Pierre Lemaitre rallume l’incendie
Un passage du long et instructif entretien avec Elena Ferrante publié ces jours-ci dans L’Obs devrait décourager toute analogie entre un écrivain contemporain et l’un de ses maîtres à écrire. Pourtant éditeurs et critiques y cèdent souvent tant la tentation est grande, pratique et paresseuse. Qu’a donc confié la romancière italienne à Didier Jacob qui fasse désormais hésiter avant toute recherche en paternité ?
« J’ai parfois recours à certains des puissants outils de la littérature : toutefois, que je le veuille ou non, je sais bien que nous vivons dans une période totalement différente de celle pendant laquelle cette littérature a exercé sa fonction. Autrement dit –même si c’est un peu dommage-, je ne saurais en aucun cas être Alexandre Dumas. S’inspirer de la grande tradition du roman populaire ne signifie pas écrire ce genre de texte narratif- que cela soit un bien ou un mal- mais simplement faire référence à cette tradition en la déformant, en violant ses règles et en trompant les attentes du lecteur, le tout afin de composer le récit de notre époque ».
La remarque m’a frappé alors que je refermais Couleurs de l’incendie (535 pages, 22,90 euros, Albin Michel), deuxième tome de la « Trilogie Péricourt » de Pierre Lemaître, lancée avec brio et le succès que l’on sait par Au revoir là-haut (Prix Goncourt 2013). La lecture de ces deux romans favorise un réflexe quasi naturel qui nous fait classer l’auteur en distingué héritier d’Eugène Sue –même s’il a toujours payé sa dette à Alexandre Dumas. La différence ? La critique sociale. Précisons pour les oublieux et les mauvaises langues qu’il faut le prendre comme un compliment : sens aigu de l’observation, goût du comique de situation, habileté dans la description, facilité à écrire la complexité etc Mais le grand art auquel Sue donna ses lettres de noblesse dans les Mystères de Paris (1843) est ailleurs : c’est celui du feuilleton, une technique devenue à son meilleur une esthétique dès lors qu’elle ne consiste pas seulement à laisser une porte ouverte à la fin d’un chapitre ou d’un volume.
Que raconte cette fois Lemaitre ? La suite, mais avec suffisamment d’habileté, de doigté, de savoir-faire pour qu’elle puisse se lire indépendamment de ce qui la précède. On l’imagine jubilant derrière son clavier tant son plaisir à raconter est contagieux. Un fil rouge qui a fait ses preuves dans tous les visages de la fiction : la vengeance. Elle se déploie là dans la France de l’entre-deux-guerres, celle des jeunes anciens combattants, où les affaires reprennent dans une époque de trahisons successives et de faillites morales.
L’héroïne Madeleine Péricourt, dont le mari croupit derrière les barreaux pour avoir grugé les municipalités avec un trafic de sépultures et de monuments aux morts, se remet de la mort de son père, richissime banquier. Un fondé de pouvoir l’aide à gérer l’empire reçu en héritage ; le précepteur de son fils l’aide, quant à lui, à combler la solitude ses nuits. Impossible d’en dire plus sans gâter l’ensemble. Le début est époustouflant. Ainsi réduite au châtiment d’une machination, l’intrigue fleure bon les lieux communs, d’autant qu’elle rappelle l’ambiance du Comte de Monte-Cristo. Or Pierre Lemaitre a l’incontestable talent de bousculer les codes, de surprendre le lecteur, de déjouer les dénouements les plus attendus grâce à des qualités de plus en plus rares dans l’actuel roman dit « populaire » : un sens inouï du détail, le souci d’être fidèle à l’esprit plus qu’à la lettre de l’époque, à l’air du temps, à sa violence et à sa propre musique des mots plutôt qu’à la marque d’une montre, une belle efficacité dans sa manière de ramasser la phrase pour lui faire rendre gorge en quatre mots bien sentis et surtout un vrai génie du rythme, quelque chose d’immédiatement visuel, de fouetté dans l’allant, de dense et de profond sous les habits anodins du divertissement, alternant la vision panoramique et le gros plan.
C’est bien documenté, puisé aux meilleures sources, mais cet effort-là ne se sent jamais. Pas de temps mort. S’il y a une clé à son succès, c’est bien dans son sens du rythme qu’il faut la chercher (comme chez un Arturo Perez-Reverte), même si elle n’est pas unique. Embarqués au début, on n’est débarqués qu’à la fin. Nombre de personnages secondaires sont plantés dans le décor avec finesse et ironie. Des femmes surtout ; d’ailleurs, sa conseillère historique Camille Cléret travaille à une thèse sur les femmes dans l’Action française. N’allez pas à en conclure pour autant qu’on est là dans l’usine à émotions d’un bon faiseur.
« Les lecteurs qui connaissent Madeleine savent qu’elle n’avait jamais été bien jolie. Pas laide, plutôt banale, le jour qu’on ne remarque pas » (…) « Le lecteur imagine sans peine ce que la perspective de chroniquer les obsèques d’une gloire nationale avait représenté pour lui et de quel poids pesait maintenant l’impossibilité de le faire »…
Bien sûr qu’il a ses trucs et ses astuces, il ne s’en cache pas, mais elles sont d’un auteur qui voue autant de méfiance que de confiance en l’écriture. Tout est crédible parce que formidablement vivant, avec un irrépressible sens de l’humour et de la farce en sus, ce qui ne va pas de soi lorsqu’on sait que l’histoire s’ouvre sur l’enterrement du patriarche et la chute du corps de son petit-fils du balcon de leur hôtel sur le cercueil.
« Elles consultèrent chiromanciennes, voyantes, télépathes, numérologues et même un marabout sénégalais qui fouillait les entrailles de poulets de Bresse et qui assura que Paul avait voulu se jeter dans les bras de sa mère ici présente, qu’il l’ait fait du deuxième étage n’ébranla pas sa conviction, la volaille était formelle »
La force de Pierre Lemaitre est de savoir cueillir d’emblée le lecteur avec les armes du polar (l’autre corde à son arc), avec une liberté insolente tant elle manifeste le plaisir de l’écrivain, pour lui refiler ensuite en contrebande un roman au fond très politique, dénonciateur de la corruption morale des riches, du trafic d’influence comme une seconde nature et de la fraude fiscale considérée à l’égal d’un des beaux-arts.
N’allez pas chercher des clés ! (voilà que j’interpelle le lecteur comme lui et ses grands modèles du XIXème siècle…) ; mais il y a incontestablement des résonances avec notre époque dans cette histoire très française d’autrefois. Pas question de rabattre une époque sur une autre, même si on le sait, l’incendie n’est jamais loin. A propos, le titre est emprunté à la fin d’un poème d’Aragon « Les lilas et les roses » dans Le Crève-coeur (1941) :
« …Bouquets du premier jour lilas lilas des Flandres
Douceur de l’ombre dont la mort farde les joues
Et vous bouquets de la retraite roses tendres
Couleur de l’incendie au loin roses d’Anjou »
(« Paris la nuit, années 30 » photos de Brassaï)
1 723 Réponses pour Pierre Lemaitre rallume l’incendie
et après boue. Patce que végétation anéantie.
Merci pour l’extrait du début !
Pierre Lemaitre était à la grande librairie
https://www.france.tv/france-5/la-grande-librairie/saison-10/394827-couleurs-de-l-incendie-le-retour-des-pericourt-et-de-pierre-lemaitre.html
à rapprocher d’une autre réflexion sur les femmes qui se retrouvent avec un pouvoir que les hommes ne veulent absolument pas les voir exercer
http://abonnes.lemonde.fr/m-actu/article/2018/01/19/kay-graham-la-femme-qui-revela-le-watergate-et-les-pentagon-papers_5244140_4497186.html
Oui, ça commence fort et de nouveaux personnages entrent en scène. ça va être dur d’attendre le film ! Beauté du titre et tendresse de l’illustration de Passou en allumeur de réverbères…
Grande frustration néanmoins pour l’impasse de Passou sur Elena Ferrante !
Jazzi, Passou n’est pas romantique…
Je me permets de copier-coller un petit commentaire d’hier. Bonne semaine à toussent.
Janssen J-J dit: 21 janvier 2018 à 12 h 09 min
« Couleurs de l’incendie »… J’ai parlé trop vite l’autre jour, à cause du début très enchainé au film de dupontel plutôt qu’au roman lui-même. Ce qui avait provoqué de ma part une injuste irritation. Mais Pierre Lemaitre est, en vérité, un très fin romancier populaire. Il sait insuffler un rythme très habile et sans graisse à ses romans. Dans son histoire de la descente aux enfers de Madeleine Péricourt, rien ne laissait augurer qu’on allait rapidement la suivre (aveuglément) dans sa vengeance froide contre les salauds tous plus pourris les uns que les autres de son monde. Tant pis (ou tant mieux) si les clins d’oeil à tous les Kahuz.ac et autres W.oerth des temps présents sont un brin lourds, nous autres lecteurs des classes populaires et moyennes, partisans de l’émancipation des femmes et de la lutte contre toutes les corruptions, n’allons point bouder notre plaisir. Car il y’a quand même un vrai bénéfice politique à tirer aujourd’hui de l’atmosphère délétère fort bien rendue des années 1927 et 1933 à Paname.
« Tant pis (ou tant mieux) si les clins d’oeil à tous les Kahuz.ac et autres W.oerth des temps présents sont un brin lourds, nous autres lecteurs des classes populaires et moyennes, partisans de l’émancipation des femmes et de la lutte contre toutes les corruptions, n’allons point bouder notre plaisir. » (JJJ)
L’est contente, Gigi, l’est fière d’elle ! Bravo Gigi ! ….T’es une Copine V2 ! …
« La remarque m’a frappé alors que je refermais Couleurs de l’incendie (535 pages, 22,90 euros, Albin Michel), deuxième tome de la « Trilogie Péricourt » de Pierre Lemaître, lancée avec brio et le succès que l’on sait par Au revoir là-haut (Prix Goncourt 2013) » (Maître Pierre)
Incapable, personnellement, de :
– finir le Retour en Pétarade, 426 pages, qu’irai-je me jeter dans les histoires d’un inconnu ?
– surtout à 535 pages le pavé !
– surtout à 23 euros, pièce et main d’œuvre !
– à plus forte raison, n’ayant pas lu le Premier Tome du conteur magister,
– sans compter le peu d’admiration que m’inspirent les Prix, sentant bon la corruption, de chez Goncourt !
Je passe….
L’est contente, Gigi, l’est fière d’elle ! Bravo Gigi ! ….T’es une Copine V2 ! …
Voui, très contente et très fière. Merci JC. Je peux vous acheter votre exemplaire du retour en Pétaudière à moitié prix, si vous êtes en besoins. N’hésitez pas, faut s’entraider au bon blog du coin.
Il faut aider la petite librairie, JC. Tout ces pavés y contribuent…
A vendre costume de marié jamais porté !
Un livre à moitié raté vaut plus cher qu’un commentaire réussi …
JiBé, je considère que les petites librairies sont mortes. Elles ne servent à rien, désormais….
12:12
Encore heureux-
…
…c’est tout de même,…avec une grande ressemblance,…
…d’avec, le livre de Jacques Anquetil,…et, le diable mène le monde,…un des épisode, dans les premier,…
…en ma bibliothèque,…Go,!…
…
…les maris, à problèmes, pour que l’épouse se fasse baiser, !…ici, avec son héritage en plus, etc,!…
…
…genre, tout vas très, bien, Mme la marquise,…etc,…
…
Bocuse, ou le sens médiatique de la pause :
« Sur une grande photo de groupe, ne vous mettez jamais au milieu, vous risquez de vous retrouver au milieu du pli de la revue avec les agraphes au milieu du nez ! »
A voir dans Le Parisien, un florilège de ses bons mots, dont, comme Jean d’Ormesson (même génération !), il était friand… « Faiseur de bons mots mots, mauvais caractères », disait Pascal.
« Un protocole de la bavure ». C’est ainsi que
Yann Moix remonte dans mon estime, avec cet engagement en faveur des migrants. Il dénonce principalement les violences que les migrants ont à subir de la part des forces de l’ordre :
Yann Moix décrit le comportement des forces de l’ordre à l’encontre des migrants présents à Calais. Dans une tribune publiée lundi 22 janvier par Libération, l’écrivain fait part de sa colère, consécutive aux témoignages qu’il est en train de rassembler en vue d’un documentaire qui sera diffusé au mois de mai. (Le Point)
« Faiseur de bons mots mots, mauvais caractères », disait Pascal. »
Pas La Bruyère ?
Je sors.
Pascal : « Diseur de bons mots, mauvais caractère. »
Un billet inspiré qui semble répondre -tout en présentant ce roman de P.Lemaître- aux questions posées sur les fils d’avant quant au visages actuels du roman :
« J’ai parfois recours à certains des puissants outils de la littérature : toutefois, que je le veuille ou non, je sais bien que nous vivons dans une période totalement différente de celle pendant laquelle cette littérature a exercé sa fonction. Autrement dit –même si c’est un peu dommage-, je ne saurais en aucun cas être Alexandre Dumas. S’inspirer de la grande tradition du roman populaire ne signifie pas écrire ce genre de texte narratif- que cela soit un bien ou un mal- mais simplement faire référence à cette tradition en la déformant, en violant ses règles et en trompant les attentes du lecteur, le tout afin de composer le récit de notre époque ». (Elena Ferrante / Confidences de la romancière italienne à Didier Jacob pour l’Obs.)
Suit donc la présentation du roman-polar de P.Lemaitre qui vient de paraître et dont le titre magnifique est élucidé. Celui-ci semble directement issu du roman-feuilleton du XIXe s. et, au fil du billet, on peut lire le début, époustouflant, oui.
Ces gens costumés de noir c’est le Tout-Paris assiste aux obsèques de Marcel Péricourt, où sa fille, Madeleine, devrait prendre la tête de l’empire financier dont elle est l’héritière… (avant que…). Ces premières lignes me rappellent celles du début d’un autre roman (autre billet), celui d’E.Vuillard L’ordre du jour : « Ils étaient vingt-quatre, près des arbres morts de la rive, vingt-quatre pardessus noirs, marron ou cognac, vingt-quatre paires d’épaules rembourrées de laine, vingt-quatre costumes trois pièces, et le même nombre de pantalons à pinces avec un large ourlet. Les ombres pénétrèrent le grand vestibule… »
Nous voici invités à entrer dans un roman… noir.
Ce crétin de Yann Moix interpelle le Président sur les migrants, pas assez chouchoutés d’après cet abruti de Yann …
Tout ça pour faire parler de lui ! mais qui est ce cadavre débile appelé Yann Moix ?
Yann Moix est un littérateur de notre époque qui a obtenu de publier un pavé nombrilesque inintéressant chez folio, plus épais que « le Voyage en Orient » de Lamartine (par exemple)
« Ce crétin de Yann Moix interpelle le Président sur les migrants, pas assez chouchoutés d’après cet abruti de Yann … »
Le crétin, c’est vous, JC, car Yann Moix a filmé ce qu’il avance, comme autant de preuves de sa dénonciation. Indiscutable.
Y… Moix est le pire des ANN !
(il ne sait plus quoi faire pour être paradoxal,
pensant que ça pourrait être original…
= viols, agressions, drogues, insultes, vols, mensonges, crimes… et maladies de toute sorte comme le regain de tuberculose, jadis éradiquée, et sans parler du reste qui souvent est offert avec le viol (il faut voir les gardes c^te italiens en tenue de quasi scaphandrier…) Et oui, c’est le triste tableau peint par ces envahisseurs. Jamais dans l’histoire des « migrants » ne se sont comportés de la sorte. C’est si vrai que tout le mouvement « balance ton truc » initié depuis Hooloiwod avec sacrifice d’un des leurs pour faire vrai, n’est là que pour faire oublier les innombrables viols en suède, en allemagne et en autriche (c’est vrai que là les femmes sont belles -visez un peu Mélania…- malgré que l’école pratique en sciences sociales nous explique que tout est relatif, que la vénos Hottentodode n’existe pas – mais bon ils violeraient n’importe quoi comme ils faisaient chez eux). Car tout cela a eu beaucoup de retentissement aux Usa où vivent de nombreux descendants de ces pays, et mis dans l’embarras tout ces féministes LBGTQ « genre » et autre Merkelcoco. Au regard de ces crimes sur des européens on n’a en effet, pas vraiment pas entendu les « féministes » du genre « notre drame de Paris » (hydrago), Schapikaka,… ni les Femense de J. Soros – pas plus que le Papecatastroph d’ailleurs.
Polémik dantesk
entre Askhénoz et Sépratrav
125000 euros par mois ‘brut & net’
pour les
« 12 coups de Midi » !
ce qui fait
Alors là la célèbre romazière Christine Angode
n’est pas d’accord :
10000 euros le coup… (?)
c’est trop
Oui
les
« 12 coups de Midi »
du sympathique Jean-Luc Reichmann !!
sponsorisé
par les caves
« Cellier du Dauphin »
J’aurais plaisir à cracher à la gueule d’un abruti à la mord-moi-la-mentule comme ce débile de Yann Petitpoix au crâne creux, alignant ses conneries comme si elles étaient sans conséquence !
Delaporte, quand tu défèques tes com’s de merde, ferme la porte de tes chiottes ! ça pue….
Bravo à Christine Angot d’avoir abordé cette fausse sympathie des animateurs stars pour les ploucs auxquels ils offrent des clopinettes pendant leurs jeux.
Quant aux agressions sexuelles dans les pays du Nord, elles sont certes majoritairement commises par des non-Blancs (Afghans en Suède et Maghrébins à Cologne), mais pas par des réfugiés. Ils veulent des papiers, pas des embrouilles qui les empêcheraient d’avancer dans leurs démarches.
quand tu défèques tes com’s de merbe, ferme la porte de tes chiottes ! ça pue….
Des répliques de maternelles…Franchement…
Yann Moix a fait beaucoup de progrès. Il nous montre qu’il a une conscience. Il faudra écouter désormais ce qu’il a à nous dire, qui est tout sauf médiocre. Yann Moix ou l’exemple à suivre, dans la paix et la profondeur.
ED, ne te mêle pas de ce qui ne te regarde pas !
Un brasier pour les migrants violeurs !
C’est vrai, quoi ! On est en hiver et il fait froid ….uhuhu !
Ça ne me regarde pas du tout. Les viols, ça ne me regarde pas. Et des migrants, il y en a si peu en Allemagne…Vieux macho pourri va ! « Tais-toi femelle pendant que les hommes parlent »
Vieille jeunette solitaire gonflée aux hormones, tais toi !…. Plus tu en dis, plus tu descends.
Vieille jeunette solitaire gonflée aux hormones
Au risque de vous décevoir, j’ai ri et je le prends comme un compliment.
ED, vous riez ?…. je suis content ! Vous êtes merveilleuse !
Vous aussi vous êtes merveilleux. Malgré vous j’imagine, mais vous me faites rire quelques fois. Pas toujours, mais quand même.
Malgré moi ? Impossible : je c’est moi.
Je viens d’interroger un ami sûr…
– Eugène Sue ? tu l’as lu ?
– Evidemment ! et toi ?
– Moi aussi ! … alors ?…
– C’est du lourd …
– Du lourd,… ou du lourdingue ?
– Les deux. Tu te souviens de ce clochard qui, ivre, n’a pas pu empêcher un meurtre ?
– Evidemment, je m’en souviens ! je me souviens de la litho dans l’édition illustrée de mes vieux …
– Qu’est qu’il meuglait en pleurant sur le cadavre, déjà, le clodo ?
– Il hurlait : « J’AI BU LE SANG D’UN HOMME ! »
Du lourdingue, ouais … quel bond en arrière !
J’ai bien fait hier de lâcher Ed l’épiciére discount, vu les salades qu’elle essaye de nous refourguer aujourd’hui.
Essaie de maitriser Delaporte, Dédé…. je sais que tu le connais bien.
Je dis ça pour te faire rigoler, Ed.
Ne va pas croire que j’en panse une once.
J’ai réussi à refourguer le livre de Rémi Brague au libraire qui me l’avait vendu vendredi. Il n’a fait aucune difficulté pour reprendre le volume et me faire un avoir de 19 €. A vrai dire, qu’aurais-je pu faire d’autre avec ce livre, sinon le jeter ? Même l’offrir à quelqu’un, ç’aurait été impossible. J’ai choisi la meilleure solution, après une telle déception. C’est vraiment un livre dont on a envie de se débarrasser, tant il est incongru, ne servant à rien…
Delaporte fait partie de ces entités incontrôlables, JC. Attaché sur un lit, il lévite avec le lit. Une bave verte et mousseuse s’écoule de sa bouche, il profère des noms abominables comme Hamon et connaît l’avenir. Brrr… j’en frémis.
Quand j’ai rapporté le dernier Goncourt, après trois jours, le libraire ne m’a fait aucun crédit. Je le garde en mémoire.
C’est du reste un bon système pour lire gratuitement les livres qui paraissent. On les prend, et au bout de deux jours on les ramène en disant : « Non, ce n’est vraiment pas possible ! » J’avais déjà fait ça deux fois dans ma vie, notamment un jour avec un livre de Jean-Edern Hallier qui, comme la plupart de ses productions pro-médiatiques, ne valait rien. Retour à l’envoyeur, en espérant que cette protestation remontera à l’éditeur, et de l’éditeur à l’auteur, pour que ce dernier sache qu’on n’apprécie pas ses livres.
A condition que le libraire reprenne. Apparemment ce n’est pas le cas pour une librairie très connue de Paris. Pour la Harvard Coop, on a 7 jours pour un refund (pas un avoir).
« Quand j’ai rapporté le dernier Goncourt, après trois jours, le libraire ne m’a fait aucun crédit. »
L’astuce, quand le libraire refuse de vous faire un avoir, c’est de choisir un autre livre et d’échanger le livre qu’on ne veut pas avec. Normalement, ça marche ! Car le libraire ne veut pas se brouiller avec un acheteur. Il y en a si peu, de nos jours !
« Le début est époustouflant ». Je partage cet avis.
« Le Chiffonnier de Paris » de Félix Pyat, bon sang, mais c’est bien sûr !
D. dit: 22 janvier 2018 à 16 h 43 min
Je dis ça pour te faire rigoler, Ed.
Raté. Non pas que j’ai été vexée hein, mais ça n’était pas drôle. Courage ! À la prochaine, je rirai peut-être. Je suis bon public d’après mon petit ami.
L’astuce (pour échanger un livre), me rappelle, je ne sais pas pourquoi, un sermon entendu il y longtemps à Minneapolis où le prédicateur commentant la parabole des ouvriers de la 11e heure, se posait la question (très US, ce qui fait son charme) pourquoi les ouvriers de la première heure, au lieu d’insister dans leur réclamation, n’avaient pas simplement demandé: ok patron, demain, vous embauchez jusqu’à quelle heure.
Les Services me signalent que Delaporte des Chiottes serait un algorithme infectant la RdL d’origine Corée du Nord ou Monaco !
Comme Mélenchon ! Sois prudent, ami Dédé…
Donc, ce pauvre Rémi Brague a désormais des acheteurs de ses livres qui les rapportent au libraire en criant à l’imposture éditoriale. A vrai dire, cette série de textes n’était vraiment pas fameuse, et les éventuels acheteurs auront perdu leurs 19 €, à moins de faire comme moi.
« Je suis bon public d’après mon petit ami. »
C’est bien que les petits aient, eux aussi, une chance, de temps en temps, avec les femmes… On dit qu’ils sont débrouillards.
sur la première photo,on voit la silhouette d’un homme avec un chapeau, de dos, c’est troublant
Sur le livre de Rémi Brague, j’avais lu avant de l’acheter diverses critiques sur Internet et puis celle, un peu bizarre (car tiède au final) de Zemmour dans le Figaro. Aucune critique ne disait que c’était de la daube, étonnamment. Il y a même Valeurs actuelles qui en citaient les bonnes feuilles. Ce n’était pas concluant, mais j’ai quand même commis l’erreur de vouloir aller plus avant et de juger par moi-même, alors que tout était dit. La prochaine fois, je serai plus prudent !
JC,
Votre humour de 3e section maternelle, franchement…Pourtant vous m’avez fait rire dans le commentaire juste avant celui-ci.
« Delaporte des Chiottes », ma chattoune blottie contre mon coude a sursauté.
Bref, c’est là que j’en arrive : les critiques ne font pas leur boulot. Il faut venir sur le prestigieux blog à Passou pour lire ce que les internautes ont pensé de tel livre. Là est la vérité du jugement. J’espère en avoir dissuadé quelques-uns de lire ce très faible Rémi Brague, dont le succès médiatique me paraît être une énigme. Le fruit de la paresse intellectuelle ?
En allant à la librairie tout à l’heure pour rendre mon livre, j’ai cru voir en sortir Rémi Brague lui-même, trait pour trait, sauf l’habillement moins classieux. Je me suis dit que c’était une sorte de présage, que je ne sais comment interpréter. Comme s’il aurait fallu que je dise à l’auteur lui-même : votre livre, là, c’est du caca…
Acheter un Goncourt, vedo, c’est un comportement étrange !
Acheter un Goncourt ? Bizarre…Mais, pourquoi faire… ? …pour le LIRE ?… ne me dites pas que….!
Rémi Brague : “L’homme ne peut pas continuer à exister sans croire en un dieu”
Je ne connais qu’un seul dieu, c’est JC.
Acheter un Goncourt, oui je sais…, j’ai été naïf, mais le libraire a perdu un client.
« JC, votre humour de 3e section maternelle »
Je suis si mauvais en mathématiques non-booléennes ! Conséquence, je redouble chaque année ma maternelle. Mais je n’ai pas à me plaindre : depuis tant d’années, la maitresse m’a à la bonne et j’en jouis.
A ceux qui veulent s’initier à la somptueuse pensée de Rémi Brague, je conseille de s’en tenir à ce qu’on trouve de lui gratuitement sur Internet. On se rendra d’ailleurs compte surtout de sa nullité, et de sa faiblesse intellectuelle. Ce n’est pas la peine d’aller voir dans le livre, qui est du reste encore pire que tout.
Il y a quelques années, j’ai encore le livre paru en poche chez Champs essais, j’avais essayé de lire pour la première fois du Rémi Brague ; c’était « Le propre de l’homme », Sur une légitimité menacée. J’avais trouvé cela très mauvais également, malgré des références qui pouvaient attirer le chaland (Michel Foucault, par exemple). Mais là non plus, il n’ y avait pas grand chose à retirer de ce livre, comme si Brague avait le génie pour rendre stérile tout ce qu’il touche. Et je crois que c’est bien cela le malheur. C’est vraiment un auteur à ne jamais lire. Il faut, devant lui, détourner son chemin.
« Je ne connais qu’un seul dieu, c’est JC. » (Z, comme zerbinette)
L’erreur n’est pas bien grave !
Je conseille toujours aux merveilleuses fanatisées par cet aspect divin que je m’efforce de cacher en bon élève des Jésuites :
« Remets tes lunettes, enlève tes boules Quies, mon bébé, et laisse la Rolex là où tu la trouvée »
Tout peux toujours s’arranger… et tout s’arrange ! Toujours …
Je note d’ailleurs que sur ce blog personne ne prend la défense de Rémi Brague, à part le prétentieux wgg, jaloux de la renommée d’un pseudo-savant…
Hallyday mettait le feu, Lemaitre rallume l’incendie, les promoteurs exultent, Passou jubile.
Ma chattoune blottie, et pis quoi encore…rhoooo.
A propos de Rémi Brague, il est tendancieux d’écrire que personne ne prend (ici) sa défense. Il semble plutôt que personne, sauf exception, ne l’a lu. Et dans ce cas, c’est quand même un peu facile, et ennuyeux pour les lecteurs, de taper dessus ainsi avec d’autant plus d’insistance, et sans discussion sur le fond, qu’il n’y a pas de réponse.
Il suffit déjà de lire sa fiche technique pour avoir une petite idée, comme wgw nous a appris à le faire, mais sans en rajouter comme pour nous faire accroire qu’on aurait lu toute son oeuvre, et qu’on aurait peine à y découvrir les inlfuences de virginia woolf. Pour moi…, sam suffira, j’en resterai là avec Rémi !
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9mi_Brague
D. C’est elle :
http://rockandvolk.blogspot.de/2018/01/un-21-janvier.html
Un don du ciel, un rayon de soleil, un amour au miel.
où tu la trouvée »les jésuites ne sont pas regardants sur l’orthographe ! on s’en doutait
Tout peux toujours s’arranger (JC)
Tout peux ou tout peux pas,
Tout peux c’est bien,
Si tout peux pas tant pis,
Si tout peux pas
J’en f’rai pas une maladie
C’est comme ci ou comme ça
Ou tout peux ou tout peux pas
La vie, oui c’est une gymnastique
Et c’est comme la musique
Y a du mauvais et du bon
La vie, pour moi elle est magnifique
Faut pas que tu la compliques
Par tes hésitations
sur l’air du .. Z comme Zanini
« Tout peux »
Attention hein. Tu cumules un peu. Si ça continue, le CP te passera sous le nez !
Bordel, j’espère qu’il a touché le pactole pour avoir servi de modèle aux célèbres
https://www.amazon.fr/Playskool-203351860-Patate-Safari-Premier/dp/B000NIJ690
vedo, eh bien si ! Je n’ai pas lu l’ouvrage que Delaporte zigouille, mais j’avais lu avec intérêt, il y a un bout de temps il est vrai, « Europe, la voie romaine ».
Moix a arrêté la philo de comptoir, bonne nouvelle !
Elle est adorable, Ed ! J’ai moi-même un chat, de gouttière et si l’adoration n’était pas due qu’à Dieu, je l’adorerais. JC avait une vieille chatte qu’il aimait beaucoup si ma mémoire est bonne. Il l’avait bien curieusement nommée.
« Elle est adorable, et si l’adoration n’était due qu’à Dieu, je l’adorerais. »
C’est de la littérature, ça. Très beau. J’aurais voulu pouvoir l’écrire.
Delaporte dit: 22 janvier 2018 à 17 h 36 min
Je note d’ailleurs que sur ce blog personne ne prend la défense de Rémi Brague
________
Il n’a rien compris, tellement il est bête.
Même les mauvais garçons ne résistent pas.
https://www.shortlist.com/entertainment/music/the-importance-of-being-noel/76784
« I’ve got my first ever pet — a cat. I’ve got to get to know this cat.
What’s the cat called?
Well, I didn’t name him. Let’s get that straight. My four-year-old named him Boots. Not after the chemist, obviously. Although, if he’d named him Superdrug, that would’ve been f*cking brilliant. Anyway, I don’t know why he’s called Boots and I didn’t think I’d like him, but I f*cking love this cat. I f*cking love him. I keep telling him, “I f*cking love you.”
Oui, absolument C.P. Je l’avais bien signalé sur les fil précédent, mais delalourde l’a passé. Jean-Claude Milner s’en est servi pour pnser sa voie française, une réflexion sur l’invention du français par Vaugelas, dont il avait fait une conférence à l’Institut des études lévinassiennes. Où il avait passé à la trappe Rabelais; je lui avais demandé pourquoi, il m’avais répondu avec beaucoup de désinvolture : Mais qui lit encore de nos jours Rabelais ? — Ce qui m’avait paru un peu léger comme réponse. A un dîner en ville chez une amie qui l’avait invité, l’helléniste Luc Brisson avait trouvé lui aussi qu’il aurait dû l’inclure dans sa voie de la paideia à la française. Maintenant ce qu’en dit Milner est passionnate quand même. Il explique même un peu la Révolution par le fait que le français des classes moyennes a été passé à la trappe par Vaugelas. Faut pas oublier qu’il est aussi linguiste (chomskien).
De toute façon faut être le dernier des imbéciles et des ignares pour traiter Rémi Brague comme le traite ce minus habens de delalourde, complètement insignifiant. Pour qui se prend-il ? Un pauvre troll, c’est tout.
« Il n’a rien compris, tellement il est bête. »
Moi au moins j’ai eu le livre entre les mains et je l’ai lu attentivement, entre vendredi et hier soir tard…
milnère y’est haussi pédant que remi brague dracul..dlalourde peut pas havoir tout faux toultemps..ça srait diabolicoume
J’aurais voulu pouvoir l’écrire.
la littérature c’est pas que l’envie du pénisse à dédé
T’as pas encore compris qu’on discute même pas avec un pauvre troll de ton acabit ?
depuis tant d’années, la maitresse m’a à la bonne et j’en jouis
à la hussarde dla répu
Jean-Claude Milner, c’est une autre dimension. J’apprécie beaucoup, et je ne suis jamais allé rendre un livre de lui à mon libraire.
« T’as pas encore compris qu’on discute même pas avec un pauvre troll de ton acabit ? »
Vous vous trompez, insolent wgg. C’est moi qui ne discute pas avec vous, et non l’inverse. Vous, vous êtes bon à tout, au mauvais sens du terme.
un marabout sénégalais qui fouillait les entrailles de poulets
non
s c’est un doigt qu’a rippé..putain l’afrique c’est un continent et on en fait un timbre poste..lors que milnère et brague se prennent pour le monde à eux tout seul dlalourde
« Tais-toi femelle pendant que les hommes parlent »
labruyère?
T’es un gros con, Delaporte… !
sfaire cracher dsus c’est pas l’tout dlimitation djésuscri dlalourde..comme tout un tas dtrouducul dirait baroz..faut hen plus dla distinction
Yann Moix est un littérateur de notre époque qui a obtenu de publier un pavé nombrilesque inintéressant chez folio, plus épais que « le Voyage en Orient » de Lamartine (par exemple)
si yann moix dit que le moule frite c’est bon phil en manjra pus..il a ses opinions épicétou
On s’en branle mauviette, ce qu’il faut c’est une petite polémique.
Je suis en train de relire à fond la Genèse.
Abraham achète sa tombe 5 kilos d’argent, ça fait au cours d’aujourd’hui :5 kg d’argent= 2.227,46 €. Une fortune à l’époque.
Il l’achète au roi Hittite d’Hébron, Éphron. C’est le tombau des Patriarches.
(À Susan Dickinson)
Mon Créateur- fais que je sois
Énamourée surtout de toi –
Mais il y a plus près
Qui plus me manquerait –
Émily Dickinson
ouf, Bouguereau est revenu. Ed va pouvoir faire connaissance. On attend impatiemment son p’tit nom de Bougboug. (après tout les pharaons en avaient bien 36 noms, eux)
Je ne voudrais pas faire peur à tout le monde, j’ai une sainte horreur de ça. Mais la situation du fleuve Seine à Paris est préoccupante et ne va pas cesser de l’être de sitôt. Si vous voyez ce que je veux dire et ce que ça peur impliquer.
Ce soir je mange de la mâche aux croutons et lardons avec un œuf poché dessus. Et des tomates confite (pas de chez tomtom la tomate, je précise.)
Ed va pouvoir faire connaissance.
Malheureusement c’était déjà fait.
ON PEUT PARRAINER UN CORAIL
lu dans le billet:
La différence ? La critique sociale.
Pas changé d’avis- inutile de convoquer Eugène Sue à contre-emploi- depuis que cet écrivain s’est fait connaître au grand public ( surtout de deux lectrices abusées par le fait qu’elles pensaient retrouver trace de leurs chers » disparus », à la lecture du premier tome de ce qu’on découvre être une trilogie)
C’est bien là la problème.
Mettre sous la bannière de « roman populaire » ce qui relève du populisme.
C’est comme mââme Lafon, la Zola du Ffffraaaanprix, nous voilà avec « Madeleine chez les ch’tis ». Pour flatter les lecteurs « on est chez nous », du côté d’Hénin-Beaumont peut-être. En plus avec le gosse tout débraillé qui se jette par la fenêtre, devant le corbillard qui passe ( que cricri traine toujours avec autant de ferveur) c’est donc ça, qui est » époustouflant », qui » prend aux tripes » de quand. Tu m’en diras tant.
En revanche sur le sagas romanesques du XXème qui mettent en scène plusieurs générations entre guerres, vous pouvez toujours chercher; il n’y a pas grand’monde.
Je pense à Troyat.
Camille Cléret a fait sa thèse sur les femmes dans l’Action française
Voilà une idée de lecture sympathique d’avant spectacle. où peut-on lire cette thèse, considérable passou ?
(apercu en bout fil précédent (harosulbouquinà passou) une remarquable notule sur le décrié décret Crémieux postée par sehr fein dhh)
Saint Vaugelas priez pour moi, car j’ai encore péché.
Phil, c’est pas bien de venir après la bataille et de dire n’importe quoi.
Je vous conseille le livre » retour à Séfarad », y’a plein de morand dedans.
« Je suis en train de relire à fond la Genèse. »
C’est bien de réviser ses lacunes, surtout quand on sait que wgg connaît très mal la Bible. Il est temps de s’y mettre, et mieux vaut tard que jamais…
« le flagellant de Séville » était au chevet du considérable passou alors que vous étiez en couche-culottes, dear lavie. retour de bâtons séfarades.
@retour de bâtons séfarades.
Pauvre Phil quand vous êtes insultant, vous êtes vraiment pitoyable. La toxicité morandesque, lâche et grotesque, sans doute.
Vous ne savez vraiment pas de quoi vous causez.
« le bâton » des Sefarades ?
Il est dans le Has Oda. Salle des Reliques du Topkapi à Istanbul.
wgg connaît très mal la Bible
c’est cqui faut..dracul et lassouline y écrivent que des scénar de série z..genre dan marron produit par harvey..où que le roi d’espagne s’adresse directement au héro attation..bon c’est un peu comme toi dlalourde..c’est pour le marché américain..mais ça manque de flingue
« Madeleine chez les ch’tis »
hon peut leur partager fastochement son mépris térezoune..même toi
Je ne voudrais pas faire peur à tout le monde, j’ai une sainte horreur de ça
une sainte..sapré dédé..’c’est pas a un vieux singe..’ qui dirait yavé..qui touche sa bille faut rconnaite..faut saluer l’artiss
ON PEUT PARRAINER UN CORAIL
pour les ptis chiens c’est bernique hin l’écorcheur
@une sainte
No, Your Product
https://www.youtube.com/watch?v=A4-tr2aB6Nc
light my fire
https://www.youtube.com/watch?v=sRQwLqSoIzI
« Je pense à Troyat. »
Quand Henri Troyat est mort, qui avait écrit des sagas familiales tout à fait estimables (qui valait très certainement Lemaitre), Passou n’a pas écrit une ligne LVDB.
Assez pitoyable.
depuis tant d’années, la maitresse m’a à la bonne et j’en jouis.
c’est le chouchou ; pendant que les autres ont un carré de chocolat, il en a deux.
A ma connaissance, moi qui ai aussi défendu Brague, je ne suis pas « personne » Delaporte…
Delaporte est non seulement d’une bêtise abyssale (je n’ai jamais répondu à ses absurdités sur la fin du travail, tellement elles s’écroulent d’elles-mêmes), mais il est en plus malhonnête.
Se faire rembourser un livre qu’on a lu par son libraire, c’est du vol, tout simplement. Et il s’en vante, il donne le « truc » qu’il a utilisé plusieurs fois à tout le monde. Les libraires sont au bord de la noyade financière pour la plupart. C’est immonde de les arnaquer.
Et en plus, il se dit chrétien…
La totale!
Every guy wants to be here baby https://youtu.be/Q6WJ7RfSrI8
À demain
Ah, Aragon et la Résistance
Le poème d’Aragon à la gloire du Guépéou ?
« Prélude au temps des cerises »
Il s’agit de préparer le procès monstre
d’un monde monstrueux
Aiguisez demain sur la pierre
Préparez les conseils d’ouvriers et soldats
Constituez le tribunal révolutionnaire
J’appelle la Terreur du fond de mes poumons
Je chante le Guépéou qui se forme
en France à l’heure qu’il est
Je chante le Guépéou nécessaire de France
Je chante les Guépéous de nulle part et de partout
Je demande un Guépéou pour préparer la fin d’un monde
Demandez un Guépéou pour préparer la fin d’un monde
pour défendre ceux qui sont trahis
pour défendre ceux qui sont toujours trahis
Demandez un Guépéou vous qu’on plie et vous qu’on tue
Demandez un Guépéou
Il vous faut un Guépéou
Vive le Guépéou véritable image de la grandeur matérialiste
Vive le Guépéou contre Dieu Chiappe et la Marseillaise
Vive le Guépéou contre le pape et les poux
Vive le Guépéou contre la résignation des banques
Vive le Guépéou contre les manoeuvres de l’Est
Vive le Guépéou contre la famille
Vive le Guépéou contre les lois scélérates
Vive le Guépéou contre le socialisme des assassins du type
Caballero Boncour Mac Donald Zoergibe
Vive le Guépéou contre tous les ennemis du prolétariat. »
Editions Denoël
1931
C’est quoi le Guépéou ?
the beat to keep – Passou joue au Kérouac down south ?
https://www.youtube.com/watch?v=fQLNaHyAUl8
Dear Lavie, toujours sur trampoline ! Infini respect pour le considérable passou en blog, ai lu Le flagellant en entier mais simplement le titre de son nouvel opus. Avec quel vin enfilez-vous la tomme de Savoie ?
jambon d’york et ville rose
https://www.youtube.com/watch?v=3HUGeA2lur4
@Avec quel vin enfilez-vous
Fleurie avec l’un, Fino avec l’autre
Au tombeau des patriarches à Hébron Jacob est enterré avec Léa ; chacun se demande bien pourquoi.
Widergänger je vous donne mon autorisation pour que vous répondiez « j’ai une copine de blog qui lit Rabelais, elle s’appelle rose ». Comme cela il n’aura plus d’argument à vous rétorquer au dîner chez votre amie..
En revanche sur le sagas romanesques du XXème qui mettent en scène plusieurs générations
j’en vois deux
la dynastie des Forsyte et les Buddenbrook
Se faire rembourser un livre qu’on a lu par son libraire, c’est du vol, tout simplement.
non : moi je l’ai fait une fois ; j’avais lu une critique dithyrambique ici. Je ne sais pas ce qui m’a pris cela m’a servi de leçon pour les fois suivantes, je suis allée acheter le roman je l’ai lu le lendemain je l’ai ramené c’était d’une nullité incommensurable. Le problème était que je ne le voyais pas transiter par ma bibliothèque et pas plus par ma maison, fallait qu’il reparte.
Avec l’argent que je laisse chez ma libraire, elle m’a passé ce caprice ; j’en ai acheté d’autres illico.
@mondo bizarro
CENSORSHIT
https://www.youtube.com/watch?v=e5PzZH0CkTU
Tipper, what’s that sticker sticking on my CD?
Is that some kind of warning to protect me?
Freedom of choice needs a stronger, stronger voice.
You can stamp out the source, but you
can’t stop creative thoughts.
Ah, Tipper come on, ain’t you been getting it on?
Ask Ozzie, Zappa or me.
We’ll show you what it’s like to be free.
Ah, Tipper come on, it’s just a smoke
screen for the real problems.
S&L deficit, the homeless, the environment.
Hey, hey all you senators wives.
Better take a good look at your
own lives.
Before you go preaching to me.
You’re definitions of obscenity.
Ah, Tipper come on, ain’t you been getting it on?
Ask Ozzie, Zappa or me.
We’ll show you what it’s like to be free.
The irony it semes it seems to me
it’s un-American policy.
Yeah, we’e come so far but still only to
find people like you with ignorant minds.
Ah, Tipper come on, ain’t you been getting it on?
Ask Ozzie, Zappa or me.
We’ll show you what it’s like to be free.
Ah, Tipper come on, it’s just a smoke
screen for the real problems.
S&L deficit, the homeless, the environment
En définitive, trois goys (par ordre d’enthousiasme : LVDLB, Christiane et Chaloux) et un pelé (JC) semblent avoir aimé le « roman » de Passou. Les Ashkénazes l’ont snobé et pas un Séfarad ne l’a défendu. Nul n’est prophète…
Pour ce qui est de la critique dithyrambique, c’est bien ce qui m’était arrrivé, avec la critique dithyrambique sur ce blog. J’ai rendu le livre, ce qui évidemment était une protestation. Il était libre de rembourser ou d’échanger. Il n’y a pas de vol, et je suis libre d’y retourner ou pas. S’il y a une période de remboursement (une semaine), rendre fait partie du contrat et ne peut être un vol.
Closer, il y a plein de choses superbes chez Troyat. Peut-être les faux pas de la fin… Son Balzac est un démarquage reformulé de celui de Maurois, c’est très frappant quand on ouvre les deux livres sur une table. Exactement les mêmes choses aux mêmes pages. Et son Juliette Drouet lui a valu pal mal d’ennuis. Mais c’est tout de même un écrivain très puissant.
« Se faire rembourser un livre qu’on a lu par son libraire, c’est du vol, tout simplement. »
C’est ce qui me semblait, mais le libraire à qui j’ai rendu le livre de Brague permet les retours. Donc, j’ai profité de sa libéralité, avec en plus le divin titillement de commettre une mauvaise action ; et qui plus est à l’encontre de Rémi Brague que j’ai appris sur deux cents pages et quelques à détester… Ce mauvais auteur ne me devait-il pas ce plaisir interdit après la souffrance que j’ai pris à le lire ?
En plus, le libraire m’a fait un à-valoir valable uniquement dans son magasin. Pour en bénéficier, je devrais pas conséquent choisir bientôt un autre livre neuf – en espérant ce coup-là ne pas me tromper !
Ce qu’il y a d’extraordinaire, c’est que, si je me trompe à nouveau, je pourrai rapporter le livre deux jours après, et bénéficier d’un nouvel à-valoir. Et ceci indéfiniment.
D’un autre côté, c’est une bonne leçon donnée aux libraires, aux éditeurs et aux auteurs. Si chaque lecteur, déçu par la marchandise, rapportait le mauvais livre, les libraires, qui sont censés être responsables, feraient peut-être mieux leur travail. Il y a une engeance infernale des libraires, qui se croient permis de vendre la moindre daube. Y a-t-il une sanction en cas de tromperie sur le produit ? Non. Donc, rapporter le livre est un acte de salubrité publique. Un acte citoyen… de défense du consommateur/lecteur.
Si on pouvait a-valer Delaporte et qu’on en parle plus…
La confession glaçante de Natalie Portman à la Marche des femmes :
« J’étais toute excitée quand j’ai ouvert ma première lettre de fan et c’était un viol fantasmé qu’un homme m’avait écrit. »
Il y a un endroit où vous pouvez pratiquer sans problème ce que vous décrivez: ça s’appelle une bibliothèque. En plus vous n’aurez pas du tout mauvaise conscience, ce qui est quand même préférable pour un catho comme vous.
Et si par hasard le livre vous plait au point que vous avez envie de le garder, là vous allez faire un petit tour chez votre libraire et vous l’achetez.
@JAZZI dit: 22 janvier 2018 à 22 h 30 min
Un compte pour un, Jazzi. Qu’importe les autres lecteurs, tous les autres lecteurs. Face à un texte, face à un livre on est seul à décider si on embarque ou si on reste à quai.
Toutefois, tu poses une question importante, déjà posée par JC : être « goy » change-t-il l’accès à ce « Retour à Séfarade » ?(pour les deux autres catégories , je ne peux trancher !)
Je crois que ma façon de lire cet étrange road-movie m’a délesté de ce souci. Je l’ai déjà écrit, quand on cherche à accompagner un écrivain dans son écriture, ce n’est pas un livre de lui mais plusieurs qu’il faut traverser. Là seulement, tu es au seuil d’une énigme : pourquoi il écrit, comment il écrit, qu’est-ce qui reste du livre, de ses livres lus… J’ai fait cela avec les livres d’O.Rolin, de J-P.Amette, du long ruban de Proust, de V.Jankélévitch, de Pessoa et de ses hétéronymes… de Camus, de G S. Colette… et de bien d’autres… Tout cela au fil du temps, sans chercher à comparer les uns avec les autres. On peut être l’écrivain inoubliable d’un seul livre. La vie les a mis sur mon chemin, par leurs livres, soit vivants, soit morts.
Donc pour en revenir à ce livre, je l’ai traversé à ma façon, y ai retrouvé un promeneur qui me devient familier par sa façon de s’aventurer dans l’écriture. Que les autres aiment ou n’aiment pas , m’est complètement égal.
En ce qui te concerne, le fait que l’ayant « feuilleté » tu aies porté un jugement aussi définitif, m’a choqué – et pas que tu ne l’apprécies pas. Pour W. c’est qu’il ait transformé une critique littéraire en massacre à la tronçonneuse.
Pour le reste, j’attends toujours que tu donnes une suite à ces quelques lignes de l’intro que j’ai citée (« Le goût de la marche »). Et oui, hors littérature, je pense que tu es parfois un opportuniste.
qu’il reste
Lavande,
je pense que vous êtes la personnalité la plus proche de DHH. J’aime beaucoup votre humour.
Que les autres aiment ou n’aiment pas , m’est complètement égal
propos de couleuvre..les vraies elle causent pas
ma première lettre de fan
comment qu’on dit déjà..’violation de correspondance’?
En plus vous n’aurez pas du tout mauvaise conscience, ce qui est quand même préférable pour un catho comme vous
à collier celle là..tatata..dans la génèse
@Chaloux
Vous m’avez agréablement impressionnée par votre façon de témoigner de votre lecture de « Retour à Séfarade ». Vous savez être calme poser des jugements pleins de finesse et de bon sens.
(Naturellement on ne vous trouvera jamais dans « La légende Dorée » car vous vous transformez en diablotin à l’approche de WGG !)
Avez-vous des nouvelles de Pablo ?
« Se faire rembourser un livre qu’on a lu par son libraire, c’est du vol, tout simplement. »
c’est dans le deutéronome du pti commerçant? non et même vergèze nozrait pas plaider..l’est hévident dlalourde que par c’est une pression qui t’es donné par une concurence du produit numérisé..le statut de lecteur n’est pas le consommateur mais le sponsor..le mécène..c’est hun peu moins dingue que lassouline et dracul se prennant pour des hidalgo à qui félipé cause personnellement..et ça srait hun peu plus hutile à la république des livres..hen hont il vraiment a phoutre
Vous savez être calme poser des jugements pleins de finesse et de bon sens.
tsssssss au dsus dta tête
En définitive, trois goys (par ordre d’enthousiasme : LVDLB, Christiane et Chaloux) et un pelé (JC) semblent avoir aimé le « roman » de Passou. Les Ashkénazes l’ont snobé et pas un Séfarad ne l’a défendu. Nul n’est prophète…
t’es un lourd baroz..un gros lourd..même pour pécho le poisson chat tu vaudrais pas un caramel..
@un jugement aussi définitif, m’a choqué & je pense que vous êtes la personnalité la plus proche de DHH. J’aime beaucoup votre humour.
Mais non, vous n’en êtes pas si éloignée
Si on pouvait a-valer Delaporte et qu’on en parle plus…
que ne le mets tu a ton pti déj dédé..que ne..
Laissz donc Pablo où il est. On a déjà assez de débiles mentaux à gérer ici, tels delalourde, qui est chrétien comm moi je suis Pape, et chaloux, qui a mangé son piano et croit savoir lire…
Avant de tuer un mouton,
apprendre à voler un livre.
qui est chrétien comm moi je suis Pape
et toi..t’es tu telment bien donné lmal de naitre dracul..
Avant de tuer un mouton
et dieu sait que tuer une bête qui ne t’as rien fait c’est quelquechose..henfin c’est moins pire que son fiston dirait dracul
Ce qui est navrant dans le vrais faux roman de Passou, c’est que le rapport entre récit personnel et histoire n’est absolument pas articulé dans la trame narrative. Les parties personnelles ne sont là que pour introduire bien souvent à la conférnce roborative sur tel ou tel point d’histoire des Séfarade allégrement pompé dans la tonne de références à la fin du volume. Ce qui fait que le contenu autobiographique sert de ciment entre des pavés d’histoire impersonnelle qui tiennent du cours d’histoire ex-cathédra sans aucun ménagement pour l’intérêt du lecteur qui s’ennuie, attendant une trame narrative qui n vient jamais.
C’est un problème de narratologie : faute d’avoir compris qu’il n’y a jamais vraiment dans un roman d’ekphrasis, de développement à part de la narration, mais que toute digression n’en est pas une sinon tissée dans la trame de l’histoire des personnages, Passou a transformé son pseudo « roman » en un pavé illisible et ennuyeux. Faute ce faisant de la prise en compte du lecteur qui est méprisé ici.
C’est me faire injure que de considérer mes analyses littéraires comme un « massacre à la tronçonneuse ». C’est surtout ne rien y comprendre. Il ne s’agit pas de massacrer ce qui ne mérite pas de l’être, il s’agit de dénoncer les défauts massifs d’une narration inconsistante et très académique, sans vie, mort-née.
yavé a dit..’au lieu de tuer cette pove bête vas tirer la thora chez un sale goye a la fnac..dailleurs c’est pas voler..t’absolvo’..franchment dracul c’est presque a sdonner l’envie d’avoir le mal de naitre..presque..yavé y’est pas hautant qu’ça sadique non pus
@et après la boue
nuance : Perhaps they’ll die
https://www.youtube.com/watch?v=K6GAGdBiJF0
Laissons la fistule à Dracul…
Le mouton n’y est pour rien.
En revanche,
se frotter aux livres…
C’est me faire injure que de considérer mes analyses littéraires comme un « massacre à la tronçonneuse »
tu sais que ‘tête de cuir’ plait vachtement au gonzesse..plus qu’avec un galure noir et des frisette dracul..dmande à bonne clopine
Jarmusch à pied de nez
https://www.youtube.com/watch?v=Zo4Y0TxW41g
I Don’t Want To Grow Up
https://www.dailymotion.com/video/x20nw8
Ventre plein,
couilles vides,
A bonne en tender.
Christiane, j’ai un peu exagéré avec cette histoire de conversion -mais il y a tout de même quelque chose dans cette direction-là, je répondrai un de ces jours à la question de Jazzy-, parce que la comparaison Kadhafi m’a franchement désolé, par vengeance en quelque sorte. Reste que je crois que, par-delà les sottises minables que Blabla peinturlure ici depuis une semaine, par jalousie, dépit et constat -qu’il devrait nous épargner- de son définitif échec personnel et littéraire, Sefarad est un livre très intéressant et très fort. Je ne le lis pas trop vite parce qu’il est plein de résonances, d’une certaine manière assez violent, et qu’on ne gagne pas à se précipiter dessus pour produire des kilomètres de commentaires ineptes comme je ne dirais pas qui (déjà fait). Quant à Assouline, il faudrait arrêter de le prendre pour un c… et pour un écrivain raté. Il n’est ni l’un ni l’autre.
(Pablo, j’aimerais bien savoir ce qu’il fabrique…).
Whispering Pines
https://www.youtube.com/watch?v=CYxReI1ZYU8
Passou a tout simplment oublié que ce qui doit primer sur tout dans une narration, c’est le plaisir du lecteur.
Une digression n’a de sens et de pertinence narrative que si elle renforce le plaisir du lecteur. Si les digressions à l’infini du Tristram Shandy font au final la trame narrative du roman, c’est bien qu’elles sont au service du plaisir du lecteur dont l’intérêt est simplement dévié vers une autre trame parralèle à celle attendue qui en délivre le secret en quelque sorte.
C’est tout un art de savoir digression en racontant. Ce n’est en tout cas certainement pas de plaquer artificiellement un contenu historique extradiégétique, comme dirait Roland la clope au bec…
savoir digression >> savoir digresser
Il y a une petite ambiguïté dans le style d’Assouline, qui semble vous prévenir que ce ne sera pas de la littérature. C’est un truc pour détourner l’attention,- en fait il la détourne souvent, comme s’il ne tenait pas tant que ça à être lu, dans le sens de déchiffré. Évidemment le gros naze de pion de collège qui pondra son chef-d’œuvre quand les poules auront des dents, a sauté dans le panneau à pieds joints.
Retourne plutôt sur les bancs de l’école avant de nous sortir tes âneries, vieil hibou déplumé…!
Monsieur je sais tout ne fait rien, c’est dans l’ordre des choses. Mais que d’ignorance il faut pour produire un chef-d’œuvre! Dans les contes russes, le plus intelligent de l’histoire s’appelle souvent l’idiot. A méditer par ceux qui en auront le pouvoir.
Les bancs de l’école n’ont pas trop l’air d’avoir trop profité à la production littéraire de tout le monde…
L’archéologie a fait d’incroyables progrès. Un certain archéologie Colins a retrouvé la cité de Sodome, qui ne se situe pas au sud-est de la Mer Morte comme on le croyait mais au nord-est pas loin au final de Qumran. Il a retrouvé le tel où ses ruines étaient enfouies avec des restes humains qui prouvent qu’une gigantesque déflagration aérienne a eu lieu détruisant tout sur son passage. L’explication qu’il en donne, très convaincante, c’est une météorite qui a explosé avant d’atteindre le sol et ainsi détruit entièrement cette cité vers -1800 au moment où Abraham est censé avoir été présent pas loin pour voir la catastrophe se produire. Je crois qu’on tient là la clé de cette énigme. Lesscribes ont ensuite, plusieurs siècls plus tard à partir de récits oraux de la catastrophe cosmique greffé une interprétation morale qui voit dans cette catastrophe une punition de Yahvé contre les sodomites. C’est en fait un récit anti-gay, sans que ce soit explicite mais suffisamment suggéré tout de même.
Mais t’es tellement idiot, mon brave chaloux, que tu ne comprends même pas ce que veut dire « idiot » chez Dostoïevski. T’es juste un âne bâté.
Mon pauvre Blabla, tout en toi est si parfaitement raté qu’il faut bien te laisser les consolations de l’insulte.
Et puis Christiane, comme vous le savez sans doute, pour qu’il y ait sainteté il faut qu’il y ait conversion, c’est à dire retournement complet de l’être. Ceux qui sont appelés à devenir des saints sont au début de leur vie rarement très recommandables.
chaloux s’imagine en saint dans le futur…
The Band – The Weight
Recorded Live: 11/25/1976 – Winterland – San Francisco, CA
En novembre 2017, Michel Onfray publiait chez Gallimard Nager avec les piranhas, un «carnet guyanais» bourré d’approximations et d’erreurs, tiré de son expérience en Guyane et de son très bref passage dans le village amérindien de Taluen. En quatre-vingts pages, l’écrivain aux quatre-vingt-dix ouvrages méprise toute l’anthropologie française, mais aussi les efforts de nombreux professionnels en poste en Guyane. Surtout, il fait ce qu’aucun intellectuel sérieux n’ose plus faire depuis des années: parler au nom d’un peuple à qui il ne donne jamais la parole. Car de la pléiade d’erreurs qui constellent l’ouvrage –pourtant paru dans la collection «Blanche», présentée comme la plus prestigieuse de la maison d’édition– ce qui ressort, c’est surtout que Michel Onfray sait ce qu’il faut faire des Amérindiens de Guyane, mais n’a pas pensé à leur demander leur avis.
L’enfer, c’est l’écriture.
Phil, 22h01, merci d’en revenir à plus d’urbanité, en évitant de nous servir du picon-bière, qui va bien pour cette littérature du Ffffraaanprix. Si vous me prenez par les sentiments gastronomiques, je dirais que ça va dépendre de votre descente, à la montagne. Un Cheval Blanc pourrait peut-être étancher votre soif.
Si » Passou » est parti en Espagne avec morand dans le sac à dos, cela explique bien des orthodoxies, peu catholiques. Ah.
Dédé, ma merveilleuse chatte défuntée de vieillesse dans mes bras impuissants à retenir sa vie s’appelait Mimi von Maurlaw …
J’ai lu avec plaisir quelques livres de Pierre Assouline jusqu’à RETOUR A SEFARAD, ouvrage où je ne retrouve pas la patte du bonhomme …
Le sujet, peut être ?
Trop chiant pour un goy de souche ? mais pas seulement… une narration décousue, un récit éclaté, une errance où sauts et gambades sont le fait d’un handicap non maitrisé plutôt qu’une démarche active.
Déçu, très déçu … et une pause pour laver le sol en marbre de la poussière du temps, du malheur et du désir inconsidéré d’y remédier !
Bien entendu, nous ne parlerons pas de remboursement …. ce caillou fait partie de l’édifice.
Mimi von Maurlaw
Vous êtes bien (chat) perché tout de même !
Quelle belle mort…D’habitude, on détecte une boule sous la peau de ces pauvres bêtes, on l’enlève, mais c’est trop tard. Le cancer progresse jusqu’à ce que même le thon ne leur donne plus envie. Amaigris, affaiblis, un vétérinaire les pique et le maître rentre chez lui avec une cage de transport vide. L’horreur.
à 4 h 11 et alii
vous nous parlez de la rançon de la gloire.
le désintérêt parfait pour autrui
il y a d’ autres étapes puis les sunlights s’éteignent.
Le plaisir du lecteur certes mais également en gardant le fil du récit.
Je ne crois pas que l’on puisse dire que le récit est une démonstration. Toutefois tout est mis en oeuvre pour nous mener au bout : pause descriptive ou bien pause explicative, ellipse narrative, tout permet une pause au lecteur avant de reprendre le fil de la narration.
La digression, Bruce Chatwin la pratique Sterne abondamment, ramène incessamment au sujet traité. À mes yeux la digression ouvre l’amplitude.
Ed, nous nous écroulèrent? Et ils s’endormîmes?
JC bonjour
lvvdlb aussi
Et Ed et Chaloux aussi
Bonjour Rose.
L’immaturité du lecteur chemine hélas avec les autres. Celle du citoyen, etc.
Ce qui tombe sous le sens n’est pas toujours le sens.
ce qui tombe sous le sens n’est pas toujours le sens
d’accord avec le fil de la narration ténu puissant prenant
Bonjour rose
Chaloux,
C’est corrigé. Quand je vous dis que l’écriture, c’est l’enfer ! J’ai relu mon texte 3 fois et n’ai même pas vu cette énormité.
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