la race, D.

et alii dit: à

il y a des conseils, même pour les abords de la piscine:
Sur les margelles et la plage de piscine, où on se promène souvent pieds nus, le carrelage doit être adapté aux zones humides et obligatoirement être antidérapant (norme R 11 au minimum).

La couleur du carrelage est non seulement une question de goût et d’esthétisme mais aussi une question de conditions climatiques. Dans une région très ensoleillée, il est préférable d’installer des dalles de couleurs claires qui ne vont pas retenir la chaleur. Dans une région au climat plus frais, des dalles sombres emmagasineront la chaleur pour la restituer le soir venu. Un atout pour le confort.
https://www.guide-piscine.fr/carrelage/les-types-de-carrelages-de-piscine-4632_A

Bloom dit: à

L’Angleterre, au sud d’une ligne Manchester-York, sera peut-être la région la plus chaude d’Europe aujourd’hui et demain. On prévoit 26° minimum à Londres…la nuit prochaine. Les zoos fermement, les trains circulent à mimima, le pays est en état d’urgence.
Pendant ce temps-là 5 extrémistes situés politiquement à la droite de madame Tadechair s’envoient à la face des noms d’oiseaux lors de débats bidon avec l’objectif de prendre la succession de l’Ebourriffé. Moyennant quoi, encore une fois, ce pays sera gouverné par quelqu’un que seuls les membres d’un club plutôt fermé, les Conservateurs, auront élu. Celui-ci/celle-là (Sunak ou Mordaunt) décidera ensuite du meilleur moment pour organiser des élections générales, sans limite de temps (1 ou 2 ans). Pas mal, en terme de représentativité démocratique, non?
Aves les US, le Royaume-(dés)Uni est le pays le plus narcissique au monde, une espèce de cirque permanent avec comme attractions majeures la royauté (adorée des frenchies), les frasques sexuelles de ses politiques, de ses pipeuls, les mensonges de ses premiers ministres…
Volonté permanente de se mettre en scène, toute honte bue, pour mieux dissimuler le vide sidéral qu’est devenu la société britannique, toute entière soumise à l’imperium d’une économie réduite à la finance, drainée de ses énergies créatives, autrefois si inspirantes.
Croule Britannia…

D. dit: à

Jazzu, je ne vois pas du tour le rappirt.
La race existe en tout cas chez les animaux. Telle vache est une Limousine, telle autre une Rouge-des-prés. Chez les chiens, évidemment. Quoi de commun entre un Chihuahua et un Braque de Weimar sinon que tous deux sont chien ?

et alii dit: à

vous avez pensé ,je reve encore! sorry

Jazzi dit: à

« Croule Britannia… »

Vive la France, vive Paris !

et alii dit: à

Pour ce nouveau rôle, Justin Timberlake incarne un maître-nageur sauveteur sur la plage de Coney Island qui a pour rêve de devenir dramaturge. Les vies des quatre protagonistes vont s’entrelacer au milieu de l’agitation du parc d’attraction.

Mais comme dans tout bon film de Woody Allen, la situation va légèrement se compliquer. Le mari Ginny et opérateur de carroussel doit faire face au chaos déclenché lorsque sa propre fille, Carolina, a besoin d’un endroit pour se cacher de certains gangster à ses trousses.

Jazzi dit: à

« Jazzu, je ne vois pas du tour le rappirt. »

Tu as un bon oculiste, D. ?
Sinon, c’était rappirt à la pureté de la race… humaine, telle que définie par tes amis d’extrême droite !

Une main... dit: à

Les trous de piscines par et alii, montée du Col de Roncevaux! 🙂

Bolibongo dit: à

C’est topset qui s’étale! 🙂

Bolibongo dit: à

Le maïtre est un reitre!

Jazzi dit: à

Bloom, il affirme que Woody Allen ne fait plus de bons films depuis quinze ans, et alii.
Vous confirmez ou vous infirmez ?

et alii dit: à

OUI? MAIS LES PURE PEOPLE? C’EST UNE RACE?

honneur de blog dit: à

Sophie K.
( Compte facebook)
Sur le tweet de Mathilde Panot à propos de la rafle du Vel d’Hiv (voir ci-dessous):
« Les jeux de mots et les allusions du type «Madame Borne, vous êtes une rescapée» qui émaillent les interventions de la présidente du groupe LFI à l’Assemblée Nationale pouvaient, dans un premier temps, être perçus comme des dérapages involontaires, de la gaudriole mal calibrée. Mais l’absence d’excuses ou de retrait postérieurs prouvent qu’ils ne le sont pas, et qu’ils visent sciemment à effacer les frontières entre le licite et l’illicite, entre les faits et les faux, à plonger le lecteur/auditeur non averti dans la confusion et, à moyen terme, à le désensibiliser. Soulignons que ce brouillage des limites est typique d’une intentionnalité perverse.
De telles provocations étaient autrefois la marque d’un Jean-Marie Le Pen d’extrême-droite. A présent elles sont celle des populistes de gauche, tandis que les populistes de droite en profitent pour s’acheter une conduite. La Nupes dénonce à cor et à cri la collusion entre le RN et la majorité présidentielle, mais elle vote et applaudit avec le RN à l’AN, de même que LFI vote systématiquement comme le RN au Parlement européen.
Le comportement panotier évoque celui de Donald Trump qui, au début de son mandat, suscitait chaque jour ou presque l’indignation par ses outrances verbales répétées. Il a fini par habituer les Américains à ses transgressions, élever leur seuil de tolérance, brouiller leurs repères moraux, les désensibiliser. Et le flirt permanent du populiste américain avec le mensonge a poussé une frange extrémiste à tenter, sous ses ordres comme l’ont révélé les auditions récentes, le coup d’Etat manqué du Capitole.
Mathilde Panot fait sans aucun doute exprès de dire/d’écrire ces horreurs. Elle s’adresse en priorité à certains Français. Sa posture stupide et inculte se calque exactement sur celle de Trump – posture assumée qui incite à une interprétation erronée de ses objectifs réels assortie de réactions indignées à sa bêtise supposée. Or ce qu’elle dit n’est pas: «Je ne connais pas l’Histoire»; c’est: «J’emmerde l’Histoire». Et puisqu’un «idiot», un «clown orange» tel que Trump a fini par organiser un coup d’Etat sanglant à deux doigts de réussir, le fait que cette prétendue «poissarde», dont le passé militant est parfaitement cohérent avec ses propos actuels, ait été désignée pour assumer un tel rôle public par un Mélenchon omnipotent en coulisses, en dit long sur ce que vise aujourd’hui, chez nous, le populisme de gauche. »

D. dit: à

Je n’ai pas d’amis, Jazzi. Les seuls que j’avais sont tous partus. Ils se sobt rendus compte qu’ils n’étaient plus à la hauteur. Je n’ai pas voulu insister. Ce qui est est.

Une main... dit: à

cette prétendue «poissarde», dont le passé militant est parfaitement cohérent avec ses propos actuels, ait été désignée pour assumer un tel rôle public par un Mélenchon omnipotent en coulisses, en dit long sur ce que vise aujourd’hui, chez nous, le populisme de gauche.

La bêtise à front de taureau.

Jazzi dit: à

Bon commentaire, honneur de blog.
Mais je n’aime pas trop votre pseudo, qui rappelle « Honneur de la police », de sinistre mémoire…

Jazzi dit: à

« Les seuls que j’avais sont tous partus. »

Mais je suis toujours là, D. !

et alii dit: à

Léger ne sait pas nager:
prêts à plonger, de gauche à droite, cinq hommes parmi lesquels les spécialistes ont identifié trois clowns fameux, les frères Fratellini ; le sixième à droite en espadrilles, Maurice Raynal, le critique d’art de L’intransigeant. De faux baigneurs, de vrais gymnastes et des reflets farceurs : le trou d’eau à la bordure cimentée n’est qu’un abreuvoir à vaches, sans profondeur.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2022/07/13/plongeurs-fernand-leger/

et alii dit: à

Les plongeurs qui épatent Léger à Marseille en 1940 alors qu’il s’embarque pour les États-Unis sautent de vertigineuses corniches et le peintre ne pense pas possible d’exprimer dans l’espace l’instantanéité de leur acrobatique trajectoire. Lorsqu’il retrouve ces jeunes dockers après leur saut, ils sont parfois avec leurs copines à s’ébrouer dans l’eau. Ce sont eux qu’il représentera dans une série de grandes peintures qui vont s’intituler Les plongeurs parce que le titre est plus dynamique et moins convenu que « Les nageurs » ou « Les baigneurs ».

Léger débarque avec le motif en tête le 12 novembre 1940 à New York-Hoboken, et va régulièrement, en 1942-1943, réaliser des « Plongeurs polychromes » ; puis il passe en 1944 aux « Cyclistes ». Il rentre finalement au Havre en novembre 1945. L’attrait du thème aquatique est donc assez bref, et est celui porté par une idéologie sportive des corps en mouvement mise en avant avec les loisirs depuis le Front populaire.

Janssen J-J dit: à

-Il m’a guéri. Je me croyais sot, je ne le suis plus… et c’est bien agréable. Nous sommes bin d’accord.
-Il fait très très chaud à la St Frédéric, c’est la journée la plus chaude de toute l’histoire de nos relevés, icite… Merci Jzmn pour votre sincère solidarité, nous avons comme vous êtes un bon pote. Du coup, je mets mon bémol à la clé Hidalgo.
– Dans le dernier roman d’anticipation de Christopher Priest (qui se passe pour partie en 2050), les personnages du couple londonien qui en bavent de chaleur décident d’aller s’établir à Oslo chez les beaux-parents, où il fait encore frais, en dépit de leur indécision sur le sort de leur résidence secondaire à Hastings menaçant ruine à cause des tempêtes hivernales sur la côte… c’est que l’épidémie de morts caniculaires sévissant dans le sud de l’Angleterre aurait décimé plus d’un tiers de la population britannique… (scènes suggestives garanties, robert !)
Bref, les dystopiques intelligents nous avertissent de garder un peu d’espoir… Dans nos EHPAD actuels, on semble faire face à la situation dans l’ensemble… Prions encore un peu pour ne pas déplorer le remake de 2003. Je salue tellement le dévouement des équipes… Hélas, il n’y a pas de piscine pour batifoler dans celui à qui j’ai affaire. J’espère que d’autres, plus riches, ont plus de chances.
Bàv,

Jazzi dit: à

« cette prétendue «poissarde» »

« Prétendue » n’est-il pas de trop ?

et alii dit: à

on dit plus souvent griffures que éraflures!
ah, les mots!

Janssen J-J dit: à

Voici ce que pense et écrit cette philosophe animaliste de la « souffrance muette » au sujet du comparatif des moutons envoyés à l’abattoir comme les juifs le furent durant la Shoah.
___
« Oui, sans doute, et l’on peut dire que Canetti, Singer, Grossman, et les autres décrivent exclusivement les animaux malades de l’homme. Et s’il en va de même pour Adorno et Horkheimer, c’est parce que leurs pages écrites avec le « sang des bêtes » restent marquées par l’angoisse de la mélancolie des jours d’exil, durant lesquels ces auteurs se sont retrouvés comme des animaux déracinés, déprimés, condamnés à une vie étrangère, durant lesquels ils se sentaient avec Schopenhauer de paradoxales affinités électives (…). Ils expérimentaient leur parenté originaire avec ces animaux pourchassés, exterminés d’âge en âge, et plus impitoyablement que jamais dans la société industrielle. Réfléchir sur le sort des bêtes leur a donné à penser le destin de la plupart des hommes, eux aussi malades de l’Homme.
(in, Elisabeth de Fontenay, Le silence des bêtes, la philosophie à l’épreuve de l’animalité, Paris, Fayard, 2018, pp. 746-747)

*** Profond, non ? (Hors-Sujet du Bassin). Bàv, plouf !

Jazzi dit: à

« Rat » ou « surmulot », l’Académie nationale de médecine ne tranche pas, mais a tenu à rappeler le danger que continue de représenter ce rongeur pour la santé humaine. « C’est la plus nuisible des espèces commensales de l’Homme », précise ainsi l’institution dans un communiqué de presse, une espèce commensale qualifiant un animal qui se nourrit des déchets produits par une autre.

« Un véritable danger pour la santé publique »

Partant du discours d’une élue parisienne du Parti animaliste qui plaidait pour « changer de paradigme » sur le rat brun et prendre en compte les bénéfices qu’il peut apporter, l’Académie de médecine a rappelé que celui-ci restait « une menace », en raison notamment des nombreuses zoonoses qu’il transporte, qualifiant les propos de Douchka Markovic d' »ingénuité ».

« La morsure du rat peut inoculer une bactérie présente dans sa salive, Streptobacillus moniliformis, qui peut provoquer une septicémie rapidement mortelle en l’absence d’une antibiothérapie précoce », donne ainsi en exemple l’institution, listant par ailleurs d’autres maladies que le rat peut transmettre via ses parasites, ses déjections, ses morsures ou ses griffures. Le communiqué recense ainsi la variole du singe parmi ces virus que cet animal peut transmettre.

Par ailleurs, « la surpopulation de rats d’égout dans les grandes villes, comme Paris et Marseille, est un véritable danger pour la santé publique », prévient encore l’Académie, qui rappelle qu’avec un ratio de 1,5 à 1,75 rat par habitants, ces deux villes font partie des 10 villes au monde les plus infestées par ces rongeurs.

C’est pourquoi l’institution de santé appelle les mairies à appliquer « un plan de propreté urbaine, rigoureux et pérenne » afin de supprimer les déchets alimentaires accessibles aux rongeurs, à mener « de vigoureuses campagnes de dératisation », de surveiller les populations de rats d’égouts et le « portage d’agents pathogènes » et d’améliorer la diffusion des connaissances sur les virus véhiculés par ces rongeurs, « notamment à l’intention des propriétaires de NAC (nouveaux animaux de compagnie que sont les rats, les hamsters…) », face à une prolifération « inquiétante » du rat d’égout dans les grandes villes.

Aurélie Loek pour RFI

et alii dit: à

surtout qu’il y a aussi érifler, ériflure!
et du rifle paper;
les mots c’est plutôt carabiné de s’en sortir

rose dit: à

Dans nos EHPAD actuels, on semble faire face à la situation dans l’ensemble… Prions encore un peu pour ne pas déplorer le remake de 2003. Je salue tellement le dévouement des équipes… Hélas, il n’y a pas de piscine pour batifoler dans celui à qui j’ai affaire. J’espère que d’autres, plus riches, ont plus de chances.

Pas de piscine non plus chez ma mère, en vacances chez moi pour une semaine.
Sa curatrice l’avant veille de son départ m’a demandé deux choses :
Limiter les sorties de ma mère à quatre journées par mois, pour la stabiliser, elle pleure beaucoup.
Ma mère me dit « mais avec toi je suis stable » (dès qu’elle part dans agnou agnou, je la chope et hop, remontée).
De plus, à la journée elle me demande de ramener ma mère à l’Ehpad en fin de matinée.
Finie la grotte Cosquer climatisée et fini le cinéma l’après midi climatisé aussi.

Voilà, je garde ma mère une semaine quand même et pas quatre jours et je refuse de la sortir en la ramenant en fin de matinée.

Sa dame de compagnie m’a prévenue « ne vous mettez pas en porte à faux en gardant votre mère sept jours ». C’,est elle qui a prévenu la curatrice qui l’embauche.
Et la responsable du personnel de l’Ehpad m’a aussi prévenue que je risquais que l’on m’interdise de sortir ma mère totalement.

Menaces de représailles.

Ai écrit à la juge des tutelles que j’étais arrivée à mon stade de saturation et je lui ai précisé deux choses moi aussi :
« Moi, je veux bien marcher sur la tête, et je suis capable de grandes choses, mais il s’agit de raison garder ».
Et aussi « l’autorité est un facteur délicat qui se gagne sur l’intelligence, son propre jugement, la justice. »

Ma maman dit « mais sans même l’Ehpad ce n’est pas une prison ».
Je demande l’autorisation d’emmener ma mère en vacances quatre fois par an.

En projets, Jérusalem et la Martinique.

Jazzi dit: à

LCI et non RFI

rose dit: à

Ma mère en vacances.
Hier, cueillette de prunes, mûres et juteuses. Ce matin, des cassis.

Hier soir, lorsque l’on a pu sortir sur le balcon, il y avait une belle figue mûre qui attendait ma maman et ô stupéfaction, au moment de la cueillir, rien.
Une guêpe posée sur la feuille voisine, digérait son repas.
Figue délicatement mangée en laissant la peau et quelques graines.
Nous avons fait chou blanc. Et puis bien blanc rajoute ma maman. Une seconde figue, plus haut, magnifique et mûre a été le repas d’un papillon du soir, aux élytres longues et grises, magnifique, dit ma mère, et vorace dis-j.

Vacances d’été, paisibilité !

et alii dit: à

vos projets, rose ,visent très loin !vous êtes bien hardie!

Janssen J-J dit: à

cela dit, je ne tiens pas les déclamations de l’Académie de médecine pour comme des garanties particulières d’objectivité (pmp). Mais enfin, chacun se raccroche à la source d’eau pure qu’il peut.

honneur de blog dit: à

Bon commentaire, honneur de blog.
Mais je n’aime pas trop votre pseudo, qui rappelle « Honneur de la police »

C’est évidemment de l’ironie, mieux encore, de l’humour, Jazzi. Mon pseudo dénonce la connerie de cette expression trop connotée ( Malek Oussekine et bien avant aussi…). Je dirai, l’honneur positif de ne pas dire des conneries, voilà le principe. Un Mékilékon plus appuyé en quelque sorte et qui veut aller de l’avant.

honneur de blog dit: à

Un Mékilékon plus appuyé en quelque sorte et qui veut aller de l’avant.

J’aime bien l’individu qui ramasse la merde de son chien laissée dans la rue avec la pochette noire conçue à cet effet.
Comme sur ce blog, il faudrait que l’on ramasse les déchets. Du moins, celles et ceux qui nous lâchent leur merde en plein milieu.
Et remercier celles et ceux qui le font par exigence intellectuelle.

Janssen J-J dit: à

il est bon que la beauté du spectacle de la nature et le goût de ses fruits apaisent l’âme du jour, par delà les mises en garde des gens qui craignent que ces moments ne prennent fin brusquement…
Je suis certain que vous irez toutes deux un jour prochain à Jérusalem puis en Martinique… Vous y êtes déjà, on le sent.
Mes bises (si je puis me permettre, un peu plus que le sincère et rituel Bàv à tous.tes).

honneur de blog dit: à

de l’humour…provocateur Jazzi.

Damien dit: à

Très bons discours de Macron et Borne. Ils ont prononcé les mots qu’on attendait, après ceux de Chirac en 95. L’Etat de Vichy a reconnu sa participation à la Shoah. C’est une date historique. Un Zemmour peut aller se rhabiller. Un quidam, hier, me disait qu’il faudrait faire quelque chose sur les réseaux sociaux, en direction des jeunes. Naïves paroles défaitistes. C’est à l’école même qu’il faut faire passer le message, et encourager les élèves — et du reste tout le monde — à lire les livres sur la Shoah. Et à aller au cinéma : bientôt sortira ce film sur Simone Veil, avec Elsa Zylberstein. C’est apparemment du lourd. Les avant-premières étaient combles. Le bouquin de Veil est étudié en classe. Dans ma librairie, il y en a des piles entières, à côté de « Si c’est un homme » de Primo Levi. — En ce moment, je suis en train de lire un livre dans une collection chère à Jazzi/Barozzi, « Le goût du judaïsme ». On le doit à Franck Medioni, qui a déjà proposé dans la même collection « Le goût de l’humour juif ». Je recommande ces deux ouvrages vivement, idéals pour les trajets dans le métro, ou les salles d’attente de toubibs. Une bonne journée à vous. Moi, je vais au cinéma, encore !

Janssen J-J dit: à

Il est certain qu’un étron représenté sur cette chaine virtuelle par son auteur assumé, pue autant, sinon plus, que celui qu’il lâche devant la porte de ses voisins à Chaville.
Pour une fois, je plussoie avec ma soeur.
Bàv,

Damien dit: à

« L’Etat de Vichy a reconnu sa participation à la Shoah. »

Oups ! Je voulais bien sûr écrire : « L’Etat français a reconnu sa participation à la Shoah. »

C’est un lapsus qui ressemble à un acte manqué : Pétain ni Laval (exécuté) ni Darquier de Pellepoix n’ont jamais rien reconnu du tout, les salauds. Il y a encore des nostalgiques de Vichy, aujourd’hui. Le discours flamboyant de Macron les a repoussés dans les poubelles de l’histoire !!! Merci M. le Président !

Soleil vert dit: à

Jazzi dit: à
« A la mémoire de Danielle Q. »

Ma défunte tante Madeleine a longtemps habité au 14 avenue Jean de Noailles, avant qu’un Alzheimer ne l’en chasse.

Marie Sasseur dit: à

Finalement Renato n’est pas un hectâne, c’est un decabourrin.
Il fait ses devoirs de vacances pour entrer au cm1, ou pas ?

Jazzi dit: à

« 14 avenue Jean de Noailles »

Belle adresse, Soleil vert, au coeur de l’ancien quartier anglais (autour de la résidence de lord Brougham) et de la villa Rothschild (la médiathèque municipale où j’avais mes habitudes du temps où j’étais jeune, beau et con à la fois !
(la jeunesse et la beauté s’en sont enfuis, mais pour le reste, je crains que ça ne se soit guère amélioré…)

et alii dit: à

rose, c’est sur la plage de TELL AVIV qu’ayant nagé au loin on m’expliqua (dans la mer) qu’il y avait une barre ,dangereuse, et on me raccompagna , à la nage, au bord; après un moment de répit, je me rendis compte que j’avais un orteil qui suppurait, et on m’accompagna à l’hosto ,où je me fis engueuler parce que j’avais encore des gravillons sur les pieds! mais on me soigna, bien
là bas , il y a une densité de médecins inouie dans les villes;et tout le monde parle français ;

Janssen J-J dit: à

@ Il fait ses devoirs de vacances pour entrer au cm1, ou pas ?

-mais voyons HDB, ya pas de sots métiers dans la vie, car on enseigne et on apprend à tous les âges. Et moij il m’apprend, car au delà et en deçà du millième, j’avions point appris à l’école du cm1 la république, où on devait se contenter de la longueur du sillon du bourrin, l’était bin suffisant. Bàv,

rose dit: à

Vous aviez touché la barre dangereuse pour que l’orteil suppure et alii ?

rose dit: à

pour le reste, je crains que ça ne se soit guère amélioré…)

Je n’y crois pas à la non amélioration.

Quoique.
Une voisine-terrible/terrifiante a téléphoné ce matin à sa voisine du dessus pour -très malade, à deux doigts de mourir) s’excuser d’avoir été aussi odieuse.
L’a dit OK, l’a raccroché.
Moi je suis la voisine du dessous, mon grangeon touche son jardin.

J’ai été aussi martyrisée par elle, comme la voisine du dessus.

Ce n’est pas possible de ne pas s’améliorer.

rose dit: à

Jésus Lopez Marie Joseph.

et alii dit: à

« https://fr.dreamstime.com/tenez-hasake-bateau-palette-se-tenant-appui-plage-mer-pr%C3%A8s-d-station-secours-image125021845 »
vous verrez la pratique en israel
« Assis face à la mer, nous admirons notre maître-nageur sur son hasaké, une spécificité israélienne, une sorte d’ancêtre du surf. Une large planche que Shouki fait avancer avec une rame à double pagaie et avec laquelle il peut avaler les vagues en un temps record pour aller sauver un nageur essoufflé. Par temps calme, le sauveteur entretient ses muscles en promenant de jolies filles sur son hasaké.(…) »

et alii dit: à

non rose, j’arrivais de Bretagne (trez hir)où j’avais commencé l’été chez une condisciple qui m’avait invitée à faire du bateau, mais j’avais négligé de me soigner, avec mieux que la première pommade trouvée dans la salle de bains;

renato dit: à

Il y a de bon que l’on peut se passer sans peine des opinions de certains.

Marie Sasseur dit: à

Il y a de bon que les bourrins parfois se révèlent tels qu’ils sont. De sinistres crétins.
Enfin vu le niveau, c’est pas demain que Renato passe le bac.

et alii dit: à

Des rats envahissent les plages de Cannes après les inondations
Chassés de leur habitat en sous-sol par la montée des eaux, les rats ont fait leur apparition par dizaines sur les plages de Cannes, une commune fortement touchée par les inondations meurtrières du week-end. Le soir, ils ne se cachent pas et courent sur les plages à la recherche de nourriture.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/video-des-rats-envahissent-les-plages-de-cannes-apres-les-inondations_1723071.html
j’ai vu des rats faire les poubelles des plages de Roquebrune CAP MARTIN

Marie Sasseur dit: à

Vieux, ennemis de vous vous-même , vous qui entrez dans le grand bain. ne perdez pas tout espoir.
« Nos anciens n’auront pas fini de nous surprendre. A 65 ans, le Croate Veljko Rogosic a explosé le record de la plus longue distance jamais nagée avec ses 225 kilomètres parcourus en 50 heures dans la mer Adriatique.
225 kilomètres… cela correspond à 9000 longueurs d’un bassin de 25 mètres. Une véritable prouesse qui a mis à l’épreuve la masse musculaire du senior. D’ailleurs, il aurait perdu 16kg pendant l’épreuve ! »

https://www.sportsoluce.fr/blog/Les-records-de-natation-les-plus-fous#:~:text=La%20nage%20la%20plus%20longue%20de,histoire%20aura%20dur%C3%A9e%2050%20heures%20!&text=225%20kilom%C3%A8tres%E2%80%A6,la%20masse%20musculaire%20du%20senior.

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