Pour en finir avec la guerre d’Algérie
Si Benjamin Stora a fait sienne de longue date la fameuse formule de Pierre Nora (« L’Histoire rassemble, la mémoire divise »), elle ne l’aura jamais autant éclairé que cet été. Il l’aura passé à rédiger le rapport commandé par le président de la République sur « la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie ». La lettre de mission invite l’historien internationalement reconnu pour son expertise à dresser « un état des lieux » dans un but de réconciliation entre les peuples.
Eprouvé par des années de controverses et de polémiques, le rapporteur sait d’expérience que son texte se retrouvera pris dans un feu croisé entre, côté français, la droite nationaliste qui ne veut rien avoir à faire avec l’Algérie, et côté algérien, les nationalistes et les islamo-conservateurs qui estiment que leur peuple a été victime d’un génocide et vivent de la mémoire de guerre. Aussi, avant même s’il en ait écrit le premier mot, ses détracteurs (Jean Sévillia en tête dans le Figaro) en ont dénoncé par anticipation le caractère « partial et partiel » sinon « complaisant ». En novembre dernier, quelques 400 intellectuels avaient signé une pétition soutenant Benjamin Stora après que l’hebdomadaire Valeurs actuelles eut publié un portrait abject dans lequel des contre-vérités et des insinuations se mêlaient à des attaques sur son physique, le tout exhalant un fumet typique d’une certaine presse de l’entre-deux-guerres.
Pas question de « mémoire historique » ni de « travail mémoriel » comme on a pu déjà le lire ici ou là- ce qui n’empêchera pas de raviver les tensions entre mémoire et histoire. Pas de commission d’experts, pas de budget, pas de locaux, pas de consultations tous azimuts, pas d’enquête franco-algérienne (à l’annonce de sa mission, il y en a même eus pour lui envoyer des CV de candidature !). Juste le travail bénévole d’un seul historien et professeur des universités dont Emmanuel Macron, qui avait autrefois assisté à quelques unes de ses conférences sur le sujet, attend qu’il use de son expérience (plus de quarante ans de recherches depuis sa maitrise sur Messali Hadj à Paris X en 1974 sous la direction de René Rémond, une dizaine de documentaires, la présidence et la direction d’une vingtaine de thèses, une quarantaine de livres seul ou en collaboration dont le plus récent Une mémoire algérienne en rassemble six dans la collection Bouquins/ Robert Laffont) pour lui faire des « recommandations ». Ce n’est d’ailleurs pas la première fois puisqu’en 2018, Stora ne fut pas étranger (même si l’initiative en revient à Cédric Villani) à la reconnaissance de la responsabilité de l’Armée, et donc de l’Etat français, dans l’assassinat et la disparition du mathématicien et militant communiste Maurice Audin pendant la bataille d’Alger en 1957.
Le chercheur et le président ne sont pas seulement séparés par une génération. Jamais le premier ne parlerait de « crimes contre l’humanité » pour définir la colonisation française de l’Algérie comme le fit le second ; ce propos, énoncé durant la campagne électorale et jamais regretté depuis, n’était pas un propos de campagne mais bien le reflet d’une conviction ; or le pied-noir en Stora se refusera toujours à blesser et humilier ainsi sa propre famille- les siens au sens large. Nul n’est plus conscient que cette guerre touche encore des millions de gens en France. Raison de plus pour que son rapport réponde à tous les groupes : pieds-noirs, harkis, algériens etc sans oublier les historiens sur la question des archives !
A suivre Benjamin Stora (Constantine, 1950), on comprend bien que tout ce qu’il entreprend désormais invite à dépasser la guerre d’Algérie, à considérer ce pays comme un partenaire indispensable de la France sur le plan géopolitique. Ses livres donnent une idée de la direction que ses préconisations prendront : pour sortir de l’amnésie, mettre à distance la martyrologie, aller vers plus de vérité des deux côtés de la Méditerranée, il plaidera pour une vraie reconnaissance des pratiques criminelles de part et d’autre pendant la guerre d’Algérie. On comprendra peut-être mieux le paradoxe selon lequel les mémoires saignent encore à mesure que le travail académique progresse. On peut croire que son rapport, issu d’une réflexion personnelle, appellera à regarder le passé en face. A quoi bon sortir de l’oubli si c’est pour se retrouver dans des conflits mémoriels ? La guerre d’Algérie serait alors une guerre sans fin.
P.S. : rajout du 23 janvier 2021 : on peut lire le rapport Stora ici : https://bit.ly/2KG9pOB.
1 302 Réponses pour Pour en finir avec la guerre d’Algérie
« Cette phrase « je crois en cet idéal » reste pertinente. » (Dexter)
Euh !… elle a été, elle est, elle sera, toujours conne cette phrase ! Idéal communiste, ou autre
BàT, camarade…
HOMMAGE A JIBE
»On appelle République l’emballage usé d’un cadeau trompeur révolutionnaire, la Démocratie » (JiCé)
Quand on prend la peine de lire cette phrase en y réfléchissant un brin, elle est complètement idiote. (JiBé)
Etre jugé idiot par un con est un délice !
(…perpétuel, dans ce cas ….amitiés à la famille …uhuhu !)
Né en Espagne, Pablo Picasso aurait pu également être français pendant une bonne partie de sa vie. L’artiste déposa en effet une demande de naturalisation le 3 avril 1940. Celle-ci fut cependant refusée, sans doute à cause de ses sympathies communistes. Vexé, Picasso ne renouvela jamais sa demande.
Je ne sais plus dans quel livre, Claude Simon parle de l’atelier de Picasso dans une villa du quartier de la Californie, sur les hauteurs de Cannes. Simon et quelques autres étaient présents dans la pièce quand entra Cocteau : le poète et le peintre échangèrent alors les derniers potins à la mode. Après le départ de Jean Cocteau, Pablo dit alors à l’auditoire médusé : « nous sommes deux vieilles putains ».
Autant dire « je crois en l’idéal national soscialiste » ou « je crois en l’idéal franquiste » n’aurait aucun sens, autant le fait de continuer de dire qu’il croit en cet idéal communiste dans les années 60 continue de faire sens.
puck dit:
Pourtant dans les années 60 on connaissait déjà très bien les millions de morts que l’idéal communiste avait produit. Et on savait que l’idéal communiste conduisait directement aux goulags, aux pays-prison, aux massacres de tous les révoltés, à la suppression de toutes les libertés, à un totalitarisme pur et dur comme on ne l’avait jamais connu dans l’histoire de l’humanité.
L’idéal communiste dans les années 60 continuait « de faire sens » chez les fascistes de gauche, les ordures morales, les cyniques, les crétins, les naïfs, les opportunistes, les frustrés et les cons finis.
Toi tu es un bon exemple de tout cela ensemble.
picasso:
» Comme je voulais frapper plus fort que les intellectuels discoureurs, j’ai décidé de la graver, pour qu’elle puisse être tirée en cartes postales vendues au profit des républicains. »
Dans un entretien publié dans les Lettres françaises, il dira : « la peinture n’est pas faite pour décorer les appartements. C’est une arme de guerre offensive et défensive contre l’ennemi ». C’est à la fois politique et esthétique quand bien même ce n’est sans doute pas vrai de toutes ses périodes mais le fait est que pour Picasso il n’a jamais été question de déposer les armes. Quelques jours après son adhésion, un magazine américain sollicite du PCF qu’il lui arrange un entretien avec Picasso. Le 29 octobre, à la suite du magazine en question, l’Humanité publie le célèbre texte du peintre : « Mon adhésion au Parti communiste est la suite logique de toute ma vie, de toute mon œuvre. Car, je suis fier de le dire, je n’ai jamais considéré la peinture comme un art de simple agrément, de distraction ; j’ai voulu, par le dessin et la couleur, puisque c’étaient là mes armes, pénétrer toujours plus avant dans la connaissance des hommes et du monde afin que cette connaissance nous libère tous chaque jour davantage ; j’ai essayé de dire, à ma façon, ce que je considérais comme le plus vrai, le plus juste, le meilleur, et c’était naturellement toujours le plus beau, les plus grands artistes le savent bien. Oui, j’ai conscience d’avoir toujours lutté par ma peinture en véritable révolutionnaire. Mais j’ai compris maintenant que cela même ne suffit pas ; ces années d’oppression terrible m’ont démontré que je devais non seulement combattre par mon art, mais de tout moi-même. (…) En attendant que l’Espagne puisse enfin m’accueillir, le Parti communiste français m’a ouvert les bras, j’y ai trouvé tous ceux que j’estime le plus, les plus grands savants, les plus grands poètes et tous ces visages d’insurgés parisiens si beaux, que j’ai vus pendant les journées d’août. Je suis de nouveau parmi mes frères. »
. Dans l’Humanité du 5 octobre 1944 « Promesse inouïe » par Paul Éluard « Nous vivons un temps blanc et noir où, lorsque l’horreur s’écarte un peu, des promesses inouïes partout se font jour, éclairant l’avenir. Contre les misères que notre pays a subies, les meilleurs d’entre les hommes ont combattu, Joliot-Curie, Langevin, Francis Jourdain, Picasso ont toute leur vie été au service de l’homme. Ils se rangent résolument aux côtés des travailleurs et des paysans. J’ai vu aujourd’hui Pablo Picasso et Marcel Cachin s’embrasser. Et j’ai vérifié la noblesse de l’intelligence et du cœur en entendant Picasso remercier le peuple de France en adhérant à son plus grand Parti : celui des fusillés. »
Pablo75 dit: pourtant dans les années 60 on connaissait déjà très bien (..)
pedro, vous êtes le type sans doute le plus con que j’ai croisé sur ce blog, vous êtes décidément bouché comme un coin. c’est bien dommage pour ce blog qui est bien loin de ce qu’il a été.
je vous parle d’idéalisme et vous me répondez idéologie ! et vous parlez sans même vous rendre compte que l’idéologue c’est vous !
relisez à tête reposée les 2 commentaires de et alli et on en reparle après ! ok ?
Picasso, sa monstrueuse indifférence pour les affaires d’autrui et son égocentrisme…
(Jean Cocteau. Journal, 1958-1959)
Picasso adhère au PCF en 1944… ce qui est tout de même très tardif !
(Marcelin Pleynet)
je vous parle d’idéalisme et vous me répondez idéologie !
puck dit:
Toutes les idéologies sont la dégénération d’un idéalisme, Gros Crétin.
S’il y a quelque chose qui nous a appris le XXe siècle c’est que tous les idéalismes, mis en pratique, conduisent aux massacres.
Lis Cioran, Gros Inculte.
(Ton inculture me surprendra toujours. Elle est bien plus étendue et profonde que le laisse penser ta vantardise de marseillais).
Une partie du cimetière s’est effondré emporté par les eaux et l’on a pu voir des cercueils mis au jour et jusque flottant dans la rivière des dépouilles de défunts.
Bon. Cela est en effet choquant et les dépouilles mortelles doivent être respectées.
Ici c’est une violation par catastrophe naturelle.
Pourtant en Égypte ce sont incessamment des violations intentionnelles.
Le grand public peut voir les photos des momies.
Peut même les visiter en vrai. Celles-ci sont souvent déplacées dans des réserves où carrément exposées dans des salles de musées.
Non. Ce devrait être la seule affaire de spécialistes archéologues. Le grand public n’a pas de droit à regarder un défunt même ancien. Un tombeau aussi somptueux soit-il peut être inventorié et étudié par des spécialistes mais n’est pas un lieu de visite et tout ce qui en sort doit y retourner très vite.
Je vous avais prévenu que l’inacceptable exposition du « trésor de Tout-Ankh-Amon » apporterait beaucoup de malheur à la France.
Pablo75 et puck, vous parlez d’un temps, en gros de la guerre d’Espagne à la guerre d’Algérie, où l’engagement, généralement à gauche, était un passage obligé pour les intellectuels.
La question de la conviction ou de l’opportunisme est un vaste sujet !
Voyez l’exemple de Claude Simon, dont on ne peut pas dire qu’il fut un écrivain politique.
En 1962, il fait paraitre « Le Palace » où il raconte sa guerre d’Espagne.
Auparavant, en septembre 1960, il avait signé le Manifeste des 121, appelant à la désertion pour la guerre d’Algérie…
Pablo75 dit: Toutes les idéologies sont la dégénération d’un idéalisme, Gros Crétin.
S’il y a quelque chose qui nous a appris le XXe siècle c’est que tous les idéalismes, mis en pratique, conduisent aux massacres.
»
Pablo : essayez de comprendre ce que vous écrivez : « s’il y a quelque chose que nous appris le 20è siècle »
vous parlez comme un type qui imagine qu’il va gagner le tiercé parce qu’il pense pouvoir parier après la course !
vous parlez de choses qui se sont passées dans les années 30, 40, 50 etc… avec le recul d’un type qui vit en 2020 !!!!
êtes-vous capable de vous rendre compte de l’imbécilité que cela représente espèce de gros crétin que vosu êtes !!!!
Jazzi, quel opportunisme ? l’oeuvre d’un type comme Picasso ne peut simplement pas exister si elle n’est pas portée par des convictions / idéaux, croyances etc… plus fortes que lui.
là encore nous jugeons le passé du haut de notre présent, un présent où tout n’est qu’opportunisme, où la conscience politique est réduite à la revendication de droits identitaires etc…
la différence entre le nazisme et le communisme est que ce dernier ne peut être réduit à Staline, le goulag et Mao, il a représenté bien plus en terme d’espérance pour en tas de gens, que ces gens se retrouve entubés par l’histoire et par les leçons de morale des uns et des autres, on connait bien ça depuis les « nouveaux philosophes » bhl, Finky qui ne loupe jamais une occasion de reparler de Kundéra etc…
sauf que si nous restons coincés dans cette dialectique de l’histoire on passe à côt » de l’esentiel.
et à partir de là on peut voir des types comme notre pedro avec ses jugements moraux manichéens sur Breton, Eluard, Aragon et autres dont on peut aujourd’hui se moquer parce qu’ils se sont trompés, dont on peut moquer ces erreurs avec notre recul.
mais c’est aussi débile qu’un athée qui se moquerait de la musique des paroles des cantates de Bach sous prétexte qu’elle redisent ce qui écrit dans les évangiles, et que comme chacun sait aujourd’hui : Jésus n’a jamais existé !
voilà où nous en sommes rendus !
parce qu’aujourd’hui, grâce à tous nos pedro nous pouvons affirmer que nous sommes bien plus intelligents que nos aïeuls ! nous sommes tellement plus fûtés, grâce à des types comme Stora nous connaissons l’Histoire.
Nous sommes tellement intellegents que nous sommes devenus incollables !
d’ailleurs il suffit d’ouvrir un journal pour constater notre immense intelligence.
par contre, tu l’auras remarqué : des Picasso on ne risque pas d’en recroiser un de sitôt.
Après feuilletage des commentaires, personne n’a évoqué l’excellent documentaire (en rapport avec le sujet du billet) diffusé hier soir sur F2 : « Décolonisations, du sang et des larmes » de David Brzoza et Pascal Blanchard. J’en ai visionné la 1ère partie (La fracture 1931/1954). Terrible, douloureux, mais éclairant !
Usage abusif du film de Gillo Pontecorvo :
« des Picasso on ne risque pas d’en recroiser un de sitôt. »
Oui, mais moi je l’ai croisé longuement Picasso, puck. C’était à l’été 1966. J’avais 14 ans. J’ai regardé son génie en face, et son regard m’avait littéralement vrillé !
Pour pouvoir réaliser son oeuvre, avec conviction, il faut parfois que l’artiste saisisse les opportunités qui lui sont offertes…
Y a encore des tarés, ici – en 2020, sachant tout ce que l’on sait sur l’horreur rouge – qui trouvent dans la dictature soviétique « un idéal communiste » et qui apprécient Picasso pour ses engagements de barbouilleur de l’époque …
Putain ! quels débiles dégueulasses on trouve sous le vernis gauchiste dans un blog de prestige. Ils me rappellent ce con d’Yves Montand et sa Momone !
Ce pauvre Pétomane il rame comme un fou pour essayer de nous convaincre qu’il n’a pas été un jeune crétin amoureux fou de Staline et un adulte obéissant agenouillé devant la lucidité illimitée de Georges Marchais et l’intelligence infinie d’André Lajoinie.
Mais c’est raté, mon pote. Comme tant d’autres anciens communistes coupables de n’avoir pas vu les montagnes de cadavres produits par le communisme, tu aurais dû définitivement la fermer, te rendre très discret, raser les murs.
Au lieu de cela, tu parades toujours en donnant des leçons de morale et en vantant la bonté d’une idéologie qui a tué 100 millions d’innocents, avec un cynisme, un aplomb et une indécence qui fait froid dans le dos.
Les images de ces deux femmes, prix Nobel de Chimie aujourd’hui, sont magnifiques. Ah! la science où la validation des oeuvres vient non de l’opinion mais de la nature elle-même, (ou en mathématique de par la logique).
Picasso a pris position dans le débat, de nouvelles valeurs, une nouvelle façon de raconter le monde (le cubisme), avant 1910. Les surréalistes se sont emparé de l’idée communiste quinze ans plus tard. Et Picasso avait déjà, lui, fait d’autres enjambées, en se fondant toujours sur son expérience propre, sa vie d’artiste. La guerre d’Espagne, puis la Libération, l’ont forcé à se situer de façon plus explicite dans l’affrontement (alors que l’occupation ne l’a pas trop affecté). Il avait alors plus de 60 ans. Pourquoi n’aurait-il pas donné la main au PCF, à ce moment là ? Il était partie prenante depuis plus de 35 ans.
« Etre jugé idiot par un con est un délice ! » dit JiCé:
il le dit lui-même!
mais est même pas foutu de citer Proust dans le texte bien sûr…
Pablo75 dit: Ce pauvre Pétomane il rame comme un fou pour essayer de nous convaincre qu’il n’a pas été un jeune crétin amoureux fou de Staline et un adulte obéissant agenouillé devant la lucidité illimitée de Georges Marchais et l’intelligence infinie d’André Lajoinie.
»
oui oui pedro on sait, et Sasseur c’est la Blatte du Blog Nazie…
dès qu’il perd pied il disjoncte.
mon Dieu kilékon
@JJJ
merci d’avoir retrouvé cet interview de Dali, ce n’est à celle-ci que je pensais, mais qu’importe, vous m’avez offert un vrai plaisir de lecture!
Pablo75 dit:
Ce pauvre Pétomane il rame comme un fou pour essayer de nous convaincre qu’il n’a pas été un jeune crétin amoureux fou de Staline et un adulte obéissant agenouillé devant la lucidité illimitée de Georges Marchais et l’intelligence infinie d’André Lajoinie.
»
oui oui pedro on sait, et Sasseur c’est la Blatte du Blog Nazie…
dès qu’il perd pied il disjoncte.
mon Dieu kilékon
l’avis de Dali sur Picasso vaut autant que ce dit Nabokov sur Dostoïevski.
par contre je ne pense que Picasso ait jamais ce qu’il pensait de Dali, tout comme Dostoïevski n’aurait pas eu grand chose à dire sur Nabokov.
MILA
« Mila a reçu 30 000 menaces. » (Richard Malka)
Alexia Neuhoff dit: Après feuilletage des commentaires, personne n’a évoqué l’excellent documentaire (en rapport avec le sujet du billet) diffusé hier soir sur F2 : « Décolonisations, du sang et des larmes » de David Brzoza et Pascal Blanchard. J’en ai visionné la 1ère partie (La fracture 1931/1954). Terrible, douloureux, mais éclairant !
»
et surtout totalement inédit.
Quel scoop cette émission !
« Etre jugé idiot par un con est un délice ! » dit JiCé:
il le dit lui-même!
mais est même pas foutu de citer Proust dans le texte bien sûr…
Jibé dit:
Et pour cause : la phrase est de Courteline, pauvre andouille !
“Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet.”
<Oui, AN et JB, je l'ai regardée aussi. Un magnifique document, qui ne m'a pas appris grand chose, sauf sur Madagascar… mais les images colorisées…, un exploit. Et puis, Stora, à la suite, a-t-il dit les sottises que tous ses ennemis attendent ?
(J'ai été troublé par les jeunes femmes au débat, des "petites filles" de la "génération décolo" elles participent désormais au processus de verbalisation de que les acteurs de la sale guerre ont tu pendant des plombes côté algérien itou… Comme si elles avaient plus que conscience de l'enjeu de réactivation de la mémoire collective dans toutes ses aspérités douloureuses, et peut-être une aptitude particulières à libérer la parole de leurs grands'pères respectifs…
(pardon pour ce ressenti de quelques secondes après le documentaire : / La romancière Slimani me faisait penser à l'art de perdre de Zeniter).
Jeunes historiennes et romancières, il vous incombe de prendre le relai… Vous le faites avec talent. Et cette enreprise de mémoire est juste, distanciée et proche, comme il faut. Assurément non, pour ne pas en finir avec la guerre d'Algérie… Bien au contraire, il s'agit de la "commencer", de manière infiniment plus apaisée. Il faut en passer par là, surtout en France. Bàv,
Sergej Kasprov-Renaissance, Book 2
Sarabande in E Minor (after Jean Baptiste Loeillet: Lesson I in E Minor)
Ducon, continue à entretenir la pute franquiste en me laissant en dehors de tes délires.
Pour saluer.
Jump !
Le lien
vedo merci, comme vous ,j’ai eu du plaisir à découvrir ces lauréates
bonsoir
Le haut carambar est en guerre.
Breton n’est pas risible pour sa foi communiste — trotskiste —, mais pour avoir osé pondre l’idée subjacente à cet intitulé : Congrès pour la détermination des directives et la défense de l’esprit moderne — 1922 —.
oui oui pedro on sait, et Sasseur c’est la Blatte du Blog Nazie…
puck dit:
Marie la Chiasse c’est une Vieille Blatte de Blog Nazie qui croit penser mais qui ne fait que radoter en se vautrant dans la merde. D’où la pestilence qui laisse ici dès qu’ouvre sa gueule de nuisible à jamais célibataire.
Ducon, maintenant que tu l’as bien cherché, tu nettoieras la chiasse franquiste qui se repand ici.
Je reviendrai quand tu auras fait le menache, (ave l’accent).
les sites d’astrologie recommandés par philo mag dans sa lettre;
bonsoir!
C’est chouette, ce soir Ultrabright reçoit Schmoll.
« Eddy Mitchell sera l’invité spécial de cette «Grande Librairie». Il publie «Le Dictionnaire de ma vie» (Kéro) et viendra en parler pour la première fois avec son fils Eddy Moine, à qui il s’est confié dans ce livre. A ses côtés, sera présent Jean Teulé dont le nouveau roman «Crénom ! Baudelaire» (éditions Mialet Barault) est une biographie décalée du poète. Également sur ce plateau, Marie Nimier, parolière d’Eddy Mitchell, qui signe le roman «Le Palais des orties» (Gallimard). L’histoire raconte la vie d’un couple dont une jolie fille va venir bouleverser le quotidien. Le photographe Jean-Marie Périer nous présentera son ouvrage «Déjà hier» (Calmann-Levy) »
Mais j’aime bien aussi Hugo.
B dit: à
Le haut carambar est en guerre.
–
C’est marrant, ça.
Il faut se souvenir que les artistes adhérant au parti communiste n’étaient pas nécessairement communistes. A partir de la Libération, à moins d’être franchement à droite, les artistes se devaient d’adhérer. C’était, je crois une concession du général de Gaulle, la culture au PC, les mains libres pour le reste. Tout cela s’est évidemment délité dans le courant des années 70. A quelques exceptions près, la haute culture reste à droite.
Breton n’est pas risible pour sa foi communiste — trotskiste —, mais pour avoir osé pondre l’idée subjacente à cet intitulé : Congrès pour la détermination des directives et la défense de l’esprit moderne — 1922 —.
renato dit:
Et pour sa morale sexuelle digne d’une vieille bigote du Pays Bigouden:
« J’accuse les pédérastes [dans le sens d’homosexuels] de proposer à la tolérance humaine un déficit mental et moral qui tend à s’ériger en système et à paralyser toutes les entreprises que je respecte»
Son homophobie était telle qu’il est arrivé à reprocher à Rimbaud d’être homosexuel.
« Je n’ai pas grand-chose à dire sur la personne d’André Breton que je ne connais guère. Je ne m’intéressais pas à ses rapports de police. Je regrette seulement qu’il ait si longtemps encombré le pavé avec ses idioties abrutissantes. Que la religion crève avec cette vieille vessie religieuse. Cela vaudrait la peine, cependant, de conserver le souvenir de ce gros abcès de phraséologie cléricale, ne serait-ce que pour dégoûter les jeunes gens de se châtrer dans des rêves. »
(Georges Bataille. Oeuvres complètes).
Picasso était surtout conduit par sa queue et son amour inconditionnel des femmes.
Ce n’est pas pour rien que César, qui s’y connaissait, l’a immortalisé en Centaure !
Pourquoi Macron se rend-t-il seulement maintenant dans la vallée de la Vésubie ?
C’est le lendemain-même de la catastrophe qu’il aurait dû s’y rendre.
Des régiments du génie ont-ils été déployés pour installer des ponts temporaires, des routes provisoires ? Pourquoi le mot Assureur n’est presque jamais prononcé ?
Tiens, ça sent mieux déjà…
C’est quoi « une biographie décalée », Marie Sasseur ?
Pendant ce temps-là le gouvernement a réussi le tour de force d’une fermeture fictive des cafés à Paris. Très fort. Et dans la rue toujours 1 personne sur 3 qui ne porte pas le masque ou fait semblant de.
Picasso était surtout conduit par sa queue et son amour inconditionnel des femmes.
Jazzi dit:
Et pas que des femmes… Dans sa jeunesse bohème montmartroise il serait allé voir au trottoir d’en face, comme on dit en espagnol…
la haute culture reste à droite
Les maïs (avant les OGM), le sorgho, le houblon, le clocher, la tour Montparnasse, et tout ce qui dépasse et tire l’oeil .
Pourquoi Macron se rend-t-il seulement maintenant dans la vallée de la Vésubie ?
Parce qu’il lui faut laisser de la place à son premier ministre sinon il sera accusé de rapt del’information. L’un , l’autre, pourvu que leur passage soit suivi d’effets, c’est cela qui importe . A t on des nouvelles des 19 loups emportés ou perdus dans la nature?
«… la culture au PC, les mains libres pour le reste. »
Le même pacte en Italie, avec sous-entendue l’idée que la culture ne sert à rien et qu’il était préférable que les communistes « laissent l’économie à des gens responsables ».
Jazzi, JeanTeulé à je crois publié une biographie décalée de Charly nine. St Barthelemy et portrait de la maman et du fils sous influence et un peu fou, faible.
a.
Pour la première fois on donne un Nobel scientifique à 2 femmes (celui de chimie à la Française Emmanuelle Charpentier et l’Américaine Jennifer Doudna). et il y a déjà des soupçons qu’il s’agit d’une décision « politiquement correcte ».
Manque de chance, on leur donne le prix pour avoir dédié leurs investigations à la « couture » génétique, pour avoir mis au point des « ciseaux moléculaires »…
« Pourquoi Macron se rend-t-il seulement maintenant dans la vallée de la Vésubie ? »
Macron était trop occupé par l’affaire Suez-Véolia. Dans un grand nombre d’autres pays, il aurait déjà une enquête sur le dos.
Je me réjouis que le général de Villiers publie un livre programme. On se souvient du mot fameux : « La révolution commencée par un général, sera terminée par un général ».
La dérive à laquelle nous assistons depuis trop d’années nécessite-t-elle un général? La question se pose, il me semble.
La préface de Quignard aux carnets de la tante de Claude Simon n’a pas grand-chose à voir avec le livre, on peut s’en agacer. Il y répète pourtant une chose fondamentale.
JJJ
je vous remercie du lien que vous m’avez adressé sur le Sauvage. Ce n’est pas l’article auquel je pensais, mais vous m’avez offert un vrai plaisir de lecture
curieux comportement de ce fil, enfin de ce site, qui bisse les message, un coup oui, un autre non… ou qui efface tout.
» la phrase est de Courteline, pauvre andouille ! » mais c’est qu’on défend son JiCé, le mékilékon du cirque!
Ainsi j’aurais confondu Proust et Courteline? Allons, disons Prousteline, et brisons là!
:))))))))
Les fameux « Compagnons de route » comme Malraux par exemple, qui n’étaient pas du tout communistes mais qui, au sortir de la guerre, avaient fait un brin de chemin et de causette avec les résistants et les intellectuels du « Parti des fusillés ».
renato, j’espère que vous préparez l’année Dante:
avec des initiatives significatives, notamment l’installation du Musée de la langue italienne à Florence
Lire les romans de Victor Serge, grand oublié et illustre méconnu, qui, le premier, révéla toute l’horreur du stalinisme.
Avant Koëstler et Soljenitsyne.
« S’il est minuit dans le siècle » et « L’Affaire Toulaèv ».
« il serait allé voir au trottoir d’en face, comme on dit en espagnol… »
D’où peut-être son regard de braise sur ma jeune personne, assise en face de lui, tandis que Jacqueline était occupée dans une cabine avec la vendeuse et la couturière d’une boutique de la Croisette.
Pendant ce temps-là, qui dura entre un quart et une demie heure, et qui me parut éternel, nous n’échangèrent pas un mot, seulement des regards furtifs, tandis que dans ma tête j’étais la proie d’un véritable dilemme. Serais-tu capable de lui donner une feuille de papier et un crayon et de lui demander de te faire un dessin, me répétais-je en boucle ?
Je me voyais déjà avec un Picasso original accroché, sous verre, dans ma modeste chambre !
Il avait l’air d’un vieux toutou attendant docilement sa jeune maîtresse.
Du genre à vous aboyer soudainement aux basques et à vous montrer les crocs.
Ne valait-il pas mieux le laisser tranquille et prendre l’air de ne pas l’avoir reconnu (je savais qu’il était le peintre vivant le plus célèbre du monde et le plus coté) ?
C’est le parti auquel je me tins.
Qu’auriez-vous fait à ma place ?
nous n’échangèrent pas un mot, seulement des regards furtifs,
nous n’échangeâmes pas
» comme chacun sait aujourd’hui : Jésus n’a jamais existé ! »
Cintente de l’apprendre.
J’ai cru le contraire. 💟
contente
Il faut écrire : Le centre d’examen ouvre une demi-heure avant les épreuves.
Placé devant un nom, comme ici, « demi » est invariable : on n’écrit donc pas « une demie-heure » mais « une demi-heure ».
Merci et alii.
Oui, je sais, et alii et l’on dit une heure et demie…
une de mes amies , quand j’habitais Aix avait tenu un auberge dans les environs où picasso allait parfois manger;un jour, il lui fit,de lui-même, un dessin sur la nappe qu’il signa;
à Vauvenargues !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Vauvenargues
Une mienne amie détient un bout de nappe en papier scribouillé par un artiste plus célèbre encore que Picasso mais non signé. Payer l’addition était assez.
une auberge excuses
Jeudi 8 octobre 2020, 5h55, 16°
Il ne sert à rien de faire des études poussées si c’est pour finir dans une vie poussive, conduite par des syndicalistes de l’Education Nationale face à de jeunes crétins indisciplinés.
Gagner beaucoup d’argent est bien plus intéressant, cornecul !
Mon pote d’enfance, C.P., habile artisan coloriste, fait des faux de peintres célèbres qu’il fourgue à un réseau viral lequel infecte les plus nobles demeures voisines de musées célèbres du monde entier.
Le marché de l’art est un sacerdoce rémunérateur, par Hermès, au delà du raisonnable ! Pourquoi s’en priver ? PICASSO ? VERMEER ? on vous fait ce qui vous tente…BàV
Année LvB, Sonate pour piano n 9, op.14 n 1 :
8.10 — 6.55
…jeudi 8 octobre 2020 à 8 h 17 min.
…
…aborder les communications » de haut « ,…
…
…si on sait, que aussi, la France était un grand pays de » brigands » de toutes sortes, pour les voyageurs aussi,…
…il ne faut s’étonner de rien,!…
…si en plus, il y avait des » rois « , çà ne pouvait être; que des » rois brigands « , à double-jeux, avec les saints d’églises et justice partiale, aux bénéfices des méfaits, en tout lieux et tout chemins.
…( prêts, usuriers, recels, abus,…etc )
…en conséquences, le capitalisme est issus, des complots très » privés « , et sectaires de bonne foie, limité à des communautés de » bandits rebelles « , pratiquement comme des » communistes, supervisés de l’intérieur « . pour donner » le change « , aux droites, tout aussi » supervisées « ….
…donc, se jouer des convictions, et des non-événements créer, pour faire des opinions contradictoires, en » patchwork » et s’y dissimuler en droits divers,!…et propriétaires,!…
…le commerce et tout ses délits infinis,!…
…C.Q.F.D.,…
…tout le monde est au courant,!…aux changes d’escrocs,!…
…
…tous grands seigneurs catholiques ou chrétiens – communistes divers, à se remplir les poches,…sur le dos des braves gens en moutons de Panurge,!…
…
» la phrase est de Courteline, pauvre andouille ! » mais c’est qu’on défend son JiCé, le mékilékon du cirque!
Jibé dit
Je défends la vérité, Connard.
Cocteau scribouillait les nappes pas mal. Et ne payait pas l’addition.
» la phrase est de Courteline, pauvre andouille ! » mais c’est qu’on défend son JiCé, le mékilékon du cirque!
Jibé dit
Je défends la vérité, Connard.
Trois pavés.Schlac. Schlac. Schlac.
L’élection du général de Villiers permettrait, j’en suis certain, de fesser un certain nombre d’ânes de lettres fossoyeurs de la littérature en place publique, tâche à laquelle je me consacrerais bénévolement, inutile de le préciser.
vous connaissez:
Philippe Geluck
«Picasso se rendant compte qu’il est
le seul peintre au monde à ne pas
pouvoir faire un faux Picasso»
http://www.museepicassoparis.fr/sites/default/files/2020-03/DP%20Picasso%20BD%20et%20Picasso%20poète.pdf
(c)Philippe Geluck
je crois qu’il y a une boutade de PICASSO AFFIRMANT QU4IL SAVAIT FAIRE DE FAUX Picasso
Brinqueballe.
Pas bringue-balle. C’est acquis.
« C’est la même chose. Personne ne peut faire une Grande Oeuvre, dans n’importe quel domaine, s’il n’est pas totalement concentré sur lui-même et son travail. Les femmes diraient: s’il n’est pas un grand égoïste.
La concentration et l’énergie créative qu’il faut, en plus du talent, pour être un Grand Artiste ou un Grand Écrivain (les majuscules c’est pour emmerder le Pétomane), ne peuvent se produire si on passe la journée à s’occuper des autres.
Égotisme et génie vont ensemble,[…] »
Archi(e)(leur bébé roux comme papa) et hyper, et aussi supra passionnant cette discussion sur Picasso.
Sait-on, y a-t’il trace de comment l’art lui est venu au bout des doigts ? À quel âge a-t-il commencé à dessiner ? Etc.
Picasso est choisi comme grand peintre. Il y a beaucoup de grands peintres qui n’ont pas été choisis, plein les salles des ventes.
je vais être péremptoire de manière définitive, aucun retour possible :
Pas de carottes 🥕 dans la soupe au pistou, sacrilège.
Le pistou :
Deux solutions ; le faire à part et le laisser à part.
Ou bien le faire à part et le mettre dans la soupe.
Idem pour le parmesan : le mettre ds la.soupe ou le servir à part.
Le gruyère rapé ne convient pas à la soupe au pistou mais si vous le préférez, vous pouvez.
Les coquillettes, et de préférence rien d’autre, vous les faites cuire à part et les servez chaudes -pas trop- et la soupe au pistou par dessus.
Le pistou: mettre ds le mixer trois gousses d’ail, (certains, les parisiens, mettent une (où est le goût de l’ail ?) une belle quantité de basilic & une tomate fraîche épluchée, mixer et rajouter de l’huile d’olive pour faire une pommade. Sel, poivre (j’ai oublié les deux). On peut user du pilon et le faire à la main.
C’est une soupe à part.
Il existe minestrone, soupe de légumes et nombre de variantes, mais la soupe au pistou, en soi, c’est un monument. Tel Picasso. Les monuments on les admire, on les visite mais on ne les plagie pas et surtout, on ne les revisite pas.
Pas, jamais, nulle carotte dans la soupe au pistou.
À bon entendeur, Papilles et Pupilles, salut.
Choisi par qui ?
Et alii
« toujours plus avant dans la connaissance des hommes et du monde afin que cette connaissance nous libère tous chaque jour davantage ; j’ai essayé de dire, à ma façon, ce que je considérais comme le plus vrai, le plus juste, le meilleur, et c’était naturellement toujours le plus beau, les plus grands artistes le savent bien. Oui, j’ai conscience d’avoir toujours lutté par ma peinture en véritable révolutionnaire. Mais j’ai compris […]
Et alii
C absolument magnifique.
Lorsqu’ailleurs ds d’autres commentaires, il est parlé de son égoïsme et qu’il ne s’intéresse pas aux autres, centré qu’il est sur son travail, là est dit le contraire. Il observe le monde. Il le traduit.
On ne peut pas dire il l’illustre, on se ferait assassiner.
« lmd dit: à
Picasso a pris position dans le débat, de nouvelles valeurs, une nouvelle façon de raconter le monde (le cubisme), avant 1910. Les surréalistes se sont emparé de l’idée communiste quinze ans plus tard. Et Picasso avait déjà, lui, fait d’autres enjambées, en se fondant toujours sur son expérience propre, sa vie d’artiste. La guerre d’Espagne, puis la Libération, l’ont forcé à se situer de façon plus explicite dans l’affrontement (alors que l’occupation ne l’a pas trop affecté). Il avait alors plus de 60 ans. Pourquoi n’aurait-il pas donné la main au PCF, à ce moment là ? Il était partie prenante depuis plus de 35 ans. »
Inséré dans et intéressé par le monde.
Éminemment en avance.
Des fulgurances dans la compréhension des choses.
Un être à part.
yves montand et momone.
Surtout lui. Un arriviste. Un sale c.. .
Elle, encore, fascinée par le bel italien. Le hâbleur, tchatcheur. Une chouette nana. Rompue.
POUR EN FINIR, AVEC LA GUERRE
Le vaillant peuple algérien a réussi à éliminer de son sol sacré les colonisateurs étrangers, des crapules pour certains, capables des pires atrocités.
Gloire à ces martyrs qui ne sont pas morts pour rien, ils ont permis à ce beau pays de prendre définitivement son destin en mains.
Cette lutte constitue, même aujourd’hui, un exemple à suivre pour tout peuple aux prises avec des envahisseurs refusant sa culture et ses lois.
Bonne journée !….
… »je défends la vérité, Connard »
qu’en termes galants, etc etc
Même le JiCé il ne dit rien
mais lui il insiste, le bougre!
@rose
il y a une poésie des recettes de cuisine,
les mots à eux seuls,
ail, pistou,
basilic
on y est…
Obituary : une pensée pour Ernesto Guevara exécuté un 8 octobre (1967) à La Higuera (Bolivie). Et tant pis (mieux) si cela fait grincer des dents les piliers du bar « Au rendez-vous des réacs ».
Alexia Neuhoff dit: à
Après feuilletage des commentaires, personne n’a évoqué l’excellent documentaire (en rapport avec le sujet du billet) diffusé hier soir sur F2 : « Décolonisations, du sang et des larmes » de David Brzoza et Pascal Blanchard
je suis d’accord, je le conseille, ainsi que l’entretien de Blanchard et Ermer sur France culture lundi matin, à propos de ce documentaire. Permet une autre contextualisation.
Pablo75 dit:
Je défends la vérité et le franquisme, Connard.
»
ma foi, si vous le dites.
passou : « A suivre Benjamin Stora (Constantine, 1950), on comprend bien que tout ce qu’il entreprend désormais invite à dépasser la guerre d’Algérie, à considérer ce pays comme un partenaire indispensable de la France sur le plan géopolitique. »
passou faudrait préciser que s’il faisait le contraire on l’aurait pas choisi.
encore que non, c’est peut-être pas utile de le préciser.
« La lettre de mission invite l’historien internationalement reconnu pour son expertise à dresser « un état des lieux » dans un but de réconciliation entre les peuples. »
ça inclut Israël ?
« Ultrabright »
Excusez-le d’être amoureux, de faire un métier de rêve. Bref, d’être resplendissant et heureux. Le contraire de vous-
« Juste le travail bénévole d’un seul historien et professeur des universités dont Emmanuel Macron… »
tout ça bénévolement ?
ça m’étonne pas de Macron de faire travailler les gens, de les envoyer au casse pipe, sans les payer.
en plus le type, comme il appartient au peuple qui colonise les palestiniens, il risque de se faire dégommer à chaque coin de rue.
il devait au poins lui payer un gilet pare balles.
« A suivre Benjamin Stora (Constantine, 1950), on comprend bien que tout ce qu’il entreprend désormais invite à dépasser la guerre d’Algérie, à considérer ce pays comme un partenaire indispensable de la France sur le plan géopolitique. »
cette phrase est absolument géniale.
on imagine Macron dire à Stora : ta mission est de faire en sorte de ne pas dépasser la guerre d’Algérie, et considérer ce pays comme un ennemi de la France sur le plan géopolitique !
l’autre : bien chef ! c’est comme si c’était fait chef !
Si le désir est partagé, si les peuples sont de bon voisinage, si le temps s’en mêle, une réconciliation entre des peuples intelligents est possible au bout de nombreuses décennies.
Dans le cas contraire, la règle dominant/dominé finira par imposer d’autres solutions moins conviviales.
Le communiste PP est mort en 1973, deux ans plus tôt que p75. A la différence du deuxième, il a dénoncé et peint Guernica, ce qui reste tout à son honneur.
Bàv,
Excusez-le d’être amoureux,
De plus, nous pouvons supposer que cet homme soit aussi épanoui affectivement et sexuellement, peut-être même spirituellement; ce qui expliquerait son poil soyeux et ses dents saine ainsi qu’un appétit sans guillemets, son sens de la répartie, son amabilité, son bonheur affiché au metier.
Signé: l’amicale des vétérinaires de France.
Post coïtum, animal gai.
Il m’a fallu couper plusieurs oignons tout près de mes yeux clairs de satyre amusé pour pleurnicher à l’évocation du décès parfaitement logique de ce voyou de Guevara !
Lequel, parait il, fout un bordel pas croyable en Enfer, dortoir numéro 67 paillasse 19.
https://www.franceculture.fr/emissions/le-cours-de-lhistoire/gouverner-une-histoire-de-lexercice-du-pouvoir-14-se-liberer-pour-gouverner
@Alexia N
erreur: ce n’était pas chez Guillaume Ermer, mais l’heure suivante, dans le cours de l’histoire, Pascal Blanchard et les décolonisations
Décolonisations, du sang et des larmes » de David Brzoza et Pascal Blanchard
C’était une rediffusion? Il y a eu, il y a peu, du même, un dossier sur les zoos humains.
Pour ma part, j’ai regardé le thema sur la guerre en Syrie, un résumé de A à Z. Qu’est-ce qu’ils se sont pris sur la tronche. Le pays ressemble à présent à un paquet de gauffrettes écrasé. Il fallait au moins cela pour faire plaisir à ce d’apparence tortionnaire de Bachar. Le pourri, encore, s’il n’y avait eu qu’une guerre destructrice! Le rapport César en dit un peu plus long sur ce nazi qu’est el assad. Les experts n’en croient pas leur yeux, pire ou aussi bien qu’Hitler côté tortures et morts dans les geôles de l’ophtalmo. Plusieurs centaines de milliers de disparus, de cette manière, humaine et noble. A cela ajoutez la brutalité et le sens aérien de la nuance des russes, pauvre peuple.
Je défends Goebbels et le nazisme
puck dit:
Après la Blatte de Blog nazie, le Pétomane nazi…
« l’évocation du décès parfaitement logique » de Guevara.
c’est le nouvel euphémisme pour dire exécution?
Inutile de préciser.
C’est vrai tant votre attachement à cette région du corps, les fesses, enfin ce coin avec sa sorti, parait important au fil de vos commentaires. Bloqué au stade sadique anal, ou caca cadeau?
@ son regard de braise sur ma jeune personne, assise en face de lui,
Tout un programme de fantasmes, jzmn !… A-t-il jamais couché ou voulu, avec de jeunes garçons ?… Voilà une dimension qui manque dans son historiographie, si j’ne m’abuse.
Or, vous savez comme l’Herdélie est friande et curieuse de ces choses-là, et compte sur votre aide et sapience… Al’hors, jzmn, comblez-lui ce manque, SVP, ça nous changera des autres panthéonisés et panthéonisab’. Sinon, laissez tomber, hein. Et évoquons plutôt des récents mémoires de Jean-Pierre Jouyet, né en 1954 comme François Hollande.
Bàv et à CT.
Passionnant programme sur Duras l’Indochinoise sur Arte, hier soir.
Sortie (ou entrée pour les suppo entre autres objets.)
Obituary : une pensée pour Ernesto Guevara exécuté un 8 octobre (1967) à La Higuera (Bolivie). Et tant pis (mieux) si cela fait grincer des dents les piliers du bar « Au rendez-vous des réacs ».
Alexia Neuhoff dit
La grande spécialité de la Gauche Caviar française a toujours été d’adorer les criminels « progressistes », ceux qui liquident des innocents pour le bien de l’Humanité.
Tous les 15 avril, par exemple, notre Mme Caviar-à-la-Louche de Gauche, a une pensée très émue pour Pol Pot.
« Tout un programme de fantasmes, jzmn !… A-t-il jamais couché ou voulu, avec de jeunes garçons ?… »
Je n’en savais rien, JJJ.
Faut demander à Pablo75 de vous expliquer le sens de l’expression « aller voir au trottoir d’en face », en espagnol !
Euphémisme ?
Euh….c’est quoi, euphémisme (ta mère) ?
Ed et ses réponses de ménagère de moins de 50 ans.
Hurkhurkhurk !
Les posts de cette pauvre Gigi sont de plus en plus débiles. Une fin en direct.
La Gauche confond volontiers Caviar et Oeufs de lump en fin de vie !…
« Pour ajouter de la complexité au livre, le narrateur indique dans ce même chapitre combien la guerre d’Espagne et son imaginaire l’ennuie : « tout ce bric-à-brac des mythes recuits qui hante la mauvaise conscience française et les gauches européennes depuis maintenant bientôt 70 ans, ce n’est pas pour moi ». Allant contre cette réticence, après la réception d’une seconde lettre, se sentant pris par sa conscience professionnelle d’historien de l’Université française, Stéphane Michonneau prend rendez-vous et reçoit le manuscrit ; une photographie du manuscrit semble l’attester, comme le bref récit de la « découverte » : « Dans le bus qui me ramène au centre de Poitiers, je tiens sur mes genoux près de soixante ans d’oubli, dans son irréductible matérialité. À présent, j’approche le manuscrit ; j’en scrute la signature manuscrite ; je cherche une table des matière en vain. »
Dès lors, l’enquête commence. Le manuscrit se révélera un roman historique, écrit en Espagne puis en France après les événements, dans les années 1950. Et Stéphane Michonneau, dans la suite de l’ouvrage, se pose des questions à l’occasion de la publication au moment de son enquête d’une nouvelle littérature espagnole (les romans de Javier Cercas ou de Manuel Rivas) qui vient comme contrer/contester les centaines de récits autobiographiques d’anciens combattants républicains, anarchistes ou communistes. Il s’interroge à son tour sur la nature de l’objet qui lui a été confié : s’agit-il d’un faux ? Participe-t-il du négationnisme ? Le chercheur peut-il le considérer comme une source fiable ? »
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2020/10/07/ruines-espagne-michonneau/
Tous les 15 avril, par exemple, notre Mme Caviar-à-la-Louche de Gauche, a une pensée très émue pour Pol Pot.
Je me demandais si vous n’étiez pas devenu sans nuances anti communiste primaire. Vous mélangez tout. Il m’arrive encore de voter pour Ceux sans craindre qu’ils adhèrent au stalinisme et branches soeurs.
Sans pour ceux.
J’allais abonder sur votre point, B… Le fantasme des fessées chez d’aucuns, c qued’chose !… Pendant que le général de V. (!) encule les fossoyeurs de la rature au lit, se proposent de l’accompagner gratosse dans les souterrains pour achever la besogne.
Tu vois le genre de « pitoyens » qu’on a icite !…
Bàv,
Pour eux. Mes excuses. Je corrige ma correction.
Gigi la Visqueuse est un cas rarissime de transgenre Homme/Femme raté par le vétérinaire de son village.
A sa demande, trouvant que femme on est trop harcelé, il a fait marche arrière et a subi une seconde intervention qi l’a retransformée en homme par un spécialiste germanopratin lequel lui a greffé des couilles de crapaud achetées en Lituanie.
C’est un ami connu de la philosophe Alice Coffin…
3J, je lis votre production comme suit:
Pendant que le général de V. (!) encule, les fossoyeurs de la rature au lit se proposent de l’accompagner gratosse dans les souterrains pour achever la besogne.
Est-ce la bonne façon de le comprendre?
« Il m’arrive encore de voter pour eux »
J’ai toujours pensé que vous étiez SMDR, ex communiste décomplexée, B !
On appelle le Che Guevara, « el carnicero de La Cabaña », une prison cubaine de sinistre mémoire.
« De nombreux procès et exécutions y eurent alors lieu sous la supervision de Che Guevara qui y installe son quartier général le 2 janvier 1959. Des volontaires sont invités à participer au peloton d’exécution comme des membres des familles des victimes par exemple. Certains condamnés à mort doivent, devant leurs parents proches, justifier leur exécution. Che Guevara y recevra le surnom de « boucher de la Cabaña ». »
Sans commentaires.
Et voici quelques unes des idées del Che qui arrachent des larmes d’émotion à Mme Caviar-à-la-Louche de Gauche:
-«¡Los jóvenes deben aprender a pensar y actuar como una masa. Es criminal pensar como individuos!»
-«Hay que acabar con todos los periódicos. Una revolución no se puede lograr con la libertad de prensa».
-“Para enviar hombres al pelotón de fusilamiento, la prueba judicial es innecesaria. Estos procedimientos son un detalle burgués arcaico. ¡Esta es una revolución! Y un revolucionario debe convertirse en una fría máquina de matar motivado por odio puro«
-“No demoren las causas, esto es una revolución, no usen métodos legales burgueses; el mundo cambia, las pruebas son secundarias. Hay que proceder por convicción».
-«Nosotros tenemos que decir aquí lo que es una verdad conocida, que la hemos expresado siempre ante el mundo: fusilamientos, sí, hemos fusilado, fusilamos y seguiremos fusilando mientras sea necesario. Nuestra lucha es una lucha a muerte».
-«El camino pacífico está eliminado y la violencia es inevitable. Para lograr regímenes socialistas habrán de correr ríos de sangre».
Quand il lit cela, notre Pétomane nazi exulte aussi.
La Gigi confond fessée et enculage. Sans doute parce qu’il/elle accepte de bonne grâce l’une ou l’autre. Pas plus fière que ça, la Gigi.
Pour voter, il faut avoir encore l’innocence juvénile du lapin qui sort du clapier à la demande du maître d’élevage.
Pour voter COMMUNISTE, sachant lire, écrire, et compter les morts, il faut consulter !
Lequel, parait il, fout un bordel pas croyable en Enfer, dortoir numéro 67 paillasse 19.
–
Ennuyeux JC, c’est la 18 qui t’es préparée.
La vieille correctrice de la Gigi a bien été fessée par le petit B., et ses antiques miches, toutes molles, fripées, vidées, gardent encore, et pour longtemps, la marque des lanières qui l’ont punie.
@ Est-ce la bonne façon de le comprendre?
Non ce n’est pas la bonne, B. Je vous explique :
(original 1) / L’élection du général de Villiers permettrait, j’en suis certain, de fesser un certain nombre d’ânes de lettres fossoyeurs de la littérature en place publique, tâche à laquelle je me consacrerais bénévolement, inutile de le préciser.
(contre proposition 2 en décryptage ironique du message 1, au regard de ce que nous savons depuis longtemps des fantasmes habituels de son auteur) / Pendant que le général de V. (!) encule les fossoyeurs de la rature au lit, se proposent de l’accompagner gratosse dans les souterrains pour achever la besogne.
(explication de 2 – ce qu’il fallait décoder) : Pendant que le général de Villiers, -un déçu grave de Macron, idéologiquement bien couillu-, « encule »… (-une dérivée plus crue de la métaphore élection -> érection-)… les ânes de lettres (sa métaphore pour « gens de lettres »), fossoyeurs de la littérature (ma matépahore « rature de lit »)…, moi, CDBF 1er, de sinistre mémoire au CDF, je me propose de l’aider dans cette besogne, non point « en place publique » (vu que je suis un lâche abrité derrière l’anonymat de l’honnie Herdélie), mais « à titre gratuit » (pour bien vous montrer mon désintéressement… mais aussi et surtout, le degré de mon plaisir à faire le ménage par la fessée… qui n’est qu’une autre modalité physique et métaphorique d’enculage du faible par un homme fort interposé – procédé habituel de 57 par rapport à 75).
—-
Ergo, vous comprenez bien, B. que cela s’écarte sensiblement de votre intéressante proposition. Je la trouve certes plus élégante avec ses déplacements de virgule, mais elle en dénature un brin le sens. Voyez. Suis désolé.
Merci, en tout cas, de votre vigilance et solidarité sur le front de l’incessant combat contre le parasitisme des fesse-mathieu petits merdeux.
Bàv,
« Écrire c’est lire ce qu’on ne voit pas dans le silence de ce qu’on n’entend plus. »
(Pascal Quignard. L’homme aux trois lettres. Dernier royaume, XI. Grasset, 2020)
Autrement dit, écrire c’est enculer des mouches en plein vol.
Quignard, avec sa pédanterie si typiquement française, a le chic de rendre terriblement ennuyeux un thème passionnant comme celui de la littérature.
Pascal Blanchard : c’est lui ? :
De Che Guevara à Régis Debray, il n’y a qu’un pas, Pablo75.
Certaines mauvaises langues prétendent que c’est le second qui a donné le premier !
Propagande castriste, répondit-il…
Je n’arrive pas à m’accommoder de la disparition de Ch. au profit de la persistance d’incruste de 57.
J’espère que d’autres erdéliens sont dans le même état d’esprit, même si chaque attitude par rapport à sa stratégie d’in-occupation de l’espace est respectable.
Quoiqu’il en soit, si elle passe par là, et je sais qu’elle le fait et regrette de ne plus pouvoir intervenir, bien à Elle. Bàv, Ch.
qu’est-ce que vous cherchez à nous prouver pedro ?
vous cherchez à justifier votre franquisme ?
ne me cherchez pas pedro ! vous savez que je suis trop intelligent pour vous, qu’à chaque vous vous faites ramasser et vous finissez insultes débiles qui montrent que vous venez de péter un plomb.
que je ce soit pour la musique ou pour le reste je suis bien trop intelligent pour vous mon pedrito : alors un conseil : ne me cherchez pas !
Ce n’est pas la première fois que Ch. disparait pour mieux réapparaître, JJJ !
En attendant, un film particulièrement recommandé pour elle, en hommage au dessinateur catalan Josep Bartoli dont les dessins du camp de Rivesaltes où furent parqués les républicains espagnols sont insérés dans le film d’animation d’Aurel.
On y apprend que par la suite il sera l’amant de Frida Kahlo et que celle-ci lui redonnera des couleurs…
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19589241&cfilm=268348.html
Pablo, j’ai lu ce Quignard qui, comme le pal, commence très bien mais finit très mal. On a l’impression d’un filon épuisé, livré par un ecrivant à bout de souffle publiant ses notes faute d’avoir pu écrire ses livres. Quignard a refusé le destin de bon romancier de troisième rayon que ses premiers récits révèlaient. Il a voulu être, paraître un grand écrivain, on peut voir aujourd’hui à quel point il s’est fourvoyé. N’est-ce pas Héraclite qui prétend que le temps révèle toutes choses. On y est pour lui.
Janssen J-J dit:
Je n’arrive pas à m’accommoder de la disparition de Ch. au profit de la persistance d’incruste de 57.
»
et moi je n’arrive pas à m’accommoder de la disparition de x !
chaloux a fait fuir ch. qui a fait fuir x…
c’est plus un blog c’est un je sais pas quoi…
L’affaire Debray/Guevara revue et corrigée par Médiapart
https://blogs.mediapart.fr/edwy-plenel/blog/121017/che-guevara-reponse-aux-calomniateurs-de-regis-debray
Frida Kahlo : encore une communiste !
quand donc allez-vous cesser de faire l’éloge du communisme ici nom d’une pipe !!!
Avec Passés singuliers, l’historien Enzo Traverso offre un essai percutant sur la montée du subjectivisme dans l’œuvre de certains de ses collègues. Sans complaisance ni acrimonie, il en souligne l’intérêt comme les limites dans une réflexion serrée sur la frontière qui sépare et relie aujourd’hui l’histoire et la littérature. Surtout, il redonne aux débats qui l’agitent toute leur épaisseur politique en faisant de ce nouveau narcissisme historien le symptôme d’un diagnostic plus profond : celui d’une perte du sens collectif de l’Histoire.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2020/09/30/narcisse-historien-traverso/
« et moi je n’arrive pas à m’accommoder de la disparition de x ! »
Et personne pour s’inquiéter de la disparition du boug ?
pedro tu peux demander à ton pote d’arrêter de citer des noms d’artistes communistes !
Jazzi, pas moi parce que c’est moi qui l’ai fait partir le greubou !
et j’en suis pas peu fier…
qu’est-ce que tu cherches à nous prouver, Pétomane?
tu cherches à justifier ton nazisme?
ne me cherches pas, Pétomane! tu sais que je suis trop intelligent pour toi, qu’à chaque fois que tu me provoques tu te fais ramasser et que tu finis par des insultes débiles qui montrent que tu as pété un plomb.
que ce soit pour la musique ou pour le reste je suis bien trop intelligent pour toi mon Pétomane : alors un conseil : ne me cherches pas !
Enzo Traverso : encore un communiste… ou un trotskyste guévariste…
décidément ça devient infernal !
pedro : fait quelque chose pour arrêter cette hémorragie !
« la frontière qui sépare et relie aujourd’hui l’histoire et la littérature. »
Rien de bien nouveau sous le soleil, et alii. Il suffit de lire ou relire Michelet ou Ernest Renan ! Ou Alexandre Dumas, autre grand panthéonisé…
pedro alors là c’est niveau maternelle.
c’est comme votre « je la traite de nazie parce qu’elle me traite de franquiste… »
je sais pas si je suis bon pour l’ephad, mais vous vous êtes bon pour la crèche.
en plus c’est hyper injuste, parce que c’est vous-même qui avez dit que vous étiez franquiste, je peux même vous retrouver votre commentaire.
Qu’une âme simple et charitable m’explique, svp, qu’est-ce que l’anticommunisme primaire ! Il y a aussi un anticommunisme secondaire ? On peut parler d’anticommunisme tertiaire — marchand ou non marchand, bien à part ?
Je me souviens de l’époque où les PC dictaient la conduite à tenir — ou bonne conduite —. Il arrivait que le mécano salarié — « bon camarade » dans la rhétorique PC —, arrive à épargner assez pour ouvris son garage et voilà que dans la rhétorique à 2 balles du PC il devienne un « patron exploiteur ». Ça ce n’est qu’un exemple de la logique qui informait ces virtuoses de la politique.
Donc, elle revient à quoi l’accusation d’anticommunisme primaire, à une figure de style à l’usage de sympathiques retraités ?
Pablo75, à propos de Guevara, et de l’Algérie, pour compléter votre instruction d’astrologue anti-communiste, regardez par exemple le panégyrique d’un officier général de l’armée française :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Aussaresses
« Lors d’un entretien avec le journaliste Jean-Charles Deniau, le général Aussaresses indique avoir donné l’ordre de tuer Maurice Audin, militant communiste de la cause anticolonialiste : « On l’a tué au couteau pour faire croire que c’étaient les Arabes qui l’avaient tué ».
Peu importe direz-vous, ce n’est pas la peine d’entasser les crimes pour percevoir le rôle de la violence dans l’histoire humaine. Vous auriez raison.
Ce qui est sûr, c’est que je prendrais plus volontiers en autostop Régis Debray que le général de Villiers !
« Qu’une âme simple et charitable m’explique, svp, qu’est-ce que l’anticommunisme primaire ! »
je ne eux pas trop m’anvancer, mais je crois c’est par c’est par exmple le fait de balancer un gamin vivant d’un hélicoptère au Chili ?
ou passer un village au napalm au Vietnam ?
ou ce genre de truc, il aurait fallu poser la question à Nixon, à Eichmann, à Franco ou à Pinochet, ils auraient pu répondre à votre question, mais hélas ils sont morts.
Je trouve la légende bien prompte s’installer. Ce n’est pas moi qui ai fait fuir la Cricri ce sont d’autres personnes qu’elle insupporte et qui ne pouvaient plus subir ni ses sermons ridicules ni sa servilité sans exemple. Toutes choses qui doivent terriblement plaire à cette pauvre Gigi qui est du
même tonneau. Je suis resté relativement neutre pendant cette curée.
Je me souviens de l’époque où les PC disaient que l’homosexualité était un vice bourgeois, renato !
Qu’en pense B ?
la punition pour les harkis c’était de cuire à la broche comme un méchoui.
les types ils pouvaient rôtir toute une nuit et le lendemain matin ils étaient encore vivants.
Ch est partie se faire oublier de son plein gré. Elle reviendra.
j’ai lu ce Quignard qui, comme le pal, commence très bien mais finit très mal. On a l’impression d’un filon épuisé, livré par un écrivain à bout de souffle publiant ses notes faute d’avoir pu écrire ses livres. Quignard a refusé le destin de bon romancier de troisième rayon que ses premiers récits révèlaient. Il a voulu être, paraître un grand écrivain, on peut voir aujourd’hui à quel point il s’est fourvoyé. N’est-ce pas Héraclite qui prétend que le temps révèle toutes choses. On y est pour lui.
Chaloux dit:
C’est exactement cela. J’avais lu il y a plus de 30 ans, à la bibliothèque de Beaubourg, ses « Petits traités », et depuis j’ai l’impression qu’il ne fait que se répéter, écrire toujours le même livre. On ouvre son dernier bouquin et on se demande immédiatement si ce n’est pas une réédition d’un autre déjà lu. En plus de ce que tu décris bien (« Il a voulu être, paraître un grand écrivain ») on voit aussi qu’il n’a pas trouvé la bonne Forme pour ses livres, d’où l’ennui qu’ils dégagent malgré l’intérêt des thèmes dont il parle (littérature, musique).
Il joue au Paul Valéry des Cahiers, mais cela ne marche pas parce qu’il lui manque son intelligence, sa lucidité, sa sincérité, sa nudité d’esprit et même son désespoir profond. Quignard est essentiellement un vaniteux, un pédant qui essaie de masquer sa vanité et sa pédanterie avec de la fausse simplicité et du faux ascétisme.
Mais son plus gros problème est qu’il n’a rien à dire, il n’a pas une vision du monde, il n’a pas de personnalité originale. C’est un commentateur. Et après, mais cela est un problème très français (dû à la perfection de la langue française), il croit trop aux mots, il confond la réalité avec le langage, ce qui est le grand pêché de la France en général et de la politique et la littérature françaises en particulier.
Renato, votre anti-communisme vous égare ; à l’époque que vous évoquez les cellules locales du PCF comportaient très souvent des travailleurs indépendants, des artisans, à qui personne ne reprochait de ne pas être des prolétaires ; et je ne crois pas qu’en Italie il en ait été autrement.
Pétomane, c’est hyper injuste, parce que tu as dit toi-même que tu étais nazi, que tu adorais Hitler et que Goebbels était ton Grand Maître, je peux même te retrouver ton commentaire..
« Qu’une âme simple et charitable m’explique, svp, qu’est-ce que l’anticommunisme primaire ! »
je ne eux pas trop m’anvancer, mais je crois c’est par c’est par exmple le fait de balancer un gamin vivant d’un hélicoptère au Chili ? ou passer un village au napalm au Vietnam ? ou ce genre de truc, il aurait fallu poser la question à Nixon, à Eichmann, à Franco ou à Pinochet, ils auraient pu répondre à votre question, mais hélas ils sont morts.
puck dit: à
Un anticommuniste primaire est un type qui tue des communistes. Et le plus grand tueur de communistes au XXe siècle a été oublié par le Pétomane Goebelessien: c’est Staline.
Mais Lenin, Mao et Pol Pot, entre autres, ont été aussi bien plus anticommunistes primaires que Hitler, par exemple.
Tous les dirigeants de droite et d’extrême droite du XXe siècle ont été beaucoup moins anticommunistes primaires que les dirigeants communistes arrivés au pouvoir.
Moi, en stop, ni Debray ni Villiers, je ne suis quand même pas masochiste.
Cela dit, il faudrait se rappeller qu’il fut un temps où, aux fins de carrière, « il fallait être communiste », j’en ai connu plus d’un, et conneries énoncées par l’un ou lar l’autre bien à part — Breton et le congres de 22, p. ex. —, ai toujours tenu en compte cette faiblesse. Puis, un homo qui etait communiste par conviction — Pasolini — voilà qu’ils le viraient du PCI.
Puis il y a la date fatidique : 1956. Un, ou une, qui ne tenait pas en compte la repression de la revolte Hongroise on ne pouvait pas le tenir pour quelqu’un de civilisé. Pour ceux qui n’ont pas compris la nature du communisme en 56, il y a eu le Printemps de Prague. Bon, il se peut que l’invasion du pays par les troupes du Pacte de Varsovie le 21 août 1968 ce soit un grand moment civilisateur, tout est possible et mon point de vue n’est que le point de vue d’un « sot », comme a si bien dit la personne plus décivilisée qui a hanté ces lieux avec ses copiés-collés.
« pedro tu peux demander à ton pote d’arrêter de citer des noms d’artistes communistes ! »
J’y peux rien, puck, pratiquement tous les artistes français d’après-guerre l’étaient !
Tu n’as pas vu Marguerite Duras disant d’un ton impérial à Bernard Pivot que si elle n’avait pas eu le Goncourt au moment de la publication de « Barrage contre le Pacifique » c’est qu’elle était considérée alors comme… communiste ?
Les temps ont changé depuis et on pourrait désormais la faire entrer au Panthéon au titre de son anticolonialisme primaire ?
Pablo, je n’ai malheureusement pas noté une phrase de Thomas Hardy qui disait dans mon souvenir que les livres servent à la lecture et à rien d’autre. Je serais de plus en plus tenté de croire que l’existence humaine n’est en definitive qu’un merdier glauque et impénétrable dont on ne sait rien et dont l’art et la littérature ne font que nous tirer momentanément. Quand on sort d’une longue séance de travail au piano, on a l’impression de revenir d’un autre monde.
Pablo75 dit: à
Pétomane, c’est hyper injuste, parce que tu as dit toi-même que tu étais nazi, que tu adorais Hitler et que Goebbels était ton Grand Maître, je peux même te retrouver ton commentaire..
»
c’est même pas vrai !
en plus c’est moi que je l’ai dit le premier !
et c’est le premier qui dit qui est !
na !
Il y a dans ce blog un groupe de Crétins qui n’arrive pas à comprendre que Lenin, Staline, Hitler, Mussolini, Franco, Mao, Fidel Castro, Che Guevara, Ceaucescu, Pinochet, Pol Pot, Amin Dada, Bokassa et beaucoup d’autres que j’oublie, c’est le même combat: des Fascistes qui haïssent la Démocratie, des Assassins qui haïssent la Liberté, des Détraqués qui haïssent l’être humain.
Point à la ligne.
@renato : on ne peut même plus se fier même à la presse de droite…
décidément entre ces étudiantes étourdies et ces vendus de journalistes de droite : tout le fout le camp dans ce monde…
Hier, en sortant du cinéma j’ai traversé le jardin des Halles quand j’ai avisé une plaque où était inscrit : « Allée Elsa Triolet, écrivain, journaliste et résistante ».
Je me suis alors souvenu qu’en 1945 (pour l’année 1944), elle devint la première femme à obtenir le prix Goncourt pour son recueil de nouvelles « Le Premier Accroc coûte deux cents francs ».
pedro si vous pensez ça pourquoi vous nous avez gonflé avec vos souvenirs d’adolescence d’un franquisme débonnaire qui n’a jamais pratiqué la censure ?
franquiste un jour, démocrate le lendemain : vous êtes tout sauf un type fiable.
« Elsa Triolet » : me dites pas que c’est encore une communiste ça ?
sérieux à la longue vous devenez gonflant.
pedro heureusement que vous êtes là pour nous rappeler les crimes commis par le Ché et Staline !
ce blog est devenu un repère de communistes !
heureusement qu’il nous reste la Blague de Botte Zanie ! Zaninie, Zizanie… c’est comment déjà son nom pedro ?
ah ? Je croyais que c’était « mon village à l’heure allemande ». Non ?
N’étaient-ils pas mimi les jurés Goncourt 1950 !
https://www.arte.tv/fr/videos/088448-000-A/pornotropic-marguerite-duras-et-l-illusion-coloniale/
@renato : c’est quoi déjà un « fait » ?
Pétomane, tu ne sais pas lire. Et après, ton amour fou pour Goebbels et ses méthodes font le reste…
Marguerite Duras… ?!?
je veux même pas savoir si elle était communiste.
Non, cette fois-ci je crois qu’elle ne reviendra pas. Sinon, va lui falloir faire un gros effort de justification. Mais dans ces conditions, elle ne pourra plus jamais menacer de repartir. Elle est cornélienne, sa situation, cornegidouille. On ne dira pas : « pauvre Ch »… Non, pas de fausse compassion. Elle n’en a jamais voulu, d’ailleurs.
Elle devrait faire comme Ed. Tenir son blog et en signaler indirectement le contenu à la RDL en évoquant le souvenir d’Ultrabright par exemple (qui ne renvoie à rien, d’ailleurs, je suis étonné).
Au fait, qui a décrochté le nobel de littérature ? Ca craint, hein… l’angoisse chez les bookmakers de la rdl ! What a suspense…
Qui signe la pétition Duras au Panthéon ?
Avec ou sans son amant, mais lequel ?
Bien, pour ouvrir une perspective nouvelle ce tableau d’une peintre étasunienne :
je n’ai malheureusement pas noté une phrase de Thomas Hardy qui disait dans mon souvenir que les livres servent à la lecture et à rien d’autre. Je serais de plus en plus tenté de croire que l’existence humaine n’est en definitive qu’un merdier glauque et impénétrable dont on ne sait rien et dont l’art et la littérature ne font que nous tirer momentanément. Quand on sort d’une longue séance de travail au piano, on a l’impression de revenir d’un autre monde.
Chaloux dit:
Le fait que l’Art existe prouve que le monde a un sens, non?
Non, JJJ, Jean-Louis Bory ne fut pas la première femme prix Goncourt. Il l’a eu pour l’année 1945 et Elsa Triolet, rétroactivement, pour l’année 1944.
Pablo75 dit: Pétomane, tu ne sais pas lire.
»
votre prise de bec avec l’ami Jorge sur les frères Machado n’avait pas pour but de démontrer que le franquisme ne pratiquait pas la censure ?
je crois plutôt que c’est vous qui ne comprenez pas le sens de ce que vous écrivez.
Les faits ? Tractatus Logico-Philosophicus, 1 — 1.1 — 1.11 — 1.12 — 1.13 — 1.2 — etc.
Exclusivité de la RDL: le prix Nobel de littérature 2020 est attribué à … Maurice Desborels !!
L’inconnue Louise Gluck nous épargne la honte d’un Nobel à Wellbec, romancier de gare de dixième ordre. Ouf!
Pablo : ne vous inquiétez pas, quand j’aurai un peu de temps je ferai une petite compilation de tout ce que vous avez écrit que le franquisme.
Glück a remporté le prix Pulitzer de poésie en 1993 pour son recueil The Wild Iris. Elle est aussi récipiendaire du National Book Critics Circle Award (The Triumph of Achilles) ainsi que du prix de l’Academy of American Poets dont elle est membre.
Le 8 octobre 2020, Louise Gluck reçoit le prix Nobel de littérature.
Wiki
Encore an american poet, après le troubadour…lol
votre prise de bec avec l’ami Jorge sur les frères Machado n’avait pas pour but de démontrer que le franquisme ne pratiquait pas la censure ?
puck dit
Pétomane, tu ne sais pas lire. Et après, ton amour fou pour Goebbels et ses méthodes font le reste…
Intéressant entretien de Peter Handke dans Le Figaro aujourd’hui
Et tout le reste est litterature.
https://www.poetryfoundation.org/poets/louise-gluck#tab-poems
L’inconnue Louise Gluck nous épargne la honte d’un Nobel à Wellbec, romancier de gare de dixième ordre. Ouf!
Chaloux dit
Jamais entendu parler de Louise Gluck. Comme disait Borges (qui, contrairement au chansonnier Bob Dylan n’a jamais obtenu le prix) ce qu’il y a de bien dans le Prix Nobel c’est que chaque année nous fait découvrir un écrivain nouveau.
… Assoupline s’est beaucoup moqué de d’Ormesson entrant dans la Pléiade (dernier entré, et probablement premier sorti) mais que penserait-il de sa légitimité à y être lui-même admis? Il me semble extraordinaire que personne n’ait songé à lui poser la question.
With a voice of cigarette smoke
The poetess sings the verses that
Dance through my headphones
As I watch the trees sway outside my window
I can only think of was my birthday;
It would be here in a month’s time
How the summertime goes fast
But time waits for no one as the saying goes
I sit here and let time go by
As I am too slow to care
THE DROWNED CHILDREN
You see, they have no judgment.
So it is natural that they should drown,
first the ice taking them in
and then, all winter, their wool scarves
floating behing them as they sink
until at last they are quiet.
And the pond lifts them in its manifold dark arms.
But death must corne to them differently,
so close to the beginning.
As though they had always been
blind and weightless. Therefore
the rest is dreamed, the lamp,
the good white cloth that covered the table,
their bodies.
And yet they hear the names they used
like lures slipping over the pond :
« What are you waiting for
come home, come home, lost
in the waters, blue and permanent. »
LES ENFANTS NOYÉS
Tu vois, ils n’ont pas de jugement.
Alors il est naturel qu’ils se noient,
d’abord la glace les prend
et puis, tout l’hiver, leurs écharpes de laine
flottant derrière eux ils s’enfoncent
jusqu’à se taire enfin.
Et la mare les soulève dans ses multiples bras noirs.
Mais la mort doit leur venir d’une autre manière,
tout près du commencement.
Comme s’ils avaient toujours été
aveugles et sans poids. Aussi
le reste est-il rêvé, la lampe,
la bonne nappe blanche qui couvrait la table,
leurs corps.
Et pourtant ils entendent les noms habituels
comme des leurres glissant sur la mare :
« Qu’est-ce que tu attends
rentre, rentre à la maison, perdu
dans les eaux, bleu et permanent. »
Louise Gluck
Au fait Renato, il n’était pas necessaire de vous porter au secours de cette jeune femme agressée par 3 homme sous le regards de 15 personnes indifférentes.
C’etait tout du flan.
La prochaine fois, choisissez mieux vos indignations, sombre cretin, vieux phallocrate.
1 nobel,et combien de gogos,commeon dit sur ce blog?
Poème traduit de l’américain par Linda Orr et Claude Mouchard
The Fear of Love
That body lying beside me like obedient stone —
once its eyes seemed to be opening,
we could have spoken.
At that time it was winter already.
By day the sun rose in its helmet of fire
and at night also, mirrored in the moon.
Its light passed over us freely,
as though we had lain down
in order to leave no shadows,
only these two shallow dents in the snow.
And the past, as always, stretched before us,
still, complex, impenetrable.
How long did we lie there
as, arm in arm in their cloaks of feathers,
the gods walked down
from the mountain we built for them ?
La Peur de l’Amour
Ce corps couché près de moi comme pierre obéissante —
une fois ses yeux parurent s’ouvrir,
nous aurions pu parler.
En ce temps-là, c’était déjà l’hiver.
De jour, le soleil montait casqué de feu,
et la nuit aussi, au miroir de la lune.
Sa lumière passait libre sur nous
comme si nous étions couchés
pour ne pas laisser d’ombre,
rien que ces deux légers creux dans la neige.
Et le passé, encore, s’étirait devant nous,
calme, complexe, impénétrable.
Sommes-nous longtemps restés couchés là
alors qu’en se donnant le bras, en capes de plumes,
les dieux descendaient
de la montagne que nous leur avons construite ?
Louise Gluck
Poème traduit de l’américain par Linda Orr et Claude Mouchard
…ou plutôt, « 1 nobelle, et combien de cocues ? »
J’aime beaucoup cette grande poétesse new new-yorkaise que je lis régulièrement et ce, depuis fort longtemps. Excellent choix, pour une fois ! Bravo le jury.
Mulhouse aussi c’était tout du flan ? si c’était la cas il y aurait erreur judiciaire !
Cela dit, vous êtes tellement chic que je vous laisse volontiers le privilège de l’insulte.
je peux donc faire une sieste apaisée
bonne suite
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