Retour sur la famille communiste
Comme Rondes de nuit d’Amaury Nauroy mais dans un registre très différent, c’est le genre de livre naturellement éclipsé par la rentrée littéraire car hors-normes, décalé, discret, pas du genre à se pousser du col ou à s’imposer sur les tréteaux, publié par une petite maison d’édition, toutes choses qui le font rapidement disparaître des radars de la critique et des libraires. Pourtant, quel récit poignant que Fils d’Adam (108 pages, 15 euros, Exils) –et non, rien à voir avec le Adam & Eve évoqué dans le billet précédent !
Cet Adam s’appelait Rayski. Juif polonais émigré à Paris dans les années 30, jeune militant communiste avant la guerre, il est de ces individus que la guerre a révélé à eux-mêmes avant de les révéler aux autres. Durant toute l’Occupation, il assure dans la capitale la fonction clandestine de responsable de la FTP-MOI, la main d’œuvre immigrée des francs-tireurs et partisans, organisation de résistance armée au sein du PC. Souvent les siens se font prendre, torturer, déporter, exécuter. Pas lui, ce petit bonhomme frêle mais d’une force intérieure et d’une détermination sans faille qui fait penser par bien des côtés et pas seulement pour la silhouette à Daniel Cordier, le secrétaire de Jean Moulin. Après la guerre, il choisit de rentrer en Pologne avec sa famille. Le Parti le promeut, lui confie de hautes responsabilités dans la presse. Au cours d’un voyage à Paris, un tribunal polonais le condamne pour trahison par contumace ; il reste donc en France ; mais là, un autre tribunal militaire le condamne à sept ans de prison pour espionnage. Fresnes, Evreux…
L’auteur de cette « lettre au père » est son fils, Benoit Rayski. Durant, une centaine de pages il interpelle son géniteur, l’engueule, le houspille, lui réclame des comptes, lui pose des questions, sollicite des éclaircissements, demande pardon et tant de choses encore qu’un fils se presse d’adresser à son père quand il sent sa fin proche et plus encore lorsqu’elle est déjà passée. Tutoiement ou vouvoiement, le procédé n’est pas nouveau, très réussi dans La Modification (1957) de Michel Butor, vite lassant dans L’Autre qu’on adorait (2016) de Catherine Cusset. Benoit Rayski, lui, a su trouver la bonne distance et le ton adéquats, ce qui n’allait pas de soi tant l’exercice est délicat avec une telle partition.
Jamais larmoyants ni lyriques, ses accents sont souvent pathétiques bien que sa plume soit d’airain, et ses phrases, brèves, sèches ; les formules claquent ; son humour est noir mais son autodérision, étincelante ; ses regrets émeuvent autant que ses reproches glacent. Quand il ne le comprend pas, il l’accable. Il ne comprend pas pourquoi son père a voulu revenir après la guerre dans un pays qui, en 1946 encore, laissait ses villageois massacrer des rescapés d’Auschwitz qui osaient rentrer pour reprendre possession de leur maison, ou des nationalistes extraire ces mêmes survivants des trains pour les abattre ; la Pologne retrouvait le goût du pogrom comme s’il ne s’était rien passé entre temps.
« En réalité, c’est à toi, mon père, que j’en veux le plus. Comment as-tu pu revenir dans un pays où on nous haïssait tant ? »
Le fils est retourné sur les traces du père, à Bialystock sa ville natale, au camp de Treblinka, à Varsovie fouiller les archives, dans les cimetières écouter les voix échappées des caveaux. Devenu journaliste, pisse-copie et éditorialiste (France-Soir, Le Matin, L’événement du jeudi…) puis essayiste, il semble s’être lancé dans l’écriture de ce livre en fredonnant « la mélodie déchirante » de J’aimerai toujours le temps des cerises, en revisitant l’histoire illustrée de la Commune et des communards. Devenu très tôt viscéralement anticommuniste, jusqu’à être dénoncé comme tel par un billet rageur et talentueux d’André Wurmser à la une de l’Humanité (une légion d’honneur !), il n’en écrit pas moins : « Je ne me suis jamais consolé de la mort, le 28 mai 1871 d’Eugène Varlin, secrétaire français de l’Internationale », massacré par les Versaillais. Fils d’Adam porte le sous-titre paradoxal de « Nostalgies communistes ». Mais ce n’est pas du communisme dont il est nostalgique, c’est de son enfance baignée d’espérance communiste. Avec le recul, on le sent pris par la suite dans un romantisme qui l’entraine dans la fascination des hommes d’action, brigadistes, militants, terroristes, agents, espions, comme s’il se rêvait en personnage de la Condition humaine de Malraux.
Au-delà du cas Rayski, c’est bien d’un retour sur la chose communiste qu’il s’agit. Non pas à la manière rigoureuse et exhaustive des lourds pavés de Thierry Wolton, ni à la façon cynique et délirante du gourou Badiou. La réflexion que mène là Benoit Rayski m’a ramené à une conversation de jadis avec Marguerite Duras. Elle me racontait comment en 1950 dans sa cellule Saint-Germain-des-Près, alors qu’avec Jorge Semprun, Dionys Mascolo, Robert Antelme et quelques autres, ils ironisaient sur Aragon entre autres caciques, la conversation fut rapportée le lendemain par Semprun à Jean Kanapa et l’exclusion du petit groupe de « traitres trotskistes » du Parti fut décidée peu après :
« On l’a vécu comme un traumatisme comme si notre propre famille nous reniait, nous rejetait ».
Il y a de cela chez Adam Rayski. Ce sentiment, difficile à comprendre aujourd’hui, d’avoir tissé des liens de parenté indestructibles avec un monde bien au-delà de la politique. Plus dure fut la chute. Lorsque Adam Rayski publia ses mémoires dans les années 80, il insista pour maintenir son titre face à une éditeur dubitatif : Nos illusions perdues. C’est dire la profondeur du désenchantement fut-il vierge de toute amertume malgré les couleuvres avalées (les crimes de masse de Staline, le pacte germano-soviétique, le massacre de Katyn, les purges de l’après-guerre, la persistance de l’antisémitisme…). Une famille, vraiment. D’ailleurs, jamais à cours de métaphore, Benoit Rayski désigne le communisme comme Folcoche, la mère de Vipère au poing : haïssable, elle n’en reste pas moins une mère.
Sur sa tombe au Père-Lachaise, on peut lire cette inscription :
« Adam Rayski 1913-2008. Il fut terroriste et communiste quand il fallait l’être ».
Sur ce petit livre bouleversant qui lui est une manière de tombeau dans le sens poétique que la Renaissance lui a accordé, on devine sur la couverture cette inscription subliminale :
« Parce que c’était lui, parce que c’était moi ».
Sauf que n’est pas d’amitié qu’il s’agit mais bien d’amour. Rappelez-vous Cioran :
« On écrit des livres pour y dire des choses qu’on n’oserait confier à personne »
(« Le 2 mai 1945, trois soldats soviétiques hissent le drapeau sur le Reichtsag à Berlin », photo D.R. colorisée ; « Adam Rayski » photo D.R.)
1 134 Réponses pour Retour sur la famille communiste
« Le 2 mai 1945, trois soldats soviétiques hissent le drapeau sur le Reichtsag à Berlin »
j’entends déjà la propagande rénatiste montbéliardesque et lubriquement vipérante va prétende qu’en plus elle a été retouché..qule gars havait 2 montres au poignet
« Ce livre est sur toi. Pour toi. Et aussi sur moi et pour moi. J’ai vécu dans ton ombre, alors que tu rayonnais. Dois-je dire que j’ai souffert de ne pas être toi ? Non, je dois le crier. Je t’ai envié, jalousé. Et aujourd’hui encore… Avoir fait graver sur ta tombe les mots suivants – Adam Rayski. 1913-2008. Il fut terroriste et communiste quand il fallait l’être – m’a ouvert les yeux. J’étais né trop tard.
Ce livre est aussi mon seul bon et vrai article. En l’écrivant, à aucun moment je n’ai éprouvé le sentiment d’être un de ces charognards dont le métier consiste, pour l’essentiel, à se goinfrer du malheur et de la mort des autres. Car, pour chacune des lignes de ce texte, j’ai versé mon propre sang. Je me suis lacéré la peau pour faire apparaître les veines. Je les ai ouvertes avec mes ongles, afin de retrouver un petit garçon de dix ans qui, enveloppé dans un drapeau rouge, croyait alors que les Juifs étaient des hommes comme les autres et que, bien sûr, tous les hommes étaient des Juifs comme les autres.
De ce petit garçon, tu étais le père. Je sais que, pour toi, vingt ans est le plus bel âge de la vie. Pas pour moi. Il est temps maintenant de te rejoindre et de te dire ce que je n’ai jamais pu te dire.
Car, si je t’avais trop admiré, ma condition médiocre m’aurait paru insupportable. J’ai fait quelques voyages pour tenter de mettre mes pas dans les tiens. On écrit sur toi que tu as été un « héros de la Résistance ». Certains même osent un « héros du peuple juif ». Militant communiste, chef des Francs-tireurs et partisans – main-d’œuvre immigrée (FTP-MOI), condamné en Pologne par un tribunal communiste, emprisonné en France par un tribunal militaire français. Des mots désincarnés sur lesquels je vais essayer de mettre de la chair.
Tout a commencé à Jérusalem, qui n’était pas chez toi. Là-bas, j’ai vu des filles en débardeur qui avaient la beauté du diable (elles étaient juives), des rabbins merveilleux, les bras chargés de livres pieux (ils étaient juifs), et des soldats en larmes (juifs aussi). Dans le ciel passaient des cigognes aux plumes blanches tachées de sang, accomplissant, selon un rite immuable, le pèlerinage qui les emmène en Pologne à la fin de l’hiver et les fait partir à l’automne, avec Jérusalem pour étape. En Pologne où je les ai suivies, il n’y avait rien à voir, plus rien à voir. Là-bas, j’ai écouté. Si vous posez votre oreille contre le sol, vous entendrez les gémissements de centaines de milliers d’enfants juifs enfouis. Si le vent se lève, écoutez-le aussi : il porte dans son souffle les mélodies yiddish qui pleurent les villages brûlés et les mères assassinées. Et si vous approchez de moi, vous entendrez le clapotis des gouttes de sang qui tombent à mes pieds. Un Juif, ça saigne toujours.
C’est de cette Pologne que tu étais venu. C’est pour cette Pologne que tu as quitté la France. Et c’est pour moi, je le sais bien, que tu es revenu en France. J’ai suivi les cigognes qui se posent sur les arbres de Bialystok où tu es né. J’ai fouillé les cendres de Treblinka à la recherche des miens. J’ai ouvert les cartons conservés aux archives de Varsovie pour y trouver les traces du dirigeant communiste que tu as été. Et aussi pour lire quelques rapports indiquant comment tu étais devenu traître au Parti. En France, ce fut pire quand j’ai dû plonger les doigts dans le compte rendu des greffiers du tribunal des forces armées qui te condamna pour espionnage. J’ai compulsé les articles de L’Humanité, où tes anciens camarades te salissaient en me salissant.
Maintenant, tout est paisible. Au Père-Lachaise, allée circulaire, division 76, il y a une tombe. Celle où il est écrit que tu fus terroriste et communiste. Je suis devant. Et j’y suis enfin bien. »
(Extrait de « Fils d’Adam, Nostalgies communistes » de Benoît Rayski aux Editions Exils)
pages publiées le 30/09/2017 sur « Atlantico »
bien que sa plume soit d’airain
en même temps y’en a pas en zinc lassouline..continue comme ça et tu vas causer comme mon larbin
à Jean Kanapa
ha le bon garçon..’dors en paix camarade’ qu’il dirait jicé
Livre à éviter à tout prix !!!
Si vous en avez, comme tant d’autres, marre de ces années là servant de fond de commerce aux larmoyantes ménagères de plus de 70 ans !
haïssable, elle n’en reste pas moins une mère
copié du phameux ‘cest pas pasque ma mère boit que c’est pus ma mère’..c’est d’un airain mieux forgé qu’il dirait mon larbin
Et à propos de la maison d’édition qui a choisi de faire paraitre ce livre (car l’un n’existe pas sans l’autre), cette présentation, sur son site, importante :
« La maison d’édition Exils est aujourd’hui dirigée par Philippe Thureau-Dangin. Exils a publié environ une soixantaine d’ouvrages, essais, romans et récits, documents et poésie. Exils a également soutenu et lancé la revue « Multitudes » à ses débuts.
Extrait du manifeste de lancement, 1998 :
(Année de la création de la maison d’édition par Judith Brouste, romancière et Philippe Thureau-Dangin, journaliste et éditeur.)
«Nous n’avons à nous que le temps dont jouissent ceux-là seuls qui n’ont pas de demeure»,Baltazar Gracian y Morales.
Lire, se mettre en retrait du monde, en rupture des bruits, des flux d’intensité du monde… Lire, c’est aussi revenir à soi, au souci de soi, au souci de la cité. Politique et littérature, donc.
« Exils », éditeur à Paris, se veut un lieu d’alerte littéraire et politique. Pour retrouver le goût de l’inédit et le plaisir de la pensée.
Quand Ovide publia L’Art d’aimer, en l’an 8, Auguste fut offensé et exila le poète sur les bords de la mer Noire. Dans les démocraties-marchés, les Césars contemporains ne chassent plus les écrivains de la cité. Dans un monde unifié, l’exil est devenu impossible. Mais il est en même temps permanent. Chacun se voit exilé, éloigné de lui-même par la fabrication de la vie quotidienne. Les livres, eux, sont un frein à cette fabrication. Ils requièrent de parcourir la distance qui sépare chacun de lui-même, de l’autre et de la cité.
Ce qui est proprement la mission de la maison « Exils ». »
Ca se chatouille le portefeuille avec une plume d’airain, en littérature !
Lamentable…. Je craque.
Et cette photo d’illustration dont on sait bien que c’est un faux communiste, des spécialistes du mensonge depuis toujours !
ménagères de plus de 70 ans !
en 2050 hon dira 105..hon arrête pas la marche du progrés jicé..même en déambulateur
Par quel étrange hasard ai-je été le dernier éditeur d’Adam Rayski ?
http://itinerairesdecitoyennete.org/journees/27_jan/documents/veldiv_paris.pdf
Exils a une mission : vendre.
Bouguereau, as-tu déjà vu un robot faire un salto arrière ?
Cette photographie a été retouchée, au niveau du drapeau. vais lire la notule.
La famille communiste, c’est les Borgia sans pognon, sans sexe, sans dents !
merci dédé je suis fan..tiens dédé sais tu qu’on arrive toujours pas a faire des jambes non fléchis..outre que ça leur donne toujours un look de baboune d’airin..c’est pas sexi..la femme reste l’avnir de l’homme qu’elle dirait drh
Phil, la photo a été « refaite » plusieurs jours après….
La famille communiste, c’est les Borgia sans pognon, sans sexe, sans dents !
tu regrettes celle à scootère de note bon roué
…
…l’aventure c’est l’aventure,…film,…
…
…l’embrouille simplifier, pour se sortir, des intérêts et lucres d’autrui,…
…
…garder, son privé, dans la multitude,…
…face aux pensées uniques, aux chiottes des autres,…Oui,!…
…çà en dit long,…de quoi, humidifier le Sahara,!…oasis, oasis,…et paradis de chamaux,…etc,…
Bougboug,
l’avenir de l’homme sera la Love Doll soumise à l’ancienne, càd aux caprices des porteurs de mentule en berne, « trahis par leurs femelles » comme disait Benoit XVI…
L’actualité est glaçante en Pologne et donne comme un écho à ce billet de Passou. Hier, suite au défilé pour la fête de l’indépendance, dans l’après-midi, un autre défilé a eu lieu :
« …Ainsi, dans l’après-midi, des jeunes gens de noir vêtus, mais aussi des familles avec des poussettes et des personnes âgées ont marché en rangs serrés sur quelque trois kilomètres sous une forêt de drapeaux blanc et rouge, au milieu d’explosions de pétards et de fumées colorées de torches fumigènes. Le mot d’ordre officiel et rassembleur était « Nous voulons Di.eu » !
Outre les classiques « Di.eu, honneur et patrie » ou « Gloire à nos héros », des slogans d’hostilité à l’invasion de l’Europe et au géno.cide des Européens se sont fait entendre : « Europe blanche », « Tous égaux, tous blancs », « La Pologne pure, la Pologne blanche », « Foutez le camp avec vos réfugiés », ainsi que des mots d’ordre anti-commu.niste : « A coups de marteau, à coups de faucille, battre la racaille rouge ». »
Article trouvé sur un site… pour lequel je ne ferai pas de pub…
Seul le journal Libération évoque cette odieuse manifestation mais je ne peux mettre en ligne n’étant pas abonnée à ce quotidien..
Le Monde aussi. Ouf !
http://www.lemonde.fr/europe/article/2017/11/12/en-pologne-60-000-personnes-defilent-a-l-appel-de-l-extreme-droite_5213847_3214.html
hassez de ton édouiplénelitude et de ta propagande islamogochiss ..c’est des bons gars..dmande à nétaniaou..à cloclo..à pédro
indeed, une notule qui va laisser la bride à la polonophobie ambiante, pas calmée malgré l’importation des plombiers musculeux pour réparer les plomberies des baroz parisiens aux goût cultureux. Affronté ce matin FranceInter, malgré les aboiements de M.Demorand, où M. Karmitz, choyé par son mk2 commercial fichu entre les tours Mitterrand, présente sa richissime exposition de photographies dans le Marais, d’entrée d’émission: « oui, la Pologne est antisémite ». Le modérateur (« Traquenard ») a éprouvé le besoin, rare sur ces ondes, de rectifier la généralité. noté aussi (riche journée) que le patron de radiofrance passera en jugement le 15 janvier pour « favoritisme » (à plat ventre sur palissandre).
La notule du jour rappelle la défense par Gide d’un certain Victor Serge, juif de l’Est retour d’urss communisante.
Quel auteur nous parlera des Juifs d’Europe de l’Est directement passés des camps soviétiques à la tête du parti communiste de leur pays à leur retour, comme en Hongrie ?
(pas très clairement expliquée est cette « proximité avec Daniel Cordier »)
…
…les vendanges , les moissons, du collectif au privé,…les dirigeants ad-hoc,…cow-boys,…
…
…tous des élites, pour faire son trou,…
…le prétexte des réfugies,…une fois rentrer, chez – eux,!…qui est plus blanc, que l’autre,…
…le travail, le travail, pour tous, le zèle de s’en approprier,…au bout du chemin,…
…
Javier Cercas: «Denis Johnson es un narrador y un poeta magnífico».
El autor de «Soldados de Salamina» comparte con los lectores de ABC Cultural sus gustos y hábitos de lectura
« Catalogne : au royaume du fantasme
par Antonio Muñoz Molina
Tous les arguments historiques cités par les indépendantistes catalans sont faux. Sans exception. L’écrivain et historien de l’art [?¡¿!?] Antonio Muñoz Molina revient sur cette escroquerie intellectuelle. »
Phil,
Cette proximite avec Cordier, c’est tiré de la chanson « t’as le look coco, coco t’as le look », pathétique…
Vous avez quelque-chose contre les meres de famille et les personnes âgées, Christiane ?
Personnellement je rejoins entièrement la position de Monseigneur André Vingt-Trois : les réfugiés doivent être accueillis, intégrés.
Pour cela il faut mettre en oeuvre les importants moyens adaptés. Si cela ne peut-être le cas, comme jusqu’à présent il ne faut pas accueillir de réfugiés.
@Phil dit: 17 novembre 2017 à 10 h 57 min
Parfois vos commentaires sont douteux…
D.
Vous êtes habile pour louvoyer. Votre pseudo pourrait être : anguille…
cricri, tant que ça chiale et que c’est glaçant, elle aime bien. C’est le double effet « Reno ».
« Passou »agite le chiffon rouge avec une histoire « pathétique », mais en attendant c’est silence radio sur la revoltution d’octobre, qu’a eu lieu en novembre, 1917.
10 h 57 min
Très intéressant ce dialogue entre Marin Karmitz et Augustin Trapenard dans le Boomerang de ce 17 novembre. Belle évocation de sa collection personnelle, émouvante, imprégnée du souvenir de la Sho.ah et de tous les opprimés, présentée jusqu’à 21 janvier à la Maison Rouge :
http://www.dailymotion.com/video/x6369s6
@la vie dans les bois dit: 17 novembre 2017 à 12 h 02 min
Dans ce cas, pas vraiment. C’est plutôt la colère qui l’emporte et vous le savez même si vous feignez de ne pas le comprendre. Basta !
Pas sûr que Passou s’inclut dans « la famille communiste » ? La faillite, plutôt !
Dear Christiane, malheureusement les histoires de mémoires ne sont pas toujours pain bénit. Celles de l’Europe de l’Est arrivent en France souvent avec des échos assourdis. En Hongrie par exemple, les électeurs de l’apprenti dictateur Orban se souviennent des récits de leurs parents qui ont vécu sous les ordres de communistes au passé douteux.
Istrati enterré à Bucarest se souvient aussi de la « gloire » des écrivains communistes français.
« Tous égaux, tous blancs »
Cela me parait bien naturel ! Je rappelle à tous que Dieu est blanc, depuis toujours. Concevez vous Bouddha musclé, ventre plat, argent de poche aux Isles Caïman, carte du Parti ?
La famille communiste pue.
« …Karmitz produit des films. Godard, Ken Loach, Chabrol, Resnais, Kiarostami et Gus Van Sant, entre autres. Il réussit quelques coups qui font sa fortune : « Le bon plaisir », en 1984, qui assoit sa position, « Mélo », en 1986, « Au revoir les enfants », en 1987, « La vie est un long fleuve tranquille », en 1988, et la trilogie « Trois couleurs » de son grand complice Kieslowski. Avec cet argent, Karmitz subventionne le cinéma d’auteur : des réalisateurs peu connus, ou qui ne rapportent rien, comme Bartabas… » (Le Point)
On rencontre des bouddhas musclés, JC !
https://thumbs.dreamstime.com/z/muscle-bouddha-28000847.jpg
Phil,
Cette expo est celle d’un homme riche oui. Mais il aurait pu faire autre chose de son argent que de témoigner par ces photos de mémoires enfouies.
https://www.lexpress.fr/culture/art/marin-karmitz-le-visage-c-est-la-conscience-de-l-autre_1959494.html
Pour le reste de votre commentaire, oui, vous n’avez pas tort. Mais cette manif, dont D. sourit, m’a vraiment choquée.
La muscu c’est comme tout, il ne faut pas en abuser !
http://4.bp.blogspot.com/_aoFr6C9Klnw/TQjB2G3h6kI/AAAAAAAAA90/ND3s2oZLN2A/s1600/image0011.jpg
La Vie : Pie-grièche de ce blog.
C’est ça cricri, beaucoup ont passé l’âge de marcher au son du sifflet de cour de maternelle. Et Phil a bien raison de fustiger les outrances de « radio paris »
Christiane, Karmitz est un brillant homme d’affaires dans un domaine où le risque de finir liquidé dans un parking souterrain n’est pas exclu. Exposition bien sûr intéressante. L’honnête homme en France doit cependant regretter qu’entre les tours de la bibliothèque Mitterrand, d’intérêt public, n’aie pas été édifiée la cinémathèque de France mais un temple du cinéma commercial. Certes, il aurait fallu affronter la décision d’un autre producteur, également collectionneur de tableaux.
Ce n’est pas P comme parisien collabo, qui va non plus nous donner une leçon d’histoire naturelle. Ses croa croa sont comme ceux de cricri.
Panaït Istrati, migrateur méditerranéen.
Roman Rolland lui a mis le pied à l’étrier.
Réplique d’Istrati à l’un des leitmotivs de l’argumentaire communiste (« on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs »), à savoir : « Je vois bien les œufs cassés, mais où donc est l’omelette ? »
Il suffit, depuis le MK2 Bibliothèque, de prendre la passerelle Simone de Beauvoir pour traverser la Seine et rejoindre la cinémathèque française dans le parc de Bercy, Phil.
« LE MOT : Le Ministère de la Culture a validé l’abandon du mot « nègre littéraire ». Désormais, il faudra parler de « prête-plume » pour parler des écrivains de substitution. Il était temps. »
Pas sûr que l’usage entérine la loi ?
Les mots n’ont pas de ces pudeurs !
Pour l’instant je n’ai pas note que les nombreux « travailleurs détachés » polonais qui travaillent en France avaient un look de père, particulier. Sauf qu’ils bossent dur, c’est ce qui reste du communisme, mais ouvrier, sans doute.
« Les mots n’ont pas de ces pudeurs ! »
On parle plus de cul que de séant.
A propos de Sarkozy :
« Moi, je crois que dans une autre époque, il aurait fait prophète. »
Carla Bruni
A force de barattage, elle va finir par rencontrer Dieu.
Christiane, juste comme ça, Phil, incisif hier à propos de Clouzot, a raison également aujourd’hui sur quelques points. Entre autres : : Marin Karmitz a bien des mérites, mais il n’est pas un ange. Même remarque à propos du choix pour la Cinémathèque et l’allusion à Claude Berri, si je ne me trompe.
Le réseau des MK2 est une belle réussite, C.P. !
La Révolution d’octobre fut une tragédie pour la Russie. La Revolution de février était quasi-légitime après que le Czar ait permis que l’on tire sur son peuple qui manifestait, résultat des centaines de mort.
Non, Lénine était assurément guidé par la main du diable. On a tenté de le faire passer pour un homme droit et humain, c’est le contraire; il était peu droit et dur.
Enfin, on ne parle jamais de la responsabilité de la Suisse qui l’a protégé et qui au nom d’une tolérance bidon à laissé s’entretenir sur son territoire un veritable vivier bolchévique. Ca ne m’étonne pas de la Suisse qui a toujours été d’une inconséquence crasse. Je préconise d’ailleurs encore et toujours son annexion, restera à voir par qui, on pourrait la fractionner en 3 avec une plus petite partie pour l’Italie mais il va être grand temps de lettre fin à cette confédération de mes deux qui n’a jamais rien fait d’autre que créer indirectement de gris problème aux états et économies réels.
« Ca ne m’étonne pas de la Suisse qui a toujours été d’une inconséquence crasse. »
Historiquement, la Suisse est un épouvantable pays, et qui a plus de sang sur les mains que la plupart. La croix sur le drapeau suisse est une croix sanglante.
Jacques, je n’en doute pas. Autre chose est de se constituer, ou de l’être, comme une autorité morale. J’ai moi aussi entendu l’émission.
Vous vous D.Doublez pour taper sur la Suisse !
Il tient de sa belle-mère, C.P. ?
La belle-mère du Marin avait du caractère !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Françoise_Giroud
Jacques, je ne sais si le « caractère » passe au gendre, mais vous répondez à vous-même. Je connaissais déjà l’article de Wikipedia touchant Françoise Giroud, et il est plutôt nuancé, disons : « objectif » ?
Deux mots et je m’arrête : la carrière de Marin Karmitz producteur et distributeur est bien remarquable, mais l’émission à laquelle Phil faisait allusion est univoque et tire la couverture, c’est comme ça.
« Adam Rayski 1913-2008. Il fut terroriste et communiste quand il fallait l’être ».
Monstrueusement imbécile …. quel doublon !
La preuve que l’Etat n’a plus d’argent et est en faillite, il recours au système D pour sauver les vieux monuments :
« Le gouvernement va créer un « Loto du patrimoine » dont les recettes seront affectées à un fonds spécifique baptisé « Patrimoine en péril », a annoncé vendredi la ministre de la Culture, Françoise Nyssen. »
On va sauver les églises grâce à un jeu de hasard. Quel cynisme !
Ne reste plus qu’à taxer la mafia pour budgétiser le ministère de la culture !
CP,
toujours heureuse de vous lire.
Ces jugements à l’emporte-pièce qui traversent l’espace commentaires me heurtent parfois.
J’aime beaucoup la convivialité d’Augustin Trapenard, son émission matinale sur France Inter. C’est un être lumineux qui accueille des invités fort différents avec gentillesse et humour.
Ce Marin Karmitz je le connais peu, aussi je m’appuie sur des éléments biographiques offerts par L’Express.
Il aurait eu une enfance et une adolescence loin d’être simples. Né en 1938 à Bucarest, en Roumanie, dans une famille de confession jui.ve, il quitta le pays à neuf ans pour échapper au régime fas.ciste d’Horia Sima. Les Karmitz débarqueront en 1947 à Marseille. L’adolescent se passionnera pour les classiques du cinéma, puis intègrera l’Idhec. La nouvelle vague, 1968… lui donnera un parfum de liberté, il s’engagera comme maoïste puis, plus tard, en images, créera au fil des ans un groupe resté indépendant dans le paysage cinématographique français, comme producteur depuis les années 80, en défendant le cinéma d’auteur. En témoigne un catalogue de haute volée, avec les signatures de Resnais, Doilon, Chabrol, Kiarostami, Kieslowski, Godard… les MK2 s’inscrivent dans une histoire, qui est aussi celle des luttes politiques qui ont eu lieu après la guerre et après 68…
Et bien sûr il a de gros bénéfices. Homme de cinéma et businessman…
Bon, Jazzi et CP, je vous laisse « Carré 35 ». Jazzi m’en a donné envie ! puis expo de mes amis graveurs à la Galerie du Montparnasse.
CP, oui, ses émissions (A.T)sont univoques ! on complète…
C’est un excellent petit livre, Fils d’Adam. –
Je me suis toujours senti proche de « l’espoir communiste » (surtout quand j’étais encore en état de foetus embryonnaire), puis j’ai subi pas mal de déconvenues. – Un philosophe a soutenu ce matin que l’amour était à la confluence précaire de trois forces qui ne provoquaient jamais de totale alchimie : l’amitié, la passion et le désir. Mais il s’est hélas discrédité en faisant état de sa passion pour la tauromachie. – Ce n’était pourtant pas Toto Rina. – Je pense que le pronostic vital du « prête-plume » n’est pas engagé. – Tout est cul par dessus tête, on va vraiment mal depuis la légende urbaine rumorale persistante. –
Chapeau la photo ! Helle envoie du pâté… Mériterait une belle toile, tiens…
Pour saluer Toto Riina, un entrepreneur sicilien né à Corleone près de Palermo, aimant la Famille et les activités borderline, mort d’un cancer en taule.
Peut être pas tout à fait un homme de bien, mais sa famille a tué moins de monde que la famille communiste.
Tout le monde n’a pas Sartre comme agent commercial…
Pour moi, staliniens et mafieux, c’est blanc bonnet et bonnet blanc. Avec ou sans Sartre.
Sur la photo prise avant leur exécution au Mont-Valérien: de droite à gauche à partir du deuxième: Wolf Wajsbrot, Boskov, Missak Manouchian. Pour le premier sur la droite et le dernier sur la gauche, je cherche. Sur la photo originale, sur la droite se trouvaient Thomas Elek et un membre du groupe que je n’ai pas encore réussi à identifier.
Je vais demander à mon fils ainé: en juin dernier, à la Cartoucherie, il me dit « C’est pas Manouchian là-bas? » C’était effectivement Simon Abkarian, le Missak de L’armée du crime, film de Guédiguian. Important de savoir reconnaitre les gens qui comptent.
Est-ce vraiment une photo retouchée ? On penserait plutôt à un tableau hyperréaliste à partir de la célèbre photo. Ça ressemble franchement à une huile sur toile.
…
…un comment-taire,!…sur le vif,..
;;;.
…non, rien, qui explique tout, et redonne vie, à ces mouvements,…pour faire » éminence « , à la place, du Tsar,…façon Tamerlan,..
…
…par contre, l’économie mondiale,…se prend, comme les tactiques de guerres, de ce même Tamerlan,!…
…
…les systèmes,…mongol – arabes,…
…
…couper court, et abuser, n’importe quoi, n’importe comment,héritiers de toutes les bêtises, sur terre,…
…
…il faudrait, tout de même, une garde – noire, et ses prétoriens, qui contrôle le système, pour se débarrasser, des idiots dictateurs, et rentrer, dans le droit chemin, des causes à effets, pour vivre en liberté, non consommable,…
…pas comme des régimes, complices dans le droit, à en être que collabos, du nouveau régime totalitaire,…
…tout ces gens, qui manipulent les foules et restreignent les libertés,…aux bûchers, sans somations,…ils le valent bien,…Ah,!Ah,!…
…sans ménagements, à leurs propres modes économiques du mouvement à Tamerlan,…
…communistes ou aristocrates, tous des abuseurs,…
…les diables régnants,…sur leurs totems,!…
…les prétoriens,…aux paradis – papiers,!…
…
…Tsars, Emirs, Tamerlan, Gengis khan, arabes – mongols, et chinois mondialisés,…
…la route de la soie, quel bordel, entre tous,…vive, l’aviation,…
…touché – coulé,…stratégies, sur l’échiquier,…le porno à foutre,…
…etc,…
…le monde, près des génocides sociaux,…
…et variétés de malades,…
…ou est Sparte, ou est Rome,…etc,…
…
Le jugement de Delaporte est sans intérêt !
Notre huitre refuse de voir que le crime institutionnel communiste -Stalin, combien de millions de morts- n’a rien à voir avec les mauvaises habitudes de gestion de notre cher Toto Riina, modeste commerçant international, fierté de la Sicilia….
MAURITANIE
« Le présent projet de loi vise à abroger et remplacer l’article 306 du Code Pénal en vue de durcir les peines prévues à l’encontre du blasphémateur », a indiqué jeudi le gouvernement, cité par l’AMI.
« Chaque musulman, homme ou femme, qui se moque ou outrage Allah ou Son Messager (Mahomet), Paix et Salut sur Lui, ses anges, ses livres ou l’un de ses Prophètes est passible de la peine de mort, sans être appelé à se repentir. Il encourt la peine capitale même en cas de repentir », stipule le texte, selon le ministre de la Justice, Brahim Ould Daddah. »
Entre Brahim et Toto … « aucul ! aucul ! aucul n’hésitation ! » comme on criait dans les rues durant le règne de Georges (Marchais), le mari de Liliane la Bagagiste.
Bloom, cela n’a rien de choquant de tuer des terroristes en temps de guerre !
Pas si soyeuse que ton propre drapeau, amigococo !
trop damalgame islamocommuniss tue lamalgame
Tout le monde n’a pas Sartre comme agent commercial…
ha tu devais ête bon en recrutement de cade sup bigleux
« trop damalgame islamocommuniss tue lamalgame » (bougboug)
Euh !…. oui….. non …. peut être ?….
Chapeau la photo ! Helle envoie du pâté… Mériterait une belle toile, tiens…
lassouline se moque de billancourt
Rappelez-vous Cioran :
« On écrit des livres pour y dire des choses qu’on n’oserait confier à personne »
c’est justement cquon peut lui rprocher à cioran..ce manque de courage criant..pasque vnant dlui c’est hassez cocasse..c’t’un heuphémisme..thinkovit lassouline
Euh !…. oui….. non …. peut être ?….
un bon entriss se suffit d’un peutête jicé..largement
On ne peut rien reprocher à Cioran : l’action n’est pour lui qu’un choix dangereux.
On va sauver les églises grâce à un jeu de hasard. Quel cynisme !
une manière de botter en touche et dsen rmette à dieu qui fra du hasard ses denier..chte frait rmarquer dlalourde que cette manière de gratter dla thune est une hinvention catholique..malgré la réabilitation de jan hus sur le trés tard dlalourde..trés
On ne peut rien reprocher à Cioran : l’action n’est pour lui qu’un choix dangereux
pêpêpe ecrire publier en ces temps là c’est pas poster sur la rdl jicé..je persiste et signe à la mode numérique
Le vouvoiement est aussi utilisé par Coatalem dans son livre sur Segalen distingué par le Femina. Est-ce une tendance de rentrée?
Le tutoiement n’a pas toujours été signe d’intimité. on lit au Dix-Septième siècle: » En France on ne tutoie que les valets. » le tutoiement aristocratique Cornélien ou Racinien est plutôt orageux de Pertharite à Andromaque; les usages changent et ne se ressemblent pas.
Bien à vous.
MC
Sur blog, Cioran ne t’arrive pas à la cheville, Bougboug ! Après, c’est affaire de commerce ….
Le tutoiement n’a pas toujours été signe d’intimité. on lit au Dix-Septième siècle: » En France on ne tutoie que les valets. »
surtout les valets entr’eux..sapré dsapré meusieu courte..incorigibe
Après, c’est affaire de commerce
..la pire et la meilleure des choses
Quelle que soit l’époque, le tutoiement est signe de proximité, non ?
De toutes façon la Suisse comme la Suède commencent à avoir de très sérieux problemes avec l’immigration massive installée en périphérie des villes. Les mêmes qu’en France : petit ou grand banditisme, prosélytisme religieux et appels au meurtre de la population occidentale de souche.
« Le jugement de Delaporte est sans intérêt ! »
La violence est d’un seul bord, toujours provenant des salauds. Il est dommage que la Révolution russe ait été anéantie par des Lénine et ses successeurs. Faire le bien de l’humanité partait d’un bon principe, mais pas avec des fripouilles. Cela ne m’empêche pourtant pas de croire toujours en un idéal, mais avec l’esprit critique et en sachant que l’homme est trop imparfait pour qu’il soit jamais atteint.
« Faire le bien de l’humanité partait d’un bon principe, mais pas avec des fripouilles. » (Delaporte)
IMPOSSIBLE : L’HUMANITE EST CONSTITUEE DE 80% DE FRIPOUILLES, GRAND FADA !!!!
A propos de tutoiement, maintenant on tutoie Dieu, notamment dans le Notre Père. Avant le concile Vatican II, on le vouvoyait. Intéressant article du Figaro hier sur l’évolution du Notre Père, avec le changement prochain. Une pleine page d’explications journalistiques pour ceux qui veulent en savoir plus, et qui peuvent aussi se référer à l’ouvrage de la Conférence des évêques de France, La Prière du Notre Père, Un regard renouvelé, 10 € (Bayard, Cerf Mame).
Le truc le plus élitiste, c’est justement de ne pas être une fripouille. Cela n’est pas donné à tout le monde, cela s’acquiert par une grâce spéciale. Heureusement, ce sont en général ceux qui ne sont pas des fripouilles (une petite minorité) qui laissent une trace dans l’Histoire…
« Heureusement, ce sont en général ceux qui ne sont pas des fripouilles (une petite minorité) qui laissent une trace dans l’Histoire… » (Delaporte)
Néron, Attila, Jésus, Mohammed, Calvin, Cortès, Descartes, Napoléon, Hitler, Stalin, Lenin, Pol Pot, Castro, Chavez, Maduro, Merkel, Hollande, Taubira….. effectivement !
D. dit: 17 novembre 2017 à 13 h 45 min
La Révolution d’octobre fut une tragédie pour la Russie. La Revolution de février était quasi-légitime après que le Czar ait permis que l’on tire sur son peuple qui manifestait, résultat des centaines de mort. /…
* * * *
bref c’est toujours le même rêve ingénu, celui de février sans octobre, et celui de 1789 sans 1793…
D. oublie tout juste un détail : on a essayé -et ça n’a pas marché
« Néron, Attila, Jésus, Mohammed, Calvin, Cortès, Descartes, Napoléon, Hitler, Stalin, Lenin, Pol Pot, Castro, Chavez, Maduro, Merkel, Hollande, Taubira….. effectivement ! »
Effectivement, quoi ? L’Histoire ne les a-t-elle pas tous jugés, oeil pour oeil, dent pour dent ? Et n’est-il pas extrêmement simple de mettre par exemple Jésus ou Mohammed au-dessus de Néron ou de Pol Pot ? C’est du niveau maternelle. Même un étudiant de première année sait tout cela.
« Même un étudiant de première année sait tout cela. »
Tu as redoublé combien d’années, mon pauvre bolo !
Ca nous dit pas pourquoi Rayski a tourné réac.
Ce qui est incroyable, c’est que la crise de dix-neuf cent cinq était autrement plus dangereuse pour le jeune Николай II que, à son début, celle de dix-sept où le tsarisme était, en particulier du fait de la guerre, beaucoup plus en position de force. Mais il y a eu les bourdes…
Payer sa dette peut rendre riche.
À demain !
Ha çui qui est vraiment bien c’est Simon de Montfort :
– Yessir ! qu’il a dit au fameux légat du Pape…
Vvvvvvooooooooooooouuuuuuiiiittt !
Ha c’est du taf…
16h, merci de rappeler cet acteur, je l’ai vu dans deux autres films, Une histoire de fous et Le procès de Viviane Amsalem.
« Le jugement de Delaporte est sans intérêt ! »
jicé voulait dire qu’elle rapporte rien..même pas le paradis..ça frait mercanti attation dlaporte
Ha çui qui est vraiment bien c’est Simon de Montfort
voilà dlalourde..l’église dit a des fumiers dlapins daller faire la pige aux hérétiques..que ça rapporte..et hune tombola ça te met en déroute..t’es pas trés apostolique dlalourde
tiens moi dlaporte..j’en ai une bonne a te narrer comme dirait mon larbin..je fais chier un curé pour havoir une certaine clef pour monter..sans lui attation..il en peut pus et c’est pas un claque..au clocher..je l’ai..je matte..je prends pas dphoto pour pas mettre sur mon blog pasque chus pas hune balance..je redescends..me perds en remerciement..cause havec le curé sur sa vie qu’est pas facile..et qu’est ce qu’il me dit..il me dit..tesqueto..’léglise a un grand besoin d’athée comme vous’
Phil, j’ai parcouru un article de blog qui prouve que les révolutionnaires auraient été majoritairement juifs dans l’URSS de Staline, incorporés dans les organes du pouvoir, citant des noms des responsables en un rapport accablant , un parti pris? Je ne dispose d’aucune connaissances d’historienne non plus néanmoins peut-on dire sans commettre d’erreurs que les massacres sous Staline s’adressèrent à tous sans exception? Un peu comme Robespierre a fini par instaurer la terreur ?
http://next.liberation.fr/livres/1995/03/23/une-etoile-jaune-sous-l-etoile-rouge-alexandre-bortchagovski-l-holocauste-inacheve-alexandre-bortcha_126101
Après vérification, la période décrite est celle de Lénine .
Heureusement, ce sont en général ceux qui ne sont pas des fripouilles (une petite minorité) qui laissent une trace dans l’Histoire…
Delaporte, je ne voudrais pas tomber dans le cynisme, on pourrait vous donner raison en estimant que la décomposition efface les charniers, ce genre de produit de l’honnêteté, l’intégrité, la justesse de décision, l’humanisme au pouvoir et l’absence de toute espèce de racisme . On peut sûrement compter sur les anonymes et les artistes pour le souvenir.
On demande François Delpla à la réception.
J’espère que Slimani ne va pas organiser une kermesse pour sauver la langue française.
me suis trompée de billet, qu’Adam, Abel et Caïn me pardonnent
la vie dans les bois dit: 17 novembre 2017 à 20 h 29 min
Une étoile jaune sous l’étoile rouge… Il me semble que les théoriciens du s.sionisme venaient de l’Empire. Ce qui n’a pas été sans un problème d’intégration d’ailleurs, du fait de la langue.
« Historiquement, la Suisse est un épouvantable pays, et qui a plus de sang sur les mains que la plupart. »
(Delaporte)
« Heureusement, ce sont en général ceux qui ne sont pas des fripouilles (une petite minorité) qui laissent une trace dans l’Histoire… »
(Delaporte)
Quand je vous dis que Delaporte est le 2ème pseudo de Blabla-Widerganger…
C’est son autre côté, le côté catho de sa mère, mais toujours le même fanatisme et surtout le même robinet à co.nn.eries monumentales.
Jorge Semprún n’a pas parlé sous la torture , a été déporté à Buchenwald et a participé à la résistance du camp. On le voit mal rapporter des propos à Kanapa.
Sergio, la photo d’en haut n’est elle pas une planche de BD ou une photo redessinée et colorée comme jadis elles l’étaient selon le goût des artistes?
https://www.herodote.net/XIXe_siecle-synthese-323.php
Le premier groupe sioniste, «Les Amants de Sion» (Hibat Sion en hébreu), est créé en 1882 à Saint-Pétersbourg à l’instigation du rabbin Samuel Mohilever. La présidence en est confiée au médecin Léon Pinsker, qui publie la même année le livre Autoémancipation, dans lequel il postule que l’antisémitisme exprime le malaise des Européens face à un peuple dépourvu de terre, le peuple juif. Il en conclut que l’antisémitisme disparaîtra à la seule condition que les Juifs se dotent d’un État à eux, comme les autres peuples d’Occident.
Le sionisme prône le retour des juifs en Palestine, alors possession du sultan d’Istamboul et y voit un préalable à l’accomplissement des promesses divines et à l’arrivée sur terre du vrai Messie (envoyé de Dieu). Quelques centaines d’étudiants juifs de Russie commencent ainsi d’émigrer. Ils désignent leur action du mot hébreu «Alya» (ou Aliyah) qui signifie montée.
Cette immigration idéologique est regardée avec inquiétude par les autorités ottomanes qui administrent (plutôt mal) la province de Palestine. Elle est par ailleurs désapprouvée par les juifs locaux, au nombre d’environ 25.000… ainsi que par les militants du Bund (Union générale des travailleurs juifs de Lituanie, de Pologne et de Russie), une organisation créée en 1897 en Russie, pour promouvoir le socialisme sur place.
sans développé, un bon résumé ici:
https://www.herodote.net/XIXe_siecle-synthese-323.php
pourquoi dit-on « vouvoiement » et non pas « vousoiement ». D’où viens ce V? il y a-t-il une règle? ou est-ce dicté par la beauté du parlé français? pour éviter des sifflements en zzzz…?
Histoire d’une photo truquée :
dans la nuit du 30 avril au premier mai, les sergents Yegorov et Kontary, sur ordre du colonel Zintchenko, commandant le 756ème régiment, vont hisser sur le dôme du Reichstag le drapeau rouge soviétique, orné de la faucille et du marteau, symbole du communisme. Mais, dans les deux cas, du fait de l’obscurité, aucune photo ne put être prise.
Seulement, une photographie marqua tout de même l’histoire et symbolisa la fin du nazisme .. Cette photographie symbolisant la chute du troisième Reich, et illustrant un moment historique et a en réalité été « fabriquée » de toute pièces à la demande de Staline. Ainsi, ce cliché qui est devenu une véritable icône est au final une soigneuse mise en scène de la part du gouvernement soviétique, mais qui a été en plus retouchée et truquée….
Elle a été prise le 2 mai 1945 par Evgueni Khaldei (1917-1997, photographe ukrainien de l’agence Tass et correspondant de guerre dans l’Armée rouge). Le mois précédent, en avril, Evgueni Khaldei, qui a alors 28 ans, découvre la photographie de l’américain Joe Rosenthal représentant les marines plantant la bannière étoilée sur Iwo Jima…
Evgueni Khaldei convainc sa hiérarchie de réaliser une photo similaire. Il fait fabriquer d’immenses drapeaux rouges à Moscou alors que Berlin est sur le point d’être prise par les troupes soviétiques…..
Le 2 mai 1945, Evgueni Khaldei procède donc à une reconstitution sur le toit du Reichstag. Il escalade le bâtiment pour prendre la photo avec des soldats accrochant le drapeau : Alekseï Kovalev, Abdoulkhakim Ismaïlov et Léonid Goritchev. Mais Staline choisit de présenter les soldats de la photographie comme étant le géorgien Meliton Kantaria (car Staline était lui même georgien), le russe Mikhaïl Egorov ainsi qu’Alekseï Brérest qui étaient héroïques à ses yeux. Il décide que ce sont eux les soldats sur la photographie même si ces hommes n’ont jamais hissé le moindre drapeau, ni le 30 avril, ni même le 2 mai lors de la reconstitution. La photographie a été publiée dans le magazine russe Ogonyok le 13 mai 1945. Le supérieur de Khaldei a alors remarqué que le soldat, soutenant l’autre qui hisse le drapeau, portait une montre à chaque poignets, preuve de pillage. Khaldei a alors, selon son propre aveu, gratté le négatif pour supprimer celle à son bras droit.
Le reste ici
Bravo zerbinette, notre commentatrice d’investigation !
Créme caramel de 20.57, Vous avez du mal à le croire et pourtant, ça c’est passé ainsi. Le lièvre a été soulevé par Laure Adler dans sa biographie de Marguerite Duras. Par la suite, Gérard Streiff, journaliste à l’Huma, a enquêté auprès des survivants et dans les archives du PC. Son livre est accablant pour Semprun.
https://www.humanite.fr/node/192274
Etrange photographie indeed, où le seule vérité est cette rangée d’immeubles éventrés qui n’existe plus aujourd’hui. Christo « emballera » aussi le Reichstag soixante ans plus tard.
Bérénice, les soutiens juifs aux démocraties populaires d’Europe de l’Est est un sujet inflammable en blog. De la république des conseils de Hongrie avec ses 21 commissaires juifs sur 22, à la Roumanie de Ceausescu qui vendait ses juifs à Israël pour achever de ruiner son pays.
Pot pourri !
Laura Delair a commis une excellente biographie de mon frère JC.
Je préfère le bousoiement au vouvoiement.
http://youtu.be/3uowmUGdoc8
au vousoiement; crotte !
Le surdoué face à deux vieux cons (cela me rappelle quelque chose) :
En fin de compte toute cette mémoire est assez nauséabonde. Pas un pour racheter l’autre.
Le seul détail qui m’a éberluée : les deux montres aux deux poignets, signes de pillages antérieurs et cet historique du trucage de la photo (Merci Zerbinette).
Que de vieilles haines en cette Europe qui se replie sur ses haillons de mémoire « blanche ». Pouah ! vivement le prochain billet qui, je l’espère, sera plus léger…
« D. dit: 17 novembre 2017 à 17 h 18 min »
Ben tient :
C’est comme les Allemands lorsqu’ils ont eut des prisonniers français :
baiseurs et voleurs…
Pire que des romano.
Ah, JC,
un vrai plaisir de vous lire.
Quel bon Kapo vous feriez.
Dans les Zondercommando,
même les kapos y passaient.
De l’ironie à la provoc,
c’est gratuit à notre époque.
Bizarre de trouver autant de haine
lorsque accolés sont juif et communiste.
Eux ne se sont pas posé de question
au mur était la solution.
Tout ça est bien connu : collaboration des Juifs avec les communistes à l’Est, photo du Reichtag rejouée, mise en scène, pillages, viols lors de la libération des « pays frères », mensonges, famine organisée, déportation de population…
Bref la « famille communiste » c’est la famille Adams….Et il y a des c.ons qui votent encore pour ces crapules en France !
Toute cette époque est à oublier en littérature, laissons ça aux historiens. Occupons nous des guerres actuelles, des guérillas religieuses…
« Ah, JC,
un vrai plaisir de vous lire.
Quel bon Kapo vous feriez. » (P.comme Pourri)
Taré, que tu es, mon brave sot…
Je ne vois pas ce billet aller loin…
Il manque dans cet ouvrage de Rayski un peu du sérieux nécessaire à un gosse qui a plus besoin d’un divan que d’une plume …
Quant à lire cette couillonnabe sur tombe :
« Adam Rayski 1913-2008. Il fut terroriste et communiste quand il fallait l’être »
…je ne m’en lasse pas. Les occasions de rire sont rares. Dans un cimetière, elles sont splendides !
merci » Passou », de m’avoir sauvée de l’inattention. c’est cricri qui a raison, avec cette histoire d’écran. On voit mieux sur grand écran, que sur petit…
D’autant que lorsque la RDL avait 3 ou 4 ans, tout aurait sauté, mais maintenant qu’elle a 12 ans, elle devient moins capricieuse.
Pourtant, y’a un truc, sur lequel, je souhaite revenir, c’est que Rayski père, nous change un peu de l’image Juif / ghetto, et que son retour en dans sa terre natale était plus porteur d’espoir qu’un aller simple vers l’ « eden » des s.ionistes.
Vouloir sanctuariser une partie de l’histoire, tout comme un territoire, ça devient vite du « pathétique », comme le montre le fils Rayski.
– vous connaissiez cette histoire du Bund ?
– Moi, non
mais un fait est indéniable sur la RDL, c’est le nombre d’hallucinés qui sont de bons clients de la Propaganda visuelle…
La photo, la photo.
Parait qu’il y a eu un sommet de l’Europe sociale, ces jours.
Enfin, un sommet de théoriciens, pour un Erasmus, version 2
Car pour le reste, cricri va pouvoir continuer de geindre, et de dauber la Pologne en lisant la presse de pariss.
Vu le courage verbeux des français, à commencer par son président, les victimes du dumping social, les Polonais, les Roumains et les Bulgares ! continueront de travailler en france.
Euh… Euh… Eux, au moins, ils travaillent, les Polonais, les Roumains et les Bulgares !
Le jour se lève ! Dieu est meilleur organisateur que Hulot.
A. Rayski, fondateur du CRIF.
Simone Veil, dans son autobiographie » Une Vie » n’est pas tendre avec les organisations juives d’entraide aux victimes. Dont elle s’est très rapidement éloignée, en revenant du lager.
Tiens hier j’ai vu la rediffusion de Bibli Medicis.
Il y avait là une fille de la « révolution permanente » chez les guérilleros, Laurence Debray, pour sa « lettre aux parents ».
Là encore, ses parents ne lui ayant rien raconté de leur jeunesse, elle a du couché par écrit tous les non-dits… C’est grave, non, docteur ?
Le plus étrange, c’est cette remarque que lui fait J-P. Elkabbach, lui apprenant que son livre agite beaucoup les esprits, en Bolivie, par exemple.
Il était là encore question « d’aveux sous la torture ».
oui, c’est grave mon problème avec la grammaire, je sais.
@Eux, au moins, ils travaillent, les Polonais, les Roumains et les Bulgares !
Oui, n’est-ce pas. A bas coût. Et à tous les échelons de qualification… Y compris les plus prestigieux, dans le domaine scientifique et technique.
Ce qui rend encore plus scandaleux ce sommet de l’ Europe sociale.
alors après, on pourra écrire une lettre au Père. Au Père-Noël, pensez-y c’est bientôt !
Une famille, vraiment.sous le nom de famille, tout est dit: une maille c’est ça , des couleuvres pour des oeuvres ;cool, cool……
pogrom après la guerre en pologne
http://next.liberation.fr/livres/2010/10/14/pogroms-polonais-d-apres-guerre_686287
Karl Blossfeldt :
Jan T. Gross La Peur. L’antisémitisme en Pologne après Auschwitz Traduit de l’anglais par Jean-Pierre Ricard et du polonais par Xavier Chantry. Calmann-Lévy, 382 pp., 23,90 €.
au vousoiement; crotte !
j’étais enduite d’erreur car j’aurais sans vous ajouter un « s » au mot ( comme dans SS) , voussoiement, de fait je vouvoie par hygiène et prudente je n’ai tutoyé personne de près depuis une éternité.
CASTORISER
Déf. Méthode de management clito-mentulaire en vigueur dans les organisations de gauche comme le MJS, Mouvement des Jeunes Suceuses socialistes, l’UNEF, Union Naturiste des Etudiants de France, et dans les lycées l’UNL, Union Nationale des Lèches-culs.
La castorisation est le moyen, pour les ambitieuses muettes, de grimper dans la hiérarchie en grimpant d’abord sur le dirigeant au regard clair, au verbe humaniste, à la verge vibrionnante !
– Incroyable ! elle est promue cette c.onne ?
– Oui ! je l’ai « castorisée » hier vers midi…
Par bonheur ce système n’existe que dans les organisation de cancrelats syndicaux et unionistes de gauche….Enfin … peut être ?!
C’est assez énorme, effectivement
« On va sauver les églises grâce à un jeu de hasard. Quel cynisme ! »
Ils misent sur sur une loterie pour en sauver une autre, où serait le cynisme ?
Giovanni Raboni, Contestazione :
http://blogfigures.blogspot.fr/2012/02/giovanni-raboni-contestazione.html
@Ils misent sur sur une loterie pour en sauver une autre, où serait le cynisme ?
de penser que le patrimoine s’entretient par l’opération du Saint esprit…
Bien oui quand on croit aux miracles voilà ce qui arrive, les patrimoines culturels et naturels sont voués aux flammes de l’enfer. c’est les autres.
Ce matin l’andouille de JC (grand lecteur de Cioran hi han !) a trouvé un nouveau rôle : comique de haut niveau, les gens rigolent de plus en plus, continue mon petit…..
« qule gars havait 2 montres au poignet »
Dont une Wilsdorf & Davis…
Si Elle veut grimper dans la hiérarchie du propos subtil, il va falloir que Laura Delair se fasse castoriser rapidement.
Par un notable de la RdL, type Dédé, Wiwi, MC ou Bougboug, voire Pablito ou Delaporte du Confessionnal …
Un coup de grappa, et PoPol Pot sera d’accord ! Il a le ciseau nerveux, mais un bon cœur, serviable.
Une loterie…
Un pilote de la marine américaine s’est servi des traînées de condensation de son avion pour dessiner un pénis au-dessus d’une petite ville de l’ouest des Etats-Unis.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/11/18/la-navy-furieuse-de-decouvrir-qu-un-de-ses-pilotes-a-dessine-un-penis-geant-dans-le-ciel_5216749_3222.html#8vPuFPUaqsFVSmHV.99
…
https://mobile.twitter.com/britishmuseum/status/931562221209047042/photo/2
Mais les sanctions les plus rapides pourraient émaner du Parti socialiste même, auquel Gérard Filoche est adhérent depuis 1994. Car son tweet ephémère en a bouleversé plus d’un. Le sénateur PS de Paris David Assouline estime qu’avec ce tweet, « Gérard Filoche rompt définitivement avec les valeurs les plus fondamentales » du parti. Il n’a donc « plus rien à y faire ».
« MC un notable » écrit l’andouille… l’intéressé ne se retient plus, il vibrionne !… castoriser ? déjà fait par Fred mon fiancé (1 m 89), tu lui arrives pas à la cheville, nabot
Même un handicapé mental de 2m c’est une affaire lorsqu’on ressemble à un sac de sable, borgne, chauve et sans cervelle !
Hum ! Hum ! Castorisée par compassion, la concierge Laura !? Tragique….
mais ta gueule clodyo
Dont une Wilsdorf & Davis…
j’ai eu une montre cccp qui pesait 500g de pure cuivre..je l’ai décapé..ça fsait un peu deunitz dans son uboat..quand je collai un pain la force était havec moi
Il est rigolo le montage de Gérard Filoche sur Bébé Macron au service du Dollar et des Juifs !
Evidemment la LICRA nous la joue « BLASPHEME » :
« Ce tweet de @gerardfiloche est une honte absolue relayant des contenus complotistes trempés dans l’obsession des juifs. »
On devient vraiment c.on, avec notre langue de bois « dis pas ci / dis pas ça » … Rabelais reviens ! ils sont devenus fous !
au vousoiement; crotte !
j’étais enduite d’erreur
havec béré et keupu ça dvient vraiment crado ce blog
une honte absolue
à toute les vilaines sauces..y veulent tous hatteindre au cristalin du breuvage a poutine..mais yavé est pas havec eux..ça svoit bien
(1) «Rumeur» datant du Moyen Âge qui dit que les juifs tuent des enfants chrétiens pour verser leur sang dans le pain azyme lors de la pâque juive.
non point..dla rome hantique..elle visait les chrétiens..c’est plus raccord..faut faire gaffe a cquon dit
ça dvient crado ce blog… surtout quand la vieille taupe se réveille et que l’andouille gigote dans ses couches charcutières
mais vas donc tfaire fourrer dans ta tanerie keupu
Laura !
Arrêtez de nous harceler, Bougboug et MC et moi : vous ne mettrez jamais votre nez dans nos affaires …
Je ne harcèle personne,j’écris tout haut ce que tout le monde ici pense tout bas, c’est simple et c’est efficace au lu de vos réponses, bougros et landouille
Laura !
Cela suffit ! Nous sommes souvent harcelés Bougboug et MC et moi-même à cause de notre irrésistible et séduisante beauté qui, inévitablement, génère un désir irrépressible chez les jeunettes du pays y compris les plus moches.
Mais, nous savons bien que le salut de notre âme dépend de notre résistance au démoniaques goules comme vous ! Vade retro, demone !
Je le répète : vous ne mettrez jamais votre nez dans nos affaires, ni votre main dans notre pétrin …
et alii dit: 18 novembre 2017 à 9 h 05 min
Un pilote de la marine américaine s’est servi des traînées de condensation de son avion pour dessiner un pénis au-dessus d’une petite ville de l’ouest des Etats-Unis.
–
C’est la preuve que le F-18 est un bon avion multirôle.
Frère Dédé, je te salue !
Que peux tu faire pour soigner une pécheresse du blog aux prises avec ses pulsions infâmes dues à sa fêlure de libido, intervenue à 11 ans et huit jours dans un manège forain ?…
Aide nous ! je t’en supplie Frère, et t’en remercie par anticipation.
L’équipage est depuis cloué au sol et il « devra rendre des comptes », a prévenu la Navy, précisant qu’une manoeuvre de ce genre n’avait « aucune valeur de formation ».
ni d’info, n’importe quel enfant de naturiste par exemple en âge de tenir un crayon dessinera des pénis en veux tu en voilà dans tous les sens de l’orientation solaire . On remarque tout de même en passant que dans ces lieux où les corps s’exposent nus, les plus beaux se cachent un peu , pas de bol!
On devrait demnder à St Ex de nous dessiner un maillot de bain, une proposition pour les responsables de la Navy.
« L’équipage est depuis cloué au sol »
Cloué au sol ! Christique … !
Suis-je la seule à avoir cru à un dessin d’Enki Bilal, tant les sombres couleurs, l’atmosphère, la période, la composition et le graphisme de la photo choisie par notre hôte semblent tout droit sortis de l’univers du dessinateur franco-serbe ?
… D’autant que Bilal
« donne une vision sombre et pessimiste de la ville. « Je ne dessine pas des cités rutilantes mais, justement, leur patine fait leur beauté. » Chez Bilal, la ville est le lieu de la mémoire des hommes. Territoire politique et idéologique, elle est aussi là où s’exprime la violence de l’Histoire. « J’imagine un futur proche où des terroristes s’en prennent aux symboles de l’Occident. » (extrait du blog profs/élèves de la section histoire des arts du lycée Baudelaire (Haute-Savoie)).
(visionnaire, le Bilal.)
Un genoux et même les deux à terre, JC demande de l’aide et personne ne vient à son secours uhuhuhu, quant au bougros il est reparti dans sa taupinière
Clopine, moi aussi j’ai trouvé cela très BD comme illustration, en effet Bilal. Qui a regardé la grande librairie de JF Busnel, il y était invité ? Il y avait mon libraire préféré Ptyx cela m’a fait plaisir de voir qu’on y invitait des belges qui défendent la littérature.
des belges qui défendent la littérature.
en effet car hormis l’humour on ne voit pas trop ce qu’ils défendent, les frites et la bière? Savez-vous s’ils se sont finalement trouvé un gouvernail et tous les instruments pour naviguer au delà de la Meuse paresseuse?
C’est l’image que l’on veut bien donner de nous à l’étranger, très réductrice … Regardez en fait ce qu’en pense Sollers … Il publie sa correspondance avec Dominique Rollin, à mon humble avis, on n’y parle pas que de frites et de bières.
Clopine Définitivement un cas à part dit: 18 novembre 2017 à 11 h 35 min
« Suis-je la seule à avoir cru à un dessin d’Enki Bilal »
Certainement …..
Chantal,
les Belges qui ont perdu le magnifique Congo du Roi sont-ils mieux à même de défendre la littérature…. Et puis, revenons aux fondamentaux : c’est quoi, les Belges ? des Wallons, Flamands, Germains, Monégasques, Russes, Arabes, Juifs ?… On s’y perd….
(Il fait beau et paisible : aviron de mer, now !)
« Il publie sa correspondance avec Dominique Rollin »
Une correspondance sans aucun intérêt. On y voit un Sollers énamouré, proche de la stupidité, qui continue comme si de rien n’était son petit numéro d’amuseur des lettres. Le mystère est : cela plaisait-il vraiment à une femme aussi belle et intelligente que Dominique Rollin ? Vraiment, pouvait-on dire d’elle qu’elle le valait bien ? Dieu, que c’est triste !
Que tu est con JC, un libraire qui défend la littérature, n’est – ce pas juste normal, que connais – tu réellement du pedigree des autres, toi qui attaques systématiquement tout, complètement encastré soir et matin dans ce fil de commentaires.
Oui en effet Dieu que c’est triste, Dominique Rolin valait mieux que Sollers qui profite encore, post – mortem se sa liaison, je le trpuve pitoyable, d’autant que tout le travail d’archives a été fait par des gens fins lettrés à Bruxelles qui bossent à l’encodage pour gagner leur quignon …
Voyez l’arnaque, en plus. Cette publication de la correspondance ne comporte que les lettres de Sollers. On a fait l’impasse sur les réponses de cette pauvre Rollin. Delà à lui prêter toutes sortes de sentiments improbables, il n’y a qu’un pas.
1134
commentaires