de Pierre Assouline

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La République des livres
Quel Romain Gary sous son palimpseste de masques ?

Quel Romain Gary sous son palimpseste de masques ?

Faut-il que l’attrait soit puissant pour que le visiteur se laisse porter par ses pas jusque dans cette quelconque cour d’immeuble à Vilnius ; vaste et dégagée, elle n’est certainement pas le monument le plus intéressant de Lituanie ; seulement voilà, en cherchant bien, on y trouve une récente plaque commémorative indiquant que le grand écrivain français Roman Kacew dit Romain Gary est né là et qu’il y a joué au ballon dans son enfance. Le rappel est piquant en ce que l’homme en question avait préféré naître plutôt en Russie, adresse plus noble à son goût et qui correspondait mieux à son panache. Mise en abîme, cette plaque qui le surprend déjà en flagrant délit de mensonge est le plus adéquat des hommages ; car vérification faite, il était né dans l’immeuble d’à côté, et jouait dans une cour plus sordide, mais l’ambassadeur de France chargé de le commémorer lui avait préféré celle-ci, mieux adaptée à la démesure du personnage. Mais où est-on vraiment : Wilno, Vilna ou Vilnius ?

Sa ville natale est déjà à son image. A triple entrée. Juste un détail, mais Romain Gary y est déjà. Cette cour est hantée par son fantôme. C’est là qu’on a le plus de chance de le trouver absent. Car à peine croit-on y retrouver « le » Romain Gary que surgissent tous les Romain en Gary. On voit alors danser sur les murs les silhouettes, de l’aviateur de la France libre,  du Compagnon de la Libération, du reporter de la Mer Rouge et le diplomate excentrique tandis que résonnent les voix de Fosco Sinibaldi, de Shatan Bogat et d’Emile Ajar. Certains assurent que par un étrange effet d’optique, elles se fondent toutes alors sous la forme unique d’un caméléon. L’animal aura fait couler de l’encre du côté des exégètes. On le croirait inventé tout exprès pour lui. Il en tira une fable sur le caméléon qui épousa chacune des couleurs sur lequel on le posait et devint fou lorsqu’on le posa sur un tapis à motifs écossais. S’en saisissant comme le moyen d’une explication de son monde, il remplaça les couleurs par des langues. Son lexique babélien est d’une grande richesse. Ah, le « A bas l’existoir ! » de la fin de Gros-Câlin… Ainsi devient-on écrivain. Il n’en fallait pas davantage pour faire du plaid son rosebud, l’étendre aux nombreuses voix que son oeuvre fait résonner aux dépens de l’unité de voix qui en sourd dès lors qu’on lui prête une écoute attentive.

On ne cesse de le redécouvrir. A chaque génération, il faut refaire le travail, pour lui comme pour les autres ; sinon, les moins de 20 ans risquent de croire que la littérature française commence avec Houellebecq. Il est vrai qu’il n’a pu éviter le purgatoire ; une brique comme Légendes du Je (édition établie et présentée par Mireille Sacotte, 29,90 euros, 1450 pages, Quarto/Gallimard) parue il y a dix ans pouvait lui permettre d’en sortir, d’autant qu’on y trouvait déjà réunis Education Européenne, La Promesse de l’aube, Chien blanc, Les Trésors de la mer rouge, Les Enchanteurs, La vie devant soi, Pseudo etVie et mort d’Emile Ajar. Les mêmes établissements Gallimard remettent ça ces jours-ci avec Romans et récits I et II, une double Pléiade (1 536 pages et 1 728 pages, 63 € et 66 €), qui y ajoutent, Les Racines du ciel, Lady L., La Danse de Gengis Cohn, Adieu Gary Cooper, Gros-Câlin, Clair de femme, Les Cerfs-volants (mais pour autant, la somme du Quarto et des Pléiades ne constitue pas l’intégralité de l’œuvre). Un bonheur ne venant jamais seul, c’est agrémenté d’un « Album Gary », parfait accompagnement bio-iconographique signé Maxime Decout. A nouveau sous la direction de Mireille Sacotte, l’équipe, qui n’a pu avoir accès aux manuscrits sous séquestre à la suite du scandale Aristophil, entend bien non pas révéler mais souligner les dimensions tant comiques que tragiques de cette œuvre, l’usage subversif de l’humour sous toutes ses formes et Dieu que son polyglottisme lui en autorisait, son goût de la provocation qui ne se refuse rien, une autodérision tempérée par le goût de la pose et une fidélité sans faille aux idéaux de son engagement pendant la guerre.

« La France Libre est la seule tribu à laquelle j’ai appartenu à part entière ».

De l’affaire Ajar et du génial canular Gros-Câlin, on en a tant dit et tant écrit que le scandale parisien a failli éclipser l’insondable tristesse de ce petit monument de comique. C’est pourtant bien l’essentiel une fois que l’on a séparé le livre du bruit qu’il a fait, exercice indispensable avec Gary plus encore qu’avec un autre tant il aimait faire résonner ses romans. Alors on découvre une singulière mélancolie sous l’évidence du charme, et une vraie profondeur teintée de gravité sous le panache. Si mitteleuropéen dans ses états d’âme et si français dans son imaginaire, ce jongleur de langues s’était trouvé une forme qui réussit l’union des contraires. Un vrai cosmopolitisme aux couleurs de la France. Celui d’un Français né à 21 ans le jour de sa naturalisation. C’était en 1935. L’année même où il publia ses premiers textes, deux nouvelles, dans l’hebdomadaire Gringoire. Français, enfin. Comment l’être dans un monde, une société, un milieu longtemps persuadés, fût-ce à demi mots, qu’il n’est de français que chrétien ?

C’est là qu’il faut chercher ses intimes blessures de guerre, celle qu’il mène contre lui-même. Là et nulle part ailleurs, lorsqu’il est le seul de sa seule promotion de l’école de l’Air à ne pas obtenir le grade d’officier au motif qu’il est un Français trop récent, ou que le Quai d’Orsay sous Couve de Murville rechigne à le nommer ambassadeur ou même à le réintégrer dans la Carrière, ou qu’un critique lui reproche ses fautes de français, toutes choses qui le renvoient à ses origines comme on renverrait un clerc peu doué à ses écritures. Romain Gary était un comédien, un joueur, un aventurier, un séducteur ; ce qui prédispose à passer pour dilettante aux yeux de la postérité ; il n’y aurait de pire malentendu, il suffit pour s’en convaincre de reconnaître ce qu’un livre comme La Danse de Gencis Cohn (1967) eut de prémonitoire par rapport à une menace (la négation de la Shoah) qui ne faisait alors que poindre. Cocteau le touche-à-tout ne s’en est pas remis, à qui la critique ne pardonna jamais ses apparentes « facilités ». Gary en fit l’amère expérience, quoique soutenu dès ses débuts par Raymond Aron, Camus, Malraux, sensibles à sa grande cause: l’humanisme de la souffrance humaine- et admiratifs du mélange de comique et de tragique qui fera sa patte.

Cet écorché vif supportait mal que l’on n’aimât pas l’un de ses livres quand on prétendait l’aimer lui. Michel Déon l’éprouva pour avoir osé se payer Les Têtes de Stéphanie. Encore était-ce un ami. Mais qu’un ennemi lui reprochât de ne pas savoir écrire le français, le ramenant ainsi, lui le Français plus que français, à sa condition d’invité, c’était trop. Pour avoir ainsi dénoncé la lourdeur « francophone » des Racines du ciel, il est vrai l’un de ses moins bons romans (hélas prix Goncourt 1956, sauvé depuis comme précurseur de l’écologie), le critique Kléber Haedens reçut en retour sa volée de bois vert dans un vif chapitre de Pour Sganarelle.

Il écrivait comme s’il n’avait pas la vie devant lui. On ne pouvait se dérober à ses livres dans la mesure où il paraissait évident qu’il s’était senti contraint de les écrire. Comme s’il avait fait à jamais siennes les injonctions de Rilke au jeune poète Kappus. Tout ce qui sortait de sa plume obéissait à une nécessité intérieure. Rien qui parût relever du hasard, de la commande ou de la mode. Cela n’a pas empêché les hauts et les bas mais autorise que l’on range l’ensemble de l’œuvre sous la bannière d’une même exigence et d’une même couleur. Celle-ci fut le dédicataire de son dernier livre : « A la mémoire ». Car chez Romain Gary, il y a ceci de miraculeux que la mémoire a une couleur.

T

S’il est une œuvre-vie qui rend vaine toute tentative de dissocier dans l’analyse les remous d’une existence de l’étude des textes qu’elle a produits (genèse, réception etc), c’est bien celle-là. De la pâte à biographes. Un cadeau dirait-on à première vue tant elle est riche, dense. Mais elle truffée de mines anti-personnel et de pièges à rats, posés à dessein par le menteur-vrai tout occupé à l’édification de sa légende. Un vrai romancier, obsédé par l’invention et non le plagiat du réel, ambivalent perdu dans ses métamorphoses. Par moments, on ne s’y retrouve plus. Ce sont les meilleurs, ceux où le mythe Gary nous submerge au point de nous convaincre que les preuves fatiguent la vérité. Mais qu’est-ce qui est vrai et qu’est-ce qui est faux dans ce qu’il s’attribue d’héroïsme, de faits de gloire, de grandes rencontres ?

« Le réalisme, pour l’auteur de fiction, cela consiste à ne pas se faire prendre.

Tenez-vous le pour dit sans oublier l’influence diffuse des maîtres qui l’ont amené à la littérature : Gogol, Conrad et le Stendhal de la Vie de Henry Brulard. Cette vie faite œuvre, Myriam Anissimov se l’appropria dans le but d’en faire il y a  cinq ans « la » somme de référence (Romain Gary le caméléon, Denoël, 2004, Folio 2006). Une vision fort heureusement critique qui met l’accent sur la vie plutôt que sur l’oeuvre. Avant même la parution de son enquête, un peu trop sèche mais très fouillée, il lui fut reproché d’avoir excessivement judaïsé son héros ; cela fut même à l’origine de l’émigration de son livre de Gallimard vers sa filiale Denoël après que son éditeur lui eût lancé à la figure : « Moi vivant, ce livre ne paraitra pas ! Vous êtes antifrançaise ! ». Ce lecteur ne supportait pas que la biographe ait écrit que Roman Kacew avait été circoncis à la naissance, précision aussi indispensable à ses yeux que le baptême du petit Claudel si elle avait eu à écrire sa biographie.

C’était un parti pris, cohérent, surtout lorsqu’on comprend à quel point la mère de Gary, omniprésente dans l’inconscient de son œuvre, était le modèle le plus achevé de la mère juive dans toute son atroce splendeur. Non de celles qui promettent un destin à leur enfant mais qui promettent leur enfant à un destin. Est-il besoin de préciser où nous avons lu cette phrase inoubliable :

« Avec l’amour d’une mère, la vie vous fait à l’aube une promesse qu’elle ne tient jamais » ?

Le parti pris inverse consiste à christianiser Gary, à quoi Jean-Marie Rouart s’est employé dans Adieu à la France qui s’en va (2003) après avoir tourné autour de l’énigme de son suicide, aux côtés d’autres grands morts volontaires, dans Ils ont choisi la nuit (1985) ; il va jusqu’à trouver des accents évangéliques à son ultime Les Cerfs-volants (1980) ; puis dans Cette opposition qui s’appelle la vie (2009), le même rappela que « tout juif et athée qu’il fût, il (Gary) s’était converti au catholicisme parce qu’il incarnait « les papiers culturels » de la France ». Nancy Huston aussi, en payant sa dette à l’endroit du romancier, lui confère une dimension christique. Une interprétation battue en brèche par les spécialistes de l’écrivain. On en saura plus en juin avec la parution de Picaros et pédoncules (Droz), l’essai très attendu de Jean–François Hangouët sur l’influence de Teilhard de Chardin telle que Gary l’a reçue et dépassée, véritable enquête méthodique qui vise à caractériser l’humanisme évolutif qui fait la « base philosophique » de son œuvre (sur Gary, ne ratez pas le dialogue Anissimov/ Hangouët). Ce qu’assure Jean-Marie Rouart, l’intéressé le formula autrement :

« Pas une seule goutte de sang français ne coule dans mes veines, seule la France coule en moi ».

Autrement dit : même quand il n’habite pas la France, c’est elle qui l’habite comme si elle le hantait d’aussi loin que remonte sa mémoire archaïque. Quant à sa première femme, l’écrivain Lesley Blanch, dont les souvenirs devraient dissuader quiconque d’épouser quelqu’un qui sait manier la plume (terrible, son Romain, un regard particulier, éditions du Rocher) c’est à se demander si ce n’est pas plutôt de son propre regard dont elle parle. Le bonhomme Gary n’en sort pas grandi : narcissique, égoïste, inculte, juif honteux, neurasthénique, piètre aviateur… Un caractère épouvantable aussi, ce qu’on avait de toute façon déduit du reste. A chacun son Gary et il n’est même pas dit que la mosaïque de ces vérités juxtaposées présente un portrait convaincant. Mrs Blanch n’est plus mais on suppute quel pugilat ce serait à nouveau (il a déjà eu lieu, en partie) si l’on les réunissait tous sur un plateau de télévision, surtout en présence du fils et ayant-droit, Alexandre Diego Gary.

Peu d’écrivains et peu d’œuvres possèdent une telle vertu d’excitation au sein même de leurs thuriféraires. Passe encore si on les mettait face à des détracteurs, comme lors des débats autour de Heidegger ; mais entre admirateurs, le phénomène littéraire de la montée d’adrénaline est assez exceptionnel. A croire que ceux qui s’étaient mêlés d’explorer son délire avaient été contaminés. Etant donné que tous parlent d’eux en creux à travers lui, on les quitte généralement pour mieux se réfugier en ses propres pages. Car nul que lui n’y parle mieux de lui à travers les autres. On n’imagine pas n’être plus désorienté un jour par cet homme tant il nous aura troublé par son œuvre-vie. Elle demeure largement une énigme en dépit de l’accumulation de commentaires. Dernière phrase publiée par le mystificateur : « Je me suis bien amusé. Au revoir et merci ». N’empêche : malgré cette légèreté affichée, il tenait que la vie est l’aventure de la conquête d’une fraternité universelle.

Dans sa lettre testamentaire, il invitait à en chercher la clé dans le titre d’un de ses livres, La Nuit sera calme. On ne saurait mieux dire, même si un conteur, qui avait hérité d’une mère mythomane ses accommodements avec le réel, ne doit jamais être pris au mot. Quel visage pourrait-on distinguer sous ce palimpseste de masques ? Un dernier masque, mais de chair pour cet homme, las de n’être que lui-même, qui s’avouait hanté par le désir de devenir un autre tant il vivait sa vie dans son seul moi comme un insupportable enfermement. On lui saura presque gré d’avoir déployé tant de génie à effacer les traces de son passé et à brouiller son image. Celle d’un homme travaillé, en permanence et en profondeur, par le désespoir. Il nous aura tant embobiné qu’il est raisonnable de se demander s’il s’est effectivement suicidé. Nous ne serions pas surpris d’apprendre un jour qu’un autre corps que le sien a été incinéré et ses cendres dispersées dans la Méditerranée ; et que ce diable d’homme, réfugié dans une île coupée de toute société littéraire, continue d’écrire, de publier et de nous envoûter régulièrement à notre insu sous un ultime nom de plume que nous ne connaîtrons peut-être jamais.

(photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 349 Réponses pour Quel Romain Gary sous son palimpseste de masques ?

Ed dit: à

Mes parents ? Vous allez les rende encore plus fiers de moi. Ils vont adorer et mon père ne se sentira plus pisser.

Ed dit: à

Ils seront surtout d’accord sur le fond. Eux au moins, ils ont travaillé toute leur vie et peuvent se permettre d’étaler leurs opinions politiques à qui veut l’entendre. Chaloux et Delaporte n’ont toujours été que des trolls et ils le resteront. Personne n’a pu jusqu’ici me répondre quant à une quelconque utilité passée ou présente les concernant.

Chaloux dit: à

Mes parents ? Vous allez les rende encore plus fiers de moi.

C’est parce qu’ils ne sont pas francophones.

Clopine dit: à

Pierre Assouline, que pensez-vous d’un commentateur (Chaloux) qui s’adresse à une commentatrice en ces termes :

« A mon avis, elle a rencontré un congolais tellement membré qu’il a commencé à lui endommager les organes vitaux. »

?

Chaloux s’adresse à une femme, « dont les organes vitaux sont endommagés » à cause du « membre (forcément monstrueux) d’un congolais.

J’attire votre attention sur ce « congolais » qui pèse son poids de préjugés façon Banania.

J’attire votre attention sur le caractère sexué de ces propos.

Je pense qu’on peut parfaitement mettre de côté et l’objet de la querelle (futile) et la personnalité des deux internautes (quelles qu’elles soient) et le déroulé du ping-pong des messages entre les deux.

Je veux dire : prenons ce message tel qu’il est. En lui-même.

Eh bien, si vous ne le dites pas moi je vais le dire.

Ce message est non seulement ignoble, mais en plus il flirte tellement avec le racisme et le machisme le plus primaire que ça ne m’étonnerait pas qu’il tombe sous le coup de la loi.

Qu’en pensez-vous, notre hôte ?

Janssen J-J dit: à

(dans le nouveau polar de fred vargas surcoté par le figmag)

– Que peut-on faire, à notre échelle ?
-> (personnellement) Abaisser sa consommation de viande de 90 % est l’acte citoyen le plus efficace, sachant que le poulet est la viande la moins problématique. Acheter moins de vêtements : il faudrait idéalement trente pièces d’habillement par personne, uniquement en fibres naturelles, et les laver à 40 °C maximum. Prendre le train plutôt que l’avion, surveiller sa consommation d’eau et d’électricité, éviter le plastique à usage unique, boycotter les biocarburants, les bois tropicaux ainsi qu’un certain nombre de produits polluants comme le sucre, le soja (importé à 97 %), le miel non bio, le chocolat sauf s’il est noir et bio, le Coca, éviter nombre de poissons victimes de la surpêche, comme le cabillaud, et/ou intoxiqués au mercure, comme le thon.
-> (politiquement) Récupérer l’argent de la fraude fiscale – 1 000 milliards d’euros en Europe – pour financer la transition énergétique et écologique. Interdire l’agriculture et l’élevage intensifs au profit du bio. Légiférer sur les pesticides, les fongicides et les herbicides. Et cesser de financer les énergies fossiles – comme l’a recommandé l’ONU -, soutenir les entreprises qui dépolluent, mettre fin à l’obsolescence programmée et à l’exploitation minière du phosphore, classer les forêts, recycler les eaux usées… Les gouvernants se réfugient dans le déni en se disant que la technologie va nous sauver. Mais elle ne nous sauvera pas, ne serait-ce que parce que le XXIe siècle est celui de l’épuisement. Ce sera le cas de l’argent, dans deux ans, utilisé dans la dépollution des eaux ; du cuivre, dans dix ans ; du lithium, dans seize ans, qui sert dans la fabrication des batteries, et ainsi de suite, pétrole compris.

(NB/ + ne plus acheter de Gary Cooper en Pléiades).

Chaloux dit: à

Clopine, vous avez la vengeance facile.

rose dit: à

Très intelligent d’écrire Romain Gary ou l’invention de soi.
Il a inventé l’autofiction.
Le second Goncourt c’était une blague.
Avec Paul, les relations étaient compliquées.
Il était maçon..Il a partagé l’appartement de Romain en deux.
Entretenu par son oncle.
C’est plus tard qu’il a entrevu la possibilité de gagner sa vie en écrivant ou en étant lecteur chez Gallimard.

Ed dit: à

18:43

Racisme primaire et degueulasse, au-delà du sexisme le plus brutal (il sous-entend un viol j’ai l’impression). On ne peut pas laisser passer ça. Ce type n’a aucune limite et sans être une oie blanche moi-même comme vous dites, il faut clairement sanctionner cet être abject.

christiane dit: à

Rose, un documentaire inouï pour vous sur Arte, en ce moment : les renards de Bruxelles.

Chaloux dit: à

Je ne sous-entends aucun viol (la calomnie est passible de prison ferme). Où en sont les termes? Le racisme suppose qu’on prétende qu’une race (mot que je n’emploie jamais) est supérieure à une autre. On ne trouvera jamais rien sous ma plume qui soit de cet acabit.
Judiciarisez si vous voulez, je ne risque pas grand-chose, voire rien du tout. Surtout dans le contexte, j’ai une copie de tous les post d’Ed qui va se ridiculiser.

rose dit: à

La cour.
Le lieu de tous les apprentissages.
Dans LPDLA c’est l’endroit où il joue avec Vakentine cette petite peste.
Alors que lui est prêt à toutes les dévotions, elle lui fait manger la semelle de ses chaussures.
Lui se réfugie dans le tas de bois et pleure.

Clopine dit: à

Ce n’est pas de la vengeance, Chaloux, mais cela relève de ce sentiment sur lequel vous vous appuyez, si l’on vous croit, pour vous autoriser tout et n’importe quoi.

L’indignation.

Voilà. Très précisément et très véridiquement. Si les trolls me répugnent, vous, vous m’indignez. Marie Sasseur aussi, notez. Mais même elle ne va pas aussi loin que vous dans l’ignoble.

Chaloux dit: à

Mais toutes les deux je vous garantis que je ne vous oublierai pas dans mes prières!

rose dit: à

Valentine.
Pas la TV Christiane ; je le regarderai en replay. Merci

Ed dit: à

Ah non ce n’est pas raciste. Le Noir avec son énorme sexe qui démonte une femme au point de quasiment la tuer. Et non ce n’est pas un viol sous-entendu ? Parce qu’une femme a sans doute envie qu’on lui endommage les organes vitaux après un rapport sexuel oui. Non Chaloux vous allez beaucoup trop loin et ce commentaire tombe clairement sous le coup de la loi. Il est sans commune mesure avec le reste de la discussion. Quant au sexisme et à la culture du viol et de dégradation de la femme, il explose dans ces quelques mots.

Chaloux dit: à

Mais judiciarisiez, Clopine, la RDL au prétoire, qu’elle événement, et quel chapelet on fera de vos citations! Si on commence au palais de justice, on finira au café-théâtre.
Mais vous aussi vous m’indignez avec vos insultes dissimulées : « Moi je suis très gentille parce que je nage dans le bonheur ». Croyez qu’on ne sache pas ce que ça signifie? A qui vous vous adressez? Alors que votre bonheur parait au moins suspect, ce n’en est pas moins immonde. Si je tape fort et à découvert ce n’est pas particulièrement par goût, c’est pour mettre au jour ce que des gens comme vous croient dissimuler. C’est vous qui êtes dans mes posts, bien davantage que moi. mais je vous assure que le personnage que vous faites va tenir une place de choix dans la république des cloches!

Ed dit: à

Passou avait pourtant dit qu’il exclurait sans prévenir les auteurs d’insultes. Là on a carrément une flopée d’insultes sans commune mesure avec ce qui arrive dans l’autre camp, laquelle est couronnée par un appel au viol sur fond de racisme décomplexé. Je ne vois pas comment on peut faire pire.

Chaloux dit: à

De plus, dans ce post, rien n’indique qui a rencontré un monsieur. Il n’y a pas d’identité avérée.

Chaloux dit: à

Assouline n’a pas non plus dit qu’il permettrait qu’on réinvente des lois nazies comme tu l’as fait tout l’après-midi.

Ed dit: à

Chaloux, il indigne et répugne. Il avait parlé de ma « matrice » dans le post précédent. Toujours en-dessous de la ceinture quand on a affaire à une jeune femme inaccessible.

Chaloux dit: à

J’ai parlé de ta matrice parce que tu t’es vantée de m’avoir castré.

Ed dit: à

Non non ça ne marche pas. Rien à voir avec le nazisme. Je défie d’y voir le moindre lien avec l’euthanasie ou autre. Tu te défends comme tu peux mais personne ici n’est allé aussi loin que toi. J’en ai marre qu’on te laisse déblatérer toutes tes horreurs. On va laisser passer ça et dans quelques jours tu vas revenir avec une autre horreur encore pire que la précédente. C’est à Passou de voir.

Ed dit: à

Et personne à part clopine ne relève. Ca ressemble à une agression dans le métro aux yeux de tous. Personne ne bouge.

Chaloux dit: à

Si, ça marche très bien:
Ed dit: 25 mai 2019 à 21 h 12 min
(…)
J’avoue que ça m’a fait du bien et qu’ils ne sont pas prêts de s’en remettre. Et l’autre avec ses histoires d’héritage qui me traite de conne parce que je dis tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Jazzi et Chaloux sont tellement ridicules 😂 Bref j’ai kiffé ce samedi après-midi. Castrer les machos c’est ma passion.

Et je n’ai qu’une couille comme Hitler, c’est toi qui a commencé avec tes propos de poissarde.
Mon intimité vaut la tienne.
sans compter toutes tes insinuations, tes menaces de mort à distance. Tu aurais fort à faire dans un tribunal. Pauvre fille.

Ed dit: à

Castration symbolique. Et vu ce que tu me mets dans la tronche, elle a dû avoir lieu . La vérité c’est que tu ne supportes pas qu’une jeune femme te tienne tête et lui balances les pires horreurs pour la rabaisser plus bas que terre. Appel au viol, convocation de mes pauvres parents qui n’ont rien demandé et menaces d’enfermement parce que te contredire est signe de folie. Maintenant j’arrête de discuter avec toi car tu trouves toujours matière à justifier tes horreurs. Passou prendra la décision qu’il veut.

Chaloux dit: à

Castration symbolique? Mais elle est tarée.

Chaloux dit: à

Tu comprends, elle parle de castrer, mais n’aie pas peur, c’est seulement symbolique,- avec dans un coin son papa qui est un homme un vrai! Lui… (Déjà l’ombre d’un petit souci dans tout ça, mais cela ne nous regarde pas)
Moi, la castration symbolique je n’y crois pas, il y a bien atteinte à ma personne. Et viol aussi. Est-ce que castrer un individu n’a pas quelque rapport avec une agression sexuelle? Parce que tu n’imagines tout de même pas que je serais consentant? C’est toi qui parles de viol et tu ne t’en rends même pas compte. Et chez toi c’est patent, écrit noir sur blanc. Tu ne sais même pas te lire, et la Boldoclopine qui rapplique comme un vieux corbac. Ah ma vieille, toi non plus je ne vais pas te rater…

bouguereau dit: à

le problème quand que mon larbin flippe c’est qu’il met son copain agent pernod ricard sur le coup..et ça lui coute une blinde c’est mathématique

bouguereau dit: à

Et je n’ai qu’une couille comme Hitler

..et encore une demi quil a télégraphié vontraube

et alii dit: à

sur philomag :notre temps
une quête « esthésique », « liée au sentir sous toutes ses formes » : « Atmosphères, immersion dans des ambiances, musique, encore musique, sociabilité augmentée par les drogues, cosmopolitisme, sollicitations multisensorielles : telles sont les caractéristiques de la nouvelle sensibilité des vingt dernières années du XXe siècle. »

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Haro sur le zen
Réussir sa vie du premier coup vient de paraître chez Flammarion. Encore un livre de développement personnel ? Oui, mais celui-ci marche ! Car le philosophe Yves Cusset y brocarde les gourous de la zénitude et réfute les mirages de la pensée positive. Un gai savoir vivre (et mourir).

➤ Catherine Portevin l’a lu

OUI-OUI
Sex & politics
La notion de consentement sexuel, développée aux États-Unis, permet-elle de repenser le contrat social? Dans les pas de John Locke, le philosophe américain Steven A. Miller invite à imaginer le consentement des administrés à la manière du consentement affirmatif : « yes means yes » [oui c’est oui], et non seulement du consentement tacite ou négatif : « no means no » [non c’est non]. Et l’universitaire de s’étonner : « la gouvernance est l’un des rares domaines où “no means no” semble rester acceptable ».

➤ Lu dans Los Angeles Review of Books

REGARD
« L’Europe n’aura pas eu la politique de sa pensée »
➤ Paul Valéry, Regards sur monde actuel, 1931

bouguereau dit: à

Le réalisme, pour l’auteur de fiction, cela consiste à ne pas se faire prendre

surtout quand qu’y t’en reste qu’une demi..et comment qu’il va aller a pute dans son prochain pinsomme?..comment dire..1/2!..vous avez la vengeance facile en somme

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 mai 2019 à 19 h 41 min
Le réalisme, pour l’auteur de fiction, cela consiste à ne pas se faire prendre

Tout le contraire de toi, petit boumou.

bouguereau dit: à

Le réalisme, pour l’auteur de fiction, cela consiste à ne pas se faire prendre

zola trainé en justice comme djizeus..hach les mots d’esprit

Chaloux dit: à

Voila, j’ai toutes les copies d’écran. On va bien rigoler au tribunal.

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

Pas une seule goutte de sang français ne coule dans mes veines, seule la France coule en moi

la terre ne ment pas et dailleurs le sang guimpur abreuve ses sillons

Jazzi dit: à

« Qu’en pensez-vous, notre hôte ? »

Si tu veux mon avis, Clopine, il ne doit pas en penser grand chose, Passou. Après la Clopine outragée, voilà la Clopine indignée. Il y a de quoi se marrer.
En revanche, quand Ed nous souhaite de mourir dans les pires souffrances, tu ne dis mot donc tu consens. Bravo !

bouguereau dit: à

la lette recommandée..la main courante..le rapport de l’agent pernod ricard qui lui coute une blinde..les trace de pneux de merco..et le sac de baffe

Ed dit: à

Passou ne bouge pas. Parfait. Une fois de plus, les femmes doivent s’effacer au profit des harceleurs. A ce rythme là, l’espace public leur sera entièrement réservé. Puisque la loi du plus fort règne, je suis bien obligée de la f.ermer face à un tel pouvoir de nuisance.

Ed dit: à

Bravo jazzi. Bravo. Du côté des harceleurs. Un moment emportement après des semaines d’insultes et de harcèlement équivaut au reste ? Relis tout si tu en as le courage. Tu verras qui a poussé à bout qui.

Chaloux dit: à

Tout le monde répète l’échelle de Sapir.

bouguereau dit: à

En revanche, quand Ed nous souhaite de mourir dans les pires souffrances, tu ne dis mot donc tu consens. Bravo !

quand bonne clopine a mal au cul toi et polo vous en avez rien a péter..c’est pas chrétien non pus

Ed dit: à

Il faudrait être une sainte pour ne pas craquer. Alors oui je l’ai souhaité et le souhaite plus que jamais. Quant au viol/meurtre par un Congolais, pardonne-moi mais c’est beaucoup plus concret tout à coup dans l’insulte. Donc tu mets tout sur le même plan. Nan mais bravo jazzi. T’es du bon côté, jusqu’à ce que ce soit ton tour d’être pris pour cible. Quand je ne serai plus là, il faudra bien que Chaloux s’en trouve une autre.

Ed dit: à

Pendant combien de temps ce type m’a harcelée à chaque commentaire avant que je craque et lui souhaite de crever ? Ah il est fort. Tres fort. Et il a même des gens de son côté.

bouguereau dit: à

Relis tout si tu en as le courage

..plutôt mourir céans dans les affres

Chaloux dit: à

Mais c’est toi qui es une harceleuse, c’est toi la malade qui dégrade les psyché masculines comme une perverse narcissique que tu es, qui invente des lois anti-vieux dans ton dépit de ne pas avoir le dessus, c’est toi la cinglée qui crois qu’elle envoie des sorts sur Internet (complètement à la masse, même), qui souhaite aux gens de mourir dans des souffrances atroces, qui veut castrer ceux qui te résistent. Tu es une vraie cinoque, une malade, une démente, bonne à enfermer

Marie Sasseur dit: à

« Jazzi dit: 26 mai 2019 à 14 h 38 min

Mais il y a plus grave, toujours selon Myriam Anissimov. Ce n’est pas Gary qui pilotait l’avion lors de l’exploit qui lui vaudra la médaille de compagnon de la Libération :

« L’exploit qui va lui valoir une médaille et le titre de compagnon de la Libération n’est pas celui décrit dans L’Album, écrit par Maxime Decout, auquel je me permettrai à ce propos de signaler d’autres erreurs. Lors de la mission de bombardement du 25 janvier 1944, à bord d’un Boston, le cockpit de l’appareil est touché par la Flak. Arnaud Langer, le pilote, reçoit des éclats de plexiglas dans les yeux, Gary l’observateur, qui se trouve sous la cabine de pilotage, reçoit lui aussi des éclats de projectiles dans l’abdomen. Quoi qu’il en soit, il ne dispose d’aucun des dispositifs permettant de piloter l’avion. C’est le mitrailleur, René Bauden qui va prendre en main et sauver l’appareil.(…) »

Je trouve le procédé parfaitement ignoble. Pour qui a « L’album Gary », il peut se reporter aux pages 43 et 44. Il n’est pas du tout indiqué que Gary a piloté l’avion apres que le cockpit a explosé. Il a guidé l’équipage à la voix et ainsi permis un atterrissage miraculeux.

C’est minable, ces allégations de Mme Anissimov.

Chaloux dit: à

Sans oublier la Boldoclopine, l’immonde corbac qui vient jouer les charognardes.

Ed dit: à

Il a fait taire l’intarissable wgg et maintenant je vais être obligée de la fermer à mon tour cest ça ? Parce que s’il n’est pas exclu c’est ce qu’il va se produire. Je ne peux pas publier un commentaire s’en me prendre un torrent d’insultes. Même quand je ne suis pas là il parle de moi. Pareil pour Clopine. Don je vais me barrer et dans quelques mois, il ressortira des horreurs encore pire à sa prochaine cible, ne sera bien évidemment pas exclu, et la cible partira. Etc etc.

D. dit: à

Chaloux, désolé mais vous déconnez.

bouguereau dit: à

la malade qui dégrade les psyché masculines

ho ma mère de ma mère..quel yourcenanar y fait mon larbin

Marie Sasseur dit: à

On rappellera aux sots que ed est un avatar.

D. dit: à

Bon, LREM s’est pris sa baffe bien méritée.
Avec une mobilisation rurale sans précédent.

pado dit: à

Bon, mon cher Chaloux, ça donne ce 6-7% pour ta liste fétiche.
Tu crois que Jean-Luc va s’exiler à Moscou ?

P’tain, avec un peu de chance il se fait taper par Glucksmann ET Hamon.
Encore Bravo

bouguereau dit: à

dracul est pas parti a cause de lui dédède..et toi non pus sinon tu srais bien bête..ceci dit..tout ça est croulant de drolrie..et faut rconnaite que t’es une espèce d’hinstrument dla providence..si si cht’assures..crois moi sur parole

Chaloux dit: à

Mais c’est toi qui a commencé, Ed, en te mêlant d’un conflit qui ne te concernait pas, en m’insultant toute une après-midi, en me traitant de tous les noms, de mâle alpha et je ne sais quoi encore, de déverser tes obsessions de folle sur ma tête. Je n’ai fait que te répondre. Je peux aussi le prouver. Ce qui est vrai, c’est que ce n’est pas toi qui me marchera sur les pieds.

Quant à Blabla, il a disparu sur un conflit avec Assouline, pas avec moi.

Chaloux dit: à

t’es une espèce d’hinstrument dla providence.

Pour le gros con soralien, sans aucun doute.

bouguereau dit: à

On rappellera aux sots que ed est un avatar

n’abuse pas trop d’être la reine des connes pour t’empêcher de passer pour autre chose térezoune..c’est malhonnête

D. dit: à

Je suis quand même emmerdé que LR soit si bas avec quelqu’un de la qualité de Bellamy.

Chaloux dit: à

t’es une espèce d’hinstrument dla providence.

Jeanne d’Arc.

et alii dit: à

et lui qui n’a été capable que de gagner le championnat de ping-pong de Nice en 1932 !

Marie Sasseur dit: à

Si ce n’est pas clair, et s’il faut le répéter : ed, d, « bouguereau », c’est la même clé usb. Un malade.

D. dit: à

Je suis content pour Jadot l’ecologiste, c’est un gars bien.

bouguereau dit: à

Pour le gros con soralien, sans aucun doute

tu vois..tu n’es même pas sur de ne pas en êtes bientôt certain mon larbin..les voies du seigneur etc.

Bérénice dit: à

D, 1.2 à 1.5 de moins, ce n’est pas grandchose mais suffisant pour que Marine Le pen crie victoire pendant trois mois. Il faut voir la dilution dans le parlement, chez les allemands aussi l’extrême droite progresse, attendons l’hémicycle et nous verrons quelles alliances seront probables.

bouguereau dit: à

ed, d, « bouguereau »

dédède tu veux dire ma couillonne?..décidément t’es opaque imperméabe aux voies du seigneur..tu dois pas havoir drézo..chte pardonne

bouguereau dit: à

Je suis quand même emmerdé que LR soit si bas avec quelqu’un de la qualité de Bellamy

faut prende moins à coeur le problème des autes dédé..sinon on fait mal en pis

Chaloux dit: à

Si, boumou, je vois très bien quel genre de petite frappe -ratée- tu es.

Marie Sasseur dit: à

La clé usb, la ligue du lol, ed, d, bouguereau, oui, un cinglé qui passe son temps à troller.

bouguereau dit: à

ce soir je vais manger de la bratwurst avec une frite et une paulaner dédé

bouguereau dit: à

à paris c’est pas si facile à trouver

Jazzi dit: à

Jazzi dit: 26 mai 2019 à 8 h 45 min
« Tous, nous devons aider Macron à se mettre en marche… vers la sortie ! »

Et aider Marine Le Pen à faire une entrée triomphale, Chaloux ?

Janssen J-J dit: 26 mai 2019 à 9 h 14 min
Ne plus assumer le coup du chantage électoral au Front, qui dure depuis si longtemps

Et voilà le résultat, JJJ !

Bérénice dit: à

20h19 le doigt dans l’oeil jusqu’au coude, c’est n’importe quoi. Avez vous reçu un objet contendant sur la tête?

Jazzi dit: à

Mais on sait tous, le boug, que D. il roule pour Marine Le Pen.
Il n’ose pas montrer sa joie !

Jazzi dit: à

Mais dans quelle clé usb s’insère Marie Sasseur ?

Bérénice dit: à

Jazzi, pour arrêter la progression du FN, il va falloir tenir un peu plus compte des motifs de sa progression mais pas uniquement du cote des frontières. L’Allemagne prospère économiquement vote aussi plus à l’extrême quant à l’Italie n’en parlons pas. Les frontistes s’emparent de tous les motifs pour progresser et l’Europe a beaucoup de progrès à faire, avec des disparités, ses antagonismes, et un vote à l’unanimité , je ne sais trop comment elle va pouvoir contrer l’avancée des extremes dans ses pays fondateurs . Un commentateur politique expérimenté remarquait aussi la progression des verts . Attendons la totalité des résultats pour ce qui est de l’Europe. La France a désormais un baromètre à jour.

Jazzi dit: à

Beau numéro de duettiste Gilbert Collard et Daniel Cohn Bendit sur TF1. On se croirait sur la RDL !

Delaporte dit: à

Ce résultat est en effet catastrophique pour la démocratie. Ce qu’on redoutait arrive : le RN en première position. Macron, sur ce coup, n’a rien pu faire. Il est désormais grillé. Il n’a plus aucune ressource. Il ne finira pas son quinquennat.
Je suis également déçu par le résultat de Hamon, à 3,20 %. La chance de la démocratie, c’était lui. Il avait un projet remarquable, pour mille ans de réformes, avec surtout l’abolition légale du travail.
Je me félicite en revanche du score des écologistes, qui arrivent à 12,70 %. C’est la seule bonne nouvelle de la soirée.
C’est grâce à eux, les écologistes, et l’espoir qu’ils infusent, que je ne me suiciderai pas ce soir. Et que je vais aller plutôt boire une bière et manger une excellente omelette au lard. A chaque jour suffit sa peine.

Delaporte dit: à

Il ne faut pas sous-estimer ce score magnifique des écologistes. Au niveau européen, les écologistes accroissent de plus en plus leur potentiel d’évaluation. C’est une idée encore neuve, qui n’a pas exprimé toute sa puissance, son efficacité, sa magie. L’écologie, c’est la résolution naturelle des problèmes, qui va dans le sens de l’homme, sans le brutaliser. Le contraire des partis ultra-libéraux, qui ne sont que brutalité et violence, et acheminent les nations vers leur suicide. Par exemple, Macron, dans son entreprise de suicide français, va devoir rétropédaler, s’il veut encore durer quelques semaines. Et après, ce sera fini. Il va appeler Hamon comme premier ministre, ou l’écologiste Jadot. C’est comme ça que ça devrait se passer. Il n’y a pas trente-six solutions, merde !

Jazzi dit: à

Bérénice, le parlement européen brunit fortement d’un côté, et verdit de l’autre, c’est tout ce que l’on peut dire pour le moment…

Chaloux dit: à

Ce qui est terrible, c’est l’annonce de Macron qu’il n’y aura pas de changement. Il va jouer l’affrontement jusqu’à la guerre civile non seulement le samedi mais à terme toute la semaine.

Delaporte dit: à

Hamon serait le premier ministre idéal. Il y aurait déjà l’abolition légale du travail qui serait voté ; puis la machine sociale et écologique se mettrait en place. Ce serait le triomphe de la jeunesse, des idées neuves en Europe, de la révolution dans les esprits qu’un Deleuze appelait de ses voeux. Un grand moment de politique, réaliste, plein de poésie et d’idéalisme : les Français seraient enfin heureux !

Soleil vert dit: à

Horrifié par Collard, j’avais déjà basculé sur la 13 ou l’INA rediffusait un débat Mitterrand-Seguin précédé d’une conférence de l’ancien Président.
Mon Dieu, quelle nostalgie de ces hommes ! Qu’ est ce que fais ici ?

Claudio Bahia dit: à

Dear Passou, I have a dream,
et je vous propose une expérience :
Puisque vous ne voulez pas les virer de votre blog, sous prétexte que « si je devais virer tous ceux qui…, vous pourriez alors tenter de faire l’inverse, vous ne gardez que la bandes des quatre (Pablo, Chaloux, Ed, et Marie Sassoeur, qui elle, pourrait servir de punchingball et surtout de relanceuse), mais on pourrait songer aussi à y ajouter Bougereau. Là ça nous donnerait une masse critique idéale, et bien radioactive. Et à nous tous vous nous fermeriez la porte de la messagerie. Vous pourriez ainsi créer un beau nœud de serpents et vipère, et nous, on viendrait de temps à autre jeter un coup d’œil, comme on vient visiter un vivarium, ou par voyeurisme.
L’hypothèse serait que ces quatre ou cinq se lancent tellement d’insultes, d’injures, crachant leur venin, que peut-à-peut ils se videraient de tout leur poison. Pour aider et accélérer le processus il faudrait bien sûr que M Sassoeur et/ou Bougereau prennent plutôt le parti de Ed. Le fait qu’il n’y ait plus personne à part eux dans ce blog (j’allais dire ring), et le fait de ne pas savoir si on les lit, et qui les lirait si toutefois, pourrait aussi accélérer le processus. Une fois leurs cœurs et leurs cerveaux nettoyés, une fois tous dégorgés de leur fiel, il ne leur resterait plus que le côté aimable, tolérant, amical, bienveillant de leurs personnalités. Bien sûr, ce serait une expérience de longue haleine qui devrait probablement se prolonger sur plusieurs mois.
Mon rêve s’arrête ici mais je veux ajouter ceci :
Il faut beaucoup de courage pour tenter une expérience aussi radicale avec votre blog, mais ce serait le prix à payer pour, à l’avenir, éviter ceci entre autre :
1)Pablo, sur l’autre post, s’est donné la peine de répondre à Hamlet en 45 lignes (!), qui, elles, contenaient 30 phrases et mots injurieux, insultants, grossier.
2) Depuis la parution de votre nouveau post sur R. Gary, Ed s’est donné la peine d’envoyer 29 messages; aucun, je dit bien AUCUN n’avait de rapport même éloigné avec la littérature, ne prenant pas en compte deux messages qui disaient: « je n’ai jamais lu Gary », et un suivant: « il a écrit trop de livres, c’est suspect ». Pour être juste avec Ed, je n’ai pas mentionné Chaloux, mais ce doit être du même kif-kif (ce mot m’amuse, je ne connaissais pas ; j’ai vu ça dans un message aujourd’hui, et je suis allé pesquisar).
Ces chiffres ne sont pas de la statistique, mais le constat terrifiant de la dérive de votre blog.
Vous me direz que je ne viens que rarement ici et que ça ne devrait pas trop me gêner ; c’est vrai mais là je pense surtout à vous, à la qualité de votre blog.
Et qu’en pensent les autres, pas la bande des quatre, eux on s’en fout.
J’avoue que j’ai d’abord écrit ce texte sur word et que l’on m’a aidé pour la formulation de certaines phrases.

Chaloux dit: à

Bis
Valls s’est planté, 5e place.

Décidément, journée jouissive.

Nous buvons le Champagne.

Jazzi dit: à

« Mon Dieu, quelle nostalgie de ces hommes ! Qu’ est ce que fais ici ? »

Il ne vous reste plus que le suicide à la romaine, Soleil vert !

Chaloux dit: à

Loiseau croit qu’elle a gagné. Pathétique.

Marie Sasseur dit: à

Je relis de nouveau ce message:

« Jazzi dit: 26 mai 2019 à 14 h 38 min

Mais il y a plus grave, toujours selon Myriam Anissimov. Ce n’est pas Gary qui pilotait l’avion lors de l’exploit qui lui vaudra la médaille de compagnon de la Libération :

« L’exploit qui va lui valoir une médaille et le titre de compagnon de la Libération n’est pas celui décrit dans L’Album, écrit par Maxime Decout, auquel je me permettrai à ce propos de signaler d’autres erreurs. Lors de la mission de bombardement du 25 janvier 1944, à bord d’un Boston, le cockpit de l’appareil est touché par la Flak. Arnaud Langer, le pilote, reçoit des éclats de plexiglas dans les yeux, Gary l’observateur, qui se trouve sous la cabine de pilotage, reçoit lui aussi des éclats de projectiles dans l’abdomen. Quoi qu’il en soit, il ne dispose d’aucun des dispositifs permettant de piloter l’avion. C’est le mitrailleur, René Bauden qui va prendre en main et sauver l’appareil. »

Pour bien comprendre les allégations de Mme Anissimov,qui sont une atteinte au travail de M.Decout, pour son « album Gary », mais également à la mémoire de R. Gary, et de l’equipage. En effet il faut également relire cet épisode dans « la promesse de l’aube » où Gary raconte, dans le detail, comment ce fut « la première fois dans l’histoire de la RAF, qu’un pilote( Arnaud Langer, cité par Gary) aux trois quarts aveugles parvint à ramener son appareil au terrain »

Et Passou parle d’un travail « critique » de la biographe…

Bref.

Chaloux dit: à

C’est comme Ed, quand elle croit qu’elle a gagné et que Boldoclopine le méchant vieux corbac rapplique. Pathétique.

pado dit: à

« Jazzi, pour arrêter la progression du FN, »
.

1,5% de moins qu’il y a 5 ans
Il est bien parfois de regarder les chiffres et de ne pas écouter les rodomontades (de tous côtés)

pado dit: à

« Loiseau croit qu’elle a gagné. Pathétique »

Par contre Jean-Luc sait Qu’il a perdu, et bien

Chaloux dit: à

Allez, va Pado, tu as bien gagné ta prime Macron…

Hurkhurkhurk!

pado dit: à

Champagne après une branlée chez les Chaloux.
C’est beau.
Après vodka pour tout le monde

Chaloux dit: à

Occupe-toi de ce qui se passe chez toi.
SVP.

D. dit: à

Chaloux dit: 26 mai 2019 à 21 h 01 min

Ce qui est terrible, c’est l’annonce de Macron qu’il n’y aura pas de changement. Il va jouer l’affrontement jusqu’à la guerre civile non seulement le samedi mais à terme toute la semaine.

C’est délibéré. Certains types d’économie de guerre ne peuvent que profiter à son projet. Qui par ailleurs n’est pas le sien.

Chaloux dit: à

Tu es cubain, Pado? D’où ça te vient cette obsession? Tu sais que les russes ont été beaucoup plus importants dans la victoire de 1945 que les américains. Des fois, on a besoin d’eux.

Soleil vert dit: à

« Mais il y a plus grave, toujours selon Myriam Anissimov. Ce n’est pas Gary qui pilotait l’avion lors de l’exploit qui lui vaudra la médaille de compagnon de la Libération : »

Il fut une époque où Malraux et Maurice Schumann se faisaient attaquer de la sorte. Gary était dans l’avion non ?

Jazzi dit: à

On attend la future biographie de Romain Gary par Passou avec beaucoup d’impatience !

D. dit: à

Macron reste et demeure un banquier dans l’âme.
Les cadeaux de banquier sont des stylos en pkzstique et des calendriers en carton.
Parfois des bonbons acidulés. Mais alors siglés.
Une folie tout de même.

Delaporte dit: à

« On attend la future biographie de Romain Gary par Passou avec beaucoup d’impatience ! »

Personne ne parle de la première, celle de Dominique Bona, aujourd’hui académicienne. Gary intéresse surtout les femmes. Mais je ne crois pas que Passou aurait la patience, et puis il serait encore de mauvaise foi…

Marie Sasseur dit: à

Gary était dans l’avion non ?

Oui, comme navigateur de tête dans l’avion bombardier , avec le pilote Arnaud Langer touché aux yeux, et avec le mitrailleur Bauden.

pado dit: à

« Tu sais que les russes ont été beaucoup plus importants dans la victoire de 1945 que les américains »

Bien d’accord mon Chaloux., mais je sens bien que tu as envie d’une petite dictature doucereuse qui n’ose pas dire son nom.C’est ancré au fond de toi, bien sûr je n’en doute pas (et toi non plus) tu seras du côté du manche de pioche.

Chaloux dit: à

Pauvre Pado, tu me fais sourire. Mais tu me fais surtout chier. Lâche-moi.
SVP.

rose dit: à

Jazzi

Vous me demandiez récemment les films cultes de Brighelli.
Vous en avez un extrait en date du 23 mai.
Cela vous permettra de noter comment un mecbintelligent en tient une couche épaisse et pourquoi, nous les femmes avons pour antienne  » Courage, fuyons ».

Nota : c’ est ce qui est arrivé à Jean Seberg, la perte d’ un bébé fille.
Je ne conçois pas que l’ on puisse se réjouir de telle tragédie.
Pas plus que de l’ ado. qui se suicide qui fait rire son entourage.
Enlardé, le type, même si cultivé.

rose dit: à

Ds La Promesse de l’ Aube, il raconte cette coopération entre potes, au sein de l’ équipage et il explique qu’ il a réagi en prenant les commandes pck le pilote était touché aux yeux.

C drôle ces gens qui cherchent des poux dans la tonsure.
Comme pour sa première femme. Bien plus vieille que lui et plus riche sûrement, il ne l’ a plus aimée et l’a plaquée comme deux œufs au plat. Pas de quoi en faire une omelettexaux pommes de terre.
Des deux, la pénible c’ est Lesley et l’ écrivain Romain.
Dominique Bona est une excellente biographe.

rose dit: à

il faut également relire cet épisode dans « la promesse de l’aube » où Gary raconte, dans le detail, comment ce fut « la première fois dans l’histoire de la RAF, qu’un pilote( Arnaud Langer, cité par Gary) aux trois quarts aveugles parvint à ramener son appareil au terrain

Ce n’est pas comme cela qu’il le raconte. Il dit grosso modo qu’il s’est penché par-dessus le. Cockpit pour que l’avion ne se crashe pas. Aidé par le pilote, aveuglé et souffrant.

C’est un trait de caractère terrible de chercher un poil sur un œuf.

Ed dit: à

Une pensée émue pour la dame assise entre Cohn-Bendit et Collard.

C2C

rose dit: à

e sociale et écologique se mettrait en place. Ce serait le triomphe de la jeunesse, des idées neuves en Europe, de la révolution dans les esprits
Non merci.
Mangé face à dix jeunes/jeunes ce soir, qu’ils grandissent…
La jeunesse et ses illusions versus la vieillesse et l’expérience. Romain Gary.

Alan B. dit: à

1,5% de moins qu’il y a 5 ans

Mais avec +9% de participation, possiblement plus de voix. Pas de quoi plastronner.

Chaloux dit: à

la dame assise entre Cohn-Bendit et Collard.

Encore une pauvre martyre!

C’est le jour.

Amen.

Jazzi dit: à

« Encore une pauvre martyre ! »

C’était Rachida Daty, elle en a vu d’autre !

Chaloux dit: à

Elle a un flair, cette Ed!

Hurkhurkhurk!

Marie Sasseur dit: à

« Ce n’est pas comme cela qu’il le raconte. Il dit grosso modo qu’il s’est penché par-dessus le. Cockpit pour que l’avion ne se crashe pas. Aidé par le pilote, aveuglé et souffrant. »

N’importe quoi.

Marie Sasseur dit: à

« Ce n’est pas comme cela qu’il le raconte. Il dit grosso modo qu’il s’est penché par-dessus le. Cockpit pour que l’avion ne se crashe pas. Aidé par le pilote, aveuglé et souffrant. »

N’importe quoi.

Il suffit de lire le chapitre XLI, un chapitre entier !, de « la promesse de l’aube ».
Et si cet épisode à été important pour une gloire qu’il estimait immeritee, c’est aussi à cause de ses blessures qui ont failli coûter à Gary sa radiation du personnel naviguant.

Soleil vert dit: à

Vous avez sans doute raison MS et ce sont des histoires d’homme… Quand Herzog décide, dans l’ivresse des hauteurs, de franchir les derniers mètres qui séparent le groupe du sommet de l’Annapurna, Lachenal qui est en qq sorte son guide et a gardé toute sa lucidité, le suit néanmoins sachant que l’histoire va mal finir. il sauve Herzog au prix de l’amputation de ses pieds. Pus tard ce dernier tirera toute la couverture à lui, mais pris de remords lui achètera une voiture.

Ed dit: à

J’avais loupé ceci :

« Sinon les moins de 20 ans risquent de croire que la littérature française commence avec Houellebecq »

Petit scud gratuit, même s’il est tout à fait légitime de faire lire Gary (que je lirai un jour)

Marie Sasseur dit: à

Sauf que Gary n’a rien à voir avec cet enfoiré d’Herzog.

Ici vous remarquerez que c’est le fils du mitrailleur Bauden qui recherche la gloire.
A l’époque gloire médiatique et par conséquence médaillée, accordée aux trois membres d’equipage, qui était apparue à Gary complètement disproportionnée !

Ed dit: à

Dati ou pas (sans y gros malin), elle a sans doute perdu quelques points d’audition.

Marie Sasseur dit: à

En fait ils etaient trois à « piloter » cet avion en perdition. Un quasi aveugle aux commandes et deux à la voix.
Aucun des trois n’a jamais trahi cette solidarité.
Il faut des faux-culs maintenant pour falsifier tout ça ?

Ed dit: à

Et s’est peut-être convertie au bouddhisme en 2012 parce que j’en connais plus d’un qui ne seraient restés aussi calmes.

Marie Sasseur dit: à

« et ce sont des histoires d’homme…  »
Tout a fait Soleil vert, comme « une vie à brûler  » de James Salter, ou « pilote de guerre » de Saint Ex.

et alii dit: à

A croire que ceux qui s’étaient mêlés d’explorer son délire avaient été contaminés. Etant donné que tous parlent d’eux en creux à travers lui, on les quitte généralement pour mieux se réfugier en ses propres pages. Car nul que lui n’y parle mieux de lui à travers les autres.

Delaporte dit: à

« faire lire Gary (que je lirai un jour) »

C’est sans doute une bonne nouvelle, parce que cela ne pourra vous faire que du bien, ma chère Ed. Vous avez raison de mettre cela au futur. Actuellement, vous n’avez pas la tête à ça, sans doute. Vous n’êtes pas prête. Pas encore. Le serez-vous un jour ? Nous sommes beaucoup à l’espérer. Il vous faudra changer de peau, comme le python de Gros-Câlin. Vous initier. Cela ne va pas être simple. Mais je suis sût- que, quand même, vous allez y arriver. J’y crois.

Delaporte dit: à

Gary est un auteur complexe. On croit que, parce qu’il a eu et a encore beaucoup de lecteurs, c’est un auteur populaire et simple. Il n’en est rien. Gary est plus difficile à comprendre que Montherlant par exemple, bien sûr, et que beaucoup de ses confrères. Ed a raison de nous dire qu’elle va lire Gary, au futur, pas tout de suite. Gary ne s’offre pas instantanément. Il faut avoir un peu vécu. La critique littéraire parisianiste était incapable de le comprendre, d’ailleurs elle ne l’a pas lu, pas plus que notre cher Passou aujourd’hui. C’est comme ça. Gary est un auteur de longue haleine, un auteur au long cours, qu’il faut relire. PaulEdel n’a apparemment lu que Gros-Câlin, au moins va-t-il le relire, car il a un sens de la perspicacité qui lui dit que, là, il faut se méfier. Dans le Point, déjà, il se méfiait. C’est pourquoi il ne veut pas nous communiquer son article de l’époque (ce que je regrette). Sacré Popaul ! On aimerait aussi savoir ce que Nourissier en pensait et en avait écrit dans le Fig-Mag. Pas moyen. Les notices de la Pléiade sont avares de renseignements de ce genre concernant Gary. Gary a appartenu à une époque de merde, les années 70, les années stupre, bien incapables de comprendre son génie. Finalement, il a été la victime de ces années-là, comme moi aussi, comme nous tous qui les avons vécues. Je trouve PaulEdel bien stoïque, qui a lu Gros-Câlin à sa parution, et a écrit un article sur ce roman. Nous avons les moyens de vous faire parler, camarade !

Delaporte dit: à

Il faut dire qu’au Point, ils n’aimaient pas forcément Gary. Je me souviens d’un article, après la mort de Gary, et la révélation qu’il était Ajar, dans lequel cet infâme journal reproduisait une lettre de Gary, manuscrite, où celui-ci les menaçait de venir leur mettre son poing dans la figure s’ils continuaient à prétendre que Gary était Emile Ajar. Les décervelés du Point ne trouvaient pas cela à leur goût.

et alii dit: à

justement, encore je crois un niçois (qui n’est pas dans le livre du erdélien qui ne rate jamais une occasion de montrer son nom ici)donc le niçois joann
SFAR a son nom associé à celui de GARYsur la toile aussi
https://www.instagram.com/p/BxhP1CLnKri/

vedo dit: à

Et alii: 1h28
Dans le texte de Sfar,
« Je pense à lui, dans son blouson trop petit, sous la pluie, à l’enterrement de De Gaulle. »
C’était une journée de plein soleil. Cela n’inspire pas confiance pour le reste du texte.

et alii dit: à

27 mai 2019 à 3 h 39 min
il est surtout dessinateur (très connu)mais allez voir dans une fnac si,ça vous plait, tente!

Delaporte dit: à

Quand il était en poste à Sofia, Gary avait écrit à Gallimard pour lui demander des livres de Henri Michaux. De cette lecture de Michaux est né le style Ajar, l' »ajarien », comme on a coutume de dire, désormais, qui sur quatre volumes fera la gloire littéraire de notre auteur.

Delaporte dit: à

Il y a aussi un critique littéraire particulièrement crétin, Jean-Louis Ezine, au rire idiot, qui s’était intéressé à Ajar. Il était allé à la recherche de Paul Pavlowitch dans sa ferme, perdue dans la campagne. Il en avait tiré un article tout aussi crétin et ennuyeux que lui. Ceci pour dire que certains témoignages sur cette affaire littéraire sont dénués du moindre d’intérêt. Il faut choisir.

Delaporte dit: à

Gary ne se faisait pas d’illusion. Il savait que la critique n’allait pas le lire, encore moins le relire. Il le dit même en toutes lettres dans Vie et mort d’Emile Ajar, un texte puissant et sublime. Ed rentre dans ce format nullissime que dénonce Gary par avance. Ed est l’archétype de cette nullité désaxée, fière de soi, et pour tout dire nihiliste. Gary « surcoté » ! il fallait trouver le terme, qui tue non pas Gary, mais celle qui le profère impunément, pour l’instant. Qui désormais ira lire les fiches de lecture de cette dilettante, à laquelle on ne peut faire confiance, parce qu’elle juge sans lire ? Phénomène bien contemporain, à l’heure du surmenage intellectuel où plus aucun jugement censé n’est crédité. On veut de l’à-peu-près et de l’approximation, parce que cela coûte moins cher et est davantage simpliste, donc communicable (par ordinateur). Gary, c’est la résistance à cela. Une résistance puissante, vu le nombre de ses lecteurs fidèles. Il y a lieu, grâce à Gary, de ne pas désespérer du monde, et de mettre le Christ aux avant-postes. Aucun autre message ne nous interpelle d’une manière aussi essentielle. C’est l’auteur humaniste qui stoppe le développement de la racaille. Il deviendra sans doute un symbole de cette lutte.

Delaporte dit: à

Ed, après sa gaffe (Gary « surcoté », sans l’avoir lu) osera-t-elle revenir poster et commenter des billevesées ici ? N’aura-t-elle pas honte ? Ne comprendra-t-elle pas qu’elle est définitivement grillée ? Elle a donné elle-même la preuve de son incompétence. Elle a commis une énorme bourde déontologique. Il lui reste à en tirer les conséquences et à disparaître. A aller faire un nouveau métier. Point final.

rose dit: à

Herzog était un sale type. Ce que n’a jamais été Gary.
Comme.Chaloux est pénible. Ce que n’a jamais été l’avatar Ed que tout le monde aime bien et défend
,c’est un signe.
Dire de Gary
Un grand auteur russe, c’est débile.
Parler de sa juiverie aussi.
Johan Sfar peut aller se rhabiller.
Si Gary avait aimé Nice tant que cela, il y aurait vécu au lieu de s’installer à Paris.
Entre parenthèse, Vilnius appartenait encore à la grande Russie, c’est un ancien Gary ( Brûle) ; la scission s’est faite ensuite.

Le grand défaut d’un biographe est de broder. Un bon biographe s’en tient aux faits.

Votre dispute imbécile d’hier a gâché le billet sur Gary. Vous êtes pire qu’un môme insupportable.

L’alcool pourrit votre vie. Cela vous regarde. Mais elle pourrit celle de votre entourage qui n’a rien fait pour mériter cela.

Bonne suite à vous, hein, moi je m’escape.

rose dit: à

Les médailles elles sont données pour des faits de guerre. Héroïques.
Pas à la petite semaine comme Macron qui distribue la légion d’honneur à n’importe qui, particulièrement à des gens pas honorables.

Marie Sasseur dit: à

Delaporte 4h36 🙂

rose dit: à

Je veux bien accepter avec Johan Sfar l’amour de Gary.
Toutefois, lorsque ma fille m’a apporté dans mon frigo un énorme bocal de cornichons russes énormes (préfèrerai un congolais à la noix dans mon lit, tiens) (bocal pas fini)(russes et pas polonais, non) ai décidé de revenir aux tout petits Maille qui m’aillent. Croquant, mignons. Pas imbibés.

rose dit: à

Quant au gaullisme de Gary, l’amour n’était pas réciproque. Lui lui vouait une admiration sans borne.
De Gaulle se méfiait.
Le tenait à distance.
Je ne sais les raisons.
J’imagine que Gary avait une certaine fantaisie qui ne convenait pas au militaire.

rose dit: à

Le fait d’être un héros de la Résistance a grandement joué dans l’attribution après-guerre d’un poste d’ambassadeur, à Los Angeles, où il a eu l’immense chance de tomber amoureux de Jean lors d’une réception donnée en l’honneur de la France.

C’est sans doute ce qui le distingue des autres Romain, être un homme d’honneur.

christiane dit: à

Claudio Bahia – 21h06

« words, words, words »…

 » – Ma crémière : Est-ce vraiment utile qu’il y ait toujours des gens à poil dans les mises en scène modernes ?
– Moi-même : Ce n’est pas utile, rien n’est utile en art. L’art est une catastrophe vécue comme une joie, je veux dire qu’un jour on découvre que l’on n’est rien, et aussi vaste que l’océan et plein de vents contraires et de monstres lumineux. Alors on cherche celui qui a vécu cette expérience et qui maladroitement appelle cet état d’exil et d’éblouissement de l’art. Même habillés, nous sommes nus.
– Ma crémière : Je ne vois pas le rôle civique de ce déballage génital.
– Moi-même : Le théâtre ne s’adresse pas au citoyen mais au mortel.
– Ma crémière : C’est morbide.
– Moi-même : C’est la fête pour la fête sur une fausse plage qui est morbide. (…)
– Ma crémière : Le théâtre sert à donner du sens à ma journée ? Ce n’est pas le théâtre qui va pasteuriser mes saint-marcellins.
– Moi-même : Hélas non. Le théâtre nous apprend à vivre dans l’absence de sens. Et parfois, dans cette joie du poème, il est comme un sens mais au-delà de tout sens. »
Extrait du Discours du nouveau directeur de l’Odéon, Olivier Py, Actes Sud, 2007

Un complément au beau billet de Passou, celui de Leo Nemo (si proche de Gary/Ajar…) :
http://annaorlova.blog.lemonde.fr/category/romain-gary/
(Bien dérouler jusqu’au bas de la page. Le début en face du nom Eric Rohmer, après la première vidéo de Keuth Jarrett.)

rose dit: à

Si sa relation avec Paul a été difficile c’est sans doute à cause de l’égoïsme de Romain.
Lui s’est pris au jeu du pseudo. Cela l’a détourné de son ennui et il était bien content d’emmerder les germano-pratins qui le snobaient ( mais pourtant cette méconnaissance d un immense talent, je ne sais ; j’aime bcp Chien blanc aussi ; il a ce même talent comme Kessel de porter son regard sur le monde, de voir les choses, les.comprendre, les analyser).

Delaporte dit: à

Moi-même je mange des cornichons de la marque Maille. C’est agréable à manger, mais il ne faut pas en consommer trop, car cela a un effet laxatif. Les cornichons polonais ou russes ressemblent sans doute aux cornichons maille : il n’y a pas trente-six méthodes pour faire des cornichons. Des bons cornichons. Des cornichons de qualité. Des cornichons français, de tradition cornichonnesque française. Quand on en a marre et gros sur la patate de lire tout ça, Ed sur Gary ou les résultats des élections, toutes ces cornichonneries et autres cornichoncetés ineptes, on peut manger quelques savoureux cornichons. Pour oublier. Ma réserve de cornichons est épuisée. Je dois aller me réapprovisionner en cornichons Maille. Et éviter, dans la vie de l’esprit, les cornichonneries que débitent mes contemporains, surtout un lendemain d’élection, et avec Ed dans les parages. Ed, la cornichonne cornichonnesque aberrante. Foin de cornichonnerie !

rose dit: à

Paul n’y trouvait pas son compte. C’est très clair dans le livre qu’il a écrit. Il était un personnage, personnage de roman ? manipulé. Mais il était logé, nourri. Un peu exploité sans doute.

rose dit: à

Je vais être Claire, et il est temps.
Je n’aime pas les gros cornichons et je préfère les petits.
Mon amour pour Gary en prend un coup, mais cela a assez duré, je choisis l’honnêteté (et la place dans mon frigo.).

rose dit: à

claire

Delaporte dit: à

Moi, je n’aime pas quand les cornichons sont trop petits ou trop gros. J’aime la taille standard des cornichons de tradition Maille. Le cornichon est bon tout seul, à l’apéritif, avec un verre de vodka, en accompagnement de charcuterie et de viande. Un bon cornichon doit être entre souple et dur, d’une texture cornichonnesque admirable, et c’est vite l’extase cornichonne, que je préconise quand vous en avec gros sur la patate.

Delaporte dit: à

Un cornichon heureux est un cornichon cornichonnissime qu’on va croquer cornichonesquement. Une vraie cornichonnerie, inoubliable, dès potron-minet !

Jazzi dit: à

« cet homme, las de n’être que lui-même, qui s’avouait hanté par le désir de devenir un autre tant il vivait sa vie dans son seul moi comme un insupportable enfermement. »

Gary, l’auteur de « Pseudo », serait-il le père spirituel de nos trolls multipseudos erdéliens ?

Jazzi dit: à

cornichonnerie ou cornichonnorgie, Delaporte ?
Le bon cornichon bande dur, pas mou !

Jazzi dit: à

rose, avez-vous expérimenté d’autres restaurants recommandés par renato ?

Delaporte dit: à

« cornichonnerie ou cornichonnorgie, Delaporte ? »

Mère Clopine voudrait qu’on dégorgeât les cornichons. Ce n’est pas dans la recette. On n’a pas besoin de faire « dégorger » les cornichons. C’est cela aussi, la civilisation. J’ai regardé précisément la recette des cornichons polonais. C’est la même qu’en France et ailleurs, à condition d’ajouter un peu de fenouil, et c’est tout. Moralité : mangez vos cornichons tranquillement.

Marie Sasseur dit: à

« Lui (Gary) lui (de Gaulle) vouait une admiration sans borne. »
Plutôt sa mère, objectivement.
Gary est plutôt l’incarnation de l’insoumission, du patriotisme opposé au nationalisme.

Pour Gary,voir cette « fable  » du caméléon qu’il adressa à l’attention de Gaulle, au moment de la guerre des Six-Jours. A moi,
cela rappelle cet engagement lucide et sans illusion sur la nature humaine, de Simone Veil.

Patrice Charoulet dit: à

COMPARONS AVEC CE QUI EST COMPARABLE

Je suis surpris que l’on commente les résultats de ces européennes sans les comparer avec ceux de la dernière fois, c’est-à-dire en 2014. On les retrouvera facilement sur le site du ministère de l’Interieur.
Cela permet d’anéantir une infox : le prétendu triomphe de la liste Le Pen. En 2014 , elle faisait 24 ,
86, en 2019, elle fait 23, 5 . Le parti Le Pen est en baisse. Première info de première importance.
Et qui me réjouit.
On a beaucoup insisté sur le bon score des Verts en France. Mais EELV faisait 9 en 2014 , il gagne trois points. Tant mieux pour eux, pour l’oxygène, les petits oiseaux , les cyclistes et les bobos trot-
tinetteurs parisiens. Pas de quoi s’extasier. Tant pis, au passage, pour les gens en jaune, qui nous ont enquiquiné pendant six mois parce que le gazole allait légèrement augmenter et que l’on voulait passer de 90 à 80 km/h. Ce bon score vert est une claque donnée au mouvement jaune.

Venons-en à l’essentiel. Depuis des semaines, le gouvernement ni gauche ni droite ,tombé du ciel, soutenu par un parti poussé comme les champignons après la pluie, a voulu matraquer l’idée que ces élections européennes n’étaient pas des élections à 34 listes, même pas à quatre ou cinq grandes listes, mais un DUEL entre lui et le parti Le Pen . Ce dernier, ravi de l’aubaine, a traduit cela en référendum pour ou contre Macron. Cette autre infox a été lourdement relayée par l’ENSEMBLE DES MEDIAS. La propagande a merveilleusement marché faisant plusieurs victimes : Mélenchon (19,5 à la présidentielle) s’effondre à 6, 3 . Le vainqueur de la primaire de la gauche, le pauvre Hamon, termine en caleçon. Il est politiquement mort. Le parti Dupont, malgré un soutien frénétique aux Gilets jaunes ne dépasse pas 3.
J’en viens au score de LR, « mon » parti. Les sondeurs nous annonçaient 13 , on a 8,2 . C’est un mauvais score. Qui me navre. Mais le duel matraqué par le gouvernement et les médias a joué à plein. Des électeurs (j’en ai parmi mes amis) qui ont toujours voté RPR-UMP, puis LR , croyant
au duel annoncé à son de trompe, ont voulu FAIRE BARRAGE AU PARTI LE PEN, éviter son triomphe (voir plus haut), en votant Macron et non pour la droite, se trompant d’élection. Moi, peu grégaire, imperméable à la propagande, sachant bien que nous n’étions pas au second tour de la présidentielle, mais dans les élections à un tour des européennes, j’ai opté résolument pour la droite
non pour l’extrême droite ou le ni gauche-ni droite c’est- nouveau- ça- vient -de -sortir.
François-Xavier Bellamy et quelques autres , dont Brice Hortefeux et Nadine Morano, gens que j’estime, vont au sein du grand ensemble PPE , continuer à peser utilement à droite sur l’Europe. Le parti Le Pen va continuer à y glander.Le parti de M . Macron va y compter pour du beurre, sans vé-ritables alliés européens.

Marie Sasseur dit: à

Education européenne selon Gary.
Patriotisme, amour des siens
Nationalisme, haine des autres.

Marie Sasseur dit: à

« On en saura plus en juin avec la parution de Picaros et pédoncules (Droz), l’essai très attendu de Jean–François Hangouët sur l’influence de Teilhard de Chardin telle que Gary l’a reçue et dépassée, véritable enquête méthodique qui vise à caractériser l’humanisme évolutif qui fait la « base philosophique » de son œuvre »

Passou, à mon avis vous devriez devancer cet appel, et vous précipiter sur la lecture de « la nuit sera calme  » de Gary, et cette bonne idee de l’interview imaginaire.

Marie Sasseur dit: à

Trouver un mentor à Gary, en effet Passou, voilà bien une préoccupation d’aucun intérêt, pour ces lecteurs.
Lui qui n’a jamais confondu idéalisme et ideologie, un comble !

renato dit: à

et alii, à propos de Mozart surévalué. Je préfère l’indifférence, car lorsque je m’indigne je fais, d’une certaine manière, preuve d’empathie.

et alii dit: à

« La Nuit sera calme » est la phrase que prononçaient les aviateurs de l’escadrille Lorraine en regardant le ciel avant de partir en mission. La bombe que Romain Gary va lancer, est-ce son livre posthume Vie et mort d’Émile Ajar ?

et alii dit: à

27 mai 2019 à 8 h 56 min
renato, il n’y a pas de mal à faire preuve d’empathie;etes vous redevenu « bad boy »?

bouguereau dit: à

Moi, peu grégaire, imperméable à la propagande

dailleurs charoulet n’s’écoute même pas dire ses conneries..

bouguereau dit: à

renfield il écoute pas il bouge les oreilles..c’est pas pareil

bouguereau dit: à

Patriotisme, amour des siens
Nationalisme, haine des autres

boaf..suffit pas sfaire prende..le reste c’est dla propagande

bouguereau dit: à

ce con de dlalourde ne sait rien du particularisme français concernant le cornichon..il le considère comme tout a fait personnel..dans l’ancien régime on aplait ça un croquant..dpuis la révolution charoulet dirait qu’on y a ajouté des puissants additifs

bouguereau dit: à

je mange des cornichons de la marque Maille. C’est agréable à manger, mais il ne faut pas en consommer trop, car cela a un effet laxatif

c’est au mimétisme à ma portée qu’il dit dlalourde

bouguereau dit: à

J’imagine que Gary avait une certaine fantaisie qui ne convenait pas au militaire

il kiffait pas les soulots comme hemingway..nonos -grand chien d’arrét de plaine un peu dingo- le kiffait pas par anticipation

et alii dit: à

il faudrait trouver un surnom oléolé au sieur bouge et rote,le boug, parce qu’il va encore harceler

bouguereau dit: à

où il a eu l’immense chance de tomber amoureux de Jean lors d’une réception donnée en l’honneur de la France

clint l’a fait cocu..’jvais tcasser la gueule’ quil a dit

et alii dit: à

ecrivains niçois (bis repetita que l’erdélien doit revoir sa copie d’élève près du radiateur et sans talentqui se prend pour le copain prof :

Laurent Seksik est un écrivain et médecin français, né en 1962 à Nice.

Avec sa trilogie, « Les derniers Jours de Stefan Zweig », « Le cas Eduard Einstein » et « Romain Gary s’en va-t-en guerre », il est considéré comme un des maîtres de l’exofiction française. Ses livres sont traduits dans le monde entier, ses pièces ont été jouées dans les plus grands théâtres parisiens.

et alii dit: à

En janvier 2017, Laurent Seksik publie son huitième roman chez , Le livre qui évoque pour la première fois l’histoire du père et du demi-frère de Romain Gary est salué par la critique, et sélectionné dans la liste du Grand Prix RTL-Lire, la liste des « Lecteurs de l’Express-BFM », du Prix Exbrayat, du Prix des Lecteurs du salon du Livre de Genève, du Prix Lipp. wiki

et alii dit: à

Des « street medics » avaient dénoncé cette pratique (photo d’illustration). afp.com/Pascal GUYOT
Des prélèvements sanguins ont été pratiqués sur des gilets jaunes à Paris lors de manifestations, à la recherche d’une éventuelle intoxication au cyanure.
La pratique interroge aussi la justice. Une enquête préliminaire a été ouverte après des prélèvements sanguins effectués dans la rue sur des manifestants pendant des rassemblements de gilets jaunes, a fait savoir le parquet de Paris ce lundi. Cette enquête a été ouverte jeudi pour « violences volontaires aggravées » et « mise en danger de la vie d’autrui », a précisé le parquet.

Renaud Fiévet, qui se présente comme médecin anesthésiste originaire de Belgique, a affirmé avoir organisé ces prises de sang « sur une quinzaine de manifestants » pour vérifier une potentielle « intoxication au cyanure causée par une exposition prolongée aux gaz lacrymogènes » tirés par les forces de l’ordre. Selon lui, ces prélèvements ont été pratiqués lors des manifestations du 20 avril et du 1er mai à Paris.
express

Jazzi dit: à

et alii, mon livre « Le goût de Nice » date de 2008 et a été publié en hommage à ma défunte Niçoise de mère, avec en fin d’ouvrage l’ensemble de ses recettes de cuisine locale. Par ailleurs, il ne suffisait pas d’être Niçois ou pas, mais d’avoir écrit directement et pertinemment sur… Nice pour y figurer !
https://www.amazon.fr/goût-Nice-Collectifs/dp/2715228392

et alii dit: à

et pour prendre en cosidération un billet de P.ASSOULINE ET son intérêt pour la relation père fils ,avec lareconnaissance de Seksik comme auteur pertinent,il faut demander l’autorisation à pseudo psy du blog?

et alii dit: à

CONSIDERATION

et alii dit: à

La Légende des fils, Flammarion 2011. SEKSIK

et alii dit: à

Parler de sa juiverie aussi.
Johan Sfar peut aller se rhabiller.
bizarre rose,vous n’eavez pas aimé Sfar, et lui, c’est à cause de sa juiverie ou du chat du rabbin?
Quant à la non judéité de GARY,tsures tsures, si,vous connaissiez si bien les juifs !!!

et alii dit: à

cela dit, ce n’est pas cliquable sur la page gros calin:Monsieur Tsourès (soucis en yiddish) est un personnage qui vit au-dessus de Cousin. C’est un professeur, renommé pour ses connaissances et Cousin recherche désespérément son amitié. Du point de vue de Cousin, le professeur peut lui offrir une amitié et de l’affection, il joue le rôle d’adjuvant; le professeur ne perçoit Cousin que comme un simple voisin.

christiane dit: à

« L’interview imaginaire …
Dans La nuit sera calme – Gallimard, Romain Gary répond aux nombreuses questions que lui pose… son ami François Bondy. Mais qui se cache derrière ces initiales F.B ? si ce n’est Gary lui-même ! Des faux entretiens, donc. Et ces réponses, ces apartés, il en choisit soigneusement les mots pour dresser de lui le portrait mythique de lui qu’il veut que le lecteur retienne.
Ainsi, p.166 :
« Personne n’est dans sa peau sans être aussi dans la peau des autres et cela devrait tout de même poser quelques problèmes, non ? Il y a bien des années Arthur Koestler m’a demandé : « Pourquoi racontez-vous toujours des histoires contre vous-même ? » Koestler est un des hommes les plus intelligents de ce temps et j’ai été stupéfait par cette question, venant de lui. Je ne raconte pas des histoires contre moi-même, mais contre le je, contre notre petit « royaume du je ». »
Mireille Sacotte dans sa présentation du « Quarto Gallimard » Romain Gary – Emile Ajar – Légendes du je (récits -romans), écrit p.71 : « que Gary dans La nuit sera calme appelle [sa vérité sous pseudonyme] « la part Rimbaud » nécessaire à chaque être humain, la part idéaliste, lyrique et imaginaire qui ne demande qu’à espérer et à croire, ce qui en fin de compte fait les Jeanne d’arc, les de Gaulle, plus mythes que vrais, et utiles sous cette forme. » Elle ajoute quelques lignes après :  » Dans les grands livres de Gary, les mythes de l’homme habitent des grands espaces désespérés. »

et alii dit: à

vous trouverez bien ça
Diane Cypkin and Bernardo Hiller in « A Millionaire in Trouble ».]

Standardized transliteration of the English title is « A milyoner oyf tsures ».

D. dit: à

On n’a pas besoin de faire « dégorger » les cornichons

Mais si, Delaporte.

et alii dit: à

et aussi bien le chat du rabbin que gros calin je les ai offerts à deux jeunes fillesdont la grand mère et arrière grand mère , yddishophone originaire de Pologne-mais là où on distinguait ceux qui parlaient un yddish « relevé et un yddish populaire-grand mère qui disait cinquante fois tsures en moins d’une heure ouvrable -plus le soir quand elle était avec son mari avec lequel elle mélangeait les langues -yddish,polonais français plus rarement

et alii dit: à

je voulais, dans le à 13 h 46 min rappeler expliquer la remarque d’anissimov à Gary, qui ne me surprend pas;c’était continuel entre le mari de cette aïeule des jeunes filles et son ami à lui médecin , autre famille yddishophone que j’ai connue:les deux femmes souffraient d’ une maladie »mentale »-l’une s’est suicidée par le feu-et les deux hommes , copains en leur jeunesse,s’asticotaient tout le temps sur l’acquisition du français et les diplomes français bien sur:les leurs ou ceux de leurs enfants;c’était pire que la RDL avec ed:intenable;l’arrière petite fille qui ne les a pas connus mais a connu les enfants de ces familles se sont orientées à leur idée;celle qui a eu Sfar vit aux US et a des diplomes d’art,design,et m’a reproché de ne pas aimer les américains:dictature de l’identité!elle s’est un peu trop mêlée de la vie de ses proches parents à mon gré,l’autre est infirmière etest infernale avec son père divorcé de sa mère:le père se considère athée endurci-sa génération et il reprend la chimère de son propre père qui « souffrait d’avoir des parents étrangers à accent »lui qui né en FRANCE avait été naturalisé:il n’aimait que l’humour et le comique (livres, films)

et alii dit: à

je signale en passant à ed que l’on a défini chez les psys lacanien s l’amour comme l’accès à « la castration primaire »:voilà pour le lexique!

D. dit: à

Le cornichon conservé au vinaigre peut ne pas se faire dégorger.
En revanche si on souhaite le frire en tranches ou en lamelles, c’est nécessaire. C’est tout.

D. dit: à

Je veux parler des très gros, ceux de la taille d’une courgette. Parce que le petit se peut faire frire tel quel.

et alii dit: à

D,vous parlez de Malossol, lorsque vous dites gros cornichons?précisez!

Delaporte dit: à

« On n’a pas besoin de faire « dégorger » les cornichons

Mais si, Delaporte. »

J’en prends bonne note, croyez-le bien. Cela va réjouir Mère Clopine. Comment ne pas penser par ailleurs à la théorie lacanienne de la sexualité, dans laquelle le petit cornichon « dégorge » abondamment, pourvu qu’il soit mis en situation dans un « déduit » adéquat. Tout cela est très beau et bien. Vérité « urinaire », comme dirait le héros de Gary, Cousin, dans « Gros-Câlin ». J’en étais sûr : un cornichon, ça dégorge énormément. Comme un éléphant !

christiane dit: à

@et alii dit: 27 mai 2019 à 10 h 06 min
Vous écrivez : « La Nuit sera calme » est la phrase que prononçaient les aviateurs de l’escadrille Lorraine en regardant le ciel avant de partir en mission. La bombe que Romain Gary va lancer, est-ce son livre posthume Vie et mort d’Émile Ajar ? »
Dans La nuit sera calme », j’ai retrouvé le passage où il en parle (p.281)
 » – F. B. :
Le bonheur en tant que quiétude intérieure, tu connais ? La paix de l’esprit ?
– R. G. : La paix de l’esprit, ça ne m’intéresse pas du tout, la sérénité, le détachement, la communion avec l’univers, je ne vois pas ce que ça peut offrir à un homme qui a toujours aimé ici. mais c’est très bon contre les querelles entre automobilistes, contre les agressions à main armée et les brutalités policières, il faut mieux pratiquer le zen que le karaté. La tranquillité, tu sais… Je serai assez tranquille quand je serai mort, c’est fait pour ça… J’avais un pilote, dans mon escadrille, Bordier. quand il mettait ses gants, avant de monter en avion, il regardait le ciel, les étoiles, puis il disait, avec satisfaction : « La nuit sera calme. » On revenait chaque fois en morceaux, après avoir perdu des équipages, mais il répétait toujours, très content, derrière sa petite moustache : « La nuit sera calme. » Et puis, il n’est pas revenu, lui non plus… Ça a fait dans le ciel une boule orange… Je crois que c’était un type qui rêvait de tranquillité… Ça m’arrive, évidemment, ça m »arrive… »

et alii dit: à

« la rencontre dingue » entre Romain Gary et l’actrice Jean Seberg.

Le culot de Romain Gary. « À l’époque, Romain Gary est Consul de France aux Etats-Unis. Lors d’un dîner, il voit Jean Seberg débarquer avec son jeune mari », raconte Nicolas Rey. À l’époque, la comédienne est en pleine ascension car À bout de souffle, de Jean-Luc Godard et dans lequel elle joue, fait un carton. Romain Gary invite le couple à sa table et s’adresse au mari avec une demande bien particulière : « j’aime beaucoup vos chaussures, est-ce que je peux les essayer ? ». Romain Gary insiste : « je veux vraiment essayer vos chaussures ».

L’auteur de La promesse de l’aube les essaie et elles lui vont. « Ensuite, pendant tout le dîner, Romain Gary va dévisager Jean Seberg et inversement. À la fin du repas, Romain Gary se lève, tend sa main à Jean Seberg qui la prend et il dit alors au mari : ‘maintenant que j’ai essayé vos chaussures, je vais prendre votre femme’ ; et ils sont partis ensemble », explique Nicolas Rey.

D. dit: à

Non, malossol est un mode de préparation. Et par abus, on désigne ainsi les gros cornichons en conserve.
Je parle du cornichon russe qui est une sorte de concombre. D’ailleurs il s’agit de la même espèce botanique, seule les variétés permettant de classer les fruits produits en cornichon ou concombre et dans un certain nombre de cas on ne sait pas de quel côté classer.

D. dit: à

Je m’y connais sur ce sujet, n’hésitez pas à me questionner.

D. dit: à

Quant à vos théories lacaniennes vous pouvez vous les placer où vous savez, Delaporte. Et j’estime rester poli. Parfaitement.

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