0euvre et vies de Milan Kundera
On croirait un cas d’école pour atelier d’écriture créative : comment écrire la biographie d’un grand écrivain vivant lorsque ledit écrivain est de longue date un homme qui se tait obstinément ? Milan Kundera (Brno, 1929) est si discret, si ennemi de tout épanchement médiatique et de toute confession aux exégètes, qu’il réussit à vivre en homme invisible alors qu’il habite en plein Paris à deux pas du « Récamier », l’un des restaurants qui compte le plus d’éditeurs et de critiques littéraires au mètre carré. On se doute qu’il a fait sienne la forte pensée de Cioran selon laquelle la perspective d’avoir un biographe devrait faire renoncer à avoir une vie. D’ailleurs, sa mort a été si souvent annoncée par les réseaux sociaux que l’on se prend à lui envier une telle mauvaise santé de fer. Malgré l’importance de son œuvre, sa reconnaissance internationale, sa consécration par la Pléiade et bien que son nom ait été régulièrement cité pour le Nobel, les académiciens suédois ne l’ont jamais couronné ; peut-être cherchent-ils encore ses disques pour voir s’il vaut Bob Dylan.
A ses yeux, c’est simple, sa vie tient en deux phrases :
« Milan Kundera est né en Tchécoslovaquie. En 1975, il s’installe en France ».
Voilà au moins quelqu’un qui ne vous envahit pas de son verbe et ne délaye pas son ego. C’est ainsi et pas autrement qu’il accepte d’être présenté dans les différentes éditions françaises de ses livres. Seulement voilà, on a beau fuir les parasites et décourager les curieux (pas d’interview, pas d’accès aux archives ni aux amis etc), il arrive qu’ils vous rattrapent. Une première fois l’an dernier, une biographie lui était consacrée en France aux éditions de l’Archipel par Jean-Dominique Brierre mais elle passa inaperçue en raison de son insoutenable légèreté. Elle semble avoir beaucoup plu à Kundera si l’on en croit le mot (en tchèque !) qu’il lui a adressé, mais pour un biographe, ce n’est pas forcément un compliment.
Il en est tout autrement de celle qui est parue en juin à Prague sous le titre Kundera: Český život a doba (une vie tchèque en son temps). Une biographie non-autorisée, cela va sans dire mais va mieux en l’écrivant. Son auteur, l’écrivain Jan Novák, a volontairement interrompu ses recherches et son récit à la date-butoir de 1975, lorsque l’écrivain a émigré en France. Seul l’intéresse l’homme d’avant comme il l’a confié au micro de Radio Prague international. Selon lui, Kundera a reconstruit son passé en arrivant en France, comme nombre d’émigrés. Non, affirme-t-il, il n’a pas été exclu d’une université ; non, il n’a pas travaillé dur dans des régions minières ; non, il n’était pas pratiquement inconnu dans son pays jusqu’à la parution de La Plaisanterie en 1967 puisqu’en 1963 déjà il avait été le lauréat d’un prix littéraire remis par l’Etat et l’auteur de poésie « stalinienne » ; non, il n’était pas anticommuniste comme en témoigneraient ses discours lors d’officiels congrès d’écrivains et ses distances par rapport aux réformateurs ; non, il ne fut pas une victime du système, il en a au contraire profité etc. Là où le biographe pointe des mystifications, le romancier peut dire qu’il s’est réinventé, ce qui n’a rien de surprenant venant d’un maitre de la fiction qui, dans L’ignorance, avait entrepris de comparer les mots et expressions dont usent les langues de la vieille Europe pour désigner le sentiment de nostalgie: saudade, spleen, sehnsucht…
Jan Novak a retrouvé des textes de jeunesse, certains publiés sous pseudonyme ; il a mis le pied dans la porte des témoins récalcitrants ; mais de son propre aveu, même si son pavé de 900 pages fouille d’innombrables zones d’ombre, deux points obscurs ont été les aiguillons de sa curiosité. D’abord le séducteur, l’homme à femmes à propos duquel son ami Ivo Pondělíček, psychanalyste et sexologue, complice de ses escapades et de son donjuanisme, semble avoir été bavard, éloquent, détaillé, lettres et souvenirs à l’appui. Ensuite, « l’affaire », cette sale histoire qui a resurgi en 2008 dans les colonnes du magazine Respekt lorsqu’un chercheur de l’Institut tchèque pour l’étude des régimes totalitaires a dévoilé des documents selon lesquels en 1950, Kundera aurait fourni des informations à la police et à la Sécurité d’Etat mettant en cause un ancien pilote du nom de Miroslav Dvořáček ; arrêté pour espionnage, condamné à 22 ans d’emprisonnement, celui-ci fut longtemps incarcéré dans un camp de travail. Soutenu par nombre d’écrivains un peu partout dans le monde, Kundera nia avec force ce qui n’empêche pas Novak d’y revenir en détail, se disant convaincu de la véracité de l’affaire sur la base de concordances avec des témoignages, des documents et… le réemploi de ce vécu de la délation dans La Plaisanterie et dans La Vie est ailleurs (1973) !
On croit savoir que le biographe Jan Novak, dont l’ouvrage est pour le moins controversé, travaille déjà au second volume, cette fois sur les années françaises, alors que Milan Kundera et sa femme viennent d’annoncer le don de leurs archives à la Bibliothèque de Moravie, à Brno, la ville où il est né. Il est à craindre que ce soit tout sauf un livre du rire et de l’oubli. Il sera intéressant de voir comment il traite notamment l’adoption par Milan Kundera du français comme langue d’écriture. La lecture de ses romans La lenteur (1995), L’identité (1998), L’ignorance (2003) puis de son essai Le Rideau (2005) et plus encore de La fête de l’insignifiance (2014) témoignait d’une étonnante lourdeur dans l’expression, surprenante sous la plume drôle, captivante, stylée, puissante et pétillante d’intelligence de l’auteur de La plaisanterie (1968) ou de La valse aux adieux (1976).
Dans Le Rideau, même la pensée souffrait d’être laborieuse, aussi épaisse que l’expression en était pauvre. Cet ensemble discontinu de réflexions sur l’art sous toutes ses formes brasse large : le coup d’envoi donné par Goethe à la Weltliteratur, Rabelais, le comparatisme etc. On ne retrouve le Kundera d’avant que lorsqu’on aperçoit des éclairs dans l’analyse qu’on voudrait lui faire aussitôt approfondir. Ainsi de sa détestation de l’idée de la mitteleuropa (expression qu’il abhorre), ou de son insistance à qualifier Kafka d' »écrivain allemand ». Comme on aurait aimé le voir développer des constats tels que :
« L’Europe n’a pas réussi penser sa littérature comme une unité historique et je ne cesserai de répéter que c’est là son irréparable échec intellectuel« .
Ou encore :
« Hitler avait apporté non seulement d’indicibles horreurs à l’Europe mais il l’avait spoliée de son sens du tragique ».
Mais quand on lit sous sa plume, à propos de l’invasion soviétique de la Tchécoslovaquie en 1968 : » Je sais depuis lors ce qu’aucun Français, aucun Américain ne peut savoir ; je sais ce qu’est pour un homme vivre la mort de sa nation« , on se demande s’il a jamais entendu parler de ce qu’a vécu la France entre 1940 et 1944.
Ce n’est pourtant pas faute d’avoir aimé la France en ne se contentant pas d’adopter sa langue et sa nationalité. Ainsi, par admiration pour Céline publié chez le même éditeur que lui en République tchèque, Milan Kundera a renoncé à une partie de ses droits d’auteur afin que cela serve à financer une nouvelle traduction du Voyage au bout de la nuit... Et puis quoi, quel écrivain est capable de nos jours de consacrer tout un chapitre d’Une rencontre (un recueil de ses critiques littéraires d’une pénétration remarquable) à louer le génie d’Anatole France et la grandeur inentamée des Dieux ont soif (1912), réflexion en creux sur la montée du fanatisme dans un esprit sensible et nuancé, celui d’Evariste Gamelin, jeune peintre jacobin que la Terreur (1793-1794) poussera à siéger dans un tribunal révolutionnaire et s’y montrer le plus implacable pourvoyeur de la guillotine.
On verra aussi comment le biographe s’en sort de « l’affaire Pléiade » : deux volumes d’Oeuvre (sans « s ») de Milan Kundera dont l’auteur s’assura la totale maitrise. Il l’a si bien épurée qu’il y manque des textes de jeunesse, des articles importants, des brouillons, des variantes, sa propre biographie et surtout ce qui a toujours fait l’intérêt de la Pléiade : l’appareil critique. Cette édition ne contient que du Kundera allégé, orné d’une succincte préface et d’une « biographie de l’œuvre » signées François Ricard. Le tout conforme à l’image que l’écrivain veut laisser de lui, en parfaite adéquation avec son aversion chronique pour les biographes, les généticiens de la littérature et leur commune « morale de l’archive ». Il y eut des universitaires pour s’en scandaliser, à quoi Gallimard se fit fort de rappeler qu’en leur temps, Gide, Borges, Simon, Gracq en firent tout autant que Kundera. Ils avaient certes exercé leur droit de contrôle mais pas au point de forcer la collection à abdiquer tout esprit critique.
Il n’empêche que l’on doit à Kundera. Un Européen, c’est celui qui a la nostalgie de l’Europe. Or cet écrivain nous a appris cela que seul un créateur venu de la fiction pouvait nous apporter. On lui doit d’avoir ressuscité l’idée d’Europe centrale. Contexte et fil rouge de l’essentiel de ses écrits, elle court tout au long de son œuvre comme en témoigne la lecture de ces deux volumes de Pléiade. A condition de ne jamais oublier ce qu’il a voulu faire du roman : un art, et non plus un genre, porteur d’une vision du monde, et dont l’avenir se joue dans la cale de l’Histoire.
Kundera nous a appris à regarder les régimes communistes en action non à travers leur prisme strictement socio-politique mais par les attitudes qu’ils suscitaient chez les citoyens/personnages. Du communisme en particulier, il tira la meilleure des introductions au monde moderne en général. L’impact de son œuvre est indissociable de l’émancipation des peuples de ces pays-là. Elle est des rares à avoir permis, à ses lecteurs emprisonnés derrière le rideau de fer, d’inscrire leur « moi » au sein d’un « nous » jusqu’alors dilué au sein d’une histoire collective. Traitant la politique en artiste radical, il a redonné des noms à des phénomènes, des sentiments et des sensations que le totalitarisme avait réussi à débaptiser. Kundera a regardé la société en adepte du pas de côté et du décalage. Il a revisité les anciennes catégories qui définissaient les grands romanciers d’Europe centrale, celle de la philosophie et du sérieux, pour les remplacer par un rire tout de désinvolture et d’impertinence, par l’humour et l’ironie contre les grotesques du système, et par l’élévation du kitsch au rang d’une catégorie quasi métaphysique. Sa méditation sur l’exil, et l’impossibilité pour l’émigré de rentrer au pays sous peine d’annuler de sa biographie intime ses longues années passées hors de chez lui, est inoubliable.
Il a ressuscité un Occident oublié au sein de notre Occident. La résurgence de cette Atlantide a cassé la vision bipolaire Est/Ouest ; celle-ci n’avait pas seulement écrasé l’identité de la Mitteleuropa : elle avait installé le choc des civilisations dans les esprits. On doit au romancier d’avoir hâté le retour de l’Europe centrale en restituant ses habitants à l’Europe, une véritable révolution culturelle, ce qui n’est pas peu (son article de 1983 sur « Un Occident kidnappé » fait date). Sa vision de l’Histoire n’en est pas moins « idéalisée parfois à la limite du kitsch » ainsi que le lui reproche Vaclav Belohradsky dans un article vigoureux de Literarni Noviny repris en français par la revue Books. Selon lui, Kundera n’a pas voulu voir que l’Europe centrale avait été aussi une allégorie de la face sombre du XXème siècle ; il n’en a retenu que l’éblouissante modernité à l’œuvre dans la Vienne de la grande époque pour mieux oublier la haine de la démocratie, le nationalisme anti-Lumières, l’antisémitisme et autres démons.
Vaclav Belohradsky pointe la racine de ce tropisme dans une naïveté propre à une conception avant-gardiste de la modernité, en vertu de laquelle le passage du passé au présent permettrait de se libérer des ténèbres. Comme quoi, pour avoir été un fin analyste de la mécanique totalitaire, le romancier n’en serait pas moins victime d’une illusion sur le brouillard qui enveloppe le passé et se dissipe dès que celui-ci devient présent. Il identifie la bêtise à la religion de l’archive, l’illusion biographique, le formalisme littéraire, la recherche génétique. Tout ce qui concourt selon lui à dépouiller un auteur de ce qui n’appartient qu’à lui. Nous sommes donc privés notamment de textes de jeunesse. Le fait est que cette édition épurée est la négation même du travail des historiens de la littérature.
On ne saura pas quand il est passé du rire à l’oubli, et de la tendresse au désenchantement. Ni comment le Kundera tchèque fut aussi engagé que le Kundera français ne l’est pas. Ni les étapes parfois douloureuses qui l’ont fait glisser de sa langue natale à sa langue d’adoption avec tout ce que cela suppose de renoncements. Ni l’évolution du lyrisme insolent, drôle, sarcastique, agressif, mordant, romantique des années de plaisanteries et de risibles amours à l’antilyrisme l’ayant mis à distance des sentiments pour verser dans une ironie qui n’aura conservé que le sarcasme des années d’avant, comme un adieu à l’innocence, prix à payer pour accéder à la sagesse, si Diderot à ses débuts, si Anatole France vers la fin. Ni pourquoi il lui fallu dissocier son art romanesque de tout contexte politique pour lui accorder le statut extraterritorial d’une autonomie radicale. Regrets éternels. On aurait ainsi mieux compris comment un grand écrivain se déhistoricise dès qu’il se veut universel. Alors à défaut de la Pléiade, la biographie, qui sait…
(photos Gisèle Freund puis D.R.)
1 520 Réponses pour 0euvre et vies de Milan Kundera
le hiéroglyphe pour le mot anglais « asshole »
c’est pour les libertariens ou pour kabloom que tu dis ça rénateau
C’est le moment d’érudition du soir, bouguereau.
Moi je regarde toujours la lune et pas le doigt
bonne clopine elle dit qules deux en même temps c’est le hiéroglif des bons..
tu as oublié de suite de mon message. Elle représente des années, connard.
ducon, tu es en boucle, et moi sur le départ; pense à ( re) consulter. Tu es malade.
Du frais.
Elle est toujours « sur le départ » quand ça craint pour ses abattis… Historique : la même a dit : « c’est propre au doute scientifique. On ne se refait pas. » Voudrait se faire accroire qu’elle parle d’elle !!!… ma déflorée de soeur par le doute scientifique (mdr !!!). Va recevoir une pluie d’étoiles filantes au bout des doigts, la duchesse de l’Impériale, ce soir…, la lectrice de Scott Kundera en castagnettes. Fissa.
B., j’ai perdu le lien vers l’article de Brodsky (que j’ai déchargé en pdf), mais voici un autre lien vers le même article.
https://www.nytimes.com/1985/02/17/books/why-milan-kundera-is-wrong-about-dostoyevsky.html
Bien à vous.
Pour reprendre son orientation et ses repères,
https://www.youtube.com/watch?v=osg_WmeLxQk
Marie Sasseur dit: à
@l’heure du numérique a sonné la récréation.
Et encore, il n’est pas né celui qui brevetera un test on line de consommation de substances illicites, une sorte de ballon virtuel, n’est-ce pas l’ombelle ?
Un simulateur de sauts ? Sept simulateurs de sauts et hop ! brevet en poche ? Faire ventral sur un tabouret ?
Non. Les troupes aéroportées sont un corps obsolète. Cloué au sol. L’avenir appartient aux joueurs de polo à dos de tortues brésiliennes, comme disait Claudio de danseur amazonien, et aux marcheurs à pieds de Macronie jusqu’à ce qu’ils chopent la crève. De Gaulle avait, une fois encore, raison.
https://www.youtube.com/watch?v=suIRNVlagnI
(où en est Bon de sa biographie d’Hendrix ? https://vimeo.com/233630345 )
Sacré Bon ; l’esprit de synthèse, tu l’as ou tu l’as pas. La question reste entière.
https://www.youtube.com/watch?v=SG-0n0pftAU
Cher Philippe,
Quand tu m’as dit que tu voulais consacrer un numéro de L’Infini à Voltaire, je n’ai pas hésité à te promettre d’y participer. Promesse irréfléchie et imprudente parce que je n’avais rien d’original à dire sur Voltaire. La faute en est à ton texte sur Fragonard. Je l’avais lu, quelque temps auparavant, avec une telle adhésion qu’en t’écoutant parler de Voltaire, j’ai pensé en fait à Fragonard, de même qu’ayant lu ton Fragonard j’avais pensé à Crébillon et à Duclos et à Sterne, et en pensant à Sterne, j’avais pensé à son grand maître Rabelais, et en pensant à Rabelais, j’avais pensé à son admirable contemporain, à Janequin et, avec lui, enfin, à l’idée qui, de plus en plus, me hante, à savoir : à mes yeux, l’histoire de la musique européenne s’est déroulée en deux mi-temps ; au milieu de son évolution millénaire, entre l’Art de la fugue de Bach et les premières symphonies de Haydn, il y a une césure : un changement d’esthétique d’autant plus traumatisant qu’il a été suivi d’un oubli, ou plutôt d’un refoulement de toute la première mi-temps. Je n’aime pas faire des parallèles faciles entre les différents arts, pourtant l’histoire du roman me semble connaître une pareille évolution en deux mi-temps, même si la césure est située dans un autre moment historique, quelque part entre Sterne et Laclos d’un côté, Scott et Balzac de l’autre. Ce changement a été suivi du même oubli, du même refoulement de l’esthétique précédente.
Dans les années cinquante, on demande à Stravinski ce qui l’occupe le plus à l’heure actuelle. Et lui de répondre : « Guillaume de Machaut, Heinrich Isaac, Dufay, Pérotin et Webern. » Réponse étrange, remarquablement révélatrice et qui vise le problème dont je parle : les principes oubliés de la musique de la première mi-temps. La phrase de Stravinski n’annonce aucun retour, aucune nouvelle mode « rétro », aucun néo-gothique, aucune néo-Renaissance ! Il s’agit de quelque chose de plus profond et de plus constant : de la volonté de guérir la musique de son traumatisme qu’était l’oubli de la première mi-temps et de penser autrement la notion même de musique européenne (notion basée alors presque exclusivement sur les principes classiques et romantiques). Si, à côté de compositeurs du XVe, du XIVe, du XIIe siècles, Stravinski mentionne le nom de Webern c’est que l’œuvre de celui-ci est une réponse à la trahison de la première mi-temps, une sorte de « transvaluation » des valeurs de toute l’histoire de la musique, une réhabilitation de ses possibilités oubliées.
Pendant toute sa vie, Stravinski a refusé de voir dans la faculté expressive, émotive, le sens et la valeur de la musique. Puisque nous sommes toujours trop déterminés par nos atavismes romantiques, cette attitude nous paraît absurde, voire incompréhensible : qu’est-ce que la musique, après tout, sinon une machine à émouvoir ? Même parmi les admirateurs de Stravinski, il y en a qui trouvent bon de protéger son art contre sa position esthétique. Prisonniers de la deuxième mi-temps, ils ne voient la profondeur que dans le sérieux du sentiment et ne peuvent aimer Stravinski, Bach, Janequin, sauf en les interprétant de cette sorte. Ils veulent ignorer que le principe structurel de l’Art de la fugue (comme d’ailleurs celui de Tristram Shandy) est le jeu. « Il est temps de faire de Fragonard un peintre profond. » Ajoutons : il est temps de comprendre la profondeur du jeu.
Tu vois, ce n’est pas seulement à Fragonard que j’ai pensé quand tu m’as parlé de Voltaire, mais aussi à Stravinski. Et à l’Amérique de Kafka. Et à Perdydurke de Gombrowicz. J’accorderais à ces romans à peu près la même place que Stravinski a prêtée à l’œuvre de Webern. La notion même de roman (communément et spontanément fondée sur les principes de la deuxième mi-temps) s’y trouve transformée et le principe ludique, depuis longtemps trahi, ressuscité. Rien n’est sérieux dans ces romans, lesquels nous ont fait voir la profondeur insondable du non-sérieux. Mais assez. Ce sont là des affirmations trop fragmentaires, trop schématiques, qui ne doivent qu’expliquer l’imprudence que j’ai eue de t’avoir promis d’écrire sur un auteur dont je n’ai rien à dire. Sauf ceci, peut-être : le discours prédominant de nos jours n’a rien de voltairien ; le monde technocratisé dissimule sa froideur sous la démagogie du cœur. Nous sommes loin de Fragonard, loin de Sterne, loin de Stravinski et nous n’y changerons pas grand-chose. Il ne nous reste, de temps en temps, qu’à leur faire signe.
Source : L’Infini n°25, printemps 1989
lettre de KUNDERA A SOLLERS
« On souffre par l’insignifiance de tout ce que nous vivons » Kundera
La lettre de K. à PS est pas mal, non? Ce genre de considération est toujours un peu arbitraire et réducteur, et il est permis de se méfier des littéraires qui parlent de musique. Mais cela donne un peu de matière à réflexion et l’anecdote Stravinski est intéressante. Quant à la césure? Bach, Mozart, Beethoven, Chopin, et tellement d’autres, il y a quand même des fils de conduction (e.g, pour ces quatre, des oeuvres en do mineur).
l’anecdote Stravinsky est intéressante oui, mais elle est niée dans ses compositions des années 1950 qui marquent ce qu’on peut appeler faute de mieux un retour au classique. « Dumbarton Oaks », et l’écoute la très riche et très belle musique de chambre de cette époque le montre très bien. ça n’empêche pas l’anecdote d’être sincère, mais rien n’est plus éloigné de la musique de Stravinski que Pérotin le Grand ou Webern, qui l’intéressent précisément parce qu’ils représentent tout ce qu’il n’est pas! rien de surprenant là-dedans. on a connu des peintres figuratifs qui admiraient les abstraits qu’ils ne pouvaient pas être, et l’inverse est vrai. Je pense que c’est quelque chose comme ça qui est en jeu dans la déclaration de Stravinsky.
Bien à vous.
MC
Vu mon psychiatre, après six mois de confinement et pataquès, hier soir.
M’a félicitée.
Amour filial.
Détermination.
Ramener ma mère dans ses pénates.
Lui ai dit que j’étais calme et dormais bien.
A souligné ma force morale.
M’a demandé si je prenais des médicaments.
Rien.
M’a redemandé.
Ai rerépondu rien.
Ronger son frein.
Ravaler sa gourme.
Faire chou blanc.
Année LvB, Trio à cordes n 3, op. 9, n 2
8.8 — 6.44
Souhaitons qu’en l’absence prolongée de Glapimolle, Glapin ne fasse pas bouillir le jeune Glapimou dans le lait -longue conservation- de sa mère.
Leçon.
Je me suis toujours méfié des surnoms régressifs, ils cachent souvent une réalité indicible, surtout s’ils prétendent fédérer toute une famille.
1 – # « Et à Perdydurke (sic) de Gombrowicz » (in le texte de MK à PS) – M’étonnerait.
2 – Le « Mozart et moi » de Ph. Sollers était-il encore lisible, après les « Risibles amours » de Kundera ?
3 – Votre remarque analogique me semble assez juste, MC, je ne saurais en argumenter plus. Des compositeurs en musique…, il est si souvent décevants d’en lire les « spécialistes » les plus arbitraires, quand on ignore ce qui les émeut ou les dégoûte au plus profond d’eux-mêmes. On pourrait bien évidemment faire le même constat en monde des biographies littéraires ou d’une « œuvre », tous les jours…, à un degré moindre qu’en matière de musique.
4 – « L’insignifiance de tout ce que nous vivons » n’est pas un objet de souffrance, Kundera, car faudrait-il encore avoir été déçu d’avoir cru à quelque chose, y compris « à la montée de l’insignifiance » (Castoriadis). – De toute manière, erdéliens, évitons d’extraire ce genre de sentences de leur contexte stalinisé sans les commenter…
5 – Ronger son frein. Ravaler sa gourme. Faire chou blanc.
Voilà ce qu’il faut faire en Herdélie et dans la vie, je suis bien d’accord, comme très souvent. C’est beau comme un haïku moral. Pas d’insignifiance. De la décence et de la maîtrise de soi, toujours et si possible. Une affaire à recommencer chaque matin. Voilà ce qui doit nous distinguer dans la ferme des simples animaux communistes.
6 – Salut, amitiés et bon courage à Claudio, je sais qu’il lit toujours ce blog, malgré ses mille difficultés.
Bàv, 8.08.20, 9.02
7 – Nonobstant…, on sent quand même une véritable tendresse pour cette famille éprouvée. Je me trompe peut-être et même sûrement.
…samedi 8 aout 2020 à 9 h 24 min.
…
…profitez des convictions » adaptées » des gens pour faire du lucre,…en boîtes,!…( églises & croque-morts, les indispensables,…)
…
…des Éternités aux trous noirs à Quasimodo en passant par les Voyages de Gulliver,…
…se taper son self Robinson Crusoé,!…
…des vendredi à te courir-après,!…
…nos vertus bourgeoises flattées en somme,!…
…
…samedi 8 aout 2020 à 9 h 32 min.
…
…les affaires » gauche centre et droite « , dans le même panier,…pour faire son blé,…
…en Mitteleuropa,…
Ravaler sa gourme.
—
N’est-ce pas plutôt ‘jeter sa gourme’ et ‘ravaler sa fierté’?
Tempus fugit, edax rerumque, ergo carpe diem, quam minimum credula postero.
Ravaler sa gourme.
—
N’est-ce pas plutôt ‘jeter sa gourme’ et ‘ravaler sa fierté’?
Tempus fugit, edax rerumque, ergo carpe diem, quam minimum credula postero.
… certes, @ Bl…, Mais pourquoi ne pas inventer de nouvelles expressions tout aussi imagées ? Je préfère les gens qui la ravalent à ceux qui la jettent… surtout sur les réseaux sociaux anonymes, vecteurs des pires lâchetés individuelles.
@ et alii, inutile de mettre un lien savant sur le sujet de la gourme. Merci, Bàv.
Ronger son frein.
Ravaler sa gourme.
Faire chou blanc.
..et se laver l’cul rose
surtout havant daller voir le psy qu’y dirait lacan
Souhaitons
pluriel de divisions de larbin
« On souffre par l’insignifiance de tout ce que nous vivons » Kundera
dis donc rénateau..est qu’il l’a pécho à goering ou au doutché?
Impossible de boxer dans la même catégorie que l’indépassable SanA, le Cassius Clay des catachrèses, JJJ, au risque de s’faire ravaler l’fronton & d’recracher sa morgue, slurrp!
« « L’insignifiance, mon ami, c’est l’essence de l’existence. Elle est avec nous partout et toujours. Elle est présente même là où personne ne veut la voir : dans les horreurs, dans les luttes sanglantes, dans les pires malheurs. Cela exige souvent du courage pour la reconnaître dans des conditions aussi dramatiques et pour l’appeler par son nom. Mais il ne s’agit pas seulement de la reconnaître, il faut… apprendre à l’aimer… mon ami, respirez cette insignifiance qui nous entoure, elle est la clé de la sagesse, elle est la clé de la bonne humeur… »
KUNDERA
ET alors que pense le psy de rose des conversations sur la toile?
Sur Kundera et Céline, puis-je me permettre de vous signaler ce billet paru en 2009 dans LE BULLETIN CELINIEN ? Il complète ce qu’en dit Pierre Assouline dans son pertinent article :
http://bulletincelinien.com/kundera/
Dis donc bouguereau, quelle relation entre moi et cette citation [On souffre par l’insignifiance de tout ce que nous vivons] ? Bon, il est vrai que je préfère le vide à la sociologie, mais je dois avouer que ça ne produit en moi aucune souffrance.
Leon Fleisher. Destin cruel. Je me souviens de Vidusso pianiste qui fut straordinaire avant qu’un problème au troisième doigt de la main droite se manifeste et l’oblige à abandonner les concerts ; puis excellent enseignant — je peux en témoigner.
Adolescent ai entendu des mélomanes enthousiastes de ses concerts, seul ou en trio avec Abbado — le père — violon, et Crepax — le père — cello.
VARIA
Le monde apparent est le seul. (Nietzsche)
On a toujours à défendre les forts contre les faibles. (Nietzsche)
« Tandis que l’homme noble est plein de confiance et de franchise envers lui-même, l’homme du ressentiment n’est ni franc, ni naïf, ni honnête et sincère envers lui-même. Son âme louche. » (id.)
C’est par la ruse, par des stratégies obliques, que l’homme du ressentiment jette l’opprobre sur quiconque lui est supérieur.
(Clément Rosset, 2017)
Même les nazis n’ont pas réussi à délirer autant à propos de
Nietzsche que Heidegger. Lisez ses cours sur Nietzsche en deux volumes, tout y est faux de bout en bout. (id.)
Nietzsche est le plus anti-heideggerien qui soit : pour lui, l’éphémère est plus important que l’éternel, le devenir a plus de valeur que l’Etre, la surface est la véritable profondeur. (id.)
Alain enseigna à Avranches, Pontivy, Lorient, Rouen, puis au lycée Henri-IV à Paris. Il est à noter qu’il demanda ses trois derniers lycées, en apprenant, à chaque fois que Brunschvicq le quittait.
Alain n’a jamais écrit de thèse de doctorat . Il a failli en écrire une, qui aurait eu pour titre « Le Clou et la Vis ».
Trump est un troll. (X)
(Sur la Toile) , sous pseudo, la « black tétrade » : narcissisme, machiavélisme, psychopathie, sadisme. (X)
« … l’éphémère est plus important que l’éternel… »
Evidemment, puisque l’éphémère est éternel…
Rien de ce que vit renato n’est jugé insignifiant par lui, le boug !
Nietzsche (Patrice Charoulet) et Céline (Marc Laudelout) montent sur un bateau. Lequel des deux tombe à l’eau ?
surtout havant daller voir le psy qu’y dirait lacan
–
C’est très déplacé, ça, Bouguereau.
une réalité indicible
–
essayez quand même de la dire, Chaloux, on sait jamais au cas où.
« … l’éphémère est plus important que l’éternel… »
L’éphémère ride tandis que l’éternel nous laisse lisse et inchangé !
Ce soir je mange du jambonneau-lentilles du Puy à la graisse de lard. Miam. Moutarde violette de Brive.
« C’est très déplacé, ça, Bouguereau. »
Pas du tout, D. !
C’est juste une question d’hygiène, base de toutes religions !
Comment pourrait-on avoir l’âme propre avec un cul sale ?
@DRILLON,vous cachez encore BB SOUSBugs Bunny
s les studios de la société Leon Schlesinger Productions (devenu plus tard Warner Bros. Cartoons)2. Bugs est un lièvre ou un lapin gris anthropomorphe, connu pour son caractère farceur et surtout pour sa phrase fétiche « Euh… Quoi d’neuf, docteur ? ». C’est le chef
violette de Brive.
LA GAILLARDE? c’est renato qui s’en chargera
Comment pourrait-on avoir l’âme propre avec un cul sale ?
—
Qui s’endort en se grattant le ….
Se réveille avec le D.oigt qui pu.e.
« Quoi d’neuf, docteur ? »
Rien, hormis le fait que selon Paul de Tarse, la foi prime sur la Loi, et alii ?
Question : la mondialisation commence-t-elle avec Alexandre et César ou avec Jésus ?
D.
« Qui mange le soir, creuse sa propre tombe ».
Sagesse ancienne.
On mange le jour pas le soir pour rester en bonne santé.
Dites-donc Dédé, vos amis les extraterrestres, que mangent-ils au juste ?
…Samedi 8 aout 2020 à 13 h 33 min.
…
…l’évolution aux traditions, se faire mettre de » la naphtaline « ,…à l’avant-garde des biodiversités des lumières renaissantes,!…
…
…se perdre en temps nombriliste,…
Qui s’endort en se grattant le ….
Se réveille avec le D.oigt qui pu.e.
Rime riche. Bravo!
quand j’ai lu le nom « novak », j’ai aussitôt eu un affluX de souvenirs très flous remontant à mon enfance, sur une affaire NOVAK:Novak est un nom très partagé; je ne retrouve pas le détail de l’affaire qui mobilisa dans mon enfance:un histoire de filiation et de procédure sans fin semble-t-il(internet)et qui fait toujours référence
essayez quand même de la dire, Chaloux, on sait jamais au cas où.
D, je crois que l’indicible emprunte d’autres vecteurs que le langage verbal, la musique par exemple, y’ a qu’à l’écouter et l’entendre ( le regarder éventuellement) pour le comprendre.
Dis donc bouguereau, quelle relation entre moi et cette citation [On souffre par l’insignifiance de tout ce que nous vivons] ?
c’était rénateau simplement pour dire que le ‘pharmakon’ comme disait arsindustrialis pouvait ête plus pire que le mal..et tu sras daccord qu’on reconnait un obèrechtourmfureur un vrai..à ce qu’il ne laisse -jamais- le bénéfice du doute..zieg heil et bonjour a tes enfants qu’il dirait dédé
Rime riche. Bravo!
c’est ça lpain dfesse béré..les angliche disent buns..comme marie hantoinette
Question : la mondialisation commence-t-elle avec Alexandre et César ou avec Jésus ?
havec le pinard baroz..et la bière..entre le sintémil et la tsingtao c’est la lutte à mort qu’il dirait dirfilou
Rime riche.
—
Et, si je ne Mabuse, chère B., cet apophtegme mémorable a tout d’un distique ennéasyllabique(9 syllabes).
C’est par la ruse, par des stratégies obliques, que l’homme du ressentiment jette l’opprobre sur quiconque lui est supérieur.
(Clément Rosset, 2017)
stiglère c’est quand même mieux..il a dit ‘nous faire avaler les panzères comme pharmakon c’est hun peu gros’..et c’est himparabe
‘pharmakon’ comme disait arsindustrialis pouvait ête plus pire que le mal..
je crois que ce n’est pas faux;quoiqu’il en soit, c’est un concept très intéressant et qui vaut la peine que les erdéliens s’y attardent
bonne journée
en guise d’introduction
[Derrida, le pharmakon]
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-0702221451.html
ce billet paru en 2009 dans LE BULLETIN CELINIEN ?
franchment cunedéra se fout du monde..céline n’a fait que conchier sempiternelment les gens qui crèvent comme des mouton ‘que la mort saisit lors qu’ils ne pensent qu’a brouter encor’..que telment au finiche il n’y aurait que 2 sortes de gens: les vernis qui s’en branlent jusqu’au dernier moment et les damnés de la terre..comme lui.. qui y pensent tout le temps..alors parler de tralala c’est hencore un sophisme célinien..faire de son cleb quelquechose de mieux que martin qui souffle son gaz à l’épad..qu’il aille sfaire hanlécu par son clébard à la bibliothèque municipal cunedéra..à nous faire accroire que les courageux sont des laches et les lâches des courageux..on scroirait dans ma cuisine
Déjà Marc vous posez mal la question.
Une douzaine de races nous visitent et pour la plupart d’entre elles l’amitié n’a pas de sens. Ils ne sont ni nos amis ni nos ennemis, ils sont ceux qui existent par rapport à d’autres. Ils ne viennent pas sur terre avec des cadeaux, ils viennent y faire ce qui leur semble le plus opportun. Primo.
Le Mythe de Thamus, bouguereau, Platon, Phèdre, voir la reponse du roi [274c – 275b] :
« Très ingénieux Theuth, tel homme est capable de créer les arts, et tel autre est à même de juger quel lot d’utilité ou de nocivité ils conféreront à ceux qui en feront usage. Et c’est ainsi que toi, père de l’écriture, tu lui attribues, par bienveillance, tout le contraire de ce qu’elle peut apporter. Elle ne peut produire dans les âmes, en effet, que l’oubli de ce qu’elles savent en leur faisant négliger la mémoire. Parce qu’ils auront foi dans l’écriture, c’est par le dehors, par des empreintes étrangères, et non plus du dedans et du fond d’eux-mêmes, que les hommes chercheront à se ressouvenir. Tu as trouvé le moyen, non point d’enrichir la mémoire, mais de conserver les souvenirs qu’elle a. Tu donnes à tes disciples la présomption qu’ils ont la science, non la science elle-même. Quand ils auront, en effet, beaucoup appris sans maître, ils s’imagineront devenus très savants, et ils ne seront pour la plupart que des ignorants de commerce incommode, des savants imaginaires au lieu de vrais savants. »
Vivaldi :
Tout ça c’est du baratin, renato. À trois francs six sous. Des trucs comme ca6jemey/ vous en pondre dix à la douzaine, moi.
un philosophe passionnant originaire d’Europe centrale qui s’appelle Toth comme le dieu:
Imre Tóth (ou Toth) est un philosophe, mathématicien et historien des sciences roumain, né le 26 décembre 1921 à Satu Mare (Transylvanie) et mort le 11 mai 2010 à Paris. Résistant avec les communistes pendant la Seconde Guerre mondiale puis exclu du Parti, il a échappé de peu à la mort dans les camps. Il est un grand spécialiste de philosophie des mathématiques. Il a travaillé sur la géométrie non euclidienne, l’irrationnel mathématique, la liberté, Platon et le platonisme,
@ #SanA, le Cassius Clay des catachrèses#’
Pas mal vu, va rougir de blaisire l’ami hip, hip, envoyez, etc.
@ renato : bloom vous avait imputé une citation de MK qui, de fait, avait été sortie de la toile émeri par etalii, d’où son incompréhension. Bon, sinon ça me regarde pas trop, hein, si la taxifolette veut pas s’assumer en rectifiant… Faut dire qu’on prête qu’aux riches, inutile de rivaliser, ont le droit de choisir entre goebbelles et djougach, comme dirait Jean-Mimil Boug
J’aime bien Bloom.
Moi aussi, mais parfois il cite les grands auteurs pas exactement.
Rectifions un brin en toute amitié, hein. Pour Chantal surtout, qui boude dans sa cave;
https://citation-celebre.leparisien.fr/citations/9350
Tu vas pas recommencer le coup du bouché à l’émeri et tout et tout, JJJ. Sinon on t’envoie à Tenon. Y’a encore des places, je me suis renseigné pour B.
Mais d’abord, il ne faut pas avoir peur de malmener les phrases de Pascal. On peut arriver à toute lecture. Toute lecture repose d’abord sur des violences que l’on fait aux textes. On les adapte à nous mêmes, on ne cesse de mal lire et c’est très bien. Antoine Compagnon.
Ne me tutoyez pas, D. Merci.
Excusez-moi, mais ne songez pas à m’envoyer dans la même structure que CT et MS. J’aurais trop peur de vous y voir rôder à y rechercher en vain b. qui ne veut pas de vous.
Non, non, j’ai le mien d’HP en Charent(on), il est très bien, DAF nous l’a suffisamment dit,… Ne vous inquiétez pas pour moi, mon ami, mon saigneur, mon maître et angelo gardien, st protecteur.
Là, je vas me baquer en piscine chauffée. A bientôt.
Puisqu’on l’a évoqué, un beau et émouvant fragment de Stiegler, il y a quelques années (mais il faut prendre le temps de l’écouter) : À quoi sert l’art.
https://www.youtube.com/watch?v=-3mrwqeFGao
Le contrepet/spoonerism, petit jeu d’été caniculaire.
Sur le mode ‘La solitude du fourreur de c.on’ (du coureur de fond), saurez-vous retrouver les titres originaux des romans en anglais ci-dessous?
A vos albums de la Comtesse!
« Bee Men in a Throat »
« The Will in the Windows »
« Che Thatcher in the Rye »
‘’A Sale of Two Titties’’
« Winnie Gann’s Fake »
« The Bride of Miss Jean Prodie »
« Ford of the Lies »
lord of the flies , votre majesté
et alli: 1
The Catcher in the Rye
je leur en laisse
fine mouche, devrais-je ajouter
et alii: 2
Finnegans Wake ils sont cossards ,Bloom
« three men in a boat »
« a tale of two cities »
The Wind in the Willows
et une bourrasque rencersera les three men in the boat
« The Prime of Miss Jean Brodie »
renversera
A propos de la socio du vide, ai retrouvé par hasard ce papier d’Ozym au fond de la pistoche
https://sociologieduvide.wordpress.com/2016/06/16/la-psychologie-embryonnaire-du-petit-capitaliste-algerien/
Voie sans issue ?
https://pbs.twimg.com/media/EeR67pzXoAIbm2B?format=jpg&name=large
@ Drillon antiquité qu’on offrait aux petites filles
Great Early french Dishes metall in all original box(1865)
on appelait ça une dînette ;
Deepthroat in my jacket ?
https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=deep+throat+in+my+jacket
j’ai oublié le lien pour la dînette
https://www.pinterest.fr/pin/AUeaU5ZpJONwnJUzJFobUxfhS2whokt3B9hEOjXaStp_sdsgDCnRvAg/
La sociologie ou le vide, Janssen J-J, c’est Gottfried Benn dans Le Disciple de Ptolémée ou Le roman du phénotype
Brvo aux Zeureux gagnants!
Eskimo d’or
et alii:4
Eskimo d’argent
Baroz: 3
Un dernier, un peu plus coton,pour les bouchons:
« Book Lack in Engar »
je voudrais dire que l’annonce de la mort de Stiegler m’a sonnée:il était jeune et avait surement en attente des travaux et recherches intéressants ; il sera regretté par tous ceux avec lesquels il a travaillé pour le « bien commun » ;
Marc Court, je garde vos références sur Stravinski pour plus tard, quand j’aurai du temps. Quant à la lettre de MK, en relisant le lendemain, mise à part l’anecdote et ses références, …
« Ensuite, « l’affaire », cette sale histoire qui a resurgi en 2008 dans les colonnes du magazine Respekt lorsqu’un chercheur de l’Institut tchèque pour l’étude des régimes totalitaires a dévoilé des documents selon lesquels en 1950, Kundera aurait fourni des informations à la police et à la Sécurité d’Etat mettant en cause un ancien pilote du nom de Miroslav Dvořáček ; arrêté pour espionnage, condamné à 22 ans d’emprisonnement, celui-ci fut longtemps incarcéré dans un camp de travail. Soutenu par nombre d’écrivains un peu partout dans le monde, Kundera nia avec force ce qui n’empêche pas Novak d’y revenir en détail, se disant convaincu de la véracité de l’affaire sur la base de concordances avec des témoignages, des documents et… le réemploi de ce vécu de la délation dans La Plaisanterie et dans La Vie est ailleurs (1973) ! »
M. PA ne peut ignorer que tout cela a été balayé, pour l’instant et ce jusqu’à nouvel ordre, non par des amis de Kundera, mais par des critiques et des journalistes qui ont mis l’accent sur les failles (graves) d’une enquête absolument pas sérieuse et uniquement à charge. Voici entre autres ce que dit Murielle Blaive, chercheuse du CNRS spécialisée dans l’historiographie du communisme tchécoslovaque:
» (elle) estime que l’authenticité de la main courante numéro 624/1950 n’est pas de nature à accabler l’auteur de «l’Insoutenable légèreté de l’être».
Le problème n’est pas l’authenticité du document et de savoir si quelqu’un a trafiqué des archives. […] Par contre, la question est de savoir ce que ces archives disent et qui parle. Est-ce qu’on peut faire confiance à la vision policière de cette époque, est-ce qu’on peut faire confiance à la StB (la Sécurité d’Etat) de l’époque, est-ce qu’on peut faire confiance à la façon dont la StB rapporte la situation dans la société de l’époque ? […] En tant qu’historienne, on ne peut pas croire les archives sur parole, il faut savoir les décrypter, il faut savoir ce que la police veut dire.»
https://www.cairn.info/archives-et-histoire-dans-les-societes-postcommuni–9782707157317-page-203.htm
https://esprit.presse.fr/article/bourgois-helene/l-affaire-kundera-un-an-apres-15334
https://www.thenation.com/article/archive/kundera-conundrum-kundera-respekt-and-contempt/
https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2020/02/13-petras.pdf
https://elpais.com/diario/2008/10/21/opinion/1224540005_850215.html
Si Kundera est coupable de ce dont on l’accuse, qu’on le prouve et qu’on le blâme. Autrement, les bassesses littéraires n’honnorent pas ceux qui s’en nourrissent pour d’obscures raisons ou des jalousies (bien justifiées).
Cette biographie sera-t-elle bientôt traduite en français ?
on a connu des peintres figuratifs qui admiraient les abstraits qu’ils ne pouvaient pas être, et l’inverse est vrai.
Marc Court
Ah, bon? Lesquels? Il n’y a rien de plus simple pour un peintre figuratif que faire de l’abstrait (quand on sait peindre on sait décorer). C’est surtout l’inverse qui est vrai (quel peintre abstrait n’a pas admiré Picasso?). Quand on voit les premiers tableaux, figuratifs, des « grands » peintres abstraits, on comprend pourquoi ils se sont engouffrés dans l’escroquerie de l’abstraction.
La plupart des grands peintres du XXe siècle (« grand peintre figuratif » est un pléonasme) étaient très critiques sur l’abstraction (je collectionne les citations sur ce thème). Et surtout le premier d’entre eux, Picasso.
Encore une mienne lacune, r. ! Merci pour l’info. Je suis donc allé pêcher fissa :
(je cite) « Ils peuvent aussi choisir parfois de quitter le terrain littéraire pour passer à l’analyse ou au commentaire plus théorique (comme le font Gottfried Benn ou Marcel Proust en théorisant une partie de ce qu’ils écrivent sur un mode plus littéraire) qui, à la différence de l’évocation littéraire, s’efforce de mettre plus explicitement le doigt sur les problèmes. Toutefois, lorsque le mode d’expression prend une tournure philosophico-poétique — comme dans le cas de Gottfried Benn —, seule une lecture systématique et précise permet de mettre au jour ce qui n’est thématisé que sous une forme particulièrement transfigurée et relativement inintelligible pour le lecteur profane.
Je crois que vous connaissez à donf., l’oeuvre de GB, moi un tout petit peu, comme celle de Marcel (un ‘ti peu mieux).
Adhonques, tu m’étonnes que j’étions passé à côté de la plaque tectonique. Ceci dit, j’entends persister un brin dans mon idée de départ, tel l’inculte moyen qui assume sa vacuité. J’ai des pairs ailleurs apparemment, et ne saurais citer aucun.e erdélien.ne de mon espèce, bien entendu, car il n’y en a pas, hein.
https://www.anudar.fr/2010/02/le-vide-en-litterature.html
je me suis renseigné pour B.
D, je ne comprends pas les motifs d’une telle enquête. Ce n’est pas parce que mon cerveau s’est par hasard entortillé avec celui d’un fou qui s’ignore ou préfère ne pas objectiver l’étiquette Τρελός εγκέφαλος que je mérite une place à Tenon. Il serait nécessaire à mon avis de connaitre la proportion de gens pauvres par rapport à la part de riches personnes bénéficiant de soins psychiatriques dans des institutions sérieuses. Je suis à peu près sure je les pathologies sont souvent couplés aux difficultés de vie et traumatismes accumulés . Les riches se font soigner quand ils y sont contraints ou quand il leur est impossible de continuer de fonctionner , je ne sais pas s’ils se rencontrent fréquemment dans le secteur public .
Quand on voit les premiers tableaux, figuratifs, des « grands » peintres abstraits, on comprend pourquoi ils se sont engouffrés dans l’escroquerie de l’abstraction.
Mondrian à dérivé du figuratif vers l’abstraction , en espérant au fil du temps pour parvenir à ces géométries colorées. Il etait, je crois, tout à fait classique.
En épurant.
Puisqu’on l’a évoqué, un beau et émouvant fragment de Stiegler, il y a quelques années (mais il faut prendre le temps de l’écouter) : À quoi sert l’art.
lmd dit: à
J’ai connu Stiegler il y a quelques années, par mon fils qui l’aimait bien. Pour moi cette ligne de sa biographie invalidait sa pensée: « après mai 68 et jusqu’en 1976, il est adhérent au Parti communiste français, qu’il quitte en raison de son rejet du « stalinisme imposé par Georges Marchais » (un jeune à l’esprit moutonnier).
Je viens d’écouter sa vidéo « À quoi sert l’art? » et de confirmer que sa « pensée » n’a pas le moindre intérêt. C’est un marxiste pur et dur qui a une vision marxiste de l’histoire de l’art. Il nous en donne sa vision sans dire ce qu’est l’art pour lui et encore moins ce qu’il devrait être aujourd’hui (il dit qu’il faut « faire la révolution esthétique », mais s’abstient de nous expliquer comment). On sent bien que l’art ne l’intéresse pas, que ce qui l’obsède est le capitalisme. Et il délire pas mal, entre Marx, Freud, le Font National et le terrorisme islamique. Pour lui, l’exploitation industriel de l’esthétique conduit à la fabrication en série de criminels et de terroristes fanatiques.
À 22min20 parle de suicide et de son propre suicide (la seule chose non prévisible de la vidéo) . Or, selon la Wikipedia, « Bernard Stiegler meurt le 6 août 2020 à l’âge de 68 ans. Souffrant des complications d’une occlusion intestinale, il met fin à ses jours dans sa maison d’Épineuil-le-Fleuriel. »
Kandinsky, un escroc? Pablo, si on part de l’ idée comme en littérature que tout a déjà été dit, il semble assez logique que les créatifs s’intéresse à la recherche formelle.
S’interessent. Pourquoi les musiciens, compositeurs auraient droit à une reconnaissance quand ils explorent d’autres galaxies que la musique classique et pas les peintres? Tout n’est pas à jeter ni admirable quel que soit le domaine artistique. Je ne suis pas assez cultivée pour sortir des généralités mais vous généralisez également.
C’est un marxiste pur et dur qui a une vision marxiste de l’histoire de l’art.
Pas pris le temps de voir la vidéo mais cela me fait penser au Caravage , révolutionnaire dans le choix de ses modèles et le traitement des sujets.
Quant à Mishima, il est temps de dire que Yourcenar n’a rien compris à son œuvre, sauf à n’avoir jamais fait que projeter ses propres orientations sur lui et dans tous ses personnages inventés (Alexis, Hadrien et utti quanti) ; que la biographie de Johannes Nathan ne vaut pas un clou. Et que tous ceux qui tournent autour de sa prétendue homosexualité devraient d’abord mieux fréquenter les imaginaires de Tanizaki, Kawabata, Inoué et Oé réunis pour y situer exactement le sien, avant de nous souler avec ses pulsions fascistoïdes exacerbées liées à sa bisexualité.
Evidemment, chacun peut bien raconter n’importe quoi sur kafka et kundera, sous un nouveau pseudo. La parole est serve, mais la pensée libre.
Du lourd, du frais.
Du lard, du cochon.
Du pinard, du boudin.
De Kundera je n’ai lu que 2 essais: L’Art du roman et Les Testaments trahis, intéressants quoique un brin dogmatiques (à cause de son besoin de toujours systématiser).
Au milieu des années 80, juste avant le grand succès de « L’Insoutenable légèreté de l’être », je suis allé avec une amie journaliste culturelle espagnole qui l’aimait beaucoup, écouter l’un de ses cours sur le roman à l’École des hautes études en sciences sociales. Il marchait en parlant, on comprenait à peine son français, il paraissait improviser ce qu’il disait, l’air timide et très mal à l’aise. C’était vraiment assommant, mais étant donné que la salle était petite et il y avait très peu de monde, il était difficile de partir discrètement. Au bout d’une demi-heure de torture et profitant qu’il regardait un mur comme pour s’en inspirer, je suis parti comme un voleur, sans mon amie, qui voulait l’écouter jusqu’au bout et lui demander une interview pour la revue de littérature espagnole pour laquelle elle travaillait (je ne me rappelle plus si elle l’a obtenue, je crois que oui).
@ B., à la différence de D., je vous admire ! Ou plutôt j’admire ceci chez vous. Votre inlassable aptitude à toujours passionnément discuter le bout de gras avec les plus retors, et cela…, avec la plus admirable fausse ingénuité possible.
Un art consommé de pousser les Matuvu dans leurs retranchements terroristes, cet art suave que peu détiennent à portée naturelle.
Bàv, vraiment !
D, voyez, à la loterie
‘’A Sale of Two Titties
A tale of two cities, sans consulter.
avec la plus admirable fausse ingénuité
3J, ce n’est pas un effet recherché.
Je suis d’accord pour dire avec vous que je ne suis guère capable que de discuter le bout de gras néanmoins je suis sincère et ne cherchais absolument pas à pousser Pablo, si c’est à lui que vous faites allusion, dans ses retranchements. Je crois que je ne suis pas à ses yeux assez importante pour mériter une réponse ou un échange. Il appâte pour plus gros que ma modeste personne.
si on part de l’ idée comme en littérature que tout a déjà été dit, il semble assez logique que les créatifs s’intéresse à la recherche formelle.
B dit: à
Oui, c’est ce qu’ils ont fait tous les grands peintres figuratifs du XX siècle, et surtout le premier d’entre eux, Picasso. Quand on est doué pour le dessin et la peinture on ne fait pas de la décoration abstraite (il faut être très con quand on est Matisse ou Picasso pour cacher son talent en faisant des tâches de couleur – ou des tableaux uniquement tout noirs ou tout blancs). Je ne connais aucun cas de grand dessinateur qui l’ait fait.
Comme quand on est doué pour composer des mélodies on ne fait pas du Boulez (un type totalement incapable d’écrire 5 minutes de vraie musique). L’abstraction et l’atonalité c’est le refuge des nuls dogmatiques, soutenues par le marché capitaliste, comme dirait Stiegler, et par les institutions d’État qui se sont toujours trompé sur la qualité de l’art qu’elles soutiennent.
Quand on est un vrai compositeur, avec plein d’idées de belles mélodies, on ne fait pas dans l’abstrait abscons inécoutable pour snobs crétinisés par le prurit débile de modernité:
Nyman: Complete Piano Music (Full Album) played by Jeroen van Veen
https://www.youtube.com/watch?v=HTdis9Hdxyw
https://www.youtube.com/watch?v=HTdis9Hdxyw
Quand on est un vrai compositeur, avec plein d’idées de belles mélodies, on ne fait pas dans l’abstrait abscons inécoutable pour snobs crétinisés par le prurit débile de modernité:
Nyman: Complete Piano Music (Full Album) played by Jeroen van Veen
Si Braque et Picasso s’amusent à décomposer la réalité pour démontrer ses changements dans le temps et l’impossibilité de la voir dans son intégralité, Piet Mondrian décompose progressivement ses sujets de prédilection pour saisir cette harmonie — les mathématiques qui sont à la base de l’équilibre et de la perfection de la nature. Cela bien à part et compte tenu que je me fous de la plus belle des opinions d’autrui, Mondrian dessinait comme ça :
« stalinisme imposé par Georges Marchais » (un jeune à l’esprit moutonnier)
un bon afrenchézado dpicasso fait toulcontraire
https://i1.wp.com/www.madinin-art.net/images/staline_picasso.jpg?resize=360%2C479
(je ne me rappelle plus si elle l’a obtenue, je crois que oui)
lpédro raconte comment qu’il a raté tous ses coups..paçionnant
3J, bizarre votre raccord entre Mishima et Yourcenar
@ Il appâte pour plus gros que ma modeste personne.
Non, je n’y crois absolument pas. Vous êtes en parfaite égalité, sauf dans la dimension défensive ou offensive de vos ego respectifs diamétralement antithétiques.
N’en tirez aucune conclusion hâtive, b.
Si vous saviez à quel petit calibre vous aviez affaire, en fin de compte !…
Et vous le savez parfaitement : le langage de la riposte consistant à chercher en toute mauvaise foi à dominer le contradicteur par d’ineptes arguments d’autorité le plus souvent, constitue le propre de tout « langage totalitaire » (Faye), et de tout fascisme primaire.
Toute l’Herdélie connaît les trois les petits maîtres en la matière que l’on a vu à l’œuvre face à un ex-GWW…, jadis.
Ne nous laissons jamais bluffer par le strass des matamores d’arènes moyennes, comme jzmn. Le plus souvent, leurs habits de lumière sont bien mal cousus et raccommodés par en dessous !
Mondrian dessinait comme ça
renato dit
Plus académique tu meurs…
Picasso dessinait comme ça:
« Look Back in Anger » by John Osborne.
To easy, Bloom !
Faut-il comprendre que Bernard Stiegler se serait suicidé pour ne pas avoir à affronter une maladie incurable ?
Classieux, si tel est le cas ! – Mais comment savoir ?
Système de signes :
Classieux, si tel est le cas ! – Mais comment savoir ?
bof..deleuze disait qua la fin cétait une commodité..un truc private hen somme..’ça n’ne nous’ qu’il dirait dédé
Pablo, Picasso a beaucoup emprunté à l’art africain. Sans lui, pas de Picasso.
Et Matisse dessinait comme ça:
D’ailleurs, Picasso, qui achetait de la peinture contemporaine, avait chez lui au moins un très beau Matisse – il n’achetait pas des tableaux de Soulages ou de Rothko, on se demande bien pourquoi.
Janssen J-J, je vois que certaines œuvres de Benn ne sont pas traduites en fr. Probleme der Lyrik et Aprèslude, p. ex., et c’est dommage.
« Ne nous laissons jamais bluffer par le strass des matamores d’arènes moyennes, comme jzmn. »
Qe viens-je faire dans cette affaire, JJJ ?
@ Renato
Ne me dis pas que pour toi Mondrian, ce « designer » de toiles cirées, est un grand peintre?
tu trempes dans tous les mauvais coups baroz..t’es un complot à toi tout seul qu’il dirait dédé
Certains sont dans la difficulté de comprendre qu’il y a de la place pour tout le monde et que si l’on aime pas un artiste on passe à autre chose sans emmerder le peuple.
Bonsoir Passou,
Quelle chaleur qui s’abat sur ces jours,où sont attendues les étoiles, en nombre, dans le ciel nocturne d’août.
Je vous avoue que j’ai du mal à comprendre l’acharnement de celui qui abuse d’un nom trop grand pour lui.
Attend-il une sentence définitive de votre part ? Coupable, non coupable.
Mais a quel titre, ce tribun de la fachopsohere s’exprime- t-il ?
Un de la squadra kulturelle parisienne ? qui a offert une tribune journalistique à Kundera, lequel a compris très vite, il est très intelligent, l’intérêt qu’il a eu à se fondre dans l’existentialisme et le dasein ambiants…et a se faire le héraut de la culture classique française.
A-t-on vu plus prompt collaborateur à la cause ?
Il est faux de dire qu’il est discret. ( Sauf sur son passé tchèque). Quand on fait le compte de toutes ses chroniques pseudo culturelles – et politiques !- dans les journaux et revues parisiennes.
La vérité, c’est sans doute M. Dvořáček qui la détient. Mais il est mort.
Cette histoire vient en rappeler d’autres, par associations d’idées.
Tous ceux qui sont passés à la prison de Montluc, à Lyon, des qui resteront dans l’Histoire, et d’autres qui resteront les anonymes de l’histoire, comme M. Dvořáček.
Enfin Passou, ce boursouflé ne doit pas connaitre ce rapport épidermique que vous avez à la délation. On ne va pas l’insulter en le renvoyant sur votre roman le plus emblématique sur le sujet: la cliente.
Kundera intéresse encore aujourd’hui. Mais il n’est pas le seul.
« Depuis son départ en exil en 1975, la relation entre Milan Kundera et sa terre natale a été plus que conflictuelle. Les étudiants en journalisme qui étudieront «le cas Kundera dans les médias tchèques» s’intéresseront justement au rapport que la République tchèque entretient avec son passé récent et certains de ses protagonistes les plus connus. Ainsi, le rôle de grandes célébrités comme le cinéaste Miloš Forman ou le chanteur Karel Gott s’apparente, par leur manque de transparence, à celui de Kundera. »
Au risque de choquer tant c’est opaque, et la version autobiographique unilatérale, je rajouterais, mais dans un autre contexte, le nom de Roman Pokanski, dans la liste des taiseux.
@ Renato
Je te demande ton opinion sur un peintre, pas que tu théorises sur le droit de chacun à avoir des goûts picturaux différents. Tu penses quoi de Mondrian, toi?
Gigi la visqueuse : « langage totalitaire » (Faye).
N’oublions pas que Faye peut aussi être lu par des imbéciles.
(Aujourd’hui, il faisait 23° à Paimpol. J’aime la Bretagne).
Ce que je pense de Mondrian ce n’est pas votre affaire, Pablo75.
@ Renato
Je comprends que tu n’oses pas dire ici que pour toi c’est l’un des plus grands peintres de l’histoire de la peinture universelle. Mais ton silence le dit à ta place.
Délation, collaboration, hésitation. Ou cela commence-t-il et pour qui? Ce n’est je pense jamais très juste, une histoire à géométrie variable. Coco Chanel vaguement inquiétée tandis que d’autres n’ont pas eu cette chance, mais elle, c’était pour une « noble » cause. Elle a de plus pu garder ses cheveux.
On a quand même le droit de choisir ses interlocuteurs ici, ou pas ?
(Aujourd’hui, il faisait 23° à Paimpol. J’aime la Bretagne).
Chaloux dit:
37º à Paris. Mes chats sont réfugiés dans la salle de bain, l’endroit le plus frais de l’appartement.
(Avec cette chaleur, il faut mouiller les chats avec un gant, même s’ils n’aiment pas ça).
@ »Un art consommé de pousser les Matuvu dans leurs retranchements terroristes, cet art suave que peu détiennent à portée naturelle. »
D’ailleurs il est sain, il est sincère de rappeler que le plus grand Matuvu de la rdl, devenu l’idole de ducon , de la clébarde , et leur meute a fui leur assauts.
Bon, il est mort, pax, il ne peut plus témoigner.
Bon puisque tout le monde m’en veux, je quitte définitivement ce blog.
Gigi la visqueuse :Quant à Mishima, il est temps de dire que Yourcenar n’a rien compris à son œuvre, sauf à n’avoir jamais fait que projeter ses propres orientations sur lui et dans tous ses personnages inventés (Alexis, Hadrien et utti quanti).
N’importe quoi, comme d’habitude. Ce que n’a pas saisi Yourcenar chez Mishima, c’est son humour.
Hadrien n’est pas un personnage inventé.
Je ne vois pas à qui vous faites allusion, sasseur. Soyez claire pour une fois, cela parait si important, votre message y gagnerait.
Deux décès en mémoire, Sergio et Mac. Qui d’autre?
Celui auquel je pense a encore le téléphone. Il est certainement beaucoup moins mort que d’autres, qui ne l’ont plus!
Mon message a Passou ne nécessite aucun ps, il est parfaitelent clair.
Que ceux qui ont des problèmes avec leur conscience se debrouillent, sans mettre la rdl en coupe réglée.
« Ainsi, le rôle de grandes célébrités comme le cinéaste Miloš Forman ou le chanteur Karel Gott s’apparente, par leur manque de transparence, à celui de Kundera. »
L’opinion de Paul Edel, qui connait son Kundera et son Milos Forman par coeur, serait grandement intéressante, Marie Sasseur…
@Pablo, je le fais régulièrement quand il fait chaud, même en revenant de chez le véto (sur ses conseils).
@L’opinion de Paul Edel, qui connait son Kundera et son Milos Forman par coeur, serait grandement intéressante, Marie Sasseur…
Oui, pourquoi pas.
Je pensais qu’Alexis etait issu d’une famille royale ou imperiale.
Pour avoir un problème de conscience, encore faut il en etre doté (e). Ce n’est pas une figure imaginaire tirée d’un tableau en pointillé Ou une installation alimentée par un courant alternatif.
Et oui, l’homme qui s’est accusé est mort, je l’avais évoqué hier ou avant hier avec la falsification toujours envisageable des archives.
De mort qui ait éventuellement fui mes messages, je ne vois pas. S’il s’agit de Jean, notre ami de Grasse-Falicon, il y a beau temps que nous étions réconciliés. L’Assasseure est décidément une drôle d’évangéliste…
« 37º à Paris. »
J’espère qu’on a atteint le pic caniculaire, Pablo75 !
Je suis resté derrière mes volets, clos, avec passage réguliers sous la douche !
Pauvre Stiegler, dont je n’avais jamais entendu parler.
On peut dire qu’il est mort dans sa merde !
« Miroslav Dvořáček was born in 1928 in Kostelec nad Orlicí the son of a civil servant. There he completed elementary school and started studying at the grammar school. During his studies, he met Miroslav Juppa, who had moved to Kostelec during World War II from Rychnov, where his own grammar school had been closed down, and who was housed with Dvořáček’s family. After graduating from grammar school in 1947, they were both enrolled to the LVA (Air Military Academy) in Hradec Králové. Yet their studies did not last long. The communist coup in February 1948 led to renowned purges in the army. »
@ Renato
Tu as tous les droits, même celui de ne pas assumer publiquement ta grande admiration pour Mondrian.
Et encore une fois, je te comprends. C’est compliqué d’expliquer où est le génie d’un type qui a passé sa vie à faire des carreaux de couleur.
« S’il s’agit de Jean, notre ami de Grasse-Falicon »
Qu’est-ce qu’il devient et comment va sa femme ?
@S’il s’agit de Jean, notre ami de Grasse-Falicon, il y a beau temps que nous étions réconciliés. L’Assasseure est décidément une drôle d’évangéliste…
???
Sasseur, permettez moi de rétablir une vérité me concernant, je n’aime pas les gourous et n’idolâre personne ici ou ailleurs. Je laisse cette hystérie à d’autres que moi. Il y a tant de gens admirables en réalité qu’il me serait difficile d’en privilégier un, je les remercie tous pour leurs apports à l’Humanité.
Heu, pseudo John Brown est décédé ?
Pas la peine de harceler renato en lui mordillant le bas des pantalons, Pablo75.
Veux-tu bien cesser !
T’avouer que tu as raison voudrait dire qu’il a tort.
Impensable…
La clébarde rétablira ce qu’elle veut où elle veut, pour qui elle veut.
Mais pas a moi, lol.
J’attends des nouvelles de tcheque en bois, voir ce qu’il a dans le falzar.
J’espère qu’on a atteint le pic caniculaire
Jazzi dit:
Selon l’excellent site (que j’ai dans mes favoris)
https://weather.com/fr-FR/temps/aujour/l/48.86,2.35?par=google&temp=c
demain et mardi ça sera aussi 37º (lundi et mercredi 35º).
En tout cas, on est sans nouvelles. C’est l’histoire du vrai bouguereau?
Non, mais il est vraiment n’importe quoi ce Pablo75 et plein de préjugés, ce qui n’est pas étonnant.
Cela dit, tout le monde ici sait ce que je pense de Mondrian et aussi que je ne réponds pas aux questions si je n’en ai pas l’envie.
Chrysanthème, 1909 :
En tout cas, on est sans nouvelles
Et son blog a disparu.
Dites sasseur, ce sera une clebarde contre une putain ou salope , au choix, si vous n’y voyez pas d’inconvénients. C’est aussi élogieux, n’est ce pas?
Moi je suis partagé entre vos deux avis contradictoires.
Pablo75 est un peu trop systématique dans son rejet des modernes, Mais on ne peut pas dire qu’il ait complètement tort.
Et renato, bien placé pour parler du sujet, tend vers un certain élitisme mondain.
Comment trancher ?
(Tu vas encore dire que je suis un hyper opportuniste, Chaloux !)
Madame MS, vous devriez savoir que la crédibilité scientifique et idéologique du The Institute for the Study of Totalitarian Regimes tchèque est depuis pas mal de temps égale à 0… ceci dit, vous êtes adorable dans vos aboiements répétés à la manière d’un petit roquet.. ou roquette, je ne sais plus aue écrire…
Ce n’est quand même pas la faute des artistes si le public n’est pas éduqué, Jacques.
Cela dit, avoir raison ce n’est pas ma raison de vie : à chacun ses opinions, mais il y a des gens dépourvus du moindre savoir vivre qui emmerdent le peuple parce qu’ils n’ont rien de mieux à faire.
Sur ce blog pseudo John Brown,( sensiblement de l’age de mes parents, archive) , avait les derniers temps, pété un câble.
Mais un prof de littérature et de théâtre , qui en avait sous le pied.
La France est le pays où les Chronopost arrivent après les courriers simples postés le même jour.
chèque en bois, niez vous, en plus, le passé de Miroslav Dvořáček ?
« demain et mardi ça sera aussi 37º (lundi et mercredi 35º). »
Autant nous faire nos adieux tout de suite, Pablo !
Élitisme mondain, Jacques ?!
Peut être pas renato mais j’aimerais être vous pour y lire quelque chose, parfois.
« La France est le pays où les Chronopost arrivent après les courriers simples postés le même jour. »
Une bien jolie brève, Chaloux !
« Élitisme mondain »
Ou snobisme, si vous préférez !
C’est votre opinion Jacques, mais il ne vous passe pas par la tête qu’il y a quelques choses à comprendre ? Bon évidemment, les gens aiment qu’on leur serve la soupe prête, ce qui est plutôt drôle, amusant même…
Voyons plutôt les anti-masques. Si j’ai bien compris ils revendiquent le droit de tomber malades car la société est en devoir de les soigner.
#Bon, il est mort, pax, il ne peut plus témoigner ». Ah bon ? Wgg est mort ?… Mais depuis quand au juste, michel alba, on parle bien du même type à cheval avec une meute ?
@ JMB : pourquoi laisser tranquille les éventuels suicidés ? N’ont-ils pas des comptes à nous rendre ? Nous voilà frais ! Ne répondez pas. Jzm qui sait tout ne le connaissait pas, comme quoi, tout le monde n’a pas nécessairement une piètre opinion sur la peinture de Mondrian, même si on peut en avoir une bonne sur l’OEUVRE de Pierre Boulèze.
@ Jzm, je me souvenais simplement de votre « descente dans l’arène » quand il le fallait. Ne faites pas semblant d’oublier ce qui vous arrange, ast’heure.
@ En effet, nul n’est obligé de répondre aux questions comminatoires des kons qui lavent le cul de leurs chats quand ils pètent par grande chaleur. Pourquoi, et au nom de quoi irait-on s’abaisse à semblables répugnances ?
Bàv,
Wittgenstein house :
#on parle bien du même type à cheval avec une meute ?
Comment as-tu deviné, suceur de bon sang ?
Je le redis: Passou, boxeur, a perdu l’occasion historique, d’un ko.
J’en connais qui n’auraient pas pris des gants.
A.S.S.O.U.L.I.N.E doit vouloir entrer dans la Pléiade. Après le précédent d’Ormesson, tout devient possible, y compris pour lui et Musso!
Hurkhurkhurk!
Gigi la visqueuse n’a encore rien compris. Ensuite, cette moule s’en va démêler le tandem Yourcenar-Mishima. (Mishima a dit qu’il tenait Hadrien pour un chef-d’oeuvre).
Une liste de courses rédigée par Michelangelo le 18 mars 1518 au dos d’une lettre.
Les dessins rendent la liste compréhensible pour le serviteur de l’artiste, probablement analphabète.
Deux pains / une carafe de vin / un hareng / tortelli / une salade / quatre pains / une tasse de vin corsé / un quart de vin sec / une assiette d’épinards / quatre anchois / tortelli / six pains / deux soupes de fenouil / un hareng / une tasse de vin corsé
https://pbs.twimg.com/media/ET0XJoNWAAMQAkg?format=jpg&name=medium
Rencontre Alain Damasio-Bernard Stiegler: Révolution ou Bifurcation?
8 AOÛT 2020 PAR ERIC BUSI BLOG : SCIENCE ET SOCIÉTÉ
Une discussion entre le penseur français des technologies, disparu jeudi dernier et l’auteur qui ose écrire de la science-fiction politique. Société de la vitesse, du contrôle, novlangue: Révolution ou Bifurcation?
https://blogs.mediapart.fr/eric-busi/blog/080820/rencontre-alain-damasio-bernard-stiegler-revolution-ou-bifurcation?utm_
BONSOIR
Rencontre Alain Damasio-Bernard Stiegler: Révolution ou Bifurcation?
https://blogs.mediapart.fr/eric-busi/blog/080820/rencontre-alain-damasio-bernard-stiegler-revolution-ou-bifurcation?utm_source=20200808&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-%5BQUOTIDIENNE%5D-20200808&M_BT=1249929909253
Pablo75 est un peu trop systématique dans son rejet des modernes
Jazzi dit:
Des faux modernes, nuance… Ou maintenant Mondrian est plus moderne que Picasso ou Boulez que Chostakovitch?
tout le monde ici sait ce que je pense de Mondrian
renato dit:
Tout le monde ici s’en fout de ce que tu penses de Mondrian, plutôt…
(Avec la canicule, il devient mégalo, le mec).
Ce n’est quand même pas la faute des artistes si le public n’est pas éduqué
renato dit:
Tu appelles « éduqué » le type qui avale tout ce qu’on lui dit d’avaler? Ou le snob qui a une peur bleue de ne pas être à la page? Ou le myope qui confond des carreaux de couleur bons pour décorer des toiles cirées avec de la peinture?
Moi j’appelle ça un crétin obéissant.
Après lecture du texte de Wajdi Mouawad dans Le Monde:le Liban compte 4 millions d’habitants, la diaspora libanaise est forte de de 11 millions de personnes. Face à la situation que traverse le pays, il serait normal qu’elle se mobilise, d’autant plus qu’elle réussit généralement très bien dans les pays où elles est implantée.
Tout ça, Bloom, est le fruit du travail des services occultes du NWO. Un travail admirable de professionnalisme, il faut bien le reconnaitre.
Mishima a dit qu’il tenait Hadrien pour un chef-d’oeuvre
et la moule qui s’y connaît en mihimime l’a cru… ! comme si l’empereur Hadrien n’avait pas été un personnage de fiction pour Youyou. et L’huître démêle ce qu’elle veut chez les plaideurs…,
Et c reparti comme en 40, jusqu’à la prochaine raclée de passoul… Vive la république de illettrokutés !
https://www.youtube.com/watch?v=bApFd_w6mSQ
Bàv, Langoncet.
Chrysanthème, 1909 :
–
Ben que dire ? Sinon que c’est moche…
Regarde, renato. Ça c’est beau. Est-ce que tu perçois la différence ?
wwww.http://www.quandarrosermaplante.com/wp-content/uploads/2019/06/chrysanth%C3%A8me.jpg
Eh oui ça vous la coupe.
Il commence à devenir fatiguant ce Pablo75, il y a de bon qu’il ne vole pas haut — raz les pâquerettes, plutôt. Et cette manie de tutoyer les gens sans accord prealable, pitoyable.
(En France pour cette élite du confort, il y a, il y aura toujours une seconde chance.
Ma dernière pensée n’est pas pour elle mais pour cette femme de 87 ans qui pleure un homme qu’elle a fait disparaître).
Charoule…, votre commentaire se fait attendre sur les trois chaines,
bàv
« Eh oui ça vous la coupe. »
Pas du tout, D., puisque les critères en jeu ne sont point les mêmes.
Se mobilier pour le Liban, Bloom… ?
En envoyant de l’argent aux satrapes du pays, sans soute ?
Mais les vrais Libanais nous l’interdisent !… Et le Canadien n’est est plus !… Alors quoi, Carlos Goshn ?… On l’a pas trop entendu, çui-là… Pas une meilleure petite idée à son sujet ?
La diplo de not’french Doktor président qui va aller y vérifier le fond des tiroirs le 1er septembre prochain avec ses gros yeux ? Tout simplement grotesque !
Suggérez nous autre chose, cher ami. Je vous supplie. Défendez votre honneur et celui de la rdl en notre nom. D’avance merci.
Paysage bleu, Paul Cézanne vers 1904 :
Marc, on bouffe le soir si on veut. Je connais des gens qui en effet ne font que deux repas par jour, voire un. L’essentiel est de s’y habituer et de ne pas réduire sa ration calorique nécessaire, ce qui peut être tentant pour certains.
Cela se comme le jeûne intermittent et ça se défend parfaitement d’un point de vue médical nutritionnel. L’essentiel n’est pas de ne pas manger le soir, c’est d’espacer les repas de 16h au moins une fois par 24h. Ce qui est conséquent.
Exemple un repas à 20 heures puis l’autre à 12h sans petit déjeuner. Puis de nouveau à 20 h. Celui de 20h comprend 2/3 de la ration calorique quotidienne et celui de 12 h 1/3.
Autre solution qui ressemble à ce que vous préconisez : repas de 2/3 à 15h, puis de 1/3 à 07 h.
L’un comme l’autre donne d’excellents résultats.
renato dit: à
« Eh oui ça vous la coupe. »
Pas du tout, D., puisque les critères en jeu ne sont point les mêmes.
–
Ah bon.
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