de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Rencontre de l’actuel et de l’inactuel sur une table de dissection

Rencontre de l’actuel et de l’inactuel sur une table de dissection

C’est tout un art d’écrire une chronique mais, rassurez-vous, cela ne fait pas pour autant de tout chroniqueur un artiste. Rares sont les virtuoses y compris parmi les écrivains. Beaucoup s’y sont essayé, parfois avec succès au XXème siècle avec des fortunes diverse –et même avant : Proust qui assura brièvement une « chronique de salon » sous le pseudonyme shakespearien d’Horatio dans les pages mondaines du Figaro ; Colette, assidue aux procès, qui tint une « chronique d’allure judiciaire » dans les journaux ; Cingria dans la Nrf des années 30 ; Vialatte, qui retombait sur ses pieds à l’issue de chacune de ses chroniques dans La Montagne, qu’elles traitassent de l’âge du premier homme ou des mœurs de la chèvre, par « Et c’est ainsi qu’Allah est grand » ; Duras qui se fit chroniqueuse de l’actualité parallèle à l’actualité politique, celle des traces laissées par le passage du temps, chaque mercredi de l’été 1980 dans Libération ; Bernard Frank dans le Nouvel Observateur, un cas car quel qu’ait été le sujet de sa chronique, on était à peu près sûr d’y croiser les Juifs, le maréchal Pétain, le signalement d’une bonne bouteille et l’adresse d’un restaurant ; et tant d’autres, Morand, Aymé, Calet, Perret, Nimier, Audiberti, Blondin… Bref, on mesure à cet inventaire à quel point l’art de la chronique est patiné. Ce qui a manqué à nombre d’entre eux ? La régularité. Une idée, un thème, un sujet, une inspiration, un déclic, cela ne se trouve pas sous le sabot d’un cheval. Comme disait Jacques Perret, orfèvre en la matière :

« Être ou ne pas être est une question intéressante aussi, et même pressante quand il s’agit d’en avoir ou pas ».

Car l’air de rien, ça engage et donc ça oblige d’avoir rencart avec ses lecteurs chaque semaine au même endroit sous le réverbère. La fidélité doit être réciproque. C’est comme une conversation dans laquelle ils s’inviteraient avec le rare sentiment d’être personnellement accueillis. La chronique est le plus intime des genres journalistiques, et le plus libre quoique strictement encadré par des colonnes qui froncent les sourcils au moindre signe surnuméraire. Forme brève, elle tient de la critique d’humeur et manie volontiers l’ironie. Le chroniqueur nous raconte des histoires en s’autorisant toutes les digressions au motif que le hors sujet n’existe pas pour lui. Heureux homme que cet écrivain s’il passe à la postérité littéraire aussi par ces vignettes sur la vie comme elle va. Tout dépend de sa manière de faire l’actualité à sa main, ce que Lautréamont a ramassé en une formule lorsqu’il a défini la chronique comme « la rencontre de l’actuel et de l’inactuel sur une table de dissection ».

Eric Holder, écrivain parmi les plus attachants disparu en 2019 à l’âge de 58 ans, connait ce bonheur à titre hélas posthume avec la publication ces jours-ci de L’Anachroniqueur (282 pages, 22 euros, Le Dilettante). A la relecture, le recueil de ses haïkus briards puis médocains parus dans Le Matricule des anges de 1996 à 2012, demeure un modèle du genre. Il tenait la chronique pour une carte blanche à la dimension d’une carte de visite. Les siennes avaient ceci de japonaises qu’elles ne manquaient pas d’évoquer la saison avant de célébrer l’évanescence des choses et les sensations par elles suscitées. Magie du titre, foin de la formule qui frappe, air de ne pas y toucher, tendresse pour ses personnages, sens de l’épure, goût de la fantaisie, discrétion en toutes choses. Quelle douceur et quelle fluidité dans cette prose qui s’écoule comme l’eau dans un ruisseau de montagne ! On dirait qu’il écrit à hauteur d’homme dans un français à l’usage des musiciens. Ni futile ni éphémère, la chronique rêvée, selon lui, avait quelque chose d’un caillou posé dans la page :

« Un petit galet, plutôt, et longuement poli, comme celui qu’on pose au milieu du quotidien régional étalé sur la table, dehors ».

Pour observer les petits riens de la vie, une certaine qualité de temps est nécessaire conjuguée au goût des autres avec ce qu’il faut de légèreté poétique. La fragilité d’Eric Holder demeurait inentamée, de même que le souci de son prochain. Quand l’époque se gobergeait dans les facilités assassines de la dérision, il n’avait d’autre arme qu’un sens aigu, permanent, naturel de la délicatesse. Tout dans son attitude, son savoir-vivre, sa diction, sa voix était de cette tessiture-là. C’est dire à quel point, outre l’écrivain, un chroniqueur de cette pâte humaine nous manque.

(Photos Passou et D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, vie littéraire.

1417

commentaires

1 417 Réponses pour Rencontre de l’actuel et de l’inactuel sur une table de dissection

Janssen J-J dit: à

Cela m’aurait bien plu qu’un jour Passoul rendît hommage à Jean-Mazrc Berlière, cet historien discret de mes amis (undes meilleurs spécialistes de l’histoire de nos polices et notamment sous la période troublée qu’affectionne « notre hôte »).
Il vient de s’essayer à son premier polar historique (le silence des maquis). Excellent ! L’auteur s’en explique dans cette vidéo… Je le recommande chaudement aux lecteurs de bonne volonté de l’rdl. Vraiment. Bàv,
https://campusprotestant.com/video/le-silence-des-maquis-un-polar-protestant/

Jazzi dit: à

Entre Verlaine ou Rimbaud, tu t’identifies à qui, closer ?

Janssen J-J dit: à

Je suis assez sidéré qu’un internaute fort assidu dans la délivrance de multiples messages par liens musicaux ou picturaux ne pense jamais RIEN de rien dès lors qu’il est directement interpellé sur ses goûts… comme si ses liens suffisaient à nous faire comprendre ce qui orientait ses plaisirs. Or la connaissance des déplaisirs compte aussi.
La technique de captation de l’attention est audacieuse bien sûr, mais souvent frustrante…
C’est ainsi, peut-être une forme de sagesse présocratique. Bàv, RM !

Jazzi dit: à

« Rien. Je ne pense rien »

Vraiment, renato ?

Personnellement, je suis très réservé sur la musique de films.
En général, je préfère les sons naturels et le silence au cinéma, et me méfie de la redondance musicale.
Mais j’avoue qu’à travers le film de Tornatore, j’ai pu mesurer à sa juste valeur le travail impressionnant, entre canzone et symphonie, d’Ennio Morricone !

Patrice Charoulet dit: à

A la bonne heure !

Le policier américain qui avait longuement mis son genou sur le cou de George Floyd jusqu’à ce que mort s’ensuive vient d’être condamné à 21 ans de prison. A la bonne heure !

closer dit: à

A aucun des deux bien sûr JB! Les ivrognes, les cinglés, même géniaux, n’ont jamais exercé la moindre fascination sur ma modeste personne, certes sensible, mais aussi hyper rationnelle !

Tu me fournis l’occasion de préciser que pour voyager dans le temps, il n’y a pas que la fiction, il y a aussi les Mémoires. Les vieux adorent lire les Mémoires…

Patrice Charoulet dit: à

A la bonne heure !

Le policier américain qui avait longuement mis son genou sur le cou de George Floyd jusqu’à ce que mort s’ensuive vient d’être condamné à 21 ans de prison. A la bonne heure !

Jazzi dit: à

« il n’y a pas que la fiction, il y a aussi les Mémoires. »

Mais les Mémoires comportent une part d’imaginaire, closer, c’est encore de la fiction !

Quand ma soeur a lu les pages que j’ai consacrées à notre enfance, elle m’a dit qu’elle en avait un souvenir totalement différent !

closer dit: à

Il me revient que le fidèle bras droit somalien de Karen Blixen que tu cites plus haut JB, écrivait à son ancienne patronne revenue en Europe en inscrivant sur l’enveloppe « To the Honorable Lionness, Baroness Karen Blixen »…

« Honorable Lioness »! Fascinant.

Rose, KB n’évoque pas du tout ses relations avec son mari dans « La ferme africaine ». Il est peut-être cité une ou deux fois dans tout le livre. Il n’existe pas. Son supposé amant (comment savoir?) l’aviateur est très présent, mais toujours évoqué comme un ami très cher dont la mort la bouleverse. Le coeur passionnant du livre est la description des ses relations avec les peuples qui l’entourent, pas seulement collectivement mais aussi avec des individus dont elle est proche. Parmi les ethnies concernées, il y a les blancs, soit résidents, soit des routards de passage, qui ne sont pas traités différemment des locaux par l’auteur.

closer dit: à

Bien sûr JB, mais les Mémoires ont tout de même une base vécue dont l’auteur s’éloigne plus ou moins.

et alii dit: à

et le voyage des fameux jumeaux?
La conclusion, admise par l’écrasante majorité des spécialistes, dit que le jumeau voyageur finit plus jeune que celui resté sur Terre, et que cette différence peut être considérée comme due à la dissymétrie entre les jumeaux car le voyageur change de référentiel galiléen pour revenir, alors que l’autre n’en change pas. Des observations, notamment sur les durées de vie (de la création à l’annihilation) de muons, sont considérées comme en accord avec cette conclusion. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_des_jumeaux

Jazzi dit: à

Leila Slimani est une conne, closer.

Patrice Charoulet dit: à

Langue française

J’entends et je lis des gens très célèbres dire ou écrire « les présidentielles’ ». C’est une erreur. Il faut dire l’élection présidentielle ou la présidentielle, puisqu’il  n’y a qu’un seul président à élire.
En revanche, on peut dire les législatives (il y a plusieurs députés à élire en France), les municipales, les européennes, les régionales….

Janssen J-J dit: à

@ ma modeste personne, certes sensible, mais aussi hyper rationnelle

perso, je vois guère d’incompatibilités, hormis une certaine fatulence de style… l’hyper-rationalité ?… ça existe, c’te bête là ?

closer dit: à

La flatulence de style, ça existe cette bête là?

closer dit: à

Tu ne trouves pas que le titre de « Honourable Lioness » irait très bien à Rose, JB?

Jazzi dit: à

Ou a Sasseur, closer ?

renato dit: à

«… ça existe cette bête là? »

Plus qu’on ne le croit.

renato dit: à

À propos de Mina, c’est son fils, Massimiliano Pani, qui acheta le fameux Steinway refusé par Michelangeli.

closer dit: à

Dans mon esprit, c’était un compliment JB…

et alii dit: à

Je ne savais pas,ce matin, que Ameisen s’était intéressé à Darwin , mais l’affaire sciences po-Darwin, j’en avais entendu parler; vous aussi, c’est évident ! de quoi on peut conclure sur ce qui gêne votre confort!
désolée! Darwin n’en fut pas moins un vrai voyageur;
et j’ai quant à moi entendu Tort!
bonnes vacances!
Sur les épaules de Darwin
Par Jean Claude Ameisen. Un voyage avec ses escales dans la recherche, la culture et la vie sociale, accompagné par des textes et voix d’écrivains, de scientifiques et de poètes.
En savoir plus
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/sur-les-epaules-de-darwin

D. dit: à

Pani ? Est-ce que ça veut dire pain ?

et alii dit: à

à propos de TORT:(mon souvenir
il se plaisait habillé en moujik, bref pas la tenu RN!

D. dit: à

Jazzi dit: à
Leila Slimani est une conne, closer.

J’suis pas certain.

D. dit: à

C’est aussi simple que cela.

Non Closer ce n’est pas si simple que ça.
Imaginons que les blonds se mettent à créer des ennuis à ceux qui oublient qu’ils existent autant que les non-blonds ?

D. dit: à

Revenons aux fondamentaux …!

…au Ricard, quoi.

Jacques dit: à

Revenons à nos moutons…!

…au Mouton Rothschild, quoi.

renato dit: à

Je ne crois pas que Leïla Slimani soit conne, elle cultive ses particularités curieuses et quelques opinions excentrique comme tout le monde, c’est tout.

Janssen J-J dit: à

@ RM /// il n’y a rien à faire, pour faire de l’ordre, il faut d’abord toucher le fond du désordre///.

« Le bonheur n’a pas d’histoire » dit Tolstoï. Mais ce n’est pas vrai. Le bonheur a une histoire. Le bonheur est la seule chose qu’il faudrait décrire, qu’il faudrait enseigner » – (un peu plus loin)… « J’ai essayé de vaincre ma pudeur et j’ai parlé des années de bonheur auprès de mon père, quand je ne le détestais pas encore. Mais il en est sorti quelque chose de douceâtre teinté de mélancolie. Dommage. J’ai essayé de l’exprimer cette joie, mais c’est impossible. Mieux vaut rester silencieux ».
Goliarda Sapienza, Lettre ouverte, Rome, 1965.

renato dit: à

excentriqueS

Alexia Neuhoff dit: à

Je sais bien que les usagers de la RdL détestent qu’on leur dise « il faut lire tel livre… » ou tout boniment de cette nature. Ce qui n’empêche pas qu’on puisse risquer un peu de réclame pour un gentil livret absolument rafraîchissant, ce qu’on ne saurait se refuser par ces temps de chaleur, d’autant qu’il n’en coûte que 14 €, le prix de deux cornets de glace après inflation. Seront intéressés ceux que le parler taafien intéresse, les amateurs d’expéditions en terres australes (sans quitter son climatiseur) et les poètes. Bruno Fuligni a dressé le premier lexique de « l’argot des manchots » chez Hémisphères éditions.

Janssen J-J dit: à

@ les ? présidentielles

Il faudrait essayer d’entendre l’élision commode du terme élections… La surdité est une erreur flatulente bien compréhensible, chez qui la première marche de la République d’Ensemble ne représente pas les escaliers de la Renaissance.
(et 1 Charoulet à chambrer à Chambord !).

Janssen J-J dit: à

@ le prix de deux cornets de glace après inflation.

après Berthillon… vous voulez dire… c’est l’argot des manchots en chaleur dans l’île de la cité, mon alexianne ! 😉

D. dit: à

Connaissez vous le degré de glucose du sirop servant de base aux sorbets Berthillon ? Moi oui.

D. dit: à

de saccharose, pardon. En degrés Baumé.
Moi je sais et pas vous. Et je n’ai pas l’intention de vous le révéler.

D. dit: à

Je vous le dirai pas.

D. dit: à

Si pani veut bien dire pain, est-ce que panini veut dire petit pain ? Je dirais que oui.

D. dit: à

Et est-ce que paninini voudrait alors dire tout petit pain ? En rajoutant des ni on arriverait alors au degré élémentaire quantique du pain. Je ne fais que me poser la question.

renato dit: à

« Pani » pluriel de « pain » ; « panini », la maison d’édition bien à part, pluriel de « panino » — qui vaut « sandwich ».

D. dit: à

Le singulier de panini est donc panono ?

renato dit: à

Pour un tout petit pain on dira panetto (panétto) ou panino — souvent coupé horizontalement et farci de divers ingrédients jambon, salami, fromage, anchois, etc. Extra avec un filet d’huile d’olive et une prise de sel.

renato dit: à

Vous jouez le con ou vous l’êtes vraiment ?

D. dit: à

Avouez que c’est drôlement compliqué.
Je vais m’en tenir à des rillettes du Mans sur une biscotte.

B dit: à

il faut lire tel livre…

J’aime bien les prescriptions , cependant j’avoue avoir callé à la page 249 de Mason et Dixon, sans déseperer d’en venir un jour( d’hiver) à bout. Je suis actuellement en panne de conseils, que faut-il lire qui m’ennuie pas plus l’été dans l’impossibilité où nous nous trouvons de nous risquer dehors entre 12h et 22h?

B dit: à

N’ennuie.

Janssen J-J dit: à

@ RM, pmp je reconnais volontiers être un vraiment con, d’autant je ne mange que des Paganini… Mais surtout, je n’arrive plus à vous suivre sur le prétendu sentiment de votre abandon, -si j’ai jamais pu-, car j’en étais resté aux pas de l’immense Goliarda (lettera apera), et non à ceux d’Ennio Morricone qu’hélas elle ne semble pas avoir connu de son vivant. GS n’apparait nullement dans les derniers liens de vos blogs, j’en suis fort déçu, d’où cette cruelle impression de malentendu persistant entre nous. La barrière de la langue me parait de plus en plus infranchissab’. Seule vos goûts musicaux m’unissent, fraternellement parfois…
et l’apéro… Skool ou tchin, c’est l’heure d’ailleurs !.. Bàv

Janssen J-J dit: à

@ B, il y aurait bien ce très joli conte provençal jeangionesque, très profond finalement, le venteux « dit du mistral », d’un certain Olivier Mak-Bouchard, très rafraichissant pour l’été sur la playa, et pas du tout ennuyant. Non.
(M’enfin…, n’entends-j point vous influencer, ni vous prescrire… Suis de ceusses qui n’aiment pas trop, anéfé)… Bàv, B.

Janssen J-J dit: à

(oups…) Lettera aperta (retraduit par N. Castagné au Tripode, en 2021). @ RM

B dit: à

Rien ne nous venge mieux des mauvais jugements que les hommes se font de notre esprit, de nos moeurs et de nos manières, que l’indignité et le mauvais caractère de ceux qu’ils approuvent.
Du même fond dont on néglige un homme de mérite, l’on sait encore admirer un sot.

Les caractères.

B dit: à

Merci de ce conseil, 3J je vais voir .

Janssen J-J dit: à

@ l’étale : -> La pellagre est une maladie systémique rare secondaire à une carence en niacine (vitamine B3 ou PP). Elle associe une éruption cutanée photo-induite, des troubles du transit, et en cas de déficit prolongé, des signes neurologiques.
Bàv

(veuillez nb/ que… dans les années d’entre-deux guerres sous le fascisme italien, elle était encore très répandue, quand les masses populaires trop carencées ne mangeaient pas suffisamment à leur faim).

renato dit: à

Immense GS ? le mot me parait exagéré, JJJ. Désordre-ordre est un moment créatif qui n’appartient à personne. Cela dit, GS ne fait pas partie de mon paysage, car l’avoir lue n’a rien changé dans ma perception du monde — je ne crois qu’à la perception (vue, ouïe) : pas d’âme, donc —.

renato dit: à

Essayez d’arriver jusqu’à page 256, B., tant pour finir le chapitre.

rose dit: à

Vu Ennui, avec Emma.
Deux heures de bonheur fou.
Ce soir elle mangera un morceau de bleu sur une tranche de pain de mie. Deux salades de fruits frais. Avec un jus d’orange.
À midi, sardines grillées avec les doigts.
Fin de matinée, baignade au Prado.

rose dit: à

Vu Ennio.

Ennio.
Un génie !

rose dit: à

Panini, ma Nine.

renato dit: à

« Gloire à l’Ukraine », pardon, etc.

et alii dit: à

inutile de me bassiner, j’ai trouvé
Erdély (« au-delà des forêts ») en hongrois!
alors basta, les pseudos prescripteurs

et alii dit: à

et comme j’aime le
« pane di Toni », autrement dit « panettone »!

et alii dit: à

« pane di Toni », autrement dit « panettone »!
ça vous étonne?

MC dit: à

Oui, lmd, je l’ai bien vu et apprécié de l’extérieur, quitte à déchanter de l’intérieur ou joue un indéniable effet caverne. Je veux bien que chaque exposition commande son éclairage, mais là trop c’est trop. Bien à vous. MC

D. dit: à

Gloire ni à l’Ukraine ni à la Russie, ni à la Russie, ni à l’Ukraine.

Jazzi dit: à

« Ennio.
Un génie ! »

Dans son genre, la musique de film, ou un génie de la musique tout court, rose ?

Janssen J-J dit: à

@ Immense GS ?

oui et je pèse mes mots… Vous n’avez jamais lu donc ressenti l’électrochox provoqué par la force tellurique du brûlot « l’art de la joie »…
Au demeurant, nul icite n’osera vous demander quel.es écrivain.es eussent transformé votre vision du monde.? Il est vrai qu’après sondage auprès de nos vieux.lles erdélien.nes, il semblerait que nul.le n’eût jamais été « transformé;E » par quel.fe qu’écrivain.e que ce fût…
Bàv
(NB ‘j’avoue en avoir ramme de l’écriture inclusive, mais ne le répétez à personne, hein, merssi !)

Patrice Charoulet dit: à

LOYER

Locataire à Dieppe d’un bel appartement de 80 m2 , au premier étage d’un immeuble situé à 100 m
de la plage et à 100 m de tous les commerces, avec des voisins charmants et calmes, avec garage
fermé, avec chauffage collectif au gaz , je paie un peu moins de mille euros par mois, charges comprises. Cela depuis la forte augmentation des charges dont m’a parlé mon propriétaire.
J’ai d’abord été tenté de trouver cette augmentation peu compréhensible , puis j’ai réfléchi,et j’ai fait une comparaison.
On me dit que pour cette sommme-là, si j’habitais à Paris, j’aurais droit à une studette au cinquième étage sans ascenseur d’un mauvais immeuble, sans garage, et en devant payer mon chauffage indi-viduel en plus.
Je ne vais pas déménager à Paris

Jazzi dit: à

« GS ne fait pas partie de mon paysage »

Toute la question est de savoir si renato fait partie du paysage de GS ?

Jazzi dit: à

« Je ne vais pas déménager à Paris »

Les ectoplasmes n’ont pas d’adresse, char à roulettes !

D. dit: à

Je trouve qu’il y a quand même moins de barbus à Paris. J’espère que cette courbe descendante va s’accroître. Cette mode navrante finira sans doute par prendre fin.

renato dit: à

« Vous n’avez jamais lu donc ressenti l’électrochox.. »

Ai lu GS, JJJ, mais pas d’électrochoc, dans les faits elle ne m’a rien apporté — n’a rien changé dans ma perception du monde, pas de vision donc car je ne suis pas si con que vous semblez le croire, par ailleurs mon propos était on ne peut plus clair : je ne crois qu’à la perception (vue, ouïe) : pas d’âme. Mais peu importe, à chacun ses mythologies !

D. dit: à

Moins de couvre-chefs portés en lieux clos également. Il y a du progrès. Je ne parle pas des religieux pour qui c’est une obligation. Je parle des hommes qui se donnent un genre (vulgaire) en portant un couvre-chef dans le métro, les cafés et restaurant, les musées et même hélas les églises.

D. dit: à

Si quelqu’un ici aperçoit un blond dans une publicité televisée, peut-il m’en informer rapudement ?

rose dit: à

Jazzi

Un génie, Ennio.

Jazzi dit: à

« (vue, ouïe) »

C’est la définition même de la musique de film !

Moi, pour croire, il faut que je touche (ou couche) !

et alii dit: à

@P.Charoulet,
permettez moi, cher monsieur de vous demander si vous avez  » Les Mots du bitume « ,(Le Robert, 2017), Aurore Vincenti et de vous prier d’y puiser pour nous quelques merveilles comme celle que je découvre dans la lettre d’Ariane NICOLAS dans « mad et light » mon mag toutes saisons (infolettres@philomag

renato dit: à

Des arts plastiques et de la musique sans distinction, J., et il ne s’agit pas de croire !

Jazzi dit: à

« je ne crois qu’à la perception (vue, ouïe) : pas d’âme. »(renato, dans le texte)

renato dit: à

Surtout pas d’âme, ce résidu du sentimentalisme privé de forme.

Jazzi dit: à

rose, est-ce que chez vous les spectateurs ont applaudi à la fin de la projection de « Ennio » ?
dans la salle à la Bastille, où j’ai vu le film, ce fut le cas.

Jazzi dit: à

Un peu de sentiment ne fait pas de mal, renato !

renato dit: à

Pour paraphraser une amie poétesse :
« En réalité, toute ma vie je n’ai fait que faire une sorte d’histoire physiologique : tout vient de quelque chose de physique parce que je n’ai pas d’âme.
— Es-tu totalement sans âme ?
— Oui, je n’ai que les sens, et les mots. »

renato dit: à

Sentimentalisme, pas sentiment, Jacques ! respectons les mot !

et alii dit: à

Étienne Klein : “Comme Nietzsche, je me méfie de toute idée qui n’est pas née dans un contexte musculaire”

Janssen J-J dit: à

@ pas de supplément d’âme (RM), même chez bétove ?

Quelle perception détestable avez-vous de vous-même ?… à vous donner icite en pâture depuis des années. Vous devez bien en avoir une petite idée qui vous construit aussite, puisque la perception de votre radical jmenfoutisme et prétendue indifférence concernent aussi les autres, comme disait Merleau, et que très visiblement, vous vous y ajustez en permanence, ce qu’il serait aisé de démontrer… Mais pourquoi ferait-on cet effort avec un connard de votre acabit qui l’est ou veut le paraître, hein ?…

(je traduis, au cas où le sentimentalisme ne serait plus ce qu’il était à Rome, autrefois)

@ nessuna anima extra (RM), anche in Betove ?
Quale disgustosa percezione di te stesso hai alimentato qui per anni ?. Dovete averne un’idea, il che vi rafforza anche perché la percezione della vostra radicale e presunta indifferenza ai sentimenti riguarda anche gli altri, come diceva Merleau, e che ovviamente vi adattate costantemente ad essa, cosa che sarebbe facile dimostrare… Ma perché qualcuno dovrebbe fare questo sforzo con uno stronzo della tua razza che è o vuole apparire tale, eh ?

Jazzi dit: à

« Mais pourquoi ferait-on cet effort avec un connard de votre acabit »

Restons polis, JJJ !
Même sans âme, nous n’en restons pas moins humains…

Jazzi dit: à

Adjani dans « Peter von Kant » :
« – Oui, je suis une star, mais je suis aussi humaine ! »

Janssen J-J dit: à

mais je suis calme et très poli-cé, jzmn, faudrait pas croire !…

renato dit: à

Détestable JJJ ? il faudrait vous cultiver un brin.

Cela dit LvB c’était le XIXe siècle (e l’étudier sérieusement du point de vue physique — du son — vous ferait le plus grand bien) ; moi le gros de ma vie c’est la deuxième moitié du XXe avec d’autres préoccupations et responsabilités. Puis, pour ce qui est de votre interprétation de ce que je suis, sachez que je donne plus d’importance à une fiente de moineau, car porteur d’une idéologie désormais fatiguée et l’arrogance des jugement qui vont avec.
Bonne nuit.

renato dit: à

car porteur > car VOUS ÊTES porteur

Janssen J-J dit: à

@ et jzmn de rajouter (mot historik) : « il lui crache à la gueule quand il s’aperçoit qu’il veut redevenir humain »… (in, Anthologie de mes critiques de films LéZardés, éd. Anne Hidalgo, Paris, 2022, p. 532).
et voui…, le monde est devenu bin compliqué depuis le choc de la simplification !

Jazzi dit: à

« il lui crache à la gueule quand il s’aperçoit qu’il veut redevenir humain »

Oui, mais nous, nous ne sommes pas des masos, JJJ !
Ni même des sados…
Buona notte

rose dit: à

Jazzi

Projection archi pénible.
Mimi salle de 50 places sur la Canebière ciné partage avec le FIC.
Comme j’ai eu du mal à choisir entre trois films, nous sommes entrées au début de la projection 2 places au premier rang, le nez sur l’écran la tête en l’air.
Non, personne n’a applaudi mais son restés scotchés à leurs fauteuils. Ma mère et moi nous nous sommes carapatées.

rose dit: à

S’aimer un petit peu c’est déjà un premier pas même si de fourmi.
Buona notte

rose dit: à

sont restés, tous les vieux

rose dit: à

Ni maso.
Ni sado.
Mais erdéliens.
Sgnarf, sgnarf

renato dit: à

Évidemment et al., « se méfier de toute idée qui n’est pas née dans un contexte musculaire”.

Webern – Gould, Variations, Op 27

https://youtu.be/ZEtqEzPakxA

renato dit: à

Intéressant le dernier livre d’Andrea Marcolongo, de arte gymnastica. Elle dit que après avoir passé des années parmi les livres et les grammaires en essayant de ‘penser comme les Grecs pensaient’, elle a commencé à s’entrainer et a essayé de ‘courir comme couraient les Grecs’, dans l’idée de courir les 41,8 km entre Marathon et Athene comme il y a de là 2500 ans l’hémérodromes Phidippidès.

rose dit: à

En visionnant Ennio, dans des conditions pourtant drastiques, ah les tendons du cou, ai compris comment on pouvait être raide amoureux de l’Italie.
Quel pays !
Quel peuple !
Avec ma mère, longeant le David, celui des Offices à Firenze, copie au Prado, Massilia, avons évoqué mon père, gentiment, qui, à chaque passage devant, répétait « j’ai servi de modèle » ; et abattue profondément, et résignée, j’ai précisé à ma mère et répété deux fois a minima Charoulet, si ce n’est trois « mais papa, il ne faisait pas une blague, il le croyait vraiment ».
Elle l’a confirmé.
Pourtant, comme la Maria d’Ennio.
Exemplaire. Admirable.
À l’aduler et le soutenir toute sa vie.
M’a dit aujourd’hui « il n’osait pas. »
I-e, se lancer. Partir faire le tour du monde. Avoir de grandes ambitions. Est resté le petit garçon pauvre de son enfance, toute sa vie. Seule ma mère a évolué à la grande dame qu’elle est, à ses 88 ans. De la petite fille pauvre qu’elle était dans son enfance.

Et j. rêve d’Islande, et d’hommes du grand Nord.
Ni d’Italie, ni de Grèce, même si d’aucuns en sont frappa-dingues amoureux.

rose dit: à

Mon père, l’hémérodrome ccatastrophique des cinq mois précédant sa mort.

rose dit: à

Tous ses courriers mortels.

JC..... dit: à

SAMEDI 9 JUILLET 2022, 7h24, 25°, temps calme et ensoleillé

AME

Comment peut on croire encore, aujourd’hui, à l’existence dans chaque être humain de cette couillonnade propre à séduire les blaireaux ?

L’âme ? un truc pour les ânes…une invention ridicule !

renato dit: à

Finalement nous avons des juges pour lesquels l’histoire de l’art n’est pas un mystère, ce qui est rassurant dans ce monde où tout va à vau-l’eau.

JC..... dit: à

ASSEMBLEE NATIONALE

« Rencontre de l’actuel et de l’inactuel sur une table de dissection » (Passou)

Confrontation, sur la table sanglante du Parlement, Borne (A) / Mélenchon (INA), quoi !

JC..... dit: à

VOYAGE

Notre illustre Chef nupesiste va se rendre cet été au Mexique. La belle âme sait y faire, question modernité.

Ce sera Zavatta chez Zapata !

Jazzi dit: à

 » 7h24″

Tu fais de plus en plus la grasse matinée, JC !

closer dit: à

« Les hémérodromes, sont des coureurs employés, dans la Grèce antique, pour mener les dépêches dans les affaires de l’État. Il devait en général courir une journée à l’issue de laquelle il remettait son courrier à un autre hémérodrome. »

Au cas où…

JC..... dit: à

Sans âme, j’oblige ce qui me reste -mon pauvre corps- à jogger comme un vulgaire anglais sous influence birresque : courir pendant plus d’une heure, en ne pensant à rien de construit !

Ensuite, buffet matinal…

closer dit: à

Je crois que c’est la municipalité de Lyon qui a eu l’idée de régler le problème de la multiplication des rats en les appelant « surmulots ».

Ils courent dans les jardins publics, là où les jeunes enfants jouent sur le sol, très hygiénique…

Un internaute a eu l’idée d’afficher une photo des « petits surmulots de l’opéra ». Mignons ceux-là…

Jazzi dit: à

Ces écolos sont complètements dingues, closer !
Comment les é(rat)diquer ?

et alii dit: à

Bouches-du-Rhône
Provence-Alpes-Côte d’Azur
La présence de rats dans une école du 14e arrondissement de Marseille a contraint les parents à garder leurs enfants chez eux. Le problème est général à Marseille, bien que pour un spécialiste de la dératisation, la ville n’est pas plus touchée que Paris ou Lyon.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/rats-comment-la-ville-de-marseille-tente-de-controler-l-envahissante-colonisation-2253586.html

et alii dit: à

« J’ai entendu un bruit. Oh, presque rien, un craquement furtif. J’ai cessé alors de taper sur mon clavier. Cette fois, ce n’était plus comme un froissement, non, quelque chose grattait, mais je ne parvenais pas à en situer l’origine. Cela semblait proche et pourtant je ne voyais rien sur le parquet nu du salon. Peut-être était-ce dans les poutres. Le bruit a repris, celui d’un animal qui gratte, d’un animal qui creuse. Une pause. Et ça a recommencé. Là, ce n’était plus un grattement mais le mouvement d’une bête qui détale. Des rats ! »

Des mois durant, Zineb Dryef a dû affronter sa « musophobie », une peur répandue chez nombre d’entre nous, et s’est mise en quête de ces rats tapis dans les murs de son appartement.

Son livre, à la manière d’une investigation littéraire, nous mène des clameurs des ratodromes (où des chiens et parfois même des hommes combattaient à mort les rongeurs) aux coulisses de l’institut Pasteur, mais aussi sur les traces des chasseurs de rats, sous les pavés de la capitale et dans des dîners ultrachic où l’on déguste de la viande de rat.

Un récit passionnant sur ces bêtes débarquées en Europe dans les années 1700 et qui, de la Grande Peste à Ratatouille, n’en finissent pas de construire leur légende.
https://www.eyrolles.com/Loisirs/Livre/dans-les-murs-les-rats-de-la-grande-peste-a-ratatouille-9782359494228/

renato dit: à

Surmulot est vraiment l’un des noms du rat gris ou rat d’égout (en italien surmolotto, pantegana, ratto di chiavica — en anglais sewer rat, wharf rat, Hanover rat, Norway rat Parisian rat).

et alii dit: à

Le rat est un rongeur qui apprécie de venir grignoter les livres. Par conséquent, le rat de bibliothèque désigne un érudit venant dévorer tout ce que les livres ont a lui offrir. Précisons aussi que le rat de bibliothèque est le nom d’un tableau de Carl Spitzweg réalisé en 1850.

et alii dit: à

Aidez vos élèves dans leur apprentissage de la lecture avec les livrets de la collection Rat de bibliothèque. Offerte en version imprimée et numérique, celle-ci propose des livrets magnifiquement illustrés, dans lesquels les auteurs nous racontent des histoires originales tantôt drôles, tantôt touchantes, mais toujours près de l’imaginaire des enfants de 1re et 2e année.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…samedi 9 juillet 2022 à 10 h 23 min.

…nous disons donc,!…vite faits,!…

…exploitez les républiques à  » l’âme du lucre « , sous couverts à table des loyers, par exemple.

…puisque déjà, la république; nous, vous appartient, pourquoi payer un loyer, puisque vous êtes chez-vous,!…corps et biens,!…
…dans votre pays,!…

…l’état garantis les biens des propriétaires,!…comme les valeurs en bourses,!…donc,!…

…mais ses biens immobiliers, ne doivent pas créer des problèmes sociaux de convivialités,!…

…augmentations par rapports aux niveaux de vie des gens,!…

…les propriétaires ne sont pas des gérants de bordels,!…ou autres proxénètes d’occasions,!…

…et incidemment, toucher des plus valus de respects, par influences,!…et crimes organisés,!…

…c’est débiles, de prendre les gens pour des cons, une fois qu’on est propriétaires de n’importe quoi,!…

…il y a des règles à respecter, hormis les lucres complices à l’emporte-pièce,!…
…et des prétextes a inventer, pour spolier les gens en les parcelliser, dans des habitudes restrictives, en l’espace locatifs,!…

…lever des impôts, et frais d’architectes dans les relevés de constructions,!…

…il y a lieux, de construire soi-même, par ses propres moyens,!…
…etc,!…
…ou est l’état, propriétaire comme Judas des peuples  » cons  » soumis aux maquereaux de service,!…

…en tout lieux en tout chemins, se mettre aux Christ en chemins de croix,!…
…commerces et villégiatures à l’âme du lucre,  » achetez des propriétés « , pour faire flamber les prix, déjà de garantir ses propres ressources locatifs,!…

…un sur dix,!…en cas de débandade de la légion,!…Crassus et ses dogmes militaires,!…
…se n’était pas de ses enfants, légionnaires pour les capitalismes de Rome,!…à rien foutre, pour les connivences de guerre, pour anéantir, les concurrences privés,!…

…les vrais étrangers, assimilés des crèves la faim, aux peuples sédentaires,!…
…pour assurer et remplir les logis vides,!…
…pour bloquer la baisse des loyers,!…
…mais, on n’est plus chez-nous,!…
…faire des états des bordels du lucre et crimes organiser,!…
…les nerfs de la guerre sociale, le profit pour de petits cons, plus misérables que Victor Hugo,!…avec ses brûlots écris aux  » âmes  » des parvenus mortels,!…
…les queux à l’âme du vicieux profit de l’état,…
…une autre, une autre,!…
…c’est que je n’ai, pas que cela à faire,!…
…il y a , enfin, des spécialistes pour çà,!…même issus des universités dites du  » peuple « ,!…etc,!…collaborations,!…
…Go,!…

rose dit: à

Comment les é(rat) diquer ?
On peut les ratiboiser.

rose dit: à

Les rats sont remontés dans les quartiers nord.
Benoît Payant va lancer le tramway pour désenclaver le quartier.
Je ne sais pas ses projets rue Longue des Capuçins, où hier, nous étions à Istanbul.
Ni au bas de la Canebière ou ont pris place les mamas à tresses africaines. Nous étions à Djibouti.

Pas de jugement.
Un récit.

rose dit: à

où ont pris place.
Où siègent serait plus juste.
Nous avons zigzagué.

Même pas mal.
Même pas peur.
Mais, crevée.

Les rats et les loups, des similitudes.

rose dit: à

Pas d’âme, ma dame.
Paradoxe.

rose dit: à

Les écolos sont respectueux de leur environnement.

Jazzi dit: à

A Paris, on ne mourra pas de faim, il parait que c’est très bon le rat, d’après les « Mémoires de ma vie » de Mathilde Mauté, ex-madame Paul Verlaine, parus seulement en 1935 :

Certes, à cause du siège de Paris, et du terrible hiver 1870-1871, le couple, comme tous les Parisiens, dut pâtir des restrictions alimentaires et du froid. Mais l’amour de son mari et l’argent de ses parents aidant, c’est presque avec amusement que Mathilde et Paul traversent cette sombre période de notre histoire : « Pour Noël, nous fîmes un réveillon très gai avec les personnes de notre groupe habituel. Chacun avait apporté ses provisions. Je m’étais mise en quête plusieurs jours à l’avance et j’avais découvert, rue du Quatre-Septembre, une modiste qui, renonçant à vendre des chapeaux, faisait commerce de victuailles. Elle venait justement d’acheter plusieurs animaux du Jardin des Plantes qu’on avait tués, dans l’impossibilité de les nourrir. La boutique contenait un peu de tout : du singe, de la girafe, du zèbre (…) elle me montra de jolies petites terrines sur lesquelles étaient écrits ces mots suggestifs : Terrines de perdreau de Nérac. Prix quatre francs. C’était pour rien. J’en achetai tout de suite plusieurs. Le jour du réveillon les terrines obtinrent un succès ; leur contenu était vraiment très bon. Au jour de l’an, j’en portai chez ma mère ; même succès ; mais le docteur Cros trouva quelques petits os qu’il examina avec attention. Il me dit : – Ne vous y trompez pas, madame. Votre perdreau est du rat, mais ce rat est exquis ; je vous en redemanderai un peu. » 

et alii dit: à

aujourd’hui, samedi, pas de radada

Honneur de blog dit: à

Entre les pensées du grangeon et les aphorismes du pizzaiolo, quelques étincelles scintillantes dans le feu de bois?

MC dit: à

« Ratopolis etait bloquée. ». Jean de La Fontaine. Et voir aussi son « Conseil tenu par les rats « . Là , la scène est éternelle…Et pas seulement au Conseil de Paris dont elle est l’exact opposé !

et alii dit: à

peut-être une « confusion » dans mes souvenirs:je croyais que l’une des premières scènes des Kaspar Hauser était l’arrivée au port d’un bateau infesté de rats;
je ne le retrouve pas; à défaut:
Au ponton comme au port, des rongeurs peuvent venir élire domicile à bord de votre bateau. Si vous n’agissez pas promptement, les dégâts peuvent être considérables, voire dangereux. Voyons donc comment lutter contre ces nuisibles à bord de nos bateaux.
https://www.bateaux.com/article/37271/des-rats-sur-un-bateau-reagir-prestement-pour-eviter-les-degats

et alii dit: à

Un crash d’hélicoptère évité de justesse à la pointe du Raz obs

Amanda Lire dit: à

la pointe du Raz obs

Mais quelle drôle d’idée de s’envoyer en l’air en hélicoptère? 🙂

et alii dit: à

renato, je n’ai pas noté la remarque de poutine sur l’âme et le corps » lorsqu’il déplorait la possibilité d’un spectacle dégoutant (sic video obs)!

Alexia Neuhoff dit: à

JJJ sera d’accord avec moi, nous tenons en la personne de Jazzi le plus puissant des lanceurs d’alerte ; à côté Julian Assange, Edward Snowden ou Chelsea Manning sont des nains. En effet, qu’il mette la focale sur les rats de Paris et c’est toute la cohorte des commentateurs qui lui emboîte le pas. Mieux que Le joueur de flûte de Hamelin !

Jazzi dit: à

C’est trop d’honneur, Alexia !
Vous reprendrez bien un peu de Terrine de perdreau de Nérac ?

Phil dit: à

Chelsea Manning n’est pas un nain, c’est un trans. De plus en plus de confusions sur le prestigieux blog à passou.

J J-J dit: à

oui jsuis d’accord, j’opine, Nel !… Rat’l Poutine !

Alexia Neuhoff dit: à

« Terrine de perdreau de Nérac ? »
Quézaco ? Enfin, s’il est de l’année…

J J-J dit: à

le message précédent @ Alexia David Nell… 😉 et je kit le navire

Alexia Neuhoff dit: à

On peut toujours compter sur Phil pour révéler les dessous [chics] (des affaires).

Janssen J-J dit: à

@ pmp, J’aime pas trop le vélo électrique cul nu à Paris, ça mes les échauffe trop vite, et après tu peux plus rien faire pour celer les rats. Bàv,
https://theconversation.com/le-naturisme-soffre-t-il-une-cure-de-jouvence-185519?utm_medium=email&utm_campaign=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%209%20juillet%202022%20-%202344023359&utm_content=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%209%20juillet%202022%20-%202344023359+CID_0dcdf89ec41ed2489a945b93a0106340&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=Le%20naturisme%20soffre-t-il%20une%20cure%20de%20jouvence
Chez moi, jadis, enceinte Onge, « les queues de rat », c’était les salsifis.

et alii dit: à

je ne sais plus qui évoqua un « boris », mais sur le blog de P.Jorion, un -enfin deux!-portaits de l’ex ministre anglais et des remarques sur la « décence » et l’Angleterre dont JORION dit son amour (je l’aime moi aussi! sans avoir eu l’expérience de Jorion d’y étudier , et vivre)
il me semble que sur le tableau par la mère à BORIS
IL Y A UNE FOURCHE symétrique aux barreaux (???)
video Au bord du précipice … ou pas ?
« Oxford Union » et non « Oxford Society »
bonne journée

J J-J dit: à

@ D… une bonne idée pour votre déjeuner à Chaville. Bàv,
https://www.google.com/search?q=salsifis+queue+de+rat&tbm=isch&source=iu&ictx=1&vet=1&fir=0pF5Umqi0qYSxM%252CJlbwtNyA6qPhwM%252C_%253B10BqcbRBlgKecM%252CpeBjtfuNIBQczM%252C_%253B6EdG6luBALr0lM%252C-SSW0wiRat0MuM%252C_%253BxqXdcECoE8FJvM%252CKMkzotlVUc2S8M%252C_%253Bq4-U4YBaGfWnwM%252CWM9V7O28zzEurM%252C_%253BfCQ3e2jTk9ixVM%252CYCF0gNjMfFCxPM%252C_%253Bv5-f64MLDZev6M%252C6bmU3bhqRzGDPM%252C_%253BkUykn7yoSYXB_M%252ClAecbZjmSULYzM%252C_%253Bmv1TRPuccfpC3M%252Cdd5V6u4lxi0JPM%252C_%253BuzvjyU6KkdWGrM%252CI0qg9T3PvRACYM%252C_&usg=AI4_-kTjQLd4Om44SqK04kD5j5DjWFIpLg&sa=X&ved=2ahUKEwibyrycxuv4AhVMzoUKHQU6CywQ9QF6BAgfEAE#imgrc=q4-U4YBaGfWnwM

J J-J dit: à

Le Cochet, le Chat, et le Surmulot 😉
———–
Un Souriceau tout jeune, et qui n’avait rien vu,
Fut presque pris au dépourvu.
Voici comme il conta l’aventure à sa mère :
J’avais franchi les Monts qui bornent cet Etat,
Et trottais comme un jeune Rat
Qui cherche à se donner carrière,
Lorsque deux animaux m’ont arrêté les yeux :
L’un doux, bénin et gracieux,
Et l’autre turbulent, et plein d’inquiétude.
Il a la voix perçante et rude,
Sur la tête un morceau de chair,
Une sorte de bras dont il s’élève en l’air
Comme pour prendre sa volée,
La queue en panache étalée.
Or c’était un Cochet dont notre Souriceau
Fit à sa mère le tableau,
Comme d’un animal venu de l’Amérique.
Il se battait, dit-il, les flancs avec ses bras,
Faisant tel bruit et tel fracas,
Que moi, qui grâce aux Dieux, de courage me pique,
En ai pris la fuite de peur,
Le maudissant de très bon coeur.
Sans lui, j’aurais fait connaissance
Avec cet animal qui m’a semblé si doux.
Il est velouté comme nous,
Marqueté, longue queue, une humble contenance ;
Un modeste regard, et pourtant l’œil luisant :
Je le crois fort sympathisant
Avec Messieurs les Rats ; car il a des oreilles
En figure aux nôtres pareilles.
Je l’allais aborder, quand d’un son plein d’éclat
L’autre m’a fait prendre la fuite.
– Mon fils, dit la Souris, ce doucet est un Chat,
Qui sous son minois hypocrite
Contre toute ta parenté
D’un malin vouloir est porté.
L’autre animal tout au contraire
Bien éloigné de nous mal faire,
Servira quelque jour peut-être à nos repas.
Quant au Chat, c’est sur nous qu’il fonde sa cuisine.
Garde toi, tant que tu vivras,
De juger des gens sur la mine.

Patrice Charoulet dit: à

Suis-je Français ?

Le tour de France ne m’intéresse pas du tout. Je n’aurais pas l’idée saugrenue de dépenser un centime pour aller voir un match de foot et même si on me payait, je n’irais pas.
Ni l’hiver, ni l’été, je n’ai aucune envie d’aller en vacances quelque part, soit en France, soit ailleurs.
Je ne consomme ni cannabis, ni cocaïne, ni héroïne. Je n’aime ni les cigares, ni les cigarettes. Je n’aime ni le whisky, ni le cognac, ni la vodka. Je n’aime aucune bière, aucun vin, pas même le champagne. Quand j’ai soif, je bois de l’eau, seule boisson qui ne semble supportable.
Je préfère manger mille fois chez moi qu’au restaurant.
Je dors huit heures par nuit, je m’endors en cinq minutes, je ne sais pas ce que c’est qu’un sommifère, qu’une insomnie ou un tranquillisant. Je n’ai jamais eu mal à la tête de ma vie. Je ne suis pas en surpoids. Quand on me fait faire une analyse de sang, tous les chiffres sont normaux.
Je n’ai jamais eu une seule amende de ma vie, même pour une éventuelle infraction routière. J’ai tous mes points sur mon permis de conduire. Et je vote à toutes les élections.

Pour toutes ces raisons, je pense être ultra-minoritaire dans mons pays et bien des gens pourraient se demander si je suis totalement Français. Ma carte d’identité le dit pourtant. Et j’aime beucoup la langue française, ce qui n’est pas une si mauvaise façon d’être Français.

et alii dit: à

à bon chat, bon rat

rose dit: à

Rat des villes, rat des champs : surmulot ?

et alii dit: à

je ne m’ennuie jamais comme un rat mort:
 »
Origine :
L’expression « être comme un rat mort » ou « s’ennuyer comme un rat mort » est apparue dans le courant du XXème siècle. Elle sert à expliquer de manière particulièrement imagée l’ennui profond qu’on peut ressentir lorsqu’on est abandonné de tous, grâce à la métaphore du rat mort seul, oublié de tous au fond du grenier.

et alii dit: à

ça va, vos ratiches? DIT LE DENTISTE QUI A LES CROCS

Jazzi dit: à

Saint Charoulet priez pour nous, pauvres pécheurs !

closer dit: à

Il m’inquiète…

Je me souviens d’une amie qui disait de sa mère qu’elle était « monstrueusement normale ».
Mais cette normalité devait inclure un petit verre de vin ou de whisky de temps en temps, le besoin de s’aérer au bord de la mer, un petit bout de lexomimile le cas échéant. Chez notre ami, rien, rien, rien, à part la langue française et encore, à condition qu’elle soit écrite comme il l’aime…

Un cas d’école ? Un objet d’étude ?

Jazzi dit: à

La prière à saint Charoulet

Notre Charoulet
qui es à Dieppe,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite
sur la RDL comme en Normandie.
Donne-nous aujourd’hui
notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi
à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation,
mais délivre-nous du Mâle.
Amen.

rose dit: à

Et les rabanes ? questionné Albane ?

rose dit: à

questionne
Et les radicelles ? Se demande icelle.

et alii dit: à

Mais il se trouve qu’on l’appelle aussi le dieux aux rats, ou bien « le dieu-rat », en grec, Apollon Smintheus, dit encore « dieu des souris ». Voilà qui mérite explication. Apollon, qui sait tuer, a une vocation de guérisseur, ce qui s’entrevoit dans les consultations de l’oracle de Delphes, son principal sanctuaire. Il a pour fils Asclépios, le dieu de la médecine, si habile à soigner les humains qu’il est même parvenu à les ressusciter- pas longtemps, car Zeus le foudroya. Et le rat là-dedans ? J’y viens.
Le petit rat, ou la souris, font partie des médicaments administrés par les médecins, notamment le bébé souris plongé dans du miel, et qu’on donne tout entier à avaler aux enfants malades. Oui, je sais, c’est peu ragoûtant. Toujours est-il que des souris blanches étaient soigneusement gardées dans les temples d’Apollon, comme guérisseuses, divinatrices et pour protéger le dieu de brutales invasions de souris grises. Ou de rats transportant la peste.
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/nous-serons-comme-des-dieux/nos-amis-les-betes-apollon-dieu-des-rats-6802208

et alii dit: à

D’où vient la légende de la Petite Souris ?
L’origine de la Petite Souris viendrait d’un conte français du 18e siècle que l’on doit à Madame d’Aulnoy, une baronne qui vécut de 1650 à 1705 sous le règne du roi Louis XIV.

Il s’intitule La Bonne Petite Souris, et conte l’histoire d’une fée qui se change en une souris pour aider une reine à se défendre contre un méchant roi. La souris le hante en se cachant sous son oreiller et en lui faisant tomber toutes ses dents.

Une croyance plus ancienne voulait que lorsque la dent tombée était mangée par un animal, la nouvelle dent prenne les caractéristiques des dents de l’animal en question. C’est pourquoi, les parents donnaient parfois la dent perdue à une souris en espérant que la nouvelle dent de leur enfant soit aussi dure et aiguisée que celles du rongeur.
https://www.lesdentsdelait.com/preparer-passage-de-petite-souris/qui-est-la-petite-souris/

Patrice Charoulet dit: à

à Monsieur Jacques Barozzi, dit Jazzi

Monsieur,

Vous n’avez pas voulu signer ici vos productions de votre vrai prénom et de vrai nom ; vous avez préféré signer d’un nom supposé. Libre à vous. C’est une lâcheté comme une autre.
Mon patronyme est celui que mon père m’a légué : Je ne l’ai pas vraiment choisi.Il y a de plus enthousiasmants, je vous l’accorde. Je n’ai cru devoir le dissimuler.
Il vous paraît désopilant au point que vous croyez opportun le rendre encore plus rigolo en le déformant de la sorte « char à roulettes ».Les plus fins et les plus délicats du lectorat lettré d’ici
ont dû goûter sans contredit votre esprit charmant.

Honneur de blog dit: à

Patrice Charoulet dit: à

Suis-je Français ?

Oui, pleinement et avec honneur, Patrice Charoulet!

renato dit: à

Pub trivago, 1 blonde.

J J-J dit: à

et en plus, il n’est même pas fuij, horreur du blog …

J J-J dit: à

pour les rats d’cave, la rdl est un bon filon

MC dit: à

Et Alii. Il doit s’agir de Nosferztu version Herzog. La légende ne dit pas si les rats ont été payés…

Jazzi dit: à

Et les rastaquouères ? s’informe Marcel ?

Jazzi dit: à

Mon Chacha, quand on commence une lettre par « Monsieur », on la termine par une formule de politesse.
Tout se perd !

et alii dit: à

M.C. pour le film,merci; je saurais rien trouver sur la toile maintenant;
mais j’ai une ravissante souris:
« Les souris de bronze d’Apollon Smintheus »
https://www.ajaonline.org/article/1861

Alexia Neuhoff dit: à

Suite à l’impressionnant autoportrait de M. Charoulet, je me suis dis « tout de même, pas un seul petit vice, pas le moindre début d’un défaut, c’est inhumain ! ». Et j’ai repensé à cette série israélienne que je déguste épisode après épisode, « Mafia Queens » , arte TV. Série qui, elle, en regorge, en abonde, en foisonne. Les Malka sont une famille de mafieux. Après que les mâles ont été dégommés, les femmes tentent de prendre le relai des activités criminelles (trafics de drogue, prostitution, prévarications et chantages en tout genre, etc.). Ce que, naturellement, les clans rivaux ne voient pas d’un bon œil. Alors ça se flingue, ça se surine, ça s’assomme, ça se vitriole à qui mieux mieux. Que des femmes (et pour cause) soient obligées de prendre la relève afin que le clan conserve sa position dans le monde (très masculin, très macho) du crime organisé, n’est pas d’une originalité folle. Le fait que cela se déroule en Israël ajoute indiscutablement du piment et de la drôlerie. Puis il y a, dans le rôle de Tzipi Malka, une actrice formidable, frappadingue, absolument planante pas seulement parce qu’elle se prénomme Orly, probablement le sosie d’et alii (c’est en tout cas comme cela que je me la représente). Tous à vos zappettes !

rose dit: à

Hyper sexy.
Blonde.
Madame sans âme.

rose dit: à

Et sans états.

renato dit: à

La régénération générationnelle se produit par le recours aux besoins physiologiques — la force des Grecs, selon Nietzsche —, et que celles et ceux qui ont besoin d’une âme mijotent dans leurs archaïsmes.

rose dit: à

Certains n’ont pas besoin puisque l’ont.
L’ont l’âme, Laam, madame.

renato dit: à

Il y en a qui croyant aux fables, en un sens c’est touchant !

Pablo75 dit: à

« Je ne consomme ni cannabis, ni cocaïne, ni héroïne. Je n’aime ni les cigares, ni les cigarettes. Je n’aime ni le whisky, ni le cognac, ni la vodka. Je n’aime aucune bière, aucun vin, pas même le champagne. Quand j’ai soif, je bois de l’eau, seule boisson qui ne semble supportable.
Je préfère manger mille fois chez moi qu’au restaurant.
Je dors huit heures par nuit, je m’endors en cinq minutes, je ne sais pas ce que c’est qu’un sommifère, qu’une insomnie ou un tranquillisant. Je n’ai jamais eu mal à la tête de ma vie. Je ne suis pas en surpoids. Quand on me fait faire une analyse de sang, tous les chiffres sont normaux.
Je n’ai jamais eu une seule amende de ma vie, même pour une éventuelle infraction routière. J’ai tous mes points sur mon permis de conduire. Et je vote à toutes les élections. »
Patrice Charoulet dit

Et tu bandes encore?

Damien dit: à

A propos de mulot, n’oublions pas un célèbre dieu Indien, nommé Ganesha, toujours représenté assis avec une souris entre les jambes. Je vénère ce dieu pour tous les bienfaits qu’il m’apporte. Je suis sûr que M. Charoulet lui voue aussi un culte, vu sa condition physique et mentale qui fait ici-même des envieux, apparemment (jazzi et Mme Neuhoff). Vous savez, Charoulet, j’ai des points communs avec vous, je ne dirai pas lesquels — mais je suis insomniaque, ce qui me permet de travailler davantage que les autres et de réussir mieux. Vous, vous dormez : quelle catastrophe ! Elève Charoulet, ce n’est pas comme ça que vous réussirez dans la vie !

Pablo75 dit: à

Charoulet confond ce blog avec une agence matrimoniale…

Pablo75 dit: à

« Les ivrognes, les cinglés, même géniaux, n’ont jamais exercé la moindre fascination sur ma modeste personne, certes sensible, mais aussi hyper rationnelle ! »
closer dit

Tu es Vierge? Capricorne?

B dit: à

Parmi les écrivains, pourtant Closer, il y en a un nombre indéterminé qui ont sérieusement bu. Fizgerald, Hemingway , Houellebecq

B dit: à

Blondin, Quignard? Sagan

B dit: à

Pablo, l’alcool nuit à la performance sexuelle. Si en plus vous êtes vieux vous cumulez deux raisons de ne pas, ou preferer ne pas passer à l’offensive.

et alii dit: à

Duras aussi ,je crois
ar malgré cette légende qu’elle a liturgiquement mise en scène, le trajet de Marguerite Duras s’inscrit dans l’anonymat et le stéréotype du trajet de tous les buveurs. Marguerite Duras va passer d’un alcoolisme joyeux, allègre, festif, amoureux et fraternel à un alcoolisme lié à la détresse, la solitude et la dépression.

10Au sortir de la guerre, dans l’appartement de la rue Saint-Benoît, l’alcool accompagne la littérature et l’engagement politique ; on est ivre de joie et on est bien souvent ivre tout court.

11Quelques décennies plus tard, elle écrira : « j’ai commencé à boire dans les fêtes et dès le début je suis devenue alcoolique ». Marguerite Duras introduit très vite la permanence dans le temps de l’alcool : « j’ai commencé à boire le soir, puis à midi, puis le matin, puis j’ai commencé à boire la nuit ; une fois par nuit, puis toutes les deux heures ».

12Elle notera aussi, quand on lui demandera comment elle a commencé à boire, cette constante de l’histoire des femmes qui boivent : c’est avec un homme qui buvait.
https://www.cairn.info/revue-la-revue-lacanienne-2010-2-page-33.htm#:~:text=Marguerite%20Duras%20introduit%20tr%C3%A8s%20vite,puis%20toutes%20les%20deux%20heures%20%C2%BB.

B dit: à

Churchill, Marx.

D. dit: à

Moi je suis vierge donc je peux boire.

Jazzi dit: à

« Sur le Sillon de Talbert,
Pas un humain dans l’air,
Pas un pêcheur dans l’eau,
Pas un falot.

Seul, assis à la Grève,
Le grand Edel soulève,
Sur l’horizon serein,
Son pied d’airain.

La lune qui s’efface
Couvre son front, qui passe
D’un nuage étoilé
Demi-voilé. »

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*