de Pierre Assouline

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La République des livres
Retour gagnant pour John Le Carré

Retour gagnant pour John Le Carré

Quelle souffrance de se jeter dans la lecture du nouveau roman de l’un de ses écrivains de chevet, d’être enthousiasmé, emballé, emporté du tout début à la toute fin et malgré tout d’en vouloir à l’auteur ou à sa traductrice. Pour un mot, un seul, pas plus. Un mot qui ne passe pas. Un mot qui reste en travers la gorge. La seule réserve, le seul regret, la seule question sans réponse. Mon cas avec Retour de service (Agent Running in the Field, traduit de l’anglais par Isabelle Perrin, 302, 22 euros, Seuil) de John Le Carré.

D’abord rendre hommage au maitre. Non du roman d’espionnage mais du roman. Cornwell alias Le Carré en est un depuis la parution de L’Espion qui venait du froid (1963). En un peu plus d’un demi-siècle, il a construit un monde, un univers, une œuvre qui prolongent ceux de ses propres maitres Joseph Conrad et Graham Greene, et dans un genre différent Dickens et Balzac. A deux reprises ses lecteurs ont pu craindre qu’il ne rangeât définitivement sa machine à écrire : lorsque le mur de Berlin est tombé et avec lui l’intérêt du public pour les ambiances de guerre froide, leurs enjeux politiques, les paranoïas ordinaires des gens du Renseignement des deux côtés ; et lorsque l’écrivain a commencé à atteindre « un certain âge » (il est né en 1931).

Julien Gracq m’avait expliqué un jour que passés, disons, 75 ans, un romancier devait sérieusement renoncer à son art. L’écrivain pouvait certes continuer à donner des livres de chroniques, de souvenirs, de portraits, de vagabondages, de brefs récits mais il n’avait plus l’énergie nécessaire, tant physiquement que moralement ou psychiquement, pour créer des personnages de fiction et les porter durant toute la gestation d’un roman. Georges Simenon, Michel Tournier et tant d’autres encore (on pourrait convoquer l’histoire littéraire mondiale) le confirmaient et l’illustraient même par leur attitude ; Julien Green, né en 1900, demeurait l’un des rares à le démentir en publiant de 1987 à 1994 sa trilogie romanesque sur fond de guerre de Sécession Dixie ; cela suscita de tels doutes chez les critiques que son éditeur Claude Durand m’avait dit à l’époque être prêt à sortir du coffre le manuscrit autographe afin de prouver qu’il était bien de la main de l’auteur. John Le Carré, passé l’âge dit fatidique, a écrit ces douze dernières années sans que sa plume ne faiblisse Un homme très recherché, Un traitre à notre goût, Une vérité si délicate, L’Héritage des espions ainsi que, hors-fiction (encore que, parfois, on a pu se demander…) ses mémoires Le Tunnel aux pigeons !

Le tout dernier témoigne de sa forme. Anatoly, dont le prénom a été anglicisé en Nathanaël et diminué en Nat, 47 ans, né en Neuilly quand son père y officiait à l’Otan, est un agent de terrain des services de renseignements britanniques. Il vient de rentrer à Londres. Alors qu’il espère raccrocher et rester au pays afin de poursuivre le job plus tranquillement, après vingt-cinq ans de maison au Bureau, on lui confie une ultime mission : diriger le Refuge, une sous-station du département Russie. Pompier volant aguerri, officier traitant russophone, il est l’homme de la situation. Des pré-retraités de l’espionnage s’y roulent les pouces avec d’anciens transfuges de l’ex-KGB, à l’exception d’une brillante jeune femme récemment recrutée afin de coller aux basques d’un oligarque ukrainien. Voilà le canevas. Manque l’essentiel : le grain de sable.

Il s’appelle Ed, il est bien plus jeune que Nat, et lorsqu’il parle de politique, on croirait vraiment entendre la colère personnelle de John le Carré lorsque, dans ses articles, il dénonce « le délire absolu » de « ce suicide collectif » qu’est le Brexit, vomit les conservateurs à commencer par Boris Johnson « à l’ignorance crasse » et ne ménage pas les travaillistes, voue Trump et Poutine aux gémonies ou accable les multinationales du médicament ou de la technologie pour leur maxi-profit- sans faire pour autant du roman un brûlot politique. La rencontre entre Nat et Ed a tout d’un formidable coup de foudre amical. Sauf qu’au bout, un piège se dessine, avec son lot d’agents dormants et de taupes réveillées, de désillusions chahutées et de loyautés contestées, et se referme…

La complexité des situations, qui a souvent dérouté ses lecteurs, cette fois n’est plus un obstacle – même si certains agents racontent parfois des salades à vous en rendre végétarien ! (Le Carré m’avait expliqué un jour qu’elle était due à sa longue pratique de l’allemand qui lui était devenu une langue naturelle, et qu’il avait donc tendance en anglais à rejeter le verbe à la fin ce qui compliquait un peu la compréhension…). Et ça tient, comme dans ses grands romans des années 80, car sa virtuosité est intacte. Cela ne va pas de soi quand un créateur a inventé un monde si personnel, si connoté à sa manière propre, qu’il donne l’impression d’avoir créé ses propres poncifs. Le tout est d’admettre que le temps est venu de s’en débarrasser. Ce qu’il a fait sans pour autant se moderniser en s’aidant des béquilles narratives de la technologie (textos, ordinateurs etc) ; au contraire même puisque l’un de ses personnages en revient au bon vieux papier, et même à la casserole pour décacheter les enveloppes à la vapeur comme à l’autre siècle car « c’est devenu plus sûr ».

Simplement, sa langue est plus limpide sans s’être pour autant asséchée et sans que la complexité des personnages n’en souffre (lire ici un extrait). Le récit y gagne en nervosité ce qu’il perd peut-être en profondeur. Moins de détails (paysages, décors, vêtements etc) mais qu’importe : on est de plain-pied dans l’histoire dès l’entame et on y reste jusqu’au bout car les dialogues et les portraits sont au poil. Ce n’est pas une question de suspens, comme chez Patricia Highsmith par exemple, mais d’empathie, de familiarité, de convivialité avec des gens qu’on ne voudrait pas quitter sans savoir comment ils s’en sortiront. D’autant que Le Carré use pour son 25ème roman d’un fil rouge qui nous les rend plus proches encore : le badminton.

Tant Nat que Ed en sont fanatiques. Ils y excellent. Tout les ramène à un affrontement permanent de part et d’autre du filet, une raquette dans une main et un volant dans l’autre. (Jean-Paul Dubois n’avait pas agi autrement dans La Succession mais avec la cesta punta, variante de la pelote basque). Bien sûr, on pourrait facilement reprendre et chipoter Le Carré sur la supériorité dont il crédite le badminton « cet art de la subtilité » par rapport au squash « jeu de massacre ». Evidemment, dès lors qu’on en fait « le roi des sports »… Il a tort mais qu’importe. En revanche, on a envie de le suivre et d’explorer plus avant la nature de grands solitaires qu’il prête aux badistes. Pour ceux qui ne l’auraient pas compris, cela explique le titre du roman en français Retour de service, même s’il joue aussi habilement sur la polysémie du mot « service ».

Ce n’est peut-être qu’un détail mais généralement, je ne peux m’empêcher de prêter attention aux expressions signalées d’un astérisque par le traducteur comme étant « en français dans le texte ». Cela  renseigne non seulement sur les traits de caractère que l’auteur nous prête mais aussi sur la popularité de certaines expressions françaises à l’étranger. Dans Retour de service, on trouve bien « pour la bonne bouche », « tour d’horizon », « voilà » « croûtes au fromage »… Mais une expression domine de manière récurrente : « mes chers collègues ». Pourquoi ? Aucune idée. A croire que ça ne se dit pas en anglais car il est difficile de croire qu’outre-Manche, leurs bureaux soient dénués de collègues.

A propos, j’allais oublier le mot qui m’est resté en travers la gorge ; il apparait dès la première page à la fin du premier paragraphe : « …un couloir qui dessert les vestiaires et les douches genrés ». Je ne dispose pas de l’édition originale du roman et j’ignore même comment se dit « genré » en anglais (à partir de gender je suppose) ; mais franchement, un écrivain tel que John Le Carré, avec la culture, la langue, l’écriture qui sont les siennes, est-il capable d’user, qui plus est sans italiques ni guillemets, d’un mot si tendance, si laid, si connoté à un milieu qui n’est pas le sien ? J’en doute. Mais après avoir lu ce mot-là sous sa plume, je m’attendais à trouver pire encore, « racisé », au détour d’une page. De même je ne l’imagine pas se servir de « la perfide Albion », poncif archi usé dont même les Français n’osent plus abuser pour désigner l’Angleterre. Maintenant que mes doutes et ma petite colère sont sortis, je me sens encore plus à l’aise pour louer la qualité de la traduction de ce roman par Isabelle Perrin : avec sa mère Mimi Perrin (par ailleurs une personnalité des grandes voix du jazz en France), elles sont les fidèles et précieuses porte-voix de l’œuvre de John Le Carré depuis la Maison Russie en 1989 et Isabelle Perrin désormais seule depuis Un traitre à notre goût en 2011.

(« John le Carré, en décembre 2018, lors d’une manifestation contre le Brexit » photo Sean Smith ; « Le Carré » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

1 535 Réponses pour Retour gagnant pour John Le Carré

Marie Sasseur dit: à

Comme tous ceux qui profitent des subventions…

renato dit: à

Churchill – Johnson : L’histoire se répète « la première fois comme une tragédie, la seconde fois comme une farce ».

Marie Sasseur dit: à

Renato sans Churchill, vous causeriez schleuh. Notez que dans votre cas, a Kolmar, dans votre club bien pourri, ça changerait rien.

renato dit: à

Jamais demandé ni reçu une subvention, vous devriez mieux vous informer.

Pablo75 dit: à

Écoute ça jusqu’au bout, Pétomane, et regarde la tête de ce génie de la direction qu’était l’ami Carlos Kleiber (tu crois qu’on peut être aussi heureux en dirigeant Boulez?):

Brahms: Symphony No.4

Bayerische Staatsorchester & C.Kleiber (1996)

https://www.youtube.com/watch?v=t_L8BajLmtE

renato dit: à

Kolmar ?! ah, Sainte Bêtise !

x dit: à

Il y a une chose qui m’échappe dans la controverse à propos de Bojo (j’ai dû rater une étape) :

— parle-t-on d’un choix d’affiliation et/ou de pratique religieuse, revendiqué par l’intéressé ?
Ce serait alors très récent : a priori, il avait choisi l’anglicanisme insulaire, renonçant au catholicisme maternel dans lequel il avait été élevé.
Les « bien informés » pourraient-ils fournir un lien vers des faits susceptibles d’éclairer ma lanterne ?

(S’agissant de politiciens, on a vu des invocations de « racines » quelque peu intéressées et très changeantes selon les situations et les interlocuteurs.)

— Ou bien parle-t-on simplement d’un seul des rameaux (attesté) de son arbre généalogique très varié ?
En d’autres termes, s’agit-il de l’ASSIGNER volens nolens à une part pas vraiment prépondérante de son hérédité ?
(Un arrière-grand-père maternel.)

Dans ce cas, une telle démarche ressemblerait furieusement à la théorie de la « goutte de sang », noir, qui même unique dans une hérédité par ailleurs caucasienne comme ils disent, suffisait aux ségrégationnistes à « colorer » un individu.

Et ce, même si (comme je le suppose en l’occurrence), elle procède d’une motivation inverse, valorisante et non dépréciatrice.

Pourquoi ce fragment d’origine serait-il déterminant (pour son « identité » et pour sa politique ?
Et pourquoi le serait-il davantage que la partie turque de son hérédité (qu’il a revendiquée pour s’exonérer du racisme dont on l’accusait) ? Faudrait-il dire « Boris Johnson est musulman » alors que l’ascendant en question se voulait laïc ?

— Ou bien les « informés » supposent-ils une appartenance par simple contiguïté en s’appuyant sur le fait que la belle-mère (step-mother), c’est-à-dire la seconde épouse du père de B. Johnson, est elle-même la belle-fille (step-daughter) de Teddy Sieff, épousé en secondes noces par sa mère ?
(D’où le séjour au kibbutz à récurer des casseroles. Expérience de quelques semaines qui l’aurait emporté sur tous les autres souvenirs de voyages de Bojo de par le monde, au point d’effacer tout autre appartenance et de déterminer son identité ?)

Oui, c’est long et fastidieux. Vous préférez manifestement les raccourcis d’autant plus saisissants (punchy) qu’ils relèvent du bobard.

Pour en savoir un peu plus sur l’influence etonienne derrière le livre consacré à Churchill (Boris Johnson’s jaunty, florid book about Churchill), un article écrit par un fellow Old Etonian que j’avais déjà proposé il y a des mois :
https://www.lrb.co.uk/the-paper/v41/n13/james-wood/diary

hamlet dit: à

Pablo, ouai, il faut bien comprendre une chose, limite la musique romantique passerait mieux s’il n’y avait pas le public.

j’imagine la tronche que vous devez faire quand vous écoutez cette musique, je suis sûr que ça doit même vous arriver de verser une larme en écoutant Brahms ? vous imaginez si vous êtes au premier rang, il faut penser à ces pauvres musiciens, ils se sont tapés des années de conservatoire où ça tire à vue, les concours avec des jurys un peu branques, si en plus faut leur infliger des types comme vous dans le public là c’est l’enfer.

Jazzi dit: à

« plantu est-il perfide ? »

Lui, probablement non, et alii, mais la petite souris ?

Jazzi dit: à

« Comme tous ceux qui profitent des subventions… »

ça, c’est de la pure perfidie !

Pablo75 dit: à

sur ces passage « émouvants » ou « sentimentaux » chez Cervantes est-ce du romantisme ?
hamlet dit:

On voit que tu ne comprends pas l’espagnol. C’est bien pire que Bécquer, le Chopin espagnol de la poésie. « La Galatea » est un roman romantique, écoeurant de sensiblerie, « dégoulinant de mièvrerie », comme avait dit un journaliste de Télérama de je ne sais plus quel présentateur TV.

Et les troubadours, ils étaient quoi, eux? Des poètes futuristes?

N’essaie pas de théoriser ta surdité. Ça se voit trop.

et alii dit: à

Lui, probablement non, et alii, mais la petite souris ?
auriez vous des problèmes de tapette?

Marie Sasseur dit: à

#ça, c’est de la pure perfidie !
Non, c’est connu.

bouguereau dit: à

N’essaie pas de théoriser ta surdité. Ça se voit trop

pédro il a le gout du pétomane

bouguereau dit: à

En d’autres termes, s’agit-il de l’ASSIGNER volens nolens à une part pas vraiment prépondérante de son hérédité ?

le gout de gueubèls

Pablo75 dit: à

Au lieu de dire de conneries sur la musique, écoute, à partir de 21min40 l’un des plus beaux moments de la musique occidentale (surtout à 22min06 et à 23min):

Brahms: Symphony No.4

Bayerische Staatsorchester & C.Kleiber (1996)

https://www.youtube.com/watch?v=t_L8BajLmtE

Tu comprends maintenant pourquoi Brahms est 800 ou 900 fois plus joué que Boulez dans le monde et il le sera toujours?

bouguereau dit: à

ça, c’est de la pure perfidie !

la langue a un gout pour le rateulsnéque

Marie Sasseur dit: à

petitix, Renato et son club, ont toutes les infos, ils lisent les journaux, mais surtout sur le net.

Cela dit était-ce un argument à apporter en réponse à cette saillie assez charliesque, pour rester dans des trucs que les parisiens comprennent bien: « A pig-ignorant » et que cette traductrice Sorbonne nouvelle de Paris a bien traduit ?

bouguereau dit: à

800 ou 900 fois plus joué que Boulez dans le monde et il le sera toujours?

des reich de milan toupartou

bouguereau dit: à

saillie assez charliesque

un rien lui esplose le cul a la tèrezoune

Marie Sasseur dit: à

Ducon, ton tropisme de sodomie a une raison, mais tu ne sais pas pourquoi. Demande à ton papa…

bouguereau dit: à

vous vous gonflez comme une outre pleine de martini pour insulter le premier ministre du Royaume Uni

térezoune fait du pied a dirfiloo au pub..il bande larc happy comme huhulisse..’ayons un good trip’

Marie Sasseur dit: à

Parce qu’il faut voir le CV de la traductrice, vous êtes marrant, vous, les parigots têtes de veau.
C’est pas tous les jours, qu’en province, on peut lire des trad’de Qualität, dûment reconnue et validée ici, comme celle de la fille à Mimi.

Elle a même écrit un truc genré, bien de chez vous:
 « Splendeurs et misères des traductrices », séminaire « Les mercredis de la traduction »

Sans deconner.

http://www.univ-paris3.fr/perrin-isabelle-179834.kjsp?RH=1178827308773

Chaloux dit: à

@Pablo. A côté des symphonies de Brahms, il y avait ce Boléro, également par Célibidache. Il a le sourire en dirigeant, ce qui n’est pas toujours le cas, et on comprend pourquoi. Époustouflant.

https://www.youtube.com/watch?v=gy5Ve3338-E

Je regrette de ne pas avoir entendu Célibidache.

Marie Sasseur dit: à

Bon, sur ce, le clubbard de Kolmar m’ayant épuisée, je vais me mettre un peu de zique. La bo est très vaste, j’ai un vrai faible pour les musicos de Bristol, et pas qu’eux ,mais voilà :

https://youtu.be/_pKIrJ5-GmI

Bonsoir.

closer dit: à

La notice wiki sur Boris Johnson donne une généalogie fort complexe…Il a certes une grand mère « d’origine juive ashkénaze », mais ce que l’on claironne moins, il a aussi un arrière-grand père turc ottoman, donc musulman. Pour le reste il est allié avec nombre de familles européennes aristocratiques et même royales. Pour moi, qui n’a pas un esprit tordu et obsédé par le communautarisme, il est ce qu’il est, i.e. britannique anglican, full stop.

bouguereau dit: à

vos liens c’est que dla ficelle à gigots..hallez vous faire hanculer..sinistres

et alii dit: à

très sincèrement, jazzi; je pense qu’hamlet peut vous aider:
Peu avant la première, le titre de la pièce dut être modifié sur les instances d’Émile Littler qui avait mis en scène une pièce nommée Trois souris qui n’y voient mie dans le West End avant la Seconde Guerre mondiale3. L’idée du titre, La Souricière, est suggérée à l’auteur par son gendre, Anthony Hicks4. C’est une allusion à la pièce de William Shakespeare, Hamlet ; La Souricière est le nom que le héros éponyme prête au spectacle représenté devant la cour, en réponse à une question du roi Claudius (Hamlet, III, ii). En réalité, le nom de la pièce est Le Meurtre de Gonzague, mais la réponse d’Hamlet est une métaphore, puisque cette représentation est le piège qu’il tend au roi dans l’espoir qu’il se trahisse et révèle sa culpabilité.

L’incroyable longévité de la production originale en a fait une attraction touristique majeure et, en 1997, grâce au producteur Stephen Waley-Cohen, elle a contribué à la création d’une organisation d’aide scolaire qui permet aux jeunes de découvrir le théâtre à Londres.

Une pièce de Tom Stoppard, The Real Inspector Hound, reprend de façon parodique de nombreux éléments de La Souricière, notamment son dénouement inattendu, mais les producteurs se sont trouvés dans l’impossibilité de dénoncer le procédé sans révéler en même temps au public le dénouement de la pièce de Christie.

et alii dit: à

présentation rapide de wiki
La Souricière (The Mousetrap) est une pièce de théâtre policière d’Agatha Christie. C’est la pièce qui totalise le plus grand nombre de représentations consécutives au monde depuis sa création dans le West End de Londres en 1952, où elle n’a jamais quitté l’affiche, le cap des 25 000 représentations ayant été atteint le 18 novembre 2012, permettant ainsi au petit-fils de la dramaturge, Mathew, de devenir millionnaire en recevant les droits de la pièce pour cadeau d’anniversaire de ses 9 ans1.

Adaptation théâtrale d’un mystère radiophonique écrit en 1947 pour les 80 ans de la reine Mary, elle est célèbre pour son dénouement à surprise que les spectateurs sont priés de ne pas révéler, comme le demande la dernière réplique de la pièce donnée par le policier : « Chers spectateurs, complices du crime, merci d’être venus. Et de ne pas révéler l’identité du meurtrier ».
c’est P.Assouline qui a parlé de P.Highsmith!
je suis innocente

Jazzi dit: à

Passionnant La souricière, et alii, mais je ne vois pas bien le rapport avec la petite souris de Plantu ?

D. dit: à

Quelques soucis avenue de Clichy. Sitôt un brasier éteint, un autre est rallumé.
Notons que le port du masque y est vivement recommandé ve qui ne va pas aider pour les identifications des casseurs.

de nota dit: à

Celibidache, voilà un chef d’orchestre ! Quand on pense que certains admirent Karajan, cet affreux! Un homme d’affaires mais totalement sourd, et Arturo Toscanini, une usine à notes ! Riccardo Muti? Un chef doué, mais un grand ignare, et alors, Claudio Abbado! une plaie, totalement dénué du moindre talent! Je pourrais survivre à trois semaines sans manger, mais trois heures de concert avec lui, ce serait l’infarctus assuré! Quant à Karl Böhm, un sac de patates qui n’a jamais dirigé une note de musique de sa vie! Mais Celibidache, un type insupportable, mais quel chef!

et alii dit: à

jazzi, quelqu’un vous expliquera
bonsoir

Phil dit: à

bonne nuit etalii…baroz va s’en griller une à la terrasse déconfinée;
tout ce foin pour une histoire de chiottes genrés. as for me, j’ai lu le Stamboul de Greene simplement pour le mot sur Bruges vue depuis l’Orient-express, « too spoiled » par les photographs. la suite est bien spoiled par la fixette sur le juif anglais coiffé comme un pneu. lire un livre pour trois mots, what else. vive james bond.

Phil dit: à

renato a dignement jouté ! effet combiné du martini et de l’understatement, olive gratos, Elsass über Alles

Clopine dit: à

alors voilà. Attelle d’immobilisation du genou, retrouvailles avec mes béquilles, codéine à gogo… et 8 jours au moins de… confinement (ahaha).

Une fois de plus, entorse, au genou cette fois. Je suis prévenue : c’est plus compliqué (et plus douloureux, aïe) que les habituelles entorses de la cheville…

Et dire que tout est ma faute : c’est en dansant que je me suis vrillé le genou !!! A-t-on idée, aussi, d’aimer la danse, quand on s’appelle Clopine, je vous le demande un peu ?

D. dit: à

Ben en effet la danse est efficacement pratiquée par des danseuses. Au dernières nouvelles vous n’êtes pas danseuse, Clopine.
Qu’est-ce qui vous a donc pris une fois encore ?!

Clopine dit: à

C’est une jolie histoire, D., qui se finit un peu mal pour moi mais… Non, rien de rien, non, je ne regrette rien…

Nous avons un voisin, qui habite, seul, une vraiment toute petite maison, en contrebas, avec un minuscule terrain où Philippe (il s’appelle Philippe) a réussi à entasser une quantité ma fois assez impressionnante de petits bâtiments, poulailler, abris, resserres…

Ce voisin, ex-ouvrier à la DDT, est un vrai brave type, mais nous n’avons pas forcément grand’chose à partager, à part des « bonjours » bienveillants et ces menus services que la vie rurale autorise encore entre êtres humains.

Philippe, pendant et depuis le confinement, en guise de participation désintéressée aux hommages nationaux pour les soignants, tous les soirs, aidé par la météo rayonnante, joue de la batterie. De manière d’autant plus désintéressé que personne, a priori, ne l’écoute.

Même pas nous ! Etant à peu près ses seuls voisins, nous entendons donc ses soli vigoureux, ses coups de cymbale, certes atténués par la distance mais cependant montant clairement dans l’air du soir… Nous les entendons, mais nous ne les écoutons pas.

Philippe nous a invités plusieurs fois à descendre le voir jouer : pour mieux nous rendre compte.

Hier au soir, nous étions nombreux autour de la table, là-haut, et entendions la batterie ; mais seuls Clopin et moi avons mis à exécution notre vague promesse de descendre écouter de plus près notre voisin, comme il nous avait invités à le faire. Il faut que j’avoue aussi que l’apéritif avait compté pas moins de deux kirs, et que le repas avait été généreusement arrosé d’un petit vin bio… Bref, nous étions d’humeur vagabonde, Clopin et moi, et nous voilà partis.

Le chemin, en bas de la côté, tourne à droite. Mais Philippe a défriché une partie des buissons, à gauche, histoire de faire un raccourci entre sa courette et notre portail.

Déjà, marcher entre le ruisseau et les buissons d’épines était assez ardu, mais cela valait le coup : car, débouchant devant la chaumière (à pièce quasi unique), nous avons vu notre vieux voisin, les fesses bien calées sur son siège de batteur, le dos redressé, la casquette retournée pour que la visière protège le cou plutôt que le fond, qui tapait avec vigueur et un sens indéniable du rythme, sur une magnifique batterie, le tout posé sur un tapis moelleux, sorti pour l’occasion. Les différentes caisses reluisaient dans le soleil du soir, la porte et les fenêtres de la chaumine étaient grandes ouvertes, et Philippe exécutait roulement sur roulement, battements sur battements, pendant que de l’intérieur de la maison sortaient, par bouffées, les morceaux de musique pop qu’il répétait.

Pour de vrai, ça avait une satanée gueule ! On s’est assis sur le muret, Clopin et moi, et franchement ça balançait pas mal à Beaubec…

Et voilà que le Philou se met à taper sur ses caisses, aux sons des vieilles chansons de Police, walkin’ on the moon, message in a bottle, tout ça…

C’en était trop.

J’ai fait valdinguer mes pompes, je me suis plantée sur le petit perron tout pierreux (et de pierres mal équarries, en plus), et j’ai dansé comme je dansais il y a… Mon dieu, tant que cela ?

Tant que cela : mon genou arthritique s’est mangé une bonne grosse entorse…

Mais bon. On ne peut pas tout avoir, et c’était si plaisant, nos sourires à tous les trois, qui nous entendions comme larrons en foire, zim boum boum, tchac, tchac, tchac, que ma foi, tant pis. Mon sourire s’est transformé en grimace de douleur, certes, mais ça valait quand même le coup !!!

Janssen J-J dit: à

@ Rassurez-vous, vous ne verrez plus jamais OZYMANDIAS, Taleb, Olivia et Didier. (Ed.)

Je me demande bien comment vous pouvez en être si sûre. Auriez-vous par hasard réussi à la faire alpaguer, cette ordure ?

Non, Ch., ce menteur algérien invétéré capable de toutes les bassesses et ignominies (comme pas mal de sa race – voici une plaisanterie empruntée à son style), n’était certainement pas l’aimable petit saligaud qui s’amuse à souffler innocemment le chaud et le froid sur les internautes de la rdl.

@ CT, on vous laisse aller au bal deux journées et vous nous revenez pile-poil avec une tendinite, c’est malin ! Je ne pense pas que vous serez immobilisée aussi longtemps. Bon rétablissement !

Ed dit: à

« comment vous pouvez en être si sûre »

Je n’en sais rien JJJ. J’ai repris ses propos et oublié les guillemets. D’où la confusion.

Ed dit: à

« un concombre masqué qui se croit super viril
Un solitaire masturbatoire… »

Parfaitement. Je l’imaginais tout seul avec sa b— et son couteau en train de m’insulter pour tenter – en vain – de soulager sa frustration.

@christiane
Je suis ravie que vous appréciez mon blog. Quant à l’Algérien, je crois que vous minimisez des propos qui, je le répète, tombent sous le coup de la loi. Il n’y a rien d’amusant à menacer une personne de l’égorger comme une brebis…ou alors je manque d’humour. Ca tombe bien, la justice aussi. (LOL, mdr)

l’ombelle des talus dit: à

janssen J-J dit: à
Je ne pense pas que les organsmes de l’ombelle des talus puisse intéresser notre communauté (sic).
christiane dit: à
Oui, JJJ, lamentables soubresauts d’obsédés jaloux. Pas la peine de s’y arrêter…

Je suggère aux donzelles précitées, alliées de circonstance d’un morne soir virtuel, d’écouter le clavier noir des Beatles dans l’inoubliable prestation sur-le -toit de Get Back, genre inauguré par le Jefferson Airplane un an plus tôt à New-York ; full ace

l’ombelle des talus dit: à

Il se nommait le Billy Preston

Pablo75 dit: à

il y avait ce Boléro, également par Célibidache. Il a le sourire en dirigeant, ce qui n’est pas toujours le cas, et on comprend pourquoi. Époustouflant.
Chaloux dit:

C’est une oeuvre qui le faisait danser carrément en dirigeant. Il y a un autre Bolero encore plus fou, avec la Philharmonie de Munich en 1983, où il a l’air d’être drogué par le rythme implacable de l’oeuvre (à partir de la min. 14) et parfois proche de l’extase (à la fin, une fin folle, avec gong énorme inclus).

Personne n’a jamais joué le Bolero de façon aussi dingue.

https://www.youtube.com/watch?v=rGy2BB87gug

Pablo75 dit: à

Karajan, cet affreux! Un homme d’affaires mais totalement sourd, et Arturo Toscanini, une usine à notes ! Riccardo Muti? Un chef doué, mais un grand ignare, et alors, Claudio Abbado! une plaie, totalement dénué du moindre talent! Je pourrais survivre à trois semaines sans manger, mais trois heures de concert avec lui, ce serait l’infarctus assuré! Quant à Karl Böhm, un sac de patates qui n’a jamais dirigé une note de musique de sa vie!
de nota dit

Tu as oublié les guillemets, mon pote !

Et la réponse de Carlos Kleiber, déguisé pour l’occasion en Toscanini:

« Texte de Toscanini (Ciel) à Célibidache (Munich) »

Cher Sergiu !
Nous t’avons lu dans le Spiegel. Tu t’énerves, mais nous te pardonnons.
Nous n’avons d’ailleurs pas le choix, le pardon est de bon ton, ici.
Karli, le sac à patates, a émis quelques objections mais quand Kna et moi l’avons tranquillisé et rassuré quant à sa musicalité, il a cessé de se lamenter.
Whilhem prétend même à présent avec aplomb ne jamais avoir entendu ton nom.
Papa Joseph, Wolfgang Amadeus, Ludwig, Johannes et Anton disent préférer les seconds violons à droite et déclarent que tous tes tempi sont faux. D’ailleurs, au fond, ils n’ont rien à battre de telles conneries…
De toutes façons, ici, En-Haut, on n’a pas le droit de s’occuper de conneries, le Boss ne veut pas.
Le vieux maître Zen qui habite juste à côté dit que tu as mal assimilé le Bouddhisme.
Bruno s’est fendu la pipe en lisant tes déclarations, mais je le soupçonne de partager en secret tes opinions sur Karli et moi-même.
Peut-être, pour changer un peu, tu pourrais balancer une vacherie sur lui ; il a tendance à se sentir négligé.
Je suis désolé de devoir te l’avouer, mais ici, En-Haut, nous sommes tous toqués d’Herbert. Les chefs sont même un peu jaloux de lui. Nous sommes impatients de l’accueillir cordialement dans 15 ou 20 ans.
Dommage que tu ne puisses être des nôtres. Mais on dit que là où tu iras, on fait une meilleure cuisine et que, en-bas, les orchestres répètent inlassablement. Ils font même des erreurs exprès, pour te laisser le plaisir de les corriger jusqu’à la fin des temps. Je suis sûr que ça te plaira, Sergiu.
En-Haut, les anges lisent la musique dans les yeux des compositeurs et nous, chefs, n’avons plus qu’à les écouter. Seul Dieu sait comment je suis arrivé ici.
Je te souhaite cordialement bien du plaisir.
Ton Arturo. »

et alii dit: à

avec mes regrets:
je n’imagine pas que pour attraper la souris de Plantu,les chats de SFAR feraient des infidélités àqui que ce soit;ne reste que la solution d’une souricière – – et autrement dit en français la tapette , et vous pouvez donner votre langue au chat pour savoir quelles croûtes au fromage choisir,je l’ignore ;

de nota dit: à

@ Pablo, c’est pas drôle! C’est la première fois ici que je fais cette blague et me voilà llico démasqué!Reste à savoir si vous connaissiez ces propos de Celibidache ou si vous avez considéré que j’étais incapable d’avoir une opinion sur la direction d’orchestre? Ce qui est tout à fait le cas.

renato dit: à

L’Op. 20 mis en ligne le 3.5 à 6.30

Marie Sasseur dit: à

20/06/03 6.51 am

Bonjour Renato, je vous souhaite un belle journée.
Have a break, a breakfast, together. Bacon and eggs and tea, and newspaper.

« Boris Johnson on the Hong Kong crisis: We will meet our obligations, not walk away

Boris Johnson

Wednesday June 03 2020, 12.01am BST, The Times »

Marie Sasseur dit: à

« Quant à l’Algérien »

« ce menteur algérien invétéré capable de toutes les bassesses et ignominies (comme pas mal de sa race »

…fallait bien que ça sorte…

Marie Sasseur dit: à

Ozy a été le seul mec ici à remettre jjed à sa place sur son terrain de prédilection: des attaques sous la ceinture, en permanence.
La réponse du boursouflé a été à la hauteur : grassement haineuse. Et contrairement à Ozy , il ne vous donnera pas la liste des pseudos , sous lesquels il harcèle tout le monde ici !

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mercredi 3 juin 2020 à 7 h 40 min.

…la continuité de la lecture de vos commentaires,…
…me laisse, une impression forte d’un  » club  » littéraire intellos, du genre  » C.H.O.U.A.N.S. »,…à chouanneries diverses,…

…en tous sens,…à fonds perdus,…
…la négation, la répudiation de l’état de république,…
…tirez votre plans,…rien à y voir,!…
…etc,…

Chaloux dit: à

« Quant à l’Algérien »

Gigi la visqueuse de plus en plus ignoble et raclure de bidet, est-elle aussi ordure que sa race?

Ozy est un type intelligent avec des débordements. Ni le premier, ni le dernier.

renato dit: à

Facebook : 600 employés en greve contre Zukerman suite à son soutien des menaces de Trump.

renato dit: à

Pardon, Zuckerberg !

Chaloux dit: à

Mon Dieu, faites que la prochaine fois l’Arthritoclopine danse sur les doigts!

Ça nous fera des vacances.

Hurkhurkhurk!

christiane dit: à

l’ombelle des talus dit: »Je suggère aux donzelles précitées, alliées de circonstance d’un morne soir virtuel,… »
Ed, aussi…

Trop facile de citer une remarque en omettant ce qui a précédé et provoqué cette remarque !
Trop facile d’omettre les tombereaux d’injures, d’insinuations salaces auxquelles j’ai eu à faire face ici comme JJJ, Phil, Jazzi et d’autres.
Mme la vertu qui porte les dérapages d’Ozy au pinacle est la première à utiliser ce genre d’obsessions sexuelles pour insulter ceux qu’elle ne supporte pas par misogynie, jalousie ou incapacité de répondre paisiblement et intelligemment aux propos des autres. des liens ne peuvent cacher ses insuffisances intellectuelles.
Ceci dit je n’approuve pas du tout les dernières remarques de JJJ sur « l’algérien… »
Il y a sur ces fils de commentaires des personnes qui y viennent masquées non pour rendre possible des échanges intéressants mais pour dénigrer, souffler la haine et la vulgarité.
Alors ciblez mieux vos donzelles et autres pervers.

christiane dit: à

Marie Sasseur dit: « … sur son terrain de prédilection: des attaques sous la ceinture, en permanence. »

C’est bien de vous reconnaître !

Chaloux dit: à

Cricri ne se rend pas compte qu’elle est taclée sur ce qu’elle exhibe, des troubles maladifs qu’il faudrait traiter.
D’autre part, quelle leçon peut-elle donner, elle qui multiplie les atteintes à la vie privée et répand, sans vergogne des ragots immondes?

Marie Sasseur dit: à

#quelle leçon peut-elle donner, elle qui multiplie les atteintes à la vie privée et répand, sans vergogne des ragots immondes?

Aucune on sait ce qu’elle a fait.

christiane dit: à

Ed dit: @christiane
Je suis ravie que vous appréciez mon blog. Quant à l’Algérien, je crois que vous minimisez des propos qui, je le répète, tombent sous le coup de la loi. »

Pensez-vous que j’approuve ces menaces et insultes ?
Pendant que vous étiez en voyage, j’ai eu l’équivalent, ici… et je ne crois pas que leur auteur vive en terre de soleil !
Ceci dit, je n’approuve pas dans vos réactions (comme pour JJJ) le fait d’amalgamer un pays et ses ressortissants à votre écœurement bien légitime. Il y a l’équivalent ici sous des pseudos divers. Tous les masqués ne viennent pas des pays méditerranéens, tous ne sont pas des hommes.
Répondre à ces ignominies par le racisme n’est pas une solution. Vous aviez déjà dérapé à ce sujet…
Vous pouvez être passionnante. Laissez ces dingues cracher leur venin quand cela les démange… Ignorez-les et restez lumineuse, drôle, cultivée. Gardez votre impertinence, votre humour et passez entre ces gouttes nauséabondes, intacte.

christiane dit: à

Marie Sasseur dit: « elle qui multiplie les atteintes à la vie privée et répand, sans vergogne des ragots immondes »
Continuez ! votre autoportrait est parfait. Pour une fois votre miroir vous renvoie votre vérité.

Chaloux dit: à

D’autre part, il m’a semblé m’apercevoir qu’Assouline, pourtant avide de lauriers illégitimes, sabre les posts de Cricri quand ceux-ci deviennent par trop délirants dans l’éloge.
Un signe qui ne trompe pas.

Marie Sasseur dit: à

« Pendant que vous étiez en voyage »
Lol

bouguereau dit: à

par trop

le style du loufiat c’est le jus de bière..

Chaloux dit: à

Le style de Tata bousemolle, mon nain de jardin, c’est le jus de slip.

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

on sait

haprés ce con de keupu je vais pouvoir ajouter tèrezoune à mon atlage..dirphiloo va tmarquer au cul d’un duconne au fer rouge

bouguereau dit: à

tu vois mon larbin..quand je veux..comme je veux..en cuisine l’égorgeur

DHH, dit: à

@ED
pourquoi votre blog n’accueille-t-il pas les commentaires?
j’aurais aimé vous dire de manière developpée et illustrée mon sentiment de votre lecture si fine et si sensible du deuxieme tome de la saga Ferrante

Chaloux dit: à

Quelle que soit l’heure, mon nain de jardin, tu n’as pas davantage d’esprit.

bouguereau dit: à

Ben en effet la danse est efficacement pratiquée par des danseuses. Au dernières nouvelles vous n’êtes pas danseuse, Clopine.

un professionnel dla profession dédé..

bouguereau dit: à

Pardon, Zuckerberg !

tu sucres trop rénateau

bouguereau dit: à

A-t-on idée, aussi, d’aimer la danse, quand on s’appelle Clopine, je vous le demande un peu ?

pas trop.. cque c’est qula fierté mal placé..alors que si c’était en tombant dla commode t’l’aurais contrevenu en ornière mal négocié..a tort et ‘par trop’..comme il dit mon barde

et alii dit: à

bon, Clopine est « une fille virgule,qui danse »

lmd dit: à

@ DHH, non, mon lmd n’est pas un acronyme.

@ Brinqueballe, j’ai bien lu votre commentaire : je trouve inutile de plus s’attarder sur le mâcheur de chewing gum que sur ce que dit Mimi P.

….…un couloir qui dessert les vestiaires et les douches distinctes 

et alii dit: à

LMD « THE SENSE OF AN ENDING »
peut être
La lettre lamed est la seule qui dépasse des autres, sa partie supérieure montant au-dessus de la ligne de tête des autres lettres. Le symbolisme que l’on peut y voir, c’est que l’étude et la discipline nous élèvent, nous font accéder à un niveau supérieur.
Elle est la dernière lettre de la Torah, laquelle se termine par le nom « Israël ».

de nota dit: à

@ DHH, non, mon lmd n’est pas un acronyme

elle aime D, et voilà! C’est donc une fille qui est amoureuse de dédé, ce dédé, y m’épate, y m’épate!

et alii dit: à

Le mot hébreu Lamed signifie « étude, apprentissage ». Le caractère hébreu en écriture cursive ci-dessous est : Hebrew letter Lamed handwriting.svg

et alii dit: à

de l’âge sur lalettre de Books
À 76 ans, Richard Ford est une figure incontournable de la littérature américaine contemporaine. Auteur d’une dizaine de romans, il est surtout connu pour son cycle littéraire centré sur le personnage de Frank Bascombe, un agent immobilier confronté aux échecs successifs de ses deux mariages et à la lente dissolution de ses illusions. Si l’on considère volontiers Ford comme l’un des porte-drapeaux du grand roman américain, c’est d’abord un recueil de nouvelles, Rock Springs, qui l’a propulsé vers la célébrité. Plus de trente ans plus tard, il renoue avec ce genre littéraire.

Pablo75 dit: à

de nota dit:
Reste à savoir si vous connaissiez ces propos de Celibidache ou si vous avez considéré que j’étais incapable d’avoir une opinion sur la direction d’orchestre?

C’est des propos très connus des mélomanes qui aiment Celibidache. Et il y en a d’autres, comme « Karajan, c’est du Coca-Cola ».

Phil dit: à

un autre mot:
Karl-Heinz Böhm c’est pour les Sissi.

Janssen J-J dit: à

@ Ozy est un type intelligent avec des débordements.
NON, il n’est pas. L’INSULTE GRATUITE A PERPETUITE N’EST PAS UN SIGNE D’INTELLIGENCE. IL FAUT BEAUCOUP VOUS RESSEMBLER POUR DEFENDRE CE GENRE DE PRATIQUES QUE VOUS LUI AVEZ APPRIS, L’ART DE L’INSULTE SYSTEMIQUE Vous aurez beau jeu de parler de « débordement »… après lui avoir signifié qu’il montait trop vite au créneau…

à Ch. / « Ceci dit, je n’approuve pas dans vos réactions (comme pour JJJ) le fait d’amalgamer un pays et ses ressortissants à votre écœurement »
MOI NON PLUS, EN GENERAL, MAIS QUE VOULEZ-VOUS, LE MAL EST FAIT… A QUOI BON ?… LES CAPTURES d’ECRAN VONT FONCTIONNER, Epeu importe, on doit toujours assumer ce que l’on poste icite, quelles qu’en seront les commentaires et csq. JE NOTE SIMPLEMENT QUE L’INTERESSE N’A PAS REPONDU A CE QU’IL A PEUT-ETRE ESTIME AVOIR ETE UNE CONTRE-« ATTAQUE » (ce terme lui apparttient) LEGITIME, AUSSI BASSE ET VULGAIRE QUE LES SIENNES… ( Ces « gens-là » ne comprennent peut-être que ce type de langage »… qui sait ?
Son silence serait peut-être la preuve de son intelligence personnelle effective.

Bàv,

hamlet dit: à

j’y crois pas ! non ! dites-moi que c’est une plaisanterie ! dites-moi que je rêve !

Boris Johnson a du sang juif et ottoman qui coule dans ses veines ??? Manquait plus qu’il soit noir et pédé et là c’était carton plein !

Tu m’étonnes qu’un métèque pareil ne comprenne rien aux Valeurs Millénaires de la Race Européenne…

si ça se trouve, ce Pétomane, le romantisme, ça doit le gonfler.

Jazzi dit: à

Les chefs d’orchestres c’est comme les mandarins : tous des nuls sauf moi !

Alexia Neuhoff dit: à

Janssen, vous parlez sans doute de ce faux poète qui nous a rassemblés comme faces d’une même médaille, ce qui m’a beaucoup amusée. Souvenez-vous qu’ici d’aucun.e.s se sont laissé prendre à ses vers capables d’émouvoir les pierres de son prétendu désert. Pour tout dire : un sale mec.

Jazzi dit: à

« Manquait plus qu’il soit noir et pédé et là c’était carton plein ! »

Non, hamlet, pour le plein carton il eut fallu qu’il soit genré au féminin ou transexuel !

Chaloux dit: à

« L’INSULTE GRATUITE A PERPETUITE N’EST PAS UN SIGNE D’INTELLIGENCE. IL FAUT BEAUCOUP VOUS RESSEMBLER POUR DEFENDRE CE GENRE DE PRATIQUES QUE VOUS LUI AVEZ APPRIS, L’ART DE L’INSULTE SYSTEMIQUE ».

Gigi la visqueuse, tu devrais commencer par te dire cela à toi-même. Il n’y a pas plus obscène perpétuel insulteur que toi. Tu finiras par monter dans ton grenier.

Jazzi dit: à

« ce faux poète »

Faux poète dont un poème au moins aurait été lu à l’IMA selon C.P., Alexia !

Chaloux dit: à

Et les capitales ne font rien à l’affaire, elles n’ont jamais donné raison à qui que ce soit…

hamlet dit: à

Jazzi dit: Les chefs d’orchestres c’est comme les mandarins
 »

le problème c’est qu’à l’avenir il y aura de plus en plus de femmes, du coup les orchestres seront dirigés par des mandarines !

je vous le dis : nous fonçons droit dans le mur !

Janssen J-J dit: à

@ AN, oui nos parlons bien du même, hélas…

Bien à vous,

Jazzi dit: à

Paul Éluard

CAPITALE DE LA DOULEUR

Nudité de la vérité
«Je le sais bien»
Le désespoir n’a pas d’ailes,
L’amour non plus,
Pas de visage,
Ne parlent pas,
Je ne bouge pas,
Je ne les regarde pas,
Je ne leur parle pas
Mais je suis bien aussi vivant que mon amour
[et que mon désespoir.]

Chaloux dit: à

Capitales :

Dans leurs fastes impériales
L’oncle et le neveu sont égaux :
L’oncle prenait des capitales,
Le neveu prend nos capitaux.

Alexandre Dumas.

hamlet dit: à

avec vos poèmes vous m’avez plombé ma journée…

bouguereau dit: à

keupu hutilise les pseudos comme des triples fonds de ses tinettes qu’il dirait mon larbin..a jéruzalème dans son cube de verre nickel propre il ne se sentirait pas responsabe

bouguereau dit: à

Faux poète dont un poème au moins aurait été lu à l’IMA selon C.P., Alexia !

ça vaut moins qu’au baqueroume qu’il dirait dirphiloo..essaie..baroz..de mieux placer tes hambitions..cible! sacrénom

Alexia Neuhoff dit: à

Jazzi dit: à

« ce faux poète »
Faux poète dont un poème au moins aurait été lu à l’IMA selon C.P., Alexia !

Allons, Jazzi, on vous a connu plus charitable !
Puisque je vous tiens (façon de parler) et que nous en sommes aux révélations, aviez-vous imaginé notre Phil sous les traits de ce batteur hirsute et tatoué à l’image d’un Mike Portnoy décomplexé tel que dépeint par Clopine ? Alors qu’on le pensait abonné à Bayreuth et vivant dans une gentille bonbonnière à Molenbeek !

Janssen J-J dit: à

@ CH -> rappel après vérification…

J’ai écrit : (comme pas mal de sa race – voici une plaisanterie empruntée à son style)

J’espérais que vous m’auriez fait au moins ce crédit de m’avoir bien lu, et remarqué comment j’avais atténué mes propos à ce sujet… (« une plaisanterie empruntées à son style »)… Je parlais de sa « race » (et je n’ai pas dit ‘arabe’ en parlant « d’Algérien »), comme il évoquait celle des prostituées, des pédés (race d’Ep), et des femmes en général, etc…
Croyez moi ou pas, Ch… Essayez de ne pas moraliser non plus, je vous en prie. Je suis suffisamment accablé par la mauvaise foi générale sévissant sur ce blog de la part de celzéceux qui épinglent le premier degré en faisant semblant de ne pas comprendre le 2e ou le 3e, etc. Merci.

bouguereau dit: à

Karl-Heinz Böhm c’est pour les Sissi

hou..les pierreuses à mikeulkeul powell

bouguereau dit: à

Phil sous les traits de ce batteur hirsute et tatoué

hurkurkurkurkurk..

et alii dit: à

trad et trump:
Le New York Times a publié hier un article intitulé « Facebook Employees Stage Virtual Walkout to Protest Trump Posts ». Ce titre peut se traduire comme suit : Des salariés de Facebook se mettent en grève virtuelle pour protester contre les publications de Trump.

Si le terme « walkout » est souvent utilisé pour désigner une grève, il semble que l’expression « virtual walkout » soit nouvelle. Ce néologisme nous intéresse donc dans une optique linguistique.

Facebook 2Si cette grève est dite « virtuelle, c’est parce que la plupart des employés de Facebook travaillent à domicile, ce qui donne un caractère original à leur mouvement. Habituellement, les grèves évoquent d’autres images que celles de salariés se croisant les bras dans leur salon.

De quoi s’agit-il ? Donald Trump a publié sur Twitter et Facebook des messages qui peuvent être interprétés comme des appels à des actes de violence.
donc jazzi ne fait pas de virtual walk out quand il
va par les rues;ce n’est dans l’article de
René a été employé par l’ONU, l’Unesco, la Commission européenne et l’Organisation mondiale de la santé. Il est l’auteur, notamment, du « Guide anglais-français de la traduction », dont une édition numérique et une nouvelle édition papier sont parues récemment.

Les contributions précédentes de René sont accessibles à https://bit.ly/2XlSaWq

https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2020/06/nous-avons-demand%C3%A9-%C3%A0-notre-contributeur-fid%C3%A8leren%C3%A9-meertens-traducteur-de-langue-fran%C3%A7aise-de-commenter-le-neologisme.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2Fle-mot+%28Le+mot+juste+en+anglais%29

bouguereau dit: à

Non, hamlet, pour le plein carton il eut fallu qu’il soit genré au féminin ou transexuel !

mon larbin a trollé tant et plus pour faire madame bougreau..tant il en voulait en cuisine..mais lassouline a mis le holà..c’était du temps ou il lisait les posts

D. dit: à

bouguereau dit: à

Pardon, Zuckerberg !

tu sucres trop rénateau

Toi Bouguereau t’en fais tout de suite une montagne.

Chaloux dit: à

Le seule chose que mon nain de jardin ait de personnel, c’est l’odeur de son vieux slip.
Tout le reste est pillé.

Gigi la visqueuse, le second degré te sert de premier. Tu finiras par te haïr toi-même, du second au premier degré. Ce ne sera que justice.

et alii dit: à

trad et trump (ou des promenades de Jazzi ?)
Le New York Times a publié hier un article intitulé « Facebook Employees Stage Virtual Walkout to Protest Trump Posts ». Ce titre peut se traduire comme suit : Des salariés de Facebook se mettent en grève virtuelle pour protester contre les publications de Trump.
https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2020/06/nous-avons-demand%C3%A9-%C3%A0-notre-contributeur-fid%C3%A8leren%C3%A9-meertens-traducteur-de-langue-fran%C3%A7aise-de-commenter-le-neologisme.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2Fle-mot+%28Le+mot+juste+en+anglais%29

Si le terme « walkout » est souvent utilisé pour désigner une grève, il semble que l’expression « virtual walkout » soit nouvelle. Ce néologisme nous intéresse donc dans une optique linguistique.

Facebook 2Si cette grève est dite « virtuelle, c’est parce que la plupart des employés de Facebook travaillent à domicile, ce qui donne un caractère original à leur mouvement. Habituellement, les grèves évoquent d’autres images que celles de salariés se croisant les bras dans leur salon.

De quoi s’agit-il ? Donald Trump a publié sur Twitter et Facebook des messages qui peuvent être interprétés comme des appels à des actes de violence.

Chaloux dit: à

Pauvre vieille Madame bousemolle, pauvre vieille torcheuse de nain de jardin incontinent et ivrogne…

bouguereau dit: à

Allons, Jazzi, on vous a connu plus charitable !

pour baroz le diable c’est quand ya pas de retour sur investisment

Chaloux dit: à

L’a-t-elle assez posé sur son seau?

vanina dit: à

vanina

Celibidache: des très belles mains, une direction très
raffinée, me souviens d’un Bruckner admirable.
Avais toute la Brahms Edition Allemande, achetée avec
sacrifice, chipée par les enfants et amis des enfants.
« Le gusta este jardin que es el suyo, evite que sus hijos lo destruyan. » Bajo el volcan.Lowry
La « limpieza de sangre » de B.J ou de n’importe qui au monde ne devrait faire problème, mais cela n’est pas
encore dans le manche. »Un corazon tan blanco » devrait
suffire. Que les gens soient sauvés par les oeuvres.

Chaloux dit: à

Le soir, la vieille bousemolle pousse boumou, sa vieille raclure de nain de jardin, sous le le lit. Moins fatigant.

hamlet dit: à

bon désolé mais j’arrive plus à suivre les affrontements sur ce blog avec ces alliances qui changent toutes les 3 minutes qu’on se croirait en 14 !

résumons svp, dans un camp y’a AN -3j – greubou – renato – Clopine et dans l’autre Pablo – Drillon – greubou – Chaloux – Jazzi et Clopine ?

vous prenez les spectateurs que pour des imbéciles ? Clopine et greubou seraient dans les 2 camps ?

sérieux : refaites vos équipes pour jouer à 1,2,3 Soleil ! sinon je demande à passou de me rembourser mes billets !

hamlet dit: à

et lancez une pétition pour demander à Bojo de faire un test génétique pour savoir s’il doit aller en prison qu’on en finisse avec ces histoires !!!

DHH, dit: à

Apparemment Ozymandias s’est moqué de nous .Moi j’ai marché;dois-je regretter d’avoir cru a ce sympathique prêcheur de la culture évangélisant le desert ?
il a seulement menti un peu plus que nous tous, en adoptant un profil original et inattendu, alors que nous nous contentons d’enjoliver ici la realité des petits personnages que nous sommes .
mais une chose est indeniable :c’est une personne tres cultivée

Janssen J-J dit: à

Jazzi et Clopine dans les stalags 57 & 75 ?
Fort drôle : remboursé !

(… ce matin, entendu grand Boucheron 54 – sur les ondes de Fr Int., provenant des caves du Vatican)

et alii dit: à

j’ai trouvé ce que Clopine nous cachait et la cause de son mal:en lisant :
« Entrer en mouvement, c’est entrer en méditation. » Marie-Claude Pietragalla a fait sienne depuis longtemps cette citation de Maurice Béjart ».

« La danseuse et chorégraphe Marie-Claude Pietragalla l’illustre avec ce portrait de Pierre-Yves Martin, son ostéopathe, avec qui elle partage, par le geste, une quête de sens et de spiritualité ».
Clopine avait perdu le sens de la spiritualité , l’habitude de méditer! et Toc,elle y a laissé en renouant genoux et chevilles ;

x dit: à

@renato : vous aviez certainement lu mon caveat concernant les hommes politiques actuels, pratiquants intéressés de la stratégie de la chauve-souris dans le cadre du storytelling

Je suis Oiseau : voyez mes ailes ;
Vive la gent qui fend les airs !

Quand elle protesta qu’on lui faisait outrage :
Moi pour telle passer ! vous n’y regardez pas :
Qui fait l’oiseau ? C’est le plumage.
Je suis Souris : vivent les Rats

Quant au site, s’il n’est pas suspect d’antisémitisme, il en recycle les critères dans une visée attrape-tout. Selon les tempéraments, on se félicitera de ce retournement qui utilise à son profit la force et les obsessions de l’adversaire, ou bien l’on craindra un nouveau renversement toujours possible (qui consulte le site ? comment savoir si ce ne sont pas en partie les mêmes qui tapent habituellement le nom des « célébrités » + j u i f sur les moteurs de recherche ?)
Une lecture non ironique de La Place de l’étoile de Modiano reste possible.
Et c’était Guy Bedos qui avait évoqué dans un entretien son malaise lorsqu’une salle réagissait au premier degré à des blagues relevant du second.

Par ailleurs, même si cela ne concerne pas Boris Johnson, la laïcité à la française (différente de la sécularisation anglo-saxonne, voir Georges Corm), certes imparfaite, me paraît nettement préférable au communautarisme. En ces temps de campagne électorale, on a l’occasion de constater à quel point communautarisme rime avec clientélisme…

renato dit: à

Alliances ? mais de quoi parlez-vous hamlet ? Je ne fais alliance avec personne, même pas avec moi-même. Quelques intervenant-e peux être en accord avec moi, et vice-versa.

Cela dit, elle arrive cette analyse de l’op. 54 de Schumann ? Non, parce que vous nous avez assez emmerdé avec vos manie. Donc, ou vous savez analyser une œuvre ou vous la mettez en veilleuse.

Chaloux dit: à

Cher Mr. D., merci beaucoup, vous me faites grand-plaisir. Je la déchiffrerai dès que j’aurai un instant. Je vous nomme grand patron des causes désespérées!

Chaloux dit: à

Saint patron…

Jazzi dit: à

N’aurions-nous pas les mêmes valeurs, Chaloux ?
Je te parle de ma Capitale et tu mes sors tes capitaux !
Evite les propos scatologiques, ne serait-ce que pour te montrer digne de la courtoisie de M. Dr. à ton égard…

Alexia, le Phil des champs de Clopine n’a strictement rien à voir avec notre distingué Phil des capitales : Paris, Bruxelles, Vienne, Budapest…

Jazzi dit: à

« Donc, ou vous savez analyser une œuvre ou vous la mettez en veilleuse. »

C’est qu’il deviendrait méchant, le renato !

Jazzi dit: à

C’est quoi un « caveat », x ?

Chaloux dit: à

Evite les propos scatologiques

De ton côté, Barozze, épargne-moi les leçons de maintien d’un type comme toi qui n’en a aucun.

Merci,

renato dit: à

x, j’avais fait un distinguo pour ne pas être mêlé à l’insulte de Le Carré, ce qui a été fort mal compris. Dans les faits mon argument n’a rien à voir avec le communitarisme — c’est BJ qui semble y tenir beaucoups ! —, mais plutôt avec les engagements.
Rien non plus avec la sortie du UK de l’UE — institutions qui me semble sur le point d’exploser car trop dépendente de l’Axe Berlin-Paris. Axe intellectuellemen pauvre qui a démontré par sa derniere trouvaille (500 milliards !) son incapacité d’assumer ce qui réellement advien dans sa banalité.
L’UE a loupé la case Fédération, et là, si vous jetez un coup d’œil à l’histoire de Risorgimento et aux positions qu’à l’époque furent celles des Republicain Federalistes, vous comprendrez ma position.

Jazzi dit: à

« un type comme toi qui n’en a aucun »

Le maintien pour toi, c’est avec un corset et un balais dans le cul, Chaloux ?
Chez moi, c’est plutôt une question d’éthique !

hamlet dit: à

je viens de relire la constitution européenne, on y trouve une disposition sans doute héritée des lois de Nuremberg où il est dit que si effectivement Bojo est juif il serait possible de demander l’annulation du Brexit ! voilà une piste à creuser ???

hamlet dit: à

je viens de relire toutes les théories du complot et autres théories conspirationnistes chez John le Carré, j’ai rien trouvé de probant pour le Brexit, par contre j’ai bouffé toute une boite d’aspirine…

Chaloux dit: à

Ne me fais pas rire, Barozze, j’ai les lèvres gercées. D’éthique, tu n’en a aucune, tu n’es qu’une vieille concierge de bas-quartier prête à tout s’il y avait la guerre. Quand à se foutre quoi que ce soit « dans le cul », c’est toi le spécialiste, je te laisse cette pratique.

Faisons, comme Toto, un distinguo.

renato dit: à

Je ne deviens pas méchant, Jacques, hamlet devrait comprendre que ses goûts et son idéologie n’ont rien à voir avec la réalité du composer ni avec la réalité historique. Donc, ou il nous fait une belle analyse « physique » — avec tenants et aboutissants — d’une œuvre de laquelle il nie la valeur, ou il la met en veilleuse.

D. dit: à

J’ai également écouté Patrick Boucheron sur France Inter et ce bonhomme est une sacrée pointure. Salami et Cie paraissaient bien petits au côté de cette montagne d’intelligence et de lucidité.

Patrice Charoulet dit: à

« LIKE »OU « + 1 » ?

Ex-prof de français, ayant passé ma vie dans les livres ,j’ai découvert Internet il y a quelques années, un blog numérique il y a trois ans, à faire un copié-collé il y a deux ans , Facebook l’année dernière. Que de découvertes ! Mieux vaut tard que jamais.
Sur ce blog numérique, j’ai appris que je pouvais commenter. J’ai commenté.
Sur Facebook, j’ai appris qu’au lieu de commenter, des lecteurs pouvaient se contenter de mettre un « Like », ce qui est une façon ,m’a-t-on dit, d’approuver sans y consacrer trop de temps. Parmi tous les gens qui m’ont gratifié d’un
« Like », j’ai même eu le plaisir de noter un professeur d’Université, qui avait été reçu premier à la l’agrégation de philosophie. J’en ai été très honoré !

Ces jours-ci, sur le Net, je suis tombé par hasard sur un « Lexique geek ». J’ai noté plusieurs choses. Notamment que l’on peut employer « +1 », «  signes utilisés sur Internet et dans les les textos (que je ne sais toujours pas utiliser sur mon portable) pour indiquer que l’on est du même avis ».

Je me suis donc livré à une facétie sur le bloc numérique qui a bien voulu recevoir un millier de commentaires de votre serviteur en trois ans. En guise de commentaire, j’ai employé « +1 » , comme on emploie « Like » sur Facebook, quand on approuve un texte, une vidéo, un dessin plaisant, et qu’on l’on ne dispose pas de beaucoup de temps pour écrire.
Je me suis demandé si l’excellente modératrice de ce blog me passerait cette facétie. Elle a laissé passer , avec une grande gentillesse. Je ne suis pas sûr d’avoir envie de récidiver.
Un habitué de ce blog s’en étonne en disant qu’on aura tout vu. Je confirme : On aura tout vu !

hamlet dit: à

renato, je vous connais assez bien et depuis assez longtemps pour le savoir bien sûr !
et vous savez bien que je ne suis pas sérieux, c’est tellement débile de voir vous demander de vous justifier…

hamlet dit: à

si John le Carré a raison quand il dit qu’on nous cache la vérité alors que nous cache-t-il ?

renato dit: à

Et qui se justifie, hamlet ? Dites plutôt que vos ne possedez pas les instruments thecniques et critiques pour fournir l’analyse de n’importe quelle œuvre.

D. dit: à

Chaloux, le gel hydroalcoolique c’est pas sur les lèvres qu’il faut en mettre.
Sinon elles gercent, en effet.

et alii dit: à

@P.Assouline
puisque vous êtes freudien rappelez vous du mot de
Freud :un juif ne renonce jamais
« Pour Freud, ne renoncer à rien et suppléer à ce qui a été perdu, est l’essence du Juif. Et c’est cette ténacité qui lui attire une haine éternelle. » dans la langue commune française

Jazzi dit: à

« le gel hydroalcoolique c’est pas sur les lèvres »

Ni sur le trou de balle, D., faut dire à Chaloux de ne pas en mettre partout !

christiane dit: à

Pour respirer, aller vers la poésie.
Sur le site « Terres de femmes » je découvre un poète : Paul Valet, et des liens conduisant vers d’autres sites de poésie qui l’évoquent dont un que j’apprécie « La pierre et le sel » sur lequel je découvre une présentation de l’œuvre de Paul Valet commençant par ces mots : « À quoi sert une parole de colère, une parole qui interpelle et dénonce si elle reste parole dans le désert ? »

Je retiens ce poème : « Nous n’avons pas le temps »

« Nous n’avons pas le temps de creuser nos pensées
Nous n’avons pas le temps de peser nos paroles
Qui trahissent notre destin tortueux
Trop de fruits sont tombés sur notre champ caillouteux
On y glisse
On y tombe

Le surplus nous dévore
Oui, les fleurs sont les mêmes
Et les champs demeurent labourés comme jadis
L’écume du ciel mange l’horizon gris
Et le vert de l’herbe me pénètre jusqu’au cœur
Quand j’oublie qui je suis

Tout est là
Rien ne bouge
Les agneaux paissent dans une blanche prairie
Que le brouillard lèche nuit et jour
Avec sa langue maternelle

Nous n’avons pas le temps d’ouvrir nos paupières
Sur tant de beauté surhumaine
Qui nous fuit

Plus de rire, plus de larmes, plus de chant
Le soleil est trop pâle et mon cœur est trop chaud
Pour la vie ».

Paroles d’assaut – 1968 – Paul Valet.

Chaloux dit: à

Du Bouchon, plus nul que jamais. Strictement rien à dire. Un « intellectuel » à la mesure de Hollande et de Macron qui l’ont mis en selle. Ce naze profite du confinement pour tenter de se refaire une virginité. Répugnant.

hamlet dit: à

renato, comprends pas : mon dernier commentaire se voulait amical et sympathique.

Chaloux dit: à

Mon pauvre Barozze, si Isabelle Gallimard lisait ce que tu écris ici… Elle doit s’en abstenir pour faire plaisir à Assouline…

Hurkhurkhurk!

Jazzi dit: à

Elle vient de me contacter pour me demander un nouveau titre, Chaloux.
T’inquiète !

Chaloux dit: à

T’inquiète! Je ne suis pas client de morceaux (mal) choisis.

DHH, dit: à

le second degré est a manier avec précaution apres aet selemnt apres avoir testé la capacité d son interlocuteur a le reconnaître, ce qui exclut les affirmations a la cantonnade ,ou a la tele,aou dans une salle de spectacle ,bref quand on s’adresse a un public indifférencié .
vous souvenez vous du tollé qu’avait soulevé Noiret quand il avait dit à la télé à propos du prix Goncourt de Tahar Benjelloul: »ils ont bien fait de le donner à un bicot;on avait déjà eu des youpins » jouant au raciste qui ne sait pas qu’il l’est?

D. dit: à

Qui c’est Du Bouchon ?

bouguereau dit: à

bref quand on s’adresse a un public indifférencié

comme dirait lassouline drh..elle..’elle a du biscuit’

Pablo75 dit: à

Cela dit, elle arrive cette analyse de l’op. 54 de Schumann ? Non, parce que vous nous avez assez emmerdé avec vos manie. Donc, ou vous savez analyser une œuvre ou vous la mettez en veilleuse.
renato dit

Demander l’analyse de l’op. 54 de Schumann au Pétomane c’est comme demander à un végétalien fils de végétariens d’être rôtisseur dans un 3 étoiles.

Avant de fréquenter ce blog, le Pétomane ignorait complétement l’existence de Schumann et il a appris hier que l’ami Robert était arrivé à composer au moins 54 oeuvres.

bouguereau dit: à

Ni sur le trou de balle

mon larbin a du en faire un saut de cabri baroz..que t’aurais pas pu resister

bouguereau dit: à

l’Axe Berlin-Paris. Axe intellectuellemen pauvre qui a démontré par sa derniere trouvaille (500 milliards !)

foutrecul!..y a du second degré rénateau..on l’sent bien

Pablo75 dit: à

Sur le site « Terres de femmes » je découvre un poète : Paul Valet
christiane dit: à

Paul Valet est un des hommes les plus comblés que je connaisse. Il ne possède rien mais jouit de l’essentiel, de l’unique avantage qui justifie le refus du suicide : la solitude.
(Cioran. Début de l’article « L’Ermite de Vitry », publié dans les Cahiers de L’Herne : Cioran – publié en poche, coll. Champs Classiques)

Paul Valet (pseudo de Georges Schwartz ) était médecin, je crois:

Trois générations

Le père mourut dans la boue de Champagne
Le fils mourut dans la crasse d’Espagne
Le petit s’obstinait à rester propre
Les Allemands en firent du savon

Paul Valet

On me demande
pourquoi j’écris comme ça et pas autrement
Je réponds
Mais voyons
j’écris toujours autrement

Paul Valet

Jazzi dit: à

« demander à un végétalien fils de végétariens d’être rôtisseur dans un 3 étoiles. »

ça s’est déjà vu, Pablo75, et le contraire aussi !

D. dit: à

Je rappelle qu’il y a deux Schumann : Robert et Clara. Les oeuvres de cette dernière ne sont pas à dédaigner d’analyser.

bouguereau dit: à

J’ai également écouté Patrick Boucheron sur France Inter et ce bonhomme est une sacrée pointure

un bon intellectuelle de droite doit savoir faire mouche..et il l’est tout a fait..que macron soit toujours un socialo-communiste au figaro laisse tout a fait perplesque..esplique moi ça dédé

bouguereau dit: à

si tu mets mon larbin en broche noublie pas dle rincer baroz..

D. dit: à

Au sujet de Clara compositrice, nous lisons :
(ça va pas plaire à Clopine):

« Son effacement du milieu de la composition est directement lié à sa condition de femme. Une des raisons pour lesquelles Friedrich Wieck s’est opposé à l’union de sa fille avec Robert Schumann est qu’il n’était pas connu alors que sa fille l’était. Clara Schumann semblait aspirer à une certaine liberté avant de se marier :

« J’ai besoin d’une vie sans soucis afin d’exercer mon art en toute tranquillité. […] Vois si tu penses pouvoir m’offrir une existence telle que je la souhaite. » 24 novembre 1837[1].

La tranquillité s’estompe vite quand l’artiste se voit confrontée aux tâches domestiques, que son père lui avait épargnées durant sa jeunesse pour qu’elle se concentre sur son art. Elle doit désormais s’occuper de huit enfants, d’un mari lunatique qui ne gagne pas suffisamment d’argent pour subvenir aux besoins de sa famille. Aussi donne-t-elle des concerts. Elle ne peut pas composer, doit se contenter d’être mère et musicienne à temps partiel. Robert Schumann ne l’encourage pas : « Clara sait bien qu’être mère est là sa principale mission »[1].

Même après la mort de son mari, Clara Schumann ne poursuit pas la composition. Sa correspondance témoigne de la difficulté à concilier sa condition de femme et sa vocation de compositrice :

« Il fut un temps où je croyais posséder un talent créateur mais je suis revenue de cette idée. Une femme ne doit pas prétendre composer. Aucune encore n’a été capable de le faire, pourquoi serais je une exception ? Il serait arrogant de croire cela, c’est une impression que seul mon père m’a autrefois donnée. »[1],[6].

Bien qu’elle ait renié ses capacités de son vivant, elle est aujourd’hui considérée comme l’une des rares compositrices à avoir marqué le xixe siècle, avec Fanny Mendelssohn, Louise Farrenc et Cécile Chaminade »

Pablo75 dit: à

Je rappelle qu’il y a deux Schumann : Robert et Clara.
D. dit:

Non, il y a 10: Robert, Clara et leurs 8 enfants.

D. dit: à

Les huit enfants ont composé ?

D. dit: à

Il est frappant de constater que souvent dans les familles « nombreuses », disons à partir de 5 enfants, le dernier est dingo. Et ce fut bien le cas de Robert !

et alii dit: à

avec un peu de retard (le mien ici sera légendaire) pour consoler renato ,
Dans chaque section de Carnaval apparaît une ou deux séries de notes :

la-mi bémol-do-si, qui donne en notation allemande A-S-C-H, où mi bémol (Es), est transcrit en S :
la bémol-do-si, qui donne As-C-H.
Les deux séries donnent le nom de la ville d’Asch, alors allemande (et devenue par la suite Aš, en République tchèque), dans laquelle était née Ernestine von Fricke, fiancée de Robert Schumann à cette époque. Ce sont aussi quatre lettres du mot Schumann qui peuvent être interprétées comme des notes en allemand.
https://www.youtube.com/watch?v=U7Y1XNlHXYk

Chaloux dit: à

Clara Schumann ce n’est pas mal mais il n’y a aucune comparaison avec son sublime mari. J’hésiterais en en dire autant de Fanny Hensel Mendelssohn, sœur de Felix.

https://www.youtube.com/watch?v=ti1eZ2B63Ro

Certaines des romances sans paroles sont parait-il d’elle.

christiane dit: à

Merci, Pablo.

D. dit: à

Plus exactement c’est le 5ème qui eT Dingo,
puisque le 5ème enfant de Robert et Clara, Ludwig (1848-1899) : « accumule les retards scolaires et les échecs en apprentissage. Après une crise nerveuse en 1870, on lui diagnostique une faiblesse de la vue et une maladie de la moelle épinière. Clara le fait interner à l’asile d’aliénés de Colditz où il mourra aveugle ; »

Chaloux dit: à

à en…

D. dit: à

Quoi, « merci Pablo » ? Il n’a rien dit d’intéressant au contraire de moi et en plus il est remercié. C’est un comble.

D. dit: à

Il ne faut pas être cinquième.
Je ne serais pas surpris de trouver un bon nombre de cinquièmes ici. Vu les crises nerveuses multiples et fréquentes de beaucoup.

renato dit: à

À propos de mauvais caractere. Clara Schumann, s’était intéressée aux œuvres de Liszt, mais à un moment elle développa une forte hostilité contre lui : arrêta de jouer ses œuvres et lors de l’édition des œuvres completes de S. effaca la dédicace à Liszt, faite par son mari, de l’op. 17. Ella refusa de participer au festival du centenaire de Beethoven à Vienne en 1870, lorsqu’elle apprit que Liszt et Richard Wagner auraient été presents. Elle était particulièrement vache dans ses critiques du travail de Wagner, exemples : le Tannhäuser, « consommé dans les atrocités » ; le Lohengrin, « horrible » ; le Tristan et Isolde, « la chose la plus répugnante que j’ai jamais vue ou entendue de toute ma vie ».

Selon un bibliothécaire que je fréquentais dans les années 70, en lisant les critiques musicales de Robert S. on entendrait Clara murmurer, surtout là où il est sarcastique.

et alii dit: à

il est remercié.
D,vous ne savez pas qu’on remercie les Domestiques?
C’est ainsi que Freud l’avait compris une fois

Janssen J-J dit: à

@ merci DHH du conseil sur le maniement du « second degré » face à des internautes systématiquement malveillants qui ne comprennent désormais que les smileys, et encore, parce qu’ils se sont mis à la page des lol comme M. Charoulet. N’ai jamais connu cette anecdote de Noiret sur le PG de Ben Jelloun. Était gratinée, apparemment !,…
tu m’étonnes que pour jeter un froid, le s’était posé là.

Nota Bene (a dit) : Mr. D => mister Drillon ; M. D => monsieur Drillon

Ce pauvre monsieur Drillon est apparemment un respectable chroniqueur musical français hébergé par un épouvantable chroniqueur littéraire vendu à la macronie… Cherchez l’horreur.

Chaloux dit: à

Pauvre Gigi la visqueuse qui essaie de rattraper ses ignominies. Dans six mois il sera tellement cuit qu’il n’essaiera même plus.

J’attends avec impatience la page remerciements du petit Bilger…

Hurkhurkhurk!

christiane dit: à

Janssen J-J dit: rappel après vérification… J’ai écrit […]
Croyez moi ou pas, Ch… Essayez de ne pas moraliser non plus, je vous en prie. Je suis suffisamment accablé par la mauvaise foi générale sévissant sur ce blog de la part de celzéceux qui épinglent le premier degré en faisant semblant de ne pas comprendre le 2e ou le 3e, etc. Merci. »

Je préfère cela. Oui, je vous crois. Et, en la personne de DHH, vous avez un excellent défenseur !

D. dit: à

…voire le 4ème ou le 5ème.
J’ajouterai, Christiane, que ceux qui feignent peuvent se nommer : des feignants.

Chaloux dit: à

Quand on ne sait plus quoi dire on en appelle à Saint-Assouline… Risible et répétitif. Assouline n’a pas les yeux bandés dans cette existence. Il sait ce qu’il fait. Pourquoi ne pas en parler? C’est tabou? Si la Gigi, ce pauvre nœud-nœud, veut faire reluire son chef de service, c’est bien son affaire.

bouguereau dit: à

il a du bisquit..toi dla tinette mon larbin

bouguereau dit: à

D,vous ne savez pas qu’on remercie les Domestiques?

on les poigne..c’est plein d’sale cocos ici dédé

Chaloux dit: à

Bousemolle, mon nain de jardin, ta virtuosité au lècheculat n’est plus à démontrer. Tu n’es qu’une merde et tout ton biscuit tient dans ton seau de nuit.
Va dodo.

bouguereau dit: à

merci DHH du conseil sur le maniement du « second degré »

faire rempart dson corps c’est du second..toutafé..pas folle

Chaloux dit: à

Non, on ne remercie pas les domestiques. Dans un grand restaurant, dire « merci » à un serveur est une faute impardonnable. Même chose dans les hôtels, y compris dans le dernier hôtel de passe de Colmar dont nous connaissons fort bien le larbin supérieur (cette fois, le mot n’est pas usurpé).

Chaloux dit: à

Tout est dans le coup de sonnette, y compris pour faire rappliquer illico Bousemolle, le nain de jardin.

bouguereau dit: à

t’as confondu ta tinette avec ton casque lourd mon larbin..une perruque qui te donne l’air grave d’un chié maitre de ballet

Chaloux dit: à

tout ton biscuit tient dans ton seau de nuit.

Bousemolle, il est l’heure de manger ton quatre heures… Tu sais où le trouver. (voir ci-dessus).

Hurkhurkhurk!

christiane dit: à

Jazzi dit le 2 avril 2020 : « Dans En attendant Godot, sa pièce créée en 1953, Samuel Beckett met en scène […] Estragon et Vladimir, qui […] occupent le temps en se livrant à des scènes de ménage, avec menaces de séparation et éternelles réconciliations. Un étrange et savoureux dialogue permanent, tout à la fois métaphysique et poétique.

VLADIMIR. – Tu es difficile à vivre, Gogo.
ESTRAGON. – On ferait mieux de se séparer.
VLADIMIR. – Tu dis toujours ça. Et chaque fois tu reviens. […]
ESTRAGON. – En attendant, essayons de converser sans nous exalter, puisque nous sommes incapables de nous taire.
VLADIMIR. – C’est vrai, nous sommes intarissables.
ESTRAGON. – C’est pour ne pas penser.
VLADIMIR. – Nous avons des excuses.
ESTRAGON. – C’est pour ne pas entendre.
VLADIMIR. – Nous avons nos raisons. […]
Long silence.
VLADIMIR. – Dis quelque chose !
ESTRAGON. – Je cherche.
Long silence.
VLADIMIR (angoissé). – Dis n’importe quoi !
ESTRAGON. – Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
VLADIMIR. – On attend Godot.
ESTRAGON. – C’est vrai.
Silence.
VLADIMIR. – Ce que c’est difficile !
ESTRAGON. – Si tu chantais ?
VLADIMIR. – Non non. (Il cherche.) On n’a qu’à recommencer.
ESTRAGON. – Ça ne me semble pas bien difficile, en effet.
VLADIMIR. – C’est le départ qui est difficile.
ESTRAGON. – On peut partir de n’importe quoi
VLADIMIR. – Oui, mais il faut se décider.
ESTRAGON. – C’est vrai.
Silence.
VLADIMIR. – Aide-moi !
ESTRAGON. – Je cherche.
Silence.
VLADIMIR. – Quand on cherche on entend.
ESTRAGON. – C’est vrai.
VLADIMIR. – Ça empêche de trouver.
ESTRAGON. – Voilà.
VLADIMIR. – Ça empêche de penser.
ESTRAGON. – On pense quand même.
VLADIMIR. – Mais non, c’est impossible.
ESTRAGON. – C’est ça, contredisons-nous.
VLADIMIR. – Impossible.
ESTRAGON. – Tu crois ?
VLADIMIR. – Nous ne risquons plus de penser.
ESTRAGON. – Alors de quoi nous plaignons-nous ?
VLADIMIR. – Ce n’est pas le pire, de penser.
ESTRAGON. – Bien sûr, bien sûr, mais c’est déjà ça.
VLADIMIR. – Comment, c’est déjà ça ?
ESTRAGON. – C’est ça, posons-nous des questions.
VLADIMIR. – Qu’est-ce que tu veux dire, c’est déjà ça ?
ESTRAGON. – C’est déjà ça en moins.
VLADIMIR. – Évidemment.
ESTRAGON. – Alors ? Si on s’estimait heureux ? […] »
En attendant Godot, éditions de Minuit, 1971

bouguereau dit: à

mon larbin donnant des lçon de maintien..c’est pas du second degré..c’est du premier touchant..vient ici que je t’adoube larbin..de quelques bonnes claques

Chaloux dit: à

Oh non, Bousemolle, mon nain de jardin, je ne confonds rien du tout. Comme dirait Feydeau, tu fis ce que tu pues.

Chaloux dit: à

Des claques, viens donc y voir, pauvre face de phion….

et alii dit: à

Autrefois, le « grain » était une unité de mesure utilisée par les bijoutiers et les pharmaciens. Celle-ci correspondait à une petite quantité. L’expression « avoir un grain » a été attestée par l’Académie en 1740, et signifie qu’une personne est un peu folle.

bouguereau dit: à

‘le courage? feindre d’en avoir’ t’es qu’un feignant qu’il dirait dédé

Chaloux dit: à

Mais pauvre naze de bousemolle, si tu avais la moindre force physique, tu ne l’étalerais pas avec autant de ridicule, tu n’y penserais même pas. C’est bien parce que tu n’es qu’un nain de jardin, un cancrelat moyen, un type qui a toujours été dominé et méprisé, que tu joues les fiers à bras, un petit nabot mal débarbouillé et imbibé.

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