de Pierre Assouline

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La République des livres
Pascal Quignard en lambeaux

Pascal Quignard en lambeaux

Il l’avoue sans détour : il cherche une autre façon de penser à la limite du rêve considéré comme « une vue fascinée enfouie au fond de chaque corps », au bout du songe tenu pour la « séquence d’images involontaires projetées sur la paroi interne », à la frontière incertaine de l’hallucination. C’est même écrit explicitement dès la page 19 de L’enfant d’Ingolstadt (268 pages, 20 euros, Grasset) qui vient de paraître :

« Je consacre ce Xème tome à l’ « attrait » de tout ce qui est faux dans l’art et dans le rêve ».

Quelques dizaines de pages plus loin, il précise son projet :

« Je cherche à méditer cette allergie humaine à la scène originaire dès l’instant où elle est représentée »

Ses moyens, ses armes sont inchangés : la recherche de l’origine sexuée, de la racine la plus archaïque des hommes comme de celle des mots, ce qui se manifeste déjà dans le travail sur la langue par la quête de l’étymologie, tel un échappé du Cratyle de Platon. Moins une méthode qu’un esprit, lequel se traduit par une déconstruction sans fin et aboutit naturellement à une forme que Pascal Quignard est des rares en France à avoir portée au plus haut, avec une constance telle que cette forme est devenue la signature de sa voix, de son timbre, de son grain : le fragment. Une autre manière de raconter des histoires. Certaines tiennent en quelques lignes, d’autres en quelques pages. A chacune son rythme, sa couleur, sa nécessité qu’il s’agisse de la formation du premier quatuor à cordes du camp de déportation de Terezin, ou des dons cachés de pianiste de Colette. Ou encore, plus personnellement et comment cela pourrait-il l’être davantage encore, du vécu traumatique, de sa trace mnésique et charnelle, du moment où il faillit cesser de vivre il y a quelques années lorsque le mal à l’œuvre lui fit se « séparer » de son sang à l’hôpital Saint-Antoine ;  alors il se sentit tel Abba Achille, l’un des Pères du désert en ses apophtegmes, refusant de de prononcer une certain mot et constatant que celui-ci s’était alors métamorphosé en sang dans sa bouche.Jean Rustin 1

Beaucoup de morts ressuscitent sous sa plume. Ainsi André du Bouchet « offrant dans un état enfantin d’enchantement » ces deux vers à Paul Celan juste avant que le poète n’enjambe le pont Mirabeau et ne se jette dans la Seine :

« Qui me croit absent, il a tort:/ Je ne le suis point, je suis mort ».

Il en est même de récents tel son ami le peintre Jean Rustin, ce qui nous vaut des pages bouleversantes. Il le visitait dans son atelier de Bagnolet en n’oubliant pas d’y apporter son violoncelle car Rustin était aussi violoniste ; Quignard l’aimait, l’admirait ; la tendresse que cet être rare manifestait dans ses silences le chavirait ; comment un homme comme Quignard, qui tient la lecture silencieuse comme la musique extrême, ne le serait-il pas ? cette émotion sourd discrètement dans son adieu qui fait entendre l’écho assourdi de leurs duos de Bach, Haendel, Mozart, Haydn, Schubert, Beethoven (dommage qu’il ne précise pas lesquels). Outre tout ce que leurs univers et leur sensibilité ont en commun (déjà, un certain retrait de la parole), il n’y rien d’étonnant à ce que l’écrivain souligne en la louant l’obstination du peintre ; car s’il y a bien une chose que les deux artistes partagent, c’est cette inaltérable capacité à creuser le même sillon une vie durant nonobstant les aléas de la réception.

On a tellement l’habitude de découvrir sous sa plume des mots de tous sous une définition déroutante (« Pervers : hommes qui se sont méfiés d’une domestication totale ») que même lorsqu’on rencontre ce qui serait chez n’importe quel autre écrivain une coquille ou une faute d’accord (« … âgé de trente et un an, Rancé… »),on se gratte la tête pour se demander s’il n’y a pas une intention derrière, mais non. Ces éclats ne sont pas tous des éclairs. Mais l’opacité de quelques uns ne gâte pas l’intelligence de l’ensemble. Parfois, on se permet de renvoyer ce grand lecteur à de toutes récentes lectures. Ainsi, lorsque, tout à sa quête passionnée de l’intrus il se demande quand est apparue l’idée qu’un corps devenait cadavre, il risque fort de trouver la réponse dans l’impressionnant Le travail des morts (Gallimard) dans lequel l’historien Thomas Laqueur propose une histoire culturelle des dépouilles mortelles. Qu’importe si le sens parfois nous échappe (notamment dans l’usage détourné du mot russe « pogrome », et même si le dictionnaire lui-même rend les armes s’agissant par exemple de « l’instinct de contrectation »). Qu’importe dès lors que la musique envoûte. La poésie qui s’en dégage nous dédommage du doute. De la poésie jusque dans la rencontre inédite de deux mots qui n’étaient pas faits pour se rencontrer : « un hallucinat d’arbre »,  « Jadir du jadis » (au sens d’une force qui surgit en nous), « un intervalle d’effroi », « des tourets de nez », « l’assuétude de la méditation », « notre langue s’engendre », « sa bouche fut quitte du langage », « la main de gloire »– encore que cette dernière expression soit explicitée comme désignant la tache du sperme tombé au pied d’un homme pendu.

gouvernante-jean-simeon-chardin-102-2166-iphoneDes huit volumes de Petits traités qu’Adrien Maeght publia il y a près de trente ans au cycle du Dernier royaume dont le dixième tome paraît donc ces jours-ci, il y a bien une vision du monde dont l’art poétique était exposé dès 1986 dans Une gêne technique à l’égard des fragments (Fata Morgana), son essai sur La Bruyère, le premier à avoir composé un livre de façon systématiquement fragmentaire avec ses Caractères. Son morcellement n’avait rien à voir avec les maximes (bien que Boileau le surnomma « Maximilien »), arguments, grappes de pensées, portraits lus avant et ailleurs. D’Héraclite à Pascal, on ne saura jamais si la fragmentation de leurs pensées avait été conçue comme une cohérence puisque d’autres qu’eux-mêmes les ont ainsi rassemblées. Ses adversaires crurent heurter La Bruyère en lui reprochant des pièces détachées. Quignard en a retenu l’esprit de lambeaux qui ne s’interdisent pas le contraste au risque du hiatus. Dans cet indispensable traité du fragment, il comptait ses bienfaits au nombre de deux :

« L’un de ces bénéfices n’est que personnel ; l’autre est purement littéraire : le fragment permet de renouveler sans cesse 1) la posture du narrateur, 2) l’éclat bouleversant de l’attaque »

Parfois, on se surprend à chercher dans L’enfant d’Ingolstadt le rapport direct d’un fragment à celui qui lui fait cortège bien que souvent tout s’éclaire plus avant ; s’impose alors la cohérence de ce qui apparaissait comme une succession d’irréconciliables. Et après tout, cela n’épouse-t-il pas au plus près la discontinuité de l’opération de penser ? Autant de pages à traquer le faux du monde derrière lequel se dissimule « tout ce qui tombe au sein du monde humain », pleines de contes, pensées, énigmes, légendes et leçons de ténèbres des temps les plus reculés et des contrées les plus éloignées. Pascal Quignard tire le lecteur vers le haut, lui donne de l’ambition, comble son plaisir du texte, quitte à exiger de lui un effort d’attention supérieur à celui accordé au tout-venant littéraire.

« Qui connaît le visage du premier porteur de son patronyme ? »Jean Rustin (4)

Un Blondin pouvait commencer ainsi son premier roman L’Europe buissonnière « Passé huit heures du soir, les héros de roman ne courent pas les rues dans le quartier des Invalides ». Un Quignard, lui, débute ainsi le chapitre XVIII de son dernier livre : « Rares sont les héros de roman dont on peut contempler la coupe en or au musée du Louvre et dont on a conservé le poignard au musée de Darmstadt ». Mais au fond, malgré tout ce qui les sépare, ne sont-ils pas mus par un même élan et ne disent-ils pas la même chose ? La lecture d’un nouveau livre de Pascal Quignard est toujours aussi envoûtante et vertigineuse, car intacte est l’obsession de l’auteur pour les des deux scènes manquantes à notre vue : la scène primitive à l’origine de la conception qui nous a fait, la scène ultime avec les circonstances de l’effondrement, les deux privées d’image comme de témoin.  Mais paradoxalement, plus il gagne en liberté, en détachement, en distance, le creux de l’oreille plein de sons venus des temps archaïques, plus on se sent inclus dans sa famille de papier, heureux de s’y retrouver à ses côtés dans sa nuit, au plus près de son murmure et de sa quête primitive. D’autant que désormais, si le latin se laisse deviner ici ou là, il nous épargne les passages en grec qui laissaient le non-helléniste sur le carreau.

Le titre L’enfant d’Ingolstadt est tiré d’un des chapitres rapportant l’histoire d’un enfant mort contée par les frères Grimm. D’autres auraient pu tout aussi bien faire l’affaire, mais la couverture en eut été moins douce. Là gît le seul regret en refermant ce livre vibrant car habité : le bandeau qui le ceint. Une oeuvre de Chardin intitulée La gouvernante y est reproduite. Une scène de la vie domestique, gouvernante d’une bonne maison conversant avec l’enfant dont elle a la charge, si apaisée qu’elle nous emplit de sérénité. Mais loin, si loin de l’inquiétude, de l’intranquillité, du désarroi des tableaux de Jean Rustin, le peintre qui ouvre ce volume, court dans l’ombre de ses pages, le clôt, irradie les fascinants lambeaux de ce livre, alors que Chardin en est absent. Il est vrai que d’un point de vue d’éditeur, des carcasses d’humains, des êtres souffrants, des sexes béants et masturbés, des corps incarcérés, des âmes à vif, sont autrement plus dérangeants. Comme l’est l’idée qu’une grâce puisse habiter cette humanité disgraciée. Qui veut voir en couverture, et donc avoir chez soi, ce cri, cet effroi, cette douleur, cette souffrance, cette misère et la solitude qui les réunit tous ? C’est pourtant bien de cela qu’il s’agit et c’est pour cela que tant de ces pages nous hantent encore.

(« Oeuvres de Jean Rustin », « La gouvernante, 1739 » de Jean-Siméon Chardin, Tatton Park, Cheschire, UK ; « Jean Rustin en son atelier » photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 334 Réponses pour Pascal Quignard en lambeaux

Alexia Neuhoff dit: à

« Ça explique une bonne partie de la liberté que la littérature et l’art ont eu sous le franquisme (n’oublions pas que Buñuel a tourné en Espagne « Viridiana » en 1960). » Pablo

Oui, c’est cela. La monstruosité de vos propos et votre révisionnisme s’étalent EN TOUTES LETTRES. Pas (ou si peu) de censure sous Franco, encore moins « impitoyable ». CQFD.

Chaloux dit: à

Ça chauffe, mes enfants, ça chauffe…

@PatV. Je suis tout à fait d’accord pour encaisser votre mépris et votre ressentiment. Je les mérite, cela ne fait pas un pli. Mais je vous assure que c’est un accident dont j’ai moi-même beaucoup de peine à me remettre. Les choses se sont passées exactement comme je les ai racontées. Nous sommes rarement d’accord, il m’arrive de ferrailler contre vous – et vos jugements peuvent être tout aussi blessants que les miens- mais vous êtes certainement quelqu’un de très bien, qu’au fond, par-delà nos désaccords,je respecte. Je vous présente donc publiquement et très sincèrement mes excuses pour cette gaffe incommensurable.

@Paimpopol. Où ai-je évoqué votre vie privée, dont je ne sais strictement rien et qui ne m’intéresse pas? J’ai simplement déduit un petit profil de ce que je lis de vous ici. Analyse de texte, rien de plus. Et ce n’est pas moi qui ai révélé, il y a des années, (parce que je n’en savais rien et que je m’en fo.us comme de Colin Tampon), une possible identité de la dame dont il est question dans votre bouquin romain. Y ai-je jamais fait allusion?

@Pablo. Il y a des gens qui passent leur vie à rêver et qu’on ne réveillera jamais. Sans compter ceux qui brûlent de croiser le fer et qui n’ont pas de fer. Est-ce notre faute?

Je suis de l’avis de Raymond, ce Quignard est non seulement magnifique mais c’est aussi un de ses meilleurs.

Jazzi dit: à

« D’un autre côté, les insultes de gens cachés derrière un pseudo parce qu’incapables d’assumer leurs opinions sont très valorisants. »

Tout à fait, renato, on découvre dans toute sa splendeur et en pleine lumière toute la jalousie et l’impuissance créatrice des insultants…

Chaloux dit: à

Pour ce qui concerne Blabla, c’est évidemment un homme très intelligent. Mais c’est aussi un imposteur.Comment en est-il arrivé là? C’est son affaire et non la nôtre.

Jazzi dit: à

« — j’ai quelques mails de lui — »

Vous tenez des fiches, renato !

Jean Langoncet dit: à

@dans toute sa splendeur et en pleine lumière toute la jalousie

Comme c’est joliment dit ; un raffinement pareille remonte au moins à la Renaissance (italienne ?)

Jazzi dit: à

« beaucoup de culture dans plusieurs domaines, indéniablement. Du moins par rapport à d’autres. »

Et tu lui donnes quelle note, D. ?

renato dit: à

« Vous tenez des fiches, renato ! »

Pas de fiches, Jacques, je conserve ma correspondance.

Jean Langoncet dit: à

@ que désormais les Pablo et Chaloux règnent sur leur « ring ».

Passe ton chemin et tache à ne pas tourner trop rond, centurion

Jean Langoncet dit: à

@@DHH dit: 24 septembre 2018 à 18 h 47 min
Je porte le même jugement sur WGG

Quelqu’un a fini par porter plainte ?

closer dit: à

« Parler du bleu électrique (sic) Klein à propos de Picasso, n’ est-ce pas un anachronisme,  »

Ce n’est pas un anachronisme Pat V, c’est juste un point de comparaison… Picasso période bleue n’a pas connu Klein, mais Klein a connu Picasso… Nous avons le privilège d’avoir accès à toute l’histoire de l’art depuis Lascaux, pourquoi ne pas en profiter pour comparer, rapprocher, opposer?…

poussière dit: à

et pour les anniversaires tout est dans la tête

Pat V dit: à

Mais certainement que Picasso a connu Klein, Closer?
Klein ayant déposé légalement son bleu comme unique et exclusif en son genre, cela ne lui ferait pas plaisir de savoir qu’ on le compare à celui de Picasso… 😉

hamlet dit: à

n’empêche que ce phénomène nouveau sur le blog de passou est très intéressant.

même wgg, qui pourtant ne manquait pas de virulence, n’a jamais considéré ce blog comme un « ring », avec l’idée que ceux qui ont peur de recevoir des coups n’ont pas intérêt à y monter…

l’analogie la plus drôle serait celle du western spaghetti : pablo et chaloux débarquent dans la ville, se pointent au saloon, dégomment tout ce qui bouge pour prendre possession des lieux.

dans le film chaloux serait le faiblard qui se sent soudain fort avec son pote, la brute pablo qui dégaine plus vite que son ombre.

l’analogie la moins drôle est de faire le parallèle entre ce phénomène de brutalisation du blog et la violence qui règne dans notre monde actuel, un monde considéré par beaucoup de petits nazillons fachos comme un ring où celui qui cogne le plus fort devient le maitre des lieux.

je trouve très regrettable de voir que passou laisse cette brutalisation gangréné son blog.

d’autant plus quand voit l’admiration de passou pour Quignard, ce qui me conforte dans l’idée que Quignard c’est tout du flan.

Pat V dit: à

@PatV. Je suis tout à fait d’accord pour encaisser votre mépris et votre ressentiment.

Je n’ éprouve vraiment aucun mépris ni ressentiment Chaloux, je nomme ce à quoi la lecture régulière de vos interventions ici me font penser ( même si j’ approuve souvent certaines de vos critiques sur Wgg, par exemple mais pas votre cruel harcèlement à son égard, c’ est un tendre ce wgg!), c’ est, et je vais me répéter que vous avez l’ esprit cauteleux. Et j’ en mets la définition pour ne pas mettre le feu aux poudre : qui agit d’ une manière hypocrite et habile.
C’ est le cas de votre texte ci-dessus auquel je réponds maintenant.
Vous n’ encaissez rien Chaloux, vous vous contentez de pousser d’ un air satisfait et sardonique vos phrases quelquefois en les concluant par un hurk, hurk, hurk et puis c’ est tout.
Même anonyme, on peut facilement vous reconnaître, pas besoin de fiche de renseignements ni d’ archives copier/coller.
Aucune envie de  » percer  » comme disait l’ autre tantôt.
Anonyme et transparent, vous êtes.
Anonyme et transparent vous resterez.
Franchement, comment pouvez-vous croire que l’ on puisse éprouver quelque sentiment que ce soit vis-à-vis d’ un fantôme?
Pour ma part, je ne crois pas aux fantômes vous ne me dérangerez jamais dans mon sommeil. 😉

closer dit: à

Pas le Picasso de la période bleue Pat V. J’ai pris soin de préciser.

Chaloux dit: à

PatV, je suis bien obligé de respecter votre jugement, qui ne me donne pas beaucoup d’émotion non plus. Reste qu’il faut savoir présenter ses excuses quand c’est nécessaire, ce à quoi, tout cauteleux que je sois, je ne saurais me dérober.
Quant aux fantômes, vous n’y croyez pas parce que vous n’en avez pas vu. Si vous étiez à ma place…

Chaloux dit: à

Je ne commente pas sur mes querelles avec Blabla, parce que la vieille RDL a disparu, et que si on examinait froidement les choses, on s’apercevrait que ce n’est pas moi qui ai commencé. Que je sois cauteleux est une chose, mais c’est toujours avec mes propres armes, jamais avec celles que j’aurais empruntées. Si personne ne me compte ce détail, je me le compte à moi-même.

Jazzi dit: à

Quand vous allez vous retrouvez seuls sur le ring de la RDL, Chaloux et Pablo, il ne vous restera plus qu’à boxer entre vous. Qui sera le gagnant ? Je prends déjà les paris !

Chaloux dit: à

D’ailleurs Blabla avait en mains un sujet vraiment extraordinaire : lui-même et non son douteux fantôme qui traine déjà dans deux-cents livres et dont il n’a jamais su se dépatouiller. Comment j’en suis arrivé là ferait sans doute fait un chef-d’œuvre, mais quel courage il faudrait pour l’écrire!

Delaporte dit: à

« Vous tenez des fiches, renato ! »
Pas de fiches, Jacques, je conserve ma correspondance.
____________________

La vile mentalité de flic.

Delaporte dit: à

« Quand vous allez vous retrouvez seuls sur le ring de la RDL, Chaloux et Pablo, il ne vous restera plus qu’à boxer entre vous. »

Il suffit de deux énergumènes aussi tarées pour faire couler un blog. Les deux onanistes ne seront plus que deux. C’est là qu’ils donneront leur maximum !

P. comme Paris dit: à

Jamais lu
et je cherche le « Q »,
Quignard,
jamais lu wellbeck…

Est-ce grâve, Docteur …

Chaloux dit: à

Miaou, mon petit chat…

C.P. dit: à

à Jean Langoncet :

Je n’ai pas manqué grand-chose. Merci pour Ramones, et une pensée vers Bob Dylan, « It’s Alright, Ma (Only I’m bleeding) ».

renato dit: à

Bien, tous ceux qui conservent leur correspondance auraient une mentalité de flic, là c’est le délire. Et par-dessus le marché il mystifie la proposition !

CLopine dit: à

Wgg m’a accusée d’antisémitisme. Et dans son univers, tous les non-juifs l’étaient. De plus, tout le temps qu’il a fréquenté ce blog, il n’a consenti à à « discuter » qu’avec ceux qu’il considérait ses pairs, et au fond méprisait autrui. Enfin, entre deux accès mystiques et quatre hallucinations (qui l’amenaient à considérer des empreintes de pas dans la neige comme creusées par le poids… d’un fantôme… !!!), il parlait de son métier de prof avec la ferveur désespérée de ceux qui tentent de se convaincre qu’ils ont choisi leur destin.

Mais à côté, il n’avait pas, enfin pas vraiment, de méchanceté : c’étaient les trolls les méchants qui, très, trop facilement, s’attaquaient à lui et mettaient au jour ses côtés pathétiques. Lui, il était juste emphatique, imprécateur, encombré de lui-même, et avait bien du mal à se dissimuler à lui-même sa profonde solitude existentielle.

Il avait des tics, ici, qui me rebutaient pas mal. Son expression « mes petits chéris » était assez pénible à supporter, ses exaspérations aussi.

Mais érudit ? Oui, et bien plus sincère dans cette érudition que certains chafouins qui se pavanent, avancent faussement masqués, ou se la jouent rosière (comme Bergeret), alors que leur amour-propre, aux lueurs roses et grassouillettes, éclate en réalité par tous les bouts.

Wgg portait en lui, ici, les défauts et les qualités de plusieurs, réunis en un seul. Et personnellement, j’ai toujours admiré son érudition, et souffert de son volcanisme éruptif et mal placé.

Mais s’il revenait, il serait, j’en suis sûre, salué par ceux-là mêmes qui ne prenaient jamais sa défense quand il était violemment attaqué, et qui se contentaient, des coulisses, de compter les points…

Ainsi va le blog, et il semble impossible de le gouverner autrement. 1 seul WGG doit être remplacé par deux, trois, voire plus encore, de lascars. Mais les mécanismes profonds – les insultes, la violence verbale, le refus de l’autre, le manque de mesure, les joutes de références, les propos creux et les provocations, eux, restent les mêmes, que Wgg soit là, ou non.

Chaloux dit: à

J’ignorais que Paimpopol avait aussi sévi dans le feuilleton Les cinq dernières minutes comme scénariste. Avec fond schubertien.

(J’espère que l’intéressé ne verra pas dans cet innocent rappel une atteinte à la vie privée).

Chaloux dit: à

Le problème avec le souvenir du pauvre Blabla, c’est qu’il sert maintenant de munitions à des gens qui voudraient en flin.guer d’autres sans en avoir l’air (ce qui était déjà le cas du temps de son omniprésence,- car non content d’être omniscient, il était également omniprésent, ce qui à la longue pouvait,à certains -j’avoue tout : dont j’étais-, paraître pesant. Je ne reviens pas sur la lourdeur, et, si j’ose dire, l’emprunté de sa prose : déjà fait).
Sans en avoir l’air est une attitude qui a souvent court ici. Que les sans en avoir l’air éprouvent quelque déplaisir à ce qu’on leur signifie bien objectivement qu’on a parfaitement compris où ils veulent en venir, est bien leur affaire. Nous ne les plaindrons pas.

Ed dit: à

« Miaou, mon petit chat »

C’est pas trop tôt.

P. comme Paris dit: à

« Il y a évidemment une notion de verticalité absolue dans la falaise, que l’on ne rencontre pas en Bretagne. »
Ah que D. a raison, comme d’hab.
Car pour être plus précis :
Il y a évidemment une notion de verticalité « concave » absolue dans la falaise, que l’on ne rencontre pas en Bretagne.

Chaloux dit: à

C’est un privilège de l’âge que de se permettre de réfléchir avant de répondre!

hamlet dit: à

Ed, dans ce western spaghetti où pablo et chaloux s emparent de la ville en flingant tout ce qui bouge, vous jouez quel rôle ?

hamlet dit: à

Chaloux, ça ne vous dérange pas de parler musique, Mozart, Haydn, Schubert… avec un type qui considère ce forum de discussion comme un ring de boxe ? où seuls ceux qui n’ont pas peur de prendre des coups ont le droit de monter ?

P. comme Paris dit: à

« Lavande dit: 24 septembre 2018 à 15 h 48 min »

Vous savez lire les guides touristiques.
En suis resté au guide Michelin,
1902 pour le plus vieux.

rose dit: à

falaises, à pic, dévolues aux fous de bassin.

rose dit: à

Falaises, à pic, dévolues aux fous de Bassan.

rose dit: à

qui tombent dans l’eau à la verticale
https://www.google.com/maps/place/Pointe+de+Pen-Hir/@48.2535979,-4.6228851,3a,86.9y,90t/data=!3m8!1e2!3m6!1sAF1QipNOetD2mgY06Jkm7gBPHUCDwEpLohIDwwVJEc9N!2e10!3e12!6shttps:%2F%2Flh5.googleusercontent.com%2Fp%2FAF1QipNOetD2mgY06Jkm7gBPHUCDwEpLohIDwwVJEc9N%3Dw203-h135-k-no!7i1080!8i720!4m13!1m7!3m6!1s0x4816c14092afab1b:0xc3b97fb2598d185c!2s29160+Crozon!3b1!8m2!3d48.246306!4d-4.489568!3m4!1s0x4816ebade2e523c1:0xc694631fd509c69a!8m2!3d48.2535983!4d-4.6229267

rose dit: à

située dans la presqu’île de Crozon
https://www.google.com/maps/place/Pointe+de+Pen-Hir/@48.2535979,-4.6228851,3a,75y,90t/data=!3m8!1e2!3m6!1sAF1QipM9-44X26CXIv5TwTY_-2bZ3gGN65S7_IC8pjU4!2e10!3e12!6shttps:%2F%2Flh5.googleusercontent.com%2Fp%2FAF1QipM9-44X26CXIv5TwTY_-2bZ3gGN65S7_IC8pjU4%3Dw203-h114-k-no!7i4128!8i2322!4m13!1m7!3m6!1s0x4816c14092afab1b:0xc3b97fb2598d185c!2s29160+Crozon!3b1!8m2!3d48.246306!4d-4.489568!3m4!1s0x4816ebade2e523c1:0xc694631fd509c69a!8m2!3d48.2535983!4d-4.6229267

Pablo75 dit: à

Combien de mauvaise foi et des mensonges dans ce blog, chez les soi-disant « humiliés et offensés », en réalité tout simplement vexés, parce que, après avoir provoqué les premiers, ils ont reçu une réponse violente (la violence, c’est pour qu’ils évitent la récidive) !

Chez Paul Edel, d’abord, qui se prenant pour un Grand Écrivain, ne supporte pas la critique, comme tous les écrivains nuls. Dans ce site il y a toujours eu de grosses polémiques, mais comme elles ne le touchaient pas, il ne se plaignait pas, le faux-cu.l. Et maintenant que ça le touche, il veut nous fait croire, avec une mauvaise foi typique de tous les arnaqueurs, que parce que j’utilise la métaphore du ring pour expliquer que celui qui ne veut pas de bagarre, il n’a qu’à ne pas la provoquer, ce blog est pour moi un ring. Mais quel escroc ce type !! C’est comme dire que Proust, parce qu’il utilise dans un roman le souvenir d’une madeleine, il considère la littérature comme de la boulangerie !! Il faut quand même être vraiment co.n pour oser une escroquerie sémantique pareille. Ou être gaga déjà.

Quant aux histoires d’anonymat, il ose me reprocher d’utiliser un pseudo alors que lui même il fait pareil et qu’il se plaint amèrement qu’on ait découvert sa vraie identité !! Mais pauvre andouille, pourquoi tu n’as pas utilisé ton vrai nom pour intervenir ici et ouvrir ton propre blog? Et c’est de ma faute si quelqu’un a donné ton vrai nom ici? Difficile d’avoir plus mauvaise foi que Edel-Amette et utiliser de si mauvais arguments pour essayer de se venger de ceux qui le considèrent comme un écrivain insignifiant.

Ensuite il y a la naïve, têtue et non-comprenante Alexia Neuhoff à qui j’ai démontré avec le cas de Buero Vallejo (passé en 9 ans d’être condamné à mort par les franquistes à être un dramaturge à succès recevant des prix officiels donnés par les franquistes) que Franco, dictateur inculte pour qui la culture n’était pas importante, n’a pas du tout établi une censure « impitoyable » sur les écrivains opposés au régime ni sur ses oeuvres (contrairement aux domaines politique et religieux). Mais elle continue d’affirmer, avec la mauvaise foi de tous les idéologues aussi fanatiques qu’ignorants, que raconter des faits, sur un thème dont elle ne connaît absolument rien, équivaut à être un fasciste.

Et après il y a ce pauvre hamlet, qui plagie Paul Edel quand il fait semblant de ne pas comprendre la métaphore du ring. Hamlet qui est un vrai malade, un vrai pervers, avec une vraie pathologie de complexé inguérissable, un maso qui s’amuse à provoquer pour après jouer à la victime en pleurnichant. À chaque fois c’est lui qui a déclenché les bagarres (avec Haydn, avec Schubert, avec l’expression « rat de bibliothèque », et dans bien d’autres occasions avant et après, que j’ai oublié). Et après, avec un cynisme infini, il parle de « phénomène de brutalisation du blog », de la « violence qui règne dans notre monde actuel », du monde « comme un ring où celui qui cogne le plus fort devient le maitre des lieux. » C’est exactement comme la pu.te qui après avoir provoqué le client dans la rue, l’avoir emmené chez elle et avoir touché son argent, sort le dénoncer à la police pour viol.

Et ce provocateur complexé et maso au cynisme infini, ce pervers virtuose du stupre, ose écrire avec son ton onctueux de mafieux argentin au casier judiciaire chargé qui fait l’innocent devant le juge en le prenant pour un co.n (grosse faute d’orthographe incluse): « je trouve très regrettable de voir que passou laisse cette brutalisation gangréné son blog. d’autant plus quand voit l’admiration de passou pour Quignard. »

Hilarant, le mec !!

rose dit: à

située : la pointe de Pen Hir (longue pointe) en mer d’iroise, en Bretagne.

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

 » Il y a des gens qui passent leur vie à rêver et qu’on ne réveillera jamais. Sans compter ceux qui brûlent de croiser le fer et qui n’ont pas de fer. Est-ce notre faute?

Voilà, tout est dit.

Ce blog pue l’hypocrisie, la mauvaise foi, la lâcheté, la jalousie, le cynisme des nuls…

Encore une fois, il donne de plus en plus l’envie de vomir.

Ed dit: à

Hamlet,

Le rôle de l’animal de compagnie tout doux et solitaire qui fait oublier ce monde de brutes. Miaoument vôtre.

rose dit: à

hilarant le mec

euh ; je me permets de douter.

Pablo75 dit: à

@ Rose

Tu as raison: involontairement hilarant, le mec.

vedo dit: à

Et bien, je vois que je ne suis pas seul à penser que ce blog est complètement détourné par deux individus. Le responsable en est le maître des lieux. Mais puisque c’est un ring, allons-y. Il ne suffit pas d’apprécier Schubert pour être quelqu’un de bien, cela on le sait depuis quelque temps. Quant à l’autre dont la vulgarité est à l’opposé de la courtoisie qui est une marque du français (et qui existe encore même dans des combats politiques, ce dont s’émerveille mon épouse espagnole) il ferait mieux d’apprendre la langue. WGG ne lui aurait jamais passé:
« Et toi, d’où te vient ce complexe d’infériorité que tu as autant de mal à dissimuler? « 

Chaloux dit: à

Vedo, vous êtes doublement un cré.tin. D’abord on ne traite pas les gens de nazis sous prétexte qu’ils aiment Schubert, c’est très mal élevé et d’une insigne bassesse, sans compter l’offense au créateur (et même au Créateur). Bref, C’est une or.dure. Redites-le devant une glace, vous comprendrez peut-être. Mais Le Seigneur vous pardonne, vous ne savez pas ce que vous dites. Ensuite, le français de Pablo a beaucoup de saveur, qui mélange parfois les deux langues et les deux manières de penser. C’est une ouverture à ce qui nous est littéralement étranger qui m’apprend beaucoup, indépendamment même de ce qu’il dit. Sans doute faut-il être passé par le raffinement schubertien pour pouvoir en juger.

gisèle dit: à

@ Christiane, le 24/09 à 18h37, vous postez un commentaire qui s’adresse à la fois à D et à moi. Difficile de comprendre ,hormis l’acidité de vos propos, votre haine et votre manque total d’humour.
Voici qqs bribes de votre post.
« @D dit 24/09 18h26.Exact: un coup de fatigue….avec Gisèle, vous faites la paire ….Feriez mieux de commenter le billet de Passou plutôt que…mais au fond cela ne m’étonne ni de l’un ni de l’autre. » FIN de votre post.
Très chère Christiane, si je comprends bien, D. et moi-même, Gisèle, sommes compagnons d’infortune,pour avoir osé,lui, relever une faute d’orth, moi, d’avoir relevé votre style surréaliste et louablement original …imaginant la « Raie » de Chardin courant l’amble avec certaines pages de Quignard …. Cela valait-il un fromage ? y -a-t-il crime de lèse-majesté ? Assurément.
Très chère Christiane, je vais vous rappeler que je n’ai jamais répondu aux 61 lignes d’insultes et d’injures de toutes sortes dont vous m’aviez accablée, sur un blog voisin , réitérées et assorties d’un « shame on you » retentissant.Votre compagnon d’armes n’était pas en reste! Plaisanteries de cour,cour de récré ? on verra.
Alors adorable Christiane,du calme, votre honneur de grande blogueuse de qualité **** serait-il atteint par ma modeste remarque? vous qui êtes l’une des très grandes plumes de ce blog,souriez, ouistiti, comme on dit.
Quant à D ? pourquoi diable avoir lié son sort au mien ??

P. comme Paris dit: à

Depuis Chauvet, maintenant Closer.
Depuis Chauvet.
Ah cette frise de chevaux !!!.

Chaloux dit: à

Quand les nains comprennent enfin qu’ils sont des nains, les problèmes commencent pour ceux qui ne le sont point!

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

Marcel Jouhandeau : « De déchoir, je sais que nul ne peut me préserver que moi, maintenant et si c’était ma mère qui voulût ma déchéance, (…): je marcherais plutôt sur ses mains, sur sa bouche, sur ses yeux, je piétinerais plutôt son cœur que de consentir à descendre…Même si c’était Dieu. »

P. comme Paris dit: à

Moi, j’veux bien que les nains soient pas des nains,
mais c’est toujours pareil :
les nains s’attaquent à tes couilles, Mec !
P’tain d’Merdre !!!

P. comme Paris dit: à

Toutes des soupeuses, ces nains !!!

P. comme Paris dit: à

Et les roses, et le chat,
Giovanni ?

rose dit: à

Pablo et Aloi

j’admets qu’en période de tempête, le capitaine doive veiller. Pourtant grande nécessité de sommeil.

qq notes : mon vraie chat s’appelle Ivy. C est le prénom donné pa son ancienne propriétaire qui l’a abandonnée lorsqu’elle nous a vendu le mas.
elle a dit je reviens la chercher, l’attente dure depuis 17 ans. Elle a emmené son petit, a laissé la mère.
Qui m’a adoptée.
Comprend tout. Sait les choses avant moi.
Manifeste son anxiété par une pelade sur le bas de son dos. Arrachage du poil par elle-même.

Qui repousse nickel lorsqu’elle retrouve sa confiance. Si qq’ un qu’elle aime la garde ça va. Est extrêmement sauvage. Donné sa confiance difficilement.

rose dit: à

et Alii

rose dit: à

Donne sa confiance
Accorde.
L’est siamoise.
c’tune fille. A eu une portée, jeune, puis plus car opérée.

Ed dit: à

« Ce blog pue l’hypocrisie, la mauvaise foi, la lâcheté, la jalousie, le cynisme des nuls »

Miaouuuuuuuuu

Bételgeuse dit: à

2h12sainte Ed, priez pour nous et pardonnez notre ironie. Amen. Quant aux autres commentaires, qu’elle pochette surprise, de quoi se casser les côtes à force de rire de tant de cécité, la pzille et la poutre.

Bételgeuse dit: à

Les nains, Chaloux, rien que ce terme employé par vous me file la gerbe. Pardonnez mon argot, c est tout ce qui me vient , je déteste les bourges dans votre genre.

Bételgeuse dit: à

1h11 une nécessité à purger le contentieux ou vous faire employer par un cirque et bien que je ne doute pas qu’en réalité vous l’ayez déjà fait, quand on sait vos attachements, du moins les moins avouables, Chaloux, les pompes que vous imaginez porter ne sont que le fruit de vos hallucinations quand ce ne serait pas mansuétude autoaccordée ou êtes vous vous dans un déni total de la face cachée de votre Psyché, sans pour cela qu’il soit possible d’oublier votre culture qui vous est bien utile à faire oublier les aspects les moins reluisants de votre personne. Plutôt crever que d’abdiquer face à quelqu’un de votre espèce qui se joint pour le plaisir à d’autres non moins dégueulasses, malhonnêtes, pervers et pervertis sans parler de vos groopies qui ne valent pas mieux en ce qui concerne l’honnêteté , la dubjectivité et la bêtise dûment assorties de lettres de noblesse. Quelle bande de trouducs de mauvaise foi.

Bételgeuse dit: à

Subjectivité.

Bételgeuse dit: à

Une confidence, une fois n’est pas coutume, quelqu’un un jour me dit , toi, tu n’es le femme de personne. Vous, Chaloux ,en dehors des femmes respectables qu’il vous est arrivé d’aimeret que je crois il vous arrive encore d’aimer, vous êtes un homme à putains.

Pablo75 dit: à

vedo dit: 23 septembre 2018 à 16 h 52 min

« Soyez tranquille, j’ai bien autre chose à faire. Je n’y reviendrai plus. »

vedo dit: 25 septembre 2018 à 0 h 25 min

« Et bien, je vois que je ne suis pas seul à penser que ce blog est complètement détourné par deux individus. »

« vedo » le paranoïaque naïf et culotté dont la parole tient un jour et demi…

(Tu n’as pas toujours compris que je suis espagnol et que ma langue de travail est l’espagnol – et que je ne suis ici que pour pratiquer le français écrit, gros abruti? Mais peut-être tu écris l’espagnol comme moi le français, toi, gros crétin…)

Pablo75 dit: à

Chaloux dit: 25 septembre 2018 à 0 h 46 min

Merci, Chaloux, pour ta sonore baffe au pauvre vedo, si imprudent.

Quelle bande de ratés dans ce blog, quand même ! Frénétiques, hystériques tous, le colonisant sans vergogne, le détournant au profit uniquement de l’exhibition de leur co.nnerie !!!

« Quand les nains comprennent enfin qu’ils sont des nains, les problèmes commencent pour ceux qui ne le sont point! »

Exact. Et le pire c’est que c’est eux qui commencent toujours, qui provoquent, qui aboient en voyant la caravane passer. Moi je ferais volontiers un accord avec ce « club de loosers »: on les ignore et ils nous ignorent définitivement. Mais cela ne les intéresse pas, leur jalousie, leur haine gardées pour eux les tuerait à petit feu.

Chaloux dit: à

Tout à faire d’accord, Pablo.
Laisser dire, et bien faire.

Alexia Neuhoff dit: à

Pour revenir sur le cas de Buero Vallejo face à la censure franquiste, il n’est pas inutile de signaler qu’il signa le pacte « posibilista » en opposition à « l’imposibilismo » brandi par des dramaturges plus radicaux. Le risque étant, comme ce fut le cas pour Buero Vallejo d’être accusé de collaborationnisme.

« Afin de trouver une solution à la pression de la censure, un groupe de dramaturges encouragés par Alfonso Paso, signent un pacte à la fois avec le public (faire des concessions d’ordre esthétique) et avec les institutions (concessions d’ordre éthique, politique et intellectuel), ces dernières étant chargées de « veiller » à la bonne conduite des créateurs et de leurs créations. Alfonso Paso lui-même tira d’ailleurs grand profit de cet arrangement. Son sarcasme opportuniste l’amena même à rétorquer publiquement : « los dramaturgos que no saben escribir, le echan la culpa al Gobierno ». À la suite de ce pacte dit posibilista, plusieurs voix brandissant les étendards de l’imposibilismo, dont notamment celle d’Alfonso Sastre, s’insurgèrent contre ce qu’ils considéraient comme une trahison à la liberté de création. Pour Alfonso Sastre l’art se doit d’être au service de l’homme et d’aller au-delà de toute barrière imposée. Ce pacte était pour lui synonyme d’autocensure. Le résultat : les textes dramatiques de Sastre subissent la fureur d’une censure impitoyable. Buero Vallejo, partisan du pacte, aviva la polémique, en se défendant d’être considéré comme un « lâche ». L’auteur de El tragaluz, justifia l’attitude consensuelle vis-à-vis des institutions par une vision pragmatique et beaucoup moins passionnelle/politisée que celle de Sastre : […] Cuando yo critico el « imposibilismo » y recomiendo la posibilitación, no predico acomodaciones ; propugno la necesidad de un teatro difícil y resuelto a expresarse con la mayor holgura, pero que no sólo debe escribirse, sino estrenarse. Un teatro, pues, « en situación » ; lo más arriesgado posible, pero no temerario. (A. BUERO VALLEJO, « obligada precisión acerca del imposibilismo », Primer Acto, n° 15, 1960, p. 3) »
(Chapitre XVI. Le texte de théâtre : du pouvoir imaginaire au contre-pouvoir intellectuel
Antonia Amo Sánchez in L’imprimé et ses pouvoirs dans les langues romanes Ricardo Saez)

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

Tu comprends les textes délirants de Bételgeuse? Mallarmé à côté c’est du Oui-Oui…

Jazzi dit: à

Tandis que Quignard est en lambeaux, l’espace libre de la RDL se rétrécit comme la peau de chagrin de Balzac. Un certain découragement me gagne. Faut-il continuer à poster ici ? Qui éteindra la lumière en partant ?
Certainement pas moi…

Bételgeuse dit: à

Pablo, occupez vous de vos fesses. Merci.

closer dit: à

On s’en fout de votre baratin Alexia. Ce que voulait dire Pablo, c’est que le régime franquiste n’arrivait pas à la cheville des vrais régimes totalitaires, comme les régimes communistes par exemple, en matière de censure et de répression des libertés. C’est une évidence. Laissez tomber vos fiches et foutez-nous la paix.

Phil dit: à

sapré Pablo, en conquistador de la mairie de Barfelona pour nationaliser le jacuzzi à Littell. et interdifion dé la gaypride. caramba !

Bételgeuse dit: à

Et puis côté hystérie, insultes, mépris regardez vous vous devriez vous octroyer ces qualificatifs que vous collez si bien aux autres. Vous aussi, continuez de communiquer avec ceux de votre genre, nous ne défendons pas les mêmes valeurs. Les miennes sortent des livres pour trouver dans le monde réel des gens qui les vivent et ne font pas que s’en vanter alors que d’autres ne s’en servent que pour mieux s’oublier et oublier ce qu’ils sont et qui n’atteindra jamais dans la réalité ce que défendent la littérature. Il n’y a qu’à vous lire sans même vous imaginer agir pour mesurer l’écart.

Bételgeuse dit: à

Ce que défend. Restez sur votre piédestal, faite attention à l’abus d’alcool qui pourrait vous faire perdre ce si bel équilibre.

Bételgeuse dit: à

Et puis pour finir, Pablo, puisque vous méprisez à ce point les apports qui sont donnés pour être lus sur ce blog, et que de plus vous estimez qu’ils proviennent des nains, profitez de vos carnets d’adresses pour ne plus exposer vos insultes et votre mépris à moins que vous considériez faire œuvre d’art ou de culture. Et ne nous faites plus c,guerra avec votre agressivité, votre prétendue supériorité qui ne supporte pas cette fange qui ose avancer quelques arguments en contrepoint.

Bételgeuse dit: à

Chiier pour c.guerra.

Bételgeuse dit: à

8h41 pauvre et sale type. Excusez , mon expérience de votre immense talent n’aboutit qu’à cette impasse.

Pablo75 dit: à

@ Alexia Neuhoff

Merci de me donner raison de façon aussi claire. Sous la dictature franquiste, « impitoyable » pour la culture en général et les écrivains en particulier, on pouvait donc s’arranger… comme toujours, à l’espagnole.

Mais tu as oublié de dire que Alfonso Sastre, tout anti-franquiste qu’il était, a publié et crée des pièces dans les années les plus sombres du franquisme, les années 40. Au lieu de partir en exil, comme d’autres écrivains avec plus de cojones, lui il a même fait son service militaire à la fin des années 40. Et en 1953 l’impitoyable censure franquiste lui laisse monter « Escuadra hacia la muerte » et en 1955 « La Mordaza », deux oeuvres ouvertement politiques et antifranquistes, écrites par un auteur communiste !

Sastre, comme beaucoup d’autres écrivains, a eu des problèmes avec la censure mais cela ne l’a pas empêché de faire son oeuvre, très politique, et de devenir célèbre sous le franquisme. Étonnant, non?

Il a été plusieurs fois en prison pour des activités politiques en tant que militant communiste (et j’ai déjà dit ici que sur ce thème Franco ne blaguait pas). Il a quitté le PCE en 1970 parce qu’il le trouvait trop mou. Et il a eu des problèmes avec la justice espagnole en tant que complice des terroristes de l’ETA. Il a attendu 1975 pour s’exiler à Bordeaux, mais la France n’en a pas voulu et la remis à l’Espagne, qui s’en fout.ait complétement de lui.

Bref, un militant politique assez suspect pour ne pas dire ridicule, plus qu’un dramaturge.

Il va sans dire qu’aujourd’hui, à 92 ans, autant lui que son oeuvre sont complétement oubliés (pour tout te dire, je croyais qu’il était mort depuis longtemps).

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

Arrête ton cinéma: tes messages occupent ici le double d’espace que ceux de Chaloux et moi ensemble.

(Entre parenthèses: quelqu’un t’oblige à nous lire?).

Bételgeuse dit: à

J’ajoute que me concernant , il ne s’agit pas de jalousie, je vous souhaite de l’amour et si vous n’en trouvez pas sur vos chemins toutes les pétasses auxquelles nous sommes habituées, jeunes ou moins jeunes, de mœurs légères voir incestueuses ou intéressées par votre fortune agrémentée d’une compagnie douce et charmante. Je vous hais pour tout ce que vous m’avais fait, tout ce dont vous avez été complice, tout ce à quoi vous avez assisté en silence sans rien changer à vos habitudes . Les fautifs sont restés vos amis et je suis restée la matière à exploiter, le souffre douleur, la femme à abattre , à humilier, enfoncer après que vous soyez joué de moi sans q u’il soit possible d’en établir la preuve.

Pablo75 dit: à

@ closer dit: 25 septembre 2018 à 9 h 07 min

Merci de rappeler des évidences incontestables plus clairement encore que moi.

Le problème est que Alexia Neuhoff est une non-comprenante professionnelle…

Bételgeuse dit: à

9h40 @ Chaloux.

christiane dit: à

Pour revenir à L’enfant d’Ingolstadt, ayant fait une pause dans ce livre qui devient labyrinthique, j’ai repris comme boussole les dernières pages d’un autre livre de Pascal Quignard : Le salon du Wurtemberg.
Tout y est annoncé de ce tome 10 du
Dernier Royaume :
– Les corps peints par son ami Jean Rustin : « des hommes dont l’apparence est incertaine. (…) leur visage timide et ouvert. Leurs lèvres et leurs paupières fragiles, leur face (…) comme l’eau d’une source transparente.
– L’ami du salon de musique… « Plus rien ne travaille le silence. Je regardais à mon côté son absence.(…) j’ai le sentiment d’un vide infini. (…) La mort balaiera même en moi jusqu’à la résonance du nom que tu portais. »
– « les premiers raclements du violoncelle à six ans, à huit ans, les tapotements du piano, le son insupportable des bobèches sur les girandoles de cuivre… »
– l’esseulement. « Seul, tel est le nom où je me retrouve comme chez moi. (…) je ne fais plus de musique. Je me tais. Je prête toute mon attention au bruit léger et doux du crayon à papier (…) J’écris. Subitement je vois l’âme d’un homme qui écrit (…) un homme un peu usé et fantomatique. (…) Nous sommes des corps plein de songes. (…) Je n’interprète plus un morceau. Je suis le morceau. J’ai transcrit ma vie. (…) C’est pourquoi je note tout ceci. »
– « Écrire ces pages, cela me distrait de cette tristesse qui me prend tout à coup et qui me pousse à évoquer ces souvenirs, à me distraire encore de ce dont me distrait la tristesse même, actuelle, par une tristesse morte (…) Tous ceux qui évoquent des souvenirs se distraient avec des morts. »
– « Le temps détruit tout. (…) Nous mourrons. Le temps nous détruit et le temps avec nous se détruit (…) au fond de la mort (…) le temps détruit à jamais le souvenir du temps (…) Ce que nous avons vécu est comme un rêve que nous avons oublié. Ce que nous avons rêvé est comme un oubli que nous avons revécu. »

Pablo75 dit: à

C’est étrange: on dirait qu’ici c’est obligatoire lire tous les messages. La mauvaise foi des « humiliés et offensées » est telle, qu’ils veulent nous faire croire que tout le monde est ici obligé de lire tous les messages et de réagir à eux. Du coup ce blog serait devenu un enfer.

Sauf que tout le monde peut ici faire une sélection des messages à lire. Et encore plus des messages auxquels répondre.

Depuis quand dans ce blog le fait qu’il y ait plusieurs conversations parallèles serait interdit? Les messages de Chaloux ou les miens interdisent d’autres conversations ici?

Si ce n’est pas le cas, pourquoi alors tous ces cris hypocrites de vierges effarouchées?

Quelqu’un peut me l’expliquer?

christiane dit: à

Gisèle,
c’était une méprise. J’ai pensé que vous souligniez l’emploi inapproprié de l’expression « aller à l’amble ». Il est vrai qu’elle appartient au monde du cheval rythme du déplacement) et non de la pensée et de la comparaison entre une toile et un livre. Mes excuses, donc.
Je ne vous « hais pas » et la remarque (sur un autre blog) englobait tous ceux qui échangeaient là où la mort aurait dû inviter au silence et à l’arrêt des commentaires. C’était ma façon de désapprouver. Je préfère vous lire chez Paul Edel ou ici.
Quant au rapprochement avec D. c’était cet agacement face aux limiers lancés à la poursuite des fautes d’orthographe, d’inattention ou d’expressions inappropriées dans les commentaires ou le billet de Passou. Je préfère les interventions qui ont un rapport avec la problématique posée par le billet, ici, l’enfouissement dans ce beau livre de Pascal Quignard et le regard sur les toiles de Jean Rustin.

christiane dit: à

JJ,
je vous ai répondu sous le billet précédent.

christiane dit: à

@Jazzi dit: 25 septembre 2018 à 9 h 02 min
Ah non, ne partez pas pour deux raisons :
– Vous interrogez depuis vos premiers commentaires sur ce fil l’écriture de Quignard et les toiles de Rustin.
– Comme d’habitude vous vous tenez aux côtés de celui ou celle qui est vulnérable, sur ce fil : Paul Edel, blessé que l’on puisse attaquer et son œuvre sous son nom d’écrivain, ses textes ( sur son blog ou ici) et sa vie privée.
Les batailles féroces, des attaques perfides, il y en a toujours eu dans ces espaces-commentaires. J’en ai eu ma dose en 10 ans… La seule façon d’y survivre est de savoir pour quelles raisons on vient ici. Pour moi, échanger avec les uns et les autres sur le thème du billet ou sur des à-côtés passionnants essaimés par les commentaires.
Quant à la citation d’A.C., je suis abonnée à ce blog que je trouve remarquable (musique et littérature).

Pablo75 dit: à

Hier j’ai entendu Pablo Heras-Casado sur Mezzo raconter que c’est en chantant dans un choeur, adolescent, la musique de Tomás Luis de Victoria qu’il a su qu’il voulait être musicien:

Victoria – Tenebrae Responsories – Tenebrae factae sunt

The Tallis Scholars & Peter Phillips
https://www.youtube.com/watch?v=uX7g2iiaku0

Une musique que Quignard doit beaucoup aimer.

Bételgeuse dit: à

Assurément.

Bételgeuse dit: à

10h vous oubliez un peu rapidement les lapidations dont vous avez été l’un des auteurs sur des sujets qui depuis sont partis. Sûrement ne devrait il pas être question de vos nerfs mais de réactions à froid, calculées, orchestrée, et visant un but aussi noble à atteindre que la méthode avec laquelle votre insistance est parvenue à vfzire disparaître l’objet de votre entreprise de justice.

Pablo75 dit: à

À propos de la musique du XVIe siècle, Debussy dans sa Correspondance:

« Il faut que je vous raconte ma seule sortie de ce mois. J’ai été entendre deux messes, une de Palestrina, l’autre d’Orlando de Lassus, dans une église […]. C’est vraiment dans ce cadre qu’il faut entendre cette musique, qui est la seule musique d’église que j’admette, celle des Gounod et Cie me paraît être le produit d’une mysticité hystérique et me fait l’effet d’une farce sinistre.

Les deux bonhommes susnommés sont des maîtres surtout Orlando qui est plus décoratif, plus humain que Palestrina. Puis, je considère comme un véritable tour de force, les effets qu’ils tirent simplement d’une science énorme du contrepoint […] la chose la plus rébarbative qui soit en musique. Or, avec eux, il devient admirable; soulignant le sentiment des mots avec une profondeur inouïe… ».

Palestrina, Missa Papae Marcelli. The Tallis Scholars, Peter Phillips
https://www.youtube.com/watch?v=BRfF7W4El60

Bételgeuse dit: à

Un peu de nazisme ne nuit pas, un peu de harcèlement ou torturé psychologique si le mot précédent vous apparaît abusif

Janssen J-J dit: à

@9.59, Chr., idem.

D. dit: à

Jazzi dit: 24 septembre 2018 à 21 h 13 min

« beaucoup de culture dans plusieurs domaines, indéniablement. Du moins par rapport à d’autres. »

Et tu lui donnes quelle note, D. ?

Je n’ai pas à juger cette culture largement supérieure à la mienne dans plusieurs domaines. Il n’est pas à cacher que ma culture littéraire est faible voire très faible. Notamment parce que je n’aime pas analyser des textes. Je suis davantage poète dans l’âme. Je ne maîtrise que peu l’Anglais, suffisamment pour voyager mais à peine plus.
Je ne maîtrise pas du tout l’Allemand que j’avais choisi en seconde langue, bien à tort parce que je ne l’aime absolument pas. Non pas en raison de sa relative difficulté mais parce qu’elle m’est désagréable à entendre et à lire. Et ça n’a jamais changé au cours de ma vie. Je reconnais toutefois qu’elle est adaptée d’une certaine façon à la déclamation et au chant.
Le Latin et le Russe sont tout aussi difficiles sinon davantage et pourtant je les aime et les « comprends ».
J’ai donc du mal à « comprendte » et suivre cet amour de WGG pour cette langue allemande. Elle est due à ses origines. Bon. On ne peut pas tout partager..

closer dit: à

Tu connais Nicolas Muller Pablo? Né hongrois et juif, il a fini ses jours en Espagne. J’ai vu une très belle expo de ses photos il y a qq années…L’amusant est qu’il a fui les régimes autoritaires pour aboutir…en Espagne, chez Franco et dans les années quarante par dessus le marché…et il y est resté en fréquentant l’intelligentsia madrilène au Café Gijón et à la Revista Occidente…

« Encore peu connu en France, Nicolás Muller (Orosháza, Hongrie, 1913-Andrín, Espagne, 2000) est l’une des grandes figures de la photographie sociale hongroise. Comme plusieurs de ses compatriotes photographes — Eva Besnyö, Brassaï, Robert Capa, André Kertész et Kati Horna — Nicolás Muller a connu l’exil.
Issu d’une famille juive bourgeoise, il fuit les régimes répressifs des pays européens à mesure qu’il les traverse. D’abord à Paris, puis au Portugal, en passant par le Maroc et finalement l’Espagne… »

http://www.jeudepaume.org/?page=article&idArt=2212

hamlet dit: à

quelqu un pourrait me dire quelles personnes ont quitté ce blog à cause de pablo ?

wgg en fai-il partie ?

D. dit: à

Ah mais Clopine, moi qui suis gaulliste dans l’âme mais rangé depuis plusieurs années du côté Dupont-Aignan / FN, car considérant que les gouvernements successifs ont gravement porté atteinte à la souveraineté de la France si chère au Général et mis la France en situation de danger par une politique foncièrement immigrationniste, moi qui suis gaulliste, je me suis fais couvrir d’injures par WGG, incapable de discerner qui était son ennemi entre l’Islam conquérant et moi-même.

CLopine dit: à

Bah, il y a déjà eu tant de petits matins waterloosiens sur ce blog, avec amochés et cadavres épars, sans que pour autant « tout s’arrête », que je ne crois pas que cette enième levée de boucliers réussisse à calmer le jeu.

C’est même tout le contraire, et la seule comparaison qui me vient à l’esprit est celle des repas de famille. Tous sont là, autour de la table, pour profiter du moment présent. A priori. Mais quand ça part, (et ça part toujours…) deux options se présentent. Soit quelqu’un qui possède suffisamment d’ascendant et de confiance des uns ou des autres intervient. Souvent, c’est une épouse, ou une soeur, ou une amante, (ou un bon vieux pote, aussi !) qui pose la main sur le bras de l’énervé, ou lui lance un coup de pied sous la table, pour lui demander « pour elle », d’arrêter le massacre… Au nom de la famille, de la courtoisie, ou même parce que c’est gâcher les succulentes nourritures terrestres que quelqu’un a cuisinées dans cette sorte d’occasion…

Ou bien il n’y a personne, et ça s’empoigne gentiment. Ou pas.

Aujourd’hui, et ce « au nom de ce blog », n’est-ce pas, en affirmant qu’ils s’expriment pour le bien du blog et sa préservation, certains tombent à bras raccourcis sur Pablo76 et Chaloux, les désignent, les conspuent…

C’est, si on y réfléchit, complètement à côté de la plaque. Non que les idées et les comportements de commentateurs de P et C soient irréprochables, n’est-ce pas. Mais « au nom du blog », le meilleur comportement pour préserver ce dernier serait d’opérer l’équivalent de la main posée sur le bras, non de brandir un doigt accusateur et indigné…

Seul Jazzi fait ça, d’habitude. Je veux dire tenter d’apaiser les choses, plutôt que d’aller chercher la bouteille d’huile.

Mais là, il semble aussi atterré que les autres, et a même eu, vis-à-vis d’Ed et de ses maladresses envers la stigmatisation des homosexuels, quelques mouvements d’impatience qui ont fait des dégâts…

Ah là là.

Tout ça sous un sujet Quignardien, Quignard étant bien l’être le plus fragile, doux, réfléchi et amène à l’extérieur, comme pour mieux faire ressortir la violence extrême des tempêtes qui s’agitent régulièrement sous son crâne. Donc, l’exact opposé de ce qui se passe ici…

D. dit: à

« un peu de nazisme ne nuit pas » vient de nous sortir Bérénice.👯

CLopine dit: à

D;, Wgg a couvert d’insultes à peu près tout ce qui passait près de lui, notre hôte inclut. Vous ne pouvez donc tisser un lien , même aussi ténu que celui que vous proposez, entre vous et moi, à partir de cela. Car il n’y a aucun lien, et à jamais, entre vous et moi.

D. dit: à

Pablo76… ou comment tout ramener au pays de Braye.

D. dit: à

Ah mais Clopine nulle n’était cette intention. Vous vous méprenez complètement.

hamlet dit: à

Clopine, sauf que chez wgg il n y avait pas une once de méchanceté, d ailleurs personne n a jamais quitté ce blog à cause de lui.

D. dit: à

D’ailleurs tout dépend de la signification qu’on donne au mot lien. Puisque nous sommes en train d’échanger il y a nécessairement un lien entre nous. J’ai bien compris qu’il n’était pas et serait pas amical.
En réalité je n’ai aucun ami ni aucune amie.
Ni ici ni dans la véritable vie. Vraiment aucun. Je ne sais pas quoi mettre derrière ce mot. L’amitié est une notion bien trop complexe pour moi.

christiane dit: à

Pat.V. ,
Dans le chapitre XXX (« Eigensinn » – entêtement) de L’enfant d’Ingolstadt le choix de la toile de Chardin (l’enfant réprimandé par la gouvernante) est bien celui que vous lui avez donné dans votre dernier commentaire : la réaction possible de l’enfant devant la réprimande provoque l’entêtement. Une page essentielle pour comprendre le livre :
« (…) quelque chose à l’intérieur de la tête qui ne cède pas le pas devant l’acquisition du langage. Quelque chose au fond de la psyché qui ne bat pas en retraite devant le signe pur qui cherche à l’envahir. Le mot en-têtement affirme qu’il y a une poussée dans le crâne plus forte, plus têtue, plus entêtante que la conscience. Conscience qui se résume tout entière dans cette soudaine voix interne à demi-maternelle, à demi collective, que la langue parlée une fois acquise déclenche en boucle tout à coup, vers l’âge de sept ans, enclenchant la puérilité, et qui vient accompagner toutes les actions qu’on commet volontairement ou non. (…)
Il y a une tête rebelle dans la tête, plus ancienne, sans voix, sans vocalisation intériorisée, sans conscience.
Cette tête en état de rébellion à l’état pur, c’est le rêve. »
Toutes les révoltes silencieuses, les bouderies, les cris et crises de larmes de l’enfant réprimandé ont un rapport avec ce que P.Quignard a repéré là, si bien analysé.
Le livre serait-il né de toutes ces révoltes tues à l’âge où on ne sait encore les expliciter ?
(Par contre je m’éloigne de P.Quignard quand il cherche l’origine uniquement dans le sexuel refoulé, interdit.)
L’enfance c’est la saison des possibles de l’esprit où l’on réagit avant de savoir ce qu’il y a à dire. Une pensée en chrysalide essayant de se débrouiller, refusant la contrainte des bonnes règles du savoir-vivre. Le territoire étranger de l’enfance est à l’intérieur de sa conscience. Pour le retrouver, plus tard, c’est un travail long, obstiné, têtu. Quignard semble vivre de livre en livre, une anamnèse, une tentative d’élucider son trouble présent en associant librement contes, souvenirs, bribes d’histoires de la grande Histoire, lectures, citations latines, reliant des éléments du passé apparemment sans rapport les uns avec les autres pour découvrir le sens caché de sa vie, de sa conduite, de ses choix dans cet oubli initial. Ce livre est un labyrinthe de pur vertige. Un jeu de dédoublement de son moi. Il est réellement seul. Tout pour lui est désert. Comme s’il avait vécu dans une place vide dans un clivage de ses pensées, de ses émotions. Désaccordé. Une angoisse dans l’avoir été comme un glissement irrépressible. Il va vers lui-même…

hamlet dit: à

@chaloux, ce n est pas parce qu on aime Schubert qu on est un nazi, c est évident.

mais penez vous du fait d’aimer Schubert et en même temps faire l apologie de la violence, de considérer les relations entre individus comme un combat où seuls les plus forts l’emportent.

et surtout d’insister de façon quasi obsessionnelle sur l infériorité des autres dans le but de mettre en avant sa propre supériorité.

cela fait tout de même pas de convergences, vous ne trouvez pas ?

D. dit: à

À présent que j’ai tout révélé sur tout, je quitte ce blog d’une façon ferme et définitive. Il n’y aura ni retour ni passage.
Plus rien.

Pablo75 dit: à

@ closer

Je ne connaissais pas du tout Nicolas Muller, et pourtant, vues ses photos et son côté espagnol, j’aurais dû.

Merci pour le lien, très intéressant. Je vais regarder ça de près.

Janssen J-J dit: à

@D., 11.45, A très bientôt, très cher et indispensable ami (je vous recommande Deepl translator, plus performant et rapide que celui de google). Hélas, il ne propose que 6 langues pour vous le dire.

Nos vemos muy pronto, muy querido e indispensable amigo.
see you very soon, very dear and indispensable friend.
Wir sehen uns sehr bald, sehr geehrter und unentbehrlicher Freund.
Ci vediamo presto, caro e indispensabile amico.
tot ziens, zeer binnenkort, zeer dierbare en onmisbare vriendin.
tot ziens, zeer binnenkort, zeer dierbare en onmisbare vriendin.

Pablo75 dit: à

@ hamlet

Personne a quitté ce blog à cause de moi, pauvre diable. Je serais très content que tu sois le premier. Tu ne ferais pas ce plaisir, à moi qui t’aime tant?

« d’insister de façon quasi obsessionnelle sur l infériorité des autres dans le but de mettre en avant sa propre supériorité. »

Tu es un menteur compulsif: moi je n’ai parlé que de TON très visible COMPLEXE d’infériorité À TOI, mon pote. Ne manipule pas ce que les autres écrivent, ne joue pas au petit staliniste: ici c’est toi le violent qui a traité quelqu’un de nazi parce qu’il utilisait la vieille expression (de 1850) « rat de bibliothèque », ici c’est toi le violent qui a confondu le fait de se faire insulter sur ce blog pour avoir dit des âneries avec le fait de se faire gazer à Auschwitz pour avoir été Juif, ici c’est toi le violent qui confond la Shoah avec la castagne verbale sur un blog.

Je te rappelle aussi que je ne t’avais jamais adressé la parole avant que tu m’attaques le premier pour ma réaction contre des mots de « x ». C’est toi, donc, qui a commencé à provoquer et toi le premier à utiliser la violence délirante de traiter quelqu’un de nazi pour des raisons imbéciles, montrant ainsi l’idée que tu te fais du nazisme.

Donc, tu n’as des leçons de pacifisme à donner ici à personne. Tout le monde te lit et tout le monde sait que tu es le seul commentateur avec un énorme complexe d’infériorité, un complexe qui te rend violent et te faire dire n’importe quoi à ceux qui te contredisent.

Tu es grillé ici. Si j’étais toi, j’irai me cacher dans le blog de Paul Edel.

Pablo75 dit: à

@ D.

« À présent que j’ai tout révélé sur tout, je quitte ce blog d’une façon ferme et définitive. Il n’y aura ni retour ni passage. »

À demain, D.

Pablo75 dit: à

…te fait dire…

hamlet dit: à

pablo, te fatigue pas, le probleme c est pas moi, les habitués de ce blog me connaissent assez bien, non le probleme ici c est toi.

CLopine dit: à

Hamlet, votre manière de faire est toujours doucereuse…et pernicieuse (si mes soupçons sont un jour confirmés, soupir). Mais il est vrai que, de toute façon, vous êtes avec vos manières gamines et votre fausse innocence, l’un des premiers à aimer tant et plus venir ici prendre « les autres » en défaut ; à tel point, que lorsque, par mégarde, un réel enthousiasme s’échappe de vous (comme quand vous avez parlé « du vent dans les saules »), vous en êtes à la fois surpris et gêné, comme vous êtes surpris et gêné que des internautes, entre eux, puissent manifester de l’intérêt, de la solidarité, de la compassion et de la fraternité. Si l’on joint à ceci le fait que vous n’avez jamais prononcé le moindre mot contre les trolls, on a un portrait de vous où le grisé bleuâtre de la silhouette que vous découpez pour nous, tous les jours, ici, cache de bien sombres abysses. Les emportements des uns et des autres, bien plus « bruts » de décoffrage, sont bien moins dangereux pour l’endroit que les cryptiques souterrains que vous creusez sans cesse, et où vous aimez tant vous -et nous- aventureR.

renato dit: à

Les USA devraient faire plier l’Arabie Saoudite, plutôt, car jusqu’à preuve du contraire le gros du terrorisme vient de l’idéologie Sunnite, pas de l’idéologie Chiite ; mais c’est vrai que l’actuelle administration étatsunienne ne brille point pour intelligence et culture.

closer dit: à

« Non seulement les intellectuels sont stériles, mais – et c’est plus grave encore – je pense que ce sont des gens nuisibles. (…) Souvent le fait que des génocides deviennent possibles dans certaines contrées me semble être favorisé par le fait qu’il existe des intellectuels. (…) Ils sont très largement responsables de ce qu’ils dénoncent. »

Jérôme Garcin « frémit » dans l’Obs à la lecture de ces propos d’Amélie Nothomb, trop sommaires, c’est vrai…Mais je l’invite à lire le petit article de Mauricio Serra dans le Figaro Littéraire de jeudi dernier « Ecrivains et engagement, les liaisons dangereuses ». Il verra comment nombre d’intellectuels et des plus prestigieux ont appuyé la plupart des grandes horreurs du 20ième siècle, à commencer par celle qui fut la mère de toutes les autres, la guerre de 14/18…

Pablo75 dit: à

@ hamlet

Comme dit Clopine, qui t’a bien pigé, avec ta manière de faire « doucereuse », tu me rappelles de plus en plus les jésuites pédophiles que j’ai connu dans mon adolescence: même ton mielleux, onctueux, sournois, mêmes mensonges éhontées, même hypocrisie perverse, même cynisme absolu.

Tu ne serais pas par hasard un curé défroqué, toi?

Pablo75 dit: à

Delaporte et hamlet sont les deux vrais pervers du blog. Des types dangereux, parce que voulant jouer le rôle de donneurs de leçons éthiques, des vrais loups déguisés en agneaux.

Mais ils trompent qui ici? Il faut être aveugle pour ne pas voir sous leurs déguisements d’agneaux deux pervers inguérissables.

Janssen J-J dit: à

@13.10, Je veux bien que… « la condition première d’une amitié universelle et inconditionnelle qui ne présuppose aucune identité d’être, aucun lien de filiation… (soit) simplement accueil de l’autre » (bref, la possibilité d’une île démoustiquée), mais ce n’est pas d’un philosophe chrétien derridé que nous nous en laisserons accroire. TSPCS, dans ce monde éthéré-là, la pédophilie répandue se justifait comme d’une amicale pratique charnelle sans conséquences. Déconstruisons & démoustiquons

closer dit: à

Excellente note de Popaul sur son blog à propos de « Ça raconte Sarah » (dans la partie Commentaires du blog). Il nous donne en prime un extrait encore plus ridicule que ceux que l’on a pu trouver dans la critique de Passou…Et ça figure dans la sélection pour le Goncourt…

« Ils » ne vont tout de même pas oser…

CLopine dit: à

Dites, il y a des coïncidences qu’on aimerait prendre pour d'(heureux) présages… Ceux qui me fréquentent un peu via internet savent que mon pseudo de plume doit tout à Victor Hugo, dans lequel j’ai à peu près appris à lire et que j’évoque souvent.

Bien.

Eh bien, les toutes premières projections de notre petit film documentaire (que j’ai écrit toute seule comme une grande, ahaha) vont se dérouler au Parc des Expositions de Rouen…

salle Victor Hugo.

Toujours là pour moi, celui-là !!!

Pablo75 dit: à

@ closer

Amélie Nothomb paraît avoir lu Cioran. Et elle a tout à fait raison: derrière chaque guerre et chaque massacre il y a des idées, pensées et propagées par des intellectuels. Qui doute de cela qui se rappelle des origines intellectuelles du nazisme.

Delaporte dit: à

Sur le site du Point, Gabriel Matzneff prend la défense de Zemmour, reconnaissant cependant aimer les prénoms de jeunes filles à consonance étrangère :

« La Famille Fenouillard est, depuis l’enfance, un de mes livres de chevet, je le relis au moins une fois par an, mais je ne troquerais pas Tatiana et Aouatife pour Cunégonde et Artémise. » Matzneff

Janssen J-J dit: à

Les frémissements de Jérôme Garcin.
Imagine-t-il un instant que des millions de vrais intellectuels ou êtres pensants (ie, les « non organiques » réfléchissant pour eux-mêmes et non point au nom des autres) ont pensé dans leur coin que les quelques sous les sunlights se trompaient de manière dévastatrice.
Mais que de s’être tus plutôt que « d’adhérer » à des foyers d’infection comme les « masses aveugles », leur valu inifiment plus d’ennuis qu’à tous les autres.
Personne n’a encore entrepris une véritable histoire de la « résistance » par le silence aux temps du néolibéralisme mondialisé (Vercors, jadis, avait pourtant montré la voie, mais sous l’Occupation). R. Powers, peut-être qui nous raconte la résistance des arbres à la destruction de la planète. Montre bien comment ils hurlent en silence.

Delaporte dit: à

A propos de la responsabilité des intellectuels, Nothomb n’a pas tort, si et seulement si l’on considère les dérapages idéologiques de certains. Ce qui devrait néanmoins la calmer, c’est qu’aujourd’hui il n’y a plus vraiment d’intellectuels, sauf des folliculaires à la Zemmour et des pédérastes à la Matzneff. Bref, une armée de sombres zombies putrides, tout à fait incapables de faire se lever le moindre génocide. Et c’est heureux !

Janssen J-J dit: à

J’habite une avenue Victor Hugo, chez mon colpain. Et j’ai toujours eu le plaisir de ne jamais vous y voir traîner. Ouf… Je dis ça, parce que je ne suis pas normand et que j’aime point trop les voies détournées pour se faire un poil de publ. au passage. Mais bon, chacun fait comme il peut. Et la rdl est d’ailleurs très heureuse d’apprendre le lieu de la sortie du nouveau film de Mailla la bee, en live. Bon courage et bonne chance, vraiment, hein !

D. dit: à

Je ne peux m’empêcher d’essayer d’associer les 4 petits personnages de Rustin assis sur le banc à 4 commentateurs de la RdL.

Pablo75 dit: à

@ Clopine

L’auteur de ta synchronicité n’est pas Victor Hugo, mais ton Ange, qui t’annonce comme ça le succès de ton aventure.

(Excellent ton portrait de hamlet. Vraiment bien « décortiquée » sa perversité. Un portrait à encadrer à l’entrée du blog).

Delaporte dit: à

CLopine dit: 25 septembre 2018 à 13 h 50 min

Plutôt que de fantasmer sur Hugo (bientôt vous allez descendre de lui en ligne directe), vous feriez mieux de vous occuper de faire l’éloge de votre grand-père à la mode de Bretagne, courageux résistant qui a tué deux Allemenads de ses propres mains, qui a été déporté, et qui, ce faisant, a oeuvré pour la liberté et la démocratie. Recentrez-vous, Clopine !

Delaporte dit: à

La sortie d’Amélie Nothomb, on dirait du Montherlant tout craché ! Nothomb a tout piqué à Montherlant, à commencer par le style hyper-classique, les intrigues romanesques simples et efficaces. Si ça se trouve, elle a puisé cette sentence dans les Carnets du vieil écrivain pédéraste (encore un !) et l’a retranscrite telle quelle, sans se fouler !

Pablo75 dit: à

@ D.

Quand tu sors du blog pour manger tu appelles ça « quitter le blog d’une façon ferme et définitive! », sans « retour ni passage »?

Delaporte dit: à

Vous imaginez si tous les Français de l’époque (les quarante millions de pétainistes, comme disait Amouroux) avaient eu un grand-père résistant à la mode de Bretagne, comme Clopine, ç’aurait été extraordinaire ! Le peuple français n’aurait eu quasiment pas besoin d’un de Gaulle…

Pablo75 dit: à

À propos de Victor Hugo, une phrase à méditer:

« L’intolérance des tolérants existe, de même que la rage des modérés ».
(Victor Hugo. Les Travailleurs de la Mer)

Janssen J-J dit: à

@14.02, D. Vous piquez les idées à JC ast’heure, sur l’autre chaine, où il excrète ses pets matinaux, faute de pouvoir les expulser icite ?… C’est pas bien de l’copier en loucedé.

Pablo75 dit: à

@ Clopine

Tu as vu que Michel Winock vient de publier « Le monde selon Victor Hugo »?

CLopine dit: à

JJJ, oui, vous avez raison, je ne devrais pas « faire de la pub » au pire endroit pour ça : ici.

C’est que… Je cherche surtout à me réconforter comme je le peux. Je suis déplorablement vulnérable au doute, et je crois que j’admets, désormais, que ma principale caractéristique est mon manque absolu de confiance en moi. D’où sans doute ces choix insensés, de venir chercher ici le plus difficile à y obtenir : un peu de soutien. Merci à vous, donc, pour la fin de votre message, que contredit son début mais est cependant le bienvenu.

Et pour dépasser mes maladresses, sachez que si le film marche, les recettes, s’il y en a, risquent bien d’être affectées juridiquement au montage d’un dossier de plainte contre certaines multinationales que je ne citerai pas, mais dont l’une a un nom qui commence par « B », finit par « R », et à un « Y » au milieu !!! Au moins, j’aimerais tellement qu’il en soit ainsi…

hamlet dit: à

Clopine, vous écrivez le mot « soupçon » au début et vous continuez comme s’il s’agissait de certitudes…

pas étonnant que pablo ait fait de vous une alliée, car vous aurez remarqué qu’il fonctionne avec chaloux commes deux miliciens : lui tu peux le dégommer sa vie est inutile, lui faut pas y toucher c’est un pote….

qu’importe… avez-vous vu paul edel se fâcher avec passou à cause de pablo et chaloux, avez vous lu pablo dire a paul edel que pour venir ici il ne fallait pas avoir peur de prendre des coups ? etc etc etc…

vous voulez sue je voys parle du vent dans les saules, je vais vous en parler Clopine !

ce livre dit la façon de Kant que notre humanité dépend de notr sympathie (different de l empzthie) vis a vis des autres.

ce n’est jamais votre cas Clopine, vous êtes tellement centrée sur vous qu’à aucun moment vous ne pourriez vous mettre à la place de paul edel ou des autres qui sont insultés par nos deux m iliciens.

c est le différence entre vous et moi, et je peux vous dire que je ne suis pas le seul, j ai reçu deux messages d anciens de ce blog qui refusent d y mettre les pieds à cause de nos deux miliciens.

Clopine, dites moi si vous ne comprenez pas, je vous le redirai auteement.

Janssen J-J dit: à

Vous m’étonnez, parce que vous auriez pu me tuer… Comme beaucoup, j’ai tjs un peu envie de vous voler dans les plumes, et puis je me retiens à temps, car je n’ai jamais tué un oiseau blessé qui fait toujours de beaux efforts pour s’envoler. En oure, c un peu grâce à vous (et rose) que je me suis mis sérieusement à fréquenter récemment VH (avant, cela ne me serait jamais venu à l’esprit – vous imaginez la comme de préjugés issus de la barbe scolaire !).
Savez-vous qu’on a récolté plus de 800 citations de Totot… Je les signale au passage, j’imagine que faisant partie de son fan club depuis le biberon, vous les avez toutes prou ou peu rencontrées…
http://evene.lefigaro.fr/citations/victor-hugo
Bon succès pour le docum ! Sincerely yours.

Pablo75 dit: à

hamlet dit: 25 septembre 2018 à 14 h 34 min

Voilà encore son ton doucereux de jésuite pédophile dans toute sa splendeur… Les posts de hamlet il faut les chuchoter pour comprendre toute la perversité qu’ils véhiculent.

Janssen J-J dit: à

Ce qui est bien avec D., c’est qu’on a envie de croire à sa sincérité politico-religieuse, vu qu’elle jure un peu avec ses lourdes dragues habituellement naufragées. On en rigole et on s’émeut deux secondes. Mais on n’a pas envie de lui tenir un discours sur l’amitié. On est sûr qu’il n’en a jamais eu la pratique, vu qu’il ne « comprend » pas ce que c’est. Il n’a pas eu de chance dans la vie et on n’y peut rien. Et comme tout internaute se le dit : chacun sa merde, le néant reconnaîtra bien les siens. Cela dit, je préfère le voir comme un gars qui s’envoie en l’rdl tous les jours comme un invétéré que.utard fêtard qui claque sa fortune mal acquise avant d’assagir un brin son tempérament taquin.
(raviolis de gambe : Reviens D.léon, j’ai les mêmes à la maison !)

closer dit: à

Toujours dans les commentaires chez Paul Edel, cette réflexion très juste qui pourrait fournir un commencement d’explication à la multiplication des docu et autres bio fictions:

« il est évident qu’avec le Net et Wikipedia, il y aura de plus en plus d’ écrivains qui vont alourdir leurs écrits de références culturelles,(la théorie économique du « ruissellement » chère à Macron appliquée à la littérature? le « ruissellement culturel »?) façon Enard en multipliant systématiquement le copié- collé…. »

Pas seulement des références culturelles…C’est très fatigant d’écrire une vraie fiction. Il faut d’abord en avoir le don et en plus travailler très dur pour la rendre plausible et attractive. Des auteurs de romans ont eu recours au plagiat, mais c’est moins facile que de pomper sur Wiki ou d’autres documents moins connus disponibles sur le net, des informations factuelles qui nourrissent un bouquin genre bio ou docu qui titillera la curiosité du lecteur pour des faits qui ont l’air vrais sans l’être tout en l’étant…

hamlet dit: à

pablo tes critiques sur la forme ne font que confirmer la vérité de mn propos sur le fond.

je n ai pas finis d analyser ton cas.

closer dit: à

« Je ne peux m’empêcher d’essayer d’associer les 4 petits personnages de Rustin assis sur le banc à 4 commentateurs de la RdL. »

Des noms, D!

hamlet dit: à

closer, cette profusion des copie collé et des copies de liens internet, youtube et autres, accompagnés d’aucune analyse critique, on en a aussi des exemples ici.

choses qu on ne voyait presque jamais avant sur ce blog.

CLopine dit: à

Bah, Hamlet, mes soupçons, qu’en avez-vous à faire ? Mon estime, ou mon mépris, que vous importe ? Juste un peu de vent, dans les saules, livre que vous convoquez ici n’importe comment, ce qui évidemment m’agace car c’est un bienfait que je vous dois.

C’est parce que vous en aviez parlé que je l’ai lu, et tant apprécié en me demandant même si la musique de l’après-midi d’un faune n’aurait pas, à cause du lyrisme païen-mystique qui se dégage avec tant de charme de ces pages « enfantines », eu quelque chose à voir dans l’écriture de ce petit chef d’oeuvre (et j’ai été écouter ce même « après-midi » debussyen juste après ma lecture, pour confirmer mon impression…) Là-dedans, à mon sens, de l’humour anglais, oui, bien sûr, d’inoubliables petits portraits de nobliaux british dissimulés sous les costumes des petits animaux des berges et des sous-bois, antropomorphisés, comme celui qui aime les courses automobiles, etc. Et une sensibilité juste (et désormais, de notre monde actuel, en faillite complète de ce point de vue là) sur la faune et la flore des jardins anglais, certes, et cette fin lyrique, « métamorphique », et un peu dionysiaque… bref, un bien joli livre, et pas l’ombre de l’oeil globuleux de Kant là-dedans… (heureusement !)

D. dit: à

Il ne faut pas perdre de vue que Debussy était le 33ème Grand Maître de l’Ordre du Prieuré de Sion (Victor Hugo, dont on parle beaucoup aujourd’hui décidément) en était le 32ème et Cocteau en fut le 34ème.
Sa musique en est un témoignage permanent.

D. dit: à

Savez-vous qui fut le premier ?

Bételgeuse dit: à

Pablo, côté pervers, vous feriez bien de chercher du côté de vos amitiés féminine et masculines, vous devriez creuser dans cette veine. Perso, je n’en vois pas là où vous les identifiez en tant que tels, vous omettez les femmes et sans que ce trait porte atteinte âge la sacrosainte culture qui vous tient lieu de code moral. L’amour rend aveugle . Pas d’accord concernant Hamlet et D. Delaporte s’il n’est pas qu’un personnage interprété avec brio pourrait rentrer dans votre lot, quand à tous ceux que vous laissez de côté, au minimum des intrigants qui ne possèdent pas même le courage de découvrir leur jugements, opinions, allusions comme on tirerait le voile du marbre qui le cache aux regards.

hamlet dit: à

Clopine, non, désolé mais non, ce livre est écrit par un type qui enfant a vu ses parents agir égoïstement sans jamais se mettre à sa place et sans jamais imaginer les souffrances qu’il endurait.

le thème essentiel est la préoccupation de l’autre.

mais là encore vous ne l’avez pas vu parce que la seule chose qui vous préoccupe c’est vous, il n’a jamais exister sur ce blog comme dans ce monde d autres victimes que vous.

ce qu’il s’est passé hier sur ce blog, avec ce niveau de violence rarement atteint est interessant à ce titre : la réaction des autres….

avez vous remarqué Clopine la façon dont’ soit ils préfèrent regarder ailleurs, soit regarder en se disant : qu’importe cela ne me concerne pas.

c’est faux : tout acte de violence nous concerne tous !

d’autant que cette violence se mêle ici à l’amour des livres et de la musique, comment peut on rester indifférent ?

Bételgeuse dit: à

Pablo, pédophile, cherchez près de chez vous, certaine que vous en encenssez. A moins que vous situiez l’ âge autorisé pour les attouchements à moins de neuf ans et encore pas sûr que certains qui ici donnent des conférences ne commencent pas plus tôt. Avec l’ assentiment du parent référent comme dans les années 70 quand il était considéré que tout ceci ne pouvait nuire à l équilibre psychique de l’ enfant.

Phil dit: à

Si ça se trouve, elle a puisé cette sentence dans les Carnets du vieil écrivain pédéraste

Bravo Delaporte pour ce mot (un seul) subliminal! cent francs dans le goret ! comme disait Maître Capello (tête de batracien comme l’excellent Edward G Robinson)
Dear Baroz, vous n’allez pas aux Canaries ? Franco y a fait étape, suivi de quelques allemands dégalonnés. De bonne aventures de série B racontées par l’auteur sino-américain Leslie Charteris, qui n’a jamais été le sujet d’une notule ici ! une lacune ? of course not but immerhin !

louis-ferdinand dit: à

Delaporte, il me semble que Paxton établit une différence entre être pétainiste (beaucoup de Français le furent, par « respect » pour la personne du Maréchal) et être vichyste (soutenir la politique du gouvernemnt). Vous avez lu le livre d’Amouroux, ou vous vous en tenez seulement aux titres des livres ? Vous auriez pourtant été à votre aise sous un régime clérical comme Vichy, vous le partisan du retour à l’Ordre Moral, contre la décadence des moeurs (ah ! Hollywood !), les pédérastes et la presse putride, langage vichyste à 100%….

louis-ferdinand lévy dit: à

Delaporte, il me semble que Paxton établit une différence entre être pétainiste (beaucoup de Français le furent, par « respect » pour la personne du Maréchal) et être vichyste (soutenir la politique du gouvernemnt). Vous avez lu le livre d’Amouroux, ou vous vous en tenez seulement aux titres des livres ? Vous auriez pourtant été à votre aise sous un régime clérical comme Vichy, vous le partisan du retour à l’Ordre Moral, contre la décadence des moeurs (ah ! Hollywood !), les pédérastes et la presse putride, langage vichyste à 100%….

Delaporte dit: à

« Bravo Delaporte pour ce mot (un seul) subliminal! »

Ce n’est pas un mot « subliminal », mais c’est le mot qui convient. Montherlant le Romain ! « Buste-à-pattes » ! comme disait Céline qui employait aussi volontiers le mot « pédéraste ».

louis-ferdinand lévy dit: à

Seuls les gaullistes historiques ont le droit de se dire gaullistes. Après l’autre et son faux grand-père résistant (qu’elle n’a point connu), Dédé « le gaulliste » en peau de lapin (avec mille guillemets). Quelle bande de farceurs (sauf moi, bien sûr).

gisèle dit: à

Christiane 9h55. Vos deux réponses de ce matin me conviennent parfaitement. 1)bien sûr, vs vs êtes méprise;je vois le plus souvent le côté amusant des choses;un tableau à la Jérôme Bosch avait tt de suite jailli devant mes yeux ( d’autant que je venais de voir un excellent documentaire sur « le jardin des délices). 1’je ne corrige jamais les ftes d’orth. Et sur le blog évoqué, j’ai cessé de poster dès la disparition du maître du jeu.
* Passons à ce qui est intéressant, Quignard,donc 2)Le rapprochement avec « le Salon du Wurtemberg » est excellent.J’ai lu, à peu près, tout ce qu’a écrit Quignard, depuis le 1° texte paru dans l »Ephémère »,la revue de la fondation Maeght. Je n’y avais strictement rien compris, un foisonnement labyrinthique sans fin. »Délie, objet de plus haute vertu ». Ce qui m’avait donné envie de lire ce qu’il publierait.Les romans du début étaient intéressants ! car il sabrait tout ce qui pouvait être « romanesque »… il publiait en même temps d’autres textes, dont « le sexe et l’effroi » qui m’a passionnée ( la 1° éd avec de somptueuses mises en page)Il publia ensuite d’autres romans, courts,nettement réussis. Lectrice des 4″ petits traités »,aussi.Un type qui avait baigné dans une famille où ts les membres étaient plus cultivés les uns que les autres…comment ne pas être asphyxié? Comment pour la lectrice que j’étais, arriver à le suivre ? c’était un vrai enjeu.Quignard était en dehors,de toute ligne connue.Mais les mêmes thèmes apparaissaient et, si l’on s’accrochait, on pouvait suivre les détours d’une pensée sans confusion. Je n’ai ni acheté ni lu le vol.X qui vient de paraître. Je suis plongée dans 2 sortes de lectures différentes, Buchner et Evelyn Waugh ,désopilant. Aucune place pour Quignard pour le moment.Dans 3 semaines..le billet de PA ne disparaîtra pas.
Quignard est-il un grand romancier ? je ne crois pas, un grand écrivain ? sûrement. Pas un théoricien,un chercheur au parcours étonnant.Je connais Rustin depuis assez longtemps, grâce à un ami. J’ai vu l’expo de la Halle » rue Ronsard. Les deux, le peintre et l’écrivain ont qq chose à dire, pas un message à délivrer,sûrement pas.Et j’ai envie de continuer à les lire et à les regarder.
2 ajouts: vs savez qui je suis, je l’avais expliqué en long et en travers sur 2 blogs.
–Quignard a publié ,au cercle d’art, un livre sur Cécile Reims/Hans Bellmer.

Phil dit: à

nombreuses belles pages chez Montherlant, dear Delaporte, demandez au prestigieux pauledel, étayées par une solide connaissance de ses classiques ce dont Nothomb ne peut se prévaloir. certes froussard, comme le lui a reproché Gide, pas de cadeaux entre pédérastes, mais en latin ça passe toujours mieux.

Delaporte dit: à

Par contre, je n’imagine pas la petite Amélie employer le vilain mot « pédéraste ». Elle est trop bien élevée. Il paraît qu’elle a mangé récemment chez la reine des Belges. Jamais dans la conversation ne résonna le mot « pédéraste », même à propos de Montherlant ou de Gide. On peut lui faire confiance, à Amélie…

Delaporte dit: à

« nombreuses belles pages chez Montherlant, dear Delaporte »

Oui, mon cher Phil, c’est indéniable. Mais trop souvent, quand même, un pastiche du Grand Siècle, à mon avis. C’est un auteur qu’on doit lire à l’adolescence, surtout, et puis ensuite pas la peine d’y revenir.

Phil dit: à

oui Delaporte, comme d’ailleurs les meilleurs livres de Montherlant sont écrits dans sa jeunesse, Le songe par exemple. La préoccupation romaine n’est pas occultée par cette curieuse misogynie qui n’a jamais affecté Gide, par ailleurs soucieux du mot juste comme celui de pédéraste que Nothomb a tort de ne pas savoir employer. sans doute le travers d’une fille de diplomate

christiane dit: à

Gisèle,
ouf ! un malentendu de moins sur ce fil. Oui, « Le mystère Jérôme Bosch » était fantastique mêlant l’analyse rigoureuse du documentaire du « Jardin des délices » à des animations incroyables mêlant cocasserie et rêve. Le foisonnement des interprétations n’est jamais fermé. Les spécialistes apportent d’autres pistes… En ce sens je comprends mieux votre jubilation. Vous avez créé par votre lecture (ce fameux commentaire) une animation à laquelle je n’aurais osé rêver.
Pour Cécile Reims et Hans Bellmer, la réflexion de Pascal Quignard doit être passionnante. C.R. a interprété au burin ou à la pointe sèche des centaines de dessins d’H.B.. Le résultat est d’une grande beauté. J’avais visité en 2004, à la BNF, une exposition de ses travaux. J’ai découvert ainsi ses premiers burins d’inspiration figurative (La Seine, les pêcheurs, des visages et des paysages…). Sa rencontre avec Fred Deux a été décisive. Le surréalisme…
Suivent « les métamorphoses d’Ovide » et le « Bestiaire de la mort ».
Puis elle grave pour un autre et quel autre Hans Bellmer ! avant finalement de graver à nouveau pour elle-même. Rencontre avec Leonor Fini (moins tragique que H.B et F.D)
Sa « chenille »… des chrysalides magnifiques… Et les « Cosmogonies »… On ne sait plus ce que l’on regarde. C’est comme de l’enfoui qui ressurgit : des atomes ? des cellules ? des plantes ? ça devient parfois minéral… la face cachée des choses… des images chimériques…. (elle aussi à son Paradis différent de celui de J.Bosch. C’est l’expulsion de cet Eden qui la hante et ce qu’il reste d’irréel tapi, enfoui dans le réel. une levée de fantômes… humanité perdue…)
et ce qui a dû passionner Pascal Quignard dans le travail Reims/Bellmer c’est la forte valeur érotique des œuvres créées à quatre mains (dessins/ gravures).

Quand vous écrivez : « Quignard était en dehors,de toute ligne connue. Mais les mêmes thèmes apparaissaient et, si l’on s’accrochait, on pouvait suivre les détours d’une pensée sans confusion. (…) Quignard est-il un grand romancier ? je ne crois pas, un grand écrivain ? sûrement. Pas un théoricien, un chercheur au parcours étonnant. »
Cela me parle. Je crois avoir suivi le même chemin.
Avez-vous ouvert le lien que j’avais adressé à Jazzi sur Jean Rustin ? Une façon de mieux le connaitre. Très bel entretien.
Celui-ci est de très haute volée, aussi:
http://charlottewaligora.com/critique-art/1139/

Mise au Point dit: à

Mais, Clopine, qui donc, pour reprendre vos propres termes « tombe à bras raccourcis, désigne, et conspue, » si ce n’est, et jusqu’à plus soif, le tandem Jaloux Pabo?

Pablo75 dit: à

@ Bételgeuse

Ce matin tu m’as dit:

Bételgeuse dit: 25 septembre 2018 à 9 h 03 min
Pablo, occupez vous de vos fesses. Merci.

Et après, tu as passé la journée à t’occuper des miennes (même si, je te l’avoue, je ne lis que la première ligne de tes messages mallarméens – dont l’effort pour les comprendre ne compense jamais le temps qu’on met à les décoder – quand on y arrive):

Bételgeuse dit: 25 septembre 2018 à 9 h 09 min
Bételgeuse dit: 25 septembre 2018 à 9 h 13 min
Bételgeuse dit: 25 septembre 2018 à 9 h 25 min
Bételgeuse dit: 25 septembre 2018 à 9 h 40 min
Bételgeuse dit: 25 septembre 2018 à 10 h 25 min
Bételgeuse dit: 25 septembre 2018 à 10 h 28 min
Bételgeuse dit: 25 septembre 2018 à 15 h 19 min
Bételgeuse dit: 25 septembre 2018 à 15 h 26 min

Alors, ma poule, il faudrait savoir…

Et Alii dit: à

A Peculiar Character From a Hieronymus Bosch Painting Comes to Life on the New York City Subway
Artist Rae Swon recently brought a fantastical creature from The Temptation of St. Anthony to life on the New York City subway. After creating the modern-day costume using needle felting and other found materials, Swon took her character for a subway ride through Manhattan.
sur colossal pour lavande

Pablo75 dit: à

@ hamlet

« tes critiques sur la forme ne font que confirmer la vérité de mn propos sur le fond. »

Quand je parle de toi je ne parle que du fond – la forme, le ton, n’étant que la cerise sur le gâteau.

Relis mon post

Pablo75 dit: 25 septembre 2018 à 12 h 09 min

il ne parle que de ton fond.

Et ton fond il n’est pas beau à voir. Ton fond est la violence qui produit en toi ton profond complexe d’infériorité, une violence qui va jusqu’à traiter de nazi ceux qui utilisent l’expression de 1850 « rat de bibliothèque »… C’est dire si ton fond est pourri par ton complexe, un complexe qui te rend dingue quand quelqu’un parle de Haydn ou Schubert et qui te fait confondre la Shoah avec les polémiques ici.

D’autres que moi te l’on dit: tu es un type pernicieux, pervers, manipulateur. Et un menteur compulsif aux multiples pseudos.

Il va falloir que tu ailles faire ton cinéma ailleurs, parce qu’ici tu es grillé. Ton cinéma qui rappelle celui du révérend Harry Powell, le personnage interprété par Robert Mitchum, dans « La Nuit du chasseur ».

Janssen J-J dit: à

Impression que les links ont remplacé l’argumentation chez les internautes, comme une 8e fonction du langage. Tantôt, ils sont ou fonctionnenr comme des signes d’amitié (Christiane), tantôt comme des signes d’apaisement (Langoncet), tantôt comme des incitatifs à la pédagogie… (pour faire aller plus loin), tantôt comme des arguments d’autorité mâtinés de mépris (« lis donc ou regarde donc ça, pauv’tâche inculte, au lieu de… et prends-en de la graine »), tantôt un lien sotensiblement présenté comme incompréhensible pour le commun, un signe d’élection pour personnes averties («  »communions dans notre musicalité, laissons la plèbe écouter, mais qu’elle vienne surtout pas nous troubler »), tantôt enfin comme exercice d’exhumation difficile, pour se faire reconnaître comme un excellent internaute renifleur.
Et tout cela à la fois… Hélas, la « linkologie » ne fait pas avancer les nécessités de l’intercompréhension humaine. Mais on sait qu’elle est surtout pas faite pour ça.
(NB : parfois, j’éprouve de m »exaspérer de recevoir des liens à titre perso que l’on n’a pas demandés, ou parce qu’on les connait déja. Flatteur parfois, mais le plus souvent vexatoire offensant selon l’humeur du moment, comme si on ne savait pas les chercher par soi-même, alors que ça part sans doute d’un bon sentiment chez alter. Alter vous veut du bien, et on le reçoit mal… Peut-être que les links à cliquer font moins mal que des injures proférées… C’est un nouvel apprentissage à aquérir. Pas se tromper).

Ed dit: à

Pourquoi ne suis-je pas étonnée que Delaporte aime Montherlant ?

Chaloux dit: à

Pablo, je crois que la pauvre Bétonneuse (me souviens plus de son pseudo) est complètement grillée, plus aucun lambeau de surmoi,- que la pauvre Gigi, après une crise médicale dont rien ne nous aura été épargné, est de nouveau bien calée dans sa cou.che remplie de névrose obsessionnelle,- et que, contrairement à ce que j’entends ici ou là, Rantanplan n’est pas mort: « Paul Edel, blessé que l’on puisse attaquer et son œuvre sous son nom d’écrivain, ses textes (sur son blog ou ici) et sa vie privée.

Chaloux dit: à

@Pablo. Suis modéré. Reviendrai une autre fois.

Bételgeuse dit: à

Pablo, nonostant votre propension à l’insulte, votre tendance à l’agression qui émaille nombre de vos post, votre mépris agrémenté de nombre de propos humiliants, sachez que je n’ai que faire de vous si ce n’est intervenir quand cela me chante pour vous signifier votre pretention totalitarisante. Et vous pouvez mémoriser tout ce qui vous amuse et en bon maniaque , je m’en fiche comme de la première agression sexuelle que j’ai subie et qui n’a laissé la trace que d’un mauvais souvenir sur la jeune fille vierge que j’étais alors et s’est laissée abusée par la suite et par d’autres sur d’autres registres que celui cité précédemment et qui malheureusement n’ont réussi qu’à forger une piètre idée du sexe masculin qui s’illustre dans d’autres domaines que celui ci. Abus de confiance, sadisme, indifférence, mensonges, vols et escrocqueries quand ils ne violent pas le fruit de leur union. Comprenez ma méfiance et mon indifférence à votre égard et à tout ce qui peut venir d’un ami d’un ennemi, d’un qui manque de discernement au point de ne pas répéter des malfaisant(es) jouant les vierges effarouchées ou les jeunes filles de bonne famille au jugement sur et inébranlable. Voilà, ce sera tout vous concernant. Je salue néanmoins votre réussite concernant l’éducation de vos enfants qui rendrait à prouver que vous n’êtes pas si mauvais que ça, si j’en juge par mes échecs je suis bonne à jetter aux gémonies.

closer dit: à

Ça n’a pas l’air si mal finalement Quignard!

Je suis allé feuilleter le livre dont parle Passou, j’ai lu quelques pages et j’ai presque eu envie de continuer…Le problème est que j’en ai trois autres en cours.

Pourquoi Passou cite-t-il si souvent des passages des livres qu’il commente, qui donnent envie de NE PAS les lire? Cela vient sans doute d’une espèce de snobisme ou, pire, d’une soumission à l’injonction ambiante de ne surtout pas avoir l’air classique ou conservateur. Il cherche des citations qui pourraient donner un aspect au minimum inattendu ou mieux encore, transgressif, au livre. Si l’objectif est de rendre le livre attrayant, c’est bien entendu toujours raté.

closer dit: à

Pas de majuscules dans le texte, sinon panpan modération…

Et Alii dit: à

Le plus célèbre des 4 ouvrages de Grothendieck est « Récoltes et Semailles », une autobiographie de 1.500 pages rédigée en 1985. « Pour avoir une idée de la vision des mathématique selon Grothendieck, il faut absolument lire les 60 premières pages de ce livre, qui sont à la portée de tous », enjoint Jean Malgoire. L’ouvrage, en cours de réédition pour une prochaine parution, est disponible gratuitement en ligne. A consommer sans modération.

CLopine dit: à

Ed, parce que Montherlant est un vieux macho qui a fondé sa vision du monde sur le miroir narcissique de sa supériorité. Du coup, tous les mecs de droite et d’extrême-droite, dont le catalogue littéraire est tellement moins fourni que celui des humanistes et des libertaires, se retrouvent en lui. Mais si vous lisez « les jeunes filles », par exemple, franchement, vous ne pouvez plus faire autrement que rigoler un bon coup. Et puis après, soupirer : « Comment ? C’était ce genre de type qui « faisait la pluie et le beau temps » dans les lettres françaises ? Comment ? Les rapports entre hommes et femmes décrits-là ont vraiment existé ? » Alors vous pensez, le coeur vaguement oppressé, à vos grand’mères, et puis vous refermez illico presto la Manthurle pour vous précipiter, soulagée et ravie, dans les bras d’Amélie Nothomb, ou, si vous voulez être plus intello, dans ceux (moins grands ouverts et plus ballants) de Marguerite Duras. Des vivantes, celles-ci, physiquement pour l’une et littérairement pour l’autre, alors que l’autre mort, là, a heureusement débarrassé le plancher des vaches de sa bouseuse présence.

CLopine dit: à

Parlez pour vous, Closer. Bibi, c’est notre hôte qui m’a donné envie ! Et voici ma nuit prochaine peuplée quignardement…

Bételgeuse dit: à

Repérer, subie, vos jugements sont parfois grotesques. Votre acharnement digne du fox terrier qui n’est pas le pire des chiens ne lâchant pas sa proie. Les hommes sont pires.

Bételgeuse dit: à

Pablo, pour la poule, revoyez les pro que je vous suppose de pas dédaigner. Et lâchez moi le l’atique, SVP.

Bételgeuse dit: à

L’eslastique.

Ed dit: à

Exactement, clopine. C’était une question réthorique.

Phil dit: à

Dame Clopine, votre lecture de Montherlant est un peu courte et irritante, l’écrivain latiniste a sans doute vaguement « Pompée » son trône en littérature française mais son style le garde des phrases racornies à la Duras qui assèchent les productions d’aujourd’hui, dont celle de la fausse jeune fille Amélie Nothomb.

Ed dit: à

bérénice, faut pas rester ici. Vous gênez tout le monde. On ne comprend rien à vos délires, si ce n’est que vous insultez tout le monde. Je sais que les journées se rafraîchissent et raccourcissent, mais trouvez-vous une occupation. Bon allez, je file moi aussi.

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