L’adieu à l’Histoire de Régis Debray
A propos, comment va l’Histoire ? Pas très fort. A lire Régis Debray dans l’essai qu’il vient de lui consacrer Madame H. (157 pages, 14 euros, Gallimard), et à l’écouter en parler, on s’inquièterait pour elle. Le titre même rappelle la Folle de Chaillot et les figures de furie, de mégère, de fouetteuses et autres allégories féminines avec lesquelles certains entretiennent un rapport fantasmatique. A tout le moins une emmerderesse mais fascinante, captivante. L’Histoire, il l’a bien connue. Dites Debray et aussitôt se profilent les ombres portées du Che et de Castro, la prison bolivienne et l’Elysée sous Mitterrand. Pourtant, ses fantômes familiers, on les sent à peine sous sa plume et dans ses paroles. C’est d’autre chose qu’il s’agit.
Le grand intérêt de ce petit livre, émaillé de formules brillantes et parfois opaques où Karl Marx et le facteur Cheval se côtoient dans la même phrase, et où la disparition du fumeur de pipe est tenue pour un signe des temps, tient aux surprises qu’il réserve. S’il avait été écrit après le vendredi noir du 13 novembre, on y aurait probablement lu (ainsi que Debray l’a récemment exposé au micro de Répliques) qu’il ne faut pas faire l’honneur aux djihadistes de les considérer comme des soldats, mais uniquement comme des voyous criminels, petite troupe d’hallucinés isolée dans le désert, et que leur traque relève d’une activité de renseignement et de police et certainement pas d’un combat sur le sol de Syrie.
Sa date fondatrice est rétrospective, il ne l’a pas vécue : l’effondrement de 1940. Normal. Mais le 8 mai 1954, au lendemain de la reddition du camp retranché de Dien Bien Phu après 57 jours autant de nuits de combats quasi ininterrompus, il la découvre les larmes aux yeux à la une de France-Soir. Un abandon vécu comme une humiliation. Il a 15 ans. On connaît la suite : Normale sup, le romantisme révolutionnaire et le reste mais sans que jamais l’internationalisme ne le fasse renoncer à une certaine fierté liée à la France. Le sentiment qu’elle devait garder son rang et sa dignité. Qu’ils soient bafoués le blesse. De ce sentiment obsolète, il ne parvient pas à se défaire. Des films tels que Le chagrin et la pitié, Français si vous saviez l’ont froissé tant le rappel de la veulerie, de la délation, de l’avachissement français le blessent quand cet électron désormais libre mais si barrésien, voudrait ne jurer que par le panache et l’action d’éclat.
De son propre aveu, l’Histoire c’est ce qui lui « met les larmes aux yeux ». Entendez que dans ces moments-là l’émotion prime sur la raison, la réflexion, l’analyse. Le sentiment de l’Histoire selon Debray est fondé sur l’imaginaire, lequel précède le réel. L’émotion prime sur la raison. Dans cette perspective, il fait l’amer constat que ce sentiment a disparu ces vingt dernières années : « Lorsqu’on a eu peur de faire cavalier seul, sans le parrainage américain, et dès lors que l’effacement international de la France n’était plus vécu comme une faute ou un abandon, en fait dès qu’on ne s’oblige plus » dit-il. Cette glissade le long d’une pente, au cours de laquelle quelque chose s’est brisé, fut probablement décisive sous le mandat de Giscard d’Estaing, lorsque le paramètre économique est devenu l’axe central de toute réflexion (mais il en est à l’occasion de la parution de ce livre, tel Eric Le Boucher, pour contester que l’économie ait pris le pouvoir sur le monde). Au fond, ce n’est pas tant un adieu à l’Histoire qu’il signe là qu’un adieu au sentiment, au récit, à la névrose et à la chimère de l’Histoire.
Régis Debray ne se contente pas de pointer la responsabilité intellectuelle de Science Po et de l’Ena, qu’il voit comme des machines à acculturer les élites, dans cette dégradation : il date du 19 mai 1974, et donc de l’accession au pouvoir de Valery Giscard d’Estaing, la fin de l’ère chrétienne… Boutade bien dans sa manière. Il est vrai que dans le même élan, il juge « historique » le discours d’investiture du président Mitterrand pour sa mise en perspective de l’instant, la référence à Jaurès, la notion de troisième étape après le Front populaire et la Libération… Et pour cause : « C’est moi qui l’ai écrit ». Peut-être le sentiment de l’Histoire disparaît-il lorsque le passé devient le passé. Qu’il n’a plus de résonance avec le présent. Qu’il n’y a plus de transmission, l’épanouissement étant si individuel qu’on ne se sent plus tenu à un tout ou à un groupe. Ne reste plus alors qu’à attendre la résurrection du peuple français et du sentiment de filiation en lieu et place du culte de l’instant et des news, tel un Régis réconcilié avec Debray sous les auspices de Péguy pour qui » la république, une et indivisible, est notre royaume de France ».
La nostalgie de l’Histoire, c’est celle d’un sentiment qui court de Chateaubriand à Malraux : on s’y sent tenu à une certaine idée providentielle de la France, quelque chose qu’on ne doit pas laisser passer. L’obligation d’être à la hauteur des circonstances, de ne pas rater le coche des grandes batailles, d’être là où ca se passe. Au risque de la vanité, de la forfanterie, de l’orgueil de celui qui veut bien être dans une cellule mais sur un théâtre. N’empêche, cette tension du présent, Debray la vit avec une mémoire anxieuse. C’est ainsi que, lorsqu’on est comme lui d’une génération (Paris, 1940) qui a eu la guerre d’Espagne comme berceau imaginaire, on ne répugne pas au « détournement d’historicité » en pratiquant « le salut par les vieux » (Vernant, Bourdet, Cordier, Crémieux-Brilhac) dans la pratique de ses amitiés.
Très sensible (trop peut-être) à la connivence entre la chose littéraire et la chose historique, l’une analysée au prisme de l’autre et réciproquement, il estime qu’une société post-littéraire comme la nôtre ne serait plus une société historique. « Qui fait l’histoire doit l’écrire, et Mitterrand fut le dernier ». Fermez le ban. Ne reste plus qu’à rêver à l’autrefois, le chapitre consacré à sa visite au général De Gaulle, rêve récurrent tout de mégalomanie et d’autodérision, dû-t-il être pris au premier degré par nombre de lecteurs.
Stupéfié de l’inculture des princes qui nous gouvernent et de la médiocrité d’expression de nos parlementaires en regard de la richesse de langage d’un Clemenceau ou d’un Edgar Faure, il revendique sa nostalgie, tant pis si le constat engage à la mélancolie. Et Régis Debray de s’insurger aussitôt contre le cliché du réactionnaire tourné vers le passé : « La nostalgie est progressiste car elle nous pousse en avant. Je n’ai connu de révolutionnaires que nostalgiques ». Après tout, la fin d’un monde n’est pas la fin du monde. Avant, ce n’était pas mieux, c’était autrement. Régis Debray voudrait juste qu’il ne soit pas interdit de s’en souvenir.
(Photos Passou, illustration Anthony Russo)
879 Réponses pour L’adieu à l’Histoire de Régis Debray
@ Jean Pierre Martisson
J’ai ouvert votre lien. (Qui est l’auteur de ce cours de philosophie ?)
J’ai été très intéressée par le paragraphe développant l’idée de « croyance-conjecture » où le « je » du locuteur compte moins que l’objet de la conjecture, rapprochée avec humour des incertitudes de la météo ! (Ces lignes me rappellent la première page de L’homme sans qualités de R.Musil : « On signalait une dépression au-dessus de l’Atlantique…. » ). Suit la constatation que l’énoncé de la croyance est aléatoire, provisoire, paradoxal, qu’elle « est en même temps certitude subjective absolue et absolue incertitude objective ».(bel anneau de Moëbius !).
Bien apprécié aussi cet autre paragraphe où les idées de Bergson (Les deux sources de la morale et de la religion) concernant la croyance sont esquissées, notamment la thèse selon laquelle « elle apparait comme une façon de se prémunir contre le pouvoir dissolvant de l’intelligence ».
Énigme de ces réflexions qui nous entraînent, non à la suite des rois mages (cf : Renato), mais plutôt dans un face-à-face avec la mort « »septième sceau » de Bergman) près du chevalier Antonius Blok, le chevalier de la raison qui défie la Mort aux échecs :
« Est-ce si impossible de comprendre Dieu avec ses sens ? Pourquoi se cache-t-il derrière des promesses à demi articulées et des miracles invisibles ? Qu’advient-il de nous si nous voulons croire mais nous ne le pouvons pas ? Pourquoi ne puis-je pas tuer Dieu en moi ? Pourquoi continue-t-il de vivre de façon douloureuse et avilissante ? Je veux le chasser de mon cœur. Je veux savoir, pas croire. Pas supposer mais savoir. ».
8 h 27: JC écrit : « les crétins sont infréquentables… et odieux » ; cette façon récurrente de parler de lui-même !
@Phil dit: 23 novembre 2015 à 9 h 14 min
« Le dernier mouvement de la valse » et le choc des deux conclusions : Magnifique !
Bérénice, je lis volontiers vos notules aussi entortillantes que l’écharpe de la Duncan quand vos pilotez votre amilcar sur le prestigieux blog à passou. Lavie me semble plus à crampons qu’à soie, apparemment un style prisé par les révolutionnaires revenus des picaros.
« l’émotion qui prime la raison »,
La raison intervient pour donner un sens si elles en ont à nos émotions, elle les ordonne et leur alloue des mots qu’il s’agit de relier en phrases afin de pallier à l’irruption de l’émotion qui parfois nous déstabilise pour nous laisser sans mots, sans eux si l’on n’est musicien, plasticien, ou travaillant à toutes autres expressions qu’iraient elles signifier, prouver ou découvrir de nous?
@Wgg 21 h 11
parmi les romans d’érudition réussis je crois qu’il faut compter le Nom de le Rose.
malheureusement un exploit qu’Umberto Eco n’a pas eté capable de rééditer .
CE qu’il a voulu écrire dans la même veine, Le pendule de Foucault n’est qu’une pâle et laborieuse resucée des procédés qui faisaient merveille dans le Nom de la rose
mais l’est pas juif, not at all !
—
Vous connaissez le tropisme ancien testament des protestants, en l’occurrence des petits artisans tailleurs de Dublin, Belfast & Derry/Londonderry.
Certains voient dans le personnage de Dracula l’image du Juif venu de l’est, suceur de sang, prompt à accaparer le bien des autres. Rien de bien explicite, mais l’inconscient travaille & les peuples & les modestes écrivains.
D’où la satire de Polanski dans Le Bal Vampires, avec la belle Sharon Tate, promise à un destin pire que la prison diurne du caveau.
« la belle Sharon Tate, promise à un destin pire que la prison diurne du caveau. »
Quand la fiction rejoint la réalité !
un trio de pieds-nickelés chez Sergio : bouguereau, JC et Christiane, ça c’est de la culture
merci dear bloom. n’hésitez pas à passer votre Iban pour le réglement de cet aimable service érudit
@Christiane,
N’ étant pas « collé » jour et nuit à ce blog,je vous répond donc tardivement.
Le cours est du philosophe Pascal Engel qui s’ est attaché au travers de nombreuses études à analyser les problématiques de la croyance.
Ici, son intervention à l’ université de tous les savoirs organiséepar un autre philosophe, Yves Michaud :
https://www.unige.ch/lettres/philo/enseignants/pe/Engel%202001%20Sommes%20nous%20responsables%20de%20nos%20croyances.pdf
Vous savez bien que certaines personnes, les enfants pour la plupart, croient au Père Noël…C’ est de saison!
Bàv.
L’acte gratuit, Phil, c’est ça le Surréalisme (belge ou französish), is it not?
Dylan, contre-vampire qui donne son sang:
« Prince, U2, the Foo Fighters, Motörhead, Deftones have cancelled European shows, but Dylan keeps rockin’ on, like a Rolling Stone (with 12 armed men as protection). » Tablet.
Plus grand chose à perdre, le Tambourine Man. Stuck inside of Imola, with the Syracuse blues inside….
ou französish), is it not?
oublié un « c », dear bloom. französich
douze hommes armés, c’est un beau titre pour chanter. jony a préféré annuler et revenir au printemps dans le pays du surréalisme qui met les chars dans la rue de manière préventive; why not
« Frankenstein , le mari de Marie Shelley »
Wiedertrucmuche.
» L’ Histoire est une invention de Saint Augustin' »
Idem
Qu’en pense Tite-Live, pour le parler que de lui?
Un commentateur éclairé ( désolé, j’ai déjà oublié et l’heure et le jour et le pseudo !) cite Shakespeare : » je me suis si souvent vautré dans l’erreur … ». Peut-il , cet exégète du Grand Will, nous préciser dans quelle pièce ,ou poème, il a dégoté ce vers ?
Ce « c » migrant ne semble pas trouver sa place…
Ai vu les photos des véhicules blindés. La couleur en moinss, cela m’a fait penser à Belfast dans les années 80-90.
L’adieu aux Goncourt de Régis Debray…. n’en faisons pas une histoire !
Est ce que notre société est post-littéraire ? Beaucoup d’entre les vivants pensent qu’elle est trop littéraire d’entre les morts.
WG, n’oubliez pas de vous faire rembourser le Reinhardt par Passou, en plus du Enard. Pas la peine qu’il fasse deux chèques.
Si Bouguereau est chez Sergio, je vais y aller aussi parce que j’aime beaucoup Bouguereau.
Faisons un peu de sexisme politique :
– pour débander ? NKM !
– pour déchanter ? Hidalgo !
– pour débuter ? Boutin !
– pour engrosser ? Ségo !
– pour rigoler ? Bachelot !
– pour s’éclater ? Rachida !
– pour s’étonner ? Najat !
– pour s’ennuyer ? Curie !
– pour en baver ? Olympe !
– pour détaler ? Duflot !
Mais…
– pour jouir au soleil ? Marion, c.on !
et à part ça JC n’est pas du tout misogyne, pas du tout !
Perle d’analphabète infoutu de saisir la divine syntaxe d’une de mes phrases forcément sublimes :
perles de haute culture dit: 23 novembre 2015 à 10 h 37 min
« Frankenstein , le mari de Marie Shelley »
Wiedertrucmuche.
Le père de l’Histoire, c’est Hérodote et son fils spirituel, Thucydides.
Tite-Live, Tacite, Strabon, Jules César sont bien sûr des historiens, qui comme leur père fondateur tente de rationaliser les faits historiques.
Mais saint-Augustin invente autre chose, l’Histoire au sens chrétien du terme, c’est-à-dire l’Histoire comme histoire du salut. Or, c’est bien de cette conception de l’Histoire dont il est question chez R.D. qui a été sensible à une version laïque de cette conception de l’Histoire, qui doit apporter le bonheur des peuples à travers la révolution. Cette mythologie, pour ne pas dire cette religion laïque est bien d’origine chrétienne.
Ce malheureux JC était un rare spécimen de misogyne féministe, encore en activité …
Hélas ! vous connaissez notre tourment ?! ce sont toujours les meilleurs qui partent et les pires qui gouvernent.
Marion, je t’aime !
Vous trouverez dans le regard bleu pastel de Marion ce qui n’est que brume brunâtre avinée chez Hidalgo, la beauté froide du salut nordique !
Vive la France ! Vive la Provence ! Estrosi au garage….!
jean-pierre martisson, puis-je vous demander si par l’opération du Saint-Esprit vous seriez parvenu(e?) à changer de sexe, ceci étant donné que dans l’ensemble ici personne ne croit plus au P N et par conséquent il ne saurait y avoir méprise vous concernant. Ceci dit, je trouve assez proustienne et quoique je prétende l’avoir lu alors que non la phrase dont tout du contexte et moment de diffusion sont oubliés » je me suis si souvent vautré dans l’erreur … ».
Marion, je t’aime !
_______
Tu sais pas où tu mets les pieds, mon pauvre ami ! Elle t’attendra avec son fouet, ses bottines et sa cravache. Elle commencera par te piétiner. Pour t’achever, elle t’en…
D je vais y aller aussi, j’aime assez les mauvais caractères quand ils n’ont pas à justifier leur humeur implicitement comprise et acceptée, de plus nous avons tous besoin parfois de manger du grossier du vulgaire du pâté contrôlé.
@Jean Pierre Martisson
Pascal Engel est vraiment passionnant. Je ne m’étais jamais posé la question de comprendre pourquoi, en dépit du fait qu’on les croit fragiles ou injustifiées, on peut avoir des croyances.
Votre boutade du Père Noël, reprise par P.Engel me plonge dans les incertitudes des enfants. Pourquoi veulent-ils y croire encore même quand leur raison les conduit vers une évidence : le Père Noël n’existe pas ? N’est-ce pas pour donner encore un peu de temps à leur monde imaginaire de « super-héros » ? Le Père noël en est un, fabuleux, qui traverse la nuit de Noël sur son traîneau tiré par des rennes volants, avec un sac de cadeaux qui ne se désemplit jamais, qui passe dans toutes les maisons du monde en même temps. Enfin pas dans toutes les maisons du monde, ni auprès de tous les enfants…
Peut-être y a-t-il de ce merveilleux insensé dans les vestiges de notre croyance en Dieu. Un autre super-héros qui n’aura pas résisté aux morts sans sépulture de la dernière guerre, aux souffrances, au mal, aux injustices surtout depuis qu’on a rejeté fermement cette parole scandaleuse de l’Église : il faut souffrir pour gagner le ciel…. sauf à le considérer comme un SDF chassé des maisons de nos certitudes, incarné puis oublié comme tous ceux qui nous quittent et ne reviennent jamais…
Pascal Engel pose une autre question originale : le contrôle de nos croyances par notre volonté.
A la lumière de son raisonnement, je lis autrement les paroles de R. Debray notées dans l’entretien de l’Express : » Je ne suis pas croyant, mais je suis un incroyant convaincu qu’il faut croire. »
Vous dites « bien à vous » comme M.Court…
Wiwi,
Ce programme libertin, que tu décris avec raffinement, me plait ! Je serai volontiers masochiste pour une belle sadique comme cet ange de Marion …
Un conseil : tu fonctionnes trop sur des schémas classiques : mêmes les anges se reproduisent entre eux dans une copulation spirituelle qui ravirait Abu Nawas….
Où avez-vous vu JC, Évidence ? Cela fait plusieurs semaines qu’il ne commente ici plus. Il s’est certainement repenti car j’ai beaucoup prié pour son âme perdue.
Dans ce cas, je ne peux plus rien pour vous. Je compatis.
Il faur rétablir le service national d’une durée d’un an. Il faut réserver les emplois dans la fonction publique ou assimilés (RATP, Sncf, Edf…) aux seules personnes ayant accompli ce service. Il faut enfin accorder à vie un abattement de 5 pour cent sur l’impôt sur le revenu à toute perso ne ayant accompli integralement son service national sous les drapeaux.
Voilà de vraies mesures à prendre, et vite.
L’adieu au Goncourt de Régis Debray
« Je n’ai plus la disponibilité, ni peut-être, je l’avoue, la générosité que requiert, avec nos cinq prix annuels dans divers genres, l’appréciation pondérée des nouveautés qui défilent. »
Comme je le comprends!
Pour à la fois tenter d’honorer tant bien que mal les obligations du contrat (ingurgiter chaque année un monceau de prose, parfois bonne parfois insipide) tout en faisant bien son propre travail, il faut être un athlète (ou un jean-foutre!).
Une telle perspective me terrifierait, même si je vois « le gratifiant » comme dirait Bretecher.
P. A. fait indéniablement partie des athlètes.
D. dit: 23 novembre 2015 à 13 h 04 min
Voilà de vraies mesures à prendre, et vite.
Et vite? C’est quoi ces manières, soldat?
Garde à vous.
À droite, droite!
Une deux, une deux…
D. dit: 23 novembre 2015 à 13 h 04 min
Il faur rétablir le service national d’une durée d’un an.
Repos!
Au rapport.
Eh bien, écoutez, il y a de l’idée dans votre proposition.
Bérénice, si vous allez chez Sergio pour Sergio, je préfère vous dire par avance que vous allez être sérieusement déçu. Autant que vous soyez prévenue. Il n’a que les moteurs en tête. Vroum, vroum. Sorti de ça, pas la moindre considération intéressante sur quoi que ce soit.
Mme Clémentine Autain, ou la sentimentalité d’une pétroleuse
« Battons en brèche l’escalade de la haine. Rassemblons-nous autour de nos valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité. Donnons-leur davantage de chair et de réalité. Soyons des bâtisseurs de justice, des partisans acharnés de la vie. Soyons des va-t-en-paix ! »
D’ailleurs il le reconnaît lui-même.
Ah oui, ça contre le 7,62 c’est redoutablement efficace. Clementine à tout compris.
Ces p’tits accrocs au vivre ensemble, c’est du gâteau pour la petite Marion.
Un douanier a été tué lundi matin lors d’une intervention des douanes dans le quartier de Saint-Jean-du-Var à Toulon, dans le Var, par un homme qui a ouvert le feu avant d’être interpellé.
L’agresseur, qui possédait un gilet pare-balle, aurait ouvert le feu avec une arme de type M-16, le fusil d’assaut de l’armée américaine
« L’adieu aux Goncourt de Régis Debray »
On peut se demander ce qu’il y faisait !
C’est parce qu’il n’a pas pris la peine de se rassembler autour des valeurs d’égalité, de paix et de fraternité, Masud.
christiane dit: 23 novembre 2015 à 12 h 35 min
Oui, Pascal Engel est un philosophe passionnant qui ne fait pas partie de ces philosophes médiatiques qui ont une solution de pensée pour tout.
Il anime un blog tout aussi passionnant et de très haute tenue :
http://lafrancebyzantine.blogspot.fr/2015/11/democratie-pour-les-herissons.html
Je ne suis par Court…
« Soyons des va-t-en-paix ! » (Clementine Autain)
Déjà essaie d’éviter, pauvre gourde, d’être une pars-en-couilles !
(t’as de beaux yeux tu sais … et un beau culte…. hélas, ce n’est que de la décoration, emballage joliet d’un programme politique pour benêts !…)
« un blog de très haute tenue » ?
Eteignez la lumière… qu’on voit VRAI …
« un blog de très haute tenue » ?
Eteignez la lumière… que l’on voit vraiment que la haute tenue, c’est pour les cameras et les morts-vivants.
La vie n’a aucune tenue, et c’est très bien !
« qu’on voit VRAI »
Relire (ou lire en ce qui vous concerne), « La vérité, réflexions de quelques truismes » de Pascal Engel, Hatier 1998.
» Qu’ est-ce que la vérité? L’ adéquation de nos représentations au réel, leur simple cohérence entre elles ou le signe du bien-fondé de nos croyances?
Un certain nombre de philosophes contemporains soutiennent que la vérité ne concerne que nos représentations, nos énoncés et nos théories. Aussi, cherchent-ils à la dévaluer en procédant à une véritable » déflation » métaphysique.
Cet essai s’ oppose à une telle attitude qui a partie liée avec le relativisme contemporain. Il entend rétablir la vérité dans son rôle de norme et d’ idéal. »
13h53 parce que vous persistez à croire que la vérité est phosphorescente comme ces squelettes ou ces gadgets qu’on nous donnait quand nous étions enfants et qui se révélaient dans l’obscurité? La lumière du jour ne réussissait qu’à les laisser à leur condition d’objet en matière plastique.
@le Fantôme,
Vous n’ aspirez qu’ à une haute tenue relative, comme une manière de se mettre à nu devant une femme comme notre André breton national?
André Breton, qui n’ est en aucune manière breton…
Lotois par adoption et par croyance de « ne pas se désirer ailleurs ».
14:05
La vérité, l’absolu, le sacré, tout cela doit être mis au pluriel : il faut être foldingue pour en parler singulièrement !
Aucune Verité !
Aucun absolu !
Aucun sacré !
Juste des croyances, des conventions, des choix sans raison….
le signe du bien-fondé de nos croyances
le bien-fondé des croyances, n’y a-t-il pas rien que dans l’énoncé une antinomie ? Le fondement peut-il se solidifier dans la métaphysique, faut-il accepter que l’homme à bout de résolutions finisse par poser l’ultime et indéfinissable , Dieu en clé du mystère après quoi il court depuis toujours, enfin depuis les druides.
Phil à 9h14, what else, hmmm, des atomes crochus ?
Et avec mes meilleurs souvenirs de Chichèn Itzà. Une merveille.
Qui est cette greluche à moins que ce soit un greluchon ou même une chose?
LDVB vous devriez fonder un annuaire des pseudos pour voyageurs pressés. Depuis ce matin et bien qu’un démenti s’interpose vous ricochez de l’un à l’autre sans parvenir à assécher votre inspiration concernant ce point, Un homme un jour se plaignit de voir son cours tari, ce n’est pas votre cas pour notre grand bonheur et sans grande surprise, on pourrait facilement vous voir en portrait à l’identité multiple. Multiple de quoi, cela reste à l’appréciation des utilisateurs.
à D, 12 h 51 : ne faites pas votre naïf, tout le monde sait que JC est toujours bien présent, que faux comme un vrai jeton, il se planque sous Le Fantôme, Résumons, Zeus, Descartes et tant d’autres pseudos à la con quand il n’usurpe pas, pratique courante, même votre pote bouguereau l’appelle toujours jicé sur le blog de l’ineffable sergio, alors cessez de finassez
Je suis allé voir chez Sergio, c’est un peu mieux que ce que je pensais, mais je n’y suis pas à l’aise. Je vais rester ici.
Surréalisme parisien militant, vu du Mexique :
« Dans le catalogue, Breton écrit : « L’art de Frida Kahlo est un ruban autour d’une tombe. » Picasso lui offre de grandes mains en ivoire en guise de boucles d’oreilles, le Louvre lui achète un autoportrait. La couturière Schiaparelli crée une robe, « Madame Rivera ». Frida est déçue. Cette exposition est une vaste fumisterie. Elle ne supporte ni Breton, qui ne pense qu’à sa propre gloire, ni Pierre Colle, ce « vieux bâtard et fils de (bip) », écrit-elle à Nickolas Muray. »
http://www.parismatch.com/Culture/Art/Frida-Kahlo-la-revanche-532279
Une merveille.
classée au patrimoine ou en attente?
Si mes souvenirs sont bons, l’Aztèque de Chitchen Itsa avait le pied …. petit : quelle descente !
Je ne pense pas que les Aztèques aient jamais atteint Chichèn Itzà, mais je peux me tromper.
Oh hé, doucement les basses, hein, Évidence. Vous me parlez sur un autre ton, s’il vous plaît, compris?
GPS, Belle GPS, dis voir de ta belle voix
où retrouver l’adresse de la République du Cinéma !
Internettement.
Lavie est au mexique ? how peculiar comme disait count dracula.
passou fait une bonne actualité avec Debray. fortiche, as usual.
lavie était, Phil, était.
Je l’ai bien remis à sa place et il l’a bien cherché. Il y en a, je vous jure, qui se prennent pour je ne sais pas qui ici.
« cela doit être mis au pluriel » Le Fantôme.
Pascal Engel vous répond avec une extrême amabilité in La vérité ,page 79. :
» On a toujours le sentiment qu’admettre le caractère pluriel et relatif de la vérité est une forme de libération
contre la tyrannie d’une vérité unique. Mais là aussi cette idée est incohérente. Que la vérité ait du pouvoir, et qu’elle puisse être contrainte, n’est pas plus une menace que le fait qu’un pistolet pointé sur notre tempe ait un pouvoir de contrainte. On ne peut pas plus accuser la vérité qu’on peut accuser le pistolet. Je peux exercer sur vous un pouvoir en prétendant posséder la vérité, ou vous l’imposer comme norme contre votre gré. Mais cette contrainte ne peut pas fonctionner simplement par le fait que je prétends posséder la vérité. Car il vous suffirait d’avoir vous-même une telle prétention pour exercer une contrainte sur moi. Donc la vérité par elle-même n’a rien à voir avec la contrainte ou la domination. Le vrai coupable, ce n’est pas la vérité, c’est la contrainte elle-même, et il est clair qu’elle peut toujours se produire. En fait, la contrainte intellectuelle s’exerce par un tout autre biais : elle s’exerce par l’autorité, tout comme la contrainte physique s’exerce par la volonté de ceux qui usent d’armes. Mais le meilleur moyen de résister au pouvoir, à l’autorité, quand ils sont illégitimes, c’est la vérité. C’est le rejet de ce que Peirce appelle la « méthode d’autorité », le fait de laisser la vérité se soumettre à l’autorité. Ce n’est pas répondre aux armes par une autre arme, car à la différence d’un pistolet, qui ne sert qu’à tuer, la vérité a toute une variété d’autres usages, qui sont fort bons (ce qui ne veut pas dire qu’elle ne puisse pas avoir des usages mauvais). On peut vouloir, pour de bonnes raisons, le désarmement universel, mais l’idée, si l’on peut dire, d’un désarmement aléthiqne est un non-sens, et un danger pire que celui qu’on dénonce. Tout concourt donc à nous faire penser que prétendre abandonner la vérité, sous ses élaborations philosophiques les plus sophistiquées Comme sous ses formes les plus plates, a
un coût proprement exorbitant. »
(Quelle actualité prend cette réflexion après les derniers événements!)
Écoutez, Phil, mettez du vôtre aussi. Si chacun commence à dire où il est ou où il n’est pas, on a pas fini avant demain, je vous assure.
J’ai écrit ou où, c’est chouette non ?
Dans leur tendresse pour les Mayas, nos brutes Aztèques ont fait ce qu’il fallait !
Je n’ai pas besoin de Pascal Engel pour comprendre qu’il n’y a pas de Vérité, ni d’Absolu, notions d’une grande couillonnade !
…. un choix personnel contre lequel il est aussi ridicule de s’opposer qu’une grand mère se protégeant d’une Kalach avec une raquette de badminton……
En fait, la contrainte intellectuelle s’exerce par un tout autre biais : elle s’exerce par l’autorité, tout comme la contrainte physique s’exerce par la volonté de ceux qui usent d’armes.
faire autorité ne passe pas par la contrainte mais par l’exposé qui réussit par sa pertinence et son sens confrontés à des intelligences en éveil à les relier et à les faire accepter le contenu de l’exposé comme étant vrai et honnête.
14 h 33 à D : NON
Pour moi, Jean-Pierre, ce n’est pas une réponse dans la mesure où ça ne répond pas aux vraies questions – ou bien ça pretend y répondre mais ça tombe à côté.
De plus, cette citation de Pascal Engel, que je n’aime pas beaucoup soit dit en passant, vient comme un argument d’autorité. C’est inacceptable.
bérénice dit: 23 novembre 2015 à 14 h 45 min
Bérénice, bérénice, la vérité est contraignante en tant que norme et n’ a cure de l’ honnêteté ( vous mélanger tout.)
Il faudrait d’abord se mettre d’accord sur ce que veut dire « faire autorité », Bérénice. Parce que j’ai l’impression que certain ou certaines confondent avec « faire authorité ».
Et D qui joue aux D des iD, c’ est marrant un moment.
Je n’ai pas besoin de Pascal Engel pour comprendre qu’il n’y a pas de Vérité, ni d’Absolu, notions d’une grande c.ouillonnade religio-hystérique !
Debray a démissionné du Goncourt, BHL pourrait postuler. C’est un grand lecteur avec beaucoup de temps libre.
Lu l’excellente réplique de L. Joffrin aux propos délirants de M. Onfray. Maintenant que le mécano est démonté, la baudruche dégonflée, espérons que le « grand penseur » réservera ses élucubrations à son cercle de fans du côté de Caen.
Là je reconnais que Bérénice souvent melanger tout. Mais pas dans ce cas, malheureusement.
La joyeuse commère de ce blog, la Madame Verniglia nous communique: « En faisant des lieux après le cambriolage de l’appartement de JC, révélation : en plus des vêtements féminins, on a trouve des dizaines de disques 33 toutes de musiques militaires du 3ième Reich, des livres calcinés de Proust et Eric Reinhardt ainsi qu’un portrait géant du Duce en Blanc et Noir dans une sorte de chapelle ardente »
Vous pensiez à Clopine sans oser la nommer, Radioscopie ? Ayez le courage de vos opinions.
Des chercheurs ont essayé de fabriquer un organisme vivant plus c.on que Laurent Joffrin : ils y ont renoncé.
Cet assemblage de stupidités diverses est inimitable…
JP Martisson
« Je ne suis pas Court »
Je confirme, Christiane!
Puis-je vous faire observer en passant que remettre en question un ordre n’est pas nécessairement synonyme de courage? Et que la « scandaleuse parole » que vous citez a donné l’essentiel des Saints et de la mystique occidentale?
Ne voyez-vous pas enfin que les croyances mystico-gazeuses à la Guyon sont précisément de celles qui n’auront aucun avenir face au problème qui nous occupe?
Bien à vous (formule libre de droits)
MC
Bon je vais faire des courses et je reviens.
Bravo, Court.
@D
Vous pensiez à Clopine sans oser la nommer, Radioscopie ? Ayez le courage de vos opinions.
Vos insinuations (de veulerie) sont quasiment injurieuses. Ma réponse néanmoins : je ne vois pas en quoi je viserais Clopine que je n’ai pas l’heur de connaître d’une part et qui, si je ne me trompe, a exprimé ici quelques réserves à l’égard du désormais si peu philosophe.
Excusez-moi, Radioscopie. J’ai effectivement été trop loin en vous prêtant une intention qui n’était pas la vôtre.
Une rumeur circule ici à l’effet que monsieur Régis Debray serait sur le point d’acquérir une maison tout près de la mienne (manoir XVe siècle quelque peu décati…), maison rénovée il y a une dizaine d’années dans le plus mauvais goût. Si c’est pour y mettre le feu, et bien qu’il soit le bienvenu!
la vérité est contraignante en tant que norme
elle n’existerait que pour servir de norme et pour rester anticonformiste vous préférez le mensonge?
C’est aussi que Clopine à fait un tel foin de Michel Onfray à une époque que maintenant dès que je lis Onfray je pense Clopine et même l’inverse parfois; résultat : ça me joue des tours
le garçon qu’on appelait monsieur dit: 23 novembre 2015 à 14 h 42 min
Les frontières contre l’indifférence ne peuvent se limiter à une pose, je suis moins coquette que Ueda et d’autres.
C’est bien dit, je lui passerai le message.
Ce Ueda n’est qu’un cafre, indifférent à la vérité, à la beauté de notre loi (dîn).
A’ûdhu bil-Lâhi min ash-shaytân ar-rajîm.
D. dit: 23 novembre 2015 à 15 h 31 min
résultat : ça me joue des tours
C’est bien vu, moi aussi.
J’imagine Clopine avec la tête d’Onfray, les bouclettes sont un peu plus longue, l’air est moins grognon, voilà tout.
D tant que je vous tiens, sachez que je ne sais mélange que des ingrédients à destinée alimentaire: l’huile les oeufs, beurre farine lait, pour des sauces élémentaires. Je ne sais pas tout mélanger, j’attends une formation pour transformation en vue d’une grande industrie.
bérénice dit: 23 novembre 2015 à 15 h 37 min
j’attends une formation pour transformation en vue d’une grande industrie.
On croirait entendre une étudiante s’inscrivant en Creative Writing.
masud, si c’est mal je peux tout aussi bien changer le fusil d’épaule, pour vous plaire, je ferais n’importe quoi!
Momo Rigolo dit: 23 novembre 2015 à 10 h 08 min
un trio de pieds-nickelés
C’était pas mal… Mais il y en a un autre que j’aimais bien, c’est Bicot et Suzy ; surtout quand elle le force à ingérer toutes les pastèques !
On pourrait d’ailleurs se poser la question : pourquoi des trios et pourquoi des duos, San A. et Béru, Quichotte et Sancho, Bob Morane et Bill Ballantine, bref le héros et son faire-valoir :
– Bill, arrête de m’appeler commandant ; la guerre est finie…
– Oui commandant !
Ha la Gruppendynamik c’est quéquchose, hein…
ah le Marco piqueur… à Paris dans la cour de l’immeuble tout le monde se marre et l’appelle Monsieur Pète-Sec, dans le petit village en sa Bretagne on le nomme Le petit marquis
France Culture, « Répliques », novembre 2025
Question: Si j’oublie, et que j’oublie dans un vêtement sur lequel il y a des impuretés, et que je m’en souviens pendant la prière, est-il permis de couper la prière pour en changer? Et quelles sont les situations dans lesquelles il est permis de couper la prière?
Réponse: Quiconque a prié en portant des impuretés dont il est conscient, sa prière est invalide, et s’il ne savait pas avant d’avoir fini sa prière, elle lui sera créditée et il n’aura pas à la refaire. S’il en prend conscience pendant sa prière et qu’il peut la retirer très vite, il peut le faire, et finir sa prière, car il a été authentiquement rapporté que le Prophète (Salallahou ‘aleyhi wa salam) a retiré ses chaussures une fois qu’il était en train de prier quand Jibril l’informé qu’il y avait dessus quelque chose de nuisible et cela n’a pas invalidé le début de sa prière. De même, si c’était sur sa coiffe et qu’il peut le retiré vite, il doit continuer en fonction de ce qu’il a déjà prié, cependant, s’il a besoin de faire quelque chose pour retiré l’impureté comme retiré a chemise, le Sirwal, etc., alors après l’avoir retiré il doit reprendre sa prière (c’est à) dire qu’il doit la recommencer depuis le début). De même, il doit couper la prière s’il a un gaz, ou qu’elle est invalidée par le rire etc.
(Ibn Jibreen)
sergio cette histoire d’uniformes est amusante, heureusement nous sommes libres de laisser cette partie de nous même aux vestiaires ou non quoique nous ne soyons jamais tout à fait désinvestis de ce jeu de rôle qui nous incombe pour au minimum subsister, au mieux vivre avec des possibles choix.
masud al-bukhari dit: 23 novembre 2015 à 13 h 06 min
« Comme je le comprends! »
Une lueur d’intelligence chez ueda ?
Le Fantôme….. dit: 23 novembre 2015 à 12 h 25 min
Widergänger dit: 23 novembre 2015 à 12 h 27 min
Le pauvre JC et ses rêves langoureux pour putine les muscles d’acier le regard bleu pastel la beauté froide le fouet les bottines et la cravache de putine…
William Legrand dit: 23 novembre 2015 à 15 h 02 min
et un portrait grandeur nature de vlad p en tenue d’adam
Là vous insinuer que Masud al-buquari serait Ueda. Qu’est-ce qui nous le prouve ?
Angie David : « Qu’un auteur Gallimard fasse l’éloge de la NRF n’est pas moins douteux que de parler de l’affaire qui a visé Richard Millet dans la revue qu’il dirige. »
Certes, chère Angie David, mais je ne vois pas quel auteur Gallimard fait l’éloge de la NRF dans la revue qu’il dirige. Mais qu’un auteur Gallimard le fasse ailleurs, et alors s’agissant de l’histoire littéraire par exemple ? Et quand bien même, là il s’agit d’une polémique personnelle. Voilà pourquoi j’aurais aimé voir ce dossier paraître partout ailleurs plutôt que dans la Revue littéraire, ce qui est d’ailleurs sans grande importance.
@M.Court – 15h08
» Et que la « scandaleuse parole » que vous citez a donné l’essentiel des Saints et de la mystique occidentale? »
M.Court, quandon ne sait pas, on se tait ! « La scandaleuse parole » je l’ai entendue. J’avais 9 ans. J’accompagnais une femme au bout du rouleau qui n’en pouvait plus des violences qu’elle subissait. Cette réponse lui fut donnée par le prêtre de la paroisse. Je l’ai détesté et à travers lui, ce dieu, dont il prétendait être le représentant. Alors vos saints et tutti quanti, nés de cette parole, je m’en balance.
Bien à vous.
bérénice dit: 23 novembre 2015 à 15 h 45 min
si c’est mal je peux tout aussi bien changer le fusil d’épaule
Je m’en garderais bien.
Daaphnée, qui a été cubaine, m’a dit:
Ké si yé té vois tousser à une autre, même un ceveu, yé té toue.
Passion à raison.
Je voulais écrire : passion a raison. Ce qui signifie que toute passion a un fond de raison.
masud vous vous laissez facilement intimider, comment voudriez vous qu’elle sache quoique ce soit qui se produirait si nous avions la chance de nous connaître et de nous rencontrer, à notre époque les individus évoluent librement les uns vers les autres dans une fluidité totale sans qu’on puisse envisager de faire reproche à cette liberté cousue comme sur mesure et dont chacun s’accommode.
les revues nrf du début de la guerre sont monnayées légérement plus chères que celles qui la précédent.
Effet Drieu qui s’estompe avec le temps qui passe.
bérénice dit: 23 novembre 2015 à 16 h 41 min
Vous savez je trouve sur ce blog Attila et Phil extrêmement éloquents.
Le fusil d’épaule, je me demande si c’est pas moi qui vais le changer.
bérénice dit: 23 novembre 2015 à 15 h 56 min
quoique nous ne soyons jamais tout à fait désinvestis de ce jeu de rôle qui nous incombe
C’est-à-dire que beaucoup ont besoin de nous mettre des étiquettes, et du coup cela fait osmose ; mais en fait, en s’entraînant un peu, on fait comme le toro, on secoue les banderilles, et… Eh ben et elles tombent par terre !
Dommage que ce soit un essayiste, et même un philosophe, qui quitte l’Académie Goncourt : sa voix n’était peut-être pas prépondérante, mais elle pouvait incliner les décisions dans un sens particulier et si crucial, finalement, à l’époque actuelle. Jamais on n’a eu autant besoin de moralistes, et même pour le roman.
Vu ce jour dans le journal de L. Joffrin, attention de quoi faire peur.
http://www.liberation.fr/debats/2015/11/23/le-pouvoir-executif-a-enclenche-une-surenchere-securitaire-irresponsable_1415497
Le Fantôme….. dit: 23 novembre 2015 à 14 h 59 min
Je n’ai pas besoin de Pascal Engel pour comprendre qu’il n’y a pas de Vérité, ni d’Absolu, notions d’une grande c.ouillonnade religio-hystérique !
_______________
Que d’idiotie ! Comme si la notion de Vérité n’avait pas été une révolution complète des mentalités dans l’histoire de l’humanité, mettant fin à toute l’Antiquité.
Que de suffisance !
Autant besoin de moralistes…!
_________
Mais qui c’est tous ces petits cons…? Comme si on faisait de la littérature avec de la morale !
Mes pauvres enfants ! Mais vous ignorez tout de ce qu’est la littérature. Tout. On ne peut discuter de rien avec des gens comme vous.
N’empêche que la littérature est profondément une affaire de morale. Si cette année le Goncourt avait été décerné à Boualem Sansal, il se dit que Régis Debray ne serait pas parti. A vérifier.
@WGG, Mes pauvres enfants ! Mais vous ignorez tout de ce qu’est la littérature. Tout. On ne peut discuter de rien avec des gens comme vous.
Alors pourquoi essayer ? Pourquoi ne pas vous en aller ? Pourquoi ne pas essayer d’arrêter de vous parler à vous-même pour vous comprendre en vous mélangeant de la sorte à « (pauvres petits chéris », des gens pitoyables et en souffrance de vraie littérature, comme vous l’êtes ? Pourquoi étaler tant d’éloquente schizophrénie ? On ressent de la douleur pour le marasme psychologique de votre addiction. Vous vous/nous faites mal, il vous faut maintenant un protocole compassionnel de bon facture.
Virginie Despentes dans le fauteuil vacant de Régis Debray à l’académie Goncourt !
N’empêche que la littérature est profondément une affaire de morale. Si cette année le Goncourt avait été décerné à Boualem Sansal, il se dit que Régis Debray ne serait pas parti. A vérifier.
On demande à Passou de corroborer cette rumeur, après tout il est fort bien placé pour avoir une opinion à ce sujet.
Virginie Despentes ?
Attendons de voir ce que va donner le tome 3 de Vernon Subutex, où devrait prendre place le portrait enfin dévoilé de WGG.
D. dit: 23 novembre 2015 à 17 h 24 min
Vu ce jour dans le journal de L. Joffrin, attention de quoi faire peur.
« En vérité, s’il y a une urgence, c’est de garder la tête froide. »
Venant de Laurent Mucchielli, ça ne manque pas de felfel.
(wikipedia et « l’affaire Hemingway »). Le livre déborde d’amour pour la ville de Paris vers laquelle il revint à de nombreuses reprises. C’est également un émouvant hommage à son premier amour, Hadley, qui apparaît délicieuse. Leur histoire passée est rapportée avec une belle tendresse et beaucoup de nostalgie pour cette passion exubérante et le livre se clôt sur le prélude de la rupture qui va séparer les époux.
Il vaudrait mieux relire Fred Uhlmann plutôt que cette bluette… http://www.undernierlivre.net/fred-uhlman-il-fait-beau-a-paris-aujourdhui/
Si on ne peut que dire oui aux arguties de Wiwi, il sera content, ravi, flatté, mais le dialogue va s’avérer extraordinairement ennuyeux…
@M.Court (suite)
LA PESTE. IV
« C’est vrai, dit-il. Pardonnez-moi. Mais la fatigue est une folie. Et il y a des heures dans cette ville où je ne sens plus que ma révolte.
– Je comprends, murmura Paneloux. Cela est révoltant parce que cela passe notre mesure. Mais peut-être devons-nous aimer ce que nous ne pouvons pas comprendre. »
Rieux se redressa d’un seul coup. Il regardait Paneloux, avec toute la force et la passion dont il était capable, et secouait la tête.
« Non, mon père, dit-il. Je me fais une autre idée de l’amour. Et je refuserai jusqu’à la mort d’aimer cette création où des enfants sont torturés. »
Sur le visage de Paneloux, une ombre bouleversée passa.
« Ah ! Docteur, fit-il avec tristesse, je viens de comprendre ce qu’on appelle la grâce. »
Mais Rieux s’était laissé aller de nouveau sur son banc. Du fond de sa fatigue revenue, il répondit avec plus de douceur :
« C’est ce que je n’ai pas, je le sais. Mais je ne veux pas discuter de cela avec vous. Nous travaillons ensemble pour quelque chose qui nous réunit au-delà des blasphèmes et des prières. Cela seul est important. (…) Ce que je hais, c’est la mort et le mal, vous le savez bien. Et que vous le vouliez ou non, nous sommes ensemble pour les souffrir et les combattre.
Vous voyez, dit-il en évitant de le regarder, Dieu lui-même ne peut maintenant nous séparer. »
« Virginie Despentes dans le fauteuil vacant de Régis Debray à l’académie Goncourt ! »
Au point ou on en est .. !( et par ex pourquoi pas aussi valté la fois suivante )
Oh ben oui la vérité l’absolu les atomes ils s’enfuient encore plus vite, alors… Et le chat ! Il a même plus le temps d’exploser…
Je trouve que les débats de cette journée ont été fructueux, riches d’enseignements et ce soir il est possible d’affirmer que l’intelligence en est sortie victorieuse.
la littérature est profondément une affaire de morale
oui et partant elle explore tous les recoins autour de l’axe jusqu’à l’absence de morale en passant par l’ambivalence, l’hésitation, la dualité, la morale en barrage sur lequel viendraient se collecter des macro-déchets ou un filtre au travers duquel passeraient des ondes chargées de micro-organismes douteux en mission.
Sergio y a d’ailleurs largement contribué.
C’est exact ce que vous dites, Bérénice. Il y a une multitude de recoins autour d’un axe et plus on va loin plus on en trouve. Je vous remercie pour votre intervention.
« la littérature est profondément une affaire de morale »
L’haltérophilie, aussi …
D voyez-vous au delà du bien et du mal, si oui quoi? et si tant est qu’on puisse tomber d’accord sur une définition universelle pour chacune de ces deux notions.
le fantôme semble assigné à de vieilles résidences qui ne servent plus d’adresse, il faudrait qu’il mette au goût du jour son top ten.
J’ai envie de paraphraser Allen : – et essayez de trouver une pédale wah-wah qui marche
Oui, ce n’est pas faux, la mortalité est en tout et il en est de même de l’immoralité. On peut parler d’immanence, au sens philosophique, non pas théologique, entendons-nous bien.
« la littérature est profondément une affaire de morale »
La charcuterie, aussi…
là c’est une affaire de technicien du son, j’ai décroché depuis si longtemps des pédales, ça existe encore ?
« la littérature est profondément une affaire de morale »
La pédophilie, aussi ….
JC adore la musique et les femmes, surtout Christine and the gouines
D ne soyez pas méchant avec moi, j’ai toujours eu des difficultés avec l’immanence, je compte sur vous pour m’expliquer et m’imprimer en me passant au besoin sur le corps pour que cele reste gravé.
Bérénice, tout ce qui fait ou fera du maml à autrui est mal, tout ce qui fera du bien est bien.
En faisant du mal, on peut créer du bien (qui aime bien châtie bien), en faisant du bien on peut semer le mal sans s’en rendre compte.
Au delà du bien et du mal, il y a un monde fou ….
Je pense que vous n’avez besoin d’aucune explication, Bérénice. Vous semblez avoir tout compris.
Les pédales Wah Wah, ça existe toujours, sauf qu’on peut leur assigner par programmation n’importe quoi qu’on veut, pas seulement Wah Wah.
Les pédales Wah Wah, c’est pour les graves, pour les aigus utilisez les pédales Wih Wih …
Debray a débrayé
D. dit: 23 novembre 2015 à 18 h 35 min
Sergio y a d’ailleurs largement contribué.
Pour les lentilles ? Ben oui y en a plus une seule ; c’est un réel problème, d’ailleurs…
, pour les aigus utilisez les pédales Wih Wih …
ah oui, c’est logique, et pour la distorsion utilisez une autre fonction du programme. Etes-vous musicien? Rock star devant laquelle toutes les jeunes femmes se pâment et hurlent hystériquement, les plus audacieuses vous suivant à la fin du concert pour recueillir un précieux autographe?
Pourquoi avez-vous éteint la lumière de la République du cinéma, Passou ?
C’est tout noir !
Reverra t-on la couleur ?
S’il n’y a plus de lentilles, c’est que Fresnel les a piquées, pour les fourguer à Kepler
« Debray a débrayé »
Joli, JC !
C’est pas Virginie Despentes qui va la faire remonter la pente des prix perdus du Goncourt !
Fallait prendre à la place Monsieur Amette, Pierre-Jacques pour les intimes !
Lorsque, étudiant, j’étais drummer d’un quartet de jazz entre potes, les filles les plus volatiles étaient parties rapidement avec le bassiste, le pianiste ou le sax !
Les plus sages, les plus solides, les plus attendrissantes restaient pour m’aider à ranger mes fûts, mes cymbales, dans le vieux car épuisé : ça trainait ! tant de choses à démonter, je partais toujours le dernier !…
C’était long, mais bon, comme on dit.
Pierre-Jacques pour les intimes !
pour continuer dans le n’importe quoi, ainsi affublé de cette longueur à dire relative aux Max, Luc, Pierce, Joey, Jules, il ne trouve plus aucune compagnie pour l’after. Il ne lui resterait plus comme choix de conversation qu’une table de jury encombrée de vieilles lunes cultivées certes mais passées de mode si l’on reste sensible aux danses qui ne sont pas de salon.
Quittons nous sur une image agréable !
Séniles, agonisantes, écrasées de remord, coupables pour les actes de leurs pères, nos sociétés avachies, défraichies, abâtardies, se regardent mourir comme les vieux en cercle dans leur chaises roulantes placées en rond par des infirmières au SMIC …
Il est temps de faire place au renouveau : passer du scolaire au solaire, du vieux personnel politique aux jeunes… Marion, je t’aime !
Phil, toujours à 9h14 ce matin, cette question » what else », à propos de ce coaching assuré par Régis Debray pour la fille de. ,est intéressante.
Et je vous remercie de l’avoir posée.
Il ne s’agit pas de « banales histoires d’alpinisme incestueux », des exemples à ce sujet please !, vous faites une fixette sur C. Angot ? Le père ne faisait pourtant pas de sport; entre la tête et les jambes, il n’avait pas le choix.
Non, c’est plus simple. Peut-être trop ?
Le lider maximo se piquait d’Annapurna. Et Régis, comme Mitt’rand, en pinçait pour Fidel. Et M. Herzog était un homme politique.
Inutile de revenir sur les états de service à la France de M.Herzog. Exemplaires, à plus d’un titre.
Mais, il y a eu des carnets du vertiges, plus glaçants que – et bien avant- une thérapie couchée sur le papier de la fille de.
Cela dit, elle a une démarche littéraire façon kerviel, que seuls les jésuites peuvent absoudre.
javert, quel spectacle !
Dis, tu ne peux pas l’embarquer boire (encore) un verre en terrasse, ta loque ?
ils décrochèrent à la première sonde.
Vos hypothèses sont hardies, lavie. Mme Herzog en déboulonnant le père a simplement devissé de sa corniche pour retomber dans les bras du lider Debray, manière Adolf qui emballe la Riefenstahl après avoir vu la lumière bleue.
Höhenfeuer, excellent film suisse sur l’inceste en haute montagne
Mes hypothèses ne sont pas si hardies, Phil.
Think of it.
Moins que des comparaisons, hors de propos: Riefenstahl qui débarque ici, sans crier gare.
« Höhenfeuer, excellent film suisse sur l’inceste en haute montagne »
enlevez l’adjectif: haute, Phil.
Il y a erreur dans votre altimètre.
Phil dit: 23 novembre 2015 à 20 h 37 min
Vos hypothèses sont hardies, lavie. Mme Herzog en déboulonnant le père a simplement devissé de sa corniche pour retomber dans les bras du lider Debray, manière Adolf qui emballe la Riefenstahl après avoir vu la lumière bleue.
Just like so many times before…. Gloria:
https://www.youtube.com/watch?v=-jPg2M1UYgU
Dis, tu ne peux pas l’embarquer boire (encore) un verre en terrasse, ta loque ?
une forme de mépris atavique? dans la formule pourtant les terrasses sont des lieux de civilisation (sic). Je ne comprends pas comment il est rendu possible de les déprécier de la sorte. Une personne à qui vous souhaiteriez bon voyage?
20h57 sur ce point de détail je tombe d’accord avec vous, nul besoin de s’élever, au niveau zéro c’est tout à fait probable et des viols sont commis en sous-terrain: caves et parking.
Jem 23/11/2015 à 17 h 32 min « N’empêche que la littérature est profondément une affaire de morale. Si cette année le Goncourt avait été décerné à Boualem Sansal, il se dit que Régis Debray ne serait pas parti. A vérifier. »
C’est tout vérifié Jem : vous avez tout faux. Le communiqué de Debray dit vrai. Aussi bête que cela : l’envie de consacrer ses années à venir à ses livres plutôt qu’à ceux des autres, du moins les nouveaux, car son envie de (re)lire les anciens et les classiques, elles, ne se dément pas.
« l’envie de consacrer ses années à venir à ses livres plutôt qu’à ceux des autres, du moins les nouveaux, car son envie de (re)lire les anciens et les classiques, elles, ne se dément pas. »
C’est le début de la sagesse, il était temps !!!
Et pour la nouvelle République du cinéma, Passou, pourquoi pas moi ?
Attila dit: 23 novembre 2015 à 21 h 27 min
Et pour la nouvelle République du cinéma, Passou, pourquoi pas moi ?
56-59…hmmm
https://www.youtube.com/watch?v=OgyJnsAUO90
Aujourd’hui, j’ai vu un film chilien étonnant.
Un drame.
L’histoire d’une communauté de curés pédophiles en relégation dans une maison face à l’océan,
suspens…
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19553433&cfilm=234798.html
Pourquoi pas vous pour un goût pour le cinéma, vous seriez le Mozart qui s’applique à analyser et diffuser les requiem les arias les préludes et toutes ces symphonies d’images qui font vivre les plus belles des idées des brillants créateurs, pour divertir l’aigreur, la rancœur qui parfois vient à ternir l’éclat de notre regard.
Non, la littérature n’est pas profondément une affaire de morale. Tout dans la littérature nous dit le contraire.
La seule morale en littérature, c’est le style.
Attila si vous êtes nommé à la tête de la république du cinéma je crains que votre critique s’adresse à des films qui jamais ne parviendront jusqu’à nos rivages ravitaillés par une sélection grande diffusion, les deux salles d’art et essai fermées faute d’amateurs, la seconde a brûlé donc ne subsiste aucun espoir et ne reste plus que le ciné-club des prof pour aller voir ailleurs .
Moi, Baroz, je vais demander à occuper la place de R.D. Comme Thomas Bernhard, je pourrai comme ça jeter dans la poubelle les livres au fur et à mesure que je les recevrai… Je suis certain que la qualité du Goncourt s’en trouverait rehaussée…
Let me In! …
https://www.youtube.com/watch?v=4rb8aOzy9t4
21h55 en faune éthique ça donne quoi votre pseudo, les livres d’anglais pour débutants en sont pourvus.
…
…philosophie objective des oeuvres d’arts des politiques sociales,!…
…
…toute cette violence belge actuelle des riches aux pouvoirs,!…( cinéma, la semeuse en amont, pour récolter,…des votes » populaires » bien germés en aval,!…)…
…
…Merci,!…Paris,…merci la shoowhah,…Merci,…Hitler,!…
…du pain béni,…
…pour nous écrasées les libertés individuelles en mafiosis à nous passer du Pétain sec,!…
…Cinéma, pour nous rouler des mécaniques,!…
…
…et si, c’était çà le pouvoir des riches,!…
…nous enfumer par des liens de cinéma, aux actualités,…
…alors, çà vient, ses attentats, aux » musée juifs & barbares nazis « ,…les élections approches,!…
…ajoutons y des crédits d’insécurité,!…
…
…tient, Vla,!…des légionnaires français, pour leurs sécurités,!…tout ces paradis » secrets « ,…à s’approprier,!…
…
…l’espace €uropéen, à Napoléone,!…
…toutes ces Victoire,!…pour un François 1er, un Charles Quint,!…un Bismarck,!…aux srevices des riches,!…
…pourquoi faire, faire des pauvres, pour les » cirques de misérables « , aux pleins emplois,…aussi, pour remplir les bordels des rues, et portes cochères,!…
…l’emploi, les formations d’élites,…
…tous des » rois, et reines » de quelques choses du » moyen-âge « ,…
…mes quasimodo’s mais revenez, c’est que du cinéma,…points et pieds liés,…des grands rôles,!…pour du cinéma de petits cons,…en attente,…d’aimer çà,!…les marquis de Sade,!…
…des Optimum à Paretto,!…Ah,!Ah,!…
…plus court, c’est plus,…dans l’oseille aux parfums,!…merci ,!…Paris,!…
…Dieu vous le rendra,!…etc,…avec,…rien,!…
…les mouches à merdes, aux pouvoirs,…chacun sa Lune,!…à touches,!…
…Casino royal,!…aux Louis XIV,!…XV,!…
…XVI? XVII,…XVIII,!…les restaurations alors,!…rien que pour des couronnes aux lèvres,!…bien profond le social,!…
…des films, d’anticipations,!…
…alors, çà vient, tout ces trous de balles,!…aux footballs,!…et nos cultures des Métropolis en Diva,!…etc,!…
…l’art du pouvoir, pour chier dessus,!…
…au trein, à grande vitesses,!…etc,!…
…merci,!…Giovanni,!…il à remis les pilles à sa lanterne,!…etc,!…
…au moins un, qui reprend ses lumières dans l’obscurantisme des fonts bâtismaux bancals,!…
…Go,!Go,!…l’attelage aux chevaux,!…
…of course,!…etc,…
…
… » mots hissent « , sauvés des Ô,…
…
…l’histoire par sa littérature,!…et ses connivences,!…pour leurs dominations de pauvres cons de fils de riche violents,!…
…etc,!…les taxes proportionnelles,!…
…la nature des lois,!…les paradis partout,!…etc,…
…esclavagistes du Moyen-Äges,!… » échecs & math « ,…à Rouletabille et sa main noire de service,!…
…jamais, sans châteaux & etc,!…en diversions,…la foire aux faux-cons,!…etc,!…
…
…
ball & chain dit: 23 novembre 2015 à 21 h 01 min
Adolf qui emballe la Riefenstahl après avoir vu la lumière bleue.
Il y a surtout une histoire de Kusine intéressante, pour cézigue pâteux ; parce qu’en plus la mamy Riefenstahl déjà qu’elle voulait pas trop nasiller…
bérénice dit: 23 novembre 2015 à 22 h 00 min
21h55 en faune éthique ça donne quoi votre pseudo, les livres d’anglais pour débutants en sont pourvus.
Voilà, Bérénice, un point de vue marqué :
https://www.youtube.com/watch?v=o-eyF9dx_nM
Oui, au delà des conventions de l’hagiographie, Christiane. La souffrance à l’imitation du Christ a été, est encore, je crois, perçue comme une voie d’ascension et de sanctification.Je pense à Michel Le Nobletz,et à bien d’autres.
Bien à vous.
MC
23h40 sûrement, néanmoins je n’aime pas trop cette façon de vous adresser à moi et je n’ouvre toujours pas vos liens, je suis en mode aléatoire, un coup oui, un coup non. Là voyez c’est un peu comme si je me risquais à détailler le contenu de votre poubelle en période vigipirate, de plus j’ai horreur des mauvaises odeurs donc je ne m’y risque pas. Merci pour le geste, d’autres auront été intéressés.
Et, fatalement, viennent les crampes…
https://www.youtube.com/watch?v=OG5vyW8hbX8
Pour remplacer Regis Debray a l’Academie Goncourt, je vote Philippe Lancon. Le meilleur critique litteraire de la place depuis plus de 10 ans.
…
…d’un autre ordre d’attributions,…
…
…quand bien même, vos cartes bancaires Visa pour PayPal,…sont sont en » ordres « ,!…pour le paiement,…de vos achats,!…
…
…pourquoi les » achats « ,ne se font pas, et ou vas la marchandise exhibée en achats immédiats,!…( marchandise de collection en photos,!…stoquée ),…connivences avec salles de ventes à N-Y,…ou Londres,!…
…
…exemple mon » as » de Titus avec au revers » judea capta « ,…en photo-copier, dans mes documents télécharger,!…à 450 €, achat immédiat,…
…PayPal à refusé l’achat, alors que toutes mes cartes Visa sont en » Ordres « ,!…
…
…marché de dupes,!…qui nous contrôle au dessus de nos têtes, comme victimes à choix,!…çà, c’est la question,!…
…élever des cochons , pour les affaires de truffes,!…
…donc, suivre d’autres marchés, pour récupérer des morceaux de choix,!…
…
…le système bancaire,!…des mafiosi bien planqués, pour nous substitués nos collections artistiques,!…complicité de » vols « , les mains propres,!…
… » achats immédiats « ,!…repos,!…etc,!…
…ou est la police dans les transactions,!…venez on garde la marchandise en fiables escortes de Rapetout,!…
…PayPal, ou Rapetout,!…un faucon d’amalgames, déjà tout ces scandales perpétuels au football,!…
…les abysses, du profit,!…
…contrôles, contrôle,!…la morue bancal,!…Ah,!Ah,!…en transactions paradisiaque,!…
…la direction PayPal,!…en contrôle judiciaire,!…et ces téléphones a J.S.K.,…
…candidat potentiel, aux élections » socialistes « ,!…un travail aux noirs, pour le foutre en l’air,!…business-plan,!…
… à bien y regarder un crime, des cols blancs, genre Opus Dei,…pour diabolisé le socialisme pantouflard,!…
…allons y faire des vas ‘t’en guerres » instrumentalisés,!…
…Ah,!Ah,!,…pauvres cloches d’esprits, à rien mettre à succinct,!…etc,!…
…un dessin,…combien,!…
…des écritures sans prix,!…déjà,…
…prix Nobel,!…trop petit,!…juste pour les lèches-culs d’héritiers,!…la caste des cons en familles,!…etc,!…
…Archimède,!…Ah,!Ah,!…le lien éternel,!…adieu les Vespasien, en attente d’Opus Dei,!…
…sauver des décombres,!…le libre esprit,!…
…etc,!…envoyez,!…
Pour remplacer le Régis, chez les distributeurs de médailles en chocolat, je ne vois que notre Mimi…
Les Chrétiens sont vraiment de drôles de gens !
Adorer un dieu qui laisse tomber son gamin aux Juifs complices de ces colonialistes crucificateurs de Romains ! Nul, le Barbu divin en 3D !
Objectivement, il a eu ce qu’il méritait, le délinquant de Nazareth …
Tiens, ça me donne une idée ça, concernant le traitement de nos délinquants, la crucifixion.
…ça changerait de la tape sur la joue magistrale : « Et ne recommencez plus, petits garnements »
@Court dit: 24 novembre 2015 à 0 h 20 min
Oui, M.Court. Vous avez réveillé malgré vous, malgré moi, un souvenir d’enfance complètement oublié. C’est un peu inconsciemment que j’ai écrit « la scandaleuse parole » à propos de la souffrance qui menait à la félicité. Cette parole du prêtre m’est revenue. Et ce qu’a ressenti cette gamine de neuf ans ce jour-là est revenu, intact, bouillonnant de colère. A l’époque pas d’assistance sociale, de réseau de protection des femmes battues. On ne portait pas plainte contre des conjoints violents. L’église ne se mêlait pas de trop de la souffrance, de la misère. Des discours lénifiants pour mettre au loin les problèmes. C’était l’Église des riches, la gardienne de l’ordre moral, les listes d’interdictions, l’inquisition par la confession, la mainmise sur la vie privée des gens. Les enfants allaient au « cathé », récitaient des définitions ineptes de dieu et de la trinité, faisaient leur communion pour la fête familiale que cela représentait, étaient baptisés sans consentement encore dans leurs langes… La liste serait longue ! Puis il y avait, à l’âge de l’adolescence, l’oubli de ce ce passage obligé.
Quand j’évoque le courage qu’il a fallu pour peser, remettre en cause tout ce conditionnement, je pèse mes mots. Ce qui est extraordinaire c’est que la porte est restée entrouverte pour aller vers autre chose de plus sain, de plus libre, où la raison trouve sa place mais aussi le mystère, le silence, le sens du sacré. En cela les textes proposés par J. P. Martisson m’ont intéressée ainsi que tout ce qui concerne la réflexion du R.Debray à propos des croyances intrépides en dépit du fait qu’on les sait fragiles et injustifiées.
La « vie des saints », « la légende dorée » édifiantes pour endormir les instincts de révolte du peuple et l’intelligence critique, sont oubliées depuis longtemps.
D’autres personnalités les ont remplacés, pas forcément issues d’une tradition chrétienne, des hommes, des femmes dont les actes ou les paroles m’ont paru éclairer les routes obscures de nos existences.
Un jour, vous m’avez conseillé de lire « les histoires griffues » de Jean Muno, frontières invisibles qui séparent le quotidien du fantastique, de l’improbable, réalisme violent, saisie critique du monde. Nos enfances, parfois, en feraient bien une des nouvelles…
Vous avez des trajets? des distances?
Les brins d’herbe peu durables que nous sommes, et qui seront fauchés comme les autres brins l’ont été avant eux, ces inutilités terrestres les mammifères humains, se permettent de rêvasser, de fantasmer, d’inventer en pure perte les concepts foireux de « Sacré », d' »Absolu », de « Vérité » !
Aaaaaah ! trouver dans ce chaos des raisons d’espérer, quelle foutaise ! Fou-rire désespéré ! Heureusement, le ridicule n’est pas mortel.
« Objectivement, il a eu ce qu’il méritait », 6h33
Il avait des problèmes avec ses père et mère
(ne s’en est jamais remis)
Coucou, c’est moi, JC… et allez vous faire foutre
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