de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Œuvres inadvenues : du reniement à la décréation

Œuvres inadvenues : du reniement à la décréation

Puisque plus rien ne tourne rond désormais et que tout est déréglé, il n’y a pas de raison que la spirale infernale épargne la vie littéraire. Voilà des décennies que les chercheurs se penchent sur les mécanismes de la création artistique dont relève la fiction romanesque ; ils ont même réussi à lever le voile sur bien des mystères à force d’études génétiques sur les manuscrits ; des logiques sinon des systèmes de création ont été ainsi mis à nu dans l’œuvre de nombre d’écrivains. Voilà pour les créateurs. Mais les décréateurs, vous y aviez pensé ? Moi non plus. Et pourtant, ils existent.

Ils renvoient à ce reproche adressé jadis par l’éditeur Gaston Gallimard à son ami Léon-Paul Fargue : « Vous êtes le principal obstacle à la publication de votre œuvre ». Par cette boutade apparemment paradoxale, il levait un lièvre dont l’écho résonna en 2019 lors d’un passionnant colloque de l’université de Rouen consacré à ces œuvres qualifiées par le site Fabula.org du joli mot d’« inadvenues » qu’elles aient été censurées sinon détruites par la main de l’homme ou qu’elles aient suscité une totale indifférence (les actes du colloque sont disponibles ici). Et vous, où peut-on se procurer vos livres ? Nulle part : ils sont inadvenus… Puissant ! enfin, d’un certain point de vue. Que ce manque, ce trou béant mais plein, existe ne fait guère de doute. Mais là où le mystère s’épaissit, c’est lorsque l’on s’aperçoit de la part active prise par certains auteurs à l’inaccessibilité de leur œuvre.

L’université a fait un champ de recherches de ces gestes négatifs de décréation. Drôle de néologisme auquel on ne se fait pas naturellement bien que Flaubert épistolier en ait été familier comme en témoigne don usage de « dé-parler », « dé-fumer » et même « dé-lire » ! Tout familier de l’histoire littéraire sait bien que tout écrivain a un jour ou l’autre abandonné des textes que leur inachèvement condamnait au cimetière des manuscrits -et celui-ci n’est pas plein de livres irremplaçables.

Le reniement, quant à lui, se révèle par l’absence éclatante dans le « du même auteur » du dernier livre : c’est René Char détruisant la plupart des 153 exemplaires de son premier recueil Les Cloches sur le cœur (1928) ; Emmanuel Roblès désavouant Caserne (1947) publié à ses débuts sous pseudonyme mais indigne de l’écrivain qu’il était devenu ; Annie Ernaux abandonnant son premier livre Du soleil à cinq heures après deux refus d’éditeurs tant si bien que le manuscrit a disparu depuis 1963 ; Claude Simon allant jusqu’à détruire les manuscrits de ses deux premiers livres des années 40 et empêcher leur réédition afin que la naissance de son son œuvre commençât en 1957 avec Vent et coïncidât ainsi avec celle du Nouveau Roman ; Marcel Jouhandeau faisant disparaitre toute mention de son Péril juif (1937) ; Jacques Chardonne éradiquant son très germanophile Ciel de Nieflheim en 1943 et en interdisant toute publication.. (on le voit, ces livres ne sont pas tous écartés au titre d’œuvres de jeunesse). Quant à Pierre-Jean Jouve (1887-1976), il a carrément renié en 1928 tout ce qu’il avait publié jusqu’en 1924 (en même temps que sa vie antérieure à la suite d’une profonde crise morale et psychologique) soit quatorze recueils de poésie, deux romans, trois essais, des pièces, des traductions, des articles… Le grand ménage !

Il faut aussi compter avec le cas de ces écrivains qui n’en finissent plus de ne pas finir et procrastinent à mort la remise de leur manuscrit à leur éditeur. Comme Léon-Paul Fargue et ou François Weyergans dont Grasset dût reporter la parution des livres un grand nombre de fois. Quant à Denoël, on y attend encore une biographie du fondateur de la maison Robert Denoël commandée à Pascale Froment… à la fin de l’autre siècle.

Le patron d’une œuvre, ce ne sont pas les universitaires. L’auteur demeure seul maitre à bord et ses ayant-droit à sa suite pendant un certain nombre d’années. Ce pouvoir leur est désormais contesté par l’opinion selon laquelle ce laps de temps devrait être réduit a minima en raison de l’appartenance de l’œuvre au patrimoine littéraire national. Cette affaire amène à redéfinir à nouveaux frais la notion d’œuvres complètes. A une époque où la recherche tend à lancer ses filets le plus largement jusqu’aux moindres notes de blanchisserie et reçus de l’écrivain, les rebuts de la décréation se retrouvent sanctuarisés dans le corpus de ses écrits avec tout ce qui est sorti de sa plume. Si cette chronique ne vous a pas convaincu, tenez-là pour, comment dire, inadvenue.

(La Liseuse, 1880-1890, huile sur toile, 94 × 1,23 cm de Jean-Jacques Henner, Musée d’Orsay)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, vie littéraire.

1027

commentaires

1 027 Réponses pour Œuvres inadvenues : du reniement à la décréation

closer dit: à

Tentant Paul…Bounine et Tchékov !

rose dit: à

À vous lire, Janssen J-J, je découvre que Pascal Grégory est né en 1954. Dans le film, il en paraît 80.
Oui son ex.horrible concernant ses livres, précieux à son coeur. Plus tard, il lui dira « mais qu’est-ce que tu fais là ?(ou bien qui es-tu ?).Puis réclamera Leïla.

Bloom dit: à

Ne pas confondre.

Vivre vite ! (Deprisa, deprisa) est un film espagnol réalisé par Carlos Saura sorti en 1981.

Il relate l’histoire d’une bande de jeunes délinquants pendant la période de la Transition démocratique espagnole, quatre amis de la périphérie de Madrid, qui comblent le manque de perspectives d’avenir par l’argent facile et l’usage de drogues.

Wiki

Paul Edel dit: à

Closer, j’ai retrouve mes impressions de lecture du texte de souvenirs de Bounine à propos de Tchekhov. les voici:
Yvan Bounine, tout jeune auteur, écrivit à Tchekhov qu’il admirait. Ils devinrent amis intimes pendant les neuf dernières années de Tchekhov jusqu’à sa mort le 2 juillet 1904. Ce Bounine devint donc le témoin capital, et séjourna souvent dans cette maison-villa blanche, assez tarabiscotée, que Tchekov avait acheté près de Yalta, en Crimée, pour se soigner et éviter les hivers de Moscou. Dans ce livre de souvenirs on entend donc Tchekhov parler car Bounine à l’ouïe fine, il est précis, attentif, méticuleux. Il le décrit en train de jardiner ,prêt à ausculter et soigner un voisin, malgré sa fatigue. On sait par Bounine que certaines descriptions de la nature et de la mer, notamment dans « la dame au petit chien » viennent de ses heures de méditation depuis son fauteuil, dans son jardin et depuis sa terrasse qui domine la mer. On le voit aussi agacé par l’immense gloire de Tolstoï et ses conseils dans le grand âge : « Tolstoï dit qu’un écrivain n’a besoin de que trois pieds de terre. Erreur ! ce sont les morts qui n’ont besoin que de trois pieds de terre, le vivant, lui, veut le globe terrestre entier, et surtout l’écrivain ! »
Tous les propos rapportés donnent une image proche car Bounine le montre aussi dans ses gestes familiers, et notamment il écrit : « Je me rappelle son silence long, son toussotement, sa manière de se cacher les yeux avec la main, et son sur son visage, une pensée sereine et triste, et presque solennelle. » il note aussi qu’il reçoit pas mal de visiteurs mais qu’il donne l’impression d’être confiné dans une totale solitude intérieure. Il remarque un jour que les plantes exotiques de son jardin, lui semblent « découpées dans de la tôle ». C’est en avril 1903 que Bounine fait une dernière promenade du soir avec Tchekhov. Il rapporte : « la nuit était douce et silencieuse avec une lune claire et des nuages blancs. La voiture roulait sur la route blanche, nous nous taisions et regardions la surface brillante de la mer. Puis ce fut la forêt et les légers dessins de ses ombres puis le noir des cyprès dressés. Nous laissâmes la voiture et tout en marchant sous les cyprès, le long des ruines d’un domaine il dit, s’arrêtant soudain : -Savez-vous pendant combien d’années on me lira encore ? Sept ans-Pourquoi sept ? demandai-je.
-Mettons sept et demie !
-Vous êtes tristes ce soir, Anton lui dis-je en regardant son visage
-On ne me lira, malgré tout, que pendant sept ans peut-être pas plus, et il ne me reste à vivre moins encore : six ans. »
Tous ceux qui, metteurs en scène ou comédiens, ont travaillé sur ses pièces de ont lu cette petite bible, ce « Tchekhov « de Bounine (aux éditions du Rocher). On a donc un Tchekhov tantôt drôle, comique, parfois cinglant, parfois détendu, lucide comme un médecin, parfois las, désabusé, mais toujours vrai dans la pudeur. On note aussi qu’il n’y a aucune différence de ton entre les pièces et la manière de parler de l’écrivain.. Dans ce livre on l’entend parler fuyant toute expression pathétique, et qui n’aime écrire-souligne -t-il- que lorsqu’il « se sent froid comme la glace ». On découvre aussi le dramaturge persuadé que la science va transformer le XX° siècle et va améliorer la vie des gens « avec l’électricité et la vapeur. »

Dernier extrait du Bounine :
» Un autre jour, comme nous prenions le thé sur la terrasse, il observa :

– On me reproche souvent (Tolstoï le premier) de m’attacher à des banalités, de ne pas concevoir des héros positifs, des révolutionnaires, des Alexandre de Macédoine ou à la rigueur des « hommes justes » comme chez Leskov … Mais où voulez-vous que je les prenne ?
– Notre vie est provinciale, nos villes n’ont pas de rues pavées, les campagnes sont pauvres, le peuple est usé … Dans notre jeunesse, nous gazouillons follement et puis vers la quarantaine, nous devenons de véritables vieillards obnubilés par la mort … Vous parlez de héros ! »
« – Vous dites que mes pièces vous font pleurer … Et vous n’êtes pas le seul … Pourtant ce n’est pas dans cet esprit que je les ai écrites, c’est la mise en scène d’Alexeiev qui les rend si tristes. Je voulais seulement être honnête avec les gens, leur dire : « Regardez-vous, regardez comme vous vivez mal, comme votre existence est ennuyeuse ! » Il faut qu’ils le comprennent, et quand ils l’auront compris, ils changeront de vie, ils construiront forcément une vie meilleure… Je ne la verrai pas mais je sais qu’elle différera totalement de notre vie actuelle…
Tant que rien ne changera, je continuerai à répéter : « Regardez comme vous vivez mal et comme votre vie est ennuyeuse ! ». Il n’y a pas de quoi pleurer.

Se levant de sa chaise, il dit simplement : « Allons-nous coucher…Il va y avoir de l’orage… »
Pendant l’orage, il cracha du sang. «

rose dit: à

Brigitte Giraud Vivre vite, Goncourt 2022

closer dit: à

Tchékov qui parle dans la vie comme un personnage de Tchékov ! Merci Paul.

closer dit: à

Qui a lu Brigitte Giraud, à part Passou?

Jazzi dit: à

Le lézard vous recommande, pour sa part, un grand film esthétique et politique, à la problématique bien actuelle, à voir avant qu’il ne soit retiré de l’affiche !

Janssen J-J dit: à

BG ? une femme, quoi ? qui aurait échappé au prix de l’AF ?… un choix par défaut, en somme, ai je entendu dire. J’avoue avoir du mal avec l’histoire de l’homme à la moto… Mais bon, c’est le syndrome d’une histoire non advenue, … c à la mode, et faudra voir à l’usage.
Bàv, et bon courage à la future lauréate, Paul.

closer dit: à

« C’est lui (Decoin), avec sa voix compte double au 14e tour du scrutin, qui a départagé Brigitte Giraud et son Vivre vite de Giuliano da Empoli avec Le Mage du Kremlin qui avait aussi obtenu 5 voix. Parti favori, ce roman qui parle de la Russie des 30 dernières années, et en particulier du président Vladimir Poutine, a obtenu le Grand Prix du roman de l’Académie française il y a quelques jours. »

Empoli n’allait pas, en plus, avoir le Goncourt!

Jazzi dit: à

« Brigitte Giraud Vivre vite, Goncourt 2022 »

C’est pas Gallimard mais c’est Flammarion, c’est pareil !

MC dit: à

Assiste à la vente de la Bibliothèque de Bounine, tombée chez un marchand de livres qui n’existe plus. Souvenir d’une bibliothèque majoritairement francophone…et d’un catalogue que j’ai dû avoir.

Paul Edel dit: à

Triste que le roman-enquête si foisonnant,si original, nerveux avec de l’humour de Grégoire Bouillier dans « Le cœur ne cède pas »(Flammarion) n’ait pas été récompensé par le Goncourt.

Nicéphore dit: à

Le traducteur du livre de Bob Dylan, Philosophie de la chanson moderne est :
Jean-Luc Piningre.

Jazzi dit: à

C’est Le Mage du Kremlin, Gallimard, qui a failli l’avoir !
Mais Didier Decoin, veillait…

D. dit: à

Je ne suis pas d’accord avec ce Goncourt 2022. J’estime que c’est un mauvais choux.

D. dit: à

Mais respectons la décision démocratique.

D. dit: à

Enfin c’est dommage.

D. dit: à

Plusieurs autres m’ont paru meilleurs.

D. dit: à

Ceci-dit je m’en fous complètement.

rose dit: à

Jazzi
Coup de poing

Quelques bribes (d’où brimborion).

C’est drôle la vie, je n’avais pas noté qu’elle avait perdu son mari.

Oui, elle,très respectueuse de son amant.

x dit: à

Nous nous trouvons d’accord, Paul Edel ! Je fais chorus — un chœur plutôt riquiqui au milieu des méfiants.
« La paresse et la peur d’être dupe ont empêché beaucoup de gens d’aborder des œuvres qui les eussent peut-être enchantés. »
(Pierre Reverdy, Le livre de mon bord)

Je souscris donc au jugement que vous avez porté sur ce livre et j’ai même tenté d’apporter de l’eau à votre moulin.
Mais il ne me viendrait pas à l’idée de prétendre que « je VALIDE » celui-ci puisque je ne suis ni une institution, ni un organisme de certification, ni votre supérieur hiérarchique au sein d’une entreprise, et que je n’estime pas ma compétence en la matière (littéraire) de nature à établir avec plus de certitude la valeur ou la justesse de votre opinion…
(Je fais allusion à deux commentaires récents, dont les auteurs se reconnaîtront ; le second prouve que le mauvais usage est hautement contagieux et le premier que le ridicule ne tue décidément pas.)

rose dit: à

Je plussoie conviendrait-il votre Haute Majesté ?

rose dit: à

King the third.

rose dit: à

Et vendrez-vous quatorze chevaux de madame votre Mère dès son corps dans le caveau ?

rose dit: à

Je valide, Monsieur, signifie « Votre ticket d’entrée est encore valable ».

Ce soir, un aspégic, bouillon de poule et au lit.

Marie Sasseur dit: à

Voilà, c’était ma contribution à l’annonce du Goncourt 2022

circulez , y’a rien à voir ( à lire).

Pensez à louer les services de Sam, capitaine de soirée, si vous ne savez pas vous arrêter.

rose dit: à

On va pas mettre les pieds dehors parce que il pleut des cordes, sommes entrés dans l’hiver ex-abrupto, et que démarrer en trombe au feu, nous l’avons vécu avec enthousiasme. Et avons revendu la moto avant d’être dans une boîte.

Pablo75 dit: à

[Sur Céline] « Un écrivain sans morale ? Oui ! Un menteur ? Oui. […] Spirituellement, moralement, c’est odieux […] je ne mets pas en doute son talent, bien sûr, mais on ne peut pas le lire en choisissant les livres qui vous conviennent. Il y a un Himalaya de mépris humain chez lui. désolé. et ça traverse toute l’oeuvre. »

Paul Edel dit:

Plus de 60 ans lisant, écrivant et critiquant des livres et l’Abbé Edel n’a toujours pas compris que la Littérature n’a rien à voir avec la Morale.

On dirait les propos d’un professeur de Morale de l’Opus Dei. Ou le jugement de la dernière édition de l’ « Index librorum prohibitorum » publiée par le Vatican dans les années 60. Céline ne peut pas être un grand écrivain parce qu’il est amoral, il ment et il méprise l’Homme. Par contre, J.-P.Amette, qui est moral, ne ment pas et aime l’Homme, lui il peut être un Grand Écrivain.

( Et l’autre qui arrive derrière en aboyant et en bougeant sa queue pour montrer qu’il approuve :

« Pour l’écrivain L.F. Céline, je me réjouis du commentaire de Paul Edel ; Céline, essentiellement, détestait à tour de bras. Difficile à aimer. »
lmd dit: )

Ce blog devient de plus en plus grotesque…

Pablo75 dit: à

[Sur Céline] « Loin du plus grand écrivain du XX ème, il restera plutôt comme une imposture magistrale savamment mise en scène. […] je vais aller à la librairie […] pour le nouveau roman de F. Sureau… »
Marie Sasseur dit:

Quand la Super-Pétasse donne son opinion, le blog passe du grotesque au crétinisme le plus pathétique…

Marie Sasseur dit: à

Des deux finalistes, l’un était trop en prise avec l’actualité, -aux dires du Président-, et l’autre manifestement un peu trop en prise avec la rubrique faits divers du journal. Droit dans le mur.

Marie Sasseur dit: à

Super connard, l’esoteric hystérique du 75 est de retour , bourré et les cojones remontés jusqu’aux naseaux ?

Temps d’aller à la librairie, un an de vacances au calme avec B. Cendrars, ça ne se refuse pas.

Ciao, le meilleur de la journée fut sans doute le menu Drouant.

Marie Sasseur dit: à

Ils font une offre intéressante, à 180 euros.

« A l ‘occasion du Prix Goncourt 2022, Drouant propose aux Parisiens de savourer le menu secret servi aux membres de l’Académie, du 4 novembre au 15 décembre 2022. »

Marie Sasseur dit: à

Dommage que Delaporte ne soit pas là pour nous redonner son commentaire sur le Renaudot.
Snif…

En attendant

https://youtu.be/Jwtyn-L-2gQ

rose dit: à

180 euros, je vis trois semaines avec, je regarderai collée à la vitrine.

lmd dit: à

Il arrive, il arrive, il arrive à temps pour donner, peut-être, son avis sur le plus grand poète français vivant. Et ce ne sera pas grotesque ? Non non.

rose dit: à

Transmis le message à Emma, toute contente
Elle a visité cet aprem.la maison de Marcel Pagnol à Aubagne, à la Treille et elle y a vu son habit d’academicien et tout le tralala m’a- t’ elle dit un bicorne et une épée.
Dramaturge et poète, Marcel Pagnol a su faire revivre dans son œuvre une Provence vivante, dépeignant entre rire et émotion l’âme et les mœurs méridionales. Son talent, qui dépassait les frontières, l’avait immortalisé dès avant son élection à l’Académie, à cinquante et un ans, le 4 avril 1946, par 15 voix au fauteuil de Maurice Donnay, qui avait occupé son siège de 1907 à 1945.

Sa réception, le 27 mars 1947, par Jérôme Tharaud, fut filmée, ce qui constituait une première dans l’histoire de l’Académie française.

François Mauriac a tracé de lui, dans son Bloc-notes, un portrait amical : « Pagnol, le seul à ne pas avoir de socle. Il semble s’être glissé dans cette antichambre de l’éternité en passant par la fenêtre, le seul qui sente l’air du dehors ».

Mort le 18 avril 1974. »

Sur sa tombe, Marcel Pagnol et les siens.

Pierre Assouline pourrait postuler.

rose dit: à

« […]une fois le diagnostic assuré à la Pitié Salpêtrière (Un beau matin) !. Claudette, Nicole, Huguette…, pour l’instant, il a fallu faire comme dans le film… Emma, sans doute aussi, pour d’autres éprouvées devenue si familières. »

Les hommes, pas si bêtes, meurent avant que d’entrer en EHPAD.
Emma « je ne sais pas pourquoi les hommes meurent avant les femmes ».

rose dit: à

Postuler à l’Académie française.
Pour le tombeau, le plus tard est le mieux.
Dix ans encore c’est une brindille.

Pablo75 dit: à

Pour tous les connards et connasses qui, ne s’intéressant pas du tout à la poésie contemporaine, jugent Christian Bobin sans l’avoir lu et ne sont même pas conscient de la nullité des poètes français vivants (la poésie a déserté la France depuis un bon moment déjà), les premières phrases de mon fichier de citations de ses livres:

– Écrire, c’est avoir une très haute conscience de soi-même, et c’est avoir conscience que l’on n’est pas à la hauteur, que l’on n’y a jamais été.

– Celui qui est sans argent manque de tout. Celui qui est sans lecture manque du manque.

– C’est difficile d’aller de l’inutile, la lecture, à l’utile, le mensonge.

– Il n’y a pas de connaissance en dehors de l’amour. Il n’y a dans l’amour que de l’inconnaissable.

– Les enfants sont comme les marins: où que se portent leurs yeux, partout c’est l’immense.

– Ce qu’on apprend dans les livres, c’est la grammaire du silence, la leçon de lumière. Il faut du temps pour apprendre. Il faut tellement plus de temps pour s’atteindre.

– Ce qu’on sait de quelqu’un empêche de le connaître.

– Tu veux savoir qui tu es pour moi, eh bien voilà: tu es celle qui m’empêche de me suffire.

– La musique rend bête, incomparablement. Elle enlève l’âme de la bouche. Elle se produit dans un temps blanchi, dévasté. Elle danse sur notre disposition, elle donne ses fêtes pour le jour où nous n’y sommes plus.

– Combien de mois, combien de vies faut-il pour écrire une phrase qui égale en puissance la beauté des choses ?

Marie Sasseur dit: à

L’ordurier du 75, alcoolique , qui zone sur un tas de blogs pour y déverser ses invectives démentes, féru d’esoterismee new age et de bobineries de presbytere, quand il ne vend pas ses prédications astrologiques et ses bouquins sur la lumière et les portes de l’au-delà, à des connards comme lui, a raté cela : il est concerné par le rapport tout neuf de la Miviludes, disponible ici:

https://www.interieur.gouv.fr/actualites/communiques/rapport-annuel-de-miviludes-gouvernement-se-mobilise-face-a-hausse

Janssen J-J dit: à

@ lui dire que ce n’est pas toujours une chance, ni même la « réparation » statistique d’une injustice sociologique des séquelles de genre liées à la répartition inégalitaire des tâches au sein de la société du post capitalisme industriel avancé.
@jzmn, Pas d’accord du tout avec votre peinture de chaque interprète de ce beau matin d’hiver… Jn’avais-j pas vu passer la chronique du 8 octobre, fort heureusement. Et ce soir, j’en ai encore un coût de poinG sur l’estomac, et un dû (cis). Le lezzard a pris ce film trop à la légère, on sent qu’il n’est pas vraiment concerné par le subject, et c bien naturel alors de garder la causticité de la distance pour faire accroire qu’on reste un critique de cinéma « objectif ».
Qui est le plus grand poète français vivant, jmd ? P75, croyez-vous-j ? (tchin). De même, ils sont tombés bien bas à la star académie perpétuelle : devoir choisir entre b.duteurtre@org et f.begbeidère@com !…
Bécassins… Les menus de D. (D De Coing ?) nous croûtent moins cher de drouants, et paraissent bien plus digestes pour nos porte-fouilles. Peut-on considérer Didier comme un grand romancier ? Pmp, moij qui ne l’ai jamais luj… j’en demande l’avis aux spécialistes, et à jzmn qui a lu toute la littérature française pour nourrir ses digest’ goûtants… Virginie n’aurait jamais dû démissionner. Mais où est-elle passée, celle-là ?
-> Retournez dans votre chambre, Madame Lambert !
L’apéro italien, maintenant ! (19.06) Bàv,

Jean Langoncet dit: à

@A offrir sans modération aux gentils commentateurs qui se soignent à grandes rasasdes de Latour

Non, rien … Latour 61 est madérisé depuis des plombes qu’il ne dira pas Pinault – pas le simple flic, l’autre, le déménageur breton amateur d’art ; mais comme on part du postulat que les clients y goûtent que dalle, tant que l’étiquette présente, roule ma poule … (incidemment, on apprend dans ce fil de discussion l’existence – quelle découverte !- d’un nouveau style qu’on prête à Céline : du sous San Antonio ! … entre Voyage au bout de la nuit et Mort à crédit, Céline donnait en effet la pleine mesure de son talent dans des romans à part entière, Guerre et Londres, au point d’envoûter des lecteurs aussi exigeants que rose ou closer… sans parler des pontes de la critique qui nous honorent ici, trop rarement, de leurs brillantes observations … une pluie de miracles, qu’on vous dit)

Marie Sasseur dit: à

Je reviens de la librairie encore sonnée par l’annonce du jour, le roman qui a gagné le prix Goncourt.

Comment en est on arrivés là. Le  » destin », le « fatum  » ?

Et si le motard était parti de la discothèque 5min plus tôt, et si la 2CV poussive avait calé au bon moment,aurait on échappé à cet accident dans l’histoire des prix littéraires ?

Il y a clairement un problème de légitimité.
Pourvu que ça ne devienne pas un discrédit.

Je vais prendre un autre train.
Bonne soirée.

Janssen J-J dit: à

Je m’associe à cet acte de fraternité intellectuelle intense de Philippe à Bruno. Il est magnifique… Ma peine n’arrive pas à se tarir. Cependant, elle s’adoucit petit à petit.
____________
Très cher Bruno. Le moment est venu, tant redouté, d’apprendre à vivre sans toi. Pour ta famille de naissance, d’abord, et pour celle que tu as formée en épousant Chantal, qui devront raccommoder jour après jour les fils décousus d’une présence interrompue, d’un amour dont le support physique s’est absenté. Pour la foule de tes amis, tous désemparés de ne plus pouvoir reprendre le cours de la conversation avec toi là où il s’était interrompu, se souvenant sans doute avec netteté de tes derniers mots, du dernier état de la résonance entre eux et toi.
Chacun d’entre nous conserve une raison particulière de t’aimer, des images de toi qui se détachent d’autres, des paroles proférées ou écrites qui vibrent encore comme autant d’attaches parce qu’elles sont devenues un peu de toi qui survis en nous. Comment faire coïncider ce flux d’affects, de concepts, de gestes, diffracté dans tous ceux qui t’ont connu, afin qu’il forme un ensemble rendant justice à ce que tu étais pour nous tous ? Les Achuar de la haute Amazonie dont nous avons souvent parlé ensemble ont inventé un traitement des morts, choquant à première vue, mais qui pourrait offrir une piste pour cette entreprise de conciliation des multiples traces que tu as déposées en nous.
Dans la mémoire d’un défunt, ils dissocient brutalement les souvenirs de la personne aimée, le tissu des émotions et des moments partagés, de la remémoration de ses accomplissements comme un actant particulièrement estimé par une parentèle et dont les actions obligent ceux qui lui survivent. Les premiers, les souvenirs personnels, doivent être bannis de la mémoire, de peur que le défunt vous entraîne tout de go au pays des morts, tandis que les seconds sont volontiers évoqués afin que l’armature des relations sociales ne se désagrège pas. Loin de moi, cher Bruno, l’idée de transposer directement une façon si pathétique de traiter la mémoire des morts …
_____________________

rose dit: à

Écouté partiellement un keskili, podcast du Monde.fr avec Brigitte Giraud et cela est fort intéressant.

À 17 ans, a ouvert La Recherche de Proust et au bout de trente pages, le livre lui est tombé des mains. Lors du long confinement de quatre mois mars 2021, elle a repris l’ouvrage qui, au bout de trente pages lui est tombé des mains. Elle ne renonce pas.

C’est un parti pris des choses l’accumulation des si.
Si tu n’étais pas mort. Mais tu es mort.

Jacques dit: à

Les gens qu’on aime meurent vraiment quand on les oublie.

Jacques dit: à

GÉANT
Les gonzesses et les tapettes n’aiment pas Céline. Naines et nains sont incapables d’aimer un géant.

Janssen J-J dit: à

@ Les gens qu’on aime meurent vraiment quand on les oublie.

c’est un peu vrai, mais voilà un nouveau poncif à la peau dure qui étonne de la part d’un tel érudit… Nous savons bien qu’ils aspirent à être oubliés des vivants, lesquels ont toujours quelque chose à leur reprocher, une fois les condoléances dûment prononcées au « cher disparu ».

J J-J dit: à

Or, des tapettes, voire des gouines aiment Céline, icite même, et on en connaît un pax ! Et certains géants aiment des naines. Quelle tache, ce D. quand il n’a plus rin à brouter à chaville, peut pas s’empêcher de faire le malin… Tu vas voir qu’il va nous donner son menu du soir dans pas long time…
Bàt,

Janssen J-J dit: à

@ Dix ans encore c’est une brindille.
merci rôz, j’espère qu’elle pliera, comme le roseau,… ce serait bien, 10 ans de pluss, pour Elle et pour moij. Dites lui que je lui souhaite.
Dormez bien à l’abri, vous avez besoin de fermer les esgourdes à la pluie ! – A demain.

et alii dit: à

INT2RESSANTE LETTRE DE PHILOMAG O% L’ON APPREND QUE
Il y a une dizaine d’années, des sinologues de Harvard ont relevé 113 termes chinois concernant l’humiliation. Par comparaison, un lexique de la terminologie de la glace de mer au Nunavik, dans le Grand Nord du Québec, contient 93 mots différents. Autant dire que la diversité du vocabulaire traduit quelque chose de vital : l’humiliation publique, notent les chercheurs, est un élément crucial de la socialisation en Chine. »
bonsoir

et alii dit: à

où l’on apprend

Philosophie magazine

Janssen J-J dit: à

(AFP) David Khalfa, chercheur : « Netanyahou ne peut pas se passer du soutien de l’extrême droite, il est piégé »

No comprendo où est le piège… Bibi a toujours été de la droite la plus extrême israélienne, et il n’a jamais fait de moto, alors quoi ?
C’est comme de voir jaillir Bolsonaro, peut-on en vouloir à cet homme d’avoir laissé brûler la forêt amazonienne, « notre poumon » d’acier ? —

Bàv,

Janssen J-J dit: à

Elle est bizarre votre comparaison (glaciation vs chinoiseries). Etes-vous vraiment guérie du dirfilmag, ma chère ?

et alii dit: à

ayant précisé que c’était une citation de la lettre de philomag , je souligne que ce n’est pas « ma » comparaison; ce qui est une réponse pars pro toto,
la lettre est signée
Sven
OrtoliSven
bonsoir

et alii dit: à

s’il est impensable aux contributeurs contributrices que l’on puisse ne pas désirer « échanger » avec eux, elles, je leur précise que c’est mon cas, et que je suis assez conséquente » pour considérer ne pas avoir
à m’en expliquer sur la RDL

Janssen J-J dit: à

@ une réponse pars pro toto,
mais on ne comprend pas pourquoi vous postez toutes ces citations tronquées issues de philomagre… Quel en est l’intérêt à vos yeux ? Voilà ce que l’rdl et ma soeur aimerions bien bien élucider depuis le temps… Serait-ce a minima la preuve que vous continuez à vous cultiver sur tout et n’importe quoi et à vous faire désirer ? Qu’il reste quelque chose de votre illustre intelligence à sauver de sa déliquescence programmnée ?… Opinez, si c’est le cas, sans répondre, plutôt que de feindre l’indifférence ou le j’men foutisme avant la belle mort… Ce serait humain et mieux compréhensible, tous comptes faits, taxifoliame… Bonsoir,

J J-J dit: à

@ je suis assez conséquente » pour considérer ne pas avoir à m’en expliquer sur la RDL

Certes, vous le lui avez répété mille fois, mais comment expliqueriez-vous à DHH, par ex., ce besoin quasi incoercible dont vous faites montre à ne point vouloir vous expliquer, alors que vous en crevez d’envie mais que personne ne vous le demande vraiment ni ne vous supplicie a fortiori. Sauf moij, des fois, tout en espérant intimement vous voir persister en votre être de dénégation, car le processus itératif en est fascinant… Sans compter qu’il ajoute un superbe exemple à la mise au point de ma nouvelle nosographie psychiatrique depuis l’apparition des réseaux sociaux dans les plurivers.
Continuez ainsi, et surtout ne changez rien à la récurrence des signes de votre névrose d’appel et d’évitement qui nous est si bénéfique. La Rdl étant habituée à toutes épreuves de déversement et de débordements, ne l’en privez surtout pas par un silence définitif qui serait trop navrant ! Elle ne saurait plus de quel mal vous iriez souffrir demain et à quelle amie ou domestique vous en confier. Bonsoir.

et alii dit: à

« Catherine Portevin publié le 03 juin 2021 1 min
Michel Serres projetait de consacrer un grand ouvrage aux Fables de La Fontaine. Sa mort en 2019 l’en aura empêché. Les éditions Le Pommier ont toutefois pu rassembler les textes qu’il avait consacrés à l’auteur du XVIIe siècle, à partir des notes trouvées dans son ordinateur, et en faire un livre posthume, La Fontaine (Le Pommier, 2021). Après Les Compagnons d’Ulysse lundi, le Le Lion et le Rat mardi et Le Loup et le Chien hier, quatrième lecture du fabuliste par le philosophe : La Laitière et le Pot au lait, qui, sur le chemin du marché, spécule sur les « veau, vache, cochon, couvée » qu’elle va pouvoir se payer et danse, et mime… et tombe. Une histoire d’argent et de corps, tous deux capables d’inventer des fables.

J J-J dit: à

le goncourt 22…, et si nous passions à autre chose, tellement il nous court-gonf. Bon, c’est une femme qui l’a gagné, c déjà ça, au moinss, ça nous consolera d’une ex Anomalie !… Quant à savoir si elle a du talent, là n’est plus la question depuis longtemps. Et Flammarion qui vivra vite, comme Camille, la maison le saura rapidement, hein ! ____
Sinon, Céline… nos moutons, revenons à,… combien de divisions, Panzer, au juste ? plon plon…

Clopine dit: à

Hier au soir, j’ai dîné avec mon premier compagnon, et un pote à lui. A la question « mais comment vous êtes vous rencontrés ? J’ai dit l’exacte vérité, qui remonte à un demi siècle, ahahah. J’ai raconté qu’il s’agissait d’une soirée poésie, et que ce (donc) tout premier garçon avait sorti sa guitare de son étui, et s’était mis à en jouer, j’avais instantanément eu envie d’être précisément à la place de la guitare. Eh bien, savez vous quoi ? Le copain a analysé la phrase comme sortant directement de notre apéro, où j’avais bu juste un demi verre de vin blanc. Comme quoi, même si l’on utilise une jolie périphrase, le désir féminin est t
encore tabou. Et il s’agissait d’un très vieux désir, d’ailleurs amplement satisfait..
Soupir ! Quand donc les femmes pourront elles parler d’elles , sans qu’on les accusent de déborder de leur statut ?

Janssen J-J dit: à

ah, ma grande amie Catherine Portevin ! Comment vous portez-vous depuis la dernière émission du 3 juin 2021, quand vous aviez failli être terrassée par une attaque vicieuse du covid19 ? Je vous signale d’ailleurs la mort de Michel Serres. Bàv, bonsoir.

Janssen J-J dit: à

@ Quand donc les femmes pourront elles parler d’elles, sans qu’on les accusent (?) de déborder de leur statut ? (CT)

Beaucoup le font, sans se poser tant de questions oiseuses. Il suffit de se gratter la guitare ou de prendre une femme pour son chapeau, et voilà…, le tour est joué (Joué-les-Tours, au sud de Rouen, pour l’aigrie kulture d’etaliiiiiiiiiiiiiiiii)

renato dit: à

« Quand donc les femmes pourront… »

Il faudrait peut-être changer ses fréquentations !

D. dit: à

J’ai pas compris. Clopine se prend pour une guitare ?

D. dit: à

Chaville c’est très bien. Je ne regrette pas du tout. Paris est devenu un gigantesque cloaque à cause d’Hidalgo et sa clique.

D. dit: à

Je balaye moi-même les feuilles sur le trottoir devant ma maison. Les parisiens sont incapables d’une telle chose. Rien n’est suffisamment balayé à Paris. Du temps de Chirac il y avait au moins les motocrottes.

Pablo75 dit: à

Elle est vraiment grotesque Pétasse Sasseur, dite la Super-Connasse du Blog, qui vient ici pour essayer de nous convaincre depuis des années que les deux plus grands écrivains français depuis Proust sont Hervé Le Tellier et F. Sureau, et le plus grand de langue espagnole depuis Borges est Ruiz Zafón !!

et alii dit: à

la manière dont les contributeurs de la RDL VIVENT leur « culture » avec leurs (mises en question d’)identité-s n’est certainement pas la seule ;et tant que je suis vivante, cette manière ne me convient pas;

MC dit: à

Certes, mais le Serres sur La Fontaine est posthume, Juillet dernier , JJJ , et le maître d’œuvre David x est un normalien de ma connaissance. Et puis cela vaut toujours mieux que le dernier Quignard!!

MC dit: à

Lmd, Henner ce n’est pas aussi « la Malaria ? »

Marie Sasseur dit: à

L’ordurier du 75, l’esoteric hystérique à besoin de visibilité pour son trafic de delinquant.

Marie Sasseur dit: à

Enfin, tout ça pour en arriver à consacrer des brigitte giraud, annie ernaux, bobin, latour, ron hubbard, et tout le saint frusquin de l’imposture et de l’ignorance,

vous avez bien les idoles que vous méritez.

Marie Sasseur dit: à

Une nuit de feu très « spectaculaire « .

Bolibongo dit: à

Privé d’exotisme?
A deux lettres près…

lmd dit: à

MC, cette Malaria, que vous me faite découvrir n’est pas bien jolie, alors que j’avais été intrigué par des paysages dans un registre assez différent, un peu mystérieux.
https://www.pinterest.fr/pin/432838214159012251/

«… brigitte giraud, annie ernaux, bobin, latour, ron hubbard, et tout le saint frusquin de l’imposture et de l’ignorance,»
Là, Marie Sasseur, vous sortez des limites de la politesse.

Marie Sasseur dit: à

dites lmd, pour les bonnes manières je pense que vous vous êtes trompé de blog.
Entre  » les connards  » et  » les connasses  » distribués ici, vous avez encore de la marge.

Je maintiens absolument mes propos, et les amplifie concernant Brigitte Giraud qui participe d’une littérature de manipulation mentale.

Marie Sasseur dit: à

Je cherche un Homme.
Celui qui se lèvera pour dénoncer les prevarications d’un président enfermé dans ses convictions et a priori rigides, de son secrétaire zélé et de trois vieilles dames à l’heure du thé et de psycho magazine, qui ont permis de présenter une brigitte giraud comme gagnante du prix Goncourt, après des éliminations discutables vu les 15 du départ, et pour certains, d’un autre niveau.

Me font penser à ces procédures d’appel d’offres publics, ou pour finir, c’est le plus toquard qui a le marché en cochant des cases, a minima .
Là !

B dit: à

On pourra toujours choisir Le mage du Kremlin. Aucune obligation d’achat. Les Goncourt sont quelquefois bizarrement décernés, ceci dit sans rien connaitre de la lauréate et donc sans regard critique positif ou négatif. Il faudrait savoir ce qui a pesé pour la voix compte-double du 15eme tour.

Marie Sasseur dit: à

Pour ceux qui savent de quoi ils causent, et a propos de mort accidentelle :
Dans les  » et si « , l’accident de Yves Ravey avait un tout autre enjeu  » universel ».

B dit: à

Bolibongo, à une lettre près, depuis 30 ans le couvent. J’ai laissé mourir ma libido qui d’ailleurs n’était guère flamboyante pour me perdre dans les images, les sons, les couleurs, les parfums. Le problème pour moi se situerait plus dans l’impossibilité de changer de paysage plus souvent comme on change de chaussettes, de chemises, de mec si l’on veut.

B dit: à

Entendu ce mot, « génial », à propos du Mage du Kremlin. Quelqu’un confirmerait-t-il?

Bloom dit: à

Russian forces have probably started deploying units threatening to shoot their own retreating soldiers, according to the UK Ministry of Defence. = TG=

Légendaire courage de la grande armée russe. Difficile d’exceller au combat et dans les pillages, assassinats sommaires et viols en tout genre.

Marie Sasseur dit: à

L’histoire retiendra qu’au moment où l’Europe était en situation d’embrasement, inédite depuis la seconde guerre mondiale, le président du jury Goncourt a préféré le  » destin  » d’un obscur motard, dont on n’a rien à foutre, à celui du dictateur à l’origine d’un chaos mondial, que G. da Empoli a retracé dans un roman, aboutissement de 4 ans d’enquête.

https://www.huffingtonpost.fr/culture/article/prix-goncourt-le-mage-du-kremlin-un-livre-au-heros-pas-si-fictif_209534.html

Bolibongo dit: à

Privé d’exotisme?
A deux lettres près…

Du nom du député lfi repoussé en Afrique, B!

Jazzi dit: à

« Je cherche un Homme. »

Celui que vous souhaiteriez n’est pas encore né, MS !

B dit: à

Un échange de prisonniers en négociation, 60 je crois.
La centrale de Z coup de du réseau électrique bombardé par le russes fonctionne avec 20 groupes électrogènes qui ont une autonomie de 15 jours. Après cela et même avant la fin du compte à rebours , s’il est impossible de réparer les lignes d’alimentation je suppose qu’elle devra être mise à l’arrêt pour plonger dans le froid et l’obscurité une partie du pays et des millions d’Ukrainien.

Marie Sasseur dit: à

… dit le prostitué , client de l’ordurier du 75. Sûr, qu’il sait de quoi il cause, le bouffon.

MC dit: à

C’est curieux comme toute littérature qui ne plait pas à Marie Sasseur est créditée de « manipulation mentale ». De sorte que le terme se dévalue d’autant.,,,oui lmd, cette Malaria a fait fureur de son temps..

B dit: à

Ce serait dommage de le renvoyer, il est plutôt pas mal ce Bilongo.

Marie Sasseur dit: à

J’ai lu 5 bouquins de la sélection Goncourt, je peux être fière de moi. D’avoir écarté d’emblée cette daube de Giraud.

Je décerne à quatre d’entre eux , ex æquo, mon prix d’estime de lectrice.

Une Heure de ferveur, de Muriel Barbery (Actes Sud)
Taormine, d’Yves Ravey (Éditions de Minuit)
La Petite menteuse, de Pascale Robert-Diard (L’Iconoclaste)
La Vie clandestine, de Monica Sabolo (Gallimard)

B dit: à

Bloom, le modèle semble être stalinien, un mépris total des hommes. Poutine a malheureusement encore de la marge avant de l’égaler en terme de pertes humaines d’un cote comme de l’autre. A cela s’ajoutent la sophistication et la précision des armes qui permettent toutes ces destructions . Il ne supporte que très mal un droit de réponse comme la destruction du pont en Crimée. Il faudrait le laisser faire sans oser lui infliger le même traitement. Il manque des pages à son livre d’histoire. De plus bonjour la corruption monstrueuse du tyran et de ses acolytes , les mensonges, le cynisme l’inhumanité du personnage.

B dit: à

C’est bien, MS. Je n’en ai lu aucun.

Janssen J-J dit: à

On lui donnerait bien volontiers Grégoire de Fournas… un bon gars. Me semble qu’ils seraient enfin assortis avec la gironde l’ayant trouvé et définitivement rentrée dans ses gonds.
Ce serait tout bénéf. pour l’RDL, au moinss durant leur longue honney-moune en Afrique subsaharienne. La paix au Front, kinen-rêverait ?!
Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ je peux être fière de moi.
@ C’est bien, MS. Je n’en ai lu aucun.
@ Vous nous décevez un brin à servir ainsi la soupe. L’absence de libido peut-être ?… bàv

Paul Edel dit: à

Si on lit Le Figaro de ce matin, il est clair que l’argument de la jurée François Chandernagor a dû jouer en faveur de Brigitte Giraud quand elle déclare : « Moi j’ai perdu deux nièces, tuées dans un accident d’auto, et c’était une suite de « Et si », qui a finalement fait qu’elles sont mortes toutes deux à 5 et 8 ans. Ce n’est pas seulement une histoire personnelle qu’elle raconte, mais une réflexion qui vaut pour chacun d’entre nous ».
Argument sociologique donc. Autre argument, c’est une femme : Paule Constant a insisté dans sa déclaration officielle du Prix face à la presse : »C’est la 13° fois en 120 ans qu’une femme remporte le Prix Goncourt. »
Rappelons qu’Elsa Triolet en 1944 fut la première femme qui l’obtint pour « Le premier accroc coute deux cents francs » et ce fut ensuite « Leon Morin prêtre » de Beatrix Beck, en 1952, puis Simone de Beauvoir pour « les mandarins » en 1954, mais le plus étonnant reste l’oublié « Bagages de sable » 1962 d’ Anna Langfus (1929-1966), magnifique livre de ferveur, de pudeur, de sobriété.Il mériterait d’être republié en collection de poche. Cette romancière perdit son mari et une partie de sa famille à Auschwitz. Aucune romancière ne fut couronnée à la table des Goncourt entre 1903, date de sa création, et 1943 ! Je regrette que les jurés n’aient jamais penser à attribuer le Goncourt à Dominique Rolin.

Marie Sasseur dit: à

Évidemment que Fournas doit être exclu de l’assemblée nationale. Si vous en êtes à ergoter là-dessus, je ne donne pas cher de votre racisme atavique !

Janssen J-J dit: à

@ mais pkoi n’avoir pas balayé la porte à Paris, et le faire à chaville ? On ne se venge pas de la sorte d’une municipalité honnie, surtout quand on connait bien le pedigree du maire de cette banlieue, Jean-Jacques Guillet, y’a pas foto hidalgo…
@ Davidix est également un normalien de mes connaissances. Il s’exprime parfois comme un prêtre défroqué. Je lui ai déjà dit que cela faisait un peu tache sur cette chaine prestigieuse.
Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Cette pauvre Chandernagor devrait passer la main et s’inscrire dans un groupe de parole, pour soigner sa connerie.
Passou a dû blemir.
Comme moi…en lisant cet argument immonde.

Janssen J-J dit: à

que les jurés n’aient jamais penser (sic) à… la grande amie de Fifi Sosoll, ils ont eu raison. En revanche, ils ont pensé à Leila Slimani, c déjassa !

B dit: à

3J, je cuisine d’excellents potages au potiron. Si ça vous tente… J’ai lu d’autres romans, des classiques. Je termine Sorbonne plage. Parcouru le Sel de la vie qui réconcilie avec les petites choses surtout quand soi-même on se sent un infime sujet, démissionnaire sur de nombreux plans, déserteur, d’aucun engagement.

J J-J dit: à

on n’ose imaginer comment ma pauvre masoeur qui, à l’évidence en crèverait d’envie, se comporterait dans ce pauvre jury sous la direction de ce pauvre didier decoin. Plusspire que la pauvre chandernague, tumeurs ! Bàv,

Marie Sasseur dit: à

« Je regrette que les jurés n’aient jamais penser à  »

Edel initie un nouveau jeu.

Faut s’inscrire ?

Janssen J-J dit: à

@ surtout quand soi-même on se sent un infime sujet, démissionnaire sur de nombreux plans, déserteur, d’aucun engagement.

mais non, B., je ne suis pas d’accord avec cette peinture automutilante de vous-même., car vous valez bien mieux que cela, tout le monde le sait bien icite… Hélas, pmp, je n’aime pas la soupe aux potirons, mais j’apprécie l’invitation et ne doute pas qu’elle fasse beaucoup d’heureux chez les gastronomes de votre contrée ! Bàv

Marie Sasseur dit: à

Le vieux keuf en est réduit à des  » et si « , débiles aussi, pauvre con, comme Giraud.

Je quitte avec Louise, qui revient d’attaque ! lol

https://youtu.be/SICfMR-wGWI

B dit: à

Ma liseuse est installée sur une peau d’ours ce qui donne que son amant aura vu l’ours sans voir l’homme qui l’a tué.

B dit: à

La liseuse.

B dit: à

Allez 3J! velouté de potiron à la crème et aux croûtons ( vieux).

Janssen J-J dit: à

@ OK, béatrice. Merci… Pour vous seule, trouvé ce passage d’Eric de Luca dans sa modeste autobiographie : « Tu es un forain qui fait tourner le manège pour y faire monter l’enfant qui est en chaque lecteur ».
C’est beau, non ? Bonapp !

J J-J dit: à

Erri de Luca (le tour de l’oie) -< oups…

Marie Sasseur dit: à

@ »d’Eric (sic) de Luca dans sa modeste autobiographie »

Erri de Luca dans  » le tort du soldat  » et ce n’est pas une autobiographie.

Janssen J-J dit: à

est-elle toute nue comme sur la photo de J-J Henner.
Moi elle m’exicte à mort, cette liseuse, je ressens toujours en moi le chatouillis qui la parcourt. C’est un délice…
(nb/ parfois, passoul est très inspiré pour illustrer ses papiers, d’autres fois non. Là, on est heureux d’ouvrir son blog à toute heure de jour. Voilà une dimension importante de son blog qui n’est pas toujours suffisamment évoquée à sa juste mesure). Bàv,

Janssen J-J dit: à

Le tour de l’oie (traduit par Danièle Valin chez Gallimard, page 159).
Sava bien, la grande Pétasse qui s’la pète un bras ?
Bàv,

J J-J dit: à

Précisons… « il giro dell’oca »… paru en 2018 chez Feltrinelli à Milan. Maint’nant, tu la fermes, et casse toi, tupu-mapôv’c !

Marie Sasseur dit: à

 » le tort du soldat « ,2014, Gallimard

p. 28/29

 » Un soir de juillet, j’entrai dans l’auberge à l’heure où l’on voit le le dernier soleil frapper sur la paroi ouest du Mont Scotoni. Il y avait peu de clients, la patronne le reconnut. Une femme d’une quarantaine d’années était assise à une table dans in coin entre deux fenêtres. Son dos arquées qui poussait son corps en avant vers la table la rendait accueillante. Le vent s’était frotté avec bonheur sur son visage. Quelques rides toutes fines au coin ses yeux en montaient le passage. Ses lèvres étaient entrouvertes pour goûter l’air. Elle me regarda et me lança un sourire, un courant d’air qui ouvre une fenêtre. Je ne suis pas habitué à la courtoisie d’une personne inconnue, je répondis de mes lèvres légèrement étirées, la bouche fermée.
Si j’étais forain et elle une petite fille montée sur un cheval de bois, je lui en offrirais un gratis, pour son sourire. Il faut bien cette formule inopinée pour commenter mon maigre sourire de retour. »
Erri de Luca

Marie Sasseur dit: à

Mi dispiace, l’émotion…

lire après corrections :

» Un soir de juillet, j’entrai dans l’auberge à l’heure où l’on voit le le dernier soleil frapper sur la paroi ouest du Mont Scotoni. Il y avait peu de clients, la patronne me reconnut. Une femme d’une quarantaine d’années était assise à une table dans un coin entre deux fenêtres. Son dos arqué qui poussait son corps en avant vers la table la rendait accueillante. Le vent s’était frotté avec bonheur sur son visage. Quelques rides toutes fines au bord des yeux en montaient les points de passage. Ses lèvres étaient entrouvertes pour goûter l’air. Elle me regarda et me lança un sourire, un courant d’air qui ouvre une fenêtre. Je ne suis pas habitué à la courtoisie d’une personne inconnue, je répondis de mes lèvres légèrement étirées, la bouche fermée.
Si j’étais forain et elle une petite fille montée sur un cheval de bois pour un tour de manège, je lui en offrirais un gratis, pour son sourire. Il faut bien cette formule inopinée pour commenter mon maigre sourire de retour. »
Erri de Luca

Jazzi dit: à

Pour la beauté du débat, le léZard a fait un effort pour vous rendre compte d’un film qui ne l’a pas convaincu, contrairement à la critique !

Janssen J-J dit: à

@ Alexia i vosotros, je vous invite à venir vous balader vers chez moij, pour visiter cette abbaye, vous y serez comme envoûté.es…!
http://www.abbayedetrizay17.fr/
Bàv,

J J-J dit: à

Merci d’avoir fait l’effort de nous dire tout votre dégoût pour ce film. Il va certainement plaire à ma soeur. Bàv, jzmn, nous restons à votre service…

Jazzi dit: à

Dégoût est un peu excessif, JJJ.
Dubitatif, pas convaincu, mais pas ennuyé non plus.
Disons que l’atmosphère du film est lourde, pesante…

renato dit: à

Le dictateur Vladimir Poutine a déclaré que la confrontation de la Russie avec le « régime néo-nazi » de Kiev était inévitable : « régime néo-nazi » ! c’est incroyable ce qu’un vrai fasciste arrive à inventer comme prétexte.

Pablo75 dit: à

@ Renato

Cela fait un siècle que pour savoir la vérité il suffit d’écouter un communiste russe et de croire le contraire de ce qu’il dit. Poutine n’a jamais dit une vérité dans sa vie. Il est très facile à décoder.

Pablo75 dit: à

@ Renato

Tu connais Kamasi Washington?

Je l’ai découvert l’autre jour sur l’excellent programme de France-Musique « Banzaï ». Ils ont passé cette étrange et très envoutante musique, surtout écoutée plusieurs fois à la suite:

« Truth »
https://www.youtube.com/watch?v=rtW1S5EbHgU

renato dit: à

De Washington, Pablo, écouté The Epic chez un ami, apprécié mais pas cherché plus d’infos. Dans Isabelle vague reconnaissance de Sun Ra (Lanquidity) —toutes proportions gardées. Cela dit excellent saxo.

Clopine dit: à

Revu Clopin aujourd’hui. Pas de « h » à la place du « l ». Aucune musique, veux je dire. Nous ne sommes plus qu’un vieux monsieur plein de regrets et une vieille femme encore étonnée d’avoir survécu. C’est lui qui a payé le restaurant. Sans barguigner. Et lui et moi (j’avais fait l’effort d’un mousseux pull blanc, et lui était rasé de près), ressemblions à ce que nous avons toujours été. Des sortes d’animaux de la savane, peu habitués à ronronner, mais prêts à le faire, au nom de notre progéniture (nous serons donc présents ensemble à la soutenance du doctorat du Clopinou). Sinon, les frites étaient bonnes, et il y avait enfin de la moutarde. Qui ne nous est pas montée au nez : vive les rapports civilisés.

Marie Sasseur dit: à

Il y en a un qui a perdu son pari , drôlement, à propos de ce  » récit  » de l’epouse en deuil.

Il est immunisé.

« Si ce texte obtient le Goncourt je promets de mélanger tous les vaccins contre le Covid dans un verre d’eau et de les boire à l’heure de l’apéritif. Si je reste en vie après ça, alors c’est que les miracles existent, et si les miracles existent, alors c’est que le Prix Goncourt a choisi plus sérieusement le dernier pamphlet de Patrick Sébastien qui écrit comme sa prostate : par à-coup. »

https://www.librairie-arthaud.fr/fr/pp/9782080207340-vivre-vite

Marie Sasseur dit: à

Un Goncourt pour moto magazine, ça peut booster les ventes.

Ou alors refiler l’info chez les complotistes.
Suffit de lire comme c’est écrit que la moto super puissante (*) était l’oeuvre d’un Jap’ qui l’a refourguée à la France, pour qu’ils aient des accidents.

Et si…et si B. Giraud était complètement marteau. C’est sans doute la seule explication.

(*) attention ! bonus pour connaisseurs.

https://www.motomag.com/Histoire-moto-la-Honda-CBR-900-RR-Fireblade-dans-tous-ses-etats.html

Jazzi dit: à

Pour bien saisir le texte clopinesque (le correcteur automatique avait écrit clownesque !), toujours si dense, il nous apparait utile de le compléter de quelques notes et commentaires…

« Pas de « h » à la place du « l » »

*Ici, l’annotateur avoue sécher totalement. « h » pour haine mais quoi pour l ?

« C’est lui qui a payé le restaurant. »

**Faut préciser que d’habitude c’était l’inverse. Une inversion soudaine des rôles, qui remet les choses à leur place : le mâle paye et la femelle s’invite. Pas sûr que cela soit compatible avec le féminisme ?

« (j’avais fait l’effort d’un mousseux pull blanc, et lui était rasé de près) »

*** Face à ces artifices qui relèvent de l’art de la séduction, le lecteur est comme pris d’un doute : vont-ils renouer le lien qui les unit encore ?

« Des sortes d’animaux de la savane, peu habitués à ronronner, mais prêts à le faire, au nom de notre progéniture »

**** Hélas, Clopine a encore oublié d’être avant tout une femme et voilà qu’elle agite le drapeau de mère ! A moins que l’enfant ne soit un prétexte pour les rapprocher ?

« Sinon, les frites étaient bonnes, et il y avait enfin de la moutarde. »

***** Bonne nouvelle, Clopine a retrouvé l’appétit ! Mais l’avait-elle perdu ?

« vive les rapports civilisés. »

****** On note avec plaisir un net mieux ! Elle va pouvoir économiser ses frais de psy…

Clopine dit: à

Clopin avec un « h » à la place du « l » ça donne Chopin. Je m’étonne un peu de votre manque d’agilité mentale, Jjj, vous qui d’habitude en débordez ?

Clopine dit: à

Quant à être une femme « avant » d’être une mère… Tautologie ?

Clopine dit: à

A moins bien sûr d’être Marie de Galilée… Mais cette dernière, non seulement d’être encore plus vierge que Jeanne d’Arc, était aussi enceinte par l’opération du Saint Esprit. Moi, bêtement, j’ai suivi le troupeau. A savoir avoir eu besoin d’un appareil génital masculin (en pleine forme à l’époque), pour concevoir quoi que ce soit.

Marie Sasseur dit: à

C’est soirée YouTube ?, alors je veux bien poser un lapin…avec « un lièvre blanc qu’on ne voit jamais » ( op. cit. p.21)

https://youtu.be/MgYyzncFsqU

Jazzi dit: à

Change de lunettes, Clopine, tu confonds jjj et Jazzi !

renato dit: à

Tout le monde oublie le pacte Molotov-Ribbentrop, Poutine en premier.

Jean Langoncet dit: à

(le collectif dénommé renato a bouffé la grenouille)

Jean Langoncet dit: à

De l’anomalie prodigieuse ; après le carton, le film : « Hervé le Tellier – sans anomalie »

rose dit: à

Le chic au fil tellement top.
« I want to dance. I want to win. »
Jamais lassée.

rose dit: à

Et ben Clopine, en ce moment ça déménage pour vous !

Jazzi dit: à

« Jamais lassée. »

Vous twistez encore, rose !

Jean Langoncet dit: à

(Twist : Ed Sullivan et Bo Diddley)

rose dit: à

Cette scène est tellement géniale Jazzi !

x dit: à

« — L’œuvre ne doit pas me survivre. […] elle doit tomber dans l’oubli, et moi avec elle… »

L’œuvre arrachée à son créateur mais aussi à la destruction, par le politique (intéressé à sa gloire, très éloigné de la compréhension des enjeux artistiques et spirituels) : dans la troisième partie de La Mort de Virgile, « La terre — l’attente ».
Mais conviendrait-il de parler de « décréation » dans la mesure où le personnage du poète considère que
a) le sacrifice du poème est nécessaire à la préservation de la création (l’univers)
b) il aurait lui-même répété plutôt que créé par des voies nouvelles :
« C’est l’époque qui prescrit dans quelle direction les tâches doivent être accomplies, et celui qui va à l’encontre de cette direction doit nécessairement faillir… Un art, créé en dehors de cette direction, et qui ne s’acquitte donc plus d’aucune tâche, n’est ni une connaissance ni un secours, bref, il n’est plus un art et il n’a pas de consistance. »

César Auguste aura le dessus, bien sûr, puisqu’il obtiendra le consentement du mourant et fera emporter le coffre qui renferme le manuscrit ; on le verra d’ailleurs exercer une autre forme de domination sur le texte : « mais avec quelle ruse Octave avait-il su retourner leur sens [celui des mots du texte qu’il avait cités] pour les asservir à une fin temporaire et superficielle. »

renato dit: à

Vous oubliez peut-être x que Octave il n’était pas homme à se perdre en jouant à « l’élégant empereur sur les terrasses vêtu d’un trabée transparente ».

renato dit: à

Maintenant la victime est Semeur au coucher du soleil, il faudrait que ces idéalistes essaient avec un match de foot ou une un truc de F1, avec l’art c’est facile car nous sommes tolérants, les fans de foot beaucoup moins.

Jazzi dit: à

« ces idéalistes »

Le terme est bien en deçà de leur incommensurable connerie, renato !
De la graine de gilets jaunes, qui se prennent pour des communards de Paris !
Des pseudo révolutionnaires assurés tous risques…

Janssen J-J dit: à

djzmn espère que le thésard sera à la hauteur de ses parents réconciliés un temps pour célébrer leur progéniture, snif.
Est très sentimental, mine de rin. Moij qui me prenais pour luit, eh ben non, quand même!… Avais tout de suite pigé l’histoire de Chopin, le charlie chalpin.
Dommage que cette page ne soit pas tournée comme le fut celle de proust et les abeilles. On attendait les nouvelles aventures brûlantes d’Annie Ernaux à Rouen-Rouen. C’est le flop. Misère de la journée, bin bonne nuit àv,

Jazzi dit: à

Très belle toile de De Staël, datée de l’année de ma naissance, Langoncet !

Jazzi dit: à

« Avais tout de suite pigé l’histoire de Chopin »

Ne soyez pas cruel, JJJ !
Il ne s’agit pas de désespérer mon fan club…

Jazzi dit: à

FERNANDO PESSOA

DE TOUT, IL RESTA TROIS CHOSES

De tout , il resta trois choses :
La cer­ti­tude que tout était
en train de com­men­cer,
la cer­ti­tude qu’il fal­lait conti­nuer,
la cer­ti­tude que cela serait inter­rompu avant que d’être ter­miné.
Faire de l’interruption, un nou­veau che­min,
faire de la chute, un pas de danse,
faire de la peur, un esca­lier,
du rêve, un pont,
de la recherche…
une rencontre.

D. dit: à

Ce soir j’ai mangé du lieu.

Pablo75 dit: à

« Le petit bouquin de F. Sureau, au plus profond de la forêt, est un enchantement. »
Marie Sasseur dit:

On savait que notre Super-Pétasse avait un goût de chiotte et confondait les romans de gare avec la littérature. Ouvrons au hasard le livre de Sureau « Un an dans la forêt »:

« La narratrice retourne dans son ancien bureau, qu’elle partageait avec un imprésario, Jules, grand organisateur de numéros de strip-tease et qui est par ailleurs membre de la Société d’aviculture et de cuniculiculture de la région parisienne. Il l’engage pour garder le lapin de Mazda, le grand illusionniste hindou, entre les représentations. Le lapin s’appelle Moquette-des-Neiges. Malheureusement il disparaît au bar de la brasserie La Lorraine, place des Ternes, au cours de la soirée. […] Le lapin réapparaît enfin. Cette aventure a donné une idée à Jules : il propose à la narratrice de devenir cuniculiculteur, de se présenter à la réunion de la Société, et de se porter candidate à la direction d’une mission d’introduction d’une race de lapins français en Espagne, expérience qui n’a jamais été tentée auparavant.

L’événement serait publié dans le prochain bulletin de L’Amicale du lapin. L’article serait écrit par Mme Dulandeau, des Pelleteries Moscovites, mariée à un important cuniculiculteur du Puy-de-Dôme. L’affaire était dans le sac. Seule l’adaptation au climat espagnol déroutait. Celui-ci étant à l’opposé de celui de la Sologne. Le stud-book cuniculicole fut minutieusement étudié. Le Géant des Flandres, superbe en poids, aurait trop chaud. Le Papillon français, blanc moucheté de pastilles noires, voyageait mal. Nous tombâmes d’accord sur le Fauve de Bourgogne .

Reste la question de la méthode du transport des lapins. Le président général de la Société l’interroge à ce sujet, en lui remettant sa carte de cuniculiculteur, marquée d’un lapin à l’encre violette. L’héroïne fait appel à une de ses amies, Maggie, une vieille fille qui cultive des betteraves, et qui accepte de l’accompagner à Barcelone avec sa propre voiture – une décapotable pour que les lapins respirent à leur aise pendant la route.
[…]
À Barcelone, elles choisissent l’hôtel de la Virgen de Palomar, que son caractère discret rend bien adapté aux lapins. S’ensuit, la nuit tombée, une scène absurde où les lapins s’asseyent en rond à la pleine lune dans la chambre d’hôtel ; un lapin est fasciné par son propre reflet dans la glace de l’armoire. « Il griffait son image, frottant son petit museau sur son reflet, comme pour l’embrasser. Le Fauve de Bourgogne se croyait être devant un autre Fauve de Bourgogne, mais glacé. La scène était prodigieuse. »

Il s’agit maintenant de vendre des couples de lapins à des éleveurs espagnols. Les slogans utiles sont créés, « Le Fauve de Bourgogne à la rescousse des Espagnols ruraux », « Le lapin français dépasse le tourisme allemand », et les commandes affluent. Puis les lapins cessent de se reproduire car ils s’ennuient dans leurs cages. Inspirée par les numéros burlesques desquels s’occupait son ami Jules, l’héroïne se dit qu’il suffirait, comme au music-hall, d’agiter d’énormes plumes colorées devant les cages des lapins pour leur rendre leur bonne humeur. Elle achète un couple de paons, qui s’acclimatent très bien, et rendent aux lapins toute leur énergie. « L’atmosphère générale sembla s’améliorer. Les lapins sautaient comme sur des tremplins de cirque. Les paons trépignaient sous leurs plumes. »

Elle est invitée à la Grande Exposition internationale de l’agriculture et des transports, à Madrid. L’emballage des paons lui pose un problème, car aucune caisse n’est assez grande ; finalement elle les porte en bandoulière dans des sacs en raphia. À Madrid, elle prend une chambre au Plaza et fait nombre d’allers-retours pour acheter des carottes ; le personnel mécontent lui demande désormais d’emprunter l’escalier des fournisseurs, car la circulation de carottes peut gêner les autres clients de l’hôtel. »

Ça a l’air passionnant, en effet.

Et c’est la Super-Connasse qui a des orgasmes en lisant ces histoires de « cuni-cul-ture » (on attend les interprétations de la psychanalyste du blog) qui essaie de se moquer de Christian Bobin sans s’avoir qui il est…

A-t-on déjà vu dans ce blog depuis qu’il existe une Analphabète Hystérique doublée d’une Crétine Frustrée ayant autant de problèmes psychiatriques et si peu de sens du ridicule que la Sasseur?

rose dit: à

Samedi 5 novembre 2022

Les navets à 4 euros le kilo.
Où va t’on ?

Se dit soutenance de thèse. Clopine y est pour beaucoup. Toutes ces histoires, qu’elle a racontées, toute passionnée à son petit bambin qui écoutait émerveillé. Bravo !
Peut-on avoir le sujet ?

rose dit: à

tautologie
nom féminin
1.
LOGIQUE
Proposition vraie quelle que soit la valeur de vérité de ses composants.

rose dit: à

Il existe aussi un cocktail Molotov.
Le pacte lui a duré deux ans. Bel effort.

rose dit: à

BO Diddley, en Amérique au Ed Sullivan show devant.
https://youtu.be/UFtXhaQnnBM

Aujourd’hui, l’évolution c’est pas retourne en Afrique, c’est chaud patate.

rose dit: à

Et si…et si B. Giraud était complètement marteau. C’est sans doute la seule explication.
B. Giraud est complètement moto. That’s the point. Son mec aussi.

rose dit: à

Bon shabbat, mes bilous. Pour moi, ce sera nouveau montage de protection du gel du citronnier et du clémentinier. Y en a pour un moment. Shabbat, ce sera demain.

rose dit: à

Et dire, le délire, à tes potes de shabbat « retourne à Jérusalem »
https://youtu.be/fCZVL_8D048

Prem’s dans le ⛵. Capitaine. Exodus.

rose dit: à

ce besoin quasi incoercible dont vous faites montre à ne point vouloir vous expliquer, alors que vous en crevez d’envie mais que personne ne vous le demande vraiment ni ne vous supplicie a fortiori

rose dit: à

Oui. Descendre de l’arbre, c’est seul. S’éloigner c’est seul aussi. Pas de coercition, pas de a fortiori. Zou, prenez-vous par la main.

Marie Sasseur dit: à

La conchita pablita du 75 est atteinte du syndrome de Gilles de la,Tourette. Ou alors bobonne lui a fait faire le ménache.
Est-ce le fait d’avoir démasqué ce delinquant pute75, qui vient ici pour chercher des clients pour leur refiler toute une littérature ésotérique new age, des horoscopes et accessoirement y faire son coming out ,

Toujours est il que « un an dans forêt « , Gallimard , nov 2022, de F. Sureau est une petite pépite d’intelligence et d’érudition.

rose dit: à

Clopine, s’agit de préparer un banquet pour les jurés et les invités. Au boulot,

rose dit: à

Et mangez l’autre pour demain.

Marie Sasseur dit: à

La neige a neigé, mais hier à la librairie c’était tout blanc aussi dans les rayons…c’est le climat local qui veut ça.

A Lyon ils se précipitent sur le bouquin de B Giraud la lyonnaise , qui raconte son mari qui a eu un accident de moto au coin de leur rue , à cause de la maison qu’ils étaient obligés de quitter, de la moto du frangin qui était dans le garage et que le mari de Brigitte ne savait pas conduire, une histoire de, et pour, marteaux,

Alors que nous , on évolue dans le blanc. Et dieu que c’est bon, de prendre la fuite ainsi.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-9h10/l-invite-de-sonia-devillers-du-jeudi-13-octobre-2022-1968327

renato dit: à

Moscou : « La faute est de l’Occident qui envoie les armes » !

Voilà qui est dit, nous devrions laisser faire les criminels et regarder le spectacle…

Marie Sasseur dit: à

Puisque la pute75 a ouvert le livre de F Sureau, « un an dans la forêt « , à la page 53, pas au hasard puisqu’il fait un ctrlf, sur le mot  » espagne  » sur un texte que ce délinquant télécharge illégalement, comme il en a l’habitude,

autant préciser que les extraits pillés et détournés, que ce délinquant a publié ci-avant, confirmant s’il en était besoin que ce cinglé ne sait pas lire, est le récit du livre  » les carottes du Plaza » d’ Elizabeth Prevost.

La bonne espaniole du 75, pourra le trouver ici,

http://www.jocaseria.fr/Auteurs/Fiche%20auteur/Eprevost.html

Enjoy, 😁

Marie Sasseur dit: à

A toutes fins utiles, derrière chaque grand homme, il y a une grande femme :

« Vers la fin de sa vie, Élisabeth publie trente-et-une lettres[N 6] reçues de Blaise Cendrars. Elle est pour sa part l’auteure de plusieurs récits et nouvelles, dont Les Carottes au Plaza, qu’elle rédige après la mort de Cendrars[1]. Elle a aussi écrit plusieurs reportages, restés inédits[1]. »

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/%C3%89lisabeth_Pr%C3%A9vost

Marie Sasseur dit: à

06/11/2022, 9h15, bonnes lectures !

Soleil vert dit: à

>PA : « Il faut aussi compter avec le cas de ces écrivains qui n’en finissent plus de ne pas finir et procrastinent à mort la remise de leur manuscrit à leur éditeur. »

Les Galaxiales de Michel Demuth, recueil inachevé du traducteur de Dune et ancien directeur des éditions Opta, sort, complété par des auteurs français, le 17 Novembre. Avec l’accord de sa veuve et l’aide du défunt maitre d’oeuvre qui avait laissé un plan d’écriture des récits à venir.
On procrastine aussi par manque de temps et parce que la création et l’alimentaire ne vont pas toujours de pair.

Jean Langoncet dit: à

@BO Diddley, en Amérique au Ed Sullivan show devant.

Wiki dit :
Bo Diddley est une chanson de Bo Diddley écrite en 1954 et produite en mars 1955 par Checker Records[3], une filiale de Chess Records. C’est le premier tube qu’il ait sorti en single et qui l’a fait connaitre cette même année en atteignant la première place des charts rhythm and blues pendant 18 semaines [4]. La face B comporte un autre standard de légende : I’m A Man.

Quand il décide de produire sa première maquette pour compenser financièrement les saisons mortes du Show Business, le morceau porte le nom de Uncle Jo. En signant en 1954 avec Chess Records, il le transforme en Bo Diddley qui est son nom de scène depuis 1943.

L’album portant toujours le même nom ne sortira qu’en 1958.

Il la joua à la télévision pour la première fois dans le Ed Sullivan Show le 20 novembre 1955[5]. En fait Bo Diddley désobéi à Ed Sullivan en jouant sa chanson à la place de celle qui était prévue, une reprise de Sixteen Tons. Il est dès lors écarté des shows jusqu’à la résurgence du Rock au début des années 1960, mais il popularisa de fait sa chanson et son style.

Jean Langoncet dit: à

To twist : tordre (les règles éventuellement)

Bolibongo dit: à

10 h 44 le 5/11/2022

Procastinacule!

Janssen J-J dit: à

vous mangez trop de poissons le soir, vous finirez couvert d’écailles,

Janssen J-J dit: à

@ ma soeur brigitte,
Voilà de quoi alimenter vos bouts rimés en cule ou, à défaut, matière à varier vos injures un brin limitées à la longue :

ABACULE
ACCULE
ADMINICULE
ANIMALCULE
ANTICORPUSCULE
ANTIPARTICULE
APPENDICULE
ARBUSCULE
ARTICULE
ASTROPARTICULE
AURICULE
AVICULE
BASCULE
BIOMOLECULE
BOUSCULE
CALCULE
CALICULE
CANALICULE
CANICULE
CICATRICULE
CIRCULE
CLAVICULE
CONVENTICULE
CORNICULE
CORPUSCULE
COTICULE
CRATICULE
CREPUSCULE
CULE
CUTICULE
DENTICULE
DESARTICULE
DESOPERCULE
DIVERTICULE
ECULE
EDICULE
EJACULE
EMASCULE
ENCULE
FACULE
FASCICULE
FEBRICULE
FECULE
FLOCULE
FOLLICULE
FORFICULE
FUNICULE
GENICULE
GESTICULE
GRATICULE
GROUPUSCULE
HERCULE
HOMONCULE
HOMUNCULE
IMMACULE
IMMATRICULE
INARTICULE
INOCULE
LENTICULE
LOCULE
MACROMOLECULE
MACULE
MAJUSCULE
MATRICULE
MICROPARTICULE
MINUSCULE
MIRACULE
MOLECULE
MONTICULE
NANOPARTICULE
NAVICULE
NUCULE
OCULE
ONGUICULE
OPERCULE
OPUSCULE
OSCULE
OSSICULE
OVICULE
PANICULE
PANNICULE
PARTICULE
PECULE
PEDICULE
PEDONCULE
PELLICULE
RADICULE
RECALCULE
RECULE
RENONCULE
RETICULE
RIDICULE
SACCULE
SANICULE
SICULE
SILICULE
SPECULE
SPICULE
SUPERMOLECULE
TENTACULE
TESTICULE
TRABECULE
TUBERCULE
TURRICULE
UTRICULE
VEHICULE
VENTRICULE
VERMICULE
VESICULE

(Bàv, de la part du grand Georges Pérecule)
5 XI 22_11.24

et alii dit: à

Shabbat, ce sera demain.
non madame rose

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*