Parano dans le marigot
A ceux qui doutent encore que l’édition soit un sport de combat, on ne saurait trop recommander la lecture de La vie comme un livre (588 pages, 25 euros, Philippe Rey éditeur, en librairie le 3 septembre). Son auteur Olivier Bétourné (1951) y raconte par le menu ses quarante ans dans ce métier où il est entré comme lecteur puis secrétaire général du Seuil, vice-président de Fayard, directeur général d’Albin Michel et enfin Pdg du Seuil. Un parcours exemplaire sans compter ses responsabilités dans de nombreux organismes corporatifs.
Quelle place un éditeur, et plus encore s’il a beaucoup œuvré dans le champ des sciences humaines et sociales, tient-il dans l’histoire des idées et dans le débat intellectuel ? Passionnant pour qui a connu tous les acteurs de cette comédie si française. Mais les autres : que penseront-ils de ce tout petit monde, ce microcosme qui se donne pour une élite ? L’édition vue de l’intérieur n’a d’intérêt, comme c’est ici le cas, que lorsqu’elle se fait la chambre d’écho sinon l’aiguillon de fractures et d’affrontements idéologiques ou de débats moraux qui agitent la société. On se fait des idées sur cet univers car il en sort tout de même des livres. Gaston Gallimard ne disait-il pas en s’exprimant au nom de ses confrères :
» Nous sommes des commerçants d’un type un peu particulier : nous avons passé un pacte avec l’esprit »
Sauf qu’à l’usage, le gouvernement des hommes s’y révèle être rien de plus que l’administration des egos – et c’est aussi médiocre qu’ailleurs, d’autant qu’une forme ordinaire de la paranoïa y est largement répandue. Ainsi, ce qui pourrait se traduire par des batailles d’idées se traduit souvent par des querelles de personnes. Et lorsque l’orgueil ou la cupidité l’emportent, toute mystique se dégrade en politique ; peu de vocations y résistent.
On ressort de cette lecture éclairé sur les liens génétiques du Milieu littéraire avec le Milieu. On y meurt tout autant de mort violente à ceci près qu’elle est professionnelle, donc sociale. Mais pour l’essentiel, les mémoires d’Olivier Bétourné, qui a le grand mérite de ne pas manier la langue de bois (« Nous ne nous aimions pas » reconnait-il à propos des membres d’un comité de lecture) et de ne pas taire ses inimitiés, empruntent au thriller son lexique : il n’est question que de tueurs, vendettas, luttes de clans, rumeurs assassines, délires d’interprétation, obstructions systématiques, jalousies, alliances opportunistes, campagnes de dénigrement, insinuations en rafales, sabotages, harcèlements, rivalités, petites combines, exacerbations des passions, menaces et chantage. Sauf que là, le rapport de forces est plus feutré ; et si tout est légal, tout n’est pas nécessairement moral.
Les dix « leçons » qui égrènent son récit sonnent comme autant de commandements à tout futur éditeur dont la responsabilité de l’éditeur est le centre de gravité dès lors qu’il ne se contente pas d’organiser et de programmer, des taches qui elles-mêmes ne sont pas neutres :
- Ne pas transiger sur certains sujets
- Se méfier de ses meilleurs amis
- Savoir de quoi est faite la responsabilité de l’éditeur
- Renoncer au métier d’éditeur si l’on refuse d’envisager à avoir un jour à traverser Paris une mallette pleine de petites coupures à la main
- Ne jamais rien laisser passer
- Dans le doute, abstiens-toi
- Assume tes responsabilités, toutes tes responsabilités, mais jamais celles d’autrui
- Dans tes rapports avec les médias, n’abandonne rien au hasard
- Ne t’engage dans la campagne des prix que si tu en maitrises la configuration et qu’il y a un pilote dans l’avion
- Tes convictions éditoriales, quelles qu’elles soient, nourris-les et impose-les jusqu’au bout sans faiblesse
Au fond, il y a deux catégories d’éditeur : celui qui privilégie l’offre sur la demande et l’inverse. La conviction d’abord, le marché ensuite ; dans la longue durée plutôt dans que le court terme ; mais de l’accommodement au compromis, et du compromis à la compromission, la voie est étroite et rapide pour celui qui ne se tient pas à un absolu du métier d’éditer. L’évocation des pressions exercée par la direction du groupe Hachette pour convaincre Fayard de ne pas publier une biographie de l’homme d’affaires Jean-Marie Messier ainsi qu’une enquête sur les réactions de L’Oréal face au boycott arabe, ou contraire de publier une hagiographie de Deng Xiaoping écrite par sa fille, afin de ménager ses relations avec des pouvoirs ou des annonceurs est à cet égard instructive ; mais celle du changement d’esprit au Seuil lors que ses éditeurs sont passés de la communauté au parlementarisme ne l’est pas moins.
Qu’on n’attende pas de lui qu’il se donne le mauvais rôle, c’est la loi du genre. Une mosaïque d’anecdotes, dialogues, choses vues, lues, entendues souvent éclairantes, parfois inutiles n’en dessinent pas moins à son corps défendant un autoportrait plus porté à l’autosatisfaction (notamment via les lettres personnelles à lui adressées par des auteurs) qu’à l’autocritique. Mais que de pages captivantes sur Julien Green, Claude Durand, Jean Lacouture ou Pierre Bourdieu dont il tisse des portraits d’une acuité, d’une profondeur et d’une sensibilité remarquables, ou sur la tentation de la démission face au cas de conscience (peut-on tout publier au nom de la liberté d’expression ?) sans parler des mauvais choix, des erreurs, des catastrophes dont il ne cèle rien. A cet égard, le rappel de l’affaire Umberto Eco est terrible, l’universitaire italien ayant publié tous ses livres théoriques au Seuil :
«Mais François (Wahl, son éditeur attaché), qui nous fit un certain vendredi une présentation éblouissante de ce roman (« Le Nom de la rose »), conclut fermement son exposé sur la nécessité de le refuser, Eco s’étant « égaré », nous expliqua-t-il dans un projet littéraire flou et sans aveu (théorique). Aux yeux de François, la « trahison » d’Eco était consommée : il avait renié d’un même mouvement et la « structure » et la sémiologie, sa discipline d’origine ».
On connait la suite : un succès mondial, des millions d’exemplaires vendus, un livre qui fit le bonheur de Grasset pendant des années… La liste de « ses » livres induit un pesant côté catalogue. Mais le récit de l’intérieur des « affaires » auxquelles il fut mêlé ès-qualités vaut vraiment le détour qu’il s’agisse de la réédition émondée de ses passages antisémites du Journal de Renaud Camus (La campagne de France) ou du séisme provoqué dans le quotidien par l’enquête de Péan & Cohen sur la Face cachée du Monde. Très enclin (parfois trop) à détailler tant le mémorialiste tient à justifier son action à la lettre alors que nul ne lui en fait l’injonction, Olivier Bétourné aurait-il cédé à son tropisme d’historien même s’il s’en défend ? Le fait est qu’il a tout noté, tout conservé, tout archivé, tout inventorié de ce qu’il a vécu. Des milliers de documents dans trois cents boites.
Tout bilan a sa part de règlement de compte. Forcément lorsqu’il s’agit d’une vie vouée à une certaine idée de son métier et que celui-ci est vécu comme une vocation. Des crises y sont restituées à la minute près. Les professionnels de la profession s’y retrouveront et tous n’auront peut-être pas à s’en réjouir. Toujours le même personnel depuis un demi-siècle. Un tout petit monde qui tient dans un mouchoir de poche au centre de Paris, entre Saint-Germain-des-Prés et Montparnasse. De solides amitiés s’y nouent, et des affections durables s’y développent mais, lorsqu’est évoquée la figure charismatique de Claude Durand, le patron de Fayard, quel conservatoire de haines recuites !
Le récit porte le sous-titre « Mémoires d’un éditeur engagé ». Mais en connait-on qui ne le soit pas d’une manière ou d’une autre ? Tout éditeur est engagé puisque c’est par essence un métier de joueurs ; seulement certains le sont plus que d’autres car il y faut une âme de parieur. Comment ne pas avoir une pensée pour Robert Laffont, l’un des réinventeurs de son métier à l’ère moderne, qui s’exclamait en pareille circonstance : « C’est facile de prendre des risques avec l’argent de la Maison où l’on travaille…; mais moi, c’est mon nom et mon argent que j’ai risqués à chaque fois ! »
1 368 Réponses pour Parano dans le marigot
ADAM , BLOND AUX YEUX BLEUS, EVE, BLONDE AUX YEUX BLEUS ?
D’après les estimations des experts les plus sérieux, l’homme a commencé à exister en Afrique de l’Est il y a environ 2,4 millions d’années. Il s’est reproduit et a essaimé depuis sur toute la planète.
S’appelait-il Adam et la dame Eve ? Etaient-ils blonds aux yeux bleus et de « race » blanche ? Je laisse répondre à ces questions. Depuis, combien d’hommes y a-t-il eu, combien de couples ont mis au monde?Combien de croisements, de mélanges,ont eu lieu ? Nul ne peut répondre . C’est la même espèce avec une infinité de nuances. Tous des hommes et aucun homme n’est le clone d’un autre. Cheveux, nez, peau, taille, teinte…des myriades de différences. Vers 1980, j’ai encore vu un manuel français de sciences nat, qui consacrait un chapitre aux…races , avec des photos que l’on trouvait éloquentes. Les auteurs , je crois, en avaient trouvé et présenté cinq ou six ! Quel toupet ! Et les lycéens d’alors étaient sommés d’apprendre et de croire ça.
Je ne parlerai ni du Klu-Klux-Klan, ni des suprémacistes américains, mais d’Eric Dupont Moretti et de Nicolas Sarkozy. Un ami (bien connu) les avait réunis pour un repas à trois avant la nomination de l’avocat comme ministre. Et il ajoute qu’ils avaient tous deux un point commun : chacun se définissait comme « sang-mêlé » ! On aura tout lu et tout entendu ! Sang-mêlé parce que tel parent avait telle nationalité et l’autre telle autre nationalité ? Vous mélangez tout !
Depuis deux millions d’années, tout homme est par nature sang-mêlé, métis, si vous préférez un autre mot. Ces milliards de mélanges interrompus, tout en appartenant à la même espèce humaine
, c’est cela l’histoire (biologique) de l’homme.
Quand des farceurs (parfois sinistres et méchants) viennent divaguer en nous parlant des effets délétères du « métissage », on se pince en se demandant d’où sortent de pareils ignares. Les gars, si vous êtes humains, vous êtes métis. Ces ignares emploient le mot « métis » quand une blonde aux yeux bleus à épousé un Gabonais bien noir et qu’ils ont eu un enfant ni blanc ni noir. Nos ignares jubilent en s’écriant : Un métis ! Suivent des considérations rigolardes ou navrées et des vaticinations plus ou moins sombres sur la vie malheureuse qui attend cet enfant , quand ils n’y ajoutent pas des considérations sur la chute de QI (si si, cela existe, des gens qui disent ça). Vous êtes à côté de la plaque , les gars. Vous êtes le fruit de milliers de mélanges, depuis deux millions d’années, ni plus ni moins que la blonde et le Gabonais. Et vous n’avez pas à bomber le torse et à faire le faraud. Homme = métis. Atterrissez et réveillez-vous.
Olivier Bétourné + Elisabeth Roudinesco, ça va faire mal !
Passou fait de la provocation ?
En définitive, y a deux catégories d’éditeurs : ceux qui ont créé leur propre maison d’édition (à leur nom et avec leur argent) et ceux qui gèrent celle des autres. Mais où placer les grands héritiers, tel Gallimard ?
Les dix « leçons » de l’éditeur proposées par Olivier Bétourné sont aussi vagues et générales qu’inapplicables.
Le choix des illustrations donne une vision poussiéreuse, passéiste, enfermante, aliénante de l’édition et des livres !
Les photos de Gilbert Garcin sont vraiment intéressantes. Merci Passou pour la découverte.
https://artefields.net/photographie/gilbert-garcin-photography-surrealism/
« il n’est question que de tueurs, vendettas, luttes de clans, rumeurs assassines, délires d’interprétation, obstructions systématiques, jalousies, alliances opportunistes, campagnes de dénigrement, insinuations en rafales, sabotages, harcèlements, rivalités, petites combines, exacerbations des passions, menaces et chantage »
Euh…
J’ai cru un instant qu’il s’agissait du bilan que notre hôte dressait de l’activité de son commentarium.
Mais il n’en est rien, bien sûr !
Ici, c’est le paradis, à côté du monde de l’édition (parisienne)…
Au fait, je recommande « le chapeau de Vermeer » de Thimoty Brook. Passionnant traité d’histoire de l’art, ce dernier replacé dans l’histoire du commerce humain, bien sûr.
Le seul défaut, c’est que cela augmente encore le désir : à savoir que si je retourne un jour à Amsterdam, je devrais aussi me rendre à Delft, j’en ai bien peur…
J’ai du mal à avaler la disparition de la revue le Débat
« nous avons passé un pacte avec l’esprit » disait Gaston Gallimard, cité ci-dessus dans le texte de Passou.
Voilà donc un des serviteurs de ce pacte qui disparaît. Les raisons invoquées dans l’édito de Nora sont explicites et convaincantes. What’s more?
Fermez le ban!
« parano dans le marigot »? Comme Clopine j’ai failli croire que Passou tendait un miroir à son blog.
A quoi rime d’aller manifester contre le port du masque ?
Oui, Jazzi, ça y ressemble tout de même un peu beaucoup, en fait.
Moi je te dois un grand merci, même un peu plus d’un, en fait.
J’espère que de temps en temps, les éditeurs évoqués ci-dessus s’en rendent mutuellement, eux aussi ?
Va savoir !
(je t’envoie une question en MP).
Clopine, je ne suis pas Jibé…
Ouh là là la méprise ! Ce que c’est, que d’être « dans tous ses états », ahaha ! pardon à vous deux !
Au fait, j’insiste pour le Brooks, hein. Un très très bon bouquin, qui renouvelle le genre des essais d’histoire de l’art. Je me demande si notre hôte connaît ?
BETOURNE quel tableau de chasse ?et quel découvreur de grands écrivains,..ce n est pas NADEAU…6è
Un billet comme un boule dans un jeu de quilles…
« L’évolution du monde entier est le fruit du temps, les choses passent nécessairement d’un état à un autre, aucun ne reste semblable à soi, tout s’en va, tout change, tout se métamorphose par la volonté de la nature. » Lucrèce D natura rerum
Comme dans le dernier billet de Paul Edel…
Un billet comme un boule
Un avis pénétrant.
Un billet comme un boule
Cela demande une paire et toujours avec l’effort d’être au plus près du cochonnet! 😉
Moi ce que j’adore chez les éditeurs ce sont leurs erreurs, le rejet des livres qui vont être des best-sellers (comme le cas raconté des romans de U.Eco) ou carrément des chefs d’oeuvre de la littérature (comme Barral – le meilleur éditeur espagnol – rejetant « Cien años de soledad » ou « Rayuela » de Cortázar – et aussi U.Eco, au passage). C’est là qu’ils montrent leur vérité, qui n’est pas belle à voir… (pour ne pas parler de la quantité ahurissante de mauvais livres qu’ils publient et qu’on voit souvent dans les librairies d’ocasion ou dans les vieux catalogues).
Céline traitait Gaston Gallimard d’«épicier désastreux» et je crois qu’il y a beaucoup d’épiciers carrément nuls dans ce métier.
Un bon éditeur est encore plus rare qu’un bon critique littéraire. C’est dire…
Sur Gaston Gallimard Le Grand, je ne sais plus qui (il faudrait que je trouve la citation entière dans l’un de mes innombrables archives de citations) écrivait dans son Journal :
« Quand on le louait d’avoir été un inventeur de talents, il faisait volontiers le modeste.
«Mais non, se récriait-il. Détrompez-vous: j’ai pris Gide et Claudel au Mercure, alors qu’ils étaient déjà célèbres. Et j’ai emprunté Giono, Morand, Montherlant et Malraux à Grasset qui les avait lancés.
-Les fameux « quatre M », qui étaient cinq au reste, si l’on y range Mauriac en plus de Maurois.
-Oui, fait Gaston avec une moue, celui-là, je n’y tenais guère.»
Quand on a connu le milieu littéraire (ou les milieux, comme c’est mon cas : français, espagnol, latino-américains – Venezuela, México), difficile de n’être pas d’accord avec G.B.Shaw: « Je suis contre les éditeurs. Le seul service qu’ils m’aient rendu est de me montrer que je pouvais me passer d’eux. Ils combinent l’avidité commerciale au manque de sensibilité artistique et à la mesquinerie sans être pour autant de bons hommes d’affaires ni de juges éclairés de la chose écrite. Pour produire un livre, seul l’auteur et le libraire sont nécessaires. Sans parasites intermédiaires. »
D’ailleurs, aujourd’hui, comme il y a quelques siècles, cela redevient possible avec les formats digitaux…
Jamais à l’abri d’un bon conseil avec Louise Bourgeois!
Les photos de Gilbert Garcin rappellent celles de Chema Madoz (Madrid, 1958):
° Renoncer au métier d’éditeur si l’on refuse d’envisager à avoir un jour à traverser Paris une mallette pleine de petites coupures à la main
Mais c’est encore la scène de la valise avec Jean Gabin?!
« L’évolution du monde entier est le fruit du temps, les choses passent nécessairement d’un état à un autre, aucun ne reste semblable à soi, tout s’en va, tout change, tout se métamorphose par la volonté de la nature. » Lucrèce D natura rerum
faux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
l’âme humaine ne change pas, dans toute sa terrifiante noirceur : égoïsme, orgueil, ambition, mépris, lâcheté, hypocrisie, esprit belliqueux….
cet article passou aurait pu écrire le même il y a vingt ans, cent ans, 3 siècles, 2000 ans !
l’art, la culture ne sont que des leurres visant à dissimuler cette vérité humaine, nous faire croire que la barbarie n’appartient qu’au passé, alors que cette fatalité humaine est une malédiction qui ne disparaitra de cette terre quand l’homme lui-même disparaitra.
Lucrèce s’est mis le doigt dans l’oeil jusqu’au coude !
Lucrèce, juste le prénom d’une Borgia !
Un bon écrivain, un bon imprimeur. Et basta pour le reste.
Assouline, vous me faites rire. C’est tous les jours, maintenant…
Hurkhurkhurhurk (pour vous, c’est quatre).
vanité
cupidité
Je disois donc:
Un bon écrivain, un bon éditeur, et basta!
(Souhaitons que pour une fois Clopine se souvienne qu’un bon livre c’est des années de travail).
Il y eut des vrais lecteurs de manuscrits -découvreurs , de Nadeau à Lambrichs, de Cayrol ou Paulhan à Quignard , de Queneau à Lindon et Robbe grillet ,mais qui, QUI? a-t’il découvert,comme grand écrivain? ce Betourné? En parle-t-il de ses « découvertes littéraires » dans son livre? Citez moi un ou deux noms au moins de ses « découvertes »?
vanité, cupidité, ambition : les trois mamelles d’une injustice qui appartient à la nature de l’homme.
cette nature le temps ne la changera jamais contrairement à ce que raconte cet imbécile de mes deux !
Chaloux, un bon roman, ce peut aussi être aussi les 55 jours de « dictée » de « la Chartreuse de parme » à son secrétaire par Stendhal…. le temps ne fait rien à l’affaire.
« Souhaitons que pour une fois Clopine se souvienne qu’un bon livre c’est des années de travail »
un bon livre c’est surtout le fait de vivre une trahison !
la femme est blessée, meurtrie par cette trahison.
mais l’artiste, la romancière doit remercier celui qui l’a trahie car c’est grâce à lui que les mots sont sortis de son esprit pour venir se graver sur ses pages !
incroyable la quantité de conneries que j’ai pu écrire sur ce blog à la con.
, »mais qui, QUI? a-t’il découvert,comme grand écrivain? ce Betourné? En parle-t-il de ses « découvertes littéraires » dans son livre? Citez moi un ou deux noms au moins de ses « découvertes »? »
Faut pas s’énerver Paul.
Je viens de faire l’expérience, à propos d’une énième entourloupe pseudo-litteraire éditée chez Verdier, et ça ne fait rien à l’affaire.
Il défaut rester zen, comme Carrère, en stage intensif dans un hangar.
Vous voulez des exemples de » talents » découverts par le monsieur qui est pacsé avec Melle Roudinesco?
C’est dans le lien du billet, sur sa genealogie.
1.3 – Éditeur
Au cours de ces années, il a notamment été l’éditeur de Thierry Beinstingel, Mathieu Bélézi, François Bon, Michel Chaillou, Julien Green, Régis Jauffret, François Maspero, Pierre Michon, Philippe Vasset, mais aussi de Walter Benjamin, Bob Dylan, Ingo Schulze, Vikram Seth, Botho Srauss, Dubravka Ugrešić, Christa Wolf, et encore de Hannah Arendt, Marc Augé, Jean-Pierre Azéma, Daniel Bensaïd, Pierre Bourdieu, Manuel Castells, Michel Crozier, Jacques Derrida, Henri F. Ellenberger, Didier Eribon, Élisabeth de Fontenay, Maurice Godelier, Jürgen Habermas, Christian Jambet, Serge Leclaire, Marcel Mauss, Élisabeth Roudinesco, Moustapha Safouan, Gisèle Sapiro, Carl E. Schorske, E. P. Thompson, Alain Touraine, Jean-Pierre Vernant et Pierre Vidal-Naquet, et enfin de l’Abbé Pierre, d’Amnesty International, Jean-Louis Beffa, Colette Braeckman, Hillary Clinton, René Dumont, Gérard Chaliand, François de Closets, Jean-Luc Einaudi, Charles Enderlin, Viviane Forrester, Susan George, Franz-Olivier Giesbert, Catherine Graciet, Hervé Hamon, Alexandre Iakovlev, Henry Kissinger, Jean Lacouture, Jack Lang, Eric Laurent, Laurent Schwartz et Jean Ziegler.
Dans l’espace éditorial qu’il a lui-même aménagé, il a notamment publié des études sur Carl von Clausewitz, Guy Debord, Émile Durkheim, Sigmund Freud, Jacques Lacan, Michel Leiris, Machiavel, Marcel Mauss, Spinoza, Oscar Wilde, Virginia Woolf, mais aussi des biographies d’hommes politiques comme Yasser Arafat et Mikhaïl Gorbatchev.
Y’a pas mal d’intrus, le jeu devient pénible.
« L’édition est la grande absente des analyses du rôle de l’industrie des relations publiques dans l’« éternel combat pour le contrôle des esprits ». Pourtant, comme les autres médias, l’édition est depuis longtemps aux mains de grands groupes, souvent les mêmes. Et elle remplit la même fonction dans le maintien de l’ordre idéologique. Suivant la même logique de croissance par acquisition qui prépare la suivante, les grands éditeurs perpétuent l’existence d’un type d’acteur qui, du seul fait de sa taille et de son mode d’organisation, forge un monde social et économique face auquel les idées de changement ne pèsent pas grand-chose. La distinction artificielle entre « groupes de communication » et « groupes éditoriaux » occulte le rôle de ces entreprises dans une société à caractère de masse : transformer les lecteurs en consommateurs et limiter la capacité d’agir du plus grand nombre.
Écrit par un éditeur, ce livre propose à la fois une antilégende de l’édition et les bases d’une réflexion sur les responsabilités sociales et politiques de tout métier. Un questionnement qui prend une forme plus directe lorsqu’il touche à la diffusion d’idées : de quelles manières et sous quelles bannières défendre quels projets de société.
La première édition de ce livre est parue à la fin de l’été 2011. Un an plus tard, le rachat de Flammarion par Gallimard puis celui de Payot & Rivages par Actes Sud bouleversaient la structure sur laquelle étaient basées ses analyses, et les confirmaient ; au moment où nous en faisons paraître, aux seuls formats numériques, la deuxième édition, Média-Participations absorbe le groupe La Martinière : nous nous sommes limités à indiquer ces manipulations quand elles illustrent cette histoire répétitive. »
14,99 euros :
https://agone.org/contrefeux/latrahisondesediteurs/index.html#presentation
« Y’a pas mal d’intrus »
Et quand ce ne sont pas des intrus, il ne les a pas découverts, comme Julien Green !
Parmi les loupés de Gaston, Pablo75, tu oublies Céline et Julien Gracq, entre autres !
un bon roman, ce peut aussi être aussi les 55 jours de « dictée » de « la Chartreuse de parme » à son secrétaire par Stendhal…. le temps ne fait rien à l’affaire.
Paul Edel dit:
Tu confonds dicter avec méditer. On peut dicter en 55 jours ce qu’on a médité pendant des années. C’est le fameux conte oriental: « – Un prix si cher pour quelque chose faite en quelques secondes? – Oui, mais j’ai mis 20 ans à pouvoir faire cela en quelques secondes. »
Peut-on improviser un grand roman, même quand on est Stendhal?
Pétomane, tes radotages intermittents sont inquiétants.
Tu n’as plus que quelques heures de « lucidité » par semaine?
Parmi les loupés de Gaston, Pablo75, tu oublies Céline et Julien Gracq, entre autres !
Jazzi dit:
Je n’ai pas fait la liste d’auteurs loupés par Gaston (lis la bio du propriétaire des lieux, si tu veux l’avoir).
Côté Grands Auteurs Loupés, Gallimard a aussi un beau « tableau de chasse »…
incroyable la quantité de conneries que j’ai pu écrire sur ce blog à la con.
hamlet dit:
Va prêcher dans celui de Bilger, Pétomane. Tu y seras beaucoup mieux et tu trouveras des copains pour discuter de Morale à longueur de journée…
« Et j’ai emprunté Giono, Morand, Montherlant et Malraux à Grasset qui les avait lancés. »
Et Proust à Grasset et Céline à Denoël et Gracq réintégré dans la Pléiade à José Corti… Pablo75. J’ai lue l’excellent biographie de Gaston par Passou.
Sur le temps de réalisation et d’incubation d’un livre, vaste problème !
Gaston a fait un autre grand coup:
« Il est amusant de savoir que les droits d’ « Autant en emporte le vent » avaient d’abord été acquis par Hachette, et que Gaston les échangea contre je ne sais plus quel roman que les dirigeants de la librairie du bd. Saint-Germain convoitaient dans le fond Gallimard, disant ensuite qu’ils étaient ravis de se défaire de ce gros roman au titre si long qu’il était impossible de le retenir. »
(Du même Journal que j’ai cité plus bas).
Oui, Paul Edel, je suis assez de l’avis de Pablo. Il y a quelque part dans un livre de Thomas Mann (mais j’ai oublié où) une page où il explique que si les créateurs (j’emploie ce mot qui en vaut un autre) ne passaient pas vingt ans à ne rien faire, il n’y aurait pas de chef-d’œuvre.
Tout de même, le temps passé reste un facteur important. Michel Tournier a fait sur ce point des remarques intéressantes. L’inspiration est faite en espaliers, et neuf fois sur dix la sacro-sainte spontanéité est un leurre.
(En dépit de ma bonne volonté, je ne suis jamais parvenu à venir à bout de La Chartreuse qui me semble fabriquée avec des espèces de santons. Souvenir très vif de ma lecture du Rouge. J’avais dix-neuf ans et je crois que sur le moment j’ai cru à une sorte d’initiation. J’en ai racheté récemment un exemplaire. IL faudrait que je le relise.)
Gallimard n’a jamais été un découvreur, c’est un récupérateur, c’est très connu. La Collection Blanche était le divin réceptacle des auteurs venant principalement de chez Grasset, mais en trente-cinq ans, Gallimard a réussi à faire fondre tout son prestige. Ce n’est plus rien. (Jicé va être content, Reinhardt refait surface. On verra si certain critique a encore des sanglots dans la voix pour évoquer ce nouveau chef-d’œuvre).
En dehors de ces récupérations, le talent d’éditeur littéraire de Gaston me semble très contestable, à en juger par les monceaux d’immondes nanards qu’on peut encore feuilleter dans les librairies d’occasions.
ce sont les écrivains qui ont du talent pas les éditeurs (sauf les Corti, Nadeau etc.).
Henri Guillemin a raconté comment une lettre de Robert Gallimard lui signifiait le refus catégorique de la maison de publier son Péguy, illisible d’après lui. Dans un numéro d’Apostrophes, Claude Roy en reste sans voix. On peut faire certains reproches à Guillemin, mais pas celui d’être illisible.
Oui, mais à l’arrivée, le fonds Gallimard en fait, aujourd’hui, la plus prestigieuse maison d’édition française, Chaloux. Et le premier groupe éditorial.
Le fonds, oui, Jazzi, mais les romans publiés de nos jours éclatent pour la plupart de nullité. Brotin-le-petit devrait changer de conseillers, de répugnantes sangsues dénuées du moindre talent. Sans compter La Pléiade devenue une infecte collection de morceaux choisis.
« Il y a quelque part dans un livre de Thomas Mann (mais j’ai oublié où) une page où il explique que si les créateurs (j’emploie ce mot qui en vaut un autre) ne passaient pas vingt ans à ne rien faire, il n’y aurait pas de chef-d’œuvre. »
Peut-être dans « Tonio Kröger », qui « place au coeur du récit le questionnement de son auteur sur la littérature, l’écriture et la place de l’artiste au sein de la société bourgeoise de son temps », Chaloux ?
Oui, c’est possible. Lectures très anciennes, mais la page m’avait frappé.
C’est pourquoi je parlais d’héritage pour le cas des éditions Gallimard, Chaloux…
Ce qu’écrivait ce Camus-là en 1994:
«Il m’agace et m’attriste de voir et d’entendre cette expérience [française], cette culture et cette civilisation avoir pour principaux porte-parole et organes d’expression, dans de très nombreux cas, une majorité de juifs, Français de première ou de seconde génération bien souvent qui ne participent pas directement de cette expérience».
Il y a dans ces propos comme une annonciation en creux de la « théorie » (sic) « épiphanique » (re-sic) du Grand Remplacement. Il est compréhensible que le grand âge arrivé, sans discernable descendance, on se préoccupe de son remplacement comme propriétaire d’une vénérable « motte » gersoise restaurée avec des fonds publics, et partiellement ouverte au public de ce fait.
http://www.renaud-camus.net/chateau-de-plieux/html_plieux/ouverture.html
Au 19e, époque du renouveau gothique, la bourgeoisie anglaise relookait ou se faisait construire des châteaux médiévaux et des abbayes qu’elle décorait d’armures et de tableaux généalogiques inventés. Le campagnard français participe de ces mêmes fantasmes, que le temps balaie comme autant de feuilles mortes dispersées par le vent d’automne.
Oui, Jazzi, l’héritage tient le coup, mais c’est vraiment tout. Pour le reste, des besogneux sortis d’on ne sait où, des romancières fabriquées de toutes de pièces par des critiques sans scrupules, des journalistes usurpant la place d’écrivains, de petits Héliogabale sur fond de néant. Triste bilan.
Pablo : je ne discute jamais de Morale ! la Morale ne se discute pas, je préfère « donner » des leçons de Morale.
j’adore donner des leçons de Morale.
passou préfère discuter morale, exemple quand il écrit « si tout est légal, tout n’est pas nécessairement moral. »
parce que pour écrire que ce n’est pas moral faut-il ait une notion que de ce qu’il est moral.
Pas la place, la fonction.
Chaloux, si vous considérez que La Sanseverina ou le comte Mosca dans « La chartreuse de parme » sont des « santons »notre dialogue s’arrête là, d’autant que dans ce roman il y a un sublime des sentiments confronté à un cynisme politique bien vu dans la mosaique des etats soumis à l’Autriche ,d’autant qu’il y a une grande délicatesse dans le lyrisme paysager chez Stendhal allié à une exubérance dans les actions, avec un tonus, une légereté picaresque dans les rebondissements qui créé une sorte d’ozone allègre.La grâce bondissante de la narration emporte tout.sans oublier la sévère leçon politique, et ça c’est réaliste derrière la bouffonnerie de la cour de Parme, avec ses policiers, ,ses préfets, ses corrompus, ces hommes en noir du gouvernement Metternich et du Vatican mais tout ceci exprimé sans aucune lourdeur..Ça s’appelle la grâce.
j’ai aussi lu ce « parano » comme un miroir tendu aux contributeurs pour leur gouverne , et ça m’a plu comme un premier commandement
1ère leçon de Morale pour Pablo :
pourquoi est-ce interdit de parler « Morale » sur ce blog ?
qui oserait donc interdire de parler librement de Morale sinon une personne qui voudrait faire la Morale et donner des leçons de Morales aux autres ?
seul un obsédé de Morale comme Pablo peut se permettre, à la façon d’un commissaire politique de la Stasi, de dicter ce dont le gens ici peuvent ou ne peuvent pas discuter.
toi comprendre mon pablito que le seul à n’avoir jamais fait de la Morale aux autres ici c’est bien toi !
Bloom, quels que soient ces porte-parole et « organes d’expression », on ne peut pas dire que le résultat soit bien engageant. C’est la catastrophe partout.
Stendhal un donneur de leçons de politique ?
tu parles Charles, encore juste un donneur de leçon de Morale !
« Ce qu’écrivait ce Camus-là en 1994 »
alors sassa m’étonnerait : Camus est Mort en 1960 dans un accident de voiture !
on lit vraiment n’importe quoi sur ce blog.
il n’empêche que Finkielkrault aime bien prendre la défense de Camus (des 2 !) surtout du dernier.
sur le principe débile du : « les ennemis de mes ennemis sont mes amis ».
Marie Sasseur, je vous parle de découvreurs littéraires qui trouvent, aident et dirigent un auteur et vous,vous donnez la liste énorme d’un chef de rayon aux Galeries Lafayette de l’édition.
ce qui vaut à Finky de jouer le rôle encore plus débile de l’idiot utile du fameux « ami juif » dont chaque antisémite raffole.
alors lui, question connerie, il en tient une sacrée couche.
Paul Edel, disons que je ne suis pas sensible à cette grâce. J’ai entendu dire souvent qu’on ne peut pas aimer à la fois Le rouge et La Chartreuse (comme on ne peut pas aimer à la fois Rousseau et Voltaire). Le romanesque amoureux me fatigue et m’insupporte rapidement (sauf dans La princesse de Clèves ou les Liaisons dangereuses, mais on est là à des hauteurs inégalables, et quelques autres livres). A dix-neuf ans, j’avais fait mon choix.
Une de mes amies antiquaire, particulièrement très lettrée, a également refait une tentative sans pouvoir aller jusqu’au bout. A ma prochaine grippe, je referai un essai… Mais il me semble que c’est un livre très artificiel, une sorte de pseudo-miroir dans lequel certains adolescents, et pas les plus doués ni les plus fins, se mirent un instant, s’identifiant, faisant abstraction de leurs boutons, à Fabrice del Dongo. Petit accès de narcissisme bien innocent et certainement inoubliable mais qui ne m’a pas concerné.
ce qui vaut à Finky de jouer le rôle
c’est peut-être une scène ou un acte de la « comédie française » identifiée par P.Assouline?
@vous,vous donnez la liste énorme d’un chef de rayon aux Galeries Lafayette de l’édition
‘ttention, Paul, si vous ne suivez pas le stage de zenitude , vous allez vous lettre la rate au Court bouillon pour oas grand’ chose.
Comme je ne connais pas le monsieur qui est pacsé avec Melle Roudinesco, il est fort probable qu’il ne vaille pas mieux qu’un chef de rayon dans une brocante, mais enfin, il est qu’il a travaillé aux éditions du Seuil, et il faut bien justifier de son activité.
Donc, je vous ai déplié le CV de ce monsieur, tel que Passou le propose.
Tenez vous bien sur votre petit carré, vous avez tendance à déborder !!!
« A ma prochaine grippe, je referai un essai… »
avant ça faudra faire un test Covid, parce qu’au début on croit que c’est juste une gripette….
Aïe, j’ai le reflet du soleil qui me gêne, pour voir l’écran du tel.
Sasseur c’est vrai que t’es amoureuse de passou ?
« Tenez vous bien sur votre petit carré, vous avez tendance à déborder !!! »
Sasseur avec le soleil t’as oublié le mot « pré » : « tenez-vous bien sur votre petit pré carré »
t’inquiète, reste au soleil j’te corrige.
HAMLET
du fameux « ami juif » dont chaque antisémite raffole.JE ME DEMANDE DEPUIS ASSEZ LONGTEMPS SI LA RECIPROQUE N ‘EST PAS VRAIE ET SI les juifs -et le juives!-n’ont pas une passion pour leur ami antisémite;(pas moi depuis que je me suis fait cette remarque, et y demeure attentive;je crois que vous manquez de perspicacité)
amlette, tu as pris une raclée sur ce blog, comme jamais de ta vie. Et une ordure comme toi à fini de harceler. Si Passou n’a pas été capable de t’en mettre une au bon moment, tu n’as rien perdu pour attendre.
Ta question aurait été très intéressante, si j’avais connu Passou au lycée, cette histoire de pierre issue de rocher, j’aurais pas résisté.
excuses :les juives!faudrait demander à Roudinesco;je crois que ça l’intéresse
non et alii faut pas confondre l’ami juif de l’antisémite et l’ami antisémite du juif, dans le deuxième cas c’est jsute pour jouer à se faire peur, comme passou avec ses hussards, ça donne des sensations, et c’est pour dire aux autres « vous voyez même pas peur… »
un truc de gamin quoi.
ou bien truc de froussard comme dit l’autre pour Proust qui ne dit pas une seule fois dans ses 4 mille pages que sa mère et sa grand mère sont juives.
le plus gros faux cul de toute la littérature !
Durand
http://larepubliquedeslivres.com/lau-revoir-claude-durand/
c’est d’ailleurs l’unique raison qui a fait que Proust se mette sur la tronche avec Sainte Beuve : le fait que sa mère soit juive.
durand
http://larepubliquedeslivres.com/pour-saluer-claude-durand-editeur-intuitu-personae/
faut pas confondre
mais je ne confonds pas! etes vous sur de ne pas vouloir confondre?
« Proust qui ne dit pas une seule fois dans ses 4 mille pages que sa mère et sa grand mère sont juives. »
Pas plus qu’il ne dit que le narrateur est homo, hamlet.
Là, c’est Gide qui a moins apprécié…
Si Jazzi, il y a un aveu dans La recherche, contrairement à ce que tu dis et à ce que prétend l’étourdi -et vraiment illisible- Luc Fraisse. Cherche bien. Lis attentivement.
» Nous sommes des commerçants d’un type un peu particulier : nous avons passé un pacte avec l’esprit »
..tout le monde il est telment particulier que dirfilou y dirait que même ils aiment mainant comme lui les grosses caisses..quel tendanceur ce gaston
Aux yeux de François, la « trahison » d’Eco était consommée : il avait renié d’un même mouvement et la « structure » et la sémiologie, sa discipline d’origine ».
On connait la suite : un succès mondial
magnifique distinguo entre la vérité et les loi du biznèce lassouline..françois a 1000 fois raison..c’est comme 10 petits négues et sa polémique litteraire si mohderne..c’est un telment mauvais bouquin pourtant..
c’est d’ailleurs l’unique raison qui a fait que Proust se mette sur la tronche avec Sainte Beuve : le fait que sa mère soit juive
haprés..les lecteurs on aussi leur microcosmes et leur objet phumeux.. »d’esprit ».. »particulier »..ceux là par exempe qui préconisent de relire attentivment tout proust pour un brimborion
Pour produire un livre, seul l’auteur et le libraire sont nécessaires. Sans parasites intermédiaires. »
D’ailleurs, aujourd’hui, comme il y a quelques siècles, cela redevient possible avec les formats digitaux…
on pourrait y hintercaler quelques pubs entre ses temps desprits gratuits gropédro..de chorizo?
avant ça faudra faire un test Covid, parce qu’au début on croit que c’est juste une gripette….
helle est bonne celle là raclure de keupu..mais tu l’as pas fait exeuprés..mais c’est qu’un coup de pot..yavé exiss pas
je vois que l’inspecteur Greubou est toujours là sur ce blog à faire la police.
tu sais quoi Greubou ? je t’aime bien parce que t’es le seul à passer ton temps à reprendre ce qu’écrivent les autres pour te foutre de leur gueule et que tu t’en lasses pas !
je trouve ça prodigieux !
faut dire que t’as passé le restant de ta v ie à te foutre de tes lecteurs du coup t’es habitué.
Jazzi dit: « Proust qui ne dit pas une seule fois dans ses 4 mille pages que sa mère et sa grand mère sont juives. »
Pas plus qu’il ne dit que le narrateur est homo, hamlet.
»
arrête de toujours tirer la couverture à toi Jazzi ! sérieux c’est hyper gonflant à la longue.
du coup y’a un tas de minorités qui auront été totalement ignorées de blog, comme par exemple les juifs dont on a rarement parlé parce qu’on parle tout le temps des homos.
« on pourrait y hintercaler quelques pubs »
Et quand je le fais toi et Bloom vous râlez, le boug !
C’est facile de prendre des risques avec l’argent de la Maison où l’on travaille…; mais moi, c’est mon nom et mon argent que j’ai risqués à chaque fois !
hon peut être héditeur et con lassouline..en même temps quand c’est gratos on harrive pas a sfaire respecter..hon peut sfaire hinsulter..par un larbin?..mais le larbin..il fait le larbin gratos aussi..forcément!..c’est ouineouine au phiniche
Jazzi, tu sais que tous les éditeurs parisiens sont dans le 5ème ? et à quelques kilomètres de la là, des ponts, sous le périph, on voit des gens qui mangent accroupis, ils bouffent avec leurs mains, ils vivent comme des animaux, tu savais Jazzi ?
pasque c’est pas du chorizo baroz
« Lucrèce s’est mis le doigt dans l’oeil jusqu’au coude ! « Lucrèce, juste le prénom d’une Borgia ! »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lucr%C3%A8ce
Greubou c’est tout des salades, si tu veux connaitre la véritable information faut pas lire les journaux, écouter la radio, la télé, les blogs, wiki, google, tout ça c’est des conneries.
la véritable infos se trouve dans les graffitis que tu peux lire à la périphérie des grandes villes.
ou bien le soir tu vas là où les gens dorment dehors, et là tu tends l’oreille, parfois l’un d’eux se réveillent en sursaut en hurlant quelque chose, ce quelque chose révèle la vérité de notre monde, c’est là que se trouve l’information, et pas dans ce qu’écrit passou.
Il y en a qui cumulent, hamlet, juifs et homos.
En fait, comme le rappelle Charoulet, en ouverture du commentarium, nous sommes tous des nègres même pas allemands !
t’es le seul à passer ton temps à reprendre ce qu’écrivent les autres
j’ai un grand respect de mes hinterlocuteurs..je prends le morceau du boucher..pas plus..c’est plus ragoutant qules blattes a renfield
si tu savais tout ce que les gens cumulent mon pauvre Jazzi.
Tu portes des grigris sur toi, hamlet ?
bouguereau dit: j’ai un grand respect de mes hinterlocuteurs
»
tu ferais bien de la rappeler de temps en temps parce que c’est pas le premier truc qui vient à l’esprit quand on te lit raclure !
Jazzi dit: Tu portes des grigris sur toi, hamlet ?
»
ne plaisante pas avec ça, il y a beaucoup de choses que tu ignores Jazzi !
je te rappelle..mais tu suis pas keupu..que depuis le début je suis ici pour que dans le cadre des tic (tecnologie de linrofmation et dla communication) laçouline phormalise d’un projet paradigmatique halternatif havec haméliorant pour l’hédition..mon jargon date un peu..pasque s’il m’avait hécouté..présntment il aurait hun ministère..et que baroz srait son chef de cabinet..jm’y connais en biznèce avec ton temps perdu keupu..et pas qu’un peu
CA DEVIENT BARBANT,CES OBSESSIONS D’IDENTIFICATION;
bonsoir;
Chaloux, si vous considérez que La Sanseverina ou le comte Mosca dans « La chartreuse de parme » sont des « santons »notre dialogue s’arrête là
que nenni..
c’est là qu’il faut hinvestir
greubou ? ah ouai ? t’es comme pablo ? tu viens ici pour étudier les comportements de tes semblables ?
pour pablo il voit les autres comme des insectes, et toi c’est quoi ?
vous êtes tous une sacrée bande d’enflures !
@Bouguereau
« […]Trois points, qui sont liés, font de Lucrèce un auteur particulièrement nécessaire aujourd’hui : le combat contre l’obscurantisme, l’exploration d’une spiritualité sans Dieu, enfin la quête d’une sagesse tragique. Lucrèce est un philosophe des Lumières. Pas plus que Epicure, il ne fait profession d’athéisme : les dieux existent, mais très loin, dans les intermondes, où ils sont trop heureux pour s’occuper des hommes. La critique de la religion est pourtant beaucoup plus vive, chez Lucrèce, que chez son maître : il voit dans le fanatisme et la superstition l’une des causes principales du malheur des hommes. Il n’y en a pas moins chez lui une forme de piété ou, comme je préférerais dire, de spiritualité : la piété, explique-t-il, ce n’est pas courir les autels, ni se mettre à genoux, ni faire vœu sur vœu : « C’est pouvoir, l’âme en paix, contempler toute chose. » Ici, le matérialisme touche à la spiritualité. « Les innombrables lecteurs de Lucrèce, dira Alain, savent ce que c’est que sauver l’esprit en niant l’esprit. « La formule est très juste. Elle débouche sur ce que j’appelle une sagesse tragique : une sagesse qui ne fait pas l’impasse sur la mort et la souffrance, une sagesse qui n’essaie pas de consoler, qui n’offre pas un sens ou un salut, mais qui tend vers un certain bonheur, même dans les difficultés, et une certaine paix, même au cœur des combats… C’est ce qui nous rend Lucrèce si proche, si émouvant, si fraternel. […] »
Propos recueillis par Jean Birnbaum auprès d’André Comte-Sponville, qui vient de publier, aux éditions Hermann, un essai sur Lucrèce. (dans « Le Monde de la philosophie » du 29 mai 2008)
« tu savais Jazzi ? »
« si tu savais (…) mon pauvre Jazzi. »
Prétendre que l’autre est ignorant ne rend pas celui qui le dit plus intelligent !
Une de mes amies antiquaire, particulièrement très lettrée, a également refait une tentative sans pouvoir aller jusqu’au bout
ici faut miser keupu..
ta marge sur les tests covids c’était pas trop mal vu..j’admets
je ne vois pas pourquoi
Se méfier de ses meilleurs amis
ne vaudrait que pour les éditeurs;
ceci dit, je ne crois pas aux amitiés entre contributeurs trices
« une sagesse qui ne fait pas l’impasse sur la mort et la souffrance, une sagesse qui n’essaie pas de consoler, qui n’offre pas un sens ou un salut, mais qui tend vers un certain bonheur, même dans les difficultés, et une certaine paix, même au cœur des combats… C’est ce qui nous rend Lucrèce si proche, si émouvant, si fraternel. »
c’est pour ça que les dirigeants des grandes entreprises paient Comte Sponville : pour qu’il vienne raconter ce genre salades à leur personnel avant de les licencier.
Lucrèce est un philosophe des Lumières. il me semble difficile de le dire ainsi;je connais la question des génitifs,subjectif et objectif,merci
les dieux existent, mais très loin, dans les intermondes, où ils sont trop heureux pour s’occuper des hommes
comte sponville se sculpte en imposte de de roi soleil..et nous on fait ses larbins cricri..à la lanterne cricri!
bouguereau dit: ta marge sur les tests covids
»
les laboratoires d’analyses médicales… tout un monde greubou.
tu y trouves 2 ou 3 personnes (biologistes) qui roulent en Ferrari (je sais pas pourquoi les biologistes aiment les Ferrai, mystère) payées par la sécu et tout le reste du personnel est payé au smic (c’est un bout de 19è dans notre modernité).
du coup pour calculer l’économie du test covid c’est hyper simple : faut juste suivre le nombre de Ferrari qui va se vendre d’ici la fin de la l’année.
Prétendre que l’autre est ignorant ne rend pas celui qui le dit plus intelligent !
tu proposes qu’on l’opère de son onglet à l’échalotte sous anesthésie?
Et la question concernant les petites coupures contenues dans une valise, toujours pas résolue?!
et alii dit: Lucrèce est un philosophe des Lumières
»
ouai et Comte Sponville est un philosophe du management moderne.
Trop tard, il est inopérable, le boug !
les petites coupures
C’est rasoir!
? Tout éditeur est engagé puisque c’est par essence un métier de joueurs ; seulement certains le sont plus que d’autres car il y faut une âme de parieur.
quand j’ai ommencé de suivre la RDL? LES GENS SE TRAITAIENT DE « PETIT JOUEUR » ,et il arrivait que P.Assouline écrive « on parie »;ça me sidérait;cela ne correspondait pas aux usages des « mondes » que j’avais connus;mais je suppose que P.Assouline ,lui, connaît bien son monde erdélien;donc
Mais François (Wahl, son éditeur attaché), qui nous fit un certain vendredi une présentation éblouissante de ce roman (« Le Nom de la rose »)
c’était pas le premier a faire dans linspecteur convers..il crache sur le « bon produit » et l’argent qu’il aurait pu lui faire gagner pour préserver la vertue à son patron!..françois est encore plus fort que robert..vdqs
« Et la question concernant les petites coupures contenues dans une valise »
C’est pour alimenter les caisses des partis politiques, Brinqueballe. Un coup à gauche, un coup à droite…
le meilleur numéro de « Comte Sponville en entreprise » c’est le coup du bonheur et l’ennui :
du genre : l’espérance est une souffrance parce qu’on espère ce que l’on n’a pas. Et qu’on l’a on sombre dans l’ennui… ce qui fait dire à Schopenhauer que le destin de l’homme est d’osciller entre douleur et ennui…
là ses interlocuteurs rient, et Comte Sponville de rebondir sur ces rires : par exemple le travail… (et oui on y vient), quand on n’a pas de travail on espère d’en trouver un et on souffre de cette attente, et ensuite, ceux qui ont un travail… quoi ? hé bien ils s’ennuient !
et là ses sombres imbéciles d’interlocuteurs rerient pendant que les managers derrière le rideau se frottent les mains : il a bien mérité son pognon notre Comte Sponville !
la philo c’est quoi aujourd’hui ? c’est ça ! un truc pour enfumer les gens !
comme la littérature, et tout le reste… des trucs pour endormir les gens avec la sagesse de Lucrèce, et voilà ma bonne dame à quoi sert votre beau philosophe des Lumières !
et je ne suis même pas sûr que Comte Sponville soit assez intelligent pour s’en rendre compte.
c’est juste un idiot utile.
non Hamlet, vous lisez trop vite, je dis que c’est une manière de dire qui passe mal;du moins pour moi
Et la question concernant les petites coupures contenues dans une valise, toujours pas résolue?!
ça rajoute au look canaille grosses caisses et ptites putes..les héditeurs la font à la papa..les auteurs font dans l’pédophile et le malouin pollueur..laçouline c’est la ptite moustache..chacun sa combine sacrénom
et alii dit: ? Tout éditeur est engagé puisque c’est par essence un métier de joueurs ; seulement certains le sont plus que d’autres car il y faut une âme de parieur.
»
non non non : quand vous êtes dans les locaux qui coutent plus de 15 mille euros le mètre carré vous perdez vite l’esprit joueur.
15.000 euros le mètre carré !
je ne voudrais pas, en plus des leçons de morale donner des leçons d’arithmétique mais :
ça fait 150.000 euros un 10 mètres carré.
et 10 mètres carré c’est même pas assez grand pour mettre une photocopieuse.
des trucs pour endormir les gens avec la sagesse de Lucrèce
c’est dur de ne pas aimer lucrèce..la mort cest qu’un mauvais moment a passer..haprés hon s’sent mieux qu’il dirait djon brone
le Milieu avec majuscule :Le Milieu est l’appellation du crime organisé en France.
hamlet:je vous prie de remarquer que je citais le billet
Le Milieu, dit aussi haute-pègre ( XIX e siècle)
bouguereau dit: c’est dur de ne pas aimer lucrèce..
»
c’est sûr greubou ! c’est toute la perversité du management moderne : d’envoyer un type pour vous faire bouffer un truc irrésistible qui va servir ses intérêts.
c’est qu’il en faut de la jugeote pour créer un système qui taxe a donf le travail des gens et ne taxe pas les dividendes de leurs patrons.
sûr qu’aucun éditeur ne prendrait le risque d’éditer aujourd’hui un Balzac ou un Zola.
Je ne sais pas si beaucoup connaissent cette maison, mais moi je découvre son histoire sur wiki
« Créée peu avant la Seconde Guerre mondiale par un groupe d’inspiration catholique réuni autour de l’abbé Plaquevent[2], la maison d’édition va jouer un rôle majeur dans la production littéraire et intellectuelle en France à partir de l’après-guerre, sous la direction de Jean Bardet et Paul Flamand[3]. Elle doit son nom à cet objectif : « Le seuil, c’est tout l’émoi du départ et de l’arrivée. C’est aussi le seuil tout neuf que nous refaisons à la porte de l’Église pour permettre à beaucoup d’entrer, dont le pied tâtonnait autour. » (lettre de l’abbé Plaquevent, du 28 décembre 1934″
Enfin Don Camillo, c’est présente comme LE classique du Seuil, peut-etre bien, mais comme beaucoup je l’ai plutôt vu à la télé.
et alii dit: hamlet:je vous prie de remarquer que je citais le billet
»
désolé je ne les lis jamais.
J’ai écrit: « Va prêcher dans celui de Bilger, Pétomane. Tu y seras beaucoup mieux et tu trouveras des copains pour discuter de Morale à longueur de journée… »
Traduction en Langue Pétomanesque: dans ce blog il est interdit de parler de morale (« pourquoi est-ce interdit de parler « Morale » sur ce blog ? » ).
Premier glissement herméneutique : on passe du Conseil Bienveillant à une personne qui s’ennuie prodigieusement dans la vie, à fin de la soulager de son cafard, à l’Interdiction de parler d’un thème, et une Interdiction pour tout le monde par dessus le marché.
Deuxième glissement : l’Interdiction pour tout le monde de parler de Morale ici étant établie grâce à des méthodes de calomnie typiquement staliniennes, on en rajoute une couche dans la saloperie: « qui oserait donc interdire de parler librement de Morale sinon une personne qui voudrait faire la Morale et donner des leçons de Morales aux autres ? ». On essaie de me faire passer du rôle de Généreux Conseiller Bénévole et Bienveillant, à celui de Prêcheur de Morale Collective.
Troisième glissement: « seul un obsédé de Morale comme Pablo peut se permettre, à la façon d’un commissaire politique de la Stasi, de dicter ce dont le gens ici peuvent ou ne peuvent pas discuter. » En profitant de mon rôle de Généreux Conseiller Bénévole et Bienveillant cherchant à aider des personnes en détresse psychologique, on veut faire croire que je ne suis qu’un Commissaire Politique de la Stasi.
La ficelle est un peu grosse, mais quand on a passé sa vie à prêcher à ses camarades le « plus c’est gros, plus ça marche », on finit par ne plus se rendre compte.
Conclusion en forme de question: le Pétomane est carrément fou (et on le laisse sortir de l’asile de temps en temps – quand il arrête de crier dans les couloirs en pleine nuit des conneries sur Proust ou Flaubert) ou avec l’âge il a atteint un tel degré de connerie difficile d’imaginer (étant donné que la connerie chez les cons de naissance comme lui ne fait qu’augmenter avec l’âge)?
Aux côtés des grandes maisons d’édition traditionnelles, figurent beaucoup de petits éditeurs. En général indépendants.
La liste qui suit présente 10 de ces éditeurs dont on peut considérer qu’ils ont actuellement le vent en poupe :
https://www.coollibri.com/blog/10-editeurs-succes-2019/
j’ajouterais
les éditions Allia – 16 rue Charlemagne, Paris IVe dont j’apprécie les petits-grands livres.
Fata Morgana – Des merveilles…
Fontfroide le haut
34980 Saint Clément de Rivière
ne soyez pas désolé, Hamlet, c’est votre jeu avec P.
ASSOULINE et avec le blog ;portez vous bien
bonsoir
hamlet vient faire de l’animation ici; son one hamlet show; on sait ;mais de quelle heure à quelle heure SVP?
André Comte-Sponville ? Bien vu Bouguereau et hamlet. Reste Lucrèce que j’apprécie.
Cette histoire de l’abbé Plaquevent fondateur des éditions du Seuil ( de l’eglise) mérite qu’on s’y arrête, car Don Camillo oui, mais toutes ces affaires de voyeurisme et pédophilie, non.
Le Pétomane est vraiment un obsédé de l’Argent.
Derrière cette obsession se cache la clé de sa personnalité, ou plutôt de son manque de personnalité : la Jalousie.
Tout ce qu’il écrit pue la Jalousie.
La Jalousie inapaisable du Raté.
La Jalousie inguérissable du Mégalomane Raté.
Le jour de son enterrement, dans la chambre funéraire, en faisant un dernier effort surhumain grâce à son si puissant sentiment de Jalousie, il se lèvera de son cercueil pour voir s’il n’y a pas à côté un cercueil plus beau que le sien, avant de tomber définitivement mort, d’une intoxication généralisée de Rivalité Mimétique.
« des trucs pour endormir les gens avec la sagesse de Lucrèce »
La sagesse de Lucrèce ne m’endort pas, le boug, contrairement au catéchisme de cricri !
Moi je viens de comprendre que les Editions du Seuil étaient d’obédience pétainiste, mais dans l’état de zenirude ou ils sont tous, ça va pas trop les réveiller.
Assouline sur l’express:
Pierre Assouline, écrivain, journaliste, membre du jury Goncourt et chroniqueur à L’Express. Serge Picard pour L’ExpressArticle Abonné
A la lecture du même ouvrage, certains crieront au chef d’oeuvre, d’autres à la nullité… L’écrivain et journaliste Pierre Assouline s’amuse de ces divergences de lecture.
Qui a bien pu inventer cette formule désolée à la lecture d’un article ou l’écoute d’un commentaire portant aux nues, criant au prodige ou rivalisant d’érudition pour arrimer aux oeuvres les plus prestigieuses un roman qui nous est tombé des yeux avant de nous tomber des mains ? Alors, oui, accablé, consterné, résigné, on rend les armes, à bout d’arguments : « Manifestement, on n’a pas lu le même livre… » Façon de parler, bien sûr : le livre est bien le même, mais non le regard. Le plus souvent, le fossé paraît impossible à combler de l’encensement à l’éreintement. On veut bien faire la part de la subjectivité dans le jugement, croire que tous les goûts sont dans la nature, à commencer par le mauvais. Mais l’incompréhension paraît irréductible lorsque se manifeste une opposition du tout au tout, du chef-d’oeuvre à la nullité. A croire qu’on ne parle pas la même langue.
non, on ne parle pas toujours la même langue!inutile de vous facher trop grave
( @christiane dit: à
Reste Lucrèce que j’apprécie.
La grande unité de tout ce qui vit, les blondes à fortes poitrines, il a toujours kiffé le truc, Lucrèce ; il vous rendra vos appréciations en mille, Christine )
UBU TRUMP
(… C’est que comme tous ses congénères, il était une sorte de catho avant la lettre, voyez-vous … Les droits naturels et imprescriptibles de l’homme etc. )
On peut faire de la pub ?
Alors les editions Gallmeister, je l’ai déjà fait.
Grande reconnaissance pour leur exploration du far west.
Je voudrais personnellement saluer une toute petite maison qui fait beaucoup pour la sauvegarde du patrimoine.
Les Editions du Seuil ont été rachetées par La Martinière il y a déjà quelque temps, MS. La page de l’ancien Seuil est définitivement tournée.
Pas en mieux, du moins en littérature…
A mon avis , déjà juste a l’académie Goncourt ils ne causent pas tous la meme langue. Dans le cas contraire le marché du livre ne serait pas suspendu à l’issue du conclave tout l’automne !
@Pas en mieux, du moins en littérature…
C’est évident. Si la papesse de la psychanalyse est aux commandes par procuration, ça ne pouvait aller que de mal en pire.
je signale, pour ceux qui s’y sont intéressés et aziment l’auteur:
And yet, over the last few years, a certain perplexity has taken hold. In 2013, The Childhood of Jesus appeared; in 2016, The Schooldays of Jesus; and now, coinciding with his 80th birthday in February 2020, a final volume: The Death of Jesus. (The US edition of the novel appeared in May.) But why a story about Jesus? Has Coetzee turned to faith in his old age?
All three novels take place in a fictitious land. None of the inhabitants are originally from the place; all have arrived by ship. None of them know their mother tongue; indeed, not a single one even remembers it. They are all foreigners, refugees. They communicate by means of an acquired Spanish,
peut-être BLOOM pourra-t-il éclarer le blog
Jadis, dans la course aux prix on parlait de Galigraseuil. Désormais c’est Galigrasud !
« par procuration », vous n’y pensez pas MS !
« non, on ne parle pas toujours la même langue!inutile de vous facher trop grave »
Non, on ne parle pas toujours la même langue ! Inutile de vous fâcher trop grave.
« peut-être BLOOM pourra-t-il éclarer le blog »
Peut-être Bloom pourra-il éclairer le blog ?
pourra-t-il
Désormais c’est Galigrasud !
Normal avec le réchauffement climatique qui influence tout ce qui existe!
A. Compte-Sponville avait bien commencé avec une parole d’écorché vif au début des années 90.Il a même publié quelques ouvrages intéressants et un quasi-manuel de morale pour les élèves de terminales, très utile aux dires des profs de philo, qui savent de quoi ils parlent: »Petit traité des grandes vertus ».
Un temps honnête passeur de philosophie, il a ensuite popularisé une certaine vision de la philo comme aide au « développement personnel » (alors que la philo, c’est avant tout l’intranquilité), et maintenant comme auxiliaire du manageriat (lisez « patronat »), dans un virage crypto-benthamien qui manque singulièreùent de panache. Toutes proportions gardées, il me fait penser aux gourous indiens qui surfent sur le Mahābhārata pour mieux promouvoir l’hindutva auprès des hautes castes…
Cela dit, c’est tout sauf un philosophe, cad un créateur de pensée (de concepts, aurait dit Gilles Deleuze), comme le sont aujourd’hui Frédéric Worms, qui pense avec profondeur l’humanité blessée, Francis Wolff, qui défend brillamment l’universalisme confronté aux tendances centrifuges de l’époque (transhumanisme, etc.), Élisabeth de Fontenay et Corinne Pelluchon, qui interrogent avec beaucoup d’intelligence la place de l’animal dans l’histoire et dans la société actuelle.
Ces pensées-là sont originales, pas juste un cours de fac sur un classique refaçonné pour le box office.
A cet égard, la préface de Élisabeth de Fontenay au ‘De la nature / De Rerum Natura’ de Lucrèce (Les Belles Lettres bilingue) est essentielle (et suffisante) pour comprendre l’importance de ce grand matérialiste. Et en plus, le texte est magistralement traduit.
(alors que la philo, c’est avant tout l’intranquillité),
Non mais alors!
Philosophie = créateur de concept?
Quelle rigolade!
Philosophie = créateur de concept?
Quelle rigolade!
—
« Qu’est-ce que la philosophie? », Deleuze-Guattarri (Editions de Minuit) vous tend les bras. Heureuse personne!
Excellente lecture d’un des monuments de la philo française!
MS « Simplement avant cela, de passer à la folie des grandeurs, et a la mythologie grecque, la “petite histoire” […] »
Ne pas raffoler/ être lassée des autopathographies familiales est une chose (que l’on peut tout à fait partager), mais assimiler le recours au mythe à une « folie des grandeurs » en est une autre (si c’est bien ce que vous avez voulu dire).
Il ne s’agit pas de « se prendre pour » (ni de se faire valoir) mais de se comprendre avec/à travers.
« A sei anni io leggevo tutto il giorno le fiabe, ma perché ritornavo sempre, affascinata, a certe immagini che un giorno avrei riconosciuto, quasi emblemi ricorrenti per me, quasi divise? […] Storia che ritrovo ad ogni angolo della vita, pronta ad esser riletta su nuovi piani, dischiusa da nuove chiavi. »
(Cristina Campo, « Parco dei cervi », Gli imperdonabili)
L’intérêt que peuvent trouver d’autres personnes, des lecteurs, à l’exposé et/ou aux résultats de cette démarche dépendra ensuite du talent de l’auteur, de la profondeur, de la beauté et de la force de ses aperçus, c’est entendu ; mais la démarche elle-même n’est certainement pas à ridiculiser.
Pablo, lu votre attaque contre Hamlet qui entre autres choses rappellent la nécessité dans cette entreprise qu’est une maison d’édition et au cahier des charges de l’éditeur avant d’en tirer bénéfices, profits, de rentabilliser. Relisez la fin du billet. L’engagement n’est pas l’intellectuel s’il lui arrive de l’être aussi.
(aïe, pas la bonne page — mon commentaire était destiné à l’article précédent.)
Rappelle, qu »intellectuel. Excusez.
Mon cher Bloom, Félix ( que j’ai connu.. 😉 )et Guattari, cela date un peu, non?
La philosophie, c’est la métaphysique!
Si vous êtes à la retraite, je vous incite à suivre les conférences de Claudine Tiercelin au Collège de France.
Rien que l’introduction est déjà une bien belle présentation de son incontournable recherche :
https://www.youtube.com/watch?v=6tJZAXbQVWw&feature=emb_err_woyt
de dicter ce dont le gens ici peuvent ou ne peuvent pas discuter.
Pablo, il vous arrive d’exprimer des positions que vous voudriez indiscutables, je n’ai pas souvenir de vos positions morales mais de vos jugements artistiques.
Mon cher Bloom, Félix ( que j’ai connu.. 😉 )et Guattari, cela date un peu, non?
La philosophie, c’est la métaphysique!
—
Merci, cher Brinqueballe. Non, les grands textes ne datent pas, ils durent (ce cher Héraclite et ses Fragments,ah!).
Je trouve la métaphysique bien ringarde, personnellement, & suis bien plus intéressé par la philosophie de l’action et l’épistémologie (Bachelard, Canguilhem & Cavailles notamment), ainsi que, comme tout linguiste qui se respecte, Austin et sa fructueuse descendance en philo analytique.
Pas encore à la retraite, mais je trouverai quand même le temps de jeter un coup d’œil aux cours de Claudine Tiercelin.
Bien à vous
Excellente lecture d’un des monuments de la philo française!
Il arrive aux statues de choir de leur socle, Bloom!
Even Dylan has a religious one
https://www.youtube.com/watch?v=fJqcJ9xZkEQ
mais je trouverai quand même le temps de jeter un coup d’œil aux cours de Claudine Tiercelin.
Avec les travaux de son époux et néanmoins philosophe de haute volée et introducteur en Europpe de la philosophie analytique Pascal Engel ( justement! 😉 lisez plutôt Pierce!
Merci, cher Brinqueballe. Non, les grands textes ne datent pas, ils durent (ce cher Héraclite et ses Fragments,ah!).
Héraclite versus Deleuze-Guattari.
Deux nains sur des épaules d’un géant.
Le jour de son enterrement, dans la chambre funéraire, en faisant un dernier effort surhumain grâce à son si puissant sentiment de Jalousie, il se lèvera de son cercueil …
Et ça, vous me l’aviez servi il y a très très longtemps en moins élaboré. Selon vous, à l’époque, vous 19 ans moi 16 ou 17, je regarderai toujours dans l’assiette des autres. J’étais une envieuse. Votre vision des gens n’a guère évolué en justesse. De ma vie je n’ai jamais envié qui que ce soit. Chacun selon ses mérites dans le meilleur des cas et je me fais l’impression d’être admirative du talent quand il est au rendez-vous. Vous, vous êtes resté partial et riveté sans preuves à l’appui à votre vision des êtres et des choses.
Et ça, vous me l’aviez servi il y a très très longtemps en moins élaboré. Selon vous, à l’époque, vous 19 ans moi 16 ou 17, je regarderai toujours dans l’assiette des autres.
B dit:
Elle est en train de devenir folle en direct, celle-là !
Surprenant qu’il y ait encore en 2020 des gens qui ont besoin de se la péter au point de vouloir nous montrer qui prennent des fumistes comme Deleuze au sérieux.
« -Dans votre essai « L’Erreur et l’Orgueil », vous analysez les théories de penseurs qui furent très en vogue en France à partir des années soixante-dix, tels Michel Foucault, Jacques Derrida ou Gilles Deleuze. Dans quelle mesure peut-on dire qu’ils ont eu une influence concrète?
Roger Scruton : -Ces trois penseurs ont eu énormément d’influence et celle-ci s’est développée à travers un nouveau regard porté sur les humanités. Traditionnellement, ce que nous appelons les humanités – littérature, arts, philosophie et Histoire – étaient fondées sur une certaine idée de la mémoire collective: nous procédions d’une nation et d’une civilisation. Et nous enseignions ces disciplines de telle sorte que nos étudiants se sentent partie prenante de ces réalités. L’éducation, ainsi que Platon l’a mis en évidence, est une forme d’anamnèse, il s’agit de redécouvrir ce qui a été oublié. Dans cette optique, les universités étaient censées transmettre des héritages culturels et civilisationnels. A contrario de cette vision, quelqu’un comme Foucault a prétendu réécrire toutes les relations humaines à l’aune des relations de pouvoir: le pouvoir d’une classe sur une autre, d’un sexe sur un autre ou d’une forme de normalité sur des comportements jugés déviants ou anormaux. De sorte que toutes les notions traditionnellement admises furent contestées et subverties. Ce fut une étape décisive dans le processus dont nous voyons l’aboutissement aujourd’hui, où les universités sont conçues comme des centres d’opposition à toute forme de normalité qualifiée de bourgeoise. De son côté, Jacques Derrida prétendait que toute recherche d’un fondement à l’ordre des choses était vaine, et qu’il fallait déconstruire les formes culturelles admises. Quant à Deleuze, il a montré comment écrire des livres illisibles, même aux yeux de ses disciples. Toutes les universités du monde ont succombé à leur rhétorique absconse. Personnellement, j’admire le style, le brio et la para-érudition de Michel Foucault. Les deux autres étaient des charlatans qui ont contribué à détruire les normes communément admises de la vie intellectuelle. »
Du tout , Pablo, nous n’avons pas tous en mémoire les mêmes détails, celui ci, je l’ai gardé malgré moi comme une fleur , une de celle qu’il nous arrive de conserver entre les pages du livre. Ceci dit, mon but n’était pas de vous accabler mais de vous rappeler ce schéma .
Spinoza
https://youtu.be/kb_fhLt7kls
Au comptoir — 🍹— :
Petit grain de sel perso sur ce fil: les éditions Gallmeister sont chères à mon coeur également.
Avec « My absolute Darling », du jeune Gabriel Tallent, ou la trilogie de « Lonesone Dove » de Mc Murtry, j’ai passé des moments d’oubli complet de la réalité d’ici et là.
En plein confinement, j’ai lu « Dans la forêt » de Jean Hegland. Bluffant.
Je suis les publications de cette maison depuis des années, un vrai bonheur.
Tiens justement, il est bon de reconnaitre ses propres erreurs, chose à laquelle vous ne me semblez toujours pas prêt peut être parce que vous estimez n’en avoir pas commis de jugement ou d’opinion. C’est dommage, mais je remarque que votre ton est trop souvent à l’invective, la dépréciation, comme d’autres trop nombreux ici. Votre vie bien remplis pourrait justifier que vous ayez oublié cette opinion .La mienne beaucoup moins enrichissante et chargée en découvertes diverses fait que je garde un souvenir des quelques personnes que j’ai connues et avec qui j’ai cheminé à un âge où nous sommes impressionnables.
RempliE. Mes excuses.
Dites petitix,
Plus que vous tromper de billet, quelle malhonnêté vous pousse à hacher un de mes commentaires, qui ne vous est pas destiné et se suffisait à lui-même ?
J’ai voulu dire ce que j’ai écrit et ne vous permets pas d’en disposer.
Vous noterez que j’ai parfaitement étayé mon propos avec plusieurs commentaires qui ont fait suite à celui que vous triturez comme un bousier que vous êtes !
J’ai bien noté qu’a part une vidéo de Fellini, et quelle, le billet ne vous avait pas inspiré. C’est un peu tard, et la messe ( jesuite) est dite !
x, ayez l’obligeant de redonner le commentaire auquel vous réagissez pour que nous puissions juger de la justesse de votre réaction, ceci étant sans vous connaitre je vous accorde une plus grande confiance qu’à la signataire du post originel . Ainsi nous pourrions au delà de deux subjectives statuer de la pertinence de votre réponse. Merci pour cet effort, je n’ai aucune idée de la matière à laquelle vous répondez.
L’obligeance, subjectivités. Mes excuses.
J’ajoute petitix, si vous avez la comprenette difficile, et n’avez comme le jibe que » l’intention » de lire ce livre de Toledo, rien ne vous en empêche. On n’est pas en dictature, du moins pas dans la vôtre.
Deleuze
Pablo : Elle est en train de devenir folle en direct, celle-là !
Il y a longtemps que c’est fait. Elle opère juste un transfert de moi à toi. Exactement le genre de message qu’elle m’a adressé pendant des années. Il n’y a que les femmes pour prétendre avoir connu intimement des gens qu’elles ne connaissent absolument pas. Ici, deux cas : la béret-naïce et Rose l’épineuse qui a réussi à faire croire à cette pauvre Cricri-la-zombie qu’elle me connaissait. J’ignore dans ce cas jusqu’où est allé le délire.
Bien entendu, il faut un sot ou une sotte pour y croire.
Il n’y a que les femmes pour prétendre avoir connu intimement des gens qu’elles ne connaissent absolument pas.
Chaloux dit:
Les femmes folles. C’est un indice clair de folie de délirer comme ça… Si à cela on ajoute, chez B., l’incohérence de ses propos très souvent et le fait qu’elle a l’air d’être isolée, coupée de tout le monde, le diagnostic paraît clair.
( @« Lucrèce s’est mis le doigt dans l’oeil jusqu’au coude ! « Lucrèce, juste le prénom d’une Borgia ! »
Aux substituts zélés
https://www.youtube.com/watch?v=ihpGNoCreyg )
« et Rose l’épineuse qui a réussi à faire croire à cette pauvre Cricri-la-zombie qu’elle me connaissait. »
N’importe quoi. Comme d’hab.. Vous inventez et vous êtes sûr de ce que vous venez d’inventer.
« du coup y’a un tas de minorités qui auront été totalement ignorées de blog, comme par exemple les juifs dont on a rarement parlé parce qu’on parle tout le temps des homos ».
Pas les femmes puisque nous tenons notre place et évitons ainsi toute surenchère superfétatoire.
christiane
Lu vos critiques intermédiaires et puis la finale.
Aprés qq. irritations sur ce débordement purulent de malheur vous nous dites avoir apprécié l’ensemble. Camille de Toledo semble avoir trouvé quelque apaisement et une ouverture vers le bonheur. Au bout de trois livres, de manière générale, on sait si on apprécie tel ou tel auteur. Allez-vous continuer à le lire ?
On est tous des nègres, exact.
La célébrité à éviter.
@On est tous des nègres, exact.
L’amphibologie de cette phrase qui fait appel à la polysémie d’un mot est une facilité rhétorique dont on ne saura jamais ce qu’elle recouvre. Moi je ne suis pas un nègre.
J’ai trouvé scandaleuse la réponse apportée par le chef de l’État à l’agression caricaturale , publiée dans un journal, dont a été victime une députée, de la République française. Un » soutien », comme celui d’un manifestant de base, est-ce la bonne réponse à ce qui nécessite des suites judiciaires ?
Année LvB, Fantaisie en sol mineur, op.77 :
31.8 — 7.00
Il y a longtemps que c’est fait. Elle opère juste un transfert de moi à toi. Exactement
Non, il ne s’agit pas de cela. Je rappelais à Pablo que son regard sur autrui n’est pas toujours des plus justes. Gardez vos notions de psy pour vous Chaloux, il me semble qu’étant donné votre fonctionnement même un psy_ chiatre ou analyste ne pourrait venir demeler vos circuits. En ce qui me concerne , pour simplifier et je vous l’ai déjà dit, viscères un psychopathe, un pervers, un sadique, un escroc. Votre renommée et vos origines ainsi que votre culture et intelligence n’y changent rien, comme quoi folie intégrée et niveaux sont tout à fait compatibles. Je pense que Pablo est un ambitieux frustré, un peu moins tordu que vous, moins malsain, il est comme vous un baiseur au sens physique , pas du tout sur le plan moral. Sur celui ci, il se trompe .
Vous êtes, rayez viscères?!
Les femmes folles. C’est un indice clair de folie de délirer comme ça… Si à cela on ajoute, chez B., l’incohérence de ses propos très souvent et le fait qu’elle a l’air d’être isolée, coupée de tout le monde, le diagnostic paraît clair.
C’est cela, oui. Vieux macho, w3xiste, un peu trop sur de lui. Doutez cher Pablo, vous apprécierez Descartes. Vous,étiez aussi certains.s à l’époque que je jouais alors que j’étais sincère, de plus je sortais de l’oeuf. Comment l’aurais je pu? J’étais trop simple, trop pure il vous fallait mettre des mots sur cette virginité d’esprit: je jouais un rôle.( 15ans ). Je suis seule, contente de l’être. Cela m’évite d’avoir à supporter l3 con que souvent les hommes ne manquent pas de devenir.
…replay à 7 h 46 min.
…lundi 31 aout 2020 à 6 h 46 min.
…
…la falsification ?!,…modelage de la morale,…
…en business-plan.
…sous prétextes d’expériences et autres vécus » solides » faisant fonctions et taches laborieuses,…
…
…le savoir-vivre » cocu « , heureux…, ignorant de tout; sans foie, sans lois, sans passions, polyvalent à tout respects accortes, fonctionnels,…le business du sexe-faible ?
…
…qu’est ce qui se cache, derrière les masques de toutes les vertus consommables,!…
…
…des strates, pour quoi faire, se leurrer,…à se reconstruire,…
…l’homme et l’espèce qui pense, pour s’autodétruire, et alors,!…
… » cocus « , quoi de neuf,!…docteurs et usuriers,…sur tout les chemins.
…Go,!…Entreprise,…
Sexiste. Mes excuses.
Et n’allez pas pleurer dans les jupons de Chaloux, ce salaud dont je tairai les caractéristiques qui pour certaines seraient dignes d’etre versées à un dossier destiné à la justice . Il profite de la situation, c’est un très bon exploitant. Vous êtes risible , cher Pablo. Vous ne pouviez pas trouver meilleur ami.
Pour r1ccord avec ce que je soumettait à votre attention, Pablo:
C’est facile de prendre des risques avec l’argent de la Maison où l’on travaille…; mais moi, c’est mon nom et mon argent que j’ai risqués à chaque fois !
Pour raccord avec ce que je soumettais à votre attention hier soir.
avoir connu intimement des gens
Avec le recul et la connaissance de vos exploits, un regret d’être liée à vous. C’est une grande injustice, une erreur de casting. Beaucoup de bonheur à vous en compagnie de celles qui vous ressemblent et s’assemblent comme une pièce de puzzle à votre mentalité dégoulinante de déliquescence. Avidas dollar.
rose dit à christiane : « Lu vos critiques intermédiaires et puis la finale. Aprés qq. irritations sur ce débordement purulent de malheur vous nous dites avoir apprécié l’ensemble. Camille de Toledo semble avoir trouvé quelque apaisement et une ouverture vers le bonheur. Au bout de trois livres, de manière générale, on sait si on apprécie tel ou tel auteur. Allez-vous continuer à le lire ? »
Bonjour, Rose.
Pour arriver à votre commentaire j’ai d’abord lu les réponses que B. adresse à pablo et chaloux. C’est une femme rude mais vraiment lucide.
Je reviens à votre question. Lire d’autres romans de Camille d Toledo ? Pour l’instant, non. J’ai un nouveau livre à explorer d’Élisabeth de Fontenay grâce à Bloom (« Lucrèce », l’introduction, et bien sûr « De rerum natura », ce long poème passionné qu’écrivit Lucrèce en latin, en présentation bilingue).
https://www.franceculture.fr/emissions/du-jour-au-lendemain/elisabeth-de-fontenay-lucrece
Mais je ne regrette pas d’avoir lu Thésée sa nouvelle vie(Verdier), d’avoir grâce à cette lecture et celle qui précédait, eu des échanges passionnants avec Jibé.
Ce que j’ai retenu de ces deux lectures « Vies potentielles » et « Thésée, sa nouvelle vie » ? Ce sont les questions sans réponse que laisse le suicide d’un enfant pour ses parents (qui en meurent), pour un frère (cela aurait pu être une sœur), pour des proches.
Les questionnements se font par strates, d’abord les proches, la vie de famille, les amis, le milieu professionnel… On trouve parfois des réponses… des accusations… et puis, il arrive qu’on explore plus loin, dans les générations qui ont précédé, quel malheur, quelle maladie, quel deuil, quel secret enfoui peut résonner dans l’inconscient de celui qui va mal au point de vouloir fuir la vie.
Ici, (dans ce que j’ai reçu plus comme une fiction que comme un roman autobiographique), un manuscrit ancien, écrit par un arrière-grand-père, et découvert par « Thésée » alors qu’il fait route avec ses enfants vers l’Allemagne, vient apaiser le narrateur, lui faire supposer que son frère ne se serait pas tué s’il l’avait lu. On en a quelques extraits (photos de fragments du manuscrit et traduction).
Or, qu’est-ce qui dans ce manuscrit (qui ressemble davantage à une lettre qu’à un livre), permet à Thésée de faire ces suppositions ? l’évocation des paroles de l’enfant de 11 ans qui meurt de maladie dans une sérénité rare ? les paroles de cet aïeul destinées à sa descendance disant qu’un grand malheur, comme la mort de son enfant, ne doit pas empêcher de continuer de vivre, de lutter et cela en mémoire de toute une lignée qui a survécu malgré les persécutions.
Toutes ces hantises je les trouvées dans le premier livre lu de lui « Vies potentielles » dont j’ai copié ici de nombreux extraits pour fonder l’échange avec Jibé.
Le narrateur est-il plus heureux à la fin du livre ? je ne le crois pas. Mais il a fait un chemin…
Que cet écrivain soit le fils d’une famille aisée m’importe peu. C’est le livre qui m’intéresse cette fiction, ce recours au mythe que x analyse judicieusement. Et ce mythe de Thésée et du minotaure me passionne.
Je vous avais parlé de la réécriture de ce mythe par Friedrich Dürrenmatt Minotaure, traduit de l’allemand par Jan-Paul Clerc (édition L’Âge d’homme). Le seul écrivain qui ait interrogé la solitude, l’innocence et la douleur de la créature monstrueuse enfermée dans ce labyrinthe dont il avait tapissé les parois de miroirs, donnant l’illusion d’autres présences à la créature, et l’avait fait mourir, trompée par Thésée qui portait un masque de taureau, assurée qu’elle était d’avoir trouvé un ami, une créature pareille à lui… moment où il reçut un coup de poignard dans le dos…
Oui, les mythes éclairent bien des situations de la vie…
Bonne journée , Rose, même si votre rêve essentiel concernant votre mère diminue comme une peau de chagrin.
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