Prenez garde à la révolte des personnages
Il arrive que des personnages de romans ou de récits se rebellent. Généralement, ils sont de chair et d’os, y apparaissent nommément, s’estiment maltraités et se révèlent procéduriers.Yann Moix, Pierre Jourde, Christine Angot, Edouard Louis en ont fait les frais ces dernières années et le souvenir ne leur en est pas agréable. Etrangement, les personnages de pure fiction, dont la popularité a métamorphosé le nom propre en nom commun, gardent leur colère pour eux lorsqu’on leur fait de mauvaises manières. Pourtant les occasions ne leur manquent pas de se rebiffer, en politique notamment.
On se souvient de la hargne avec laquelle Nicolas Sarkozy avait poursuivi cette pauvre princesse de Clèves dans des interventions publiques entre 2006 et 2008, confessant plus tard avoir « souffert sur elle ». Entendez que son professeur du Cours Saint-Louis de Monceau avait été assez sadique pour lui faire apprendre par coeur le magnifique roman de Mme de Lafayette, long il est vrai de plusieurs centaines de pages. Il en fut si traumatisé que par trois fois, ministre, candidat aux élections puis président de la République, il ridiculisa l’exquise héroïne au motif qu’elle figurait au programme de l’oral du concours d’attaché d’administration. Au scandale succéda une polémique bien française. Nul ne songea à déposer ne fut-ce qu’une main courante contre l’effronté qui avait ainsi attenté à la vertu littéraire de Madame de Clèves mais il s’en fallut de peu.
On croyait ces temps révolus. Or voici que Vincent Lindon vient de s’y mettre à son tour en instrumentalisant à des fins politiques l’imposante stature de Jean Valjean, « le » héros des Misérables, incarnation de la bonté universelle et de la capacité à s’améliorer que possède chaque être humain.Dans un appel diffusé par Mediapart, longue et grave réflexion lue face caméra chez lui sur ce que la pandémie révèle du mal français, du dénuement sanitaire aux mensonge gouvernementaux, l’acteur déplore à hauteur de citoyen : « Comment ce pays si riche… Comment a-t-on pu en arriver là ?.. ». Un réquisitoire en règle mais accompagné de solutions. Notamment celle-ci :
« Une contribution exceptionnelle, baptisée « Jean Valjean », conçue comme une forme d’assistance à personnes en danger, financée par les patrimoines français de plus de 10 millions d’euros, sans acrobaties, à travers une taxe progressive de 1 % à 5 %, avec une franchise pour les premiers 10 millions d’euros. »
Relayé, loué, critiqué, contesté, l’appel fut âprement commenté. Mais au –delà du débat sur la légitimité de l’acteur à s’exprimer en dehors de son champ de compétence et de la pertinence de ses propositions, les critiques se cristallisèrent de tous côtés sur la créature de Victor Hugo. A droite, la chroniqueuse du Figaro Eugénie Bastié ne le rata pas :
« Et pourquoi pas une prime « Javert » pour les policiers ayant bien verbalisé pendant le confinement ? Une subvention Cosette ? Un impôt Thénardier ? »
A l’extrême-gauche, sur le site d’analyses politiques et philosophiques Lundimatin, le comédien Antoine Herbulot répondait directement à l’acteur par une longue lettre. Mais si la mise en pièces de ses propositions s’appuyait sur des références à Alain Damasio, Jacques Brel, Virginie Despentes, Céline Dion et Robin des Bois, elle n’en était pas moins intitulée :
« Votre Jean Valjean est une humiliation pour Gavroche».
Ce qui n’a pas empêché ces jours-ci des élus communistes, insoumis socialistes et apparentés ou Libertés et Territoires, de défendre à l’Assemblée le projet initié par l’acteur. Une proposition de résolution, de portée toute symbolique, a été portée par eux afin que les plus hauts patrimoines (au moins 10 millions d’euros) soient taxés pour financer les services publics. Caroline Fiat (LFI) en a même appelé directement à Hugo :
Ça me plaît bien de signer une proposition qui s’appelle Jean Valjean» et que «deux siècles plus tard on puisse faire du Victor Hugo certains vivent la vie de ce qu’il racontait.
A la veille du déconfinement, en détournant un mythe bien trop grand pour lui au profit de sa si légère démonstration, Vincent Lindon nous a fait quitter la Peste pour une récupération des Misérables, et le souci de la santé pour celui de l’économie. Un comble que cet attentat contre la littérature sous ce patronyme qui oblige, l’acteur étant le neveu de Jérôme Lindon qui fut longtemps le grand éditeur de Minuit. Péguy serait encore des nôtres qu’il déplorerait probablement cette dégradation d’une mystique en politique.
Il faudrait désormais veiller à ce que les personnages de fiction, ainsi empruntés à l’imaginaire de quelques écrivains de génie, viennent réclamer des comptes à ceux qui en mésusent. Ou à défaut leurs ayant-droit. En l’espèce : nous, le peuple universel des lecteurs auxquels appartient cette famille de papier qui nous a tant fait rêver, aimer, espérer, pleurer. Qu’ils prennent leurs dispositions, nous les représenterons. Avis à tous les manipulateurs de Bardamu, Charles Swann, Eugène Lantier, Hans Castorp, Julien Sorel, Franz Biberkopf, Arsène Lupin et autres. N’y touchez pas ! sinon… De quoi égayer un peu nos tribunaux. La « jurisprudence Jean Valjean » est en marche et rien ne l’arrêtera !
1 340 Réponses pour Prenez garde à la révolte des personnages
Tout ce blabla sur la littérature russe et un nom n’est pas prononcé, celui d’un homme et d’un écrivain qu’il est impossible de ne pas aimer, je veux dire de ne pas aimer en tant qu’homme ET en tant qu’écrivain: Anton Tchekov!
Ses nouvelles sont autant de chef d’œuvres et son théâtre se lit parfaitement, indépendamment de la scène.
jazzi, les trois séances auxquelles vous faites allusion ne dialoguent pas avec le Dieu Chrétien, comme vous l’écrivez, mais avec un Christ Hugolien qui vient affirmer la mort des sociétés croyantes, druidiques d’abord,chrétiennes de l’autre. Ce n’est pas différent de ce qui est dit après le Chemin de Croix de la Fin de Satan, il ne manque meme pas le cortège des Mages.
Hugo est de corvée de transcription, et n’agit pas sur la table. Mais il repère sur deux séances des plagiats hugoliens. Aucune question métaphysique n’est posée autre que connais-tu des vers que j’ai fait et qui disent en prose ce que tu viens de dire? Et le médium, Charles, auquel on pense si peu, et de qui tout dépend, de répondre non.
Alors pour ce qui est d’un dialogue avec le Dieu Chrétien dans les Tables, on repassera. D’autant que 1855, c’est la période de grande tension entre les Tables et Hugo, le second s’effarant d’y voir la réfraction de sa pensée, au point que Platon est envoyé peu après en ambassade pour s’excuser de ces références si hugoliennes: « nous devions cet hommage au douloureux labeur humain ». rien que ça!
La saga Verne et la transformation Nemo Dakkar tiennent essentiellement à la censure d’Hetzel. L’hindou avait été conçu polonais pour Vingt Mille Lieues, et la Frégate aurait du être Russe. On a une lettre de Verne, là dessus: « Supposez un Prince Polonais ayant vu périr sa famille sous le Knout ». L ‘editeur a reculé. La réapparition hindouisée de Nemo devenu Dakkar dans l’Ile Mystérieuse et l’anglicisation de la Frégate procèdent du meme choix.Ne pas s’aliéner les Russes! Hetzel avait-il la prémonition que son poulain écrirait Michel Strogoff?!
De surcroit, le roman devait finir tragiquement. Les appels à la Providence Divine et le « Dieu tout puissant, tu as voulu que nous soyons sauvés! » procèdent d’un joli bricolage éditorial de la part d’un Hetzel athée.
Pour revenir à Hugo je ne vois pas en quoi cette lecture de l’entre-deux serait fausse. Il est avéré qu’il y a un durcissement perceptible à l’époque de Mentana, durcissement confirmé par les Discours d’après l’Exil, et qu’un poème comme Le Pape illustre splendidement. Voir aussi, dans Quatre-Vingt Treize, les pages consacrées au Massacre de St Barthélémy, un évangéliaire dépecé par les enfants. Tout un symbole: l’enfant figure christique retourné contre celui qui l’incarne. Lire le dernier Crouzet pour approfondir.
Bien à vous.
MC
Moi non plus je ne suis pas fanatique de la betterave, hamlet. mais avec beaucoup d’ail elle passe pas trop mal. Elle est par ailleurs toujours vendue sous vide trop cuite.
Il faut cuire sa betterave soi-même 45 minutes environ pour qu’elle ait une certaine fermeté. Bio cela va sans dire.
La betterave tache tout mais ça part très facilement. Ce n’est pas le cas de la carotte dont le jaune est très tenace.
D. merci, je vais essayer, vous n’imaginez pas à quel point c’est réconfortant une âme charitable.
closer, quel blabla ? vous imaginez passousky écrire un article sur la révolte des personnages de Tchekhov à la veille de la révolution bolchévique ?
non ? ben là c’est exactement pareil, juste quelques années plus tard… en France.
La Princesse de Clive ou qui Déclive…
Bérénice, connaissez-vous cette artiste peintre, Bérénice Cleeve.
https://berenicecleeve.wordpress.com/tempera/ Elle a portraituré durant quelques années dans le journal Le Monde, à la rubrique des livres de BPD puis Pierre Lepape, eta vant Josyane. J’aimais bien cette artiste discrète. Quant à savoir ce qu’elle est devenue ? Pat V., peut-être ?
Il y avait un internaute jadis qui s’appelait Robert Marchenoir. Je ne sais plus où il est, mais si sa prose ressemblait à celle de Charoulet sur le fond idéologique, je me souviens qu’elle était moins ampoulée et moins prétentieuse qu’icelle.
Le menteur berbère qui s’est cramé aux Amandes…, quelle histoire ! Il était bizarre ce troll.
Quant à savoir ce qu’elle est devenue ?
elle préfère manger des cotes de boeuf doré a l’or fin avec ribéri vu que de désespérer billancourt avec des portraits de sartre
je me souviens qu’elle était moins ampoulée et moins prétentieuse qu’icelle
charoulet s’améliore..je le vois se finir à lautoportrait à lor fin
Déjà, hamlet, je n’ai pas parlé d’aimer ou ne pas aimer, ça ce n’est pas dans mes habitudes, mais d’ennui, ce qui fait une belle différence.
Cela dit, je ne nie pas la valeur de la littérature russe, je trouve que puisqu’elle n’a pas un grand art comme arrière pays culturel, elle manque d’une réelle profondeur — quelques moments heureux bien à part, naturellement — : l’impression d’entendre un vieux moulin à café.
Vous devriez relire vos post relatifs à la musique des Romantiques avant de comparer vos verbiages à ma provocation, qui n’était faite que pour vous montrer l’effet de vos jugements à 2 balles sur une musique que vous ne savez pas analyser, donc ne pouvez évaluer à sa juste valeur.
Elle est par ailleurs toujours vendue sous vide trop cuite
..au moins cuite au four..biroute de dédé..ou crue..et comment faire tous les bortsch sans
Une belle personne Bérénice Cleeve et d’un grand talent !
Elle répond gentiment à ses commentateurs, faut dire que ce sont essentiellement des admirateurs…
Nous avons tous vu ce portrait !
https://berenicecleeve.wordpress.com/2007/05/15/sartre/sartre-2/
sur une musique que vous ne savez pas analyser, donc ne pouvez évaluer à sa juste valeur
enfin quoi rénateau..tu n’as donc jamais rencontré de critiques aux gouts de chiottes..et de béotiens qui ne se trébuchent pas dans tes propres tapis..as tu vécu
Pensez-vous qu’écrire soit un phénomène bourgeois, qu’il faille un certain coefficient luxe et non-travail pour écrire?
-Oui, mais ce n’est pas un argument contre la littérature; c’est au contraire un argument pour la bourgeoisie.( qu’est-ce qu’un bourgeois? Quelqu’un qui a pu acquérir un peu de sécurité pour le lendemain. Condition qu’il est sot de prétendre abolir, puisqu’il est urgent au contraire de la généraliser.)
Jean Starobinski (répondant à un questionnaire que lui avait adressé une étudiante de Vincennes, 1970)
jazzi, les trois séances auxquelles vous faites allusion ne dialoguent pas avec le Dieu Chrétien
meussieu courte te signifie que djizeus était pas un gros pédé baroz..pour commencer..et il en finit là sacrénom
Au fait, etalii, vous qui vous interrogiez l’autre jour sur les grands cimetières sous la lune… voici une opinion susceptible de vous intéresser. Vous trouverez bien les liens pour en savoir plus. Sinon, demandez à Marc.
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Si tant de catholiques n’ont jamais pardonné à Bernanos ce livre, qu’ils ont toujours considéré comme une manifestation lamentable de trahison de leur camp, c’est qu’ils n’ont jamais pu comprendre que le grand romancier, passé le premier enthousiasme pour un homme, Franco, suffisamment culotté pour faire le coup de force que Charles Maurras aura passé sa vie à procrastiner, a très vite considéré la croisade comme un «rafistolage absurde» d’un ordre chrétien lui-même passablement délabré, lui préférant «la chrétienté parallèle du silence, celle qui n’a pas de voix officielle mais n’a pas besoin de l’autorisation des curés pour agir chrétiennement», comme l’écrit fort justement Jacques Chabot (p. 1421).
Bien cordialement,
qu’est-ce qu’un bourgeois? Quelqu’un qui a pu acquérir un peu de sécurité pour le lendemain. Condition qu’il est sot de prétendre abolir, puisqu’il est urgent au contraire de la généraliser
hum..c’est ce que disois les goths les autregoth les vandal et atilla aux romains
michel Strogoff : je ne sais plus qui me l’a offert mais je sais encore où je l’ai lu (une grande partie); est-ce depuis lors que je redoute de devenir aveugle? ou que cette crainte se fixa ? Je n’étais pas encore au lycée , ça c’est sur ; cette histoire était si différente des « contes et légendes » que j’aimais ,mais c’était plus « la vie »
Au fait, etalii, vous qui vous interrogiez l’autre jour sur les grands cimetières sous la lune…
non, ce n’est pas moi, vous cherchez encore un alibi
Merci pour les précisions, M. Court !
Finalement, c’est plutôt un antéchrist Hugo ?
Il est mieux au Panthéon qu’à Notre-Dame…
«la chrétienté parallèle du silence, celle qui n’a pas de voix officielle mais n’a pas besoin de l’autorisation des curés pour agir chrétiennement»
nonos étoye pas gallican..attation
@ djizeus était pas un gros pédé baroz
A mon avis, Jzmn n’a jamais pensé cela.
En revanche, on se demande si vous ne le regrettez pas un peu vous-même, Judas l’Iscariote, l’apôtre le plus aimé.
Qu’en dit Amélie…, sur la Croix ?
Il y avait un internaute jadis qui s’appelait Robert Marchenoir.
pas connu!c’est sur que ce n’était pas une histoire louche d’échange pas symbolique?
@ est-ce depuis lors que je redoute de devenir aveugle?
De quoi ? vous vous cherchez encore un ali-bibi sous la lune, @staliine ?
Vous l’aviez foutu là ? ou c’est lui, l’ex.- quiv… ?…
Des années durant bouguereau, j’ai eu Beniamino del Fabbro comme voisin de table au restaurant et de fauteuil au concerts du conservatoire. Critique de la chose musicale, il était bon pianiste. Il était aussi poète et connaisseur de la littérature française — il a traduit Flaubert, Baudelaire, Valéry, Proust, Camus. Je ne l’ai jamais vu trébucher dans un tapis — le pas du réactionnaire —.
Les critiques au goût de chiotte ne manquent pas, mais je les évites.
HAMLET? ce que je n’aime pas, ce sont le fenouil, le celeri, les blettesetmême les courgettes- pas terrible , mais ça passe en ratatouille, heureusement;et surtout pas les carottes cuites
Marchenoir ? C’est un gars qui concurrence pas mal Charoulet chez Bilger. Y fait de l’ombre
(Genre)____________________
Excellent débat, en effet, entre Philippe Bilger et Éric Zemmour. Enfin des gens normaux, qui discutent normalement, qui parlent en français, s’expriment simplement pour dire des choses précises, s’affrontent poliment, s’écoutent, et sont arbitrés par un journaliste qui ne montre pas de parti-pris.
Quelqu’un a dû faire une erreur ? manger un truc pas frais ? sortir ses doigts de la prise ? il n’est pas normal qu’un tel débat ait été autorisé. Je comprends (s’il s’agit de la même émission) qu’il ait été décidé d’interdire sa diffusion en direct. On ne peut pas prendre le risque que quelqu’un dérape de cette manière. Un débat approprié, comme on dit maintenant, c’est une poignée de pervers hystériques qui hurlent en même temps des trucs que personne ne comprend.
On pourrait peut-être remplacer Zemmour-Naulleau par Bilger-Zemmour ? Ça nous éviterait le pénible spectacle de papa-Naulleau donnant en public la fessée à fiston-Zemmour, ce dernier étant obligé de se manger la punition sans pouvoir quitter le plateau en boxant son interlocuteur.
La preuve de l’honnêteté de Zemmour, c’est sa mimique lorsqu’il écoute les interpellations de Bilger : il bosse. C’est un travail.
Cela dit, c’était trop court, il faudrait reprendre sur la liberté d’expression. Je n’ai rien compris à l’objection de Philippe Bilger : « Tout ça est judiciaire, ce n’est pas idéologique. Ces tares n’ont rien à voir avec le gauchisme. »
Éric Zemmour a fort habilement tenté d’approuver son contradicteur par la bande : « Les gens sont victimes d’idéologies à leur insu », ce qui est fort juste.
Très rigolo d’entendre Bilger accuser : « Vous êtes marxiste ». Et paf ! prends ça dans la poire !
En revanche, Zemmour a cru malin d’invoquer la Russie, et s’est lamentablement vautré, sans surprise. « Que diraient les médias, si, en Russie, on arrêtait, au moment des élections, un Fillon, un Mélenchon… »
Comment ça, si, en Russie ? Non seulement la police russe arrête, effectivement, pendant la campagne électorale, les opposants les plus en vue, mais elle les maltraite, les emprisonne, les poursuit sur des prétextes que tout le monde sait inventés.
Non seulement ça, mais elle leur interdit complètement de se présenter aux élections. C’est même pour ça que les Moscovites sont descendus dans la rue, dernièrement, provoquant des bastonnades policières qui n’avaient rien à envier à celles des Gilets jaunes. Les « médias » de la réaction — car elle a, aussi, les siens — se sont bien gardés de s’étaler sur ce point, ne parlons pas de le dénoncer.
En Russie, môssieur, les autorités bourrent les urnes au vu et au su de tout le monde — le cynisme est tel, que les caméras de surveillance placées dans les bureaux de vote « pour déceler la fraude » montrent des gens glisser des bulletins de vote dans l’urne par paquets de cinquante, la vidéo se retrouve sur Internet, et personne n’est inquiété, tout continue comme avant.
En Russie, môssieur, on peut voir, sur les mêmes vidéos officielles officiellement filmées par les caméras officielles, un observateur, chargé de surveiller la régularité du vote, recevoir un violent coup de poing dans le ventre de la part d’un policier du FSB en civil. Celui-ci part en sifflotant ; l’observateur, une fois remis, aborde un policier en grand uniforme « chargé de maintenir l’ordre dans le bureau de vote », l’interpelle, lui demande s’il a vu, dit qu’il a été agressé, lui demande d’intervenir — et le policier détourne ostensiblement la tête sans répondre.
Le cynisme est total, le mensonge ne se cache même pas.
En Russie, môssieur, on ne se contente pas de perquisitionner les opposants politiques, on tente de les empoisonner, on les abat comme des chiens dans la rue. Juste sous les remparts du Kremlin, pour que le message n’échappe à personne. Boris Nemtsov, ça lui dit quelque chose, à Zemmour ?
L’assassinat de Boris Nemtsov, c’est un peu comme si, avec ses fameux pistolets, Benalla abattait Éric Zemmour devant l’Élysée pour faire plaisir à Macron. OK, Monsieur Zemmour ? En France, on n’en est pas là, et il serait souhaitable que les vedettes de la « réaction » s’en félicitent, au lieu de recycler, à la télévision, les bobards à base de whataboutisme inversé concoctés par les gratte-papier de l’ex-KGB.
Non seulement toutes ces choses-là se passent, en Russie, et elles sont bien plus graves que chez nous ; non seulement les médias les dénoncent, à juste titre ; mais ils n’en parlent pas suffisamment et ne les dénoncent pas assez.
En somme, Zemmour, qui lit trop certaines poubelles du Net à l’instar de nombreux autres, restitue, sans en changer un mot, le mensonge dans le mensonge dans le mensonge fabriqué par les auteurs de poupées russes propagandistes que quantité de gens répètent comme des ânes.
Les artistes de la désinformation poutiniste jouent avec des Zemmour comme d’un violon, connaissant fort bien l’ignorance crasse d’un trop grand nombre de Français concernant ce qui se passe au-delà de leurs frontières.
A ce sujet, rendons hommage à Vladimir Boukovski, qui vient de disparaître. Ce héros de la dissidence soviétique est largement oublié aujourd’hui en France. La réaction lui préfère Soljenitsyne, parce qu’il était anti-occidental et qu’il eut des complaisances pour Vladimir Poutine.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 31 octobre 2019 à 22:27
« Tout un symbole: l’enfant figure christique retourné contre celui qui l’incarne. »
Le sacristain Court défend la curaille. Pas Hugo.
on se demande si vous ne le regrettez pas un peu vous-même
profaïleur de démons et de démones..mais de bons dieux..comme meussieu courte..c’est pas dgout douteux?
Ce qui est bien sur les autres chaines politico-littéraires, c’est que les horodatages n’ont jamais été supprimés. Ça aide vachement pour le traçage des co(r)vidés, croyez-en MS remontant du darkweb-cdbf à la lumière du jour !…
Court va vous relire cette montee dans la tour de ND de Paris, ce que l’on a eu l’occasion de faire l’an dernier. Et apparemment ça n’a pas servi de lecon, alors qu’on trouvait du Hugo partout…
sûr qu »il en redescendra plus intelligent.
Et moins la tête au ras du trottoir.
et surtout pas les carottes cuites
renfield a des gouts de mère supérieure..c’est son droit
@ Le sacristain Court défend la curaille. Pas Hugo.
Tu vas voir que bintôt, pour Amélie, MC va défend’ les pédophiles…
Nous sommes tous différents. Cela apparaît dans nos comportements, nos contextes sociaux, nos activités, même notre biologie. Et ces variations peuvent avoir une grande influence sur la façon dont nous propageons le virus SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19. « Chaque individu ne se comporte pas de manière identique, donc on n’a pas tous la même probabilité d’être contagieux, explique Mircea Sofonea, spécialiste en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses au laboratoire Mivegec (CNRS, IRD, Université de Montpellier).
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/covid-19-le-role-du-hasard-dans-l-evolution-de-l-epidemie_145002#xtor=EPR-1-%5BSEAActu17h%5D-20200609
Un Der Auftrag gay c’est pour quand ?
Corrigé : gay> Day, pardon.
Les critiques au goût de chiotte ne manquent pas, mais je les évites
c’est comme les artistes..picasso et d’autres pointures ont souvent dit qu’ils préféraient la conversation des « mauvais » au bistrot..des critiques s’en sont ému et se sont demandé ce qui faisait cette société d’émulation et de détente..ce biotope de paris..qu’est ce qu’un facheux hen somme
Passou et ses contradictions phénoménales.
La révolte de personnages, un petit bouquin de joyeuse mémoire…
Où ça ?
Sur la rdl…
« Que faire ? Un roman ? Au moins, avec un roman, on est libre. Et ça rassemble tout. Si on est en morceaux. » Est-il donc en morceaux, celui qui écrit ces lignes à la page 202 d’un livre imprévisible ? Un livre qui enchaîne les aventures littéraires extravagantes – un personnage vient y hurler sa rage quand son auteur l’abandonne, un autre plus célèbre (le Lucien de Rubempré de Balzac) se métamorphose en femme – et les expériences artistiques limites – découper du papier pour faire de la poésie ou ne prendre que des photos floues… Un livre qui se moque d’avoir un sujet, une intrigue comme on dit, mais les explore à sa façon tous et toutes : de Darwin à Dieu. « Faut arrêter les livres, ma petite, c’est vieillot », clament justement à Lucienne de Rubempré, dans une scène décoiffante, deux vieilles mécènes jumelles hystériques et snobs. Ou encore, « vous racontez des histoires beaucoup trop loin de nous. C’est trop province. »
http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=livre&ISBN=978-2-8180-2014-2
ils ne vouent pas un culte inculte bizarre a Preynat
il sra ptête dvant toi dans le valala térezoune..
Qu’est-ce que la terminologie ?
Le dispositif d’enrichissement de la langue française
Domaines
Ressources terminologiqueshttp://www.culture.fr/franceterme
Bon, le dîner de con se fera sans moi ce soir.
Sorry.
Je me suis senti aussi ébaubi que dany cohen-bendit visitant l’enclave du mur de bethléem, face aux réflexions de ces israéliennes qui lui reprochant son athéisme et sa judaïté non assumée en tant qu’appartenance à une nation, une identité, une culture éligible et élue, la seule… Toujours ce même zeste de fanatisme, même chez les mieux disposées et bienveillantes, une sorte de complexe de supériorité (bien ou mal vécu) à propos du « peuple élu » s’interrogeant à perpétuité sur son élection.
« djizeus était pas un gros pédé baroz »
On n’a jamais entendu parler de madame Dieu, le boug…
Pour ceux qui a aient raté ce petit moment bien sympathique :
« On y verra, en quatre récits, des personnages en conflit avec leurs modèles. Dans « Quel lac aimons-nous » une créature de papier abandonnée se retourne violemment contre son auteur. Est-ce qu’on peut se passer de narrateur ? Avec « Comment expliquer la peinture à un lièvre mort », un jeune homme, dans le début des années 1980, comprend que l’art moderne est terminé mais qu’il n’a d’autre issue que de partir à contre-sens de l’histoire. L’héroïne d’« Illusions perdues » vit sa vie en accéléré, grimpe à la capitale, et découvre que son artiste idéal est littéralement devenu une pièce de musée. Avec « Providence », on voit un vieil homme perdre le sens commun et faire une conférence pour prouver qu’il n’est pas fou. »
« Comme le luminol, COVID19 a rendu visibles les gigantesques taches rouillées à la surface d’une société déjà malade avant l’arrivée de la maladie ». Marco Revelli*
* Professeur de sciences politiques, de systèmes politiques et administratifs comparatifs et de théories de l’administration et des politiques publiques à la Faculté des sciences politiques de l’Université du Piémont oriental « Amedeo Avogadro »
* Professeur de sciences politiques, de systèmes politiques et administratifs comparatifs et de théories de l’administration et des politiques publiques
Un mammouth, donc.
Certains ‘mauvais’ sont très bons bouguereau.
Apres le lancetgate, un recoverygate.
Coronavirus – Vidéo : Didier Raoult liste les contradictions de la dernière étude sur l’hydroxychloroquine
je mets du celeri dans les bouillons, pour le gout, mais pas pour manger
Pour ceux qui a aient raté ce petit moment bien sympathique :…
certes…, mais on voudrait point non plus aller faire le chaud commensal au dîner des connes un brin refroidissantes.
Ducon, j’ai dit : sans moi. Tu sais lire?
Trois chansons, M. 69: II. Trois beaux oiseaux du Paradis :
je voudrais pas dire, renato, mais je crois quand même que Carlo Rovelli était plus calé sur le nombre d’Avogadro (cf. l’ordre du temps) que Marco Revelli qui n’a pas inventé grand chose entre nous.
Petit rappel de révision générale pour Marc C. et petit D. :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_d%27Avogadro
DCB a eu l’air de dire, au cours de cette émission, qu’il était sans doute juif, mais n’avait jamais été circoncis.
Voilà encore un mystère que je n’ai pas bien compris. A vrai dire j’y comprends rien dans toutes ces histoires, tu m’étonnes. Si encore un goy authentique pouvait nous les expliquer clairement, un peu comme etalii sait si bien le faire…
Le sucre à besoin d’acide ou d’ail.
C’est une évidence.
Carlo Rovelli est un physicien, Janssen J-J, Marco Revelli un sociologue donc un observateur de la société.
toute narration engendre une métaphore
toute narration se doit d’engendrer une métaphore
toute métaphore porte en elle la métaphore l’ayant engendrée.
sauf si deux narrations différentes engendrent la même métaphore.
si une narration engendre une métaphore ayant déjà été engendrée par une narration antérieure, celle-ci possède le droit de porter plainte contre la narration engendrant la même métaphore qu’elle.
si une narration engendre deux métaphores différentes elle ne peut revendiquer ses droits que sur une seule métaphore, la seconde est dite « métaphore libre de droit ».
une métaphore n’ayant pas connaissance de la narration l’ayant engendrée peut adresser un courrier avec accusé de réception au service de recherche des narrations.
hamlet, j’ai comme l’impression que vous vous foutez de moi avec votre « wow, formidable, chapeau… »
Je signale quand même que V. Jouve ne se livrait pas une étude critique approfondie des romans de Dostoïevski (ni de ceux de Sartre d’ailleurs) : il ne mentionnait Mychkine qu’au titre de héros valorisé « atypique », aux côtés de Lucien Fleurier, protagoniste de L’Enfance d’un chef, dévalorisé, ironisé, en dépit de son âge tendre (attendrissant) et de caractéristiques qui pourraient tout aussi bien être dotées d’un signe positif dans le récit d’un narrateur adhérant à la hiérarchie des valeurs de l’Action française.
L’idée était de montrer que le texte « programme » en quelque sorte la réception des personnages par le lecteur, réception qui n’est pas nécessairement liée aux convictions du lecteur « dans la vraie vie » et en amont de la lecture.
« Voir avec » un personnage, redécouvrir
un pays, une ville dont on a longtemps été éloigné, découvrir avec lui des parents éloignés et leurs fréquentations, rêver avec lui sur un portrait entrevu, être ému avec lui par la rencontre de la femme du portrait, la voir avec ses yeux à lui, essuyer avec lui quelques humiliations, partager ses souvenirs, ses rêves, ses découragements, voilà qui permet au lecteur (qui n’a pas nécessairement au départ une prédilection pour les « losers » et/ou les épileptiques) de surmonter ses opinions habituelles.
Vous vous souvenez de L’Affaire Cicéron de J. Mankiewicz ? Le spectateur se retrouve bon gré mal gré « du côté » du valet de chambre-espion (motivations financières et non idéologiques) non en raison de ses qualités humaines ou d’un prestige quelconque (il soustrait des documents de l’ambassade britannique pour les livrer à des diplomates du IIIe Reich…) Pas de morale ou de politique qui vaille au moment où l’alarme se déclenche : comme quand il était petit au spectacle de Guignol, le spectateur a le cœur qui bat, pourvu qu’on ne l’attrape pas !
Vous connaissez Dostoïevski beaucoup mieux que moi, mais je m’interroge (d’un autre point de vue, qui n’est pas du tout celui de l’érudition dostoïevskienne) sur votre « dans ses livres il prend les choses comme elles viennent ».
Je crois percevoir ce que vous voulez dire par là (vous rectifierez si j’interprète mal), quelque chose comme : Dostoïevski laisse ses personnages exposer leurs points de vue divergents (chacun a ses raisons), le narrateur se borne à faire le lien entre les épisodes qui permettent de les exposer. Les visions du monde sont en quelque sorte juxtaposées (sans doute davantage dans Crime et châtiment et Les Frères Karamazov ?). Dans ce cas je suis d’accord.
Mais quand on lit « dans ses livres il prend les choses comme elles viennent », on a tout de même l’impression que vous parlez de quelqu’un qui n’inventerait pas, ne créerait pas (certes à partir du monde réel et de certaines données autobiographiques) ces récits et ces personnages.
Quelqu’un qui se contenterait de reproduire un récit et des personnages pré-existants, comme le ferait un medium sous la dictée ou un prophète saisi par l’inspiration divine. (Alors que même un journaliste ou un auteur s’inspirant d’un fait divers, ce qui est en partie le cas, présentent, construisent, organisent, sélectionnent, mettent en avant des épisodes ou des personnages, en élaguent d’autres et modèlent l’histoire à leur façon et selon leurs visées.)
Je garde à l’esprit les circonstances souvent chaotiques de l’écriture, les premiers jets avec des évolutions différentes (changement de meurtrier par ex. mais reste quand même cette configuration stable de la femme, elle même ravagée et violente, entre deux hommes rivaux et qui en meurt), mais quand même.
Quelqu’un qui serait en quelque sorte innocent du péché de composition romanesque ?
C’est peut-être cela finalement, comme en philo il y a ceux qui ne supportent que les « anti-philosophes » (je n’ai pas écrit « contre-« ), vous n’aimeriez que les anti-romanciers ?
Je m’y perds.
j’ai un trou de mémoire: qui peut me dire qui avait refusé sa part d’héritage à condition de pouvoir avoir tous les livres dont il aurait besoin ;et qui , me semble-t-il, fit une conférence dans l’institution psychiatrique où il était « confiné » et tout le monde comprit sa conférence, ce qui lui rendit la liberté?
si une narration s’avère incapable de générer une métaphore elle peut recourir l’aide d’une autre narration, celle-ce est alors dite « narration-porteuse ».
x dit: hamlet, j’ai comme l’impression que vous vous foutez de moi avec votre « wow, formidable, chapeau… »
»
allons bon, j’ai vraiment pas de bol, j’ai comme qui dirait un sentiment de persécution.
SI? C’EST WARBURG aby
x dit: hamlet, j’ai comme l’impression que vous vous foutez de moi avec votre « wow, formidable, chapeau… »
»
le « wow formidable chapeau » concernait l’ensemble de votre commentaire.
l’exemple de l’Idiot m’a juste fait penser à la lecture de Chestov, c’est pour ça que j’en ai parlé.
je suis vraiment désolé si je me suis mal exprimé.
c’est même sur wiki
Binswanger estime à l’époque que bien que Warburg ait conservé toutes ses facultés intellectuelles, ce dernier n’est plus apte à mener sa recherche en raison des difficultés qu’il éprouve à se concentrer longuement sur un sujet précis. En 1923, Warburg propose un marché incroyable à l’équipe thérapeutique : s’il parvient à produire un travail scientifique, ceux-ci devront l’autoriser à mettre un terme à son séjour dans l’établissement. Le 21 avril, il présente à un public composé tout autant de soignants que de patients de la clinique une conférence sur les rituels des Indiens Hopis, qu’il mettra en relation avec le sacrifice, le débat sur la civilisation mais aussi encore avec l’art du Quattrocento. Son exposé insiste notamment sur le haut degré de la civilisation hopi dont les rites procèdent d’une nécessité pratique (exemple, faire venir la pluie) et se situent au niveau symbolique (le serpent n’est pas réellement sacrifié, mais « intégré » par le geste de le prendre dans sa bouche et relâché dans la nature pour aller « porter le message »).
Le résultat convainc les thérapeutes et Warburg sort de l’institution. Il continue sa recherche en travaillant sur un ouvrage inachevé, L’Atlas mnémosyne, jusqu’à sa mort due à une crise cardiaque survenue en 1929.
Warburg studied art history, submitting his dissertation on Sandro Botticelli’s Venus and Primavera – the first example of a modern approach to the discipline – in 1892. The “border police bias” of his colleagues at first drove him from his field of research, and he considered starting on a second degree.
But a visit to the Hopi during a trip to the United States in 1895 dispelled his doubts. The compact, almost striking clarity of that indigenous culture, its direct connection of myth, image, and ritual, brought him back to the central theme of his research: the survival of antiquity in the Renaissance, as manifested primarily in a time of great conflict, the mid-fifteenth century – that is, long before the praised masterpieces of the High Renaissance were created.
https://zkm.de/en/aby-warburg-biography
« Voir avec » un personnage, redécouvrir
un pays, une ville dont on a longtemps été éloigné, découvrir avec lui des parents éloignés et leurs fréquentations, rêver avec lui sur un portrait entrevu, être ému avec lui par la rencontre de la femme du portrait, la voir avec ses yeux à lui, essuyer avec lui quelques humiliations, partager ses souvenirs, ses rêves, ses découragements, voilà qui permet au lecteur (qui n’a pas nécessairement au départ une prédilection pour les « losers » et/ou les épileptiques) de surmonter ses opinions habituelles. »
Pff, et au féminin, ça marche aussi ?
Je vous demande ça, car j’ai passé un moment des tendres années, avec un fou. Il s’appelait Simeon.
https://www.albin-michel.fr/ouvrages/le-fou-dedenberg-9782226042637
Oui, et alii Aby Warburg, famille de banquiers — comme Yoko Ono —, il a effectivement renoncé à son héritage. Après son doctorat, il a suivi des cours de psychologie à la faculté de médecine de l’Université de Berlin. Internement dans une clinique de Kreuzlingen où il donna une conférence sur le rituel du serpent, à partir de son expérience avec les Indiens Pueblo du Nouveau-Mexique.
Indiens Pueblo
Pas au Mexique..
un autre louf en son genre, Paul Wittgenstein, le dilapidateur renonçant à l’héritage.
https://www.lejdd.fr/Culture/Livres/Nicole-Lapierre-La-Shoah-est-devenue-la-reference-absolue-de-toutes-les-souffrances-748651
NB :>><< renato, je sais je sais… sociologie vs astrophysique… Mais justement, y'avait pas photo. Tchin !
Aby Warburg et son ‘formidable chapeau’ — en réalité un masque Kachina.
warburg esu nom pour les astrologues de la RDL
He discovered the writings of Franz Boll, which opened up the field of astrology to him and drew his attention to the long distances by which the knowledge of antiquity had passed through the Arab world before returning to the European cultural sphere.
MERCI RENATO.SI QUELQU ‘UN DOIT BIEN CONNAîTRE? C’EST VOUS ICI
@x : d’abord encore désolé si j’ai été maladroit.
sur le « il prend les choses comme elles viennent » : ses romans ne sont pas construits dans leur entièreté. Quand Stendhal écrit « le rouge et le noir » dès la première phrase il sait comment ça se finira pour Sorel, tout est parfaitement construit pour arriver à cette fin parce que c’est ce message qu’il veut faire passer, alors que les romans de Dostoïevski sont mal construits avec plein d’incohérences, les personnages ne savent jamais ce qui va leur arriver à la page suivante, ils sont faits à l’arrache, à ce titre oui c’est « un anti-romancier », plus un conteur à l’ancienne.
Renato ne connaît pas les indiens du Mexique.
Mais en fait, c’était pas le sujet.
il est certain qu’il ne suffit pas de se frotter au judaïsme et à la Shoah pour être artiste et avoir du talent
Aby Warburg selon lui-même : « hambourgeois de cœur, juif de sang, d’âme florentine ».
Avec « Providence », on voit un vieil homme perdre le sens commun et faire une conférence pour prouver qu’il n’est pas fou. »
warburg n’était pas un vieil homme,mais c’est une figure majeure en histoire de l’art qui aimait Florence et les artistes du quattrocento :qui ne sont pas étrangers à la culture intime de Renato
Indiens pueblos c’est un vocable de colon.
je ne suis pas critique et ne rédige pas les articles
proposés comme témoignage;Renato a déjà manifesté son intérêt -et sa culture! sans frimer- pour l’iconologie
renato, vous connaissez Didi Huberman;son père était peintre ; il a été invité à faire une conférence à la librairie en face de la Sorbonne (compagnie je crois)
il a repris le travail de Warburg
pour le C.V et les titres de DIDI qui s’y connait en acteurs ,et en psy, voir sa page wiki;c’est trop long
https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Didi-Huberman
De Didi-Huberman lu L’immagine insepolta. Aby Warburg, la memoria dei fantasmi e la storia dell’arte.
@x, pour tout vous dire j’avais Dostoïevski à l’esprit quand j’ai lu la conclusion de l’article de passou :
« Il faudrait désormais veiller à ce que les personnages de fiction, ainsi empruntés à l’imaginaire de quelques écrivains de génie, viennent réclamer des comptes à ceux qui en mésusent. Ou à défaut leurs ayant-droit. En l’espèce : nous, le peuple universel des lecteurs auxquels appartient cette famille de papier qui nous a tant fait rêver, aimer, espérer, pleurer. Qu’ils prennent leurs dispositions, nous les représenterons. Avis à tous les manipulateurs de Bardamu, Charles Swann, Eugène Lantier, Hans Castorp, Julien Sorel, Franz Biberkopf, Arsène Lupin et autres. N’y touchez pas ! sinon… De quoi égayer un peu nos tribunaux. La « jurisprudence Jean Valjean » est en marche et rien ne l’arrêtera ! »
« nous le peuple de lecteurs universels…. »
je ne sais pas ce qu’en aurait pensé Victor Hugo, je ne suis pas sûr qu’il aurait été bien d’accord.
je pense que Hugo aurait commencé par regarder le fond du discours de Lindon.
qu’aurait-il pensé ? de ce fond ? sur la dénonciation des inégalités, le fait de retirer 5 euros par mois dans la EPL.
il aurait pensé quoi Hugo du fait d’enlever ces 5 euros par mois ?
Je lis:
Avec « Providence », on voit un vieil homme perdre le sens commun et faire une conférence pour prouver qu’il n’est pas fou. »
warburg n’était pas un vieil homme,mais c’est une figure majeure en histoire de l’art qui aimait Florence et les artistes du quattrocento :qui ne sont pas étrangers à la culture intime de Renato.
Pour rouler un patin, dr Lecter est très fort.
Mais non, le vieux fou , en question dans ce bouquin de O. Cadiot, n’a voir ni avec Et Al ni avec le colmarien.
La forme d’être, une valeur inestimable – La carte blanche de Georges Didi-Huberman
https://www.youtube.com/watch?v=ILgHyPptPPc
au final, j’ai l’impression qu’en défendant le personnage Valjean passou trahit l’auteur.
peut-être que Valjean est plus important que son auteur ?
disons que le personnage concerne le peuple universel des lecteurs.
et Hugo concernerait plus ce peuple à qui on a retire ces 5 euros d’APL mensuel ?
du coup je sais pas pourquoi ça m’a fait penser à Dostoïevski.
en fait c’est comme Raoult et la chloroquine : tout le monde parlait du personnage et personne du médicament.
et là c’est pareil, on se concentre sur le personnage pour faire oublier le médicament.
c’est un peu à l’image du parcours du socialisme depuis 1981, presque 40 ans.
« nous le peuple de lecteurs universels…. »
« nous le peuple de lecteurs universels…. »
c’est une formule visant à dépolitiser les choses.
une forme d’aboutissement de l’extinction de la conscience politique assumée.
« nous le peuple de lecteurs universels…. »
là où c’est drôle c’est de faire appel à la mémoire de Victor Hugo pour constater / assumer / célébrer ? cette disparition de la conscience politique.
comme j’en ai ma claque , je quitte le régime « claque à la RDL »
bonne soirée
d’autant qu’au Figaro il y a déjà cette attaque : « et puis quoi encore ? pourquoi une taxe Javert ? »
et au lieu d’essayer d’orienter le problème différemment, de tenter un autre angle pour sauver les meubles (car il y avait forcément un moyen de le faire), passou entérine cette attaque, et enfonce le clou au nom du « peuple de lecteurs universels…. »
qu’aurait pensé Victor Hugo de cette histoire ?
Mr Court ?
je n’aime ni la musique romantique ni les betteraves et je ne vais pas vous expliquer pourquoi, ça m’écoeure, ça me donne envie de
gerber, ce doit être physiologique.
hamlet dit:
le truc qui me dérange dans la musique romantique c’est la mélodie, le chant, on a un chant et les autres instruments accompagnent tant bien que mal ce chant : sans doute cela dérange-t-il mon esprit démocratique de voir tous ces autres musiciens au service de cette mélodie.
hamlet dit:
Mais quel crétin ce Pétomane !!
(Et dire qu’il y a encore des gens sur ce blog qui le prennent au sérieux !! Il faut être vraiment nul pour discuter avec un tel escroc intellectuel !!).
ne touchez plus aux personnages de roman pour des raisons politiques ?
autant tirer sur une ambulance.
Le Pétomane, notre ultracrépidarien de service…
« Qu’est-ce que l’ultracrépidariananisme ?
Un ultracrépidarien, c’est cette personne qui donne son avis sur tout mais sans toujours avoir de connaissances ou de compétences sur les sujets dont elle parle. Un comportement que l’on peut rapprocher du biais cognitif appelé lui, l’effet Dunning-Kruger en psychologie, une surconfiance en soi où les moins qualifiés dans un domaine surestiment leur compétence.
Le terme ultracrepidarian a été utilisé pour la première fois en 1819 par l’essayiste William Hazlitt dans une lettre ouverte au critique littéraire William Gifford. Son étymologie est relative à la locution latine « Sutor, ne supra crepidam » signifiant littéralement « cordonnier,
pas plus haut que la chaussure ». En français, cette locution est apparentée à l’expression populaire « chacun son métier et les vaches seront
bien gardées » !
https://fr.yahoo.com/news/quest-l-ultracr%C3%A9pidariananisme-030000145.html
Problème sémantique: étant donné qu’un Pétomane est un type qui pète plus haut que son cul, l’expression PÉTOMANE ULTRACRÉPIDARIEN est-elle un pléonasme?
On attend les avis des Agregés du Blog…
Pablo : Il faut être vraiment nul pour discuter avec un tel escroc intellectuel !!
»
pourquoi encore ? qu’est-ce que j’y peux moi si je n’aime pas les betteraves rouges !
je ne vois pas où est l’escroquerie à dire qu’on aime pas les betteraves rouges Pablo !
ou alors il faut me l’expliquer, calmement svp, j’ai une santé fragile et je suis déjà très malmené ici.
Pablo : On attend les avis des Agregés du Blog…
»
en l’occurrence l’avis de nutritionnistes seraient aussi bien venus dans la mesure où, je me permets de le rappeler, il s’agit de betteraves rouges.
Des betteraves romantiques bien assaisonnées à la sauce viennoise pour le Pétomane Ultracrépidarien:
Beethoven, Obertura Egmont. Wiener Philharmoniker, Christian Thielemann
Pablo : la Raison, l’Intelligence, l’Expérience, le Savoir, la Connaissance, le Beau, le Vrai, le Juste etc…
vous incarnez à vous-seul toutes ces valeurs « occidentales » que haïssait Dostoïevski, dont il disait qu’elles construisent le monde sur un enchantement lui-même construit sur l’ecroquerie du mensonge.
Pablo vous pensez que rien ne peut échapper à votre Raison ?
je crois qu’il n’a pas tort, pour moi, de nous deux l’escroc c’est vous.
@ l’avis de nutritionnistes seraient aussi bien venus
D. l’internatue intersidéral catholigue et chaste l’a déjà donné, son avis. Mais on oublie trop souvent de le lire… L’est très fort en cuisson des betteraves à la crème Dostoïève… !
D. est très fort en effet, mais il lui manque un truc qui donnerait plus d’ampleur, plus de puissance, plus de profondeur à ces recettes !
un allié de poids, Beethoven par exemple ?
comme Pablo.
en plus c’est fastoche il suffit d’aller sur YT et taper le nom du compositeur dans la barre de recherche.
@ On attend les avis des Agregés du Blog…
Pas la peine de les attendre : la réponse était dans la question, ou plutôt dans l’affirmation de l’agrégeo pédantesque, escroc des puces bibliomane hispanique à st-ouen 93, qui s’la pète un brin en la ram’nant en l’75. Au diner des onk-ls.
Quoi de plus amusant que les jugements littéraires d’un Pétomane Ultracrépidarien comme toi, d’un Marxiste qui découvre Chestov à presque 80 ans, d’un amateur de rock simplet américain des années 60 pour qui Beethoven c’est aussi « écœurant » que les betteraves?
Tu es en train de passer de vieux ridicule à vieillard pathétique sans te rendre compte, mon pote.
D. dit: Moi non plus je ne suis pas fanatique de la betterave, hamlet. mais avec beaucoup d’ail elle passe pas trop mal. Elle est par ailleurs toujours vendue sous vide trop cuite.
Il faut cuire sa betterave soi-même 45 minutes environ pour qu’elle ait une certaine fermeté. Bio cela va sans dire. »
»
et là il ajouterait :
ce plat… ô ce plat mon ami, pour le déguster, le savourer dans toute sa succulence, pour ressentir ces saveurs qui vous transporte par delà les cimes, où vous pourrez tel un Dieu contempler le monde à vos pied, degustez-le en écoutant ça :
https://www.youtube.com/watch?v=vCHREyE5GzQ
et là lee plat de betteraves de D. c’est plus des betteraves c’est l’éternité qui s’offre à vos pensées…
@ un allié de poids, Beethoven par exemple ?
Non, il ne pourrait jamais s’allier à Renato, ai remarqué que leurs goûts culinaires sont bien trop différents, les uns sont raffinés, les autres plutôt plouques.
fut un temps où Onfray parlait de topinambours dans la presse;je n’ai jamais vu de topinambours mais demabdez lui frontalement un livre de recettes! (je m’en fiche, moi, j’aime assez les pommes de terre pour en manger tous les jours ; mais pas pour les autres ;quant aux enfants, ils préfèrent souvent la cuisine ailleurs qu’à « la maison » jusqu’au jour où ils ont envie de la faire ,eux-mêmes;
mais j’aime le photographe présenté par P.Assouline , c’est aussi une question de gout ,soit
onfray et sa table
https://www.lexpress.fr/styles/saveurs/michel-onfray-j-ai-jete-les-livres-de-cuisine-il-y-a-bien-longtemps_1228057.html
MICHEL ONFRAY EST UNE ORDURE.
Expliquez-vous, Clopine.
Oui, et alii Aby Warburg, famille de banquiers — comme Yoko Ono —
Avec ça on est bien renseigné sur la méthode bien particulière de cet historien de l’art!
Par ailleurs, le titre de l’essai à son propos écrit par G.D. Huberman est écrit et disponible en français aux éditions de minuit depuis belle lurette et s’intitule : L’image survivante Histoire de l’art et temps des fantômes selon Aby Warburg 2002. Mais il est plus facile de chercher sur google en italien!
Comprendre une image?
» L’ expérience nous enseigne qu’il faut se mettre, en la regardant, à l’écoute de sa teneur temporelle, cette polyrythmie dont elle est tissée. »
Comment nous « revient » l’image?
Pour mieux comprendre G.D. Huberman il est fortement conseillé de lire Aperçues, aux mêmes éditions de minuits, 2018.
Où il nous est montré sa manière ( très warburgrienne)de lire les images.
Magnifique! 😉
Bonsoir.
Hamlet, Beethoven est mon compositeur préféré. J’en aime beaucoup d’autres, mais Beethoven est le plus honnête de tous. Avec Bach, peut-être. Beethoven ne fait aucune concession, n’est là pour plaire à personne.
Sa musique est de l’ordre du minént ral, je veux dire plutôt de l’orogenèse. Personne n’a été capable d’orogénèse ni avant ni après lui. Beethoven est un presque-Dieu. Un quasi comme Dieu. Il est la seul a avoir perçu l’ordre et la dimension cosmique et son infinité de déclinaisons physiques ou spirituelles. Plusieurs de ses quatuors en témoignent. Ils contiennent jusqu’à la vibration leptonique et muonique. Si.
1 — je ne suis pas ici pour renseigner qui que ce soit sur quoi que ce soit ;
2 — un ami italien m’a donné le livre de Huberman en italien ;
3 — autre chose ?
il est fortement conseillé : vous conseillez! pourquoi pas, mais pas seulement ; sa production est importante ; je n’ai pas parlé de yoko ono, pour ma part ,mais j’ai vu son travail de « commissaire » à BEAUBOURG https://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/cqpEzRE
et je l’ai entendu ailleurs (sur une photographe)
Georges Didi-Huberman : Fra Angelico, Dissemblance et Figuration. Flammarion, 1990. 264 p., 98 ill., n. et bl. et coul. [compte-rendu]
sem-linkGérard-Marchant Laurence
Le grand Haydn avait bien compris la promesse de Beethoven :
« Vous avez beaucoup de talent et vous en acquerrez encore plus, énormément plus. Vous avez une abondance inépuisable d’inspiration, vous aurez des pensées que personne n’a encore eues, vous ne sacrifierez jamais votre pensée à une règle tyrannique, mais vous sacrifierez les règles à vos fantaisies ; car vous me faites l’impression d’un homme qui a plusieurs têtes, plusieurs cœurs, plusieurs âmes. »
Qu’est-ce que la feignasse auto-avouée peut-elle bien avoir à reprocher au grand Onfray ?
j’aiun souvenir d’un texte de DIDI sur la tache dans lequel il racontait une histoire de conflit avec un enseignant et qui détermina ses recherches, mais je ne le trouve pas sur la toile:ma tête n’est pas à ça
Du pan du tableau au pan du transfert
Frédéric Vinot
Dans Cliniques méditerranéennes 2009/2 (n° 80), pages 191 à 200
un lien (de reconnaissance) sur DIDI
https://www.cairn.info/revue-cliniques-mediterraneennes-2009-2-page-191.htm
Mon plus grand point commun avec Jean-Edern Hallier est sans aucun doute la consommation régulière de vodka. Car j’aimais bien Mitterrand, moi. Je suis passé hier sous les fenêtres de la maison où il est mort. Ça me fait toujours quelque chose. Quand on connaît l’extrême médiocrité de Macron et de ceux qui le servent… cela fait frissonner.
@ CT_MB : Michel Onfray est une ordure.
Sont un peu du même coin, se font un peu d’ombre, … sous les pommiers en fleurs. Prennent trop de place chacun. Se sont camphrés un birn. Ont eu des mots. Marie n’a pas eu le dessus. Voilà tout.
et alii dit: à
Georges Didi-Huberman : Fra Angelico, Dissemblance et Figuration. Flammarion, 1990.
Excellent livre qui le fit connaître aux spécialistes et au grand public, édité dans la collection qu’Yes Bonnefoy dirigeait chez Flammarion si mes souvenirs sont bons.
Tout l’intérêt résidait( et réside encore!)dans l’analyse des trois panneaux peints en faux marbre sous le sujet même de la fresque.
Pourquoi ce faux-marbre prend-t-il autant de place que le sujet peint? Et notre analyse de nous expliquer pourquoi ce faux marbre n’est pas uniquement et simplement décoratif.
Pouquoi conseiller Apercues?
Parce que s’y développent un nombres important d’analyse sur deux milles ans d’images!
J’y ai même trouvé un texte sur » l’accident » dans l’image…qui fait toute l’efficacité… de l’image. Comme chez Saul Leiter! 😉
Une clé possible :
« J’ai 52 ans (il en a 60 maintenant), j’ai rencontré ma compagne quand j’en avais 19 ; elle n’a jamais cuisiné une seule fois. J’assure tous les repas, chaque jour. Et les courses, au marché ou ailleurs ».
Évidemment, ça la fout un brin mal au féminisme…
et notre analyste…
un nombres important d’analyse
Un nombre important d’analyses.
Pablo : la Raison, l’Intelligence, l’Expérience, le Savoir, la Connaissance, le Beau, le Vrai, le Juste etc… vous incarnez à vous-seul toutes ces valeurs «occidentales» que haïssait Dostoïevski
hamlet dit:
Cela veut donc dire que tu incarnes à toi tout seul le Délire, la Connerie, l’Inexpérience, le Moche, le Faux, l’Injuste, etc. Et que ces valeurs universelles que je défends moi ne sont pas celles de la Russie et que Dostoïevski les haïssait?
Mais tu es devenu fou, ou quoi, Pétomane?
J’y ai même trouvé un texte sur » l’accident » dans l’image…qui fait toute l’efficacité… de l’image. Comme chez Saul Leiter!
Ce n’était donc pas une référence rappelée en vain!
bonsoir
MICHEL ONFRAY EST UNE ORDURE.
Clopine dit:
Tu es devenue folle, toi aussi?
François Mitterrand a rejoint l’au-delà à exactement 137 mètres du « Monument des droits de l’homme » littéralement truffé de symboles maçonniques et ésotériques.
Or cent trente-sept est le 33ème nombre premier. Le suivant est 139, avec lequel il forme un couple de nombres premiers jumeaux. Par ailleurs, en utilisant deux rayons pour diviser un cercle en accord avec le nombre d’or, cela fournit des secteurs d’approximativement 137° (l’angle d’or) et 222°. Le hasard.
La fente au bout du bâton
S’il n’y avait cet arbre, à droite, on pourrait se croire dans un aquarium. C’est tout un milieu en mouvement, en effluves, en champs de forces. Le ciel est blanc, tout le reste occupé par des ombres vertes, de puissantes vagues, des chevelures de fantômes qui se font la guerre ou, du moins, se chamaillent. Au centre, un peu de guingois, se dresse un piquet. C’est un simple bâton fiché dans la terre. Son cadrage attentif suggère un paradoxe énonçable sous la question : comment faire le portrait d’un bout de bois? Et, d’ailleurs, pourquoi vouloir faire le portrait d’un bout de bois? La réponse à ces question tient peut-être dans l’ACCIDENT magnifique que présente ce bâton. Peut-être même que l’accident est apparu au peintre avant le bâton lui-même. C’est une petite fente au bout du bout de bois, une fente dans laquelle un filet rouge sang a voulu s’accrocher. Je pense à Vermeer : tendresse et cruauté mêlées. blessure impersonnelle au milieu d’un paysage qui bouge. Hommage du peintre à cette blessure ou à ce fil rouge que personne ne voyait et que, grâce à lui, nous n’oublieront jamais. (30.03.2011)
( Georges Seurat, Paysage au piquet, vers 1882, Bâle, Kunstmuseum.)
Georges Didi-Huberman Apercues page 55.
https://www.akg-images.fr/Docs/AKG/Media/TR3_WATERMARKED/a/6/2/9/AKG1556456.jpg
Mais qu’est-ce qui se passe dans ce blog? Aux fous habituels et irrécupérables (bouguereau, et alli, Gigi la Visqueuse, etc) s’ajoutent maintenant le Pétomane et Clopine, qui sont en train de devenir un peu plus dingues chaque jour sous nos yeux…
La folie serait-elle contagieuse? Ou c’est l’effet confinement à retardement?
encore, pat!
François Mitterrand a rejoint l’au-delà à exactement 137 mètres du « Monument des droits de l’homme » littéralement truffé de symboles maçonniques et ésotériques. Or cent trente-sept est le 33ème nombre premier.
D. dit:
Et tu connais l’importance du 33ème degré de la maçonnerie…
@ Et tu connais l’importance du 33ème degré de la maconnerie…
Et voilà bien la question du plus cinglé de toute l’erdélie
@ nous n’oublieront (sic) jamais la fente au bout du bâton….
Sans avoir vu la peinture en question le texte suggère d’abord une affaire un rien salace, dégoutante même…
c’est certain:je ne supporte pas les femmes qui cherchent à contrôler et diriger les « échanges » entre contributeurs-trices dont elles se sentent exclues, par jalousie; ce sont des personnalités abusives
Il ne faut pas se tromper lorsque l’on parle de privation de liberté .
Au début, ça commence ça: un état d’urgence dit » sanitaire », et puis, avec des « leviers », on en arrive aux prémices d’une dictature :
« Les services de Matignon citent trois leviers :
La possibilité de réglementer ou d’interdire la circulation des personnes et des véhicules et de réglementer l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage (obligation de port du masque) ;
La possibilité d’ordonner la fermeture provisoire et de réglementer l’ouverture, y compris les conditions d’accès et de présence, d’une ou plusieurs catégories d’établissements recevant du public ainsi que des lieux de réunion avec une jauge maximale, en garantissant l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité ;
La possibilité de limiter ou d’interdire les rassemblements sur la voie publique ainsi que les réunions de toute nature.
Le Parisien.
Alors les mamours de deux ou trois vieux qui passent leur temps h24, ici on s’en tape.
mercredi 10 juin 2020, 7h
Année LvB, Op. 95 :
10.6 — 7.38
@Hamlet, un article de Jacques Catteau qui pourrait vous intéresser.
une chose une autre sur ce blog, j’ai repensé à une histoire de celles qu’on dit une « histoire juive » ;
il s’agit de Samuel qui vient d’être papa d’un petit
Simon, et qui doit le faire circoncire ; alors il demande une adresse d’un mohel , lequel lui dit rue des rosiers au 39 il y a des horloges dans la vitrine; Simon y va donc, trouve bien le mohel, se met d’accord avec lui sur la date de la milah , et
tout le monde est content;alors en s’en allant, Simon se retourne et demande au mohel
-« mais pourquoi avez-vous mis des horloges en vitrine? »
et le mohel de répondre
-et qu’estce que vous vouliez sue je mette?
Je crois que P.Assouline a oublié cette histoire; et qu’il devrait aussi mettre une horloge sur la RDL avant qu’il n’y ait une émeute!
bonne journée
zut, je n’ai pas suivi le fil des prénoms ;bon, c’est le père qui va chercher le circonciseur!
UNE SYNTHESE MAGISTRALE
Pendant la crise sanitaire dont nous sortons, deux catégories de croyants ont ferraillé dans la presse écrite, à la télé comme à la radio : les anti-Raoult et les pro-Raoult.
Le temps de la synthèse est arrivé. Le philosophe Eric Deschavanne, à mon humble avis, nous la fournit, d’une manière très approfondie, très équilibrée et très claire. On trouvera cette remarquable synthèse (médicale, éthique, politique) dans la nouvelle revue en ligne qu’il dirige : « Le Débat utile ».
Au sommaire, on trouve aussi un intéressant entretien avec le grand penseur Marcel Gauchet.
Une revue en ligne a, qui plus est, le grand avantage de ne pas coûter un centime au lecteur. J’y suis déjà abonné !
Je décide de dédier cette année 2020 à mon grand cerisier.
Pendant deux mois, il a tendu des branches chargées de fleurs blanches, c’était un tableau de Van Gogh vivant ; nous n’avions rien d’autre à faire que de le regarder, il nous en remerciait avec allégresse.
Aujourd’hui, il est couvert de fruits, qui commencent à se colorer… Promesse de paniers gourmands et de boucles d’oreille comestibles…
Mais la concurrence est rude, très rude. Les oiseaux ont établi une sorte de pont aérien, sans attendre le mûrissement maximum, et avec la plus incroyable ingratitude (car tout autour les champs sont vides, les arbres et les haies n’abondent que chez nous…) ils semblent bien décidés à nous dépouiller entièrement.
Nous sommes donc passés à l’attaque hier.
Et voici mon cerisier pourvus de longs rubans miroitants, irisés, qui le protègent (pour l’instant…) des oiseaux, mais surtout le transforment en un mât de cocagne, comme si c’était Noël en juin, comme s’il allait partir au bal masqué…
On ne peut que sourire en le voyant ainsi papilloté et étincelant.
C’est donc l’année de mon cerisier. Il ne manque plus que l’ânon (qui se fait attendre…) qui doit naître ces jours-ci, et nous aurons ainsi, au milieu de l’inquiétude générale, de la folie du monde, des catastrophes et des périls, préservé un petit peu, oh, juste un petit peu, mais cela nous sera compté n’est-ce pas ?, de la beauté du monde.
À propos du chapeau Katchina, il n’y a pas de majuscule à katchina ; c’est un nom commun ; ce serait plutôt, je crois, un genre de chapeau-katchina, (superbe).
… G D Huberman, Huberman, Didi ; on aura reconnu Georges Didi-Huberman. Lire par exemple, pour prendre contact, Survivance des lucioles. Très joli livre, hommage à Pasolini, entre autres.
lmd, merci. Nous cherchions un nom en »k » pour l’ânon qui va naître. Si c’est une femelle, « katchina » conviendra parfaitement…
@clopine
Si c’est un fille j’aime bien Kahena ,cette Jeanne d’arc kabyle , figure mythique de la resistance au colonisateur
@et Alii
vous dites
« c’est certain:je ne supporte pas les femmes qui cherchent à contrôler et diriger les « échanges » entre contributeurs-trices dont elles se sentent exclues, par jalousie; ce sont des personnalités abusives »
de qui parlez vous ? les femmes sont désormais peu nombreuses ici?sont elles toutes concernées par votre destestation où y a -t-il une élue ? ce que vous déplorez chez elles ne se trouverait pas chez les contributeurs masculins? on est etonné ,de votre part, devant une expression aussi genrée de votre reprobation
DHH, en hébreu, toutes les femmes, même les non juives,qui se félicitent de leur culture livresque et de leurs amies juives, savent ça, c’est un des noms de DIEU.
vous n’avez qu’à demander à votre ami WGG quand il vous invitera -comme vous l’avez raconté,la prochaine fois;je n’ai pas vocation à répondre à vos questions sur la toile et sur la vie
Vrai, lmd, pas de maj pour katchina.
Les katchina sont les âmes des premiers enfants indigènes — sur le réseau le mythe —.
Il y a des pupées katchina et des masques.
À propos du chapeau j’avais écrit : « Aby Warburg et son ‘formidable chapeau’ — en réalité un masque Kachina. » Donc, pas « chapeau Katchina ».
Enfin !
Dans son dernier article, « Anouilh le démodé? », Paul Edel a cessé de jouer avec le danger de saturnisme de son lecteur.
On va pouvoir se remettre à le lire sans appréhension…
Bon un link vers masques et pupées katchina ne passe pas, là aussi une petite recherche sur le réseau suffira.
@et alii
je ne comprends rien a votre réponse à une question pourtant claire .Quel rapport entre le type de femme que vous évoquez et le nom de Dieu que vous ne donnez pas et qui reste pour moi a découvrir ?*
mais je salue dans votre post un joli zeugma
« vos questions sur la toile et sur la vie » bravo !
Zeugma
Mémoire biblique et déluges contemporains
Marc-Alain Ouaknin
En grec, zeugma signifie le « pont » et le « lien ».
Le zeugma est une figure littéraire où s’exprime un lien insolite, incongru, riche de sens, entre des mots, des locutions, des phrases… Une figure littéraire qui donne à rêver, à sourire et à voyager…
Zeugma, c’est aussi le nom d’une ville engloutie sous les eaux, qui exista un jour sur le bord de l’Euphrate. Ville imposante, pour laquelle se battent aujourd’hui l’histoire et l’archéologie afin d’en perpétuer la trace et la mémoire.
M.-A. Ouaknin revisite ici cette figure littéraire et cette ville pour emmener le lecteur dans une réflexion sur l’éthique du futur, le « principe responsabilité », la montée contemporaine des eaux et les menaces sur la biodiversité, dont l’ours polaire en voie de disparition est l’un des exemples les plus évocateurs.
Revenant sur l’épisode du Déluge, ce livre pense la question de l’écologie comme rapport à l’« intime », car le déluge contemporain est aussi celui des images et des paroles, qui ne permettent plus vraiment de se retrouver « chez soi » et qui submergent l’homme de rumeurs et d’informations à l’infini, noyant l’accès au livre, à la lecture et à l’interprétation, rendant difficile l’imagination créatrice qui ouvre à ce que la philosophie nommait « transcendance ». »
justement il sait expliquer que « qui » est un nom de dieu
Edel a raison d’attirer l’attention de son public énamouré sur cette pièce.
Néanmoins, le niveau critique demeure très bas : » »Antigone » (belle pièce) ». On aurait presque envie d’ajouter : Mon général!
Marguerite n’aime pas Anouilh:
https://www.sonuma.be/archive/entretien-litteraire-du-01121971
Hurkhurkhurk!
un personnage imaginaire qui défendrait les pauvres; on a connu ça déjà: Jésus.
Onfray a dû refuser quelque chose à la Grafouilloclopine. Sans doute un de ces chefs-d’oeuvre dont elle a secret, et qu’elle comptait faire insérer dans la nouvelle revue dudit. Je m’en félicite et je le regrette. Je m’en félicite, parce que je me suis abonné, mais je le regrette, parce que j’aime rire.
Suis écroulé! Hurkhurkhurk!
Et moi, pauvre de moi, qui n’avais de ZEUGMA qu’un savoir tout sec et n’y voyais qu’une figure de style banale
Et il faut que ce soit cet Ouaknin dont je trouve les écrits-du moins les deux livres que je me suis forcée à lire- insupportables qui m’ouvre ces perspectives
Decidement ici c’est comme dans feue la SAMARITAINE on y trouve tout
@ Chaloux vous devriez être plus explicite
Tout le monde ici ne connait pas l’anecdote -inventée évidemment- qui repose sur les mots « belle piece mon général « , sensée » s’être déroulée dans le toilettes de la comédie française
lettres en hébreu, mi:qui
d’après ouaknin
o La » lettre » mèm, » prononcée Mi! ou! my,! ! signifie! en! hébreu! « qui ? »,! questionnant
l’identité,!l’origine,!les!racines!…!tension&vers,!identité!en!mouvement.
D’ailleurs,! en! grammaire,! le! mèm! en! tant! que! préfixe,! indique! la! provenance,!
l’origine : »« ani »ba »mé » »=> »je »viens »de… »
o Mayim!est!le!pluriel!de!Ma,!qui!veut!dire!« quoi » ?!
Il! est! étonnant! que! dans! d’autres! langues! aussi,! le! mot! indiquant! le!
« questionnement »! soit! en! relation! avec! celui! qui! veut! dire! « eau » :! ainsi!was! et!
Wasser!en!allemand,!what!et!water!en!anglais.! Cela! signifieraitJtJil! que!le! passage!
par! l’eau! qui! signifie! la! conversion! soit! un! passage! par! la! question,! le!
questionnement!que!MJA!Ouaknin!appelle!la!quoibilité ?
L’EAU/mèm,!en!hébreu,!se!met!toujours!au!pluriel :!« les!eaux ».!Plus!précisément,!on!peut!
traduire!mayim!par!la!« double!eau »,!les!« deux!eaux ».!
En!effet!les!mots!se! terminant!par!ayim,!indiquent!un!« duel » :!deux! yeux,!deux!oreilles,!
deux!mains!…!tout!ce!qui!va!par!paire.!Ainsi,!mayim!ce!n’est!pas!l’eau,!ce!n’est!pas!non!plus!
les!eaux,!mais!une!« paire!d’eaux »!…!FontJelles!écho!aux!« eaux!qui,!en!dessous!du!ciel!et!
aux!eaux!qui,!auJdessus!du!ciel »!ont!été!séparées!au!second!jour!du!récit!de!la!Genèse ?!(cf!
lettre!Bèt page!11)
La!lettre!mèm!a! une! valeur! numérique! de! 40! (voir! note! page! 17).! Ce! nombre!désigne!
https://heitzbenoit.files.wordpress.com/2015/06/archecc81oapp-mars2015.pdf
https://heitzbenoit.files.wordpress.com/2015/06/archecc81oapp-mars2015.pdf
Vanina dit
oui, Tchechov, un solitaire qui a merveilleusement
compris et décrit son temps, on commmence souvent
ses contes avec le sourire, on les termine aussi souvent avec le sourire de la mélancolie. « Où est tu, Misius »
Ses lettres témoignent son naturel bon, généreux, son
dévoument pour les malades et les délaissés.
Son théatre vaut toutes les études sociologiques, c’est le soir d’un monde, mis en scène avec une terrible sincérité.
F.M.D: il savait aussi pratiquer l’ironie et l’humorisme, par ex. Mme la Générale dans « Idiote », si la mémoire ne me trahit pas.
Merci a de nota pour son lien .
Je pensais à Tchekhov, surtout aux nouvelles, à Anna Karénine (les scènes de bal qui comptent parmi les plus abouties scènes romanesques de toute la littérature), à Oblomov etc. en lisant l’affirmation totalement imbécile du vieux colporte de Clomar, qui se prend, là-haut dans son petit retijo, pour un dieu vivant. Probablement le dieu des placards oubliés qui sentent le renfermé.
(Vous avez certainement raison, DHH, quoique votre maître à tous me trouve certainement un peu trop explicite pour ce qui le concerne…).
Pablo75 dit: à
François Mitterrand a rejoint l’au-delà à exactement 137 mètres du « Monument des droits de l’homme » littéralement truffé de symboles maçonniques et ésotériques. Or cent trente-sept est le 33ème nombre premier.
D. dit:
Et tu connais l’importance du 33ème degré de la maçonnerie…
–
…et tu sais, Pablo, que le mètre n’est pas une unité arbitraire mais découle de la coudée égyptienne.
« Kahena ,cette Jeanne d’arc kabyle , figure mythique de la resistance au colonisateur » (DHH)
Il serait peut-être bon de préciser qu’il s’agit du colonisateur arabe, DHH…Mais n’est-ce pas un patronyme un peu grandiose pour une ânesse? Kahena, la vraie, aurait-elle apprécié? (je précise que les ânes ont toute ma sympathie et mon respect).
Il faudrait suivre le fil Chaloux, pas se fixer sur le oremier comme un con. Mon post n’était qu’une provocation, qui a par ailleurs fait son effet car votre double hamlet a démontré ses limites : lui il peut vomir sur les Romantiques mais on touche pas à ses mythologie. Un peu comme vous sur d’autres arguments, quoi. Et que maintenant le parvenu lâche ses petits vomis qu’on s’amuse.
Nabokov parle intelligemment de Tchekhov. Son analyse de «La mouette » dans ses cours de littérature est vraiment excellente. Il parle de « son humour calme qui imprègne la grisaille des vies qu’il crée ». Il note aussi que dans son théâtre il se faisait l’interprète d’un personnage unique en Russie, avant la révolution de 17, c’est « le type de l’intellectuel russe, de l’idéaliste russe, créature bizarre et pathétique peu connue à l’étranger ». Il s’agit, dit-il « de l’intellectuel qui « alliait le respect humain le plus profond à l’incapacité quasi ridicule de mettre en pratique ses idéaux et ses principes, un homme dévoué à la cause de la beauté morale, ayant à cœur le bien de son peuple, le bien de l’univers, mais incapable de faire quoi que ce soit d’utile dans sa vie privée, gaspillant son existence provinciale dans une brume de rêves utopiques, sachant parfaitement reconnaitre ce qui est bon, ce qui vaut la peine d’être vécu, mais sombrant en même temps dans la boue d’une existence monotone, malheureux en amour, irrémédiablement inefficace-un homme bon qui ne peut rien faire de bon. »
closer, en nommant le rejeton, elle veut faire reconnaître son droit d’ânesse
Admettons que je me sois trompé. Mais le problème avec le colporte de Clomar, c’est que ce qu’il appelle « sa provocation » colle aussi étroitement à son esprit de sérieux. Bref, ce qu’il affirme « par provocation », il pourrait tout aussi bien l’avoir écrit sérieusement. Frotte, frotte les bidets, petit garçon d’hôtel…
Voilà que le parvenu a vomi.
elle existe toujours cette figure polo..c’est celle qui n’a pas la tête pleine de gaz les yeux plein de pétrole et l’oeil plein de nickel..les russes ont ça pour eux..dans tous les cas ils sont précieux
votre maître à tous
mon larbin tartarine pasqu’il en un rien que pour lui..t’es bien mignon
un personnage imaginaire qui défendrait les pauvres; on a connu ça déjà: Jésus
..j’en connais un vrai..et « plus curieux » que bonne clopine avec ça..il aime a rire en cuisine
Mon plus grand point commun avec Jean-Edern Hallier est sans aucun doute la consommation régulière de vodka
c’est un commun dénominateur havec ivan et djougachvili dédé..tout ça pour faire ton 34éme degré de maconnerie et faire henrager pédro dans la soushiérarchie
marie Sasseur, libre à vous de réduire Hugo au Grand-Père Gazteau de Marianne III, mais ce n’est pas celui que vous nommez le sacristain qui invente Myriel et le ton de l’affaire de Picpus.
avec un peu de chance, vous trouverez sur Groupugo une étude analogue, qui n’est pas de moi,dont le signataire m’échappe, et qui, s’agissant du Couvent de Picpus, dit la meme chose que votre serviteur.Je ne savais pas que les membres de Groupugo étaient étiquetables comme sacristains! Puissance des idées reçues, façon: c’est Court qui signe donc ça ne peut-être que ça! Betise d’une lecture qui voit une « défense de la curaille » là ou il y a tout simplement de l’humanité et de l’humour dans le portrait des sœurs. Quel dommage que ces deux mots, humanité et humour, vous soient précisément étrangers!
L’Antechrist et Hugo, Jazzi, c’est un vaste problème qui commence dés les Odes et Ballades avec une ode titré sous ce nom:
« Il viendra quand viendront les dernières ténèbres
Que la source des jours tarira ses torrents,
Qu’on verra les soleils, au fond des nuits funèbres,
Pâlir comme des yeux mourants »
Pour autant, jamais Hugo ne s’identifie ou n’est identifié à cette figure. Il n’en sera pas de meme dans l’exil ou la Fin de Satan suppose une projection d’Hugo dans le personnage de Lucifer, pour diverses raisons, la principale étant (Marie Sasseur va en sauter sur sa chaise) qu’Hugo ne peut concevoir un Dieu égal à son propre jaillissement créateur.
D’où la reprise des thèmes de l’effondrement du Cosmos liés cette fois à la chute de Satan.
D’où,aussi, pour faire bref, le chant sur Nemrod, à la fois surhomme et impossible conquérant de Dieu, lancé dans les airs par une folle machine, et dont la variante finale évoque
« La flèche teinte de sang. Il avait blessé Dieu. » Hugo substituera la forme interrogative à cette forme assertive. Il y aurait beaucoup à dire sur cette autocensure avalisée par les héritiers, lesquels n’étaient pas précisément des piliers de sacristie.
enfin, si cela donne à penser à l’ineffable Marie qui s’imagine qu’Hugo est tout blanc ou tout noir, repeint en tous cas de la couleur des années post 1870, lorsque , hormis Mes Fils et Quatre-vingt-treize, il n’a plus grand chose à dire, ce sera déjà beaucoup.
Cordialement.
MC
Bien à vous.
MC
Personnage imaginaire défendant les pauvres. Ce type richissime qu’on prend pour un pingre. Chez Bloy. Histoires désobligeantes
Colporte, ce n’est tout de même pas ma faute si ton humour est si voisin de ta niaiserie.
(Je relis Cadence, me demandant avec quel œil je l’avais lu une première fois. Il y a dans tout lecteur une démon mystérieux).
@closer
puisque vous souhaitez des précisions sur le combat de la Kahena voici:
En appelant sa future ânesse Kahena Clopine l’inscrirait dans une histoire glorieuse : La Kabylie est depuis la nuit des temps une terre de résistance ,berceau d’un peuple capable des pires sacrifices pour la sauvegarde de sa liberté ,de son identité et de sa langue.
Resistance à la romanisation, quand les kabyles de nos versions latines s’appelaient les Numides portaient des noms comme Jugurtha et Massinissa que portent encore aujourd’hui dans nos banlieues de lycéens originaires d’un bled de la-bas
Resistance à l’invasion arabe, emmenée par la Kahena
Resistance à la conquête française avec le soulèvement d’ Abd el kader , ce leader charismatique entouré de compagnons tous issus de ces montagnes
Resistance au colonisateur qui est née et a prospéré dans cette region ,dont les fils ont été le noyau dur de la lutte pour d’indépendance algérienne.
Resistance enfin enfin au bouteflikisme au prix de nombreuses victimes .
Hugo ne peut concevoir un Dieu égal à son propre jaillissement créateur
lesprit est a soimême sa propre demeure..je préfère une vraie tristesse a une fausse joie
Bouguereau bien sûr qu’ ils sont précieux
@ Clopine
et pour un âne Kadichon ,en souvenire de la comtesse née Rostopchine
Il y a dans tout lecteur une démon mystérieux
allons..poigner vilains..ça lassouplira
#marie Sasseur, libre à vous de réduire Hugo au Grand-Père Gazteau de Marianne III,
Je me demande si Court comprend ce qu’il lit.
Il a déjà trop montré que non.
Il ne comprend rien.
Bouguereau, je ne réponds pas aux assassins. Tu devrais avoir disparu de toi même.
Si c’est une ânesse, pourquoi pas Kadichoclopine?
Je ne voudrais pas vous harceler, DHH, mais vous ne répondez pas à la question de l’adéquation entre ce prénom et l’animal dont il s’agit…
« un personnage imaginaire qui défendrait les pauvres ; on a connu ça déjà : Jésus »
Mais peut-on parler de personnage imaginaire à propos de Jésus ?
Le boug assassin !
Mais qui est la victime, Chaloux ?
A propos des ânes, ce que nous en avions dit ici :
« Cette liste contient des ânes fictifs présents dans des œuvres de fiction.
Par ordre alphabétique :
Aliboron, dans les Fables de La Fontaine.
Un âne (sans nom) fait partie des quatre Musiciens de Brême, conte des Frères Grimm.
L’âne de Buridan.
L’âne Culotte, dans le roman d’Henri Bosco.
L’ânesse du devin Balaam, qui va révéler à ce mage la présence d’un ange venu dérouter ce dernier en route pour maudire les hébreux qui font marche vers la terre promise.
Balduinus, l’âne dans le Roman de Renart.
Balthazar, dans Au hasard Balthazar de Robert Bresson ;
Benjamin, l’âne cynique, personnage important dans La Ferme des animaux.
Bim le petit âne, conte de Jacques Prévert puis film d’Albert Lamorisse.
Cadichon, dans les Mémoires d’un âne, de la Comtesse de Ségur née Rostopchine.
Delphine, l’une des deux héroïnes des Contes du chat perché de Marcel Aymé, se transforme en âne dans le conte L’âne et le cheval.
Lucius, métamorphosé en âne dans L’Âne d’or d’Apulée.
Modestine, l’ânesse de Stevenson;
Peau d’âne, l’héroïne du conte de Charles Perrault est revêtue de la peau d’un âne qui « produisait » de l’or.
Platero, l’âne du poème Platero et moi de Juan Ramón Jiménez, prix Nobel de littérature;
Cadichon, dans La Rivière à l’envers de Jean-Claude Mourlevat. » (wikipédia)
Et encore :
Victor Hugo : l’Anesse de Balaam délire somptueusement dans une des plus belles séances de tables tournantes de Jersey le 27 Décembre 1853. Plus le poème l’Âne.
Guillaume Apollinaire, Rhénanes, Alcools, 1913 :
« Sur le chemin du bord du fleuve lentement
Un ours un singe un chien menés par des tziganes
Suivaient une roulotte traînée par un âne
Tandis que s’éloignait dans les vignes rhénanes
Sur un fifre lointain un air de régiment
Le mai le joli mai a paré les ruines
De lierre de vigne vierge et de rosiers
Le vent du Rhin secoue sur le bord les osiers
Et les roseaux jaseurs et les fleurs nues des vignes »
Shakespeare : L’âne Bottom, du Songe d’une nuit d’été.
Shâtriava, l’âne poltron et ayant toujours peur même de son ombre dans les Fables du brahmane hindou Bidpaye (Le Livre de Kãlinkã et Dãminkã).
L’Âne sage et paresseux créé par l’écrivain égyptien Tewfik Al-Hakim dans son roman Himar al Hakim ( Mémoires de mon âne ).
Francis Jammes, trois poèmes : « Prière pour aller au paradis avec les ânes », « J’aime l’âne si doux » et « l’âne du jardinier ».
Pinocchio devient un âne au chapitre XXXII.
Les ânes dans la Bible (le Nouveau Testament) : l’âne, animal moqué, symbole d’ignorance, montré du doigt et dédaigné car figure du pauvre, se voit non seulement à travers les récits bibliques, où, figure exemplaire des théories du christianisme, il est associé sans équivoque à Jésus, quasiment du début (dès l’étable originelle), à la fin (l’entrée à Jérusalem préfigurant le Golgotha, où l’on nous précise que l’ânesse qui portait Jésus était « suitée »…).
« Iosef était un ouvrier, qui en divers métiers, s’employa comme saisonnier à la récolte des olives. A la fin de la récolte des olives, Miriàm, qui était enceinte, et dans la dernière lune, l’écouta lui annoncer que les romains avaient décrété un recensement général, et qu’il leur faudrait pour cela, se rendre à Bet Léhem. Miriam, fut emballée à l’idée d’accoucher en voyage, loin de ce pays de ragots, le fut plus encore, certaine de donner le jour à un fils, et chantait » Lalèkhet, lalèdet ». Son futur epoux scella une ânesse , et c’est ainsi que Miriàm enceinte jusqu’aux yeux, entra en ville.
( E. de Luca, Au nom de la mère, 2006, Gallimard 2018, pour la trad’ française)
Des années , plus tard Jesus, qui se présente en ville, un jour comme aujourd’hui, est raconté par Matthieu :
1 Lorsqu’ils approchèrent de Jérusalem et qu’ils furent arrivés à Bethphagé, vers le mont des Oliviers, Jésus envoya deux disciples
2 en leur disant : «Allez au village qui est devant vous ; vous y trouverez tout de suite une ânesse attachée et un ânon avec elle ; détachez-les et amenez-les-moi.
3 Si quelqu’un vous dit quelque chose, vous répondrez : « Le Seigneur en a besoin. Et à l’instant il les laissera aller.»
4 Or [tout] ceci arriva afin que s’accomplisse ce que le prophète avait annoncé :
5 Dites à la fille de Sion : « Voici ton roi qui vient à toi, plein de douceur et monté sur un âne, sur un ânon, le petit d’une ânesse. »
L’âne de Sancho Pança dans Don Quichotte de Cervantes. Moins flatteur que le cheval, l’âne joue constamment les utilités. Il représente tout à la fois le principe de réalité qui parcourt le roman et le principe de folie douce, de la « marotte » alliée au bonnet de fou à grelots : ânes, mules, mulets, bourriques et autres montures plus fantaisistes comme les « dadas ».
Sterne, notamment dans Tristram Shandy, fait trotter à travers son œuvre un grand nombre d’ânes, sur lesquels on parcourt avec constance les petits trajets de la vie. Certes, on pouvait s’attendre à de pareilles rencontres dans la campagne anglaise du XVIIIe siècle. À cette nécessité d’ordre réaliste s’ajoutent les ressources du double-sens, puisque le mot anglais « ass » qui désigne l’âne offre aux facétieux l’occasion de plaisanteries à bon compte.
Je donne cinquante mille francs aux pauvres, je désire être porté au cimetière dans leur corbillard, je refuse l’oraison de toutes les Eglises, je demande une prière à toutes les âmes, je crois en Dieu. » Telles sont les célèbres ultimes volontés de Victor Hugo et les dernières lignes écrites de sa main, trois jours avant sa mort, le 22 mai 1885.
Vous trouverez d’autres liens.
de nota : merci. connaissais pas. marrant : pas 2 auteurs parlent de FD de la même manière.
bien sûr le contrepoint, écrivain baroque, polyphonie. L’Idiot c’est aussi l’histoire de Nastassia, enfant violée par l’homme en qui elle avait confiance, celui qu’elle pensait être son sauveur, son destin fait qu’elle rencontre le seul qui pouvait la guérir de son mal, un homme pur et bon, une bonté naturelle, son amour désintéressé, le seul être au monde capable de réparer son mal, mais ça ne marche pas, résilience impossible, quel message veut faire passer l’auteur ? même l’amour du Christ ne guérit pas les maux les plus profonds, un Christ inutile pour guérir le monde, sûr que les gens préfèrent le contraire, ils préfèrent les livres de Cyrulnik : la résilience est possible ! ah oui j’ai juste oublié de préciser : elle n’est possible que dans 0,0001% des cas, mais ces cas sont intéressants, regardez la Callas elle s’ne est sortie, wow génial ! alors nous avons tous notre chance ? l’auteur russe nous répond non, pas de résilience possible, pas d’espoir possible. Tout le contraire de ce que nous avons encie d’entendre, suffit de regarder ces gens qui assistent à une conférence sur le Bonheur donnée par Comte Sponville, que lit-on dans leur regard : « cette fois-ci c’est la bonne ! », comme cette femme qui revenait de l’UP de Caen, elle venait d’assister aux confs d’Onfray sur l’hédonisme, elle était survoltée, pareil pour elle : « cette fois-ci c’est la bonne ! dès aujourd’hui me voilà hédoniste ! », une semaine plus tard les paroles du philosophe commencent à s’effacer dans l’esprit, et un mois plus tard les mêmes emmerdes recommencent, comme avant. Est-ce ça que veut éviter Dostoïevski avec Nastassia ? ne pas nous mentir ? sur la résilience, les valeurs universelles des droits de l’homme et de la femme, toutes ces choses qui n’existent pas dans le vrai monde ? comment aimer un type aussi cynique ? à moins qu’en effaçant ces mensonges il entrouvre un rideau, non pas pour laisser une lumière aveuglante envahir son souterrain à la façon de la caverne de Platon, mais juste un ultra mince filet de lumière, une lueur à peine perceptible, le prix de la vérité, c’est ça ou rien.
Chaloux, vous allez pouvoir triompher et largement rigoler : je suis dans la mouise.
Et pour un motif qui devrait satisfaire pleinement votre méchanceté, vu qu’il s’agit de piano.
Voilà le point :
J’ai en effet besoin, pour le prochain documentaire de Beaubec Production, d’une certaine transcription au piano d’un morceau issu du folk anglais, morceau joué par un pianiste américain.
Et je n’aurai pas les droits. L’artiste américain est aux abonnés absents (ce qui correspond à un « non », car les américains ont horreur de dire « non », et préfère le silence), il n’est pas enregistré à la SACEM française, bref : la mouise.
C’est mon premier échec. Jusqu’à présent, d’Henri Texier à Marc Minkowski, en passant par Alexandre Tharaud, tous les musiciens, célèbres ou inconnus, que j’ai contactés ont tous été partants pour, contre une rémunération minime, nous céder les droits : et ainsi l’illustration musicale des petits films de Beaubec Productions était-elle « au top » !!!
Mais là…
La seule solution est de trouver un étudiant au Conservatoire de Rouen, ou un pianiste suffisamment calé pour arranger le morceau (libre de droits, lui…) « dans le style » que nous recherchons.
Bien sûr, si vous étiez aimable et servicieux, et si vous m’aimiez bien, je suis sûre que vous pourriez m’aider.
Mais là, ce n’est plus sur un os que je tombe, mais bien un squelette entier.
L’âne de Meaux. Un évêque de Meaux, perclus de goutte, avait fait construire un passage qui va de l’évêché à la cathédrale, qui lui permettait de se déplacer sur son âne.
Une pensée pour tous les ânes africains massacrés, victimes de la déraison médicale traditionnelle chinoise.
J’aime l’âne si doux. J’avais sept ou huit ans. Premier contact avec l’abîme de l’humilité et de la charité. Gracq se trompe en disant que sa génération est la dernière à pouvoir apprécier Jammes.
Les dernières paroles que je voudrais entendre sur la Terre.
J’aime l’âne…
J’aime l’âne si doux
marchant le long des houx.
Il prend garde aux abeilles
et bouge ses oreilles ;
et il porte les pauvres
et des sacs remplis d’orge.
Il va, près des fossés,
d’un petit pas cassé.
Mon amie le croit bête
parce qu’il est poète.
Il réfléchit toujours.
Ses yeux sont en velours.
Jeune fille au doux cœur,
tu n’as pas sa douceur :
car il est devant Dieu
l’âne doux du ciel bleu.
Et il reste à l’étable,
fatigué, misérable,
ayant bien fatigué
ses pauvres petits pieds.
Il a fait son devoir
du matin jusqu’au soir.
Qu’as-tu fait jeune fille ?
Tu as tiré l’aiguille…
Mais l’âne s’est blessé :
la mouche l’a piqué.
Il a tant travaillé
que ça vous fait pitié.
Qu’as-tu mangé petite ?
— T’as mangé des cerises.
L’âne n’a pas eu d’orge,
car le maître est trop pauvre.
Il a sucé la corde,
puis a dormi dans l’ombre…
La corde de ton cœur
n’a pas cette douceur.
Il est l’âne si doux
marchant le long des houx.
J’ai le cœur ulcéré :
ce mot-là te plairait.
Dis-moi donc, ma chérie,
si je pleure ou je ris ?
Va trouver le vieil âne,
et dis-lui que mon âme
est sur les grands chemins,
comme lui le matin.
Demande-lui, chérie,
si je pleure ou je ris ?
Je doute qu’il réponde :
il marchera dans l’ombre,
crevé par la douceur,
sur le chemin en fleurs.
« A propos des ânes, ce que nous en avions dit ici : »
Le « nous » de majesté!
A quand la troisième personne?
JB pète les plombs.
@Jazzi
nous livrez vous ici quelques pierres d’attente e votre « work in progress » :Le goût de l’âne » qui n’aurait evidemment rien d’un livre de cuisine ?
Psy à deux balles:
La haine soudaine de Clopine pour Onfray est de l’amour déçu.
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