Pascal Quignard s’abandonne
« Abandon » est un mot qui finit bien. Quoi de plus noble que le don, le vrai, celui qui n’attend rien en retour ? Ce qui le différencie de la donation en paiement de droits de succession. Un don pur et sec. Sans contrepartie. Le cas de Pascal Quignard né à mi-chemin de l’autre siècle. Un tel geste a quelque chose de testamentaire. Lorsqu’un écrivain se retourne pour ne pas se perdre de vue, et qu’il a conscience d’avoir plus de livres derrière lui que devant lui, des livres à lire et des livres à écrire (et Quignard ferait certainement sien le mot de Borges : « Que d’autres se flattent des livres qu’ils ont écrits ; moi, je suis fier de ceux que j’ai lus »), il se sent pris par le démon de la légèreté.
Pour écrire encore, il lui faut s’alléger du fardeau de sa mémoire de papier, de tout ce qui dans et pour son œuvre a fait archive : manuscrits, lettres, documents, partitions, livres, dessins, tableaux, photos etc Soit il succombe alors au syndrome de Kafka et se trouve un ami à qui tout remettre en lui demandant de tout détruire à défaut de l’avoir fait lui-même ; soit il le confie à une grande institution : BnF (Bibliothèque nationale), Imec (Institut mémoires de l’édition contemporaine), Académie française, Archives nationales, Bibliothèque Jacques Doucet…
« Je ne sais pourquoi ce geste universel (de l’abandon) s’est perdu, mais je sais quand. Il s’est perdu avec les héros qui aimaient tant la mort. Il s’est perdu avec le dieu monothéiste. Avant qu’il fût érotique, il était thanatique. Durant des millénaires le bras droit se relevait, se repliait sous la tête, le guerrier offrait son cou ou son cœur à la pointe du glaive ou au fer de la lance. Puis l’amoureuse son flanc, son ventre, son sexe. Puis l’extatique abandonna l’ensemble de son corps à l’intrusion du dieu. Puis l’amoureux de vin, tenant la coupe dans sa main gauche, le bras droit placé sous la nuque, se mit à perdre l’esprit dans l’ivresse et dans le chant bouleversant de la musique ».
L’auteur des Petits traités, de Tous les matins du monde, de Vie secrète, des Ombres errantes (Prix Goncourt 2002) et de tant d’autres du cycle Dernier royaume (le onzième tome paraitra chez Grasset le 2 septembre sous le titre L’Homme aux trois lettres) loués, laurés, traduits, commentés, étudiés, a choisi la BnF : outre des raisons de personnes et d’amitié, elle était à ses yeux la seule à lui assurer que son don serait unifié, définitif et numérisé. En se délestant de son vivant, l’écrivain épargne ce souci à ceux qui lui survivront. La chronique de la vie littéraire est pleine d’histoires de famille qui tournent au vinaigre puis à l’aigre quand elles ne trouvent pas leur issue devant les tribunaux. On dit que les éditeurs, qui en ont parfois la charge, sont de bien médiocres exécuteurs testamentaires ; il est vrai qu’en l’espèce, le droit moral parait bien fragile face au droit patrimonial.
Si Pascal Quignard a touché à tous les genres et ne s’est jamais interdit une échappée ou un pas de côté, l’examen de sa bibliographie frappe en ceci que la rubrique la plus volumineuse n’est ni « roman » ni « contes » mais « Autres », laquelle contient ses livres qui échappent à tout classement. Or ce nouveau fonds, dont la BnF peut désormais s’enorgueillir parmi bien d’autres, des papyrus égyptiens aux papiers de Claude Lévi-Strauss, frappe par sa cohérence. Car, dit-il,
« …tout ce que je fais ne poursuit qu’un seul élan : les partitions de musique que je compose, les dessins ou plutôt les scrabouillages qui amorcent et concluent chacun de mes livres, les affiches des spectacles, des colloques, des films, les rushes des documentaires, bien sûr les brouillons mais aussi tous les tirages de luxe un à un de mes livres, mes tournées de performances de ténèbres, les programmes, les photos de la corneille Ba Yo et de la chouette Bubbelee avec lesquelles je joue dans l’obscurité, les présentations de mes conférences, les livrets qu’on distribue sur les fauteuils avant les concerts… »
Le moins spectaculaire n’est pas le moins enrichissant pour ceux qui le suivent de livre en livre : les classeurs contenant toutes ses lectures depuis son premier livre en 1968. Ils sont le cœur vivant de son œuvre. Lui qui aurait rêvé d’inscrire « Profession : lecteur » sur son passeport se reporte en permanence à ces milliers de pages perforées dans lesquelles il s’est fait le greffier minutieux de tout ce qu’il a lu depuis plus de cinquante ans. Comme il compte y recourir tant qu’il écrira, cet ensemble fera partie plus tard des deux éléments qui viendront compléter son don. L’autre recueil qu’il conserve encore par devers lui est une collection de dessins érotiques de Jean Rustin (1928-2013), grand artiste dont il fut l’ami :
« Pour le plaisir d’en avoir la jouissance jusqu’à l’instant de mourir » confie l’auteur du Sexe et l’effroi et de la Nuit sexuelle.
Et les manuscrits de ses dizaines de livres ? Il n’y en a qu’un, celui de Boutès (2008), le seul qui ait survécu parce qu’une chercheuse, Irène Fenoglio, s’en était emparée pour les besoins d’une étude génétique sur ses trente-deux versions successives, avec chutes et dessins… Tous les autres, il les a détruits aussitôt après leur publication. Juste pour faire le vide en lui. Faire place nette.
« Je brûle afin que chaque oeuvre neuve arrive de nulle part. En sorte que chaque matin elle arrive dans son aube » dit-il.
L’origine enfouie de son geste de l’abandon est à chercher du côté d’une Vénus enivrée et endormie peinte par Nicolas Poussin, et dont on retrouvera l’écho et les reflets dans le catalogue aux éditions Hermann, sous la direction de Mireille Calle-Gruber, et l’exposition que la BnF consacrera au don de l’écrivain à la rentrée, « si les conditions sanitaires le permettent »…
Mais pourquoi cette figure serait-elle celle de la déesse Vénus enivrée ? Quel est le mythe auquel cette image fabuleuse dans ce cas référerait ? Quel nom faut-il donner à cette jeune femme dont le geste de l’abandon est sans doute le plus beau de tous ceux que j’ai vus et que je me suis efforcé de rassembler ?
(Nicolas Poussin, Vénus endormie avec l’amour, vers 1626, Gemäldegalerie Alte Meister, Dresde ; « Pascal Quignard » photo Bertrand Desprez ; Jean Rustin, Femme sur un drap bleu, 1986, Acrylique sur toile, Fondation Francès)
1 117 Réponses pour Pascal Quignard s’abandonne
Si tu as trop mal, n’est-il pas permis de crier à l’aide ?
La souffrance du vieux en charentaises…😝
pour dlébreux renfield.. »cest pas pareil »
..c’est pas ça renfield..j’aime bien le grecque l’hébreux..et même le déchifreur de partission..quand il est communicatif sur le plaisir a y prende
les charentaises c’est trés tendance chez les yeupi térezoune..c’est un peu comme le grec..tu te souviens des chinois qui se balladaient en pijama dans la rue..les plus brumel portaient des charentaises
@tu te souviens des chinois qui se balladaient en pijama dans la rue..les plus brumel portaient des charentaises.
Non, mais avec le nombre des années j’ai encore d’la marge de progression.
La preuve.
Il faut dire qu’il ne tombe pas de bien haut.
« Je brûle afin que chaque oeuvre neuve arrive de nulle part. En sorte que chaque matin elle arrive dans son aube » dit-il.
dze show must go on
je t’épargne les articles ricains plus fino..faudrait pas que tu lprenne mal
Et moi je n’épargne pas ceux qui n’ont pas lu la cle Usb, un petit roman, qui n’a l’air de rien…
@ JMB, voui, toutes ces histoires de merde, sam fout la tête comme une calebasse.
@ amitiés au grand Charles.
ἑαυτὸν τιμωρούμενος, heautòn timōroúmenos
Je te frapperai sans colère
Et sans haine, comme un boucher,
Comme Moïse le rocher !
Et je ferai de ta paupière,
Pour abreuver mon Sahara,
Jaillir les eaux de la souffrance.
Mon désir gonflé d’espérance
Sur tes pleurs salés nagera
Comme un vaisseau qui prend le large,
Et dans mon cœur qu’ils soûleront
Tes chers sanglots retentiront
Comme un tambour qui bat la charge !
Ne suis-je pas un faux accord
Dans la divine symphonie,
Grâce à la vorace Ironie
Qui me secoue et qui me mord ?
Elle est dans ma voix, la criarde !
C’est tout mon sang, ce poison noir !
Je suis le sinistre miroir
Où la mégère se regarde.
Je suis la plaie et le couteau !
Je suis le soufflet et la joue !
Je suis les membres et la roue,
Et la victime et le bourreau !
Je suis de mon cœur le vampire,
– Un de ces grands abandonnés
Au rire éternel condamnés,
Et qui ne peuvent plus sourire !
____
Amusez-vous bien en attendant, bonne nuit les minots,
@renato
At a party, John Cage was once overheard saying, “I compose music but mostly I’m a mushroom identifier.” Composing, for Cage, was an act of collecting the detritus of everyday sounds. He foraged for the otherwise overlooked, treating music as a search for awareness rather than coherence. Hunting for mushrooms was a way of nourishing this search: it allowed the senses to stay open to chance. Identifying fungi was also a means of savoring a kinship with decomposition. Cage renewed buried tones with fresh life, just as he deconstructed older, decaying structures of writing into raw sound. His process was fungal by nature.
Cage Foraging in Grenoble, France, 1971 (photo by James Klosty)
As a book, John Cage: A Mycological Foray—Variations on Mushrooms embodies the artist’s devotion to foraging, in terms of mushrooms and his broader practice.
Année LvB, Quintette à cordes en do majeur Op. 29 :
8.7 — 6.13
… et voilà un champignon…
Alerte. Alerte chattoune.
renato, merco pour le champ!
j’ai trouvé le blog qui a pris le nom de l’année pour vousavec les lettres ad hoc
https://blogthoven.tumblr.com/post/124065163499/rachellebutler-claude-debussy-and-erik-satie
sam fout la tête comme une calebasse
« Le sac à glaçons n’est pas à négliger ».
Chamfort.
Hurkhurkhurk!
« Más de 150 intelectuales reivindican en Estados Unidos el derecho a discrepar.
Autores y académicos como Noam Chomsky, Gloria Steinem, Ian Buruma, Margaret Atwood, Mark Lilla o Martin Amis firman una carta contra la “intolerancia” de cierto activismo progresista. “Debemos preservar la posibilidad de discrepar sin consecuencias profesionales funestas”. »
« La vision et l’inspiration de Jeanne d’Arc » de Louis-Maurice Boutet de Monvel (vers 1900)sur nadeau
n’attendez plus!
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2020/04/29/vertu-dieu-pouivet/
Et alii,avez-vous entendu parler du Kibboutz Buchenwald?
bloom, quesaco?
expliquez nous;je nesuis pas savante sur les kibbutzim;j’ai séjourné et travaillé dans l’un d’eux,où on avait des visites pour nous « instruire », »préparer »(?) idéologiquement , bien sur, j’en ai visité plusieurs mais quel nom nous sortez vous là , vous surenchérissez sur le cynisme
de ces messieurs qui ont ouboié de lire « la fausse monnaie » de Derrida et imaginent que je vais leur demander l’autorisation de lire DERRIDA
Donner le temps I. La fausse monnaie (Jacques Derrida, 1991) [DLT]
Vous pouvez le googler – pas une destination de vacances, comme ceux autour du Kinneret que j’ai fréquentés à une époque, mais une histoire passionnante…Never a dull moment
bloom « Il faut donner, c’est la loi, et il faut rendre compte de cette loi qui oblige à donner. Et pourquoi le faudrait-il? Avant même le commencement, avant la parole et la loi, vient un don premier par lequel le serment, la foi jurée, la confiance, peuvent s’instaurer. Sans ce don, nous ne serions pas engagés dans le cercle du temps, de l’échange, de l’être et du langage, nous n’entrerions dans aucune logique de dette et de restitution. La nouvelle de Baudelaire commence par une consumation gratuite (celle du tabac) qui évoque ce temps d’avant le premier temps. Elle se termine par un jugement abrupt du narrateur : s’il faut donner au mendiant, et toujours plus qu’il ne l’espère, s’il faut répondre à sa demande qui exige la justice, s’il est impardonnable de ne lui laisser que de la fausse monnaie, c’est parce que cela reviendrait à nier, à annuler la confiance consentie par ce don initial.
Nous voici donc confrontés à l’impossible, à cette figure même de l’impossible qu’est le don.
1. Le don pur exclut toute récompense, toute reconnaissance, tout retour, toute symétrie ou réciprocité (car alors ce ne serait plus un don). C’est un mouvement de différance, un temps d’exagération et d’excès, de démesure, une folie disséminatrice limitée par aucune ligne, aucun bord, aucun trait indivisible. Il ne peut y avoir don sans une effraction de l’équilibre courant des échanges, une perturbation de l’ordre des causalités. Même alors, le don ne se donne pas « comme tel ». La chose donnée n’est ni un objet, ni un contenu, c’est un faire, une performance, un décalage, un écart donné-donnant, une auto-affection qui produit le temps et la différence. La force qui donne n’est rien; et quand « ça donne », ça oublie que ça donne, immédiatement et radicalement, ça part en fumée. Il n’en reste que des traces ou des cendres. Le secret est scellé, crypté, indéchiffrable. Comme la mort, il ne revient pas à l’instance donatrice. »
lien idixa
https://idixa.net/Pixa/pagixa-0802250754.html
Pour moi, le don, c’est l’organe qui fonctionne et dont (!) on n’a plus besoin suite à la grande bascule, et l’essai sur de Marcel Mauss (The Gift), et singulièrement le potlatch, la destruction des ressources somptuaires qui visent à en foutre plein la vue à l’autre. Pratique intensive dans certains milieux, et pas qu’en banlieue de Port-Moresby…
Je lis avec étonnement ceci sur France-Info :
« C’est absurde » : aux Etats-Unis, les étudiants étrangers bientôt obligés de quitter le pays si leur établissement passe au télé-enseignement. »
À vrai dire je n’ai pas compris où se trouvait l’absurdité. Par contre rester aux États-Unis sans raison alors que ce pays est gravement touché par le virus serait une absurdité certaine, notamment au vu de l’état de son service de santé…
Une autre absurdité serait de ne pas mettre en quarantaine de quinze jours en France, chez eux, ces étudiants dont la présence n’est plus nécessaire sur le sol américain.
Pour finir, les quotas d’accueil des étudiants americains en France devront être revus à la baisse, en conséquence, ce qui sera une bonne nouvelle pour beaucoup d’étudiants français qui pourront Aibsi récupérer les hébergements que la France mettait à leur disposition.
Dans l’absurdité apparente on trouve facilement du bon sens.
comme me l’a suggéré Bloom, j’ai fait un « crochet » puisque je sais faire du crochet; -je vous recommande cette activité:pour « bonnes feuilles »
https://vimeo.com/320441860
et j’ai visité le musée:
https://vimeo.com/315897276
OUI, Et Alii
« Il faudrait penser l’oubli dans la condition du don, et le don dans la condition d’un oubli radical, absolu. »
…mercredi 8 juillet 2020 à 11 h 11 min.
…
…le problème de la fausse monnaie, n’est pas la fausse monnaie,…
…
…mais, la fausse politique en tout, sans sécurité » éternelle « ,…
…
…créer sa famille, pour rien, et puis comme pour des animaux, se faire éliminer et disparaitre avec le temps et ses déboires » tyranniques « , des états égocentriques pour corruptions – privés et autres corporations.
…
…les amis, la confiance, tout se vend, pour créer l’économie – sociale, et ses esclavages qui ne disent pas leurs noms,!…
…
…la fausse monnaie, être élever comme un con, sans le savoir,…à tout les échelons,!…
…Ouroboros,…et la nature en état de pieuvre, à tout échelons,!…l’usure,!…
…la restitution ?,…Go,!…
Quoi alerte chattoune ?
Qu’est-ce qui se passe encore ?!
sur la mémoire, la pensée et le « PARDON »
il n’y a pas que le soi proposant comme « penseurs » sachants, et, psychanalystes sur le blog de P.ASSOULINE à grandes lampées de tisanes
https://books.google.fr/books?id=-NI0CgAAQBAJ&pg=PT98&lpg=PT98&dq=il+n%27y+a+pas+de+pardon+dans+l%27incons
il n’y a pas d’oubli absolu , comme le rappelle Derrida qui discuta avec plus d’un- e psychanalyste:sa femme était psy et traductrice;
https://books.google.fr/books?id=-NI0CgAAQBAJ&pg=PT98&lpg=PT98&dq=il+n%27y+a+pas+de+pardon+dans+l%https://books.google.fr/books?id=-NI0CgAAQBAJ&pg=PT98&lpg=PT98&dq=il+n%27y+a+pas+de+pardon+dans+l%
derrida c’est sur Penser/rêver n°13 « La Vengeance et le Pardon, deux passions modernes »
Vanina
Ennio Moricone: de mortuis nihil nisi bonum.
Il y avait une fois un autre grand musicien, homme de légendaire insouciance, modestie et talent, dont Masolino d’amico a écrit un portrait ému dans son « Persone speciali », un ange, toujours gai,sans famille,avec une fille issue d’une distractione de jeunesse, Nino Rota. Son nom est lié à celui de Fellini. Un souvenir et un regret pour les deux grands
protagonistes d’une saison magnifique.
Vanina
Masolino d’Amico.
Il n’y a pas assez de rigueur vis-à-vis du risque épidémique.
Je vous invite toutes et tous à être vigilants et efficaces et à porter ce message autour de vous.
– respectez les gestes-barrière.
– aérez fréquemment et largement les locaux. C’est très important et pas assez dit.
– portez le masque dans tous les lieux publics et notamment dans les commerces.
– ne vous croyez pas en sécurité avec vos collègues et vos proches ne partageant pas le même lieu de vie. À tout moment l’un d’eux peut être porteur. Appliquez rigoureusement la distanciation et le port du masque lorsque elle n’est plus possible.
Le Covid-19 est une maladie grave et longuement invalidante dans beaucoup de cas, y compris parfois pour des trentenaires qui s’en croyait à l’abri. Mortelle pour beaucoup de personnes âgées.
NE JOUEZ PAS AVEC CELA pour vous et pour les autres.
Utilisez l’application Stop-Covid svp. Le traçage est un élément-clé de la lutte. Participez-y.
une infirmière m’a dit ce matin qu’elle pensait être immunisée ;
mais moi, j’ai attrapé froid cette nuit et je tousse comme une dératée
« La Vengeance et le Pardon, deux passions modernes »
Laissez tomber Derrida, et alii, ce n’est que du bla-bla pseudo moderne !
Pour le don, ne vaudrait-il pas mieux revenir à la source ?
« Si quelqu’un te frappe sur la joue droite, présente-lui l’autre. Si quelqu’un te fait un procès pour ta tunique, abandonne-lui ton manteau. »
« Si ton œil droit te scandalise, arrache-le et jette-le loin de toi. »
« Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent ; priez pour ceux qui vous persécutent. »
« Ne jugez pas, et vous ne serez point jugé. Pardonnez, et on vous pardonnera. Soyez miséricordieux comme votre Père céleste est miséricordieux. Donner vaut mieux que recevoir. »
« Celui qui s’humilie sera élevé ; celui qui s’élève sera humilié. »
Sur l’aumône, la pitié, les bonnes œuvres, la douceur, le goût de la paix, le complet désintéressement du cœur, il avait peu de chose à ajouter à la doctrine de la synagogue. Mais il y mettait un accent plein d’onction, qui rendait nouveaux des aphorismes trouvés depuis longtemps. (…)
Le motif dont il appuyait ces maximes de haute charité était toujours le même : « … Pour que vous soyez les fils de votre Père céleste, qui fait lever son soleil sur les bons et sur les méchants. Si vous n’aimez, ajoutait-il, que ceux qui vous aiment, quel mérite avez-vous ? Les publicains le font bien. Si vous ne saluez que vos frères, qu’est-ce que cela ? Les païens le font bien. Soyez parfaits, comme votre Père céleste est parfait. »
Un culte pur, une religion sans prêtres et sans pratiques extérieures, reposant toute sur les sentiments du cœur, sur l’imitation de Dieu, sur le rapport immédiat de la conscience avec le Père céleste, étaient la suite de ces principes. Jésus ne recula jamais devant cette hardie conséquence, qui faisait de lui, dans le sein du judaïsme, un révolutionnaire au premier chef. Pourquoi des intermédiaires entre l’homme et son Père ? Dieu ne voyant que le cœur, à quoi bon ces purifications, ces pratiques qui n’atteignent que le corps ? La tradition même, chose si sainte pour le juif, n’est rien, comparée au sentiment pur. L’hypocrisie des pharisiens, qui en priant tournaient la tête pour voir si on les regardait, qui faisaient leurs aumônes avec fracas, et mettaient sur leurs habits des signes qui les faisaient reconnaître pour personnes pieuses, toutes ces simagrées de la fausse dévotion le révoltaient.
« Ils ont reçu leur récompense, disait-il ; pour toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ne sache pas ce que fait ta droite, afin que ton aumône reste dans le secret, et alors ton Père, qui voit dans le secret, te la rendra. Et quand tu pries, n’imite pas les hypocrites, qui aiment à faire leur oraison debout dans les synagogues et au coin des places, afin d’être vus des hommes. Je dis en vérité qu’ils reçoivent leur récompense. Pour toi, si tu veux prier, entre dans ton cabinet, et ayant fermé la porte, prie ton Père, qui est dans le secret ; et ton Père, qui voit dans le secret, t’exaucera. Et, quand tu pries, ne fais pas de longs discours comme les païens, qui s’imaginent devoir être exaucés à force de paroles. Dieu ton Père sait de quoi tu as besoin, avant que tu le lui demandes. »
Il n’affectait nul signe extérieur d’ascétisme, se contentant de prier ou plutôt de méditer sur les montagnes et dans les lieux solitaires, où toujours l’homme a cherché Dieu. Cette haute notion des rapports de l’homme avec Dieu, dont si peu d’âmes, même après lui, devaient être capables, se résumait en une prière, qu’il enseignait dès lors à ses disciples :
« Notre Père qui es au ciel, que ton nom soit sanctifié ; que ton règne arrive ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de chaque jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
Épargne-nous les épreuves ; délivre-nous du Méchant. » Il insistait particulièrement sur cette pensée que le Père céleste sait mieux que nous ce qu’il nous faut, et qu’on lui fait presque injure en lui demandant telle ou telle chose déterminée. »
Beaucoup de gens trouvent idiot de rester rigoureux. Ils veulent décompenser, ça se comprend, ils se disent que tout ça est derrière eux et s’appuient sur certains chiffres. Très dangereux. Rien n’est derrière nous. Bien au contraire.
« ils se disent que tout ça est derrière eux »
Tel le professeur Raoult, qui disait que la pandémie a atteint son pic. Comment se fait-il qu’il n’ait pas été nommé ministre de la santé dans le gouvernement Castex ?
« Rien n’est derrière nous. Bien au contraire. »
Selon L’OMS ça repart et la Chine, les USA, Israël… reconfinent à tour de bras !
La vérité dans tout ça ?
Il n’y a pas assez de rigueur vis-à-vis du risque épidémique.
D. dit:
C’est tout à fait ça. On voit très bien que chaque jour il y a de moins de monde avec des masques, y compris dans les magasins (hier le vendeur de la librairie Gilda – pourtant dans la cinquantaine et qui parle avec des centaines de clients par semaine – n’en avait pas).
On sent très bien qu’il y a de moins en moins de Français concernés, malgré les nouvelles de reconfinement dans pas mal de pays, l’aggravation de l’épidémie en Amérique et en Afrique et la mutation du virus, qui devient, il paraît, plus contagieux qu’avant.
Et en Chine les mesures drastiques de protection continuent en vigueur partout.
Conclusion:
« Castex veut « préparer la France à une seconde vague » du Covid-19, mais sans « reconfinement absolu ».
(BFMTV)
C’était un extrait de la « Vie de Jésus » de Renan…
Où sont passés les grands admirateurs de Raoult sur la RDL ?
Loin de moi l’idée de vouloir jeter de l’eau bénite sur le feu (surtout par beau temps) ….mais que les vieux crèvent du Coronaviru, cornecul !
Rien que de très naturel : crever quand on a vécu. Et que la vie reprenne !
(on en a marre de ces atermoiements de bébé OMS !
jazzi; je ne vous ferai donc pas injure en vous rappelant que pour ma part,je ne vous demande rien de rien, ni ce que vous avez raconté à Clopine, nivos conseils en backrooms et bordels; bonne journée à vous et à tous les erdélien-n- es,les convaincu-e-s d’être des autorités et les autres ;
peut-être renato pourrait-il nous montrer des photos?
Auteur : Albert FAYS , Alexandre QUINET , Félix MOULIN , COLLECTIF
Editeur : BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE FRANCE – BNF
Collection : L’oeil curieux
Date parution : 03/2016
Nues. Femmes lascives
Femmes lascives
« Femmes lascives »
Pourquoi demander à renato des photos, alors qu’il suffirait d’ouvrir votre album personnel, et alii ?
GRÊLÉ : Les femmes grêlées sont toutes lascives.
Dictionnaire des idées reçues – Gustave Flaubert
Le confinement n’est pas une nécessité quand une population est capable de se discipliner et que cette discipline est contrôlée intelligement. Sinon en effet il ne reste que le confinement bête et méchant. C’est très triste d’avoir à écrire ça.
J’ai en ce moment autour de moi des collègues qui semblent incapables de comprendre le rôle pourtant très simple qu’ils ont à jouer.
Pire, parmi eux des « référents Covid 19 » font exactement le contraire de ce qui est préconisé sur les consignes qu’ils ont eux-mêmes fait diffuser et afficher.
« Quel est ce souffle léger qui, déchirant notre ciel gris, nous apporte sa langueur ? C’est le souffle du passé.
Quand on a beaucoup de temps devant soi et autour de soi, ces touches fulgurantes s’épandent en nappes de rêverie, en grandes flaques de souvenirs, comme dans les Nymphéas de Monet où l’eau, la lumière et les yeux ensommeillés des grandes fleurs semblent dormir par surabondance de temps : l’intervalle déborde alors entre les instants !
Ces touches ne gardent leur nature instantanée de réminiscences que lorsqu’elles sont des déchirures à travers l’enchaînement de la prose de l’existence sérieuse, et plus encore quand elles sont, en pleine tragédie, les éclairs d’un paradis depuis longtemps perdu. Le passé clignote subitement et, en pleine tourmente, nous fait signe ; tout à coup on se dit : quel bel été ! Et quelque chose d’un été ancien resurgit.»
Quelque part dans l’inachevé, Vladimir Jankélévitch (Gallimard, 1978).
Bête et méchant, comme JiCé.
Utilisez l’application Stop-Covid svp. Le traçage est un élément-clé de la lutte. Participez-y.
Non.
Pour tout le reste, oui.
Que c’est beau, Christiane. Et sans vouloir vous flatter, j’ai un instant cru que c’était de vous, ce qui aurait été très possible.
Jazzi dit: à
Où sont passés les grands admirateurs de Raoult sur la RDL ?
Ici, rose Dupont de Nemours.
Intelligente et gentille, comme et alii, D. ?
>christiane
Comme c’est beau ! Bo. Bô.
Merci ❤
D
À Marseille, dans les réseaux métro et bus, tous sont masqués.
Déçue, rose, que Raoult n’ait pas été nommé ministre de la santé ?
Non. Non. Non.
Ben si. Mais comme vous n’avez pas une once d’esprit mathématique vous êtes incapable de quantifier l’énorme efficacité de ce traçage par application dés lors qu’un grand nombre de personnes l’utilisent.
Accepter ça fait aussi partie du civisme.
Raoult, un type formidable que je soutiens à 109 %
J’ai vu des décompensations terribles chez des jeunes. Qui se sont pris dans les bras quand ils ont pu se revoir, et ont repandu ce geste d’embrassement autour d’eux comme par défi ou exorcisme, très loin de la rationalité qu’on attendait d’eux et dont leur faiblesse et leur éducation imparfaite les rendaient incapables.
Sales jeunes.
« Le professeur Raoult fait volte face. Le patron de l’IHU de Marseille révélait récemment que le coronavirus était en train de se terminer. Et dans une vidéo publiée sur Youtube, le médecin, principal promoteur d’un traitement controversé contre la Covid-19, prédit désormais un retour saisonnier de l’épidémie. »
109% quand il dit que c’est fini ou quand il dit que ça repart, D. ?
Jazzi un peu de bon sens, un boomerang, poyr qu’il revienne il faut qu’il soit parti. Normalement.
On va se prendre le virus dans la tronche dès septembre. Je l’ai calculé. Phase ascendante en septembre. Peut-être avant si on a n mois d’août frais.
Pourquoi ? Parce que quand il fait frais les gens ne veulent pas aérer. Si on rendait visibles les germes en suspension dans l’air, je vous promets que vite ils aèreraient en voyant leur concentration augmenter de façon exponentielle en quelques dizaines de minutes.
La dilution de l’air intérieur va être un enjeu majeur cet automne-hiver. Et j’ai le regret de vous dire que c’est en totale contradiction avec les économies d’energie.
Et pour qu’il reparte il faut qu’il soit revenu, D.
Quand tu vas jouer au casino, D., tu mises la même somme sur les Pairs et les Impairs et les Noirs et les Rouges ? Ainsi tu ne peux pas perdre ni… gagner !
« On va se prendre le virus dans la tronche dès septembre. »
A la rentrée on va rentrer… chez nous, D. !
Connaissant tes prédictions, je suis un peu rassuré…
Quand je vais au casino c’est pour acheter des rollmops et de la litière pour mon chat
La grippe espagnole qui était un peu moins contagieuse pourtant a mis des années avant de se terminer. Quelle est la probabilité pour que ça se passe différemment avec le coronavirus : très simple : nulle. Absolument nulle. Sauf si on trouve un vaccin et que l’on vaccine massivement et systèmatiquement. Alors on pourra s’en debarasser en 6 mois et pour toujours.
Seule la vaccination est venue à bout autrefois de la variole, autre maladie grave très contagieuse.
Que peut-on lire sur Wikipedia ?
« La variole a été responsable jusqu’au xviiie siècle de dizaines de milliers de morts par an rien qu’en Europe.
La variole a été totalement éradiquée en 1980[1], grâce à une campagne de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) combinant des campagnes de vaccination massive, dès 1958, avec une « stratégie de surveillance et d’endiguement », mise en œuvre à partir de 1967. Au xxie siècle, seuls des échantillons de ce virus sont conservés à des fins de recherche par des laboratoires habilités par l’OMS. »
Tiens tiens.
Je n’ai pas trouvé votre 🍄, renato.
Le virus de l’asiatique a sévi de 54 à 68, année où il a muté en grippe de Hong Kong qui a sévi de 68 à 70 avec une pause en 69, et des conséquentes pertes humaines.
Cela bien à part :
https://youtu.be/Kcq6r-YLHC8
D., le champignon est toute de suite après le post LvB.
et alii dit: à
il n’y a pas d’oubli absolu , comme le rappelle Derrida qui discuta avec plus d’un- e psychanalyste:sa femme était psy et traductrice;
Et sa nièce n’était-elle pas radoteuse des lilas au métro de Paris?
Il est très clair que les morts dès deux guerres, et même ceux d’Algérie, ont largement occulté ceux des pandémies du 33ème siècle.
Sales jeunes.
bien tlaver l’cul tfra pus une belle jambe dédé
Pour tout le reste, oui.
le plug anal ça marche pas rose..
..raoul a observé les 2 cousins du trouducul..il est dans l’doute
Accepter ça fait aussi partie du civisme
hassez de tes abus de position dominante dédé
GRÊLÉ : Les femmes grêlées sont toutes lascives.
Dictionnaire des idées reçues – Gustave Flaubert
la chtouille ça a du chien qu’il dirait maupaçant..comme sa vie est un long fleuve tranquille à janké dans les nymphéas..
Rien que de très naturel : crever quand on a vécu. Et que la vie reprenne !
naturliche qu’il aurait dit goering
Il insistait particulièrement sur cette pensée que le Père céleste sait mieux que nous ce qu’il nous faut, et qu’on lui fait presque injure en lui demandant telle ou telle chose déterminée
zigheil qu’il aurait dit goering
brinqueballe,d’une part Marguerite Derrida assistait aux séminaires, d’autre part, elle est assez connue pour que sa mort ait été annoncée, sur la toile, même en anglais:
« Marguerite Derrida, French Psychoanalyst and Translator, Dies at 87
A clinician by training, she translated major works in the field of psychoanalysis. She was the wife of Jacques Derrida, the French philosopher, for more than 40 years. https://www.nytimes.com/2020/04/06/obituaries/marguerite-derrida-dead-coronavirus.html
si vous faites une fixette , faites vous soigner
» and worked as a clinician, but she was also known for translations into French, including that of books by Melanie Klein, the Austrian-British psychoanalyst who specialized in children.
The Institute of Advanced Studies in Psychoanalysis, which is based near Paris and publishes essays and organizes seminars in the field, said last month in its newsletter that with Ms. Derrida’s death, “a whole world is leaving.”
Je ne sais pourquoi ce geste universel (de l’abandon) s’est perdu, mais je sais quand. Il s’est perdu avec les héros qui aimaient tant la mort. Il s’est perdu avec le dieu monothéiste
il y a là surtout dla geste..car rien ne s’est perdu.. »l’abandon » a été segmenté en myard de « situation »..de « cas »..des plus « beaux » au plus « alids »..et les héros..sil existe encore la proposition vaguement inféré que c’est l’amour de la mort qui les fait..force à labandon technique
bonne journée à vous et à tous les erdélien-n- es,les convaincu-e-s d’être des autorités et les autres
hassez de dévaluer la parole renfield..pense a dérida
Rien que de très naturel : crever quand on a vécu. Et que la vie reprenne !
parole de héro qui cherche des abandonnées havec une lanterne
Lui qui aurait rêvé d’inscrire « Profession : lecteur » sur son passeport
hypocrite douanier..mon semblabe..mon bro
..la geste c’est haussi sdonner des paires de claques
Quel nom faut-il donner à cette jeune femme dont le geste de l’abandon est sans doute le plus beau de tous ceux que j’ai vus et que je me suis efforcé de rassembler ?
..c’est tout simple..la démocrassie henlaidie tout ce qu’elle touche car ses intentions ne peuvent être jamais pures..faut du keuf..là le héro se jette par la fenêtre
https://histoire-image.org/sites/default/rolla-courtisanef.jpg
le boug, vous n’avez plus « bonne Clopine » qui vous a supporté; moi pas, vous êtes peut-être une « autorité en connerie » sur la toile, mais je m’en fiche;allez au diable, comme dit la dame qui se voit psy du blog, à daddy à dada, (et Derrida) , il est pavé de bonnes intentions, mais pas ses tisanes
et alii dit: à
brinqueballe,d’une part Marguerite Derrida assistait aux séminaires,
Et la petite cousine cuisinait les mots du cousin der de Da dans la cuisine!
vous n’avez plus « bonne Clopine » qui vous a supporté; moi pas
..mais si renfield..mais si..c’est ça la démocrassie..99% du temps on doit la supporter..pour la quête du 1% faut havoir le sens de l’absolu..un grail plein dgras djambon qui t’échappe toujours des mains qu’il dirait jicé..
ce n’est pas parce que des femmes banales ont demandé la guignolisation de ce blog qu’il faut le prendre pour une famille croquignole
« wiki: François Rabelais la cite dans son roman Pantagruel, en 1532 ; c’est dans ce texte que l’on trouve la première origine de cette spécialité. La tradition demeure vivante dans certaines régions. La chanson Elle vendait des p’tits gâteaux, de J. Bertet et Vincent Scotto, cite également des croquignoles mais avec deux L en précisant qu’il s’agit de gâteaux secs. Elle était interprétée par Mayol, puis par Barbara.; pour faire la bringue
moi haussi je viens de découvrir..et moi haussi je partage
et alii dit: à
brinqueballe,d’une part Marguerite Derrida assistait aux séminaires,
Et le p’tit cousin, en un tour de main, l’écoutait pieusement dans son coin et Marguerite qui voulait faire son bonheur l’appelait coin-coin.
croquignole:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Croquignole
Il y a-t-il une quelconque relation avec le Gelassenheit de Heidegger ?
petits gateaux croquignoles:
https://www.youtube.com/watch?v=NxLtB5CPob4
renato, c’est de la provoque à la clopine!
Ah, Huysmans…l’orgue à parfums de des Esseintes, le pub de la Gare du Nord…
‘A Paris’ (Bartillat), indispensable anthologie, …histoire de quitter un temps « le cabaret du néant » (J.Laforgue)
Il y a-t-il une quelconque relation avec le Gelassenheit de Heidegger et le titre du bilket ?
Ah, Huysmans…l’orgue à parfums de des Esseintes
dire quil a phini dans le fossé havec les grenouilles
videmment rénateau..quand tu thautorises à l’agora et que tu tutoyes hadrien comme margueritte..mais quignard kiffe pas charlot et est de gauche..halors il est conchié comme vilain pti canard..
..c’est quelquechose « les familles » rénateau..prend macron..sinon baroz et sarkozy qui a su « reconnaitre » qu’il est de droite..y leur collent des hulcères..un peu comme quignard
renato, c’est de la provoque à la clopine!
chacun sa ligne bleue rénateau
@et alii dit: « le boug, vous n’avez plus « bonne Clopine » qui vous a supporté… »
Pourquoi écrire cela, Et Alii ? sa présence ne s’efface pas par son silence provisoire. Elle est toujours pour ce blog une personnalité forte (laissons de côté ce passage difficile qu’elle vit en ce moment) et faisons fête à mille et un posts qui nous venaient d’elle pour fêter la nature, les prés, les pommes, les cerises (j’espère qu’elle a emporté ses conserves récentes !), ses bêtes dont elle sait si bien parler : le chien pile-poil tout fou, l’âne romantique sous le lune, le petit qui est né, les abeilles, les herbes aromatiques, ces recettes goûteuses (elle devrait ouvrir un restaurant)… son écriture inimitable.
C’est à elle que je pensais e, posant le texte de Vladimir Jankélévitch.
dire quil a phini dans le fossé havec les grenouilles
—
Fin délectable pour un Froggy Q-béni
les personnes qui ont la mémoire courte et reprochent aux autres leur mémoire seraient mieux inspirées de ne plus s’adresser à ceux et celles qui se souviennent et ont préféré le daimôn de tel ou telle à leur baratin « psychopolitique » ;bonne soirée les
insipides branquignols erdéliens
les pommes:
https://www.pinterest.fr/pin/460774605596375594/
Bach: Organ Sonata No. 4, BWV 528: II. Andante (Transcr. Stradal)- Víkingur Ólafsson
Vous vous souvenez de cela , Passoouhou?
C’était avant que le père Preynat ne soit démasqué.
@et alii dit: « les personnes qui ont la mémoire courte et reprochent aux autres leur mémoire seraient mieux inspirées de ne plus s’adresser à ceux et celles qui se souviennent… »
Non, Et Alii, je n’ai rien oublié, absolument rien. (d’autant plus que je suis d’un naturel rancunier).
Mais là, il y a une femme qui se débat dans une situation très compliquée, habitant on ne sait où et dans quelles conditions… loin de ses repères, de son cadre de vie, de ses habitudes.
(L’homme là-dedans, c’est secondaire.)
Elle est partie, soit. Et alors ? on va faire comme si elle n’était jamais venue ici ? On en parle au passé… Cela me dégoûte profondément.
Laissez donc vos pages interminables de philosophie. Vous n’êtes qu’un égoïste, un qui cherche la tranquillité.
Barthes disait que les personnages de romans sont des êtres de papier. Sans cette maudite camionnette de pressing, il se serait peut-être penché sur les « êtres de clavier »…Qui sait?
Vous n’êtes qu’un égoïste, un qui cherche la
tranquillité.
non, je suis une femme qui vous emmerde!
Femmes et littérature. Une histoire culturelle, t. 1
Martine Reid (dir.)
Gallimard
1040 pages
Le travail proposé ici n’a pas été conçu comme « homogène, fermé sur lui-même, replié sur quelque hypothétique identité féminine ou nationale ; à l’inverse, il s’est voulu hétérogène, ouvert, « global » autant que possible, forcément incomplet, nécessairement transitoire. » Bien plus que d’une histoire littéraire, il s’agit d’une « histoire culturelle », comme l’indique très bien le sous-titre. Cette synthèse cherche à replacer l’ensemble des œuvres dans le contexte de l’époque, au sein de l’histoire du livre et de l’édition, mais également de l’histoire des femmes et des idées. En pensant les œuvres des femmes et celles des hommes « ensemble et distinctement », ce travail vise à « en mesurer les échos et les échanges, les convergences et les différences, invitant à terme à une réévaluation générale des œuvres et des réputations, comme du champ littéraire et de son fonctionnement au fil des siècles ». Il faut donc pour la critique et l’histoire littéraire abandonner « ignorance et préjugés » et accepter « ce radical changement d’optique » et pousser à son terme « cette révolution herméneutique », pour asseoir aussi bien leur justesse que leur crédibilité et leur légitimité. »
Le travail proposé ici n’a pas été conçu comme « homogène, fermé sur lui-même, replié sur quelque hypothétique identité féminine ou nationale ; à l’inverse, il s’est voulu hétérogène, ouvert, « global » autant que possible, forcément incomplet, nécessairement transitoire. » Bien plus que d’une histoire littéraire, il s’agit d’une « histoire culturelle », comme l’indique très bien le sous-titre. Cette synthèse cherche à replacer l’ensemble des œuvres dans le contexte de l’époque, au sein de l’histoire du livre et de l’édition, mais également de l’histoire des femmes et des idées. En pensant les œuvres des femmes et celles des hommes « ensemble et distinctement », ce travail vise à « en mesurer les échos et les échanges, les convergences et les différences, invitant à terme à une réévaluation générale des œuvres et des réputations, comme du champ littéraire et de son fonctionnement au fil des siècles ». Il faut donc pour la critique et l’histoire littéraire abandonner « ignorance et préjugés » et accepter « ce radical changement d’optique » et pousser à son terme « cette révolution herméneutique », pour asseoir aussi bien leur justesse que leur crédibilité et leur légitimité.
https://www.nonfiction.fr/article-10356-quand-les-femmes-decident-de-mettre-la-main-a-la-plume.htm
Ce terme d’« autrice » est introduit à la Renaissance par les lettrés latinistes avec bien d’autres féminins en -trice. « Il régressera à partir du milieu du XVIIe siècle, condamné par les grammairiens et lexicographes masculinistes avec d’autres substantifs désignant des activités prestigieuses relevant du savoir et de la création : médecine, peintresse, philosophesse, poétesse… »
En lutte contre des préjugés tenaces
On a longtemps associé la lettre à l’écriture féminine, mais cette association entre femmes et art épistolaire est une construction critique qui se noue au début du XVIIIe siècle, au moment où l’on publie les lettres de Mme de Sévigné. On commence alors à se dire que c’est un genre qui correspond bien à la psychologie féminine ; puisque la lettre renvoie au disparate, au décousu, à l’oral, au bavardage, on incite les femmes à en écrire. Il en va de même pour les romans sentimentaux,
lien donné
Démolir Quignard.
Suite.
C’est au bout de plusieurs années durant lesquelles Quignard a dans ces colonnes bénéficié d’une admiration sans recul critique, à l’occasion de plusieurs billets, et je le rappelle, je l’ai lu A-B ( ante blog)
qu’il me vient de faire le bilan de ce fil rouge.
depuis, j’ai , en vrac et dans le désordre, croisé le regard-qui-tue qui se voulait envoûtant , suivi passionnément les commentaires lors de cette fameuse » nuit sexuelle » sur la rdl,( mon pauvre Passou, vos héros sont désormais bien fatigués !) et participé en commentant à plusieurs billets, sur PQ.
Et lu plusieurs de ses bouquins.
Alors, que reste-t-il de ce faux moine, de ce latiniste de Pompei, de ce « grec », qui a toujours fait passer la mythologie pour de l’histoire, de ce musicologue de légende urbaine ?
Eh bien pas grand-chose.
A peine le sentiment que son passeport, autre que la profession « lecteur », aurait du comporter la mention : moine pour moniales.
UN PEU D ‘histoire pour rafraichir la culture de la damequi croit tout savoir dujudaÏsme et des femmes:
« Quelle place pour les femmes, en particulier les érudites, dans le judaïsme ? De dimanche à mardi, une petite vingtaine de femmes, rabbins, enseignantes, venues des États-Unis, d’Israël, de France, vont se retrouver le temps d’”un congrès mondial” à Troyes, une première en France.
“Les femmes et le leadership dans le judaïsme – les filles de Rachi”, tel est le thème de cette rencontre, dont le lieu n’a pas été choisi au hasard: elle est organisée par la Maison de Rachi, qui abrite aujourd’hui, dans la ville médiévale de Troyes, une synagogue et un musée dédiés à Rachi, grand commentateur de textes du judaïsme au XIe siècle et père de trois filles.
“Il a pris des positions modernes par rapport à ses filles dont on dit qu’elles étaient des exégètes et des sages”, affirme à l’AFP Pauline Bebe, première femme à occuper les fonctions de rabbin en France après s’être formée en Angleterre, et qui participera à la rencontre.
Filles de Rachi est une association qui a pour but de promouvoir la voix des femmes dans le judaïsme, elle a organisé la première édition du congrès les Filles de Rachi en juin 2019 à Troyes grâce au soutien et à la confiance de la Maison Rachi.
https://fillesderachi.org/
Est-ce parce que l’avenir se dresse devant moi à la façon d’un iceberg devant le Titanic ? En tout cas, on m’a offert « Conjurer la peur » de Boucheron, le titre me fait bien entendu tressaillir tant il semble programmatique (et à appliquer d’urgence, en ce qui me concerne), et cette lecture érudite, élégante et virtuose me donne envie du coup d’aller à Sienne, pour faire mienne (ahaha), à mon tour, la fresque de Lorenzetti…
La brayonne a oublié le chien, l’ânon , ses poules et les dindons, ses cornes et clopin qu’est parti voir ailleurs.
Et voudrait vivre des soirées belles à Sienne. 😁
Kilucru qu’elle était cocue…
LE NOUVEAU PREMIER MINISTRE
Je dois d’abord dire que je ne suis ni gauchiste, ni communiste, ni socialiste, ni centriste, ni lepeniste.
Comme presque tous les Français, je ne connaissais pas le nouveau Premier ministre avant sa nomination.
J’ai entendu et j’ai lu sa biographie , son parcours et les raisons pur lesquelles le Président l’aurait choisi.
Ce jeudi matin, écoutant les chaînes d’information continue à la télé, au lieu des débats habituels, on nous gratifie d’une séance de questions à l’Assemblée nationale. Des députés posent des questions et un ministre répond. Barbara Pompili ,l’écolo, a dû répondre. Dupond-Moretti , l’avocat, a dû répondre. Et …le Premier ministre. Plusieurs fois et c’était son baptême du feu dans cette Assemblée.
Pas du tout militant, sans préventions, absolument indifférent, je n’ai eu que des impressions. Je me suis dit : il est cassant, grimaçant, mauvais, terne, soporifique…C’est une catastrophe. Mais je me suis dit : je ne vais pas écrire ça. Qui suis-je pour avoir ce jugement ? Et cela va intéresser qui ?
Or, vers 17h, à la télé , j’entends un député dire : « Il a été soporifique, insupportable. Va-t-on devoir le supporter deux ans? »
« Soporifique » est le mot que j’avais osé employer en parlant de lui à ma famille avant le déjeuner.
Bon. Nous sommes au moins deux à le penser en France.
@ Clopin
Je comprends votre souhait de seulement vouloir être entendu pour faire valoir votre point de vue dans cette affaire à sens unique, mais je n’ai pas vocation à me mêler des affaires de famille, ni à suppléer les modérateurs du blog. J’ai toutefois cru comprendre que Clopine et vous étiez fans de Brassens, aussi ma modeste contribution à la résolution de vos différends se bornera-t-elle à ce titre :
https://www.youtube.com/watch?v=bO5Cwu0ALc0
Bonsoir Clopine,
heureuse de vous lire.
Barthes écrivait : « À l’origine de tout, la Peur… comme instant fictif où, tout ayant été rasé, cette tabula rasa va être réoccupée : “J’ai peur, donc je vis.” Une remarque : on ne parle jamais de la peur : elle est forclose du discours, et même de l’écriture (pourrait-il y avoir une écriture de la peur ?). Placée à l’origine, elle a une valeur de méthode ; d’elle, part un chemin initiatique. » (Roland Barthes – Cerisy 1977)
C’est un bon chemin : être vivante et se battre !
Quel tue- l’amour, ce Charoulet.
Doit pas connaître Pompéi.
http://amiesduboudoir.canalblog.com/archives/2015/03/28/31790162.html
Un peu d’histoire…
« L’objet ? La plus grande des fresques de Pompéi, et la plus énigmatique, celle de la Villa dite « des Mystères ». La thèse ? Assurément non conventionnelle, puisqu’il s’agit de démontrer précisément, en suivant pas à pas, quitte à en bouleverser l’ordre, chronologique en apparence, ou au moins logique, des scènes peintes côte à côte sur le mur de la riche demeure d’un notable romain, que les prétendus « Mystères » sont en réalité profanes et qu’au lieu d’initiation mystique on a affaire à une banale mais piquante journée de noces en milieu opulent ».
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2017/02/15/plaisir-comprendre-veyne/
@ Clopin
Excellent l’ombelle.
Clopin devrait avoir sa partition, ici. Y’a pas de raison!
Laissez donc vos pages interminables de philosophie. Vous n’êtes qu’un égoïste, un qui cherche la tranquillité.
cette femme est toute calomnie depuis longtemps ! c’est elle qui avait écrit sur ce blog « c’est une garce »! elle ne pense qu’ à se mettre en avant aux dépens des autres , mais son ignorance est un gouffre aussi profond que son outrecuidance à juger, conseiller , se prétendre ceci et cela!c’est une hypocrite de première
préférez magritte:
https://www.nationalgalleries.org/art-and-artists/23996/le-miroir-magique-magic-mirror
A ma connaissance il n’y a que trois femmes rabbins exerçant actuellement en France :Pauline Bebe la plus ancienne, puis Delphine Horviller la tres mediatique épouse du maire du quatrieme arrondissement enfin la plus récente Daniele Touati qui a fait ses études en vue du rabbinat apres une premiere carriere de DRH et ses enfants elevés
Elle sont toutes du courant liberal Les juifs orthodoxes en France du moins ne confient pas cette responsabilité a des femmes .C’est ce qui explique probablement que Liliane Vana sans doute iune des plus hautes autorités en France en matiere de droit hebraïque ne se soit pas vu confier la responsabilité d’une d’une synagogue
D. dit: à
Non. Non. Non.
Ben si. Mais comme vous n’avez pas une once d’esprit mathématique vous êtes incapable de quantifier l’énorme efficacité de ce traçage par application dés lors qu’un grand nombre de personnes l’utilisent.
Accepter ça fait aussi partie du civisme.
Eh bien non.
J’ai mes limites.
@ »C’est ce qui explique probablement que Liliane Vana sans doute iune des plus hautes autorités en France en matiere de droit hebraïque ne se soit pas vu confier la responsabilité d’une d’une synagogue. »
Faudrait qu’elle chante du Iglesias à la synagogue…( j’accumule les kilos de patates, Passou peut seulement prévoir un semi-remorque, pour la livraison…)
@ SI vous aviez connu « les filles de « rachi » que n’en avez vous parlé ? ni de Rachi , ni de Arsène Darmesteter ( naît dans une famille juive installée en Lorraine depuis le milieu du xviiie siècle et dont les ancêtres sont originaires du ghetto de Darmstadt.) auteur de De la Création actuelle de mots nouveaux dans la langue française et des lois qui la régissent, thèse de doctorat (1877)
il y avait un livre à Pompidou « autrefois »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ars%C3%A8ne_Darmesteter
il estvrai que LA FILLE DE Delphine H répondit quand on lui demandait la profession de sa mère qu’elle était chanteuse (sic)
« Soporifique » est le mot que j’avais osé employer en parlant de lui à ma famille avant le déjeuner.
—
Déclaration préalable d’imperfections: je suis communiste, socialiste, écologiste, féministe, libertaire, végétarien en Inde, confucianiste en Chine, bouddhiste en Asie du sud-est, musulman au Pakistan, cannibale en Nouvelle-Guinée et accessoirement lointain fils d’Abraham.
Sur le fond: tout comme le rond Raymond Barre, P. Charoulet, vous vous souvenez? Le soi-disant « meilleur économiste de France », le prof d’éco le plus lénifiant de l’Université française de l’avis de ses anciens étudiants, et un PM doté d’un charisme égal ou inférieur à celui d’une boite de corn-flakes…
Franchement, tant que c’est tout ce qu’on pourra lui reprocher au monsieur de Prades, ça ira.
Franchement, tant que,à la différence de Barre, il ne commettra pas l’injure suprême* sous une forme ou une autre, ça ira.
Pour citer l’entraineur du XV de Vic-Fezensac: « Macarel, quand t’as pu que l’équipe B, parce que t’as explosé l’équipe A avé des quilles, ben boudu, tu fais avec… »
*« Cet attentat odieux qui voulait frapper les Israélites qui se rendaient à la synagogue et qui a frappé des Français innocents qui traversaient la rue Copernic »…R. Barre, le Le 3 octobre 1980.
la quatrième étant:
Daniela Touati, quatrième femme rabbin en France
Portrait Ordonnée dimanche 7 juillet à Londres, Daniela Touati souhaite promouvoir un judaïsme libéral à la synagogue Keren Or à Lyon où elle officiera désormais.
@Déclaration préalable d’imperfections: je suis communiste, socialiste, écologiste, féministe, libertaire, végétarien en Inde, confucianiste en Chine, bouddhiste en Asie du sud-est, musulman au Pakistan, cannibale en Nouvelle-Guinée et accessoirement lointain fils d’Abraham.
Declaration incomplète qui va fait rire à la dogana.
Rajouter: ex-petit fonctionnaire français expatrié, qui a des intérêts en Chine.
Bloom, quelle perspicacité politique vous avez. 40 ans après la politique délétère et antisémite du centriste Barre, dit Babarre, voilà que l’extrême droite israélienne pousse aujourd’hui sa corne dans le débat politique français pour soutenir le RN/FN et inciter à la haine religieuse. Ça fera pshiiitt, mais quand même, Babarre aurait pu surveiller le placement de ses virgules, même à chaud et même à l’oral.
https://www.europe-israel.org/2020/07/enquete-pour-injures-publiques-une-petition-de-soutien-a-eric-zemmour-lancee/
Ma mère est chanteuse.
Mylène Farmer ?
Édouard Philippe avait nombre de qualités intrinsèques. Difficile de lui succéder.
Pimenter sa sexualité pour la libido :
Chéri, je fais caca dans le lit mais c’est une farce. 🥴
Chéri, j’ai commencé la zumba hier soir.
Etc.
Charentaises et p’tites mémés.
« rose sur son phumier » ça henvoie du paté un peu plus que job et ses hulcères
« Soporifique » est le mot que j’avais osé employer en parlant de lui à ma famille avant le déjeuner.
je t’aime bien charoulet..mon avis c’est qui faut le prende chez son opposant comme une qualité..certes ya la politique..mais halors le caractère en plus! je suis content que tu t’épargnes de la bille charoulet
Fin délectable pour un Froggy Q-béni
pas dessentialisme..on ne peut pas et sen réjouir et en pleurer kabloom..
une Vénus enivrée et endormie peinte par Nicolas Poussin
non seulement la sexualité ne repeuple pus qu’il dirait dédé..mais la druate en a marre des myards qui saccumumulent..ça jette un froid
@Et alii
Vous oubliez qu’il a souvent été question de Rachi sur ce blog et notamment à propos de ses gloses qui sont un exceptionnel témoignage sur le français vernaculaire du 11 eme siecle qui a laissé peu de traces ecrites, car à cette epoque tout ce qui s’écrivait s’écrivait en latin
Je ne connaissais pas l’ouvrage de Darmesteter que vous citez ;en revanche comme tous les etudiants en licence de lettres des années 50 j’avais mis mon nez dans le Hatzfeld Darmesteter, recommandé par nos profs
Vous parlez des filles de Rachi, mais celui-ci n’alla pas jusqu’à leur confier la responsabilité de faire vivre son héritage ,ce qu’assura son gendre Tam dont il fit son continuateur ; cela aussi a du être déjà dit sur ce blog faisant bondir les feministes
..mais reste quand même la patte de lapin à poussin..et la main dsinge a rustine..hach les dons à lapollon..gaffe!
drh..chais pas..fait semblant qu’il t’a pas houblié..tiens prends exempe sur charoulet
..charoulet il est « olympien » ou j’my connais pas
@ et alii dit […] Vous n’êtes qu’UN égoïste, UN qui cherche la tranquillité.
christiane dit:
Comment tu sais que « et alii » est un homme, alors qu’elle a toujours dit qu’elle était une femme (« je suis une femme qui vous emmerde ! ») et que tout ce qu’elle écrit et sa façon de s’exprimer prouvent qu’elle dit vrai?
ex-petit fonctionnaire français expatrié
—
Vergife her me’lord fo’ she knowz not what she doobedobedo…
Pourquoi ex-? Lisez donc le JO avec plus d’attention et mettez à jour vos tablettes, Soeur Marie la Souillon.
Pour la P(e)ine, vous nous ferez trois (fois) parterres et un avé le petit doigt; allez en pet, ma fille de rabat-joie, que votre odeur de sein-têté par incubes et succubes alternés se répande sur les fosses d’aisances où diffuse la covid.
In de name o de fader, de ssshon & de ‘olly toast
ODT, vous avez de saines lectures, dites-moi – ça déblablatte grave chez les héritiers de l’Irgoun. Même Jabotinsky doit se mettre à pirouetter façon Safed un jour de séder…
Bloom, et bien des lectures insanes à venir. Prenez soin de vous et de vos proches. Bonne nuit.
La lettre n’est effectivement pas un genre spécifiquement féminin.On ferait bien de relire celles de Guy Patin et de Guez de Balzac, trop méprisé aujourd’hui pour ne pas être souvent excellent…Cela dit, il faudrait étudier ce moment Sévigné et son influence, qui va, je crois jusqu’à Mademoiselle Aissé.
Bien à vous.
MC
@ DHH effectivement, vous vous êtes moquée de moi lorsque j’ai rappelé Rachi sur ce blog et ses laazim selon votre système (de pseudo compliments moqueurs ), mais pas de votre fait, pour l’ intérêt de Rachi aussi pour la langue française (mais bien sur il faut apprendre à lire son « écriture » !), plus portée que vous êtes sur les conseils en tours de poitrine , alliances endogames ou non sur ce blog , et camomille;
ceci parce que comme par hasard, vous dites que vous êtes harcelée lorsque c’est vous qui surgissez APRES moi!enfin non si vous croyez que je suis un homme ( « à castrer » )comme votre chère amie qui vous la joue « psy « , comme vous la jouez » cour de récréé », et autre « c’est c’lui qui l’dit « , c’est triste pour ce blog où vous réclamez de l’originalité et incarnez « l’idiotie au pouvoir »avec vos commentaires de Hagège:
Les gloses de Rachi, rabbin champenois du XIe siècle, document exceptionnel pour l’histoire du français parlé … et de l’hébreu
Claude Hagège https://www.cairn.info/heritages-de-rachi–9782841621286-page-77.htm
L’écriture Rachi (en hébreu : כתב רש״י k’tav rachi) est une variante d’écriture hébraïque principalement utilisée pour les commentaires rabbiniques des textes de la Bible hébraïque et du Talmud1.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89criture_Rachi
une lettre se dit mikhtav מִכְתָּב
essayez DHH de demander à des psys professionnels s »ils peuvent organiser pour vos « nostalgies de »jUDITH » des séances de psychodrame à l’institut
RACHIpar exemple
Ce centre d’art et de culture affilié au Fond Social Juif Unifié organise toute l’année des expositions. Il dispose également d’une salle – environ trois cent cinquante places – qui propose toute l’année des spectacles variés – théâtre, humour, musique… -, des projections de films et des débats sur le vaste thème de la culture juive telle qu’elle s’exprime en France ou dans d’autres régions du monde.Il aide à la création de pièces et favorise les jeunes auteurs juifs ou non juifs. C’est un lieu théâtral et musical juif unique en Europe qui reprend à la fois le cours de la programmation juive avec des pièces telles que le Dibbouk, le Golem ; mais aussi fait connaître ses lectures des grands textes classiques comme « Esther » de Racine, etc..
je crois et je crains que si ça continue, ce qui sera « original » ce sera de citer un auteur un livre , une oeuvre sur ce blog;
et alii dit: à
je crois et je crains que si ça continue, ce qui sera « original » ce sera de citer un auteur un livre , une oeuvre sur ce blog.
🤩😜😘
et alii
Pck vous, et alii, le confinement de sept semaines ne vous a fien fait ? Votre vie, la pensée de votre mort ne vous ont pas remis viscéralement en question ?
Dans mon entourage immédiat, il y a eu :
un bébé en route. Comme c’est beau un ventre rond.
une séparation.
Une cessation de travail.
Un déménagement de la ville à la campagne.
La prise de conscience que l’on est une personne à risque. Ou pas.
Bref, ça déménage pas mal.
Au propre et au figuré.
rien fait ?
Niente.
christiane
Par les textes que vous semez ici, vous êtes notre source vive, fraîche et roborative. Je vous en sais gré.
L’évolution des billets, des commentaires qu’ils ne suscitent pas, le niveau des lecteurs éructant, la baisse générale de l’intérêt pour autre chose que son ombilic narcissique, tout cela reflète bien la déliquescence de l’illustre République des Livres au fil des années, majesté amputée de ses deux jambes.
Il est important que le courage, la foi, l’ordre, la tenue, la vaillance, l’ambition, revienne ! Elle reviendra la culture du Livre, on nous le promet…
Certes….elle reviendra par le Livre mais elle sera coranique, enfouie sous de lourds voiles noirs !
Jazzi
Je ne vois pas plus Raoult ministre de la santé que Dupont-Moretti ministre de la Justice ou que Vallaut -Belkacem ministre de l’Educ.Nat.
À chacun ses compétences.
Ne soyez pas étonné du propos précédent : je termine « Le Camp des Saints » de feu Raspail, livre magnifique par sa force tragique, et prémonitoire. Ça change des épanchements « littéraires » germanopratins ridicules! ….
Bonne journée, veaux, vaches, vachettes !
Jeudi 9 juillet 2020, 5h53
Je trouve très étrange que bloom ait le meme langage structurant scatologique que beaucoup, ici.
C’est commun aux petits fonctionnaires qui puent de la gueule.
Une véritable fosse a purin baveuse le bloom.
Cela ne s’arrange pas depuis que ce boursouflé a pris sa retraite.
Année LvB, Polonaise op. 89 en do majeur :
9.7 — 6.12
bloom s’est ému que l’on ait retenu une autre déclaration que celle qu’il soumet désormais la lecture complaisante de ceux qui ne connaissent pas yoyo ?
Il a trop de haine à déverser, cet ex petit( mais gros par la taille) fonctionnaire expatrié qui a des intérêts en Chine.
Il a un dea! Rendez-vous compte, un dea!
10/07/2020, 6h15.
Beau temps sur la Côte.
Rose,
oui, les textes sont des sources vives. Tenez, celui-ci, écrit en 1979, par Roland Barthes, découvert cette nuit dans le tome V de ses œuvres (Seuil), m’a fait penser au très étonnant texte de Clopine (surtout la première partie que j’aime beaucoup.)
« Limelight
Dans Limelight, Chaplin de dégrime énergiquement devant une glace. Sort alors de la serviette un visage étrange, presque gênant : juvénile et féminin, tant les lignes en sont pures. La violence de cette transformation lui donne quelque chose de magique, c’est à la lettre, une métamorphose, telle que seules la mythologie et l’entomologie pourraient en parler. Le génie du cinéma serait donc d’intensifier les phénomènes rationnels, de façon à faire apparaître en quelque sorte le supplément de la pureté. On renouerait ainsi avec le fonds mythologique de l’humanité, non par quelque appel grandiloquent au fabuleux mais simplement en pesant sur l’image. Car après tout, en se dégrimant « cinématographiquement », Chaplin ne fait que prendre à la lettre la métaphore qui nous prescrit de « lever le masque » ou de « dépouiller le vieil homme ». » (page 657)
Dans le discontinu de la vie quotidienne, ses textes atteignent des profondeurs qui dessinent un destin.
Les choses mûrissent malgré elle au gré des évènements, de ses refus et de ses choix. Ne plus avoir peur de la différence, de l’incertitude… Des bouffées de langage qui tentent de décrire cette incohérence de la vie. L’écriture souveraine protège celle qui parle, tellement démunie. Il faut oser…
» Et les manuscrits de ses dizaines de livres ? Il n’y en a qu’un, celui de Boutès (2008), le seul qui ait survécu parce qu’une chercheuse, Irène Fenoglio, s’en était emparée pour les besoins d’une étude génétique sur ses trente-deux versions successives, avec chutes et dessins… »
La chute est l’une des manifestations du grand âge.
« Un signe plus précoce que le déclin cognitif ?
• L’étude clé : c’est une étude américaine de l’Université Washington à Saint Louis, présentée à la Conférence internationale de l’Association Alzheimer (AAIC) dès 2011 qui a lancé l’idée : les personnes âgées n’ayant pas encore de troubles de la mémoire (ou autres signes de déclin intellectuel), mais qui feraient des chutes sans raison apparente, pourraient être dans une phase précoce de la maladie d’Alzheimer »
« Le plus grand philosophe du monde sur une planche plus large qu’il ne faut, s’il y a au-dessous un précipice, quoique sa raison le convainque de sa sûreté, son imagination prévaudra. Plusieurs n’en sauraient soutenir la pensée sans pâlir et suer.
Montaigne, Essais, II, 12, Pléiade, p. 578. « Qu’on loge un philosophe dans une cage de menus filets de fer clairsemés, qui soit suspendue au haut des tours Notre-Dame de Paris ; il verra par raison évidente qu’il est impossible qu’il en tombe ; et si ne se saurait garder (s’il n’a accoutumé le métier des couvreurs) que la vue de cette hauteur extrême, ne l’épouvante et ne le transisse. Car nous avons assez affaire de nous assurer aux galeries, qui sont en nos clochers, si elles sont façonnées à jour, encore qu’elles soient de pierre. Il y en a qui n’en peuvent pas seulement porter la pensée. Qu’on jette une poutre entre ces deux tours d’une grosseur telle qu’il nous la faut à nous promener dessus, il n’y a sagesse philosophique de si grande fermeté qui puisse nous donner courage d’y marcher, comme nous ferions si elle était à terre. J’ai souvent essayé cela, en nos montagnes de deçà, et si suis de ceux qui ne s’effrayent que médiocrement de telles choses, que je ne pouvais souffrir la vue de cette profondeur infinie sans horreur et tremblement de jarrets et de cuisses, encore qu’il s’en fallut bien ma longueur, que je ne fusse du tout au bord, et n’eusse su choir, si je ne me fusse porté à escient au danger. J’y remarquai aussi, quelque hauteur qu’il y eût, pourvu qu’en cette pente il s’y présentât un arbre, ou bosse de rocher, pour soutenir un peu la vue, et la diviser, que cela nous allège et donne assurance ; comme si c’était chose de quoi à la chute nous pussions recevoir secours : mais que les précipices coupés et unis, nous ne les pouvons pas seulement regarder sans tournoiement de teste : ut despici sine vertigine simul oculorum animique non possit : qui est une évidente imposture de la vue. » Le caractère d’expérience concrète a dû retenir l’attention de Pascal. »
Pablo75,
Et Alii le répète mais je ne peux la lisant échapper à cette intuition : elle est un homme surtout face à la parole des femmes. C’est ce que son écriture produit sur moi.
Dans cet espace-commentaires l’être est verbal, ni réel, ni fictif, simplement absent d’un corps, d’un visage. Nous réagissons, répondons à des paroles furtives avec nos défaillances de perception. L’identité devient évanescente comme dans une toile de S.Dali, une poétique du rêve. Les mots sont étrangers à la réalité des êtres. Ils provoquent.
Nous sommes ici au milieu des mots, pas dans le réel. Femmes ou hommes, jeunes ou vieux, qu’importe… Un tel écart entre ce « livre » et le monde.
Une constellation… avec ses héros, ses traîtres, ses histoires, son bien et son mal. Le langage comme matière commune à tous ces êtres qui s’écrivent.
On ne peut rechercher celui ou celle qui écrit. On ne peut mettre quelqu’un de précis derrière celui ou celle qui écrit.
Une écriture plurielle, un fouillis de langue mi-parole, mi-écriture… Vertige… galerie de miroirs labyrinthique où l’on se perd. Mouvement perpétuel, débit continu, serré, dans cet espace d’échange et de solitude pour troubadours.
« Dans la mythologie grecque, Boutès (en grec ancien Βούτης / Boútês), fils de Téléon et de Zeuxippe, prit part à l’expédition des Argonautes. Lorsque ceux-ci croisèrent les sirènes, Boutès, envoûté par leurs chants, plongea dans la mer. Il fut sauvé par Aphrodite, qui l’installa en Sicile et en fit son amant. Il eut deux enfants de la déesse : Éryx et Polycaon. »
Wiki
Une écriture plurielle, un fouillis de langue mi-parole, mi-écriture… Vertige… galerie de miroirs labyrinthique où l’on se perd. Mouvement perpétuel, débit continu, serré, dans cet espace d’échange et de solitude pour troubadours.
cela me semble si saoulant, quand ce n’est que pour affirmer que j’écrirais comme un homme et serais »donc » de sexe masculin;
tout cela ne n’amuse même pas, une telle obsession du « sexe », une pareille infatuation de soi et de ses croyances sur les choses, la vie, un tel besoin
d’avoir « raison »en « conseillant », en « jugeant », je comprends que ça puisse faire fuir et réveiller des tourments chez certaines personnes, femmes comme hommes;c’est la RDL qui est à plaindre d’héberger cette « instit »et lui offrir un tremplin pour ses délires jaloux
Angèle Paoli, dans sa revue littéraire en ligne, Terres de femmes a parfaitement élucidé le Boutès de Pascal Quignard (comme ses autres essais, du reste).
https://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2008/09/pascal-quignard.html
« […] Avec Boutès, en effet, Pascal Quignard ramène son lecteur aux origines. À «la musique originaire». Chant et contre-chant. Car de tous les marins qui conduisent l’Argo, seul Boutès préfère le chant des sirènes aux rythmes scandés par Orphée pour tromper les rameurs. Seul de tous les rameurs ― ils sont cinquante à bord de l’Argo conduit par Jason ―, Boutès résiste aux scansions binaires du plectre d’Orphée. Emporté par un élan irrésistible, Boutès quitte son rang et plonge. Il plonge, tête première, pour rejoindre le chant qui monte de l’île «enchanteresse». […] »
et « l’instit » appelle ses « impressions » des « intuitions »!
je suppose que « le boug » sera charmé d’être reconnu comme troubadour ! pourtant, je ne pense pas qu’il ait montré sa carte à quiconque;
mais au moins on sait précisément ce qu’elle désire, l’instit !
C’est commun aux petits fonctionnaires qui puent de la gueule.
—
Marie la Souille, porte coton des purulences néo-c.ons. Sors de ce corps, Enculla!
P’tain de sort ! Cornecul ! Par Priape ! Tel Boutès fliqué, fils de Télécon et Jezippe, je suis envoûté par le chant des Sirènes de ce blog, prêt à plonger les pieds devant, dans la merde autoréalisatrice de ces charmants cerveaux détruits par la littérature trompeuse de ce temps !…
9 juillet 2020 à 9 h 38 min.
« Tout simplement noir » de Jean-Pascal Zadi.
De même que j’ai toujours préféré dire « homo » que « gay », une vague forme de recherche d’identité d’importation, Jean-Pascal Zadi, le sympathique héros de son propre film, insiste pour que l’on dise « noir » à la place de « black ».
La presse unanime et dithyrambe m’ayant promis que j’allais me tordre de rire en allant voir cette comédie sur un sujet sensible, rattrapé récemment par l’actualité nationale et internationale, je n’ai pas hésité à commencer par cette nouveauté de la semaine.
Hélas, je ne me suis guère fendu la gueule ni posé beaucoup de questions sur la question noire !
Cette promesse de cinéma de distraction, à dimension politique sous-jacente, se révèle n’être en définitive rien de plus que le catalogue des diverses formes d’être noir en France.
Et encore !
Orchestré autour de l’idée d’organiser une marche noire sur le modèle de « Touche pas à mon pote », le comédien Jean-Pascal Zadi s’intéresse essentiellement aux célébrités et autres privilégiés de cette communauté, qui a gagné en visibilité médiatique.
Une comédie de boulevard, plus bobo que sociale, où ne figure aucun migrant actuel ni banlieusard anonyme et qui se contente d’enfiler les clichés en usage sur le colonialisme, l’esclavage, les différences historiques et géographiques entre noirs issus d’Afrique ou des Dom Tom, les noirs noirs, les marrons clair ou les métisses.
Un ambitieux programme relégué ici au niveau de répliques de stand up.
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19588036&cfilm=277532.html
insiste pour que l’on dise « noir » à la place de « black
mais la covid disent ces ratacons dacadémiciens..du goudron et des plumes..comme hon dit dans le grantwest
la merde autoréalisatrice
ha que par harley davidson j’ai besoin de personne
Ma question relative à Gelassenheit n’était pas dépourvue de sens, et alii, et n’était non plus une blague, il suffit de le lire car Gelassenheit renvoie à laisser être les choses telles qu’elles sont, sans intervenir.
Alléluia !!!
La flèche de Notre-Dame de Paris sera reconstruite à l’identique. Dieu écoute toujours les siens.
Et j’y ai mis de mes sous. Cette flèche sera un petit peu la mienne (affectivement).
métisses.
Un ambitieux programme relégué ici au niveau de répliques de stand up.
Blanche Gardin ne va pas être contente.
elle est un homme surtout face à la parole des femmes. C’est ce que son écriture produit sur moi
..être une femme ça s’autoréalise pas
renato
Gellassenheit : la résistance passive ?
Et j’y ai mis de mes sous. Cette flèche sera un petit peu la mienne (affectivement)
largent autoréalise tout..
Ce n’est pas Bouguereau qui, pour surfer sur la vague, aurait l’idée de choisir la mer Noire.
Ceci-dit j’avais fait ici la promotion d’une flèche reconstruite à l’identique mais avec de l’or à la place du plomb. Si ça n’est pas possible pour des raisons financières, que l’on mette un peu d’or bien visible à certains endroits et surtout par allusion au grand œuvre alchimique dont de nombreux symboles apparaissent en divers endroits de la cathédrale (d’autant plus qu’il y a eu une belle fournaise qui symbolise déjà le feu de l’athanor).
pourtant, je ne pense pas qu’il ait montré sa carte à quiconque
le douanier me frait des difficulté.. »zingueur » le fait bonhomme
ut despici sine vertigine simul oculorum animique non possit
tiens alesquia..ton lot de héros abandonnés qui te revient de droit
https://i.imgur.com/ifLk1Iv.jpg
D, j’aurais besoin dans l’idéal d’une intervention esthétique pour retrouver ma forme d’antan, bien sûr la cause des dommages ne peut être imputée à un incendie d’origine indéterminée. Je vous autorise cependant à y mettre de vos sous. Dieu vous les rendra sur ma recommandation.
que l’on mette un peu d’or bien visible à certains endroits
il y a encore peu..trés peu..la statue de violet était presque hinconnu..elle n’avait pas été faite pour être vu..sinon des charpentiers..et des zingueurs
Avant sa période latiniste errant qui semble finir en érotomane moins distingué que Mandiargues, Quignard a donné un stimulant texte sur le marquis de Fronteira à Lisbonne. Deux raretés, le livre d’un Français au Portugal qui n’est pas un retraité lassé du melting pot de son pays d’origine, et le domaine du marquis « des Frontières » qui limitait le melting pot à ses parterres.
Après avoir reçu le Prix Nobel de Littérature, Albert Camus écrit à son instituteur, Louis Germain, cette lettre :
19 novembre 1957
Cher Monsieur Germain,
« J’ai laissé s’éteindre un peu le bruit qui m’a entouré tous ces jours-ci avant de venir vous parler un peu de tout mon cœur. On vient de me faire un bien trop grand honneur, que je n’ai ni recherché ni sollicité. Mais quand j’ai appris la nouvelle, ma première pensée, après ma mère, a été pour vous. Sans vous, sans cette main affectueuse que vous avez tendue au petit enfant pauvre que j’étais, sans votre enseignement, et votre exemple, rien de tout cela ne serait arrivé. Je ne me fais pas un monde de cette sorte d’honneur mais celui-là est du moins une occasion pour vous dire ce que vous avez été, et êtes toujours pour moi, et pour vous assurer que vos efforts, votre travail et le cœur généreux que vous y mettiez sont toujours vivants chez un de vos petits écoliers qui, malgré l’âge, n’a pas cessé d’être votre reconnaissant élève.
Je vous embrasse, de toutes mes forces. »
Albert Camus
Un peu de la longue réponse de son maître d’école :
30 Avril 1959
Mon cher petit,
« (…) Je ne sais t’exprimer la joie que tu m’as faite par ton geste gracieux ni la manière de te remercier. Si c’était possible, je serrerais bien fort le grand garçon que tu es devenu et qui restera toujours pour moi « mon petit Camus».
(…) Qui est Camus ? J’ai l’impression que ceux qui essayent de percer ta personnalité n’y arrivent pas tout à fait. Tu as toujours montré une pudeur instinctive à déceler ta nature, tes sentiments. Tu y arrives d’autant mieux que tu es simple, direct. Et bon par-dessus le marché ! Ces impressions, tu me les a données en classe. Le pédagogue qui veut faire consciencieusement son métier ne néglige aucune occasion de connaître ses élèves, ses enfants, et il s’en présente sans cesse. Une réponse, un geste, une attitude sont amplement révélateurs. Je crois donc bien connaître le gentil petit bonhomme que tu étais, et l’enfant, bien souvent, contient en germe l’homme qu’il deviendra. Ton plaisir d’être en classe éclatait de toutes parts. Ton visage manifestait l’optimisme. Et à t’étudier, je n’ai jamais soupçonné la vraie situation de ta famille, je n’en ai eu qu’un aperçu au moment où ta maman est venue me voir au sujet de ton inscription sur la liste des candidats aux Bourses. D’ailleurs, cela se passait au moment où tu allais me quitter. Mais jusque-là tu me paraissais dans la même situation que tes camarades. Tu avais toujours ce qu’il te fallait. Comme ton frère, tu étais gentiment habillé. Je crois que je ne puis faire un plus bel éloge de ta maman.
J’ai vu la liste sans cesse grandissante des ouvrages qui te sont consacrés ou qui parlent de toi. Et c’est une satisfaction très grande pour moi de constater que ta célébrité (c’est l’exacte vérité) ne t’avait pas tourné la tête. Tu es resté Camus: bravo. […]
Andrée me rappelle que nous t’avons vu et entendu à une émission littéraire de la télévision, émission concernant Les Possédés. C’était émouvant de te voir répondre aux questions posées. Et, malgré moi, je faisais la malicieuse remarque que tu ne te doutais pas que, finalement, je te verrai et t’entendrai. Cela a compensé un peu ton absence d’Alger. Nous ne t’avons pas vu depuis pas mal de temps…
Avant de terminer, je veux te dire le mal que j’éprouve en tant qu’instituteur laïc, devant les projets menaçants ourdis contre notre école. Je crois, durant toute ma carrière, avoir respecté ce qu’il y a de plus sacré dans l’enfant: le droit de chercher sa vérité. Je vous ai tous aimés et crois avoir fait tout mon possible pour ne pas manifester mes idées et peser ainsi sur votre jeune intelligence. Lorsqu’il était question de Dieu (c’est dans le programme), je disais que certains y croyaient, d’autres non. Et que dans la plénitude de ses droits, chacun faisait ce qu’il voulait. De même, pour le chapitre des religions, je me bornais à indiquer celles qui existaient, auxquelles appartenaient ceux à qui cela plaisait. Pour être vrai, j’ajoutais qu’il y avait des personnes ne pratiquant aucune religion. Je sais bien que cela ne plaît pas à ceux qui voudraient faire des instituteurs des commis voyageurs en religion et, pour être plus précis, en religion catholique. […]
Sache que, même lorsque je n’écris pas, je pense souvent à vous tous.
Madame Germain et moi vous embrassons tous quatre bien fort. Affectueusement à vous. »
Germain Louis
Elément de charges
Commandes
Total
C 21
C 22
C 23
Matières premières
54733
95492
26921
177146
Main d’oeuvre directe de production
8458
17524
7579
33561
Frais de fabrication
16×50=800
16×79=1264
16×41=656
2720
Total (coûts de production)
63991
114280
35156
213427
tiens alesquia..ton lot de héros abandonnés qui te revient de droit
la pose est bidon..les héros cabotinent facilement..mais alesquia je ne vois pas hune seconde le photographe « composer » leur geste d’abandon sans risquer un lancer de clef à mollette..comme quoi ce geste et tout ce qui va havec est..parfaitment naturelle..génétique n’ayons pas peur des mots..hon peut failcment « culturaliser » pour faire profond et sapproprier..ou -dérober-
Destinataire: Bruno Lemaire.
Darmanin , à présent à l’interieur, à mon avis, compte tenu des deux plaignantes dont une déboutée, devra user de son pouvoir sans en abuser. Mesdames, gare à vos fesses si vous souhaitez une promotion.
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