de Pierre Assouline

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La République des livres
Quand un écrivain se sépare de sa bibliothèque

Quand un écrivain se sépare de sa bibliothèque

Tout écrivain est d’abord un lecteur. Souvent même un grand lecteur. On en connait qui cessent de l’être lorsqu’ils préparent un nouveau livre afin de ne pas risquer d’écrire sous influence, et d’autres qui lisent compulsivement toute une vie durant car c’est leur oxygène naturel. Mais tous se couperaient une main plutôt que d’avoir à se couper de leur bibliothèque souvent constituée depuis leur jeunesse et sans cesse enrichie. Aussi faut-il un évènement important pour qu’ils se résolvent à une telle extrémité. D’autant que pour nombre d’entre eux, c’est leur instrument de travail.

Alberto Manguel (Buenos Aires, 1948) vivait des jours paisibles à Mondion, une commune dans la Vienne, dans un ancien presbytère qu’il avait acquis près d’un parc naturel. Ecrivain, critique, traducteur, enseignant, il l’avait choisi pour sa vastitude afin d’y abriter pour la première fois en un lieu unique les milliers de livres dans de nombreuses langues que ce nomade babélique, polyglotte et cosmopolite, avait dû disperser dans différents pays où il avait vécu. Ce qui fut fait. Une bibliothèque non de collectionneur mais de lecteur. Las ! Il y a quelques années, il dut quitter la France après avoir été atteint d’un mal assez courant chez les artistes : l’hernie fiscale. On dit que cela se soigne mieux ailleurs que chez nous. On imagine le déménagement des huit cents cartons d’un tel fétichiste de l’objet-livre, vraiment pas du genre à relire Don Quichotte sur tablette. Lui se refusait à envisager une nouvelle diaspora pour ses chers volumes. Pas spécialement beaux, ni rares, ni chers mais siens, c’est-à-dire feuilletés et caressés, lus et relus. Il existe un romantisme de la lecture. Ce bloc de papier et de couvertures, il excluait de l’éparpiller à nouveau. C’est alors que se présenta « la solution portugaise ».

Ne cherchez pas, ce n’est pas le titre d’un thriller américain mais l’idée du maire de Lisbonne de créer un Centre de recherche sur l’Histoire de la lecture. Et l’édile d’offrir l’asile poétique aux 40 000 livres d’Alberto Manguel dans un lieu dédié, le Palacete dos Marqueses de Pombal. Le palais étant en mauvais état, d’importants travaux de rénovation ont été engagés. Un nom a déjà été trouvé pour la bibliothèque du rez-de-chaussée dont il sera le directeur : « Espaço Atlântida », en toute simplicité. Un seul lecteur jouira du privilège d’emporter chez lui pour consultation des livres de la bibliothèque : Alberto Manguel. Normal puisqu’après en avoir été le papa, il en sera le patron.

 

Milan Kundera, c’est autre chose bien qu’il ait lui aussi fait don de sa bibliothèque de 4000 livres au même moment. Mais à Brno (Moravie), « sa » ville, celle où il a vu le jour il y a quatre-vingt-treize ans, ce qui change tout. Il offre aussi ses archives à la Bibliothèque de Moravie, la plus grande du pays après celle de Prague. C’est l’aboutissement heureux, logique, naturel pourrait-on dire d’un processus de renationalisation de l’écrivain qui avait été déchu de la nationalité tchèque en 1979 par un régime qui le honnissait, puis naturalisé français en 1981 et rétabli dans sa citoyenneté d’origine en 2019 tandis que sa ville abritait un colloque consacré à son œuvre et que le théâtre jouait l’une de ses pièces de jeunesse. Mais c’est bien en français qu’il écrit depuis La Lenteur (1995) et on ne l’imagine pas revenir au tchèque, lui qui est installé à Paris depuis 1978. Le fonds Kundera devrait être ouvert au public en février prochain, la seconde moitié du legs n’étant parvenu à bon port que ces jours-ci en raison d’un report dû à la pandémie. On a déjà hâte de découvrir ses livres (dont une édition de 1580 des Essais de Montaigne). Pour savoir quelles lectures l’ont nourri mais aussi, suprême indiscrétion, pour découvrir ses annotations en marge, ses passages soulignés, ses pages cornées. Chaque fois qu’on a pu le faire dans le passé avec d’autres auteurs, l’exercice était plein de surprises. Avec la bibliothèque philosophique du poète Paul Celan ou parmi les cinq cents livres que Jorge Luis Borges a légués à la Bibliothèque Nationale de Buenos Aires.

Du pain bénit pour les chercheurs contrairement aux 400 livres que Julien Gracq avait distrait de sa bibliothèque pour les offrir à celle de sa commune, Saint-Florent-le-Viel (Maine-et Loire) : bon nombre sont ornés de dédicaces des plus flagorneuses et ça, ce serait plutôt un cadeau pour les journalistes.

(« Milan Kundera, 1984 » photo François Lochon ; « Alberto Manguel » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

769 Réponses pour Quand un écrivain se sépare de sa bibliothèque

Jean Langoncet dit: à

@Pour un protestant, c’est effectivement un exploit

Bien des ponts existent, ce que vous savez parfaitement

Jean Langoncet dit: à

Il m’est encore loisible de ricaner, voire de rire, avec Dylan notamment, de la pop anglaise qui vous structure bien plus que Sartre (tant mieux) ; de ceci par exemple
https://www.youtube.com/watch?v=nDbeqj-1XOo

Jacques dit: à

FRANCE 2 – DANEMARK 1
La France qualifiée pour le prochain tour.😀

MC dit: à

Et si les théâtreux /apprécier le terme-sont justiciables, autant brûler non Woody Allen, mais , pour faire les choses avec méthode, initialement Shakespeare,dont le cas n’est pas des plus net, n’admettre Moliere qu’au bénéfice du doute et du bout des lèvres, à cause de Baron. Reprocher Memoires (apocryphes) à l’appui Corneille et Racine d’ avoir couru la bagatelle avec Marquise, tirer sur Marivaux et Musset pour les mêmes raisons. Attendons les Memoires de Sylvia et de Rachel .Un moralisme étroit et borné, Sasseurien pour tout dire, voilà le plus terrible ennemi du théâtre !

Alexia Neuhoff dit: à

Bloom dit: à

« J’ai eu l’immense plaisir, l’insigne privilège & le très grand honneur de travailler avec lui et puis vous dire que cet homme-là était à mille coudées au-dessus des minables qui font semblant de nous gouverner. »

J’aurais pu écrire ce commentaire mot pour mot. J’en suis retournée. Et totalement d’accord, évidemment.

Bloom dit: à

Vus les les Flamands roses en concert au Palais de sports Porte de Versailles, lors de la tournée Dark Side. Des montres et de l’argent partout sur l’écran.
Waters n’était encore que mollement antisémite à l’époque.
Careful with that Axe, Eugene…terrorifiant…

Janssen J-J dit: à

@ jzmn et autres, Je crois qu’il y a un lézard dans le billet sur monsieur Du Jardin Le Nôtre. Merci à vous, j’insiste : j’ai d’autres méthodes de mémorisation qui s’apparentent un peu à celles de RP : des listes de sigles à réciter en prenant ses cachets, la capture du retour des comptines scolaires (cantines?), des poésies, des fables, du journal de mes lectures, des bouts rimés, la révision des fiches, le calcul du temps pour retrouver le nom et le prénom de la personne proche, les écrivains lus depuis 50 ans par leur nationalités et leurs oeuvres, et tant d’autres techniques mnésiques bien sûr… Mais quand la M I a décidé de foutre le camp, il faut se préparer à ne capturer que les bons sentiments des autres et à en effacer les vilains. L’attachement à la RDL aide pour cela, on ne lit plus que les gentils ety les courtois, on se désole de la violence scripturale même si parfois on détecte des traces d’eugénie. Evidemment, les blessures d’amour propre ne sont pas toujours des plus constructives pour les erdélien.nes et incitant au pacifisme dont on aurait tant besoin – Et puis, il va falloir traverser tout un long hiver. Au fait, merci, MC, pour votre remarque sur Julien Green, elle m’a fait rire, comme souvent…
Je retourne au Mage du Kremlin, assez convenu dans l’ensemble de son approche de l’ascension au pouvoir du poutiniste, et la classicisme sans surprise de l’écriture de l’auteur. A noter le portrait « pas borné » d’une certaine Czernia tout droit sorti d’une figure de la RDL (aux pp 60-62) Qu’en avez-vous pensé, celzéceux qui ont lu ce roman de mme carrère d’encausse ? (DHH, je crois ?).
Bon, je vas-y, RM et JL, céleur du vodka martini. Tchin ! bàv

Bloom dit: à

J’aurais pu ajouter l’humilité, AN.
Emotion.

Clopine dit: à

Catherine Clément a tous les attributs d’une parfaite erdelienne, sauf la génération, bien sûr. Pourquoi est ce que cela me gratte autant ? Soupir… Elle est ce qu’est Marie Sasseur est ici. Pénible, ô combien. Assise avec les attributs du pouvoir d’une main, le fouet dans l’autre. Écoeurante, à force de non remise en compte d’elle même et de manque de modestie. Mais néanmoins témoin, malgré elle, de sa place et de sa classe … Le truc qu’il y a de bien dans l’art, c’est que finalement l’auteur d’un portrait soit parfois plus reconnu que le sujet du tableau, ou que son commendataire. De même pour les commentaires de Marie Sasseur. Elle est plus vache, sûrement, dans la vraie vie qu’ici. L’Elisabeth tudorienne avec blanc au joues et rouge aux lèvres. Ce qui n’est pas très différent de nos augustes clowns. Néanmoins, je voudrais être elle. Pour ne pas être piétinée. Le problème, c’est les sabots. Je suis trop légère pour les siens.

Marie Sasseur dit: à

Pour quelle « raison » ce film sur la troupe de Chereau suscite-il autant de fiel, du même dément, sans rapport avec le film et son  » acteur principal « , sous le coup de plusieurs mises en examen pour viols et violences sexuelles.
Sujet mis dans je fil de commentaires par une qui soutient le violeur.

Aucune raison, mais on peut supposer démence, ethylisme, imbecillité, ignorance, bien des choses en somme.

J J-J dit: à

@ dirbloom, ces derniers temps, vous êtes trop dur avec langoncet et jzmn, je ne sais pas pkoi, cela me désole un brin. Sont pas des plus méchants, ceusses-là, z’ont un bon fond, hein ! – Non, je n’ai pas lu les mémoires de catherine clément non plus, désolé, CT. N’accablons pas la traduction de ka Culture du Pauvre et rendons hommage à 33 newport street… Je regrette de ne pas avoir accédé aux deux autres ouvrages signalés… Je partage avec vous et Alexia l’honneur d’avoir également côtoyé Rocard, du temps où il avait à réformer les SR…, « si ça vous amuse » que lui avait dit Mitterrand. Ses mémoires sont très intéressants, et je pense que tout le monde en conviendra. J’ignorais qu’il parlât un merveilleux anglais oxbridgien, ce qui m’étonne un peu.
Bien à vous,

Marie Sasseur dit: à

La brayonne cherche son clopin au bordel.
Là encore, je ne suis pas concernée par cette partouze.

Marie Sasseur dit: à

Moi je lis V13, de Carrère. C’est autre chose que du cinéma.

Jean Langoncet dit: à

@Waters n’était encore que mollement antisémite à l’époque.
Careful with that Axe, Eugene…terrorifiant…

Bibi et Passou pourront se ressourcer à grande rasades de l’Elton John d’aujourd’hui … choisi ton camp, camarade

rose dit: à

Bloom

et puis vous dire que cet homme-là était à mille coudées au-dessus des minables qui font semblant de nous gouverner

Je n’en doute pas.
Sa manière de se retirer de la politique, radicalement, en dit long.

rose dit: à

Cela fait deux mois que vous avez commencé V13, MS. Entre temps vous avez lu quinze autres ouvrages.

Jean Langoncet dit: à

surtout ceux > surtout celles

Jean Langoncet dit: à

choisi ton camp > choisis ton camp

Adios

D. dit: à

Bloom dit: à

Vus les les Flamands roses en concert au Palais de sports Porte de Versailles, lors de la tournée Dark Side.

Vous nous l’avez déjà dit, Bloom.

D. dit: à

Jacques dit: à

FRANCE 2 – DANEMARK 1
La France qualifiée pour le prochain tour.😀

Je m’en fous complètement, Jacques.
Le football est un cancer de nos sociétés.

rose dit: à

Sujet mis dans je fil de commentaires par une qui soutient le violeur.
Absolument pas.
Êtes souvent à côté de la plaque.

rose dit: à

Elle est plus vache, sûrement, dans la vraie vie qu’ici.

Je pense pile poil le contraire.

Dans la vraie vie, c’est un amour, généreux, altruiste, compréhensif serein. On en rêve.

Ici, c’est un rôle, la galerie des horreurs, la panoplie des miroirs déformants.

D. dit: à

Je crois me souvenir que vous aussi aimiez beaucoup Jacques Martin, Bérénice ?

renato dit: à

« En tout cas, en politique, ne pas retourner sa veste tient du miracle. »

Il faut voir, Rose. Par exemple, après les faits de 1956 (Hongrie), rester communiste révélait un certain manque de sens critique.
Par ailleurs, on dit que seulement les crétins ne changent pas d’opinion si on leur prouve qu’ils se trompent.
Puis il y a les opportunistes, c’est vrai, mais un des intervenants de la RdL peu orthodoxe vous dira que l’opportunisme n’est qu’un comportement parmi tant d’autres.

rose dit: à

Renato

Je vous ai lu.

Jacques dit: à

Je pense que la France gagnera la coupe du monde et si Dédé le je-m’en-foutiste n’aime pas cette belle équipe de France, eh bien, tant pis pour lui.
Dédé n’aime que Bérénice et Bérénice, en dépit de sa beauté, ne peut pas gagner la coupe du monde. Voilà.

Jacques dit: à

Personne sur ce blog ne supporte l’équipe de France. C’est triste.
Les Rdéliens manquent horriblement de patriotisme footbalistique.

rose dit: à

C terrible. On s’en fout comme de l’an quarante.
Comme du petit prodige de Bondy, français, algérien, gabonais.
Cet as de la balle au pied au front etc.

rose dit: à

Prendre mon Agatha Christie et lire L’affaire Prothero.
L’est déjà mort.
Cela s’avère compliqué.
Éclaté de rire aux deux descriptions du mariage aux pages 6 le mari et 10 son épouse.
Voyons voir qui a assassiné.
Bonne soirée,

Jacques dit: à

Je vais partir, une soucoupe volante m’attend. Avec mes amis extraterrestres on ira tous au Qatar.

Jacques dit: à

Pour Antoine Blondin :
Ironie du sort.
Ironie du score.
Ironie du sport.

Bloom dit: à

Pour Antoine Blondin :

Au 72 de la rue Mazarine, vous savez ce que l’on trouvait au bas de l’escalier…?

Bloom dit: à

Vous nous l’avez déjà dit, Bloom.

Non, D.
C’était les Who, au parc des exposition, l’année d’avant (j’étais en seconde).
Vous confondez.
Il y a encore Lou Reed (avec S. Hunter & D. Wagner aux guitares) & Genesis avec Peter Gabriel (The Lamb…)la même année…Faut bien vous aider un peu.

Euh, vous gourez pas de vaisseau spatial, dès fois qu’on ait le bonheur de vous perdre dans les ténèbres extérieures.

closer dit: à

Catherine Clément a fait scandale en 1981 en co-écrivant un livre en faveur de la tauromachie. Ceci dit, je ne vois pas bien pourquoi parle de cette personne ici.

D. dit: à

Oui enfin les Who, Pink floyds, tout ça c’est du pareil au même : des yéyés drogués avec des cheveux longs. Rien de plus.

Bloom dit: à

Clopine, je sais de qui vous parler car son association avec l’Inde ne date pas d’hier. Perso, j’ai eu affaire au frangin & plusieurs fois en tête à tête, fonction oblige.
La mafia mitterrandienne. Tout le contraire de Michel Rocard, qui m’avait dit un jour que ses meilleurs amis politiques étaient ses pires ennemis…

Bloom dit: à

parlEZ

Bloom dit: à

des yéyés drogués avec des cheveux longs.

Et anglais en plus…beurrkkkk.

Janssen J-J dit: à

@ je ne vois pas bien pourquoi parler de cette personne ici (copier-collé Catherine Clément).
-> pk l’une vient de la découvrir et établir un // de fortes personnalités avec masoeur. Stupéfiant !
Pesanteur respective des sabots-l’eau…
« Elle est plus vache, sûrement, dans la vraie vie qu’ici (…). Néanmoins, je voudrais être elle », nous dit l’une… [Comment peut-on indécenter cela, quand on se voit traitée à longueur de temps de brayonne, de nymfo, de rosse ou de vieille karne ?] : « Dans la vraie vie, c’est un amour, généreux, altruiste, compréhensif serein » y répond l’autre, pleine d’ironie sucrée au 3e étage.
Mais moij’dis au finale : Pourquoi les meufs d’icite (y compris, B., dhh, etalii, Xtiane, sauf alexia) l’admirent-elles à ce point, et osent-elles le lui avouer en direct, au risque d’une riposte aussi foudroyante qu’à l’égard du reste de la gente ailée, compris l’edel et l-passoul ? Serait elle la seule à leurs yeux, à pouvoir en remontrer sans répite aux gentils garçons ? Bah, bah, yaga ! wouarf !… Massoeur, massoeur, tant qu’elles lui tiendront la chandelle dans sa vraie vie (!) de féminarde survitaminée à l’amidonnée gisant dans le CDBF du darkweb, hein, elle nous fera long feu ! Elle restera non significative et non signifiante, même si apparemment toujours au centre du jus pur purin.
Bàv les baveur.ses,

Jacques dit: à

Ça va Bloom, t’as juste rencontré Michel Rocard, un homme politique très banal, pas de quoi fouetter un chat.
Moi je rencontre tous les jours et toutes les nuits de beaux sélénites et de belles vénusiennes mais je n’en fais pas tout un plat.

Jacques dit: à

Je ne connais pas du tout cette Catherine Clément mais je l’aime beaucoup.

Jacques dit: à

Je viens de voir sur Wikipédia, Catherine Clément a écrit Les enfants de Freud sont fatigués. Voilà, maintenant je la connais.
Moi aussi je suis fatigué, je vais me coucher.

Jazzi dit: à

« Je crois qu’il y a un lézard dans le billet sur monsieur Du Jardin Le Nôtre. »

Mais encore, JJJ ?
Je ne vois pas où…

Jazzi dit: à

Moi, j’habitais le même immeuble que Michel Rocard et Françoise Giroud à Montparnasse. J’en fais pas tout un plat…

J J-J dit: à

j’ai lu jadis trois de ses essais sur Lacan (dont elle n’a jamais vraiment compris le charabia), et le renouveau jack languien … Les stars de l’époque, quoi…

Les fils de Freud sont fatigués, Grasset, coll. « Figures », 1978
Vies et légendes de Jacques Lacan, Grasset, coll. « Figures », 1981, et Le Livre de poche, coll. « Biblio essais », 1983
Rêver chacun pour l’autre, essai sur la politique culturelle, Fayard, 1982
____
…puis, je l’ai laissée tomber et n’ai lu aucun de ses romans. Sa fiche wiki est assez bien fournie. On voit qu’elle a bien grossi en vieillissant, surtout depuis qu’elle a fait l’amour avec Dieu. Meuh.

renato dit: à

J’ai lu d’elle quelque chose sur Sollers, pas intéressant.

J J-J dit: à

quand on clique sur votre pseudo en rouge pour aller au jardin Le Nôtre, il apparait au dessus du texte une icone à gauche qu’on ne peut ouvrir… Faites le test à partir d’ici, peut-être S ma bécane qui n’en peut mais, yo no se. Bàv,

D. dit: à

2 t à Mitterrand, Jazzi. Merci.

Janssen J-J dit: à

@ Les enfants de Freud sont fatigués
NON ! ce sont « les fils de Freud sont fatigués », une commande de BHL pour sa nouvelle collection de l’époque (chez figures Grasset) – Allez vous ouchker !

J J-J dit: à

nb / je hais la formule de Charoulet : « vous savez quoi ? »

Jazzi dit: à

« la formule de Charoulet : « vous savez quoi ? »

Typique de D., JJJ.

Jazzi dit: à

Oui, JJJ. Il manque une illustration : le buste en marbre de Le Nôtre.
Je verrai ça demain, bonsoir !

renato dit: à

Une chose dans l’autre j’ai oublié qu’avant-hier Hans Magnus Enzensberger est mort.

rose dit: à

« Le sang avait commencé de se figer »
A.Christie, la douée.

(Comme le boudin).

rose dit: à

Dim27 nov.22 7h55.

D. Pas 900, pas 90, 9.

Ma maman m’a dit très vite « ils ne rendront jamais l’argent ».

Et ma m’a donné l’autorisation. J’envisage de savoir comment je vais m’y prendre ; avec elle sûrement. Avant hier, ils ont installé un sapin immense et vrai dans son EHPAD. Hier, tout le monde l’a décoré.
Magnifique !
Je lui ai dit « je laisse deux dimanches pour tes autres enfants ». Elle m’a remerciée en me disant « c’est gentil ».
Programme festif superbe pour ce mois de Noël. Le jeune et nouvelle directrice, en Louboutin (pas tous les jours) a pour intention (plus que louable) d’ouvrir l’Ehpad sur l’extérieur.
De l’air, de la jeunesse, de la vie.

Clopine dit: à

Jjhh… Vous trouvez vraiment que je fais la révérence devant Sasseur, vous ? Ça m’a tellement étonnée qu’on ait pu tirer cette conclusion de la lecture de mon commentaire que je suis allée le relire. Alors ça donne : pénible, écoeurante, maniant le fouet, maquillee comme un clown et portant de gros sabots. Vous trouvez ça révérencieux ? Mon  » je voudrais être comme elle » est évidemment ironique. Il signifie : hélas, il faut être comme Sasseur pour ne pas s’en prendre plein la figure, car quand on n’est pas comme elle, (qu’on est pleine de qualités quoi), on morflé.
Et puEt puis j’ai juste demandé à Dhh si elle connaissait Catherine Clément….

Bref, vous avez lu tout de travers, au point que je me demande, excusez-moi hein, si vous n’aviez pas un peu forcé sur la bouteille hier ? Bien à vous..

rose dit: à

D. Pas 900, pas 90, 9.

Ma maman m’a dit très vite « ils ne rendront jamais l’argent.

Elle sait beaucoup de choses immédiatement : pourtant, nous en avons parlé, son mari n’était pas radin, mais économe, et faisait de grosses économies, énormes (sur son dos, j’expliquerai par quel biais, mais elle avait d’autres avantages, qui à terme se sont avérés être de gros désavantages) et son beau-père n’était également pas radin, mais économe, oui.

Comment en une génération, on saute de économe à cupide*, je ne l’ai pas encore compris, mais je vous informerai.

* Encore rêvé de JPDR.
Marre.
Cette fois-ci, je jetais tout chez lui, en l’air et en vrac, ni la vaisselle, ni les oeuvres d’art, mais des crayons et autres choses pour jouer (créer, faire travailler la mémoire => pas besoin de choses aussi compliquées, les mots fléchés, le sudoku pour les matheux, mais travailler tous les jours, constamment : be busy).(à la fin du rêve, y avait sa fille, en écran interposé, et je l’accusais d’être la cause de notre rupture à son père et à moi ; l’argent.).

900 euros, je serais allée à Berlin en quinze jours.

rose dit: à

si vous n’aviez pas un peu forcé sur la bouteille hier.

Ici, c’est devenu une obsession, le mythe de la bouteille.

Lassant.

rose dit: à

Janssen J-J
nymfo, de rosse ou de vieille karne ?] : « Dans la vraie vie, c’est un amour, généreux, altruiste, compréhensif serein » y répond l’autre, pleine d’ironie sucrée au 3e étage.

Janssen J-J
Mise à plat.
Dans ma réponse concernant Marie Sasseur, il n’y avait là pas un brin d’ironie sucrée, et c’était du premier degré.
Je pense que c’est un jeu, pas drôle. Mais trouve-t-on que jouer le roi Lear soit drôle ?

Clopine dit: à

Eh bien, Rose, évoquer la bouteille est peut-être lassant (et je ne crois pas du tout que cela ne soit qu’un mythe, notamment pour JJ), mais cela évite une plus grande méchanceté, non ? Vous voudriez qu’on avance l’hypothèse d’Alzheimer ?

rose dit: à

Clopine,

La maladie d’Alzheimer représente un vrai drame. Pour les patients, pour les aidants aimants mais usés.
Donc, non, je ne préfère pas.

En tout cas, l’interprétation des faits de l’ un de l’autre est tellement fondamentalement différente*, selon nbre de paramètres qui appartiennent à chacun, que nous pourrions avoir réciproquement quelque tolérance à défaut de bienveillance.

* Un exemple : je n’avais pas compris du tout que votre allégation « je voudrai être elle » était du domaine de l’ironie.

Marie Sasseur dit: à

D’une l’intoxication, l’ autre.

« On imagine le déménagement des huit cents cartons d’un tel fétichiste de l’objet-livre, vraiment pas du genre à relire Don Quichotte sur tablette. »

Vu le tableau de la bibliothèque, on imagine surtout que nombre d’ objets-livres devaient être intransportables. Leur état de conservation ne le permettant pas, la moisissure ayant fait son œuvre.
_____

De l’importance d’avoir lu le nom de la rose, pour comprendre d’où peut peut venir le mal: Les poux du livres et champignons.

« Dans le cadre d’un habitat domestique, on peut donner les conseils suivants :
La cuisine et la salle de bain sont les pièces les plus impropres à la conservation des documents en raison de taux d’humidité et de températures pouvant être très élevées et dont les variations sont très fréquentes.
Les caves ont en général des températures stables mais un degré d’hygrométrie souvent trop élevé qui favorise l’apparition des moisissures et la prolifération des insectes, quant aux greniers, les écarts de température y sont très importants et la possibilité de gouttières les rend peu sûrs.
Les pièces à vivre ou le salon peuvent convenir à condition que l’air ne soit pas trop sec ni la température trop élevée. Au besoin, la mise en place, peu coûteuse, d’un humidificateur d’air équipé d’une régulation automatique permet de maintenir l’hygrométrie relative dans les plages voulues, qui plus est au bénéfice de la santé des occupants !
La température des chambres, assez fraîche le plus souvent, est un facteur positif de conservation mais il faut veiller à ce que l’utilisation nocturne de ces pièces n’entraîne pas des hausses excessives de l’hygrométrie.
Les températures très variables des vérandas et leur luminosité importante les rend impropres à la conservation des documents. »

https://www.thiolliere.com/conservation-restauration-archives/conservation-a-domicile.html

Marie Sasseur dit: à

D’une intoxication, l’ autre.

Le chevalier a la triste figure s’était « intoxiqué » de ses lectures, et avait des hallucinations, mais beaucoup plus drôles que celles des quelques vieux marteaux, all inclusive, malsains et toxiques, et en soins psychiatriques pour certains, qui rivalisent d’obscenite dans ce commentarium
mais le mal peut aussi être autre.

Du risque sanitaire.

Tout le monde se souvient que le mal frappant ceux qui fréquentaient la bibliothèque de l’abbaye bénédictine, – la plus grande de la chrétienté-, était d’origine criminelle afin de ne pas permettre l’accès au livre le plus digressif qu’elle contenait. Mais avez-vous pensé que vous pouvez être à l’origine de votre « propre » intoxication.

« Les mycotoxines (du grec ancien µύκης : « champignon » ; et toxine) sont des toxines élaborées par diverses espèces de champignons microscopiques telles que les moisissures (Aspergillus sp., Fusarium sp., Stachybotrys sp., Penicillium sp., etc.)

Ce sont des molécules de faible poids moléculaire (< 1 000 daltons), le plus souvent thermostables en milieu non aqueux. Difficilement dégradables, elles peuvent subsister dans les denrées même après l'élimination des moisissures."

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Mycotoxine

Clopine dit: à

Personnellement, quand j’évoque l’usage de la bouteille pour expliquer un acte d’autrui, c’est généralement bienveillant. Attention ! Je ne veux surtout pas dire que l’alcoolisme excuse tout (« j’ai tué ma femme, mais ce n’est pas parce que je suis violent, dominateur, incapable de gérer mes pulsions et macho, mais c’est que j’étais bourré…. »), mais parce que l’alcoolisme est une maladie très très humaine, je trouve. Quand on songe qu’il n’existe pas une seule société humaine, passée ou présente, d’où la recherche de psychotropes soit exclue, quand on sait que les papillons Vanesse, à certaines périodes, viennent en multitude dans certains prés où ils s’enivrent littéralement, on se dit que, finalement, la bouteille…

Et puis il y a cette chanson d’Allain Leprest, évidemment, qui résume un peu le pourquoi de ma bienveillance… https://www.youtube.com/watch?v=uJfZrTduhuE

rose dit: à

qui rivalisent d’obscénité

Là encore, chacun voit l’obscénité à son aune.

Cf.Guerre et Londres, par exemple.

rose dit: à

Je ne connaissais pas Allain Leprest.
Merci Clopine.

Janssen J-J dit: à

@ CT, R. et MS
merci pour vos interprétations et justifications, c tjs passionnant, les autodécryptages (pmp, détecter l’ironie de CT à coup sûr n’est pas facile, la preuve… parfois on se fait fausse route). Je constate que même si j’étais alcoolo, ce ne serait pas très grave et pardonnab’… Merci formi, mais ce n’est pas le cas. Et je n’écris pas sous l’empire de l’alcohol, mais si je le laisse accroire. L’obscurité éventuelle de mes propos m’est naturelle et ne me gêne point. Chacun.e fait ce qu’il en veut. « L’hypothèse Halzheimer », en revanche, je crois l’avoir suggérée moi-même, sauf que ce n’est plus une hypothèse mais une certitude… Cela dit, je lutte comme je peux pour la tenir à distance, en poursuivant aussi un « dialogue » (imaginaire ?) sur ce blog, sans en être accablé. Seuls me marquent les conseils bienveillants, et je reste attentif à tout ce qui s’échange, mais il est vrai que j’oublie souvent la biographie des gens. Dieu merci, jzmn veille au grain… Je me sens un peu comme Emmenthual 🙂 rêveuse et insoumise, tellement chanceuse d’avoir une fille aussi aimante et évolutive… Qui comprend d’instinct ce qu’est le 3e étage. Trop forte d’intelligence empathique et de rigueur morale. Bises à toutes,

Jazzi dit: à

« Politique du «Zéro Covid» : Shanghai, Pékin… les protestations se multiplient en Chine »

Quand la Chine se révoltera !

rose dit: à

Insoumise terrible.
Lorsque le pasteur dit, je vous l’écrirai, ce qu’il attend du mariage, elle n’attend pas la fin, elle dit « il ne se mariera jamais ».
Ses deux qualités intrinsèques : la dignité, la droiture (d.d).
Bises à vous Janssen J-J

(Pas de génétique pour Alzheimer, quoique certains chercheurs pensent le contraire. Lutter pied à pied pour lutter à conserver ce qui peut l’être. Hypothèse : ce qui ne peut pas, c’est parce que c’est trop difficile).

vedo dit: à

B., suite à votre info, après Anderszewski, j’ai continué avec Béatrice Rana… Quand on y pense! Pendant tout le XIX, un seul pianiste, je crois, se risquait à l’Op. 106. C’est comme l’Eiger. Autrefois les drames, maintenant en moins de 3h. Et avec quel toucher dans l’Adagio (entendre ce toucher est presque le sentir physiquement sur la peau), et quel tempo dans le mouvement final! Même Argerich, je crois, n’aurait pas fait cela à son âge. Pourtant au début, pour certains pianistes de l’ancienne école, elle « triche » et se sert des deux mains au lieu de faire le saut avec la main gauche.

Bloom dit: à

Et toi ?

Tu sais lire, Baroz?
C’est le frangin et ses potes qui forment le coeur de la camarilla, antirocardienne, entre autres.
Sister n’est qu’un pièce rapportée, grâce à son mari ambass.

Les Chinois de Paris se regroupent ce soir à Beaubourg. Rassemblement prévus à Dublin, NYC, etc etc.
Wechat flambe!

Jazzi dit: à

Arte, la chaine franco-allemande, est plutôt une réussite dans son genre, Bloom.
Tu ne le penses pas ?

DHH dit: à

@Clopine
Votre rapprochemnt entre Catherine Clement et le personnage qui apparaît ici sous le nom de Sasseur i n’a à mes yeux aucune pertinence
Quels que soient les mérites intellectuels et les succes universitaires de lMarie Sasseur je sui sure que cela n‘a rien a voir ave ceux ,exceptionnels ,de Catherine Clément ,normalienne , cacique d’agreg de philo a 22 ans deux mois apres avoir accouché , assistante à la Sorbonne aupres de Levy-Strauss à 23 ans ; *
;Peut etre l’admiration que m’inspire son parcours universitaire m’aveugle t-il,mais le e souvenir que j’ai gardé de ma lecture –ancienne -de son livre « mémoire » ne m’a pas donné d’elle cette image de suffisance dominatrice et d’arrogance méprisante, que vous dénoncez ,et qui caractérise le personnage que la Sasseur a decidé de jouer ici.
En revanche ,il estvrai,Catherine Clement m’a déçue en mettant son immense intelligence, la richesse de sa culture et sa facilité d’ecriture au service d’une œuvre romanesque banale ,ecrite à la va-vite et un peu racoleuse (les amours de Nehru et d’Edwina Mountbatten par exemple )
J’avais exprimé ma deception devant cette orientation de ses ecrits à propos de son ouvrage Martin et Hannah, où elle traite le couple Arendt Heidegger , de manière indigne d’elle ,sur le mode Harlequin
Les échos que j’ai eus plus tard , colportés dans le monde administratif ,sur l’ambassdrice en inde qu’elle fut, et dont elle a joliment qu’elle était la gestionnaire d’un cinq etoiies , sont assez mitigés
En tout cas je n’ai lu ni entendu nulle part que cette grande intellectuelle soit particulièrement suffisante et ait jamais traité avec mépris et hauteur les gens qui ne la valaient pas,
Rien a voir avec Sasseur ou du moins la Sasseur de la RDL qui selon Rose serait peut -être très différente dans la vie, une femme sensible généreuse et exquise …..qui aimerait même m’avoir pour amie pour me tirer de ma gangue et m’aider à progresser et à me cultiver sous son aile .

MC dit: à

« Pour quelle raison ce film, Etc. » j’ai simplement noté que le théâtre n’était pas une école de vertu, encore moins de moralité, et que derrière ces grandes invocations à la vertu outragée (?) se cache le malin plaisir de tirer le tapis et de se débarrasser au nom de supposés grands principes, de partenaires plus grands que soi…La justice rendue si j’ose dire à chaud n’est jamais neutre. Maintenant pour le comprendre, il ne faut pas s’appeler Marie Sasseur

Janssen J-J dit: à

@ Sister n’est qu’un pièce rapportée, grâce à son mari ambass.

Pourriez-vous étayer cette affirmation, robert.bl@gmail.com histoire de voir si elle confirme mes sources RG… Sinon, tant pis pour ma curiosité allumée. Bàv,

Bloom dit: à

’ambassdrice en inde qu’elle fut,

Dieu merci cette femme n’a jamais été ambassadrice, juste épouse d’ambassadeur, ce qui n’a rien à voir (mais n’empêche pas certaines d’exiger qu’on leur donne des heures de cours à JNU, la prestigieuse université de Delhi, moyennant rémunération, bien sûr. Pauvre hère désoeuvrée perdue dans son palais de 25 pièces au milieu d’un vaste parc gardé par des oies…).
Vous voulez des noms? Patience.

Janssen J-J dit: à

arrhg…. donc, Sister c’est la grande Catherine, pas ma soeur marie des Indes ? Tu m’étonnes ! j’avais point trop suivi le film de la dombasse, faut dire, (oups/soup), désolé RB…hein ! Bàv

Bloom dit: à

3 J, un de mes plus chers amis, brillant indianiste actuellement en poste dans la penninsule, sera le mieux à même de vous informer sur la bête.
Je vais lui en parler.
De mon côté, j’oeuvre à un modeste volume de souvenirs de la néo-coloniale.

rose dit: à

Objection, Dear Miss Marple

Un pauvre hère = un homme misérable, lamentable (de l’ancien français haire, pauvre). Hère, dans ce sens, est toujours accompagné de l’adjectif pauvre. Un hère = un jeune cerf ou un jeune daim âgé de six mois à un an et n’ayant pas encore ses premiers bois (du néerlandais hert, cerf).

Jamais utilisé au féminin.
Dire alors
Une pauvresse,
Ou pire (s’emploie souvent ici, je me l’entends) Ma pauvre

Bolibongo dit: à

cette grande intellectuelle

Ça se hausse du col par ici…

Janssen J-J dit: à

@ RBl – Non, non, surtout pas de noms… ! On parlait juste de la soeur de Jérôme Clément, d’une lignée prestigieuse, voilà tout.
@ Merci, DHH, pour votre opinion mesurée et juste, sur votre ressenti de « l’oeuvre » de CC. Vous avez cette très grande et rare qualité de toujours savoir étayer vos jugements quand ils ont été mûris (cela se sent), et de ne rien dire quand vous ne connaissez pas…
Je tenais à vous en dire mon estime, depuis longtemps. J’avoue cpdt être hélas toujours accablé par vos « chutes ». Comment pouvez vous dire une chose aussi auto-mutilante, par exemple : « qui aimerait même m’avoir pour amie pour me tirer de ma gangue et m’aider à progresser et à me cultiver sous son aile ». Vous poussez souvent le bouchon bien plus loin que CT, là non ? Bàv,

Patrice Charoulet dit: à

LA PENSEE DE BIEN DES FANS DE FOOT :

PSG = QATAR CLUB
LA CONSTRUCTION DES INSTALLATIONS DU MONDIAL DE FOOT AU QATAR = 250 MILLIARDS
6500 OUVRIERS (VENUS D’AILLEURS) EN SONT MORTS
ON CLIMATISE LE DESERT (EN ATTENDANT LES JEUX OLYMPIQUES D’HIVER EN ARABIE SAOUDITE)

OUI, ET ALORS ? J’AIME LE FOOT . ALLEZ , LES BLEUS !
ALLEZ , LA FRANCE ! ET VIVE LE FOOT !

Marie Sasseur dit: à

… et la dinguerie continue. A qui s’intoxique à qui mieux mieux.
Des pauvres marginaux.

Next.

Et Al a disparu, et ça, c’est pas bon signe.
L’occasion de rappeler un lien donné où CC ( pas touche, c’est la copine de Passou) allait récupérer les hippies bien de chez vous, en perdition  » fumeuse » en Inde.

Marie Sasseur dit: à

Ce vieux chameau de deachach, c’est un peu la tatie Danielle du blogapassou. Votre cheffe de famille à tous.

Jazzi dit: à

En 1982, Catherine Clément fut nommée au ministère des Relations extérieures, à la tête de l’Association française d’action artistique (AFAA), chargée de la diffusion et de l’accueil de la culture française à l’étranger. Mais sur demande de l’Association professionnelle des agents diplomatiques et consulaires, le Conseil d’État annule, en décembre 1984, la nomination de Catherine Clément, pour avoir été prononcée par une autorité incompétente.

Jérôme Clément a été président de la Fondation des Alliances Françaises de 2015 à 2018.

Les parcours professionnels du frère et de la soeur ont dû croiser celui de Bloom.

Faut-il en conclure que cela s’est très mal passé ?

On ne le saura jamais, car notre ami erdélien est tenu au droit de réserve…

racontpatavi dit: à

cette grande intellectuelle

On a que ce que l’on mérite.

DHH dit: à

@Bloom
Evidemment ambassadrice était un abus de langage
Sur son passage en Inde vous avez surement entendu parler des volieres qu’elle a voulu installer devant les fenetres

Marie Sasseur dit: à

Dans ces familles où personne ne se parle, mais où ils écrivent beaucoup leur vie, souvent des saloperies comme chez Ernaux, le cas Clément est un peu atypique.

C’est sur ce blog qu’on avait compris que frère et sœur avait découvert tout un pan de leur histoire familiale, dont ils se foutaient auparavant, il faut bien le dire, comme de l’an quarante, au moment du décès de leur maman.

Ce qui a considérablement changé le paysage du paf ensuite, avec beaucoup de programmes d’histoire de l’Allemagnenazie sur Arte. C’est la réflexion que je me suis faite, alors.

Bloom dit: à

notre ami erdélien est tenu au droit de réserve

Suis maintenant délié de tout cela.

Ca s’est effectivement très mal passé pour JC, Baroz. Pour ton édification personnelle, afin que tournes ta langue de pute 7 fois dans ta bouche:

Médiapart:

Le réseau des Alliances françaises tremble sur sa fondation

Vitrine de la diplomatie culturelle, la Fondation Alliance française est en péril. Son président Jérôme Clément, proche de Laurent Fabius, a démissionné alors qu’un rapport confidentiel de trois inspections générales – consulté par Mediapart – étrille sa gouvernance. Cinq autres administrateurs, dont Alain Juppé, ont quitté le navire.

Antton Rouget

6 février 2018 à 12h49


J’étais à Delhi à l’époque en train de préparer la visite indienne de Jupiter & d’Athéna (10,11,12 mars 2018). Excellents souvenirs.

vedo dit: à

B., j’avais déjà regardé et j’aurais aimé la réentendre pour la même oeuvre mais elle semble déjà avoir passé à autre chose, le Schumann et le 4e concerto (serais extrêmement intéressé d’entendre comme elle voit le mouvement lent).

Rose, merci pour le lien sur le « saut ». Je faisais allusion au tout début du premier mouvement, un si_b très bas (croche), suivi d’un accord de si–b, plus haut. On peut soit préparer sa main droite pour l’accord et jouer la première note avec la main gauche (ce qu’elle fait), soit jouer les deux avec la main gauche (en sautant). J’ai perdu la citation (ce doit être Brendel, Barenboim, Richter ou encore un autre; pas tellement de pianistes qui ont écrit sur cette sonate).

vedo dit: à

Pardon, préparer l’accord avec la main gauche et jouer la première note avec la main droite, soit les deux avec la main gauche.

Jazzi dit: à

Bravo pour ta liberté de parole retrouvée, Bloom.

(Plutôt que de m’insulter, ne devrais-tu pas me remercier de t’offrir l’occasion de t’exprimer…)

B dit: à

Vedo, j’oubliai de vous demander des nouvelles de Piotr Anderjszewscki

Marie Sasseur dit: à

« Pauvre hère désoeuvrée perdue dans son palais de 25 pièces au milieu d’un vaste parc gardé par des oies…). »

en voilà une avec un sari tout neuf, rhabillée pour l’hiver.

La fiche wiki est bien faite aussi, On lui decouvre une phobie de l’Inde à cause de sa maman pharmacienne qui avait rejoint une secte. Et fervente des taureaux.

B dit: à

L’anecdote sur sa mère en sari convertie soufflant dans une conque chaque matin est très drôle. On peut comprendre qu’elle ait suivi le séminaire de Lacan. Grande productivité littéraire, nombreux essais.

Patrice Charoulet dit: à

Puisque plusieurs parlent de Catherine Clément, je signale deux ou trois choses. Elle fut reçue première à l’agrégation de philosophie à 22 ans, ce qui n’est pas facile.Mère de deud enfants,ivant avec
Jean -Louis Backès, professeur de littérature comparée à l’Université de Caen. Amoureux d’une jeune étudiante, dont je me souviens, il abandonna sa femme.
Catherine Clément a écrit quantité de livres. Elle fut choisie pour rédiger les articles Hegel et Leibniz dans l’Encyclopaedia Universalis.
Et , à un moment de sa vie, elle accompagna un amabassadeur de France dans différents pays.

Marie Sasseur dit: à

C. Clément c’est un peu le vestige de tout ce qui aura ridiculisé l’université française , pour plusieurs générations.

Bloom dit: à

Charoulet, tant de temps dans les colonies pour en savoir pas plus sur la vraie vie qu’une notice wiki…

Jazzi dit: à

« pour en savoir pas plus sur la vraie vie qu’une notice wiki… »

Et pour redire, en moins bien, ce que DHH a écrit plus haut…

Marie Sasseur dit: à

Catherine au pays des Dogons, c’est pas mieux.

« Depuis peu, les Dogon du Mali ont une nouvelle aficionada : la philosophe et romancière Catherine Clément. Invitée par France-Culture, du 29 mai au 23 juin 2006, elle a occupé les ondes pendant près de sept heures pour raconter une Histoire de… Dogon en vingt épisodes. Le titre général est toutefois trompeur : alors qu’elle se donne pour objectif de présenter les Dogon et leur(s) histoire(s), Catherine Clément nous renvoie l’image qu’elle s’en fait, c’est-à-dire une vision en grande partie imaginaire, construite à partir de voyages éclair à Sangha, du discours de son guide et de quelques lectures sélectives, en l’occurrence les travaux déjà anciens de Marcel Griaule et de Germaine Dieterlen.
(…)

3Or son ambition est tout autre ! Non seulement elle crée une histoire fantasmagorique autour des Dogon, mais elle s’ingénie à passer au crible les travaux de quelques chercheurs, en portant des jugements tranchants sur les « mauvais ethnologues » ou sur les « mauvais » Dogon. En d’autres termes, elle n’hésite pas à faire passer pour vérités incontestables ses hypothèses infondées, ses critiques suffisantes et ses nombreuses erreurs factuelles. Dans l’esprit d’un auditeur non averti, elle se présente ainsi, même si elle s’en défend, comme une spécialiste autorisée des Dogon.

4Cette attitude justifie-t-elle un article dans une revue anthropologique ? Au-delà des « mythes » colportés sur les Dogon, le discours de Catherine Clément me semble révélateur d’un phénomène plus général qui a culminé au moment de l’inauguration du musée du quai Branly, et dont il faut tenir compte. Dans un grand nombre de médias, le point de vue des anthropologues ou la vulgarisation de leurs travaux ont été remplacés progressivement par des propos de voyagistes ou par des fictions exotiques conçues et réalisées par de grands communicateurs.(…) »

https://journals.openedition.org/lhomme/4349?lang=en

vedo dit: à

B., J’ai été un peu déçu par Anderszewski. Mais j’y suis allé avec un très bon pianiste, ami de Pires, qui en était très content. Par exemple, le prélude en sol mineur (Livre II), était aussi martelé que la fugue–ce n’est pas ma façon. En général, un Bach très direct. J’ai eu plus de plaisir au petit concert d’Ismael Margain à la maison de la musique de Nanterre, le jeudi. (Je ne compare pas les pianistes–un concert est un ensemble d’éléments). Il faut ajouter que mes oreilles défectueuses sont inadaptées à la salle Boulez de la Cité de la Musique. On entend aussi bien de partout, au 6e comme au parterre (vérifié hier en arrivant tardivement–à cause de ce métro inadapté pour un samedi soir). Cependant les harmoniques me semblent reflétées de manière particulière. On y entend très fort aussi les diverses toux (insupportable, les gens ne se contrôlent pas du tout, au milieu des pauses de la musique). Pour Rana, problème aussi, mais moindre.

Marie Sasseur dit: à

Un dernier pour la route,
C. Clément était à Jankelevich ce que Macron a été pour Ricoeur, sauf qu’elle était connue, assistante, comme « la baronne « , avec E. De Fontenay, faisant usage de leurs  » charmes « , ce qui laisse mal augurer de la manière dont des titres universitaires ont été obtenus par la suite…

https://revue-ethique.univ-gustave-eiffel.fr/les-articles-publies/article/?tx_news_pi1%5Bnews%5D=3931&tx_news_pi1%5Bcontroller%5D=News&tx_news_pi1%5Baction%5D=detail&cHash=234c8df76fcf87eb47bcc813258ef2c7

vedo dit: à

DHH, cela fait du temps que je vois que vous donnez des verges pour vous faire fouetter, et comme vous m’êtes très sympathique, je le regrette vivement. Croyez-moi–je sais de quoi je parle–les vrais « grands universitaires » ne vous agresseraient jamais comme on peut le voir ici. Bien au contraire.

Marie Sasseur dit: à

@ Vedo rien comprend rien,
pour les malentendants, le zéro reste à charge, est fait pour vous .

DHH dit: à

@vedo
merci de cette manifestation de sympathie .
et rassurez vous
Je ne lui offre pas à cette personne de quoi me fouetter
il faudrait que j’adhere à sa vision des choses pour me sentir vraiment exposée à sa malveillance bloguesque et en être affectée
J’ai simplement fait le constat de la manière dont elle se voit ici, et surtout du gap qu’elle imagine par rapport à ce que je serais, me supposant même une usurpation de destin afin de passer pour ce que je ne suis pas.
Dois-je me remettre sérieusement en question pour des propos aussi ridicules qui ne sauraient m’ebranler ?

Marie Sasseur dit: à

deachach, qui se voit contrainte de rassurer son ego boursouflé en ayant créé de toute pièce une légende sur mon pseudo. Pauvre imbécile, ça fait long time qu’on compris son  » complexe « .

Marie Sasseur dit: à

Qu’ on a compris . Nous sommes au moins deux, c’est bien assez.

Marie Sasseur dit: à

Le lien donné ci-avant, pour ceux qui ne les ouvrent pas et causent de  » grandeur « , est signé de:

Alain VERNET a exercé pendant quarante-deux ans la profession de psychologue clinicien, dans divers services hospitaliers; retraité depuis août 2020 il continue à avoir une pratique d’expert judiciaire, étant par ailleurs titulaire d’un DESS de Droit Médical.

rose dit: à

J’ai deux bonnes blagues, la première pour Renato et la seconde pour D. s’il est revenu de son voyage interstellaire :
1/ les parents appellent leur fils René.
Leur nom de famille est Decessandre.
2/Jésus marche sur l’eau.
Moïse, à ses côtés nage. Puis il lui dit « tu sais Jésus, tu as tort, parce qu’elle est bonne « 

D. dit: à

Rose, j’ai une bonne blague :

Monsieur et Madame Duziel ont 5 enfants, comment ça pelle-t-il ?

D. dit: à

Charoulet est complètement obsédé par lrs cursus et les diplômes. C’est pourtant pas ça qui forme un homme. Ça y concoure tout au plus.

MC dit: à

Il me semble que l’on pourrait inverser sans mal les termes et que l’ego hypertrophié joint à la prétention à l’omniscience ne saurait être du côté de DHH, qui conserve , et elle a ici bien du mérite, un ton mesuré en toutes choses.En revanche, les vilenies , calomnies, clabauderies, on sait chez qui les trouver…. MC

renato dit: à

« Jésus marche sur l’eau. »

Pierre crie au miracle, et Jésus lui dit : « T’es bête, marche sur les pierres ».

rose dit: à

D.
Duziel
Ou bien Duciel ?

rose dit: à

marche sur les pierres ».
L’avez-vous vu ?

renato dit: à

“Decessandre” ?!

Il faudrait me l’expliquer celle-là.

renato dit: à

« L’avez-vous vu ? »

Un jour une dame de la bonne société milanaise rendit visite à Medardo Rosso afin de lui passer une commande d’un Christ pour la tombe de son mari et le subtil sculpteur lui répondit : « Je ne peux pas, je ne l’ai jamais vu, apportez-moi une photo ».

L’atelier de Medardo Rosso :

https://lesempio.blogspot.com/2011/08/medardo-rosso.html

Marie Sasseur dit: à

Le vieux dément mc est sur YouTube, inutile de faire tant de calomnies, il est sa propre caricature.

A force de servilité, grand par ci, grand par là, on voit par quels imbéciles, harceleurs déments, je suis spamée.

Bloom dit: à

(Plutôt que de m’insulter, ne devrais-tu pas me remercier de t’offrir l’occasion de t’exprimer…)

Je ne savais pas que Passou avait passé la main.

Pas présomptueux pour deux ronds, BaroZard.

MC dit: à

René Decescendres? Tant qu’à faire, Phénix conviendrait aussi bien. J’aime beaucoup la seconde. Voir aussi, de plus haut vole, le sonnet’ de Du Bellay : » « « J’ai vu l’oiseau qui le soleil contemple «  À plus haut sens », en quelque sorte MC

Marie Sasseur dit: à

Un dernier pour la route, car c’est hilarant, surtout après les courbettes de deachach devant « l’assistante de Levi-Strauss »

La grande Catherine, de l’akademie :

« Catherine Clément à l’assaut du pays dogon
Pour débuter l’émission, Catherine Clément nous décrit avec des accents épiques son dernier voyage en pays dogon dans un hélicoptère militaire qui, portes ouvertes, la transporte jusqu’aux falaises de Bandiagara en rasant la paroi rocheuse et en frôlant les greniers. Cette scène initiale, impressionnante, m’a immédiatement fait penser au film Apocalypse now, avec son ballet d’hélicoptères militaires sur fond de Walkyries au-dessus d’un village vietnamien. Mais cette image d’intrusion masque peut-être une autre métaphore : celle du survol à la fois spectaculaire et superficiel de la société dogon par une Occidentale qui, « les yeux protégés par de grosses lunettes et un casque sur les oreilles », semble ­d’emblée myope et sourde à la richesse et à la diversité du pays et de ses habitants.

12Pourtant, Catherine Clément met beaucoup d’énergie à nous convaincre que les touristes ce sont toujours les autres, ceux dont il faut se démarquer ostensiblement afin d’acquérir l’autorité nécessaire pour parler savamment des Dogon. Elle raille ainsi les Occidentaux crédules qui consultent de faux devins ou qui prennent pour argent comptant les boniments de leurs guides musulmans. Adoptant un ton moralisateur, elle critique également les Blancs inconscients qui distribuent quelques pièces de monnaie aux enfants. Enfin, avec une pointe de fierté, elle avoue ne jamais prendre de photographies. Cela suffit-il à la libérer des atours du touriste ? Personnellement, j’ai quelques doutes. D’après le propre témoignage de Catherine Clément, on a plutôt l’impression d’une touriste privilégiée logée confortablement dans l’un des campements-hôtels de Sangha. Ne se séparant jamais de son guide, qui la pilote et la protège, elle se déplace soit en 4×4, soit plus rarement et plus difficilement à pied, mais uniquement dans quelques villages situés dans un rayon de dix kilomètres autour de Sangha. Si elle se targue de ne fréquenter que de vrais devins, elle assiste chaque jour à une séance de divination spécialement organisée par l’oncle de son guide, en s’extasiant devant la « beauté incomparable » des signes tracés au coucher du soleil. Et si elle s’abstient de photographier, ceux qui l’accompagnent, filment et « mitraillent », tandis qu’elle peint en solitaire en se posant à différents endroits du village. Absorbant le discours routinier de son guide, elle transmet donc aux auditeurs les histoires formatées servies habituellement aux touristes, à commencer par l’anecdote désormais inéluctable sur l’abri des hommes – togu na – dont la hauteur de plafond viserait à interdire toute bagarre ou tout mouvement de colère, en autorisant uniquement la position assise. »

Lien donné ci-avant.

Pas bonsoir.

Bloom dit: à

How Kanye West Became America’s Leading Antisemite
The answer has less to do with Hitler than with Hotepism and iPhones
by
Hubert Adjei-Kontoh
November 22, 2022

Kanye tried to name his album Hitler, haven’t you heard? It’s funny because there was a popular Norwegian author named Karl Ove Knausgaard who titled his novels after Hitler’s famous antisemitic screed—“Min Kamp” in Norwegian. And, of course, one cannot forget the band Joy Division, named after the sex slave wing of the SS. (…)

La suite
https://www.tabletmag.com/sections/arts-letters/articles/kanye-west-american-antisemite-hotepism

rose dit: à

De ses cendres.

rose dit: à

Pas le Christ, Renato, le chemin de pierres.

MC dit: à

Malveillance gratuite. Encore une. Les Bourdeau de Fontenay , pour l’éviter qu’eux remontent à 1651, et sont d’ancienne bourgeoisie. A quand remonte la pitoyable dynastie dès Sasseur????

Marie Sasseur dit: à

La dynastie du cochon de Bretagne remonte à sa nourrice, la lai(d)e, c’est bien connu.

Jean Langoncet dit: à

@ J’aime beaucoup la seconde. Voir aussi, de plus haut vole, le sonnet’ de Du Bellay : » « « J’ai vu l’oiseau qui le soleil contemple « À plus haut sens », en quelque sorte

Oui mais … premier dimanche l’Avent oblige
https://www.youtube.com/watch?v=9Gc4QTqslN4

Bloom dit: à

Frère et sœur sont des imposteurs ivres de pouvoir.
Mais le temps passe et les aiguilles de l’horloge bio tournent inexorablement.
Droit d’inventaire cependant.

Marie Sasseur dit: à

C’est  » les baronnes  » qui mettent le vieux cochon de Bretagne dans cet état ?
Apparemment, il n’est pas le seul , si l’on en croit ce professeur d’université.
Voir lien déjà donné.

Marie Sasseur dit: à

« Frère et sœur sont des imposteurs ivres de pouvoir. »

Bon résumé de cette familia grande.

Bloom dit: à

Xi Jinping, Xia Tai !

Traduction superflue.

rose dit: à

Renato

C’est demandé gentiment.

x dit: à

« Je ne peux pas, je ne l’ai jamais vu, apportez-moi une photo ».

En rapportant le « l' » non pas au modèle de la statue mais au mundus novus, à ces terres prétendument découvertes de l’autre côté de l’océan, Pierre SENGES explore sous toutes ses coutures la volonté de désillusionner, la pulsion de démystification, la logique et les arguments presque impeccables d’un scepticisme en roue libre.
(Rien à voir avec un livre à thèse (et encore moins une ode à la crédulité) : cela lui permet aussi, voire surtout, de s’adonner à sa propre pulsion encyclopédique/fantaisiste…)

P. Senges ne fait pas pour autant de l’auteur supposé de sa RÉFUTATION MAJEURE un parfait abruti ou un grand délirant — ni même un affreux complotiste. La méfiance, les soupçons d’A. de Guevara sont tour à tour ou à la fois comiques et ingénieux, éloquents — mais aussi poétiques ; et il arrive au douteur de douter de son doute.

« Le monde nouveau ? semblable à l’horizon il recule à notre approche […] (or on ne demande à personne d’exaucer ses promesses, seulement d’être toujours sur le point de le faire : c’est une tension qui nous maintient en vie, de force). »

« Le plus difficile […] n’est pas de contredire les rusés qui […] perpétuent le mensonge, le plus difficile est de contredire les dupes, qui ont beaucoup à perdre avec cette invention mais auraient davantage à perdre avec ma Réfutation : leur amour-propre par exemple. Ce monde nouveau, ils y tiennent, car il semble que l’être humain par nature tient à sa dernière vérité, même arbitraire ».

rose dit: à

C drôle, votre dernier paragraphe entre guillemets, on dirait qu’il se rapporte pile poil à la mémoire.

Jacques dit: à

Petit x mais grand radoteur, encore un qui a besoin d’une cure de silence chez un psychiatre muet !

Bloom dit: à

« Une pensée pour…qui… »
Sur le mode du Je me souviens de…, de Georges Perec.

MC dit: à

Ah Sasseur , Tout d’abord je salue votre effort d’imagination qui semble remplacer, depuis quelque temps, « le bedeau « par « le cochon de Bretagne ». Je souhaite seulement qu’il ne dure pas aussi longtemps que le précédent. Étant l’un de vos lecteurs assidus, je dois dire que ces surnoms qui ne pechent pas par la variété, ni l’originalité ,entraînent assez vite la lassitude et l’accablement, (lequel est dit le poète, « plus fort que la tourmente ». ) . Bretagne vous devenez ennuyeuse. Le moyen d’ailleurs de ne pas l’etre en se maintenant dans la seule invective? Pour le reste,je vous répondrais bien avec Monsieur Racine dans Iphigenie, « Et qui vous a chargé du soin de ma famille? » Croyez chere Sasseur, a l’expression de ma considération distinguée, quoique , paraît-il,porcine!

Patrice Charoulet dit: à

Catherine Clément

J’avais lu en 2009 les Mémoires de Catherine Clément.
Très intéressant.
Je comprends mal l’animosité que lui manifestent plusieurs d’entre vous. Au passage, on s’en prend à toute l’Université française.
Faut pas se gêner !
Quelle mouche vous pique ?

D. dit: à

Bon je donne la réponse :

Betty, Baba, Noël, Candide et Sandra Duziel.

rose dit: à

Pas compris la famille Duziel.

rose dit: à

Oui, quelle mouche ?
Tsé tsé ?

rose dit: à

« Et qui vous a chargé du soin de ma famille ? »

Oui, qui ?

Janssen J-J dit: à

quand tu descendras du miel ?

rose dit: à

Duziel
Dumiel
???

rose dit: à

Lundi 28 novembre 2022, 8h12

La semaine dernière, j’ai appris deux choses, une confirmée ce matin par un autre détail.
1/ Les pignes de pins sèches et craquantes c’est l’idéal pour allumer le feu.
Les coques d’amandes aussi (de noix de noisettes).
Je vais aller en faire provision, j’ai un coin.
Confirmée par, lorsque la couche de cendres est épaisse, le feu couve dessous et renaît de, mon René.
Nonobstant, il l’aura fallu un hiver et pas mal de tâtonnements et beaucoup d’observation pour bien me servir de mon poêle à bois, mon meilleur allié. Le matin, la cuisine, (salle à manger salon) est encore chaude ; je remets qq.pignes de pin, du petit bois et hop.
Encore une difficulté : si je nettoie à fond le foyer, c’est long de redémarrer le 🔥. Devrai enlever les cendres partiellement, vider le cendrier et à moitié aux trois quarts ? le foyer.
M. U. m’avait prévenu : il s’agit de chauffer le conduit, ensuite, tout roule et en voiture Simone.
Ce matin, il fait 18, parfois 19 si la bûche était grosse et en combustion lente. Le soir 21. Dans la journée 20.
Top confort, le moral au sommet.

2/ Mon amie bourlingueuse à la vertèbre de baleine ramenée du Spitzberg : tu es trop grosse.
Merci je le savais. Et puis cette réflexion « Ah ce temps perdu que les gens passent à digérer ! »
Je ne la remercierai jamais assez de cette phrase. Depuis, je n’ai plus faim. Entre temps ma maman a rajouté « il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger », et hop…Rebelote.
Avoir le courage de dire, si on aime bien la personne. Ce n’est pas une attaque, c’est une mise en face.

closer dit: à

Charoulet a l’air de se déboutonner un peu. Encore quelque temps et il deviendra un vrai RDLien !

Janssen J-J dit: à

@ Et Al a disparu, et ça, c’est pas bon signe.

Bien au contraire…, elle a enfin achevé sa psychothérapie, et se voit enfin libérée de sa névrose judaïque. Elle est désormais libre de vivre comme Max, elle vole, déchaussée de la béquille RDL.
https://www.youtube.com/watch?v=KYtZKESR3tM

et alii dit: à

A Platon ne cessant de disserter sur l’Homme majuscule (qu’il définissait comme « bipède sans plumes »), Diogène balance un poulet piaillant qu’il vient de plumer sur l’agora.

et alii dit: à

Né en 1963 à Buenos Aires, Esteban Buch est directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) de Paris. Spécialiste des rapports entre musique et politique au XXe siècle, il consacre une grande partie de ses recherches à des figures du canon musical classique et contemporain, telles que Beethoven, Schoenberg et Ginastera. A partir d’une enquête sur les musiques politiques (hymnes nationaux), il travaille sur la musique dans des contextes de violence politique tels que la Première Guerre mondiale, le IIIe Reich ou les dictatures militaires en Argentine. Il s’intéresse également aux rapports entre musique savante et musique populaire, le tango en particulier, dans le cadre d’une réflexion plus générale sur les théories sociologiques de la culture. Entretien à l’occasion de la parution de Playlist. Musique et sexualité (Editions MF).

https://www.letemps.ch/culture/esteban-buch-musique-classique-maniere-saturee-sexualite

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