de Pierre Assouline

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La République des livres
Petit manuel de traduction de combat

Petit manuel de traduction de combat

Tout traducteur devrait être considéré comme le co-auteur d’un livre qu’il a interprété en français puisque tous ses mots sont de lui. De quoi exiger de tout éditeur qu’il fasse figurer son nom sur la couverture fût-ce dans un caractère différent. Puisqu’on les a récemment sortis de l’invisibilité où ils étaient cantonnés de longue date, il est temps qu’ils en profitent. Mais quel traducteur a envie d’être le co-auteur de Mein Kampf ?

L’édition critique de sa publication dans Historiciser le mal a été suffisamment commentée l’an dernier dans ces colonnes-même pour qu’on y revienne. Mais si Traduire Hitler (122 pages, 15 euros, éditions Héloïse d’Ormesson), le texte que son traducteur Olivier Mannoni (1960) vient de publier, nous interpelle tant, c’est qu’il dépasse largement l’enjeu induit par le titre. Ce livre bref, incisif, dense pourrait être, au-delà de l’ars poetica qu’il développe, celui de tant d’autres de ses collègues confrontés à des travaux d’historiens, des témoignages, des essais venus de l’étranger qu’ils ont la responsabilité de restituer dans notre langue. Car c’en est une et des plus lourdes.

Au départ, en s’attaquant à Mein Kampf, il s’était voulu doublement fidèle (fond et forme), historiquement précis et lisible quitte à rendre l’auteur plus inintelligible qu’il ne l’est. Mais une fois nommé maitre d’œuvre, l’historien Florent Brayard lui a demandé de respecter tout ce qui justement heurte dans le style d’Adolf Hitler : syntaxe catastrophique, barbarismes, médiocrité lexicale etc Il fallait donc le rendre à l’état brut au prix d’une violence que le traducteur dut imposer à sa propre éthique professionnelle car en quelques décennies de métier et environ 200 livres traduits), il avait toujours plaidé pour la loyauté dans l’interprétation, et non pour la pure transcription. A ce titre, il vécut Mein Kampf comme un chantier expérimental. Admiratif, son collègue angliciste Claro parle du « laid labeur » qu’il y a à se colleter avec ce genre de textes pendant huit ans.

L’essai d’Olivier Mannoni a le mérite de nous entrainer dans son laboratoire pour nous mettre face à ses propres cas de conscience, ses partis pris. Le Journal de Goebbels (sous la plume duquel « extraordinairement » revient cinq fois par page), la correspondance du couple Himmler (chez lui, c’est le mot « décent » qui est obsessionnel), des dizaines d’autres dont « l’horreur » absolue demeure à ses yeux les 500 pages de La Médecine nazie et ses victimes d’Ernst Klee. Le seul livre que ce germaniste congénital et héréditaire (père professeur d’allemand, mère traductrice) ait traduit « en pleurant de honte et de colère ». Heureusement il y a aussi Freud, de la philosophie, des romans et Le Zéro et l’Infini d’Arthur Koestler paru cet automne.

Certains termes sont d’une telle complexité qu’il s’est résolu à ne pas les toucher. Ainsi völkisch jugé impossible à rendre en français tant il est polysémique. Sauf à trouver l’équivalent chez nous de ce qui serait un mouvement à la fois raciste, nationaliste, passéiste, ésotérique et fondé sur la mythologie nordique (bonne chance !). Ou encore das Judentum, pour lequel « judaïté » a été préféré à « juiverie » plus proche de la tradition antisémite française d’Edouard Drumont, car il s’oppose à das Deutschum/ germanité. On s’en doute, Olivier Mannoni rend un hommage appuyé à l’irremplaçable travail de Victor Klemplerer pour son irremplaçable LTI, la langue du IIIème Reich mais aussi pour ses Journaux.

Ce petit manuel de traduction de combat a quelque chose de salutaire et d’exemplaire pour notre temps en ce qu’il invite le lecteur déjà sensible aux idées à se focaliser davantage encore sur la langue qui les porte. Et ça continue, il n’est que d’écouter Poutine parler de l’Ukraine. Le détournement de la langue auquel se livrent les régimes totalitaires est d’autant plus dangereux que ses dégâts sont invisibles à chaud et à l’œil nu. Profondément enfouis, leurs effets sur la perversion des mots se font sentir dans la durée. George « 1984 » Orwell avait tout compris. La torsion du langage entraine celle de la pensée et de sa capacité à dissimuler plutôt qu’à exposer. Il revient alors au traducteur de décoder, décrypter, dévoiler. Et dans le cas de Mein Kampf dans un aller et retour permanent avec un comité d’experts composé d’une vingtaine d’historiens, de linguistes, de philologues. Toujours la langue c’est par là que tout passe et que tout se passe.

(« A Kharkiv un soldat ukrainien » photo Marko Djurica)

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commentaires

962 Réponses pour Petit manuel de traduction de combat

et alii dit: à

Même si, avec plus d’honnêteté que les apologistes de gauche de Schmitt dans l’académie, il a exposé le noyau antisémite de la pensée de son interlocuteur, Taubes a poursuivi une intimité étroite mais conflictuelle avec ce penseur qui l’horrifiait et l’éblouissait. Au moins pour un moment dans l’extase de penser ensemble, il peut sembler non seulement qu’un ennemi devient peut-être un ami, mais que les notions mêmes d’inimitié et d’amitié disparaissent à mesure qu’un lien inéluctable est découvert, un lien dans lequel deux personnes sont tenus en conversation par le texte qui s’adresse à eux. »

Janssen J-J dit: à

« Et la rosse, vieille marteau, est en boucle ».
« Par ailleurs, à en juger par ce qu’elle donne à voir ici, rose est une totale maboule ; malgré tout, contrairement à ses allégations, il y a une justice en France, même si vu la prolifération des énergumènes en tous genres, cela pourrait sembler tenir du miracle »
… ça sent le même fumet en ces deux occurrences, et je crois que vous vous trompez lourd, Jean L… Je serais fort déçu si vous disiez vrai : « Je ne suis pas l’auteur du commentaire qui précède… Ça doit être Alexia Neuhoff ». Non, non, elle n’est pas ainsi. Les usurpatrices de pseudos, on les connaît depuis longtemps, hein.
Bàv,

Janssen J-J dit: à

Le lundi matin, etalii, vous pensez très profond… J’admire votre prose débarrassée des ses miasmes habituels… Votre réflexion est limpide, personnellement, je vous en félicite. Bàv,

Janssen J-J dit: à

Mais au fond, je n’en suis pas si sûr JL, maintenant que je décrypte le script… Et ce serait bien déceptif et navrant si vous disiez vrai, à l’heure où l’on avait enfin trouvé une partenaire aux mêmes vallseurs que les Nôtres, je les rappelle : de « gauche républicaine, laïque, assimilationniste, antiraciste ». J’imagine qu’une mise au point circonstanciée dans L’Obs ou Télérama de sa part viendra mettre un terme à ce genre de calomnies. Bàv,

D. dit: à

rose dit: à

1.97 million d’immigrés

O,O3 = les qata-rient.

…oui enfin il me semble que les Français sont extrêmement mal placés pour compter le nombre d’immigrés. Parce que entre les légaux et les illégaux… Encore une fois commençons par balayer devant notre porte avant d’aller s’occuper du Qatar. Incroyable qu’on se permette de l’ouvrir avec le niveau de pauvreté qu’on se trimballe, la délinquance et criminalité dans les quartiers de dizaines et ee dizaibes de villes, y compris maintenant des petites.
Mais bon sang, qu’on ferme notre gueule tant qu’on aura pas été capable de gèrer nos super-tankers de merde.

Kap Rice dit: à

Jean Langoncet dit: à

@Qu’aurait été Hitler sans J. Owens qui le fit enrager aux JO de Munich

Ah, elles étaient admirables les démocraties en 36 ! La vieille Pologne, ses pogroms, ses émeutes antisémites, la noble Amérique, sa ségrégation raciale, son Klu-Klux-Klan, son remarquable président Roosevelt refusant de recevoir Jesse Owens à la Maison Blanche, la France des Lumières, son affaire Dreyfus, son Exposition coloniale, l’Angleterre, son empire, la suprématie de la race blanche, l’Afrique du Sud et l’apartheid, l’Australie et le massacre des aborigènes. Les Jeux de Berlin ont été ouverts en français par le baron de Coubertin et les athlètes français ont défilé en faisant le salut nazi.

Jesse Owens. Dans l’Amérique ségrégationniste, ce petit-fils d’esclave était victime de racisme. C’était un Nègre, fils de Nègres, qui avait grandi dans les champs de coton de l’Alabama. Il ne faisait pas partie du peuple élu, n’était pas considéré comme un citoyen à part entière. Il devait voyager debout à l’arrière des bus. L’accès de certains restaurants lui était interdit. Pisser en voyage était un problème. Dans la plupart des petites villes du Sud, il n’y avait pas W.-C. pour les Noirs. C’est dans une Allemagne couverte de croix gammées qu’il découvre la liberté. Au village olympique, Noirs, Blancs et métis sont mêlés. Jesse Owens mange à la même table que les Blancs et utilise les mêmes toilettes. Dans les rues de Berlin, il est acclamé. Il n’y avait pas d’un côté la gentille Amérique et de l’autre la méchante Allemagne. Des bobards, tout ça ! Ce n’est pas Hitler qui l’a snobé, encore des bobards, c’est Roosevelt qui l’a snobé et refusé de lui serrer la main. Il ne l’a pas invité à la Maison Blanche, seuls les athlètes blancs ont été reçus. Même pas un télégramme de félicitations. Il ne voulait pas s’afficher avec ce Nègre. Les élections présidentielles avaient lieu deux mois plus tard, il craignait de perdre des voix dans les États ségrégationnistes du Sud. Quelques semaines après les jeux, le Comité olympique américain l’a radié et Jess Owens est retourné au fond du bus. Pour un Nègre, ni télévision ni contrats publicitaires. Alors, Jesse Owens a couru contre un cheval au stade Tropical de La Havane, à la mi-temps d’un match de football. Pour deux mille dollars, il devait se mesurer à Julio McCaw, un hongre de cinq ans.

Savez-vous seulement pourquoi Jesse Owens a eu quatre médailles d’or? Parce que les Américains ont voulu faire plaisir à Hitler et Goebbels. Les Américains ne détestaient pas Hitler en 1936. C’est venu bien après, fin 41, avec l’attaque de Pearl Harbour. Jusque-là, ils se tenaient à l’écart et comptaient les points. À Berlin, Jesse Owens ne devait concourir que dans trois disciplines, le saut en longueur, le cent et le deux cents mètres. Voilà ce qui était prévu. Dans le relais quatre fois cent mètres, les Américains ont remplacé, le jour même de la course, deux athlètes juifs, Marty Glicksman et Sam Stoller, par deux Noirs, Jesse Owens et Ralph Metcalfe. Marty et Sam, les deux seuls Juifs de la délégation américaine, seront par conséquent les deux seuls athlètes, toutes nations confondues, à n’avoir disputé aucune épreuve lors de ces Jeux. Ce qui revient à dire que dans la détestation raciale, les Juifs étaient largement premiers, loin devant les Nègres, y compris aux États-Unis. Soixante-deux ans plus tard, le Comité olympique américain a présenté ses excuses aux deux athlètes qui ont été privés de médaille olympique. Ce qui leur a fait une belle jambe. Sam était mort depuis quinze ans et Marty, quatre-vingt-un ans, souffrait de problèmes cardiaques qui l’emporteraient deux ans plus tard.

renato dit: à

« En tout cas il me semble nécessaire que l’équipe de France et son entraîneur soient sans délai convoqués à l’Elysée pour s’expliquer sur cet échec qui n’est pas sans conséquences pour l’image de la Frange à l’Etranger. »

Quelles propositions ? les attacher aux arbres des Champs Élysées et inviter la population décérébrée à un cortège d’insultes, de crachats et de coups de pied dans les couilles ? les condamner à l’exil à l’étranger ? fixer des limites à leur salaire ? les empêcher d’avoir une vie affective et sexuelle en les enfermant dans un monastère pour élever des carpes jusqu’à ce qu’ils sachent saisir les opportunités ?

D. dit: à

Vous êtes comme à l’accoutumée excessif, renato.

renato dit: à

Tiens, comme à l’accoutumée il dit une connerie et moi je serais excessif !

Jacques dit: à

Renato ne comprend pas ni ne saisit le second degré en matière d’humour.
Si un clown fait des grimaces à Renato, ce dernier est tout à fait capable de le prendre au sérieux et de l’insulter en retour !
Esprit aussi obtus que tordu le rototo😂

Jean Langoncet dit: à

@Ce qui revient à dire que dans la détestation raciale, les Juifs étaient largement premiers, loin devant les Nègres, y compris aux États-Unis

Dans ces conditions, il aurait été plus simple de ne sélectionner ni juifs ni noirs. Plus généralement, merci de citer vos sources, Kap Rice ; les dieux du stade et l’oncle bens vous en seraient reconnaissants

renato dit: à

Et le pauvre Jacques qui croit vraiment que dédé fait dans le deuxième degré ! mais étant donné ses opinions d’emprunt cela se comprend.

Jacques dit: à

…et j’aime beaucoup monsieur Vladimir Poutine, ce grand Héros de l’humanité qui nour rappelle, par ailleurs, les héros de l’Union soviétique de jadis.

renato dit: à

Drôle de mentalité, ils disent des énormités et ils voudraient les vendre pour de l’humour. Et ça par des gens qui parlent d’ironie sans la moindre idée de la nature de la chose…

renato dit: à

Poutine affirme que la Russie, par ses actions, rendra le monde plus juste. Voyons pour rire :
« Le président russe Vladimir Poutine s’est dit confiant que tous les changements qui se produisent en Russie et dans le monde aboutiront au meilleur et que, par ses actions, la Fédération de Russie sera en mesure de rendre le monde plus juste, où tous les peuples sont égaux. C’est ce que rapporte Ria Novosti, qui affirme que M. Poutine a délivré un message vidéo aux participants du premier congrès du Mouvement russe des enfants et des jeunes. « Vous savez probablement que de grands changements se produisent actuellement », a déclaré M. Poutine, « et pas seulement en Russie. Le monde entier est en train de changer. Je crois qu’il s’agit de changements pour le mieux, et j’espère qu’avec nos actions, notre détermination et, en même temps, la franchise de nos intentions, de nos plans, de nos principes, nous pouvons faire du monde un endroit plus juste », a déclaré le tsar russe. « Une société dans laquelle tous les peuples sont véritablement égaux, où chacun a le droit d’être respecté, de suivre ses propres traditions, de parler sa propre langue, d’honorer ses ancêtres, et où chacun a la possibilité de s’épanouir au maximum, indépendamment des conditions dans lesquelles une personne a grandi, de la famille dont elle est issue ». »

Il y a de bon que poutine n’est qu’un clown blanc.

rose dit: à

Renato

Ai transmis les lieux de tournage précis à Maya.

Maria Callas a tourné dans le Médée de Pasolini.
A essayé semblerait-il de lui faire virer sa cutie.
Ratage complet.

Cette femme d’exception.

rose dit: à

« Une société dans laquelle tous les peuples sont véritablement égaux, où chacun a le droit d’être respecté, de suivre ses propres traditions, de parler sa propre langue, d’honorer ses ancêtres, et où chacun a la possibilité de s’épanouir au maximum, indépendamment des conditions dans lesquelles une personne a grandi, de la famille dont elle est issue ».

Je suis favorable à ce projet et y rajouterai volontiers une égalité économique entre les peuples. Que le monde change, c’est sûr.

renato dit: à

« Je suis favorable à ce projet… »

Il faudrait déjà qu’il commence par appliquer ça dans sa Fédération, puis on verra. Cela dit, ce ne sont pas les premiers leurres qui nous arrivent de Russie.

Jazzi dit: à

Le léZard vous dit tout sur l’Arsenal, son jardin, son bassin, son port de plaisance…

Jazzi dit: à

Sans oublier le lien de Paris à l’eau !

rose dit: à

renato dit: à
« Je suis favorable à ce projet… »

Il faudrait déjà qu’il commence par appliquer ça

Faudrait déjà qu’il cesse de vouloir faire aboutir son projet en faisant la guerre ce qui fait beaucoup de dégâts humains et matériels : Marioupol.

renato dit: à

« A essayé semblerait-il de lui faire virer sa cutie. »

Elle n’a pas essayé de lui faire virer sa cuti, simplement n’avait pas compris qu’il s’agissait d’une passion impossible, et lorsqu’elle reçut une bague en cadeau du poète, elle crut qu’il s’agissait d’une promesse de mariage. Il n’en fut pas ainsi et le poète, dans ses vers, révéla son secret : « Cette ombre tombée sur toi, que je ressens — en te parlant injustement…* ». Seule consolation pour la Callas, de cette blessure est née une amitié.

* Pour la relation Callas-Pasolini voir les 10 poèmes publiés dans Transumanar e organizzar.

https://www.fmcinema.it/wp-content/uploads/2016/08/bacio_callas_pasolini.jpg

Jean Langoncet dit: à

À moins

rose dit: à

« MENTEUR COMPULSIF », UN « ESCROC »… SAM BANKMAN-FRIED, DE STAR DES CRYPTOS À PRISONNIER.

Rien à voir avec le voyou à la petite semaine, qui termine assommé dans une bagarre de bar : ici on a affaire a un mafieux, un vandale ; le mot est lâché : un escroc.
Il ne s’agit pas du même calibre.
Le voyou, son propre entourage trinque. Le vandale c »est beaucoup plus large.

rose dit: à

C’est comme cela que m’a raconté Maÿa.
Alors je lui ai parlé de Patrick Dupont.

Alexia Neuhoff dit: à

« Ce doit être Alexia Neuhoff »
Réponse  à l’extralucide :

« Je suis Madame Irma
Y’en a pas deux comme moi
Je prédis l’avenir
Mieux qu’un fakir
J’ai fait l’horoscope
De toute l’Europe
J’suis la princesse
Du show-business

Mes cartes et mes tarots
Ne veulent pas dire un mot
Et ma boule de cristal
N’y voit que dalle !
Les lignes de la main
Je n’y comprends rien
Mais j’sais par cœur
Les lignes de cœur ! »

Jazzi dit: à

Virer sa cuti à sens unique ?

Il est courant que d’anciens hétérosexuels supposés, mariés et pères de famille, affirment sur le tard leur homosexualité (j’en connais plein), rose, mais le contraire est beaucoup plus rare (je n’en connais aucun)…

rose dit: à

Oui Jazzi

Moi aussi j’en connais plein après avoir fait des enfants.

Et dans l’autre sens, je connais Patrick Dupont, cela me va bien.

Les filles aussi Jazzi, phénomène courant.

rose dit: à

Ce style gouailleur ne vous convient pas Alexia Neuhoff.
Dans la rue, je ne vous vois pas et la môme Piaf, c’est pas vous non plus.

D. dit: à

Jacques dit: à

…et j’aime beaucoup monsieur Vladimir Poutine, ce grand Héros de l’humanité qui nour rappelle, par ailleurs, les héros de l’Union soviétique de jadis.

Jacques, dit comme ça, c’est un peu choquant. Je dirais que c’est de l’humour au 8ème degré. Ceci-dit si comme dirigeant on me donnait le choix entre Poutine et Zelensky, je choisirais Poutine les yeux fermés. Parce que lui au moins est loyal. Entre autres qualités.

D. dit: à

Ce que beaucoup de commentateurs et commentatrices de ce blog pensent sans oser le dire.

D. dit: à

Si je donnelrs noms ça va encire faire des histoires. Je les donnerai un jour mais pas aujourd’hui.

rose dit: à

D’accord.
Mais vous, pour donner des noms, faudrait vous rouler sur la tête avec un tracteur.

et alii dit: à

Pinkas était le prisonnier numéro A17986. Il a réussi à survivre jusqu’à ce que le camp soit libéré par les forces alliées et a été le seul membre de sa famille à ne pas périr pendant l’Holocauste.

Après la fin de la guerre, et alors qu’il se trouvait dans un camp de réfugiés, la jambe de Pinkas a été amputée. En 1947, il se rendit dans ce qui allait bientôt devenir Israël où il commença l’œuvre de sa vie en étudiant l’art à Jérusalem. La première exposition personnelle de son travail a eu lieu dans la ville en 1949. Peu de temps après, il a abandonné le nom avec lequel il était né, se renommant officiellement Maryan S. Maryan.

Après une période de vie et de travail à Paris, Maryan et Annette arrivent à New York en 1962 sur un bateau appelé Leonardo da Vinci . Là, il a fait de l’hôtel Chelsea sa maison et son studio, avec Patti Smith , Robert Mapplethorpe et diverses sommités créatives new-yorkaises dans les salles adjacentes. Là, il a tenté de se réconcilier avec le traumatisme de son passé.
https://www.theartnewspaper.com/2022/12/19/the-story-of-maryan-the-polish-holocaust-survivor-who-expressed-his-trauma-through-his-art-is-finally-told?utm_source=The+Art+Newspaper+Newsletters&utm_campaign=5373569521-EMAIL_CAMPAIGN_2022_12_19_11_31&utm_medium=email&utm_term=0_-5373569521-%5BLIST_EMAIL_ID%5D

Jacques dit: à

Zelensky, un pitre de télévision élu président ! On devrait s’interroger le plus sérieusement du monde sur l’état psychique des électeurs ukrainiens.
Ça vote pour un clown et ça vient chialer après… Démerdez-vous maintenant avec le grand méchant ours, bande de mauviettes !

Janssen J-J dit: à

@ Kap Rice et Brice de Naysse,
votre biographie de jesse owens pour la prochaine super prod d’andré cayatte est fort intéressante. Combien lui avez vendu le script ? En 36, on disait qu’Hitler était ironique et le président US terriblement sérieux. Aujourd’hui on bénit Poutine et on crache sur la femme à Zelinski. Les gens sont cons qui viennent chialer ici sur la débine franchouillarde au rgby. De Rugie s’est reconverti dans la grande finance, c’est le sort de tous les écologistes éconduits après avoir mangé des langoustes.
Les bilans carbone de l’affaire sont de peu de poids face au caractère impeccable de l’organisation des jeux à Doha que tout le monde entier a regardés (comme le disait Etienne).
Bàv…, tout est si dérisoire icite et notamment les liens d’etalii ou les considérations métaphysiques de D. qui ne nous apprennent jamais rien d’utile.

Janssen J-J dit: à

je crois que guillaume dardenne avait viré sa cuti dans le bon sens, dans le film d’hélène et les garçons… mais je ne suis plus très sûr. Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ comme à l’accoutumée il dit une connerie et moi je serais excessif
ouij – mais pourquoi vouloir la corriger s’il vous fait marcher à grands pas ?

@ ___ je crois que guillaume galienne avait viré sa cuti dans le bon sens, dans le film d’hélène et les garçons… mais je ne suis plus très sûr. Bàv,

rose dit: à

D.
Vous n’avez rien à nous apprendre d’utile ?

Janssen J-J dit: à

Je me souviens que Leni Riefenstahl avait fantasmé sur j. Owens en 36 à partir de quoi elle fit un grand reportage photo sur les Nouba de Kau au Soudan, 50 ans plus tard. Cette femme était compliquée, moins caricaturale qu’on a bien voulu le dire.
Bàv, un lien, lcé, https://www.amazon.fr/Nouba-kau-Leni-Riefenstahl/dp/2842770382

et alii dit: à

je ne perle pas à travers mon chapeau, comme on dit au CANADA,à Montréal!

Bloom dit: à

‘Imagine no possessions…’

Foutaise.

https://www.countrylife.co.uk/property/kenwood-the-mansion-where-john-lennon-lived-at-the-height-of-beatles-fame-is-up-for-sale-168897

+ Ferrari
+ Rolls Royce
+ Dakota Building sur Central Park.
+ bed-ins dans les suites présidentielles des plus grands hotels new-yorkais…

Faut grandir, Langoncet. Le showbiz, c’est avant tout du business. The rest is a whole lotta tosh.

Dominic Sandbrook, 2015, ‘The Great British Dream Factory’, Part Four: British Culture and the Triumph of Self, Ch.11: Working-Class Heroes

renato dit: à

« D.
Vous n’avez rien à nous apprendre d’utile ? »

Il peut vous apprendre à piétiner le manteau d’une stagiaire.

vedo dit: à

Riefenstahl « compliquée » seulement pour qui a des idées simples. Un élan vital hors du commun. Une des grandes parmi les réalisateurs et réalisatrices. Utile de se mettre mentalement à sa place dans les années trente pour mieux appréhender. Le « Triumph des Willens »: extraordinaire cinématographie sur la transformation d’idéalistes en esclaves.

D. dit: à

Jamais rien d’utile, moi ?!
Je vous ai rappelé la réalité de l’Enfer.
Ce n’est pas pour vous, Rose. Vous êtes une excellente âme qui irez au Paradis.
D’autres ont beaucoup de souci à se faire. Mais il n’est jamais trop tard.

renato dit: à

« … s’il vous fait marcher à grands pas ? »

J’ai toujours trouvé plutôt machicots ceux qui confrontés à leur stupidité se justifient en disant qu’ils faisaient dans l’humour.

D. dit: à

renato, j’ai fait cela poyr son bien. D’ailleurs elle m’a remercié.

vedo dit: à

« La Belle Epoque » de Gisbert: il y a avait quelque chose de mieux avant, c’est vrai. Mais il est éclairant de revoir la fameuse séquence dans la conférence de presse de Pompidou sur l’affaire Russier. On mesure le temps. Et pour une correction salutaire sur le c’était-mieux-avant », revoir « Au Bon Beurre ». Hanin y est parfait.

renato dit: à

Eh… oui, remercié !

D. dit: à

Rose, je pense même que vous êtes meilleure que moi. Ceci témoigne de mon humilité.

D. dit: à

Petit Emmanuel de combat …

A la fin le tactile n’a pas pu s’empêcher d’aller tâter du muscle suant sous l’oeil attendri de sa maman.

vedo dit: à

Pour celles et ceux qui voudraient se (re)mettre au grec, « Vive le Grec » de Joëlle Bertrand. Presque comme avoir une professeur devant soi. Bien supérieur à d’autres livres du même genre. Elle a compris le truc. Dommage qu’elle n’ait pas fait plus.

et alii dit: à

BIOGRAPHIE/
Benjamin d’une fratrie de quatre enfants, le petit Roger a été élevé par un père français militaire et une mère juive ukrainienne, petite-fille de paysans. Ils se sont rencontrés dans des circonstances tragiques pendant la Seconde Guerre mondiale.
Ma mère, raflée par les Allemands en 1942
« Ma mère s’est fait rafler par les Allemands en 1942, mon père était prisonnier du travail, raconte-t-il plein d’émotion. Ils se sont croisés dans un camp de concentration en Allemagne. Ils ont eu le coup de foudre et se sont enfuis jusqu’à Bruxelles.
Alors qu’après la guerre, on renvoyait volontiers chez elles les femmes ukrainiennes, mes parents se sont cachés : il s’agissait de ne pas faire de vagues… » Ils lui demandent aussi de rester cloîtré, le privant ainsi d’une bonne partie de son enfance. Il prendra sa revanche à l’âge adulte en passant de l’ombre à la lumière comme il le dit lui-même : « Si j’ai voulu me montrer ainsi, c’est parce qu’on m’a demandé de me cacher quand j’étais petit. »
IL S ‘AGIT DE Plastic Bertrand qui sort son dixième album intitulé L’Expérience humaine. En pleine promo, Roger Jouret de son vrai nom s’est livré comme jamais au Parisien,

Jean Langoncet dit: à

@Imagine no possessions…’
Foutaise.

Précisément. Maintenant je vous invite à relire le discours de Poutine tel que rapporté par renato, son “projet” qui a , semble-t-il sans plaisanter, provoqué l’adhésion de certains commentateurs … quant à Lennon, vous ne l’auriez pas flingué pour avoir supposément trahi les idéaux qu’il avait pu faire naître, si ?

et alii dit: à

une inquiétude:Monsieur Charoulet a-t-il
Dictionnaire de la chanson en Wallonie et à Bruxelles, 1995;
il sait que je tiens aux histoires belges!

Jean Langoncet dit: à

@Dictionnaire de la chanson en Wallonie et à Bruxelles

De Lennon et de l’idiot utile. Un peu d’exotisme avec l’accent des Couenne brothers et cette scène :
– it’s like lenin said…
– I am the Walrus?

DHH dit: à

vedo
@je pense que s’il n’y avait pas eu le destin tragique de Gabrielle Russier,il n’y aurai pas eu de Brigitte Macron
avec l’Elysée qui a sa place dans la vie de l’une et dans la mort de l’autre

rose dit: à

attendri de sa maman.

Le pire de mon père : un cauchemar.
Le relire sous la plume d’un étranger.

Jazzi dit: à

« A la fin le tactile n’a pas pu s’empêcher d’aller tâter du muscle suant sous l’oeil attendri de sa maman. »

C’est l’un des privilèges de la présidence de la République, D. !
Macron en use avec modération et en pleine lumière.
La majorité des Français pense probablement que Macron est gay…
Ça ne semble poser aucun problème pour l’opinion publique.
Tant qu’il n’y a pas de scandale…
Tandis que ses prédécesseurs, toutes tendances confondues, troussaient le moindre jupon à leur portée de main, en toute discrétion…

closer dit: à

Absolument passionnant l’interview de Bensoussan mis en lien par Et Alii.

et alii dit: à

erlin 2011, Adolf Hitler se réveille au milieu d’un terrain vague. C’est sur cette scène insensée que s’ouvre  »Il est de retour », le premier roman de Timur Vermes. Dans son livre, sorti la semaine dernière en France, le journaliste allemand se glisse dans la tête du chef du IIIe Reich pour raconter à la première personne sa résurrection et sa découverte de la société allemande actuelle.  »Je n’ai pas du tout hésité à me mettre dans la peau de ce personnage, nous explique l’auteur. Au-delà des vérités historiques, je me suis attaché à ce que Hitler aurait voulu qu’on sache de lui. C’est son point de vue qui compte. »

Pour l’ancien Führer, devenu un quidam parmi d’autres, les débuts sont difficiles. Mais très vite, pris pour un sosie, il se retrouve engagé dans un show télé. Ses discours empreints de national-socialisme sur la grandeur et la décadence de l’Allemagne font bientôt de lui une nouvelle star, notamment célébrée sur You Tube. Obéissant au leitmotiv peu importe le fond, pourvu qu’on ait la forme, le monde des médias en prend ici pour son grade.  »J’espère que les jeunes lecteurs se poseront des questions sur cet homme sympathique et sur comment il a pu arriver au pouvoir. Hitler a été démocratiquement élu. Il était soutenu par la population allemande », rappelle Timur Vermes qui dresse ici le portrait d’un personnage très charismatique.
https://www.tf1info.fr/culture/il-est-de-retour-le-best-seller-qui-ressuscite-hitler-1550003.html

closer dit: à

Pas avec modération JB; il ne peut s’empêcher de tripoter les gens…

Clopine dit: à

Bon, ben pour la sexualité profonde de Macron, je dois bien dire que je m’en tape totalement, que je m’en fous, que j’en ai rien à battre voire rien à cirer. Et réciproquement, d’ailleurs. Par contre, en tant que président, il est juste le molosse de la bourgeoisie capitaliste, et c’est cela que l’histoire humaine (si elle survit à ce que notre système économique fait subir à notre planète), retiendra. Je suis désolée pour les erdeliens, gens fort sympathiques au demeurant. Mais moi qui suis prise dans le piège d’un attrait incontrôlé pour la culture bourgeoise, hélas, je ne peux m’empêcher d’être lucide sur nos hommes d’état. Et comme les femmes d’état sont aujourd’hui à la politique ce que Yourcenar était à la littérature, à savoir un décalque du masculin, je réserve mon opinion.

Jazzi dit: à

« Les filles aussi Jazzi, phénomène courant. »

Les femmes sont plus facilement bisexuelles, rose.

Janssen J-J dit: à

je suis navré de votre jugement au sujet de mon humour qui ne serait guère plus qu’une habile justification pour m’exonérer de mes stupides conneries… Je crois en vérité que c’est plus compliqué, et que le vôtre, à l’écrit, est difficile à percevoir au point de soupçonner que vous pourriez en être totalement dénué. On me cherche aussi du côté de la simplicité de mon honneur toujours mis à mal (voir LR).
Mais pour qui se prennent-ils tous : des importants utiles à la musique de chambre ?
Bàv,

Janssen J-J dit: à

machicot ?

Jazzi dit: à

« il ne peut s’empêcher de tripoter les gens… »

C’est un peu vexant pour Brigitte, mais toi tu ne risques pas qu’il te pince les fesses, closer…
Où est le drame ?

Janssen J-J dit: à

@ je ne peux m’empêcher d’être lucide sur nos hommes d’état.
Et votre lucidité saurait faire le tri entre eux ?… Après leur mort ou de leur vivant en plein boulot ?Lesquels mettriez vous au dessus du panier, au juste ? merci drlcé, bien à vous,

Jazzi dit: à

Et pour les femmes d’états (oui, oui, il y en a eu), tu en penses quoi, Clopine ?

rose dit: à

Machicot = endive.

C’est wallon.

et alii dit: à

Les femmes sont plus facilement bisexuelles, rose
je me demande si elles en sortent jamais! et siv,l »‘age venant,elles ne s »y precipitent pas preven
tivement

Janssen J-J dit: à

j’ai vécu passionnément toute l’histoire de la 5e rpéublique, je ne vois pas pourquoi j’irais me fader celle de fog alors que la mienne est bien plus riche que la sienne… Cet homme a sans doute besoin d’argent, et de laisser ses souvenirs professionnels aux gogos qui ont cru en ses bobards, il pense avoir quelques scoops à tirer de derrière ses fagots. Assurément je suis las des souvenirs de tous ces journalistes, les elkabach, gicquel, giesbert, julies, les duhamelles, chabot, sinclair, okrent, etc qui se croivent tous obligés de se prendre pour annie ernaux… Je ne peux plus et n’ai jamais pu les supporter. Mis à part Charles Enderlin. Bàv,

rose dit: à

tendances confondues, troussaient le moindre jupon à leur portée de main, en toute discrétion

Pour Chirac c’était sans discrétion aucune. Une « tente » à part (un car ?) était affrêtée par un individu dévolu à cela lors de chaque déplacement de Chirac.
Quant à Mitterrand n’en parlons pas, la honte de la gauche le début de la dégringolade programmée.

P.S non seulement je ne pense rien de la sexualité de Macron mais en plus cela m’indiffère au plus haut point.

rose dit: à

Si elles en sortent jamais

Mais de quoi donc ?

renato dit: à

Machicot : par analogie avec « bas officier de chœurs de l’église Notre-Dame de Paris », « mauvais chantre d’église; incapable, imbécile ».

Janssen J-J dit: à

Machicot = endive.
___
Donc…, il faisait plutôt référence à D. ou à jissé.
Lesquels ont quand même droit à de l’humour russe, non ?

Jazzi dit: à

« Mais de quoi donc ? »

De la bisexualité, rose.
Il faut tout lui dire !

Paul Edel dit: à

Rose, j’ai suivi une campagne électorale de Chirac, sans le quitter d’une semelle du matin jusqu’au soir,avec souvent retour à la Mairie de Paris à deux heures du matin.. et rien de ce que vous affirmez je ne l’ai constaté: « Une « tente » à part (un car ?) était affrêtée par un individu dévolu à cela lors de chaque déplacement de Chirac. » . d’où tenez vous ça? Marre du n’importe quoi.

renato dit: à

Appeler humour la stupidité c’est d’un chic !

Jazzi dit: à

Et Hollande et Sarko, du même tonneau, rose.
Le pouvoir excite !

Janssen J-J dit: à

elle aura confondu avec feu le chef de l’Etat lybien en villégiature à Paris, complaisamment invité par le prsdt nicolas sarkoz-ybrunie, voilà toute l’histoire de la 5e !…

Janssen J-J dit: à

Appeler humour la stupidité, c’est d’un chic !

Non, non, c’est juste réducteur, vous ne savez pas lire ?… il faut tout lui nuancer,

Jazzi dit: à

Et j’oubliais Giscard !

Pour la tente, rose doit confondre avec Kadhafi, Paul ?

C’est comme cette histoire de coeur brisé de la Callas.
Tout Rome, et bien au-delà, savait que Pasolini était pédé.
Toujours ce fantasme de la convertisseuse sexuelle, qui transforme les homos en hétéros !

Phil dit: à

la convertisseuse sexuelle

sexe à piles

renato dit: à

Vous comprenez tout au 1/4 de tour 3J, et ça c’est largement suffisant pour le prestige des lieux…

Cela dit, un ami français qui savait réellement manier l’humour, m’a un jour dit qu’un président qui n’aurait pas eu la renommée de détrousser le moindre jupon ne serait pas crédible comme président —

Bloom dit: à

le journaliste allemand se glisse dans la tête du chef du IIIe Reich pour raconter à la première personne sa résurrection et sa découverte de la société allemande actuelle.

Simon Leys avait déjà fait le coup avec La Mort de Napoléon, le Martin Guerre du riche.
Il fut un temps où la survie du petit peintre viennois était le marronier estival des magazines de sous-histoire du type ‘Historia’.
L’Hitler au petit pied, c’est Heinrich XIII, Prince de Reuß & ses Reichsbürger…Ceux qui entendent le coeur de l’Allemagne battre au fin fond de la Forêt Noire.
Qu’on leur coupe la tête!

Bloom dit: à

sexe à piles

AC/DC

renato dit: à

L’histoire est documentée, Jacques, par 10 poèmes de PPP, même. Callas aurait mal interprété les mot de PPP ou lui aurait ouvert maladroitement des perspectives comme le suggère quelques vers in Transumanar e organizzar ?

renato dit: à

motS

Jacques dit: à

Quand tu baises, baise à fond, surtout si tu es président.😂

Jean Langoncet dit: à

@– it’s like lenin said…
– I am the Walrus?

https://www.youtube.com/watch?v=-eDOJ4L0Edk

Bonne soirée à celles et ceux qui fantasment sur les gens de pouvoir ; oui, ils et elles ont aussi une vie sexuelle voire amoureuse … de l’infini à la portée des caniches, quoi

renato dit: à

vous trouverez des détails

rose dit: à

Renato
Deux choses.
G commencé à le lire, je comprends tout.
La prof.de Nancy a bien souligné qu’il n’y a pas de texte dans l’Évangile selon saint Matthieu, parce que le texte c’est celui de l’évangile.

closer dit: à

Le drame, c’est qu’il ridiculise la fonction de président JB, tout simplement.

Jazzi dit: à

« vous trouverez des détails »

Quelle horreur, renato !
Je ne veux pas voir papa baiser maman…

Janssen J-J dit: à

@ un ami français qui savait réellement manier l’humour,
et son histoire vous a fait rire ?… tchin’ / ils n’avaient pas les mêmes valeurs, apparemment…

rose dit: à

Renato

La seconde chose
Dans sa vie « raccourcie »par le drame de son assassinat, Pasolini après ses premiers films a très vite décidé de se tourner vers les mythes grecs. D’où son intérêt pour Médée et autres.

Moij. une seule chose m’interroge sur Pasolini : son inouïe modernité.

rose dit: à

closer dit: à
Le drame, c’est qu’il ridiculise la fonction de président JB, tout simplement.

Sur cela.
Pour les autres, ils anéantissent leur fonction de président.
Hollande qui va baiser en scooter avec son casque.
Mitterrand qui entretient une maîtresse à Gordes.

Depuis De Gaulle, nous, le peuple, on se tape la honte face à nos présidents.
Vous me direz Berlusconi en Italie, Bolsonaro au Brésil, vous n’aurez pas tort.

Janssen J-J dit: à

icite on mélange tout : jacques-alias JC ou jissé de porquerolles ; Jacques Barozzi (jazzi ou jzman), et JB -jibé) qui était un gentil prof d’histoire sis en Auvergne qui a disparu de la circulation peu après la mort de Christiane avec laquelle il aimait à s’entretenir. C’est ianch, toute cette confusionnite cacophone, ça diminue le prestige de l’ensemble. Bàv,

Janssen J-J dit: à

sans compter tous.tes celzéceux qui viennent foutre leur merde exprès, plutôt qu’à s’en tenir au billet du jour. Genre… marie ta fiole !

rose dit: à

Paul

On me raconte beaucoup de choses.
Et je ne suis pas du genre à colporter des faits qui ne seraient pas véridiques.
Aucun lien avec Khadafi bien entendu.

La personne en question était assez assommée par les faits : Chirac était un baiseur, les femmes lui sautaient dessus et en déplacement, il y avait un lieu prévu pour les sauteries du Président.

Maintenant, pour les sources, vous me pardonnerez.
Et ce n’est pas mon genre de propager n’importe quoi.

rose dit: à

Christiane est en pleine forme, lit toujours beaucoup et bloggue chez Soleil Vert

Janssen J-J dit: à

Donc, il était une victime consentente des femmes qui lui sautaient dessus ? Toujours la même histoire, en somme. Et Bernie-maman était d’accord pour qu’il tactile quelques chattes au passage ?…
Qu’en dit la biographie de gisbère sur chirac, au juste, closer ? nrplcé, merci.

Jazzi dit: à

Est-ce qu’elle nous lit, rose ?

rose dit: à

Je fais trop cela, jazzi.
Oui les femmes aiment les hommes puissants et les hommes cultivent cet aéropage autour d’eux.

Et j’ai trop peur que les enfants -adolescents-tout juste de l’enfance soient encore fascinés par ce pouvoir, jusqu’à ce qu’ils réalisent cruellement qu’ils ne sont que consommés par des prédateurs féroces et affamés.

Phil dit: à

Est-ce qu’elle nous lit

Pas sûr que les convertisseuses sexuelles la branchent. Solyent Green ressucite les blogueuses calcinées du prestigieux passou

Jean Langoncet dit: à

@Est-ce qu’elle nous lit, rose ?

Si c’est une question que vous adressez aux commentateurs de la RDL : bien sûr que non ; sinon pour alimenter sa logorrhée et marquer de son empreinte ce qu’elle se figure être son territoire

rose dit: à

Maintenant Paul, on a pu me raconter des conneries.

rose dit: à

Jean Langoncet
Vous m’avez l’air bien frappé.
Allez, d’autres tâches m’appellent et bien de vos préoccupations, la bisexualité des femmes, des hommes etc. m’indiffèrent grandement.
Mon territoire, immense, est bien ailleurs.
Hé non Christiane n’est pas calcinée ; elle est même brillante comme d’hab.

Jean Langoncet dit: à

@Allez, d’autres tâches m’appellent

Du syndrome du pissat de guenon (il affecte tous les genres) et de l’emploi de son temps ; la même ce matin : “Bonne journée mes petits chéris. Beaucoup de taf.”
Trêve des confiseurs oblige, mes petits chéris, foin des boulets

renato dit: à

Rose, Pasolini dit en 1963 : « Mon idée est la suivante : suivre l’Évangile selon saint Matthieu point par point, sans faire de scénario ni de réduction. Le traduire fidèlement en images (ai souligné), en suivant l’histoire sans omission ni ajout. Même les dialogues devraient être strictement ceux de Saint Matthieu, sans une seule phrase d’explication ou de liaison : car aucune image ou aucun mot inséré ne peut jamais être à la hauteur poétique du texte.
C’est cette hauteur poétique qui m’inspire si ardemment. Et c’est une œuvre de poésie que je veux réaliser. Il ne s’agit pas d’une œuvre religieuse au sens actuel du terme, ni d’une œuvre à caractère idéologique. »

De Pasolini vous pouvez consulter Per il cinema, Milano, Mondadori

Pour le vinaigre je me referais aux Évangiles de Marc et Matthieu : les soldats (ou plutôt « certains des présents ») veulent faire un geste de pitié, peut-être pour apaiser la fièvre traumatique produite par le percement des clous et la douleur causée par le poids du corps suspendu. Mais dans le texte il y a une légère ironie de la part des soldats, qui interprètent le cri hébreu « Eloi, Eloi, lemà sabactàni? » non pas comme l’invocation « mon Dieu, mon Dieu, etc. », mais comme le nom propre d’Elie. Ils pensent donc que Jésus invoque le prophète Élie pour qu’il vienne le sauver et ils disent, sarcastiquement, qu’ils attendent de voir si Élie viendra, sachant très bien que personne ne viendra. Ils semblent donc se moquer des hallucinations visionnaires de l’homme mourant sur la croix qui se croyait le messie sauveur et qui, au contraire, n’est sauvé par personne. Mais ils essaient néanmoins d’étancher sa soif et de le consoler avec un peu de vinaigre rafraîchissant et désaltérant.

Tandis que selon Luc, les soldats se moquent de Jésus non seulement avec des mots mais aussi en lui offrant du vinaigre en guise de moquerie, offrant à celui qui se croit le Roi Messie une boisson populaire de peu de valeur (Luc fait allusion au sens du Psaume 69,22*).

Pour Jean, les soldats qui exécutent la sentence sont ceux qui agissent pour l’accomplissement de l’Écriture sous divers aspects et aussi en ce qui concerne le vinaigre. Dans ce cas, Jésus dit « j’ai soif » (voir encore le Psaume 69,22) et après avoir reçu le vinaigre, il ajoute « c’est accompli ». On suppose, d’après le texte, que le vinaigre est apporté par les soldats qui, toutefois, dans le cas de cet évangile, n’expriment pas une attitude particulière, ils semblent être de simples serviteurs qui s’exécutent, comme ceux des noces de Cana, agissant en réponse, compatissante bien sûr, au besoin que Jésus exprime en disant qu’il a soif.

* Psaume 69.22 — Ils mettent du fiel dans ma nourriture, Et, pour apaiser ma soif, ils m’abreuvent de vinaigre.

Jazzi dit: à

JL, je demandais à rose si Christiane nous lisait.

Janssen J-J dit: à

mais tout le monde avait compris, jzmn. Et il a dit non, elle ne lit que chez le soleil vert et continue d’y écrire avec talent. Je sais bien qu’elle n’est pas morte, mais elle l’est pour la rdl. A force d’avoir été harcelée par jzmn et marie sasseur/walden notamment, elle a dû s’enfuir… JB, MT et moij avons toujours regretté son départ définitif. Mais depuis l’aventure de CT, nous savons tous que rien n’est définitif, après la chute au plus profond, il y a toujours un envol icarien avec une colle beaucoup plus résistance au soleil. C’est notre espoir à tous.tes, Bàv.

Janssen J-J dit: à

… pmp, je n’avais jamais imaginé que cette histoire de vinaigre put être un répit, un réconfort pour le crucifié assoiffé durant son agonie, alors que j’avais toujours imaginé, au contraire, une saloperie sadique purement gratuite de ses bourreaux. Bon, mais est-ce si important quand on sait que ce personnage fut inventé de toutes pièces, d’après un abbé du 17e siècle et son relais actuem, Michel Onfray ? Bàv,

Janssen J-J dit: à

Christiane ? il n’y en a qu’une et on parle tous de la même, abruti demeuré ! tu suis pas ou ouak ? depuis la défaite de papy des champs ? –
On vous dit qu’elle est pleine d’entrain, blogue ailleurs (chez SV et PE parfois), n’est en rien calcinée, n’a que foutre des histoire de lesbiennes sur cette chaine et à pkrl, elle vous emm… un brin. Là.

Janssen J-J dit: à

@ les hommes cultivent cet aéropage

…j’ai toujours apprécié ce terme vague à bon, surtout dans les aéroports avant de m’envoler à l’apéro ou à l’opéra pour me mettre à la page. Bàv,

Janssen J-J dit: à

ils nous ont appris à faire des associations libres sur le divan.

Janssen J-J dit: à

Je dois bien avouer n’avoir jamais vu sa tête… Elle a encore de beaux restes… pour sûr. Mais il faudra attendre la confirmation de jzmn qui un jour la rencontra aux obsèques d’un célèbre erdélien, avant de « casser » définitivement leur bonne entente… Nous comptons néanmoins sur sa mémoire visuelle. Merci d’avance pour elle,
https://fr-fr.facebook.com/christiane.parrat.5/

Jazzi dit: à

Non, ce n’est pas cette Christiane là, JJJ.
La notre a un physique qui ne s’oublie pas…
Vous oubliez aussi les belles empoignades qu’elle eut avec Clopine !

rose dit: à

Jazzi

Je n’ai plus l’adresse mail de Christiane mais je vais la recontacter.

rose dit: à

Janssen J-J dit: à
mais tout le monde avait compris, jzmn.

Eh bien non, justement.
La hargne en bouffe certains : ?

rose dit: à

Renato
Le vinaigre je ne me prononce pas.

Le texte, Pasolini l’a lu d’une traite chez qqu’un précisément. Il a été ébloui. N’a songe ensuite qu’à le filmer.

Pour le poids du corps sur la croix. Ai beaucoup réfléchi et regardé : il y a un morceau de bois épais pose en travers sur lequel reposent les deux pieds cloutés. Sans ce bout de bois, tout le corps serait arraché vers le bas.

rose dit: à

Je ne prendrai pas partie, ni pour Clopine, ni pour Christiane.

Je note toutefois qu’il m’apparait vraisemblable que l’on puisse douter de Christiane tant ses capacités sont immenses.
Elle est une femme d’exception et Lavande aussi. Les perdre est une grosse perte.

Jacques dit: à

Cet ivrogne JJJ, il tombe toujours dans le panneau et il mord facilement et bêtement à l’hameçon, pauvre poivrot.

Janssen J-J dit: à

@ au temps pour moi si tout le monde n’avait pas compris. Il n’y a pas vraiment de hargne. Merci jzmn d’avoir disculpé cette innocente personne. Du coup, je reste sur ma faim rapport à « son physique qui ne s’oublie pas » (sic). Mais bonj il y a tellement de frustrations sur cette rdl, que c’est pas nouveau, hein ?
NBàv,

Jazzi dit: à

J’ai rencontré Christiane plusieurs fois et longuement, JJJ.

J J-J dit: à

Ben voyons…, c’est moi le cocu du bartabac des soulograftes de pkrl, ast’heure !? l’est bin bonne, celle-là ! Couché au pied, vous dis-je, à la nichte !

Janssen J-J dit: à

Je le sais jzmn, ce qui ne nous dit pas comme elle est physiquement… Sauriez-vous nous la dépeindre, lcé ?

renato dit: à

On ne voit pas ce bout de bois dans toutes les crucifixions, rose, comme on ne voit pas toujours des clous, parfois des cordes. En tout cas, après un temps plus ou moins long (des heures ou des jours, selon l’état de santé du condamné, car comme dit Origène : « Ils vivent avec une douleur extrême parfois toute la nuit et encore toute la journée ») ce bout de bois ne soulage pas le corps de son poids.

Jazzi dit: à

Vous voulez aussi ses mensurations, JJJ ?

Jazzi dit: à

J’ai aussi rencontré longuement, rose, DHH, Clopine, Chantal et Cécile (la Margotte de Paul Edel).
Il vous faut aussi leur portrait en pieds, et en public, JJJ !

(je ne désespère pas de prendre le thé un jour avec et alii ou Marie Sasseur et offrir un café à B, chez moi, où vécurent jadis ses parents communistes…)

D. dit: à

Noël au bacon, Pâques aux rillons.

Jazzi dit: à

Noël aux tisons, Pâques au balcon, D..

D. dit: à

Le ciel m’a exaucé : de la pluie ☔ !
Pour longtemps !
Je vais pouvoir sous la pluie danser nu dans les bois de Chaville.

Jazzi dit: à

« Je vais pouvoir sous la pluie danser nu dans les bois de Chaville. »

Je ne donne pas cher de ta peau, D., tu vas crever de froid !

rose dit: à

Chez Pasolini, on le voit.

Soleil vert dit: à

Diacritik : toute la partie concernant la lecture comparée de Céline et Proust est remarquable (ce qui précède est de l’ordre de l’idolâtrie). Le Temps est celui de la langue évidemment. Si l’on veut parler de la thématique du Temps, il faut évoquer Bergson et Einstein, ses contemporains. Géniale, la façon dont Proust dénature l’incipit pour le transformer en une phrase bancale flanquée de deux « que ». Oui, par instant Proust écrit mal.

rose dit: à

Pas concernée je ne suis pas le Christ, pas victime et ma nature profonde est habitée par la joie.

Enlever le morceau de bois c’est permettre à celui/celle qui jouit de raccourcir sa jouissance. Pourquoi faire puisque cela le/la nourrit ?

DHH dit: à

@Jazzi
Evidemment si vous obtenez ces R-V autour d’un thé avec Marie Sasseur ou/et Et alii on compte sur vous ^pour ne pas dire les vrais nom de celles d’ici que vous avez rencontrées

MC dit: à

Langoncet, « l’apôtre de la phrase creuse » ( PE dixit) se moque de Christiane. Question ;Lequel des deux suscite le plus d’ennui et à le moins de talent?

D. dit: à

Moi je sais.

D. dit: à

C’est cricri, mais talonné par jeannot.

D. dit: à

Parfois il lui passe devant.

Marie Sasseur dit: à

Votre doyenne deachach spécule sur une éventuelle virée au cimetière, je présume.

Je vais te la lui faire passer son envie de thé.

https://youtu.be/ngC3aaOUbTI

Janssen J-J dit: à

@ jzmn, si vous avez rencontré Marie Sasseur -et… comme vous avez le bon gout tactile de mensurer les femmes nues de l’herdélie sans aller plus loin pour attenter à leur pudeur-, pourriez-vous nous dire si elle bat des records par rapport aux autres erdéliennes traditionnelles, et lesquels ?… On ne vous demande pas de divulgacher son nom, bien évidemment, d’autant que tout le monde le connait. Màv, lcé.

Jacques dit: à

À quoi sert le football ? À glorifier les prophètes du ballon rond et à sanctifier le Messi argentin.

Bloom dit: à

Pour changer de paysage mental, Le Monde propose une selection intéressante de livres sur les « spritualités orientales » et notamment sur le jaïnisme & le shintoisme.
Il y a bien des lunes de cela, ma meilleure amie bengalie, dont le prénom siginifie « poésie », était jaïn . Elle a épousé un hindou de Calcutta appartenant à la même ethnie trans-religieuse, les Marwari.
Son marriage à Patna (Bihar)fut une somptueuse affaire. J’ai conservé le carton d’invitation, illustré d’une ‘swastika’ en relief dans le sens contraire de la supercherie nazie. Quand on veut faire tourner la roue dans le mauvais sens, les puissances à l’oeuvre dans le cosmos opposent leur dharma & triomphent du Kali Yuga.

Seule réserve, la légende de la photo illustrant l’article & qui montre un moine bouddhiste indique que Si Saket est au Laos, alors que cette petite ville, bastion historique du Pathet Lao communiste, est en Thaïlande dans la province d’Isan, la plus désheritée du pays, rare lieu que les touristes ne visitent pas.

Janssen J-J dit: à

mais caisse qui lui prend, ce matin, au meurtrier de ses trois enfants ?… Serais ravi de le rencontrer sur le pré en lui laissant le choix des armes… Mais va t il pouvoir débarquer sur la côte avec sa chaise roulante aux pneus crévés ? Ferait mieux de rester à la nichte, m’est avis, lui rest’ pu beaucoup de temps. Couché, vous dis-je !
(***car qui danse à Chaville n’a jamais froid)

Bloom dit: à

Chaville, où réside Peter Handke, Autrichien en exil.

et alii dit: à

LE NEW YORK TIMES SE FAIT RAMASSER POUR SA GRILLE DE MOTS CROISÉS EN FORME DE SWASTIKA EN PLEIN HANOUCCA.

lmd dit: à

Quel est le qualificatif exact d’un blog dont les commentaires n’ont pas d’autre objet que l’évaluation des commentateurs eux mêmes?

vedo dit: à

@DHH, l’opposition entre les situations de GR et BM est un marqueur étonnant de la différence des époques, mais est-ce que la première a eu un impact sur l’acceptation de la seconde? Je crois plutôt aux grandes évolutions et à leur force dont des situations particulières sont les marques. C’est un sujet qui a été abordé ici, il y a plus d’un an il me semble,–avec une intervenante de Hambourg- à propos d’Effi Briest, que j’interprétais surtout non pas comme une héroïne mais comme un symbole, un levier pour représenter la société prussienne de cette époque. Je comprends cependant que le monde de Fontane n’est pas le votre. (C’est un auteur qui me ravit malgré son nationalisme–sa description de sa visite à Strasbourg en 1871 plonge de manière spectaculaire le passé dans le présent). Dommage que je ne puisse pas vous rencontrer.

Clopine dit: à

Je ne connais rien de plus semblable à un cercueil qu’un téléphone portable. Les dimensions sont similaires, et le cri qui s’en dégage ressemble en tout point au « de profundis clamavit ». Enfin, pour bibi, hein…

Marie Sasseur dit: à

Et rien sur le bouquin d’oncle wolf ?

DHH dit: à

Effectivement je me souviens de cette discussion;*je me souviens que ,comme vous, je ne voyais pas comme sens à ce roman l’histoire, bien conduite certes , d’une Bovary prussienne , mais a travers cette histoire le sujet principal etait le procès d’une société empêtrée dans un code imbécile de l’honneur qui finira par déchirer l’héroïne et anéantir une famille .

DHH dit: à

@Vedo
mon mail precedent s »adresse à vous

DHH dit: à

ls cods de l’honneur sont ravageurs des vendetta corses au grand frere turc qui tue sa soeur parce qu »elle a une liaison ou aux parents qui tuent leur fille(un cas que je connais)parce qu »elle va avoir un enfant hors mariage
lorsque j’étais prof c’est un éclairage que je donnais à l’analyse du Cid ,qui s’étudiait à l’époque en quatrieme

Jean Langoncet dit: à

@MC dit: à
Langoncet, « l’apôtre de la phrase creuse » ( PE dixit) se moque de Christiane. Question ;Lequel des deux suscite le plus d’ennui et à le moins de talent?

Plaît-il ?

Janssen J-J dit: à

@ CT, pmp, je ne connais rien de plus semblable à un cercueil de jissé qu’un téléphone de jissé.

@ Sinon, lmd, j’ai pour habitude de nommer ce genre de blog d’auto-épistémologique. Et je vous annonce que ma femme et mes enfants sont en pleine forme, pas comme ceux de pkrl, envoyés par 36 m de fond au temps jadis, lors d’une mémorable beuverie de leur père (?) qui s’arrangea pour maquiller ce meurtre en axi-dent’elle. Très fort, ce type à la mentule pourrave, mais un jour, la justice immanente fera son boulot, à défaut du robot. Couic 😉 A la nichte, assassin !… et cesse d’aboyer de loin, va cuver ta vinasse dans la soue d’à côté ! – Bàv,

(j’espère que le public apprécie le guignol et le gnafron, oui !)

Janssen J-J dit: à

On parle bcp de chapons pour les fêtes, comme d’un mets suprême sur une romanée conti. Je n’en ai jamais mangé ni bu. Qui a ? et quoi ?…
Plait-il, again !

Janssen J-J dit: à

@ les commentaires n’ont pas d’autre objet que l’évaluation des commentateurs eux-mêmes

ne suis pas sûr de bien comprendre, mais la remarque est a priori plaisante voire signifiante… Au moinss, le commentarium de ce blog s’assume pour ce qu’il est : original, fgarfelu, terriblement passionnel et injuste, assidument lu, hétéroclite, (anti)communautaire, et… à nul autre bordélique pareil. Il ressemble à son époque au point qu’elle l’épouse. Il constituera d’évidence un modèle d’architecture virtuelle incontournable pour l’avenir de l’histoire de la littérature collective… toujours in progress et on line. Voilà pourquoi nous y participons, malgré nous et par assentiment rétif, celzéceux, tous et toutes.
Bàv

Janssen J-J dit: à

@ Et rien sur le bouquin d’oncle wolf ?

Il y aurait déjà beaucoup à dire sur l’auteure de cette remarque dont on attend passionnément sa lecture d’après olivier ma nonnie… IL est vrai que l’opus est assez cher, mais pourquoi ne pas se l’offrir à noël, c le prix d’un chapon, et sans doute beaucoup plus digeste que ferdine dans le texto. Hein ! pas vrai, ma pusse ?
Bàv

Janssen J-J dit: à

@ RB, vous souvenez-vous de ce roman magnifique de J. Tanizaki paru au Japon dans l’entre deux guerres, et qui nous faisait une apologie maléfique d’un lesbianisme échevelé ?… Il suscita d’ailleurs pas mal de vocations en occident. il fut traduit par de R de Ceccaty… Il s’appelait SVASTIKA, comme une roue qui tournerait dans le sens convenable. Je viens d’en retrouver un petit CR frelaté pour mémoire, à celzéceux, mais qui reste assez fidèle à mon souvenir –
(Dans Svastika, à l’image du symbole religieux, quatre personnages composent chacune des extrémités d’une croix en mouvement autour d’un axe fixe qui représente le désir. Sous la forme d’une longue confession, Sonoko, la narratrice, revient sur les péripéties d’un amour aussi destructeur que violent. Lasse d’une vie conjugale sans relief, elle s’éprend de l’émouvante beauté de la jeune Mitsuko et en tombe bientôt éperdument amoureuse. Mister Husband, son mari, et Watanuki le prétendant bien efféminé de Mitsuko, entrent à leur tour dans une spirale infernale où les manipulateurs sont manipulés, tandis que les liens qui se tissent entre eux sont faits tantôt d’amour, de jalousie ou de trahison et vont les conduire à la mort »…
Bàv,

D. dit: à

Bloom dit: à

Chaville, où réside Peter Handke, Autrichien en exil.

Ben oui je le croise tout le temps.

D. dit: à

Ma maison n’est qu’à quelque numéros de la, sienne dans la rue Barbet-de-Jouy. Rhaaaah j’en dit trop.

Janssen J-J dit: à

sur le tard, mon ancien prof de science po, BB, d’une intelligence torrentielle analogue à celle de pierre hassner, en est venu à se faire l’expert de l’enfonçage de portes ouvertes. Je le regrette, mais après tout, il n’est pas le plus mauvais… Et quand on vieillit, on peut bien se permettre d’évoluer dans des cercles un peu différents de ceux de l’université préservés des medias de masse. Voir ceci, lcé…
https://www.sudouest.fr/international/europe/ukraine/guerre-en-ukraine-les-effets-inedits-d-une-guerre-mondialisee-assure-bertrand-badie-13314367.php,

Janssen J-J dit: à

@ 1/ ce n’est pas mon genre de propager n’importe quoi. (???) 2/ Maintenant Paul, on a pu me raconter des conneries.

m’enfin quoi ?… j’M bien, quand on se retracte, pétri.e d’un doute…, c’est la noblesse des erdélien.nes. Ne pas enfoncer, ne pas s’enfoncer, passer les éponges sur les peaux de chamoises… et hop ! – Bàv,

Jacques dit: à

…un EHPAD…

Janssen J-J dit: à

JJJ a dû toucher quelque point sensible chez notre ami pour ainsi déclencher sa fureur… Intéressant ! en pluss, il nous fait une pub d’enfer, une fois s’être vomi l’HEPAD. Hurk, hurk hurk comme disait l’autre qui tirait des balles réelles sur son ambulance. Que des taches, vous dis-je !… à la nichte, Raf !

vedo dit: à

Merci DHH. Bien noté.

DHH dit: à

@D
oh que vous habitez bien !

Jacques dit: à

Gigi la visqueuse aime bien fourrer son nez dans les commentaires des autres mais dès que quelqu’un commente ses conneries, elle se froisse la Gigi, elle fait sa pute, elle se vexe la salope, elle se dévoile la répugnante et hideuse créature.
Ta gueule la Gigi, couche-toi et mords ta propre queue vieux clébard.

Janssen J-J dit: à

/// ma femme et ma fille répondent souvent à ma place à vos commentaires… On se partage le boulot en général, elles rigolent bien, ça les amuse, le soir… et cela me repose à l’apéro, devant les matches de hokey sur les maudits gazons. Elles me le signalent…, quand un commentaire devient vraiment intéressant.
Serviteur(es). D’autres questions, peut-être, de la nichte ? Maman vous a-t-elle donné vos croquettes au royal canin ? A dû oublier…, vu les crocs. Soyez gentil avec elle, voy’hons…
Bàv,

et alii dit: à

exil?
Régis Debray connaît bien le mot de Blaise Pascal, qu’on fait apprendre par cœur aux jeunes hypokhâgneux, pour canaliser leur fougue de néoconvertis au souffle des lettres : « Le moi est haïssable ». Plus qu’un avertissement à de jeunes étudiants, cette ode à une littérature qui ne soit pas autocentrée et bavarde a guidé bien de vénérables écrivains. Lui, par exemple, « vieux con né en 1940 » a toujours fait sien ce credo. C’est que, avec la pudeur des vieux briscards – capables de parler de tout sauf d’eux – l’écrivain a toujours retardé ce moment où il allait être amené à parler de lui.

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Jacques dit: à

Et en plus elle ment comme elle respire la pauvre Gigi.
Tu es tout seul dans ton misérable réduit, personne ne t’appelle depuis des lustres, seules les ombres de ta propre déchéance t’accompagnent, seuls les fantômes de ta glauque misère te torturent et bientôt la terrible Camarde te terrassera et t’écrasera comme on écrase un répugnant ver solitaire.
Épave rouillée, cerveau handicapé et corps paralysé, tu ne sors jamais de ton sombre terrier et tu traînes le cortège de tes cauchemars vers un néant sordide qui couvrira ta face de rat quand tu crèveras.
(Gigi la fieffée masochiste adore les coups de fouets que je lui assène et elle en redemande la petite salope).

et alii dit: à

Soudain, vous êtes frappé d’une illumination : si vous jouez le mot « boche », vous l’emporterez avec 12 points supplémentaires. Vous alignez vos 5 lettres sur le plateau avec gourmandise, convaincu d’avoir triomphé. Mais votre adversaire conteste votre victoire, avançant que le terme employé est péjoratif et xénophobe.

Vous n’en revenez pas : depuis quand, au Scrabble, se soucie-t-on ainsi de la signification du mot disposé sur le plateau ? En farfouillant dans les règles du jeu, vous réalisez pourtant que votre compétiteur a raison : dans la nouvelle version du Scrabble, que vous avez acheté pour l’occasion, cette insulte n’a plus droit de cité. Le mot vous est refusé. Vous perdez la partie
https://www.lexpress.fr/societe/le-scrabble-en-voie-de-wokisation-boche-poufiasse-les-nouveaux-mots-interdits-5U7OX4CWLFFJDGJJSLPUG45OFQ/?m_i=04qknEmC7pHS%2BcQZzo2YctsBrZ6lCthD9BmeYdtLkDTuoF_HzkxDwQ%2B0g_5AE736nRx0FP08Oc3Lx6mwAbRrLVWF8oHOM6&#xtor=EREC-5240-%5BNL_le_debrief%5D-20221220&utm_source=lexpress&utm_medium=email&utm_campaign=5240-%5BNL_le_debrief%5D&utm_content=EREC&utm_term=_&m_i=LKHon3%2BB_M7Shc8wArCIxo6domWERZ9wsHuUtJKr8wL%2BjBhpDjhYVgsggnCYYlRBmn%2BDxcSGb%2BhFRSHa8TroI5iO2sqmY_&M_BT=626038538462

et alii dit: à

Mais ils me confient ensuite qu’ils ne supportent pas tel cousin “relou” ou tel oncle “facho” – pardonne-moi, Rica, ce peuple a ses locutions intraduisibles. En peine d’arguments, ils évoquent alors le plaisir qu’éprouvent les enfants à recevoir des présents. Puis, comme les habitants de ce pays ne sont pas avares en paradoxes, ils confessent que ces petits ont déjà à peu près tout ce qu’ils pourraient désirer, et qu’ils auraient surtout besoin de passer quelques heures sans aucun objet à la main

Philosophie magazine <infolettres@philomag..

vedo dit: à

« Le moi est haïssable » une phrase à laquelle je pense chaque jour. Sa portée dépasse de loin les applications à la littérature. Une phrase qui conviendrait aussi, il me semble, à Luchini, notamment (pas pas seulement) dans son entrevue en Provence, au moment où il pousse un cri du coeur.

D. dit: à

J’habite bien, moi ? C’est la première fois qu’on me dit ça. J’ai pas fait exprès.

Bloom dit: à

Depuis son ablation de la glande pinéale, Jissé est encore plus ordurier, se vautrant dans l’éructation d’explétifs à doninante féminine, s’imaginant conchier l’autre alors même qu’il le hisse au pinnacle.
Une telle beauferie mériterait d’être exposé à côté de l’urinoir-fontaine de Duchamp.
Ben sûr, être insulté par lui est un honneur (qui a perdu la pinéale, perd le sud).

Bloom dit: à

doMinante

Jacques dit: à

Bloomie, voyons, prendre la peine de me critiquer et de m’insulter…
Quel honneur pour moi !😂

Errata dit: à

Au pinacle

vedo dit: à

Je ne sais si ce commentaire sera bien reçu. Mais imaginons: au lieu d’être boudeur ou plus (…), l’équipe de France, petit génie en tête, va féliciter le vainqueur. Cela aurait eu de la classe.

vedo dit: à

C’était même la seule attitude à avoir.

et alii dit: à

On le sait, les idéologies totalitaires ne se sont pas arrêtées à la porte des chambres à coucher. Elles cherchaient à imprégner les individus jusque dans leur intimité, et non pas seulement à contrôler leurs agissements publics. Le régime nazi abordait la question sexuelle de manière radicalement rationnelle : elle a été théorisée, au même titre que la résorption du chômage ou la stratégie militaire.
https://laviedesidees.fr/Liberations-sexuelles-sous-le-nazisme.html

Bloom dit: à

Effectivement, un ‘n’ en français, mais 2 en anglais – pour éviter que le ‘i’ ne devienne « aï ».
Ce que c’est que de vivre en stéréo…!

Merriam-Webster
pinnacle: noun
‘pin·​na·​cle ˈpi-ni-kəl 

Janssen J-J dit: à

Merci PE pour votre bonne humeur matinale. Il vaut le coup de vous citer en C-C, un fragment de Tchékhov qui nous resplendit l’hiver :
 » Nous voyons tous ceux qui vont faire leurs courses au marché, et qui le jour mangent, la nuit dorment ; et ceux qui racontent leurs bêtises, se marient, vieillissent, trainent avec calme leurs morts au cimetière. Mais nous ne voyons pas et n’entendons pas ceux qui souffrent, et tout ce qui est effrayant quelque part dans les coulisses. Tout est calme, paisible, et seules protestent les muettes statistiques : tant d’hommes devenus fous, tant de litres de vodka bus, tant d’enfants morts d’inanition (..) Apparemment, l’homme heureux ne se sent bien que parce que les malheureux portent leur fardeau en silence, et que, sans ce silence, le bonheur serait impossible. C’est une hypnose générale) ».
Bàv, 21 XII 22 – 9.30

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