Pascal Quignard s’abandonne
« Abandon » est un mot qui finit bien. Quoi de plus noble que le don, le vrai, celui qui n’attend rien en retour ? Ce qui le différencie de la donation en paiement de droits de succession. Un don pur et sec. Sans contrepartie. Le cas de Pascal Quignard né à mi-chemin de l’autre siècle. Un tel geste a quelque chose de testamentaire. Lorsqu’un écrivain se retourne pour ne pas se perdre de vue, et qu’il a conscience d’avoir plus de livres derrière lui que devant lui, des livres à lire et des livres à écrire (et Quignard ferait certainement sien le mot de Borges : « Que d’autres se flattent des livres qu’ils ont écrits ; moi, je suis fier de ceux que j’ai lus »), il se sent pris par le démon de la légèreté.
Pour écrire encore, il lui faut s’alléger du fardeau de sa mémoire de papier, de tout ce qui dans et pour son œuvre a fait archive : manuscrits, lettres, documents, partitions, livres, dessins, tableaux, photos etc Soit il succombe alors au syndrome de Kafka et se trouve un ami à qui tout remettre en lui demandant de tout détruire à défaut de l’avoir fait lui-même ; soit il le confie à une grande institution : BnF (Bibliothèque nationale), Imec (Institut mémoires de l’édition contemporaine), Académie française, Archives nationales, Bibliothèque Jacques Doucet…
« Je ne sais pourquoi ce geste universel (de l’abandon) s’est perdu, mais je sais quand. Il s’est perdu avec les héros qui aimaient tant la mort. Il s’est perdu avec le dieu monothéiste. Avant qu’il fût érotique, il était thanatique. Durant des millénaires le bras droit se relevait, se repliait sous la tête, le guerrier offrait son cou ou son cœur à la pointe du glaive ou au fer de la lance. Puis l’amoureuse son flanc, son ventre, son sexe. Puis l’extatique abandonna l’ensemble de son corps à l’intrusion du dieu. Puis l’amoureux de vin, tenant la coupe dans sa main gauche, le bras droit placé sous la nuque, se mit à perdre l’esprit dans l’ivresse et dans le chant bouleversant de la musique ».
L’auteur des Petits traités, de Tous les matins du monde, de Vie secrète, des Ombres errantes (Prix Goncourt 2002) et de tant d’autres du cycle Dernier royaume (le onzième tome paraitra chez Grasset le 2 septembre sous le titre L’Homme aux trois lettres) loués, laurés, traduits, commentés, étudiés, a choisi la BnF : outre des raisons de personnes et d’amitié, elle était à ses yeux la seule à lui assurer que son don serait unifié, définitif et numérisé. En se délestant de son vivant, l’écrivain épargne ce souci à ceux qui lui survivront. La chronique de la vie littéraire est pleine d’histoires de famille qui tournent au vinaigre puis à l’aigre quand elles ne trouvent pas leur issue devant les tribunaux. On dit que les éditeurs, qui en ont parfois la charge, sont de bien médiocres exécuteurs testamentaires ; il est vrai qu’en l’espèce, le droit moral parait bien fragile face au droit patrimonial.
Si Pascal Quignard a touché à tous les genres et ne s’est jamais interdit une échappée ou un pas de côté, l’examen de sa bibliographie frappe en ceci que la rubrique la plus volumineuse n’est ni « roman » ni « contes » mais « Autres », laquelle contient ses livres qui échappent à tout classement. Or ce nouveau fonds, dont la BnF peut désormais s’enorgueillir parmi bien d’autres, des papyrus égyptiens aux papiers de Claude Lévi-Strauss, frappe par sa cohérence. Car, dit-il,
« …tout ce que je fais ne poursuit qu’un seul élan : les partitions de musique que je compose, les dessins ou plutôt les scrabouillages qui amorcent et concluent chacun de mes livres, les affiches des spectacles, des colloques, des films, les rushes des documentaires, bien sûr les brouillons mais aussi tous les tirages de luxe un à un de mes livres, mes tournées de performances de ténèbres, les programmes, les photos de la corneille Ba Yo et de la chouette Bubbelee avec lesquelles je joue dans l’obscurité, les présentations de mes conférences, les livrets qu’on distribue sur les fauteuils avant les concerts… »
Le moins spectaculaire n’est pas le moins enrichissant pour ceux qui le suivent de livre en livre : les classeurs contenant toutes ses lectures depuis son premier livre en 1968. Ils sont le cœur vivant de son œuvre. Lui qui aurait rêvé d’inscrire « Profession : lecteur » sur son passeport se reporte en permanence à ces milliers de pages perforées dans lesquelles il s’est fait le greffier minutieux de tout ce qu’il a lu depuis plus de cinquante ans. Comme il compte y recourir tant qu’il écrira, cet ensemble fera partie plus tard des deux éléments qui viendront compléter son don. L’autre recueil qu’il conserve encore par devers lui est une collection de dessins érotiques de Jean Rustin (1928-2013), grand artiste dont il fut l’ami :
« Pour le plaisir d’en avoir la jouissance jusqu’à l’instant de mourir » confie l’auteur du Sexe et l’effroi et de la Nuit sexuelle.
Et les manuscrits de ses dizaines de livres ? Il n’y en a qu’un, celui de Boutès (2008), le seul qui ait survécu parce qu’une chercheuse, Irène Fenoglio, s’en était emparée pour les besoins d’une étude génétique sur ses trente-deux versions successives, avec chutes et dessins… Tous les autres, il les a détruits aussitôt après leur publication. Juste pour faire le vide en lui. Faire place nette.
« Je brûle afin que chaque oeuvre neuve arrive de nulle part. En sorte que chaque matin elle arrive dans son aube » dit-il.
L’origine enfouie de son geste de l’abandon est à chercher du côté d’une Vénus enivrée et endormie peinte par Nicolas Poussin, et dont on retrouvera l’écho et les reflets dans le catalogue aux éditions Hermann, sous la direction de Mireille Calle-Gruber, et l’exposition que la BnF consacrera au don de l’écrivain à la rentrée, « si les conditions sanitaires le permettent »…
Mais pourquoi cette figure serait-elle celle de la déesse Vénus enivrée ? Quel est le mythe auquel cette image fabuleuse dans ce cas référerait ? Quel nom faut-il donner à cette jeune femme dont le geste de l’abandon est sans doute le plus beau de tous ceux que j’ai vus et que je me suis efforcé de rassembler ?
(Nicolas Poussin, Vénus endormie avec l’amour, vers 1626, Gemäldegalerie Alte Meister, Dresde ; « Pascal Quignard » photo Bertrand Desprez ; Jean Rustin, Femme sur un drap bleu, 1986, Acrylique sur toile, Fondation Francès)
1 117 Réponses pour Pascal Quignard s’abandonne
Et l’expo, galerie des donateurs, à la BNF qu’est-elle devenue ? (annulée à cause du confinement). Enluminures, photos, correspondances, manuscrits, éditions rares, films, manuscrits de Boutès (32 ?)… j’aurais bien aimé y passer…
Je trouve ça bien qu’il se soit délesté de toutes ces traces…
« Le « démon » de la légèreté »… Pourquoi « démon » ?
Bonjour Passou, de la plage abandonnée. Enfin, noire de monde, et sans culnu.
Quignard, érotisme froid, mélancolie chaude, retiré dans les multiples coins secret de sa vie, mais publiés avec méthode comme tout exhibitionnisme pudique qui est la marque des vrais écrivains. Ca se voit dans « Villa Amalia » livre alternativement sombre et lumineux, écrasé de la lumière d’Ischia, puissant par ses silences et son dépouillement. Références latines et grecques devenant asile, refuge, île érudite, œuvre placée au sommet d’une colonne pour stylite qui célèbre les latins oubliés, devenant un enseignant d’élégies oubliées,, de violences de sentiments qui ont disparu, de textes que les autres moines avaient laissé sous la poussière.. Quignard archéologue et amoureux. Plein de délicatesse dans les différentes missions qu’il se donne à l’ écart du brouhaha médiatique. Il se baigne dans les eaux du Léthé avec une curieuse joie. Quignard à la fois Quinte Curce, et Quintilien (Q comme Quignard..) rhéteur et grammairien un peu surréaliste dans l’étalage d’ouvrages perdus ou oubliés, et de sa réelle culture, fin moine du Moyen âge dans la conservation de textes enfouis au fond de la cour du monastère près de la réserve à bois … raffiné sans doute dans de secrets désespoirs vécus qui se retrouvent collés dans « le salon du Wurtemberg » et « la Villa Amalia » , pur nous chuchoter que les fictions romanesques sont du domaine du vrai. Oui,vrais grands bouquins. .Moine en robe de bure bien exhibée.. Vieillissant, c’est curieux comme il ressemble à Claude Simon sur les photos.
Vieillissant, un corps d’ascète et un regard de rapace qui vous maintient soigneusement à distance.
Ses écrits.
Sa musique.
Pendant le confinement, j’ai extrait de ma bibliothèque tout ce dont j’avais la certitude que je ne le relirais pas, dont un certain nombre, la totalité en fait, des quignardesques quignarderies. Quignard m’intéressait en marginal (à supposer qu’il l’ait jamais été et qu’il ne faille voir là une pitrerie supplémentaire), il sera un très ennuyeux monument. Je n’ai plus envie de m’ennuyer. Finalement, il me semble qu’il aurait dû rester modeste organiste de village. Encore un destin de manqué.
(Je n’ai toujours pas compris qu’il ait accepté, lui qui méprise Yourcenar, le prix Yourcenar. Au fond, c’est un comique).
Ce dont on se souviendra : une amusante anecdote de cravate absente, au cercle de la marine.
Un état d’abandon ou de paresse pour les dames nues de Poussin, Rustin ou… Courbet ?
http://www.gallimard.fr/Catalogue/MERCURE-DE-FRANCE/Le-Petit-Mercure/Le-gout-de-la-paresse
Pour moi, deux très beaux textes de Quignard, Le Sexe et l’effroi et Dans ce jardin qu’on aimait, où le stilite n’est pas que styliste.
Et puis ce film sur Saint-Colombe et Marin Marais, où le jansénisme est enfin mis à la portée du plus grand nombre.
Tous morts et enterrés aujourd’hui: Alain Cornaud, Jean-Pierre Marielle, Guillaume Depardieu.. Tous sauf le Père, Gégé de Châteauroux,alias Quentin de Montargis, citoyen d’honneur de la République de Mort-dovie, putinien fidèle & assidu, culbto insubmersible. Vie du Mort-dove : le sexe le froid.
L’origine enfouie de son geste de l’abandon est à chercher du côté d’une Vénus enivrée et endormie
si c’est lintro a ton nouvel opus « aphrodite au ghb » laçouline..jachète en primeur comme il disent a gallimard
..avec quignard polo..j’ai toujours l’himpression dme rtrouver à l’étage 71/2..
https://www.youtube.com/watch?v=zLjeJCN_i0Q
(Je n’ai toujours pas compris qu’il ait accepté, lui qui méprise Yourcenar, le prix Yourcenar. Au fond, c’est un comique)
..excellent..jme dmande si bonne clopine cherche pas la trppe de troplein dans les tinettes qui donne sur..et baroz est ptête..complice!
Vieillissant, c’est curieux comme il ressemble à Claude Simon sur les photos
non polo..non..bouche moi toutes tes trappes à la con..
Le témoignage d’une femme rompue, qui demeure cependant un roseau pensant.
baroz à son meyeur!..permet que je te pollue par un ‘polo en chêne sentenère et a tête de gland’
poussin a dla patte de gros lapin..lors que rustin que dla main dsinge..
« si les conditions sanitaires le permettent »…
ça fait vénérien qu’elle dirait tèrezoune..dirphiloo abondrait
« Que d’autres se flattent des livres qu’ils ont écrits ; moi, je suis fier de ceux que j’ai lus »
moi lecteur chus lbro dpersonne qu’il dirait jicé..
« Le « démon » de la légèreté »… Pourquoi « démon » ?
seul un flahute peut comprende..les autes c’est pas des hélus..qu’ils crèvent ferdom comme hon dit a wormhout
quignard avec ses pulls pauvre sans chmise il a réussi a sfaire un look de louloup dsalon..poli.. un peu malnourri mais qui tape pas trop dans mes cachuétes et mon chivasse qu’il dirait laçouline..et sans puer des pieds attation!..je trouve que le bilan est globalment positif
greubou toi, avec tes envolées lyriques et tes pensées profondes t’es un peu le Quignard du blogapassou :
ôôô la lumiaiiire qui pénèèètre en moi comme le glève du guérié combat sur la sâââble de l’araine, et la sèèèève monte du tronc, et les raaacines pénèèèèètre le saule et s’ééétednt jusque l’haurison.
Regaaaarde Greubou si tu l’hause cette lumièèère, c’est la lumièèèère de la viheu, ton aispry s’éloigne de toi pour voler dans le ciel jusqu’aux étoiles loitaines qui brillent dans le ciel : la voix lactai Greubou !
Si un jour on me décerne le prix Marguerite Yourcenar, (je me demande bien pourquoi), je leur jouerai La marche turque.
Pablo, connais-tu la musique de Quignard?
Pauvre Marguerite, que de sottises on commet en ton nom…
Que de vanité accucumulée chez ces précieux ridicules. C’est incroyable.
Hurkhurkhurk!
Greubou tu sais quoi ? t’es qu’un nullos même pas sensible à la transcendance la poésie musicale !!! celle qui élève ton âme !
tu sais pourquoi ? parce que t’y conné rien au Vrai et au Beau !
demande au Pédro y va t’expliqué, l’pédro il est comme Quignard c’est un défenseur des Valeurs Universelles ! alors que toi Greubou tu sais même pas c’est quoi les Valeurs Universelles !
et après ça vient faire le malin sur le blogapassou, sérieux j’y crois même pas comment c’est possible des choses pareilles !
« Puis l’amoureux de vin, tenant la coupe dans sa main gauche, le bras droit placé sous la nuque, se mit à perdre l’esprit dans l’ivresse et dans le chant bouleversant de la musique »
c’est beau comme un mix de Baudelaire et de Michel Onfray : ça sent le terroir.
Ici, la version longue, très longue, qui ne dure pourtant que quatre minutes.
Le prix Yourcenar est doté de 8000 euros. Peut-être un autre écrivain, plus obscur et moins méprisant à l’égard de Yourcenar, aurait-il eu davantage besoin de ces 8000 euros.
« l’amoureux de vin, tenant la coupe dans sa main gauche, le bras droit placé sous la nuque »
un droitier ça tient le verre de la main droite avec le bras gauche sous la nuque ! alors que là c’est un gaucher, question symbolistique c’est loin d’être un détail.
Tous ces prix littéraires sont vraiment de la merde.
Geubou question : tu sais c’est qui Bacchus ?
c’est le type qu’a inventé les annales pour réviser le bac, elles portent son nom : les bacchanales.
« Pour le plaisir d’en avoir la jouissance jusqu’à l’instant de mourir » confie l’auteur du Sexe et l’effroi et de la Nuit sexuelle
..hencore du subliminal pour que dédé phinisse comme son héro david caradine
Tous ces prix littéraires sont vraiment de la merde
mon larbin se sent l’étoffe..(laçouline sdemande pas pourquoi)
Il s’est perdu avec les héros qui aimaient tant la mort. Il s’est perdu avec le dieu monothéiste
grace a rené girard dirphiloo la retouvé au baqueroume
« les classeurs contenant toutes ses lectures depuis son premier livre en 1968 »
Il ne manque pas un mot dans la phrase? « les classeurs contenant toutes ses FICHES de lecture depuis… »
« les partitions de musique que je compose, les dessins ou plutôt les scrabouillages qui amorcent et concluent chacun de mes livres, les affiches des spectacles, des colloques, des films, les rushes des documentaires, bien sûr les brouillons mais aussi tous les tirages de luxe un à un de mes livres, mes tournées de performances de ténèbres, les programmes, les photos de la corneille Ba Yo et de la chouette Bubbelee avec lesquelles je joue dans l’obscurité, les présentations de mes conférences, les livrets qu’on distribue sur les fauteuils avant les concerts… »
Très étonnant cet article: on dirait qu’on parle d’un Grand Nom de la Littérature, d’un Grand Écrivain assuré de passer définitivement à la Postérité, d’un nouveau Leonardo da Vinci de la Création Artistique Tous Azimuts dont chaque trace doit être conservée religieusement.
Or, il ne s’agit que de Pascal Quignard, un écrivain de 7ème ou 8ème zone dont personne connaîtra le nom dans 50 ans.
Quignard m’intéressait en marginal (à supposer qu’il l’ait jamais été et qu’il ne faille voir là une pitrerie supplémentaire), il sera un très ennuyeux monument. Je n’ai plus envie de m’ennuyer. Finalement, il me semble qu’il aurait dû rester modeste organiste de village. Encore un destin de manqué.
Chaloux dit:
Peut pas mieux dire, surtout si on ajoute ton « des quignardesques quignarderies » qui décrit si bien son « Oeuvre ».
connais-tu la musique de Quignard?
Chaloux dit
Première nouvelle…
« Que de vanité accumulée chez ces précieux ridicules. C’est incroyable. »
Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon à Paris il n’y aurait plus d’écrivains ni d’intellos. Le milieu littéraire parisien a toujours été ridicule, mais maintenant il n’y même pas de Grands Histrions, uniquement de petits.
Quignard en vidéo a l’air d’un grand acteur qui jouerai une grande pièce dont il serait l’auteur devant un public très cultivé. Or ce qu’il dit n’a pas le moindre intérêt.
C’est étrange de donner le Prix Yourcenar à des écrivains qu’elle aurait méprisés (voir ce qu’elle dit dans ses conversations avec Matthieu Galey sur les écrivains français de fin des années 70)…
Tu devrais écrire des petits textes féroces sur tous ces médiocres qui se prennent pour des génies, une espèce de « Quarante médaillons de l’Académie » de Barbey d’Aurevilly.
« Rivarol a fait, un jour, un Petit almanach des grands hommes. Pourquoi ne ferions-nous pas un Grand almanach des petits ? »
https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Quarante_M%C3%A9daillons_de_l%E2%80%99Acad%C3%A9mie
Bonjour Passou, de la plage abandonnée. Enfin, noire de monde, et sans culnu.
Marie Sasseur dit:
Elle est complétement folle, Marie la Chiasse: elle croit que P.A. a quelque chose à branler (pour le dire finement) de savoir s’il y avait ou pas du monde à la plage.
Ou alors elle le drague, elle est en train de l’inviter à une promenade (chaste) main dans la main sur la plage, genre « Un homme et une femme » de Lelouch …
@Pablo. Suis plié en quatre en te lisant. Le problème, c’est qu’avec ce genre de portrait-charge on finit au tribunal.
La France est devenue un pays littérairement ridicule (et Pissou y est pour beaucoup. Merci Pissou!).
J’avais bien écrit « vanité accucumulée!
Castex a une tête à mettre la France entière dans la rue. C’est le dernier acte du macronisme.
Quignard, c’est l’art du grand mettre.
Hurkhurkhurk!
@ Chaloux dit
Ah, j’avais pas vu le jeux de mots…
Tout à fait d’accord sur Castex. C’est une folie de mettre un type pareil à la tête du gouvernement avec la tempête sociale qui va se déclencher à la rentrée… (à moins qu’un 2ème confinement la retarde). On dirait que Macron est en train de devenir fou…
Castex, c’est l’illustration parfaite de la phrase de Marx que tout le monde répète aujourd’hui, à propos des grands phénomènes qui apparaissent deux fois, la première sous forme de tragédie, la seconde sous forme de farce.
On a déjà un peu tout dit sur Quignard, enfin, pour ce qui le concerne, j’ai ce sentiment. De tous ses livres lus,-peu en vérité , j’en compte cinq 5- je garderai une préférence pour vie secrète et villa Amalia.
Pour le reste, une vision kaléidoscopique de l’histoire , avec des anecdotes, parfois dénaturées, qui mises bout a bout n’ont aucun sens. Alors que Quignard en cherche un.
Pascal Quignard a le magnétisme du sorcier, il faut juste soutenir le regard.
Me fait penser, avec les années, à Jafar.
Ok, ok, le soleil tapait dur sur la plage.
Sinon, il donne quoi exactement à la BnF ?
A mon avis rien qui ne résiste au soleil à travers la vitre…lol.
Bonne soirée.
Ah, j’ai compris, Quignard fait don de son corps à la Bnf.
Sauf qu’on aimerait bien voir le tableau !!!
J’en ai gardé deux. Les escaliers de Chambord, pas lu, et le salon du Wurtemberg que j’ai lu en 88. Je me réserve la possibilité de le relire, pour 88. Quignard était à son meilleur, il faut l’avouer, en romancier mineur.
Un nouveau prêcheur, Quignard. On a déjà eu l’occasion de le dire. Jusqu’a faire le spectacle à l’église.
Prenez, et buvez divin.
Un vin de messe, assez âpre, et tu as eu la raison du raisin, amlette,( ducon, si tu y tiens) de sortir Bacchus, au moins c’est plus drôle.
Je ne souhaite plus participer à des querelles sur Pascal Quignard. Nous en avons si souvent eues à son propos sur ce blog. Et les livres de lui que nous aimons, détaillés, ici, sur d’autres pages.
C’est un écrivain que j’apprécie.
J’espère que cette exposition verra le jour.
https://www.bnf.fr/sites/default/files/2020-02/CP_Pascal_Quignard_fragments_ecriture_2.pdf
Ah ben ça, la foldingo, ne nous empêchera pas de relire les pages rdl, que Passou a mises en lien. Édifiant.
La où ça sent vraiment le sapin, c’est dans sa barque silencieuse.
C’est toujours la même histoire eculee, chez Quignard, un évangile un peu new age d’Éros et Thanatos. Plein de détails que personne n’ira vérifier, et pourtant !
Pascal Quignard a le magnétisme du sorcier, il faut juste soutenir le regard.
Marie Sasseur dit
Elle est chaude aujourd’hui, Gregorette Samsa…
Ou saoule, comme d’habitude:
« Prenez, et buvez divin. Un vin de messe, assez âpre, et tu as eu la raison du raisin, amlette,( ducon, si tu y tiens) de sortir Bacchus, au moins c’est plus drôle. »
La petite ordure franquiste s’ennuie de moi?
Fallait pas !
J’ai passé une merveilleuse journée abandonnée au soleil, sur un rivage surpeuplé. Avec un bouquin, bien sûr.
A demain, plutôt le soir, car la journée va être chargée.
Dimanche, 05/07/2020, 20h22
C’est amusant ce retour à 2016. J’y vois que j’ai longtemps répondu poliment à Gigi la visqueuse. J’ai toujours eu le mépris progressif et je n’écrase entre deux ongles qu’à la dernière extrémité.
Hurkhurkhurk!
Qui a lu le le texte de Clopine? Est-ce que Mon Sieur Letaulier a demandé à le lire?
Étonnante similitude du tableau de Rustin avec celui de Caillebotte, son nu au divan :
https://www.baudelet.net/val-yerres/gustave-caillebotte/nu-au-divan.htm
Si l’on s’en tient à un pubis fourni, les rapports prendront comme un incendie sur les monts corses : tout sauf fortuit, tout pour la cause. Votre comparaison n’est pas persuasive Pat V. Bonne Soirée.
https://www.youtube.com/watch?v=uV6-vY4O5us
Je préfère de loin la Caillebote qui s’il traite le nu est moins impudique. Hormis le sujet, nu extatique, le bleu pâle utilisé dans les deux compositions picturales,, le Caillebote serait plus proche par son souci du décor et l’exécution de Lucian Freud. Rustin, si ce n’était expression du visage pourrait faire penser à un corps extrait du frigidaire d’une morgue
Pour en avoir sorti quelques-uns dans un cadre professionnel , en tout cas, c’est ce qu’il m’inspire. On pourra toujours vanter le minimalisme ou l’épure à l’oeuvre mais à mes yeux il est presque morbide. Voulu-t-il traduire la petite mort?
Ce tableau de Rustin m’apparait comme du sous-Lucian Freud. On dirait qu’il ne reste à cette pauvre femme que quelques minutes avant qu’on la mette dans un sac pour la transporter dans une chambres froide à Rungis.
Etonnant, je n’avais pas lu B avant d’écrire mon petit commentaire…
Chaloux, après avoir traité Clopine de grosse conne entre autres insultes dégradantes et humiliantes, votre versatilité et votre intérêt pour sa prose, sa situation, prouvent que vous n’êtes pas fossilisés dans un mépris intransigeant et la cruauté . Quelle bonne surprise que ce trait d’humanité qui soudain vous occupe . Auriez-vous retrouvé la raison? Il faut noter que la gratuité ne vous a jamais effrayé, tant que ça n’engage à rien, à aucune poursuite de quelque nature qu’elles pourraient être et que cela ne vous coûte que quelques phrases compatissantes, je crois qu’il a toujours été possible de compter sur vous. Mais il est remarquable et louable que vous soyez sensible à sa cause et pas avare pour une fois d’ empathie et de sympathie à son égard.
C’est qu’il faut conserver quelques cartouches pour affronter une deuxième vague automnale du virus. Là, le sujet permettra de tenir 14 automnes et 15 étés. Bonne nuit.
https://www.youtube.com/watch?v=GgUFrU6Rh_E
Votre comparaison n’est pas persuasive Pat V.
Il ne s’agit nullement de persuader quiconque ici, O.D.T.mais de remarquer chez ces deux peintres un soucis de réalisme ou plutôt une volonté d’exacerber une vision réaliste du sujet peint. Il y a chez Rustin une certaine hystérisation du sujet renforcée par la matière picturale, ce qui est la détermination de sa manière de peindre.
Chez Caillebotte, il y a une réserve à manifester un réalisme qui éveille une manière plutôt moderne d’appréhender le nu qui n’est pas un sujet habituel chez lui.( Je dis modernité que l’on retrouve comme un souci constant dans sa peinture, notamment ses peintures » vues d’en haut » qui se rapprochent des techniques nouvelles apportées par la photographie. En ce sens et paradoxalement il innove plus que Rustin. ( Et surtout pas par la pudeur! ) Rustin joue plus volontiers sur le spectaculaire émotionnel comme il le pratique dans pratiquement toutes ses œuvres.
J’ai passé une merveilleuse journée abandonnée au soleil, sur un rivage surpeuplé. Avec un bouquin, bien sûr.
Écran 30 ou 50 avec parasol, l’affluence locale et nationale puisque les vacances sont déclarées sont pour ma part comme une guerre et une condition rédhibitoire à la fréquentation des sables. A présent, je préfèrerai les matins, plus frais et moins peuplés, c’est comme si le monde venait d’être inventé et pour ceux qui aiment l’exercice, le méditerranée est rarement en plein été aux heures matutinales formée. C’est un lac aux eaux limpides et fraîches, un régal pour nager .
« Les 14 000 livres de la bibliothèque de travail de l’écrivain Carlos Fuentes ne prendront pas le chemin de l’Univer… »
Nota : mais comment peut-on se prétendre écrivain avec un tel bagage dont il faudrait pourtant s’affranchir pour le devenir.
@B,
La pudeur n’a rien à voir dans ses deux œuvres, mais comment pouvez vous parler de pudeur à propos d’un acte esthétique par définition représentation de présentation. La seconde peinture n’est pas » plus froide » que la première, vous émettez une impression qui ne regarde que vous et qui n’a aucune portée générale sur l’œuvre elle-même.
Le gris, certains l’aime chaud, pourrait-on dire à propos du tableau de Rustin.
Quant à comparer Rustin à L. Freud, c’est comme si vous compariez une brouette à un autocar, ces deux objets sont des moyens de transport mais pas de mêmes conditions ni de sensations!
L’ombelle
Observez l’expression du visage, l’une à les lèvres gonflées de plaisir, l’exposition est entière, 3excitation visible. L’autre cache son visage, son intimité expressive si ce n’est son corps est respectée et partant l’intention du peintre dévoilée. Le Rustin à mes yeux est obscène.Ceci dit je ne prétends et n’ai jamais prétendu détenir la vérité ou détenir le seul et indiscrètes à porter sur la perception d’une oeuvre. Je donne mon point de vue qui d’ailleurs en dehors des sciences pures et dures ne peut être que subjectif. Auriez vous vous aussi sorti un corps d’une morgue afin que les proches puissent décrédibilise avant le planétarium sur leur proche défunt? Vous pourriez si c’était le cas comparer.
Il est des écrivains à qui les archives nationales demandent de léguer leurs « papiers » et qui font le choix de tout détruire de leur vivant. Ne restent que les livres imprimés, les articles publiés dans les revues & les journaux et les émissions de radio ou de télé.
Très sain, tout cela. Ne reste que le muscle.
Unique regard pour indiscrètes, ce n’est pas le correcteur.
que les proches puissent décrédibilise avant le planétarium sur leur proche défunt? Vous pourriez si c’était le cas comparer
Afin que les proches puissent se recueillir avant le funerarium
Pat V, je compare Caillebote et Lucian Freud. C’est pourtant clair dans mon post. Décidément, vous n’êtes pas disposé à ce que votre regard en rencontre un autre.
De Nicolas Poussin à Nique Ol’ Pussy.
Le Rustin à mes yeux est obscène.B.
Auriez vous vous aussi sorti un corps d’une morgue B.
B.J’aime bien vous deux affirmations.
Votre première phrase est en elle-même une énigme, surtout l’expression » à mes yeux « .
Connait-on vraiment ses yeux? Comme dans l’expression je n’en crois pas mes yeux. Car je crois que parfois nos yeux nous trompent, comme l’ obcène qui qui cette image, cette scène qui nous apparait frontalement et plutôt brusquement, avec violence car inattendue et que vous ne voulez pas voir pour ce qu’elle est.
( Je pense à Quignard qui traite dans le sexe et l’effroi de l’obscène…)
Le corps sorti de la morgue, enfin. Mais qui vous faire croire que la lèvre est « jouissante »? Qui vous dit que cette femme nue n’est pas en train de rêver, d’ouvrir la bouche par souci de ne pas s’étouffer dans un corps fatigué qui cherche des bulles d’air pour exaspérer son repos?
B.J’aime bien vous deux affirmations.
VOS deux, bien sûr!
Désolé.
Porté à ma sensibilité, ma connaissance, mon expérience, si vous préférez. Clopine à pour habitude d’écrire à mon sens, cela pourrait être à mes sens qui comme vous savez enfreignent pas à tous les coups la raison ou le raisonnement. Ma lecture des tableaux est sensible, les sens sont nourris de connaissance, d’observations, d’expériences pour ce qui et acquis, le reste part d’une sensibilité qui nous est propre et aura pu trouvé à être cultivée, affinée, degrossie ou pas, pas suffisamment quel que soit le domaine où elle s’exercera.
Ne rejoignent pour enfreindre.
Qui vous dit que cette femme nue n’est pas en train de rêver, d’ouvrir la bouche par souci de ne pas s’étouffer dans un corps fatigué qui cherche des bulles d’air pour exaspérer son repos
Alanguie, voir le mouvement du bras de la main, détendus à l’extrême. Peut être attend elle d’autres caresses. Un abandon satisfait ou en attente. Il serait possible de lé- gender par « encore! » alors que le Caillebote accueillerait un » ne me regardez pas ».
Mais peut-être PatV n’avez vous jamais rencontré de femmes dans cette pose.
TrouveR, excusez les autres erreurs grammaticales, mon correcteur m’emmerde.
VOS deux, bien sûr!
Désolé.
Quant à cela, ce sous entendu, je n’écris pas sur commande , ou nourrie des idées ou d’un vocabulaire suggérés, insufflés, envahissant mes hémisphères et mon aqueduc de Sylvius.
Quant à l’obscénité, Je l’ai suggérée parce que vue, vous me pardonnerez d’y préférez d’autres expressions ou propositions et de pouvoir faire la difference entre ce qu’il l’est et ce qui ne l’est pas.
Vous pouvez disposer, merci de votre finesse d’analyse picturale.
» l’une à les lèvres gonflées de plaisir »
Mais vos interprétations sont purement fantasmatiques B.!
Nous avons la liberté de lire les « images », de les interpréter de façon contradictoire ou complètement délurée. Cela dit il y a « un discours » plus ou moins explicite du peintre ( ou de l’écrivain ) à nous de savoir le lire convenablement.
Vos lèvres gonflées de plaisir me font penser à une histoire toute récente qui s’est passée lors d’un conseil municipal pendant lequel une élue protesta publiquement contre une affiche publicitaire créée pour inciter les habitants à acheter chez leurs commerçants de proximité. Elle a été choquée, ce sont ces mots, parce qu’ une jolie femme sur une des affiches tenait une carotte à l’ horizontale entre ses dents. Que peut-on dire de cette carotte? Non pas l’ interprétation phallique de cette brave conseillère municipale mais plutôt comme le symbole évident d’ une dévoreuse d’énergie légumière pour avancer énergiquement vers l’avenir du quotidien.
Les images univoques, sans possibilité d’échapper à un lecture uniforme, ce sont celles des fascismes et des totalitarismes bien que même ces affiches peuvent parfois contenir un inconscient digressif qui a échappé à leurs concepteurs propagandistes monomanes!
Vous avez raison, je me sens rien d’un don Quichotte. Les hommes ont souvent raison, raison de tout et les femmes jusqu’à il y a peu ne faisaient pas la guerre. Je suis deccette generation et j’ai deja perdu assez de temps pour ne ressentir aucune envie d’en perdre davantage. Faites jouir votre compagne, donnez lui du plaisir et observez lacsi vous necfaites pas celacdans le noir.
Je confiai récemment à un ami que les printemps etaient pour moi un supplice , je vois des symboles phalliques partout, les fleurs de maronniers sont autant d’invitations au voyage. Je m’en amuse pour tromper la torture que m’inflige le paysage. Je ne suis pas puritaine, cher Pat V, plutôt grivoise et j’aime encore assez les publicitaires quand ils sont bons mais le coup de la carotte, bof bof, pas de quoi se révolter vu le goût dont temoignent nos contemporains et le peu d’inventivité et d’humour dont ils font preuve. Il y avait autrefois une emission qui à ses débuts faisaient part de nombreux spots publicitaires assez drôles et géniaux, je déplore l’état de la publicité actuelle, du mou dans les voiles des créatifs employés dans ce pôle d’activité, c’est d’un ennui!
B.
Vous tenez en haleine avec talent
In Dreams Begin Responsibilities
https://journaldejane.wordpress.com/2012/03/03/cauchemars/
Année LvB, Leonore Overture No. 2, op. 72a :
6.7 — 6.20
Auriez vous vous aussi sorti un corps d’une morgue afin que les proches puissent décrédibilise avant le planétarium sur leur proche défunt? Vous pourriez si c’était le cas comparer.
Non.
Je ne l’ai pas pas fait.
Mais si cela avait été, je pense que c’eût été d’un funérarium.
D’autres l’ont fait pour moi, et seule face à mon père, gris et sévère, je lui ai demandé pardon et accordé le mien.
Eh bien, si ça se trouve, ces docs de Quignard vont être classées x. Au rayon porno.
Ai lu le texte de Clopine, puissant.
Pas encore écrit dessus.
Pense comme hamlet, hier, que ce va être le coup de pied au cul -le coup de fouet, pensais-je, qui va la pousser à écrire.
Et là, dans ce que vit Clopine, écrire c’est salvateur.
Moi je pensais que son mec présentait leur documentaire lorsqu’il s’absentait de leur domicile conjugal.
Les mecs, c’est des gens horribles.
Mieux: Classé écrivain pour érotomanes, ça aussi, ça en jette pour la postérité.
Rose, si beaucoup de mecs sont horribles, c’est que beaucoup de femmes sont connes…ça vous surprend ?
C’est le nouveau feuilleton de l’été. La brayonne est cocue ?
C’etait bien la peine de supplier Passou de supprimer un commentaire pour le proposer en 30 pages à qui n’en veut pas.
Le propre de la pornographie est de montrer avec l’assurance de collecter un public l’acte sexuel en gros plan, loin de la suggestion quelque forme qu’elle emprunte. En ce sens le peintre Rustin ne peut en aucun cas embrasser cette rubrique en revanche il est possible, comme je le fais, d’y percevoir une certaine obscénité. Que Passou pour illustrer l’abandon ait choisi une de ses toiles n’est pas un hasard, abandon physique, abandon de la bienséance
Cela ne réussit pas pour autant à le situer au rang des peintres du dimanche, Rustin est dérangeant et peut être parce qu’il montre dans sa crudité, avec » violence »[patV] ce que d’autres retiennent volontairement ou habillé de pudeur ou de mystère( voir le Courbet l’origine du monde pas de visage, ) Rustin est novateur quoiqu’on puisse découvrir en parcourant le panthéon des arts picturaux nombre de toiles brillamment exécutées révélant l’Homme dans toutes ces expressions. La visageité n’est pas sans importance ni conséquences dans cette toile proposée aux regards.
C’est le nouveau feuilleton de l’été. La brayonne est cocue ?
Votre état d’esprit et situation sont, semble-t-il, immuables. Nous en sommes rassérenés et d’autant plus ravis. Enfin quelques éléments de stabilité dans ce monde en perdition.
« Les mecs, c’est des gens horribles. »
Voilà un beau poncif. Un petit pourcentage d’horribles, certeinement, et sans doute autant de garces.
Cela bien à part, jamais entendu parler de responsabilités partagées ?
certeinement > certAinement
Cela bien à part, jamais entendu parler de responsabilités partagées ?
je suppose qu’il y a beaucoup de malentendus , d’ignorance et d’illusions sur soi et sur les autres au départ
In Dreams Begin Responsibilities
–
Vous auriez lu Delmore Schwarz? Sa poésie aussi? Et Humboldt’s Gift, I presume.
Rose, si beaucoup de mecs sont horribles, c’est que beaucoup de femmes sont connes…ça vous surprend ?
—
Vacances apprenantes sur la rdl.
Vacances apprenantes sur la rdl.
il me semble qu’apprendre est un plaisir sans âge ,ni contexte obligé depuis qu’un enfant apprend à marcher et à grimper seul sur un fauteuil;
j’aiconnu des gens qui se sont mis à apprendre la musique, déjà âgés, d’autres se mettent à l’ordinateur grands parents, alors pourquoi pas sur la RDL?
l’un des sujets qui m’intéressent le plus vivement:
Dépasser les frontières culturelles pour penser les échanges
À la fin du 19e siècle, les anthropologues commencent à parler de culture pour se référer aux manières de faire et de penser des populations. Ils invalident ainsi les approches qui invoquent l’hérédité et la race pour hiérarchiser les sociétés. Ces travaux en venaient parfois à considérer les cultures comme des blocs isolés sans toujours tenir compte du rôle essentiel des contacts et des échanges.
Aujourd’hui certains considèrent qu’imitations, emprunts et réinterprétations sont à l’origine de toutes cultures et en garantissent la vitalité. Ces emprunts, tels que l’utilisation du cheval par les populations autochtones des Amériques, ou celle de la hache en métal en Mélanésie, sont d’ailleurs loin d’être à sens unique et de ne se produire qu’entre Occidentaux et non-Occidentaux.
Néanmoins, les définitions de la culture et les utilisations politiques qui en sont faites nous poussent encore à la considérer comme un objet appartenant à une population. C’est le principe de base des nationalismes de tous bords qui considèrent qu’un État représente un peuple et que chaque population détient une culture bien distincte de celle des autres.
En Europe et aux États-Unis, les mouvements ultranationalistes se réfèrent encore à une culture et à des origines occidentales chrétiennes et blanches pour exclure les minorités. Dans une tout autre logique, comme le remarquait le psychiatre et militant anticolonialiste Frantz Fanon, afin d’en découdre avec la domination politique et culturelle européenne, certains mouvements de décolonisation ont cherché, de manière parfois stratégique, à définir des identités nationales pures.
mobilisent certains critiques de l’appropriation culturelle. À titre d’exemple, l’auteure afro-américaine Sierra Mannie reprochait il y a quelques années aux gays blancs de s’approprier la culture des femmes noires. De la dénonciation des représentations stéréotypées et de l’exploitation commerciale des cultures minoritaires par des populations dominantes ou privilégiées, on passe à une rhétorique de guerre des « civilisations « . Comme si, aux États-Unis, les femmes noires et les hommes gays blancs appartenaient à des groupes/cultures si différents.
Comment penser et critiquer les emprunts et imitations insultantes et opportunistes tout en se débarrassant de cette définition injuste et politiquement dangereuse de la culture ?
Aujourd’hui, c’est une conception similaire de la culture que
Reconnaître que l’appropriation d’éléments culturels issus d’autres cultures est une constante de l’histoire humaine, ne signifie pas que ces appropriations ne peuvent pas être inégalitaires ou prendre la forme de domination et d’exploitation. Dans les sociétés issues de la traite et de l’esclavage, de nombreuses pratiques culturelles sont le fruit de la créolisation d’apports africains, européens, autochtones, asiatiques et autres.
De la langue à la musique en passant par l’usage de la pharmacopée, ces pratiques sont souvent partagées par les différentes composantes de ces sociétés. Ces dernières sont pourtant très inégalitaires en termes de classe et de race. Métissages ou transferts culturels ne riment donc pas forcément avec relations sociales harmonieuses. Des personnes et populations blanches ont ainsi pu tirer profit de la commercialisation ou de l’utilisation politique de pratiques culturelles marquées par l’apport de populations minoritaires, notamment d’ascendances africaines, sans leur être exclusive.
Aux États-Unis et au-delà, le rock and roll est-il bien plus souvent associé au nom d’Elvis Presley qu’à celui de ses prédécesseurs et contemporains noirs. À Cuba, en Colombie ou encore en Argentine, la salsa, la cumbia et le tango ont été transformés en symboles nationaux par des élites blanches qui minimisaient
sur:
https://theconversation.com/appropriation-culturelle-peut-on-voler-une-culture-136885?utm_medium=email&utm_campai
Vous lisez d’habitude avec un peu plus d’attention, et alii.
Encore faut-il avoir quelque chose à apprendre hors les banalités, poncifs, truismes, sophismes, et autres enfonçages de portes ouvertes dont certains sont capables icit.
Mort d’Ennio Moricone
https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2020/07/06/ennio-morricone-compositeur-de-musiques-de-film-est-mort_6045318_3382.html
Rustin est novateur quoiqu’on puisse découvrir en parcourant le panthéon des arts picturaux
Encore faudrait-il expliquer pourquoi il est novateur, B.
Il est certain que sa façon d’exhiber très crûment les sexes féminins par exemple rejoins, tel un Janus bi-face, ce fascinum si bien décrit par Pascal Quignard dans son le » Sexe et l’effroi « . Au sexe béant de la femme ainsi visuellement violemment exhibé et érigé correspondrait le phallus grec devenu fascinus latin, lui aussi en érection.
A bien y penser, on s’occupe bien de l’érection d’une statue, cela est passé dans notre langue, et les grec ainsi que les latins ne s’en sont pas privé!
C’est le moment d’aller au Louvre qui rouvre aujourd’hui !
bloom, quand à la suite d’un accident ou d’une maladie, il faut réapprendre à marcher et autres gestes qui semblent évidents et auxquels on ne pense pas,(même faire la cuisine ,ou conduire) je vous assure que c’est autre chose qu’un « poncif » dans une famille comme celle
que j’ ai connue d’un professeur, sa femme et leurs enfants (l’un est organiste professionnel)ou pour les « éducateurs »-orthophonistes comme enseignement du clavier d’ordi en institutions spécialisées où l’on réenseigne la réappropriation du monde à des gens de différentes origines( ce qui implique le vetement et la coiffure!)
Salaud ou conne ?
En vérité, celui qui dans une histoire d’amour se donne, s’abandonne, sans penser à assurer ses arrières, seul celui-là sera sauvé !
sauf erreur, RUSTIN a peint dans un hosto psy ,le genre d’hosto où les gens sont rééduqués à « la pudeur » d’ être homme , femme, adulte, enfant
Quignard latiniste sur canapé ligneroset, plaît au public à pull sans chemise, à déconseiller par temps de virus. Méditation foufounesque à perdre son latin sur un tableau réchappé des bombardements de Dresde par nos amis anglo-américains.
Jazzi dit: à
Mort d’Ennio Morricone
France-Info pour illustrer cette triste nouvelle a diffusé la musique du Parrain qui est de Nino Rota
en outre si mon souvenir est bon de ce que m’avait raconté une galeriste de la rue Quincampoix (rue où j’ai vu une expo Rustin, c’est la femme de Rustin qui l’a introduit dans le milieu psychiatrique (et érotique)
j’ai extrait de ma bibliothèque tout ce dont j’avais la certitude que je ne le relirais pas,
–
Dites-moi Chaloux, j’aurais écrit relirai, moi.
Mais j’ai peut-être tort.
Peinture et écriture :
http://psychaanalyse.com/pdf/LE_FASCINUS_ENTRE_L_IMAGE_ET_LA_LETTRE.pdf
Pat V, novateur en ce sens où déliberement ( quoiqu’il puiwse être considéré comme aliéné puisque etalii nous informe d’un séjour contingent en HP, à son époque Asile) il choisit d’exhiber l’expression du visage qui plus que le corps lascif dit de cette femme. Beaucoup de peintres enrubannent, édulcorent quand il ne mentent pas en coupant cours à l’interprétation de l’expression. Courbet, quant à lui, est radical, il coupe la tête à son modèle. Est ce dire qu’elle a perdu la tête, que l’origine du monde peut en faire l’économie ( de la tête et donc de l’esprit) ou qu’elle naît d’une folie, d’une absence, perdre la tête ou censurer le visage qui dit tant, qu’en pensez vous? L’obscénité ne tient pas tant à la nudité des corps qu’à leurs positions quand les deux sexes sont représentés et à l’émotion ou et sentiments traduits par le visage.
quoiqu’il puiwse être considéré comme aliéné puisque etalii nous informe d’un séjour contingent en HP,
je n’ai pas dit que Rustin a été aliéné; je dis qu »il a pu y peindre, grace à sa femme, dont c’était apparemment le milieu professionnel; la galeriste qui peut vous renseigner est rue Quincampoix ,et c’est la fille d’une galeriste qui fut connue, C.F.
Merci etalii de ce complément d’info, cependant, d’où provient son modèle pour avoir accepté cette captation? Le sauriez-vous?
Bas news, LE maestro est parti.
Too too bad…
06 juillet 2020, 10h40
Etalii, à y réfléchir, si cette femme était une pensionnaire de l’asile, peut être était elle simplement atteinte d’exhibitionisme qui tout autant que le commerce érotique procure plaisir, excitation. Ce qui , si c’était son cas, expliquerait son expression. Elle souffrait, comme vous le faites remarquer ( en suggérant une rééducation), d’un défaut du surmoi . Ce serait presque un abus de faiblesse de la part du peintre.
France Musique rend hommage toute la journée au compositeur disparu. Que les cieux soient emplis de cowboys et de justes pour l’accueillir dans l’éther éternel.
quand les deux sexes sont représentés et à l’émotion ou et sentiments traduits par le visage.B.
Le visage est un sexe comme un autre…
Je n’ai plus guère le temps de m’attarder ici mais j’ai redécouvert chez G. Didi-Huberman in Aperçues deux textes portant sur ce passionnant sujet :
– ses lèvres indistinctes, page 255, où il est question de la bouche de La jeune file au turban de J. Vermeer vers 1665.
– Lèvres selon lèvres page 306, à propos de Léonard de Vinci et la représentation du sexe de la femme dans ses dessins.
(Je repasse ici plus tard…)
Ennio Morricone, Nino Rota sont considérés comme des « compositeurs de musique de films »
Genre ou sous-genre musical, Chaloux ?
Qu’en dit Jacques Drillon ?
Le visage est un sexe comme un autre…
Oui peut être si on est un goujat, une de mes collègues delurées m’avait une fois raconté une de ses soirées qui s’était achevée par une éjaculation faciale. Est ce à ce genre de choses que vous faites référence?
si cette femme était une pensionnaire de l’asile,
VOUS parlez du modèle du tableau, je suppose;
moi, je parle de l’épouse; beaucoup de galeristes ont été psychologues , ou sont lié-e-s dans leur vie privée à des « psys » ;
papate, je n’ai plus le temps non plus, mais plutôt que de donner du grain à moudre à la vieille érotomane en chaleur permanente, qui colle comme une sangsue à mes commentaires, vous n’avez rien sur l’étymologie du mot ériger dans le cadre de l’été apprenant ?
Vanina
à part le « Salon » et « Les escaliers », le reste de la demeure est un frigidaire où un philologue sur le retour plastronne, étale son savoir en ajoutant des trompettes des cors des hautbois. Baroque, rococo, tout est mis à contribution. Un beau ciel du Baciccia, à Rome, Galleria Spada, donne du plaisir. Quignard donne un coup de froid. Mais il ressemble pourtant à Claude Simon. Lui donner un prix Yourcenar, un manque de sensibilité.
ses lèvres indistinctes, page 255, où il est question de la bouche de La jeune file au turban de J. Vermeer vers 1665.
Dans le film qui fait référence au célèbre tableau, l’épouse confrontée au tableau gardé secret et jalouse n’a qu’une phrase pour le définir: c’est obscène, dit elle foie de rage. Et le peintre congédié la jeune fille douée qui lui a servi de modèle puis lui fait parvenir la perle empruntée à son épouse pour la remercier.
Est ce à ce genre de choses que vous faites référence?
Apparemment vous comprenez rien de ce que j’ai écrit.
On parle de représentation picturale et vous êtes grave comme on dit dans les milieux populaires.
Et alii. Oui bien sûr, je ne dispose pas comme vous d’un carnet d’adresse et je présume que le modèle n’est pas l’épouse du peintre. De plus elle est allongée sur une ces tables qu’ il est coutumier de rencontrer dans le milieu hospitalier
Folle pour foie, correcteur.
plutôt que de donner du grain à moudre à la vieille érotomane
C’est exact sasseur!
Désormais, je suis occupé ailleurs.
Pat V, si j’en reste à votre compréhension vespérale, vous n’êtes pas mal non plus ou alors la mauvaise foi, le machisme, le sexisme, le patriarcat triomphant?
Le visage est un sexe comme un autre, c’est bien votre affirmation, pat V? Je note cet éclat intrigant par peur de l’oublier. Je ne sais néanmoins si j’oserais refourguer le fruit de votre sensibilite pertinente au cours d’un dîner. Chez les hommes aussi?
B dit: à
Le visage est un sexe comme un autre, c’est bien votre affirmation, pat V?
Eh bien oui. Rien que l’expression populaire tête de nœud devrait vous y faire réfléchir!
G. Didi-Huberman en parle en tant qu’historien de l’art dans ses textes.
Sasseurcuisineaubeurre, vous avez en plus la berlue, je prends soin de l
M’écarter autant qu’il m’est possible de vous. Nous ne sommes pas du même wagon, j’évite les fauves, l
, les serpents venimeux, je n’ai pas envie de finir comme la jeune fille de true Grit et bien que je sois très vieille et affligée d’une érotomanie galopante.
ne fantasmez pas B, sur mon carnet d’adresses;j’ai été à pied dans Paris, et visité bien des galeries dont les expos m’intéressaient:occasion de bavarder avec les galeristes ,qui en étaient ravi-e-s et racontaient leur travail avec les artistes, et organisaient parfois des rencontres;je prenais de mon temps pour ça; tout le monde peut le faire selon ses gouts, et nouer des relations avec des artistes, le cas échéant, qui se connaissent aussi entre eux; bonnes « promenades »
Pat V, cela n’entre pas dans le lexique que j’emploie couramment, faites en bon usage, je vous l’abandonne volontiers et sans regrets. Bonne journée à vous.
La colonne Vendôme, érection impériale d’un petit Caporal qui portait son fascinus en bandoulière pour mieux mettre l’Europe à sa botte. Même Hegel à Iena tomba sous la fascination du Nabot sur selle : »une sensation merveilleuse de voir un pareil individu, qui, concentré en un point de l’espace, assis sur son cheval,s’étend sur le monde et le domine.»
Transportons-nous de quelques centaines de mètres vers le sud-ouest pour atteindre la Concorde & posons nous la question de savoir si l’on écrit « érection d’obélisque » & « érection matinale » de la même façon en hiéroglyphes?
Les correspondances étymologiques sont souvent culturelles & limitées à familles de langues aux racines communes. En soi, elles n’ont aucune valeur universelle. Ergo…
B,la galeriste mère connue que j’ai évoquée est C.Franco
https://www.rivaisjeanine.com/retour-sur-un-quart-de-siecle-d-ecriture/c%C3%A9r%C3%A8s-franco-itin%C3%A9raire-exemplaire-d-une-galeriste/
mais les écrivains et les artistes peintres sculpteurs passent aussi dans ces lieux « culturels » et vous pouvez avoir des « échanges informels » de leur fait :ils s’adressent aux visiteurs eux aussi!
ça n’a rien d’un carnet d’adresses et le plus souvent se termine en « pots » quand on a le temps
Vous parlez de Jacques Putman, je suppose, et alii.
Vous parlez de Jacques Putman, je suppose, et alii.
bonjour renato: à quel propos?
[Du père de] la galeriste de la rue Quincampoix, et alii.
maintenant, je ne suis plus à PARIS, mais C.Franco a déménagé depuis longtemps; je ne sais pas si sa fille
Merci de nous contacter par mail :
dominique@polad-hardouin.com a toujours une galerie;
http://www.polad-hardouin.com/galerie
mais elle connaissait bien le boulot et son métier
non, renato;je connaissais la galerie; j’ai connu aussi une nouvelle galerie « qui « en voulait;il avait un associé dans l’est de la france (Nancy je crois )
c’était http://www.galeriecourcarree.com/artistes;
il avait aussi des photographes intéressants et cherchait des artistes un peu « innovants » le patron (remi ,je crois) n’était pas lettré alors
Les mecs, c’est des gens horribles.
rose dit:
« Les mecs QUE J’AI CONNU étaient des gens horribles », tu veux dire, j’imagine. Ton père, ton mari ou tes maris, et quelques autres dont tu as entendu parler. Une douzaine? Deux? Ou tu connais les 3,7 milliards de mecs qu’il y a dans ce monde?
C’est aussi con de dire « les mecs, c’est des gens horribles »(sauf si on est une militante qui aspire à présider une association de lesbiennes américaine dans le meeting final de sa campagne électorale) que de dire « les femmes, toutes des salopes ».
D’ailleurs cela serait plus sincère et juste de ta part que la prochaine fois tu écrives: « Je hais les mecs ».
Pardon, et alii, quelque part, l’âge aidant, j’ai superposé des souvenirs et attribuè une fille à Catherine et Jacques Putman.
..quand pédro le prend pour lui ça sonne comme un borborigme au fond d’un vieux sac..il vient dhinventer la biologicomusicologie qu’il dirait drion
drion il aime pas qu’on l’écrive havec un y..j’ai un 6émé sens pour ça laçouline
drion aimepas les y ..tout ça c’est hinfantile msieu lahssouline qu’aime pus les ç
Les correspondances étymologiques sont souvent culturelles & limitées à familles de langues aux racines communes. En soi, elles n’ont aucune valeur universelle. Ergo…
en disant ça tu ruines 95% dla chiure d’historien d’art kabloom..les héditeurs te félicite pas kabloom
bien que je sois très vieille et affligée d’une érotomanie galopante
ha que faut prende une harley sinon t’as les hanches en vrac béré
Rien que l’expression populaire tête de nœud devrait vous y faire réfléchir!
G. Didi-Huberman en parle en tant qu’historien de l’art dans ses textes
lui il hinvente lautoportrait hirrépressibe et incontinent..drion est distencé
se donne, s’abandonne, sans penser à assurer ses arrières
mais comment qu’il fait qu’elle dirait cramoisi djalousie la bonne clopine..
Est ce dire qu’elle a perdu la tête, que l’origine du monde peut en faire l’économie ( de la tête et donc de l’esprit)
ouais ben cqui est symétrique c’est qla rustine à la bouche a sucer les bites elle est guillotinée des pieds comme il dirait lasshouline béré..le cadrage est fautif..même dirphilou fait mieux havec son ruaouaï épicétou
…lundi 6 juillet 2020 à 12 h 38 min.
…
…il y a, tout de même une contradiction esthétique sur le tableau à la bacchante ou Vénus endormie avec l’amour; 1626, de Nicolas Poussin.
…
…si bien, que l’artiste se place de près, pour la perspective devant son modèle contenu; si mal, en est l’effet rendu , du nu dans cette vaste campagne profonde,…
…
…l’effet de la jambe droite, plus petite et en retrait, pour la profondeur du modèle,!…
…
…donne un effet disgracieux à toute la composition du tableaux, comme pour un peintre-amateur du dimanche.
…
…l’avant-garde du » cubisme « , avant la lettre, du style Picasso,…a tout bouts de champs,…à ses caricatures graphiques.
…envoyez,…
A ne pas rater ce soir, sur France Q, le texte de dame Edna, sur les Hommes Horribles de Boko Haram, des noirs pour qui la vie des noirEs ne comptent pas…La grande confrérie universelle des pourris:
https://www.franceculture.fr/emissions/avignon-fictions/girl-de-edna-obrien
bouguereau dit: à
Est ce dire qu’elle a perdu la tête, que l’origine du monde peut en faire l’économie ( de la tête et donc de l’esprit).
La toile a été coupée.
Un gen horrible a retrouvé la tête dans une brocante.
Les musées font les sourds. La tête les dérange.
Pablo75 dit: à
Les mecs, c’est des gens horribles.
rose dit:
« Les mecs QUE J’AI CONNU étaient des gens horribles », tu veux dire, j’imagine. Ton père, ton mari ou tes maris, et quelques autres dont tu as entendu parler. Une douzaine? Deux? Ou tu connais les 3,7 milliards de mecs qu’il y a dans ce monde?
C’est aussi con de dire « les mecs, c’est des gens horribles »(sauf si on est une militante qui aspire à présider une association de lesbiennes américaine dans le meeting final de sa campagne électorale) que de dire « les femmes, toutes des salopes ».
D’ailleurs cela serait plus sincère et juste de ta part que la prochaine fois tu écrives: « Je hais les mecs ».
Manque de Q, pablo 75, je ne hais pas les mecs.
Ce sont des gens horribles toutefois.
Voyez l’idée ?
Manque de Q, pablo 75, je ne hais pas les mecs. Ce sont des gens horribles toutefois. Voyez l’idée?
rose dit:
Donc, ou tu te fous du monde en jouant avec les mots ou tu es maso?
« Les mecs, c’est des gens horribles. »
Jésus n’était-il pas un mec, rose ?
Rose,
vous devenez aussi conne que d’autres féministes étroites, ici bas, neuronalement parlant, bien entendu….
Pour l’instant !
L’origine du monde ne se trouve-t-il pas plutôt ici ?
https://ozoutback.com.au/Italy/pompeii/slides/1994102317.jpg
Pablo75 dit: à
Les mecs, c’est des gens horribles.
rose dit:
« Les mecs QUE J’AI CONNU étaient des gens horribles », tu veux dire, j’imagine. Ton père, ton mari ou tes maris, et quelques autres dont tu as entendu parler. Une douzaine? Deux? Ou tu connais les 3,7 milliards de mecs qu’il y a dans ce monde.
Non.
Mon père n’était pas horrible.
Mes deux compagnons non plus.
Les mecs, dans leur ensemble fraternel sont horribles.
Celui qui viole la fille de sa compagne lorsqu’elle part faire sa tournée.
Le voisin qui viole les deux filles de sa.voisine lorsqu’elle attaque ses nuits.
Le père qui masturbe ses trois filles enfants pour les priver définitivement de jouir.
Cui qui se fait bouffer une tranche de jambon froid sur sa bite chaude dans les chiottes carrelées.
Cui qui se branle en regardant une prifessionnelle sur son écran.
Cui qui couche avec la baby sitter.
Cui qui fréquente les clubs libertins douze années nourri comme chez Alain Ducasse et mieux encore.
Horribles.
Des gens horribles.
Axés sur leurs bites visqueuses.
Z’ont pas d’autres solutions que de changer.
Changez, mecs.
Pas obligé de traverser le désert à dos de camelles en Abyssinie.
Changez d’Axe.
Jazzi dit: à
L’origine du monde ne se trouve-t-il pas plutôt ici ?
https://ozoutback.com.au/Italy/pompeii/slides/1994102317.jpg
JiCé….. dit: à
Rose,
vous devenez aussi conne que d’autres féministes étroites, ici bas, neuronalement parlant, bien entendu….
Pour l’instant.
Et cui qui viole sa femme pck il faut qu’il se vide les couilles.
Voilà.
Tout est dit.
Changez d’axe.
Changez d’axe.
Par exemple la roue, en évitant le paon.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Barre_(bateau)#/media/Fichier%3ASteering_wheel_Sedov.jpg
Z’avez tout à gagner et rien à perdre.
certaines personnes se souciant du « démon » , voici ce qui est expliqué sur l’un des plus connus sous ce nom:
le démon de SOCRATE/
https://www.persee.fr/doc/dha_0755-7256_1993_num_19_1_2087
Rose, vous me faites pitié… tant de bêtises ?!
Croquez ‘La pomme’, pour L’Origine du Monde, sur commande de Khalil Chérif Pacha.
https://www.actes-sud.fr/catalogue/litterature/la-pomme
Sans l’Orient, pas de Courbet, juste des courbettes.
Les Vitelloni
Federico Fellini 1953
Une bande de potes trentenaires, plutôt désoeuvrés, rechignant à passer à l’âge adulte à aimer, à quitter le domicile parental.
Cui qui engrosse Sandra en est l’archétype.
Coureur, fainéant, superficiel.
Départ de sa belle au foyer de son père à lui nous permettra de le voir corrigé de belle manière à coups de ceinture.
Rien n’y fera, graine de mauvaise graine, ct’homme là.
Sandra au coeur d’artichaut y laissera toutes ses plumes dorées pailletées chamarrées. Pardonnera, pardonnera, pardonnera.
Fellini nous brosse une génération. Son regard critique ne cède pas le pas à une tendresse inégalée pour ses personnages hâbleurs, sans chameaux et sans Abyssinie.
Cette ample et essoufflante période, digne d’un rhéteur de haut vol, ne nous enferme pas moins dans un tête-à-tête inquisiteur et inquiétant où, comme l’écrit Pascal Quignard, un « autre homme en nous [ou un dieu, devient pour nous] une puissance “personnelle impersonnelle” : un privé inconnu ». Alors,
Tout ce que nous disons, que nous sachions le dire ou que nous croyions le dire, est au service de l’inconnu qui fait signe en nous. C’est cet inconnu qui est en nous plus que nous que Socrate se mit à appeler daimôn[17].
PETIT TRAITE SUR LES ANGES Quignard
in
http://pierre.campion2.free.fr/smeitinger_socrate1.htm
Coureur, fainéant, superficiel
les effets délétère de lhuile d’olive sur la glande pinéale..lors que le gras djambon..ça la bouste qu’elle dirait drh
Cui qui se fait bouffer une tranche de jambon froid sur sa bite chaude dans les chiottes carrelées
..celle là est bien..t’as du le faire salope..jean pierre raynaud vate faire un procés
La toile a été coupée.
Un gen horrible a retrouvé la tête dans une brocante
jai rtrouvé les pieds dla rustine
https://images.nrc.nl/suwFIzap1C-kcESClBiAlJ6qUzI=/1920x/filters:no_upscale()/s3/tark/NH/201004/09/1281967.jpg
Jésus n’était-il pas un mec, rose ?
on a déjà rencontré rustine et Démon sur la RDL/
3 est-il possible de faire entrer dans la langue française ce même Brooklyn, tel qu’il a été entendu, utilisé et transformé par Gilbert Sorrentino ? Seuls les lecteurs pourront le dire. Mais j’espère cependant qu’un peu de la langue de Sorrentino se retrouvera un jour dans le français de ses trop rares admirateurs de ce côté de l’Atlantique. Genre — « C’est pas un homme, mais une rustine sur le cul d’un homme », que j’aimerais entendre un jour, dans le métro par exemple, j’aurai alors l’impression d’avoir servi à quelque chose, d’avoir eu raison de me battre contre les correcteurs ou correctrices qui me disent : « Quel est le sens en anglais de a patch on a man’s ass ? il faut trouver le sens et ensuite trouver un équivalent qui ait du sens en vf, impossible de laisser ça tel quel, (nombreuses occurrences dans le texte). » Eh, oui ! 7 fois dans Aberration, 4 fois dans Red le Démon. Plus dans ces deux livres que dans tout le Web (8 fois).
http://larepubliquedeslivres.com/une-rustine-sur-le-cul-dun-cheval/
je crois que j’aurais dû citer aussi:
« Nous préciserions seulement que le Socrate d’Apulée ne donne plus le même sens que Platon ou même Xénophon à cet « inconnu qui est en nous plus que nous » évoqué sous le nom de daimôn. Qui ne voit se profiler ici la figure chrétienne de l’ange gardien qui a pour contraindre, pour juger, pour approuver et désapprouver, pour culpabiliser comme pour punir la même qualité de « puissance “personnelle impersonnelle” », d’intérieure et terrible extériorité ? Et, bien plus lointainement mais issue de même souche, la figure de l’inconscient s’incarnant en fantasmes, en prémonitions obsessionnelles, en admonestations impressives voire en hallucinations ? À ce démon, guide et gardien, Apulée veut lui rendre sa voix que Plutarque avait transformée en illusion mentale tout comme son
« . Apulée paraît ramener Platon et son maître à la loi religieuse commune bien qu’il les dote d’une sagesse particulièrement haute et pure. Il semble d’ailleurs baigner ainsi dans une atmosphère d’époque qui prépare insensiblement le passage de l’empire romain au christianisme. Toutefois il nous offre, lui‑même, une tout autre amorce dont il ne fait rien : au moment où il évoque les « éminents démons » qui sont « toujours libres de toutes entraves et attaches corporelles », il nomme « Sommeil et Amour », c’est-à-dire Hypnos et Éros. Ils ont, dit-il, « des pouvoirs opposés : Amour, celui de tenir éveillé, Sommeil, celui d’endormir » et il désigne ainsi, sans apparemment s’en rendre compte, l’une des qualités voire l’une des fonctions attribuées à Socrate. Lui aussi a pour « pouvoir » de « tenir éveillé » et le démon de Socrate pourrait bien, selon l’aveu même du philosophe, s’appeler Éros. Nous dirons une prochaine fois ce qu’il en est de l’Éros socratique.
Serge Meitinger
lien communiqué
I basilischi
Film de Lina Wertmüller
La petite province comme refuge contre le monde et les responsabilités, refuge pour des jeunes qui ont grandi dans la paresse sans un idéal ou d’un but autre qu’une survie décente — incapables d’abandonner les préjugés, les lieux communs et les rituels que, désormais enracinés irréversiblement dans son être, les animent. Si par analogie on imagine les habitudes de la pensée comme une petite province, la maladie de l’esprit dont souffraient les basilischi esst désormais diffuse chez les femmes aussi.
Le nom Basilisco nous promené des lézards du genre Basiliscus à l’empereur Flavius Basiliscus Augustus — de 475 à 476 — en passant par une bête légendaire, souvent présenté comme un reptile, mentionné dès l’antiquité gréco-romaine comme étant un petit serpent au regard mortels ; mais on retiendra le lézard qui se chauffe au soleil.
@mais on retiendra le lézard qui se chauffe au soleil.
Et pas le blason des Visconti ?
Pour le blason des Visconti, se souvenir de la devise Vipereos mores non violabo…
Un basilisco :
https://it.wikipedia.org/wiki/Basilisco_(mitologia)#/media/File:Baziliszkusz.jpg
Et Alii , ce n’est pas nécessairement chrétien. Il me semble que dans les discours d’Aelius Aristide, le dénouement a lieu par la médiation du Dieu , au terme d’une épiphanie de curiste, si j’ose dire.
Or Il ne me parait pas tenable de faire du Dieu un Angelon, un messager, ce qu’est essentiellement l’Ange dans les trois quarts des textes, et je ne vois pas pourquoi Apulée, auteur du très ésotérique et païen Ane d’Or, serait malgré lui ici influencé par une sorte d’aura chrétienne l’amenant à projeter sur le Daimon les qualités de l’Ange. qualités qui me paraissent fortement anticipées dans le lien que vous mettez en ligne.
Heureux de vos joies picturales Rue Quincampoix, dans cette Galerie disparue ou je passais parfois.
Bonne journée.
MC
Ne pas confondre le Biscione, qui est un serpent donnant naissance à un homme (blason des Visconti), avec le Basilisco, qui ressemble à une poule cornue, qui se prend pour un aigle, à queue de dragon !
Quant aux Vitelloni, ce sont tout simplement de jeunes veaux !
PS
saluons la préface d’un de nos confrères de blog, un peu vite accusé par d’aucuns de ne pas avoir d’existence réelle, au catalogue de la Bibliothèque de Paul Chambrillon!
bouguereau dit: à
Cui qui se fait bouffer une tranche de jambon froid sur sa bite chaude dans les chiottes carrelées
..celle là est bien..t’as du le faire salope..jean pierre raynaud vate faire un procés
—
Moi je le préfère avec endive et sauce blanche.
Dans le genre du bestiaire cinématographique, on peut entrer aussi dans la porcherie de Pasolini !
https://www.bing.com/videos/search?q=porcherie+pasolini&&view=detail&mid=F585AEE0DACF7357F25EF585AEE0DACF7357F25E&&FORM=VDRVRV
enfin Béchamel, quoi.
Vitellone : veau de plus d’un an et a déjà perdu ses dents de lait.
La vipère des Visconti ne donne pas naissance à un homme, elle avale un garçon.
Selon la légende, le premier de la dynastie des Visconti se serait endormi sous un arbre et il aurait rêvé qu’une vipère protégeait son sommeil. Or, tous les habitats des villages de son fief portaient le nom d’un animal et suite à ce rêve le caput plebis aurait choisi pour sa garde rapprochée les Vipères.
« Cui qui se fait bouffer une tranche de jambon froid sur sa bite chaude »
Ni le boug ni hamlet ne semblent avoir lu « Une semaine de vacances » de Christine Angot ?
En êtes-vous sûr, renato ?
https://www.nouvelordremondial.cc/2011/02/20/le-biscione-symbolisme-italien-du-serpent-ressemblant-a-quetzalcoalt/#:~:text=La%20Famille%20Visconti.%20Blason%20des%20Visconti%20de%20Milan,que%20l’on%20voit%20ici%20à%20la%20gare%20centrale.
Si mon souvenir est bon, l’usage non conventionnel de la tranche de jambon on la trouve aussi chez Jelinek : Lust (1969).
Jacques, « storia patria » dirait Gadda, mais voyons : Le biscione (en dialecte milanais el bisson) est un symbole héraldique représenté dans l’acte d’avaler un garçon. Son origine iconographique en Europe est bien connue dans l’art paléochrétien représentant le prophète Jonas de l’Ancien Testament avalé par un serpent de mer.
@Pour le blason des Visconti, se souvenir de la devise Vipereos mores non violabo…
Sur le net vous trouverez beaucoup plus complet que wikipedia, Renato, concernant les armoiries des Visconti.
Cela dit faire le lézard au soleil, ça peut aussi.
@M.Court, l’interprète qui évoque Apulée et parle de christianisme est nommé dans le lien;je n’ai rien apporté de plus,personnellement que l’évocation de Socrate et de son daimôn, qui est bien connue ;
« Jonas de l’Ancien Testament avalé par un serpent de mer. »
Oui, mais il en ressort intact, renato. Jonas annonce la résurrection de Jésus, lui-même représenté en serpent.
J’ai bien lu, Et Alii.
A bientôt.
MC
Trouvez sur wiki la légende de la garde rapprochée avant de prodiguer vos inutiles conseils.
la traçabilité des symboles c’est une trés vieille flanelle baroz..noublie pas que cest elle qui gouverne le monde havant les idées..et ce sont des philosophe qui lont dit..les poves
une autre présentation du « traité sur les anges »:
http://www.leslecturesdophechups.fr/2019/06/le-demon-de-socrate-apulee.html
il y en a d’autres sur la toile
rénateau grand libéral ne laisse pas « sa » part aux chiens..la preuve
M.Court, l’interprète qui évoque Apulée et parle de christianisme est nommé dans le lien
haussi.. »hach les chimères » qu’il disait goering en sortant son revolvère
Ni le boug ni hamlet ne semblent avoir lu « Une semaine de vacances » de Christine Angot ?
s’enduire la bite de toute sorte de chose « quand ils l’écrivent » les écrivains pense passer dans une foret vierge à la machette..comme indiana djones en quelquesorte..rose pour une fois dans sa litanie « composait » quelquechose..c’est « l’hélan » qui émouvait
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