de Pierre Assouline

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La République des livres
Richard Millet sous le soleil de Depardieu

Richard Millet sous le soleil de Depardieu

Voilà encore un livre dont ils ne sauront pas que faire. « Ils », entendez les critiques, les medias, l’opinion. Il est vrai que depuis « l’affaire », ils se repassent les pamphlets de Richard Millet comme une patate chaude, en se disant qu’il faudra bien en parler si d’autres en parlent sur le mode incorrect, voire scandaleux, car il sent toujours le souffre, mais qu’en attendant il serait plus prudent de s’en abstenir. D’autant qu’il enfonce le clou avec Le corps politique de Gérard Depardieu (120 pages, 17,90 euros, Pierre-Guillaume de Roux).

De quoi s’agit-il ? De la France et des Français, ce qui n’est pas rien. De la décadence dans laquelle ils s’avachissent. De la veulerie nationale. De leur médiocre renoncement au génie de la langue française. De leur lâche résignation face au tout-culturel, au multiculturalisme, au communautarisme, à la haine de soi nationale, au laïcisme ludique, au droit du sol, au reniement, à l’universalisme, au métissage général, à l’apologie démocratique du Bien,  au culte de la jeunesse, au droitdel’hommisme, à la doxa de la sous-culture américaine envahissants, à la disneylandisation de l’héritage chrétien par les lieux de mémoire. Air connu. Sauf que Millet est un écrivain, un vrai, avec ce qu’il faut de mégalomanie et de paranoïa, mais un peu plus que les autres, un qui croit encore en la littérature. Cet air désormais familier, il le joue cette fois sur un mode moins excessif, moins violent, moins apocalyptique, donc plus crédible que dans ses précédents livres, ce qui ne le rendra pas plus audible de ce ceux qui ne veulent pas entendre, car il n’est pas moins radical. Il ne renonce pas à ses excès non dans l’expression, plus mesurée, mais dans l’hypertrophie des évocations. Tout sous sa plume conduit à constater la décadence de nos sociétés. Même le physique de François Hollande, son « insigne laideur, son insignifiance politique, son inculture littéraire » (il semble que le président ne soit pas son cousin). Les auteurs cités en épigraphe donnent le la : le prophète Isaïe qui dénonça le relâchement des mœurs de ses contemporains, le Céline du Voyage et Léon Bloy en son Journal. Il a le goût des formules :

 « Le culturel comme la maladie sénile de la petite-bourgeoisie ». Ou bien : « La Vie d’Adèle, pieuse réalisation d’un tâcheron tunisien ».

Son constat est amer : la France littéraire est morte. L’art contemporain, plus spectaculaire et plus marchand, a pris sa place. Mais comment passe-t-il de ce constat de décès à la grandeur et illustration de Gérard Depardieu ? Par le surnaturel chrétien. Certes, l’acteur a bien lu Saint-Augustin à haute voix en différentes chaires, il en a même parlé avec le Saint-Père, et il fut un inoubliable abbé Donissan dans le grand film de Pialat d’après Bernanos Sous le soleil de Satan, certes, mais la transition ne serait-elle pas abrupte ?depardieu-mammuth

Depardieu, c’est la France. Sa plus parfaite incarnation dans toutes ses imperfections. Pas plus français que le meilleur acteur de ce pays. Mais là on s’attend à ce qui le compare à Gabin, il trace une analogie avec Michel Simon dans la catégorie culcute « Monstres sacrés », bien que l’un ait réussi son Boudu que l’autre a raté. Ce qui est plutôt bien vu. Il en fait la métaphore de la France qui résiste :

« Le seul Français non réductible au devenir yankee du monde, à l’indifférenciation générale, à l’anonyme douleur de l’individu ».

Pas plus politique que Depardieu. Il n’est pas jusqu’au fameux pétomane qu’il ne glorifie en lui, flattant ses flatulences comme un permanent pied-de-nez à l’establishment, l’ogre rabelaisien lui pétant à la gueule « en barytonant ». Toute sa filmographie est passée au peigne fin, analysée, examinée, soupesée, l’auteur faisant grand cas de la dimension subversive, radicale même des films de Bertrand Blier, à commencer bien sûr par Les Valseuses mais sans négliger Buffet froid, Préparez vos mouchoirs, Tenue de soirée, Trop belle pour toi.

On doute qu’il ait jamais rencontré Depardieu. Son analyse du bonhomme phénoménal est juste, bien vue et on imagine que l’intéressé, malin comme il n’est pas permis, s’en délectera car il se sentira pour une fois compris. Mais outre sa haine viscérale de la bourgeoisie, sur laquelle il aurait dû insister, il y a le paradoxe sur le comédien. Inutile de se croire son Diderot pour s’y essayer. Il tient à ce détail que je n’ai pas trouvé dans ce livre : d’un côté vous avez un homme de cinéma qui depuis des années est incapable d’apprendre son texte, qui a l’esprit tellement confus, embrouillé, enivré, embrumé, qu’il faut lui montrer chacune de ses répliques inscrites sur des post-it collés sous l’objectif de la caméra, doublé d’un homme de théâtre (qui n’y « excelle » vraiment pas, non, désolé, il est loin le temps de Duras et de Régy), qui se fait souffler dialogues et mouvements dans une oreillette par une assistante qui le dirige depuis les cintres ; de l’autre, le même personnage qui, s’invitant sur des répétitions de Tous les matins du monde, regarde Daniel Auteuil enperruqué et habillé d’époque s’escrimer laborieusement à coups d’archet, et lui, en blouson de cuir et jeans, s’asseoir d’office à sa place, se saisir de la viole de gambe et improviser le rôle avec un génie et une grâce inégalés qui le désignaient dans l’instant pour être Marin Marais.

gerard-depardieu-dans-les-valseusesQuand tant d’autres acteurs ne se content que d’être une gueule ou un corps, Depardieu, c’est aussi et avant tout une présence et une voix, qu’il soit Cyrano ou Danton, le colonel Chabert ou Maheu le mineur, Vatel ou Vidocq. Et si l’on veut savoir ce que Millet entend par « romancier postlittéraire », expression qui revient souvent dans son essai mais de manière énigmatique, il faut en passer à nouveau par Depardieu, et pourquoi pas ! Précisément par le beau film de Xavier Giannoli Quand j’étais chanteur :

« C’est un mec qui écrit des livres en chantant les thèmes des autres et qui publie dans le vide, avec l’espoir de durer dans une langue à l’agonie ».

Vraiment, belle métaphore que celle du corps Depardieu (toutes sortes de rois peuvent avoir deux corps, et Depardieu a trouvé là son Kantorowicz). Elle n’a rien d’artificielle, jusque dans sa sauvagerie de pauvre dans sa relation à l’argentMessage reçu : misère d’une nation sans Dieu. Les jeunes Français ne sont pas plus mal traités que les jeunes européens, à l’unisson même : « regards vides, corps flottants, langue décomposée, mémoire erratique ». On ne peut que lui souhaiter de changer de contemporains, ou de retourner en exil intérieur en Limousin, mais très loin dans les terres sous peine de verser dans une déprime suicidaire. Je le dis sans ironie car ce pamphlet sombre et brillant est aussi dérangeant, c’est sa vertu, qu’il peut être parfois touchant.

La France est un fantôme ; le spectre de la transhumance hante l’Europe. Sont appelés à la rescousse le philosophe pascalien Pierre Magnard, Simone Weil, René Guénon, Bloy bien sûr, auquel on l’imagine bien s’identifier, et surtout Baudrillard. Cette déploration prend tout son relief, qui lui évite de sombrer dans l’ordinaire déclinisme, quand Richard Millet, véritablement habité par ses convictions, sincère et indépendant, jusqu’à ne pouvoir imaginer de Français autre que chrétien, trouve une voie spirituelle, une grâce même, dans son combat pour la pureté de la langue, ce qu’il appelle « la vérité de la syntaxe française », celle-ci abritant en son sein tout le génie d’un peuple et toute sa mélancolie face au désastre. Mais que cela ne nous dispense pas de voir derrière la recherche de cette pureté de la langue la quête illusoire d’une introuvable pureté de la race.

(« Sous le soleil de Satan », Mammouth », « Les Valseuses »)

 

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commentaires

924 Réponses pour Richard Millet sous le soleil de Depardieu

B comme BERLIN dit: à

« Mais que cela ne nous dispense pas de voir derrière la recherche de cette pureté la quête d’une pureté de la race. »…

Est-ce méchant ?.

ueda dit: à

« Mais que cela ne nous dispense pas de voir derrière la recherche de cette pureté la quête d’une pureté de la race. »

Il est dommage que cette phrase abrupte soit la dernière, elle en dit trop ou trop peu.

ueda dit: à

Le corps vieillissant de Gérard est une sorte de métaphore religieuse: ce qu’on pourrait appeler son devenir-porc, assumé dans une sorte de désespérance rageuse (je pisse, je chie, je bois, je bouffe, je baise), le rend parfaitement haram.
Sacré ou interdit?

candie dit: à

puisque nous ne faisons que parler de nous, ueda pourrait-il se singulariser d’une manière qui lui serait propre ?

B comme BERLIN dit: à

Depardieu propre !.
N’de Diou …

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…je ne sais vraiment pas, quoi écrire,…

…çà fait un genre strapontin,…j’écris sur un homme qui à fait carrière, qui reste au niveau du français majoritaire, et je monte comme écrivain avec lui,!…( raisonnements )

…l’acteur ne peux, même pas dire,  » lâchez moi les baskets « ,…

…comme qui dirais, vient du côté des durs-écrivains comme moi,!…pour changer la France avec toi, dans ma poche,!…

…dans le sens, merci,! pour tes prestances pour que mon livre rapporte  » gros « ,…à moi seul,…
… l’écrivain qui à ainsi, de nouveau  » la classe « , et se refaire une santé médiatique sur sa description du populiste romancée,!…

…combien, n’y en t’il pas, qui écrivent sur  » W. Shakespeare « ,…pour s’accrocher aux idoles, écrire sur M.M.,…B.B.,…Richard Burton & les suites à Elisabeth Taylor,…

…pourtant,…qu’elle maladresse de tact, sur un Depardieu qui reste en pleine ascension,…loin de lâchez les baskets,…comme le fromage du corbeau au renard,!…
…La Fontaine, je ne boirais pas de ton eau,!…
…Si,!si,!…Ah,!Ah,!,…Bip,!Bip,!,…etc,!…
…Go,!…

Bloom dit: à

Millet parle d’un Depardieu qu’il n’a jamais rencontré. Millet parle d’une France qu’il n’a jamais rencontrée.
Il apporte sa pierre au déclin national.

JC..... dit: à

Bloom dit: 20 septembre 2014 à 3 h 54 min
« Millet parle d’un Depardieu qu’il n’a jamais rencontré. Millet parle d’une France qu’il n’a jamais rencontrée.
Il apporte sa pierre au déclin national. »

Jugement bloomien, qui naturellement, n’ayant rien compris, n’apporte rien… au déclin national !

JC..... dit: à

« Mais que cela ne nous dispense pas de voir derrière la recherche de cette pureté la quête d’une pureté de la race. »… (Passou)*

Pour avoir lu quelques Millet, il me semble que celui-ci ne poursuit qu’un but politico-culturel : alerter. Réveiller les endormis. Ressusciter les guerriers morts …

Depardieu ? Oui ! mais un autre aurait pu être utilisé, marionnettisé par Millet. Tout aussi bien. Il lui fallait simplement un référentiel vivant d’une façon forte, d’une manière « libre », libre et tonitruante, rabelaisienne. Une force qui a bel et bien disparue chez nos contemporains ne supportant que la mollesse pour guide « normal »…

La « pureté de la race » ? Même chose que pour Depardieu. Millet n’est pas bête au point de refuser l’échange mondial, le commerce au sens complet, enrichissant avec l’Autre, le Frère, Celui d’une race autre. Simplement, il refuse, à juste titre, un échange déséquilibré, un vol pour tout dire, c’est à dire une situation bizarre où un « grand peuple français » offre beaucoup à des xénophobes étrangers qui prennent et n’apportent rien. Quand ils ne polluent pas un équilibre historique national fragile et somme toute récent !

Millet, pour réveiller, secoue.
Il a bien raison !

*Passou ! Votre phrase dernière est un hymne à la bien-pensance habituelle de gauche. Auriez-vous peur d’être trop vite « étiqueté » homme dangereux sortant du ventre fécond de la bête immonde qui…, etc, etc, …?

Dada B dit: à

« jusque dans sa sauvagerie de pauvre dans sa relation à l’argent »

La généralisation est abusive, mais encore plus exclusive: si les riches n’agissaient pas souvent sauvagement avec l’argent, ça se saurait dans l’immédiat…

Bloom dit: à

« la vérité de la syntaxe française »

Plus con, tu meurs.

JC..... dit: à

Rien à craindre, ami Bloom ! Les plus cons ne meurent jamais : ils font même des petits…

Joachin Du Balai dit: à

Le corps politique de G D : 120 kg / 120 pages = 1 p par kg mais prix de gros : 18 € !

JC..... dit: à

Edwy Plenel, le co-fondateur de Mediapart, était l’invité lundi dernier de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC. Il est venu parler de son livre « Pour les musulmans ».

« Dans le monde d’aujourd’hui, qui est incertain, pour la France c’est une immense chance d’être le premier pays musulman d’Europe », a-t-il expliqué.

Comment ne pas être, comme Millet, effrayé par tant de stupide naïveté ? Propos idéalisés, rêverie humaniste que les faits démentent régulièrement par les risques de radicalisation active que portent en eux tous les théocrates intégristes, jamais combattus en interne.

Vous imaginez un gars déclarant sur Radio La Mekke :
« Dans le monde d’aujourd’hui, qui est incertain, pour l’Arabie Saoudite c’est une immense chance d’être le premier pays juif/chrétien* de l’Orient »

*rayer la ou les mentions inutiles !

Rigolo dit: à

JC, pauvre andouille qui n’a rien compris comme d’hab’

JC..... dit: à

« Rien à craindre, ami Bloom ! Les plus cons ne meurent jamais : ils font même des petits… »

Confirmation à 9:28, et d’amplitude certaine, sans aucun doute … !

Phil dit: à

Le détour par Depardieu est de taille. Millet pense sûrement à la race mais n’ose plus parler que de civilisations qui « par leur médiocrité ou leur caractère exclusif, ne peuvent donner que des amalgames lamentables ». Finkielkraut aurait aimé inviter Giraudoux pour donner la réplique à Millet.

bouguereau dit: à

« Le culturel comme la maladie sénile de la petite-bourgeoisie ». Ou bien : « La Vie d’Adèle, pieuse réalisation d’un tâcheron tunisien »

roo lassouline..même en plissant les noeils comme clint jarrive pas a voir un léon ou un céline..faut viser fin avec de telles fumure de redneck..mais millet..il a ceinture bretelle pessaire..anal plug et fine lunettes d’intello sur le nez..snipeur a 300 métes?..baaa..on ferraille au hasard en gardant son verre..même à coté..surtout!..ça fait mouche

bouguereau dit: à

Finkielkraut aurait aimé inviter Giraudoux pour donner la réplique à Millet

t’es pas bon en casting phil..ou alors faut les filmer bouffant une boite de lasagne spangéro a cheval…huuuurkurkurk!

bouguereau dit: à

Depardieu ? Oui ! mais un autre aurait pu être utilisé, marionnettisé par Millet.

il aurait pus prende dracul ? décidément on pense la même chose jicé..là daccord..une bouteille de kro à 350 mètre..fais en autant jicé..une 25 attation pas une 33cl..que du challenge chez dracul

bouguereau dit: à

Il apporte sa pierre au déclin national.

toi kabloom tu portes le gars qui porte la pierre et tout ça d’une main..on s’y prendrait pas autrement pour impressionner dracul

Mme Michu dit: à

cette phrase abrupte

Ouais, moizaussi j’ai l’impression que ça fait coup de bouchon orienté trop loin mais comme je n’ai pas lu le livre je m’abstiendrai de développer binairement de manière plus étendue.

Rigolo dit: à

pépère bouguereau ressort les vieux clichés, ça radote, ça radote, rien de nouveau sous le soleil de ce minuscule Satan des banlieues

Mme Michu dit: à

Livre publié à crédit d’acteur, mais l’auteur il est quoi là dedans ?

JC..... dit: à

« daccord..une bouteille de kro à 350 mètre..fais en autant jicé..une 25 attation pas une 33cl..que du challenge chez dracul »

Infâme Bougboug !

Toi qui ferait la fierté du Labo d’Anatomie de Montpellier, vrai musée des horreurs, tu sais bien que les bouteilles de Kro, ou autre, elles ne s’éloignent jamais au delà de ma portée de main.

Ah ! la main ! la main ! quel bel organe, comme dirait Clopine.

Jacques Barozzi dit: à

Décidément, il semble que les livres les plus intéressants de cette rentrée soient ceux qui ne sont pas sur la liste !

ce que Millet entend par « romancier postlittéraire »

Les meilleurs livres aujourd’hui, ce sont nos films : voilà belle lurette que les romanciers écrivent avec une caméra. Jetez les livres et, comme moi, allez au cinéma ! Voir les derniers commentaires de la république du cinéma…

bouguereau dit: à

On doute qu’il ait jamais rencontré Depardieu.

on dirait que tu l’connais lassouline..que tu l’as humilié en mangeant une 4émé cotes à l’os en disant qu’un français bien né ne devait pas caller sur son 3 ème trou de morgon sans déhonorer ses morts de la bataille de la somme

D. dit: à

J’aime beaucoup Richard Millet, tout comme son charmant petit village, Viam.

acm7 dit: à

Il fait froid mais il n’y va pas, Millet.

bouguereau dit: à

la main ! quel bel organe, comme dirait Clopine

aristote en fait tout un gros fromage « la pensée et la main etc »…j’ai jamais compris pourquoi on en avait jamais fait le hiatus de l’interface philosophique d’avec platon..enfin je l’ignore..qu’on me donne les références ça m’interesse

bouguereau dit: à

minuscule Satan des banlieues

sfaire moucher par lui c’est pas glorieux..ptête même que ça prouve que t’es rien qu’une raclure

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…façon Mille-et,…un livre sur Jack Lang,!…

…déboussoler les français, un Plus, en culture des navets,!…les gay’s aux droits,!…

…Oui,!…j’aime Sar-koz,!…libre à toute droite,…
…des promesses à fourguer,!…le clivage droite-gauche, le pur milieu des cultures entre islamistes,!…
…je maintiendrait la discorde national,!…

…à voter,!…Miley Cyrus performing Money Party,…le nouveau cadre,…plein Face,!…
…la loi de la haute – couture,!…la langue en défilé,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,!…

…envoyez le retour en Grâce »s,!…à nos à dents,!…les mains pleines,!…continuons le combat,!…en ritournelles,!…chiches,!…forum,!….etc,!…
…Go,!…

bouguereau dit: à

Sauf que Millet est un écrivain, un vrai, avec ce qu’il faut de mégalomanie et de paranoïa, mais un peu plus que les autres, un qui croit encore en la littérature

tu décris ça toutafé comme une niche marketting comme une autre lassouline..une qui demande qu’a être occupée..y’en a des qui vont a néchin chez poutine et pisse dans les avions d’otes qui se donnent des airs de snipeur looké noir façon critiques d’art contemporain..qui vante le masskilleur comme un héro de manifess d’art d’avant garde..hach..carrière

Mme Michu dit: à

Bon ben alors on dira qu’elle est lourde et pèse comme les tables de la loi la fiche cuisine, alors ho la main… Have a nice day bonkers !

la tête à toto dit: à

Le corps de Depardieu est un corps en suicide, par la consommation de bouffe et d’alcool. C’est un corps qui se dilue violemment dans le spectacle, que le spectacle ronge directement… En faire une métaphore de la France, pourquoi pas ? Mais de la résistance, non !

acm7 dit: à

La main c’est celle qui serre ou celle qu’on prend,
pas celle qui tient ou qui amène.
Se l’être laissée crever les autres là leur.

Thèse, antithèse, synthèse. Vous avez vu ça comme je travaille du chapeau?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tient,…pourquoi le kicking avant Mme Michou, à disparu,!…
…avec son,… » high light « ,…
…foot-campus ou quoi,!…Mystères,!…etc,!…

Rigolo dit: à

10 h 43 : la raclure… que vous disais-je, il radote le pépère, il radote… comme JC qui radote aussi, on est servis

ueda dit: à

Préfères-tu bouffer du sanglier Gérard ou du cochonou François?

Je n’aimerais pas que la vie politique me rende végétarien.
Seigneur qui n’aimiez pas (avant Paul) ces bêtes à sabot fendu, aidez-moi à arriver un jour à bon porc.
(Cet à-peu-près est parfaitement consternant).

ueda dit: à

bouguereau dit: 20 septembre 2014 à 10 h 40 min
aristote en fait tout un gros fromage « la pensée et la main etc »…

Eins zwei
Das Denken… Es ist jedenfalls ein Hand-Werk.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 20 septembre 2014 à 10 h 53 min

boumou, t’es vraiment une daube.
Depardieu, c’est un grand style, semblable à celui d’un grand écrivain.
Que vient foutre le marketing là-dedans?
Raisonnement de minable débile, de tachon.

ueda dit: à

ueda dit: 20 septembre 2014 à 11 h 34 min
(Cet à-peu-près est parfaitement consternant).

Il est d’autant plus consternant qu’il a oublié de relire les interdits du Lévitique.
Un café!

ueda dit: à

Chaloux dit: 20 septembre 2014 à 11 h 43 min
archet du pianiste, masterclass de Cortot.

Ouaouh!
You made my day.

Daaphnée dit: à

Bon, après la débine Houellebecq,
les trois remarquables refroidies,
un Millet engorgé ?

Quelle rentrée !

Jacques Barozzi dit: à

Un Depardieu pétomane
Un Hollande dépressif
Un Sarko sur le retour
Bonour la France, Daaphnée !

Jacques Barozzi dit: à

Bonjour, pardon !

Michel Odiard dit: à

bouguereau, JC, c’est à ça qu’on les reconnait

ueda dit: à

Jacques Barozzi dit: 20 septembre 2014 à 12 h 06 min
Bonjour, pardon !

Bonour, c’était un salut de sans-dents.

ueda dit: à

« Quelle rentrée ! »

Voyons les choses du bon côté, Daaphnée.

Le billetiste est un bon groin, s’il est des truffes, il en trouvera bien quelques unes.

Jacques Barozzi dit: à

Twit twit : les dames du prix Femina boycottent l’hôtel Meurice !

« La décision a été prise à l’unanimité des douze membres. Pour l’écrivain et animatrice de radio Paula Jacques, présidente en exercice du jury, « un prix de femmes ne peut pas trouver ce choix anecdotique », a-t-elle expliqué. C’est pourquoi « après les déclarations du sultan de Brunei, propriétaire de l’hôtel Meurice, qui réclame pour ses sujets le rétablissement de la charia, le jury Femina, abandonnant le Meurice, a décidé de revenir pour décerner ses prix au Cercle Interallié », ont écrit les jurées dans un communiqué. »

Jacques Barozzi dit: à

Demandez la liste du Femina !

Treize romans français :
Yves Bichet, L’homme qui marche (Mercure de France)
Gérard de Cortanze, L’an prochain à Grenade (Albin Michel)
Julia Deck, Le triangle d’hiver (Minuit)
Isabelle Desesquelles, Les hommes meurent, les femmes vieillissent (Belfond)
Claudie Hunzinger, La langue des oiseaux (Grasset)
Fabienne Jacob, Mon âge (Gallimard)
Marie-Hélène Lafon, Joseph (Buchet-Chastel)
Yanick Lahens, Bain de lune (Sabine Wespieser)
Luc Lang, L’autoroute (Stock)
Laurent Mauvignier, Autour du monde (Minuit)
Antoine Volodine, Terminus radieux (Seuil)
Eric Vuillard, Tristesse de la terre (Actes Sud)
Valérie Zenatti, Jacob, Jacob (L’Olivier)

Quatorze romans étrangers :
John Banville, La lumière des étoiles mortes (Robert Laffont)
Sebastian Barry, L’homme provisoire (Joëlle Losfeld)
Lily Brett, Lola Benski (La Grande Ourse)
Jennifer Clement, Prière pour celles qui furent volées (Flammarion)
Charles Frazier, A l’orée de la nuit (Grasset)
Drago Jancar, Cette nuit je l’ai vue (Phébus)
Nell Leyshon, La couleur du lait (Phébus)
Claire Messud, La femme d’en haut (Gallimard)
Philipp Meyer, Le fils (Albin Michel)
Leonardo Padura, Hérétiques (Métailié)
James Salter, Et rien d’autre (L’Olivier)
Taiye Selasi, Le ravissement des innocents (Gallimard)
Zeruya Shalev, Ce qui reste de nos vies (Gallimard)
Juan Gabriel Vasquez, Les réputations (Seuil)

Jacques Barozzi dit: à

Bonour c’était au bonheur de la France, ueda !

Jacques Barozzi dit: à

La française des jurés c’est comme la française des jeux ?

Chaloux dit: à

Barrozzi, ça suffit, pauvre diable!

Jacques Barozzi dit: à

Liste Renaudot, Chaloux !

– Adrien Bosc: Constellation (Stock).
– Geneviève Brisac: Dans les yeux des autres (l’Olivier).
– Kamel Daoud: Meursault, contre-enquête (Actes Sud).
– Clara Dupont-Monod: Le roi disait que j’étais le diable (Grasset).
– Christophe Donner: Quiconque exerce ce métier stupide mérite tout ce qui lui arrive (Grasset).
– Dominique Fabre: Photos volées (L’Olivier).
– Frederika Amalia Finkelstein: L’Oubli (L’Arpenteur).
– David Foenkinos: Charlotte (Gallimard).
– Dalibor Frioux: Incident voyageurs (Seuil).
– Marie-Hélène Lafon: Joseph (Buchet Chastel).
– Pierre-Yves Leprince: Les enquêtes de Monsieur Proust (Gallimard).
– Laurent Mauvignier: Autour du monde (Minuit).
– Gilles Martin-Chauffier: La Femme qui dit non (Grasset).
– Jean-Marc Moura: La Musique des illusions (Albin Michel).
– Amélie Nothomb: Pétronille (Albin Michel).
– Eric Reinhardt: L’Amour et les forêts (Gallimard).
– Lydie Salvayre: Pas pleurer (Seuil).

Et pour la catégorie Essais, créée en 2001, six auteurs ont été retenus:
– Christian Authier: De chez nous (Stock),
– Bénédicte Martin: La Femme (Les Equateurs),
– Mona Ozouf : Jules Ferry (Gallimard).
– Gilles Perrault: Dictionnaire amoureux de la Résistance (Plon).
– Jean-Claude Perrier: Comme des barbares en Inde (Fayard).
– Paul Veyne: Et dans l’éternité je ne m’ennuierai pas (Albin Michel).

la tête à toto dit: à

La personne visée ici se reconnaîtra facilement…

« C’est mon sacerdoce, dit-il, et malgré cette douleur toujours plus vive aux articulations de l’épaule et du coude, il continue à bénir l’eau qui sort à jet continu du robinet de la fontaine publique. » (Chevillard)

Jacques Barozzi dit: à

Un seul « r » et deux « z », Chaloux.
Dites-vous que j’ai un air de(ux) zèbres !

...;...;...; dit: à

Paula Jacques, en voilà une qui se rebiffe !

Chaloux dit: à

Barozzi, excusez-moi d’avoir écorché votre nom. A force d’écorcher boumou, j’écorche tout…

Michel Odiard dit: à

les prix Goncourt, Femina et Renaudot réunis pour le Prix des Supertarés de l’année attribué à l’unanimité à :
PÉPÈRE BOUGUEREAU et JC dit La Fripouille ouille ouille
avec nos compliments

Phil dit: à

La charia à l’hôtel meurice. sapré sultan. c’est pas von choltitz qui aurait toléré pareille plaisanterie.
Dali y fichait des pâquerettes dans les braguettes des grooms: « c’est poul que tout lmonde y voit qué vouzézétes joli ».
history on ze move again. du grain à moudre pour le millet. hutchinson, fabricant de tracteurs. hurk

ueda dit: à

Jacques Barozzi dit: 20 septembre 2014 à 12 h 13 min
Twit twit : les dames du prix Femina boycottent l’hôtel Meurice !

Va-t-on les accuser d’être milletistes?

Chaloux dit: à

boumou devrait plutôt recevoir le prix du raté cafouilleux qui supporte pas le talent des autres.

Jacques Barozzi dit: à

Et Pauline Carton habitait à l’année au Meurice, Phil !

Je me demande si Passou ne serait pas un peu raciste ?

« Le Quatar a des ennuis avec les clients de la librairie Delamain et le sultan de Brunei avec les jurées Femina »

ueda dit: à

Chaloux, je suis tranquillou, mentalement allongé sur un transat, et je constate que c’est vous qui aujourd’hui allez chercher bouguereau, cet homme sensible et foncièrement bon!

Parlez nous de Cortot!

acm7 dit: à

Il va s’épanouir autrement

bouguereau dit: à

Seigneur qui n’aimiez pas (avant Paul) ces bêtes à sabot fendu

qu’est ce que tu calçonnes encore par toutatis

Jacques Barozzi dit: à

On dirait que Chaloux ne peut exister qu’en étant contre, ueda : hier, Jambon, aujourd’hui le boug !

la tête à toto dit: à

Le George-V avait été racheté par des émirs. Du coup, ils avaient tout refait la décoration. J’y avais été, et j’avais trouvé ça d’un kitsch insupportable, vraiment lourd. On se serait cru dans une villa de nouveau riche en Arabie Séoudite ! En plus, le jeune barman ne savait pas servir le whisky : il n’en mettait pas assez ! Alors oui, solidarité avec Paula Jacque !

Jacques Barozzi dit: à

Dans la note précédente, la tête à toto dit :

« Son soi-disant « feuilleton » est toujours bâti de la même manière, indéfectiblement : une vague introduction générale (toujours un peu trop délayée) et tac ! on entre dans le vif du sujet. C’est toujours un peu laborieux, on sent qu’il ne dit pas vraiment ce qu’il pense (au « Monde », ce sont des censeurs-nés). La conclusion arrive sans qu’on s’en aperçoive, c’est déjà terminé. Voilà, c’était le fameux feuilleton ! La suite, vendredi prochain, si on est encore en vie. »

Je croyais qu’il parlait de Passou, en fait il s’agissait de Chevillard !

bouguereau dit: à

du sanglier Gérard ou du cochonou François?

pas mal mais la bête rousse ça s’élève aussi trés bien aussi zouzou..ça a un rendement de carcasse bien moindre, c’est tout

la tête à toto dit: à

Oui, Barozzi, hier soir c’était de Chevillard dont je parlais, bien sûr.

Jacques Barozzi dit: à

Pourtant ça colle bien avec la note ci-dessus, toto !

bouguereau dit: à

bouguereau, cet homme sensible et foncièrement bon!

foncièremement..ça fait gros propriétaire dirait lino ventura

ueda dit: à

Jacques Barozzi dit: 20 septembre 2014 à 12 h 32 min
Je me demande si Passou ne serait pas un peu raciste ?

Le racisme s’il existe (il ne s’agit ici que de fric et de pouvoir) devrait toujours s’entendre dans ses deux dimensions, négative mais aussi positive (la « race » est cette petite différence que mon désir a choisi d’érotiser).
Incluons pour voir, dans le « racisme », le choix réfléchi des partenaires sexuels. Cette infime modification suffit à ouvrir une perspective intéressante, et un peu plus riante.

Chaloux dit: à

Cher Ueda, je comprends votre émotion. En effet, je charge le premier, une fois n’est pas coutume (ceci manque à votre phrase)… Et croyez-moi ou non, je suis aussi un être « foncièrement bon ».
Néanmoins, comment passer sans souligner la bêtise jalouse du propos de boumou? L’a qu’à pas me tenter.
Depardieu, c’est un miracle, un Racine comédien, un très grand style, avec plein de faux-pas, peut-être, mais tout de même un très grand bonhomme.

boumou ne sait pas qu’il y a un degré de talent (de génie, tiens, Barozzi, j’emploie, le mot) qu’on respecte. il a besoin qu’on le lui dise.
C’est dit.

la tête à toto dit: à

Chevillard, et c’est le meilleur de son blog, n’hésite pas à divulguer les bons mots de ses deux filles, qui ressemblent à des twitts pleins de fraîcheur. Et on ne lui dit rien, à lui ! Il n’est pas attaqué par des féministes hystériques !

Jacques Barozzi dit: à

 » le choix réfléchi des partenaires sexuels »

L’émir du Qatar et le sultan de Brunei, ueda !

Jacques Barozzi dit: à

Daaphnée va pouvoir exécuter sa danse des sept voiles ?

la tête à toto dit: à

« Pourtant ça colle bien avec la note ci-dessus, toto ! »

Bien sûr. Mais Chevillard est, davantage qu’Assouline, passé maître dans la production de ces sortes de papiers ni faits ni à faire. Chevillard vit un calvaire, au « Monde ». Notre Passou a plus de liberté : quand il en a marre et qu’il veut bâcler, il bâcle. Personne ne lui dit rien. Ni vu ni connu !

Chaloux dit: à

Jambon, je pense que c’est vous, Barozzi. Je vous ai répondu, sans plus. Comment voulez-vous qu’on soit « contre » vous? Pas possible.

casoaràcasque dit: à

Qui sait, Théognis de Mégare en son temps avait peut-être lui aussi, un Gérard Depardieu.

Sinon, Jacques, je suis très étonné et offusqué de ne pas trouver le roman de trierweiler dans la liste pour le prix Femina.
Décidément, il n’y a plus de respect.

JC..... dit: à

« Twit twit : les dames du prix Femina boycottent l’hôtel Meurice ! »

Ces connes agissent ainsi parce qu’il y a des cameras et des micros ! Eteignez les media, vous retrouverez des poissonnières littéraires ….humanistes !

bouguereau dit: à

quand il en a marre et qu’il veut bâcler, il bâcle. Personne ne lui dit rien.

dire..mais la main de dieu qu’est ce t’en fais tête à toto ?

Chaloux dit: à

« Plaignons ceux qui vieillissent,/Pleurons l’humaine vie et ses courtes délices,/Et la jeunesse, hélas qu’un rien fait défleurir./Vieillir, mon cher Cyrnus, est plus dur que mourir ».

JC..... dit: à

« dire..mais la main de dieu qu’est ce t’en fais tête à toto ? »

Mets là dans la culotte de l’imam Khamenei, du Pape Trois Points, de la concierge du Sénat, mais je t’en supplie : improvise un geste noble et audacieux !

ueda dit: à

Cette différence érotique peut évidemment emprunter le vocabulaire « racial », mais son intérêt est de foutre en l’air la brutalité stupide du « racisme » politique.

Les facteurs somatiques (grain de la peau, couleur du poil) ne se séparent pas de traits qui sont déjà psychiques (timbre de la voix, body language…).
Naturellement tout choix positif implique que certaines alternatives sont ignorées ou rejetées, mais vous remarquerez la discrétion lorsqu’il s’agit de parler de ce qu’on n’aime pas: on se tait, et on a sans doute raison.

C’est égal, la différence érotique a le mérite de travailler en deçà ou au-delà des grosses collectivités dont l’idéologie nous accable (les Noirs, les Japs, les…): réfléchissez donc sur l’amour des rousses, l’amour des rondes… Avec naturellement un oeil sur les effets pervers dès qu’on passe du niveau individuel, seul pertinent, au niveau collectif, qui est atroce (mauvaises blagues sur la sottise des « blondes », etc.)

Tu viens me faire la leçon sur mon « racisme »?
Pourquoi pas, frère, on examinera ensuite le tien, qui n’est pas forcément meilleur.
Mais pour éviter l’ennui et l’accablement que suscitent inévitablement les gros animaux conceptuels, parle moi d’abord de ton érotique.

bouguereau dit: à

Mais outre sa haine viscérale de la bourgeoisie, sur laquelle il aurait dû insister,

bof lassouline..un ami ami objectivement trés utile..un excoco..et qui trouve qu’il ne gagne pas tant que ça et qui paie tant d’impot..du nanan lassouline..qu’il nous hahisse tant et tant ce génial benet, ça met les gens en double binde et triple sous ventrière à se serrer! de la haine comme celle là..du nanan! candybar dirait vontraube

bouguereau dit: à

réfléchissez donc sur l’amour des rousses, l’amour des rondes…

et des milf et du mirobolant « interracial » mon cochon..

ueda dit: à

Notre époque aime tellement les sujets glauques (on dit: « féroce et tendre ») qu’on peut facilement imaginer le récit des amours d’un amant alzheimerien et de sa copine attentionnée.

« Il a l’esprit tellement confus, embrouillé, enivré, embrumé, qu’il faut lui montrer chacune des positions sur des post-it collés à chaque endroit du corps, et qu’il se fait souffler dialogues et mouvements dans une oreillette par sa partenaire qui le dirige depuis ses seins ».

Comment qu’on dit? « Courageux ».

renato dit: à

« Le seul Français non réductible au devenir yankee du monde, à l’indifférenciation générale, à l’anonyme douleur de l’individu ».

Une petite connerie pour la route ?

rose dit: à

ueda dit: 20 septembre 2014 à 12 h 11 min
pas avant début décembre ueda deux mois et demi à patienter

rose dit: à

>jacques barozzi (merci pour le moyen mnémotechnique des 2 zèbres)
Carrère parle ds Le Royaume du Récit d’un pèlerin russe.

Lorsque je vous en avais donné qq extraits ici même, vous m’aviez dit comme c chiant. J’en avais été qq. peu blessée. Mais Emmanuel Carrère en parle comme d’un grd livre mystique. Cela me fait bien plaisir. Et je me sens un peu réhabilitée (ahhhhhhhhhhhhhh, comme c bon).

Ai dépassé p. 200; fissa, le Reinhardt attend.

rose dit: à

>Emmanuel Carrère : j’ai trop ri
que fait Nathanaël sous le figuier ?
Il mange des figues eh pardi ! C’est la fin de l’été.
Se masturber sous un figuier alors qu’il porte des figues, drôlatique !

rose dit: à

Je suis avec Paul de Tarse et Luc le macédonien, Guillaume m’attendra et c comme ça. Reprends du tajine aux pruneaux en attendant.
Zut
Gérard.
Catastrophe de clavier à lapsus clavii.

Mme Michu dit: à

Les post-it sur la vitrine c’est pour faire pudique ?

rose dit: à

J’aime bcp JC.
renato salut à vous

Millepardieu dit: à

ce que Millet entend par « romancier postlittéraire » Jacques B.

Comme postmoderne?

Millepardieu dit: à

Se masturber sous un figuier alors qu’il porte des figues

Figa en Italien, Rose, miam miam!

Jacques Barozzi dit: à

Guillaume, c’est le fils que l’ogre Gérard a dévoré, rose, comme Hugo ses enfants !

Mme Michu dit: à

Mettre des mouches dans la vitrine alors qu’on passe son temps à gaver des abrutis qui ne changeront jamais est-ce bien la peine ou est-ce la planque ? Nanmého voilà tout ce que je vous demande.

Mme Michu dit: à

Je suis à l’arrêt des transports publics en allant faire mes courses. Du temps à perdre pour vous faire un TL de la discussion en cours dans la boucherie voisine (c’est un pays où les vrais gens parlent fort). Madame Lafausse, trimeuse chez Vénus Crottée tente de négocier avec Monsieur Sotmur, poissonnier recyclé dans la viande rouge:

– c’est un pavé de beauf là ?
– non c’est du paté de tique ma bonne dame
– ça se mange froid ?
– vous pouvez le cuisiner au gaz
– j’ai une cuisinière électrique moi
– oh mais le gaz est inclus, y’en a même pour flamber
– ça se bouffe cramé quoi
– vous en voulez ?
– non merci j’ai déjà les dents noircies par la mort
– mais prenez donc du carré de veau alors
– ce truc là ? mais on dirait une saucisse à pattes
– pourquoi ondulez vous ainsi ma pauvre dame ?
– c’est mon saturnisme, ça me fait faire du hou la houppe
– c’est moche
– ça oui
– alors rien
– pas de faux dur pour mon chat ?
– si vous n’achetez rien vous n’en aurez pas
– c’est du chantage alors
– oui
– c’est pas du joli joli
– non c’est du hâle hâle

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…nouveaux stratagèmes,…à porter des techniques militaires,!…

…faut pas en être  » génie « , pour çà ira,!…

…simplement connaître le sens du vent sur le terrain,!…et avec la chimie bienfaitrice,…
…des séries de bombes chimiques pour endormir les adversaires  » armes en mains « ,!…

…& des troupes  » héliporter « ,…pour désarmer les adversaires,!…pieds & poings liés,!…
… » sans effusions de sang « ,!…

…l’imagination,…aux gaz’Ah,!,…réhabilités,!…

…encore un effort, les Dieux à deux  » Baal’s « , Sado-Maso,!…
…à la cueillettes des cerises rebelles,!…
…stratégie,…la force et la générosité pour l’adversaire à reconvertir au progrès,!…

…non,!…pas de gaz,!…moutarde,!…
…allez, nos savants à deux  » Baal’s « ,…
…vous ne voulez pas que j’me mette à la réinvention des gaz en médecine,!…plus concentrées,!…en dispersions,!…
…les drones, déjà hors-jeux,!…
…à la pointe du génie, le profit d’honorer les vivants,!…bons pour  » psy’s à religions obsolètes,!…
…Stalag 13,…Irack à cour d’Idées,!…prenez-les vivants,!…et non morts ou vifs,!…
…y voir le cinéma d(endoctrinnement abrutis,!…

…Génie un jour, génie toujours,!…c’est gratuit,!…des aux Lucres & Haines &Luxes en Bourre des €uros,!…à la crème loobying’s,!…
…Ah,!Ah,!Bip,!Bip,!…etc,!…
…Vive l’Ecosse indépendante,!…les autochtones majoritaires,!…pour le Oui,!…à l’indépendance,!…Nà,!…
…Echecs et Mat,!…sur l’échiquier,!…Co,!…

Widergänger dit: à

Nier qu’il y ait une vérité de la syntaxe française n’est pas très sérieux. Bien sûr qu’il y a une vérité de la syntaxe française.

Le problème c’est quelle vérité ? Celle de Marivaux ou celle de Céline ? La légèreté à la française ou l’emportement picaresque à la française ? Bien difficile de se prononcer.

Richard Millet s’insurge. On a besoin d’un homme en colère comme lui dans cette époque d’imbéciles heureux. Bon, c’est très bien. Mai pourquoi un pamphlet et pas un roman ? Question moins anodine qu’il n’y paraît. Il semble bien que le roman ne soit plus capable de mettre en œuvre toute la fascinante problématique de Richard Millet.

C’est bien dommage ! En ce sens, le pamphlet est lui-même une expression de la décadence de la littérature qui ne parvient plus à prendre en charge la complexité du monde dans une œuvre ouverte. Un pamphlet, quoi qu’on dise, reste une œuvre fermée, qui n’atteindra jamais la beauté infini du roman où on peut dire et suggérer mille fois mieux et avec les ressorts fascinants de l’imagination ce que dit Richard Millet dans ses pamphlet.

Quel grand roman eût été un roman de Richard Millet qui nous donnerait à ressentir et à vivre de l’intérieur le drame de notre époque. Il donne envie de l’écrire.

acm7 dit: à

merde, l’heure du saumon est arrivée

Jean-Gérard dit: à

Mais que cela ne nous dispense pas de voir derrière la recherche de cette pureté la quête illusoire d’une introuvable pureté de la race.

Si Mme le Pen arrive au pouvoir, elle devrait en effet trouver en Richard Millet un ministre de l’identité nationale taillé sur mesure. La paranoïa réactionnaire du personnage est insurpassable; c’est depuis longtemps sa spécialité. Que Richard Millet ait l’étoffe d’un écrivain, il suffit de lire quelques pages de l’intéressé pour s’en convaincre. Mais tout de même, un écrivain se définit aussi par ce qu’il dit, pas seulement par la manière de le dire ; or Millet, de livre en livre, aligne les conneries, les énormités, les outrances intenables. Laudator temporis acti ? Encore faudrait-il que les temps dont il a la nostalgie aient jamais existé. Au fond, la vraie tonalité de ses livres, c’est le comique involontaire. Comme pitre idéologique, il n’a pas son équivalent. Et s’il n’en reste qu’un… Curieux qu’aucun dessinateur n’ait songé à faire de ses livres des BD du genre délirant. L’avenir de la France et de l’Europe par un dessinateur genre Bilal avec des textes de Millet, ça devrait donner. Millet dit par Depardieu ? Le gros lard pourrait y trouver l’occasion de relancer une carrière passablement essoufflée. Je le vois bien au fond de l’arrière-salle d’un caboulot du côté de Charleroi, débitant du Millet devant un quarteron d’antiques rexistes belges.

Sergio dit: à

Une Münch Mammouth ! Ha c’est beau…

JC..... dit: à

« Comme pitre idéologique, il n’a pas son équivalent. »

Ceci étant dit, avec le sérieux qu’il convient, on est vite le pitre idéologique de quelqu’un, mon cher …!

Jean Gérard, en toute franchise, à mes yeux dessillés, vous le valez largement, le Millet, côté pitre idéologique !

Jacques Barozzi dit: à

« Il donne envie de l’écrire »

Vous auriez pu ensuite le traduire en allemand !

Jacques Barozzi dit: à

Si Millet écrit des pamphlets de frustré, c’est probablement à cause de son incapacité à écrire un beau roman, ML ?

Jacques Barozzi dit: à

Idem pour Renaud Camus, dirait Phil !

Chaloux dit: à

On dirait que Barozzi ne peut exister qu’en étant contre, ueda : hier, Chaloux, aujourd’hui ML !

Hurkhurkhurk!

Jacques Barozzi dit: à

Tout contre, alors, Chaloux !

JC..... dit: à

Enfin, Jacques, l’ami Mimillet n’écrit pas des « pamphlets de frustrés » ! Il écrit des pamphlets que l’on écrit lorsqu’on est en colère…

Et il y a de quoi ne pas être satisfait de ces quarante dernières années …

Chaloux dit: à

Pas trop près, Jacquot, SVP!

Chaloux dit: à

Ou je vais déposer…une main courante…

Jacques Barozzi dit: à

Seul Dieu a le droit d’être en colère, JC. Millet comme ML et D. savent bien dans le fond qu’ils ne sont pas divins, d’où leur énorme frustration !

Jacques Barozzi dit: à

Chez ueda j’y ai trouvé à peine de quoi faire tousser l’Asie…

Chaloux dit: à

Je m’aperçois que j’ai oublié de dire à Ueda combien j’admire (malgré un point de vue différent, Ô combien, sur la question) son action en faveur du pépé phoque.
C’est un peu le Bardot de ce blog…

Jacques Barozzi dit: à

D’où l’énorme frustration de la madonne Daaphnée ?

Crénom de dieu! dit: à

Jean-Gérard avoue ta face de socialo-rance!

Chaloux dit: à

Cauchemar!

acm7 dit: à

J’ai pour moi d’utiliser sfr et un navigateur, après c’est vrai qu’autant d’efforts mènent à un tel résultat.

Millepardieu dit: à

Depardiou, c’est la journée du patrimoine…

Jacques Barozzi dit: à

Joli, Chaloux, vous oubliez de rajouter les sales youpins, les nègres et les bougnouls !
Main courante, avez-vous dis, avant de prendre lâchement la fuite !

Michelle Haudiard dit: à

ce bouguereau, vieux débris radoteur, me semble être le fils naturel de jean-Pierre Foucot et de Mademoiselle de Fontenailles tant a culture est de bas niveau de caniveau, contine mon loupiot t’as de l’avenir à Médranot

Chaloux dit: à

Barozzi, je plaisante, -bêtement peut-être-.
Notez tout de même, qu’étant donnée la situation par vous décrite, c’est encore mon droit de me sauver!

Sergio dit: à

Jacques Barozzi dit: 20 septembre 2014 à 15 h 46 min
bougnouls !

Hon le trouve avec un E. J’ai pas trop d’idée, mais pour la vibration du L. ça change tout… La release c’est le plus important c’est comme une sortie au théâtre…

JC..... dit: à

Passou,
Ces mains courantes dans la culotte de Chaloux sont le témoignage de la dérive de Barozzi, emporté par ses rêves orientalistes exacerbés … Que l’on soumette nos audacieux sodomites au feu de l’Enfer ! Dieu nous garde de telles pratiques ! Où on va, là ? Où on va ?….

Chaloux dit: à

Jacquot, vous pouvez chercher de ma part depuis que je poste ici un seul propos antisémite, raciste ou anti-gay, vous trouverez pas.

Chaloux dit: à

Pourtant, JC, je vous l’assure, ELLE N’Y ÉTAIT PAS !

Sergio dit: à

Mouais… Hune Münch Mammouth ça peut pas se lâcher ça guidonne immédiatement c’est trop puissant…

JC..... dit: à

Dans votre situation, Chaloux, je nierai moi aussi « les yeux dans les yeux » …

Chaloux dit: à

JC, ma situation vous dit merde!

acm7 dit: à

« J’ai trouvé Villepin sec » (p. 32)

Sergio dit: à

Chaloux dit: 20 septembre 2014 à 15 h 57 min
anti-gay

Ha oui c’est embêtant c’est pas une race c’est pas une religion donc finalement on peut pas être contre, sauf peut-être au sens professé par Sacha Guitry…

JC..... dit: à

Chaloux dit: 20 septembre 2014 à 16 h 01 min
« JC, ma situation vous dit merde! »

Finalement, c’est ce que j’aime chez les gens cultivés : cette liberté d’expression, riche de sens !

Chaloux dit: à

Sergio, « juif » non plus n’est pas une race.

JC, ça me rappelle « La-Haut », ce petit chef d’oeuvre que vous connaissez sans doute.

– Je passe ma main dans mes cheveux.
– Et moi, je la passe ou je peux.

Chaloux dit: à

D’ailleurs n’ai-je pas appris qu’il n’existe qu’une seule race humaine?

acm7 dit: à

Nous prenons tous stup

acm7 dit: à

Nous prenons tous stupeur, hola !

ueda dit: à

Jacques, dans ma dignité, je ne vous dirai rien.

Notez que sur nos frères d’Asie, vous auriez manqué d’arguments pour vous opposer à leur différence s’ils voulaient organiser une Small Penis Pride.

Le racisme anti-p’tite bite, ne pouvant se fonder que sur des témoignages intimes, se prête sans doute moins à devenir un discours public.
Et le cliché peut se dissiper, le temps de consulter une estampe de Hokusai!

http://1000ya.isis.ne.jp/file_path/s1138-06-g07.jpg

Sergio dit: à

Chaloux dit: 20 septembre 2014 à 16 h 13 min
D’ailleurs n’ai-je pas appris qu’il n’existe qu’une seule race humaine?

Bien sûr. Et alors Paul Morand, encore lui, prédisait dans l’un de ses romans, je ne sais plus lequel, celui qui commence vers Port-au-prince, qu’un jour il n’y aurait plus qu’une sorte d’apparence humaine, une sorte de métis un peu café-au-lait, et de fait relativement séduisant.

JC..... dit: à

Passou,
Les estampes mises en ligne régulièrement par le camarade ueda sont le témoignage de sa dérive pénienne, et de ses ambitions démesurées. Ma grande sœur s’est mise à pleurer en détaillant la dernière … et je la comprend : elle est carmélite.

Qu’on arrête cet asiatique surdimensionné ! Que l’on brule cet Hokusai !!! On laisse tomber Millet ? Depardieu ? Où on va, là ? Où on va ?…

keupu et quelques autres dit: à

Communiqué. Lorsque bouguereau radote à l’envi « allez tous vous faire enculer », soyons indulgent, n’allons pas tous enculer ce bouguereau qui, comme tous les vieux débris de son espèce, ne rechigne pas à ce plaisir divin

D. dit: à

Jacques, je suis Dieu, mais Mimi est D.ieu
Bref, je suis D., lequel des deux est le plus divin ?

ueda dit: à

Camarade JC, ta soeur serait sans doute rassérénée par l’atmosphère bon enfant qui règne au Musée sexuel (Hihôkan) de Beppu, non loin de Tokyo.

Des vitrines présentent aux familles japonaises des spectacles éducatifs.

Par exemple, que répondre quand Bébé demande ce que Blanche Neige peut bien faire l’hiver avec ses sept nains?
(Je sais, on ne sait jamais avec eux où commence le deuxième degré…)

http://underzero.net/graph/tz500/tz_503_021.jpg

ueda dit: à

Devant les posts de cette République, il convient de respecter les préceptes énoncés par cet excellent Musée:

一. 一人の思考より
1. Think of others before yourself.

二. 不義理の心捨て
2. Get rid of dishonest thoughts.

三. 見つめる気持ち
3. Enjoy the feeling of just watching.

四. 善し悪し一つに総め
4. Unite the good and the bad.

五. 常つもスマイル感謝の心
5. Always greet with kindness and a smile.

Ça, c’est pour attester du caractère familial des visites, qu’on ne me prenne pas pour un mythomane:
http://blogs.c.yimg.jp/res/blog-ea-06/ryp565/folder/558113/00/9230100/img_2?1124503551

Prochain show: Gérard à poil dans une vitrine.

JC..... dit: à

Ma sœur, carmélite qui vient de rompre à l’instant ses vœux après la vision magnifique de l’estampe d’Hokusai, me posait une question pratique. Elle apprend vite… :

« Blanche Neige, elle est calée définitivement sur 7 nains ou elle peut monter jusqu’à combien ? »

Il n’y a plus de religion…

Chaloux dit: à

keupu et quelques autres dit: 20 septembre 2014 à 16 h 50 min
ce plaisir divin

Ah bon.

JC dit: à

五. 常つもスマイル感謝の心
5. Always greet with kindness and a smile.

Moi, JC, c’est un peu ce qui me guide dans la vie.

keupu et quelques autres dit: à

oui Chaloux, ce plaisir divin pour les vieux débris, demandez donc à l’impétrant

bouguereau dit: à

c’est le propre des musée d’érotisme zouzou..on a beau faire et beau dire c’est jamais des musées de cochonsté..tout n’y es pas minab pourtant..peut être que le cul c’est bien plus que l’humour..pas avec tout l’monde ou quelquechose comme ça..d’ou le rappel des formes sociales..trés chiant

bouguereau dit: à

enfin pour ceux que j’ai vu..je n’en rate aucun quand je me ballade autant que je le peux..comme de visiter les synagogues..pas facile

bouguereau dit: à

dans la catégorie culcute

voilà c’est culcute..faut déposer déposer lassouline

bérénice dit: à

oui Chaloux, ce plaisir divin pour les vieux débris, demandez donc à l’impétrant

Je n’ai pas tout suivi du débat qui occupe, vouliez-vous dire impénétrant?

Jean-Gérard dit: à

Si Millet écrit des pamphlets de frustré, c’est probablement à cause de son incapacité à écrire un beau roman, ML ? (Jacques Barozzi)

Mais lorsqu’on empèse la réalité dans des généralités aussi simplistes et aussi dépourvues de fondement, lorsqu’on sacrifie à ce point la complexité du réel à d’aussi misérables abstractions dé-réalisantes, peut-on y trouver encore une quelconque matière romanesque ? Millet n’a cessé de s’éloigner de la vocation romanesque qui était –je crois — celle de ses débuts, pour lui substituer une carrière de pseudo-pamphlétaire : pseudo-pamphlétaire parce que l’authentique pamphlétaire vise le réel, alors que les ouvrages de Millet ne font que débiter le catalogue de ses obsessions, sans jamais se soucier vraiment si le réel les vérifie. Il y a dans son ressassement quelque chose de pathétique, sans doute même de pathologique. « Pamphlets de frustré » : Barozzi a touché juste.

Polémikoeur. dit: à

Est-ce que cet acteur démesuré
ne prendrait pas, maintenant,
au contraire, pour lui, sur lui,
toute la lumière au lieu,
sinon d’en déverser,
d’en restituer
une partie ?
Bref, tout ça ne sent-il pas le fossile ?
Jusqu’au type de moto exhumé dans un film
qui sert ici d’illustration, qui est
l’exemple même de l’impasse évolutionniste !
Vestigieusement.

kicking dit: à

tango de l’impasse.. tu serais marrante toi si t’étais pas déprimante sans possibilité d’évoluer ? on se demande..

Jean-Gérard dit: à

 » Pamphlets de frustré  » (jacques Barozzi)

Non seulement les textes de Millet nous frustrent du réel, mais ils sont une insulte permanente au foisonnement multiforme de la vie. Comment pourrait-il tirer une quelconque amplification romanesque d’une vision aussi appauvrissante, aussi désespérante, de la réalité de la vie sociale. Est-ce qu’il arrive à Millet de rencontrer les gens réels, dans la vraie vie ? « le Monde » a récemment publié un entretien avec Jean-Marie Le Clézio : sa vision de la réalité sociale est aux antipodes de celle de Millet, elle en constitue véritablement l’antidote. Antidote, parce que la vision de Millet, non seulement est désespérée, mais elle est profondément mortifère.

évidence dit: à

La vraie vie est sociale ? Au secours !!!

Edouard dit: à

Bon papier inspire d Assouline. Depardieu/Millet, je suis curieux de voir quel traitement le Cassandre des lettres, decu de l identite malheureuse, contempteur infatigable des relachements tous azimuts aura reserve a l ogre, au Falstaff epuise ayant accouche de ses propres mains ses freres et soeurs, ad vitam aeternam endeuille d un fils aussi genial, plombe,decadent que lui, inconsolable, confiant a son propos qu il n est  » qu une grosse merde » et surement le pensant, tout a la fois qu il en joue? Le parallele avec l etat d une societe et d une vie culturelle francaise grangenees de facilites, de demagogie, plongees par la meme dans une tragedie inexorable a venir n est pas idiot. Millet lui-meme est loin de l etre, et il a pu m arriver de tendre plus l oreille a ses propos, meme si je ne les partage en rien ou leme les combats, qu a des balivernes inodores et incolores, juste bien troussees pour faire joli, en ne derangeant personne tout en ayant l air de mettre tout en l air. La bien pensance uniforme, totalitaire et con des bobos de salon valant a peine mieux a mes yeux que les enormes conneries pathetiques debitees par de petits fachos aigris que nul n a encore eu l idee d extirper en commencant par y preter oreille, pour voir d ou ca vient et comment le resoudre.
Je ne peux qu ajouter foi a ce que disait Widerganger la-dessus il y a qq jours. Chaloux tant mieux si la pauvrete de ma lecture vous maintient loin. Je n ai rien contre la pauvrete, et certaines abondances dans le genrz de la votre n excluent pas l indigence. La seule chose qui chez vouq m interesse est votre piano, apparemment un quart de queue? Pas sur que vous puissiez tenir vous meme la comparaison en ce domaine.
Lecteur d un an ou deux, participant depuis peu, votre vindicte m a d emblee emmerde, la ou d autres contributeurs, jusque dans leur subjectivite ou leur virulence savaient m amuser, que ce soit Bouguereau que vous haissez tant, le ludion Widerganger en perpetuel atrabilaire qui malgre tout vous la met
profond, Edel raffine, passionne,courtois, legerement florentin,JC ou Barozzi. Cote contributrices, c est plus restreint, je me souviens d avoir lu avec plaisir quelques cinglantes reponses de Daaphne ou de Chantal, avoir rigole ou m etre exaspere des tirades de Clopine, d avoir bu comme petit lait les commentaires fins, pleins de chair, de Reine du chat, m y etre repris a deux ou trois fois pour comprendre ou Djedla ou Berenice voulaient en venir, tandis qu avec vous, que pzu de surprise : virulence et maniere de pontifier a tous les etages.
On peut passer outre ou non les exagerations de Depardieu, les outrances de Millet dont l essai sur Brejvnic au regard que l un a du genie, fut-il episodique, une sorte de tragedie chevillee au corps qui rend sa chute non pas acceptable, mais pouvant etre entendue, quand il pisse dans son avion, c est Donissan gravissant le Golgotha hebete, comme un con, ou quand Millet pose ses questions deleteres de detestable facon, mais des questions quand meme, ils valent mieux que vous, votre buzz de petit flic

Edouard dit: à

Quant a mon clavier, il est anglais. La soeur de JC, je suis sure que c est ube douce colombe, dans le genre bien roulee. Elle te plait, ma soeur? Faut faire attention si c est Zizou qui pose la question.

petit-saconnex dit: à

Je n’ai pas lu tous les commentaires ,mais compliments à Jean-Gérard. Je crois qu’il a dit ce qu’il fallait dire et qu’il ne s’est pas laissé intimider par les divagations de Richard Millet. On peut ne pas apprécier  » La vie d’ Adèle » ,mais en quoi la nationalité de son auteur joue -t- elle un rôle ? Passou évoque Léon Bloy. ,mais je crois que Millet n’a rien d’un Léon Bloy ,il lui manque la passion ,la générosité. J’avais bien aimé les premiers romans de Millet ,mais après , quelle déception.

Jean-Gérard dit: à

On peut ne pas apprécier » La vie d’ Adèle » ,mais en quoi la nationalité de son auteur joue -t- elle un rôle ? (Petit-saconnex)

Mais parce qu’il est algérien, tiens, et peut-être même musulman, quelle horreur, mon dieu quelle horreur. Les préférences de Millet en matière de cinéma, d’art, de littérature ou de quoi que ce soit dissimulent (généralement, mal, à dessein) des exclusions xénophobes ou racistes. C’est le même qui se désolait, considérant cela comme un évident signe de décadence) que les Français aient élu Yannick Noah comme leur personnalité préférée . Pensez donc : un nègre ! Richard Millet a peut-être un petit talent d’écrivain, mais c’est surtout un salaud raciste et xénophobe.

Abdelkader D. dit: à

Millet qui n’aime pas les tâcherons tunisiens et les musulmans,devrait, pour donner plus de pureté à la langue française, expulser tous les mots d’origine arabe (café, sucre, amiral, hasard et des dizaines d’autres) qu’il a utilisés dans ses livres. Des mots qui sont dans l’ADN de la langue de Molière. A quand une nouvelle et définitive version de l’ oeuvre de Richard Millet avant, peut-être, sa publication dans La Pleiade avec une couverture faite, non pas avec de la peau de mouton élevé en Argentine, mais en pur porc ?

Mme Michu dit: à

ça guidonne immédiatement

Faudrait vraiment être taré pour rouler avec ça dans sa cuisine, son salon ou son bureau, alors la chambre, non mais t’imagines ? Alors bien sûr tu me diras que c’est pas pour rien qu’on a fait des labyrinthes, un col ça risquerait d’être beaucoup trop dangereux…

Mme Michu dit: à

Oui, bon, mais faudra surtout jamais admettre les différences dans les communautés, ah ça non, surtout pas…

B comme BERLIN dit: à

Millet en Pléiade,
maroquiné en peau de zob !.

J’ai bon là ?.

DHH dit: à

edouard passe en revue les rares commentatrices de ce blog en leur decernant des satisfecit bien tournés t traduisant l’impression qui

casoaràcasque dit: à

Richard Millet; autrement dit la vieille rengaine française, d’une caste depuis longtemps en voie d’extinction. Plus que des manières, un savoir-vivre, c’est tout. Des momies, gardiens du temple, et incapable d’un renouveau. Comme un mari trompé restant attaché à l’épouse, laquelle depuis longtemps déjà ne le désire plus. Du temps de Rabelais, les livres de ce dernier n’auraient pas été accepter par un Richard Millet. La France deviendra un musée comme le disait Houellebecq.

Chaloux dit: à

JC….. dit: 20 septembre 2014 à 16 h 06 min

Vous aviez raison, JC, j’aurais dû vous répondre:

-Ma « situation »? Tout doux…

acm7 dit: à

Il a pas laissé un petit empereur sous sa veste?

DHH dit: à

Edouard vous passez en revue les rares commentatrices de ce blog et vous leur décernez à chacune un satisfecit bien tourné tiré des impressions que vous gardez de la lecture de leur posts
Mais qui est celle que vous appelez Reine des chats ?, c’est probablement un surnom que vous avez donné à son pseudo, un pseudo au second degré en quelque sorte, car aussi loin que je m’en souvienne , depuis que je fréquente ce blog je ne crois pas avoir rencontré de post signés, Reine des chats, d’autant que si on vous en croit leur qualité aurait dû retenir mon attention

Chaloux dit: à

Edouard, nous sommes donc parfaitement d’accord l’un avec l’autre. Assez rare pour être souligné. (Votre longue prose confirme ma première impression).
Longue vie sur la RDL.

ma dalton dit: à

Faire des copeaux ? Les prétextes ne manquent pas

la tête à toto dit: à

Dans le Fig-Mag de ce week-end, la critique de Beigbeder sur le roman de Thomas Pynchon est vraiment décevante. Il dit que ça lui a fait mal à la tête, et que dans ces cas-là il faut prendre du Doliprane. Ce n’est plus une critique littéraire, c’est une ordonnance !

Le roi des chats dit: à

Edouard dit: 20 septembre 2014 à 18 h 24 min

bouguereau continuerait sa petite gueguerre contre chaloux en loucedé quii yen auraient qui serait ^pas plus etonnet (mon clavier est anglais)

Mon clavier est de travers dit: à

Mais j’ai les yeux en face des trous.

Widergänger dit: à

R. Millet est un grand écrivain. Voilà une chose acquise. Mais il est d’un parti pris dans ses pamphlet qui n’est pas justement à la hauteur de ce qu’il est en tant qu’écrivain.

Le relâchement de la société française qui produit cette forme de décadence que R. Millet décrit finalement avec une assez grande justesse doit être mise en parallèle et même en opposition avec des forces régénératrice de l’identité française si chère à notre Richard Millet (je l’apprécie évidemment comme écrivain, mais aussi comme homme en dépit de ses excès, c’est un homme honorable et d’une grande valeur).

Ce qu’il ne voit pas c’est tout ce qui est à revoir dans la société française. J’en discutais justement avec le père d’une des élèves à qui je donne des cours particuliers. Cet homme est d’origine marocaine, toute sa famille vit en France. C’est un homme qui a un grand sens de l’hospitalité. Voyant comme je suis avec sa fille et la qualité des cours que je lui donne (la fille les trouve passionnant, vous pensez bien, sinon je ne vous le dirais pas… Et c’est vrai qu’ils le sont, la fille étant elle-même une jeune fille plein d’avenir, très douée, elle veut devenir écrivain, comédienne et journaliste… Non, elle ne se refuse rien ; elle a un oncle qui est sorti de polytechnique, un frère de son père). Cet homme, donc, voyant comme je suis, on s’est mis peu à peu à discuter ensemble de tout et de rien et peu à peu de la place des musulmans en Europe. Je lui dis qu’au regard de ce qu’il est, lui, sa fille qui est géniale, son sens de l’hospitalité, sa courtoisie, sa bonne humeur, il est et devrait être un modèle pour les Français qu’ils trouve à juste titre comme un peu froid, cynique, égoïste, peu chaleureux, peu aimable par rapport aux Espagnols par exemple qu’il connaît comme moi. Je lui dit que c’est déjà ce qu’en disaient des gens de l’immigration russe à Paris dans les années comme Nabokov ou Marina T.

Voilà donc des Français venus d’ailleurs, complètement intégrés à la société française, qui croient dur comme fer à l’éducation et qui font tout pour que leurs enfants réussissent à l’école que les Français devraient prendre comme modèle de savoir-vivre pour leur générosité, leur sens de l’hospitalité, leur courtoisie. Et ce sont des gens qui ont une vraie passion pour la France, qui aiment la France, qui aiment ce pays et son histoire, ses valeurs. Et ils trouvent comme Richard Millet que ce pays va mal. Mais ils sont une force régénératrice. Il y en a assurément d’autres. Comme les Juifs autrefois, ils sont à même de produire le meilleur pour notre pays. Personnellement j’y crois. Comme force antagoniste des puissances du déclin.

Nous avons aussi parlé bien évidemment des moments forts de l’Europe où la tolérance l’emportait sur la violence notamment pour une certaine période à Cordoue en Andalousie. Et comme Th. Gautier, il trouve lui aussi que la cathédrale à l’intérieur de la mosquée si magnifique de Cordoue est une véritable verrue qui la défigure. Il connaît aussi l’adorable petite synagogue et l’apprécie beaucoup.

Ces gens appartiennent à la bourgeoisie d’origine maghrébine montante. C’est elle qu’il faut promouvoir par l’éducation. Ces gens croient encore énormément à l’éducation. Et c’est le cas de nombreux enfants de l’immigration d’origine maghrébine. Ils sont une vraie source de renouveau de notre pays non pas pour en faire un pays islamique mais au contraire un pays qui soit à nouveau capable d’honorer ses valeurs fondatrices, sa culture, les valeurs universelles de la culture française qui ont guidé le monde durant des décennies voire des siècles et qui peuvent encore servir de guide aux égarés. Ils nous permettent de reprendre courage, et de se dire, loin de Richard Millet, que tout n’est pas pourri dans le pire des monde, tout n’est pas foutu. Les forces du bien vont finir par l’emporter et nous devons tout faire, comme le dit si justement J. Attali, pour promouvoir cette bourgeoisie d’origine maghrébine montante. Elle est vraiment l’avenir de notre pays pour une bonne part, la meilleure part. Un jour, nous saurons leur rendre hommage à la hauteur de leurs mérites.

Et tout ce travail social se fait dans l’ombre, dans les souterrains de la société telle qu’elle est, dans la vie quotidienne, sans chercher quelque gloriole que ce soit. Simplement comme ça parce que c’est bien.

Du coup, je lui ai promis la prochaine fois de lui apporter les conférences d’Attali sur Averroès, Maïmonide et Thomas d’Aquin, dont nous avons parlé un peu ensemble pour lui montrer tout ce que nous leur devons et lui montrer que l’islam d’alors aurait pu prendre une tout autre direction plus moderne, ratage du coche à cause des docteurs de la loi islamiques bornés dont nous sommes en train de payer le prix aujourd’hui dans les guerres qui fissurent le monde arabo-musulman où les chrétiens eux-mêmes sont assassinés comme des chiens avec des pratiques tout à fait similaires aux nazis.

Et je lui ai promis aussi ensuite de lui faire découvrir le grand livre de Haïm Zafrani, Juifs d’Andalousie et du Maghreb pour lui confirmer ce qu’il sait déjà par son histoire personnelle notamment à l’école, par la cohabitation avec ses copains juifs, les échanges culturels extrêmement importants entre les valeurs juives et les valeurs du monde islamiques ou d’un certain monde islamique tolérant, ouvert, durant des siècles.

Tout cela pour dire que Richard Millet se complaît un peu facilement dans le ton apocalyptique. Il y a certes des raisons fondées d’avoir peur. Mais la peur n’est peut-être pas la meilleure conseillère. Il faut avoir peur, c’est vrai, mais en même temps garder la tête froide et agir pour que les forces démocratiques et généreuses finissent par être les plus fortes.

Tout cela ne peut être mis en œuvre que dans un roman. Que Richard Millet, au lieu de se complaire depuis un certain temps dans le pamphlet, revienne à sa première passion, le roman. Et je suis certain — parce que c’est un très grand écrivain — qu’il serait capable de produire un authentique chef-d’œuvre où nous nous retrouverions tous à des degrés divers selon notre perception du monde actuel. Nous attendons ce chef-d’œuvre avec ferveur.

vote participatif dit: à

John Banville, La lumière des étoiles mortes (Robert Laffont)

(n’l’ai pas encore lu, mais suis inconditionnel de Banville – il y a peu, je relisais « l’intouchable », sidérant, grandiose ! puis, « Athena » époustouflant ; un irlandais à la Joyce, à la McCourt. vais pas lésiner, d’ailleurs, mérite un NOBEL !!!

look who's talking dit: à

« Tout cela pour dire que Richard Millet se complaît un peu facilement dans le ton apocalyptique »

ma dalton dit: à

Ni les motifs, notez

vote participatif ... dit: à

pas eu le temps de fermer la parenthèse, même pas de fausse manip – je n’avais pas la visu du bandeau noir – laisser un commentaire – well, le comment’ est affiché … psitt, c’était pour répondre à Barozzi (tu m’as fait « presque » hurler de rire, sacré zèbre !

Rôôô dit: à

depuis que je fréquente ce blog je ne crois pas avoir rencontré de post signés, Reine des chats, d’autant que si on vous en croit leur qualité aurait dû retenir mon attention
DHH

La preuve que t’es sénile comme un cochon qui s’mord la queue épicétouk

Rôôô dit: à

R. Millet est un grand écrivain. Voilà une chose acquise – Wiwi

tu veux trop placer tes éconocrok mitaine de ta mère dracul

Rôôô dit: à

la qualité des cours que je lui donne (la fille les trouve passionnant, vous pensez bien, sinon je ne vous le dirais pas… Et c’est vrai qu’ils le sont, la fille étant elle-même une jeune fille plein d’avenir, très douée, elle veut devenir écrivain, comédienne et journaliste… Wiwi

si cest pas malheureux que tu bosse au noirde Dracul pour engrosser une saltimbanque qui f’ra la tortue Ninja sur TF1 ou la star’ac que tu kiffe grave

Chaloux dit: à

« Lecteur d un an ou deux, participant depuis peu »

C’est vrai edouard, j’ai l’impression que tu nous prends (pas moi seulement, ça j’ai compris, tous les autres)un tout petit peu pour des cons.

Que dit Ueda?

En ce qui concerne la musique, si tu es instrumentiste, je vais me permettre de te donner un petit conseil (ton histoire de comparaison). En ce domaine, la règle est de NE JAMAIS SE VANTER : on trouve toujours son maître.

Pour les autres, pas tellement éloigné de Millet, finalement, suis en train de lire un excellent bouquin (« un livre excellent et équilibré », dit Paul Veyne dont je lirai sans doute ensuite les Mémoires) : La Chute de Rome, Fin d’une Civilisation, de Bryan Ward-Perkins, chez Alma.

Millet, styliste hors-pair.

Rôôô dit: à

qu’il serait capable de produire un authentique chef-d’œuvre

y travailles trop pour les araignées comme toi Dracul

Millepardieu dit: à

et lui montrer que l’islam d’alors aurait pu prendre une tout autre direction plus moderne,WGG

C’est encore et toujours « celui qui sait » qui fait la leçon, petit colonialiste de Wingerganger!

Chaloux dit: à

Ce que je n’ai pas compris, c’est que Gallimard ait viré Millet d’une partie de ses responsabilités et qu’il continue à publier Céline.

casoaràcasque dit: à

« Tout cela pour dire que Richard Millet se complaît un peu facilement dans le ton apocalyptique »
La fin, constamment la fin. C’est toujours nouveau et c’est toujours la fin : de l’inédit minimaliste . On en finit pas d’en finir, excepté au moment du dénuement final. Bon, disons que l’homme est un animal apocalyptique. Et puis, apocalypse signifie révélation…

c'est qui millet? dit: à

Millet d’une partie de ses responsabilités et qu’il continue à publier Céline.

Celine est grand et Gaston aussi.

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