Parano dans le marigot
A ceux qui doutent encore que l’édition soit un sport de combat, on ne saurait trop recommander la lecture de La vie comme un livre (588 pages, 25 euros, Philippe Rey éditeur, en librairie le 3 septembre). Son auteur Olivier Bétourné (1951) y raconte par le menu ses quarante ans dans ce métier où il est entré comme lecteur puis secrétaire général du Seuil, vice-président de Fayard, directeur général d’Albin Michel et enfin Pdg du Seuil. Un parcours exemplaire sans compter ses responsabilités dans de nombreux organismes corporatifs.
Quelle place un éditeur, et plus encore s’il a beaucoup œuvré dans le champ des sciences humaines et sociales, tient-il dans l’histoire des idées et dans le débat intellectuel ? Passionnant pour qui a connu tous les acteurs de cette comédie si française. Mais les autres : que penseront-ils de ce tout petit monde, ce microcosme qui se donne pour une élite ? L’édition vue de l’intérieur n’a d’intérêt, comme c’est ici le cas, que lorsqu’elle se fait la chambre d’écho sinon l’aiguillon de fractures et d’affrontements idéologiques ou de débats moraux qui agitent la société. On se fait des idées sur cet univers car il en sort tout de même des livres. Gaston Gallimard ne disait-il pas en s’exprimant au nom de ses confrères :
» Nous sommes des commerçants d’un type un peu particulier : nous avons passé un pacte avec l’esprit »
Sauf qu’à l’usage, le gouvernement des hommes s’y révèle être rien de plus que l’administration des egos – et c’est aussi médiocre qu’ailleurs, d’autant qu’une forme ordinaire de la paranoïa y est largement répandue. Ainsi, ce qui pourrait se traduire par des batailles d’idées se traduit souvent par des querelles de personnes. Et lorsque l’orgueil ou la cupidité l’emportent, toute mystique se dégrade en politique ; peu de vocations y résistent.
On ressort de cette lecture éclairé sur les liens génétiques du Milieu littéraire avec le Milieu. On y meurt tout autant de mort violente à ceci près qu’elle est professionnelle, donc sociale. Mais pour l’essentiel, les mémoires d’Olivier Bétourné, qui a le grand mérite de ne pas manier la langue de bois (« Nous ne nous aimions pas » reconnait-il à propos des membres d’un comité de lecture) et de ne pas taire ses inimitiés, empruntent au thriller son lexique : il n’est question que de tueurs, vendettas, luttes de clans, rumeurs assassines, délires d’interprétation, obstructions systématiques, jalousies, alliances opportunistes, campagnes de dénigrement, insinuations en rafales, sabotages, harcèlements, rivalités, petites combines, exacerbations des passions, menaces et chantage. Sauf que là, le rapport de forces est plus feutré ; et si tout est légal, tout n’est pas nécessairement moral.
Les dix « leçons » qui égrènent son récit sonnent comme autant de commandements à tout futur éditeur dont la responsabilité de l’éditeur est le centre de gravité dès lors qu’il ne se contente pas d’organiser et de programmer, des taches qui elles-mêmes ne sont pas neutres :
- Ne pas transiger sur certains sujets
- Se méfier de ses meilleurs amis
- Savoir de quoi est faite la responsabilité de l’éditeur
- Renoncer au métier d’éditeur si l’on refuse d’envisager à avoir un jour à traverser Paris une mallette pleine de petites coupures à la main
- Ne jamais rien laisser passer
- Dans le doute, abstiens-toi
- Assume tes responsabilités, toutes tes responsabilités, mais jamais celles d’autrui
- Dans tes rapports avec les médias, n’abandonne rien au hasard
- Ne t’engage dans la campagne des prix que si tu en maitrises la configuration et qu’il y a un pilote dans l’avion
- Tes convictions éditoriales, quelles qu’elles soient, nourris-les et impose-les jusqu’au bout sans faiblesse
Au fond, il y a deux catégories d’éditeur : celui qui privilégie l’offre sur la demande et l’inverse. La conviction d’abord, le marché ensuite ; dans la longue durée plutôt dans que le court terme ; mais de l’accommodement au compromis, et du compromis à la compromission, la voie est étroite et rapide pour celui qui ne se tient pas à un absolu du métier d’éditer. L’évocation des pressions exercée par la direction du groupe Hachette pour convaincre Fayard de ne pas publier une biographie de l’homme d’affaires Jean-Marie Messier ainsi qu’une enquête sur les réactions de L’Oréal face au boycott arabe, ou contraire de publier une hagiographie de Deng Xiaoping écrite par sa fille, afin de ménager ses relations avec des pouvoirs ou des annonceurs est à cet égard instructive ; mais celle du changement d’esprit au Seuil lors que ses éditeurs sont passés de la communauté au parlementarisme ne l’est pas moins.
Qu’on n’attende pas de lui qu’il se donne le mauvais rôle, c’est la loi du genre. Une mosaïque d’anecdotes, dialogues, choses vues, lues, entendues souvent éclairantes, parfois inutiles n’en dessinent pas moins à son corps défendant un autoportrait plus porté à l’autosatisfaction (notamment via les lettres personnelles à lui adressées par des auteurs) qu’à l’autocritique. Mais que de pages captivantes sur Julien Green, Claude Durand, Jean Lacouture ou Pierre Bourdieu dont il tisse des portraits d’une acuité, d’une profondeur et d’une sensibilité remarquables, ou sur la tentation de la démission face au cas de conscience (peut-on tout publier au nom de la liberté d’expression ?) sans parler des mauvais choix, des erreurs, des catastrophes dont il ne cèle rien. A cet égard, le rappel de l’affaire Umberto Eco est terrible, l’universitaire italien ayant publié tous ses livres théoriques au Seuil :
«Mais François (Wahl, son éditeur attaché), qui nous fit un certain vendredi une présentation éblouissante de ce roman (« Le Nom de la rose »), conclut fermement son exposé sur la nécessité de le refuser, Eco s’étant « égaré », nous expliqua-t-il dans un projet littéraire flou et sans aveu (théorique). Aux yeux de François, la « trahison » d’Eco était consommée : il avait renié d’un même mouvement et la « structure » et la sémiologie, sa discipline d’origine ».
On connait la suite : un succès mondial, des millions d’exemplaires vendus, un livre qui fit le bonheur de Grasset pendant des années… La liste de « ses » livres induit un pesant côté catalogue. Mais le récit de l’intérieur des « affaires » auxquelles il fut mêlé ès-qualités vaut vraiment le détour qu’il s’agisse de la réédition émondée de ses passages antisémites du Journal de Renaud Camus (La campagne de France) ou du séisme provoqué dans le quotidien par l’enquête de Péan & Cohen sur la Face cachée du Monde. Très enclin (parfois trop) à détailler tant le mémorialiste tient à justifier son action à la lettre alors que nul ne lui en fait l’injonction, Olivier Bétourné aurait-il cédé à son tropisme d’historien même s’il s’en défend ? Le fait est qu’il a tout noté, tout conservé, tout archivé, tout inventorié de ce qu’il a vécu. Des milliers de documents dans trois cents boites.
Tout bilan a sa part de règlement de compte. Forcément lorsqu’il s’agit d’une vie vouée à une certaine idée de son métier et que celui-ci est vécu comme une vocation. Des crises y sont restituées à la minute près. Les professionnels de la profession s’y retrouveront et tous n’auront peut-être pas à s’en réjouir. Toujours le même personnel depuis un demi-siècle. Un tout petit monde qui tient dans un mouchoir de poche au centre de Paris, entre Saint-Germain-des-Prés et Montparnasse. De solides amitiés s’y nouent, et des affections durables s’y développent mais, lorsqu’est évoquée la figure charismatique de Claude Durand, le patron de Fayard, quel conservatoire de haines recuites !
Le récit porte le sous-titre « Mémoires d’un éditeur engagé ». Mais en connait-on qui ne le soit pas d’une manière ou d’une autre ? Tout éditeur est engagé puisque c’est par essence un métier de joueurs ; seulement certains le sont plus que d’autres car il y faut une âme de parieur. Comment ne pas avoir une pensée pour Robert Laffont, l’un des réinventeurs de son métier à l’ère moderne, qui s’exclamait en pareille circonstance : « C’est facile de prendre des risques avec l’argent de la Maison où l’on travaille…; mais moi, c’est mon nom et mon argent que j’ai risqués à chaque fois ! »
1 368 Réponses pour Parano dans le marigot
Rose,
je remplace le lien France culture périmé (hélas) par celui-ci (émission de « Répliques » du 7/08/2010 animée par A.Finkielkraut avec Elizabeth de Fontenay, philosophe, et Paul Veyne, historien:
https://www.dailymotion.com/video/xooa65
christiane dit: à
Bonjour, Rose.
(…)j’ai d’abord lu les réponses que B. adresse à pablo et chaloux. C’est une femme rude mais vraiment lucide.
@Pablo.
L’anthrax a toujours plusieurs têtes.
(Et encore, je laisse l’épineuse de côté.)
Hurkhurkhurk!
X,
« « A sei anni io leggevo tutto il giorno le fiabe, ma perché ritornavo sempre, affascinata, a certe immagini che un giorno avrei riconosciuto, quasi emblemi ricorrenti per me, quasi divise? […] Storia che ritrovo ad ogni angolo della vita, pronta ad esser riletta su nuovi piani, dischiusa da nuove chiavi. »
(Cristina Campo, « Parco dei cervi », Gli imperdonabili)
Ayant ce beau livre Les impardonnables de Cristina Campo, traduit de l’italien par Jean-Baptiste Para, Gérard Macé et Francine de Martinoir (éd : L’Arpenteur), j’aimerais retrouver le contexte de cette citation. Pourriez-vous me préciser de quels écrits réunis dans ce livre est extrait cette pensée ? Merci.
Mon cher Brinqueballe,
« L’abcédaire » de Gilles Deleuze est un chef-d’œuvre dont les petits bras cassés de ce blog seraient bien incapables de produire 1/10000000e de la substance, de facéties et fulgurance mêlées. Toujours laisser les khôns à leur marre au khônards, et à leur psittacisme stérile.
Et je ne parle pas d’ouvrages plus techniques comme son « Nietzsche et la philosophie » dont la fréquentation assidue en prépa m’a permis d’éviter pas mal de contresens, notamment sur la hiérarchisation de l’oppression dans La Généalogie, magistralement décortiquée… En plus du russe que j’apprendrai une fois contraint et forcé de prendre ma retraite, je songe (en bon bachelardien!) à un doctorat en philosophie des sciences.
Quelle chance que celle de pouvoir se promener entre pré-socratiques et posthumanistes!
Brinqueballe, et le Qu’est-ce que la métaphysique ? de Frédéric Nef (mais vous avez peut-être déjà eu l’occasion d’en parler).
MS, chacun « se comprend » toujours, mais a priori quand on écrit un commentaire on cherche à ce qu’il soit compréhensible pour les autres ; le mépris (ou l’ignorance) de la syntaxe n’y aide pas, pas plus que l’affectation de véhémence.
Cela précisé, peu importent à la limite vos intentions (que vous ayez plutôt voulu « dégommer » l’ambition historique ou sociologique (supposée) du livre) si le résultat, à cause de votre expression confuse, porte ceux qui vous lisent à croire que vous visez le recours au mythe.
Je voulais simplement rappeler que comme la métaphore, comme le symbole, le mythe « donne à penser ».
x,
J’ai trouvé dans l’écrit portant le titre de « In medio coeli », ces lignes qui se rapportent à l’interrogation sur le mythe de Thésée dans le roman de Camille de Toledo :
« Dans les contes, on le sait, il n’y a pas de routes. On marche devant soi comme si l’on suivait une ligne droite. Mais cette ligne, à la fin, se révélera sous l’aspect d’un labyrinthe, d’un cercle parfait, d’une spirale, d’une étoile – ou même sous l’aspect d’un point immobile que l’âme ne quitta jamais, tandis que le corps et l’esprit redoublèrent d’effort dans leur voyage apparent. » (P.28)
) à un doctorat en philosophie des sciences.
oui, bloom,c’est la raison pour laquelle je rappelle les philosophes des sciences parce que je crois qu’ils nous aident à penser en nous donnant l’exemple de leurs chemins
christiane, je n’ai que l’édition Adelphi en v.o., que je n’ai pas voulu gâcher par une traduction maison « à peu près ». Mais si vous le retrouvez, auriez-vous l’obligeance de bien vouloir recopier sa traduction ?
Le passage apparaît deux fois dans le recueil. J’avais prélevé ma citation dans la partie « Fable et mystère », « Parc des (aux ?) cerfs », 2.
(Le paragraphe commence par « Les enfants ont (possèdent ?) des organes mystérieux »). Il suit immédiatement un développement sur la technique (dans laquelle l’homme est emprisonné comme un insecte dans l’ambre.)
Mais le même passage figure aussi (je m’en suis rendu compte après) dans le texte « De la fable » (au début du livre, dans la partie « La flûte et le tapis »), sous une forme très légèrement différente. La citation de la fable en question (que j’ai omise) y est plus longue, l’interrogation y est présentée sur un mode impersonnel (« À six ans, ON peut lire toute la journée… »). Là, le passage s’articule à un développement sur la maturité/maturation.
merci christiane du lien de DE FONTENAY
x dit: à
Brinqueballe, et le Qu’est-ce que la métaphysique ? de Frédéric Nef (mais vous avez peut-être déjà eu l’occasion d’en parler).
Livre dont je n’ai pas parlé mais lu, un ouvrage essentiel à lire, bien entendu!
Bloom n’a pas la notion très exacte de ce que sont les débats philosophiques contemporains, cinquante années nous séparent – un demi-siècle donc – de Daleuze et plus encore de l’épistémologie historique de Gaston Bachelard.
A force de déconstruction et de relativisme on ne sais plus que penser. Certains philosophes cherchent à construire.
Ceux-là mêmes qui se réclament de la philosophie scientifique (?) font preuve d’un irrationalisme très léger. 😉
à x le 31 août 2020 à 11 h 04
http://www.rationalites-contemporaines.paris-sorbonne.fr/IMG/pdf/petits_dejeuners.pdf
Je voulais simplement rappeler que comme la métaphore, comme le symbole, le mythe « donne à penser ».
—
C’est bien ce que l’on constate ne lisant « Le Roman du monde, légendes philosophiques » (Champs, Flammarion) de Henri Peña-Ruiz, penseur de la laïcité » mais pas seulement & prof en prépa à Fénelon.
Deleuze, bien entendu!
Le marigot c’est un panaris au paradis! 😉
PETIT supplément pour nourrir la « parano »
Jean-Clet Martin coule son essai dans une écriture de pensée et une pensée d’écriture affines aux plurivers qu’il interroge : un dispositif de création allié à la fluidité de la forme et à la variation continue des concepts s’inventant in vivo afin de penser une réalité neuve, encore inchoative. Au travers de l’ensemble de son entreprise philosophique, il appert que créer en philosophie c’est non seulement être à l’affût des événements qui se lèvent, des nouveaux territoires qui se dessinent à tâtons et fracturent le donné mais aussi produire un angle d’approche inédit qui fasse parler le lever de dimensions insoupçonnées jusqu’alors. Le philosophe est alors ce mutant qui tient sa pensée à hauteur des paradoxes qu’il rencontre.
Véronique Bergen. (texte précédemment publié dans le blog Strass de la philosophie )
http://laviemanifeste.com/archives/4505
Une analyse de l’essai de Frédéric Nef que l’on peut trouver chez Folio/gallimard :
http://palimpsestes.fr/metaphysique/textes/def_meta.pdf
Le philosophe est alors ce mutant
Ciel, une tortue Ninja!
Il nous faut des images à même le réel, des images capables de nous montrer le réel, la présence du réel même dans la virtualité de l’image.
C’est seulement par le biais des ces images que nous retrouverons le monde, le réel du monde. C’est par ces images que nous serons à même de voir l’invu du monde, ce qui reste encore à voir et à faire dans ce monde réel et matériel que l’image nous montre.
Il nous faut un matérialisme extatique. Un imaginaire matérialiste capable de faire sortir la matière, le réel de la matière de son coté immobile, de tout réalisme.
Nous voulons sortir du matérialisme économico-scientifique. Nous voulons une extase de la matière, nous voulons voir la matière se révolter de son immobilité.
Nous voulons un imaginaire visionnaire. De nouvelles visions de l’impossible. Nous voulons de l’invu.
Et tout ça ne se passe pas ailleurs, c’est une extase ici et maintenant, sans aucune transcendance.
Ici dans cette image, dans cette matière mourante et vivante en même temps.
Nous sommes cette matière, nous sommes l’image de cette extase. Nous sommes les figures invues d’un matérialisme extatique.
Ouvrons nos yeux, laissons y entrer l’invu.
Le monde est là, tout à voir, tout à penser, tout à transformer.
Federico Ferrari
Pour un matérialisme extatique.
17 Oct
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Photographies de Nathalie Blanchard / Texte de Federico Ferrari
https://laviemanifeste.com/archives/4525
Un doctorat en philosophie des sciences .
Peuchère, la cagole va encore nous faire rire.
André Pieyre De Mandiargues
« Troisième Belvedère » Gallimard 1971.
Audiberti est bien portraituré, plusieurs éssais lui sont dédiés, tous admiratifs. Prosateur et poète,il dit à la page 254:
« Qu’importe, d’ailleurs, la métrique, quand il s’agit d’un homme au génie si énormemément cordial qu’il est comme une pierre de touche et que nous pouvons juger de la qualité de tous ses lecteurs et spectateurs à la mesure de l’émotion que son oeuvre leur inspire et de l’amitié qu’ils lui gardent. »
Le plaisir d’admirer est trop souvent absent de la critique, je veux bien que celà soit « un travail sur un travail », mais on trouve du plaisir à voir du pays.
Ou alors on s’enferme chez-soi.
Stendhal, là on donne dans la béatitude, il a dicté la
« Chartreuse de Parme »,en 55 jours, car il se souvenait, quelque part dans sa mémoire il l’avait déjà écrite. J’aime Dominique et tous ses avatars.
Déteste la Viscontini Dembowski, aime la Pietragrua.
Sublime catin, mais sublime.
une date pour ne pas perdre le nord:
Il sera possible d’admirer ce tabouret recyclé dès le 9 septembre à Lille Métropole 2020, Capitale Mondiale du Design ! Cet objet figurera aux côtés d’autres initiatives originales et durables dans l’espace d’exposition gratuit « Maison POC Économie Circulaire » à Roubaix.
Mais d’abord, c’est quoi un « POC » ? Pour le savoir, c’est ici.
En tout, 5 Maisons POC exposeront des projets innovants en matière d’habitat, de mobilité, d’urbanisme ou de démocratie participative. Et ceci n’est qu’une partie du programme !
et j’ai aussi appris un mot:
En effet, une fois la bière brassée, on obtient ce que l’on appelle les drêches, les restes des grains de céréales. Ces tonnes de drêches sont en partie réutilisées par les éleveurs, qui les transforment en nourriture pour bétail,
Ce blog devient de plus en plus un asile de fous en général et des folles en particulier.
Côté femmes, on est vraiment gâtés. Ça va de la folie pure et dure (et alli, B.), à l’autisme profond (Rose) en passant par la perversité masochiste de Mme Lèchecul-Pètesec ou les poussées de delirium tremens de la Blatte du Blog.
Toutes ont une chose en commun que je ne nommerai pas mais que tous les mecs du blog devinent aisément.
il y a « la nouvelle alliance » connue:
La Nouvelle Alliance d’I. Prigogine et I. Stengers (1979) : mise …journals.openedition.org › rhsh
3 déc. 2018 – En 1979, le physicien Ilya Prigogine et la philosophe Isabelle Stengers publient La Nouvelle Alliance. Métamorphose de la science. Il s’agit là .
et une autre alliance
Et, gros avantage, le sucre obtenu lors du brassage est un très bon liant naturel… donc pas besoin d’utiliser beaucoup de colle. Voilà comment l’association entre bois et drêches recyclées crée un tabouret prêt à l’emploi.
La démarche est à la fois écologique et design : Grossel propose littéralement aux clients des bars de s’asseoir sur les restes de la bière qu’ils consomment. La boucle est bouclée !
Moi je ne suis pas fou, Pablo.
Toutes ont une chose en commun que je ne nommerai pas mais que tous les mecs du blog devinent aisément.
de vous emmerder peut-être parce que nous avons à qui parler et qu’on se fout de votre parano
Puisque la sous- merde franquiste réfugiée à Paris, tient à genrer les intervenants, moi je cherche un Homme. Ah faut connaitre ses classiques !
Et c’est pas ici qu’il y en a.
@ Bloom-Bloom, le mythomane complexé et deleuzien
« La question de la sexualité, c’est : avec quoi d’autre entre-t-elle en voisinage pour former telle ou telle eccéité [sic], tels rapports de
mouvement et de repos ? »
Gilles Deleuze
« Les trois erreurs sur le désir s’appellent le manque, la loi et le signifiant. C’est une seule et même erreur, idéalisme qui forme une pieuse
conception de l’inconscient. Et l’on a beau interpréter ces notions dans les termes d’une combinatoire qui fait du manque une place vide, et
non plus une privation, de la loi une règle de jeu, et non plus un commandement, du signifiant un distributeur, et non plus un sens, on ne
peut pas les empêcher de traîner derrière elles leur cortège théologique, insuffisance d’être, culpabilité, signification. »
Gilles Deleuze. Capitalisme et schizophrénie
Et surtout, celle-là que P.Assouline devrait mettre comme épigraphe de son blog:
« C’est la même chose pour le livre et le monde : le livre n’est pas image du monde, suivant une croyance enracinée. Il fait rhizome avec le
monde, il y a évolution aparallèle du livre et du monde, le livre assure la déterritorialisation du monde, mais le monde opère une
reterritorialisation du livre, qui se déterritorialise à son tour en lui-même dans le monde (s’il en est capable et s’il le peut). »
Gilles Deleuze. Capitalisme et Schizophrénie, tome 2 : Mille Plateaux
Et dire qu’il y a des Crétins de Naissance qui utilisent des textes comme ceux-là pour obtenir des orgasmes…
Et d’ailleurs pour le prouver je vais manger ce midi de la tête de veau sauce ravigote tant qu’il y a des veaux car de très nombreuses abductions de beaux ont lieu en ce moment un peu partout dans le monde par l’une des 23 races extraterrestres qui nous visitent, celle qui a fabriqué le coronavirus et est en train d’installer la 5G.
un motif sérieux d’exclusion du blog :produire des diagnostiques sur des contributeurs trices,sans pouvoir attester d’un diplôme de « psy »
Les citations sans les espaces, j’espère:
« La question de la sexualité, c’est : avec quoi d’autre entre-t-elle en voisinage pour former telle ou telle eccéité [sic], tels rapports de mouvement et de repos ? »
Gilles Deleuze
« Les trois erreurs sur le désir s’appellent le manque, la loi et le signifiant. C’est une seule et même erreur, idéalisme qui forme une pieus conception de l’inconscient. Et l’on a beau interpréter ces notions dans les termes d’une combinatoire qui fait du manque une place vide, et non plus une privation, de la loi une règle de jeu, et non plus un commandement, du signifiant un distributeur, et non plus un sens, on ne peut pas les empêcher de traîner derrière elles leur cortège théologique, insuffisance d’être, culpabilité, signification. »
Gilles Deleuze. Capitalisme et schizophrénie
« C’est la même chose pour le livre et le monde : le livre n’est pas image du monde, suivant une croyance enracinée. Il fait rhizome avec le monde, il y a évolution aparallèle du livre et du monde, le livre assure la déterritorialisation du monde, mais le monde opère une reterritorialisation du livre, qui se déterritorialise à son tour en lui-même dans le monde (s’il en est capable et s’il le peut). »
Gilles Deleuze. Capitalisme et Schizophrénie, tome 2 : Mille Plateaux
Et voici par qui ils oeuvrent. Le même vélo que celui d’ET. J’ai toutes les preuves.
www.http://i1.wp.com/pbs.twimg.com/media/EgMkRtSXgAAe_ni.jpg?w=696&ssl=1
A partir de maintenant je vous préviens, seuls les diplomés psy ayant au moins 60 ans d’expérience auront le droit de commenter sur ce blog psy. Les autres seront sans délai et surtout déférés au parquet.
@L »assasseure
Toi, l’homme, Barbara:
C’est bien que Marie la Chiasse se reconnaisse quand on parle de la Blatte de Blog alcoolique. Elle admet, donc, l’exactitude de la dénomination.
Je suis fier d’avoir visé juste.
Pablo :Toutes ont une chose en commun.
Plutôt une non-chose en commun… (c’est pas du Deleuze).
Hurkhurkhurk!
Non je ne me reconnais pas dans les ordures que profère cette sous- merde franquiste, qui lui, est parfaitement reconnaissable.
Retourne au pucier, avec tes pièces jaunes.
3e volet de l’abécédaire de Deleuze, sous-titré en anglais (pensée qui s’exporte, assez rare pour être souligné)
https://www.youtube.com/watch?v=D9s4ub2tjLA
Et l’autre anus mundi qui n’en finit pas de se faire dessus et de saloper les pages du blogapassou…quel branleur de Kouyachien!
Moi je ne suis pas fou, Pablo.
D. dit:
Non (à part ton hétéronymie pathologique) mais tu t’alimentes très mal…
« la sous- merde franquiste réfugiée à Paris »
Il y a une confusion manifeste dans cette assertion. Les Espagnols qui ont été contraints à l’exil ce sont les anti franquistes. Les Franquistes, eux, étaient au pouvoir en Espagne et n’avaient besoin de se réfugier nulle part.
Tant qu’à manier l’insulte encore faut-il être cohérent, MS !
Vanina dit: à
André Pieyre De Mandiargues
« Troisième Belvedère » Gallimard 1971.
Magnifique recueil Vanina!
mais dans mon edition originale il y ait spécifié « qu’il s’agit un poète et d’un homme »,’p.254..)
Tous les textes de critiques littéraires( c’est bien plus que cela!)sont exceptionnels, que des ppites!
On rappelle à ceux qui effarés, découvrent le mode de communication sur internet, de l’espingouin , la madame soleil du blogapassou, qu’il est sous surveillance pour prosélytisme sectaire, il deale pour un mouvement new-age.
Plutôt une non-chose en commun…
Chaloux dit:
La présence d’une non-chose dont l’absence est trop présente…
il y est spécifié, sorry!
Tant qu’à manier l’insulte encore faut-il être cohérent, MS !
Jazzi dit:
Tu demandes de la cohérence à une vielle folle, alcoolique qui plus est? Autant demander à Mme Lèchecul-Pètesec qu’elle ne se pâme pas devant la dernière merde littéraire qui vient de sortir et dont personne saura dans un an qu’elle a existé.
Tu es vraiment naïf…
@Pablo. monstrueusement présente…
@Jazzi. Je trouve que tu t’améliores. Bravo.
@ Bloom-Bloom, le mythomane complexé et deleuzien, futur docteur en philosophie des sciences et grand promeneur dans les marigots des mots creux qui séparent les pré-socratiques et les posthumanistes
Et si tu nous expliquais comment, pour Deleuze, la sexualité forme l’eccéité?
Ou le mécanisme grâce auquel « le livre assure la déterritorialisation du monde, mais le monde opère une reterritorialisation du livre, qui se déterritorialise à son tour en lui-même dans le monde »?
Non jazzey, les propos de l’espingouin sur ce blog ne permettent de le considérer comme un fugitif du régime, bien au contraire !
Moi ce que je relève, c’est que la sexualisation de ce blog est opérée par des homos, reconnus et assumés et d’autres qui n’ ont pas encore fait leur coming out officiel.
Cette provocation sexiste de l’ huissier véreux, qui en d’autres occasions porte les cabas de bobonne, et de la sous-merde franquiste chargé des tâches ménagères par la sienne, qui mène sa vie ailleurs, est la manifestation d’une homosexualité refoulée.
Ce ne sont pas leurs mamours musicaux qu’ils s’envoient, qui vont démentir cette réalité à laquelle ils ne sont pas encore prêts.
Mais ca sert aussi a ça un blog de psys, dire à ceux qui ne s’en doutent pas, ce qui leur arrive, mieux qu’ils ne sauraient le faure, en musique.
Bon app’
Je suis resté candide avec Voltaire, fataliste avec Diderot et j’aime toujours à me promener avec Rousseau.
Parfois je m’analyse avec Proust, m’exclame avec Céline, sue sang et eau avec Flaubert, m’en laisse toujours conter avec Maupassant.
J’aime toujours autant banqueter avec Socrate, fabuler avec La Fontaine, rire avec Molière, me souvenir avec Perec…
Et sur les femmes de ce blog, MS, quel est votre diagnostic ?
sujet de dissertation du jour :
« Pablo75 dit: Le Pétomane est vraiment un obsédé de l’Argent. Derrière cette obsession se cache la clé de sa personnalité, ou plutôt de son manque de personnalité : la Jalousie.
Tout ce qu’il écrit pue la Jalousie.
La Jalousie inapaisable du Raté.
La Jalousie inguérissable du Mégalomane Raté.
Le jour de son enterrement, dans la chambre funéraire, en faisant un dernier effort surhumain grâce à son si puissant sentiment de Jalousie, il se lèvera de son cercueil pour voir s’il n’y a pas à côté un cercueil plus beau que le sien, avant de tomber définitivement mort, d’une intoxication généralisée de Rivalité Mimétique. »
La philosophie des sciences est-ce différent des sciences de la philosophie, Bloom ?
…lundi 31 aout 2020 à 12 h 54 min.
…
…l’opinion au » chaud – froid »,;..
…avec un attirail d’instruments et de mesures, à se forger instantanément, à toutes confrontations face aux occasions et disciplines diverses,…
…
…comme l’opinion d’un satellite sur Mars,…
…
…trop de pression atmosphérique pour y vivre,…autant s’y posé, comme avec une micro-planète-hermétique, avec des robots à énergie infinie,…
…observatoire, pourquoi faire,…
…de l’intranquillité à tours de bras,…
…
Aucun, je ne bosse qu’avec des mecs, ou presque.
En revanche, j’ai a plusieurs reprises regretté de ne pas trouver dans l’offre éditoriale actuelle – francaise- des romans de femmes.
Pas des cas pathologiques, ni militantisme sexiste, si vous voyez ce que je veux dire…
Non?
Eh bien, c’est normal, pour l’instant il n’y en a pas !
C’est intéressant de pouvoir accéder, grâce à notre Blatte de Blog Alcoolique, à la vision de monde des blattes, à leur logique délirante, à leurs raisonnements primitifs et automatisés. Je viens d’apprendre, par exemple, que pour les blattes, l’homosexualité est l’insulte suprême. Si elle était humaine, notre Blatte de Blog pourrait avoir des problèmes avec la loi, si des militants anti-homophobie lisaient ses propos. Mais sa condition de blatte, et qui plus est alcoolique, la sauve.
MS, avez-vous déjà eu l’occasion de lire Anne-Sophie Subilia (Neiges intérieures et Parti voir les bêtes) ?
« Laurence Parisot indéboulonnable.
Pour la 7ème année consécutive la femme d’affaire est la personnalité préférée des Français. »
J’ai appris que Laurence Parisot, longtemps en couple avec Arlette Chabot, était vice présidente de la fondation Brigitte Bardot.
Comment est-elle passée de la condition patronale à la condition animale ?
C’est quand même étrange, si on réfléchit un peu, que toutes les femmes non-baisées ou mal-baisées pensent la même chose et disent les mêmes phrases sur les hommes.
Il suffit de les taquiner un peu pour qu’elles expriment le fond de leur pensée sur ce thème, qui est un fond très primitif, très biologique.
La sous- merde franquiste réfugiée à Paris, pense que tout ce qu’il ne capte pas est écrit par des alcooliques,comme lui et l’huissier qui se torchent la gueule méchant ?
Non, c’est beaucoup plus simple que ça. L’intelligence a déserté ce blog, depuis belle lurette.
Et je me demande si j’ai encore une excuse pour perdre mon temps a répondre à des vieux sinistres qui se sont mis à la marge de l’humanité.
Au prochain billet, Passou, celui-ci, je n’ai rien de plus à ajouter, si ce n’est que vivement que Melle Roudinesco lâche la rampe !
moi, je nr cherche pas je trouve
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/b1/Jean-L%C3%A9on_G%C3%A9r%C3%B4me_-_Diogenes_-_Walters_37131.jpg/260px-Jean-L%C3%A9on_G%C3%A9r%C3%B4me_-_Diogenes_-_Walters_37131.jpg
sciences de la philosophie
—
Quésaco, Baroz?
La philo des sciences, c’est l’épistémologie, qui participe d’une vaste théorie de la connaissance.
A la limite, l’herméneutique pourrait correspondre à une approche raisonnée de la théorie philosophique, mais de « science de la philo » il n’est pas.
L’épistémé foucaldienne est un concept qui permet de rendre compte du passage d’un régime de connaissance et de normes à un autre. Les derniers développements scientifiques liés à l’IA sont effectivement en train de nous faire basculer d’une épistémé dans une autre. Saut dans l’inconnu, sauf pour les fans de SF, oeuf corse.
autre mot connu du même:
« Ôte-toi de mon soleil » – (réplique cinglante à Alexandre le Grand, roi de Macédoine, qui était aimablement venu le voir et qui lui demandait s’il avait besoin de quelque chose, s’il pouvait l’aider en quoi que ce soit… – Oui, ôte-toi de mon soleil, répliqua Diogène.
« Laurence Parisot indéboulonnable.
Pour la 7ème année consécutive la femme d’affaire est la personnalité préférée des Français. »
Jazzi dit:
Tu es vraiment très naïf. Tu ne sais pas que de 1985 à 2016 elle a dirigé des instituts de sondages (Louis-Harris. IFOP)? Quoi de plus normal qu’ils trafiquent un sondage de plus pour s’auto-proclammer les gens que les Français préfèrent?
(Je me demande, d’ailleurs, combien de français connaissent Parisot. 10 %? 20 %? Et encore, connaître n’est pas avoir une opinion sur elle).
L’intelligence a déserté ce blog, depuis belle lurette.
Marie Sasseur dit:
Où la Blatte de Blog avoue naïvement qu’elle est conne, puisqu’elle est présente ici tous les jours.
Et bien que ce soit probablement moins votre genre, il y a quand même Hélène Lenoir qui est tout à fait remarquable et qui a construit une vraie œuvre. Analyse impitoyable des mécanismes au sein des familles, y compris le rapport à l’argent et la dépendance (Le Magot de Momm). Je crois que mon préféré demeure Le Répit, dont le narrateur est un homme, mais Pièce rapportée ou Son nom d’avant ou La folie Silaz sont plus connus.
(Évidemment, si on se déclare une fois pour toutes allergique aux éditions de Minuit et que l’on ne veut surtout pas risquer de changer d’avis, ou si l’on est habitué à du pré-mâché …)
« De la philosophie des sciences à la philosophie de l’esprit
Daniel Andler
Université de Paris-Sorbonne (Paris IV)
La philosophie des sciences était, pour les philosophes analytiques formés au cours
du quart de siècle 1950-1975, la discipline centrale, ou peut-être faudrait-il dire la disciplinevedette. Dans la période suivante, c’est la philosophie de l’esprit qui a occupé cette place.
Parmi les philosophes formés au cours de la première période, nombreux sont ceux dont la
thèse et les premiers travaux se situaient en philosophie des sciences et qui sont aujourd’hui
actifs soit en philosophie de l’esprit, soit en philosophie morale (autre branche de la
philosophie analytique en plein développement, et qui commence d’ailleurs à se rapprocher
de la philosophie de l’esprit). Dans les générations suivantes, c’est en philosophie de l’esprit
que se situent le plus grand nombre de thèses et de publications.
L’objet du présent exposé est de décrire cette évolution et d’en proposer quelques
explications possibles. N’étant ni un historien ni un connaisseur encyclopédique de la
philosophie analytique, je ne prétends pas à la précision ou à l’exhaustivité ; ma seule
ambition est de donner au lecteur non spécialiste une idée de cet aspect de l’évolution de la
philosophie analytique, sans chercher à le situer au sein d’une histoire générale de la
discipline.
Outre son intérêt propre, le déplacement du centre de gravité de la philosophie
analytique invite à réfléchir à un aspect qui n’est pas toujours mis en avant dans les
présentations élémentaires. Il est devenu clair qu’on ne peut se contenter de dire de la
philosophie analytique qu’elle s’intéresse aux problèmes plutôt qu’aux auteurs ; ou qu’elle »
bonne journée
http://andler.dec.ens.fr/pdf/104.pdf
Brinqueballe, la déconstruction n’est qu’une étape, qui permet de mettre les choses à plat avant de les réorganiser. A ce titre, en relation avec la métaphysique (‘où tu peux’…!)dans « La Pharmacie » de Platon, le basiléo-patro-hélio-théologique vous dit-il quelque chose?
BàV
« r. Le débat, qui
s’est étendu sur une trentaine d’années autour du passage du siècle, était en réalité
complexe, et le psychologisme revêtait des formes toujours plus subtiles que chaque
philosophe débusquait derrière l’antipsychologisme à ses yeux déficient du collègue1
. Mais
nous n’entrerons pas ici dans les détails de la discussion, même s’ils sont parfois instructifs
pour les développements plus récents dont il va être question. Rappelons simplement que
Frege et les partisans de l’antipsychologisme ont eu recours à une pluralité d’arguments,
dont les trois qui sont le plus pertinents pour la suite sont ceux-ci. D’abord, la logique est
normative : elle dit le droit, en matière de pensée rationnelle, de raisonnement ou de
poursuite de la vérité, alors que la psychologie est descriptive, disant la manière, bonne ou
mauvaise, dont il se trouve que les gens pensent, raisonnent, poursuivent la vérité. Ensuite,
la logique est objective, ses prescriptions ne se rapportant à aucun sujet particulier, mais
valant pour tout sujet, alors que la psychologie est subjective, en ce que son domaine est par
définition la pensée, ou le flux mental, de sujets singuliers. Enfin, les états mentaux des
individus sont flous et fluctuants, et ne peuvent donc fournir une base solide à une science,
c’est-à-dire un corpus de lois bien définies et permanentes. Un quatrième argument, relatif à
la méthode de la psychologie scientifique de l’époque, était que seule l’introspection donnait
accès aux états mentaux impliqués dans le raisonnement, et qu’elle était notoirement peu
fiable.
Pourquoi était-il si important, aux yeux de Frege, de doter la logique d’un statut »
lien donné
la manifestation d’une homosexualité refoulée.
Ce ne sont pas leurs mamours musicaux qu’ils s’envoient, qui vont démentir cette réalité à laquelle ils ne sont pas encore prêts.
Très très drôle. Suis plié en quatre. Merci.
x serait-il un éditeur du marigot ?
et alii découvre Diogène dont j’ai parlé ici, à l’occasion de mon introduction au « Goût de la paresse » :
« On se souvient que Diogène, ancêtre de la longue lignée des vagabonds célestes, vivait de mendicité, dormant dans une jarre renversée à l’entrée d’un temple. Et, qu’intrigué par ce singulier personnage, Alexandre le Grand en personne vint lui demander s’il avait besoin d’aide.
« Ote-toi de mon soleil ! », lui fut-il répondu par le philosophe. »
allergique aux éditions de Minuit
—
Bien au contraire, éditeur MAJUSCULE.
Je terminai hier soir « Eparses. Voyage dans les papiers du ghetto de Varsovie » de Georges Didi-Hubermann, qui n’est pas qu’un solide théoricien de l’art.
et alii ne lit pas jazzi et ne s’en porte pas plus mal;c’est en cours supplémentaire de latin à la première heure que j’ai appris, sans l’oublier comme A.Finkelk
le suave mari
bonne journée
Chaloux et Pablo75 revus par Marie Sasseur !
https://www.bing.com/videos/search?q=jean+yanne&docid=608004555570285259&mid=AA6F76763D408BBB05A5AA6F76763D408BBB05A5&view=detail&FORM=VIRE
SUAVE, MARI MAGNO TURBANTIBUS AEQUORA VENTIS, E TERRA MAGNUM ALTERIUS SPECTARE LABOREM. (LUCRÈCE)
pour le commentaire voir le lien de Christiane
André Pieyre De Mandiargues. « Troisième Belvedère » Gallimard 1971.
Audiberti est bien portraituré, plusieurs essais lui sont dédiés, tous admiratifs.
Vanina dit:
Merci pour le tuyau. J’ai 2 ou 3 Belvedères. Mais où?
« J’ai travaillé une semaine pour décrire un arbre au début d’un poème: J’ai fini par trouver:
ce miramolin de mésanges
miramolin est un mot à étages, et aéré, quoique, évidemment, précieux. »
(J.Audiberti. Lettre de 1936 à Paulhan).
Miramolin.- Titulature par laquelle les historiens occidentaux du Moyen Âge désignaient particulièrement le calife de Bagdad, et qui, plus généralement, a servi à désigner tous les souverains musulmans.
et alii dit : merci christiane du lien de DE FONTENAY
De rien, Et alii, pour une fois… D’habitude c’est vous qui nous en offrez, et passionnants.
x dit à christiane : « je n’ai que l’édition Adelphi en v.o., que je n’ai pas voulu gâcher par une traduction maison « à peu près ». Mais si vous le retrouvez, auriez-vous l’obligeance de bien vouloir recopier sa traduction ? »
J’ai déjà trouvé la deuxième – pp.54/55/56 (« Du conte » dans « La flûte et le tapis ») :
A propos des contes de Madame d’Aulnoy.
« Vers les racines ténébreuses et vers les cieux : les deux directions dans lesquelles la vie se cherche, délicieux scandale, ne sont jamais apparues plus complémentaires que dans le conte. […]
Cette épreuve médiane du conte, entre épreuves et libération, est par excellence un univers de miroirs. Comme dans un ancien bal de cour, le bien et le mal y échangent leurs masques.[…]
Sur chaque conte – sur chaque vie- pèse l’énigme insondable et première : le destin, l’élection, la faute. […]
La maturité est d’ailleurs cet instant imprévisible, fulgurant et définitif qu’aucun homme n’atteindra avant l’heure, quand bien même tous les messagers du ciel descendraient lui prêter main-forte. Ainsi voit-on surgir dans le conte un long cortège d’apparitions, dont le verbe éloquent reste sans effet : le renard, la colombe, la vieille au fagot de brindilles. Ne prononcent-ils pas, l’un après l’autre, une sentence analogue, ne serinent-ils pas un unique avertissement ? Comment ne pas apercevoir, sous le pelage roux, les plumes ou les haillons, l’éclair bleu de l’habit d’une Moire ?
Cependant, la maturité ne relève pas de la persuasion, et moins encore de la fulguration intellectuelle. Son avènement est inopiné, biologique voudrais-je dire : c’est un point que doivent toucher ensemble tous nos sens, afin que la vérité se fasse nature. […]
Les enfants néanmoins ont des facilités mystérieuses, de présage et de correspondance. A six ans, il est possible de lire des contes une journée entière, mais pourquoi cet attrait tenace, ébloui, pour certaines images qui seront plus tard reconnues : emblèmes récurrents, véritables blasons d’une vie ? Effroi et beauté. […]
« Fable obscure et nèfle dure,
Longueur de temps les rendra mûres. »*
* cette citation vient d’un conte de Luigi Capuana.
Je cherche maintenant la première.
Côté femmes, on est vraiment gâtés. Ça va de la folie pure et dure (et alli, B.),
Ah l’orgueil du mâle blessé, pris la main dans le sac de l’opinion débile. Je ne vous permets pas, vous avez toujours eu un côté assertif definitif, certes on ne peut vous ôter cette plus value culturelle que votre courage et votre intelligence ont apporté à votre personnalité, cela ne fait pas de moi une folle. Continuez donc avec ces beaux esprits féminins et masculins qui vous apprécient et que vous recherchez de façon totalement désintéressée. Je ne suis pas contrairement à d’autres querelleuses(eurs) ou encore procédurières(riers), haineuses, jalouses, pestes, dans la surenchère . Votre argument ne tient pas et je ne vous laisserai pas plus qu’un autre m’affubler d’une folie dont je ne suis pas atteinte. Merci Pablo pour votre effort et acceptez tout de même que vos pendules soient de temps en temps remises à l’heure.
Jacques, 4, 1-17
D’où viennent les luttes, et d’ou viennent les querelles parmi vous ? N’est-ce pas de vos passions qui combattent dans vos membres ?
Vous convoitez, et vous ne possédez pas ; vous êtes meurtriers et envieux, et vous ne pouvez pas obtenir ; vous avez des querelles et des luttes, et vous ne possédez pas, parce que vous ne demandez pas.
Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions.
Adultères que vous êtes ! ne savez-vous pas que l’amour du monde est inimitié contre Dieu ? Celui donc qui veut être ami du monde se rend ennemi de Dieu.
Croyez-vous que l’Écriture parle en vain ? C’est avec jalousie que Dieu chérit l’esprit qu’il a fait habiter en nous.
Il accorde, au contraire, une grâce plus excellente ; c’est pourquoi l’Écriture dit : Dieu résiste aux l’orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles.
Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous.
Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs ; purifiez vos coeurs, hommes irrésolus.
Sentez votre misère ; soyez dans le deuil et dans les larmes ; que votre rire se change en deuil, et votre joie en tristesse.
Humiliez-vous devant le Seigneur, et il vous élèvera.
Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d’un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, mais tu en es juge.
Un seul est législateur et juge, c’est celui qui peut sauver et perdre ; mais toi, qui es-tu, qui juges le prochain ?
A vous maintenant, qui dites : Aujourd’hui ou demain nous irons dans telle ville, nous y passerons une année, nous trafiquerons, et nous gagnerons !
Vous qui ne savez pas ce qui arrivera demain ! car, qu’est-ce votre vie ? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît.
Vous devriez dire, au contraire : Si Dieu le veut, nous vivrons, et nous ferons ceci ou cela.
Mais maintenant vous vous glorifiez dans vos pensées orgueilleuses. C’est chose mauvaise que de se glorifier de la sorte.
Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché.
Comment avez-vous connu, si jeune, Pablo75, B ?
sujet de dissertation de la semaine :
des limites de la connerie ou :
« Pablo75 dit: C’est quand même étrange, si on réfléchit un peu, que toutes les femmes non-baisées ou mal-baisées pensent la même chose et disent les mêmes phrases sur les hommes. »
…lundi 31 aout à 14 h 27 min.
…
…beaucoup de questions qui sont posées » ici « , se trouvent des réponses,…dans le simple livre de Regine Pernoud ,… » Couleurs du Moyen Age » ; Image du Monde,…
…Editions Clairefontaine Genève-Paris 1987
…
…comme dirait l’autre,…tout est bon, dans le cochon,…avec ou sans trop, d’atmosphères sur Mars,!…
…rien à voir, à rire tout seul,!…
…
Rose, une femme rude?! Comme on est, on voit les autres? A ce jeu, il serait possible de me retourner tous les reproches adressés à qui vous savez. Je suis une femme qui n’éprouve aucune envie de se laisser chapitrer par des hommes qui n’ont pas apporté grandes preuves de leur humanité, de leur intégrité, de leur santé psychique traduites dans la vie. Dissertez, il n’en sortira que de l’esbrouffe. Penser, dire, faire, agir, convaincre. Ceux là et d’autres ne m’ont pas convaincue. Désolée d’être aussi « primitive ». Je d’ambitionne pas l’avoir toujours été, je reconnais toutefois mes fautes, ce qui est loin d’être le cas de ces belles âmes exposant au salon du livre.
c’est bon:eh bien c’est moi qui vais dire une bêtise:
lorsque je regarde ma première photo, je pense aux mains-pain de Picasso!
http://arts-collections.paris/740-thickbox_default/tirage-les-pains-de-picasso.jpg
http://arts-collections.paris/fr/arts/62-tirage-les-pains-de-picasso.html
la première
N’ambitionne. Mes excuses.
Sasseur : d’accord avec vous sur ce coup !
Pablo75 incarne à lui toute la connerie de notre époque.
D’autant plus visible sur blog consacré à la littérature.
Où il tente de disqualifier la parole des autres en convoquant la folie, la morale, la politique, leur sexualité, leur « réussite » ou « échec » etc…
D’un autre autre côté si Pablo75 incarne à lui seul cette connerie ambiante actuelle carburant à wiki et youtube, en même temps il est aussi le reflet de la littérature actuelle qu’il voudrait aussi aseptisée que les articles de passou ou de Paul Edel.
Il est beau notre champion du Beau et du Vrai !
c’est pas possible:on me censure une photo que j’aime de Robert Doisneau ;mais je vais fulminer!
x,
« J’avais prélevé ma citation dans la partie «Conte et mystère», «Parc aux cerfs», 2.
(Le paragraphe commence par «Les enfants ont des organes mystérieux»). Il suit immédiatement un développement sur la technique (dans laquelle l’homme est emprisonné comme un insecte dans l’ambre.) »
PP.191/192/193
« Mais depuis longtemps l’homme semble muré dans sa technique comme un insecte dans l’ambre. Les chemins vers l’eau et le feu – et même vers la terre et l’air – lui sont désormais tous interdits. Des remparts se dressent autour de son jardin où rien de nouveau ne peut croître – « si le vol d’un oiseau n’y laisse tomber une semence ».
Les enfants ont des facultés mystérieuses, de présage et de correspondance. A six ans je passais ma journée entière à lire des contes, mais pourquoi retournais-je toujours, fascinée, à certaines images que plus tard j’aurais reconnues, comme si elles étaient pour moi des emblèmes récurrents, des devises ? […]
Une histoire que je retrouve à chaque détour de la vie, prête à être lue sur de nouveaux plans, à être ouverte par de nouvelles clés.
Ainsi, en poésie, l’image préexiste à l’idée que l’on y sertira. Il arrive qu’elle poursuive un poète des années durant. Il s’agit presque toujours d’une image issue de la prime enfance. elle attend avec patience que la révélation la comble. Chez Proust, ce mystère de l’image inondée tout à coup par des torrents de sens et qui ensuite revient sans cesse, comme si elle était vue depuis les tourments de plus en plus escarpés d’une montagne, est l’essence même de la poésie. […]
La maturité, c’est découvrir et démêler sans relâche dans le monde, qui de toute part nous presse et nous sollicite (même et surtout le monde de la beauté), cela seulement qui est nôtre depuis les origines, « donc par destination ».
Au début de ce texte plusieurs pages extraordinaires consacrées à Proust puis Cristina Campo revient aux contes de Madame d’Aulnoy et encore une fois sur la fête des jeunes fées à l’équinoxe du printemps dans la clairière de Brocéliande et à leur ronde qu’elle nomme d’un mot populaire : le Branle des fées.
C’est intéressant que dans ce livre (Les impardonnables – L’Arpenteur) plusieurs écrits soient rassemblés, datant de diverses périodes, s’éclairant mutuellement. Ces apparentes répétitions permettent de mieux cerner la pensée de Cristina Campo. C’est le cas pour ces deux textes.
Merci, je ne m’en étais pas aperçue.
@Et alii
Sur « suave mari magno » donnez toute la citation sinon vous nous livrez une profession de foi masochiste ,
la suite (de mémoire) :non que la souffrance d’autrui nous agrée mais elle permet de prendre la mesure des maux dont on est exempt
Mais la traduction que je prefere est celle homophone de Benabou
« Sue avec Marie ma guenon , et cors a turbans ,gibus
dans mon post precedent:
NON, pas « Masochiste », « Sadique » évidemment
et alii dit: « SUAVE, MARI MAGNO TURBANTIBUS AEQUORA VENTIS, E TERRA MAGNUM ALTERIUS SPECTARE LABOREM. » (LUCRÈCE)
Vous avez beaucoup d’humour, Et Alii ! (Lucrèce aussi !)
« Suave, mari magno turbantibus aequora ventis,
e terra magnum alterius spectare laborem;
non quia vexari quemquamst jucunda voluptas,
sed quibus ipse malis careas quia cernere suavest.
Suave etiam belli certamina magna tueri 5
per campos instructa tua sine parte pericli;
sed nihil dulcius est bene quam munita tenere
edita doctrina sapientum templa serena,
despicere unde queas alios passimque videre
errare atque viam palantes quaerere vitae, 10
certare ingenio, contendere nobilitate,
noctes atque dies niti praestante labore
ad summas emergere opes rerumque potiri
miseras hominum mentes, o pectora caeca!
qualibus in tenebris vitae quantisque periclis 15
degitur hoc aevi quodcumquest! nonne videre
nil aliud sibi naturam latrare, nisi utqui
corpore sejunctus dolor absit, mensque fruatur
jucundo sensu cura semota metuque? »
« Quand les vents font tourbillonner les plaines de la mer immense, il est doux de regarder de la terre ferme le grand effort d’autrui; non parce que le tourment de quelqu’un est un plaisir agréable mais parce qu’il est doux de discerner les maux auxquels on échappe soi-même. Pareillement il est doux d’observer les grands combats d’une guerre, dans leur déploiement ordonné sur les champs de bataille, sans participer au danger; mais rien n’est plus doux que d’occuper les hauteurs bien protégées par le savoir des sages, temples tranquilles d’où l’on peut plonger ses regards vers les autres, les voir errer de-ci de-là, chercher le chemin d’une vie hasardeuse, rivaliser de talent, lutter pour leur rang, s’efforcer nuit et jour, en une énergie exceptionnelle, d’atteindre les sommets de l’opulence et du pouvoir. Ô misérables pensées, ô cœurs aveugles des hommes ! Cette petite génération-ci, dans quelles ténèbres et quels grands dangers de vie ce passe cette existence qui est la nôtre ?… «
Et plus si vous le désirez :
http://fleche.org/lutece/progterm/lucrece/lucrece_chant_2_1.html
Quelle photo de Doisneau, et alii ?
Pas le baiser de l’hôtel de ville !
Pablo75 dit: C’est quand même étrange, si on réfléchit un peu, que toutes les femmes non-baisées ou mal-baisées pensent la même chose et disent les mêmes phrases sur les hommes. »
Qui sinon vous seraient responsables de ce pitoyable commerce amoureux et ou sexuel. Cela dit, mon opinion n’est pas rattachée à cet aspect de la vie. Nous évoluons tous et toutes sur d’autres plans qu’horizontaux , le vertical étant plus rare.
on sait bien que je ne viens pas faire ici des confidences:sauf celle-ci:j’avais un très bon prof de latin;sa fille était dans notre classe, nullement privilégiée;et l’hiver, mère et fille ne portaient pas de chaussettes dans leurs chaussures (ni bas);ça me faisait froid;
je crois qu’elles étaient de la famille de DUHAMEL,mais je n’en ai pas su plus
Picasso
http://arts-collections.paris/740-thickbox_default/tirage-les-pains-de-picasso.jpg
@Pablo
Trouvez vous elegant de dresser une liste de mal baisées parmi les femmes de ce blog
Ne pas y figurer (pourquoi ?) ne m’incite pas pour autant a ne pas relever la vulgarité du propos, faussement implicite dans son caractere injurieux
que penseriez vous d’un post sous la signature d’une femme vous traitant d’impuissant sur la base de vos écrits?
on a juste perdu la clé d’un petit cadenas;ilfaut scier le cadenas :zut et zut!
« Quand les vents font tourbillonner les plaines de la mer immense, il est doux de regarder de la terre ferme le grand effort d’autrui; non parce que le tourment de quelqu’un est un plaisir agréable mais parce qu’il est doux de discerner les maux auxquels on échappe soi-même. Pareillement il est doux d’observer les grands combats d’une guerre, dans leur déploiement ordonné sur les champs de bataille, sans participer au danger; mais rien n’est plus doux que d’occuper les hauteurs bien protégées par le savoir des sages, temples tranquilles d’où l’on peut plonger ses regards vers les autres, les voir errer de-ci de-là, chercher le chemin d’une vie hasardeuse, rivaliser de talent, lutter pour leur rang, s’efforcer nuit et jour, en une énergie exceptionnelle, d’atteindre les sommets de l’opulence et du pouvoir. Ô misérables pensées, ô cœurs aveugles des hommes ! Cette petite génération-ci, dans quelles ténèbres et quels grands dangers de vie se passe cette existence qui est la nôtre ?… »
Tout était dit et bien dit, en effet !
A part que je ne trouve pas particulièrement « doux d’observer les grands combats d’une guerre, dans leur déploiement ordonné sur les champs de bataille, sans participer au danger » !
Mais il est vrai que je regarde comment va le monde à la télé…
il faut qu’on trouve un syndrome rare à Pablo et on le mettra dans le livre des records :comme on disait quand j’étais enfant, « ça commence à bien faire! »
que penseriez vous d’un post sous la signature d’une femme vous traitant d’impuissant sur la base de vos écrits?
😉 🙂 😉
En voilà un qui a fabriqué une verge pour se faire battre! 😉
( Je sors.)
@ B
Arrête de me lire et oublie-moi, et tout ira bien. Moi je te mets dans la liste de commentateurs à ne plus lire.
Tiens, le Pétomane qui ne parle pas de fric, qui ne jalouse pas les affaires ou les voitures des autres. Étonnant.
Par contre il radote toujours à fond : toujours les mêmes phrases, toujours les mêmes idées de coco raté à la retraite.
J’aime bien cette photo de Robert Doisneau, et alii, mais ne le dites surtout pas à Marie Sasseur !
https://i.pinimg.com/736x/00/5d/61/005d617e69aa66c179a1b8f87ed2ced0–le-pigeon-boy-bathroom.jpg
c’est un pigeon ou une tourterelle sur la tête du gamin?
Sasseur : d’accord avec vous sur ce coup !
hamlet dit:
Le Pétomane fait allégeance publiquement à sa Dominatrice. Et pour qu’on comprenne bien de quoi il s’agit il parle de « coup ». Qu’est-ce qu’il ne ferait pas pour contenter sa « Gladiatrice qui fait peur aux lions quand elle rentre dans l’arène » !!
Je donnerai la moitié de ma bibliothèque et un quart de ma discothèque pour voir une séance SM de ces deux complices secrets de ce blog.
Elle déguisée en gladiatrice avec une cravache et un fouet dans les mains et lui à quatre pattes déguisé en lion apeuré, cul nu !!!
Une colombe blanche, semble-t-il ?
Chez Doisneau les photos sont souvent rien moins que spontanées…
Trouvez vous élégant de dresser une liste de mal baisées parmi les femmes de ce blog
DHH dit:
Ah, je ne savais pas qu’on était ici dans un défilé de mode sous la pyramide du Louvre…
« que penseriez vous d’un post sous la signature d’une femme vous traitant d’impuissant sur la base de vos écrits? »
Si elle était belle, je ne penserai rien, je ferais une chose involontaire que seuls les hommes peuvent faire, en l’imaginant me le dire nue…
@ B
Arrête de me lire et oublie-moi, et tout ira bien. Moi je te mets dans la liste de commentateurs à ne plus lire.
Parfait, cessez de m’attribuer des qualités dont je ne suis pas dépositaire. Les amis des gens que je n’aime pas et pour des raisons fondées ne sont de toutes façons pas mes amis. Ce qui ne signifie pas que d’autres ici le soient compte tenu de leur hypocrisie et de leur malhonnêteté pourtant comme vous ce sont des personnalités cultivées, quel beau vêtement que la culture pour sauver les apparences et auréoler les apparitions de lumières de façon à garder ouverte certaines receptions.
@Je donnerai la moitié de ma bibliothèque et un quart de ma discothèque pour voir une séance SM de ces deux complices secrets de ce blog.
Et pas ton abonnement à youporn , ou ta collec de vidéos bdsm ?
en l’imaginant me le dire nue…
Si quelqu’un peut m’expliquer le sens de cette phrase.
Les belles ( et tais toi?) ont même le droit de l’insulter et après cela il faudrait lui trouver de l’esprit.
« Je donnerai la moitié de ma bibliothèque et un quart de ma discothèque pour voir une séance SM de ces deux complices secrets de ce blog. »
Tant que ça, Pablo75 !
Fais gaffe, le voyeurisme à tout crin n’est-il pas t signe d’impuissance ?
Tout dans les yeux, rien dans le pantalon…
Ca y est, le taureau vieillissant nous dit qu’il bande encore. Excusez ce léger différé.
Je vois bien l’ huissier déguisée en femme( comme Toledo, qui prisait ce genre de déguisement, comme il l’indique) et se mettre nue devant son complice, sur un fond musical de leur choix.lol.
Ouvertes, mes excuses
Passou a dit par le passé que des unions s’étaient formées sur son blog.
On a en mémoire un ou deux couples mythiques… qui hélas se sont terminés par des veuvages.
Une union gay, serait une première, et Passou, certainement très honoré.
ça fantasme sec à l’occasion de ce 153e anniversaire de la mort de Charles Baudelaire !
« Une union gay »
rose et cricri ont l’intention de se pacser, MS !
mon pauvre Pablo, vous ne voyez même pas que les propos que vous tenez sur les femmes, sur les autres en général, cette vision manichéenne du monde proche du zéro absolu… tout cela disqualifie totalement tout ce que vous pouvez dire sur les livres ou sur la musique, parce que cela démontre cette connerie abyssale en vous !
comment dire d’une femme « vous êtes une mal baisée » et ensuite venir tartiner sur la beauté de la musique ! la musique, la littérature etc.. ne font rien d’autres que nous parler des failles, des fêlures humaines ! elles nous apprennent, sinon à aimer ces fêlures, tout au moins y porter un regard amical.
Vous voyez le monde en terme de winners et de loosers comme l’économiste ultra libéral le plus débile, le problème mon pauvre ami c’est que Beethoven aussi était un mal baisé ! et si il nous a écrit toutes ces pièces c’est justeement parce qu’il était mal baisé : du coup vous comprenez bien qu’on ne peut pas aimer Beethoven et mépriser les « mal baisés » !
vous êtes probablement le type le plus con qu’il m’ait été donné de croiser sur ce blog, et même dans la vie ! et Dieu sait si des cons j’en ai croisés !
Et pas ton abonnement à youporn , ou ta collec de vidéos bdsm ?
Marie Sasseur dit: à
Tiens la Blatte de Blog nous racontant ses pratiques sexuelles de Gladiatrice séparée de son Pétomane et qui doit s’astiquer les antennes toute seule…
Certes, hamlet, mais avoue que pour la connerie tu n’es pas en reste toi non plus !
jazzey, comme vous connaissez hors blog l’une et l’autre, j’imagine que votre information est de première main, on ne vous demandera pas ce que vous faites de l’autre.
J’ai l’impression que j’ai touché une corde sensible chez la sous-merde franquiste. Il m’est arrivé déjà une fois ou deux de faire avouer des trucs, sur ce blog.
Jazzy, bien sûr ! nous sommes tous cons à notre manière, mais pas la même ! ma connerie ne me pousse à traiter une femme de mal baisée.
par contre la tienne de connerie ressemble un peu à celle de Pablo.
Je te sens sonné, Pétomane. Trop de coups à la suite n’est pas bon pour la marmelade de neurones que tu as à la place du cerveau. Va dormir la sieste et après fait un tout sur le blog de Bilger pour prêcher l’entente entre les peuples et la lutte contre les injustices du monde.
J’appartiens à la famille des manchots, MS !
http://fjephotographer.co.uk/photogalw/images/src18Humboldt%20Penguin.jpg
Ça y est, la Blatte de Blog est saoule à nouveau… Elle vomit toute sa frustration de Vieille Blatte Vierge qui n’a vu le loup que depuis qu’elle a internet.
quand Pablo pas savoir quoi répondre lui se mettre toujours en pilote automatique.
putain de néo franquiste à la con !
Pablo sérieux d’où vous vient cette haine pour ceux qui prêchent l’entente entre les peuples et la lutte contre les injustices du monde ?
d’où ça vient ?
c’est quoi votre problème ?
Le matraquage intensif est l’un des procédés utilisés par les sectes.
La sous-merde franquiste a choisi de le faire dans un registre qui lui est familier.
Je constate simplement.
Penguin Books est une maison d’édition britannique fondée en 1936 à Londres par Allen Lane et V. K. Krishna Menon (en). Le succès auprès du public de leurs livres de poches bon marché fut important, montrant ainsi que les livres sérieux pouvaient toucher une large audience. Ils ont également eu un impact notable sur le débat public en Grande-Bretagne au travers de publications ayant pour sujet la politique, l’art, et la science.
Penguin Books est une division de Penguin Group, lui-même propriété du groupe Pearson.
de POCHE§
Ça y est, j’ai réveillé le Pétomane. Il lui restent encore des lambeaux de léninisme dans son cerveau en compote.
Va dormir la sieste, pépé, sinon tu vas finir par te faire péter une artère aujourd’hui…
LE VRAI PENGUIN
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/thumb/2/2a/Penguin_books.svg/200px-Penguin_books.svg.png
Pablo, c’est ça, tout le monde ici connait bien votre façon de vous défiler devant les questions qui dérangent.
Au prochain billet, Passou, celui-ci, je n’ai rien de plus à ajouter, si ce n’est que vivement que Melle Roudinesco lâche la rampe !
Marie Sasseur dit:
Tiens, la Blatte de Blog Alcoolique a un alzheimer en plus..
. La couverture et le premier logo ont été dessinés après observation d’après nature de manchots au zoo de Londres par Edward Preston Young (en), alors jeune employé de bureau de 21 ans1, puis seront repris par Jan Tschichold (1902-1974). Le design a été une des raisons de leur succès. Refusant les illustrations tape-à-l’œil de leurs concurrents, ils choisirent de diviser la page en trois bandes horizontales ; celle du milieu restant blanche et mentionnant le titre de l’ouvrage et l’auteur, les deux autres étant d’une couleur spécifique en fonction de la collection, et montrant le logo de Penguin Books. Les couleurs utilisées étaient l’orange pour la fiction en général, le vert pour les romans policiers, le rose pour les romans de voyages et d’aventure, le bleu foncé pour les biographies, le rouge pour les drames, et le jaune pour le reste ; quelques rares ouvrages violets concernaient les essais et belles-lettres, et les gris les affaires mondiales. A. Lane refusa pendant plusieurs années l’impression d’images en couvertures, bien que Jan Tschichold le convainquît plus tard2.
Pablo, vou traitez les femmes de « mal baisées », vous affichez publiquement votre pour ceux qui prêchent l’entente entre les peuples et la lutte contre les injustices du monde.
et quand on vous demande pourquoi vous n’osez jamais donner les raisons.
avouez qu’après il est difficile de prendre au sérieux ce que vous écrivez et ce que vous êtes.
C’est la fête à Pablo. Qu’est-ce qu’il a fait pour mériter ça ? Il est gentil, Pablo, pourtant.
ON ne dit plus Melle
Ah c’est marrant j’avais lu « mal biaisées ».
Je lis trop vite.
ça fait longtemps que alcoolisme et alzheimer ne marchent plus sur les erdéliens
pabligaud a eu des absences!
…en effet. Surtout quand on a pas de diplôme de psi.
Pablo, c’est ça, tout le monde ici connait bien votre façon de vous défiler devant les questions qui dérangent.
hamlet dit: à
Tu as raison, Pétomane : tout le monde me connaît ici pour la peur que j’ai de toi.
Ça me rappelle el chiste du puceron qui est en train d’enculer un éléphant et qui, entendant celui-ci barrir, lui demande: – Je te fais mal?
J’avais détaillé dans un ancien post les pratiques utilisées par la sous- merde franquiste, dans son mode de communication.
Outre le matraquage intensif, dans des registres qui lui sont familiers, ici: alcoolisme, relations sexuelles sadomasochistes, ponctuées de pauses » musicales », il y avait aussi le passage en boucle de commentaires anciens d’intervenants qu’il a stockés dans sa machine.
Un cas typique d’embrigadé, qui a mon avis a fait plus d’un stage dans des structures sectaires. Et je pense que sous couvert de ses activités d’astrologie, il a du abuser de plus d’une personne, a des fins qui restent déterminer.
Je pense qu’il était nécessaire de prendre un peu de temps, pour mettre cela en évidence.
Pablo ! reconnaissez que vos réponses et vos histoires de puceron et d’éléphants c’est le niveau maternelle.
assumez plutôt ce que vous écrivez !
dites-nous plutôt d’où provient votre haine des femmes ? et votre amour des injustices sociales ?
C’est la fête à Pablo. Qu’est-ce qu’il a fait pour mériter ça ? Il est gentil, Pablo, pourtant.
D. dit: à
Mais j’adore ça !! Quel plaisir voir comment ils deviennent dingues de rage des blattes de blog, des pétomanes, des mythomanes complexés et deleuziens ou des folles diverses et variées,
Quel bonheur gifler en public des Crétins !! Cela me venge de tous les crétins que j’ai dû supporter dans la vie…
Sasseur c’est comment le nom de la secte à Pablo ?
le club Marjolaine ? c’est ça ?
Une Blatte de Blog, avec un cerveau de blatte, une mémoire de blatte, une lucidité de blatte, une sagacité de blatte, une perspicacité de blatte et un discernement de blatte…essayant de raisonner, de déduire, d’analyser et de conclure !!!
Décidément on aura tout vu dans ce blog.
Dans son dernier Twit Passou nous renseigne sur le nègre d’Edouard Dupont Moretti !
« Et je pense que sous couvert de ses activités d’astrologie, il a du abuser de plus d’une personne »
Moi il m’a fait mon thème astral, gratuitement, MS !
Et voilà comment réagit un couple SM quand on dévoile en public leurs jeux érotiques ridicules de gladiatrice à fouet et de lion à cul nu…
Quelqu’un les avait déjà vu si complices qu’aujourd’hui?
La preuve définitive que le Pétomane et la Blatte se voient et pratiquent en dehors de ce blog.
« La preuve définitive que le Pétomane et la Blatte se voient et pratiquent en dehors de ce blog. »
Non je ne cause pas de jazzey, qui se croit au centre de toutes les interventions ici.
Le fait de matraquer en boucle, soit des insultes, dans un registre bien particulier, soit des anciens messages sortis de leur contexte, démontre une pratique utilisée dans des structures sectaires. Je le répète: la sous-merde franquiste a fait partie d’une secte.
Il a donné ici ses lectures de prédilection, je peux vous assurer que Ron Hubbard, pas mort.
Et je pense que sous couvert de ses activités d’astrologie, il a du abuser de plus d’une personne, a des fins qui restent déterminer.
Marie Sasseur dit:
Sois plus prudente, Martine. N’oublie pas que je connais ton nom et que porter plainte maintenant est très facile sur internet, en ajoutant une copie d’écran.
J’ajoute que ce besoin compulsif d’entasser tout un bric a brac , ici des livres qu’il ne lira jamais, des CD de toutes les couleurs, est déjà assez symptomatique d’ une personnalité déséquilibrée.
Des menaces, maintenant.
Non, mon coco, ici ce genre de fuite en avant est le petit jeu de prédilection des salopards, comme l’huissier, qui après avoir harcelé tant et plus, s’étonnent que la machine réponde
Il doit maintenant faire un peu de menache, sortir le chien, donner à bouffer au chat, bobonne va rentrer, et là je ne donne pas cher de sa soirée.
Ah bobonne est- encore- de sortie ce soir ?
de l’air
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et le rouge
https://bookriot.com/wp-content/uploads/2013/04/Biblioburro.jpg.optimal.jpg
Je viens de suivre le lien vers Elisabeth de Fontenay/ Paul Veyne, celui qui a été donné par Christiane. Beau moment, alors même que je ne suis pas fan de « répliques » dont le patron ne s’arrange pas avec les années, mais bon( reste tout de même qu’il adore les vaches, point commun avec moi; jamais vu d’aussi rassurant que le regard ourlé de ces grandes bêtes chaudes).Par contre, Paul Veyne était un type d’historien extraordinaire. je l’ai rencontré plusieurs fois à l’occasion de colloques, il était étonnant, affable et fin, d’un autre siècle. Erudit et disponible, magnifique.
J’ai déjà dit tout le bien que je pense d’Elisabeth de Fontenay, sans illusion sur les hommes, et si juste selon moi dans son rapport aux bêtes.
Fais gaffe, le voyeurisme à tout crin n’est-il pas t signe d’impuissance ?
Tout dans les yeux, rien dans le pantalon…
Bien au contraire Jazzi, le voyeurisme est pratiquement toujours un exhibitionnisme rentré.
N’importe quel psychiatre te le confirmera.
On revient icite avec plein de nouvelles mondanités.
1 – Simon et Pierre Nora ?
Fin du Débat. Mon abonnement prit fin au numéro 50. J’avais compris à l’époque qu’il n’était déjà plus dans l’ère du temps. Pierre Nora mit plus de temps à saborder sa revue, la plupart des étudiants ne seraient plus abonnés, et dans les bibli, il y avait belle Lulu qu’ils ne lisaient plus non plus les Temps modernes. D’ailleurs pourquoi mettre sur le même pied ces deux revues ? Une coquetterie à l’égard du trio maudit ?
Bétourné O. et Elisabeth R. J’apprends sur la copule…, & j’en tire nécessairement quelque chose sur le présent billet. De pas bien reluisant sur l’élément masculin du couple. Ai toujours préféré Nadeau et Corti, etc. Ce Bétourné a moins découvert qu’Hubert Nyssen. Irions point lire ses Mémoires, à la différence de ce qu’on a fait avec les précédents. Bien plus enrichissants.
Arlette et Laurence, deux patronnes fortes ?
De quoi ? Tu m’étonnes… avec toutes ces rumeurs de sarkozy…
https://www.lci.fr/france/linvitee-darlette-chabot-laurence-parisot-1265415.html
Lang-Lang va sortir une « Variation G » dix fois plus lente que celle de Gould Glenn. Un exploit insensé, parait-il. La Chine aux premières loges de la compréhension intime de notre JSB, de quoi foudroyer toutes nos certitudes protoccidentales.
« Bon, je sors » … une formule que beaucoup reprennent de CT, en oubliant que « bon, je rentre » était celle de sergio. Retrouvé le message de son frère Yves C. Merci pour votre aide.
Demain c la « rentrée » pour huit cent mille enseignants au moins. Combien de concernés sur la RDL, voilà ce qu’on se demande. Moi, non, c’est fini. Pas de rentrée, que de la sortie. Je l’ai bien méritée, après tout.
Tenez le coup les filles du blog à Passoule. A la fin, c’est vous qui gagnerez. Votre culture, votre générosité, vos dissemblances, votre résilience, vos nuances, etc. En face…, le naufrage absolu. Aucune chance de guéridon. Des damnés condamnés.
Bonjour à v.toutes, 31.8_17.08.
Bien au contraire Jazzi, le voyeurisme est pratiquement toujours un exhibitionnisme rentré.
Tu veux dire que regardant par le trou de la serrure cela incite à sortir le petit oiseau pour prendre la photo, HP?
Hilarante la Blatte de Blog essayant de faire de la psychanalyse de comptoir de bar-tabac de bled paumé au cul du monde, pour dissimuler sa jalousie de Grosse Conne qui paye 20 euros pour des livres de merde qui finissent à la poubelle une fois lus la nuit pour lutter contre son insomnie de femme définitivement seule.
Un autre signe qui ne trompe jamais et qu’on voit chez toutes les femmes seules et frustrées, qui ont un mal fou à dissimuler leur jalousie des femmes mariées, est l’utilisation du mot « bobone ». C’est la preuve définitive qu’on est devant une jamais-baisée jalouse. Et comme par hasard, la Blatte l’utilise constamment…
et maintenant le scrabble:on ne peut plus jouer
Plusieurs insultes, telles que « salope », « ritale » ou « enculé », figurent toujours dans le dictionnaire papier de l’ODS : « On ne peut quand même pas éditer une version allégée du dictionnaire dont on aurait banni tous ces termes. D’ailleurs, où fixer la limite entre ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas ? », interroge Florian Lévy :
« Le lexique est à l’image de la vie : le meilleur y côtoie souvent le pire. Nos dictionnaires de référence se contentent d’observer l’évolution de la langue et d’enregistrer ce qu’il se dit. On a parfaitement le droit de déplorer la présence de tels mots dans le lexique, on a encore plus le droit de ne pas les utiliser dans son propre discours, mais on ne peut pas en nier l’existence. » le monde
Gigi : c’est vous qui gagnerez. Votre culture, votre générosité, vos dissemblances, votre résilience, vos nuances, etc. En face…, le naufrage absolu. Aucune chance de guéridon. Des damnés condamnés.
Les prophéties de Gigi la visqueuse, pauvre homme dont le cerveau coule par le nez.
Hurkhurkhurk!
La sous-merde franquiste préfère en rire maintenant.
Sauver la face, par tous les moyens, sinon il plonge.
Tout s’explique chez celui qui a fait partie d’une secte.
C’est par le langage qu’il survivent.
Avec l’alcoolisme, qui doit être un trauma chez lui, des relations sexuelles uniquement sado-maso ou imposees, le fait de penser blatte, je n’ose pas imaginer le taudis dans lequel il se vautre, au milieu de tous ces amoncellements de déchets à 1 euro.
Il a avoué ici que sa femme avait des déplacements fréquents. On pense en plus, que cette sous merde franquiste est tout simplement cocu.
Pablo75 dit: Quel bonheur gifler en public des Crétins !! Cela me venge de tous les crétins que j’ai dû supporter dans la vie…
»
voilà Pablo, c’est bien ! on avance !
quel lien entre votre haine des femmes et ces crétins que vous avez eu à supporter dans votre vie ?
vous comprenez bien que traiter les femmes de « mal baisées » c’est une expression antiféministe, voire raciste, cela inclus toutes les femmes, même votre mère, votre épouse et votre fille.
et s’il y a une personne contre qui on pourrait porter plainte ici c’est bien vous !
alors qui étaient donc ces crétins ou ces crétines ?
« traiter les femmes de « mal baisées » c’est une expression antiféministe, voire raciste, cela inclus toutes les femmes »
j’ajouterais qu’il n’y a que des imbéciles comme Jazzi qui nous bassine avec sa mère pour ne pas s’en apercevoir.
c’est vrai qu’il sait tellement bien lire notre Jazzi..
…le guéridon de JJJ était là pour meubler son discours. Sans aucune présence
d’esprit au final.
ah oui, on m’a dit que je vous avais beaucoup manqué ces derniers temps. Je suis bien désolé de n’avoir point pu satisfaire à vos manques. Je crois que votre ami a fait office, néanmoins. Heureusement, il existe encore de vraies amitiés masculines, solidaires par vents forts, essayant de prévenir les naufrages à venir des michel et étienne en bateau (plutôt qu’à cheval sur mon bidet). Etc.
traiter une femme de « mal baisée » c’est non seulement une insulte anti féministe, mais c’est une insulte ringarde, d’un autre temps, du bon vieux temps du franquisme !
pas vrai Pablo ?
La Blatte de Blog est un animal très primitif, dont la seule défense est de reprocher à ceux qui l’attaquent exactement la même chose qu’on lui reproche à elle. N’ayant pas de cerveau, elle ne peut que répondre ce qu’elle a entendu.
Cela s’appelle le Mimétisme du Cancrelat.
toutes mes affirmations sont étayées et tout simplement vérifiables par les nombreux « commentaires » que cette sous-merde franquiste a laissé sur ce blog.
Que ça serve de leçon .
Next.
Pétomane, parle nous du Ferrari de ton voisin. Tu n’es drôle que quand tu nous montres involontairement ta jalousie infinie de raté définitif.
Et pour la leçon de grammaire, j’y pense moi: qu’il a laissés
ah oui, vous avez apprécié le guéridon volontaire à la place de la guérison… Merci. On peut toujours compter sur vous, D.
Vous illustrez à merveille la théorie du « piège du singe » que vous trouverez dan le polar de Jo Nesbo, « la soif » (Gallim., série noire, 2017)… Seriez un fieffé Hallstein Smith lors de sa soutenance du thèse sur la réalité du vampirisme, D. Je vous verrais bien aux prises avec Harry Hole. Mais à la fin, sachez qu’il perd. Il y a toujours une Morâle pour qui prend le train en marche.
Bàv. Bon apprétit… Un peu de sang humain frais sur une salade de roquette à la mozzarella, ça vous dirait, ce soir ? Hum.
Marie la Chiasse, raconte-nous la vie sexuelle d’une Blatte de Blog. Qu’on s’amuse un peu.
la réédition émondée..
Plaisante activité qui confine au ratissage. Sur le même sujet, Léautaud dans son Journal écrit bien pire et mieux que Renaud Camus dans le sien. Publié en 56, M. Betourné avait cinq ans et le Mercure de France pas encore dans le giron de Gallimard n’émondait que les noms des personnes vivantes. Qu’apprend-on sur Green qu’on ne sache déjà depuis la publication de ses aventures fessières ?
J’en ai terminé avec la sous-merde franquiste.
PENSEES D’ALAIN
C’est par croire que les hommes sont esclaves. Réfléchir, c’est nier ce que l’on croit. (Alain, 1924)
Qui se contente de sa pensée ne pense plus rien. (Alain, 1924)
Pensez, c’est dire non. Remarquez que le signe du oui est d’un homme qui s’endort. (Alain, 1924)
Il n’est pas d’assassin qui n’invoque la nécessité. (Alain, 1924)
Le juste fait justice de tout. (Alain, 1923)
Aucun objet n’est Dieu. (Alain, 1923)
Je plains les esprits orphelins qui n’ont pas su accepter quelques prédécesseurs. (Alain, 1923)
J’en suis à encore à ne pas pouvoir lire un auteur si j’aperçois des notes au bas des pages ; cela pue.
(Alain, 1923)
Ce n’est pas en apprenant l’astronomie qu’un moine devient cardinal. (Alain, 1923)
Alain cite Stendhal : « Les fourmis nous perçoivent comme nous percevons le cyclone ou le tremble ment de terre. »
Alain cite Auguste Comte : « Les morts gouvernent les vivants. »
Le fanatisme est aussi ancien que la danse. (Alain, 1923)
Je me refuse à haïr tout un peuple. (Alain, 1914)
Les partis sont des Eglises. (Alain, 1911)
J’étais destiné à devenir journaliste et à relever l’entrefilet au niveau de la métaphysique .(Alain, 1936)
Nous vivons d’admirer. (Alain, 1922)
(Depuis Spinoza) on sait que le plus bas degré de la connaissance est la connaissance par ouï-dire.
(Parlant de la guerre 1914-1918) Des millions de cadavres sont un objet philosophique. (Alain)
P.-S . En 2020, je pense que l’on pourrait dire la même chose des millions de cadavres de la guerre de 39-45.
Les religions anciennes sont les fatalistes. (Alain, 1914)
Si je pardonne à mon ennemi , je n’ai plus d’ennemi. (Alain, 1921)
Tout homme pensant s’appuie sur une foi invincible ; c’est son réduit et son donjon. (Alain)
Blatte, raconte-nous la dernière fois que tu as vu le loup. C’était il y a 70 ans, au cinéma, pendant la projection du « Petit chaperon rouge » de Walt Disney?
sous-franquiste
tout ça rappelle un des premiers films d’Almodovar, La loin du désir. Un scénariste à succès et vapeur découvre que sa soeur était un frère qui couchait volontiers avec leur père, avant de se faire opérer au Maroc (le frère devenu soeur, pas le père). Film présenté comme une réaction au franquisme, gratification abusive il me semble. Les vrais réactionnaires au franquisme étaient les réalisateurs La Loma et Iglesia dont les films ne passent jamais en France. les connaissez-vous, Pablo ?
Gigi, tu vas bientôt prophétiser à sec. Quand te retire-t-on les fils?
Les vrais réactionnaires au franquisme étaient les réalisateurs La Loma et Iglesia dont les films ne passent jamais en France. les connaissez-vous, Pablo ?
Phil dit:
Tu parles de José Antonio de la Loma et Álex de la Iglesia? Si c’est le cas, je ne les connais que de nom.
Quant aux « vrais réactionnaires au franquisme », cela veut dire quoi?
Patrice Charoulet, n’y a-t-il pas quelque contradiction de votre part à nous citer
« Je me refuse à haïr tout un peuple. » (Alain, 1914)
après avoir fait figurer dans la liste de vos bêtes noires un
« Je n’aime pas l’Iran » (P. Charoulet) ?
À moins que la relecture d’Alain ne vous ait depuis incité à nuancer votre propos ?
Tiens, la Blatte et le Pétomane ont abandonné le navire… ensemble?
Décidément ils sont le Couple de l’Année du Blog. Désormais cela va être difficile de les imaginer séparés.
oui Pablo, ces deux réalisateurs dont les films relèvent plus de la réaction au franquisme que ceux d’Almodovar. réaction au cinéma, ni plus ni moins.
Je ne quitte pas ce blog.
Le sujet du billet , l’arriere-cuisine éditoriale vue par un vieux qui la quitte ? a toujours quelque chose d’un peu pathétique.
Peut-etre voir ce que cette maison propose pour la rentrée, a part Don Camillo.
@ PC, « Il faut défendre EDM contre ce qui pourrait le détourner du meilleur de lui-même : redonner, dans la Justice, sa place au peuple et s’inspirer d’un humanisme qui ne serait pas mou ni complaisant à l’égard des délinquants et des criminels ».
… comme dirait le parigot du maginot à P.C.,
next – tox – fly
@ Phil, je crois que c’était la loi du désir.
Emile Chartier avait beaucoup de pensées conglomérées. On attend un piot pourri de celles de Patrice. Je commence la série :
« En 2020, je pense que l’on pourrait dire la même chose des millions de cadavres de la guerre de 39-45. Mais en 2021, je penserai sûrement différemment. Je ne confondrai plus les deux guerres ».
@ Phil Defert, je crois que c’était « la loi du désir », mais je peux me tromper.
Que disait la critique de mon Télérama à propos de ce film ? c’est que je m’en souvins pu. Une saine réaction au franquisme ?
NB /L’Affligen blonde monte à 5,6° d’alcohol, et la Gruimbergen blonde à 6,8°. Ça fait beaucoup pour se désaltérer, je pense. Pas d’infos de la RDL sur le dernier Mc Cann ? Bloom, peut-être ? merci.
Eh bien, ce sera pour l’année prochaine, alors.
Il a salué Gilbert Garcin. Un lien avec Jérôme, peut-être, une sorte de renvoi ascensionnel ? Merci.
http://www.gilbert-garcin.com/
En outre, on apprend le décès de Kiraz que l’on voyait jadis dans les Paris-Match de chez nos dentistes.
oui JJJ, la loi du désir, bien sûr. 1987, un peu tardif comme réaction, d’autres réalisateurs ont devancé Almodovar, mais pas distribués en France.
Jibé,
juste avant le lien Élisabeth de Fontenay/ Paul Veyne/ Alain Finkielkraut (« Répliques »), il y a un autre commentaire qui est une réponse à Rose (et à vous) sur le livre de Camille de Toledo (page de commentaires précédente).
x,
j’ai trouvé les deux passages dans le livre de Cristina Campo « Les impardonnables ». Les extraits sont dans deux commentaires en bas de cette page.
Janssen J-J,
Phil,
mais où étiez-vous ? Vous avez manqué…
Pablo75 dit: Pétomane, parle nous du Ferrari de ton voisin. Tu n’es drôle que quand tu nous montres involontairement ta jalousie infinie de raté définitif.
»
c’était donc ça ma jalousie ? de ne pas rouler en Ferrari ?
si vous saviez mon pauvre Pablo en quoi je roule…
non, j’évoquais juste les conditions des laboratoires d’analyse médicales privés en France.
un lieu où 2 ou 3 biologistes associés récupèrent assez de pognon pour rouler en Ferrari et une foule d’employés (secrétaires, laborantins etc…) payés au SMIC : ça nous ramène au moyen âge pour décrire un lieu à la pointe de la technique : c’est drôle !
voilà, il s’agit juste d’un fait, d’une réalité.
l’aspect amusant dans ce fait est que la Ferrari est payée par la Sécurité Sociale.
voilà Pablo, pourquoi y voir de la jalousie dans cet aspect drôlatique où un organisme qui se dit en déficit sert à financer des Ferrari.
Pablo, ici c’est un blog littéraire !
Vous qui aimez Cervantes je suis certain que cette histoire l’aurait amusé, alors que vous qui prétendez aimer Cervantes accuser de jalousie la personne qui raconte ce fait amusant !
C’est là où je dis que vous n’êtes pas un type fiable ! tout ce que vous racontez sur ce blog sur votre sensibilité en écoutant un lieder de Schubert c’est tout du flan, parce qu’en vérité vous un type incroyablement lourdingue !
et « lourdingue » c’est un euphémisme.
« la compassion est la plus voluptueuse perversion du masochiste » (l’Eric Chevillard du jour).
C’est bien vrai, ça, Madame : il m’arrive ces jours-ci de plaindre Clopin.
@ Et bien que ce soit probablement moins votre genre, il y a quand même Hélène Lenoir qui est tout à fait remarquable et qui a construit une vraie œuvre.
Je ne pense pas avoir declaré de » genre » particulier, si ce n’est: cas pathologiques et militantes sexistes, j’en veux pas.
Quelle façon tordue de présenter H. Lenoir, » si on est allergique à Minuit » etc.
Comme si l’éditeur, parmi les majors, était gage de qualité, alors que ça se vérifie de moins en moins.
Peu importe. Vous n’espérez pas non plus me faire faire une découverte en brandissant Minuit ( ma pauvre Marguerite, si tu savais, les boulets …), alors que bizarrement c’est dans cette collection que des écrivains, hommes, ont dressé les plus beaux portraits de femmes.
Bref, je suis allée voir le profil de H. Lenoir. Une prof qui fait une œuvre, c’est pas ce que je cherche. Je dirais meme : je fuis l’exercice !!!
J’étais parti avec fil en traumatisme depuis quatre jours, mais bon je suis là, de retour, maintenant. Car je ne pouvais plus la revoir, ils nous l’avaient reconfinée. Il a fallu batailler un brin pour les rassurer, leur dire que tout cela était irrationnel, qu’ils ne devaient pas craindre les consignes autoritaires du gouvernement. En partance pour les libations du Liban, ce soir…. Etc
Sur la chaine wiki, ils disent que 98% des visiteurs copieurs-colleurs ne leur ont jamais fait de dons, et ils demandent 2 euros pour leur sauvetage.
Une question préjudicielle @ etalii : combien leur avez vous donnés, en gros ? Merci par avance pour votre réponse, j’espère pas trop dispendieuse. Je suivrai votre mise, à l’aveug’… J’y ai commis 12 articles à titre gracieux, et je ne pensais pas devoir en outre les payer. Mais la solidarité face à la gratuité, c’est souvent payant, rimant avec sonnantet trébuchant, on naît gros-jean, comme ci-devant, hein…
Bàv,
@ il m’arrive ces jours-ci de plaindre Clopin.
Non, il ne faut surtout pas. C’est lui qui va regretter sa faute. Irréparable. Il faut tenir bon avec votre fils et votre liberté retrouvée. Vous résilier. Sans regret. Ecrire votre roman. Ne pas chercher à savoir quels furent les rapports Bétourné/Bourdieu, le scandale de la Misère du monde. Aller de l’avant, direction « vers les icebergs » de Le Clézio.
Bàv,
@il m’arrive ces jours-ci de plaindre Clopin.
Il faudra réfléchir à ça après quand il sera à la rue, et après avoir récupéré et la maison, et les poules, les ânes , et mis le marché sur la table: c’est ça ou je fais en sorte que tes virées au club échangiste ne te permettent plus de passer une porte autrement qu’a plat- ventre.
Enfin, je vous dis ça, je dis rien.
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