« On n’entend que le montagnard du Kremlin/ L’assassin et le mangeur d’hommes »
Mandelstam, on connaît. Il suffit d’avoir un jour effleuré son oeuvre, fût-ce en traduction, pour en être marqué à jamais. Si en plus on a lu sa biographie par Ralph Dutli, on connaît mieux. Et mieux encore si l’on a conservé en mémoire Le Bruit du temps, recueil d’esquisses autobiographiques qui dit la puissance et la fragilité de sa parole poétique au plus profond de ses cinq années de mutisme poétique. Ou la formule de Marina Tsvetaeva (ici sa traduction du Crépuscule de la liberté), laquelle s’interrogeait : comment un grand poète peut-il être un homme petit ? Elle accablait le prosateur pour mieux sauver le poète, homme de ruptures, davantage épris de pouvoir que de grandeur, proche de Pasternak et d’Akhmatova.
Mais quand on sait tout cela, qu’on a fouillé sa vie et son œuvre, on découvre avec étonnement que quelqu’un a osé y ajouter un codicille : Les derniers jours de Mandelstam (128 pages, 14 euros, Mercure de France) de Vénus Khoury-Ghata. C’eût été d’un essayiste ou d’un historien, on ne s’y serait peut-être pas arrêté, atterré à l’idée de se colleter à une médiocre tentative d’exofiction. Mais d’une poètesse, on se laisse gagner par la curiosité. Non parce qu’il faut nécessairement être du bâtiment pour parler d’un poète mais parce qu’on guette, on espère un autre regard sur le déjà lu, quelque chose comme une lueur propre à éclairer les ténèbres d’un condamné.
Nous sommes en 1938 dans un camp près de Vladivostok. Ossip Mandelstam, 47 ans, se meurt dans sa cellule, condamné par Staline pour un poème qui a osé dénoncer le petit père des peuples en « assassin et mangeur d’hommes », l’un des deux vers de la première version du poème (Nadejda Mandelstam l’a révélé dans Contre tout espoir). Pourquoi avait-t-il pris le risque d’être dénoncé, arrêté, torturé, emprisonné et enfin déporté à mort en lisant devant son petit cercle d’amis réuni un soir de 1934 son fameux épigramme de seize lignes contre Staline ?
« Nous vivons sourds à la terre sous nos pieds/ A dix pas personne ne discerne nos paroles. On entend seulement le montagnard du Kremlin,/ Le bourreau et l’assassin de moujiks. Ses doigts sont gras comme des vers,/ Des mots de plomb tombent de ses lèvres. Sa moustache de cafard nargue,/ Et la peau de ses bottes luit. Autour, une cohue de chefs aux cous de poulet,/ Les sous-hommes zélés dont il joue. Ils hennissent, miaulent, gémissent,/ Lui seul tempête et désigne. Comme des fers à cheval, il forge ses décrets,/ Qu’il jette à la tête, à l’oeil, à l’aine. Chaque mise à mort est une fête,/ Et vaste est l’appétit de l’Ossète. » »
Le poète connaissait le dictateur en qui il voyait un monstre fascinant. Ces lignes l’envoyèrent à la mort. Il en savait les conséquences. Alors pourquoi ? Robert Littell avait répondu il y a quelques années dans L’hirondelle avant l’orage (Baker Street éditions) : le courage mêlé d’inconscience, l’idéalisme et la conviction intangible que la vocation d’un poète est de dire la vérité. Le poète, c’est celui qui dit la vérité, celui qui fait exploser un poème à la barbe d’un dictateur en hurlant que le roi est nu. Du fond de sa nuit, effrayé par l’ombre de son ombre, désespéré, halluciné et guetté par le suicide, Mandelstam avait lâché in fine une ode à Staline de sinistre mémoire dans le fol espoir d’en sortir enfin.
Mais la force du livre de Vénus Khoury-Ghata, écho assourdi de ses derniers jours, est de faire défiler les grands moments de la vie du poète russe à l’instant de sa mort avec une grande économie dans le lexique et les effets. Des lieux, des événements, des figures d’êtres chers. Tout est puisé aux meilleures sources, jusqu’aux plus inattendues, tel le témoignage du poète Joseph Brodsky. Les poèmes de Mandelstam courent tout le long du récit mais juste quelques vers, comme un simple rappel de son grain de voix
Pas de pathos, ce serait insupportable, surtout dans un contexte aussi tragique. Rien de trop. Le plus souvent, le détail l’emporte. Ici un fossoyeur finit par jeter son tyran d’employeur dans la fosse au motif qu’il le forçait à goûter la terre avant chaque inhumation. Ailleurs un déporté croit devenir fou lorsqu’il se rend compte qu’il a oublié jusqu’au nom de son village. Tous sont rongés par la faim jusqu’à la voir en spectre, la nuit. Où l’on voit le peu d’humain qui demeure en l’homme décliner, se dégrader, s’avilir. Sale époque où l’on devait dénoncer son père et sa mère dans l’espoir de rester en vie.
« Les murs se resserraient autour de Mandelstam comme pour l’expulser (…) La mort soufflait son haleine froide sur sa nuque (…) Mandelstam est réveillé par le rire houleux de Staline (…) Staline n’a pas besoin de couper les têtes, elles tombent d’elles-mêmes, dit Mandelstam (…) Ses mots alignés ne constituaient pas une armée (…)
Le voilà obsédé par le souvenir de Marina Tsvetaïeva, sa voix et ses gestes ; nous aussi à sa suite. C’est d’une sobriété spectaculaire. Rythme, cadence, scansion : la prose poétique à son meilleur, et Dieu sait si l’expression a été galvaudée. On est bouleversé car en poétisant le réel, Vénus Khoury-Ghata donne à entendre des voix et les fait résonner en un chant profond. En donnant à voir l’invisible dans une saisissante démarche empathique, elle accorde des circonstances atténuantes à l’homme Mandelstam agonisant sur son châlit. De ce peu de mots jaillit un supplément d’âme.
(« Ossip Mandelstam, derniers temps » photo D.R.)
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487 Réponses pour « On n’entend que le montagnard du Kremlin/ L’assassin et le mangeur d’hommes »
D. dit: 12 septembre 2016 à 14 h 58 min
finalement je mangerai des moules toutes simples ce soi
Mékelbuse !
Perse l’Iran actuel
« On écrit algoritme, mais peu importe! » (moi-même)
Penser à relire avant de poster!
Algorithme, evidemment!
Teenagers in America are resorting to sex work because they cannot afford food, according to a study that suggests widespread hunger in the world’s wealthiest country.
https://www.theguardian.com/us-news/2016/sep/12/teens-america-hunger-food-poverty
Oui, Bloom, ça fait froid dans le dos.
ribouldingue dit: 12 septembre 2016 à 13 h 49 min
les vôtres et ceux des concierges
Je suis en train de corriger le test d’orthographe de mon autre 4ème, c’est encore pire que la précédente…
13h – sous la voilette
« Sublime Lubitsch, au sommet de son art, qui nous offre une comédie d’un grand raffinement sans aucun jugement moral, c’est d’une drôlerie irrésistible avec en point d’orgue comique le repas des parents de Martha, où l’on retrouve à chaque bout d’une table immense le père (génial Eugéne Palette) et la mère se disputant un journal avec le pauvre groom contraint de transmettre les doléances réciproques. Gene Tierney, Don Ameche et Charles Coburn donnent toute la saveur et son élégance à cette comédie un sommet de la « Lubitsch touch », nous avons juste une réserve sur la coiffure faite à Gene Tierney »vieillissante ». Lubitsch qui s’est révélé inapte à reprendre l’entreprise familiale, plus passionnée par le monde du théâtre, a mis beaucoup de lui dans le personnage de Henry. Il se dégage de ce film une certaine mélancolie qui donne à cette comédie toute son épaisseur, le cinéaste confiait d’ailleurs avoir filmé « la fin d’une époque où il était possible de vivre pour le simple bonheur de vivre »… »
Carmadou – 5 décembre 2012
Claude-Jean Philippe aimait beaucoup inclure et parler de ce film de Lubitsch dans les programmations du Ciné-club d’Antenne 2 ou dans son émission hebdomadaire sur France-culture « Le Cinéma des cinéastes ».
Les films de Lubitsch, quel régal ! Ninotchka, The Shop around the corner, La Huitième Femme de Barbe Bleue, To be or not to be, La Folle ingénue, Haute pègre…
L’ironie comme expression d’une résistance, le charme, l’élégance, la fantaisie mais aussi cynisme…
M. Court a dû avoir un échange savoureux avec C-J. Philippe
En relisant ces paroles fortes de Jean Améry datant de 1966 (par-delà le crime et le châtiment, essai pour surmonter l’insurmontable) durant ce week-end, je me suis demandé si un type comme WGG pouvait continuer sur ce fond-là…, ou s’il ne devait pas s’arrêter un peu. Vu que nous avons affaire à de nouvelles générations en proie à d’autres tourments. Jean Améry disait que le ressentiment prendrait fin, mais ne disait pas quand. Et malgré tout le respect que nous avons tous pour cet admirable texte lazaréen, il est temps de répondre à cette question et de nous entendre tous sur le processus de résilience à l’œuvre parmi les nouvelles générations qui ont à vivre collectivement. Et le faire en nous efforçant, je pense, sinon d’oublier le traumatisme de la Shoah du moins tous les Heidegger qui l’ont légitimée, ainsi que les pâles Jablonska et autres farines « littéraires » du moment.
On pourrait méditer par exemple Améry citant Schnitzler : « la profondeur de l’esprit n’a jamais éclairci le monde, mais la clarté d’esprit voit plus profondément en lui » // La sortie du camp leur avait au moins appris, non la sagesse ou la profondeur, mais à être plus malins : « avoir appris que la parole s’éteint partout où une réalité pose une revendication totale » // L’intellectuel humaniste non croyant (à la différence de l’intellectuel chrétien ou marxiste) était plus que tout autre vulnérable, puisque sa tolérance et son doute méthodique se changeaient en facteurs d’autodestruction // Il était toujours complétement dépendant du pouvoir (y compris de se critiquer en pensée), il a toujours capitulé devant lui (à la différence du non intellectuel qui admet la richesse et la pauvreté et lutte contre cela sans le ressentir comme une contradiction, le camp n’étant que le connu ou le possible avec une différence d’intensité dans la dureté). Et, plus encore, sur ces pages profondes dédiées à la nature du ressentiment du rescapé (en 1966, je le répète) : /« parce que des personnalités proches des bourreaux sont toujours actives sur la scène politique de l’Allemagne de l’Ouest ; parce que c’est le résultat d’une évolution personnelle et historique ; l’impossibilité de se convertir à la tolérance, quand on est sûr d’être dans la rectitude saine, il ne peut être condamné sur le plan moral ni pensé comme un « conflit psychique perturbant » ; /même s’il bloque l’avenir, le ressentiment « continue d’exiger que l’irréversible soit inversé, que l’événement n’ait pas eu lieu » ; / il empêche l’injonction à l’ascèse affectif pour intérioriser sa propre souffrance passée (comme les tortionnaires le feraient de leur culpabilité) / Il n’y a pas de règlement du conflit non résolu sur le plan de la pratique historique. / Le ressort de l’expérience de la persécution étant celui de la solitude extrême, tant que persistera ce sentiment d’abandon, le ressentiment qui n’est ni la vengeance ni l’expiation, l’accompagnera / Il n’y a pas d’innocence collective des Allemands, le ressentiment est investi d’une fonction historique « étape de la dynamique progressiste morale du monde en remplacement d’une révolution allemande qui n’eut pas lieu : Auschwitz est le passé, le présent et l’avenir » (HME) / Ressentiment : source de toute morale authentique des vaincus. Elle prendra fin, mais « implorons la patience envers ceux dont le repos est encore perturbé par la rancune » (p. 173) / Nécessité et impossibilité d’être juif (ajout 1976) « Je suis juif du simple fait que mon entourage ne me définit pas expressément comme non juif ; au-delà du devoir que ça implique, il y a la peur ; ce qui m’accable le plus n’est pas une névrose, mais le reflet exact de la réalité (la névrose est plutôt du côté des évènements historiques) ; la solidarité face à la menace est tout ce qui me rattache à mes contemporains juifs, croyants ou incroyants ; un juif ne peut être décrit comme quelqu’un qui a le plus de méfiance, de peur et de dépit que ceux de ses concitoyens qui n’ont jamais été persécutés (… car il a de bonnes raisons de s’attendre, à tout moment, à une nouvelle catastrophe : je porte ne moi la crainte du cataclysme passé, et de celle d’un nouveau cataclysme) / juif, je ne peux pas l’être dans l’émotion, mais uniquement dans l’angoisse et la colère, quand le première se change en la deuxième pour accéder à la dignité / il s’agit d’une inquiétude sociale, et pas métaphysique (la nécessité et l’impossibilité d’être juif est une prétention sociale).
beaucoup question d’algorithme ici depuis que passou l’a infligé à pauledel sans le savoir.
Christiane, Lubitsch ne fait de morale en étant bien immoral.
Je me suis fait quasiment les mêmes réflexions, JJ Jansen, mais je n’ai pas réussi à les formuler d’une façon aussi admirable et concise que la vôtre.
On n’y comprend rien à toutes vos citations. Abrégez, synthétisez et pensez. Ça vaudra mille fois mieux.
Une chose est certaine. Ce sont ceux qui avaient une formation politique communiste qui ont résisté le mieux à la déshumanisation des camps. À Aus.chwitz I comme à Buchenwald. Semprun le dit.
Par ailleurs, il ne s’agit aucune d’un problème de ressentiment dans la volonté de comprendre la Shoah. Ça n’a absolument rien à voir avec quelque ressentiment que ce soit. Est-ce que Primo Levi a jamais éprouvé quelque ressentiment que ce soit ? Enfin, c’est idiot !
« On écrit algoritme, mais peu importe! » (moi-même)
détends toi du troudballe lucienne..ça va bien spasser
t’en sais rien brelle de konnard de dracul..et pis dabord on écrit choa
Non, l’art de Lubitsch, c’est l’ambiguité des sentiments et leur caratère précaire, changeant brutalement d’un instant à l’autre, de l’un à son contraire selon les circonstances. Un monde profondément instable et de ce fait très inquiétant et angoissant.
En relisant ces paroles fortes de Jean Améry
..tu les charges à mort et tu veux a toute fin y voir dla haute science..comme larsouille havec laétitia
dracul ressent mieux et plus fort
« ce soir je me fais des prairies farcies. »
crue bordel de cul..crue..ça dmande qu’un beurre correc et une bonne baguette..et hun verre de pierre a fusil..mieux ça sert a rien
L’esprit des comédies de Lubitsch, c’est la délicatesse et l’ironie d’un XVIIIe siècle à la française, un marivaudage exquis, une illusion comique…
@16.31 y voir dla haute science ?
Ah bon, t’as vu ça où ?
@16.27 on ne vous parle pas de PL ni de GS mais de Jean Améry. Savez lire ? Des fragments issu d’un texte de 1966. Faites pas comme d’hab, plus bête que vous n’êtes, càd vous laisser emporter par l’injure et la colère, qui vous enfonceraient à jamais dans ce à quoi il convient, pour nous autres les athées (juifs, goys ou gadjos) de bonne volonté, d’échapper désormais sur le sujet.
Teenagers in America are resorting to sex work because they cannot afford food
parisianne studiante gueurle c’est pour payer leur loyer..escort spéce conéma pour aller au cinoche voir un lubitch..c’est t’y pas classe ça phil
Ah bon, t’as vu ça où ?
un reflet dans ton noeil luisant
Mihel, l’aurtogrfa cé relou. Cé un truc pour lé kouffar.M’sieu, voummetté une bone notte?
Y en a qui découvrent l’Améry, moi , par exemple…
je sais, je sais, je suis bouché à l’Améry…
Oui, en plus, on n’en est pas loin dans cette classe d’entendre des trucs pareils, je t’assure !
mais je n’ai pas réussi à les formuler d’une façon aussi admirable et concise que la vôtre
faut te briquer le neuronne miroir à l’ajax dédé..faut queu jmeu vois d’dans sinon c’est corvée dpatate!
bergueune c’est corvée dchiotte
Il y a aussi Joseph Bialot et Piotr Rawicz.
Le plus décapant, c’est Piotr Rawicz.
dracul y va au décape four..c’est trop fort dédé..le sujet du jour c’est la kolyma et c’est krakowiecki
@Delaporte dit: 12 septembre 2016 à 16 h 38 min
Je n’avais pas pensé à cela. Intéressant. Merci.
@Phil dit: 12 septembre 2016 à 16 h 05 min
En quoi le jugez-vous immoral ?
@Widergänger dit: 12 septembre 2016 à 16 h 29 min
Étrange perception qui dit peut-être plus de vous que de Lubitsch…
une illusion comique…
..sapré delaporte
@16.43 Mon neuil… Non, là tu confonds avec Carson Mc Cullers, une fille intéressante aussi, mais c’est pas trop le sujet.
2 – En attendant, laisse-moi te donner mes impressions sur Nancy Huston et ses « professeurs de désespoir » (2004), j’avais oublié de les donner à la RDL à sa naissance. Résultat, elles traînaient sur une clé, et j’en changerais pas d’un iota.
« Je perçois mieux pourquoi Mme Nancy Huston, avec pas mal d’arguments assez convaincants m’agace encore, mais pourquoi elle passe mieux aujourd’hui, au moment où je m’éloigne des nihilistes préférés de mon adolescence et d’âge mûr. Bien sûr, Nancy H. n’est pas tout à fait claire dans son rapport aux « profs de désespoir » qu’elle feint de vomir, car vouloir s’y mesurer suppose nécessairement chez elle, quelque chose de suspect, d’autant plus quand elle évoque, pour donner le change, « des diamants noirs », ces quelques professeures d’aujourd’hui qui détruisent largement une thèse dont la fragilité éclate alors (notamment, Jelinek, Angot, Linda Lê). Elle a cependant bien touché là où ça faisait mal, en établissant un lien entre nihilisme (élitisme et solipsisme, dégoût du féminin assimilé à l’existence charnelle, mépris pour la vie terrestre) et génophobie (haine de l’engendrement). C’est pas mal trouvé, mais là où elle déconne complètement, c’est dans son incapacité à ressentir l’humour noir grinçant et dévastateur qu’il y avait sous la plume tous ces gens là, la politesse de leur désespoir… Elle en est elle-même totalement dénuée, l’orgueil de son féminisme social-démocrate mal équilibré masquant de plus en plus mal un semblant de jalousie face au succès (universel ?) de ses ennemi-es, je pense. D’après elle, en gros, le néantisme (sic) naîtrait de l’incapacité des hommes à se voir privés de leur monopole sur la vie de l’esprit et à vouloir se passer de leurs semblables, mais pas de bobonne ». On peut réduire son propos à ça, tu vois le genre ! Je le trouve quand même un peu court.
A vrai dire, je sais pas trop ce que t’en pense, toi qui l’a certainement lue à l’époque. J’espère rien d’inamical, car ici nous sommes tous féministes, hein !
3 – Ce matin je me suis équipé de « Un destin » de G-A Goldschmidt, il n’y en avait qu’un exemplaire chez Gibert J, un vrai scandale, donc, d’autant plus précieux. Je reviens bientôt sur cet admirable petit livre paru chez un éditeur inconnu, éd. de l’Eclat.
« une illusion comique… »
Merci à Corneille, dont c’est le titre d’une pièce.
Le plus décapant… c’est la poudre arrêt curé 🙂
@janssen, il y a aussi cette ville profondément antisémite du Nord du Chili: Arequipa… je sors…
à un moment de ma vie je confondais Lénine et Lennon et Staline et Stallone.
une pensée de Larochefoucauld pour JC l’andouille haineuse : « Le propre de la médiocrité est de se croire supérieur »
Sale époque où l’on devait dénoncer son père et sa mère dans l’espoir de rester en vie.
…parfois dans l’espoir de s’en débarrasser … enfin ! Pour ceux-là, ce fut la belle époque.
18.51, alors vous devez être un « quadra ».
Et à cet âge de la confusion des sentiments, c’était tout à fait excusable. Et moi, je confondais encore tardivement primo Levi avec jerry lewis sr, c’est vous dire, et je ne parle même pas de Claude.
Ah, merci, Jean et Phil, votre boutade me remet en mémoire une exposition fabuleuse à Orsay (printemps 2012). P.Edel avait écrit un chouette billet sur ces nus de Degas au pastel, femmes accroupies, se lavant dans des tubs, des fesses, des hanches. Le pastel plus facile à manier pour lui qui perdait la vue. Sortant de l’expo j’avais acheté un petit livre étonnant « Je veux regarder par le trou de la serrure » (éd. mille et une nuits) regroupant des textes de lettres, des notes des carnets du peintre. Un délice d’intelligence. Une grande liberté. Il écrit dans un courrier adressé à W. Sicket en novembre 1917 : « Je veux en étalant ces pastels, regarder par le trou de la serrure ». Et c’est l’impression que donnent les travaux (pastels – statuettes) des dix dernières années de sa vie. Les modèles vivent sous le regard du peintre, indifférentes à sa présence. Beaucoup de lien avec les gravures de Hokusai (sauf que lui dessinait des sumos). Donc oui, il faut oser ces dessins, peintures, croquis, photos des sensualités éparses à l’heure du bain. Pour l’escarpolette ce serait plutôt la peinture de Boucher ou Fragonard…
@18.22 EXCELLENTISSIME ! Je la connaissais pas cette nouvelle potacherie du lundi soir, merci !
C’est qu’on travaille dur du chapeau ici, hein ? 🙂
{arequipa vient de l’Aymara ari (montagne) + kipa (locatif) et signifie à peu près, près de la montagne}
En plus , Lévi_Strauss,celui des djinzes, et celui de triste tropico, c’est tropico…
A propos des Djinzes, c’est Hugo?? Hugo bosse.
Sale époque où l’on devait dénoncer son père et sa mère dans l’espoir de rester en vie.
Surtout que eux, ils peuvent dénoncer avant la naissance ! Ha c’est coriace…
Tant que tu ne situes pas Arequipa à côté de Saint-Etienne du Rouvray, javert, tu peux continuer à nous infliger tes émoti-cons.
@ primo Levi avec jerry lewis sr excellent, Janssen. hahahaha….
la vie dans les bois dit: 12 septembre 2016 à 19 h 15 min
t’as toujours pas pigé, furoncle, que tu peux écrire tout ce que tu veux avec ton pus que je m’en tape…mais alors..
« Sale époque où l’on devait dénoncer son père et sa mère dans l’espoir de rester en vie. »
c’est exactement sur cette phrase que je voulais revenir.
Le genre de truc, reductio ad stalinism dans un coquetèle parisien, avec buffet bien garni, histoire de ne pas oublier de se faire peur.
guigui, on ne t’a beaucoup lue, en cette journée de St Apollinaire.
Je te fais part de petites choses, que j’ai lues dans cette autobio, celle de gavin Bowd, tu sais bien, celui qui a tout connu de la France Rouge de Jojo Marchais, de Sollers, d’Aragon et consorts.
Alors voilà, que dis-tu de ça:
En 1949, une polémique, puis un procès retentissant opposent le journal au dissident soviétique Victor Kravtchenko. Après la parution de son livre J’ai choisi la liberté, parlant des camps de prisonniers soviétiques et de leur exploitation, Les Lettres françaises l’accusent de désinformation et d’être un agent des États-Unis à partir de faux documents écrits par le journaliste André Ulmann qui travaillait pour les services de renseignement soviétiques; la vérité sur l’origine de ceux-ci ne sera connue qu’à la fin des années 1970.
source wiki
https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Lettres_fran%C3%A7aises
internète l’a fait
http://65.media.tumblr.com/d99218a339c9245b4f9ed8eb0e45f788/tumblr_o6e3d0kuwo1txdbq8o1_500.jpg
..il mangeait le fer et l’acier c’est pour ça qu’on l’a mis dans une cage en osier
pour phil..y casse du lacroixritz sur la tête à mélanchon..une de ses meilleures
Tu te rends compte, guigui, le dissident, premier témoin, pour les parisiens, de ce qui se passait derrière le rideau de fer, n’a eu droit qu’à 1 franc, de dommage et intérêt. Miskin.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Viktor_Kravtchenko_(transfuge)
Bon allez-vous rhabiller, avec le poète suicidaire Mendelstam, figure christique du NPA, j’en ai assez lu.
Au fait, c’est en quelle année que l’URSS accepta une émigration massive vers Israel, pour peupler des colonies, en échange de roubles ?
La Vie dans les Bois découvre l’eau tiède, pardon Kravchenko!
m’sieur Court, quel plaisir ! Toujours aussi brillant. Un peu trop de brillantine ka même je trouve.
Vous saviez,que Vercors avait été caution morale du journal » les lettres françaises » lors de ce procès… stalinien ?
vilain cachotier de bedeau, va.
Verdammt! Mon fils est un rouge brun!
Bon j’ai fini mes moules.
…
…christiane, 17 h 10 min,!…
…
…les arts , les bourses, les politiques, les confiances manipulés,!…
…
…parler et écrire des mensonges pour sauver ses préférences à jour,!…
…
…soi même, évoluer dans ses recherches et puisque dans le circuit des arts nationalistes à côtes,!…
…ne rien dire,!…et laisser courir dans chacun son mur,!…
…les confrontations, entre puissants escrocs,!…chacun dans son fauteuil à sa place,!…
…le bénéfice dans rire,!…because l’évolution & globale,!…
…Ah,!Ah,!…
…la politique, la foire des cons, trop bien payez,!…etc,!…
…
bouguereau dit: 12 septembre 2016 à 19 h 27 min
ben dis donc, tu les choisis, tes références ! Mazette! Cette raclure nazie de Soral….ça me donne la nausée, rien que de taper sa charogne de nom…pauvre Agnès !
Au fait, c’est en quelle année que l’URSS accepta une émigration massive vers Israel, pour peupler des colonies, en échange de roubles ?
aucune idée mais cela confirme le tout s’achète et si tout s’achète de la célèbre mison d’édition, c’est que tout se vend ou le peut, nous avons donc au jour d’aujourd’hui 30 millions de migrants plus leurs animaux de compagnie, qui les veut?
C’est une plaisanterie bien évidemment mais concernant le commerce d’humains, LDVB, voyez que cela se monnaie encore depuis leur passage jusqu’à leur rétention dans des camps avec tout un business qui trouve à grossir autour de cette misère.
berguenzinc dit: 12 septembre 2016 à 21 h 59 min
Est-ce bien raisonnable de perdre votre temps avec le soulographe de la RDL, juste capable de vomir des borborygmes ?
bérénice dit: 12 septembre 2016 à 22 h 25 min
Au fait, c’est en quelle année que l’URSS accepta une émigration massive vers Israel,
C’est marrant,parce que cela fait des mois que cette affaire-là, relativement peu fréquemment évoquée, m’est revenue en tête, mais alors quand et où (il était question des Juifs allemands et de toute l’Europe centrale, ce qui changeait pas mal les choses), j’ai complètement oublié ; probablement entre les deux guerres, et pourquoi cela ne s’est pas fait du moins à grande échelle, alors là…
Essai sans blog
les refuzniki juifs ne furent autorisés à quitter l’URSS que sous Gorbatchev, vers 1986, je crois
berguenzinc dit: 12 septembre 2016 à 23 h 28 min:
vers 1986 –
Alors cela coïnciderait avec l’afflux des juifs d’Ethiopie ?
« Avec le retour en nombre des juifs d’ex-URSS et d’Éthiopie, Israël a dû réapprendre à être un pays d’accueil. Leur intégration s’est avérée un processus laborieux et a suscité des réticences de la part des anciens immigrants, ainsi qu’une communautarisation croissante des rapports sociaux, particulièrement visible dans la vie politique. Mais l’État d’Israël ne serait-il pas, peut-être par le biais de cette ethnicisation, en train de se constituer enfin en tant que société plurielle ? »
http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=13454104
Incidemment, le Pape, combien de divisions ?
Donald Trump et Hillary Clinton dévoilent leur véritable personnalité.
Tandis que le premier fait preuve d’un fair-play exemplaire en souhaitant un prompt rétablissement à son adversaire, cette dernière n’a pas hésité à qualifier les partisans de Trump de « gens lamentables ».
Le peuple américain, pas bête, saura bien quoi faire devant les urnes.
allez au dodo Bérénice.
On ne peut que constater un appauvrissement de la culture politique chez les grands adolescents.
Raisonnablement il n’est pas possible de dispenser une culture politique à l’école. On ne peut que faire de l’Histoire.
C’est au sein de la famille élargie que les jeunes devraient acquérir le minimum de cette culture politique, avec toutefois cette restriction qui apparait quelquefois dans ces grandes familles unipolaires dans leur choix politiques tant de droite que de gauche et plus rarement d’extrême droite.
Bref ce sont 75 % d’ignares qui se présentent à 18 ans devant les urnes, des jeunes qui se sont fait une idée en 2 minutes en copiant un avis, en ne retenant qu’une parole entendue à la va-vite, en écoutant papa-maman, en…je ne sais quoi encore…
D’où cette idée qui me semble raisonnable d’accorder le droit de vote aux jeunes âgés d’au moins 23 ans.
@17.15 moi j’aime bien discuter avec bouguereau, quand on sait le lire on détecte une profondeur que beaucoup devraient lui envier, il y faut de la patience décodante, un peu comme pour jean saint-ange. On découvre alors des trésors d’intelligence masqués sous son estimable modestie, rien à voir avec la verbosité wggienne d’albatros, ce pur artefact vermifugé de la wikipedia, -comme tout le monde l’a compris depuis des plombago, l’indulgent sieur chaloux prima facie.
En règle générale, je suis pour une démocratie prudente et pour un suffrage direct, mais limité à des personnes capables de discernement.
C’est très difficile concrètement à faire accepter et à mettre en œuvre et je reconnais que ça peut présenter des dangers.
Il est en tout cas certain qu’un grand chantier devra être un jour ouvert, de préférence pas par les factions partisanes habituelles que nous connaissons et qui nous gouvernent en alternance depuis tant de décennies.
Oui Bouguereau est intelligent et fin, je ne pense pas que quelqu’un ait cherché à le nier ici.
Bouguereau est également d’une grande bonté. Beaucoup de communistes sont bon et sensibles, loyaux mais intransigeants. Regardez Ferrat, Montand., ce sont de bons français. Bouguereau est un peu comme ça.
Allez un peu de Ferrat :
http://www.youtube.com/watch?v=kGWdPawQf7c
Pour tout vous dire, le drapeau français devrait être, de nos jours, celui-ci : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c9/Flag_of_Free_France_%281940-1944%29.svg/450px-Flag_of_Free_France_%281940-1944%29.svg.png
…
…@,…Janssen J.J.,…à 0 h 22 min,!…
…
…il faut de la patience décodante un peu comme pour jean saint-ange,…
…
…faut pas me victimiser,!…dans quel sens,!…
…
…dans le sens, que même » délocaliser « , par l’immigration » forcée » économiquement, et mes parent exit d’Italie,!…
…
…Je ne suis pas coupé en familles, comme des fleurs ou plantes » dans une cruche d’eau ou dans un pot « ,!…
…d’abord la reconnaissance, d’être » pur sicilien « ,!…à remettre de l’ordre dans mes » écuries d’Augias « ,!…
…arabes, juifs, nègres, américains,!…et tout les italiens qui ne sont pas ou plus siciliens de souches sure,!…tous dehors,!…ou tuer les tous, que personne ne me le reproche,!…
…un protestant, contre des catholiques de merde, esclaves et ripoux,!…
…
…ensuite une Sicile, plus propre que la plus propre des villes prussienne,…
…
…cela avant de me faire appeler,!… » Jean Saint-Ange « ,!…
…je reste donc, seulement; Giovanni Sant’Angelo, aussi pour vous rendre service à mes heures,!…
…
…un comme moi, un pilier de l’humanité,!…
…c’est toujours, comme je dis,!…ou le monde entier à vivre aux cimetières,!…
…Hercule bon sommeil,!…
…comme disait mon père, avant guerre, c’était mieux, même avec rien,!…le berger à ses moutons,!…et du vrai vin,!…
…etc,!…sans rancunes,!…aux futurs trépassés,!…Go,!…
…U.S.,Go Home,!…que le ciel nous emporte,!…
…
…
…les châteaux et domaines, c’est déjà moi seul, contre le monde et l’univers entier ,!…
…
…rien ne sert de vivre pour tout escrocs, même en autorité ou dissimulé,!…
…il n’y à plus que cela,!…de la cochonnaille humaine,!…Bip,!Bip,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
tenez Christiane, un petit extrait du Degassur mon blog.
« ces femmes penchées, tordues, affairées, accroupies, en déséquilibre, dévorées par un voyeur, ne se doutent pas qu’un mauve écrasé, que des virgules de jaune poudreux , des coulures du safran comme des empreintes d’une vie plus profonde, un bleu intense détaché du coude,des vagabondages de vert se herissent sur un torse dans l’extravagante fouille du corps dans la chambrette ou le cagibi .., toute une goinfrerie du regard et de la main chez Degas.. Barbouillage des tétons, chevelures de pénitente dans des tons brique, crinières fauves, algueuses .. sur un ventre qu’on récure ,hachures régulières de taches terreuse aux pâleurs morbides de chair promise à la corruption.. pates chaudes de pastel où domine le trait cinglant d’un vert moussu..Quelque chose qui dérange cette cérémonie secrète de l’essuyage,perspectives écrasées, un voyeurisme hallucinatoire avec des surplombs qui exaltent le raccourci avec une telle puissance qu’on aspire les odeurs du corps trop mûrs et épanouis. »
à 23 h 41 min
Il me semble avoir lu que les premiers départs de juifs soviétiques en nombre vers Israel, pour peupler des colonies, date de 1978/1979. C’était sans doute dans un article de magazine Histoire consacré à l’URSS, mais pas le temps de le rechercher.
Sinon, javert, je trouve que l’ambiance délétère des commentaires de ce blog, le devient encore plus, lorsque tu fais trop de vent avec tes petits bras en moulinets, vulgaire, agressif.
Je ne t’ai pas trop lu sur ces extraits de billet:
-« le dictateur en qui il(- Mendelstam-) voyait un monstre fascinant. »
– « Sale époque où l’on devait dénoncer son père et sa mère dans l’espoir de rester en vie. »
Cela se voudrait peut-être a-temporel. Ni Histoire, ni Géo.
La geôle, l’oubliette, le trou, le cachot,
la voie de garage, l’impasse, le cul-de-sac,
l’érosion du corps, de l’esprit et de l’âme,
à mort.
Embastillement.
Au Lycée, la période stalinienne ne nous a pas été présentée par le prof de français.
Mais par une bonne prof d’Histoire-Geo. Je me souviens juste que le totalitarisme stalinien était d’abord basé sur des principes d’orga.ni.s.a.t.i.on d’économie centralisée et productiviste à outrance. Qui avaient engendré, ajoutés aux conditions climatiques défavorables, des famines épouvantables et la queue devant les magasins d’Etat. Et les purges de tous les réfractaires.
Maintenant, dans les collèges parisiens, avec ces enseignements « transversaux » je ne sais pas trop quel est le pro.gra.mme. Si on apprend ce qu’est « la fascination pour un dicatateur », exemples à l’appui.
à 6 h 10 min
qui est ce « critique d’art » ?
J’ai trouvé Paul Edel, c’est une lettre à Emilie de G. Oberlé.
Organiser des Primaires ?
…mais c’est primaire ! Est ce que Stalin a eu besoin de passer par des Primaires pour gouverner l’URSS !?…
« bon..c’est lundi..pour rénateau haussi »
Déjà « connaiS », l’intention était « connaiTRE », mais modifié sans réfléchir au cours de l’action ça a donné l’erreur.
Cela dit, « connaitre la situation » reste un élément fondamental si on prétends d’agir dans la « vie publique ».
@Paul Edel dit: 13 septembre 2016 à 6 h 10 min
Ah, merci. Oui, c’est le souvenir que j’en avais, cette langue rude, fougueuse, bien accordée à la matière et aux femmes de ces pastels. Je n’ai pu retrouver ce billet sur internet. Je sais qu’il apparut au printemps 2012 mais après… même en multipliant les entrées, je n’ai pu le ferrer (mon hameçon n’était pas le bon !). Je crois que nous avons ressenti la même vague d’étonnement et de bonheur devant ces pastels étonnants.
La lucidité de Degas, son voyeurisme, sa fureur ont été, me semble-t-il, que la sensualité de ces danseuses et modèles était soit présente dans la danse (et non dans les coulisses pour ces messieurs à chapeaux haut de forme) et dans l’innocence (ou l’intime) de leur toilette. Degas dans tout cela me parait placer sa jouissance dans ce fabuleux art de les peindre, de les croquer (au fusain), de les couvrir de coulures de pastels chatoyants à grandes zébrures fouettant les toiles ou les feuilles veloutées de « canson-montgolfier »…
Oui, il a dû se régaler dans ces noces barbares de l’imaginaire.
@ Paul Edel
Une femme aimant les vins rares le présente en entier sur son blog :
http://amourplaisiretgourmandise.skynetblogs.be/tag/degas%3B+hemut+newton
> christiane je vous ai écrit sur votre boîte ll
mail pour mettre au point notre rendez-vous de demain gare de Lyon si vous êtes toujours dispoibible
Au fait, on ne voit plus Daaphnée et U, ces deux grands habitués de la rdl. Il leur est arrivé quelque chose ?
Janssen J-J dit: 12 septembre 2016 à 19 h 11 min
plutôt : derrière le volcan
Et aussi sa petite danseuse sculptée innocente et mutine
http://www.google.fr/search?q=el+molorakhmin&prmd=mvin&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwjB-5Kk4YvPAhUkDcAKHbD_CZ0Q_AUICSgD&biw=360&bih=264&dpr=2#tbm=isch&q=degas+la+petite+danseuse&imgrc=yjnMzFPQSn4eWM%3A
14 ans.
Le seul bronze que je connaisse habillé de tulle
Rose, je vous ai répondu de suite…
Pour la petite danseuse mutine oui, étonnante, habillée d’un vrai tutu et du haut allant avec. Un ruban aussi tout raidis de platre. Cette sculpture avait déconcerté les visiteurs. Je l’ai beaucoup aimée mais ces pastels, Rose, les avez-vous vus ?
8 h 54 min
mais il existe une autre version, une de plus
Tenez, Rose, l’histoire de cette petite statue (en cire à l’origine :
https://www.histoire-image.org/etudes/degas-sculpteur-realisme-audacieux-petite-danseuse-14-ans
ben dis donc, tu les choisis, tes références ! Mazette! Cette raclure nazie de Soral….ça me donne la nausée, rien que de taper sa charogne de nom…pauvre Agnès !
soral est de l’extrème droite nationaliste havec tout son hatirail trés banal..historiquement ils ont eu aussi de bons analystes politiques..qui ont été et sont encore trés lu a raison pour la formation de tout esprit critique
tu causes comme un bourrin à qui hon peut hinterdire des lectures et himposer des autocensures ridicules.
hau fait ces autorités l’écoutent havec un bien plus grand intéret qu’il mettent a lire le dernier atalli..sois en sur..et je ne peux que leur donner raison..quand a tes élans de commisération pour sa soeur..a lextrème droite on te la rendrait la politesse du procédé havec un petit sourire complice parcequ’il en ont les droits d’auteur..tu vis dans un monde surprotégé comme dracul..voilà pourquoi simplement tu as peur
..employer a tord et a travers le mot ‘nazi’ et ‘fasciste’ est terriblement contreproductif..mais ça procéde de la même hinfirmité sociale..quand les vrais seront à vos porte..vous ne saurez simplement pas les reconnaitre il seront dailleurs déjà dans le salon..sinon tu penses bien bergueune que l’histoire srait trop simple..et ptête que tu dvras écrire un poéme pour t’sentir un peu plus merdeux
bouguereau ce matin écrit des trucs qui ont l’air de vouloir dire quelque chose et ne pas sortir d’un cerveau embrumé par l’alcool.
Que se passe-t-il? Il est malade?
Pour en revenir au sujet du billet, à ce jour, les deux livres qui m’ont le plus appris sur ces horreurs sont :
« Le météorologue » (Seuil) d’Olivier Rolin, Alexeï Féodossiévitch Vangengheim, une des victimes de la terreur stalinienne, déporté aux îles Solovki en Sibérie, où il mourra, exécuté sinistrement d’une balle dans la nuque. Livre écrit à partir de la correspondance adressée à sa femme et à sa fille. Récit sobre et poignant.
(Qui avait signalé, ici, la parution d’un numéro de la revue « Europe » consacré à Olivier Rolin ?)
» Le feu fait danser de grandes ombres sous les arbres, des tourbillons d’étincelle montent entre les troncs. Les gardes descendent des camions, demandent du monde pour décharger. Il faut se dépêcher, on n’a pas de temps à perdre, les camions doivent retourner à Medvejégorsk pour une autre fournée, ils ne seront pas de retour avant deux heures. on tire les suppliciés, on les fait tomber des bennes, comme des rondins, on les traîne par terre, ils sont nus ou en linge de corps, les bourreaux ont des vestes ouatinées et des chapkas, ils se moquent d’eux comme des hommes bien vêtus peuvent se moquer de ceux qui vont mourir, comme les centurions romains se moquaient du Christ . Les chiens aboient, excités. Le capitaine Matveïev finit sa cigarette, jette le mégot dans le feu, boit un coup de vodka, s’essuie la bouche, saute fans la fosse, arme son Nagant. »p.181
et
« Récits de la Kolyma » (Verdier) de Varlam Chamalov (17 années terribles dans les camps du goulag)
(Extrait d’un article d’Éric Naulleau, Le Matricule des Anges , septembre 1996 :
http://www.lmda.net/din/tit_lmda.php?Id=3124
@ boug j’adore le « vous » incantatoire et pseudo-prophétique de votre boulgui boulga. Je vois ,en tous cas que je vous ai piqué au vif. Soral est un fasciste, antisémite fanatique, ancien du PC, ayant suivi la même dérive charogneuse que Doriot jadis. Alors pinaillez, pinaillez et pour ce qui est de la victoire de votre égérie suidée en 2017, ne vous inquiétez pas, on ne se laissera pas niquer comme en 33… Un bon petit glock… Alors je le répète, Soral est un fasciste, Soral est un nazi, et il correspond parfaitement aux deux définitions.
Je préfère Sorel à Soral mais chacun trouve la Stendhal à son pied. Le vôtre aime le cuir brun nazi, c’est votre affaire. ..Seulement , on voit bien désormais votre profil.
Et maintenant voilà que D était encore debout après minuit au lieu de s’endormir avec son doudou à 21h30!
La RdL déraille…
Il y a des comparaisons, des appels au souvenir qui, avec le temps, prennent un coup de vieux : « cuir brun nazi », j’adore …
On débute le IIIème millénaire … et on en est encore là !!!
On shoahtise, on nazifie, on faschouille sur un blog prestigieux, la RdL, étincellant dans sa modernité d’avant garde …
boumol, c’est boumol. Sitôt sorti de son système d’insulte, on voit pointer le microcéphale.
« Degassur » (PE, 6H 10)
On imaginerait bien un commissaire scandinave de ce nom là. Les Enquétes d’Olaf Degassur. (non écrites, donc à paraitre)
Sauf erreur de ma part et facétie d’Oberlé, Les Lettres d’Emilie sur la Mythologie sont de Dumoustier, Vie dans les Bois…
Y aurait-il des dictateurs
sans hordes d’exécuteurs serviles ?
Retruquement.
MC dit: 13 septembre 2016 à 9 h 58 min
« Degassur » (PE, 6H 10)
On imaginerait bien un commissaire scandinave de ce nom là. Les Enquétes d’Olaf Degassur. (non écrites, donc à paraitre)
excellent !! un Islandais, Olaf Sigurddur Degassursson, avec une série de meurtres d’enfants qu’on retrouve dans une base américaine désaffectée et dont l’auteur est un mélomane violoniste qui habite à Heierskullbrandallen , à 200 km de Reykjavik
« La Syrie dit avoir abattu deux appareils militaires israéliens, Israël dément »
terrible ambiguïté du français…un verbe qui est aussi un adjectif et dont le sens renverse tout.
…
…les principes d’organisation,!…
…
…un coup d’œil, sur » la nef des fous « ,!…par Sébastien Brant,…
…c’est déjà se prendre en charge, avec des conseils pour une discipline sociale en familles responsables en dehors de tout contexte passionnel,…
….la raison pour sa foi à survivre dans le civisme et la dignité,!…
…etc,!…Go,!…
Cruel dilemme :
– d’un côté, les politiques au crâne creux qui mentent beaucoup, qui promettent, qui ne savent rien, et qui gouvernent malgré tout …
– de l’autre, les intellectuels au crâne farci qui parlent beaucoup, qui ne s’engagent pas, qui savent tout sur tout, et qui se gardent bien de gouverner par frousse …
On est bien barré.
Mais avec des bouguereau, les fascho sont déjà dans le salon. Surtout quand ils reconnaissent à un Soral quelque vérité que ce soit comme esprit soi-disant critique… Tu parles d’une critique ! On ne la connaît que trop bien ! C’est celle qui a fait six millions de victimes innocentes.
Allez, va coucher mon pauvre bouguereau. T’es nul.
Obama opposera son veto à une loi visant à poursuivre en justice Ryad… Munich, Munich…
Mutinerie islamiste en cours à la prison de Poitiers où est incarcéré Merah.
Le seul truc bien chez Obama, c’est son tailleur …
Court, l extrait que donne Paul Edel à
6h10 est d’une lettre à Emilie, de G. Oberlé, l’invitant à voir une expo Degas en 2012?
Deux tiers des Canadiens veulent un test pour vérifier si les migrants sont « anti-canadiens » selon un sondage.
Merah est mort
lorsque tu fais trop de vent avec tes petits bras en moulinets, vulgaire, agressif.
LDVB, à propos de « guigui » que j’avais collé à Laurent en signe de reconnaissance et qu’hier soir vous paraissiez me vouloir endosser ( les présences féminines se raréfiant sur ce blog, j’en ai déduit que je pouvais être ainsi désignée) , sûrement par erreur car vous ne tutoyez que ceux que vous connaissez dans l’intimité , ne faisant pas parie des vôtres, vous devinant exemplaire en matière de politesse et usages, je ne l’avais pas lu comme m’étant adressé; sinon sur mon emploi du temps d’hier après-midi et bien que je ne vous doive rien en matière de justificatifs je vous confierai tout de même avoir profité de l’air, du vent, des vagues du soleil . Je vous le réécris, ma culture en général est une immense lacune et plus encore pour cette partie du monde.
Christiane
je ne reçois pas votre réponse.
Je serai là à 14 h. Je bénéficie, bien m’en a pris, d’un lift jusqu’à la gare. Vous me dites où ?
Non je n’ai pas vu l’exposition de 2012.
je connais de lui cette jeune fille, les petits rats de l’Opéra et les jeunes femmes au bain. Mais les pastels je ne sais pas.
Nous en avons déjà parlé ici de Degas et des femmes se lavant et se coiffant au sortir du bain.
> Bérénice
les hommes parlent en ce moment sur le blog.
Nous, les femmes, nous les femmes (je me.garde de la troisième fois) les laissons parler. Cela ne veut pas dire que nous n’avons pas de place.
Si vous le désirez le 2 novembre, je veux bien prendre un café avec vous en fin de journée.
L’info, c’est bien,
l’info vérifiée, traçable, c’est mieux.
Rumeurâlement.
A moins que ce ne fut pour vous, Rose, ce sobriquet? Peu importe, un café le 2 novembre, le lendemain de la fête des morts… Pourquoi pas mais où, à quelle heure et dans quelle étagère?
la vie dans les bois dit: 13 septembre 2016 à 10 h 36 min
C’est un texte personnel que j’ai écrit retour de l’expos Degas, si fabuleuse.
@rose dit: 13 septembre 2016 à 10 h 44 min
Désolée, Rose,
je ne peux dire ici pourquoi je n’y serai pas…
WG
«Détruire Daech ne tuera pas la matrice du salafisme qu’est l’Arabie saoudite»
http://www.tdg.ch/monde/Detruire-Daech-ne-tuera-pas-la-matrice-du-salafisme-qu-est-lArabie-saoudite/story/11512565
Message personnel, ensuite je décroche:
Chaloux, la sono tôt ce matin dans une phase intermédiaire, c’était quoi ou qui? Un archivage ou un live? Dans la seconde hypothèse, vous exagéreriez et je vous prie de ne pas renouveler l’expérience, merci . Vos affaires ne devraient pas interférer sur la qualité de mes nuits déjà écourtées et mon fatras .
Oui, c’est son frère.
Daniel, cet énarque était l’invité de 28minutes hier soir et a pu exprimer la même chose , au côté de deux autres spécialistes, une complexité soutenue par les USA, combattue par Poutine officiellement et massivement, la carte politique n’est pas prête d’être redistribuée pour une paix, tout le monde trouve un intérêt à cette guerre et en profite pour ratiboiser un ennemi différent. On ne peut pas laisser la Syrie aux mains des rebelles car ceux-ci risquent fort de se retrouver aux prises avec l’intégrisme politico-religieux, résultat connu; la Turquie ne veut en rien laisser les Kurdes acquérir territoires et autonomie, l’Iran ennemi de longue date des sunnites est tout de même un allié dans ce combat? et pourtant est un des centres les plus actifs d’un pouvoir théocratique avec l’Arabie qui au passage rafle des milliards après avoir usurpé le monopole d’une religion, j’ai oublié quel était l’enjeu de l’Irak envahi.
http://www.slate.fr/story/100265/sunnites-chiites-guerre-fratricide-millenaire
je regarderai en replay
Mutinerie islamiste en cours à la prison de Poitiers où est incarcéré Merah
un bon ptit glock ou une chouette uzi..mon coeur balance
Alors Paul Edel cette truculence de couleurs était bien agréable à lire, bravo.
Surtout quand ils reconnaissent à un Soral quelque vérité que ce soit comme esprit soi-disant critique… Tu parles d’une critique ! On ne la connaît que trop bien ! C’est celle qui a fait six millions de victimes innocentes
tu les refoidis déjà pour faire le bon gardien..mon coeur balance
Germany arrests three Syrian men ‘on IS mission’ (bbc)
Je vois ,en tous cas que je vous ai piqué au vif
..jawdropping à la kabloom..bel intinct de meute..chapo
ALSTOM POUR LES NULS
– t’as vu, madame la cliente, comme elle est belle ma zibounette ferroviaire ?
– euh ! …. elle est belle mais elle ne correspond plus à ce que j’attend d’une zibounette ferroviaire !
– Eh ! Oh ! faut pas déc.onner, madame la cliente ! 400 emplois, c’est pas rien ! Commandez notre zibounette !
– Eh ! Oh ! nous clients, nous avons nos contraintes et nos exigences : nous ne sommes pas là, pour défendre l’emploi de Belfortais immobiles…
– et la solidarité ?
– Eh ! Oh ! il n’y a pas de solidarité en système de libre échange : ou tu es bon, ou tu es mauvais !
MANDELSTAM POUR LES NULS
Clairement, il a choisi le suicide. Pour quelles raisons ? …. qu’importe …. cela ne nous concerne pas.
Si le libéralisme économique n’existait pas, JC se dépêcherait de l’inventer !
J’arrive de RDC où l’on cause d’Ozon qui emprunte à Lubitsch sans vouloir le dire et je tombe sur une note ici sur le grand/petit/immense Mendelstam où on parle de Lubitsch ! Magic.
Bien aimé la défense de l’orthographe de Widergangër. Beaucoup de choses passent par les profs et c’est p)as du gâteau pour eux. Ils se tapent un sale/beau boulot, comme les infirmières et le petits personnel soignant,les médecins dévoués. Sauvons les malades !
paul edel 06h10. Pourriez -vous mettre le lien de votre com.sur l’expo Degas, rdl ou près…loin ? j’ai cherché, seul Mediapart l’indique, réservé aux abonnés.Merci
Sur les algorithmes de détection des propos non convenables sévissant sur le blog à Passoul, un comparatif qui peut être intéressant aux a-mateurs (trouvé sur le blog à Jablonska):
http://www.laviedesidees.fr/A-qui-profite-le-crime.html
JIBE POUR LES NULS
L’eau bout sous pression atmosphérique terrestre à 100° ….
> christiane
bien lu votre réponse ici.
>bérénice pas encore l’heure le 2 novembre, mais en fin de journée si vous êtes disponible. Je vous remercie.
Nota : le sobriquet ne s’adressait pas à moi.
J’arrive de RDC où l’on cause d’Ozon qui emprunte à Lubitsch…
–
La République Démocratique du Congo c’est la classe en ce moment…
« Sauvons les malades ! »
pour JC c’est trop tard
Bon, soyons direct : qui m’aime ?
Ha oui du vent havec des petits bras c’est comme un hélicoptère qu’aurait des petites cuillères comme pales… Ca décoiffe pas la gomina !
Echange de qualité entre berguenzinc et bougreau. indeed, il y a de la trouvaille réjouissante et formulée. mais que fait la greluche de passou qui étudiait son de son prestigieux blog ? disparue ! comme l’autre greluche qui enquêtait sur l’assassinat de Denoël par Gallimard.
Sapré Baroz qui enduit d’erreur le public en prétendant qu’Ozon ne doit rien à HP Roché. et pauledel traite Fassbinder de « grassouillet éperdu ». a dû confondre avec coluche.
Un grassouillet est perdu.
Cela me fait beaucoup rire bêtement.
Semer des petits cailloux blancs peut être ?
Ça me fait craquer 🙂
Phil, citez moi au moins correctement quand je signale un film excellent de fassbinder sur la RDC d’annelise .j ‘ai écrit ceci en me souvenant d’uje photo:
« je recommande de ce cinéaste grassouillet à blouson de cuir, au regard si éperdu, un film rarement projeté »le marchand de 4 saisons » (Händler der vier Jahreszeiten) de 1972 »
Oui, sur une photo parue dans « libération » à sa mort je trouvais qu’il avait le regard d’une grande tristesse lucide et désabusée .où est le mal?
il n’y pas de mal, pauledel. il y a simplement qu’un fassbinder « grassouillet au regard éperdu » ne semble pas l’auteur de ses films obstinés avec d’osseuses actrices..
‘grassouillet au regard éperdu’..c’est pas mal vu polo..c’est un look gros pédé..et oui le marchand des 4 saisons est pas mal..moi mon préféré c’est fostrecht der freiheit..forcément
Salut berguenzinc… Au moins la RDL sert à quèquechose.
Echange de qualité entre berguenzinc et bougreau
dracul et son feldgndarm hon éviter 15 choa ces quinze dernière année mais peut ête pas la prochaine qui sra toudmafaute et phil ça lfait marrer..t’es vraiment un hanculé
morasse c’est pareil..havec son pti glauque il en a déménagé..c’est des héros ces mecs là
Morasse…voilà bien un nom qui fait « grassouillet éperdu »
Si le libéralisme économique n’existait pas, JC se dépêcherait de l’inventer !
..faut sméfier baroz..ça a l’air comme ça tout con d’aller a lideul..mais c’est 10000 ans dcivilisation
César aimait les hommes gras et qui ronflent la nuit ; mais comme soldats !
Fassbinder, mort à 36 ans, 44 films en 16 ans. Le petit gros à blouson ne manquait pas de charme ni d’énergie. Et quelles leçons de cinéma !
https://www.youtube.com/watch?v=JukHRRB-jyk
On demande au dalaï lama s’il ne regrette pas de ne pas rencontrer le président Hollande lors de sa venue en France. Réponse pleine d’humour :
« Si serrer la main d’un président me permettait d’accéder au Ciel, j’aurais été ravi de le faire. Mais ce n’est pas le cas, je pense (rires). »
Il y a une vie après Jules et Jim, Phil. Après Chardonne et Denoël itou. Débloquez-vous, le compteur tourne toujours !
On lui pose une question sur les migrants, à lui qui est aussi un exilé, une sorte de migrant banni par la Chine, et il fait une réponse d’un grand bon sens :
« Vous, Européens, devez donner à ces réfugiés les moyens de leur éducation. Après, ils pourront retourner dans leurs pays et les reconstruire. »
Grande nouvelle de la rentrée littéraire :
« Alors qu’il publie son tout premier roman, intitulé « Le devoir avant tout », Steevy Boulay s’est confié dans les colonnes de Voici sur son plaisir d’écrire. »
@ delaporte, c’est une blague, évidemment? non?
car comment cet australopithèque sait)il e qu’est un livre?
Le Dalaï-Lama snobe Hollande…sans vigogne….
« Si serrer la main d’un président me permettait d’accéder au Ciel, j’aurais été ravi de le faire. Mais ce n’est pas le cas, je pense (rires). » Le Dalaï-Lama
Non seulement c’est très drôle, mais il y a certainement là une leçon essentielle.
C’est très drôle, Berguenzinc. Je tenais à vous le dire.
Et comment ne pas mettre sur le compte de la plus grande ironie les dernières paroles dans cet interview du Point du dalaï lama s’adressant aux médias, comme si ceux-ci pouvaient vraiment « élever les esprits » :
« Nous devons tous nous servir de notre intelligence, et en particulier vous, médias, pour élever les esprits. »
Le Dalaï-Lama est sympa, mais débloque souvent. Les Européens n’ont pas à dispenser leur culture. Les migrants ont vocation à migrer dans l’autre sens, quand il n’est pas trop tard, et à construire chez eux une belle et originale civilisation. Et ce qu’ont à faire les Européens : juste leur pemettre.
L’ECONOMIE POUR LES NULS
« Selon une étude, un Allemand sur deux redoute de devenir pauvre. Et plus d’un sondé sur trois serait prêt à renoncer au sexe pendant un an pour un million d’euros. »
Je suis prêt à jouer le jeu de l’ascèse sexuelle durant 365 jours. Cependant, ce sera pour 10 millions d’euros. En outre, j’exige d’être payé en liquide à Zurich (pas question de financer par mes impôts l’éducation des migrants assistés à vie), et je crois légitime d’avoir le droit d’aller à la messe tous les matins (…et là, mon frère, bahbahbah ! la mort de mes os !…dans le confessionnal, comment je vais les confesser les veuves du coin ! …. ah, ouah !… c’est bon comme au Ciel, mon frère … !)
POUR SALUER STALIN !
Mettez vous dans la peau du Petit Père des Peuples et regardez ensuite cette gueule provocante de Mandelstam ?
Imaginez Wiwi à la place …
Vous n’envoyez pas toute cette gueule poétique d’opposant à la mort moi le goulag au four à micro-ondes ?….
NON ?! … Vous êtes un saint homme …
La vigogne est sauvage
L’alpaga domestique
Le second descend -génétiquement- de la première. Ne pèse pas qu’il y ait croisement.
A vérifier.
Le dalaï lama, lui, carbure au thé de beurre rance. D’où son tonus et sa foi inébranlable.
Il en faut six. Pour chasser le dibbuk.
Si je considère un Passou, deux Widerganger, trois le mari de DHH il en manque encore trois.
Pas facile.
Trois c’est beaucoup.
Ne pense pas qu’il y ait croisement.
(T’écris que tu aimes bien le grassouillet éperdu et tu vois en remerciement ce que te fait le correcteur automatique ? Il écrit pèse ou tu as écrit pense).
Nota : le grassouillet ne se pèse pas ; c’est le moindre de ses soucis). Le cadet de ses soucis. Le majeur étant « moi qui suis immigré comment puis-je rejeter les autres immigrés ? »
« Selon une étude, un Allemand sur deux redoute de devenir pauvre. »
C’est le côté métaphysique de l’ultra-libéralisme. La pauvreté est l’enfer de nos civilisations où parait-il Dieu est mort. Et la raison pour laquelle d’ici à quelques années les ultra-libéraux finiront cloués aux portes des granges. Envoyer le plus possible de citoyens en Enfer doit être un grand plaisir. Encore faut-il suffisamment se méfier de ses « convictions ». Deux ou trois ans pour s’amuser, ensuite j’ai l’impression qu’ils ne riront plus du tout.
Zut.
Dix écrit Gary.
Dix juifs pieux et vénérables.
L’en manque sept.
Les moineaux ne pèsent pas lourd versus les aigles. De tout temps, les aigles ne sont prêts qu’à leur octroyer le statut d’autruche !
« Selon une étude, un Allemand sur deux redoute de devenir pauvre. Et plus d’un sondé sur trois serait prêt à renoncer au sexe pendant un an pour un million d’euros. »
si le sondeur hajoute ‘havez vous une grosse bite ?’..’étes vous heureux?’..bergueune le sondé sort son glauque et sauve la civilisation
JC, le système s’attaque à la bourgeoisie d’argent -Macron et sa volonté de taxer la rente, c’est à dire le foncier, l’ubérisation etc…- et à la bourgeoisie de savoir. C’est elles qui font les révolutions.
(D’ailleurs le seul but de Macron, derrière le prétexte de sa volonté d’action, est de faire changer le foncier de main. Tout pour les amis. Tous les autres locataires. Je me demande comment on peut être dupe une seconde de ce que ce type raconte. On y lit à livre ouvert, un livre d’enfant).
Deux ou trois ans pour s’amuser, ensuite j’ai l’impression qu’ils ne riront plus du tout
mon larbhin rêve d’un grand soir..c’est dsa condition
tout ça fait pas dbons soldats mais des bons pépères..bons..c’est pour la formule
Le dalaï lama, lui, carbure au thé de beurre rance. D’où son tonus et sa foi inébranlable
un saintémil à la mangue ça te rends mou du cul et chiasseux..mais c’est meilleur..rose t’as des épines
Le dalaï lama, lui, carbure au thé de beurre rance. D’où son tonus et sa foi inébranlable
un saintémil à la mangue ça te rends mou du cul et chyasseux..mais c’est meilleur..rose t’as des épines
boumou : cuir-g.ceinture-Soral-bière.
Enfin un autoportrait cohérent.
POUR SALUER STALIN !
‘vous lui direz que dvant lplton d’execution j’aurais son nom sur mes lèves’..ça c’est un copin jicé
Pour 500 000 euros, je suis prêt à me convertir, à n’importe quelle religion. Mais aboulez les 500 000, ensuite on causera.
Réflexion faite, 500 000, c’est mesquin. Je fais affaire à 5 millions. Cochon qui s’en dédit !
bouguereau dit: 13 septembre 2016 à 17 h 14 min
« c’est dsa condition ».
Maintenant qu’on sait qui hante boumou, on comprend mieux.
@14.41 « sur la RDC d’annelise »
c’est quoi c’te bête là, please ?
bouguereau dit: 13 septembre 2016 à 9 h 29 min
« soral est de l’extrème droite nationaliste havec tout son hatirail trés banal..historiquement ils ont eu aussi de bons analystes politiques..qui ont été et sont encore trés lu a raison pour la formation de tout esprit critique »
berguenzinc dit: 13 septembre 2016 à 9 h 47 min
« dérive charogneuse ».
On pourrait difficilement être plus juste que notre Montaigne.
Conclusion?
« Si serrer la main d’un président me permettait d’accéder au Ciel, j’aurais été ravi de le faire. Mais ce n’est pas le cas, je pense (rires). »
c’est pas hun patron de secte belge pourtant le dalai lama..mais bon l’humour des hommes de dieu laisse souvent a désirer dédé..leur ciel peut attende
notre Montaigne
notre..trop marrant
bah..rien n’empéchra jamais aux locdus daller ensembe
Jean dit: 13 septembre 2016 à 17 h 23 min
n’importe quelle religion.
Tiens c’est vrai ça ! Les Muslims ils doivent encore havoir un denier du culte pas piqué des hannetons… Et là si on casque pas c’est pas dix pour cent c’est la bande de cartouches entière…
Quand on lisait bougremol, on trouvait que ça sentait le pour.ri, on ne savait pas pourquoi.
Maintenant, on sait.
bougremol, tu devrais vraiment dégager, tu vas devenir la tête de turc.
me demande si oui ou non il en a vraiment serré beaucoup des mains le dalai-lama, on le voit tout le temps ses mains jointes
bouguereau dit: 13 septembre 2016 à 17 h 40 min
« bah..rien n’empéchra jamais aux locdus daller ensembe »
Bien vu. bougremol, casquetté wermacht, à 4 pat.tes dans la forêt, accueillant aux amis…
le dalai-lama boit du petit lait comme Ricard
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