de Pierre Assouline

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La République des livres
Pascal Quignard tel un voleur dans la nuit

Pascal Quignard tel un voleur dans la nuit

La vertu des livres tels que ceux du cycle Dernier royaume de Pascal Quignard est de constituer chacun une bibliothèque. Non seulement chacun est tissé de (re)lectures mais chacun renvoie in fine le lecteur à la (re)découverte d’autres livres, d’autres auteurs, d’autres univers. Ceux qui sont évoqués, sinon cités, et les invisibles qui nourrissent souterrainement la réflexion et irradient l’écriture de l’intérieur.

L’Homme aux trois lettres (192 pages, 18 euros, Grasset), titre du volume XI de ce projet océanique, au sein duquel il ne puisse avoir de point de vue contrairement à un projet panoramique, est une périphrase qui fait écho aux trois lettres par lesquelles on désignait un voleur en latin (fur, furis). Tout écrivain étant fils de ses lectures, et plus encore lorsque comme Quignard ils font profession d’être avant tout de grands lecteurs compulsifs, voués par conséquent au silence, à l’esseulement, à l’exil, à la mise à l’écart et à l’abri loin de la meute, hors de la prison de la vie sociale, dès lors qu’ils accèdent à la maturité de leur art, ils volent ; et en attendant d’oser voler, ils imitent -ainsi que l’a posé T.S. Eliot en une poignée de mots. Après avoir pris tout ce qu’il y avait à prendre chez les autres, assurés de leur appropriation et de la liberté qu’elle leur confère, ils volent enfin de leurs propres mots. A 72 ans, après avoir écrit quelques dizaines de livres, « le claquoir des Ténèbres » disaient jadis les chrétiens, Pascal Quignard s’affronte à la nature de la littérature (lire ici un extrait)

On peut disputer sans compter de ce qui prime, de la découverte du feu ou de l’invention de l’écriture. Lui a choisi et, on s’en doute, ce n’est pas le feu. Encore que tout ou presque est écriture. Entre deux dépressions (1975 et 1981), afin de conjurer le spectre de l’angoisse et de mettre à distance le désir d’ouvrir les fenêtres pour se jeter dans le vide, il s’adonnait à la tapisserie dont des caravelles en mer étaient le motif exclusif et énigmatique.

Etrangement, il fait de la lecture un impératif musulman en raison de l’injonction Iqra’ (Lis !) dont l’importance serait soulignée par son inscription comme tout premier mot du Coran. Or non seulement ceci est contesté (le livre débute par la fatiha, sourate d’ouverture, le fameux Iqra’ lancé par l’ange Gabriel à Mahomet se trouvant en fait dans le premier verset de la sourate 96 Al-‘Alaq, mais une querelle théologique a voulu lui accorder la première place…) mais il s’agit d’une invitation à lire non une bibliothèque, ou à se jeter dans l’étude universelle, mais bien à lire, proclamer, réciter les versets sacrés du grand livre incréé selon lequel  le Coran est parole éternelle de Dieu, en appelant à la prière. Difficile d’en déduire quoi que ce soit par rapport à la lecture.

Ici une évocation poignante de l’aube, vêtement de l’enfance, « ma livrée de spectacle dans la chapelle du lycée en ruine » où il servait la messe en évitant de regarder les regards à l’instant de pénétrer dans le chœur, frappant l’une contre l’autre les tablettes de buis, ses castagnettes. Premier théâtre, première ténèbre, premier butô. Là à travers l’hommage au caractère typographique du garamond un portrait de l’ami disparu, le poète Emmanuel Hocquard qui fut autrefois son éditeur artisanal. Un peu partout sa sourde fascination pour l’idée que « eros » et « littérature » soient les deux rares mots dont on ignore tout de l’origine, de l’étymologie, comme s’ils avaient surgi du néant.

Ce volume, comme la plupart des précédents, est tissé d’aphorismes, de réflexions, d’ anecdotes. Quelque part, il esquisse à peine une discrète pathologie du fragmentaire, en l’associant à tout ce qui disrupte dans notre esprit et nous fait entrevoir vide, vertige, chaos. Fragments chus à différentes époques de sa vie d’écriture, assemblés selon une mystérieuse alchimie, une logique imprévisible qu’il serait vain prétendre déchiffrer. On l’y retrouve dans ses obsessions et ses dilections, son monde intérieur hanté par le naufrage, les ruines du Havre, tout au long de l’enfance, les oiseaux d’Olivier Messiaen et la quête infinie de la source du monde. Ce n’est pas un hasard si l’exposition qui lui est actuellement consacré à la BnF s’intitule « Fragments d’une écriture ».

Nietzsche, Cicéron, Ovide, Benvéniste, Sénèque, Mallarmé, Kafka, Freud, Quintilien, Goethe et d’autres sont convoqués naturellement, entendez : sans cuistrerie, à ce banquet de mots. C’est là qu’on aura le plus de chance de trouver Celan absent. C’est parce qu’il est partout. Le poète est un invité invisible et permanent dans cette œuvre. Pascal Quignard l’a connu vers l’âge de 21 ans alors que, jeune correcteur des textes latins et grecs aux éditions Klincksieck, il avait été invité par Louis-René des Forêts à se joindre discrètement à la petite bande de glorieux ainés gravitant autour de la revue de poésie et d’art L’Ephémère que la Fondation Maeght édita à la fin des années 60. Il y avait là Michel Leiris, André du Bouchet, Yves Bonnefoy, Jacques Dupin. Et Paul Celan qui demanda au nouvel arrivant de traduire  Alexandra de Lycophron de Chalcis, tragédie grecque en vers réputée pour son hermétisme.

Aussi, en refermant ce volume XI de Dernier royaume, je n’ai pu m’empêcher d’ouvrir le tout nouveau Cahier de l’Herne (253 pages, 33 euros) consacré à Paul Celan. Des contributions parfois lumineuses, souvent complexes, toujours denses, y ont été réunis par Clément Fradin, Bertrand Badiou et Werner Wögerbauer (ici le sommaire). Il est préférable d’être un familier de son oeuvre avant de pénétrer dans ce vertigineux labyrinthe d’interprétations. Outre tout ce qui y est dit de la langue et de l’imaginaire du plus grand poète de langue allemande de la seconde partie du XXème siècle, du cliché oxymorique qui nimbe son œuvre (l’obscure clarté) et de la réponse à la question « Que peut-on conclure de la genèse d’un poème ? », deux réflexions offrent indirectement des clés pour mieux comprendre la démarche de Pascal Quignard depuis qu’il écrit et y relever l’influence diffuse de Paul Celan, de la parole coupante de ce maitre du silence : l’une du traducteur Jean-Pierre Lefebvre sur ses « microlithes », ces brèves proses comme autant de petites pierres ont « la dureté d’un cristal de croissance immédiate » ; l’autre de Clément Layet sur le statut du fragment, ce morceau qui a son unité propre et qui est la vraie métrique d’une grande partie de l’œuvre de Quignard, l’art poétique atomisé des Petits traités, de Vie secrète et dont la matrice était analysée dans Une gêne technique à l’égard des fragments (Fata Morgana, 1986). Il n’y pointait pas seulement à quel point la discontinuité de l’opération de penser est bien réelle ; après avoir payé sa dette aux grands moralistes (en particulier La Bruyère), en passant par Lucrèce et son évocation des « morceaux brisés des branches des arbres des forêts », il s’attardait sur la violence de ce fragmen, de cette action de frango, briser, anéantir, mettre en pièces, qui a partie liée avec celle du klasma grec et donc du spasmos qui disloque qui renvoie à leur commune fascination pour les ruines.

En cela, Quignard est fils de Celan lequel est fils de Hölderlin, auteur toujours lu comme « principalement fragmentaire ». Ils ont en commun d’avoir récréé leur langue par le moyen de la forme brève, éclatée, apparemment disjointe. En s’appropriant les mots, ils en ont modifié le sens.

(« Exposition « Ruines » de Joseph Koudelka à la Bnf » photo Passou « Pascal Quignard, Paris, 1987 » photo de Despatin Gobeli ; « Paul Celan » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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1 022 Réponses pour Pascal Quignard tel un voleur dans la nuit

Brinqueballe dit: à

WW les 400 coups! 😉

Marie Sasseur dit: à

Le même sport.
du 7 à vue, comme Erri de Luca ? Ben voyons.
Quel vantard ce milanais.

D. dit: à

Rien de ce qui vient de toi ne peut être « très reluisant ». C’est une question de nature. Tu es malpropre.

Pourtant une belle colique peut revêtir un incomparable éclat. S’il n’y avait pas l’odeur insupportable ce pourrait être beau.
N’est-ce pas renato ?

Chaloux dit: à

Et n’y aurait-il que cela, les historiens affirment que Morand a écrit un texte capital pour l’Histoire, qui éclaire d’un jour nouveau et implacable, les intentions et les responsabilités de Pétain, de Laval et d’autres, dans la déportation des juifs qui vivaient en France (ils n’étaient pas tous de nationalité française, et il est émis une distinction entre ceux qui ont été naturalisés après 1927). Est-il interdit de lire un document historique?

Et même s’il ne d’agissait que de savoir qui est vraiment Morand, où serait le problème?

Vous êtes complètement déments.

Marie Sasseur dit: à

« Et même s’il ne d’agissait que de savoir qui est vraiment Morand, où serait le problème? »

En Roumanie ?

Chaloux dit: à

Le premier volume ne couvre pas la période roumaine.

Marie Sasseur dit: à

Oh, s’il n’y a que ça, faudra attendre le volume adéquat…

Phil dit: à

Plaisant récit dear Renato, une touche de giallo d’Argento à Milan ou plutôt Turin. Après la causerie coquetèle avec le communiste repenti, passage tardif dans la galerie moderne de la copine que l’on découvre zigouillée avec sa fourrure, le local design étant sévèrement climatisé.
dear Chaloux, admirables efforts pour morandiser le blog à passou contre son gré, vous enverrai une « Europe galante » eo pur fil, publicité car-rosseries Weymann au dos.

Marie Sasseur dit: à

Le picon bière a des effets euphorisants pour ceux qui en boivent. Ils causent le chimpanzé.

Jazzi dit: à

« Tu fais partie d’une des rares générations de l’Histoire qui n’a rencontré aucun obstacle, aucune difficulté »

Toi et moi aussi, Chaloux !
Ce qui devrait nous éviter tout jugement hâtif sur la question…
Quoi de mieux que la plume des écrivains pour nous conter l’Histoire à leur façon, selon leurs points de vue !
Morand était à la conjonction de la politique et de l’art en France au milieu du XXe siècle (Marie Sasseur est un peu coincée du cul)…

Marie Sasseur dit: à

@Morand était à la conjonction de la politique et de l’art en France au milieu du XXe siècle .

Oui avec en plus, un peu la même religion que Matzneff. Pas très orthodoxes.

Chaloux dit: à

Non, Baroze, pour ma génération c’était déjà très différent.

Chaloux dit: à

ma pile de livres. Pendant cette période où on a plus de temps pour lire, je vais lire ou relire Les décombres, les deux étendards, les épis murs, le Journal de guerre de Drieu La rochelle, la bio de Drieu parue chez Perrin, Gilles si j’en ai le temps, un peu de Maurras, de Bainville et de Léon Daudet.

Aucune de ces lectures n’est un délit, ces livres sont en vente libre, édités par de grands éditeurs parisiens ayant pignon sur rue : Gallimard, Robert Laffont, Grasset, Albin Michel etc. Et nous sommes encore en république.

Sans oublier, je l’espère, Montalembert et le révérend-père Lecanuet.

Marie Sasseur dit: à

Bas rancis a le droit d’aînesse.

Marie Sasseur dit: à

Sur la pile de l’ huissier manque plus que  » mon camping » a du célèbre moustachu; d’ailleurs il a déjà dit ici etre allé en pèlerinage chez Adolf.

Il n’y a pas de mystère. Vous croyiez quoi , au juste ?

Qu’une enflure lit morand par accident ?

Allons, allons.

Pablo75 dit: à

Le niveau littéraire et mental du grand poète (en Espagne on a publié sa Poesía completa) E.de Luca qui met en extase Marie la Chiasse:

« Tu ne supportes pas les chatouilles et je te les épargne. L’hiver, tu as les pieds froids et je te les réchauffe. L’été, je suis ton protecteur contre les moustiques, je les empêche de t’approcher. Tu souris quand je regarde tes bras et tes jambes pour chasser l’intrus. En échange, tu es ma conseillère en épices, en chaussures, tu me coupes les poils des oreilles. L’affaire conclue entre nous tient à ces prévenances. L’élégance n’est pas dans la garde-robe, mais dans les attentions de deux êtres qui vivent ensemble.
[…]
Tu es une femme au cœur de la vie. S’il t’arrive d’éprouver un désir impérieux pour un homme, tu l’exprimes et tu le satisfais. J’espère que tu ne tomberas pas amoureuse, mais quand bien même, je t’aime tant. Le bonheur que tu saisis avec un autre ne m’enlève rien de toi. Tu ne pouvais trouver ce bonheur avec moi.J’ai toute une variété de bonheurs avec toi, tu ne m’en as pas privé, tu en as même inventé que je ne pouvais imaginer. Ils sont faits sur mesure pour moi et ne pourront se reproduire avec aucun autre. »

(Impossible. Gallimard, 2020).

Jazzi dit: à

« -Si tu veux avoir des lecteurs, mets-toi à leur niveau! Fais de toi un personnage aussi plat, flou, médiocre, moche et honteux que lui. »

C’est le portrait craché de Marie Sasseur, Pablo75 !

Bloom dit: à

Dans la marmite que préparent Sycorax et Sétébos flottent de bien étranges reliefs , une graisse nauséabonde stagne en surface.

Jazzi dit: à

« je vais lire ou relire Les décombres, les deux étendards, les épis murs, le Journal de guerre de Drieu La rochelle, la bio de Drieu parue chez Perrin, Gilles si j’en ai le temps, un peu de Maurras, de Bainville et de Léon Daudet. »

Ne force pas trop sur la droite, Chaloux, même Phil finirait par en avoir des vertiges !

Chaloux dit: à

L’Assasseure, je te rappelle que Pierre Assouline est fréquemment présenté, à tort ou à raison, comme un spécialiste de l’Occupation. Penses-tu qu’il n’ait pas lu ces livres? Penses-tu qu’au cas (plus que probable) où il les aurait lus, ce serait dans le dessein de faire le mal autour de lui, notamment à des juifs de sa connaissance? Penses-tu qu’il existe deux sortes de citoyens, ceux qui auraient le droit de lire ces livres, et ceux -des sous lecteurs- qui n’en auraient pas le droit?

Ton cerveau est un sac vide.

Pablo75 dit: à

C’est le portrait craché de Marie Sasseur
Jazzi dit:

Rappelle-toi le mot de Chamfort:

« Ce qui fait le succès de quantité d’ouvrages est le rapport qui se trouve entre la médiocrité des idées de l’auteur et la médiocrité des idées du public. »

Marie Sasseur dit: à

Passou a déjà célébré des unions, formées sur son blog.
Celle de l’huissier véreux nostalgique du reich nazi et de sa femme de menache, salope franquiste réfugiee à paris, serait assurément une nouveauté. Seule restriction: 6 maxi.
🤣🤣

Jazzi dit: à

« Non, Baroze, pour ma génération c’était déjà très différent. »

Tu as une médaille de guerre, Chaloux ?

Chaloux dit: à

Baroze, entre deux, j’ai l’intention de relire Le grand Meaulnes

Chaloux dit: à

Je ne discute pas avec toi, Baroze, tu es trop con.

Marie Sasseur dit: à

@ »Pierre Assouline est fréquemment présenté, à tort ou à raison, comme un spécialiste de l’Occupation.  »

A raison.

Chaloux dit: à

A raison.

A sa place, je me méfierais de ton expertise!

Phil dit: à

A raison

dit-elle qui n’a rien lu. l’heure du chicon a bien sonné sur le prestigieux blog à passou.

Marie Sasseur dit: à

Le chimpanzé plein de picon bière s’est fait mouché par Passou. Pas une raison pour insulter ses lecteurs.

De toute façon cette saloperie de vieux identitaires xénophobes, antisémites, disparaîtra sans dommage pour l’humanité. Leur modèle a disparu, et ils n’ont plus que le net pour degueuler leur bile.

Chaloux dit: à

Si quelqu’un a bu, méchante Assasseure, d’où te vient ce langage de soulote?

(Soulote : « celle qui est encline à s’enivrer souvent, de façon misérable. »).

– ce mot est valide au Scrabble.

Marie Sasseur dit: à

Enfin, même si la grammaire est de sortie ce soir , par lassitude , je suis assez contente de moi; nettement moins de la lâcheté ambiante.

Mais enfin, leur vieillissement est pire qu’un naufrage.

Chaloux dit: à

Et qu’est-ce que je trouve dans ma boîte aux lettres?

Le Flagellant de Séville!

Hurkhurkhurk!

Marie Sasseur dit: à

Et bientôt une convocation…

bouguereau dit: à

dans morand il y a comme une aspiration à la promotion chez mon larbin..briquer la mercedes..dauber mariac en visite lui disant ‘meussieu est occupé’..mais le ‘il est au cabinet’ ferait que morand se serait séparé de toi au bout de 15 jours mon larbin..

Chaloux dit: à

Marie Sasseur dit: à
Et bientôt une convocation…

On verra ça, ma pauvre vieille. Tu prends tes rêves pour la réalité. Avec ce que tu écris ici, ta violence, ta bêtise, ta folie, j’ai l’impression qu’on n’a pas fini de rigoler…

Celle de l’huissier véreux nostalgique du reich nazi et de sa femme de menache, salope franquiste réfugiee à paris… etc.

bouguereau dit: à

Pourtant une belle colique peut revêtir un incomparable éclat. S’il n’y avait pas l’odeur insupportable ce pourrait être beau.
N’est-ce pas renato ?

l’inconvénient c’est comme havec morand..c’est de le prendre pour soi..peut être que morand ne sentait pas mauvais..ceci houvre une perspective inoui dans la critique littéraire dédé..lassouline en reste présentement comme pétrifié..on ne sait pas..mais on le devine!

bouguereau dit: à

Celle de l’huissier véreux nostalgique du reich nazi et de sa femme de menache, salope franquiste réfugiee à paris… etc

la main..courante de mon larbin était beucoup plus longue que ça..ça lui a pas couté qu’un bras à la kommandantur..restons discret

Marie Sasseur dit: à

Je n’ai aucun doute sur la suite..

Chaloux dit: à

Que dirait ton domestique, bouguereau, si tu ne l’étais toi-même?

– Monsieur est baigné par les sœurs de charité.

– Monsieur est promené sur son fauteuil-pot par un bénévole municipal.

– Rapport à ses dents, Monsieur ne mange plus que des purées.

– Il faut changer les draps de Monsieur.

– Ce ne dérange pas Monsieur si j’ouvre la fenêtre, rapport aux odeurs de Monsieur?

Etc…

renato dit: à

Je n’ai pas l’expérience d’une belle colique, dommage.

Chaloux dit: à

Moi non plus, pauvre folle.

Pablo75 dit: à

Et qu’est-ce que je trouve dans ma boîte aux lettres? Le Flagellant de Séville!
Chaloux dit:

Extraordinaire synchronicité qui confirme le fait que la Blatte de Blog soit une pratiquante du SM, une Grosse Maso qui ne vient sur ce site que pour se faire punir…

Elle l’a même confirmé l’autre jour en parlant ici de « la trique et la badine, enfin, un bon de commande dans un sex shop: tout pour se flageller. » (Marie Sasseur dit:)

renato dit: à

D’une moche colique non plus, d’ailleurs.

Marie Sasseur dit: à

Faut vous équiper d’un wc duchamp, renato, si vous avez des soucis.

bouguereau dit: à

Tu as une médaille de guerre, Chaloux ?

mon larbin est capable de toutes les husurpations..de plaider leur vérité jusqu’à ce qu’enfin en vertu de sa condition de larbin oncques ne pourrait le prendre au sérieux de peur de d’atteindre au respect de l’armée..dailleurs il ferait un procés qu’il ne pourrait que gagner..de 15 coups d’pieds au cul..vu son état

Chaloux dit: à

@Pablo.

Ça doit être un laideron puant et mal bâti dont personne ne veut. Obliger de s’accessoiriser. Le même drame que ce pauvre bouguereau et ses G-C.

Marie Sasseur dit: à

La pute espagnole,réfugiée franquiste a Paris, n’a pas lu le livre de Pierre Assouline ?

Chaloux dit: à

@Pablo.

Ça doit être un laideron puant et mal bâti dont personne ne veut. Obliger de s’accessoiriser. Le même drame que ce pauvre bouguereau et ses G-C.

« Aucune femme comblée n’est acariâtre ».

Marguerite Yourcenar.

Chaloux dit: à

Obligé!

DHH dit: à

Puisqu’on a parlé jalousie ill faut préciser de quoi on parle
Il faut mettre à part la jalousie amoureuse qui est un sentiment particulier la forme aigüe du malheur en amour et n’a rien avoir avec l’autre jalousie, la jalousie- envie avec laquelle elle n’a de commun que le nom , ce sentiment devorant qui dechire ces personnes pour qui le bonheur, le talent, ou la reussite familiale amoureuse ou professionnelle d’autrui est une souffrance generatrice de haine .

Encore faut-il operer une distinction

Elle serait , presque excusable, car tellement humaine, la jalousie de celui qui voit chez un autre un avantage vital significatif auquel il aspire et qui sera toujours pour lui hors d’atteinte, ou qui souffrant d’un handicap, est dechiré devant le bonheur de ceux qui en sont exempts , et qui se focalise de manière obsédante sur celui dont il envie le sort .

Et il y a une autre forme de jalousie, celle-là méprisable et mortifère pour ceux qu’elle ronge , la jalousie des gens heureux, de ceux qui sont comblés mais ne peuvent supporter l’idée que d’autres , peut-être à des titres différents, soient aussi bien ou mieux lotis qu’eux et qui transforment cette insatisfaction en obsession destructrice .

Et ils n’ont de cesse qu’a chercher du réconfort dans la dévalorisation des attributs de l’autre, s’ingéniant à détecter dans sa vie des poches de médiocrité,, à repérer des manques dans la forme que prennent chez lui des talents ou des avantages dont ils ne peuvent supporter qu’ils égalent ou dépassent les leurs. Et s’ls le peuvent ,ils se délectent à l’entrainer traitreusement a des actions qui lui sont dommageables
Et ces gens vivent en définitive dans la haine. Avec pour seul exutoire les satisfactions que leur apportent les malheurs et les échecs de leurs proies

Honnêtement je pense que ni l’une ni l’autre de ces formes de la jalousie- envie ne peut s’installer entre commentateurs pseudonymisés d’un blog ,pour une raison evidente qui est,le caractere virtuel de notre presence sur un espace commentaires ,la jalousie est un sentiment violent passionnel qui appelle unez apprehnsion de la personne dans sa totalité

bouguereau dit: à

« Aucune femme comblée n’est acariâtre ».

Marguerite Yourcenar.

pourtant mon larbin..plus t’es servi..et plus t’es hargneux..grincheux..tu performes mal le gouin qu’elle dirait margueriiitte

Pablo75 dit: à

Avec ce que tu écris ici, ta violence, ta bêtise, ta folie, j’ai l’impression qu’on n’a pas fini de rigoler…
Chaloux dit:

Si on avait collectionné les propos orduriers, les calomnies, les insultes, les saloperies, les menaces et autres injures que la Blatte de Blog a écrit ici depuis des années, on pourrait faire un dossier accablant qui donnerait l’image d’une vieille folle complétement bourrée, dont la spécialité est de s’attaquer aux personnes les moins violentes du blog. Celle d’une Ordure Morale aussi inguérissable que le Pétomane.

Chaloux dit: à

@Pablo.

A mon avis, elle est en HP.

Chaloux dit: à

@Pablo. Blue mite veut aussi nous faire passer pour des antisémites.
Ils sont tarés…

Marie Sasseur dit: à

Une fois démasqué, et bientôt rattrapé par la patrouille, l’ huissier vereux qui va en pèlerinage chez Adolphe et sur l’ île d’Yeu , toutes choses vérifiables sur sur blog, et nulle part ailleurs, et avec ses lectures  » choisies », n’a plus qu’une issue: fuircen avant.
Laissons là. C’est fini, pour lui, bientôt. C’est écrit dans les astres, ce que sa pute espagnole, réfugiée franquiste a Paris, et diseuse de bonne aventure a ses heures, s’est bien gardée de lui annoncer.

Bonne nuit.

Chaloux dit: à

Il est interdit d’aller à l’île d’Yeu et d’entrer dans le cimetière de Port-Joinville?

C’est ça ta dénonciation? Ils ne prendront même pas le temps de te rire au nez…

Tu as bien le profil que je crois, ma pauvre vieille…

Chaloux dit: à

C’est ça, « bonne nuit ». Prends bien ton traitement Assasseure… Et laisse l’infirmier boutonner ton petit haut avec les manches cousues dans le dos…

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

L’Assasseure, pour ta documentation :

Je n’ai pas visité le chalet d’Hitler (bien qu’ayant emprunté la route qui passe au-dessous), qui ne m’intéressait à aucun titre, mais j’ai visité Sigmaringen, château compris, dont je garde un très bon et curieux souvenir, avec aussi un léger malaise. Penses-tu que c’est parce que j’avais le sentiment d’avoir raté quelque chose, comme par exemple le voyage quand il en était encore temps?

J’aime beaucoup l’Allemagne, surtout le sud, quand on avance vers l’Est. J’aime aussi beaucoup la Suisse (chapitre suivant, tu vois ce que je veux dire). Etc.

Voila, tu sais tout.

Hurkhurkhurk!

Marie Sasseur dit: à

Oublié: On ne donnera pas non plus l’adresse du blog que l’ huissier avait concocté tout spécialement pour insulter.

Chaloux dit: à

Le blog! Le cimetière de Port-Joinville, Sigmaringen etc.

Là, c’est la place de Grève, le supplice de Damiens assuré…

Tu es complètement sonnée, ma pauvre fille.

Sinon pas de couvre-feu dans ton HP?

Va dodo, ça vaudra mieux…

Hurkhurkhurk!

B dit: à

D’une moche colique non plus, d’ailleurs.

Renato, je tente de reprendre le cours du blog, où en êtes vous ? Des problèmes intestinaux ou des querelles intestines, il y a toujours que quoi s’approvisionner ici dans ce nuages peuplé de gens nettement plus cultivés que la moyenne et souvent aussi tellement plus mauvais ou autant que la plèbe la plus vilaine. Ils ne se lassent pas et n’ont aucun souci du ressenti à moins qu’ils ne soient plus occupés par une volonté de briller de tous leurs feux incendiaires ou pétards mouillés que par l’ idée d’ennuyer par ces vains rabachages qui n’auront bientôt plus d’âge. J’espère tout de même que ces griefs, atteintes, agressions sont sincères, entiers pour ainsi dire intègres et ne viennent pas seulement figurer une ponctuation
à des commerces inavoués entre les thuriféraires qui décredibiliseraient ces offenses en exposition permanente . Quelle poisse de n’avoir que cette fresque à observer. Vivement la fin du confinement pour aérer les esprits. Bien qu’ici personne ne se livre à écrire ses impressions du matin, ses émotions du soir et ses rêveries de promeneur. L’essentiel pour certains consiste à demeurer corrosif, abrasif, négatif, exécutif.

renato dit: à

Reprendre le cours du blog, D. ? je ne tente même pas, je jette un coup d’œil aux tendences et compte tenu que je zappe beaucoup, il arrive que je trouve une occasion d’intervenir, mais c’est de plus en plus rare. D’ailleurs, parfois le temps que j’écrive quelques lignes que les voilà inutiles.

Pablo75 dit: à

Blue mite veut aussi nous faire passer pour des antisémites. Ils sont tarés…
Chaloux dit:

Ah, bon? Où ça? Moi je ne le lis plus, comme beaucoup d’autres qui n’ont rien à dire ou ne disent que des conneries. Ou qui radotent comme le Pétomane. Tous ceux qui nous traitent de fascistes et/ou d’antisémites il faut les traiter systématiquement de nazis, appliquant la Loi du Talion, qui est la seule qui comprennent. Les Cons, il n’y a que la violence qui les calme.

Gare de lyon.RTL.Bangkok. dit: à

Dans votre précédent article vous parlez de ‘’Paris au mois d’août’’ de René Fallet. Une merveille. Qui lit René Fallet aujourd’hui et en particulier ‘’Paris au mois d’août’’, son livre le plus abouti. De l’émotion et de la délicatesse nappée de littérature. Le trouve-t-on encore en Folio ? Rien n’est moins sûr quand on voit ce qui est arrivé à Françoise Sagan il y a quelques années. François Fallet mériterait un volume dans la collection ‘’Bouquin’’ de chez Laffont.

Ort dit: à

Bonne rigolade à feuilleter Henri VI (1ere partie) qui semble comme un pastiche de Shakespeare, avec l’outrance, l’emphase, les exclamations, le patchwork de scènes mal reliées et plastronnant, brinquebalant, ça va son chemin, ça avance, semant quelques morts en route mais ne menant à rien: des batailles gagnées et perdues (ah, ces lâches de Français), une paix boiteuse (ah, ces geignards de Français), un mariage chargé déjà de mauvais présages (ah, ces maudites Françaises), sans doute pour remplacer la méchante de la pièce, cramée, par une autre à venir.

LA PUCELLE.–Loin de moi, paysan. (Aux Anglais.) Vous avez suborné cet homme pour flétrir ma noble origine.

LE BERGER.–Il est vrai que je donnai un noble au prêtre le jour où j’épousai sa mère.–Mets-toi à genoux, ma chère fille, et reçois ma bénédiction. Quoi, tu ne veux pas? Eh bien, maudit soit l’instant de ta naissance! je voudrais que le lait que tu suçais sur le sein de ta mère fût devenu un poison pour toi; ou bien je voudrais que dans le temps où tu gardais mes moutons dans les champs, quelque loup affamé t’eût dévorée: tu renies ton père, infâme prostituée? Brûlez-la! brûlez-la! le gibet serait un supplice trop doux pour elle.

(Il sort.)

Marie Sasseur dit: à

« le caractere virtuel de notre presence sur un espace commentaires »

Bizarre de lire cela, il y en a qui se sont quand meme rencontrés en présentiel ( neologisme, conséquence du virus), et au-delà, ont fondé une  » famille », qui a été revendiquée ici, comme leur lien.
Qu’ensuite ils fassent comme si cela n’avait jamais existé c’est une chose, une chose ma foi très peu humaine, mais venir nier que cela a été, et renvoyer toute leur  » famille » à du virtuel ???

Moi je ne prise pas trop les contrepèteries, mais en voilà un parmi d’autre: un plan couillon.

Marie Sasseur dit: à

« le caractere virtuel de notre presence sur un espace commentaires »

Si c’est pour légitimer une irresponsabilité de certains commentaires, il faudrait préciser ce qui est affirmé dans cette considération.

Chaloux dit: à

« J’avais donc exigé des comptes, des chèques mensuels, une justification des tirages.(…). Je trouvais exagéré que la famille Gallimard, avare et très riche, fit fortune sur mon dos de jeune homme sans argent ».

Paul Morand, Journal intime (inédit) 14 avril 1946.

et alii dit: à

les philosophes en parlent:
“Le Plaisir effacé. Clitoris et pensée”, de Catherine Malabou
je n’ai pas encore lu celui là mais c’est une femme que je trouve intéressante, elle;

et alii dit: à

C MALABOU :QUE JE RECOMMANDE à CLOPINE

Marie Sasseur dit: à

Heureusement qu’on l’a encore, la liberté de liker.
Le tout est de savoir, s’agissant d’idées, je présume ? les conséquences qu’elles portent concrètement, dans une vie sociale.

Alexia Neuhoff dit: à

Il est lassant ce match entre JJJ, Chaloux, Pablo, Sasseur. Il est lassant parce qu’il dure, qu’il n’en finit pas. Un match n’a d’intérêt que parce qu’il est limité dans le temps. De même qu’une récréation. Au-delà, il n’y a plus de spectacle. Donc d’engouement possible. Rien n’est plus laid qu’un combat de catch où les lutteurs oublieraient de mimer les coups, le fameux chiqué qui les élève au rang de comédiens de théâtre. Rien n’est plus navrant qu’une mêlée de rugby qui dégénère en pugilat. Les affrontements sur un ring, un terrain de sport ou même un blog ne gagnent rien à n’être plus que coups de gueule et de poings, sans simulacre.

Chaloux dit: à

Il est lassant, ce combat, mais il est essentiel. L’agressivité de l’Assasseure (avec Bloom plus discret en contrepoint) c’est l’irruption de la folie des universités et de la presse américaines. Il faut lutter contre ce nouveau totalitarisme.

Jazzi dit: à

“Le Plaisir effacé. Clitoris et pensée”, de Catherine Malabou
QUE JE RECOMMANDE à CLOPINE

Pour qu’elle retrouve le plaisir en pensant avec son clitoris, et alii ?
Mâle à bout de ficelle…

et alii dit: à

l’abus de calomnies sur ce blog a fini par lui ôter tout intérêt en de hors des citations respectueuses vérifiables;

Janssen J-J dit: à

Se mettre à la place des autres, chaque matin, pour admirer la diversité erdélienne, un assortiment virtuel toujours des plus glamoure,

@ je pense que ni l’une ni l’autre de ces formes de la jalousie-envie ne peut s’installer entre commentateurs pseudonymisés d’un blog
@ Il faut lutter contre ce nouveau totalitarisme.
@ c’est une femme que je trouve intéressante, je ne l’ai pas lue, mais je la recommande, elle.
@ il est lassant ce match entre JJJ, Chaloux, Pablo, Sasseur
@ D’ailleurs, parfois le temps que j’écrive quelques lignes que les voilà inutiles.
@ Heureusement qu’on l’a encore, la liberté de liker.
@ tu renies ton père, infâme prostituée ? Brûlez-la! brûlez-la! le gibet serait un supplice trop doux pour elle.
@ Les Cons, il n’y a que la violence qui les calme.
@ admirables efforts pour morandiser le blog à passou contre son gré,
@ Quoi de mieux que la plume des écrivains pour nous conter l’Histoire à leur façon, selon leurs points de vue !
@ WW les 400 coups !
@ J’espère tout de même que ces griefs, atteintes, agressions sont sincères, entiers pour ainsi dire intègres et ne viennent pas seulement figurer une ponctuation
@ plus t’es hargneux..grincheux..tu performes mal le gouin qu’elle dirait margueriiitte

Bàv, sauries-vous vous y reconnaitre…, Billy Mulligan ? (10.11.20_8.56)

et alii dit: à

C.M est une femme qui ne parle pas de ses amies qui « ont tout » mais de son expérience de travail en séminaires et institutions ,ne calomnie pas sur fond de « fantasmes » et ne s’abrite pas derrière des clichés de « caniveaux » pour interpréter des histoires dont la dignité n’a rien à envier aux backrooms

et alii dit: à

personnellement, j’ai lu depuis longtemps plus d’un livre de C.Malabou que j’ai entendue la première fois dans un colloque « sur l’écriture » au collège de philosophie;autres anecdotes non vérifiables

Jazzi dit: à

@Ort, les drames historiques étaient particulièrement en vogue à l’époque du théâtre élisabéthain. Ils représentent un tiers du répertoire shakespearien. Les auteurs privilégiant alors les effets dramatiques au détriment de la vérité historique. C’est dans l’introduction de la trilogie Henri VI de Shakespeare (1564-1616), qu’apparait Jeanne d’Arc. Près de deux siècles après les évènements, elle y est présentée dans une telle confusion chronologique (la première rencontre avec le dauphin est située à Orléans et sa capture placée à Angers). Au point que son traducteur, François-Victor Hugo, écrit dans la préface que cette oeuvre de jeunesse du grand dramaturge anglais, où règne « le chaos des temps et des lieux », n’est probablement pas de sa plume. Jeanne y est représentée selon le point de vue des Anglais. Héroïne nationale pour les Français, elle y est décrite ici comme une sorcière et une fille à soldats. Il faudra attendre le Sainte Jeanne de l’écrivain et dramaturge irlandais Bernard Shaw, publié en 1924, pour que justice soit rendue à la Pucelle de l’autre côté de la Manche. Pour Shakespeare, mise au défit de se battre contre lui par Charles VII, Jeanne triomphe et le convainc ainsi du bien fondé de sa mission. Il en tombe alors éperdument amoureux !

Marie Sasseur dit: à

@Les affrontements sur un ring, un terrain de sport ou même un blog ne gagnent rien à n’être plus que coups de gueule et de poings, sans simulacre.

Venant d’un fake, cette remarque ne manque pas d’allure.
Lui rappeler, qu’avec son petit jeu , certains y ont laissé leur santé, et plus.

Il est d’ailleurs remarquable de constater, que leur  » famille » s’en lave les mains, si on peut dire.

S’il y en a qui viennent ici promener leur morgue, comme ils promènent leur chien, je comprends que leurs interactions sociales, en virtuel, comme en présentiel, sont très limitées.
Ce n’est pas le cas de tout le monde.

et alii dit: à

j’écris « citations respectueuses » en ceci qu’elles respectent l’original du locuteur/scripteur oral ou écrit;

DHH dit: à

@Marie Sasseur
Vous attendez une explication
La voilà
Lorsque je parlais du » caractere virtuel de notre presence sur un espace commentaires » je le faisais a propos de la jalousie que je considère comme exclue des rapports entre commentateurs
Et cela pour une double raison :
D’abord parce que à quelques exceptions pres, celles de commentateurs qui ont eu l’occasion de se rencontrer les intervenants d’un blog n’ont pas de visage les uns pourlses autres , aucune idée de leur apprence physique reelle hormis celle qu’ils peuvent leur imaginer ,Il peuvent rarement jamais savoir grand-chose de leur stature de leur allure , ,de leur look ,de leur vie sociale ou familiale et n’ont donc pas les éléments rien qui leur permettraient de les faire exister dans leur esprit avec une image complete et credible .
L’autre raison : Quand bien même on se construirait de l’autre une image dotée de suffisamment de chair pour alimenter une possible jalousie a son égard , chacun sait que sur un blog et toujours àla faveur de l’anonymat quand on parle de soi on resiste rarement au petit plaisir d’apparître sous un jour valorisant , à travers des petits, ou même des gros, mensonges et ceux qui vous lisent savent a quoi s’en tenir sur la fiabilité de ce qui est écrit
Alors jalouser une ombre sans chair ni visage , et qui plus est l’ombre d’un être eloigné de sa realité ?
il faut être bizarre pour en arriver là

Jazzi dit: à

Il n’y a rien dans le Génie lesbien sur clitoris et pensée, JJJ ?

rose dit: à

@ je pense que ni l’une ni l’autre de ces formes de la jalousie-envie ne peut s’installer entre commentateurs pseudonymisés d’un blog
DHH ds un long développement sur ka jalousie.
@ Il faut lutter contre ce nouveau totalitarisme.
Chaloux
@ c’est une femme que je trouve intéressante, je ne l’ai pas lue, mais je la recommande, elle.
Et alii
@ il est lassant ce match entre JJJ, Chaloux, Pablo, Sasseur
Alexia Neuhoff
@ D’ailleurs, parfois le temps que j’écrive quelques lignes que les voilà inutiles.
Renato
@ Heureusement qu’on l’a encore, la liberté de liker.
Marie Sasseur
@ tu renies ton père, infâme prostituée ? Brûlez-la! brûlez-la! le gibet serait un supplice trop doux pour elle.
Ort, in le début d’Henri VI
@ Les Cons, il n’y a que la violence qui les calme.
Pablo 75
@ admirables efforts pour morandiser le blog à passou contre son gré,
@ Quoi de mieux que la plume des écrivains pour nous conter l’Histoire à leur façon, selon leurs points de vue !
@ WW les 400 coups !
@ J’espère tout de même que ces griefs, atteintes, agressions sont sincères, entiers pour ainsi dire intègres et ne viennent pas seulement figurer une ponctuation
@ plus t’es hargneux..grincheux..tu performes mal le gouin qu’elle dirait margueriiitte

bouguereau dit: à

beau rétrorétropédalage de drh..mais non c’est pas elle qu’on est tousse jalouse..pisqu’elle exiss pas..

Marie Sasseur dit: à

manifester de la jalousie , par rapport à des personnes que l’on ne connait pas, autrement que par l’idée qu’on s’en fait, c’est un sujet.
Un vaste programme, pour votre journée. Que je vais passer au grand air. Comme quoi, il ne faut pas grabd chose, pour faire des envieux.

Bloom dit: à

Rien n’est plus navrant qu’une mêlée de rugby qui dégénère en pugilat.

I beg to differ. J’ai d’excellents souvenirs de bagarre générale, quand on sort la boite à mailloche et qu’on cogne tous azimuts. Pour nous ,c’était à chaque fois que l’on accueillait une équipe anglaise. Saprément rugueux les rosbifs!

Icite, c’est du pipeau, juste des rodomontades de petits branluchons coincés au stade du bac à sable et bien à l’abri derrière leurs pseudos.

Face à face, ces cadors de foire se dégonfleront comme des ballons de foire une fois le chapiteaux plié.

Cela dit, le duo de clowns bruns est un spectacle tellement pitoyable qu’il en devient cocasse.
Le ridicule ne tue pas, mais il ridiculise. Et pas qu’un peu!

Fun, fun, fun

Pablo75 dit: à

Pendant cette période où on a plus de temps pour lire, je vais lire ou relire Les Décombres, Les Deux étendards, Les Épis murs…
Chaloux dit:

Moi je trouve que « Les Décombres » est un livre passionnant et « Les Deux étendards », un grand roman, pour ne pas dire une oeuvre de génie, avec des parties époustouflantes d’amour et d’humanité.

Pour moi Rebatet est un grand portraitiste, féroce, implacable, perfide, souvent drôle et juste. C’est un écrivain qui a un grand talent dans la puissance d’évocation.

bouguereau dit: à

DHH ds un long développement sur ka jalousie

pas ‘dans’ mais -pécho-..d’où sa ratiocination nihiliss..bien sur que l’on a un corps..dédé 5éme dan en a un astral..le mien il est de rêve..celui de baroz il sent un peu la terre de bruyère de lachaise..wanabi odeur de sainteté

bouguereau dit: à

pédro a un corps de veau dans lequel on moulette sa fourchette..et même il a un gout de chorizo

Phil dit: à

sur ce blog a fini par lui ôter tout intérêt

indeed l’adresse systématique d’insultes font de l’avatar « Sasseur » l’unique responsable de l’appauvrissement de ce blog passé en moins de deux ans de l’ego à l’égout. Miss Neuhoff oublie la liste des nombreux contributeurs de qualité enfuis devant les vomissures de l’insane sasseur à qui Chaloux prête trop généreusement un vernis universitaire là où ne se lit qu’une crasse inculture d’avorton du web. Parfois un propos intéressant aussitôt noyé par l’invective d’oiseau tombé du nid, pathologique attitude. Misérable spectacle des aimables Baroz JJJ répondant à leur insulteuse. Le prestigieux passou a décidé de laisser courir le virus, blanc-seing donné aux contributeurs pour le détruire.

bouguereau dit: à

Les affrontements sur un ring, un terrain de sport ou même un blog ne gagnent rien à n’être plus que coups de gueule et de poings, sans simulacre

mc gregor donne hencore sa dem kabloom..c’est hofficiel lassouline..tu vas pouvoir y aller la tête haute..la franche en est
hail donald! té salutente!
https://www.youtube.com/watch?v=VDpgN-3vnyI

bouguereau dit: à

est ce que le corps de térezoune peut téléporter des stigmates au cul à térezoune..that is dze question

Jazzi dit: à

Ce que vous dites est très juste, DHH. Mais il faut tenir compte que dans cet espace imaginaire du commentarium, plus surréel que réel, ce qui prédomine, chez la plupart des commentateurs plus ou moins anonymes, c’est la pulsion, le désir de dominer, coûte que coûte et par tous les moyens. D’où l’expression ici des plus belles frustrations : ce n’est pas toujours joli joli mais toujours édifiant sur la nature humaine !

Bloom dit: à

Pour Pepito, l’antisémitisme est un humanisme:

L’Histoire:
« En juillet 1942, les éditions Denoël publient le livre de Lucien Rebatet, Les Décombres, qui, dès sa publication, crée l’événement. Véritable phénomène d’édition avec 65 000 exemplaires vendus, ce pamphlet est également un événement politique : à l’heure du statut des Juifs, un jeune écrivain français affiche son antisémitisme et son admiration inconditionnelle pour l’Allemagne ».

Sanie lecture, sanie lecteur.

Marie Sasseur dit: à

@l’unique responsable de l’appauvrissement de ce blog.
Dit l’infect qui s’est fait moucher par Passou.

Lol, c’est vrai que le tabassage morand- chardonne , les harcèlements, qui sont allés, par ces mêmes, jusqu’à poursuivre au moins un intervenant de petite visite chez lui, de calomnies insensees, a propos de personnes publiques, manifeste de la qualité de ces ordures et de l’usage qu’ils ont d’internet. Et ça date pas de deux ans.

Pablo75 dit: à

Il est lassant, ce combat, mais il est essentiel. L’agressivité de l’Assasseure (avec Bloom plus discret en contrepoint) c’est l’irruption de la folie des universités et de la presse américaines. Il faut lutter contre ce nouveau totalitarisme.
Chaloux dit:

Tout à fait d’accord. Le Pétomane, Marie la Chiasse, Bloom-Bloom, dit le Marquis de Mes Deux, la Visqueuse et d’autres que j’oublie, ce sont des Fascistes qui veulent imposer un ordre moral à tout le monde. Ce sont des Connards du Politiquement Correct. Si Chaloux et moi on n’était pas ici tout le monde serait à genoux devant ces Crétins Cyniques et Analphabètes.

Quant à l’opinion d’Alexia (ou Alexio) N., elle (ou il) a oublié de précéder son texte d’un « POUR MOI ». Quand on est poli et démocrate on ne dit pas « Il est lassant ce match… » mais « Pour moi il est lassant ce match… ». Parce qu’il y a beaucoup de monde qui adore quand une mêlée de rugby dégénère en pugilat, ma poule (ou mon poulet) !

Marie Sasseur dit: à

Le harcèlement doit changer de camp.

bouguereau dit: à

Pour Pepito, l’antisémitisme est un humanisme

c’est un coup classique de kravmaga..mais faut enchainer kabloom..sinon t’as l’nombril à l’air

Bloom dit: à

L’Histoire, suite:
« Cet après-midi du samedi 3 octobre 1942, Lucien Rebatet découvre, stupéfait, qu’une foule se presse aux portes de la librairie pro-allemande Rive-Gauche, place de la Sorbonne, pour se faire dédicacer LES DECOMBRES, son premier livre. Après la guerre, cet ouvrage, VERITABLE PROFESSION DE FOI RACISTE ET FASCISTE, vaudra à son auteur cinq ans de bagne – dont 141 jours de chaîne. Et Lucien Rebatet demeure aujourd’hui le symbole de ces intellectuels français qui ont trahi et la France, et l’intelligence (..) »

Le confinement à lire des cons-finis, why not? Mais après…???

bouguereau dit: à

« POUR MOI ». Quand on est poli et démocrate on ne dit pas « Il est lassant ce match… »

oué mais moi qui suis anar et suisse et qui vote jamais et qui pense que la démocrassie c’est dla drouille je te prends et je t’encule lafrenchézado

bouguereau dit: à

t’as vu alesquia?..le veau k0 debout avec unefourchette dans les deux noeils

Chaloux dit: à

Génie de Morand:

Ce qui me frappa le plus quand je connus Proust, c’était de rencontrer quelqu’un qui eût si tôt fini de vivre.

Bloom dit: à

Et ça date pas de deux ans.

On y travaille, ma sœur. Ne vous inquiétez pas!

bouguereau dit: à

Ce que vous dites est très juste, DHH

une odeur de faux cul le baroz..

Jazzi dit: à

Vous ne connaissez pas et alii, DHH, et elle ne vous connait pas, et pourtant il y a bien une jalousie notoire de sa part à votre encontre ! Il semblerait que vous occupiez indument une place qui devrait lui revenir en propre ?
Curieux, intéressant, navrant…

et alii dit: à

quelle idée que je chercherais « une place » alors que je préfère m’i_ntéresser aux recherches de C.Malabou
depuis longtemps ?

Jazzi dit: à

Une odeur de faux cul est-elle différente d’une odeur de vrai cul, le boug ?
On finirait par croire que tu es jaloux de moi ?

bouguereau dit: à

une odeur de faux cul va bien au corps de félon baroz

Chaloux dit: à

On répète à Blue Mite:

Fallait-il s’interdire de republier ses textes les plus sulfureux. On peut croire que les rééditer ou les révéler, avec les éclaircissements indispensables, contribuera à les démythifier, tout en rappelant que le talent n’est pas incompatible avec la faute morale, voire le crime pénal.

Pascal Ory.

Pierre Assouline a évidemment lu Les décombres et a chroniqué ce livre. Est-ce que cela fait de lui un personnage suspect?

@Pablo. J’ai feuilleté à nouveau, en l’extrayant de sa bibliothèque, Les deux Etendards,- dès les premières pages un festival de trouvailles qui sont d’un écrivain véritable.

bouguereau dit: à

On finirait par croire que tu es jaloux de moi ?

la jalousie c’est une affaire de foi baroz..hévidemment

bouguereau dit: à

On répète

on a un corps de zombi..il est mort plusieurs fois de honte de ridicule de veulrie et de chagrin d’être telment con..mais tout vert de rage il bosse toujours pour moi..cest dsa condition post mertème haussi quelle dit le beau corps a félicie

Jazzi dit: à

Mais non, vous vous intéressez aux études des autres, auxquelles vous ne comprenez la plupart du temps strictement rien, uniquement pour vous faire mousser, et alii. Nous en sommes tous conscients, sauf vous, apparement !

bouguereau dit: à

comment sans jalousie le judaisme existerait baroz

Chaloux dit: à

Bloom dit: à
Et ça date pas de deux ans.

On y travaille, ma sœur. Ne vous inquiétez pas!

Pablo, voici la preuve de ce que je te disais hier. Pauvre Blue mite, pauvre misère…

Heureusement, ce dément n’a aucune chance d’aboutir, sauf en HP.

bouguereau dit: à

yavé a un corps..ho début était la statuaire..il a été diagnostiqué..j’accuse!

Bloom dit: à

de Mes Deux

Le Frimeur!
Tout au plus une demiE, et toute molle en plus; l’oeil y discerne à peine un truc minuscule, tout juste plus gros que la cervelle, mais bien riquiqui quand même…A vous, Barcelone!

et alii dit: à

burjazzy, je me souviens encore du moment où Malabou a stoppé DERRIDA non en disant « ta gueule » (style erdélien)mais « J ‘AI UN FILS »

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

Je vois que tu n’as pas regardé tes mails ce matin…

bouguereau dit: à

Une odeur de faux cul est-elle différente d’une odeur de vrai cul, le boug ?

seul dédé peut rendre loracle baroz..mais voilà..il est sur pluton

et alii dit: à

autres cuisines:
La plasticité en souffrance
Catherine Malabou
séminaire de Georges Didi-Huberman à l’École pratique des hautes études (1998-1999) consacré à l’ouvrage de Julius von Schlosser, Histoire du portrait en cire (Macula, 1997), que d’une réflexion globale sur les formatages tels que les attitudes « néo » les laissent imaginer. Elle tente de confronter ses propres réflexions sur la plasticité à celles, développées par Schlosser sur le moulage et particulièrement la matière des ex-voto en cire reproduisant un membre malade et accrochés dans les églises pour implorer la guérison. À quoi tient la qualité plastique d’un matériau, d’un symptôme, d’une souffrance ? Que dit la forme, substitut et trace d’un vœu ? Que devient la trace d’une pensée, et donc, qu’est-ce qui se joue dans l’intelligibilité de ces formes ?
https://www.cairn.info/journal-societes-et-representations-2005-2-page-31.htm

Patrice Charoulet dit: à

LE PEN, etc.(publié ailleurs)

Pris par d’autres activités, lundi, j’avais parcouru, vos réflexions sur Mme Le Pen, etc., en me promettant de ne rien commenter du tout. Pourquoi ? Parce que je n’espère rien de Le Pen père, fille et nièce.
Ce mardi matin, je vous relis, puis tous les commentaires. Cela donne le tournis. Pourquoi y rajouter quelque chose ? Un alinéa , quand même, suscite une petite envie de scribouiller. Celui que vous avez consacré à Jean Messiha. Plusieurs en ont parlé. J’ignorais qu’il quittait le parti Le Pen. J’avais bien noté qu’il était l’ un des piliers de l’émission de Praud, chaque matin sur Cnews. Je n’aime pas ce monsieur. Pour diverses raisons. Je me suis toujours demandé pourquoi Pascal Praud l’invitait en pensant qu’il avait bien tort. Je me disais : par souci d’équilibre, il invite un type du parti Le Pen.
J’ai voulu éclaircir ce qui me semblait le scoop de votre texte. J’ai cherché et j’ai trouvé. Sur la Toile, j’ai lu toutes les raisons pour lesquelles il déclare devoir quitter le navire sur lequel je n’ai aucune envie d’embarquer. Ses raisons se défendent. Il en oublie une : sa tronche, son pays natal…Malgré son zèle, ses surenchères (sur la question de l’islam, par comparaison avec les positions de la patronne), dans ce parti, avec les mêmes idées, les mêmes interventions médiatiques, avec les yeux bleus, des cheveux blonds et le nom de Pierre Martin, il aurait eu les investitures dont il rêvait. Avec sa vraie tête et…d’autres idées, il aurait pu faire son trou au PCF, au PS, chez Mélenchon, chez les Verts, mais pas au Parti Le Pen. Mal vu, mon gars ! Mauvaise pioche !

Soleil vert dit: à

Décès de Joseph Altairac, spécialiste du merveilleux scientifique (Rosny et ses successeurs) et de la SF française, auteur de biographies de Wells, Van Vogt et Jacques Bergier.

Bloom dit: à

Ne force pas trop sur la droite, Chaloux,

Un destin à la Stirbois? Implacable cohérence idéologique, pourtant. Copy cat.

Jazzi dit: à

Merci en tous cas à Pablo75 pour ces extraits du dernier livre de Erri de Lucca, que je n’ai jamais lu. Apparemment il est son pire avocat, au point que Marie Sasseur demande l’interdiction ici de sa publication !
On ne peut pas dire que ce soit éblouissant, dans le fond et sur la forme. Culotté le mec de se faire tirer un beau portrait par son juge. Impossible n’est pas italien, renato !

bouguereau dit: à

Je vois que tu n’as pas regardé tes mails ce matin…

« moi et pédreau on se connait pas personnellement..en tout cas dpuis le confinement il ne me la met plus dans l’oignon.. » c’est cqu’a marmorné mon con dlarbin dans son masque..mais lui les fourchettes dans les noeils ça lui fait rien tfaçon..

bouguereau dit: à

Culotté le mec de se faire tirer un beau portrait par son juge

à grands coups de brosse ou de balayette baroz?

Pablo75 dit: à

Pauvre Blue mite, pauvre misère…Heureusement, ce dément n’a aucune chance d’aboutir, sauf en HP.
Chaloux dit:

Notre ami Olivier peut très bien aboutir à une plainte contre lui pour calomnie. Accuser d’antisémitisme des gens qu’on ne connaît pas est, pour commencer, très imprudent. Et très con, pour continuer, parce cela peut aboutir sur un ridicule grandiose. Je ne dirais pas plus mais je conseille à notre Marquis de Mes Deux de ne pas trop aller sur ce terrain (et après on dit que je ne suis pas gentil et prévenant).

Chaloux dit: à

Pablo, j’ai lu.

bouguereau dit: à

Et très con, pour continuer, parce cela peut aboutir sur un ridicule grandiose. Je ne dirais pas plus

hinutil..le persil bien frisé que t’as dans tes oreilles de veau font la balle pédreau

Phil dit: à

quel souk. tout ça pour une biographie vendue en supermarché. manquait plus que M. Charoulet et ses idioties politiques.

Chaloux dit: à

il ne me la met plus dans l’oignon..

Logique imparable : bouguereau se fait mettre dans l’oignon par tous les hommes avec lesquels il correspond.

Boulimique!

bouguereau dit: à

cest hinterdit de se faire défoncer par des étrangers mon larbin..si pédreau te dénonce à la commandantur..on va te mettre en réanimassion au baumettes

bouguereau dit: à

manquait plus que M. Charoulet et ses idioties politiques

tu préfères lécher les plaies du corps de ta cochonne..même sil elle est islamogochiss

et alii dit: à

@ Bloom
avec mes excuses,un peu le billet un peu vos conversations:
 » En Angleterre, Anthony Julius a plus récemment essayé de montrer que l’antisémitisme notoire de la poésie de T. S. Eliot (« The rats are underneath the piles / The jew is underneath the lot ») représente – hélas ! – une complication littérairement intéressante de sa dette à l’égard du symbolisme français [7]
[7]
Anthony Julius, T. S. Eliot, Anti-Semitism and Literary Form,…. Un dernier exemple achèvera de communiquer cette incertitude en dehors de laquelle on aura raté – ou refoulé – le littéraire. Vous autres Français avez élu,

JC..... dit: à

toujours dans le sacré ce minable de boumince

Chaloux dit: à

En rangeant ma bibliothèque, j’ai retrouvé le Balzac et le Flaubert de Maurice Bardèche, exégète réputé, lectures dont je garde un excellent souvenir (pas lu son Proust, mais ça viendra). Ces ouvrages sont en vente libre et librement consultables. Egalement en vente libre l’anthologie de poésie grecque antique de Brasillach, retrouvée dans les mêmes parages.

(Rien de légalement répréhensible dans ce post).

et alii dit: à

Une thèse publiée cet automne par les Presses universitaires de

Cambridge et consacrée à l’antisémitisme de T.S. Eliot était passée inaperçue. Jusqu’à ce que la New York Review of Books s’avise que son auteur, Anthony Julius, était plus connu comme avocat de la princesse Diana que comme spécialiste du poète britannique, prix Nobel en 1948. Sa thèse est si finement soutenue que le prince Charles, écrit le Guardian, devrait s’inquiéter de l’issue des négociations sur le divorce royal. L’antisémitisme d’Eliot est connu et public, mais Julius montre que le poète «fut capable de placer son antisémitisme au service de son art». Ainsi, dans le célèbre poème Burbank with a Baedeker: Bleinstein with a Cigar, T.S. Eliot écrit:
https://next.liberation.fr/livres/1996/05/23/ts-eliot-et-les-juifs_170939

et alii dit: à

humour (juif)
Un poète, Craig Raine, dans le Financial Times, tente de défendre Eliot, expliquant qu’il ne faisait que représenter dans ses textes des réflexions antisémites, sans les reprendre à son compte. Mais, dans une conférence en 1933 qui le hanta toute sa vie, Eliot est tout à fait explicite: «Un grand nombre de juifs libres-penseurs est indésirable». Un de ses amis juifs, le philosophe George Boas, lui avait alors écrit: «Je peux au moins vous débarrasser de l’un d’entre eux.»

Pablo75 dit: à

quel souk. tout ça pour une biographie vendue en supermarché
Phil dit:

Excellent !

Mais tu sais bien que les roquets enragés ont toujours aboyé quand la caravane passait. Et que le masochisme est l’une des clés pour comprendre ce monde. Et ici il y a beaucoup de masos qui adorent être giflés en public…

et alii dit: à

Un tandem de pouvoir dans Paris occupé
Jeffrey Mehlman
Dans Revue d’Histoire de la Shoah
. Car l’un des grands risques de notre sujet est d’abord discursif : il s’agit de l’exhibitionnisme moral. Étant donné que l’antisémitisme, à l’époque du génocide, fait figure de mal absolu, comment, à force de le déterrer et de le dénoncer, ne pas se donner pour rôle, après coup et à si peu de frais que cela en devient dérisoire, d’incarner le bien ? Je me rappelle qu’à une époque où les Français, en plein syndrôme de Vichy, se vautraient dans leur culpabilité dite collaborationniste, c’était un lieu commun aux États-Unis de proclamer qu’ils n’avaient jamais fait face à leur passé. J’ai réagi en rédigeant un essai retraçant la carrière d’une vedette de la scène culturelle de Paris occupé, le chef d’orchestre Charles Munch : il dirigea notamment, fin décembre 1942, un concert d’hommage à Pétain et, à la fin de la guerre, devint une icône de la scène culturelle bostonienne. Ce texte parut sous le titre, qui fit scandale dans la presse locale, de « The Boston-Vichy Connection [4]
[4]
« The Boston-Vichy Connection », in Salmagundi, n° 135-136,… ». Mon impression est que quiconque succombe à la tentation facile de se donner le beau rôle dans ces affaires, de se plonger dans l’exhibitionnisme moral, se condamne à rester tout simplement inaudible.

Chaloux dit: à

D’autant que cette biographie est vraiment excellente. J’en suis aux années vingt. P. Dreyfus explique que c’est Cocteau et son groupe qui ont tiré Morand du XIXe siècle (« des valets de pied », comprenez Proust…). Le XIXe siècle finit de plus en plus tard – on a dit longtemps 1915-, dans cette bio, c’est en 1917.

et alii dit: à

 » un antisémite est un individu qui prend au sérieux la dixième part des blagues que les Juifs se racontent sur eux-mêmes… »

et alii dit: à

une histoire de traduction que vous connaissez:
Cher monsieur Céline,
Un incident pénible m’oblige à vous écrire. En examinant la traduction de mon journal qui vient d’être publié à Paris, je suis tombé sur votre nom en lisant un passage qui, dans l’édition originale allemande fait apparaître le nom « Merline ». Ce changement que je déplore profondément et dont les causes me sont inconnues s’est produit sans que j’en aie eu connaissance. Je refuse vos points de vue, mais rien ne m’est plus étranger que l’intention de vous nuire. Au cas où vous seriez attaqué à cause de ce passage, n’hésitez pas à vous adresser à moi. Je pourrais ainsi contester qu’il s’agit de vous.
Mes meilleurs vœux,
Ernst Jünger [11]

et alii dit: à

vous voulez retrouver Morand?
Jünger sort d’un déjeuner chez Maxim’s, où l’avaient invité Paul Morand et sa femme. En quittant le restaurant, l’Allemand observe pour la première fois l’étoile jaune, portée par trois jeunes filles. Il reçoit l’événement comme « une date qui marque profondément, même dans l’histoire personnelle [12]
[12]
Jünger, Erste Pariser Tagebuch, op. cit., p. 336. ». Il se sent immédiatement gêné de se trouver en uniforme. Telle serait la distance ressentie par Jünger par rapport à la politique hitlérienne, en particulier à l’égard des Juifs. Cette désaffection témoigne pourtant d’une ironie aiguë. En 1930, Jünger, en porte-parole de ladite « révolution conservatrice », avait abordé, dans un article de la Süddeutsche Monatshefte, la question de savoir comment gérer l’irréductible hétérogénéité des Juifs. Toute solution fondée sur des principes libéraux, avançait-il, pourrait effectuer tout au plus une « désinfection extérieure [13]
[13]
Voir Michel Vanoosthuyse, Fascisme et littérature pure. La… »

bouguereau dit: à

En rangeant ma bibliothèque

..ça snife l’arrêt maladie

bouguereau dit: à

» un antisémite est un individu qui prend au sérieux la dixième part des blagues que les Juifs se racontent sur eux-mêmes… »

si celle là fait parti des 10%..

bouguereau dit: à

toujours dans le sacré ce minable de boumince

des fois je fatique..d’où le god ceinture..sapré dvindju qu’cest bon qu’il dit mon larbin

et alii dit: à

ON CROIRAIT LIRE UN ERDELIEN/
« Jouhandeau, professeur de lycée qui avait congé ce jour-là, puisse y présider. En 1937, il avait publié un petit volume chez Sorlot intitulé Le Péril juif, dans lequel il invoquait « la vindicte de mon peuple » contre les envahisseurs ashkenazes »

Chaloux dit: à

bouguereau dit:
..ça snife l’arrêt maladie

Ça sniffe le slip décomposé et les chaussettes sans âge.
Les sœurs de charité ne viennent pas tous les jours…

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

Et ici il y a beaucoup de masos qui adorent être giflés en public…

..et pour que le rouge monte aux joues d’une tête de veau..ya dla route qu’il dit pédreau

Pablo75 dit: à

Attention, deux histoires drôles TRÈS POLITIQUEMENT INCORRECTES. Crétins s’abstenir de lire.

Un arabe, qui s’ennuie dans une ville de province, se rend dans une boîte échangiste. Il baise à droite, il baise à gauche, il se fait sodomiser, bref, l’orgie. Le lendemain, pris de remords, il va voir l’imam et lui raconte la soirée.
– Que puis-je faire pour racheter ma faute ? demande-t-il à l’imam.
-Reviens demain à la mosquée avec 30 000 euros.
Trouvant très cher le prix de sa faute, l’arabe va voir le curé pour comparer les prix. Il lui explique :
-Je suis allé dans une boîte échangiste, j’ai baisé à droite, j’ai baisé à gauche, je me suis fait sodomiser, que puis-je faire pour racheter ma faute ?
-Reviens demain avec 15 000 euros.
Constatant qu’il avait déjà gagné 15 000 euros, il part voir le rabbin. Même chose, il explique sa faute.
– Reviens demain à la synagogue avec des chips, des cacahouètes et du Coca.
– C’est tout ?
– Oui, parce que chez nous, chaque fois qu’on apprend qu’un arabe s’est fait sodomiser, on fait une petite fête.

Simon Bensoussan a un rendez-vous d’affaires très important mais ne trouve pas de place pour garer sa voiture.
Il s’adresse à Dieu : -Mon Dieu, si tu me trouves une place dans la minute qui suit je te promets de manger toujours casher, de faire le shabbat tous les vendredis et de faire toutes les fêtes juives !
Et, miracle, une place se libère tout de suite juste devant lui. Simon lève alors les yeux au ciel et dit : -Ne cherche plus, mon Dieu, je viens de trouver une place.

Et pour finir une histoire drôle tellement POLITIQUEMENT CORRECTE que même Zemmour pourrait la raconter dans un Congrés de Lesbiennes:

Un type à son ami: -Ma femme me dit que je baise comme un lapin. Je ne vois pas comment elle peut me juger en vingt secondes.

(Alain Bouteiller. Les nouvelles histoires drôles qui font vraiment rire. Ed. Cherche Midi, 2020)

DHH dit: à

@jazzi
Vous écrivez
« Mais il faut tenir compte que dans cet espace imaginaire du commentarium, plus surréel que réel, ce qui prédomine, chez la plupart des commentateurs plus ou moins anonymes, c’est la pulsion, le désir de dominer, coûte que coûte et par tous les moyens. D’où l’expression ici des plus belles frustrations : ce n’est pas toujours joli joli mais toujours édifiant sur la nature humaine ! »
Sans doute avez-vous raison ,le commentaire serait un lieu mis a notre disposition où on pourrait presque croire, et surtout donner à croire a d’autres, qu’on serait dans la vraie vie ce qu’o n aurait aimé être et dont en vérité on est bien éloigné.
On peut prendre un certain plaisir a s’auréoler ainsi fictivement et gratuitement d’un rayonnement emprunté. C’est moyennement gratifiant, mais pourquoi pas ?
Cependant cela n’est possible d’une part, que si que ceux qu’on espère à duper ne vous connaissent pas , et, d’autre part si on peut communiquer avec eux de manière suffisamment nourrie pour alimenter des messages porteurs efficaces de la valorisation attendue .
C’est exactement ce qu’offre le commentarium de ce blog –
Et en lisant votre post j’ai pensé a une nouvelle dont j’ai déjà parlé il y a longtemps et qui est une tres jolie illustration de votre propos et du mien
On la trouve dans l’Anthologie de l’humour Noir d’Andre Breton
Elle s’intitule : »L’auto le long du square » elle est d’un écrivain américain O Henry(1862-1910)
Elle n »’est pas tres longue et pourrait figurer ici sans être trop envahissante ; mais je n’ai pas les moyens de la scanner .Si quelqu’un ici peut la retrouver et la livrer numérisée ce serait pour tous une lecture réjouissante

bouguereau dit: à

Un type à son ami: -Ma femme me dit que je baise comme un lapin. Je ne vois pas comment elle peut me juger en vingt secondes

saré pédreau qu’il dirait jicé

bouguereau dit: à

ce n’est pas toujours joli joli mais toujours édifiant sur la nature humaine !

a défaut de dominer sa concierge hon peut dominer le monde qu’il dirait adolf..c’est dlumour juif hévidemment

Chaloux dit: à

Cher Olivier, il ne s’agit nullement d’un dérapage, je te préviens, c’est tout. Il n’est pas encore illégal d’évoquer la légalité. Ta chasse à l’antisémitisme me concernant (alors que je n’ai jamais tenu aucun propos qui s’en rapproche) s’apparente à du harcèlement et à de la calomnie.
Je te conseille vivement de mettre fin à ces folies le plus rapidement possible. Dans le cas contraire, je veillerai à ce qu’il y soit mis bon ordre.

Brinqueballe dit: à

et alii dit: à

autres cuisines:
La plasticité en souffrance
Catherine Malabou

Une pensée chewing-gum! 😉
Du clitoris pré-mâché.

Janssen J-J dit: à

@ Il n’y a rien dans le Génie lesbien sur clitoris et pensée ?

Nan, hélas. Sa réflexion ne pénètre pas si profondément notre imaginaire intérieur que celle de Monique Wittig, ni celle des auteures des célèbres « monologues du clito ». Avec ma sœur, nous pouvons vous aider pour la biblio de votre futur « goût du vagin » (programmé en 2022 après Dieu, je crois), si vous acceptez de vous en remettre à nos compétences, bien sûr.
Bàv (nous attendons la suite…)

Brinqueballe dit: à

Du clitoris pré-mâché.

Simple histoire de mal ( mâle) en bouche.

puck dit: à

chiant à la longue ces éloges des Rebatet, Morand et autres Céline quand on sait que les fascismes sont responsables de plus 100 millions de morts.

renato dit: à

« On la trouve dans l’Anthologie de l’humour Noir d’Andre Breton »

Le jours où quelqu’un pourra démontrer que le « pape » des Surrealiste n’était pas fasciste n’est pas encore venu. En tous cas, son Anthologie de l’humour Noir portrait être mieux composé, mais depuis quand un pauvre suivant de Trotski peut faire preuve de rigueur ?

et alii dit: à

« dans la vraie vie »?
On peut aller aux conférences colloques, lectures et rencontres -en librairies( j’y ai vu Malabou avec Derrida , à Paris) Musées et autres institutions!(il n’y a pas qu’Akadem chérie de Christiane )et y « parler »

Brinqueballe dit: à

Du clitoris pré-mâché.

Clic torride à Clichy.

et alii dit: à

Une pensée chewing-gum!
<quand on n'a pas d'expérience professionnelle comme ses interlocuteurs, même sur la vidéo!

Soleil vert dit: à

Décès de Joseph Altairac : une émission lui est consacrée sur France-Culture (mauvais genre) le 21 Novembre

Jazzi dit: à

« nous pouvons vous aider pour votre futur « goût du vagin » »

Oui, JJJ, ça a quel goût ?
Huitre, moule ou oursin ?

et alii dit: à

clitoris :sur un blog comme la RDL, c’est pseudo Clio qui se trouve à sec,et compense pour ne pas décompenser:le psy vidéo a dit que le travail,pas le bordel ni les backrooms, est un excellent antidépresseur

Janssen J-J dit: à

(auteurs non identifiés R) pour tous une lecture réjouissante ; je veillerai à y mettre bon ordre ; pour tous une lecture réjouissante ; je veillerai à y mettre bon ordre ; pour tous une lecture réjouissante ; je veillerai à y mettre bon ordre ; pour tous une lecture réjouissante ; je veillerai à y mettre bon ordre ; pour tous une lecture réjouissante ; je veillerai à y mettre bon ordre ; pour tous une lecture réjouissante ; je veillerai à y mettre bon ordre ; pour tous une lecture réjouissante ; je veillerai à y mettre bon ordre ; pour tous une lecture réjouissante ; je veillerai à y mettre bon ordre ; pour tous une lecture réjouissante ; je veillerai à y mettre bon ordre ; pour tous une lecture réjouissante ; je veillerai à y mettre bon ordre. Mais comment est-ce possible dans ce monde virtuel ?

(autores non identificados R) para todos una lectura alegre; veré que esté en orden; para todos una lectura alegre; veré que esté en orden; para todos una lectura alegre; veré que esté en orden; para todos una lectura alegre; veré que esté en orden; para todos una lectura alegre; veré que esté en orden; para todos una lectura alegre; veré que esté en orden; para todos una lectura alegre; veré que esté en orden; para todos una lectura alegre; veré que esté en orden. Pero ¿cómo es posible en este mundo virtual?

Jazzi dit: à

« le psy vidéo a dit que le travail, pas le bordel ni les backrooms, est un excellent antidépresseur »

C’est pas un psy mais un flic esclavagiste !

Brinqueballe dit: à

et alii dit: à

Une pensée chewing-gum!

Scoubidou, ah!
( Des pommes, des poires, pensée plastique. 😉 )

renato dit: à

« ça a quel goût ? »

Si on perçoit un goût on peut suspecter un hygiène approximatif : une migraine stratégique s’impose.

Brinqueballe dit: à

Scoubidou, ah!

Ça se chante aussi.

et alii dit: à

le psy:Professeur honoraire à l’Université de Genève et de Lausanne, après avoir été d’abord professeur ordinaire de pédopsychiatrie à l’Université de Lausanne (UNIL), vice-doyen de la Faculté de biologie et médecine à l’UNIL, médecin chef au Service universitaire de psychiatrie d’enfant et d’adolescents au CHUV ; puis dès octobre 2007 jusqu’au 30.09. 2017, professeur ordinaire de pédopsychiatrie à l’Université de Genève (UNIGE), tout en restant professeur ordinaire ad personam à l’UNIL, et sur le plan hospitalier chef du Service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent aux Hôpitaux Universitaires de Genève, ainsi que directeur du Département Universitaire de Psychiatrie à la Faculté de médecine de l’UNIGE.

Psychanalyste, membre de l’Ecole de la Cause Freudienne à Paris, de la NLS (New Lacanian School), de l’ASREEP-NLS, et de l’AMP (Association Mondiale de Psychanalyse).

Activités de recherche d’une part centrées sur la clinique périnatale, les traumatismes prénataux ou précoces, en lien translationnel avec la neurobiologique, en particulier à travers le programme national NCCR-Synapsy mis en place à l’initiative du prof. Pierre Magistretti; d’autre part sur les conséquences des avancées nouvelles des biotechnologies, dans le champ des procréations médicalement assistées et de la médecine prédictive péri-conceptionnelle et prénatale ; sur les variations du développement sexuel et la clinique transgenre ; et enfin sur les liens entre neurosciences et psychanalyse, ainsi qu’aux relations entre art, sciences et psychanalyse, en particulier dans le cadre de la Fondation Agalma.

Membre du Comité Consultatif National d’Ethique à Paris depuis 2013.

Brinqueballe dit: à

Si on perçoit un goût on peut suspecter un hygiène approximatif (sic!)

Il ne reste plus qu’à nous écrire un  » goût de la chatte « Jazzi!

Janssen J-J dit: à

@ ça a quel goût ? Huitre, moule ou oursin ?

D’abord, vous forcer à vous forger votre propre opignon. Haprès, on pourra comparer nos esspériences des buissons gazonnés, hein ! Soeur foufoune et frères 57-75, OK pour nous départager sur le parfum de la raie.
C’est oecubénisme, c’taffaire là, comme dirait jmb
Bàv,

Chaloux dit: à

Amusante critique de L’Europe galante dans le journal Le Temps.

<i<Plusieurs de ces contes sont tellement osés et scabreux qu'ils défient le compte-rendu. L'auteur d'Ouvert et de Fermé la nuit n’a jamais travaillé pour les couvents et pensionnats; on se demande cette fois s’il pourra être admis sans coupures dans les corps de garde.

Brinqueballe dit: à

Sous le coup du Martini (c’est vraiment l’heure!) on perçoit le sens de l’hygiène Suisse : pas d’odeur! 😉

et alii dit: à

Ansermet F, Sorrentino MG. Malaise dans l’institution : le soignant et son désir. 3ème éd. Paris : Economica/Anthropos, 2013.

Chaloux dit: à

Breton et Bataille se détestaient. Ça volait bas, tout à fait comme ici.

Brinqueballe dit: à

un hygiène approximatif (sic!)

Le i gène le genre!

Jazzi dit: à

Nul mal au crâne pour le Paul Verlaine, renato !

FEMMES

Goût Royaux

Louis Quinze aimait peu les parfums. Je l’imite
Et je leur acquiesce en la juste limite.
Ni flacons, s’il vous plaît, ni sachets en amour !
Mais, ô qu’un air naïf et piquant flotte autour
D’un corps, pourvu que l’art de m’exciter s’y trouve ;
Et mon désir chérit et ma science approuve
Dans la chair convoitée, à chaque nudité
L’odeur de la vaillance et de la puberté
Ou le relent très bon des belles femmes mûres.
Même j’adore — tais, morale, tes murmures —
Comment dirais-je ? ces fumets, qu’on tient secrets,
Du sexe et des entours, dès avant comme après
La divine accolade et pendant la caresse,
Quelle qu’elle puisse être, ou doive, ou le paraisse.
Puis, quand sur l’oreiller mon odorat lassé,
Comme les autres sens, du plaisir ressassé,
Somnole et que mes yeux meurent vers un visage
S’éteignant presque aussi, souvenir et présage,
De l’entrelacement des jambes et des bras,
Des pieds doux se baisant dans la moiteur des draps,
De cette langueur mieux voluptueuse monte
Un goût d’humanité qui ne va pas sans honte,
Mais si bon, mais si bon qu’on croirait en manger !
Dès lors, voudrais-je encor du poison étranger,
D’une flagrance prise à la plante, à la bête
Qui vous tourne le cœur et vous brûle la tête,
Puisque j’ai, pour magnifier la volupté,

Proprement la quintessence de la beauté ?

Bloom dit: à

quand on sait que les fascismes sont responsables de plus 100 millions de morts.

Et de la diffusion de la Haine de dizaine de millions d’autres.

et alii dit: à

la musique vous avais-je dit
Atteinte d’Alzheimer, cette danseuse retrouve ses souvenirs en écoutant le « Lac des Cygnes » obs

rose dit: à

Qq remarques personnelles sur le re-confinement :
Pour aller chercher le pain, pas de nécessité d’attestation.
1 km, ça ne suffit pas.
Ds les TIG, regrouperbles aides aux personnes vunérables.
Regriuper tant qye possible ses déplacements.
Ouvrir les librairies et les cinémas.

Nota : ai écrit à la curatrice et à la directrice de l’EHPAD pour leur demander de faire evoluer leurs pratiques. Hier soir, plus de visites, cas de Covid ds Ehpad number two, les résidents ont mangé à 17h30 et à 18h 30, ils étaient seuls ds leur chambre.

En //, la psychologue clinicienne du groupe France 04 Alzheimer vient de m’appeler pour me proposer de participer au groupe de parole. Réservé aux aidants, par visio-conférence, avec Zoom. J’ai accepté.

Nota bis : la jalousie est un fléau. Je ne sais pas si + ou moins que la haine, mais cela corrode l’intérieur du corps, cf. la rouille.

Jazzi dit: à

Bon appétit !

Régals

Croise tes cuisses sur ma tête
De façon à ce que ma langue,
Taisant toute sotte harangue,
Ne puisse plus que faire fête
À ton con ainsi qu’à ton cu
Dont je suis l’à-jamais vaincu
Comme de tout ton corps, du reste,
Et de ton âme mal céleste,
Et de ton esprit carnassier
Qui dévore en moi l’idéal
Et m’a fait le plus putassier
Du plus pur, du plus lilial
Que j’étais avant ta rencontre
Depuis des ans et puis des ans.
Là, dispose-toi bien et montre
Par quelques gestes complaisants
Qu’au fond t’aimes ton vieux bonhomme
Ou du moins le souffre faisant
Minette (avec boule de gomme)
Et feuille de rose, tout comme
Un plus jeune mieux séduisant
Sans doute mais moins bath en somme
Quant à la science et au faire.
Ô ton con ! qu’il sent bon ! J’y fouille
Tant de la gueule que du blaire
Et j’y fais le diable et j’y flaire
Et j’y farfouille et j’y bafouille
Et j’y renifle et oh ! j’y bave
Dans ton con à l’odeur cochonne
Que surplombe une motte flave
Et qu’un duvet roux environne
Qui mène au trou miraculeux
Où je farfouille, où je bafouille,
Où je renifle et où je bave
Avec le soin méticuleux
Et l’âpre ferveur d’un esclave
Affranchi de tout préjugé.
La raie adorable que j’ai
Léchée amoroso depuis
Les reins en passant par le puits
Où je m’attarde en un long stage
Pour les dévotions d’usage,
Me conduit tout droit à la fente
Triomphante de mon infante.
Là, je dis un salamalec
Absolument ésotérique
Au clitoris rien moins que sec,
Si bien que ma tête d’en bas
Qu’exaspèrent tous ces ébats
S’épanche en blanche rhétorique,
Mais s’apaise dès ces prémisses.

Et je m’endors entre tes cuisses
Qu’à travers tout cet émoi tendre
La fatigue t’a fait détendre.

Bloom dit: à

Merveilleuse Margaret Atwood dans le Today programme tout à l’heure.
Quelle classe!

rose dit: à

Qq remarques personnelles sur le re-confinement :
Pour aller chercher le pain, pas de nécessité d’attestation.
1 km de déplacement quotidien, ça ne suffit pas : cette distance implique de tourner en rond.
Ds les TIG, regrouper les aides aux personnes vunérables.
Regrouper tant que possible ses déplacements.
Ouvrir les librairies et les cinémas.

renato dit: à

Tous les goûts sont dans la nature, mais on a quand même le droit de choisir et ce ne sera pas un poète qui nous instruira. Bon, évidemment d’imitateurs à 2 balles le monde est plein.

Janssen J-J dit: à

Alors les gars, tout va bien les poumons par chez vous ?
https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/11/10/en-ile-de-france-la-pollution-de-l-air-n-a-cette-fois-pas-chute-avec-le-reconfinement_6059168_3244.html
NB / Pour soigner une poule pondeuse de Marans, genre Monique, qui souffrant d’une anémie liée à un trop grand manque de calcium, nos vétérinaires prennent environ 79 euros (sans carte vitale). On voit bien qu’ils n’ont pas eu trop de gros défis dans la vie, qu’ils n’ont pas connu la guerre comme les boomers (ie : issus du « baby boom », cette explosion des naissances de l’après dernière-guerre, en France). AU demeurant, ils n’ont pas connu grand-chose, en dehors de la montée de l’islam radical et de la sensibilité animaliste. Des phénomènes corréls qui génèrent une croissance dans les courbes d’un biz qui rapporte pas mal de thunes.

renato dit: à

Ce sont surtout les imbécillités propagandées par les cons de toutes especes qui ont été les czuses de dizaine de millions de morts.

Bloom dit: à

es imbécillités propagandées par les cons de toutes especes qui ont été les czuses de dizaine de millions de morts.

Dire ça ou rien, c’est du pareil au même et réciproquement.

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