de Pierre Assouline

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La République des livres
Regarder les hommes tomber, faut-il en rire Hen-ri ?

Regarder les hommes tomber, faut-il en rire Hen-ri ?

Question récurrente : « Comment choisissez-vous les livres ? » Réponse à multiples facettes. Sans oublier celle-ci qui n’est pas la moindre : l’enthousiasme des autres, qu’ils s’agisse de lecteurs anonymes, de libraires, de critiques. Lorsqu’ils forment un halo, voire un chœur, comme ce fut las récemment au Masque et la plume, il faut aller voir de quoi il en retourne, ne fût-ce que pour faire la part de l’emballement, phénomène d’illusion collective par lequel nos contemporains se donnent parfois le mot pour porter aux nues ce qui n’en vaut pas la peine. Ce que j’ai fait pour Le garçon incassable (173 pages, 16 euros, éditions de l’Olivier) de Florence Seyvos sans rien savoir de l’auteur ni du roman. On voudrait en dire très peu, le moins possible, pour ne pas risquer d’écrire une critique plus longue que le livre. Alors disons que ce sont les vies parallèles de Henri, frère « différent » de la narratrice qui l’a accompagnée toute sa jeunesse durant, et de Buster Keaton (1895-1966), acteur-réalisateur-scénariste-producteur sur lequel elle enquête dans la perspective d’une biographie, sans rire.

Son père lui met des raclées pour un oui ou pour un non ; sa mère lui administre des sermons comme si cela désinfectait les plaies. Chez les gens du spectacle, un buster désigne une chute spectaculaire. Voilà pourquoi le petit Joseph sera rebaptisé Buster. Dans les shows de ses parents, il est celui qu’on lance et qui tombe. Un vrai projectile. De quoi se fabriquer un destin dans un monde où tout fait spectacle et où les spectateurs viennent avec des cabas chargés d’œufs. Chez les Keaton en tournée, il n’y a pas que le film qui est projeté. Mobilisé en 1918 dans une usine d’armement, affecté au conditionnement des obus, il ne peut s’empêcher d’écrire sur chacun de ses frères d’arme : « De la part de Buster ». Pas sûr que les Allemands aient apprécié son sens de l’humour. Artiste complet, le créateur de Go west et du Mécano de la Général, de la Croisière du Navigator et du Cameraman, génial mécanicien du gag-éclair, avait inventé son propre langage, obsolète avec l’arrivée du parlant. Sa mélancolie quittait le champ du comique et du burlesque pour s’inscrire hors-écran.

Henri, le frère de la narratrice, est celui dont on dit volontiers qu’il vit une vie pour rien. Il s’exprime, il a sa langue propre, il dit des choses comme « Il faut que je travaille sinon je vais être viré de mon salaire ». Il a le don d’attendre. Un au-delà de la patience. Certains traversent la vie en se faisant des amis partout, d’autres se content de traverser la vie, c’est affaire de tempérament. Lui, le prognathe qui dort avec une mentonnière, et dont les membres sont en permanence menacés d’atrophie, il avance et il tombe, il se relève et il tombe. Souvent on en rit. Lorsqu’il fait la queue au cinéma, il n’arrive pas à aller voir le film car il laisse passer tout le monde de peur d’avancer et de tomber.

La fin de Buster Keaton est pathétique sans pathos. Il sombre, avec alcool et sans argent, beaucoup de films disparus avant d’être retrouvés. Les droits de son autobiographie lui ont permis de s’acheter un Samsuffit qu’il appelait son ranch, question de point de vue. La passion des trains ne l’avait pas déserté ; alors il a monté un chemin de fer qui courrait dans toute la maison. Pour réduire sa consommation de tabac, il plantait une cigarette allumée dans le cheminée dans la locomotive et ne tirait une bouffée que lorsqu’elle passait devant lui. Il croyait souffrir d’une bronchite chronique : c’était un cancer du poumon.

Le rapport entre Henri et Buster ? Elle bien sûr. Mais pour qu’elle soit le trait d’union, faut-il que la recherche de l’un la ramène invariablement à l’autre, et que leurs histoires suivent leur cours aussi naturellement, page à page comme on dirait côte à côte, deux récits juxtaposés sans se toucher ni se rejoindre, il y fallait bien autre chose : une enfance pleine de coups, un caractère insoumis, le goût de la solitude, la passion des trains. Leur secret, c’est leur étrange fragilité et la capacité de résistance qu’ils ont développé face aux infortunes du destin. Un noyau réfractaire en commun. On n’est pas plus déterminé, plus opiniâtre. « Heureux les fêlés car ils laissent passer la lumière… » Regarder les hommes tomber, faut-il en rire Hen-ri ? Buster Keaton, l’homme qui ne riait jamais, a fait rire des millions de gens tant qu’il tombait sans ouvrir la bouche. Puis le cinéma a parlé. Quelle idée !

Cela paraît décousu, comme si la règle n’avait pas eu le temps de corriger l’émotion,  alors que c’est finement construit, pièce après pièce. Une narration en douceur, surtout pour y annoncer les choses les plus violentes. Vérification faite, Florence Seyvos (Lyon, 1967) a du métier. Trois romans, des prix, des livres jeunesse, des traductions, des scénarii pour Noémie Lvovsky. Elle sait faire, en tournant l’air de rien autour du thème si complexe du regard, mais cela ne suffit pas à réussir un roman comme une sensibilité mise à nu. Tant de choses y sont dites en si peu de pages. Le garçon incassable est, dans sa pureté et sa simplicité, l’une des histoires, toute de pudeur, de tact et de discrétion, les plus bouleversantes que j’ai lues ces derniers temps.

(Photos extraites de films de Buster Keaton)

Cette entrée a été publiée dans cinéma, Littérature de langue française.

778

commentaires

778 Réponses pour Regarder les hommes tomber, faut-il en rire Hen-ri ?

de la bite coudée aux nichons exposés dit: à

Beau papier, Passou, comme dirait Ph. Régniez !

'A.V. dit: à

bonsoir P.Assouline avez-vous eu peur d’arriver en morceaux à la fin de ce billet ?
et que les commentateurs se contentent de sourire des commententations (sic) auxquelles je résiste

'A.V. dit: à

rire et filiaton:
« Buster . . . is thrown about the stage by a merciless father in a careless fashion and his treatment and comedy are the things that bring the laughs. »
(New York Telegraph, January 1909)

Dimitri d'Arlatan dit: à

 » Heureux les fêlés car ils laissent passer la lumière…  »

: n’importe quoi…

'A.V. dit: à

filiation Henri et I-cares incLassables
bonsoir

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…des histoires,…je revois une connaissance sans histoires,…et voilà,…qu’il m’en racontent des bonnes,…
…très difficile de tenir le niveau plutôt embarrassant,…tu ne savait pas,…Non,…

…probablement la forte chaleur de ces jours -ci,…
…Oui,…un tel, je risque plus de le revoir,…pauvre garçon,…victime de mauvaises écoles libres d’état,…débauchés malgré lui, par les fréquentations et loisirs au niveau de la ceinture,…sans précautions,…( morales & autres ),…

…et , la meilleure c’est que la  » connaissance « ,…avait en plus fait de la prison,…vous m’en apprenez des choses,…
…Oui,…des petits  » larcins  » des  » bricoles « ,…quoi,…
…pas le temps de prendre le bus,…en bonux,…Oui,…la un tel,…avec le un tel,…des trucs à dormir debout,…
…la forme de liberté frustrée pour des  » vies extravagantes aux sens caractériels « ,…

…hommages au victimes de notre société créatrice d’immondices,…etc,…
…des hommes innocents tomber d’eux-même par les contradictions dans leurs conditions sociales moisies dans l’obscurantisme sans raisons judicieuses à chérir,…etc,…
…les voisins de café et d’une bière offerte,…çà faisait un bail que je ne les voyait plus,…of course,…
…le selfs-contrôle en garder sous la jaquette,…etc,…

Buster qui détonne dit: à

Ce soir à  »Au-delà’, bonus inattendu: découvrir, presque fortuitement, que les contorsions de Jimi Hendrix a la guitare, allant jusqu’à la destruction, n’étaient peut-être pas de vaines fantaisies. Qui d’autre le savait ? Gotlib, évidemment.

Une petite repartie et des espoirs, ensuite réduits à un seul, toujours seul : désespoir.

Enfin bon, j’ai quand même ma mignonnette pour la soirée : de la chartreuse de Villeneuve.

Tchin poli.

Polémikoeur. dit: à

Mélancomique, non ?
Emmêlement.

Jacques Barozzi dit: à

Ou mélantragique ?

John Brown dit: à

l’une des histoires, toute de pudeur, de tact et de discrétion, les plus bouleversantes que j’ai lues ces derniers temps.

On aurait pu croire qu’un sketch célèbre des Inconnus avait définitivement réglé son compte à l’épithète « bouleversant », providence du critique en mal d’éloge, en le transformant en un parodique « bouleversifiant ». Mais non, « bouleversant » rend encore ici et là de signalés services. Cela ne signifie pas que le critique ait été lui-même bouleversé. Tu penses : il a écrit ça tranquillement, entre le pastis et la partie de pétanque. Tu vois Pierrot traversant, tout flageolant, la place des Lices en arrosant le sol de ses larmes.  » — Qu’est-ce qu’il a Pierrot ? Il est pas bien ? — Arrête, il est encore trop bouleversifié, C’est comme ça maintenant presque tous les matins. » Même en se grattant fort, on ne croira pas qu’une telle scène puisse un jour s’observer, même par temps de canicule. « Bouleversant », sous la plume du critique, signifie simplement « susceptible de bouleverser » le lecteur, pour peu qu’il y mette du sien. « Jeannot, on ne lit pas à table.Et puis d’abord, pourquoi que tu pleures dans ta soupe ? — Pardon manman, mais c’est trop. — Trop quoi ? — Trop… trop… Bouh ..hou.. hou…

Jacques Barozzi dit: à

« Question récurrente : « Comment choisissez-vous les livres ? » Réponse à multiples facettes. Sans oublier celle-ci qui n’est pas la moindre : l’enthousiasme des autres, qu’ils s’agisse de lecteurs anonymes, de libraires, de critiques. »

Question récurrente à la question récurrente : « Est-ce ainsi que vous choisissez le Goncourt ? »

JC dit: à

« Comment choisissez-vous les livres ? »

Impossibilité de déterminer la moindre procédure de choix. Il n’y a pas, à proprement parler « choix » ! C’est comme si on me demandait « comment choisissez-vous vos amours, vos amitiés ! »

J’irai pas m’escagasser les neurones à dégager un modèle établi dans ce foutoir qu’est ma cacahuète cérébrale… Pourquoi ferai-je cet effort, hein ?

Je ne suis pas branleur salarié au CNRS !

bouguereau dit: à

J’irai pas m’escagasser les neurones à dégager un modèle établi dans ce foutoir qu’est ma cacahuète cérébrale…

staline a dit que pour un c’était une connerie sans interet mais que pour 1 million c’était du marketing..du marketing jicé..tu calcules ? des pépêtes !

bouguereau dit: à

« Question récurrente : « Comment choisissez-vous les livres ? »

..ça s’carre pas au cul les bouquins baroz..enfin sauf sade qui roulait son manuscrit dans son gode..et chaloux se care son pad « thin » en vacances

Jacques Barozzi dit: à

Regarder les hommes se relever, faut-il en pleurer ?

Tire à l'art dit: à

@Jacques Barozzi.
Avez-vous lu le dernier BHL, Les aventures de la vérité?

bouguereau dit: à

Pardon manman, mais c’est trop. — Trop quoi ? — Trop… trop… Bouh ..hou.. hou…

cheuloux l’est tellement emo qu’il a déteint sur jean marron..izabelle a les ziuex bleu..les zieux bleues izabela

John Brown dit: à

C’est merveilleux de pouvoir se dire que, dans un siècle ou deux, lorsque, grâce aux progrès de l’ingénierie génétique, l’espèce du mongolien baveux sera définitivement éteinte, le roman de Florence Seyvos pourra encore bouleversifier les chaumières. Moi-même, à l’âge de neuf ans, j’ai déversé toutes les larmes de mon corps dans mon bol de café au lait en lisant « La case de l’oncle Tom » de la mère Beecher-Stove. Presque 150 ans après l’abolition de l’esclavage, fallait le faire. Faut dire qu’à l’époque, dans nos prairies du grand Ouest, on n’avait ni télé ni smartphones ni tablettes; aller au cinoche supposait une expédition décourageante, surtout qu’on n’avait encore même pas la 4cv Renault. Je suis heureux de me dire que la bouleversification par les moyens de la littérature, si elle a fortement régressé, est susceptible encore d’exercer ses ravages sur les âmes (très) sensibles et d’une naïveté toute enfantine.

bouguereau dit: à

Tire à l’art dit: 26 juillet 2013 à 9 h 50 min
@Jacques Barozzi.

ces deux là..toujours a parler de leur anus comme dirait jicé

Tire à l'art dit: à

Je n’ai aucunement parlé de tire-au-cul (dans ton genre, bouargh)plurôt de tire-lyre…

John Brown dit: à

 » Dire qu’on n’aura même pas pu compter sur la grippe espagnole ou sur la famine pour nous débarrasser du baveux « , me disait l’autre jour papa, évoquant mon grand frère prognathe décédé à l’hospice au début du siècle. « Tandis que toi, ajoutait-il, maintenant que la mode est à l’autofiction, tu vas pouvoir en faire un livre, ça ne nous remboursera pas les frais de pension mais au moins on aura moins honte « . Papa est un homme d’une autre époque.

JC dit: à

Faut que je sois vraiment une ordure pétrie d’injustice pour foutre tous les Céhennérétistes dans le panier coûteux, inutile, de la Branlette !!! Il y en a qui travaillent, étudient, cherchent, trouvent. La preuve ? j’en ai connu !

A ceux là, meilleurs compliments, extrême gratitude, expression de mes remords attristés. Aux autres, les branleurs, bonne continuation …

John Brown dit: à

 » — Figurez-vous, chère Madame, que j’ai lu la critique d’Assouline sur le livre que votre fils a consacré à son grand frère prognathe : ça a l’air sacrément bouleversifiant. Mais dites-moi, ce pauvre garçon, vous ne nous en aviez … — Oui, ben, on va pas non plus en chier une pendule. Et chez vous, la mongoloïde, toujours bon pied bon oeil ? « 

Clopine Trouillefou dit: à

Je souligne toujours les hommages de notre hôte à des écrivains féminins, car ils sont, il faut bien le reconnaître, rarissimes et souvent issus des devoirs d’amitié. Celle d’aujourd’hui semble échapper à la règle : Florence Seyvos est reconnu comme « ayant du métier »… Encore un effort, Pierre Assouline, et vous verrez que, peut-être, l’avenir de la littérature coule d’une encre féminine, de plus en plus aguerrie. Connaissez-vous Tracey Chevalier ? Elle possède elle aussi, je crois, tout ce qu’il faut pour vous plaire…

JC dit: à

Après, je m’en vais…
Mais avant, je voulais témoigner d’un songe de la dernière nuit, probablement lié à ces billets où le maître de cérémonie nous présente des romances incertaines, des polonaises sans chopin, du foin, de la luzerne, du sorgho, pour lecteur affamé, peu regardant, confiant dans le critique …

Quel rêve ! J’ai vu, de mes yeux vu, Passou notre bon Passou en djellaba et keffieh, ouvrir la bouche de quelque belle Florence pour faire admirer ses touches de piano aux badauds, je l’ai vu tâter la fesse d’un bel éphèbe musculeux, bref, j’ai vu l’inestimable Pierre Assouline vendre ses esclaves écrivains sur la place du Marché de la République Islamique des Livres, avec toute la froideur d’un sarrazin Drouano-madré !

Réveillée en sursaut, ma fidèle compagne m’a achevé : « Tu m’as appelée Rachida, mon salaud ! Qui c’est encore que celle-là, vieux satyre raciste … ». Puis, devançant mes mauvaises pensées : « Et, maintenant, laisse moi dormir, lubrique lombric ! ». Bonne journée !

renato dit: à

« Plus de 3700 photos de Marilyn Monroe, prises par le photographe de mode américain Milton Greene, seront dispersées samedi près de Los Angeles avec leurs droits d’auteur. »

on rigole aussi... dit: à

…sous le fil précédent :

Chaloux dit: 26 juillet 2013 à 8 h 07 min

Quant au reste, tout le monde me semble dans la moyenne, C.P., sinistre en vieux clientéliste romain; m’étonne pas qu’il aime tant Balzac. renato en vieille gonzesse qui ne veut pas faire un pli (« Pas de fromage ! Pas de fromage »).
Tout va pour le mieux, à ce que je vois.

Mercandier dit: à

Vous pensez que renato a tort de surveiller sa ligne, Chaloux ?

court dit: à

Effectivement, une histoire émouvante n’est pas nécessairement un grand roman. On pourrait meme dire que le succès de l’une est ce qui nuira le plus à l’élaboration de l’autre.La Recherche, ce n’est pas le roman d’un asthmatique, c’est tout le contraire. Qu’aura à dire cette Dame après avoir épuisé le filon fraternel?
En revanche, sont intéressants à titre de marqueurs les sujets lacrymaux qui marchent. Après l’esclavage, le misérabilisme post zolien revisité PC-Urss, le handicap. Tout n’est pas négligeable, et, pour avoir parcouru le récent livre d’un ex autiste, c’est parfois talentueux. Mais un rom

La réponse du faux-cul... dit: à

JC dit: 26 juillet 2013 à 10 h 51 min
Chaloux, si tu déprimes et veux t’en sortir, passe à la villa : on boira un coup d’Eau de Jouvence, ça marche !

court dit: à

-man, on craint que non. Et l’on sesouvient des Montreurs de Lecomte de Lisle:
« Je ne te vendra pas ma tristesse ou mon mal! »
Les temps ont changé.
MC

court dit: à

Je ne te vendrai pas. Correction

rachida dit: à

@JC
si tu déprimes et veux t’en sortir, passe à la villa :

t’es fou ça va l’achever pauvre chaloux

l'infirmier à JC dit: à

il faut si possible excuser JC il a passé la nuit à éplucher la presse en ligne pour trouver de quoi pondre ses giclures ultra réacs racistes quotidiennes – ça l’a épuisé plus que d’habitude (le temps est implacable)

le facteur du coin dit: à

JC (ma fidèle compagne)

tu te fourres le doigt dans l’oeil

schum vremeni dit: à

« toute de pudeur, de tact et de discrétion,  »
Ceci est en train de devenir une marque déposée.
Le bourgeois de plus de 60 ans ne veut pas être bousculé. Pas de taches sur la moquette les enfants. Pas touche aux statues africaines du salon. Fines allusions, clair-obscur chatoyant et clins d’oeil « entre-soi ». Jeunes vieux auteurs, à vos plumes, les fonds de pension exigent du 16%.

J'espère qu'il va tenir.... dit: à

Giclant, ultra, réac, raciste, con, le JC et maintenant cocu !

Rade Ieuse dit: à

« Je ne suis pas branleur salarié au CNRS ! »
JC

Pauvre JC qui se croit « entrepreneur » parce qu’il arnaque les entreprises avec ses théories fumeuses.
Juste un petit escroc intellectuel (encore que !)

Jacques Barozzi dit: à

Dans le Twit sur Sollers, mis en lien par Passou, où celui-ci dit qu’il s’est fait éditeur pour pouvoir continuer à être édité, je retiens cette phrase à propos de Roland Barthes :

« Sa mort m’a beaucoup chagriné : dans la rue, comme ça, en sortant d’un déjeuner avec Mitterrand. C’est moche… »

On oublie souvent Barthes parmi les morts de Mitterrand. Cet homme portait-il la guigne… aux autres et pour son plus grand profit ? Voir les hommes tomber autour de lui faisait-il s’élever le rire de Fran-çois ? Roman !

Hosni Moubarak.... dit: à

Hi ! Hi ! Hi !…
Sitôt élevé, sitôt tombé, le Morsi.

Rachida.... dit: à

C’est plus fort que moi ! il est riche, il est beau, je veux un enfant de lui ! Puis j’écrirai un livre…

robert dit: à

Baroz

Barthes est mort en traversant sagement dans le passage clouté

désolé dit: à

Baroz
Barthes s’est fait renverser alors qu’il traversait dans le passage clouté en sortant de la Sorbonne. Rien à voir avec Mitterrand
( Sollers raconte n’importe quoi )

Le Gagneur dit: à

Une question en passant : pourquoi ne parlez-vous du merveilleux livre de Jean-Emmanuel Ducoin « Go Lance! », un roman consacré à la vie du cyclisme américain Lance Armstrong? C’est un livre absolument magistral, l’un des plus importants de ces dernières années. Un grand roman américain, digne de Wolff ou d’Ellroy. Il faudrait en parler, pour que vos internautes le sachent…
Amicalement.

amigo dit: à

Rachida…. dit: 26 juillet 2013 à 11 h 55 min

il t’a fait boire … Quand tu auras retrouvé tes esprits tu verras, on dirait.. .faut quetu saches…c’est un mélange du prince tcharles et d’adolphe H en pire

Sorbonnard désolé... dit: à

C’est Mitterrand qui l’a poussé !

Jacques Barozzi dit: à

JB, les romans en « hommage au frère » ont toujours été très sensibles à Passou : Jérôme Garcin, Modiano, Nathalie Rheims, etc…
Passou nous a confié aussi d’où lui venait son goût pour la photo, lié à la disparition de son propre frère, si je me souviens bien ?
Bouleversifiant, dis-tu !

nanard dit: à

un roman consacré à la vie du cyclisme américain Lance Armstrong

génial une vie de truand

Rachida.... dit: à

Je suis une bonne musulmane qui ne boit pas : il est riche et beau, et je l’aime !

carlita dit: à

Sorbonnard désolé… dit: 26 juillet 2013 à 12 h 08 min
C’est Mitterrand qui l’a poussé !

aucune morale! ils reculent devant rien ces socialos

momo dit: à

Rachida…. dit: 26 juillet 2013 à 12 h 10 min

tu as bu à l’insu de ton plein grè : ce n’était pas de la grenadine

Jacques Barozzi dit: à

Comment se fait-il que D. ne soit pas encore venu nous rappeler que :

1/ Il nous avait annoncé la catastrophe ferroviaire de Compostelle ;
2/ Que c’est une punition divine (pourquoi ? pour qui ? contre le voyage du pape à Copacabana ?) ;
3/ Que le pire reste à venir ?

marcela dit: à

Mais tu peux écrire un livre

u. dit: à

« encre féminine, de plus en plus aguerrie »

Les métaphores laissées sans surveillance, Clopine, c’est pas un peu comme le chiendent?

confédération des prieurs dit: à

« le voyage du pape à Copacabana »

il doit s’adresser à chaque pécheur et chaque pécheresse sur la plage en string, c’est du boulot

bouguereau dit: à

pour un bien zollers devrait laisser une femme en morceau a la gare montparnasse, il laisserait son fume cigarette dans la valoche et une fois gaulé il dirait handcuffé « vdqs et dsk et disse de dère »..vous je sais pas mais moi jle sens bien

D. dit: à

Les hommes ont effectivement intérêt à surveiller leur masse graisseuse car elle constitue un réel indice de risque accru d’accident grave de santé. La graisse abdominale doit fondre autant que possible grâce à des exercices physiques et une vie pas trop sédentaire. Limiter effectivement beurre, crème, charcuteries, pâtisseries, boissons alcoolisées. Limiter ne voulant pas dire supprimer.
En revanche, et on ne le dira jamais assez, il est normal pour une femme d’être rondelette et plutôt anormal d’être mince. Rondelette ne veut pas dire obèse ni même pré-obèse, cela veut dire rondelette. Il est également normal pour une femme de développer un peu de cellulite dès 20-30 ans au niveau des fesses, du haut des cuisses ou du haut des bras.
Je ne sais pas où chacun ici selon son sexe et son âge se situe mais j’aurai en tous cas donné des repères utiles. En ce qui me concerne, j’ai conservé pour mon âge (moyen) une ligne plutôt fine sans être pour autant athlétique et je m’astreins surtout à un minimum d’exercice physique sans trop diminuer les calories et la fraction d’acides gras saturés.
En tous cas n’hésitez pas à me poser des questions, je me ferai un plaisir de vous répondre.

court dit: à

Pierre Boutang:
« Messieurs, Roland Barthes est mort! ».un temps puis articulant voluptueusement: » Il est mort renversé par une camionnette de linge sale! »
Ce qui, d’ailleurs , était tout à fait exact….

cricri boutdin dit: à

« Giclant, ultra, réac, raciste, con, le JC et maintenant cocu ! »

C’est ce qui fait son charme

bouguereau dit: à

l’avenir de la littérature coule d’une encre féminine

..zouzou il a l’oeil et le bon

Philippe L dit: à

« sans être pour autant athlétique »

ah ça j’cnfirme: une vraie chique épicétout

marcela dit: à

« l’avenir de la littérature coule d’une encre féminine »

Merci

Patricia Farber dit: à

 » Le système de publication des journalistes a été mis en place au début par Françoise Verny, chez Grasset, dans les années 70. C’était très simple : selon elle, si les journalistes écrivent des livres, les journalistes rendront compte des livres qu’écrivent leurs confrères, et ainsi de suite. Et la planche à billets était prête. » Philippe Sollers.

propos de seiche dit: à

L’avenir de l’encre coule d’une femme littéraire.

Imprimatur dit: à

La littérature de l’avenir encre une féminité coulée.

Théologien de service dit: à

D. est un meta-théologien galactique :
1/ le conducteur était un malade en liberté
2/ le dieu ordonnateur est un malade en liberté
3/ le pire est derrière nous, la courbe va s’inverser et la reprise dépressive est là !

léa dit: à

L’encre de la littérature coule d’une féminité à venir.

D. dit: à

Vous pouvez faire de l’ironie tant que vous voudrez, mais il y en a beaucoup qui à mon âge (moyen) aimeraient avoir ma silhouette, même si celle-ci n’est pas absolument parfaite. Et je ne parle même pas de mon intelligence, de ma vivacité d’esprit et de mon érudition pas seulement dans le domaine littéraire mais dans de nombreuses disciplines dont certaines sont d’ailleurs rares.

D. dit: à

L’encre de la littérature coule d’une féminité à venir : c’est vous qui le dites, Léa; encore faudrait-il le prouver.

D. dit: à

D’autant plus qu’il n’y a quasiment plus d’encre dans la littérature.

D. dit: à

Jacques, ce n’est pas de ma faute si vous avez un problème avec Dieu. Je pense que Dieu n’a pas de problème pour autant avec vous puisque Dieu par définition ne peut pas avoir de problème. Il faut bien comprendre et toujours se souvenir que les problèmes, ce sont les hommes qui les ont depuis le péché originel. Ils ont voulu connaître ce qu’ils n’avaient pas à connaitre et se mesurer à Dieu : ils ont chaque jour le résultat. Le Seigneur Jésus-Christ est heureusement venu pour les sauver. Pour être sauvé il faut croire et beaucoup prier (et s’efforcer de ne pas pécher). Les Évangiles ne cessent de le répéter toutes les dix lignes environ. Par l’observance des préceptes divins et par la prière on obtient énormément dans le domaine spirituel et dans celui temporel. On obtient la protection que l’on demande, si on la demande avec vraie foi, car Dieu ne donne pas un serpent à qui lui demande un œuf.

D. dit: à

Même quand le Seigneur Jésus monta au calvaire et fut crucifié, il n’avait pas de problème, car c’était sa volonté et celle de son Père. Ceux qui avaient des problèmes à ce moment-là, c’étaient le clergé juif et les Romains. Les deux finirent d’ailleurs par s’écrouler alors que le Chrétienté prit un essor extraordinaire.
On oublie trop facilement tout cela, il est utile de le rappeler.

Soyons sérieux... dit: à

« La femme est l’avenir de l’homme » est une formule de tantouze !

Suivez Dédé dit: à

Vivez heureux, vivez dans l’illusion.

Ne soyons pas machistes, mais... dit: à

« Encore un effort, Pierre Assouline, et vous verrez que, peut-être, l’avenir de la littérature coule d’une encre féminine, de plus en plus aguerrie. »

L’avenir de la littérature ? Holà… ! Nous tenons là une sérieuse candidate au poste de Reine des Connes de la RdL

Jacques Barozzi dit: à

« il y en a beaucoup qui à mon âge (moyen) aimeraient avoir ma silhouette, même si celle-ci n’est pas absolument parfaite »

Légèrement coudée, la silhouette, peut-être ?

Et à Saint-Jacques de Compostelle, après Lourdes, il y avait un problème avec Dieu, D. ? Rendez-vous prochainement à Fatima ?

u. dit: à

Pierre Boutang:
« Messieurs, Roland Barthes est mort! ».un temps puis articulant voluptueusement: » Il est mort renversé par une camionnette de linge sale! ».

Puis il a ajouté rêveur, avec un soupir, « Suis-je moi-même un linge propre? ».
Après quoi, il s’est tu.

Boutang fait partie de ces hommes dont la vie s’accompagne dès son jeune âge d’un dossier en réhabilitation permanent, abondamment nourri par ses partisans puis ses adversaires.
Quand il meurt, il a fait oeuvre.

Clopine Trouillefou dit: à

Oui, U, je vais toujours trop vite. J’aurais dû extrapoler : d’une encre de plus en plus cephalopodienne, ou poulpeuse. Encre poulpeuse, j’aime bien. Hasard trébuchant, aussi…

u. dit: à

L’encre poulpeuse qui coule d’un corps de femme pulpeuse, Clopine?

J’interroge mon sentiment.
Il me dit: « Attends que la température soit repassée sous 20° et on en reparle.

frédé dit: à

13h21 « Nous tenons là une sérieuse candidate au poste de Reine des Connes de la RdL »

Tiens il est pas parti le taré de PQ?

stephanie dit: à

« Et à Saint-Jacques de Compostelle, après Lourdes, il y avait un problème avec Dieu, D. ? »

le roi est au chevet des victimes c’est bien la preuve que la royauté ça sert à quêque chose

u. dit: à

« Et je ne parle même pas de de mon érudition dans de nombreuses disciplines dont certaines sont d’ailleurs rares. »

C’est vrai qu’on ne sait plus où donner de la tête, Dédé, entre la courge, la Croix et la cellulite.

soyons désireux dit: à

L’homme sans la femme
encre coule
et l’avenir?

soyons fameux dit: à

Le femme sans l’homme l’encre sans plume ne dira plus rien à l’avenir qui coule comme un cuirassé Potemkine

soyons ordonnés dit: à

l’encre la femme l’homme l’avenir la littérature résumé analyse synthèse: vive le plancton

soyons ordonnés dit: à

cher u D a écrit courgettes toujours cette manie d’amplifier le texte, je connais bien Dédé et s’il a pour habitude récente de se nourrir de ces légumes… ces cucurbitacées, la courge ne lui inspire que de l’effroi au mieux une indifférence polie en aucun cas ne lui ouvre l’appétit.

léa dit: à

D. dit: 26 juillet 2013 à 12 h 39 min
c’est vous qui le dites, Léa;

léa dit: 26 juillet 2013 à 14 h 40 min
c’est moi qui le dis, D.;

D. dit: à

u. et moi nous connaissons en effet très bien. Il existe entre nous une solide amitié, même si celle-ci est relativement récente. Il apprécie ma finesse et mon érudition; j’aime par dessus tout son sens aigu du discernement. Même si son discours est souvent creux, je le considère désormais comme un copain.

D. dit: à

Vous avez un bien joli prénom, Léa.
Le prénom Léa a toujours provoqué une curieuse vibration en moi, je me demande si cela n’est pas prémonitoire.

D. dit: à

Moi aussi j’ai été battu dans mon enfance, et je m’en suis plutôt bien sorti.

léa dit: à

Moi aussi j’ai été battu dans mon enfance

La courbure vient de là, mon chou ?

D. dit: à

Quelle courbure ? Il ne faut pas croire tout ce qui est raconté ici, Léa.

D. dit: à

De toutes façons un légère courbure hyperbolique est physiologiquement normal.

u. dit: à

« Regarder les hommes tomber, faut-il en rire? »
On peut.

Dans la chaleur de l’été, on peut désormais se détendre grâce à deux nouveaux bouquets de chaines arabo-musulmanes que nous propose Free (fondé par ce type en chemise blanche, qui co-préside aux destinées du « Monde » – « ça coûte bonbon », dit-il).

J’aime particulièrement le « nouveau Bouquet TV Musulman, pour réunir toute la famille » (www.bouquet-musulman.tv) qui comprend notamment la chaîne salafiste égyptienne « Al-Nas TV » et la saoudienne « Iqraa ».

Al-Nas (an-nâs, c’est le peuple, mais aussi le titre d’une sourate du Qur’ân, bande de nuls) a des animateurs qui font plus fort que Ruquier.
En particulier Abû Ishâq Al-Huwaynî, un garçon qui avait appris l’espagnol mais n’avait pas trouvé sa voie en Espagne. Il a heureusement pu développer sa foi en Egypte, et la faire partager au monde entier, al-hamdu-llah.

En ces temps de crise économique, il suggère un retour à un mode intéressant d’accumulation primitive: la « juste lutte », menée 2 ou 3 fois par an, permettrait de ramener des prisonniers, qui sont aussi des valeurs économiques.
Des ados qui s’ennuient y trouveront de quoi rêver.

http://www.youtube.com/watch?v=z1DNzSJ8mVo&feature=player_embedded

Mieux vaut en rire, Henri?

D. dit: à

Allez, il faut que je travaille un peu. Je crains que mon employeur regarde un jour par hasard les logs du proxy et me demande des comptes.

tbx dit: à

la « lustre jute » est une activité pratiquée bien plus de 2 ou 3 fois l’an par D., u.

Jacques Barozzi dit: à

« Allez, il faut que je travaille un peu. »

Ah bon, moi qui vous croyais en vacances ou de nouveau au chômage, D. !

D. dit: à

Mais même en vacances je travaille, Jacques. J’arrache les mauvaises herbes, j’arrose, je fais un peu de comptabilité. Je suis très occupé.

Envisageons le pire.... dit: à

Et ici, arracher les mauvaises herbes, D., ça vous dirait ?

Clopine Trouillefou dit: à

Pour revenir au sujet du jour, enfin pour tenter d’y revenir, ahaha, je dois dire que sa lecture m’a renvoyée tout droit à un livre de vulgarisation psychanalytique, d’Alice Miller : la souffrance muette de l’enfant. Le prédicat du livre rejoint les thèses de Cyrulnik sur la « résilience » ; à savoir, en gros, que tous les enfants maltraités ne deviennent pas à leur tour maltraitants, mais qu’il faut pour cela qu’un tiers s’interpose entre l’insupportable et l’enfant, un tiers positif. Miller met en face Picasso et Staline, par exemple, et répond ainsi à la question de savoir pourquoi Buster Keaton ne sourit jamais. Livre instructif s’il en est, même si l’on ne peut complètement adhérer à une hypothèse trop unique pour ne pas être simpliste. Enfin, à mon sens, hein.

Bachir Kraus dit: à

Mais enfin, Clopine ! Quand on clique sur votre nom, voici sur quoi on tombe :
Le blog demandé n’existe pas.
Le blog demandé : http://www.clopine.overblog.com/ n’existe pas.
Si vous le désirez, vous pouvez créer ce blog.

tbx dit: à

Clopine Trouillefou se fout du monde.

court dit: à

 » Miller met en face Picasso et Staline, et fait comprendre pourquoi Buster Keaton ne sourit jamais »
Dans la parodie des raccourcis à la Malraux, vous avez de l’avenir.
A moins que vous ne cultiviez sciemment l’inintelligibilité pour avoir le plaisir de vous entendre vous demander de développer?
Tout est possible…
Heureusement que ce n’est qu’un livre de vulgarisation. On frémit à l’idée de ce qu’aurait donné le résumé d’un ouvrage spécialisé.
MC

GPS dit: à

« Or, j’ai la ferme conviction que l’avenir de la littérature passe par des plumes féminines et anglo-saxonnes, très précisément. »
Clopine d’ours/Œuvres complètes/2013

Pour être encore plus précis dans la localisation : quelles seront les coordonnées positionnelles de ces plumes d’avenir qui seront précisément anglo-saxonnes…?

Tout bien réfléchi, il y a plus bête que le macho bourgeois, fan de foot : la féministe littéraire.

bouguereau dit: à

mais qu’il faut pour cela qu’un tiers s’interpose

le tiers c’est le gros feutre qu’est le passé présent avenir de la litterature .. »tout ce que j’ai pu écrire je l’ai puisé à l’encre de vos noeils » a dit lacan..déachelaurence aussi

bouguereau dit: à

malheureusement dédé n’a qu’un 1/3 à proposer a la grosse léa..elle va plutôt derouiller c’est automatique

bouguereau dit: à

C’est vrai qu’on ne sait plus où donner de la tête, Dédé, entre la courge, la Croix et la cellulite

tout n’es pas belge..tout ne se fume pas zouzou

Théocrate fou dit: à

La Courge, la Croix, la Cellulite. Splendeurs du monothéisme….

zouzou dit: à

Je sais, bouguereau, je sais…

bouguereau dit: à

buster keaton c’est le cliché du graphique tragique de la photo noir et blanc..c’est comme la gueule a géronimo..sachème pis tout..en couleur vrac , tout le monde dans sa réserve a boire de l’eau de feu et a compter les jetons de son casino..ça passe pus

bouguereau dit: à

woody allen et sa rage du noir et blanc plétment rétrograde a comme un vieux gout de platre..alors qu’au début c’était couba libre..c’est un vrai traitre

bouguereau dit: à

..je parle de lui pasqu’il fait des mous et des poses angélique triss de mes couilles aussi..je dirais pas ça de keaton

JC... dit: à

Pas que toi qui t’améliore en prenant de l’âge, bouguereau, Woody aussi ! Il a son nom, et assez de pognon pour continuer à vendre, désormais, de la mauvaise camelote.

bouguereau dit: à

..le géni du temps..des débuts de chaque technique..un peu comme les premiers jeux vidéo lassouline.. »low res »..les gueules pas popo des églises romanes..les diables..dire que maintenant on regarde ça avec attendrissements..on aime les peuples quand y sont morts

JC... dit: à

Les génies morts, ceux dont le nom restera affiché au vent sur les poteaux pourris plantés dans le cloaque du populisme nauséabond qui nous attend en France moisie, ceux-là dis-je, devraient se suicider en épilogue à leur œuvre.

les autres, comme toi et moi, vivotent et vieillissent sans avoir vendu leur œuvre, bien enfouie dans des coffres lointains…

bouguereau dit: à

désormais, de la mauvaise camelote

..trés trés mauvaise..je me demande si je préfère pas depardieu, il pisse dans les avions va voir poutine.. laisse sa casba et les 10 premiers arrondissement de paris a woudi pour néchin..au moins il reste un gros fond de connerie qui plaide pour lui

u. dit: à

« Miller met en face Picasso et Staline, par exemple, et répond ainsi à la question de savoir pourquoi Buster Keaton ne sourit jamais. »

Moi aussi, cette phrase m’a alpagué, Clopine (mais M. Court manque de charité, qu’est-ce que vous lui avez fait?).

Le face à face Picasso / Staline, c’est que le premier a fait un joli dessin du deuxième qui venant de mourir

u. dit: à

qui venait de mourir et ne pouvait donc plus faire grand chose.

Mais Keaton?

(mon début de post est parti tout seul, ndD.)

bouguereau dit: à

Le face à face Picasso / Staline, c’est que le premier a fait un joli dessin du deuxième

on a pas tout a fait tort de lui reprocher à picasso..assez con pour croire que ça aller passer..coctail en a rit et on peut pas s’empécher de lui donner raison

JC... dit: à

J’adore Depardieu !
je le mets à peine au dessous de Berlusconi dont le génie m’enthousiasme chaque jour, à droite du Maréchal, à gauche de Pinochet, ce sont des gens comme ça qu’il nous faut, des brillants, des cerveaux, des couilles en inox, des Putin de luxe.

Avec eux, le Marais deviendrait une gigantesque prison pour jeunes banlieusards du 93, on enverrait les Grands de la Cour en HLM urinoirs, pour réeducation en mixité sociale….

A part ça… ça va, toi ?

récapitulatif dit: à

Bref, chacun voit midi à sa porte.
Court croit que c’est un blog pour érudits, C.P. voudrait en faire une chronique mondaine et JC un site de bashing anti-PS. Pendant ce temps, u. tempère en grand-frère entre deux rêveries pornographiques (mais toujours de bon ton, hein), renato fait le disc-jockey, bouguereau s’efforce en vain de prouver qu’il est plus intelligent que tout le monde et D. s’ennuie.
Résultat des courses : Chaloux est très déçu.

bouguereau dit: à

et ne pouvait donc plus faire grand chose

..tu veux rire ? les gardes osaient pas entrer dans son bureau..

JC... dit: à

récapitulatif,
On fait rentrer les petits fours et les escort-girls : ça va s’arranger et Chaloux pourra sourire à celle qui joue la naïve.

bouguereau dit: à

bouguereau s’efforce en vain

t’es jaloux de mon gros feutre..je te pardonne

JC... dit: à

les gardes avaient ordre de ne pas rentrer dans le bureau…

bouguereau dit: à

« les pots cassés laisse passer la lumière »

u. dit: à

« La Courge, la Croix, la Cellulite. Splendeurs du monothéisme…. »

Pas d’amalgame.
Vigilance.
Respect pour l’IMMENSE majorité des monothéistes qui ne pensent pas ça et vivent leur vie paisiblement.
D’ailleurs, la première victime du monothéisme, c’est les monothéistes eux-mêmes.

bouguereau dit: à

Résultat des courses : Chaloux est très déçu

c’est lui qu’a le plus gros handicap aussi..même sur terrain léger il bourrine

bouguereau dit: à

D’ailleurs, la première victime du monothéisme, c’est les monothéistes eux-mêmes

..ouais chacun espère qule sien va s’en tirer

JC... dit: à

IMMENSE RESPECT pour l’IMMENSE majorité des monothéistes qui ne pensent qu’à ça ! Qu’à Dieu, voulais-je dire.
(… j’ai mon billet d’avion pour la Terre Sainte où j’envisage d’œuvrer. Enfin… mes trois billets d’avion…)

André Minardi dit: à

récapitulatif dit: 26 juillet 2013 à 18 h 13 min
C.P. voudrait en faire une chronique mondaine

c’est l’avis de Chaloux et pour une fois ce n’est pas tout à fait faux. C’est quand même le seul capable d’écrire ça (sur la Rdthéâtre de Charlotte Lipinska) :
C.P. dit: 10 juillet 2013 à 10 h 02 min
Charlotte, accord avec vous, en gros… Je reviens d’Avignon, y ai laissé les enfants (Christophe Vandevelde joue)

JC... dit: à

Demain, je prend la mer avec un amiral : j’espère qu’il ne va pas me poser des problèmes d’exécution des ordres. On se connait un peu.
(Ils ont souvent été mal habitués. Bien plus agréables que les énarques, lesquels arrivent loin devant la préfectorale. Vous ne me croyez pas ?!!!)

u. dit: à

« JC un site de bashing anti-PS. »

Il ne faut pas exagérer, récapitulatif.

Hier, les lettrés m’ont donné une leçon.
Je prenait Nabe pour un légume japonais (très bon avec wasabi) et Bove pour une marque de savon.
J’ai compris: c’est le deuxième qui mérite d’être lu, le premier est plutôt un p’tit con (j’ai bon?)

En regardant l’extrait suivant sur les délicieuses burqettes (les beurettes, c’était pour papa), le camarade JC, après avoir ignomineusement hoché la tête devant le nihilisme nabien, a pu caresser un moment l’idée d’un front uni avec l’ayatollah breton Benoît Hamon.
http://www.youtube.com/watch?v=pmELV3jsHCM

TOUT peut arriver.
Arrêtons, arrêtons, arrêtons de classer les gens.

hamlet dit: à

c’est Buster Keaton le sujet du jour? blogbuster?
Buster Keaton enfin dévoilé?
tout ce que vous avez voulu savoir de la vie d’Henri sans jamais oser le demander?

c’est bien.
j’ai lu tous les commentaires : je partage l’avis de tout le monde sur le sujet.
même de ceux qui ne sont pas d’accord entre eux, je suis d’un esprit des plus conciliants….
pour recréer du lien entre des monades.

excusez-moi, mââdââmeu dit: à

Le prédicat du livre rejoint les thèses de Cyrulnik sur la « résilience » ; à savoir, en gros, que tous les enfants maltraités ne deviennent pas à leur tour maltraitants, mais qu’il faut pour cela qu’un tiers s’interpose entre l’insupportable et l’enfant, un tiers positif. Miller met en face Picasso et Staline, par exemple, et répond ainsi à la question de savoir pourquoi Buster Keaton ne sourit jamais. Livre instructif s’il en est, même si l’on ne peut complètement adhérer à une hypothèse trop unique pour ne pas être simpliste. Enfin, à mon sens, hein.

Ton sens, c’est de la turlutte ? Hessel, Cyrulnik, & Cie – tiens ! cohorte à StJacques de Compost (gag otodix censuré, la bien-pAnse-en-séance, et NON en SCIENCE : Cyrulnik est un : ? lèche-cul ? entre-autre myriade de qualif (qui le rendent Kalif !) ;

la clopine nous fait un bad trip : so do I –> Hessel clamse ; Cyrulnik s’affirme ( s’étaient entrecroisé) ; Cyrulnik, scientifique matheux, véritable pres-ti-di-gi-ta-teur (point agitateur pour 2 …, pour toi, si ?)
2 moins 1 = 0 ( la moeuf compte pour du beurre, elle doit faire voeu, Ô sainte Clopine, de La Résilience, qui croit en un tiers positif (ainsi soit-il) c-à-d : le saint Esprit, l’esprit saint (sic) … je suis extremement fâché !

JC... dit: à

« Arrêtons, arrêtons, arrêtons de classer les gens. »

Alors là, je suis bien d’accord dans la mesure où le péché originel nous frappe tous !

hamlet dit: à

l’addiction au blog est-elle différente des autres? un désir de se sentir lié, relié, reliure, une quatrième de couverture.

JC... dit: à

Boris est un type sympa qui parfois fait du Cyrulnik

JC... dit: à

Il a un petit pointu plastique de bonne facture

bouguereau dit: à

c’est que t’adores t’en prende plein lcul keupu.. »ache 24″ comme dirait zouzou citant les djeunes

JC... dit: à

« Ton sens, c’est de la turlutte ? »

Le bon sens même, Gianni !

renato dit: à

« … le deuxième qui mérite d’être lu, le premier est plutôt un p’tit con (j’ai bon?) »

Oui.

hamlet dit: à

j’ai lu que Florence Seyvos a (co?) écrit le film : Camille redouble.
ce film est le remake du film de Coppola : ‘Peggy Sue se marie’.
comment appelle-t-on le scénario d’un remake? un plagiat?
‘Camille redouble’ est très différent du film de Coppola du fait de la personnalité de Noémie Lvovsky qui a une patate d’enfer, une folle envie de vivre.
Du film sans intérêt de Coppola Noémie en fait un film nietzschéen, le coup du baiser sous le lampadaire est le moment fort du film : si elle l’embrasse alors elle revivra la même vie, on a envie de lui dire : non ! ne l’embrasse pas ! profite de ta nouvelle vie pour t’en trouver un autre, pour revivre une autre vie, ce n’est pas comme dans le Coppola le fait qu’elle aime ce garçon là, à ce moment là de sa vie, c’est le fait d’accepter l’entièreté de son existence avec les 1% de bons moments et 99% de moments ch.ants.
Je l’avoue j’ai pleuré en regardant cette scène du baiser sus le lampadaire : pour la première fois de ma vie je venais de comprendre Nietzsche, tous ces nietzschéens, Deleuze & co ne m’ont jamais paru être de vrais nietzschéens, des nietszchéens de la théorie, comme l’autre crétin d’Onfray qui s’imagine monter comme un lierre au dessus des arbres pour passer sa vie au soleil, Noémie Lvovsky est une véritable nietzschéenne, elle est l’incarnation vivante de Lou Salomé, ça fout un choc, parce que là, quand ils sont tous les deux sous ce lampadaire on comprend qu’elle doit l’embrasser, que dans la comptabilité de la vie ce seul baiser vaut tous les emmerdes qui suivront. Noémie nus fait comprendre que Nietzsche n’est qu’affaire de comptabilité.

JC... dit: à

« caresser un moment l’idée d’un front uni avec l’ayatollah breton Benoît Hamon. »

Déjà l’idée de front uni, alors que chacun travaille irrémédiablement pour ses intérêts, c’est farce !

… mais alors un Breton converti ! JAMAIS….

bérénice dit: à

BK était-il gay? Tous les gay sont-ils en plus de leur pratique pratiquement assimilable maso,maso- seau d’eau? La résilience est un concept pratique aussi, hop! je sors ma résilience appliquer laisser sécher coller continuer.

hamlet dit: à

Henri, pourquoi riton en regardant un film de Buster Keaton?
l’invention du cinéma : les mêmes scènes en vrai ou même dans un cirque ne feraient rire personne, au cinéma tout le monde en rit.

renato dit: à

La résilience appliquée risque de se dessécher.

JC... dit: à

Chanson arabe printanière : « DEGAGE ! »
Quelques mois plus tard : « Saddam, Ghadaffi, Ben Ali, Moubarak, REVENEZ ! »
(…sous déguisement, bien entendu !…)

Bonne soirée !

renato dit: à

On pourrait mettre sur le marché de la résilience séchée… en vrac ou conditionnée en sachets.

Clopine Trouillefou dit: à

Bon, pour complaire à Court, je développe… pour Alice Miller, Picasso a été marqué, plus que cela, meurtri, par son arrivée au monde – sa mère le croyait mort – par le tremblement de terre subi à 3 ans – fuite éperdue dans la ville – par l’arrivée de sa petite soeur Lola. Staline, lui, était un enfant battu par un père ivrogne. Mais le premier aurait eu la possibilité de se construire une ‘personnalité résiliente », grâce à son oncle, alors que le second, privé de personnes pouvant le protéger et donner un sens à son existence, serait devenu le tyran que l’on sait. Bon, Alice Miller oublie un peu vite que Picasso était aussi un tyran, si l’on en croit sa famille, mais bref, l’idée générale du livre est celle-ci : les personnalités les plus fécondes, dans l’art comme dans l’exercice du pouvoir, sont celles qui ont eu maille à partir avec les traumas dans l’enfance, et qui ont, ou n’ont pas, connu de résilience… Buster Keaton, qui faisait partie du numéro comique de ses parents et avait reçu l’ordre formel de ne jamais pleurer ni parler pendant les représentations, où effectivement il servait de punching-ball à ses parents-acteurs (et le comique venait du sérieux inexpugnable du petit garçon, même quand il était jeté à travers les airs….) a développé un génie dramatique grâce à cette résilience.

Je suis aussi gentille que Monsieur Court est revêche, mais cela n’est pas nouveau ! Ah là là.

Pour le lien, je fais ce que je peux. Overblog a vendu mon nom de domaine, et je ne suis plus référencée nulle part. Pas grave. Je crois qu’en tapant « overblog » puis clopine…net, on y arrive ? Bah, de toute manière j’ai fermé les commentaires, alors…

Boris cire, u. le nique dit: à

La résilience : l’art est silence.

Boris cire, u. le nique dit: à

La résiliente : la raie si liante.

bérénice dit: à

renato je consulte la fameuse encyclopédie qui illustre le terme par un arbre dont la cime a été coupée et qui s’adapte en reprenant sa croissance vers l’épanouissement… ou comment vivre heureux et castré? S’inscrire à la chorale qui recrute des haute contre?

Jacques Barozzi dit: à

@excusez-moi, mââdââmeu à 18 h 39 min,

Avez-vous été un enfant maltraité ?
Si oui, comment traitez-vous les vôtres ?

chaleur manchu dit: à

Fu m’hante ! Fu m’hante !

variante dit: à

La résine hante.

JC... dit: à

« Bah, de toute manière j’ai fermé les commentaires, alors… »

Censurer, fermer les portes, ne jamais écouter que soi, c’est encore la meilleure solution pour mourir jeune, entouré de gardiens du temple !

u. dit: à

CP mondain?

Halte!

Il ne parle qu’à bon escient de ce et de ceux qu’ils connaît.
Et s’il parle de théâtre chez Charlotte, il faut être un peigne-cul pour le lui reprocher.

Moi je peux raconter comment j’ai foutu une baffe à Madelin ou au jeune Sarko, mais ça n’intéresse personne.
Ici, c’est culturel.

des journées entières dans les arbres dit: à

« Voilà pourquoi le petit Joseph sera rebaptisé Buster. Dans les shows de ses parents, il est celui qu’on lance et qui tombe. Un vrai projectile. »

C’est quoi cette histoire de lancer de nains ?

Voilà un portrait du casse-cou:

http://www.nfb.ca/film/buster_keaton_rides_again

u. dit: à

« j’ai lu que Florence Seyvos a (co?) écrit le film : Camille redouble.
ce film est le remake du film de Coppola : ‘Peggy Sue se marie’. » (hamlet)

Et Sophie?

Ce commentaire lui appartenait.

Goujat.

Jacques Barozzi dit: à

Le boug, je trouve que tu t’excites beaucoup sur les culs fessés des garçons ! Va falloir que tu consultes, je crois que sur le très tard tu deviendrais pas un peu pédé ?
Au fait, j’ai proposé à mon éditrice un Goût de la fessée. Elle m’a répondu par mail quelques heures après en me disant ni oui ni non. Tu crois que je devrais insister ? Une anthologie littéraire du pan pan cul cul ! De Jean-Jacque Rousseau à çà :

http://www.amazon.fr/Eloge-fessée-Jacques-Serguine/dp/2070368378

Keaton, Chaplin dit: à

(un post assoulinien, lors du énième festival – donc, date anniversaire – cannois, m’avait mis HdS, basta – psitt :comparer, voire mettre en //isme Le Clézio & Frédo : faut pas décon’ hein ! well)
Keaton … ouh lala ! cliché (cinéma MUET, Assouline et cohorte !): Buster formant un angle droit (90 °), accroché à un réverbère, histoire de ne pas s’envoler !!! Keaton, what a man ! Humour kafkaen … non prout-prout-stien

variante dit: à

En vrac ou en sachets… L’immatériel n’a pas de prix et s’il arrive que des savoirs soient classés au patrimoine de l’UNESCO comme la gastronomie française je doute qu’en dehors des thérapies nous puissions accorder un prix à la résilience qui apparaît en conséquence comme un ustensile hors de prix pas bon marché très cher ne concernant alors plus qu’une infime partie des éléments souffreteux.

xlew.m dit: à

La vie fait se rendre compte que les fascinations de l’adolescence ne sont pas de toutes petites choses de rien, qui viennent et qui s’en vont. Quand j’ai vu pour la première fois Diane Keaton (rien que le nom, gee…) au cinéma dans Annie Hall, j’ai su que j’étais cuit, loué pour dix-sept étés, on n’est pas sérieux quand on a devant soi la vie devant soi plus dix mille ans qui déroulent à perte de vue les milliers d’anneaux du boa constricteur des émotions les plus fortement tenaces qui codent les circuits, vierges de tous scripts, de la mémoire esthétique d’un jeune garçon. J’aimais jouir des éléments de la philosophie qu’elle montrait à l’oeuvre dans sa pratique amoureuse, comment par exemple lorsque littéralement trimbalée par Alvy, jetée amicalement dans les cordes de la ville céleste et cireuse, elle se relevait toujours pour catapulter à son tour, d’une remarque taillée dans l’humour le plus vif que recueillait la profonde empreinte solaire d’un sourire divinement dentu sans laisser passer aucun jour, dans les gradins du ring urbain un Woody qui ne demandait que ça. Même son empressement à tâter de la weed avant les préliminaires ne me dérangeait pas. Tous les « busters » qu’elle aurait pu se prendre sur la tronche avec le gars Singer étaient autant de délicieux montages gagesques majeurs que le décor de la ville de New York réglait et tendait au millimètre devant ses pas de déesse pré-bobo qui s’en sortait toujours intacte et sans peur. Bref je l’adorais cette Annie mais la redoutait un peu aussi, son côté mi arty, mi waspy (alors que c’est une vraie fille du du Wisconsin dans le film et du Nebraska dans la vie) avait beau ajouter un soupçon supplémentaire de mystère à la magie de son charme, je me disais que j’avais peu de chance de croiser le chemin d’une Keaton comme elle plus tard, je n’avais pas les armes. Et heureusement ce fut le cas. Mais aujourd’hui en revoyant le film, je m’aperçois que je pourrais vivre avec une Keaton, et qu’elle si elle est tombée sur Terre, c’est non pas la faute à Buster mais grâce à lui peut-être, il n’y a pas d’amour du hasard atone. Moi aussi je lis The National revue parfois et possède dans ma bibliothèque les souvenirs de William.F. Buckley, « la Diane américaine chanta dans le jardin des délices et sema sur mon chemin la plus belle des épices. »

JC... dit: à

« Moi je peux raconter comment j’ai foutu une baffe à Madelin ou au jeune Sarko, mais ça n’intéresse personne. »

Si tu racontes ça, et que tu es crédible, u. je m’engage à raconter ma tentative de conversion d’une religieuse, novice délicieuse, superbe, une merveille de candeur pervers, … sur les bancs de la fac lors du millénaire précédent !

Lequel de nous deux était enfant du Diable ?

Alf dit: à

et le chat est-il dedans ou dehors du grille-pain ?

bouguereau dit: à

tu deviendrais pas un peu pédé ?

nous sommes tous des clopines gouines juives allemandes baroz.. »pour les gouts de » et notamment les sujets mollement lutinés par les éditeurs comme la fessées ton site te permettrais d’être un peu plus exigeant sur heu « ta charte graphique », en testant..tu comprends qu’avec un tel biscuit ton éditeur serait un peu moins frileux et toi forcément plus « créatif » comme dirait phil..et puis « un gout de » avec des retours de lecteurs ça srait marrant..bref t’es une brêle

Half an hour dit: à

Le chat y a laissé sa queue aussi se montre-t-il hésitant et diffère son retour, le grille pain c’est bien qu’en vidéo.

ton semblable, ton frère dit: à

u. dit: 26 juillet 2013 à 19 h 17 min
CP mondain?

Halte!

C’est bien, u., c’est bien. Il vous en sera reconnaissant.

Patricia Farber dit: à

Moi je peux raconter comment j’ai foutu une baffe à Madelin ou au jeune Sarko

Menteur.

Jacques Barozzi dit: à

« bref t’es une brêle »

Pour tout ce qui est technique, c’est certain ! Quoique pour le reste, c’est guère mieux. Créons-le ensemble, ce blog ! Je ferais la tête et toi les jambes…

renato dit: à

Il aurait suffi que Madame Alice Miller daigne (ou consente) raisonner un bref instant et elle aurait dit moins de conneries… peut-être aucune, même… D’ailleurs, Freud aussi aurait dû prêter attention… bon, c’est vrai que comme humoriste il a fait mouche… enfin, peu importe… Voyons la bêtise d’Alice. Dans le même segment de temps combien d’enfants que l’on avait cru nés morts ont été battus, et combien de ces enfant battus ont été traumatisé par un tremblement de terre ? On observera que battre les enfants était une méthode d’éducation assez courue.

Regardons Hollande tomber .... dit: à

« La culture, c’est une émotion, un partage (…) mais c’est également des emplois que nous pouvons créer et une industrie qui peut demain figurer parmi celles qui donnera à notre pays un temps d’avance », a-t-il affirmé.

D. dit: à

Je vous rassure, JC, j’ai fréquenté moi-même pas mal d’officiers généraux et ils sont très sympas et lucides. Ils sont un côté paternel, parfois maternel même assez surprenant.
Les plus dangereux sont les commandants. Le passage d’officier subalterne à officier supérieur provoque dans 84 % des cas un pétage de plombs parce qu’ils se voient bientôt colonels et pourquoi pas alors à la retraite avec le grade de général qu’ils pourront mettre sur leur carte de visite.

D. dit: à

Je dois reconnaitre que Woody Allen a fait des films extraordinaire, dont Annie Hall, très en avance sur tout, et d’ailleurs rien n’a vraiment rattrapé cette façon de faire extrêmement audacieuse et réussie.

u. dit: à

Menteur. (Patricia)

Just dreaming.

(Mais s’ils avaient été là, hein
A l’époque).

des journées entières dans les arbres dit: à

Oui, des journées bien remplies aussi.
Mais en extra, si ça continue je vais ouvrir une infirmerie.
Dans le style de celle du « Patient anglais »
D’un côté du rideau je vais soigner tous les amochés de la littérature airdélienne.
Et de l’autre je vais soigner au thiopental sodique ceux qui me paraissent des resquilleurs de soins trop intensifs.

hamlet dit: à

u. non, il me semble que Sophie ne parle pas de ça.

mais qui est donc cette Sophie?

Sophie est Sophie Avon !

je vous le demande ici, je vous l’implore : laissez tomber le blog de Pierre Assouline est courez chez Sophie en cliquant sur le lien cinéma.

vous saurez tout sur le cinéma!

vous voulez savoir pourquoi Alain Badiou a décidé de signer avec Hollywood pour écrire le scénario d’un film avec Brad Pitt : Badiou / Brad Pitt, le nouveau couple de la pensée?

quel chemin philosophique permet d’aller du communisme à Hollywood ?

vous aurez la réponse sur le blog de la critique cinéma : Sophie Avon en cliquant le lien ‘cinéma’ ci-dessus…..

vous aimez discuter art ?
vous aimez papoter culture?
vous adorez blablater cinoche?

vous avez décidé de vivre avec votre époque?

alors cliquez sur le lien ‘cinéma’ et rejoignez dès à présent sur le blog se Sophie Avon…..

hamlet dit: à

u. vous voyez j’essaie de me faire pardonner.
cela dit je ne pense pas lui avoir piqué ce truc entre Coppola et Camille redouble.

ou alors j’ai oublié, c’est le problème du rosé quand no met des glaçons dedans, ça se boit comme du petit lait.

hamlet dit: à

u. c’est vrai qu’en vérité vous êtes l’ancien Zhu?

hamlet dit: à

c’est marrant parce qu’aux dernières nouvelles Zhu avait eu un accident en lisant des poèmes sur la muraille de Chine, il s’est pris les pieds dans les pavés et hop! il est tombé en bas, une chute mortelle.
à moins que vous soyez son fantôme?

il y a plein de fantômes sur ce blog.

u. dit: à

hamlet, ce zhu a été incinéré à Kamakura en janvier 2012.

Je n’en sais pas plus.

hamlet dit: à

pour arrêter de boire de l’alcool j’ai mis directement du rosé dans mes bacs à glaçons, maintenant quand il fait chaud je bois plus du rosé, je le suce.

hamlet dit: à

Kamakura? je viens de regarder sur wiki : c’est au Japon!
croyez-moi Zhu est un type que je connaissais bien, c’était un vrai chinois! jamais au grand jamais il se serait fait incinérer au Japon.

hamlet dit: à

un conseil pour moins boire : installer un train electrique géant dans son salon, mettre son verre sur la locomotive en en boire une petite gorgée quand elle passe devant vous.
j’ai horreur des trains électriques, je préfère les circuits de formule 1 avec les chicanes.

hamlet dit: à

hého; vous êtes ou?
ils sont tous partis chez Sophie Avon?
Monsieur Assouline je suis désolé.

hamlet dit: à

misère je vais me faire remonter les bretelles quand ils vont s’apercevoir que Sophie Avon ne parle pas de Badiou avec Brad Pitt sur Vanity Fair.

en fait c’était juste un procédé promotionnel.

hamlet dit: à

l’article de Sophie Avon sur Badiou à Hollywood est en cours de rédaction, il sortira le 1er août.
prions pour que que ce soit vrai.

hamlet dit: à

Monsieur Assouline, et pour vos vacances vous avez décidé de partir où? vous êtes plutôt mer ou plutôt montagne?

des journées entières dans les arbres dit: à

Hamlet,
« Chez nous, c’est trois » frise le film anthropologique où il s’agit de comprendre en quoi nos habitudes, nos réflexes et nos coutumes font de nos vies ce qu’elles sont. Le cinéma n’a au fond jamais été que cela : un formidable moyen d’observation de cette étrange tribu qu’on nomme humanité. »
Florence Seyvoz c’est pas une copine d’édition/production à Noémie Lvovsky ?

C’est clair, j’embrasse pas.

hamlet dit: à

Monsieur Assouline surtout ne vous inquiétez pas pour votre blog, je me sens un peu responsable du coup je vais meublé.
je suis comme lew j’ai bien aimé Diane Keaton dans Annie Hall, le moment où Woody Allen fait cuire des homards est très bien, et aussi après quand il n’arrive pas à faire une marche arrière dans sa voiture, parce que la voiture est symbole de la vie à LA.
sinon vous aimez les séries américaines? il y en a aussi de très bien.

hamlet dit: à

ça y est, c’est bon : ils reviennent….

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