Retour gagnant pour John Le Carré
Quelle souffrance de se jeter dans la lecture du nouveau roman de l’un de ses écrivains de chevet, d’être enthousiasmé, emballé, emporté du tout début à la toute fin et malgré tout d’en vouloir à l’auteur ou à sa traductrice. Pour un mot, un seul, pas plus. Un mot qui ne passe pas. Un mot qui reste en travers la gorge. La seule réserve, le seul regret, la seule question sans réponse. Mon cas avec Retour de service (Agent Running in the Field, traduit de l’anglais par Isabelle Perrin, 302, 22 euros, Seuil) de John Le Carré.
D’abord rendre hommage au maitre. Non du roman d’espionnage mais du roman. Cornwell alias Le Carré en est un depuis la parution de L’Espion qui venait du froid (1963). En un peu plus d’un demi-siècle, il a construit un monde, un univers, une œuvre qui prolongent ceux de ses propres maitres Joseph Conrad et Graham Greene, et dans un genre différent Dickens et Balzac. A deux reprises ses lecteurs ont pu craindre qu’il ne rangeât définitivement sa machine à écrire : lorsque le mur de Berlin est tombé et avec lui l’intérêt du public pour les ambiances de guerre froide, leurs enjeux politiques, les paranoïas ordinaires des gens du Renseignement des deux côtés ; et lorsque l’écrivain a commencé à atteindre « un certain âge » (il est né en 1931).
Julien Gracq m’avait expliqué un jour que passés, disons, 75 ans, un romancier devait sérieusement renoncer à son art. L’écrivain pouvait certes continuer à donner des livres de chroniques, de souvenirs, de portraits, de vagabondages, de brefs récits mais il n’avait plus l’énergie nécessaire, tant physiquement que moralement ou psychiquement, pour créer des personnages de fiction et les porter durant toute la gestation d’un roman. Georges Simenon, Michel Tournier et tant d’autres encore (on pourrait convoquer l’histoire littéraire mondiale) le confirmaient et l’illustraient même par leur attitude ; Julien Green, né en 1900, demeurait l’un des rares à le démentir en publiant de 1987 à 1994 sa trilogie romanesque sur fond de guerre de Sécession Dixie ; cela suscita de tels doutes chez les critiques que son éditeur Claude Durand m’avait dit à l’époque être prêt à sortir du coffre le manuscrit autographe afin de prouver qu’il était bien de la main de l’auteur. John Le Carré, passé l’âge dit fatidique, a écrit ces douze dernières années sans que sa plume ne faiblisse Un homme très recherché, Un traitre à notre goût, Une vérité si délicate, L’Héritage des espions ainsi que, hors-fiction (encore que, parfois, on a pu se demander…) ses mémoires Le Tunnel aux pigeons !
Le tout dernier témoigne de sa forme. Anatoly, dont le prénom a été anglicisé en Nathanaël et diminué en Nat, 47 ans, né en Neuilly quand son père y officiait à l’Otan, est un agent de terrain des services de renseignements britanniques. Il vient de rentrer à Londres. Alors qu’il espère raccrocher et rester au pays afin de poursuivre le job plus tranquillement, après vingt-cinq ans de maison au Bureau, on lui confie une ultime mission : diriger le Refuge, une sous-station du département Russie. Pompier volant aguerri, officier traitant russophone, il est l’homme de la situation. Des pré-retraités de l’espionnage s’y roulent les pouces avec d’anciens transfuges de l’ex-KGB, à l’exception d’une brillante jeune femme récemment recrutée afin de coller aux basques d’un oligarque ukrainien. Voilà le canevas. Manque l’essentiel : le grain de sable.
Il s’appelle Ed, il est bien plus jeune que Nat, et lorsqu’il parle de politique, on croirait vraiment entendre la colère personnelle de John le Carré lorsque, dans ses articles, il dénonce « le délire absolu » de « ce suicide collectif » qu’est le Brexit, vomit les conservateurs à commencer par Boris Johnson « à l’ignorance crasse » et ne ménage pas les travaillistes, voue Trump et Poutine aux gémonies ou accable les multinationales du médicament ou de la technologie pour leur maxi-profit- sans faire pour autant du roman un brûlot politique. La rencontre entre Nat et Ed a tout d’un formidable coup de foudre amical. Sauf qu’au bout, un piège se dessine, avec son lot d’agents dormants et de taupes réveillées, de désillusions chahutées et de loyautés contestées, et se referme…
La complexité des situations, qui a souvent dérouté ses lecteurs, cette fois n’est plus un obstacle – même si certains agents racontent parfois des salades à vous en rendre végétarien ! (Le Carré m’avait expliqué un jour qu’elle était due à sa longue pratique de l’allemand qui lui était devenu une langue naturelle, et qu’il avait donc tendance en anglais à rejeter le verbe à la fin ce qui compliquait un peu la compréhension…). Et ça tient, comme dans ses grands romans des années 80, car sa virtuosité est intacte. Cela ne va pas de soi quand un créateur a inventé un monde si personnel, si connoté à sa manière propre, qu’il donne l’impression d’avoir créé ses propres poncifs. Le tout est d’admettre que le temps est venu de s’en débarrasser. Ce qu’il a fait sans pour autant se moderniser en s’aidant des béquilles narratives de la technologie (textos, ordinateurs etc) ; au contraire même puisque l’un de ses personnages en revient au bon vieux papier, et même à la casserole pour décacheter les enveloppes à la vapeur comme à l’autre siècle car « c’est devenu plus sûr ».
Simplement, sa langue est plus limpide sans s’être pour autant asséchée et sans que la complexité des personnages n’en souffre (lire ici un extrait). Le récit y gagne en nervosité ce qu’il perd peut-être en profondeur. Moins de détails (paysages, décors, vêtements etc) mais qu’importe : on est de plain-pied dans l’histoire dès l’entame et on y reste jusqu’au bout car les dialogues et les portraits sont au poil. Ce n’est pas une question de suspens, comme chez Patricia Highsmith par exemple, mais d’empathie, de familiarité, de convivialité avec des gens qu’on ne voudrait pas quitter sans savoir comment ils s’en sortiront. D’autant que Le Carré use pour son 25ème roman d’un fil rouge qui nous les rend plus proches encore : le badminton.
Tant Nat que Ed en sont fanatiques. Ils y excellent. Tout les ramène à un affrontement permanent de part et d’autre du filet, une raquette dans une main et un volant dans l’autre. (Jean-Paul Dubois n’avait pas agi autrement dans La Succession mais avec la cesta punta, variante de la pelote basque). Bien sûr, on pourrait facilement reprendre et chipoter Le Carré sur la supériorité dont il crédite le badminton « cet art de la subtilité » par rapport au squash « jeu de massacre ». Evidemment, dès lors qu’on en fait « le roi des sports »… Il a tort mais qu’importe. En revanche, on a envie de le suivre et d’explorer plus avant la nature de grands solitaires qu’il prête aux badistes. Pour ceux qui ne l’auraient pas compris, cela explique le titre du roman en français Retour de service, même s’il joue aussi habilement sur la polysémie du mot « service ».
Ce n’est peut-être qu’un détail mais généralement, je ne peux m’empêcher de prêter attention aux expressions signalées d’un astérisque par le traducteur comme étant « en français dans le texte ». Cela renseigne non seulement sur les traits de caractère que l’auteur nous prête mais aussi sur la popularité de certaines expressions françaises à l’étranger. Dans Retour de service, on trouve bien « pour la bonne bouche », « tour d’horizon », « voilà » « croûtes au fromage »… Mais une expression domine de manière récurrente : « mes chers collègues ». Pourquoi ? Aucune idée. A croire que ça ne se dit pas en anglais car il est difficile de croire qu’outre-Manche, leurs bureaux soient dénués de collègues.
A propos, j’allais oublier le mot qui m’est resté en travers la gorge ; il apparait dès la première page à la fin du premier paragraphe : « …un couloir qui dessert les vestiaires et les douches genrés ». Je ne dispose pas de l’édition originale du roman et j’ignore même comment se dit « genré » en anglais (à partir de gender je suppose) ; mais franchement, un écrivain tel que John Le Carré, avec la culture, la langue, l’écriture qui sont les siennes, est-il capable d’user, qui plus est sans italiques ni guillemets, d’un mot si tendance, si laid, si connoté à un milieu qui n’est pas le sien ? J’en doute. Mais après avoir lu ce mot-là sous sa plume, je m’attendais à trouver pire encore, « racisé », au détour d’une page. De même je ne l’imagine pas se servir de « la perfide Albion », poncif archi usé dont même les Français n’osent plus abuser pour désigner l’Angleterre. Maintenant que mes doutes et ma petite colère sont sortis, je me sens encore plus à l’aise pour louer la qualité de la traduction de ce roman par Isabelle Perrin : avec sa mère Mimi Perrin (par ailleurs une personnalité des grandes voix du jazz en France), elles sont les fidèles et précieuses porte-voix de l’œuvre de John Le Carré depuis la Maison Russie en 1989 et Isabelle Perrin désormais seule depuis Un traitre à notre goût en 2011.
(« John le Carré, en décembre 2018, lors d’une manifestation contre le Brexit » photo Sean Smith ; « Le Carré » photo D.R.)
1 535 Réponses pour Retour gagnant pour John Le Carré
A la lecture du dernier postun peu long de Et alii , le public peut se ranger derriere deux impressions.
-La mienne et sans doute celle d’autres ploucs : La pauvre elle nous montre avec cette bouillie confuse que ,des qu’elle livre un texte de son cru, elle est incapable d’ecrire quelque chose d’intelligible !
-Ou l’autre, plus chic, que cette prose pourrait inspirer a ses copains intello : extraordinaire performance ,ce style qui s’installe entre Joyce et Claude Simon !
Oui, je connais, Pablo. Pour Liszt, il y a aussi Earl Wild.
Un fait divers susceptible d’inspirer un polar, noir et rose !
http://www.leparisien.fr/podcasts/code-source/l-amant-le-testament-l-empoisonnement-et-les-millions-plongee-dans-l-affaire-du-bel-alex-01-06-2020-8327934.php
Dans un album d’hommage à Bellini du XIXe siècle, il y a une très jolie romance (je crois) d’Anton Rubinstein qui, sauf erreur, n’a pas été rééditée ailleurs. Ce recueil se trouve à la BNF. Quelqu’un aurait-il cette partition?
DHH de plus en plus mémé!elle veut toujours tout et être tout comme son amie ‘ »qui a
tout »;
elle veut les noms des « ami-e-s »,de l’originalité », du second degré » gérer la sexualité des autres, s’imagine tout savoir et tout connaître en répétant ce qu’elle a appris de ses amies qui se font passer pour « psy »,
je vais lui « rappeler » une citation d’une « autorité »
qu’elle ne reconnaîtra peut-être pas toute seule , mais qui devrait être sur google en « bobonne »(comme elle dit)
la « partie est plus grande que le tout »(la partie, pas les parties ni les parties »
bonne journée
Un fait divers, quel qu’il soit, renseigne mieux sur les moeurs d’une société que n’importe quelle étude sociologique pompeuse et oiseuse.
Je préfère lire un chien écrasé instruisant et instructif plutôt que m’ennuyer avec un gros éléphant baudrucheux et inutile.
DHH : ne vous sous-estimez pas, il faut être hyper « chic » pour faire d’un wc public un lieu de mémoire, dommage que Nora n’y a pas pensé.
Quel était le premier pseudo de et alii? Barozze s’en souvient peut-être?
Il faut écrire le Français limpidement comme Pascal.
Merveilleux.
Ceux qui n’y arrivent pas versent dans le Derrida.
Lamentable.
Et les autres écrivent avec leurs pieds comme JJJ, le pauvre.
Première censure :
https://www.creativereview.co.uk/janik-soellner-illustration/
François Lenglet, dans le JDD, parlant de l’endettement européen voit deux options pour tuer la dette: le krach ou l’inflation, avec pour conséquence la destruction de l’épargne et l’émergence de monnaies privées.
« la destruction de l’épargne » comment ça ?
@Soleil Vert.
Les lois européennes de droit de ponction sur l’épargne privée existent depuis belle lurette.
renato, merci, je l’ai trouvée! il y a sinon « tout » du moins assez ,raquette, volant,
https://creativereview.imgix.net/content/uploads/2020/05/Janik-Sollner-CR-6.jpg?auto=compress,format&q=60&w=1200&h=
« la destruction de l’épargne » comment ça ?
Faites une recherche « La destruction des épargnes » et « La destruction des épargnes privées », vous verrez que ça ne date pas d’aujourd’hui — en d’autres mots, le Covid-19 a seulement accéléré le processus.
Chaloux, je me rends compte en lisant vos commentaires vous faites partie de ces personnes (comme 3j) qui fonctionnent sous 2 modes possibles : l’admiration ou le mépris – les gens que vous n’admirez pas vous les méprisez.
J’ai remarqué dans ma vie que les gens qui fonctionnaient de cette manière étaient toujours des esprits faibles.
pensez-y.
ps : c’est quoi comme marque votre piano électrique ? clavinova ?
Plus l’inflation est élevée, plus l’épargne est dévaluée.
L’inflation qui va commencer maintenant ne sera qu’un transfert de propriété. Tout le macronisme est un transfert de propriété. Rien de nouveau.
et alii vous connaissez cette chanson « Ani Ma’amin » ? je crois avec toute ma foi dans la venue du messie, bien qu’il tarde je l’atteds, et même si il tarde je l’attendrai… », un contrebassiste israélien la arrangé dans une magnifique version jazz où l’on sent bien cette boucle entre l’espoir, l’attente et le dénouement, les enfants la dansent comme une ronde, en chantant, ils la dansaient dans les camps, en chantant cet espoir, cette attente… vous le saviez ? :
Hamlet, j’ai remarqué que vous étiez un esprit fort encombrant, mais un esprit fort, non.
L’inflation je comprends mais
« Les lois européennes de droit de ponction sur l’épargne privée existent depuis belle lurette. » ç’est chaud
Illustration
UN PASTICHE LITTERAIRE A FONCTION POLITIQUE
Une fausse lettre de Mme de Sévigné a circulé ces derniers temps sur Facebook. Aux yeux du lecteur peu versé dans la littérature de ce temps, elle avait un air vraisemblable. Mme de Sévigné y parlait de son amie Mme de La Fayette, du roi, de la peste, de la fable de La Fontaine « Les animaux malades de la peste »…
Mais , dès qu’on lisait d’un peu près, des étrangetés sautaient aux yeux. La fausse lettre était datée de 1687 , et la marquise parlait du roi et de…Mazarin ! Ce dernier est , comme chacun sait, mort en 1661 ! Anachronisme d’assez belle taille. D’autres impossibilités factuelles s’y trouvaient que j’épargnerai à mes lecteurs d’ici.
Le très gros hic est le suivant : La marquise donnait à croire que le roi et son Premier ministre recommandaient l’usage du masque, pas du masque chirurgical , mais du masque (du « loup » des bals masqués) qui aurait eu le vertu de freiner la peste ! Là, le masque de l’auteur de pastiche tombe. Ce n’est pas le roi qui est nu, c’est le pasticheur. Les connaissances médicales du temps n’allaient pas jusque là.On n’usait que du clystère (lavement) et de la saignée (voir Molière) et Pasteur n’était pas né, pasticheur !
Conjecture politique. Ce pasticheur a voté Macron, admire Edouard Philippe, approuve le décret scélérat de Véran, écoute chaque soir, avec un infini respect, le donneur de chiffres Salomon et, comme Cohn-Bendit, Marcel Ichou, Karine Lacombe, Gilbert Deray et gens « ejusdem farinae », doit penser pis que pendre du ¨Pr Raoult, celui qui teste, diagnostique, isole et traite efficacement les patients atteints du coronavirus, celui qui est; présenté aux foules TV en Tournesol dingo chez Jean-Mac Dumontet, grand ami de Macron, sur TF1 tous les soirs.
Ne pas confondre supplice et torture, quand on traduit du français à l’anglais (twite)
/// Cet article souhaite contribuer aux débats sur les problèmes de traduction dans l’œuvre de Michel Foucault. Il propose une étude de cas détaillé du supplice, titre et argument central de la première partie de l’ouvrage Surveiller et punir. Naissance de la prison (1975) de Foucault. Le traducteur Alan Sheridan traduit ce terme principalement par torture en anglais. Ce choix pose problème, surtout en ce qui concerne l’équivalence supposée entre le supplice et la torture en français. L’approche méthodologique est double. Premièrement, la différenciation entre les concepts opératoires et concepts thématiques développée par Leclerc-Olive (2016) sert de cadre théorique dans le but de déterminer les fonctions différentes des concepts comme arguments centraux, et de réfléchir sur la régularité avec laquelle un concept doit être traduit. Deuxièmement, la comparaison des traductions anglaises des œuvres de Montesquieu et Voltaire permettra de comprendre le contexte historique et les différentes traductions en résultant. De plus, Foucault utilise des sources anglaises qu’il a traduites lui-même et qui éclairent la description du supplice en anglais. En conclusion, nous estimons que supplice en français et torture en anglais ne sont pas équivalents et que ce choix de traduction est douteux.///
à Didier
Vous avez raison. C’est pourquoi je préfère La Bruyère, La Rochefoucauld, Chamfort, Joubert et Cioran à … tout le reste.
hamlet, bien sur je comprends le titre mais j’ai eu plaisr à vous revoir , « mon garçon (de café) »
au fait savez vous qu’il y a un traducteur du laponais qui s’appelle « marc mécréant »
1982 : Dites-nous comment survivre à notre folie / Kenzaburo Oé
ça c’est chouet nom, quand j’ai parlé de lui à des « pots » trè deleuziens, ça les a sidérés
https://lalitteraturejaponaise.home.blog/marc-mecreant/
hier j’ai écouté un cyrulnik sur « le discours de soi ;très instructif sur « les langues » et la France;
j’en ai reparlé ce matin avec mon amie kiné toujours très soucieuse de l’éducation de ses enfants;elle m’a parlé aussi de ses correspondantes en langue étrangère -et de celles de sa soeur- dans leurs années lycée; et dit que sa nièce s’appelait garance ; toute une atmosphère!
japonais
à Didier
Ajoutez l’auteur que vous citez La Bruyère, La Rochefoucauld, Chamfort, Rivarol, Joubert et Cioran.
Ou comment le lettré démasque, pour « ses lecterus » une imposture, identifie son auteur, et règle ses comptes avec les ennemis du docteur Folamour…
Une belle dialectique pour subsumer en deux phrases le monde du dieppois bilgérisé qui persiste et signe.
Bàv PC., et à feu notre ami Jissé.
Une inflation limitée (entre 3% et 6%)est une bénédiction pour dynamiser un économie en berne et a des effets sociaux bénéfiques
C’est l’inflation née des facilités de crédit ( reescomptage de dettes a moyen terme) qui a été le moteur du boom économique des 30 glorieuses
En stimulant la consommation au détriment de l’epargne elle a eu un effet keynesien d’entraînement sur la création d’investissements productifs avec leurs effet sur l’emploi ,évidemment a une epoque où les tous produits étaient fabriqués localement et non pour mla plupart importés
En devalorisant la valeur réelle des dettes exprimées en valeur nominale , elle à entraîné un transfert de propriété des détenteurs d’une epargne liquide (bas de laine et autres comptes en banque ) au profit des emprunteurs et c’est ce qui a permis à la classe moyenne d’accéder sans douleur à la propriété immobiliere
Tub as raison, Gigi la visqueuse : te lire est un supplice mais ce n’est pas encore une torture.
Pas seulement des emprunteurs, DHH. L’inflation permet aux banques de constituer des capitaux sur le dos des épargnants dont les intérêts ne leur seront pas reversés.
Les commentaires chiants du chieur JJJ sont un concentré de l’imbécillité humaine.
Ils traduisent son incapacité innée à écrire quelque chose de clair et de simple.
C’est pour cette raison principalement que je le hais. Entre autres.
Quand je pense qu’il fut prof !
J’imagine dans quel mépris ses élèves le tenaient, le pauvre, et lui qui ne s’en rendait pas compte du tout.
JJJ ou le degré zéro de l’écriture de caniveau.
Maintenant, le JJJ, se vautre dans un autre caniveau, celui de sa triste retraite, morne, glauque, misérable et vide comme le néant. Le néant de sa vie présente avant celui de sa mort, prochaine, on l’espère.
adjectif homérique
supplice chinois :
https://www.canal-u.tv/video/smm/le_dernier_supplice_chinois.35783
@ Soleil vert. Les premières lois prévoyaient de ne ponctionner que ce qui était au-delà de 100 000 euros sur les comptes des épargnants, mais vous verrez qu’ils prendront tout. Ce sera le début d’une révolution européenne qui réinstaurera la guillotine et les exécutions publiques en toute légalité. Tous ces gens, les Macron, les Moscovici et leurs complices, faux journalistes, écrivaillons de bas-étage etc. ne voient pas le gouffre béant qui s’ouvre devant eux.
A mes moments perdus, j’établis les listes de ceux qu’il faudra arrêter et décréter d’accusation comme au bon vieux temps. Quel boulot!
Et pourtant, je suis né doux, ô combien. C’est la société néo-libérale qui m’a perverti. Je veux voir sa fin.
vanina
impossible de lire Aragon, je sors d’une rude épreuve
avec « Blanche ou l’oubli ».Des relents de tout, mais
jamais du vrai.
« La Semaine Sainte » est le seul roman qui vous apprend
quelque chose.
Bonne promenade à Jazzi et merci pour en faire des très bon récits pour les immobiles, les paresseux, les
exilés….. »et tant d’autres encore. »
Dans un album d’hommage à Bellini du XIXe siècle, il y a une très jolie romance (je crois) d’Anton Rubinstein qui, sauf erreur, n’a pas été rééditée ailleurs. Ce recueil se trouve à la BNF. Quelqu’un aurait-il cette partition?
Chaloux dit:
Sur Youtube il y a pas mal de romances d’Anton Rubinstein. Tu l’as cherché là, pour l’identifier?
Anton Rubinstein: Romance in E flat – Michael Ponti, piano
https://www.youtube.com/watch?v=9g_zcDQYdaE
L’inflation qui va commencer maintenant…
Chaloux dit:
Pas sûr. Plus grave encore que l’inflation c’est la déflation. Si les gens ne se remettent pas à consommer comme avant, tout l’édifice peut s’écrouler.
Si tout dépendait de Macron il y aurait de quoi être inquiet. Mais les Allemands surveillent de très près l’euro. La catastrophe serait qu’ils sortent de la monnaie commune, pour en faire une avec les autres pays « vertueux », ce qui est de plus en plus probable.
Si on laisse la France, l’Espagne et l’Italie ensemble dans l’euro, le désastre est assuré.
Le premier president fasciste des US, Bible à la main, du côté des assasins. D’ailleurs, l’autre blond crètin veut sortir de l’UE sans regles, et tous les cons souvranistes suivent sans se soucier des consequences. Les lapins crétins ont fait école. Le monde est beau parce qu’il est avarié ?
@Pablo, j’ai cherché partout, mais A. Rubinstein ne la pas reprise dans ses œuvres. Il me semble que c’était un japonais qui jouait ça. Dans mon souvenir, c’était un très joli thème, mais je n’ai rien noté…
et Bataille pour les « détails »
C’est bien dans les Larmes d’Eros de Georges Bataille que Jean Toussaint Desanti a lu la courte histoire qu’il associe spontanément à l’image du bourreau et du supplicié chinois, et non dans le Traité de psychologie de Georges Dumas [3] (Voir référence) , qui ne contient aucune anecdote, ne dit même pas que la scène se passe en Chine, et réduit tellement les quelques photos publiées qu’on n’y voit aucun bourreau. L’« histoire bien connue » est racontée dans la légende adjointe aux photos de supplice chinois publié dans les Larmes d’Éros. Desanti ajoute quelques détails : le condamné n’avait pas « commis un attentat contre la famille de l’empereur », il avait tué son maître, un prince mongol sans lien de famille avec l’empereur. Mais le décret impérial est bien celui cité dans l’ouvrage de Bataille : « La peine du feu étant trop cruelle, le condamné subira le supplice des cent morceaux. Honneur à cette décision ». Clémence bien chinoise : on vous découpe en morceaux, au lieu de vous brûler à feu doux !
Cette « histoire bien connue » donne une idée de l’aura des Larmes d’Éros : bien au-delà de ceux qui l’ont lu, il y a ceux qui en ont entendu parler, il y a ceux qui en « connaissent l’histoire », sans même se rappeler précisément le titre ni l’auteur. Or, l’histoire est fausse, de A à Z : pas un détail qui soit vrai.
Passons vite sur les éléments qui ne sont accessibles qu’au sinologue. J’ai pu recopier à la bibliothèque de Pékin les pièces judiciaires du procès Fu-zhu-li — ou Fou-tchou-li selon la transcription ancienne que l’auteur des Larmes d’Éros a reprise du livre de Louis Carpeaux, Pékin qui s’en va, paru en 1912. À la lumière des sources chinoises, Carpeaux apparaît comme un faux témoin, qui a brodé sur un fait véridique des détails de son cru. Le décret impérial qui a retenu l’attention par la subtile distinction entre la peine du feu et le découpage à vif, par exemple, n’a jamais existé. Dans ce cas (le meurtre d’un prince mongol par l’un de ses esclaves, assimilé à un
https://www.larevuedesressources.org/bataille-et-le-supplicie-chinois-erreurs-sur-la-personne,1480.html
@ C’est la société néo-libérale qui m’a perverti.
Hélas, elle a toujours survécu aux pervers narcissiques. L’est plus forte.
N’ai aucune haine pour celzéceux qui écrivent mal et enseignent fort bien. Hélas, 90% croivent (sic) que l’inverse est la norme dans l’E.N. à laquelle je n’ai jamais appartenu.
Je me suis laissé dire.
Mes « lettres à Didier » I, II, III, (Vincent de la Soudière). Dommage d’avoir ainsi usurpé le prénom de son confesseur spirituel. Ne le méritait pas. La haine des autres n’est pas vraiment un sentiment humain. La « haine de soi » en revanche… Et il ne faut pas gratter beaucoup pour en comprendre la logique.
Si l’Allemagne sort de l’euro, il n’y a plus d’euro. On commence à bâtir une Europe des nations. Rototo n’a pas fini de trembler dans son retijo de calamar, euh… de Colmar.
aux pervers narcissiques
Gigi la visqueuse ne se sent pas très bien. Résultats d’analyses ou auto-diagnostic?
Ne te retiens pas, de ta part on s’attend à tout, ma pauvre vieille…
La « haine de soi » en revanche… Et il ne faut pas gratter beaucoup pour en comprendre la logique.
Un crétin comme toi, de plus mythomane (voir ce que tu as raconté à Assouline), ne devrait pas s’aventurer sur un terrain pareil. Un visqueuse sur du glissant, tu vas encore te ramasser sans t’en apercevoir.
@ te lire est un supplice mais ce n’est pas encore une torture
Un remake rigolo de Gérard Depardieu à Catherine Deneuve) ou la pauvre profession de foi d’un vicaire savoyard, tenant du notaire masochiste faiblement éclairé par le lampion d’Aladin mais fasciné par ma personnalité controversée, incasable et pour tout dire, inaccessible au principe de sa raison suffisante.
J’aime l’idée de mon néant présent et futur, en retraite plus approfondie que la plupart de celzéceux qui craignent la leur. Quo vadis ?
Aux souvranistes-crètins : et tous les petit pays européens — Allemagne en tête — en bon ordre dans la queue devant les stands des autres (US, Chine, Russie) pour leur dose de petit commerce, les pauvres.
JJJ, le crapaud putréfié qui agonise dans une mare infecte parle de haine des autres et donne des leçons!
On aura tout lu sur ce blog.
Môssieur le batracien moralise!
Triste-sire l’amphibien valorise!
Même les grenouilles de ton marécage te crachent à la gueule.
Pôvre, pôvre JJJ.
#D’ailleurs, l’autre blond crètin veut sortir de l’UE sans regles,
Non Renato, pas d’histoire de blond.
Il faut utiliser le langage d’insider : » ignorant comme un porc ».
Les règles de Barnier ?
Simple comme bonjour: des sous, des sous.
La mariée était vénale…😁
fasciné par ma personnalité controversée
Controversée, je ne trouve pas, tous les gens sensés d’ici sont à peu près du même avis…
Hurkhurkhurk!
Bon, c’est l’heure de l’apéro, laissons le bac à sable au plus petits.
Pablo75 dit: Sur Youtube il y a pas mal de…
»
Pablo, une qualité que l’on ne pourra jamais vous retirer : vous êtes un sacrément bon moteur de recherche, limité à côté de vous Google c’est un truc du moyen âge.
Rototo s’énerve, c’est la panique. Une Europe des nations ne seraient pas plus faible que celle d’aujourd’hui avec sa monnaie qui fout le bordel partout. Elle serait au contraire beaucoup plus forte.
Tu n’as toujours pas répondu à ma question JJJ.
Comment va ta « fille » ?
Des qu’on creuse un peu, vont tous a l’apéro.
Strange…
« Réouverture des bars: des Parisiens ont profité des terrasses dès minuit
À Paris ou encore Nantes, des restaurateurs n’ont pas attendu le lever du jour pour rouvrir leurs portes après 80 jours de fermeture. »
lol
renato l’Allemagne n’a pas besoin de l’Europe, elle s’en sortirait bien mieux sans l’Europe, pour l’Allemagne l’Europe c’est un boulet. en se portant garant auprès des banques l’Allemagne se donne l’impression de payer ses fautes du passé : faudrait juste pas que ça se transforme en un nouveau traité de Versailles.
Composé à Dresde à 34 ans, le si beau Adagio de la Deuxième Symphonie de Rachmaninov, par le grand Gennadi Rozhdestvensky avec le London Symphony Orchestra:
le Covid19 a eu sur l’Europe « unie » des effets négatifs qu’il ne sera pas possible d’effacer.
Si on devait faire aujourd’hui un référendum aujourd’hui même pas 10% des italiens voteraient pour elle.
Enfin, Marie, si je m’engage je tiens parole, ce que Boris refuse de faire. Dans mon club on parle de malhonnête, puis qu’il soit juif ne change rien car il ne represente pas les juifs mais la Grande Bretagne, et vous admettez que cela fait une sacrée difference. Et maintenant, laissez-moi à mon zinc retrouvé.
Incidemment, laissons les porcs en paix, car il sont des animaux intelligents, et il serait grand temps de sortir de ces métaphores qui nous viennent du néolithique.
Merci, vanina.
Un chanteur qui a commencé à chanter aux terrasses des cafés, où nous devrions tous aller prendre un pot par solidarité !
https://www.bing.com/videos/search?q=vanina&docid=608040980946291086&mid=8A74C6D4A2BF208F90768A74C6D4A2BF208F9076&view=detail&FORM=VIRE
cet excursus chinois revenait,non seulement sur
« la traduction » mais aussi sur le masque et le covid
bonnes extases, bonne journée
« Comment va ta « fille » ? »
Laquelle, Didi, il en a deux !
Je soumets à votre sagacité l’emploi du terme » frugaux » par des journalistes pour qualifier les pays européens qui refusent la mutualisation de la dette, je dois avoir louper un train, car je croyais savoir que frugal est un adjectif qui signifie: simple, sobre, austère, et que sa première acception concerne la nourriture, dois-je comprendre que les pays réfractaires se contentent d’une nourriture simple quand les autres mangent de l’ élaboré, du sophistiqué, du aux petits oignons…
Loupé !
Pablo, une qualité que l’on ne pourra jamais vous retirer : vous êtes un sacrément bon moteur de recherche, limité à côté de vous Google c’est un truc du moyen âge.
hamlet dit:
Étant très curieux de nature (ou ayant dans mon thème astral beaucoup d’éléments du bon « chercheur ») et le plaisir de trouver étant très fort chez moi, j’ai appris très tôt à chercher. Je peux dire même que la seule chose que j’ai apprise vraiment à l’université c’est à chercher de l’information (et à la classer). D’où le fait que je me sois jamais ennuyé une seconde dans ma vie.
Et l’informatique étant un puissant outil pour chercher dans ce paradis de connaissances qu’est internet (sans oublier les versions digitales des livres)… Contrairement à ce qui pensent quelques crétins (dont toi), j’ai aucune « fiche » sur des gens d’ici, mais je sais chercher dans ce site ce qui m’intéresse (la plupart des gens ignorent les outils puissants des moteurs de recherche).
D’après la presse étrangère, 84% des français haïssent Macron. Encore deux ans de haine? Souhaitons qu’il s’auto-évalue et parte de lui-même avant.
#vous admettez que cela fait une sacrée difference.
Heu a quel sujet Renato?, je perds le fil de votre pensée que je penserais déjà un peu binge drunk, si vous ne m’indiquiez y pourvoir dans les minutes urgentes qui suivent.
Boris Johnson refuse de tenir parole?
– A propos de quoi exactement ?
Boris Johnson est juif ?
– Mais où avez-vous été pêché cette info ?
Quel rapport avec le fait que Boris Johnson représente un pays qui a souhaité EN VOTANT se séparer d’une mariée un peu trop gourmande, sans tête, et un peu trop rigide sur la taille des capotes anglaises ?
Vous m’inquiétez Renato, vous êtes allé vous faire dépister?
Si oui, passez au level 2, car vous faites l’effet d’un vieil alsacien de Kolmar qui préfère la Germanie.
Aïe
Mais où avez-vous été pêcher cette info ?
hunger
tps://int.search.myway.com/search/video.jhtml?enc=0&n=78678586&p2=%5EBZC%5Exdm163%5ETTAB03%5EFR&
D’autant plus que frugal est le contraire de généreux, de nota. Et pour la mutualisation de la dette c’est plutôt de cela dont il s’agit !
hunger
j’essaie un autre lien
https://int.search.myway.com/search/video.jhtml?enc=0&n=78678586&p2=%5EBZC%5Exdm163%5ETTAB03%5EFR&pg=video&pn=1&ptb=B3D10299-AD04-4FBA-93A6-8E510D0BBAC6&qs=&searchfor=hunger&si=&ss=sub&st=tab&tpr=sbt&trs=wtt
@ jzmn, pourquoi vous sentez-vous tenu d’ajouter quelque chose de drôle à des harcèlements de sycophyantes de basse-fosse ?
Vous en remercie… mais de grâce, n’allez point vous salir outre mesure.
Nous avons déjà trop de peine à enregistrer l’âpre progression feutrée du conflit quotidien opposant deux internautes juives de tempérament bien trempé.
NB/ jzmn, Vous souvenez-vous du rôle influent de Barry Goldwater sur ce que sont devenus les Etats-Unis d’aujourd’hui ?
Renato est un super aristo avec 800 balles de retraite qui seront divisés par deux dans les cinq années qui viennent. Il faut le comprendre. La loi du plus fort est de son côté.
Gigi la visqueuse a souvent répété qu’elle n’avait pas d’enfant. Logique. La nature ne l’a pas permis.
« Tant Nat que Ed en sont fanatiques »
Je n’ai pas lu le bouquin, ni Le Carré d’ailleurs, mais je suis entièrement d’accord !
Nota Bene, quelques éléments de réponse ?
https://fr.wordhippo.com/fr/quel-est-le-antonyme-de/b10a0030f213c08f3d597043f64b1b2427a92caa.html
JJJ, le lâche qui au lieu de se défendre comme un homme contre mes attaques, préfère plutôt suivre les « deux juives » comme il dit.
Le salopard anisémite qui se trahit.
Pôvre, pôvre JJJ.
vanina
merci,Jazzi, j’ignorais tout de ce jeune homme et allii., c’est à Vanina Vanini que je pensais quand
j’ai débuté sur ce blog.
D’ailleurs, si les délices du site valent la visite,
l’humeur vagabonde dont vous faites preuve et votre
talent littéraire, en sont une pagode de délices.
@ Ozym. Vous ai oublié dans mon Nota Bene précédent. Pourquoi tant de « frugalité » berbère ?
l’Allemagne n’a pas besoin de l’Europe, elle s’en sortirait bien mieux sans l’Europe, pour l’Allemagne l’Europe c’est un boulet
hamlet dit:
Comme d’habitude, tu dis n’importe quoi. Sur les 10 pays vers lesquels l’Allemagne exporte le plus, 8 appartiennent à l’UE. Si l’Allemagne n’exportait que vers les États-Unis et la Chine, elle serait beaucoup moins riche. C’est tout le sens du débat actuel sur l’aide aux pays du sud: c’est l’Allemagne qui a profité le plus de l’UE et de l’euro.
juste pour la date :
Dans les années 1970, des prisonniers de l’Armée républicaine irlandaise provisoire et de l’INLA mènent une grève de l’hygiène à la prison de Maze en Irlande du Nord. Cette action a pour but de faire reconnaître par le gouvernement britannique un statut politique à leur détention. Le rapport de force qui s’instaure s’accentue encore quand Bobby Sands, meneur du mouvement, décide d’entamer une grève de la faim en 1981
je préfère me tailler taiauttaiaut bonnes chasses
@ au lieu de se défendre comme un homme contre mes attaques
Mes attaques ?
Oui d’autant que la Chine commence à n’avoir plus besoin de ses importations en provenance de l’Allemagne. Au cours des années qui viennent, l’Allemagne perdra une grande partie de sa puissance.
C.Berbérian n’est pas berbère mais américaine:
By Cathy Berberian Video: John Knap http://www.jasperina.net With special thanks to Polderbits Software http://www.polderbits.com.
https://int.search.myway.com/search/video.jhtml?enc=0&n=78678586&p2=%5EBZC%5Exdm163%5ETTAB03%5EFR&pg=video&pn=1&ptb=B3D10299-AD04-4FBA-93A6-8E510D0BBAC6&qs=&searchfor=cathy+berb%C3%A9rian&si=&ss=sub&st=tab&tpr=sbt&trs=wtt
Même si elle signait sous le pseudo de « Daniel Stern », c’est à elle que je pense quand je lis ces échanges brillants sur Franz Liszt : Marie d’Agoult.
Une correspondance aussi entre elle et Hortense Allart.
Marie et Franz Liszt, une liaison passionnelle. La comtesse d’Agoult quitta son mari pour suivre Franz Liszt… Marie et Hortense une amitié rare et durable (correspondance de 35 ans) même si l’une est républicaine et l’autre monarchiste. Elles s’étaient rencontrées à Florence, habitant par hasard sous le même toit.
Hortense sera le dernier amour de François-René de chateaubriand…
Et derrière ces femmes la présence de George Sand, de Stendhal.
Deux femmes libres luttant à leur façon pour l’amélioration de la condition féminine malgré les contraintes sociétales sous la monarchie de juillet, ne craignant ni l’adultère, ni la crainte d’élever seule deux fils illégitimes. (Hortense détestait le mariage et admirait Mme de Staël…). Deux femmes de plume, de grandes culture..
Une autre femme de plume, bien de notre temps, Ariane Charton, m’a fait découvrir ces deux vies dans un roman historique au charme fou et à la documentation sans faille Le roman d’Hortense (Albin Michel) – 2009.
Lissez les journaux, Marie, puis on parle de Boris et du fait qu’il représente la Grand Bretagne avec tout ce qui va avec. Bon, je comprends, vous et la politique ça fait deux, donc vous avez sans doute raison sur toute la ligne — m
Pour ce qui est des origines juives de BJ, c’est luimême que lors de son dernier voyage officiel en Israël, en tant que maire de Londres, a révélé ses racines juives. Donnez-vous la peine de chercher avant de causer à vide — bon il est toujours possible que le BJ soit mythomane : le politiques nous ont habitués à tout, désormais —.
Il se croit drôle le Jazzi.
Comme le pitre de Moravia dans sa nouvelle éponyme tirée de ses « Nouvelles romaines ».
Ça joue les clowns, ça fait semblant d’amuser la galerie dans les cabarets et dès qu’il rentre chez lui, il s’abbat comme un macchabée sur son lit de misère et chiale comme une femmelette.
À la fin de la nouvelle, le pitre s’enferme dans sa chambre, honteux, il prend une corde et se pend.
Jazzi aussi aura une fin pareille peut-être, c’est tout ce qu’on lui souhaite comme malheur.
Oups ! après « — m » > — mais quelle ligne ? —
«… déchets haineux… »
Belle expression.
Didier, vous montez un peu vite en pression. Devriez appeler un plombier.
un NAT (le premier?j’en doute) pour ceux qui veulent des célébrités ;quelqu’un enverra la musique
Nathaniel Adams Coles (March 17, 1919 – February 15, 1965), known professionally as Nat King Cole,
Mr. D. m’apprend que Marie d’Agoult était la plume de Liszt.
Il y a un Hortense Allart, vieux comme les robes de cette putain de Gigi, par André Billy.
Comment prononce-t-on Liszt, Chaloux ?
« Didier, vous montez un peu vite en pression »
Montez ? C’est plutôt la dégringolade, Chaloux !
C’est cette tapette de Jazzi qui fantasme sur les plombiers.
Trouvons-en lui un.
Renato, je comprends que vous lisez beaucoup de journaux.
Certainement des articles très documentés qui permettent in fine d’écrire comme vous l’avez fait :
« D’ailleurs, l’autre blond crètin veut sortir de l’UE sans regles »
Les mêmes journaux ou journalistes !, qui sans aucun scrupule peuvent le considérer comme « ignorant comme un porc »
« on parle de Boris et du fait qu’il représente la Grand Bretagne avec tout ce qui va avec. »
Tout a fait Renato,on parle de Boris Johnson ( et pas de Boris et Gleb) , premier ministre d’un pays, le Royaume Uni, qui dans « tout ce qui va avec » compte plus d’un millier d’îles .
« Pour ce qui est des origines juives de BJ, c’est luimême que lors de son dernier voyage officiel en Israël, en tant que maire de Londres, a révélé ses racines juives »
Je ne comprends pas à quoi relier cette information, le fait que Boris Johnson a des parents juifs, alors que lui-même été baptisé catho, et confirmé dans la religion anglicane, et dispose au-delà de cette considération d’une généalogie très cosmopolite,
avec ce que vous avez écrit plus tôt :
« Dans mon club on parle de malhonnête, puis qu’il soit juif ne change rien car il ne represente pas les juifs mais la Grande Bretagne, et vous admettez que cela fait une sacrée difference. »
Oui, cela fait même une différence énorme. Boris Johnson est premier ministre et ne fréquente pas le même club que vous.
Je me considère désormais dégagée de mes obligations de reconnaissance vis à vis de vous, pour service, clic and check, rendu à propos de Tolkien.
Sans ménagement, maintenant parfaitement convaincue, je puis affirmer que
comme motodidacte, il vous a manqué quelques années d’études, et que cela se ressent vachement. Ne serait-ce que dans le raisonnement, totalement absent de vos sorties, trop souvent débiles, hélas !
Une image webpanini, une insulte. Chercher à a contrarier votre naturel, et il revient au galop.
Stop covid.
Enfin, Marie, reste que la Grande Bretagne a pris des engagements, et que BJ ne veut pas si tenir, et ça dans mon club — et vous ne savez pas quel club je fréquente — suffit pour déclasser un individu, peu importe si ce n’est pas lui qui a pris les engagements dont il est question. Pour le reste, j’ai bien dit que vous avez sans doute raison. Ou pas ?
La question des ascendant juifs de BJ c’est lui qui l’a mise sur la table, pas moi, mais ça c’est un détail qui doit vous échapper.
Pour les insultes : pas envie de me fatiguer plus que ça.
j’ai beaucoup été dans cette librairie
Ouvert il y a une vingtaine d’années, l’établissement tient son nom du livre La Belle Hortense de l’auteur oulipien Jacques Roubaud dont l’action se déroule dans la rue Vieille du Temple (rue dans laquelle se trouve le bar, quelle coïncidence !).
Ici, une sélection pointue de romans de l’actualité littéraire, de livres d’art, d’albums pour enfants et bien d’autres ouvrages encore côtoient les bouteilles de vin de petits producteurs français. Au mur, une exposition d’un artiste contemporain (qui change tous les mois) et dans mon verre, une bonne bière.
@ cette putain de Gigi
… sava pas faire baisser la pression algérienne. Sûr que les djeunes de là-bas (à 45 balais) sont un peu à cran en ce moment, Ed. Faut les comprendre : les successeurs de Bouteflika leur ont bin botté le cul. Alhors, viennent trouver refuge auprès des franchouillards de leur tremple.
(birds of a feather…, comme dirait txfl aux canadiens, etc.)
et Hortense Schneider ! mais c’était son prénom de scène
berbère – > Barberian Cathy (1925-1983).
Shoen… etalii !
Anéfé, mais elle ETAIT une belle cantatrice américaine d’origine arménienne. Il faut actualiser vos fiches. Cela dit, vos mauvaises associations de mots, comme mes mauvais jeux de mots, vous rendraient, comme moi, plutôt un brin sympatoche, des fois (pas toujours, hein, ni même très souvent… et… surtout FMLP !)
Bàv,
The Italian-born artist, who lives in Paris, has now created 40 works that are based on newspaper headlines from 34 different countries. “The idea was that by reading the newspapers I would get out of the lockdown and find out about life outside of my apartment and studio,” she said. “It was about being connected to the rest of the world outside of my studio.”
The number 40 has a significance in France because that was the initial number of days citizens were told they were going to be under lockdown measures.
https://www.theguardian.com/artanddesign/2020/jun/01/artist-tatiana-trouve-lockdown-headlines
le chien de TATIANA s’appelle Lulu
Toto pense comme Norpois.
Je ne sais pas, Jazzi, je ne parle pas la langue du Diable. Demande à notre ami Mr. D.
« Sûr que les djeunes de là-bas (à 45 balais) »
C’est plutôt le contraire en Algérie. À cet âge-là, ce sont des vieillards. Chez nous, ce sont encore de jeunes gens avec la vie devant eux.
@Chaloux
« j’ai cherché partout, mais A. Rubinstein ne la pas reprise dans ses œuvres. Il me semble que c’était un japonais qui jouait ça. Dans mon souvenir, c’était un très joli thème, mais je n’ai rien noté… »
Il s’agit de la Sérénade russe,en si mineur, sans numéro d’opus. Je vais voir si je peux trouver cela (je n’ai pas l’album Bellini où elle figure, et la BN, c’est pas le moment).
DHH, dit: à
Une inflation limitée (entre 3% et 6%)est une bénédiction pour dynamiser un économie en berne et a des effets sociaux bénéfiques
C’est l’inflation née des facilités de crédit ( reescomptage de dettes a moyen terme) qui a été le moteur du boom économique des 30 glorieuses
En stimulant la consommation au détriment de l’epargne elle a eu un effet keynesien d’entraînement sur la création d’investissements productifs avec leurs effet sur l’emploi ,évidemment a une epoque où les tous produits étaient fabriqués localement et non pour mla plupart importés
En devalorisant la valeur réelle des dettes exprimées en valeur nominale , elle à entraîné un transfert de propriété des détenteurs d’une epargne liquide (bas de laine et autres comptes en banque ) au profit des emprunteurs et c’est ce qui a permis à la classe moyenne d’accéder sans douleur à la propriété immobiliere
–
…c’est ce que vous croyez (ou ce que vous répétez parce qu’on vous a dit que c’était comme ça) mais totalement faux.
je n’ai plus de fiches mais je constate
By Dan Piepenbring September 3, 2015FROM THE ARCHIVE
Illustration: Elmar Ersch
Whenever anyone frowns upon the Daily for publishing work they find obscene, frivolous, or otherwise undeserving of the prestigious Paris Review name, I want to direct their attention to our seventies issues. Readers who think we’ve published sixty-two years of Hemingway interviews and gentle sestinas will be surprised by the magazine’s irreverence. The Review of the seventies was, if the archive is any indication, a relaxed, profligate, and singularly fun place to work. It published some great literature. It also published, in the Summer 1976 issue, fourteen pages of silly names.
John Train’s “How to Name Your Baby,” republished in full below, is one of my all-time favorite finds from the archive. Referring to the work of a certain Office of Nomenclature Stabilization—an office that has since lapsed into obsolescence, I regret to learn from Google—it’s gloriously inessential, though I guess you could argue that it predicted the rise of the listicle. Train, who is eighty-seven now, cofounded the magazine and was its first managing editor; this piece only burnishes his legacy, and in the eighties he turned it into a line of books, including John Train’s Remarkable Names, Even More Remarkable Names, and Remarkable Names of Real People.
Just think: as the nation celebrated its bicentennial and Gerald Ford accepted the Republican Party presidential nomination, thousands of Americans were imbibing names like “Ogbert Snort” and “Mrs. Tackaberry McAdoo” right here in the pages of the Review. I’m proud to follow in its footsteps.
The original introduction is below, followed by the names themselves.
*
The work of the Office of Nomenclature Stabilization can be said to have started in the period 1949–1951, although its full organization in its present form—the voluminous files, the worldwide network of correspondents—only came later.
In one of those years John Train, then studying for a Master’s degree at Harvard in Comparative Literature, noticed in Collier’s magazine a Mr. Katz Meow, of Hoquiam, Washington. He mentioned it shortly afterward to Professor Howard Mumford Jones, who replied that during World War II he’d had a secretary named Miss Pensive Cocke. Soon after, Train reported this to a graduate school colleague who observed that while in uniform he had processed the Army discharged of a soldier named Welcome Baby Darling (now of Greenwich, Connecticut). Train, bemused, wrote all this down in the back of his notebook.
A little later in H. L. Mencken was discovered Positive Wasserman Jackson, and in Winston-Salem, N.C. Bunyan Snipes Womble and his soon Cadwallader Wellington Womble.
Later sources provided Miss Caresse Pecor (University of Vermont, 1971) as well as Doctor Ovary, a gynecologist at New York Hospital … and, of course, Madame Ovary.
https://www.theparisreview.org/blog/2015/09/03/how-to-name-your-baby/
et alii dit : « C.Berbérian n’est pas berbère mais américaine »
Sur quoi Janssen J-J dit : « berbère – > Barberian Cathy (1925-1983). /
Shoen… etalii ! / Anéfé, mais elle ETAIT une belle cantatrice américaine d’origine arménienne. »
Et là il y a quelque chose qui m’echappe. Enfin, il est vrai qu’elle était belle, et ce qui importe chanteuse rafinée et libre d’esprit :
https://blogfigures.blogspot.com/2011/06/cathy-berberian_16.html
Après avoir fait le con, le troll et le mythomane sur ce blog pendant des années, je dois maintenant disparaître et quitter la Rdl pour toujours.
Je me suis très très bien marré avec vous autres.
Adieu.
(Rassurez-vous, vous ne verrez plus jamais OZYMANDIAS, Taleb, Olivia et Didier).
Adios amigos !
je vous offre une histoire belge
Entrée « MUNDUS » (Rome, Antiquité) : « le terme désigne à l’origine la fosse creusée à la fondation de la ville. Une dalle, lapis manalis, y avait été posée, qui séparait le monde des vivants et le monde des morts.
Ce matin, nous avons ouvert le Monde. J’aime ce mot que nos ancêtres ont donné à la fosse primordiale, celle du premier coup de pioche asséné à la terre vierge, quand ils fondèrent la cité. J’aime que le tout et le rien portent le même nom.
Et partout, depuis, dans la moindre colonie romaine, le fondateur a creusé la même fosse pour y jeter une poignée de terre romaine et les prémices du sol, à la première récolte. La poignée de patrie et la gerbe de blé ont été scellées sous une dalle qui sert de borne aux morts et aux vivants. L’avers est consacré à Jupiter, l’envers à Proserpine, au ciel et aux enfers, à la foudre qui ravage et au blé qui nourrit. » (p. 57-58).
Jean Claude Bologne est né à Liège en 1956. Philologue de formation. Il siège depuis 2011 à l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.
extrait de « rituaire » (copié de la règle du jeu)
merci renato!
et Abdelkader, Ozy?
« …c’est ce que vous croyez (ou ce que vous répétez parce qu’on vous a dit que c’était comme ça) mais totalement faux. »
C’est vrai D! DHH l’a visiblement vécu et bien d’autres…Le phénomène était particulièrement vrai en France où les prêts immobiliers sont à taux fixe. 20 ans de crédit avec les mêmes mensualités alors que les prix et surtout les salaires augmentaient généreusement chaque année, avec un risque de chômage insignifiant jusqu’à la fin des années 70 (et même nul pour les fonctionnaires et assimilés).
Qui dit mieux?
c’était la copine de Berio (aussi allumée que lui) j’aime tout particulièrement son interprétation de « Ticket to Ride » :
Oui, c’est ça, merci Mr. D.
Très émouvant de réécouter cette pièce que je trouve sublime dans sa simplicité. J’ai l’impression de retrouver un vieil ami. Vous êtes vraiment un connaisseur. La plupart des gens à qui ont pose ce genre de question ne sont jamais capables d’y répondre.
https://www.dailymotion.com/video/x2gyk82
Mon petit projet russe ne pâtira pas de ces retrouvailles, tout au contraire.
sa reprise de la phrase à 2mn43 est absolument grandiosissime :
une des conséquences des taux d’intérêt négatifs est que le meilleur placement est de se faire construire un coffre quelque part et d’y garder son argent en cash.
le chinois qui vient de revendre alibaba garde ses 35 milliards dans une banque : tout autre placement serait plus risqué.
dans Londres un ancien hôtel particulier vient de se convertir en coffres pour milliardaires.
et les banques allemandes ne savent plus où mettre leur cash tellement ça débordent.
et ces taux ne sont pas prêts d’arrêter de baisser : l’inflation des 30 glorieuses c’est un souvenir aussi lointain que l’empire romain.
#La question des ascendant juifs de BJ c’est lui qui l’a mise sur la table, pas moi,
Sur la rdl , Renato, si, c’est vous, ici:
« Dans mon club on parle de malhonnête, puis qu’il soit juif ne change rien car il ne represente pas les juifs mais la Grande Bretagne, et vous admettez que cela fait une sacrée difference. »
Je vous laisse chercher sur le net ce qui est de notoriété publique concernant B Johnson, sa généalogie, son éducation, le club auquel il appartient et vous verrez comment celui que vous avez décrit comme
« D’ailleurs, l’autre blond crètin veut sortir de l’UE sans regles » ne peut etre que la réaction d’un ignorant, pas « comme un porc », mais y’a du bestial quand même.
le prochain à suivre la GB pourrait bien être l’Italie :
https://www.la-croix.com/Monde/Europe/LItalie-atteinte-virus-anti-europeen-2020-04-21-1201090399
hamlet, vous ne me laissez pas le temps de chevaucher mes dadas pour vous demander de mettre une/la pression;
cela dit à « la belle hortense » , « succursale » du « petit fer à cheval »,de mon temps, troquet connu dont on savait que le patron était ou avait été communiste, on pouvait rencontrer plein de gens; il y avait de « mini conférences » -j’y ai entendu M.Broda (une traductrice) invitée par un psy (je ne sais plus qui) rencontré un photographe habitué du lieu, qui avait photographié Dolto, et y exposait , bref , on faisait vite « copain » avec des gens en « arts et lettres » ;le lieu a l’air pourtant exigu, même en comptant l’espace du fond
au petit fer à cheval, c’est aménagé avec du « métro » et il y avait de chouettes toilettes
sur Hortense Allart, plutôt que la patisserie romancée d’A C façon dramatique de prestige ratée, il faudrait peut-être mieux lire le livre de Léon Séché, établi sur sa correspondance.
Le charabia de Daniel stern m’est toujours resté illisible. C’est froid, sans style, ou alors façon mauvais mélo – comme le roman à clé ou elle raconte sa rupture avec Liszt. On en vient à trouver du talent à Louise Colet, c’est dire.
MC
et alii désolé – chevauchez vos dadas ! sinon vous avez une préférence pour la pression ? blonde, brune, ambrée ? ma soeur vivait pas loin de la Belle Hortense dans l’impasse guéménée, je préfèrais les gâteaux au fromage d’un peu plus loin.
Gigi la visqueuse, l’ordure du jour:
Faut les comprendre : les successeurs de Bouteflika leur ont bin botté le cul. Alhors, viennent trouver refuge auprès des franchouillards de leur tremple.
(birds of a feather…, comme dirait txfl aux canadiens, etc.)
Édifiant.
Enfin, pas de quoi perdre la tête pour une fixette de Marie, mais en suivant le fil on trouve :
« Pablo75 dit: à
Pourquoi traiter B. Johnson de porc ignorant ferait il de lui (Le Carré) un antisémite?
Marie Sasseur dit:
Parce que Boris Johnson est juif. »
Don votre « sur la rdl , Renato, si, c’est vous, » va s’écraser contre le mur d’un précèdent post, sur la base duquel je me suis limité à écrire : « puis qu’il soit juif ne change rien car il ne représente pas les juifs mais la Grande Bretagne »
Don > DonC
#Don votre « sur la rdl , Renato, si, c’est vous, » va s’écraser contre le mur d’un précèdent post, sur la base duquel je me suis limité à écrire : « puis qu’il soit juif ne change rien car il ne représente pas les juifs mais la Grande Bretagne »
Renato, si vous singez le Pablo du 75 et recopiez ses posts, ou si vous lui répondez,
il faut le préciser.
Oui, Renato, comme vous le savez maintenant, Boris Johnson est premier ministre du Royaume Uni. Et a ce titre défend son pays et pas la Germanie. Ni votre club.
Henry Cowell :
« elle raconte sa rupture avec Liszt. »
ach les ruptures amoureuses…
rien de mieux pour alimenter der gute romantisch muzik !
rupture avec qui ? il en a eu tellement des ruptures l’ami Franz, das warm lapin avec de grandes paluches.
hamlet, je meurs de soif et je ne peux pas mourir, boire et vous répondre en même temps
bon je ne suis pas du tout bière , mais gateaux, oui;
je pense à un gateau qui était un gateau « de famille » comme les médecins, très facile à faire- vous pouvez sans crainte,le connaissez vous:
https://www.marmiton.org/recettes/recette_butterkuchen-gateaux-au-beurre-et-a-la-cannelle_15312.aspx
je le faisais sans levain (encore plus facile) mais très bon au p’tit dèj
Je ne sais plus où, plus bas, Brinqueballe, vous ne supportez pas l’image du fumeur mâcheur de chewing-gum en arrière plan alors que Mimi Perrin au premier plan, jolie comme en 1960, dit des choses amusantes, intelligibles et utiles. C’est une bonne illustration de la malheureuse méchanceté qui s’étale par ici.
ne faut-il pas avoir connu eine gross lieberdéception pour composer une pareille mélodie, ne l’entend-on pas nous dire « ne t’en vas mon amour, reste encore » mais soudain cela s’enflamme, que se passe-t-il ? « si tu pars je me tue ! » à moins que ce soit le mari qui vienne de se pointer ? se pointer en pointant un revolver sur sa femme ! il tire ! alors revient la petite mélodie…
on croirait de la musique pour film muet de Charlot. mon Dieu ce romantisme, quelle plaie !
Très émouvant de réécouter cette pièce que je trouve sublime dans sa simplicité.
Chaloux dit:
C’est qui son interprète dans le lien de Daily Motion que tu as mis?
Russian Serenade, par Joseph Banowetz
https://www.youtube.com/watch?v=vBP29Ozn0sw
(Joseph Banowetz (né le 5 décembre 1936) est un pianiste, pédagogue, auteur et éditeur américain. Il enseigne à l’Université de North Texas. Banowetz est un expert de la musique du compositeur romantique russe, Anton Rubinstein – Wikipédia).
« Et a ce titre défend son pays et pas la Germanie. »
Dommage que pour un gentleman un engagement doit être honoré ; même celui dont on parle qui, par ailleurs, a été pris par l’UK.
Cela dit, puisque vous avez répondu à Pablo vous auriez du vous rappeler ce détail non insignifiant.
Have a nice trip !
tiens, je trouve sur un site « maison »: où il y a aussi tarte au fromage
BUTTERKUCHE
Recette de Nadine Hirsch
qui précise que ce gâteau est d’origine lorraine et non pas alsacienne, contrairement au Zemmetkuche
Butterkuch
© M. Rothé*
Ingrédients :
– 250g de farine
– 250gde beurre
– 250g de sucre
– 3 oeufs entiers
– un peu de sel
– sucre et cannelle
étaler la pâte sur une plaque, saupoudrer de sucre et de cannelle
mettre au four pendant 15 minutes à 150 degrés
http://judaisme.sdv.fr/cuisine/desserts.htm
le butterkuch (prononcer cour)se coupe en losanges à la sortie du four pendant qu’il est chaud ;les morceaux se détachent après tout seuls
Grâce à un lecteur (Michel B.), on peut vérifier qu’il n’est pas question de « genré » (ou gender) sous la plume de John Le Carré :
« The clubroom is cavernous and high-raftered, part of a converted brewery, with the pool at one end and the bar at the other, and a passageway between the two that leads to the segregated changing rooms and shower areas. »
@ Chaloux
J’ai déjà mis ici l’histoire de Liszt s’endormant à moitié en entendant jouer Debussy l’une de ses oeuvres (à Liszt)?
#Cela dit, puisque vous avez répondu à Pablo vous auriez du vous rappeler ce détail non insignifiant.
Non Renato, j’ai pris le temps de répondre à vos messages à vous, au sujet de vos réflexions concernant le premier ministre du Royaume Uni.
Je vous les rappelle, car elles sont suffisamment shocking, pour que vous les assumez, sans vous défausser comme un malpropre:
« Dans mon club on parle de malhonnête, puis qu’il soit juif ne change rien car il ne represente pas les juifs mais la Grande Bretagne, et vous admettez que cela fait une sacrée difference. »
« D’ailleurs, l’autre blond crètin veut sortir de l’UE sans regles, »
(Mon pauvre de nota, sur la VO, vous vous serez donné du mal pour rien…toute la gloire vous en échappe au profit de Michel B, aarf faut savoir rester humble…)
(Rassurez-vous, vous ne verrez plus jamais OZYMANDIAS, Taleb, Olivia et Didier).
@Passou
Vous avez laissé ce malade s’exprimer ici pendant tout ce temps ? Et qui plus est sous plusieurs pseudonymes différents ? Pour information, il m’avait menacée de mort et de viol sur mon blog…Que chacun puisse s’exprimer et dire des énormités, aucun souci. Qu’on laisse un anonyme proférer des menaces et des insultes homophobes qui tombent sous le coup de la loi est une autre paire de manche.
(Mon pauvre de nota, sur la VO, vous vous serez donné du mal pour rien…toute la gloire vous en échappe au profit de Michel B, aarf faut savoir rester humble…)
Marie Sasseur, ici, je ne me donne aucun mal, je m’amuse, ou me divertis( c’est tellement plus chic!)
Complément à mon commentaire précédent incomplet : ajouter d’Ariane Charton :
« Marie d’Agoult »
Lien permettant d’en lire l’introduction :
https://www.edilivre.com/marie-d-agoult-et-liszt-un-amour-romantique-ariane-charton.html/
Une autre biographie « Debussy » (folio)
#Que chacun puisse s’exprimer et dire des énormités, aucun souci.
Si, il y a des soucis.
La preuve avec cette traductrice et avec Renato, et avec Le Carré.
@je m’amuse, ou me divertis( c’est tellement plus chic!)
de nota, mais personne ne vous a remercié pour avoir donné la vo qui prouve que la trad française, avec les vestiaires et les douches » genrés », c’est du jargon de jargonnant.
Et ça c’était pas so chic.
Quand on écoute Chopin, il y a les gens comme le Pétomane qui entendent: « ne t’en vas mon amour, reste encore… si tu pars je me tue ! on croirait de la musique pour film muet de Charlot », et il y a les gens, comme Baudelaire, qui entendent que sa musique « ressemble à un brillant oiseau voltigeant sur les horreurs d’un gouffre ».
Et quand tu entends, « Vers la flamme » de Scriabin, tu entends quoi, Pétomane sourd comme un pot? La sieste d’un pingouin sur la banquise?
M.Court,
vous avez la dent dure avec A.C.
Dans cet entretien, (11/07/2011) elle me parait être très lucide sur le contenu de son livre.
http://www.mandor.fr/archive/2011/07/11/arian-charton-interview-pour-marie-d-agoult-une-sublime-amou.html
Bien sûr on peut ne lire que les correspondances (la BNF le permet) mais découvrir ce que cette jeune femme talentueuse a fait de ses lettres n’est pas sans intérêt, son blog aussi.
Ed,
je comprends votre révolte. Parfois la liberté offerte dans ces pages permet à certains êtres de… délirer méchamment. Je ne pense pas que ce personnage vous en voulait personnellement. Chacun a eu droit à ses commentaires choquants entre des pauses mystiques ou poétiques.
Il écrit qu’il s’amusait… Un peu comme les gamins qui lancent des pierres dans les vitres, sonnent aux portes et s’enfuient en courant et en riant. Je crois qu’il est encore très « sale gosse »…
Ceux qui vous lisent ici ou surtout sur votre blog peuvent apprécier votre réflexion, votre culture.
Beaucoup aimé votre dernière chronique.
lmd dit: à
Je ne sais plus où, plus bas, Brinqueballe, vous ne supportez pas l’image du fumeur mâcheur de chewing-gum en arrière plan alors que Mimi Perrin au premier plan, jolie comme en 1960, dit des choses amusantes, intelligibles et utiles. C’est une bonne illustration de la malheureuse méchanceté qui s’étale par ici. »
Mis lmd, vous ne savez pas lire, c’est bien le regret de voir cette charmante Mimi totalement phagocytée par l’image du vulgaire mâcheur que je regrettais. Reproche au preneur d’image qui ne sait pas lire ce qu’il filme comme d’autres ce qu’ils écrivent.
La liberté de commenter le billet, avec les règles de la vieille foldingo n’est plus permise. Heureusement qu’il y en a qui résistent à cet engin.
Pas question de vous donner la sattisfaction d’un insulte MS, mon opinion à votre propos n’a pas son espace ici.
Reste que, c’est vous qui avez rappellé que BJ est juif — selon vos mot —, moi j’ai seulement repris l’information.
Pour le reste, je maintiens : BJ est un crètin malhonnête, car il refuse d’honorer des engagements qui ont été pris par l’UK, et ce sera tout, pour moi c’est fini, j’ai mieux a faire, déblatérez comme bonne vous semble.
Chaloux dit: « Moi je ne trouve pas que la question de l’amour entre Bérénice et Aurélien soit secondaire (pour moi lecture très ancienne, environ 25 ans). Tout au contraire, ce que montre ce livre, et c’est à mon avis sa seule qualité, c’est qu’en amour c’est la femme qui domine. […] »
Je n’ai pas eu la même impression en lisant ce roman d’Aragon. Les personnages me sont apparus comme une occasion pour l’écrivain d’interroger ce qu’on nomme l’amour entre deux êtres. Je n’ai pas trouvé de gagnant ni de perdant.
Pour quelles raisons Aurélien s’engage-t-il dans une aventure amoureuse avec cette femme ? Et elle ? Cette histoire, très longue, très compliquée n’est pas rationnelle (l’amour ne l’est jamais !). Aragon décortique la complexité du sentiment amoureux comme Barthes le fera dans « Fragments d’un discours amoureux ».
Ce roman est certainement rattaché à l’expérience de l’auteur, comme vous le suggérez.
Aurélien erre sans but, désengagé de sa propre vie dans le Paris des années 20, mélancolique, désœuvré jusqu’à la rencontre imprévue (erre, comme dans le vers de Racine). Derrière lui, la guerre. Il semble transposé la Bérénice de Racine sur cette femme simple, mal mariée à un pharmacien pantouflard et entre dans un fantasme excessif. Une histoire improbable, à contre-emploi… Une quête chimérique d’un amour absolu.
#Reste que, c’est vous qui avez rappellé que BJ est juif — selon vos mot —, moi j’ai seulement repris l’information.
Pas exactement le déroulé de vos commentaires.
Vous avez commencer par écrire texto:
« Dans mon club on parle de malhonnête, puis qu’il soit juif ne change rien car il ne represente pas les juifs mais la Grande Bretagne, et vous admettez que cela fait une sacrée difference. »
Juste avant d’aller vous en jeter un derrière la cravate.
Je n’ai ensuite pas perdu de temps à mettre à jour votre ignorance. Et la débilité de vos propos, même pas dignes de brèves de comptoir
@LMD
Je viens seulement de comprendre ce que represente l’acronyme jusque là pour moi sibyllin qui vous sert de pseudo Licence Master Doctorat ,ce nouveau cursus honorum des etudes universitaires.cela ne me parle pas
Lorsque j’etais etudiante avoir une licence c’était déjà un haut niveau de connaissances ce qui ne semble plus etre le cas aujourd’hui où c’est un tout premier grade des etudes post bac
Quant au doctorat ,c’était un grade rare qui couronnait une dizaine d’années de recherches et débouchait sur un poste de prof de fac. Ceux qui s’y engageaient etaient tres peu nombreux avaient tous passé l’agregation et les plus optimistes rêvaient de « la sorbonne à 40 ans »
Les mots sont restés les mêmes mais la réalité est différente et quand on vient du vieux monde s’afficher dans un CV comme seulement détenteur d’une licence est un handicap injustifié
Aïe
Vous avez commencé, etc.
Mais bon, j’imagine que les Brit’s c’est pas vraiment vos copains. Vous préférez les germains, comme le Carré, a Kolmar, c’est naturel.
Ed, celui qui t’as menacé et celui qui pense m’insulter est avant tout un lâche, un concombre masqué qui se croit super viril. Le pauvre !
Un solitaire masturbatoire…
Ici les commentaires se lisent chronologiquement de bas en haut, pour vous repérer Renato, depuis que Passou a supprime la datation des #comments.
Ca permet quand même de voir que vous seriez prêt a tout pour ne pas reconnaître ce que vous avez pourtant écrit.
PAblo : « Et quand tu entends, « Vers la flamme » de Scriabin, tu entends quoi, Pétomane sourd comme un pot? La sieste d’un pingouin sur la banquise? »
qu’est-ce que vous avez contre les pingouins ? pourquoi ils n’auraient pas le droit de la faire la sieste ?
non Pablo, voilà ! ça c’est une musique qui nous parle ! pourquoi nous parle-t-elle ? parce qu’elle nous pose une question, elle est énigmatique, elle cache son jeu, contrairement à ce Nocturne de Chopin de putain de romantique à la con qui déballe tout, qui vomit son romantisme sur nos pompes.
et que je te mets des points sur les « i », et que je te mets des estampilles « attention déception amoureuse » ou « éloge de la nature » ou « ein petite sonorité der petite ruisseau dans la forêt noire », le romantisme c’est lourd comme des pommes vapeur, c’est comme bouffer de la chantilly à la louche.
les pingouins Pablo ! la sieste des pingouins c’est une bouffée d’air pur qui souffle sur la banquise Pablo !
Cervantes Pablo ! Cervantes !!! et pas ces putains de romantiques à la con qui ont pourri la vie des générations entières avec leur chantilly à la guimauve !
vous comprendre Pablo ? ou moi vous faire petit dessin avec pingouins faisant sieste profonde sur banquise ?
Christiane et Chaloux, la vérité d’Aragon c’est le mensonge, voilà ce que j’en disais après enquête…
Naissance d’un personnage
D’origine, Aragon est une fiction !
Son nom n’était ni celui de son père ni celui de sa mère et l’on ne connait avec certitude ni sa date ni son lieu de naissance.
L’adresse mentionnée sur son acte d’état-civil correspond en fait à celle de son géniteur, le préfet de police de Paris, Louis Andrieux, qui demeure alors avec sa femme légitime et ses trois enfants au 42 rue Scheffer, dans le 16e arrondissement de la capitale.
Tandis que sa mère, Marguerite Toucas, habite avec sa propre mère, ses deux soeurs puinées et son frère cadet rue Vaneau, dans le 7e arrondissement, à deux pas des magasins du Bon Marché, pour lequel elle peint, la nuit, des motifs décoratifs sur des éventails et des pièces de vaisselle.
A la naissance de l’enfant, la mère ayant dissimulée sa grossesse à Toulon, berceau de la famille maternelle, où il serait peut-être né, celui-ci est placé en nourrice en Bretagne, durant treize mois.
Afin de mieux « brouiller les pistes » avec le voisinage, au retour à Paris du bambin, sa famille maternelle s’installe au 11 bis rue de Villars, à l’autre extrémité de l’arrondissement, côté Seine, où, dès qu’il est en mesure de comprendre, on lui sert la fable consistant à le faire passer pour l’enfant d’amis de sa grand-mère, qui l’aurait adopté, peu de temps après la mort accidentelle de ses parents, à Madrid, où ils étaient censés résider. Sa supposée vraie mère se serait alors appelée Blanche. Blanche ou l’oubli…
Beaucoup plus tard, dans son livre Je n’ai jamais appris à écrire ou les Incipit (1969), Aragon affirme être venu au monde quelque part « sur l’esplanade des Invalides ».
Bien des années auparavant, dans son premier ouvrage, Anicet ou le Panorama, roman, commencé au Chemin des Dames, en 1918, il écrit : « Je suis né l’année où il a fait si grand vent, d’un père inconnu et d’une revendeuse à la toilette. »
Son père, Louis Andrieux, a cinquante-sept ans, quand sa mère, de trente-deux ans sa cadette, se retrouve enceinte. Ce n’était pas vraiment un inconnu pour lui, comme il l’avoue dans le Mentir-vrai (1964) : « Pendant mon enfance, le dimanche et le jeudi matins, nous allions, ma mère et moi, le rencontrer au bois de Boulogne, lui venant de Passy, nous de Neuilly (où sa mère tient alors une pension de famille). Je l’appelais parrain, c’était la version pieuse des choses. »
Quant à sa mère, ce n’était pas à proprement parler une midinette de mélodrame. Elle était d’ascendance aristocratique, apparentée du côté maternel aux Massillon.
Ce n’est que le jour du départ d’Aragon pour le front, à vingt ans, qu’en l’accompagnant à la gare de l’est, le 26 juin 1918, sa mère, à la demande de son père, lui révèle le secret de sa naissance : « parce qu’il ne voulait pas que je pusse être tué sans savoir que j’avais été une marque de sa virilité » !
Son nom a été choisi arbitrairement par son père, en souvenir de la province d’Aragon, qu’il connut lorsqu’il était ambassadeur en Espagne.
Aragon n’a jamais appelé sa mère « maman », ainsi qu’il le dit dans son poème Le domaine privé – le mot, écrit après la mort de cette dernière durant la Seconde Guerre mondiale : « Le mot n’a pas franchi mes lèvres/Le mot n’a pas touché son coeur/(…)Jamais je ne l’ai dit qu’en songe/Ce lourd secret pèse entre nous/Et tu me vouais au mensonge/A tes genoux/Nous le portions comme une honte/(…)Te nommer ma soeur me désarme/(…)Que si j’ai feint c’est pour toi seule/Jusqu’à la fin fait l’innocent/Pour toi seule jusqu’au linceul/Caché mon sang »
le romantisme c’est quoi ? c’est dans l’histoire de l’occident cette période où la stupidité humaine a culminé à son point le plus stratosphérique, et au cas où on oublierait cette vérité la musique romantique vient nous la rappeler, c’est ça le romantisme Pablo.
et tous ! Chopin, Schumann, Beethoven : y’en pas un pour rattraper l’autre ! avec éventuellement une seule exception : Schubert, et encore.
dans cent ans plus aucun musicien ne voudra jouer de la musique romantique ! ça je vous le promets ! déjà aujourd’hui ils osent pas tous le dire publiquement, mais je peux vous dire que ça les gonfle grave !
Pablo, vous savez pourquoi les musiciens ne veulent plus jouer de musique romantique ? parce que quand ils jouent ce genre de musique ils ont l’air de passer pour des cons, du coup ça leur fout la honte les pauvres.
« Je n’ai ensuite pas perdu de temps à mettre à jour votre ignorance. Et la débilité de vos propos, même pas dignes de brèves de comptoir »
N’importe quoi, voyons plutôt :
http://larepubliquedeslivres.com/retour-gagnant-pour-john-le-carre/comment-page-2/#comment-1059965
Par ailleurs, je ne suis point étonné par cette votre incapacité à accepter qu’un engagement pris doive être honoré, même si on l’a hérité, car il s’agit d’une question d’éducation.
« dans cent ans plus aucun musicien ne voudra jouer de la musique romantique ! ça je vous le promets ! »
Comment peut-on promettre sur l’avenir, hamlet ?
Même les astrologues se l’interdisent, demande à Pablo75 !
C’et pompant votre querelle avec renato, Daaphnée !
« the segregated changing rooms and shower areas. »
Qui pour traduire mieux que par « genrés » ce « segregated » ? « Séparés » ne fait pas l’affaire puisqu’il peut induire par un mur, une cloison. Des vestiaires et des douches hommes/femmes ? Donc genrés. Je ne vois pas où est l’abomination. Ah, si la « laideur » du mot ? Pour dire la « laideur » du concept qu’il recouvre. Le mot machisme n’a rien de laid. Ce qu’il connote l’est.
Au fait Jazzi, avez-vous fait vos quatre heures de marche aujourd’hui, sans croissant beurre ni chocolatine mais peut-être avec un coca?
😉
Non Renato, encore une fois si vous recopiez des posts de Pablo du 75, c’est votre problème.
Vous avez d’ailleurs utilisé ce commentaire, pour associer malhonnête et juif dans une même phrase.
Tout le monde peut relire votre commentaire de ce matin, 2 juin 2020. Il est maintenant un peu plus de 19h, et je constate que vous vous enfoncez de plus en plus.
merci, jazzi de rappeler la question d’origine d’ Aragon, avec des « arrangements moins rares qu’on ne veut bien le croire
Jazzi dit: Comment peut-on promettre sur l’avenir, hamlet ?
Même les astrologues se l’interdisent, demande à Pablo75 !
»
Jazzi tu sais pourquoi ? simplement parce que Pablo ne choisi pas les bons astrologues !
moi je les connais les astrologues de Pablo, tu fais une recherche sur google ils n’ont même pas 2 étoiles ! qu’est-ce que tu peux prédire avec 2 étoiles ? rien !
c’est ça les pingouins?
https://www.lemonde.fr/blog/xaviergorce/2020/06/02/genuflexions/
la banquise laisse à désirer ;à moins que ce ne soit le réchauffement climatique
Jazzi tu veux que je recopie le passage de mon grand roman de 60 pages Antimatière où il est question d’Aragon ? oui ? non ?
allez ! comme tu insistes, juste pour te faire plaisir mon Jazzi parce que je t’aime bien, dis toi que c’est juste une réflexion philosophique profonde sur Aragon :
« Après cette aire d’autoroute il y a ce satané tunnel, Samuel se souvient d’une fameuse émission, sur France Culture, deux auteurs, des intellectuels de haut rang, parlent d’Aragon, ils ne sont pas d’accord entre eux, l’un parle du dandy, l’autre de l’homme engagé, l’un s’énerve, posture que tout cela, jette-t-il à l’autre d’une voix agacée, ils sont à deux doigts de s’insulter. Samuel jubile dans sa voiture, il aime entendre les intellectuels de haut rang s’insulter, pour lui c’est ça la culture, la vraie culture, la culture vivante, quand ces intellectuels de haut rang s’énervent au point de s’insulter. Samuel n’a jamais lu Aragon, il ne le connaît pas, à part bien sûr dans les chansons, Brassens, Ferré et les autres, sinon il n’a jamais lu Aragon, il ne le lira jamais, cela ne l’intéresse pas de lire Aragon, il préfère entendre ces intellectuels de haut rang s’insulter à son sujet, cela le rend plus vivant à ses yeux, plus vivant que lire ses livres, mais ce n’est peut-être pas la véritable raison, Samuel ne connaît pas la véritable raison, du moins le pense-t-il.
Un point sur lequel nous serons d’accord, dit l’un des intellectuels de haut rang à l’autre intellectuel de haut rang, sans doute dans un souci de réconciliation, pense Samuel, un point qui nous réconciliera sans doute, dit l’intellectuel de haut rang, confirmant les pensées de Samuel, son but est bien de se réconcilier avec son confrère, dans ces émissions les intellectuels de haut rang finissent toujours pas se réconcilier, se dit Samuel, un peu déçu de cette réconciliation, s’il ne fallait retenir qu’une chose de cet immense auteur, ajoute l’intellectuel de haut rang dans le but de se réconcilier avec son confrère, c’est son incroyable…, et là rideau, silence radio, à cause de ce maudit tunnel, 3200 mètres de long, vitesse limitée à 90 km/h, soit 1,5 km à la minute, soit un peu plus de deux minutes pour le traverser, Samuel peut accélérer, pour sortir plus vite de ce satané tunnel, mais il y a un radar, caché dans un recoin, son patron a été très clair à ce propos, les contraventions, les retraits de permis, Samuel vient juste d’être embauché, il ne veut pas perdre ce travail, ni sa voiture de société, une petite voiture deux places, son matériel professionnel est bien rangé, à l’arrière, deux minutes où sa radio émet d’insupportables sons parasites, des sifflements et des couinements, puis c’est la sortie du tunnel, les voix sont à nouveau claires, à présent nos deux intellectuels de haut rang se congratulent, l’émission est finie, ils se remercient.
C’était il y a longtemps, bien avant l’invention des podcasts. Il est désormais impossible pour Samuel de réentendre cette émission, il ne connaîtra jamais cette chose importante à savoir sur Aragon, la seule qu’il faut retenir sur cet auteur s’il fallait n’en retenir qu’une, pour réconcilier deux intellectuels de haut rang à deux doigts de s’insulter. Samuel est pleinement conscient de cette faille au sujet d’Aragon, ce point faible, désormais Aragon n’est plus un auteur comme les autres, il restera son talon d’Achille, à cause de ce foutu tunnel de 3200 mètres de long… »
Il faudrait que cette Sasseur apprenne à lire sans surinterprèter.
Donc genrés.
Donc sexués h/f tout simplement.
On dit séparés par sexes, in french.
Mais ici il y des travelos sous pseudo, donc ça « parle » pas.
Non, hot poppers, trop chaud.
Je décompresse et, pour l’instant, j’ai fait le tour des bistros et cafés de mon quartier… J’ai même pris mon premier pot en terrasse depuis un peu plus de 80 jours, avec Chedly et un copain qui se prénomme Jean-Louis.
Curieusement, les deux plus belles brasseries du secteur : « La Cascade » à la porte Dorée et « Au Métro » place Daumesnil, n’ont pas rouverts. En revanche, les autres se rattrapent, leurs terrasses se sont aérées mais largement répandues sur les trottoirs. C’est le cas de chez Belle Maman, une brasserie bobo de l’avenue Daumesnil. Ici, malgré de larges trottoirs, le piéton, encerclé, doit se faufiler entre les tables…
#Il faudrait que cette Sasseur apprenne à lire sans surinterprèter.
Renato, quand comme vous on lit beaucoup de journaux et qu’on est capable d’écrire des débilités sur un premier ministre qui défend son pays face à la norme din, et dont le père a bossé pour l’UE, on comprend assez bien que vous avez fait peu d’études. Et que c’est pas évident de faire comprendre qqchose a un débile léger comme vous.
J-Ph Toussaint, et sa clé USB, comme je l’ai indiqué est à lire.
Sinon relire les fondateurs comme Simone Veil.
Tu délires, Pétomane Sourd comme un Pot. Parler de musique avec toi c’est comme parler de démocratie avec ton ami Stalin.
Mais le pire c’est l’ignorance que montre ta phrase: « Cervantes !!! et pas ces putains de romantiques à la con qui ont pourri la vie des générations entières avec leur chantilly à la guimauve ! » On voit que tu n’as lu même pas une version pour gosses de Don Quichotte. Tu ne sais pas qu’il y a, intercalées dans sa Première partie, plein d’histoires romantiques, qu’à son époque s’appelaient « pastoriles »? Et « La Galatea », tu en as entendu parler? C’est un roman de Cervantes où deux pasteurs sont amoureux fous de Galatée, laquelle ne veut pas d’eux.
Du romantisme pur et dur.
Il y a des poèmes plus romantiques que ceux que Cervantes met partout dans ce roman pour exprimer la tristesse de ses héros?
« Mientras que al triste, lamentable acento
del mal acorde son del canto mío,
en Eco amarga, de cansado aliento,
responde el monte, el prado, el llano, el río,
demos al sordo presuroso viento
las quejas que del pecho ardiente y frío
salen a mi pesar, pidiendo en vano
ayuda al río, al monte, al prado, al llano.
Crece el humor de mis cansados ojos
las aguas de este río, y de este prado
las variadas flores son abrojos
y espinas que en el alma se han entrado;
no escucha el alto monte mis enojos,
y el llano de escucharlos se ha cansado;
y así, un pequeño alivio al dolor mío
no hallo en monte, en llano, en prado, en río.
Creí que el fuego que en el alma enciende
el niño alado, el lazo con que aprieta,
la red sotil con que a los dioses prende,
y la furia y rigor de su saeta,
que así ofendiera como a mí me ofende
al sujeto sin par que me sujeta;
más contra un alma que es de mármol hecha,
la red no puede, el fuego, el lazo y flecha.
Yo sé que al fuego me consumo y quemo,
y al lazo pongo humilde la garganta,
y a la red invisible poco temo,
y el rigor de la flecha no me espanta.
Por esto soy llegado a tal extremo,
a tanto daño, a desventura tanta,
que tengo por mi gloria y mi sosiego
la saeta, la red, el lazo, el fuego. »
Chopin à côté de ça, c’est hyper viril !!
Mais bon, pourquoi discuter avec quelqu’un d’aussi ignorant que toi? Tu es tellement nul que cela devient ennuyeux de te contredire.
Je te soupçonne parfois de venir polémiquer ici sur un thème quand tu veux le connaître rapidement. Tu sors une grosse connerie sur lui et tu attends les réponses qui t’en donnent une idée synthétique. Et après tu vas te la péter dans un autre forum ou dans un bar de ton quartier en racontant ce que tu viens d’apprendre, comme si tu le savais depuis toujours.
Tu ne serais pas marsellais par hasard?
Enfin, hamlet, avez-vous idée de la qualité du travail sur les matériaux conduit par les Romantiques ? seriez vous capable d’analyser l’op. 54 de Schumann, p. ex. ?
le romantisme c’est quoi ? c’est dans l’histoire de l’occident cette période où la stupidité humaine a culminé à son point le plus stratosphérique,
hamlet dit:
Tu es tellement ignorant, Pétomane, que tu ne sais pas que romantisme et classicisme existent depuis toujours et partout, et que ce sont deux tendances profondes de l’esprit humain que l’art ne fait que ressortir.
Mais discuter avec toi de tout cela c’est comme donner du caviar à un cochon.
Oui, Jazzi, je savaiis un peu de tout cela sur ses origines mais ce mensonge concerne sa naissance, son identité, son rapport avec sa mère et son géniteur, le préfet Louis Andrieux, déjà marié.
Là, dans le roman, il essaie à travers ces deux personnages de résoudre des questions sur le couple et il tourne en rond (elle aussi) pendant 700 pages…. Je ne crois pas qu’il y ait mensonge entre cet homme et cette femme. Seulement ils plaquent leurs rêves, leurs fantasmes sur l’autre et la réalité ne résiste pas. Ils ne s’aiment que virtuellement, à travers leur rêve d’absolu. Elle déchantera la première lors de leurs retrouvailles en 1940, en lui disant à la fin du roman qu’il n’y a plus rien de possible entre eux.
Lui, par la cruauté du destin trouvera au moment ultime de la mort de Bérénice, deux visages en un. Un amour qui ne se réalise que dans l’éphémère instant de la perte, de la mort.
Ce qu’il a vécu dans la réalité avec Elsa Triolet est aussi vu à travers le prisme de la poésie, le mythe amoureux (ses éblouissants poèmes) en faisant sa muse. Elle, je ne connais pas trop. Quant à ses fêtes nocturnes de la vieillesse, elles sont tellement clownesques qu’il devait être bien désespéré. Mais il aimait aussi les hommes…
Ce qui me gêne le plus c’est ce qu’il a accepté politiquement.
Mais j’aime la musicalité et la virtuosité de son écriture.
La question de Chaloux je la pose pour Aragon : a-t-il aimé vraiment un être réel ? Ce roman « Aurélien » est-il autobiographique ?
« […]Celui qui n’a jamais ainsi senti s’éteindre
Ce qu’il aime peut-il comprendre ce que c’est
Et le gémissement qui ne cessait de plaindre
Comme un souffle d’hiver à travers moi passait […]
Toute une nuit sans fin sur ma chaise immobile
J’écoutais l’ombre et le silence grandissant
Un pas claquant parfois le pavé de la ville
Puis rien qu’à mon oreille une artère et le sang
Il a passé sur moi des heures et des heures
Je ne remuais plus tant j’avais peur de toi
Je me disais je meurs c’est moi c’est moi qui meurs
Tout à coup les pigeons ont chanté sur le toit. »
(« Le Roman inachevé »)
Renato ne le sait peut-être pas, ou au moins dans son club de vieux rassis, mais B. Johnson est aussi connu pour avoir fait une bio excellente de Churchill.
May I suggest his speech ?
« As opposition leader, Winston Churchill delivered two speeches in 1946 which went down in history. In Fulton, Missouri, the British Prime Minister urgently warned about the Soviet expansion in Eastern Europe. For that, he coined the term «Iron Curtain» that went down on the east European states. In Zurich, Churchill spoke about the future of the maltreated and destroyed continent of Europe. To never let such a tragedy happen again, Churchill pleaded for «building a kind of United States of Europe» with the reconciliation of Germany and France as its core. At the time of his famous speech «Let Europe arise!» in Zurich on 19 September 1946 France was not ready for a reconciliation. The wounds of the Nazi’s war crimes were still too fresh. All the more, Churchill needs to be acknowledged for his visionary political thinking. Interestingly, Churchill said that Great Britain would not be part of the United States of Europe but it would assist realising the project. Considering the recent Brexit-decision of the British population, Churchill’s speech in Zurich becomes more topical again these days. »
https://www.churchill-in-zurich.ch/en/churchill/en-churchills-zurcher-rede/
en en faisant sa muse
plantu est-il perfide?
https://www.lemonde.fr/blog/plantu/wp-content/uploads/sites/22/2017/01/BREXIT-550.jpg
Je comprends pourquoi les choses vont de mal en pire : on parle de quelqu’un qui refuse d’honorer les engagements pris par son pays, et l’on m’oppose « defense de son pays » — l’honnête intellectuelle n’est désormais plus de ce monde.
Bon, maintenant qu’elle parle au mur, que c’est tout ce qu’elle peut faire.
: a-t-il aimé vraiment un être réel ?
C’est une question très généralisable
dans cent ans plus aucun musicien ne voudra jouer de la musique romantique ! ça je vous le promets!
hamlet dit:
Si tu étais moins ignorant, tu saurais que ce que tu dis là Schoenberg l’a dit avant toi il y a plus d’un siècle et Boulez et ses amis l’ont répété il y a 70 ans. Et ce qu’on constate aujourd’hui dans les salles de concerts c’est que pour les remplir il faut du Beethoven, du Chopin, du Schumann, du Tchaïkovski, du Brahms, du Berlioz, du Sibelius… Et dès que tu mets le nom d’un type plus « moderne », tu les vides. Regarde les programmes des salles de concerts parisiens et tu comprendras.
Je te signale que les symphonies les plus jouées au monde ce sont celles de Brahms.
Albion n’était pas encore qu’il y avait déjà « les juifs perfides »
L’expression latine Oremus et pro perfidis Judaeis était l’exorde d’une oraison prononcée dans la liturgie catholique lors de la prière du Vendredi saint. Introduite au viie siècle, elle signifiait originellement « Prions aussi pour les Juifs incroyants »2 ou « Prions aussi pour les Juifs infidèles », au sens où ces derniers n’adhéraient pas à la foi chrétienneN 1,N 2. Cependant, avec l’évolution de la liturgie et les traductions dans les langues communes, notamment le français (« Prions aussi pour les Juifs perfides afin que Dieu Notre Seigneur enlève le voile qui couvre leurs cœurs et qu’eux aussi reconnaissent Jésus, le Christ, Notre-Seigneur »), l’expression a rapidement changé de sens. Elle est devenue très vite, dans un contexte d’antijudaïsme,
« L’historien Jules Isaac dénonce ce qu’il appelle l’enseignement du mépris, à travers des siècles de catéchèse qui ont persuadé les chrétiens de la perfidie juive et de son caractère satanique, soulignant le lien entre les pratiques de l’antisémitisme chrétien et le système hitlérien. Il évoque notamment les préjugés antijuifs, les sentiments de méfiance, de mépris, d’hostilité et de haine à l’égard des Juifs, qu’ils soient de religion israélite ou simplement de famille juive5.
Lors de la réforme liturgique qui suit le concile Vatican II, ces termes ne réapparaissent pas, et de plus, les allusions à la conversion des juifs, qui étaient présentes dans l’oraison, sont supprimées. Depuis le missel de Paul VI, promulgué en 1970, la formulation est devenue : « Prions pour les Juifs à qui Dieu a parlé en premier : qu’ils progressent dans l’amour de son Nom et la fidélité de son Alliance6. » »
j’ai été chercher sur wiki, c’est si connu!
quand je dis « c’est si connu », je veux dire que « les juifs perfides » c’est l’expression consacrée:
« Une convergence entre fascistes et catholiques : la « perfidie juive » à l’époque des lois raciales
Daniele Menozzi, traduit de l’italien par Fanny Levin Gallina
Dans Revue d’Histoire de la Shoah 2016/1 (N° 204), pages 105 à 113
https://www.cairn.info/revue-revue-d-histoire-de-la-shoah-2016-1-page-105.htm
dear folks, bientôt l’heure d’un martini dry suivi d’un Bond en vo, époque à bonnes claques sur le fessier des girls. Les genrés restaient au vestiaire.
et alii dit: « : a-t-il aimé vraiment un être réel ?
C’est une question très généralisable »
oui.
Continuerait-on à s’aimer soi-même dans les yeux de l’autre ?
#on parle de quelqu’un qui refuse d’honorer les engagements pris par son pays
Non, Renato, vous parlez du premier ministre du Royaume Uni. Et des juifs malhonnêtes dans votre club de vieux rassis.
B. Jonhson, le successeur de Churchill, celui ne veut pas se faire entuber par Barnier et la Germanie.
Perso, je comprends bien ça.
Aïe.
Boris Johnson.
Le problème du Pétomane Sourd comme un Pot est qu’il n’aime pas la musique et que dans son esprit c’est, évidemment, de la faute de la musique.
Lui il n’aime que les chansonnettes américaines de sa lointaine jeunesse et le rock le plus binaire.
Je suis sûr qu’il est dingue de Dick Rivers, mais qu’il n’ose pas dire qu’il le préfère à Bach.
Donc, il tourne autour du pot (le fameux pot qui est aussi sourd que lui).
« très connu », « expression consacrée »:un peu d’histoire connue de P.Assouline
« Le catholicisme de l’âge contemporain est marqué par un débat animé sur
l’appellation réservée aux juifs, qualifiés de perfides, dans la prière qu’on
récite pour eux dans la liturgie latine du Vendredi saint. Le débat, qui a son
origine dans les milieux de l’Aufklärung catholique, se développe pendant
la période révolutionnaire. L’état ayant proclamé la parité entre toutes les
religions, certaines autorités civiles estimèrent qu’il ne devait pas être
permis, dans un rite public, d’employer des expressions qui apparaissaient
https://edizionicafoscari.unive.it/media/pdf/books/978-88-6969-256-7/978-88-6969-256-7-ch-06_OjA3Tw3.pdf
Va falloir retourner à confesse Renato, car votre papa et Martini, n’auraient pas trop compris que vous vous gonflez comme une outre pleine de martini pour insulter le premier ministre du Royaume Uni.
Pablo, sur ces passage « émouvants » ou « sentimentaux » chez Cervantes est-ce du romantisme ? bien sûr que non, n’est-ce pas, pas plus que les poèmes de Ronsard ne sont romantiques évidemment, il n’y a qu’un… comment dire ? vous voyez ce que je veux dire n’est-ce pas, pour appeler ça du « romantisme ».
et Brahms, vous avez peu près raison, c’est un cas à part, parce que… comment dire… il n’y a pas un seul Brahms mais une multitude de Brahms, et si j’osais le dire je dirais que s’il n’y qu’en Chopin, il y a autant de Brahms que de pièces de Brahms, même un Brahms baroque ou mozartien en cherchant bien.
et voilà Pablo, en attendant les pingouins ils continuent de faire leur sieste sur la banquise et faut pas toucher aux pingouins, c’est une espèce protégée en voie de disparition, et contrairement aux romantiques quand ils ne seront plus là ils manqueront aux hommes, n’est-ce pas.
on commence par la traduction:
l’application à la liturgie des
méthodes modernes de la critique historique mit en évidence que la traduction en langues vernaculaires du terme latin perfidi ne correspondait
88 Menozzi. « Perfidie judaïque » : un débat sur l’accueil de la modernité dans l’église
Le pontificat romain dans l’époque contemporaine, 87-114 e-ISSN 2610-9107
ISSN 2610-9883
pas à son sens originel. J’ai reconstruit, en d’autres occasions, le parcours
historique de ce débat, de ses origines à nos jours.1
Je me limiterai, ici, à
proposer les étapes essentielles de son évolution dans la période cruciale
qui va du refus, de la part de l’église romaine, d’effacer de la liturgie le
rappel à la ‘perfidie judaïque’ à l’époque de Pie XI, à la suppression du syntagme
Pétomane, voilà ce que les gens aimaient il y a 137 ans, aiment aujourd’hui et aimeront dans 3 ou 4 siècles minimum:
Brahms : Symphony No. 3 (III. Poco Allegretto / Leonard Bernstein ,Vienna Philharmonic.
Hugh Grant à BJ :
« You will not fuck with my children’s future. You will not destroy the freedoms my grandfather fought two world wars to defend. Fuck off you over-promoted rubber bath toy. Britain is revolted by you and you little gang of masturbatory prefects. »
Ou encore plus beau, à 20min40:
Johannes Brahms (1833-1897) Symphonie Nº 3 en fa majeur, op. 90
Münchner Philharmoniker & Sergiu Celibidache
Renato, dans toute démocratie, et le UK en est une, l’opposition a ses voix. Heureusement ! Sinon quelle voie royale pour la dictature des » marcheurs » en macronie!
Le camp des Remind a ses pointures. Vous n’avez pas choisi d’être le perroquet du meilleur.
Mais bon, a votre niveau, ce doit être » significatif ».
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