de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Pascal Quignard tel un voleur dans la nuit

Pascal Quignard tel un voleur dans la nuit

La vertu des livres tels que ceux du cycle Dernier royaume de Pascal Quignard est de constituer chacun une bibliothèque. Non seulement chacun est tissé de (re)lectures mais chacun renvoie in fine le lecteur à la (re)découverte d’autres livres, d’autres auteurs, d’autres univers. Ceux qui sont évoqués, sinon cités, et les invisibles qui nourrissent souterrainement la réflexion et irradient l’écriture de l’intérieur.

L’Homme aux trois lettres (192 pages, 18 euros, Grasset), titre du volume XI de ce projet océanique, au sein duquel il ne puisse avoir de point de vue contrairement à un projet panoramique, est une périphrase qui fait écho aux trois lettres par lesquelles on désignait un voleur en latin (fur, furis). Tout écrivain étant fils de ses lectures, et plus encore lorsque comme Quignard ils font profession d’être avant tout de grands lecteurs compulsifs, voués par conséquent au silence, à l’esseulement, à l’exil, à la mise à l’écart et à l’abri loin de la meute, hors de la prison de la vie sociale, dès lors qu’ils accèdent à la maturité de leur art, ils volent ; et en attendant d’oser voler, ils imitent -ainsi que l’a posé T.S. Eliot en une poignée de mots. Après avoir pris tout ce qu’il y avait à prendre chez les autres, assurés de leur appropriation et de la liberté qu’elle leur confère, ils volent enfin de leurs propres mots. A 72 ans, après avoir écrit quelques dizaines de livres, « le claquoir des Ténèbres » disaient jadis les chrétiens, Pascal Quignard s’affronte à la nature de la littérature (lire ici un extrait)

On peut disputer sans compter de ce qui prime, de la découverte du feu ou de l’invention de l’écriture. Lui a choisi et, on s’en doute, ce n’est pas le feu. Encore que tout ou presque est écriture. Entre deux dépressions (1975 et 1981), afin de conjurer le spectre de l’angoisse et de mettre à distance le désir d’ouvrir les fenêtres pour se jeter dans le vide, il s’adonnait à la tapisserie dont des caravelles en mer étaient le motif exclusif et énigmatique.

Etrangement, il fait de la lecture un impératif musulman en raison de l’injonction Iqra’ (Lis !) dont l’importance serait soulignée par son inscription comme tout premier mot du Coran. Or non seulement ceci est contesté (le livre débute par la fatiha, sourate d’ouverture, le fameux Iqra’ lancé par l’ange Gabriel à Mahomet se trouvant en fait dans le premier verset de la sourate 96 Al-‘Alaq, mais une querelle théologique a voulu lui accorder la première place…) mais il s’agit d’une invitation à lire non une bibliothèque, ou à se jeter dans l’étude universelle, mais bien à lire, proclamer, réciter les versets sacrés du grand livre incréé selon lequel  le Coran est parole éternelle de Dieu, en appelant à la prière. Difficile d’en déduire quoi que ce soit par rapport à la lecture.

Ici une évocation poignante de l’aube, vêtement de l’enfance, « ma livrée de spectacle dans la chapelle du lycée en ruine » où il servait la messe en évitant de regarder les regards à l’instant de pénétrer dans le chœur, frappant l’une contre l’autre les tablettes de buis, ses castagnettes. Premier théâtre, première ténèbre, premier butô. Là à travers l’hommage au caractère typographique du garamond un portrait de l’ami disparu, le poète Emmanuel Hocquard qui fut autrefois son éditeur artisanal. Un peu partout sa sourde fascination pour l’idée que « eros » et « littérature » soient les deux rares mots dont on ignore tout de l’origine, de l’étymologie, comme s’ils avaient surgi du néant.

Ce volume, comme la plupart des précédents, est tissé d’aphorismes, de réflexions, d’ anecdotes. Quelque part, il esquisse à peine une discrète pathologie du fragmentaire, en l’associant à tout ce qui disrupte dans notre esprit et nous fait entrevoir vide, vertige, chaos. Fragments chus à différentes époques de sa vie d’écriture, assemblés selon une mystérieuse alchimie, une logique imprévisible qu’il serait vain prétendre déchiffrer. On l’y retrouve dans ses obsessions et ses dilections, son monde intérieur hanté par le naufrage, les ruines du Havre, tout au long de l’enfance, les oiseaux d’Olivier Messiaen et la quête infinie de la source du monde. Ce n’est pas un hasard si l’exposition qui lui est actuellement consacré à la BnF s’intitule « Fragments d’une écriture ».

Nietzsche, Cicéron, Ovide, Benvéniste, Sénèque, Mallarmé, Kafka, Freud, Quintilien, Goethe et d’autres sont convoqués naturellement, entendez : sans cuistrerie, à ce banquet de mots. C’est là qu’on aura le plus de chance de trouver Celan absent. C’est parce qu’il est partout. Le poète est un invité invisible et permanent dans cette œuvre. Pascal Quignard l’a connu vers l’âge de 21 ans alors que, jeune correcteur des textes latins et grecs aux éditions Klincksieck, il avait été invité par Louis-René des Forêts à se joindre discrètement à la petite bande de glorieux ainés gravitant autour de la revue de poésie et d’art L’Ephémère que la Fondation Maeght édita à la fin des années 60. Il y avait là Michel Leiris, André du Bouchet, Yves Bonnefoy, Jacques Dupin. Et Paul Celan qui demanda au nouvel arrivant de traduire  Alexandra de Lycophron de Chalcis, tragédie grecque en vers réputée pour son hermétisme.

Aussi, en refermant ce volume XI de Dernier royaume, je n’ai pu m’empêcher d’ouvrir le tout nouveau Cahier de l’Herne (253 pages, 33 euros) consacré à Paul Celan. Des contributions parfois lumineuses, souvent complexes, toujours denses, y ont été réunis par Clément Fradin, Bertrand Badiou et Werner Wögerbauer (ici le sommaire). Il est préférable d’être un familier de son oeuvre avant de pénétrer dans ce vertigineux labyrinthe d’interprétations. Outre tout ce qui y est dit de la langue et de l’imaginaire du plus grand poète de langue allemande de la seconde partie du XXème siècle, du cliché oxymorique qui nimbe son œuvre (l’obscure clarté) et de la réponse à la question « Que peut-on conclure de la genèse d’un poème ? », deux réflexions offrent indirectement des clés pour mieux comprendre la démarche de Pascal Quignard depuis qu’il écrit et y relever l’influence diffuse de Paul Celan, de la parole coupante de ce maitre du silence : l’une du traducteur Jean-Pierre Lefebvre sur ses « microlithes », ces brèves proses comme autant de petites pierres ont « la dureté d’un cristal de croissance immédiate » ; l’autre de Clément Layet sur le statut du fragment, ce morceau qui a son unité propre et qui est la vraie métrique d’une grande partie de l’œuvre de Quignard, l’art poétique atomisé des Petits traités, de Vie secrète et dont la matrice était analysée dans Une gêne technique à l’égard des fragments (Fata Morgana, 1986). Il n’y pointait pas seulement à quel point la discontinuité de l’opération de penser est bien réelle ; après avoir payé sa dette aux grands moralistes (en particulier La Bruyère), en passant par Lucrèce et son évocation des « morceaux brisés des branches des arbres des forêts », il s’attardait sur la violence de ce fragmen, de cette action de frango, briser, anéantir, mettre en pièces, qui a partie liée avec celle du klasma grec et donc du spasmos qui disloque qui renvoie à leur commune fascination pour les ruines.

En cela, Quignard est fils de Celan lequel est fils de Hölderlin, auteur toujours lu comme « principalement fragmentaire ». Ils ont en commun d’avoir récréé leur langue par le moyen de la forme brève, éclatée, apparemment disjointe. En s’appropriant les mots, ils en ont modifié le sens.

(« Exposition « Ruines » de Joseph Koudelka à la Bnf » photo Passou « Pascal Quignard, Paris, 1987 » photo de Despatin Gobeli ; « Paul Celan » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

1022

commentaires

1 022 Réponses pour Pascal Quignard tel un voleur dans la nuit

Janssen J-J dit: à

On dirait du bon Verlaine, et là-dedans, jzmn, y a déjà des graines de réponses, anéfé…
Pour les hallucinations olfactives, ne pas oublier non plus « l’odeur du si bémol » d’O S.
@ plus tard, pour rallonger la sauce de B.chamelle

Jazzi dit: à

Certes, renato, vous avez le droit de préférer le goût de la savonnette !

renato dit: à

Pourquoi Bloom, vous croiez vraiment que seulement les extrêmes droites sont génocidaires ? Croiez-vous vraiment que les extrémes gauches sont pures comme des lys dans la boue ?

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mardi 10 novembre 2020 à 12 h 21 min.

…la démocratie ; plus de riches en soi-même, que de pauvres laisser pour compte,!…

…quels partage des richesses, ou des terres, pourquoi faire,!…tout est régler,!…insidieusement,…

…gens des villes, et des campagnes, vous en êtes baiser, à tout jamais,…occultés,!…

…rien ne vous appartient plus, la démocratie pour rire, par le génie des savants, mis à l’index,!…

…républiques ou et royaumes, tous bien baisés, en vos affaires aussi,!…

…vivre avec rien,…mais de quels riens, peut-on compter, puisque l’on vit en dictatures diverses, du nationalisme des A.D.N.,…à la sélection des genres,…

…les destins du genre humain, mourir et surtout laisser mourir, de tout et de rien,…

…quand l’homme existe pour  » rien « , Cyclopes vous en êtes venger,…

…la terre a ses vermines, nul besoin d’être grand ou petit, tout se réduit, avec leurs exaspérations, encore et encore,!…
…etc,!…Terre de papiers, sans plus,!…
…envoyez,!…

et alii dit: à

ne pas oublier non plus « l’odeur du si bémol » d’O S.
vous avez raison,Sacks oui et musicophilia
r/livres/article/2009/01/08/oliver-sacks-la-musique-doit-agir-par-surprise_1139210_3260.html

Jazzi dit: à

« Croyez-vous vraiment que les extrêmes gauches sont pures comme des lys dans la boue ? »

D’après son juge, E. de Lucca est innocent comme l’agneau !
Quel lien renato entre LC et les Brigades rouges ?

Janssen J-J dit: à

– Cette curatrice tutorielle, fait-elle bien sa job, finalement ?… Oui, il vous faut absolument participer au groupe de discussion, quand si vous avez la chance d’y avoir été conviée.

– la Suisse n’est pas toujours aseptisée, on m’a dit qu’elle commençait à pâlir de l’odeur délétère de l’argent sale qu’elle n’arrivait plus à blanchir. Et qu’on n’y meurt plus d’un cancer à la Fritz Zorn, d’éprès Jean Ziegler.
Les avez-vous connu, ces deux là, r. ? Moi…, seulement le deuxième, qui ne m’a pas toujours bien convaincu, avec ses célèbres gueulantes. Le roman du premier m’avait beaucoup plus marqué. Il fut comme un diamant noir au cœur de la littérature suisse dont l’empreinte restera peut-être plus durable en Europe que celle d’Erri De Luca en Italie.

renato dit: à

Je n’ai pas connu Fritz Zorn, Janssen J-J, mais plutôt bien son prof de lettres, un type sympa avec qui je partage le goût du Matterhorn. Par contre connu Ziegler, il est de ces gens que je ne frequente pas volontier.

renato dit: à

Pardon, je partage > mettre au passé.

et alii dit: à

rose, JJJ a raison;allez au groupe de parole! et n’hésitez pas à écouter les expériences des autres;
c’est sur un banc dans ce que j’appelais le « fumoir »que j’ai écouté une infirmière me raconter comment une dame accepta de se laver avec un disque recherché exprès pour elle sur son indication qui mit « la puce a l’oreille » de son infirmière ; et maintenant c’est connu »maintenant pour la musique:
https://www.cairn.info/revue-l-annee-psychologique1-2012-3-page-499.htm
https://fr.timesofisrael.com/entrainer-la-memoire-une-nouvelle-etude-israelo-americaine-donne-de-lespoir/

qu’il y a des « trucs » chacun-e- plus ou moins les siens (méfiez vous du verre de vodka cul sec quand même;)

DHH dit: à

A propos de Fritz Zorn et de son livre Mars:
Ce livre est certes fascinant mais il faut reconnaître qu’il repose sur un contresens de l’auteur, piège dans lequel tombent ses lecteurs
Que nous en effet dit Fritz Zorn ?
Qu’il doit un mal de vivre lancinant au poids de l’univers étouffant secreté par la grande bourgeoisie suisse coincée et dorée dans laquelle il est né et a eté élevé et que son cancer et la mutation qu’il a opérée en lui l’en a en quelque sorte libéré
En fait cette conception psycho psychanalytique des causes de son mal-être n’a aucune legitimité médicale .
En effet la dépression, comme on le reconnaît enfin aujourd’hui, est une atteinte de nature biologique, au même titre que la grippe ou l’urticaire. Mais ce qui brouille les pistes dans le cas de cette maladie c’est que cette pathologie s’exprime essentiellement par le sentiment d’être écrasé par son environnement, matériel familial ou professionnel selon les situations de chacun ,de sorte que le discours qu’on tient sur les causes de son mal, comme le fait Zorn, sont en fait un symptôme, une manifestation du mal mais ne traduisent pas sa vraie origine .
Ce mal est le même pour tous pour ce qui est de sa réalité clinique ,mais chacun lui donne un sens et croit en percevoir la cause à partir des éléments constitutifs de sa propre vie ,et parfois même comme Zorn, à défaut d’autre cause plus facilement identifiable(chômage, solitude etc..)dans le dégoût d’une vie trop facile.
Dans le cas de Zorn ce sont évidemment les drogues qu’il prend pour alléger les souffrances et les angoisses de son cancer qui ont sur son humeur les effet bénéfiques qu’il attribue à cette sorte de catharsis que lui apporterait la proximité de la mort.
On sait depuis quelques années que ces maladies de l’âme ont inscrites dans les génes.
.Peut être Zorn doit –il son vrai nom Angst(angoisse) à un ancêtre, ainsi nommé ou surnommé, du fait d’un mal de vivre notoire .

et alii dit: à

rose, j’avais aussi remarqué ces recherches aujourd’hui connues
PORTRAIT. Ce spécialiste reconnu de la longévité lance un essai clinique pour prouver qu’il existe bien des facteurs protecteurs des maladies liées à l’âge.
. Il fredonne Joe Dassin, Adamo ou France Gall. « Si un jour j’ai la maladie d’Alzheimer, j’aimerais que ma famille me fasse écouter des chansons françaises car ça stimule la mémoire à long terme ! », assure-t-il, facétieux. Alzheimer, il compte pourtant bien y échapper, grâce à un traitement unique qui préviendrait d’une manière globale les maladies liées à l’âge. Avec un groupe de chercheurs spécialistes du vieillissement, il tente en effet de convaincre la FDA (Food and Drug Administration), l’agence sanitaire américaine, que le vieillissement et ses maladies associées doivent être considérés comme une nouvelle cible pour favoriser le développement de traitements. Autrement dit — et pour la première fois — que vieillir est une pathologie que l’on peut combattre. « Un nouveau paradigme », affirme-t-il.
.sciencesetavenir.fr/sante/portrait-nir-barzilai-le-medecin-en-guerre-contre-le-vieillissement_107605.sciencesetavenir.

Bloom dit: à

J’ai parlé de la Haine. Lisez, et commentez ce qui est écrit. Et n’utilisez pas le terme de « génocide » à tort et à travers. Un peu de décence.

Paul Edel dit: à

DHH. Excellent.

Jazzi dit: à

Comment se fait-il que l’on soit déjà sur le point de découvrir le vaccin contre la covid19 et toujours pas celui contre le VIH ?
Est-ce un problème scientifique ou économique ?
Les traitements actuels de la trithérapie rapportant une fortune à l’industrie pharmaceutique…

et alii dit: à

les médecins ne sont plus les derniers à se méfier des « évidences » et des « biais » pour interpréter une pathologie , et une « thérapeutique »(médicamenteuse ») ou non

Marie Sasseur dit: à

@Peut être Zorn doit –il son vrai nom Angst(angoisse) à un ancêtre, ainsi nommé ou surnommé, du fait d’un mal de vivre notoire.

Il est plus probable, que ses ancêtres habitaient près d’une gorge. Ou un défilé. Ou dans un passage étroit.

Jazzi dit: à

Tu as la mémoire qui flanche, Bloom ?

« Cambodge : le génocide khmer rouge reconnu pour la première fois par le tribunal international
Le tribunal parrainé par l’ONU a rendu un verdict historique contre le régime des Khmers rouges, qui a conduit à la mort près de 2 millions de personnes entre 1975 et 1979. »

et alii dit: à

si les médecins ne sont pas les derniers, ils ont une formation « pratique » « clinique » quant au « biologique », en échangeant parfois publiquement :qu’ils argumentent avec leurs « techniques »:on parle aujourd’hui de CO morbidité par exemple ; CELA DONNE LIEU A DES C.R EUX MËMES DISCUTES ,DES ECRITS, et même sur la toile!

Bloom dit: à

Tu as la mémoire qui flanche, Bloom ?

Non. J’ai visité Tuol Sleng & le champs de la mort, Baroz. Pas toi.
Le génocide arménien, rien à voir avec l’extrême gauche. Non plus que celui des Indiens d’Amérique, et des Herreros et Namaquas.
Pas me prendre pour un con, Baroz. Tu manques e tenue.

bouguereau dit: à

Tu manques e tenue

pourtant avec un patalon sans fond et des congepaye a trou..y’en a des qui portent beau baroz

Marie Sasseur dit: à

@Marie Sasseur demande l’interdiction ici de sa publication !

Non, il y a incompréhension.

Les modalités de reproduction, en matière de propriété intellectuelle, artistiques, et ici littéraires, sont, sans autorisation de l’auteur, limitées à de courtes de citations, et référencées .

Mais je comprends que ceux qui vivent de ces pillages, comme source de revenus, par exemple: éditions de collages de différents textes sur un mot-clé, ou présentation de photos et tableaux, sur un site professionnel, peuvent ne pas y être sensibles.

Pablo75 dit: à

Comment se fait-il que l’on soit déjà sur le point de découvrir le vaccin contre la covid19 et toujours pas celui contre le VIH ?
Jazzi dit:

Contrairement au covid-19 le VIH mute souvent.

bouguereau dit: à

DHH. Excellent.

grotex polo..hon patauge..hon voit vaguement dla lumière dans les félures et drh fait comme zigmund ya 100 piges, elle a attrapé le chat noir dans la chambre noir où y’a jamais eu de chat..les malades hont du souci a se faire

bouguereau dit: à

Contrairement au covid-19 le VIH mute souvent

lafrenchézado pontifie..c’est dson kilo

Pablo75 dit: à

Un peu de décence. […] Tu manques de tenue.
Bloom dit:

Attention, Jazzi : c’est le Marquis de Mes Deux qui te le dit.

bouguereau dit: à

L’odeur de la savonnette ?! ça je vous le laisse volontiet, Jacques !

c’est con ça exiss pu les savonnettes..vieille et belle himagrie prolo qui donne des boutons..dpuis ya eu pire en suisse..des hirurptions tchernobil au cul il parait mais chut..ça tue lbiznèce

Jazzi dit: à

Vous êtes une chienne de garde des intérêts des éditeurs, Marie Sasseur ?
Pauvres auteurs, sans cesse pillés, moi le premier, qui retrouve mes textes un peu partout et même dans les fiches wikipedia.
Je ne m’en plains pas, j’ai toujours considéré que la culture appartient à tout le monde…

et alii dit: à

dans la chambre noir et le billet dit dans la nuit !
il faudrait laisser en paix les félins qui savent jouer tout seuls!(allez sur pinterest chats drôles;même si vous préférez celui de schrodinger parce que ça fait chicos!
Le chat de Schrödinger est une expérience de pensée imaginée en 1935 par le physicien Erwin Schrödinger afin de mettre en évidence des lacunes supposées de l’interprétation de Copenhague de la physique quantique, et particulièrement mettre en évidence le problème de la mesure.

bouguereau dit: à

Dans le cas de Zorn ce sont évidemment les drogues qu’il prend pour alléger les souffrances et les angoisses de son cancer qui ont sur son humeur les effet bénéfiques qu’il attribue à cette sorte de catharsis que lui apporterait la proximité de la mort

.. »poser un diagnostic »

Chaloux dit: à

Page 151, la vraiment -très- discrète Pauline Dreyfus a cette phrase, assez elliptique à propos d’Etienne de Beaumont:

« Celui que son personnel surnommait « le comte courant » cachait un secret, celui d’une vie scandaleuse qu’il n’osera jamais mener plus loin que sous le déguisement de Cupidon ».

Quelqu’un sait-il en quoi consistait cette « vie scandaleuse »?

Jazzi dit: à

Moi j’utilise toujours des savonnettes, le boug !

bouguereau dit: à

Pauvres auteurs, sans cesse pillés, moi le premier, qui retrouve mes textes un peu partout et même dans les fiches wikipedia.
Je ne m’en plains pas, j’ai toujours considéré que la culture appartient à tout le monde…

baroz s’envoie des fleurs par hinterflora..prends en dla graine renfield

DHH dit: à

C’est a son sujet que Morand cite la contrepeterie-qui n’est pas de lui- Beaumont le Vicomte

Bloom dit: à

Pedro la demi-burne peut pas s’empêcher de nous rebatet les oreilles avec sa voix de fausset. Le Pitre.

Pablo75 dit: à

@ Marie Sasseur demande l’interdiction ici de sa publication !
Non, il y a incompréhension.
Marie Sasseur dit:

Elle a raison, Jazzi. Elle ne voulait qu’éviter le ridicule d’avoir comparé, elle la Catholique, Erri de Luca, membre d’un groupe terroriste d’extrême gauche qui a tué un juge, à Pascal et Nietzsche.

Mais c’est doublement raté: tout le monde ici a pu voir à quel point ses jugements littéraires sont nuls et sa « pensée » politique inexistante, et P.Assouline n’a pas effacé les textes en question.

Cela s’appelle l’avoir doublement dans le derrière.

bouguereau dit: à

Moi j’utilise toujours des savonnettes, le boug !

je kiffe pas trop le savon dalep non pus baroz..le savon noir des gonzesses c’est zarbi..la douche c’est une tête de gondole où hon trouve rien qui va..je me souviens de savonette pas popo..à l’odeur de faux cul estrordinaire..mais voilà..ça exiss pus

Marie Sasseur dit: à

Pour faire suite à mon propos sur la propriété intellectuelle et les droits limités de citation, pour ce qui est des livres non libres de droits, et sans autorisation de l’auteur, il y a en ligne tous les textes législatifs s’y rapportant.
Ceux qui en abusent et tirent un revenu , a partir de pillage de livres, photos, tableaux, évidemment, sont des voleurs.

Jibé dit: à

« Les traitements actuels de la trithérapie rapportant une fortune à l’industrie pharmaceutique… »
j’avais, Jazzi, posé cette question à un mai médecin chercheur à l’institut Curie. D’après lui, le VIH est très particulier en effet (mutant) et il ne se refile pas aussi facilement que le covid (goutelettes), donc il est potentiellement moins dangereux (cynique, n’est-il pas?). Quant au fait que les tri thérapies rapportent, c’est certain, mais le coût d’un malade du VIH est très élevé aussi (arrêts maladie, coût psycho-social, effets secondaires). Bref, mieux vaut ne pas comparer.
Il reste que la même question que vous me taraudait (peut-être d’avoir vu des copains mourir si mal et si nombreux?).
En tout cas, le VIH ne « menace pas la société et l’économie » comme le virus covid, c’est une évidence (« ils ne mouraient pas tous mais tous étaient touchés »)-donc moindre enjeu. Cyniquement parlant.

Chaloux dit: à

Pablo, tu tires un revenu des extraits de De Luca?

Marie Sasseur dit: à

Il n’est pas nécessaire de tirer un revenu en reproduisant de larges extraits d’un livre, sans autorisation de l’auteur, pour être hors la loi.

bouguereau dit: à

-donc moindre enjeu. Cyniquement parlant

franchment jibé tes esplications complotiss de maladie orpheline a la noix te donne pas l’air malin..essaie la savonnette sacrénom

Jibé dit: à

« Je suis né sur la rive dorée du lac de Zürich (ou un autre?) et naturellement j’ai le cancer »
de mémoire, la première phrase du roman de Zorn-Angst.
-« naturellement », expression de la décadence d’une certaine bourgeoisie dorée, et de son impuissance, voilà ce que ce roman (marquant en effet) m’a laissé en tête. M’a accompagné durablement.

Marie Sasseur dit: à

Mais ceux qui le font pour en tirer un revenu, sont des voleurs, ce qui aggrave leur cas, naturellement.

bouguereau dit: à

Ceux qui en abusent et tirent un revenu , a partir de pillage de livres, photos, tableaux, évidemment, sont des voleurs

baroz et google sont pour lenculturation du populo..pas délitisme redistributif!

Jibé dit: à

« franchment jibé tes esplications complotiss de maladie orpheline a la noix te donne pas l’air malin..essaie la savonnette sacrénom »
Même pas complotiste, juste des considérations économiques et sociales.

ouais, savon de larseille par contre, j’aime bien. Moi ce que j’aime dans les savons c’est en avoir plusieurs empilés, parfum lavande et amande, qui embaument la salle de bains et mes serviettes

Marie Sasseur dit: à

Pour musique, c’est la même chose, d’ailleurs.

Jibé dit: à

Marseille par larseille scusu

Janssen J-J dit: à

« En fait cette conception psycho psychanalytique des causes de son mal-être n’a aucune legitimité médicale » (DHH) .

C’est là votre « mise au point clinique du contresens de Mars, OK, et je veux bien entrer dans votre raisonnement jusquà’ un certain point… Vous ne sauriez pour autant sous estimer ni mesurer (o fortiori mésestimer) les bienfaits que ce roman apporta naguère à des milliers de lecteurs anxiogènes sur leur cancer. Cette sorte d’apaisement temporaire à beaucoup, faute pour eux d’avoir disposé à l’époque de clés d’explications ou de thérapeutiques alternatives plus efficaces !

J’en déduis que si une littérature peut apaiser quelque chose chez ses lecteurs, que son contenu dise le vrai ou le faux, cela est égal, car ce n’est pas à cette aune que l’on peutr juger du talent intrinsèque d’un romancier ou de l’impact de son oeuvre…
Cela dit, DHH, je n’évoque pas les nouvelles générations qui auraient sans doute bien des raisons d’adhérer à ce que vous dites, et par csqt de trouver ce bouquin bien cucu’lapraline.
Je ne crois pas qu’aucun psy de nos jours irait le recommander à un patient suicidaire génétique, sans lui prescrire d’abord et surtout une bonne dose de lithium, ou en allant fouiller dans la genèse de son histoire familiale des troubles ataviques plus anciens… etc
Donc, DHH, ne nous bornons pas à dénoncer un contresens de lecture… S’il y a contresens, c’est à Zorn qu’il aurait fallu le « reprocher » puisque c’est lui qui le commet sur sa propre histoire…
Or on nous apprend icite, parait-il qu’on n’aurait pas à en juger rétrospectivement. Car enfin, il faudrait prendre des grands malades de la littérature tels que Morand ou Céline comme les produits tout à fait sains d’une époque, en elle-même totalement pathologique, -comme auraient pu le soutenir SF ou plutôt G. Canguilhem… en plus élaboré-.
Un sujet loin d’être un brin épuisé, hein… Je vous ai trouvée juste un peu abrupte sur ce coup-là, DHH. Mais ça vaut la peine d’en rediscuter à partir des liens que va nous mettre notre grande amie taxfl (sur le réception de Mars dans le monde médical, le monde des sciences sociales, le monde des erdéliens spécialisés ou élucubrés, etc.)
Bàv,

bouguereau dit: à

-« naturellement », expression de la décadence d’une certaine bourgeoisie dorée, et de son impuissance, voilà ce que ce roman (marquant en effet) m’a laissé en tête. M’a accompagné durablement

voilà..t’es plus beau en émotif jibé..raoul il a les dents pourri..les toubibs doivent souvent abuser de toucher anaux et coma profond pour havoir un semblant de vie sessuel..tiens..dmande à térezoune!

bouguereau dit: à

pépèpe..raoul a bien ldroit dfaire dla critique litteraire..mais je préfère l’aproche antipsychiatrique de belle colique à dédé..c’est plus esthétique qu’il dirait lassouline

Jibé dit: à

« Pour soigner une poule pondeuse de Marans, genre Monique, qui souffrant d’une anémie liée à un trop grand manque de calcium, »

mais qui les nourrit, JJJ, ces poules? Menfin, en outre, vous savez bien que les vétos se font de couill.s en or! C’est pas nouveau, ça date déjà du baby boom, depuis qu’on met tant d’affects dans nos rapports aux animaux.

bouguereau dit: à

c’est plus téméraire..esthétique c’est redondant..mais tout l’monde aura corrigé qu’il dirait mon larbin

Jazzi dit: à

Etienne de Beaumont à inspiré Radiguet pour son Bal du comte d’Orgel : un comte marié par devoir et amant de l’amant de sa femme, Chaloux.
C’est très bien analysé ici, avec un autre roman que tu aimes…
https://www.eer.cz/files/2012-2/2012-2-4-Lanni.pdf

Jibé dit: à

« ne nous bornons pas à dénoncer un contresens de lecture… S’il y a contresens, c’est à Zorn qu’il aurait fallu le « reprocher » puisque c’est lui qui le commet sur sa propre histoire… »
parfaitement d’accord avec l’ensemble de ce post JJJ

bouguereau dit: à

mais qui les nourrit, JJJ, ces poules? Menfin, en outre, vous savez bien que les vétos se font de couill.s en or! C’est pas nouveau, ça date déjà du baby boom, depuis qu’on met tant d’affects dans nos rapports aux animaux

..se lève une compagnie de pédreaux par dessus les veaux

bouguereau dit: à

tout auteur est un malade qui s’ignore..des morticoles..mon larbins y savaient même pas d’où àa venait

Pablo75 dit: à

Pablo, tu tires un revenu des extraits de De Luca?
Chaloux dit:

Bien sûr. À chaque fois que je cite De Luca dans des blogs français ou espagnols, on me file mille balles.

(C’est Erri qui le fait).

renato dit: à

La décence ce serait à vous de la pratiquer, Bloom, car lorsqu’on a affaire avec des millions d’humains tués on n’a pas d’autres mots que génocide pour dire ces ecatombes. Ou alors, si comme tous les cons vous vous êtes persuadé que le morts de Staline et de Mao étaient justifiés, ce serait banalement immoral. Cela dit, si vous revendiquez l’immoralité comme un droit parmis tant d’autres, il faudrait le dire clairement, une fois pour toutes.

Jazzi dit: à

Je veux bien que Morand soit homophobe, mais il semblait affectionner la présence des pédés, nombreux dont il était entouré !

et alii dit: à

Des chercheurs du Ludum science center de Catane, en Sicile (Italie), ont décodé une lettre écrite il y a plus de 300 ans. Le 11 août 1676, soeur Maria Crocifissa della Concezione, nonne d’un couvent des Bénédictines, est retrouvé évanouie. A ses pieds, cette curieuse lettre portant des caractères de l’alphabet runique, du latin, du grec ancien, de l’arabe. Incompréhensible.

Pendant 300 ans, personne n’a réussi à casser ce code
Aujourd’hui, l’équipe du Ludum science center a trouvé la solution… grâce au Dark Net ! Au sein de cet internet clandestin, les chercheurs ont récupéré un logiciel utilisé normalement par les services d’espionnage. Si puissant qu’ils ont enfin pu traduire la lettre. “Le système ne marche pour personne. Peut-être que maintenant, le Styx est certain” écrit notamment la nonne. Selon les témoins de l’époque, la religieuse était possédée par le diable qui faisait passer des messages via ces lettres. Celui-ci est arrivé avec plus de trois siècles de retard…
voir sur l’obs

Pablo75 dit: à

Cette pauvre Marie la Chiasse, qui est aussi naïve que conne, n’ayant plus d’arguments littéraires, idéologiques, politiques ou philosophiques pour arrêter la pluie de baffes qu’elle reçoit à chaque fois qu’elle dit une connerie, elle veut nous faire croire qu’elle a des arguments juridiques pour contrer ceux qui ne la ménagent pas. Bientôt elle va nous dire que la loi française interdit de contredire une femme âgée.

Elle est tellement bête qu’elle n’a pas compris encore que la meilleure façon de ne pas recevoir des coups est d’éviter les bagarres.

renato dit: à

Les services postaux des pays latins n’inspirent vraiment pas la confiance, et alii !

et alii dit: à

je crois que les grand mères se rebiffent :sur leur site
« 5 astuces de Michel Cymes pour éviter d’être contaminé après les courses »
(j’ai cru que c’était le tiercé gagnant !suis-je naïve)

Pablo75 dit: à

Pedro la demi-burne peut pas s’empêcher de nous rebatet les oreilles
Bloom dit:

Et voilà que notre Marquis de Mes Deux, pour ne pas trop s’emmerder pendant sa retraite, et après avoir essayé la guitare électrique avec des résultats catastrophiques (ce qui n’est pas très étonnant, vue la tête de pur rockeur qu’il a), il essaie maintenant de commencer une carrière d’humoriste, en se lançant dans les vannes désopilantes !

On attend avec impatience les prochaines.

Marie Sasseur dit: à

La pute espagnole a eu son compte. Avant d’aller chercher un commentaire, pour le déformer, avec des intentions de délinquant, surtout si c’est l’un de mes commentaires, qui ne le concerne ni de près ni de loin, comme le font les clebs, ici, il y aura toujours un droit de réponse. C’est comme ça.

Next.

Pablo75 dit: à

C’est comme ça.
Marie Sasseur dit:

Qu’est-ce que tu me fais peur, La Chiasse !!

Et d’ailleurs, tu penses quoi des romans de Rebatet, toi?

Chaloux dit: à

Jazzi, sur Le grand Meaulnes, il faut lire l’introduction de Philippe Berthier dans la Pléiade, qui est le meilleur texte que j’aie jamais lu sur ce livre.

Dès qu’on entend parler de Beaumont, on songe immédiatement au Bal du comte d’Orgel, œuvre collective (un très bon numéro des cahiers Jean Cocteau sur ce thème).

puck dit: à

mais c’est quand même drôle de voir celui qui nous insulte Sasseur parce qu’elle ose aimer le bouquin de E. de Luca nous ponde une si ardente lettre d’amour à Rebatet vingt commentaires plus loin.

on marche sur la tête.

puck dit: à

parce que si on fait le compte des morts en Italie, entre les fascistes et les communistes y’a pas photo, cf le dernier attentat de Bologne.

et alii dit: à

SUR LA FEUILLE DE TIMBRES RENATO/
.Pour « Ludwig Van Beethoven » l’impression est en héliogravure, les marges sont illustrées par la page du manuscrit de la main de Ludwig van Beethoven de la « Sonate au Claire de Lune ». C’est tout le savoir-faire de l’imprimerie, des techniques les plus anciennes aux plus modernes que l’on redécouvre au travers de ces nouvelles feuilles.

Phil dit: à

on marche sur la tête.

vos lectures musiliennes ne vous sont pas d’un grand secours pour mesurer les effets de l’insulte sur le groupe, dear Puck ? Passez de l’homme sans qualité à Törless, vous retomberez sur vos pieds.

Marie Sasseur dit: à

Un voleur dans la nuit.

Si le livre de L. Gaudé, qui brille de mille feux, en bandeau pub, pouvait ne pas en rester là, ce serait vraiment chouette Passou.
Car le vagabond de la nuit sur lequel s’appuie L. Gaudé, il ne faut pas le perdre de vue , dans ce petit poeme en prose fabuleux. Autre bonheur de la rentrée.

Janssen J-J dit: à

mais qui les nourrit, JJJ, ces poules?

Mais moi, à longueur de journée, blés et maïs pillés, quand je délaisse la rdl, de même que je ramasse leurs crottes dont je suis devenu un spécialiste extrême (il en est de toutes les formes, couleurs, et de toutes les consistances, le sait-on assez ?). Le véto m’a dit que ces graines n’avaient pas de calcium, que les mies de pain au lait et les gâteaux non plus… Il a souri quand je lui ai avoué qu’elles bouffaient toutes les croquettes du chat, qu’elles adoraient cela. Hélas, je n’avais pas songé à leur laisser mes coquilles d’huitres pilées. On trouve ce type de produit chez gamm vert, semble-t-il, je vais donc y remédier, les pauvres !… Sûr qu’il se fait des couilles en or, ce véto, mais quand on aime se faire couillonner pour sauver sa poule, on compte pas ses efforts ni son argent. Surtout quand on été pétés de thunes comme moi.
Bon cela dit, JB, j’ai bien apprécié votre assentiment sur FZ, qui me réconforte de mes défaillances à l’égard de Momo.
Bàv pour votre soutien,…
NB / Au fait, sur la nouvelle sensibilité animale, ai découvert il y a qq temps les passionnants mémoires de célèbres animaux vus par Eric Baratay (Biographies animales, Seuil). Je crois que c’est l’un de vos collègues historiens tout à fait prometteur et passionnant à suivre, sa biblio est déjà bien fournie. Bàv,

Bloom dit: à

Pedro le perro, dit L’Ane-du-blogapassou,la Demi-Burne-Brune,le-Radin-Pyrénéen, ou encore Le Kyste-Franquiste, avec les décombres de son français approximatif, c’est presque aussi bien que la femme à barbe. « Dur d’être lu que par des cons » (Rebatet).

Janssen J-J dit: à

@ ma soeur. Pourquoi vouloir que Passoul croque un Gaudé qui vous a plu ? Le travaille pas à la commande. Moi, le Mauvigner de la rentrée, j’aurais pas envie qu’il m’en parle, des fois qu’il en dirait des sottises avec bonne foi, comme le font tous ces gens qui parlent de ce qu’ils n’ont pas lu avec le dernière mauvaise foi. Voyez les drames de harcèlements que provoque votre défense obstinée de Carrère, Houllebecq, de Luca, et votre détestation non moins acharnée des Rebatet et autres Morand.
Chai pas, moi, mais je crois qu’il faut parfois calmer le jeu des arts martiaux masculins en s’adressant à des esprits éclairés plus féminins, ou moins féminicides, tout en évitant de tomber dans les travers ambigus de l’homophobie catholique à l’égard des prédateurs pédophiles.

Jazzi dit: à

« il faut parfois calmer le jeu des arts martiaux masculins en s’adressant à des esprits éclairés plus féminins »

Bloom et Renato en plein duel !
Pour les beaux yeux de et alii, JJJ ?

Janssen J-J dit: à

@ dirfil, d’après ce que je comprends, vous semblez plus en osmose avec 57 qu’avec 75. Est-ce à cause d’une sensibilité littéraire commune plus raffinée avec le premier membre du célèbre couple pierre@gilles ?

Chaloux dit: à

Le Kyste-Franquiste… le-Radin-Pyrénéen

Blue mite, tu traques l’antisémitisme mais tu y vas fort avec la xénophobie. Dans ton nouveau monde, c’est autorisé?

Chaloux dit: à

Gigi la visqueuse, c’est amusant que ce soit toi qui pose cette question!

Hurkhurkhurk!

renato dit: à

Le satellite puck a perdu son orbite depuis un bon bout de temps déjà — ce n’est pas la première fois qu’il comprend ce que lui suggere son préjudice.

Phil dit: à

comme vous y allez, dear JJJ, en verve de quel membre causez-vous ? le tutoiement de Pablo75 sorti de son escorial massif convient pour étriller « la cour féminine de France ». les citations produites ici par Chaloux auraient davantage convenu au débat littéraire qui n’intéresse personne ici. Restons dans le 75, le 69 est infecté.

Marie Sasseur dit: à

Si je m’adresse à Passou, je n’ai que faire de l’écho.
Ce petit livre fabuleux de L. Gaudé, est aussi un clin d’oeil à un écrivain, dont Passou a écrit la préface pour la réédition d’un récit.
Gnaark gnaaark.

Sinon, oui, j’ai commencé  » histoires de la nuit » de L. Mauvigner. J’ai faut le plein l’autre jour, a la libraire avant fermeture pour une durée inconnue…
Mauvigner que je n’ai jamais lu avant, et qui m’impose un autre pacte de lecture . La lecture hyper rapide, pour saisir le sens. Tres inattendu, pour moi.

Mais Passou est un citadin, alors ces histoires de trifouillis les oies, ça va pas le faire.

Bloom dit: à

De Lulu-Le-Rebattu, « Les Deux Epandages », où comment Paco & Jalou, les amants du Bolgue, étalent leur fumier après la récolte des glands.

Chaloux dit: à

Bien, Blue mite, xénophobie et homophobie. Tu ne serais pas un peu nostalgique de Pétain?
Hurkhurkhurk!

Marie Sasseur dit: à

D’ailleurs et je m’en excuse, il s’agit de L. Mauvignier.

Janssen J-J dit: à

@ dyrfile, « Restons dans le 75, le 69 est infecté ». Excellent.
En effet, nous n’avons encore trouvé à Paris le vaccin anti sida. Dans le 17, on est un peu loin de toussa. Quant au 57, n’en parlons pas à gilles@jeanne, c une vrai cata !…
Et Michel Tournier ne veut pas se retourner dans sa tombe, holà ! Pour rin au monde.

renato dit: à

Je ne me bat avec personne, Jacques, j’ai seulement rectifié une erreur commis par les communistes— et encore heureux que j’écris « erreur » et non « perversion de la morale ».

Bloom dit: à

Voilà que Gilles-de-raie-duc se pare de vertus & qu’il utilise des mot qu’il ne comprend pas. Allez, ouste, manant,Paco attend ses glands, pour compenser la demi-burne, très certainement (voilà qui rime)

Bloom dit: à

rectifié une erreur commis par les communistes—

Avoir combattu le nazisme?

Janssen J-J dit: à

@ Passou est un citadin, alors ces histoires de trifouillis les oies, ça va pas le faire.

Bien vu !… c’est comme pour MH Lafon et CT, Bouysse ou Joncour, sait pas parler de leurs romans. N’en ressent pas les atmosphères, c pas sa faute, hein. Il parait que personne vous aime icite, ma soeur… Mais moi, non, ni l’un ni l’autre. Parfois, je trouve qu’on peut amorcer qq chose au vu de la pile au contenu commun. M’enfin, ça dure généralement pas très longtemps à cause de l’instabilité bipolarisée, il faut bien en convenir objectivement. Et c’est très bin comme ça. Vaut mieux se protéger, en s’attendant toujours à un coup bas de mule papale.
Bàv,

puck dit: à

Phil dit: Passez de l’homme sans qualité à Törless, vous retomberez sur vos pieds.
 »

merci du conseil dir Phil, effectivement, je te tiens pas à m’embrouiller (comme l’a fait passou) avec les nostalgiques de l’Action Française 😉

qu’importe.

puck dit: à

qu’importe : non c’est « peu importe ».

renato dit: à

Non Bloom, avoir participé puis justifié les massacres de Staline, mais je ne me fais pas d’illusions quant à votre possibilité de comprendre ce fait — qui n’est pas une nuance.

Bloom dit: à

avoir participé puis justifié les massacres de Staline

Mon poète préféré est Mandelstam, que vous connaissez peut-être…Voyage en Arménie, ça vous parle?
N’empêche qu’en France, malgré toutes leurs tares, les communistes n’ont pas été génocidaires. Je ne me fais pas d’illusion quant à votre capacité de comprendre ce type de nuance-là.

Chaloux dit: à

Vraiment, tes jeux de mots, Blue mite… Epoustouflants. Non seulement Joyce les aurait adorés, mais je suis certain qu’ils les aurait traduits aussitôt après en avoir pris connaissance,- dans la fièvre.

Hurkhurkhurk!

Janssen J-J dit: à

@ Marie, Vous pourrez filmer la forces de frappe des forces de l’ordre en toute sécurité, qu’il a dit Castanère, sauf quand elles vous tomberont sur le poil.
https://www.aefinfo.fr/depeche/639511

puck dit: à

Bloom non je pense que renato pense à des communistes comme Arthur Koestler, ou Jack London, ou même Argon, ou Orwell qui étaient de vrais génocidaires sanguinaires qui ont participé activement aux déportations dan les camps en Sibérie, c’est connu, mais peu importe.

Bloom dit: à

à comprendre…when wonky French gets infectious…

puck dit: à

Pablo Neruda aussi était un génocidaire, c’est un fait avéré.
et Antonio Machado, et même Walter Benjamin étaient des génocidaires.

ils sont responsables des crimes staliniens, c’est un fait.

Bloom dit: à

Orwell qui étaient de vrais génocidaires sanguinaires

Orwell? Vous n’êtes pas sérieux. Il a lui même été victime des ravages du stalinisme pendant la guerre civile espagnole.
Il va falloir en dire plus et justifier par des faits: vous ne pouvez pas dire une chose pareille, c’est un mensonge éhonté.

puck dit: à

et Picasso ! comment j’ai pu oublier ce génocidaire.

puck dit: à

Bloom, désolé c’est mon humour.

puck dit: à

de l’humour… ? je me demande comment on peut parler ici de littérature si on est capable des faire des amalgames aussi débiles du genre tous les communistes du 20è siècles sont responsables des staliniens.

comment peut-on dire des âneries pareilles ? et ensuite parler des livres ?

puck dit: à

sont responsables des crimes staliniens.

bouguereau dit: à

Bloom, désolé c’est mon humour

y fait parti des 10% mauvais keupu..

bouguereau dit: à

comment peut-on dire des âneries pareilles ? et ensuite parler des livres ?

personne n’en parle hors dirfilou..c’est toujours les espérience limite havec lui

renato dit: à

Comme d’habitude le satellite Puck créé de la confusion pour noyer le poisson, pourtant il devrait connaître l’expression « complicité objective ». Oui, les PC d’Europe occidentale ont été les complices objectifs des crimes de Staline comme d’ailleurs les maoistes qui nous ont purris les années 60 et aujourd’hui jouent le petit bourgeois étaient les complices objectifs des crimes de Mao.

Incidemment, je ne justifie les crimes de personne ni d’aucun pouvoir, je laisse ce privilège aux gens doués d’un haut sens morale. Il vous faut ici un emoji qui fait un clin d’œil pour comprendre l’ironie de ce dernier paragraphe ?

bouguereau dit: à

wonky French

sur 2 pieds qu’est ce tu veux..tous les otes sont à 4 pattes..halors forcément

bouguereau dit: à

Il vous faut ici un emoji qui fait un clin d’œil pour comprendre l’ironie de ce dernier paragraphe ?

hurkurkurkurkurkurk..

Marie Sasseur dit: à

Il y en a un qui oublie opportunément des communistes, Pasolini, et quelques éditeurs, italiens.
C’est bien une distinction que fait tres subtilement E. de Luca du reste, dans son livre  » Impossible ». Voir cette scène à propos du tennis…le juge, lui, joue au foot, lol.

Je pense que ce petit livre va devenir un livre culte.

Moralès sed laisse dit: à

d’un haut sens morale

moral, toto! 😉
Emogions-nous!

Marie Sasseur dit: à

Mais bon, ça va finir dans un Martini, peu importe.

bouguereau dit: à

Gilles-de-raie-duc

il étoit maréchal de france attation..me voilà qu’il dit mon larbin

Marie Sasseur dit: à

Un Martini pourpre…

Brinqueballe dit: à

d’un haut sens morale

moral, toto! 😉

Emojions-nous!

Brinqueballe dit: à

« complicité objective »
disent les uns,
idiots utiles, disent les autres. émojito!

Chaloux dit: à

Blue mite : c’est un mensonge éhonté.

Parole d’expert…

bouguereau dit: à

rectifié une erreur commis par les communistes—

Avoir combattu le nazisme?

c’est grace a l’argent de donald..leur sang sul marché vaut moins cher que la pbr qu’il dit rénateau

renato dit: à

Par ailleurs, et pour rester dans le comique, c’est bien le satellite Puck qu’il y a quelques jour de là parlait de la responsabilité de Churchill : « Il aurait pu », etc.

Brinqueballe dit: à

émojito!

En voilà un bon pseudo apéro!?

bouguereau dit: à

Les services postaux des pays latins n’inspirent vraiment pas la confiance, et alii !

tous wonky..sauf les français..naturliche comme hon dit à milano

bouguereau dit: à

la responsabilité de Churchill : « Il aurait pu »

..étes moins copin havec le doutché qu’il disent les historiens italiens

puck dit: à

renato, non ce n’est pas « il aurait pu » c’est « pourquoi n’a-t-il pas? ».

c’est effectivement une question qui a été peu posée jusqu’à maintenant et que commencent à se poser de jeunes historiens en partant de l’idée qu’il aurait pu s’il en avait eu la volonté.

comme je le disais à closer : ce questionnement soit mis dans les programmes scolaires.

maintenant si vous trouvez ça « comique » c’est votre problème.

bouguereau dit: à

c’est « pourquoi n’a-t-il pas? »

moins picolé surtout qu’il dit lassouline..’c’est pas chercher la femme mais trouver plein dbouteille vide havec tcheurtchil’..ses propres mots!

bouguereau dit: à

comment qui s’appel l’historien angliche qui le déteste..merde je sais pu..qu’il dit que c’était une henflure..si si il va jusque là..merde je sais pu..c’était un marrant..il faisait parti des 90% ptête bien..comme dirait rénateau hon lui laisse la responsabilité de ses dire..havec emodji oink oink

renato dit: à

En vous lisant on ne peut que rire Dexter et je doute que Musil puisse vous sortir du trou, vous devriez essayer des lectures moins exigeantes.

Incidemment, il faut être con ou en mauvaise foi pour se demandre « pourquoi n’a-t-il pas? ».

Marie Sasseur dit: à

@Vous pourrez filmer la forces de frappe des forces de l’ordre en toute sécurité

Le 17, mais c’est bien sûr… call for the police.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: à
comment qui s’appel l’historien angliche qui le déteste..merde je sais pu

il s’appelle pas « ta gueule boumou »?

Je serais très étonné du contraire!

Hurkhurkhurk!

vedo dit: à

Merci à la personne (dont j’ai oublié le nom) qui a attiré mon attention sur Montalembert. Je lis dans l’article https://www.persee.fr/doc/rhef_0300-9505_1970_num_56_156_1832
« L’Allemagne était pour Montalembert, le pays où la poésie n’avait pas encore sombré. Le fameux livre de Madame de Staël nourrissait son enthousiasme… » Cette période, courte, qui suit ce livre de MdS, m’a toujours paru très intéressante, notamment à cause du changement qui a suivi. Et à propos de « la poésie qui n’a pas encore sombré », bonne coïncidence avec ma remémorisation récente de « Wie wenn am Feiertage… » et de « l’Albatros ». Même sujet. Quel contraste. Certes, 20 ans à la Révolution, cela fait une différence.

Chaloux dit: à

Montalembert est un homme qui visiblement mérite qu’on s’y attarde. J’avais donné il y a quelques jours le lien de cet article. J’y suis venu par deux chemins, Elisabeth de Hongrie (par Yourcenar et François d’Assise) à propos de laquelle il a écrit un livre, et José Cabanis. J’ai toujours suivi les conseils de lecture des écrivains que j’apprécie, c’est 50% de ma culture.
Le voyage en Allemagne n’est malheureusement raconté que sur quelques pages par le RP Lecanuet, le reste est sans doute à découvrir dans le Journal et la correspondance de Montalembert. Ou d’autres livres? Je vais regarder.

Jibé dit: à

 » Hélas, je n’avais pas songé à leur laisser mes coquilles d’huitres pilées »
et voilà…
le retour à la terre, ça se travaille cher ami! :))

Eric Baratay (Biographies animales, Seuil). Auteur d’un excellent livre sur les animaux des tranchées. Je ne connais pas les « biographies animales », mais l’auteur, je l’ai rencontré (rapidement) à Blois il y a quelques années. Un personnage très vif et très plaisant, ce qui ne gâte rien.
Il s’est intéressé à ces sujets (liens entre animaux et humains) bien avant que ce ne soit la mode.

Pablo75 dit: à

« Pour Pepito, l’antisémitisme est un humanisme:
L’Histoire: « En juillet 1942, les éditions Denoël publient le livre de Lucien Rebatet, Les Décombres, qui, dès sa publication, crée l’événement. Véritable phénomène d’édition avec 65 000 exemplaires vendus, ce pamphlet est également un événement politique : à l’heure du statut des Juifs, un jeune écrivain français affiche son antisémitisme et son admiration inconditionnelle pour l’Allemagne ».
Sanie lecture, sanie lecteur. »
Bloom dit:

« chiant à la longue ces éloges des Rebatet, Morand et autres Céline quand on sait que les fascismes sont responsables de plus 100 millions de morts. »
puck dit:

« Et de la diffusion de la Haine de dizaine de millions d’autres. »
Bloom dit:

« mais c’est quand même drôle de voir celui qui nous insulte Sasseur parce qu’elle ose aimer le bouquin de E. de Luca nous ponde une si ardente lettre d’amour à Rebatet vingt commentaires plus loin. »
puck dit:

Et voilà comment notre Marquis de Mes Deux, éternel aspirant au poste de Commissaire Politico-Morale du Blog, et notre Pétomane Goebbelesien, éternel stalinien préposé à la fabrication de Perles de Blog, sont tombés dans le piège de mon message sur Rebatet, comme deux taureaux écervelés fonçant devant le premier signe de celui qui veut se foutre de leurs gueules. Ils sont tellement cons qu’ils n’ont rien vu d’anormal.

Bloom-Bloom qualifie de « sanie » (« matière purulente d’odeur fétide, plus ou moins mêlée de sang, produite par des ulcères non soignés et des plaies infectées »)… Pierre Assouline et George Steiner !!!, qui sont les vrais auteurs des phrases de mon message sur Rebatet.

Traduisons donc le jugement de notre Marquis de Mes Deux: « Pour Pierre Assouline et George Steiner, l’antisémitisme est un humanisme ».

Désormais on parlera ici de Bloom-Bloom, Marquis de Mes Deux, éternel aspirant au poste de Commissaire Politico-Morale du Blog capable de traiter de « matière purulente d’odeur fétide, plus ou moins mêlée de sang, produite par des ulcères non soignés et des plaies infectées » des écrivains comme Pierre Assouline et George Steiner.

Quant au Pétomane, on apprend qu’il trouve chiant que Pierre Assouline et George Steiner fassent des éloges d’écrivains d’extrême droite comme Morand ou Céline, et qu’ils écrivent « une si ardente lettre d’amour à Rebatet ». Et cela parce que le fascisme a fait des millions de morts. Et celui qui dit cela est un Collabo du Goulag qui a eu pendant longtemps le carnet du Parti Communiste sachant parfaitement que ses idées avaient fait 100 de millions de morts (des morts innocents mais « nécessaires » pour le triomphe de la Révolution, bien sûr – de la révolution hyper-capitaliste chinoise actuelle, d’ailleurs…).

Je ne sais plus qui a dit: « Je suis persuadé que la réincarnation existe. Parce que certaines personnes n’ont pas pu devenir aussi connes en une seule vie ». Voilà qui s’applique parfaitement à Bloom-Bloom, dit le Marquis de Mes Deux et au Pétomane Stalinien.

Et voilà comment on piège facilement deux Crétins qui essaient de dissimuler leur Nullité de Naissance en voulant devenir des Commissaires Politiques de Blog, alors qu’ils ne sont que des Petits Pédants pétant plus haut que leur cul, des Minables Frustrés, des Ratés Définitifs.

Estocade finale pour ces deux Ânes si faciles à toréer:

« Et Steiner, citant dans la foulée Morand qu’il exècrait, Montherlant qu’il admirait et Pierre Boutang dont il était l’ami, de déplorer « cette injustice kafkaïenne : pourquoi Dieu a-t-il donné autant de talent à la droite ? ». »
(Pierre Assouline)
https://larepubliquedeslivres.com/pour-saluer-george-steiner/

Jibé dit: à

Montalembert est un homme tout à fait étonnant, que j’ai « rencontré » durant mes travaux de thèse: il a notamment été un très proche ami de Lord Halifax, celui de son époque (fin XIXè) et a milité auprès du pape Léon XIII pour un rapprochement Catholiques-Anglicans. A suscité chez le pape une lettre apostolique « ad Anglos » qui a été sans suite (car appelait à la conversion de Sa majesté) mais atteste des premiers pas de ce qu’on n’appelait pas encore l’oecuménisme. Je ne suis pas spécialiste de cette période mais dans l’histoire du fait religieux occidental, le partenariat Montalembert/Halifax fait date. Ses ouvrages sont extrêmement documentés et bien écrits et pas « conformistes ». On disait de lui qu’il était un « catholique libéral » à l’époque, un des piliers de la revue « le Correspondant » où paraissait entre autres certains extraits de ses oeuvres.

Jibé dit: à

où paraissaiENT
scusi

puck dit: à

« Oui, les PC d’Europe occidentale ont été les complices objectifs des crimes de Staline comme d’ailleurs les maoistes qui nous ont purris les années 60 et aujourd’hui jouent le petit bourgeois étaient les complices objectifs des crimes de Mao. »

c’est bien ce que je disais : si c’est la seule grille de lecture que vous retenez de l’histoire des idées au 20è siècle vous risquez de passer à côté de pas mal de choses.

mais peu importe…

Jibé dit: à

1895, la lettre ad Anglos, qui doit tant à Montalembert
C’est dire l’esprit ouvert et européen de cet homme!

Chaloux dit: à

MAGISTRAL, PABLO!

BRAVO!!!

Bloom dit: à

Bloom, désolé c’est mon humour.

C’est fou comme l’ironie passe mal à l’écrit, puck; hors de tout cadre la proclamant comme telle (présentation de l’éditeur, etc.) elle manque son but.
Certainement parce qu’elle se niche dans l’énonciation davantage que dans l’énoncé.

Sans aucune ironie, cette fois-ci, toute une élite indienne, pas nécessairement nationaliste d’ailleurs, considère Churchill comme un génocidaire, en rapport avec la grande famine du Bengale en 1942.
https://www.bbc.com/news/magazine-29701767

Il faudrait que je voie ce qu’en dit Antoine Capet, mais, je reste sceptique en l’état de mes connaissances sur la question…

En revanche, il ne fait aucun doute que l’armée du Pakistan occidental, secondée par les islamistes bengalis, était sur le point d’accomplir un véritable génocide au Pakistan oriental/Bangladesh en 1971, avant que l’Inde n’intervienne et la mette en déroute.

puck dit: à

renato : au contraire c’est la lecture de Musil qui me pousse à penser ainsi : à savoir essayer d’éviter toutes espèces de préjugés idéologiques.

contrairement à ce que dit Pablo je n’ai jamais été communiste.

sauf que j’essaie de comprendre quand Erri de Luca dit « le communisme était une fraternité », parce que ce type n’est pas le dernier des imbéciles et s’il le dit cela signifie quelque chose.

comme quand Picasso dit que le communisme représentait un idéal.

et ces exemples d’intellectuels qui ont dit ce genre de choses on peut les multiplier par mille.

à partir de là soit on rejette tout en bloc comme vous le faites en faisant l’amalgame entre de Luca et les crimes staliniens, soit on essaie d’aller plus loin.

le fait de rejeter tout en bloc relève pour moi d la paresse intellectuelle.

alors je sais bien renato que nous nous faisons vieux, et qu’en vieillissant on fait moins d’effort pour réfléchir, et du coup nous sommes plus enclins à faire des raccourcis rapides, mais je pense qu’il faut quand même essayer de faire cet effort.

d’autant qu’ici bon nombre font cet effort pour nous pomper l’air avec leurs Céline, Morand, Rebatet et consorts !

puck dit: à

pour le dire autrement : lire Musil aide à rester jeune !

Bloom dit: à

Pedro Le Bouffon, tâcheron laborieux du copier coller, prouve encore une fois, s’il le fallait, qu’une demi-cervelle est un sacré handicap pour prétendre essayer de tenter de commencer à penser. Keep trying, maderchod.
On aura la satisfaction de lui avoir appris un motn, au porte coton. Un à la fois, pas plus, sinon ça va se bousculer dans les talanquères!

Pablo75 dit: à

Il est tellement Con ce pauvre Bloom-Bloom, Marquis de Mes Deux, éternel aspirant au poste de Commissaire Politico-Morale du Blog et capable de traiter Pierre Assouline et George Steiner de « matière purulente d’odeur fétide » que quand son ami le Pétomane écrit:

« Arthur Koestler, ou Jack London, ou même Argon, ou Orwell qui étaient de vrais génocidaires sanguinaires qui ont participé activement aux déportations dan les camps en Sibérie, c’est connu »

il ne voit pas que c’est de l’ironie !!!

Mais quel Crétin !!!

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

😉

Bloom dit: à

pourquoi Dieu a-t-il donné autant de talent à la droite ? ». »

Force est de constater que Paco La Demi-Burne n’était pas présent lors de la distribution des dons . Les absents ont toujours tort (il a toujours tort).
Faut dire que pour lui, la droite est trop à gauche! Ah!

Chaloux dit: à

Blue mite, c’est la retraite qui t’a tapé à ce point sur le carafon?

Bloom dit: à

Les Deux Épandeurs sont touchants. T’en dégommes un, tu touches l’autre. Deux produits avariés pour le prix d’un (y s’y connait le Radin des Puces).
Les foireux du Landy!

Janssen J-J dit: à

@ Le 17, mais c’est bien sûr…
Ben voui, ma commissaire La Bourrelle !

@ Eric Baratay ?… j’en étais sûr, voui, avec lui l’histoire des sensibilités fut précursrice. Pour une fois. Et on l’a pas envoyé dire à Corbinoux…

@ les huitres pilées. Ben quoi, j’apprends tous les jours, hein, c mon droit ! Avez la chance de tout déjà connaître sur l’étroitesse de votre ignorance, Jibé. Vous envie.

@ Par ex., mon ignorance de Montalembert, bon émoji, ai pas peur de dire que je l’ai pas « rencontré » dans ma thèse. Bon, je vous dirai pas qui j’ai rencontré durant ma thèse, karàkoibon, hein ? (nb : comme jmb, je ne le le permettrait jamais, et pourtant dans la sienne, il en a rencontré des ankhurlés !).

@ l’a encore raison, masseure, et m’agace un brin : Impossible deviendra un petit livre culte chez les italiens de l’étranger. C’est toujours comme ça, d’ailleurs.

@ Aleskiane, JE PENSE que c’est lassant, durant l’apéro, de devoir encore compter les invectives de ceusses qui se balancent le calcul du nb des morts chez staline et chez zitlère. C’est le Point Godmiche de l’ardl… Hélas. Tchin.

Pardon pour cette légère vulgarité. C quoi votre apéro, vers Neuilly ? J’aimerais bien y connaître les moeurs idoines. Monique et Michel n’ont jamais voulu m’accompagner dans le triangd’or, je faisais trop plouque à leurs yeux. Z’auraient eu la honte. C’est comme ça. Enchore une occasion sociologirque ratée de connaître le monde du 57. Mais qu’importe ? Peu m’importe le vent… De toute façon, ils morfleront un jour, comme le christiano-maxxisss nous en a prophétisé le paradise, ici bas ou dans l’haut delà. Pas vrai, jzmn ? Hein !…

Chaloux dit: à

Neuilly, c’est plutôt Assouline, il me semble, Gigi. Tu ne suis pas.

Pablo75 dit: à

À quoi on reconnaît un vrai communiste? Au fait qu’il ment comme il parle…

« contrairement à ce que dit Pablo je n’ai jamais été communiste. »
puck dit:

maurice desborels dit :
21 juin 2015 à 16 h 14 min

@ smolski,
merci pour votre réponse, je partage en partie vos arguments […] maintenant je suis vieux mais dans ma jeunesse j’ai longtemps milité au parti communiste à Marseille, avant d’adhérer fin des années 70 au parti socialiste (qui ne ressemblait pas du tout à qu’il est devenu par la suite dans la mesure où il représentait le parti des classes ouvrières), à l’époque dire que les familles démunies peuvent se satisfaire de leur vie aurait été considéré comme un argument « bourgeois », maintenant que nous en avons fini avec la lutte des classes j’avoue que je ne sais plus très bien ce que cela peut vouloir dire, je suis resté un peu « vieille école » dans mes grilles de lecture sociale.
bien à vous,
Maurice Desborels

renato dit: à

Je ne rejette pas tout en bloc, puck, et je ne fais aucun amalgame : la complicité objective est une réalité à partir de Togliatti et ses homologues européens qui fréquentaient l’Uninon Sovietique : les pieds sur le territoire.

Pour de Luca je vous renvoie au post que j’ai mis en ligne hier.

Pour ce qui est de Picasso. Dans une interview du 13 mars 1945 avec Jerome Seckler, P. a déclaré : « Si je peins un marteau et une faucille, les gens pourraient penser que c’est une représentation du communisme, mais pour moi, ce n’est qu’un marteau et une faucille. J’ai l’intention de reproduire les objets pour ce qu’ils sont et non pour ce qu’ils signifient, si vous donnez un sens à certaines choses qui apparaissent dans mes peintures, c’est peut-être très vrai, mais ce n’était pas mon intention de donner ce sens ». Et Guernica ? lui demande Seckler. « Sauf à Guernica. Il y a là un appel intentionnel au peuple, un sens intentionnel de la propagande ». Ce qui est la défense non seulement de l’individualité de l’art mais de l’individualisme absolu de l’artiste même lorsqu’il est en première ligne.

Se rappeler que critiques relatives à son portrait de Staline — jugé insuffisamment réaliste — ont refroidi son engagement politique, même s’il est resté membre du parti jusqu’à sa mort. Toutefois, l’un de mes amis, marchant d’art, que Picasso avait surnommé Gracco — Luca Scacchi — se demandait le sens du communisme du P. vieux, mais peu importe.

Cela dit la question de l’idéal reste une magnifique justification, beaucoup de mes amis sont ou ont été communistes et ils sont restés mes amis parce qu’ils ont admis l’aberration produite par leur idéologie.

Janssen J-J dit: à

non, St Germain Desprez…, c pas à Neuilly sur Marne, voyhons donc, pas plus que dans la Moselle, d’ailleurs.

Au fait, jzmn votre poème matinal de Verlaine, z’êtes sûr de la source là ?…, car ça prouverait que ce poète n’était pas que pédé pour qu’on veuille le mettre au Panthéon avec son pote Rimbaud. C’est quoi enkhore cette histoire ? On nous aurait menti sur sa science cunnilinguiste avec la mère mathilde ?…
Au secours, Alice, on a encore trouvé des bissextiles malgenrés dans la littérhature française !

renato dit: à

Oups ! que critiques > que LES critiques

Chaloux dit: à

Il n’y avait pas d’idéal. Après guerre, le général de Gaulle a laissé la culture aux communistes pour avoir les mains libres ailleurs. La plupart, à part quelques uns comme Aragon avec ses appels poétiques à la création d’un Guépéou français, n’étaient pas plus communistes que ça. Seulement l’adhésion était fortement conseillée si on voulait faire carrière. Très français, incurablement français.

Chaloux dit: à

Neuilly-sur-Seine, pauvre crétin.

renato dit: à

Pas seulement français, Chaloux. En Italie il y eut le pacte D.C.-P.C.I. : au premiers l’économie au deuxièmes la culture.

Chaloux dit: à

Renato, je vous laisse traiter l’Italie, vous y êtes mille fois plus compétent que moi.

Chaloux dit: à

Un million de fois…

Janssen J-J dit: à

… et l’autre mosellan qui plonge à pieds joints dans le piège tendu, est-il kon ce pauvre type, mon dieu, mon dieu !…
Eh non, je ne sache pas où se situe le domicile privé de passoul et je m’en b. C’est vraiment le GENRE de curiosité qui nous opposera à jamais le PN à cran du j’menfoutiste coule.
Il est vrai que pour intenter des procès ou balancer des seaux tous azimuths, il vaut mieux savoir aller frapper à la bonne porte, pas vrai mon wgw qui avez dû vous barricader chez vous et fuir, devant la menace annoncée ?

et alii dit: à

Lorsque j’ai appris que, contre toute attente, les librairies n’étaient pas considérées comme des commerces « essentiels », j’ai aussitôt pensé qu’une telle mesure n’aurait jamais été prise dans la Rome antique. Les Romains ont en effet inventé une notion très singulière : celle d’humanitas. Notion singulière en ce qu’elle ne veut pas exactement dire « humanité ». Ce n’est ni le « genre humain » comme phénomène naturel, ni la vertu d’« humanité » comme phénomène moral.

C’est, avant toutes choses, la sociabilité. Faire preuve d’humanitas, être humanus, c’est être capable de lien social : c’est donc être affable, aimable, enjoué, obligeant, agréable, solidaire, plein d’humour et d’esprit (sal), indulgent face à la « faiblesse humaine ». C’est faire vivre le plaisir de la vita communis, c’est-à-dire, à Rome, de la vie en ville (urbanitas), dans la Ville par excellence, Rome. Ce plaisir de la vie en ville que Rome diffusait dans tout son Empire.

Comme on le voit, il n’y a aucun rapport avec l’appartenance au genre humain, puisqu’il y des tas d’êtres humains qui n’ont rien d’humanum. Et c’est une disposition morale beaucoup plus large que notre vertu d’« humanité ». Celle-ci, au-delà de son étroitesse d’application, implique encore une relation asymétrique : on fait preuve d’« humanité » envers un inférieur. L’humanitas fait vivre un lien profondément égalitaire.
https://www.philomag.com/articles/pierre-vesperini-eloge-de-lhumanitas

Pablo75 dit: à

j’ai longtemps milité au parti communiste à Marseille, avant d’adhérer fin des années 70 au parti socialiste
maurice desborels-hamlet-dexter-puck

Pétomane, tu as donc bien applaudi à tout rompre et bu le champagne le 21 août 1968 quand les
400 000 soldats, 6 300 chars, 800 avions et 2 000 canons russes ont envahi la Tchécoslovaquie, non?

Et après cela tu as le cynisme de venir ici pendant des années nous donner des leçons d’Éthique Politique et de Morale Philosophique, et nous expliquer du haut de ton piédestal d’Ordure Goebbelesienne ce qu’est le Bien et ce qu’est le Mal?

Chaloux dit: à

Pauvre Gigi la visqueuse, tu as pris tellement d’énormes baffes dans ta grosse face mafflue à face de Q depuis hier, que je te concède cette victoire minable, qui te va comme un gant, ou plutôt, comme un sac-poubelle à un vieux morceau de bidoche avariée,- ce que tu es, incontestablement.

puck dit: à

renato, justement ! la preuve que cet idéal dont parle Picasso ne s’arrête pas à la représentation d’une faucille et d’un marteau, ou d’un portrait de Staline.

vous allez dans mon sens : pour beaucoup de ces artistes et ces intellectuels cet idéal communisme n’avait rien à voir avec les crimes staliniens.

et c’est vrai pour presque tous ces intellectuels, à quelques exception comme la fameuse préface de Sartre, sinon leurs idéaux n’ont jamais été dans le sens des crimes staliniens.

contrairement à tous ces écrivains d’extrême droite français dont l’antisémitisme est exprimé exactement dans l’esprit de l’holaucoste, par exemple quand Céline parle des juifs comme d’une maladie ou de microbes qu’il faut éradiquer : ça tombe bien ! c’est exactement ce qu’ont fait les nazis.

et ces mêmes propos antisémites visant à se débarrasser de cette race on les retrouve chez tous ces écrivains.

là je comprendrais qu’on fassasse un amalgame entre eux et les crimes nazis.

Petit Rappel dit: à

« il n’est si rien de si sale, personne n’en doute, que de faire métier de reprendre.La qualité d’accusateur a été de tous temps une très vilaine chose.Et quelles plaintes ne font pas les grecs de leurs sycophantes et les romains de leur délateurs? (…). Aurait-on dessein de remettre dans le monde cette secte condamnée? Cette philosophie médisante, cette profession publique de japper, de mordre ou de déchirer, cette métamorphose d’hommes en chiens? » (…)
Guez de Balzac, le Sage de la Charente aurait-il eu quelque prémonition de la RDL dans ses pires jours?

puck dit: à

maintenant, si on veut rester en toute objectivité, serait de se demander pourquoi on entend tous ces hurlements et ses insultes quand on parle de ces intellectuels communismes que l’on renvoie direct au goulag, et qu’on se montre aussi indulgent avec ces écrivains fascistes ou d’^extrême droite ?

parce que c’est là un phénomène récent, même sur ce blog, du temps de MàC et Lazarillo on pouvait prononcer le mot « communisme » sans avoir droit aux insultes débiles d’un Pablo (époque bénie du blogapassou).

pourquoi ? parce que c’est dans la mouvance de notre époque : libérale, libertaire, individualiste ‘liberté individuelle avant tout), etc… toutes ces réactions épidermiques à l’écoute du mot « communiste » exprime parfaitement notre époque (et je ne parle pas que des insultes débiles du non moins débile Pablo).

et si cette ambiance hédonisto nietzschéo individualiste accompagnée d’un snobisme dandy qui franchit souvent les limites du grotesque convient très bien à nos dandys d’extrême droite (c’était un sale mais tout de même quelle classe…), forcément elle va rentrer dans le lard du premier qui évoquera le mot « fraternité » dans la bouche d’un Erri de Luca, comme dit l’autre après tout Prévert n’est qu’un con et de Luca n’est qu’un con de plus.

et ça aussi il faut prendre un peu de hauteur pour le comprendre.

renato dit: à

Mais de quoi parlez-vous puck, de quels idéaux ? Picasso ne parle pas d’idéaux lorsqu’il parle de faucille et marteau, il faut être obsédé pour voir une intention dans le sens que vous semblez comprendre.

puck dit: à

renato : oui quand Picasso parle de cet idéal communiste cela ne con cerne en rien cette faucille et ce marteau.

il s’agit d’autre chose pour lui, et cette chose vouloir la nier et la renvoyer aux crimes staliniens c’est complètement idiot.

Petit Rappel dit: à

« il n’est si rien de si sale, personne n’en doute, que de faire métier de reprendre.La qualité d’accusateur a été de tous temps une très vilaine chose.Et quelles plaintes ne font pas les grecs de leurs sycophantes et les romains de leur délateurs? (…). Aurait-on dessein de remettre dans le monde cette secte condamnée? Cette philosophie médisante, cette profession publique de japper, de mordre ou de déchirer, cette métamorphose d’hommes en chiens? » (…)
Guez de Balzac, le Sage de la Charente aurait-il eu quelque prémonition de la RDL dans ses pires jours? Ou l’histoire n’est-elle qu’un éternel recommencement,?…

renato dit: à

Rester en toute objectivité ?! mais même Lénine ne croyait pas à cette possibilité.

puck dit: à

renato quand je dis en toute objectivité c’est en évitant de renvoyer l’individu qui exprime une chose à ce qu’il est lui-même.

parler en toute objectivité c’est essayer d’échanger sans s’entendre dire « si tu dis ça c’est parce que tu es… »

puck dit: à

et voir Sasseur se faire insulter parce qu’elle le malheur de dire qu’elle aimé un livre d’Erri de Luca : peut-on essayer de dire objectivement de quoi cela relève ? ou bien est-ce que dire qu’une personne a le droit de s’exprimer librement sur ce qu’elle pense c’est choisir un camp et faire de Sasseur une stalinienne qui défend les crimes staliniens ?

parce que si c’est désormais la règle il faut le dire.

renato dit: à

Puck, la complicité objective est une réalité pour ceux qui étaient censé savoir quel avait été l’état des choses : le goulag, l’antisémitisme stalinien et ainsi de suite, ce qu’aucun idéal justifie, mais si y voir un idéal vous fait plaisir je ne peux certes vous en empêcher.

rose dit: à

DHH

Je doute profondément d3 ce que vous dites à partir de Zorn et de son livre Mars.

>Janssen JJ et et alii,

Ce sera ma quatrième participation au groupe de paroles.
Je parlais de « changer nos pratiques » puisque le virus va durer.
Le changement des pratiques à l’Ehpad est o’avancée des repas du soir de une heure de temps.
À l’EHPAD, suppression des visites, suppression du goûter et repas du soir, ce soir à 17h50. Puis retour dans la chambre des résidents à 18h24. Soirée mortelle ensuite. Depuis hier donc, conversations tenues avec ma maman au téléphone pour que le moral remonte, remonte. Ce soir, lui ai tenu compagnie et ai mangé à 18h38.
Puis, je lui explique, lui parle, la stimule. Elle va bien. Ce soir m’a dit  » je veux que C. (son fils) me rende mon téléphone et ma tablette (son ipad offert par moi C. a donné 30 euros sur 437), il est pauvre, ses 10 000 euros de revenus mensuels ne lui autorisent pas une vie confortable ; il m’a déclaré « avec maman on dépense 1000 euros par mois pour vivre », « toi tu es riche ». Il m’a aussi dit que je devrais prendre des cours pour gérer un budget.
J’ai répondu « je ne suis pas riche, je suis fortunée ». Dans mon coeur j’ai l’amour de ma mère, mais cela, je me suis bien gardée de le lui dire qu’il marine un peu.

puck dit: à

renato dit: à

Puck, la complicité objective est une réalité pour ceux qui étaient censé savoir quel avait été l’état des choses : le goulag, l’antisémitisme stalinien et ainsi de suite, ce qu’aucun idéal justifie, mais si y voir un idéal vous fait plaisir je ne peux certes vous en empêcher.
 »

exactement ce que je disais avant : Picasso a parlé de cet idéal communiste

c’est lui qui le dit, donc je parle de ce qu’il dit.

et vous répondez : « mais si y voir un idéal vous fait plaisir je ne peux certes vous en empêcher. »

non renato je n’y vois aucun idéal : je parle de ce qu’a dit Picasso !!!

rose dit: à

Ce que je dis/écris est lorsque je le puis.
Souvent, je ne peux. Ni le dire. Ni l’écrire.

Mais je deviens calme, apaisée.
Ai avancé de quatre pages ds l’Ulysses.
Fière de moi je suis.

rose dit: à

Et puis, j’ai appris grâce à une amie qui m’a donné le secret à faire la chantilly maison.

et alii dit: à

puck, on ne sait plus ce qui déclenche les tornades de ces messieurs, philo ou pas philo(je vous rappelle qu’on a interdit la culture philosophique sur ce blog! j’ai « vérifié » qu’elle est dans le socle d’études pour les rabbins! c’est D.HORVILLEUR,une femme, QUI LE RAPPORTE sur la règle du jeu;
pour la liberté de penser, et l’honnêteté intellectuelle , avec les « jouisseurs » de ce blog,qui veulent être considérés comme des « autorités », c’est mal parti!sûr qu’il faut « outrepasser » !
bonne soirée;je viens d’être malade zut et zut!

Phil dit: à

excellent homme, Lazarillo. Prose parfaite, harangue à la Jaurès avec un Cap de fraiseur, Monory du blog à passou. certes peu importe le flacon, mais quel parfum..
quelle est votre recette de Chantilly, dear Rose ?

D. dit: à

Avez-vous la peau verte et des oreilles pointues, Rose ?

renato dit: à

puck, où ce serait question d’idéal dans la citation que j’ai mis en ligne ?

D. dit: à

Phil. Si vous voulez de la chantilly pour vos fraises vous an trouverez en bombe au Monoprix.

D. dit: à

Jeannot le cafard de dessous de frigo va bientôt faire sa sortie quotidienne.

Phil dit: à

dédé, la chantilly du monoprix sert à asperger les gilets jaunes. Donnez-nous plutôt la recette de la chantilly salée.

Jazzi dit: à

« J’ai toujours suivi les conseils de lecture des écrivains que j’apprécie, c’est 50% de ma culture. »

Moi aussi, Chaloux, le meilleur bouche-à-oreilles, bien avant les critiques ou les universitaires. La littérature est une histoire de cooptation…
et ensuite une affaire de goût !

et alii dit: à

encore une femme! b kriegel sur la règle du jeu:
La pensée moderne et le judaïsme
21 juin 2010

La génération de la Shoah s’est trouvée prise entre deux exigences contraires mais également indispensables à la survie du judaïsme et des juifs.

Phil dit: à

en attendant, vous savez faire monter la chantilly, dear baroz ?

Janssen J-J dit: à

@ 57 – Pourquoi ne pas dire plus simplement : « JJJ, je reconnais que tu as raison sur ce point, tu as fais semblant de confondre neuilly/marne pour me donner l’occasion de riposter sur neuilly/seine. Et tu m’as bien eu…!, mais ce n’est pas grave… c de bonne guerre et surtout, reconnaissons-le, un brin dérisoire…

Mais non, ça c’est pas possib. pour vous. Car la PN ne se soigne pas de la sorte.. Au contraire, elle consiste à persister jusqu’à la démence, à s’entêter toujours plus dans le besoin de (se) « prouver » qu’on est le plus fort et toujours le vainqueur dans le rapport spéculaire de domination que l’on a institué avec un autre, il convient d’humilier « cet autre » en prenant le public à témoin… comme si le « public » en question était dupe de cette navrante pathologie, quasi inguérissable.Cela produit une lassitude collective bien compréhensible.
Nous en sommes là. Personne ne vraiment rien lâcher. Mais pourquoi ? J’essaie de vous aider 57, (désolé, je n’arrive pas à prononcer votre patronyme de chalumeau), mais ne me fais aucune illusion, par DEFINITION, sur mes chances d’y parvenir en quoi que ce soit. « Face à l’incurabilité »…, comme disaient certains criminologues de mes ancêtres, hein…

Bàv; 57 (et quand je dis « Bien à vous », je le pense sincèrement, ce n’est certainement pas là une formule ou un sigle, croyez-le bien, je vous hais mais ne vous veux pas de mal, merci. DHH a raison : vous restez un être virtuel – Elle a tort : il génère néanmoins des émotions variées). Ce sont tous les paradoxes des non dialogues qui s’instaurent sur ce GENRE de blogs littéraires libéraux.

Janssen J-J dit: à

@ Guez de Balzac, le Sage de la Charente aurait-il eu quelque prémonition de la RDL dans ses pires jours ?

Vous savez y mettre les formes, cher MC ! Quoiqu’un brin énigmatique, je prends votre interrogation amusée comme une marque très savante de bienveillance et vous en sais gré. Bàv,

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*