0euvre et vies de Milan Kundera
On croirait un cas d’école pour atelier d’écriture créative : comment écrire la biographie d’un grand écrivain vivant lorsque ledit écrivain est de longue date un homme qui se tait obstinément ? Milan Kundera (Brno, 1929) est si discret, si ennemi de tout épanchement médiatique et de toute confession aux exégètes, qu’il réussit à vivre en homme invisible alors qu’il habite en plein Paris à deux pas du « Récamier », l’un des restaurants qui compte le plus d’éditeurs et de critiques littéraires au mètre carré. On se doute qu’il a fait sienne la forte pensée de Cioran selon laquelle la perspective d’avoir un biographe devrait faire renoncer à avoir une vie. D’ailleurs, sa mort a été si souvent annoncée par les réseaux sociaux que l’on se prend à lui envier une telle mauvaise santé de fer. Malgré l’importance de son œuvre, sa reconnaissance internationale, sa consécration par la Pléiade et bien que son nom ait été régulièrement cité pour le Nobel, les académiciens suédois ne l’ont jamais couronné ; peut-être cherchent-ils encore ses disques pour voir s’il vaut Bob Dylan.
A ses yeux, c’est simple, sa vie tient en deux phrases :
« Milan Kundera est né en Tchécoslovaquie. En 1975, il s’installe en France ».
Voilà au moins quelqu’un qui ne vous envahit pas de son verbe et ne délaye pas son ego. C’est ainsi et pas autrement qu’il accepte d’être présenté dans les différentes éditions françaises de ses livres. Seulement voilà, on a beau fuir les parasites et décourager les curieux (pas d’interview, pas d’accès aux archives ni aux amis etc), il arrive qu’ils vous rattrapent. Une première fois l’an dernier, une biographie lui était consacrée en France aux éditions de l’Archipel par Jean-Dominique Brierre mais elle passa inaperçue en raison de son insoutenable légèreté. Elle semble avoir beaucoup plu à Kundera si l’on en croit le mot (en tchèque !) qu’il lui a adressé, mais pour un biographe, ce n’est pas forcément un compliment.
Il en est tout autrement de celle qui est parue en juin à Prague sous le titre Kundera: Český život a doba (une vie tchèque en son temps). Une biographie non-autorisée, cela va sans dire mais va mieux en l’écrivant. Son auteur, l’écrivain Jan Novák, a volontairement interrompu ses recherches et son récit à la date-butoir de 1975, lorsque l’écrivain a émigré en France. Seul l’intéresse l’homme d’avant comme il l’a confié au micro de Radio Prague international. Selon lui, Kundera a reconstruit son passé en arrivant en France, comme nombre d’émigrés. Non, affirme-t-il, il n’a pas été exclu d’une université ; non, il n’a pas travaillé dur dans des régions minières ; non, il n’était pas pratiquement inconnu dans son pays jusqu’à la parution de La Plaisanterie en 1967 puisqu’en 1963 déjà il avait été le lauréat d’un prix littéraire remis par l’Etat et l’auteur de poésie « stalinienne » ; non, il n’était pas anticommuniste comme en témoigneraient ses discours lors d’officiels congrès d’écrivains et ses distances par rapport aux réformateurs ; non, il ne fut pas une victime du système, il en a au contraire profité etc. Là où le biographe pointe des mystifications, le romancier peut dire qu’il s’est réinventé, ce qui n’a rien de surprenant venant d’un maitre de la fiction qui, dans L’ignorance, avait entrepris de comparer les mots et expressions dont usent les langues de la vieille Europe pour désigner le sentiment de nostalgie: saudade, spleen, sehnsucht…
Jan Novak a retrouvé des textes de jeunesse, certains publiés sous pseudonyme ; il a mis le pied dans la porte des témoins récalcitrants ; mais de son propre aveu, même si son pavé de 900 pages fouille d’innombrables zones d’ombre, deux points obscurs ont été les aiguillons de sa curiosité. D’abord le séducteur, l’homme à femmes à propos duquel son ami Ivo Pondělíček, psychanalyste et sexologue, complice de ses escapades et de son donjuanisme, semble avoir été bavard, éloquent, détaillé, lettres et souvenirs à l’appui. Ensuite, « l’affaire », cette sale histoire qui a resurgi en 2008 dans les colonnes du magazine Respekt lorsqu’un chercheur de l’Institut tchèque pour l’étude des régimes totalitaires a dévoilé des documents selon lesquels en 1950, Kundera aurait fourni des informations à la police et à la Sécurité d’Etat mettant en cause un ancien pilote du nom de Miroslav Dvořáček ; arrêté pour espionnage, condamné à 22 ans d’emprisonnement, celui-ci fut longtemps incarcéré dans un camp de travail. Soutenu par nombre d’écrivains un peu partout dans le monde, Kundera nia avec force ce qui n’empêche pas Novak d’y revenir en détail, se disant convaincu de la véracité de l’affaire sur la base de concordances avec des témoignages, des documents et… le réemploi de ce vécu de la délation dans La Plaisanterie et dans La Vie est ailleurs (1973) !
On croit savoir que le biographe Jan Novak, dont l’ouvrage est pour le moins controversé, travaille déjà au second volume, cette fois sur les années françaises, alors que Milan Kundera et sa femme viennent d’annoncer le don de leurs archives à la Bibliothèque de Moravie, à Brno, la ville où il est né. Il est à craindre que ce soit tout sauf un livre du rire et de l’oubli. Il sera intéressant de voir comment il traite notamment l’adoption par Milan Kundera du français comme langue d’écriture. La lecture de ses romans La lenteur (1995), L’identité (1998), L’ignorance (2003) puis de son essai Le Rideau (2005) et plus encore de La fête de l’insignifiance (2014) témoignait d’une étonnante lourdeur dans l’expression, surprenante sous la plume drôle, captivante, stylée, puissante et pétillante d’intelligence de l’auteur de La plaisanterie (1968) ou de La valse aux adieux (1976).
Dans Le Rideau, même la pensée souffrait d’être laborieuse, aussi épaisse que l’expression en était pauvre. Cet ensemble discontinu de réflexions sur l’art sous toutes ses formes brasse large : le coup d’envoi donné par Goethe à la Weltliteratur, Rabelais, le comparatisme etc. On ne retrouve le Kundera d’avant que lorsqu’on aperçoit des éclairs dans l’analyse qu’on voudrait lui faire aussitôt approfondir. Ainsi de sa détestation de l’idée de la mitteleuropa (expression qu’il abhorre), ou de son insistance à qualifier Kafka d' »écrivain allemand ». Comme on aurait aimé le voir développer des constats tels que :
« L’Europe n’a pas réussi penser sa littérature comme une unité historique et je ne cesserai de répéter que c’est là son irréparable échec intellectuel« .
Ou encore :
« Hitler avait apporté non seulement d’indicibles horreurs à l’Europe mais il l’avait spoliée de son sens du tragique ».
Mais quand on lit sous sa plume, à propos de l’invasion soviétique de la Tchécoslovaquie en 1968 : » Je sais depuis lors ce qu’aucun Français, aucun Américain ne peut savoir ; je sais ce qu’est pour un homme vivre la mort de sa nation« , on se demande s’il a jamais entendu parler de ce qu’a vécu la France entre 1940 et 1944.
Ce n’est pourtant pas faute d’avoir aimé la France en ne se contentant pas d’adopter sa langue et sa nationalité. Ainsi, par admiration pour Céline publié chez le même éditeur que lui en République tchèque, Milan Kundera a renoncé à une partie de ses droits d’auteur afin que cela serve à financer une nouvelle traduction du Voyage au bout de la nuit... Et puis quoi, quel écrivain est capable de nos jours de consacrer tout un chapitre d’Une rencontre (un recueil de ses critiques littéraires d’une pénétration remarquable) à louer le génie d’Anatole France et la grandeur inentamée des Dieux ont soif (1912), réflexion en creux sur la montée du fanatisme dans un esprit sensible et nuancé, celui d’Evariste Gamelin, jeune peintre jacobin que la Terreur (1793-1794) poussera à siéger dans un tribunal révolutionnaire et s’y montrer le plus implacable pourvoyeur de la guillotine.
On verra aussi comment le biographe s’en sort de « l’affaire Pléiade » : deux volumes d’Oeuvre (sans « s ») de Milan Kundera dont l’auteur s’assura la totale maitrise. Il l’a si bien épurée qu’il y manque des textes de jeunesse, des articles importants, des brouillons, des variantes, sa propre biographie et surtout ce qui a toujours fait l’intérêt de la Pléiade : l’appareil critique. Cette édition ne contient que du Kundera allégé, orné d’une succincte préface et d’une « biographie de l’œuvre » signées François Ricard. Le tout conforme à l’image que l’écrivain veut laisser de lui, en parfaite adéquation avec son aversion chronique pour les biographes, les généticiens de la littérature et leur commune « morale de l’archive ». Il y eut des universitaires pour s’en scandaliser, à quoi Gallimard se fit fort de rappeler qu’en leur temps, Gide, Borges, Simon, Gracq en firent tout autant que Kundera. Ils avaient certes exercé leur droit de contrôle mais pas au point de forcer la collection à abdiquer tout esprit critique.
Il n’empêche que l’on doit à Kundera. Un Européen, c’est celui qui a la nostalgie de l’Europe. Or cet écrivain nous a appris cela que seul un créateur venu de la fiction pouvait nous apporter. On lui doit d’avoir ressuscité l’idée d’Europe centrale. Contexte et fil rouge de l’essentiel de ses écrits, elle court tout au long de son œuvre comme en témoigne la lecture de ces deux volumes de Pléiade. A condition de ne jamais oublier ce qu’il a voulu faire du roman : un art, et non plus un genre, porteur d’une vision du monde, et dont l’avenir se joue dans la cale de l’Histoire.
Kundera nous a appris à regarder les régimes communistes en action non à travers leur prisme strictement socio-politique mais par les attitudes qu’ils suscitaient chez les citoyens/personnages. Du communisme en particulier, il tira la meilleure des introductions au monde moderne en général. L’impact de son œuvre est indissociable de l’émancipation des peuples de ces pays-là. Elle est des rares à avoir permis, à ses lecteurs emprisonnés derrière le rideau de fer, d’inscrire leur « moi » au sein d’un « nous » jusqu’alors dilué au sein d’une histoire collective. Traitant la politique en artiste radical, il a redonné des noms à des phénomènes, des sentiments et des sensations que le totalitarisme avait réussi à débaptiser. Kundera a regardé la société en adepte du pas de côté et du décalage. Il a revisité les anciennes catégories qui définissaient les grands romanciers d’Europe centrale, celle de la philosophie et du sérieux, pour les remplacer par un rire tout de désinvolture et d’impertinence, par l’humour et l’ironie contre les grotesques du système, et par l’élévation du kitsch au rang d’une catégorie quasi métaphysique. Sa méditation sur l’exil, et l’impossibilité pour l’émigré de rentrer au pays sous peine d’annuler de sa biographie intime ses longues années passées hors de chez lui, est inoubliable.
Il a ressuscité un Occident oublié au sein de notre Occident. La résurgence de cette Atlantide a cassé la vision bipolaire Est/Ouest ; celle-ci n’avait pas seulement écrasé l’identité de la Mitteleuropa : elle avait installé le choc des civilisations dans les esprits. On doit au romancier d’avoir hâté le retour de l’Europe centrale en restituant ses habitants à l’Europe, une véritable révolution culturelle, ce qui n’est pas peu (son article de 1983 sur « Un Occident kidnappé » fait date). Sa vision de l’Histoire n’en est pas moins « idéalisée parfois à la limite du kitsch » ainsi que le lui reproche Vaclav Belohradsky dans un article vigoureux de Literarni Noviny repris en français par la revue Books. Selon lui, Kundera n’a pas voulu voir que l’Europe centrale avait été aussi une allégorie de la face sombre du XXème siècle ; il n’en a retenu que l’éblouissante modernité à l’œuvre dans la Vienne de la grande époque pour mieux oublier la haine de la démocratie, le nationalisme anti-Lumières, l’antisémitisme et autres démons.
Vaclav Belohradsky pointe la racine de ce tropisme dans une naïveté propre à une conception avant-gardiste de la modernité, en vertu de laquelle le passage du passé au présent permettrait de se libérer des ténèbres. Comme quoi, pour avoir été un fin analyste de la mécanique totalitaire, le romancier n’en serait pas moins victime d’une illusion sur le brouillard qui enveloppe le passé et se dissipe dès que celui-ci devient présent. Il identifie la bêtise à la religion de l’archive, l’illusion biographique, le formalisme littéraire, la recherche génétique. Tout ce qui concourt selon lui à dépouiller un auteur de ce qui n’appartient qu’à lui. Nous sommes donc privés notamment de textes de jeunesse. Le fait est que cette édition épurée est la négation même du travail des historiens de la littérature.
On ne saura pas quand il est passé du rire à l’oubli, et de la tendresse au désenchantement. Ni comment le Kundera tchèque fut aussi engagé que le Kundera français ne l’est pas. Ni les étapes parfois douloureuses qui l’ont fait glisser de sa langue natale à sa langue d’adoption avec tout ce que cela suppose de renoncements. Ni l’évolution du lyrisme insolent, drôle, sarcastique, agressif, mordant, romantique des années de plaisanteries et de risibles amours à l’antilyrisme l’ayant mis à distance des sentiments pour verser dans une ironie qui n’aura conservé que le sarcasme des années d’avant, comme un adieu à l’innocence, prix à payer pour accéder à la sagesse, si Diderot à ses débuts, si Anatole France vers la fin. Ni pourquoi il lui fallu dissocier son art romanesque de tout contexte politique pour lui accorder le statut extraterritorial d’une autonomie radicale. Regrets éternels. On aurait ainsi mieux compris comment un grand écrivain se déhistoricise dès qu’il se veut universel. Alors à défaut de la Pléiade, la biographie, qui sait…
(photos Gisèle Freund puis D.R.)
1 520 Réponses pour 0euvre et vies de Milan Kundera
Tiens je n’avait pas tout lu, il y a de bon que les insultes de certains ne me font ni chaud ni froid, ce seraient plutôt leurs louanges qui seraient blessantes.
Incidemment, la proposition « on lui a offert plein de possibilités » en dit long sur une mentalité de lèche-bottes sans pareil qui vient sur un blog pour décharger sa rage d’homme manqué : au XXe siecle personne vous offre des possibilités, on les crée selon ses nécessité et ses intérêts — ça, du moins, dans les environnements civilisés.
Cela dit, j’aimerais savoir où ai déclaré de l’admiration pour l’œuvre de Mondrian ou de n’importe quel autre artiste ; quand je me suis dit peintre, photographe, écrivain : il n’a donc même pas les bonnes informations ce pauvre type, ce qui n’est pas étonnant venant d’un aigri, je ne peux donc que compatir.
Et maintenant voyons qu’est ce qu’il vomit.
Vu Blanche Gardin à Saint Barth qui joue avec Louis c un K. (Pathologique).
Ils ont de l’argent.
On dirait une petite fille qui joue avec son vieux papa. Gros et moche.
Où va se nicher l’amour ?
Elle, on dirait une petite vieille qui n’a jamais été gamine.
Sortir avec son idole, ce doit être un drôle de truc.
Non, on dirait une petite fille qui joue et qui a déjà les stigmates d’une petite vieille.
Nonobstant cela, elle a l’air heureuse.
Pensée de Snoopy : « Ce que tu cherche est en toi, le reste est au frigo ».
Avec un peu de fraicheur,
MONDRIAN,
Rangée de onze peupliers en rouge,jaune, bleu et vert 1908.
Huile sur toile 69 x 112 cm.
Museum The fundation, Zwolle.
Bonjour!
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Déjà la nomination avant séparation nette des couleurs!
Mondrian!
https://scontent.fcdg2-1.fna.fbcdn.net/v/t1.0-9/117773288_767364150473426_1228636867467307899_o.jpg?_nc_cat=105&_nc_sid=825194&_nc_ohc=m0gT4yuCYZMAX_3L1Bn&_nc_ht=scontent.fcdg2-1.fna&oh=d464035b012fafe8f4f178ffac6efed2&oe=5F5A2520
« trumpery » signifie « bêtise, chose insignifiante »…
dear Bloom, comme vous savez, les douaniers US moins bons linguistes que vous sont passés de Trumpf (« atout ») à Trump.
souvenons-nous, la prestation de Condoleezza Rice subjuguant le parterre de fils à papa à sciences po. la roue de la fortune.
Les Républicains font parfois peur, les Démocrates eux toujours rire…
D. dit: à
Non, rose, je ne pense pas.
Hugo ne fait jamais référence à des personnages bibliques par ailleurs, dans toute son œuvre.
–
Personne n’a réagi. Arff…
AUX FEUILLANTINES
Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants.
Notre mère disait : Jouez, mais je défends
Qu’on marche dans les fleurs et qu’on monte aux échelles.
Abel était l’aîné, j’étais le plus petit.
Nous mangions notre pain de si bon appétit,
Que les femmes riaient quand nous passions près d’elles.
Nous montions pour jouer au grenier du couvent.
Et, là, tout en jouant, nous regardions souvent
Sur le haut d’une armoire un livre inaccessible.
Nous grimpâmes un jour jusqu’à ce livre noir ;
Je ne sais pas comment nous fîmes pour l’avoir,
Mais je me souviens bien que c’était une Bible.
Ce vieux livre sentait une odeur d’encensoir.
Nous allâmes ravis dans un coin nous asseoir.
Des estampes partout ! quel bonheur ! quel délire !
Nous l’ouvrîmes alors tout grand sur nos genoux,
Et, dès le premier mot, il nous parut si doux
Qu’oubliant de jouer, nous nous mîmes à lire.
Nous lûmes tous les trois ainsi, tout le matin,
Joseph, Ruth et Booz, le bon Samaritain,
Et, toujours plus charmés, le soir nous le relûmes.
Tels des enfants, s’ils ont pris un oiseau des cieux,
S’appellent en riant et s’étonnent, joyeux,
De sentir dans leur main la douceur de ses plumes.
Marine-Terrace, août 1855.
Quoi que vous fassiez, le sort de la grande foule, de la multitude, de la majorité, sera toujours relativement pauvre, et malheureux, et triste. À elle le dur travail, les fardeaux à pousser, les fardeaux à traîner, les fardeaux à porter. Examinez cette balance : toutes les jouissances dans le plateau du riche, toutes les misères dans le plateau du pauvre. Les deux parts ne sont-elles pas inégales ? La balance ne doit-elle pas nécessairement pencher, et l’état avec elle ? Et maintenant dans le lot du pauvre, dans le plateau des misères, jetez la certitude d’un avenir céleste, jetez l’aspiration au bonheur éternel, jetez le paradis, contre-poids magnifique ! Vous rétablissez l’équilibre. La part du pauvre est aussi riche que la part du riche. C’est ce que savait Jésus, qui en savait plus long que Voltaire.
Donnez au peuple qui travaille et qui souffre, donnez au peuple, pour qui ce monde-ci est mauvais, la croyance à un meilleur monde fait pour lui. Il sera tranquille, il sera patient. La patience est faite d’espérance.
Donc ensemencez les villages d’évangiles. Une bible par cabane. Que chaque livre et chaque champ produisent à eux deux un travailleur moral.
La tête de l’homme du peuple, voilà la question. Cette tête est pleine de germes utiles ; employez pour la faire mûrir et venir à bien ce qu’il y a de plus lumineux et de mieux tempéré dans la vertu. Tel a assassiné sur les grandes routes qui, mieux dirigé, eût été le plus excellent serviteur de la cité. Cette tête de l’homme du peuple, cultivez-la, défrichez-la, arrosez-la, fécondez-la, éclairez-la, moralisez-la, utilisez-la ; vous n’aurez pas besoin de la couper.
in Claude Gueux (1834)
Trumpf (« atout ») à Trump.
—
Même sens en anglais, dear Phil; reste que ses dérivations collent au poil à la « personnalité » du triste sire qu’est « N°5 ». Jugez-en:
– To trump up = « inventer de toutes pièces », qui provient certainement de la propension à tricher des joueurs de cartes, l’atout devenant aussi facile à produire qu’un touit.
– L’adjectif « trumpery » quand à lui oscille entre « criard » (cravate rouge) & « insignifiant », « sans valeur » (touit touit).
– Avec « trumpery » ,le substantif, c’est « l’homme », qui appartient à une grande famille dont les membres sont: balderdash, balls, bilge, bosh , bull, bullshit, bunkum / buncombe (US), claptrap, cobblers (Brit), crap, drivel, eyewash , garbage , guff, hogwash, hokum (US & Canada), horsefeathers (US), hot air, moonshine, nonsense, pap, piffle , poppycock , rot, rubbish, shit, stuff, tommyrot, tosh (Brit.), trash, tripe, twaddle.
Quant à Condoleezza Rice, il est bien dommage que son talent ait été mis au service d’une politique étrangère pour le moins désastreuse.
les Démocrates eux toujours rire…
—
Surtout Lyndon B.
Mais qui est-ce?
Rose,
lu l’excellente analyse de M.Court concernant le personnage des misérables de V.Hugo, Jean Valjean.
Quant à Marie-Madeleine, quelques impressions nées de la lecture de plusieurs ouvrages, dont les Évangiles et de conversations avec mon vieil ami dominicain, bibliothécaire à la Sainte-Baume.
Qui était Marie de Magdala, mieux connue sous le nom de Marie-Madeleine, une déformation probable du mot «Magdaléenne» ? On l’a longtemps considérée comme une prostituée repentie à cause du rôle de séductrice qu’on lui a attribué, ce qui n’est pas dans les textes. Elle aurait été guérie de « sept démons ». (On parlait à l’époque de «démons», quand on n’était pas capable d’expliquer l’origine d’un mal. Les «démons» étaient donc responsables de nombreuses maladies tant psychiques que physiques.) Les « sept démons » de Marie Madeleine, c’est le signe qu’elle était, non pas une grande pécheresse, mais qu’elle souffrait d’une maladie très grave voire incurable.
On a aussi confondu trois femmes : une prostituée non identifiée, celle qui répandit du parfum sur les pieds de Jésus (Lc 7,37) (C’est à cause de l’intimité de ce geste et des revenus de cette femme car elle utilisait un « parfum précieux en grande quantité », que les Pères de l’Église ont pensé à une prostituée…)
Marie de Magdala, elle, est libérée de son mal au chapitre suivant en (Lc 8,2)
et
il y a encore une autre Marie, celle de Béthanie, en Judée, la sœur de Marthe et de Lazare (Jn 12,3).
Après la Résurrection, Marie de Magdala (Marie-Madeleine) a joué un rôle majeur dans la transmission du message du Christ, (statut féminin souvent occulté par l’Église), nouvelle responsabilité féminine car elle débattait de la Loi avec des disciples masculins. Que des femmes juives deviennent disciples d’un rabbin était un fait exceptionnel qui paraît unique dans l’histoire palestinienne de l’époque. C’est la première messagère chrétienne, un rôle apostolique, une des figures fondatrices les plus importantes du christianisme alors que l’Église institutionnelle décide, d’autorité, de clore le débat sur l’ordination des femmes !
Marie-Madeleine fit preuve d’indépendance et se trouva alors, bien sûr, la cible de critiques, qualifiée de pécheresse, voire de posséder des démons ! Cette figure de la prostituée « repentie » a eu beaucoup de succès, surtout au Moyen Age…
Marie-Madeleine n’avait pas le comportement des autres femmes de son temps et de son pays (elle venait de Magdala (d’où son deuxième nom), ville prospère et commerçante sur les bords du lac de Génésareth, au nord de Tibériade, en Galilée). Sa liberté de mouvements a nourri bien des fantasmes concernant le pouvoir de séduction des femmes, menaçant le « salut des hommes »… (Depuis des générations, leur statut était clair : rôle social dans la famille, plaisir du conjoint et maternité. Marie de Magdala brisa ces tabous qui enfermaient les femmes dans leur foyer, contraintes a l’ignorance et à l’obéissance.
Donc pour moi aucun rapport avec la pauvre Fantine.
https://www.pinterest.fr/pin/463307880402607934/
#Trump trompe avec touit, je répète, #….
Vous souvenez vous, Pablo, qu’un jour alors que nous marchions en bord de Marne, en réponse à mon avis vous retorquâtes que la gentillesse n’était jamais en trop .
B dit: à
Tu te trompes: c’était au bord de la Seine et je te disais que la gentillesse ne fait qu’exciter les sadiques. D’ailleurs, ce n’est pas avec toi
que j’ai marché un jour au bord d’un fleuve mais avec la soeur de la voisine de ta cousine, qui a dû te le raconter.
Le suicide est une excellente pratique pour les cons, ce qui confirme leur vertu, acte choisi, noble, qui ment à mort. Il n’y a pas de noblesse dans un acte d’une telle lâcheté.
JiCé….. dit:
Lis ce que Sénèque et Montaigne ont écrit sur le suicide de Caton et après revient nous dire ce que tu en penses.
A bas les curés et les dames catéchistes!
A bicyclette,miladiou!
A bicyclette , miladiou!
Et maintenant voyons qu’est ce qu’il vomit.
renato dit: à
Pas la peine de perdre son temps à répondre aux pédants ratés dans ton genre.
(Quel collection de nuls mégalomanes dans ce blog: le Pétomane, Vedo, renato, et alii, Court… – et j’en oublie sûrement).
Quand Jorge Luis Borges énumérait une par une les 27 raisons qui l’amenaient à demander le divorce : récriminations…
Personne n’est intrigué par ce nombre de raisons?
J’ai écrit que Soutine avait été le deuxième homme de la vie de Madeleine Castaing aussi je tiens à préciser le sens de ma pensée : il s’agissait d’une seule attirance pour le génie de l’artiste et une certaine affection pour le côté touchant et ours de Soutine. Jamais il n’y a eu la moindre relation amoureuse entre les deux. Je pense que pour Soutine, Madeleine Castaing était une sorte de mère.
Des fois que.
www.http://anotherimg-dazedgroup.netdna-ssl.com/516/azure/another-prod/360/2/362074.jpg
« Quant à Condoleezza Rice, il est bien dommage que son talent ait été mis au service d’une politique étrangère pour le moins désastreuse. »
On nous a déjà fait le coup avec « responsable mais pas coupable », Bloom !
La photo de Banier est immonde. Ça me fait mal de la regarder. Je ne mets même pas le lien.
« Lis ce que Sénèque et Montaigne ont écrit sur le suicide de Caton et après revient nous dire ce que tu en penses. »
Pas question ! J’ai décidé de ne lire aucun de ces types que je ne connais pas. Quant à dire ce que je pense ?…Jamais ! J’ai ma fierté de pervertueux au service du mensonge.
…jeudi 13 aout 2020 à 10 h 48 min.
…
…il ne faut pas tout confondre express,…pour valoriser ou dévaloriser, quelqu’un ou quelque chose de particulier en soi,…
…évident,…
…le Mondrian à ses débuts, figuratif-impressionniste, de style » Vincent Van Gogh « ,…
…et puis, après la guerre 14-18, devient l’abstrait en » mutations » à son cubisme-rangé, » particulier « ,…
…loin de Vassily Kandinsky, et lier aux arts décoratifs, meubles, modes, architecture,!…
…
…un autre style radical-abstrait, dans la continuité de Koloman Mozer,…en Autriche.
…la facilité du coloriage pour se cartonner aux multiples dollars-impressionnistes, en liquidités,…
…la croisade des arts aux dollars,!…
…of course,!…
…Van Gogh, remplacer par des petits-cubes sans fins,…comme encore des » pixels « ,!…
…envoyez,!…
Le suicide je ne suis pas pour, mais l’indicible souffrance psychique des grands dépressifs peut l’excuser.
Jésus lui-même sur la croix n’a-t-il pas supplié d’y être ainsi abandonné ?
Devinez ce que D. va manger ce soir !
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/05/%27Nature_Morte_aux_Harengs_et_aux_Oignons%27_by_Chaïm_Soutine%2C_c._1917.jpg
Jazzi dit: à
Devinez ce que D. va manger ce soir !
En provenance directe de Collioure! 😉
Mais oui. J’aime beaucoup le hareng-pommes à l’huile bien compris.
Soutine dans ses années misérables mangeait souvent du hareng parce qu’il ne pouvait pas s’acheter grand chose d’autre en terme de protéine animale.
Le vieil hareng saur de 95 ans à la sauce Banier, c’est plus rigolo, D. !
https://www.bing.com/images/search?view=detailV2&ccid=Y7HDuPgq&id=4FE666BCB7CD2058CEC502CEF972284FF377B71A&thid=OIP.Y7HDuPgqYT3CIvDl8UnSpQHaLI&mediaurl=http%3a%2f%2ffmbanier.com%2fwp-content%2fuploads%2f2018%2f01%2f1809-499×750.jpg&exph=750&expw=499&q=castaing+banier&simid=608046723515221233&ck=6F7497F4D93D60AC595C7D472C71C852&selectedIndex=0&FORM=IRPRST&ajaxhist=0
Hareng fumé en salade — pomme, oignon, pomme de terre, crème fraîche épaisse. Accompagné d’une bonne eau-de-vie.
Il était un grand mur blanc nu, nu, nu,
Contre le mur une échelle haute, haute, haute,
Et, par terre, un hareng saur sec, sec, sec.
Il vient, tenant dans ses mains sales, sales, sales,
Un marteau lourd, un grand clou pointu, pointu, pointu,
Un peloton de ficelle gros, gros, gros.
Alors il monte à l’échelle haute, haute, haute,
Et plante le clou pointu toc, toc, toc,
Tout en haut du grand mur blanc nu, nu, nu.
Il laisse aller le marteau qui tombe, qui tombe, qui tombe,
Attache au clou la ficelle longue, longue, longue,
Et, au bout, le hareng saur sec, sec, sec.
Il redescend de l’échelle haute, haute, haute,
L’emporte avec le marteau lourd, lourd, lourd,
Et puis, il s’en va ailleurs loin, loin, loin.
Et, depuis, le hareng saur sec, sec, sec,
Au bout de cette ficelle longue, longue, longue,
Très lentement se balance toujours, toujours, toujours.
J’ai composé cette histoire simple, simple, simple,
Pour mettre en fureur les gens graves, graves, graves,
Et amuser les enfants petits, petits, petits.
/ Charles Cros/ Le hareng saur
c’est hihihi l’hareng
Vanina
« Los Lobos », « Calexico »: La Raza et ses triomphes aux
Etats Unis. Junot Diaz et ses contes, loufoques, vrais,
attendrissants.Dansez « La Feria de las Flores »,bonheur. Ou alors « Sabor a mi » » et tous les autres immortelles.
Grande exposition à Messina, de toute la production de
son fils le plus célébre, Antonello, il y a de celà au
moins trente ans, mais inégalable. J’avais catalogue et surtout avec moi et pour toujours « Il sorriso dell’
ignoto marinaio ». On est encore enrichi par nos souvenirs.
La clé des champs, et se mettre au vert- avec son Jules, Juliette, ou qui vous aimez.
Amitiés.
et alii photographiée par Banier, j’achète la photo !
Vanina
toutes les autres
« Quand Jorge Luis Borges énumérait une par une les 27 raisons qui l’amenaient à demander le divorce »
Oui, pourquoi 27, et alii, vous avez une explication ?
merci dear Bloom pour vos églogues étymologiques. comme disait Trump à Merkel qui leva les yeux au ciel: « after all, I have german blood ! »
indeed, les affaires étrangères ne sont pas un petit « maroquin », dixit Baroz.
Livre des Nombres
(chapitre 27,verset 1 jusqu’au verset 11)
Le droit d’héritage des femmes
Il y a deux mille ans, Corinthe était une grande ville cosmopolite aux moeurs stupréfiantes si l’on en croit saint Paul !
« 1 Corinthiens 5
5.1
On entend dire généralement qu’il y a parmi vous de l’impudicité, et une impudicité telle qu’elle ne se rencontre pas même chez les païens; c’est au point que l’un de vous a la femme de son père.
5.2
Et vous êtes enflés d’orgueil! Et vous n’avez pas été plutôt dans l’affliction, afin que celui qui a commis cet acte fût ôté du milieu de vous!
5.3
Pour moi, absent de corps, mais présent d’esprit, j’ai déjà jugé, comme si j’étais présent, celui qui a commis un tel acte.
5.4
Au nom du Seigneur Jésus, vous et mon esprit étant assemblés avec la puissance de notre Seigneur Jésus,
5.5
qu’un tel homme soit livré à Satan pour la destruction de la chair, afin que l’esprit soit sauvé au jour du Seigneur Jésus.
5.6
C’est bien à tort que vous vous glorifiez. Ne savez-vous pas qu’un peu de levain fait lever toute la pâte?
5.7
Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé.
5.8
Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, non avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la pureté et de la vérité.
5.9
Je vous ai écrit dans ma lettre de ne pas avoir des relations avec les impudiques, –
5.10
non pas d’une manière absolue avec les impudiques de ce monde, ou avec les cupides et les ravisseurs, ou avec les idolâtres; autrement, il vous faudrait sortir du monde.
5.11
Maintenant, ce que je vous ai écrit, c’est de ne pas avoir des relations avec quelqu’un qui, se nommant frère, est impudique, ou cupide, ou idolâtre, ou outrageux, ou ivrogne, ou ravisseur, de ne pas même manger avec un tel homme.
5.12
Qu’ai-je, en effet, à juger ceux du dehors? N’est-ce pas ceux du dedans que vous avez à juger?
5.13
Pour ceux du dehors, Dieu les juge. Otez le méchant du milieu de vous. »
« Nombres 27
27.1
Les filles de Tselophchad, fils de Hépher, fils de Galaad, fils de Makir, fils de Manassé, des familles de Manassé, fils de Joseph, et dont les noms étaient Machla, Noa, Hogla, Milca et Thirsta,
27.2
s’approchèrent et se présentèrent devant Moïse, devant le sacrificateur Éléazar, et devant les princes et toute l’assemblée, à l’entrée de la tente d’assignation. Elles dirent:
27.3
Notre père est mort dans le désert; il n’était pas au milieu de l’assemblée de ceux qui se révoltèrent contre l’Éternel, de l’assemblée de Koré, mais il est mort pour son péché, et il n’avait point de fils.
27.4
Pourquoi le nom de notre père serait-il retranché du milieu de sa famille, parce qu’il n’avait point eu de fils? Donne-nous une possession parmi les frères de notre père.
27.5
Moïse porta la cause devant l’Éternel.
27.6
Et l’Éternel dit à Moïse:
27.7
Les filles de Tselophchad ont raison. Tu leur donneras en héritage une possession parmi les frères de leur père, et c’est à elles que tu feras passer l’héritage de leur père.
27.8
Tu parleras aux enfants d’Israël, et tu diras: Lorsqu’un homme mourra sans laisser de fils, vous ferez passer son héritage à sa fille.
27.9
S’il n’a point de fille, vous donnerez son héritage à ses frères.
27.10
S’il n’a point de frères, vous donnerez son héritage aux frères de son père.
27.11
S’il n’y a point de frères de son père, vous donnerez son héritage au plus proche parent dans sa famille, et c’est lui qui le possédera. Ce sera pour les enfants d’Israël une loi et un droit, comme l’Éternel l’a ordonné à Moïse. »
Il y a un demi siècle, le dernier messie en provenance d’Israël venu prêcher l’amour à Paris a, lui aussi, mal fini…
https://www.facebook.com/groups/965161480229307/permalink/3215827298496036/
Non,la transformation ne date pas de l’affaire du pain volé, Rose, mais de l’affaire Petit-Gervais,ou le vol de la pièce au petit savoyard est suivi d’une crise de remords .première manifestation explicite d’une humanité autre, attentive aux Misérables. Ramiel à rappelé ici, à juste titre, qu’à l’époque ou se passe le roman, la Savoie ne faisait pas partie de la France. Ce qui projette un éclairage tout autre sur la dernière victime de Valjean. C’est après que s’enclenche la mécanique du rachat, d’abord sur le plan terrestre, ensuite sur un tout autre plan à partir du ^procès Champmathieu.
Je ne nie pas que les flambeaux soient en argent, je pense que l’image est double, matérielle et spirituelle, sinon on ne s’expliquerait pas son resurgissement. Par ailleurs, s’il ne s’était agi que d’argent, Hugo aurait choisi un objet plus neutre. Le plus curieux est que même un critique hostile comme Pontmartin, est d’accord sur le choix du modèle de Myriel, Mgr Miollis, que beaucoup à l’époque ont reconnu, même si Hugo en gauchit les traits. La transformation en Eveque constitutionnel, notamment.
Bien à vous.
MC
PS
Me trouvant régulièrement cité par le petit inquisiteur atrabilaire et astrophile, je ne puis qu’approuver la formule de Renato: « Il est des compliments qui seraient des insultes. » Fort heureusement, nous y échappons.
En outre le petit roquet emploie les mots comme un analphabète fonctionnel qui voudrait se donner un ton : « mégalomane » c’est bon pour quelqu’un qui a la folie des grandeurs et il est d’un orgueil excessif. Or, pour ce qui me concerne, pas besoin de folie de grandeurs : j’expose quand je veut et pas dans une petite galerie de quartier, inutile donc de pécher d’orgueil, je peux laisser ce sport aux aigris à qui, étant donné sa médiocrité, l’on n’a pas « offert plein de possibilités ».
vous avez raison de vous défendre renato
il ne faut pas confondre « cèdre » ,et « cédrat »
pour garder le cap:
La variété Cédrat de Corse (cédrat se dit alimea en corse) était intensivement cultivée en Corse à la fin du xixe siècle dans des vergers en terrasses essentiellement dans le Cap Corse, protégé du vent par des haies pour éviter que les fruits soient abîmés par les épines des branches. La production, qui était la plus importante au monde à l’époque, était essentiellement destinée à l’industrie du fruit confit d’Italie et d’Europe du Nord, quoique localement se produisait une liqueur, la cédratine. La cédratine est la liqueur corse par excellence : elle se compose d’alcool, de sucre, de cédrats et d’extraits naturels végétaux et titre 24° d’alcool. Ailleurs, en Méditerranée, on trouve d’autres liqueurs mettant à l’honneur l’agrume, comme l’Italicus, composé à base de cédrat et de bergamote.
Mais qui ici confond, et alii ?
Et le limoncello et alii !
suicide
Marseille : Un prof retraité se pend en détention provisoire, sa famille veut déposer plainte
PRISON Le suicide de ce professeur de mathématiques retraité, qui souffrait de dépression selon ses proches, remonte au dimanche 2 août
je parle de cédrat non de citron;macérez mieux
La main de Bouddha (Citrus medica var. sarcodactylis) est une variété asiatique de cédrats.
L’espèce Citrus medica est originaire d’Inde2 ; l’origine de la main de Bouddha remonte à l’Inde du nord-est ou à la Chine. Il s’agit probablement d’une mutation génétique due au hasard2.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Citrus_medica_var._sarcodactylis
Non, vous parliez de cèdre, et alii. Délibanisez-vous !
Jésus sur la Croix est aussi ridicule qu’Erdogan sur ses chiottes… (AFPP)
A propos de l’insolente fortune de certains libanais, Bernadette Chirac est retournée vivre, en fauteuil roulant, Quai Voltaire…
« Depuis la mort de Jacques Chirac, le 26 septembre 2019, Bernadette Chirac a pu compter sur le soutien sans faille et l’amour de sa fille, Claude. Face à l’état de santé préoccupant de l’ancienne Première dame, dévastée par la disparition de son mari, l’épouse de Frédéric Sarlat-Baroux a pris les choses en main pour tenter d’adoucir un peu son quotidien. Selon le Journal du dimanche, Claude Chirac aurait ainsi décidé de faire déménager sa mère dans l’ancienne résidence où elle a vécu avec Jacques Chirac, située Quai Voltaire, à Paris.
Un appartement de 396 m2, prêté en 2007 par leurs amis libanais de la famille Hariri, qui a vue sur le Louvre, mais qui est surtout rempli de souvenirs heureux. Tout l’inverse du domicile de la rue de Tournon, qui a vu les derniers jours de Jacques Chirac et où résonne désormais un silence douloureux. C’est donc pour sortir sa mère de son marasme que Claude Chirac a voulu la réintégrer dans un cadre rassurant, en espérant lui changer les idées et lui remettre un peu de baume au cœur. Et l’initiative semble bien avoir porté ses fruits. »
je parle comme je le pense à propos, et ne me soumets pas aux impératifs du premier maquereau venu
Il existe un proverbe serbo-croate peu connu : « Les maquereaux savent s’occuper des thons »
« premier maquereau venu »
Et moi, n’aurais-je pas raison de me défendre, et alii ?
Merci Et alii (et Jazzi pour la citation),
mais Marie-Madeleine me fait plutôt penser à une femme d’une nouvelle d’Isaac Bashevis Singer (1962), ce merveilleux conteur : Yentl the Yeshiva boy et le film musical que Barbra Streisand a adapté de cette nouvelle et interprété (1983).
Yentl, 1920, une jeune fille juive, orpheline de mère, à la mort de son père qui l’a initié secrètement au Talmud (car il est interdit aux femmes), refuse de se marier et décide de s’enfuir de son shtetl polonais pour étudier dans une yeshiva à Bechev (réservée aux hommes…) et pour se faire, coupe ses cheveux et se déguise en jeune homme (bien que la Torah interdisait de porter les vêtements de l’autre sexe). L’Hébreu était encore une langue sacrée réservée aux hommes érudits et pour la prière.
C’est étrange que dès le début de la nouvelle, Singer écrit : « Elle avait « l’âme d’un homme et elle dit d’elle qu’elle ne se sentait « ni homme ni femme »… Je comprends cela.
Cette nouvelle parle aussi de la place réservée aux femmes dans le judaïsme.
Vous lisant, l’autre jour, Et alii, j’ai eu la joie de découvrir les propos de cette jeune femme rabbin (mouvement libéral), Delphine Horvilleur, tellement intelligente.
Le père de Singer venait d’une famille de « hassid » et ne connaissait que le yiddish. Singer dit de son père : « A part le talmud et les questions éternelles rien ne l’intéressait. » Sa mère avait appris à lire l’hébreu toute seule.
Singer était passionné de physique et d’astronomie. Il lisait passionnément la kabbale mais aussi… les aventures de Sherlock Holmes de Conan Doyle et les écrivains russes.
En écrivant, il essayait d’interroger son doute face à Dieu à cause de la souffrance, du mal, des guerres, du nazisme.
Son frère Joshua a écrit Les frères Askenazi, livre que j’ai lu et aimé grâce à DHH.
Singer, c’est le premier écrivain de langue yiddish qui a obtenu le pris Nobel (1978).
C’est triste que la maladie d’Alzheimer lui ait fait perdre peu à peu la mémoire et que de ce fait il ait arrêté d’écrire. J’aime beaucoup ses livres.
« Merci Et alii (et Jazzi pour la citation) »
Comment as-tu deviné que et alii et moi sommes en ménage, Christiane !
D. à renoncé à manger du hareng saur ce soir, il préfère un bon maquereau au vin blanc !
https://www.jackiecuisine.com/wp-content/uploads/maquereau-vin-blanc-4w-774×516.jpg
effectivement ,christiane, il y a longtemps que votre ami désire qu’on me chasse de la RDL ;vous aussi peut-être?
JE n’ai aucune des qualités prisées sur ce blog et nulle intention de me réformer;ma santé ne supporterait pas un tel effort, et en plus je ne veux pas prendre les vitamines prescrites (mon médecin, en qui j’ai confiance parce qu’il m’a bien aidée le sait)
bonne journée; je vais me reposer
et en plus je ne veux pas prendre les vitamines prescrites (mon médecin, en qui j’ai confiance parce qu’il m’a bien aidée le sait)
Avec<B<PRISE, c’est minimum 200 commentaires par jour, etalii?
PRISE
j’ajouterai que je n’ai pas de passion particulière pour l’halieutique;alors bonne journée entre pecheurs
d’exception!
et alii dit: « effectivement ,christiane, il y a longtemps que votre ami désire qu’on me chasse de la RDL ;vous aussi peut-être? »
« Mon » ami ? A part, M.Court, sur ce fil, je n’en vois pas d’autre. Il n’a jamais exprimé le désir de vous évincer, pas plus que moi.
personne ne veut chasser personne -. ce goût toujours aussi puéril pour les mauvais jeux de mots que j’ai -. l’Or de Blaise Cédrat, par exemple. – certaines voudraient se chasser mais leur médecin dit non, reposez-vous -. pas compris où on voulait faire vivre mme vve Chirac pour ses vieux jours : chez Rafik Harriri ? pas loin de Voltaire ? avec un garde à la porte, appointé par nos impôts ? -. Le plan des Libanais, toujours dans les bons coups. – Chaïm Soutine et la viande de veau ? Du Francis Bacon à la viande d’Evêque… (constitutionnel ?). Il vaut mieux mourir sous les insultes que sous les compliments, le néant en devient plus confortable. (Chant Fort)-. On finira bien par avoir leur peau si on s’y met tous (« mi tout ») – Alors, ça vient ce papier, TTLT ? Les chats, on s’en ouf. – Tu y crois, toi, à Kamala Harris ?. – MA est une très grande pianiste, un peu fantasque, la petite fille de Pleine Goulde. – La symbolique des chandeliers. Je crois que Fantine était la mère de Cosette comme le Gavroche le fils des Thénardier. – Tous les « Misérablistes » savent que la fin de Javert constitue l’un des plus forts moments de la littérature hugolienne. C’est lui, le monument de l’édifice, il suffit de savoir lire, hein.- Entre Emma Goldman et Rosa Luxembourg, difficile de choisir, d’ailleurs. Ou entre les pâquerettes Bérénice, Rose, Judith, les 2 Maries, Alexia, Gisèle, Christiane, Chantal…, le choix n’est pas simple non plus, on les voudrait toutes à la fois. Inutile d’élire la ronce et l’ortie dans toussa. – Quant aux garçons. – oublié de saluer l’histoire de la rencontre avec l’abbé au GP. – Intéressante.
https://www.rivagedeboheme.fr/pages/arts/peinture-17e-siecle/domenico-zampieri-dit-le-dominiquin.html
Bàv, je m’en retourne là-bas, aux études, car la récré virtuelle est finie. Le retraitement de mes eaux usées aussi, les travaux. J’en ai eu pour 12 500 euros, après deux ans d’attente, et sans aucune aide de l’État. Mais au moins, j’ai fait mon écologiste. – Et toi, qu’as-tu fait de ta vie pour sauver les plats nets (crétin) ?
Maria Magdalena! yes!
Ça chauffait dans la boîte de Pietri! 😉
Looted landmarks: how Notre-Dame, Big Ben and St Mark’s were stolen from the east
They are beacons of western civilisation. But, says an explosive new book, the designs of Europe’s greatest buildings were plundered from the Islamic world – twin towers, rose windows, vaulted ceilings and all
Given their prevalence in the great cathedrals of Europe, it is easy to imagine that pointed stone arches and soaring ribbed vaults are Christian in origin. But the former dates back to a seventh-century Islamic shrine in Jerusalem, while the latter began in a 10th-century mosque in Andalucia, Spain. In fact, that first known example of ribbed vaulting is still standing. Visitors to the Cordoba Mezquita can marvel at its multiple arches intersecting in a masterpiece of practical geometry and decorative structure, never needing a repair in its thousand-year existence. The vaulted maqsura – the part of the mosque reserved for the ruling caliph – was designed to cast a sacred glow across the leader. However, the official leaflet will tell you little of the building’s Islamic origin, perhaps because it has been a Catholic church since 1236.
https://www.theguardian.com/artanddesign/2020/aug/13/looted-landmarks-notre-dame-big-ben-st-marks-east-stealing-from-the-saracens
Maria Magdalena! yes!
Ça chauffait Julie dans la boîte de Pietri!
Rose, à propos de la Fantine des « Misérables », ne jamais oublier que pour créer ce personnage Hugo s’est servi de la pauvre petite orpheline bretonne devenue fille mère… bref Juliette Drouet
Et Alii, SURVITAMINEE, olé!
Paul
Je ne savais pas cela, crénom !
Merci.
Et Alii,
dans cet article que vous donnez à lire (https://www.theguardian.com/artanddesign/2020/aug/13/looted-landmarks-notre-dame-big-ben-st-marks-east-stealing-from-the-saracens), grâce aux photographies (faute de voyages !), se rencontrent d’une façon insolite jusqu’au paradoxe des monuments dispersés à travers le monde dont j’ignorais les ressemblances. Une sorte de mise en abyme, des métamorphoses… Trouble lecture chronologique ouvrant le regard à une réflexion métaphysique de l’art, permettant d’échapper au temps, reliant des chefs-d’œuvre mondiaux de toutes époques. Pourquoi ces formes qui évoquent le sacré, l’irréel, l’immortalité ? Civilisation de l’esprit… C’est le regard qui fait lien.
J’aime aussi les modestes petites chapelles que l’on trouve au fil des voyages, parfois fermées ou en ruines, les autoportraits de Rembrandt ou les toiles de Rothko….
christiane dit: à
Merci Et alii (et Jazzi pour la citation),
mais Marie-Madeleine me fait plutôt penser à une femme d’une nouvelle d’Isaac Bashevis Singer (1962), ce merveilleux conteur : Yentl the Yeshiva boy et le film musical que Barbra Streisand a adapté de cette nouvelle et interprété (1983).
Yentl, 1920, une jeune fille juive, orpheline de mère, à la mort de son père qui l’a initié secrètement au Talmud (car il est interdit aux femmes), refuse de se marier et décide de s’enfuir de son shtetl polonais pour étudier dans une yeshiva à Bechev (réservée aux hommes…) et pour se faire, coupe ses cheveux et se déguise en jeune homme (bien que la Torah interdisait de porter les vêtements de l’autre sexe). L’Hébreu était encore une langue sacrée réservée aux hommes érudits et pour la prière.
C’est étrange que dès le début de la nouvelle, Singer écrit : « Elle avait « l’âme d’un homme et elle dit d’elle qu’elle ne se sentait « ni homme ni femme »… Je comprends cela.
Cette nouvelle parle aussi de la place réservée aux femmes dans le judaïsme.
Merci Christiane de votre rappel qui somble souligner une femme de caractère.
Y a -t’il un lien votre Singer avec Christiane Singer ?
christiane, je ne sais si vous connaissez le livre et l’avez remarqué quand je l’ai signale
je donne là un article sur l’auteur,que je trouve passionnant:
Jurgis Baltrusaitis. Le Moyen Âge fantastique [compte-rendu]
sem-linkVallery-Radot Jean
https://www.persee.fr/doc/rhef_0300-9505_1956_num_42_138_3195_t1_0085_0000_2
peut-être P.Assouline acceptera-t-il de donner son avis sur le récent livre de J. Cohen-Lacassagne
non, je ne pense pas qu’il le fera.
comme dirait Youyou : « Je me suis gardé de faire de la vérité une idole, préférant lui laisser son nom plus humble d’exactitude »,
Signalons cette excellente revue récente susceptible de muscler l’inculture juridique des erdéliens. Personnellement, je la tiens en haute estime, tout comme Pierre Assouligne.
https://www.cairn.info/revue-droit-et-litterature-2020-1.htm
si c’est l’inculture qu’on muscle, elle sera béton
oui, surtout la vôtre,
Bàv
On observe les premières occurrences de la poursuite, de la censure et de la criminalisation juste à la fin de la Seconde Guerre mondiale et de l’occupation nazie. Les photographies faites par Mirko Křen et Robert Wittmann qui documentaient la libération de la ville de Plzeň par l’armée américaine ont dominé l’exposition Les Américains et la Bohème de l’Ouest en Tchécoslovaquie. Cette exposition a été inaugurée par le ministre tchécoslovaque des affaires étrangères, Jan Masaryk, et par l’ambassadeur américain en Tchécoslovaquie, Lawrence Steinhardt. L’exposition était censée être itinérante mais les événements politiques ont empêché sa réalisation.
Après l’année 1948, la libération de Plzeň et de la Bohème de l’ouest par l’armée américaine ont été littéralemet gommées de la presse, des manuels et malheureusement aussi des mémoires de certains citoyens du pays. Le seul libérateur brave de la Tchécoslovaquie présenté par la propagande communiste était l’Armée rouge. La ligne de démarcation a disparu de l’histoire et l’armée du général Patton a souvent été sous-estimée et ridiculisée.
Mirko Křen a été emprisonné pendant plus de six mois. Robert Wittmann a passé presque une année dans les mines d’uranium. Pour les deux, il était interdit d’effectuer le métier de
photos avec ce lien
http://bloggsi.net/photogenie-de-la-resistance/
Rose,
Yentl, une femme de caractère mais aussi un être fragile et têtu qui veut tant avoir accès aux livres, à la connaissance que tout un temps ses désirs sexuels, sensuels son endormis. Quand ils se réveilleront (dans la nouvelle et dans le film) elle sera acculée à l’impossibilité d’être ce qu’elle a voulu être. Cela arrive à de grands chercheurs dont la quête intellectuelle, spirituelle ou créatrice prend toute la place. (Et puis, le couple et ses embrouilles c’est beaucoup de perte de temps.)
Quant à Marie-Madeleine (Marie de Magdala), cette femme libérée, affranchie, sa relation énigmatique avec Jésus de Nazareth… que de secrets dans son itinéraire… Elle a commencé par ses désirs… Plus tard, tellement plus tard : Les Saintes-Maries-de-la-Mer où la barque s’échoue, Marseille, et le long chemin poétique et cosmique vers saint Maximin suivant les rives de l’Huveaune, le Plan d’Aups, la forêt de la Sainte Baume, sa hêtraie, la chênaie et la pinède, le Saint Pilon et son silence, ses élévations là-haut… la grotte… ou Vézelay…autres mystères.
Ce roman de Victor Hugo ne cesse de revenir sous votre plume. Qu’est-ce qui vous aimante ainsi dans cette histoire, ces personnages ?
Pas de lien entre Isaac Bashevis Singer et Christiane Singer. C’est un patronyme fort répandu…
et alii dit: « christiane, je ne sais si vous connaissez le livre et l’avez remarqué quand je l’ai signale. je donne là un article sur l’auteur,que je trouve passionnant:
Jurgis Baltrusaitis. Le Moyen Âge fantastique. »
Hum, ça donne envie !
Miroslav Tichy
https://nicolemuseum.fr/miroslav-tichy/
saudek
Le père de Jan était juif et sa famille a été persécutée par les nazis. La plupart des membres de sa famille sont morts au camp de Theresienstadt mais son frère Kája a survécu, devenant pour sa part l’auteur de bande dessinée le plus célèbre de son pays.
Après la guerre il commence à travailler chez un imprimeur en 1950, et après son service militaire il se consacre à la photographie.
En 1969 il voyage aux États-Unis et est encouragé dans son travail par Hugh Edwards.
wiki
le chiffre donné par wiki
Un grand nombre de Juifs provenant de Tchécoslovaquie, environ 7 000, sont notamment enfermés à Theresienstadt.
Ce lapin n’est-il pas superbe ?
Bordel !
C’est à cause de ces putains de parenthèses.
Voilà c’est mieux ici.
www.http://www.akg-images.fr/Docs/AKG/Media/TR3_WATERMARKED/f/5/d/9/AKG162927.jpg
Baltrusaïtis, c’est l’alliance de Focillon – l’analyse des formes- et du Warburg. ça donne des choses très stimulantes dont ce bouquin, sans cesse réimprimé. Le fait qu’il soit ancien ne signifie pas qu’il soit absurde.
avez failli nous poser un 3e lapin, farceur !
(ne dites pas : « bordel », c’est un gros mot que le christ n’aimait pas !)
Ai toujours confonduES julie Pietrie et guesh Pattie, je sais pas pourquoi. Ma culture musicale des chansonnières, peut-être ?
Moshe ben Maïmon naît à Cordoue en Espagne en 1138, qui est alors sous la domination de la dynastie berbère des Almoravides. Sa famille a pris le nom d’Ibn Abdallah, et siège au tribunal rabbinique de la ville depuis sept générations. Son père, Rabbi Maïmon ben Yossef HaDayan, est une autorité respectée, consultée de part et d’autre de la communauté juive arabophone. Il assume, après la mort de son épouse, le parentage de Moïse, et lui transmet les enseignements de Joseph ibn Migash, que Maïmonide désigne dans ses écrits comme son maître, bien qu’il soit mort alors que Moïse avait trois ans. Maïmonide se considère aussi comme le disciple des maîtres de Joseph ibn Migash, Isaac Alfassi et Hananel ben Houshiel, et il acquiert une connaissance solide des enseignements de Samuel ben Hofni, l’un des derniers gueonim qui influencera sa méthode. Il manifeste aussi un intérêt précoce pour les sciences et la philosophie grecques, qu’il dit avoir lues avec le fils de Jabir Ibn Aflah dans les traductions arabes.
wiki (ça nous fait une belle cuisse, etalii, pour le billet kundera, pas vrai ?)
@ Ch. #Hum, ça donne envie !#
J’aime beaucoup votre humour, Christiane.
Anna Prohaska
D, c’est du lapin bien conservé ( grâce à l’art, au génie du peintre) alors on pourra dire que c’est une conserve quand même c’est un lapin éventré dépecé qui devrait en réalité, depuis le temps, à voir été dévoré par des hommes ou des bêtes après être passé par différents états au rang desquels la putréfaction. Vive la peinture.
Renato, wiki recommande de l’écouter dans cet air
B dit: à
D, c’est du lapin bien conservé ( grâce à l’art, au génie du peintre) alors on pourra dire que c’est une conserve quand même
Pensons fortement à Joseph Beuys et son Comment expliquer les tableaux à un lièvre mort
» Comment expliquer les tableaux à un lièvre mort » (allemand : Wie Man Dem Toten Hasen die Bilder erklärt) est une performance présentée par l’artiste allemand Joseph Beuys à la galerie Schmela à Düsseldorf en Allemagne le 26 novembre 1965. Bien qu’il s’agisse de la première exposition individuelle de l’artiste dans une galerie privée, elle est souvent citée en tant que l’une de ses actions les plus célèbres.
Au début de sa performance, ou de son « action »2, pour utiliser le terme employé par l’artiste, Joseph Beuys a fermé les portes de la galerie de l’intérieur. Le public s’est ainsi retrouvé isolé à l’extérieur, pendant 3 heures, ne pouvant observer la scène qu’à travers les vitres. La tête intégralement couverte de miel et de feuilles dorées, il a commencé à expliquer des tableaux à un lièvre mort. Chuchotant dans l’oreille de l’animal mort reposant sur son bras, il a commencé à lui expliquer les œuvres une par une en simulant une situation de dialogue. Il s’est retiré à plusieurs reprises au centre de la pièce pour marcher sur une branche de sapin morte posée par terre3. Au bout de trois heures, il a laissé le public entrer dans la galerie. Il s’est assis sur une chaise à l’entrée, le lièvre posé sur son bras, dos au public. »
Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Comment_expliquer_les_tableaux_%C3%A0_un_li%C3%A8vre_mort
Ce soir « Les communiants » d’Ingmar Bergman qui parle de son père pasteur sur ciné classic suivi d’un document exceptionnel sur la vie de Bergman à 22h10.
Découvert avec plaisir et amusement hier soir un film que je m’étais refusé en salle, Youth. Quel bonheur de dialogues, que de plans réussis, quelle tendresse, n’est-ce pas, et quel humour. Sans oublier le drame inhérent à toutes les vies quand elles se retournent sur le passé à l’orée du cycle finissant qui ne reviendra pas.
Découvert avec plaisir et amusement hier soir un film que je m’étais refusé en salle, Youth. Quel bonheur de dialogues, que de plans réussis, quelle tendresse, n’est-ce pas, et que d’humour. Sans oublier le drame inhérent à toutes les vies quand elles se retournent sur le passé à l’orée du cycle finissant qui ne reviendra pas.
moi, j’l’en pince plutôt dans Purcell
https://www.youtube.com/watch?v=PD7Zh2MY6aw
Ne pas courir deux lièvres à la fois :
https://www.erudit.org/en/journals/inter/2013-n113-inter0419/68316ac.pdf
@ ciné classic
zuth, j’ai pas cette chaîne payante. Tant pis, hein
Bàv,
Je suis toujours à la recherche des plus bêtes. Joseph Beuys
L’art n’a pas de père? ( Joseph)
Hot peper, je n’ai plus en mémoire tous les tableaux, le conservateur avait choisi d’exposer des natures mortes, gibiers notamment, peints à distance dans le temps par différents peintres. Et n’enrage d’avoir égaré le nom d’une photographe française, entre les deux guerres peut être après 45, qui produisit des merveilles de compositions, en couleur. Bref, vous n’en saurez rien sinon ma frustration à ne posséder catalogue d’expo et carnet de noms aimés en place de mémoire.
3J, cela dépend, si un lièvre court après un autre, vous avez des chances d’attraper le poursuivant.
@Pablo. Chacun peut se faire son avis. Ma grand-mère, qui avait l’esprit Mortemart, aurait dit que ça ne casse pas trois pattes à un canard.
https://lfi-online.de/ceemes/en/gallery/renato-maestri-118889/colmar.html
Les feuillages rappellent Klimt paysager.
B, vous pouvez écouter n’importe la quelle de ses interpretation sans éprouver le sentiment d’avoir perdu votre temps.
J’ai bien aimé B&Amp W et In the nature of things.
renato, vous utilisez un Leica D-Lux 3.
Eh ben pourquoi donc ?
L’avez-vous essayée, D. ?
…replay à 22 h 04 min.
…replay à 16 h 54 min.
…jeudi 13 aout 2020 à 10 h 48 min.
…
…il ne faut pas tout confondre express,…pour valoriser ou dévaloriser, quelqu’un ou quelque chose de particulier en soi,…
…évident,…
…le Mondrian à ses débuts, figuratif-impressionniste, de style » Vincent Van Gogh « ,…
…et puis, après la guerre 14-18, devient l’abstrait en » mutations » à son cubisme-rangé, » particulier « ,…
…loin de Vassily Kandinsky, et lier aux arts décoratifs, meubles, modes, architecture,!…
…
…un autre style radical-abstrait, dans la continuité de Koloman Mozer,…en Autriche.
…la facilité du coloriage pour se cartonner aux multiples dollars-impressionnistes, en liquidités,…
…la croisade des arts aux dollars,!…
…en plus, de l’aboutissement à l’architecture » Bauhaus « , aucun style ou apport de fioritures pour les logements populaires, du béton et du béton, pour la classe populaire, les doigts dans l’œil artistique en manager,…of course,!…
…
…Van Gogh, remplacer par des grands ou petits-cubes sans fins,…comme encore des » pixels « ,!…
…envoyez,!…l’art nazi social-économique.
…beau ? et pas cher,!…
Béré, je n’ai rien à voir avec D. ni avec Poivre chaude. En revanche, les lapins de cabinet, sam connait, surtout au Qébek :
https://www.alterpresse.org/spip.php?article24344
BN à vous,
renato dit: à
L’avez-vous essayée, D. ?
–
L’essayer c’est essayer un Panasonic LX-100 sur lequel on a écrit Leica. Non ?
Pour saluer Léon Fleisher dans la cantate dite de la chasse.
https://www.youtube.com/watch?v=GVVd-gjR8Qk
Quitte à utiliser du Japonais, je me cantonne à mon gros Reflex Canon 70 D, encombrant je le reconnais volontiers. Mais votre LX-100 réétuqueté est un excellent compact je crois.
Avant j’avais un Lumix, D., il est tombé et il ne s’est pas remis. J’étais en vacance et, dans le même segment, je pouvais choisir entre Leica et Sony.
Paul Edel dit: « Ce soir « Les communiants » d’Ingmar Bergman qui parle de son père pasteur sur ciné classic suivi d’un document exceptionnel sur la vie de Bergman à 22h10. »
Excellent. Taillé à la serpe. Sec. Glacial. Presque terrifiant dans sa nudité. Un glaçon-diamant. Pas trop long. Remarquablement construit. La fin comme le rire de Satan symétrique au début (Office ridicule. Tous, rares, Cinq je crois, les communiants, baillent ou se mouchent !).
Noir et blanc magnifié par les cadrages autant en intérieur qu’en extérieur.
Le silence de Dieu, c’est exactement cela et comme dit le bedeau, pour le Christ, ça n’a duré que quatre heures, pour lui, c’est plus long…. Les disciples dormaient. Ils n’avaient rien compris et avant de mourir le Christ se sent abandonné de Dieu donc pense s’être trompé. Le pâcheur se tue. Le pasteur Ericsson l’a complètement désespéré. La veuve vire le pasteur. Elle a raison. La rivière et ses rapides est plus vivante que ces personnages ! !
Admirable aussi le silence digne de Marta, cette femme amoureuse rejetée avec cruauté et sadisme. Lecture de la lettre (voix de Marta) se heurtant à l’indifférence du pasteur.
J’enregistre le documentaire. Je le regarderai en différé.
Être le fils de ce père pasteur tellement rigide… On comprend mieux les films de Bergman !
Haprès je dois reconnaître que je lui ai collé des optiques qui valent de 1 à 2 fois le prix du boîtier. Alors que votre Panasonic réétiqueté à presque tout à la base. C’est un bon choix.
Prendre un 70-D en pack avec un objectif compris dedans c’est fiche son argent en l’air. D’ailleurs on devrait choisir d’abord une optique, ensuite un capteur, puis le logiciel embarqué, et enfin le boîtier.
Dans la pratique ce n’est guère possible.
Dans un tiroir, D., j’ai une M4 avec un 35, un 50, un 90 Summicron-R, 1976. Je dois trouver le temps de renvoyer les trois objectifs chez le fabricant pour les adapter à un boitier M8.
S’ils ne sont pas trop mouchetés, ça vaut le coup de les adapter, ce sont des Ferrari se l’optique. J’ai réutilisé mon 85 mm Canon série L ouvrant à 1.2, vieux de 25 ans, tel quel sur mon 70-D. Ça en fait un 135 mm ce qui me pose quelques problèmes en portrait parce m’obligeant à beaucoup reculer, mais quel résultat ! La lumière, rien que la lumière.
C’est toujours amusant de voir un boîtier piloter sans broncher, et avec une parfaite fiabilité, un moteur de mise au point 25 ans plus vieux que lui…
« Que Maimonide désigne dans ses livres alors qu’il est mort quand il avait trois ans ».
Pour un problème du même ordre touchant la vie de Denys l’Aréopagite dit le Pseudo-Denys, je me souviens d’une réflexion d’Urs Von Balthasar: en substance ce n’est pas l’anachronisme qui importe, mais ce qu’il peut vouloir dire, JJJ. Il est possible qu’il y ait un symbole qui nous échappe dans cette filiation revendiquée et pourtant impossible.
Bien à vous.
MC
Rose, il me semble que la Sainte aux dents arrachée correspond à Sainte Apolline, souvent représentée en son martyre dans nos anciens décors religieux. Pensez à elle si vous passez chez le dentiste!
Bien à vous.
MC
Chacun peut se faire son avis. Ma grand-mère, qui avait l’esprit Mortemart, aurait dit que ça ne casse pas trois pattes à un canard.
https://lfi-online.de/ceemes/en/gallery/renato-maestri-118889/colmar.html
Chaloux dit:
Putain, c’est nul !! Certaines on dirait les photos d’un touriste qui veut épater ses voisins au retour. D’autres montrent que leur auteur pète bien plus haut que son cul. Et ça c’est ses 27 meilleures photos entre des milliers qu’il a prises… C’est la peine d’avoir une Leica pour ça !
On comprend maintenant ses jugements sur la peinture ou la musique. Et dire qu’une telle nullité joue à l’Artiste Professionnel sur ce blog depuis des années !! Encore un personnage ridicule de roman tout fait…
puisque évoqué le nom de Terezin, rappelons Anne-Lise Stern, née Anneliese1 Stern à Berlin le 16 juillet 1921 et morte à Paris le 6 mai 2013, est une psychanalyste française,qui y fut déportée ;
En 1979, pour répondre à l’offensive négationniste28 elle inaugure un séminaire. Il se déroule d’abord chez elle,
. Cet enseignement sera reconnu et accueilli, à partir de 1992, par la Maison des sciences de l’homme. Le séminaire durera trente ans, Anne-Lise Stern le qualifie de « recherche-témoignage » et l’intitule « Camps, histoire, psychanalyse. Leur nouage dans l’actualité européenne. »
elle est l’auteur notamment du « savoir déporté »en 2004,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Anne-Lise_Stern
Pour ceux qui auraient des doutes sur le génie photographique de Renato le Raté:
Tiens, le petit roquet inculte a laché son vomi. Un turiste ? Jamais prétendu être autre chose et dit plusieurs fois que je ne suis pas photographes, mais un pauvre type reste un pauvre type :
album d’un touriste au long cours
Bon, maintenant assez parlé avec le petit personnel, qu’il dise ce que bon lui semble.
Anne Lise Stern, psychanalyste du « Savoir-déporté »
https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2013/05/07/anne-lise-stern-psychanalyste-du-savoir-deporte_3173011_3382.html
Schubert — Anna Prohaska :
Doing a hundred … Une tournée ébouriffante
https://www.youtube.com/watch?v=g5BOMHcfdds
Světlá nad Sázavou : la plus moderne des verreries européennes*la société Bomma, qui misa sur les tendances modernes et les concepteurs de pointe. Des designers de renom tchèques et étrangers travaillent pour Bomma. Ses créations de verre se trouvent à bord du plus grand navire du monde et dans la collection des trophées du roi du tennis Novak Djoković. La société a développé progressivement plusieurs machines spéciales de traitement de verre qu’elle utilise dans sa production, ce qui en fait la verrerie la plus moderne d’Europe.
En Bohême centrale, non loin de Beroun, dans le village de Nižbor, se trouve la verrerie Rückl, fondée en 1903 par Antonín Rückl, membre d’une vieille famille de verriers, dont les origines remontent au XVIIe siècle*Nový Bor se trouve en Bohême du nord, non loin de Česká Lípa. Le verre fait la réputation de la ville non seulement en République tchèque, mais aussi au-delà de ses frontières. L’entreprise locale Crystalex fabrique du verre à usage domestique. C’est le plus grand fabricant tchèque de verres, qui compte également parmi les leaders à l’échelle mondiale. Les produits de la verrerie de Nový Bor Glassworks sont vendus dans 60 pays à travers le monde. Nový Bor, en tant que haut lieu de la verrerie, abrite plusieurs écoles d’arts verriers. Vous pouvez également visiter à Nový Bor un restaurant spécial Ajeto, qui est rattaché à un atelier verrier. Ce restaurant unique fut conçu par Bořek Šípek, artiste et architecte tchèque de renommée mondiale.
Quand on dit verre de Bohême, beaucoup pensent immédiatement à la ville de Jablonec nad Nisou. Cette ville située non loin de Liberec est célèbre pour sa production de verre et de bijoux de fantaisie. C’est pourquoi Jablonec abrite le seul musée en République tchèque dédié au verre et aux bijoux de fantaisie. Ce Musée du verre et des bijoux de fantaisie existe déjà depuis 1904. Aujourd’hui encore, vous pouvez trouver à Jablonec des entreprises qui perpétuent cette tradition. Il s’agit par exemple du fabricant de cristal, de
Sur les traces des Juifs dans les environs de Plzeň
Suivez les itinéraires juifs dans les environs de Plzeň !
https://www.visitczechrepublic.com/fr-FR/807464eb-bcd8-4352-ab75-5f220380ebd9/place/a-pilsen-area-jewish-trails
La grande synagogue de Plzeň est la deuxième plus grande d’Europe et la troisième plus grande du monde. Elle a été construite dans un style mauresque et roman, et aujourd’hui encore, il est possible d’admirer sa décoration avec des motifs de végétaux. Même si la synagogue donne l’impression d’être un vieux bâtiment historique, sa construction ne s’est achevée qu’en 1888. Deux hautes tours impressionnent le visiteur qui observe sa façade. D’après les plans d’origine, elles devaient être encore plus hautes. Mais le conseil municipal de l’époque n’aimait pas l’idée que la nouvelle synagogue puisse concurrencer la cathédrale située non loin de là.
https://www.visitczechrepublic.com/fr-FR/bf1b6569-bcaf-48a6-add1-58f9eb60daad/place/c-pilsen-great-synagogue
Barbara – Marienbad (1974)
https://www.google.com/search?gs_ssp=eJzj4tVP1zc0TEkrKzaJzygyYPQSzE0sykzNS0pMUUhKLAKiRAC-eQt5&q=marienbad+barbara&oq=marienbad+barbara&aqs=chrome.1.69i57j46j0l6.15159j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
Année LvB, Sonate pour piano n 11 en si bémol majeur, opus 22 (Lugano, 1981)
14.8 — 6.13
Bon, maintenant assez parlé avec le petit personnel
Belle parole de larbin d’hôtel, mais pas étonnante.
Rototo ne nous étonnera pas.
Et il n’est pas non plus photographe… On dirait du Feydeau : – Il n’est ni rond ni carré ni pointu… – … Quoi donc? – Le trou de mon c… ».
(As-tu remarqué que la Gigi balance aussi de la musique?…).
L’aristocratie européenne donna à Karlsbad ses lettres de noblesse et lui octroya son statut de villégiature à la mode. Elle revient comme un leitmotiv dans la littérature russe (chez Dostoïevski et Gogol notamment) et le tsar Pierre le Grand ne jurait que par elle. Sur le belvédère qui porte son nom (c’était l’objectif de ses randonnées quotidiennes), on peut lire cet alexandrin gravé sur une plaque (en français et daté de 1835) du baron Alfred de Chabot:
https://www.lefigaro.fr/voyages/2015/09/25/30003-20150925ARTFIG00238-de-pilsen-a-marienbad-vie-de-boheme-et-histoires-d-eaux.php
Bof, un atre vomi, il est vrai que le petit personnel aigri parle toujours sans grandes choses à dire, donc celui-ci il patauge dans la cour de la maternelle : un autre à zapper.
Amoureux du quatuor à cordes, ce concert est pour vous ! On y retrouve le mythique Quatuor Pražák, fondé en 1974 au Conservatoire de Prague, qui a remporté le premier prix du Concours international d’Evian quatre ans plus tard. Ces trois membres fondateurs ont accueilli en 2015 la jeune violoniste Jana Vonášková. Leur talent est mis au service du Quatuor « Hoffmeister » de Mozart – un chef-d’œuvre du genre –, de l’émouvant Quatuor n° 1 de leur compatriote Smetana dans lequel il évoque sa jeunesse, puis la tragédie de sa surdité soudaine, et du Quatuor n° 6 d’un autre grand compositeur tchèque, Jindřich Feld, qui leur a dédié l’œuvre
https://www.theatredelaville-paris.com/fr/spectacles/saison-2019-2020/music/un-mythique-quatuor
Konrad Klapheck :
Mon pauvre Toto, nous serions les premiers à rendre hommage au génie artistique, à la sûreté de jugement et à l’intelligence supérieure dont tu te targues depuis si longtemps, mais où sont-ils? Personne n’est jamais parvenu à les débusquer…
J’espère au moins, pour ton emploi véritable, que tu sais convenablement faire les poussières, récurer la porcelaine de lavabo et passer la wassingue, dans les chambres de l’hôtel de passe qui te pensionne.
Ce n’est pas l’année Mozart, mais pourquoi ne pas écouter une des plus belles musiques du monde? Le Quintette K. 581 avec clarinette.
Vendredi 14 août 2020, 8h05
Les nègres débridés me font chier, les niakoués jaunes et bridés me font peur, les peaux-rouges me lassent, les blancs sont vraiment cons ces nombreux, les pédés et les gouines sont dégueulasses, les croyants sont étroits du bulbe, tous ! Ah j’oubliais : les femelles intégristes sont répugnantes, les communistes sont à enfermer, les ONG à couler….
Raciste, moi ? Vous rigolez ! j’ai de l’instruction ! Je sais écrire, compter, bouffer, baiser et lire des livres. Du Kundera, de l’Hugo pas frais, du Rousseau, du Musso, de l’Eric Reinhardt, de l’Hergé pas censuré ! Allez, bon week end !
C’est beau ici parce que un pseudo pianiste aigri et arbitraire arrive à dire « … nous serions les premiers à rendre hommage au génie artistique », etc., sans vergogne. C’est beau et plutôt divertissant car, le pauvre, pense vraiment que son opinion a une quelque valeur.
Toto, les soi-disant génies sont toujours entourés de sourds, d’aveugles et de paralytiques. Je vois que tu ne déroges pas à la règle.
Hurkhurkhurk!
Pablo75 dit: à
Pour ceux qui auraient des doutes sur le génie photographique de Renato le Raté:
https://renatornasabbia.blogspot.com/
–
Un certain nombre me plaisent.
D’autres me paraissent très conventionnelles.
Pas vrai du tout le Chacal : je ne sui pas un genie, nonobstant il y des voyants qui apprécient, ce qui prouve que vos poncifs sont insignifiants tout comme votre « Hurkhurkhurk! ». Je vous laisse volontier le dernier mot : have a good trip.
Quoiqu’il en soit, aucune des grandes personnalités qui sont passées ici -et il n y en a eu, même si elles se sont dramatiquement raréfiées pour faire place à un problématique club du troisième âge- aucune n’a jamais dit à Toto, votre pensée me bouleverse, votre oeuvre me dévaste, vous êtes le Gengis Khan de mon pauvre être, quel merveilleux apport est le vôtre… Jamais un mot d’admiration. Un silence poli. 12 ans de silence poli.
Toto, pourquoi relever ce qui est insignifiant?
Si c’est insignifiant.
On ne relève que ce qui est signifiant. Ce qui n’a pas de signification n’est pas relevable.
Le jissé a le système neurovégétatif qui fout l’camp…peut pas s’empêcher de se caguer dessus dès potron-minet… allez, quelques pages de Musso pour qu’il s’éponge.
Mais non ! Ce sont les humanistes à la mord-moi-la mentule qui sont neuro-détraqués. Les pépites humaines qui sont racistes touchent, elles, à la vérité toute nue …Va faire comprendre ça à un analphabébête !
La vaine pâture de ce vendredi matin, 70, ne va pas réjouir les lapins… Spéculaire, l’herbe à couper le foin, tu vois quoi dans ton miroir, mon beau miroir ?…
A cette époque d’habitude, y’a belle lurette que le taulier a annoncé le contenu de la « rentrée littéraire ». Que se passe-t-il cette année au juste, Paul Edel et Marie S. ? Des nouvelles de Pierre ?…
Aimez vous Brahms ?… Il ira loin ce petit gars de 23 ans, doit rien à ses parents, et tout à son génie, hein
https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-14-aout-2020
@ mord-moi-la mentule
pas de doute, le connard de service de pqrl est bien de retour en fanphare après son long purgeatoire de l’erdélie… Entre-temps, a guère varié d’une iotule, Kovid a pas eu l’effet escompté !…
Décidément, la « rentrée » scolaire 2020 sera pas des plus chaudasse, hein.
Kovid a pas eu l’effet escompté !…
Te concernant, espérons en la vague de septembre.
Hurkhurkhurk!
« il y a longtemps que votre ami désire qu’on me chasse de la RDL »
Mais où donc êtes-vous aller chercher cela, et alii ?
C’est inexact, blessant pour moi, et totalement contraire à mes principes.
Je suis trop farouchement attaché à ma propre liberté pour vouloir attenter à celle des autres !
Le connard simule la connerie, taré de mes deux ! Pas comme toi, Gigi la Visqueuse, qui a le don génétiquement transmis…
Devrais-je être soulagé d’apprendre que Christiane ne me compte pas parmi ses amis ?
Ma préférée :
www.http://1.bp.blogspot.com/-RSC2Oz1osWE/UbkKQWlHO2I/AAAAAAAAFk8/s2vsItFufOE/s1600/L1050401.jpg
Par bonheur, le temps a fait que des fausses valeurs de la bourgeoisie étriquée, comme la courtoisie, la tolérance, l’estime, le respect, ont été remplacées par l’injure, le blasphème, la confession bêtasse de pétasses, la sexualité repoussante de certaines larves, la vulgarité déchaînée de saltimbanques avinés, la haine recuite et régnante de solitaires vétustes, grâce au travail de sape insensé de la grande majorité des ego-narcissiques crapuleux qui pullulent ici, en toute liberté !
à l’inverse ; l’une de celles qui, pour moi, n’a aucun intérêt :
www.http://2.bp.blogspot.com/-ZKhtPgPlPZA/UakeCqSw0LI/AAAAAAAAFas/k1dRLsthQf0/s1600/L1050396.jpg
vous cherchez tous unbouc émissaire interieur au blog!c’est ce jeu et son ton que je ne supporte plus et qui me rend « malade »tout le monde ici pouvait indiquer Theresin et Anne lise STERN QUI EST JUSTEMENT DITE MYTHIQUE déjà avant la publication su « savoir déporté »
le JiCé, c’est bien le même qu’il y a deux trois quatre ans! Et il dénonce les égo narcissiques! Ce type est un pléonasme sur pattes, il est vrai!
mékilékon!
Max Ernst chevauchant Dada pour peindre « surréaliste ». 😉
vous cherchez tous unbouc
Un book etalii, et à chacun suffit sa peine!
Plus céphalothorax de langouste que jamais, le J Chié du blogapassou. La proximité toxique du grand cloaque bleu où finissent les remugles varois…
PARCE QUE BIEN SUR VOUS AVEZ TOUT LU après la critique de l’obs ,et depuis les entretiens mis sur la toile depuis son décès?
»
( Article initialement paru en août 2011 dans « TéléObs » )
C’est un pays où l’élimination de l’autre est la règle et où fleurissent les boucs émissaires – « bouquets mystère », selon l’expression consacrée d’une candidate de la « Star Academy ». Depuis dix ans, la télé-réalité a envahi nos écrans, reflet d’un système gouverné par le marketing, dont nous sommes tous les « maillons faibles ». Un engrenage que démonte Bernard Stiegler dans de nombreux ouvrages, dont « la Télécratie contre la démocratie », ou « Réenchanter le monde, la valeur esprit contre le populisme industriel » (1). Bien décidé à mener la bataille de l’intelligence contre la dictature des audiences et une société consumériste qui ne produit plus que de la dépendance, le philosophe, également directeur de l’Institut de Recherche et d’Innovation du Centre Pompidou, refuse le désespoir et prône un nouveau modèle de civilisation industrielle. »
https://www.nouvelobs.com/teleobs/20200811.OBS32058/bernard-stiegler-le-telespectateur-se-plaint-de-ce-qu-il-regarde-de-la-meme-facon-que-le-toxicomane-deteste-ce-dont-il-depend.html
c’est Max Jacob qui avait dit « je suis le bouquet le bouquet le bouc émissaire :c’est surement sur la toile
Sombre, sadique, tordu, autoritaire, n’éprouvant nulle compassion pour les autres. Admirant Hitler…Voilà comment apparaît Bergman dans ce documentaires que je viens de regarder.
Reste l’art qui est grand dans son cas mais je comprends pourquoi ses films me mettent si mal à l’aise…
suicide droit littérature:
JACOLe 4 mars 1895, son meilleur ami, Raoul Bolloré, petit-neveu de l’industriel Jean-René Bolloré et génie précoce auquel il voue une admiration particulière empreinte d’exaltation15, se suicide à Rennes, en se jetant dans la Vilaine. Il en portera le deuil mélancolique toute sa vie16. Il échoue à tous ses examens et l’année scolaire 1895-96 est une année de redoublement, tant à la Faculté de droit qu’à l’École coloniale. Dans celle-ci, il prépare par anticipation les concours d’entrée dans l’administration pénitentiaire coloniale.
Jazzi dit: « Devrais-je être soulagé d’apprendre que Christiane ne me compte pas parmi ses amis ? »
La remarque évoquait « mon » ami ce que tu n’es pas. Une connaissance, croisée trois fois par hasard. Nulle conversation profonde, pas de courrier, pas de partage culturel majeur. Tu ne me connais pas. Je ne te connais qu’à travers ce que tu écris ici (que j’apprécie variablement) et tes livres que j’apprécie. A mon égard tu ne te prives pas de remarques ironiques et blessantes. Je fais parfois de même. Mais un ami, un vrai ami en qui j’aurais entière confiance, non, tu n’es pas cela.
Janssen J-J dit: « A cette époque d’habitude, y’a belle lurette que le taulier a annoncé le contenu de la « rentrée littéraire ». Que se passe-t-il cette année au juste… »
L’émission bien connue de France Inter « Le masque et la plume » (samedi 10h ou dimanche 20h) aborde ce samedi matin certains romans de la rentrée…
« Sombre, sadique, tordu, autoritaire, n’éprouvant nulle compassion pour les autres. Admirant Hitler » dixit Christiane
Venant d’un milieu dont rien n’a pu, su, le libérer, il est de ces frustrés qui peuvent être géniaux, mais pas toujours. On sent le pisse_vinaigre aigri souvent quand même. Le pasteur affleure dans la dénonciation qu’il en fait, ça lui colle aux doigts et ça le torture. Histoire sans fin, piètrement banale.
Pas envie d’être ami avec lui, ce qui tombe bien puisqu’il ne pouvait l’être avec personne.
Le vrai Renato le Raté en deux phrases qui le décrivent parfaitement:
-« Et cette manie de tutoyer les gens sans accord prealable… »
-« Bon, maintenant assez parlé avec le petit personnel… »
Notre Raté Multiple non seulement il se prend pour le nouveau Leonardo da Vinci en croyant toucher à tous les arts de façon géniale, mais en plus il est intimement convaincu d’être un aristocrate, d’appartenir à l’élite des élus par le Destin pour accomplir de grandes tâches dans sa vie terrestre.
Alors qu’il n’est qu’un Gros Plouc qui cache à Colmar la honte qui ressent devant ses vieux amis qui ne comprennent pas comment un type qu’il y a 50 ans se trouvait au bon endroit au bon moment il est devenu une telle Nullité occupée à faire des photos de riche touriste américain en bermudas (avec une Leica entre les mains et un regard d’analphabète) et à admirer éperdument l’urinoir de Duchamp et les boîtes à merde de Manzoni.
L’humour de Tristan Bernard, indémodable:
« Chassé des théâtres, des journaux et de l’édition, [Tristan Bernard] ne perd pas son humour. Il écrit, à propos des Allemands : « En 1914, on disait : on les aura. Maintenant, nous les avons. » Il commente la situation des juifs après les lois de Vichy : « Les comptes sont bloqués, les Bloch sont comptés. » Traqué jusque dans sa maison de Juan-les-Pins, Tristan Bernard est arrêté et interné à Drancy. Il écrit : « Jusque-là, nous avons vécu dans la crainte, nous allons vivre dans l’espoir. » Sacha Guitry, alors très occupé comme il l’écrivit lui-même, joue de ses relations et de celles, plus intimes, d’Arletty avec les occupants. Il obtient in extremis la libération de l’écrivain alors que son transfert à Auschwitz était imminent. Il fait très froid, en cet hiver 1943-1944. Sacha Guitry demande à Tristan Bernard s’il veut son cache-col. Et il s’attire cette réponse : « Par ces temps, j’ai plutôt besoin d’un cache-nez. »
-@Pressreader
il y a aux USune ville quis’appelle LEBANON
Lebanon est une ville du comté de Grafton, dans l’État du New Hampshire, au nord-est des États-Unis. La commune compte 13 151 habitants en l’an 2010.
As-tu remarqué que la Gigi balance aussi de la musique?
Chaloux dit:
Non, du tout. Cela fait longtemps que je ne le lis plus. J’ai arrêté de le faire parce que j’avais l’impression de lire les réflexions d’une moule enfermé dans un crâne. Pensée de moule, style de moule, réactions de moule, conscience de moule, vision du monde de moule.
Et de moule avarié, qui plus est.
On sent que ce type est en train de vivre ses derniers temps de lucidité et que bientôt ça sera l’EHPAD pour lui.
Bon débarras !
Je me demande si tu n’exagères pas un peu, Pablo.
Une fois encore je vous demande, pour les moules qui sont de sympathiques et utiles animaux, de ne pas les comparer à JJJ.
Je ne le redirai plus. MERCI.
Vendredi 14 août 2020 à 11 h 40 min.
« Light of my Life » de Casey Affleck.
Frère cadet de l’acteur Ben Affleck, le comédien et réalisateur Casey Affleck (45 ans) signe là l’un des plus beaux films de l’été.
Un film ressortissant du genre dit « survival », que je définirais pour ma part de conte moral, à caractère fortement biblique.
Dix ans après la survenue d’une étrange pandémie qui a éradiqué la totalité des femmes de la planète Terre, un père (Casey Affleck) et sa fillette prépubère (remarquable Anna Pniowsky), se battent pour survivre dans un univers peuplé uniquement d’hommes.
Déguisée en garçon, celle-ci attire toujours l’attention des survivants, du fait de son jeune âge, dans un monde qui ne s’est plus reproduit depuis lors !
Traité de manière réaliste sur un fond apocalyptique, on songe tout à la fois à l’épisode du Sodome et Gomhorre, réactivé par le souvenir du « cancer gay » ainsi qu’avait été défini le Sida à ses débuts, le film, prétexte à de superbes images, se veut avant tout une réflexion sur le bien et le mal.
Malgré la catastrophe, les humains, désormais sans plus d’avenir terrestre, ne se sont pas assagis pour autant.
Une histoire puissante que l’on regarde dans toute son étrangeté prémonitoire.
Nous n’étions guère plus d’une douzaine de spectateurs masqués dans la grande salle du MK2 Quai de Seine, hier après-midi, à songer inévitablement à la situation… actuelle !
L’amour reliant le père et sa fille sera-t-il suffisant à leur salut et… au nôtre ?
Partagé entre l’étrangeté du film et la méditation qu’il suscite en chacun de nous, j’avoue avoir été parfaitement séduit et fasciné, à l’égal de la majorité de la critique cinématographique.
A part quelques voix qui trouvent la morale de cette fable douteuse : Casey Affleck ayant été accusé par deux actrices de harcèlement sexuel sur un précédent tournage…
C’est dire combien « Light of my Life » est particulièrement d’actualité !
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19585004&cfilm=250139.html
Ce n’est pas l’année Mozart, mais pourquoi ne pas écouter une des plus belles musiques du monde? Le Quintette K. 581 avec clarinette.
Chaloux dit:
C’est le mystère Mozart: la musique « coule de source », on dirait qu’il y a aucun travail derrière autant de beauté, qu’il ne fait que transcrire ce qu’il entend et qui vient de l’Au-delà.
Et dire qu’il y a des crétins qui préfèrent les bruits totalement arbitraires de Boulez à cela… (comme Renato le Raté Multiple, par exemple) !!
Jibé dit: « « Sombre, sadique, tordu, autoritaire, n’éprouvant nulle compassion pour les autres. Admirant Hitler » dixit Christiane
Venant d’un milieu dont rien n’a pu, su, le libérer, il est de ces frustrés qui peuvent être géniaux, mais pas toujours. On sent le pisse_vinaigre aigri souvent quand même. Le pasteur affleure dans la dénonciation qu’il en fait, ça lui colle aux doigts et ça le torture. Histoire sans fin, piètrement banale.
Pas envie d’être ami avec lui, ce qui tombe bien puisqu’il ne pouvait l’être avec personne. »
c’est aussi ce que je ressens : un homme torturé dont aucun amour ne survit… Mais il reste la magie de certains de ses films. Je ne les ai pas tous vus.
Mes préférés : « Fanny et Alexandre – Le septième Sceau – La Source – À travers le miroir (et l’île déserte de Fårö) – Sonate d’automne – Les Fraises sauvages » et maintenant « Les communiants ».
Quoiqu’il en soit, aucune des grandes personnalités qui sont passées ici -et il n y en a eu, même si elles se sont dramatiquement raréfiées pour faire place à un problématique club du troisième âge- aucune n’a jamais dit à Toto, votre pensée me bouleverse, votre oeuvre me dévaste, vous êtes le Gengis Khan de mon pauvre être, quel merveilleux apport est le vôtre… Jamais un mot d’admiration. Un silence poli. 12 ans de silence poli.
Chaloux dit:
Et pourtant Renato le Raté Multiple n’est ici que pour mendier des éloges…
Sombre, sadique, tordu, autoritaire, n’éprouvant nulle compassion pour les autres. Admirant Hitler…Voilà comment apparaît Bergman dans ce documentaires que je viens de regarder.
christiane dit:
Admirateur de Hitler à quel âge?
@ et alii, Jzmn et Drillon,
1 – Essayons de garder un peu de distance critique à l’égard de Bernard Stiegler.
2 – Heureusement qu’icite, on a toujours assisté à un jeu de bonneteau sur les boucs-émissaires : ce ne sont pas toujours les mêmes, et chacun a ses préférences, bien sûr.
3 – Voici, pour mémoire, un bref rappel des cantates profanes de JSB et de quelques apocryphes attribuées à d’autres compositeurs (J’ai ressenti ces derniers temps un certain relâchement dans votre culture musicale du Kantor)
BWV 30a Angenehmes Wiederau, freue dich (Agréable Wiederau, réjouis-toi) Wiederau 1737, 28 septembre
BWV 36a Steigt freudig in die Luft
(Elevez-vous joyeusement dans les airs) Köthen 1726, 30 novembre. Musique perdue
BWV 36b Die Freude reget sich
(La joie est en mouvement)Leipzig 1735 (28 juillet ou en octobre)
BWV 36c Schwingt freudig euch empor
(Bondissez de joie) Leipzig 1725, 9 avril
BWV 66a Der Himmel dacht auf Anhalts Ruhm und Glück (Le ciel a songé à la gloire et au bonheur d’Anhalt) Köthen 1718, 10 décembre. Musique perdue
BWV 134a Die Zeit, die Tag und Jahre
macht (Le temps qui fait les jours et les ans)
Köthen, palais princier 1719, 1er janvier
BWV 173a Durchlauchtster Leopold (Très éminent Léopold) Köthen, palais princier 1722, 10 décembre
BWV 184a Kantatenfragmen (Fragment de cantate)
Köthen, palais princier 1721, 1er janvier
Avec 5 parties instrumentales :
BWV 193a Ihr Häuser des Himmels, ihr scheinenden Lichter(Vous, demeures du ciel, vous, brillantes lumières !) Leipzig 1727, 3 août. Musique perdue
BWV 194a Kantatenfragment(Fragment de cantate) Köthen, palais princier ?
BWV 198 Laß, Fürstin, laß noch einen Strahl. Trauerode(Laisse, princesse, laisse encore un rayon. Ode funèbre)Leipzig, église Saint-Paul 1727, 17 octobre
BWV 201 Geschwinde, ihr wirbelnden Winde(Vite, vents tournoyants) Leipzig 1729 ?
BWV 202 Weichet nur, betrübte Schatten
(Dissipez-vous, ombres lugubres)Köthen ?Leipzig ? 1718-1723 ? avant 1730 ?
BWV 203 Amore, traditore(Amour, ô traître) Köthen 1720 ?
BWV 204 Ich bin in mir vergnügt (cantate « du contentement »)(Je me contente de mon sort) Leipzig 1726 ou 1727
BWV 205 Zerreißet, zersprenget, zertrümmert die Gruft « Éole apaisé » (Rompez, pulvérisez, fracassez la caverne) Leipzig 1729, 3 août
BWV 205a Blast Lärmen, iht Feinde ! Verstärket die Macht(Sonnez bruyamment, ennemis ! Redoublez de puissance) Leipzig, café Zimmermann 1734, 19 février. Musique perdue
BWV 206 Schleicht, spielende Wellen(Glissez, ondes folâtres)Leipzig, café Zimmermann 1736, 7 octobre
BWV 207 Vereinigte Zwietracht der wechselnden Saiten(L’heureuse Réconciliation des cordes divisées)Leipzig 1726,vraisemblablement le 11 décembre
BWV 207a Auf, schmetternde Töne der muntern Trompeten (Retentissez, sons éclatants des allègres trompettes)Leipzig, café Zimmermann 1735,3 août
BWV 208 Was mir behagt, ist nur die muntre Jagd (cantate dite «de la chasse »)(Mon seul plaisir est la joie de la chasse) Weissenfels 1713, 23 février
BWV 208a Was mir behagt, ist nur die muntre Jagd !(Mon seul plaisir est la joie de la chasse)Leipzig 1740, 3 août ? Musique perdue
BWV 209 Non sa che sia dolore(Il ignore ce qu’est le chagrin )Leipzig ? 1729 ?
BWV 210 O holder Tag, erwünschte Zeit (Ô, jours propices, temps favorables) Leipzig entre mai 1738 et l’automne 1741
BWV 210a O angenehme Melodei(Ô, plaisante mélodie)? entre 1727 et 1732. Musiqueperdue
BWV 211 Schweigt stille, plaudert nicht (Cantate du café)(Silence ! Ne parlez plus !)Leipzig 1734 ?
BWV 212 Mer hahn en neue Oberkeet (Cantate des paysans)(Nous avons un nouveau patron) Klein-Zschocher 1742, 30 août
BWV 213 Laßt uns sorgen, laßt uns wachen (Hercules auf dem Scheidewege) (Prenons soin, veillons sur notre fils des dieux – Hercule à la croisée des chemins) Leipzig, café Zimmermann 1733 5 septembre
BWV 214 Tönet, ihr Pauken ! Erschallet, Trompeten !(Résonnez, timbales ! Retentissez, trompettes !)Leipzig 1733, 8 décembre
BWV 215 Preise dein Glücke, gesegnetes Sachsen(Apprécie ton bonheur, Saxe bénie) Leipzig, place du marché 1734,5 octobre
BWV 216 Vergnügte Pleissenstadt
(Joyeuse cité de la Pleisse)Leipzig 1728, 5 février
BWV 216a Erwählte Pleißenstadt(Ville de la Pleisse élue)Leipzig après 1728 ?
BWV 249a Entfliehet, verschwindet, entweichet, ihr Sorgen (Cantate du berger)
(Fuyez, disparaissez, échappez-vous, soucis)
Weissenfels 1725, 23 février.Musique perdue
BWV 249b Verjaget, zerstreuet, zerrüttet, ihr Sterne (Chassez, dissipez, ruinez, ô étoiles) Leipzig 1726, 25 août. Musique perdue
BWV 1127 Alles mit Gott und nichts ohn’ ihn(Tout avec Dieu, et rien sans lui)Weimar, chapelle ducale 1713,30 octobre
Je vous signale en outre quelques autres sans BWV :
Geburtstagkantate (Cantate d’anniversaire) Zerbst, palais princier 1722, 9 août. Texte et musique perdus
Geburtstagkantate (Cantate d’anniversaire) Leipzig, café Zimmermann 17397 octobre. Texte et musique perdus
Kantatenentwurf (Ébauche de cantate)Leipzig 1734, 4 octobre. Musique perdue
Et enfin, une dernière série de cantates profanes apocryphes ou attribuées à d’autres compositeurs :
BWV 15 – Denn du wirst meine Seele nicht in der Hölle lassen (composée par Johann Ludwig Bach)
BWV 53 – Schlage doch, gewünschte Stunde (composée par Georg Melchior Hoffmann)
BWV 141 – Das ist je gewißlich wahr (composée par Georg Philipp Telemann)
BWV 142 – Uns ist ein Kind geboren (peut-être composée par Johann Kuhnau)
BWV 160 – Ich weiß, daß mein Erlöser lebt (composée par Georg Philipp Telemann)
BWV 189 – Meine Seele rühmt und preist (composée par Georg Melchior Hoffmann)
BWV 217 – Gedenke, Herr, wie es uns gehet (auteur inconnu)
BWV 218 – Gott der Hoffnung erfülle euch (composée par Georg Philip Telemann)
BWV 219 – Siehe, es hat überwunden der Löwe (composée par Georg Philip Telemann)
BWV 220 – Lobt ihn mit Herz und Munde (auteur inconnu)
BWV 221 – Wer sucht die Pracht, wer wünscht den Glanz (auteur inconnu)
BWV 222 – Mein Odem ist schwach (composée par Johann Ernst Bach)
BWV 223 – Meine Seele soll Gott loben (perdue)
BWV 224 – Reißt euch los, bedrängte Sinnen (petit fragment)
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J’espère avoir été à peu près exhaustif, et que vous saurez désormais mieux vous repérer…
Pour moi, les plus belles se situent indéniablement entre les années de composition 1725 et 1733. Mais qu’en est-il au juste, pour vous ?
Bàv,
www.http://cnc-france.circum.net/iso_album/planche_moule_765x570.jpg
les moules qui sont de sympathiques et utiles animaux
D. dit:
Pleins de métaux lourds, comme le cadmium (c’est très dangereux d’en manger souvent).
Par contre, le cerveau de la moule unique du crâne de Gigi la Visqueuse est creux, lui…
Gigi la Visqueuse parlant de Bach c’est aussi saugrenu qu’une moule accrochée au plafond de la Chapelle Sixtine…
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