de Pierre Assouline

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La République des livres
S’enchaîner sans s’asservir

S’enchaîner sans s’asservir

Un jour, un paysan longeant la forêt près de son champ, a le regard attiré par une ligne sombre ondulant dans l’herbe. Il s’approche de ce qui n’est qu’une corde, mais une corde serrée, épaisse, comme nul n’en possède au village. En rentrant chez lui, il ne peut se contenter de la quiétude que lui offre sa femme et sa fille sans qu’elle se mue en inquiétude. Une force sourde le pousse à œuvrer à son propre bonheur. Pour le préserver, il doit faire quelque chose. Il lui faut savoir à qui appartient cette corde, ou du moins, où elle mène. Un groupe d’hommes se retrouve à sa demande autour de la chose. Ils songent à la tronçonner afin d’en conserver chacun un morceau en souvenir. Le village est en émoi.

Après une discussion, ils conviennent plutôt d’envoyer trois d’entre eux pour en voir le bout ; mais elle est si longue qu’ils reviennent bredouilles après quelques heures ; ils n’en rapportent qu’une frayeur lorsqu’un énorme verrat les a chargés par surprise, leur laissant à peine le temps de décocher une flèche sur son flanc. Le lendemain, après une nuit où la bière coule à flots, ils décident de former un groupe d’une douzaine d’hommes, chasseurs aguerris et tireurs adroits, et de partir en expédition dans la forêt afin de résoudre le mystère de la corde. Tant pis pour la moisson. Après des jours et des nuits de marche à suivre la corde, les voilà gagnés par la lassitude et l’épuisement. Certains tiennent, d’autres moins. Le doute les hante. Et s’ils tournaient en rond ? Et s’il n’y avait rien au bout du bout ? Et si une créature mauvaise avait disposé exprès cette corde sans fin pour les rendre fous ? Ils se réunissent autour du feu pour réfléchir ensemble à la corde. Deux d’entre eux décident de rentrer au village. Pas les autres. Tout ce qu’ils savent, c’est qu’ils ne savent rien :

« La corde exerçait sur eux un pouvoir d’autant plus grand qu’elle dépassait les limites de leur entendement. N’ayant pas de prise sur elle par le biais de la pensée, il ne leur restait d’autre issue que de continuer à marcher. Tôt ou tard, l’énigme finirait bien par se résoudre ! Ils cessaient de penser, se contentant d’avancer »

Un village abandonné se présente, apparition fantomatique au cœur de la forêt. Nul ne cherche à savoir les raisons de la fuite de ses habitants, ni à s’interroger sur le fait que la corde passe par là, chacun s’affairant à en piller les restes, quitte à alourdir leur sac. Ils reprennent leur marche dans les bois, s’enfonçant au cœur des ténèbres ; ils sont désormais envahis par la peur car des loups se sont attachés à leurs pas. Il n’est même plus question de faire demi-tour. De toutes façons, leurs récoltes sont fichues, vaincues par la grêle. Les ponts du retour sont coupés. Leurs femmes auront probablement trouvé refuge dans des villages voisins. Il faut aller au bout coûte que coûte. La corde est plus forte qu’eux :

« Ils étaient collés à elle comme au fil gluant d’une toile d’araignée, sans espoir de lui échapper »

Les loups sont toujours sur leurs talons, de plus en plus menaçants. Ils semblent déterminés et hypnotisés par les hommes, comme les hommes le sont par la corde. A ceci près qu’à ce stade de leur expédition, ils sont désormais pris en main par la corde. La suivre les empêche de se perdre dans la forêt. Elle devient leur guide et leur amie. Jusqu’à ce que les loups attaquent. Le combat est sans merci. Quand les flèches ratent leur cible, les hommes se battent au corps à corps, se défendent à coups de haches. Les bêtes finissent par lâcher leur proie et s’éparpiller. Mené par l’aiguillon de l’incertitude, le petit groupe soigne ses blessés, enterre ses morts et reprend la route au plus profond d’une forêt de plus en plus menaçante, réminiscence des sombres forêts des contes de Grimm. Il lui faut marcher encore et encore pour découvrir ce qu’il y a de l’autre côté du monde. Jusqu’à ce qu’il découvre, stupéfait, une deuxième corde coupant en biais la première et formant un X. Dès lors, quelle direction prendre ?…

C’est peu dire que le lecteur se retrouve encordé par La Corde (Das Seil, traduit de l’allemand par Jean-Marie Argelès, 151 pages, 16,50 euros, Ecriture), troisième roman de Stefan aus dem Siepen, un jeune diplomate allemand (Essen, 1964). La nature y règne en maître implacable. C’est elle qui fait la loi. On n’y croise pas seulement des lapins et des bécasses, mais aussi des tétras-lyre parmi les fougères scintillant dans la lumière du soir. Un souffle léger et poétique anime cette parabole, du moins à ses débuts ; mais il se fait dur, sombre et cruel à mesure que les hommes s’enfoncent dans une quête sans fin au fin fond d’une forêt sans limite. On retrouve là quelque chose de l’esprit de Délivrance, le film de John Boorman, et surtout le roman et le scénario de  James Dickey, lequel était d’abord un poète. Bernhardt, Michael, Ulrich, Johannes, Raimond… : des prénoms suggèrent que ces évènements se produisent dans une région où l’on parle allemand, mais le récit est si bien conduit qu’il accède dès les premières pages à l’universel. On ne sait où ni quand cela se passe. Disons que c’est arrivé et que cela arrivera près de chez vous. Puissance du conte philosophique…

Une parabole, chacun y met ce qu’il veut. Celle-ci tend à montrer qu’un détail suffit à perturber, puis à faire disparaître, une société qui vivait solidement ancrée sur des traditions ancestrales. La catastrophe qui l’engloutit est d’autant plus impressionnante qu’elle s’abat sur un petit monde intact. Le hasard des parutions, un hasard objectif bien entendu, m’a mis entre les mains le dernier numéro de la revue Medium (No 39) au moment où je refermais le roman si léger et si profond de Stefan aus dem Siepen. Consacrée à « l’effet génération », il s’attache notamment à décrypter la notion de transmission d’une génération à l’autre, la nécessité de se succéder, ces héritages moraux et intellectuels qui ne sont précédés d’aucun testament, cette invitation à enchaîner/ s’enchaîner sans pour autant s’asservir. Vous me croirez si vous voulez mais d’un article à l’autre, j’y ai constamment aperçu, subliminale mais solide, une corde.

(photo Ellen Davies)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

748 Réponses pour S’enchaîner sans s’asservir

Curiosa dit: à

j’ai pris votre défense, Clopine, en raison de la colère de Popaul à votre égard, c’est tout

jules dit: à

Salpetrière 10 mars 2014 à 10 h 32 min
Deux infirmiers l’entrainent dans les communs.

JC habitué d’être entraîné par les infirmiers de sa patronne ! le pauvre est traumatisé devant les déboires d’un nain et sa bande sur qui, tout péteux, il n’a jamais osé ch..

Onésiphore de Prébois dit: à

Avec sa délicatesse coutumière, mon troll, aujourd’hui, m’a assimilée à la malheureuse hystérique décrite par Charcot. (Clopine)

Je ne sais pas si c’est avec délicatesse, mais c’est, semble-t-il, avec quelque vraisemblance. On n’est plus au temps de Charcot, mais le délire de la persécution est un symptôme avéré de la psychose maniaco-dépressive. On observe depuis quelque temps dans les posts de Clopine une alternance, symptomatique elle aussi, entre des phases d’exaltation pendant lesquelles Clopine exalte ses problématiques talents d’écrivaine ou de jardinière, la pertinence de ses jugements critiques etc., et des phases dépressives où elle ressasse la dénonciation furieuse d’un Lucien Bergeret dont personne n’a jamais vu les posts, sauf elle. Je n’ai pas de conseils à donner à Clopine, mais, à sa place, je consulterais.

robin hood dit: à

Pas de broussailles entre les arbres de la forêt de la photo

Paul Edel dit: à

Clopine, quand on assume pas sa « subjetcivité  » en critique littéraire, on se met à repeter ce qu’écrivent les autres ou ce que dit la quatrème de couverture oui ce que l’attacéhe de presse vous a donné comme « argumentaire… » ouhhhh et là ca fait mal!! car = non critique.finito l critique, morte la critique!donc il faut toujours assumer ses sentiments ses émtoions de lecteur , ce que vous dicte votre analyse personnelle du texte sinon on va dans les décors ou on disparait dans la zone terrifiante de la com. veritable mer des Sargasses..tenez relisez « les pas perdus », d’andré breton qui sont un recueil de ses articles publiés entre 1918 et 1922. ses portraits de jacques vaché, de jarry ou de son pote apollinaire sont succulents, et tres tres personnels..

Predator dit: à

« Nous sommes deux ici, à être la proie d’un pareil être. TKT et moi. »

D’une pierre, deux courges

Mediator dit: à

D’une pierre, deux courges

…Constat à l’ amiable.

Jacques Barozzi dit: à

« Ils cessaient de penser, se contentant d’avancer  »

« un détail suffit à perturber, puis à faire disparaître, une société qui vivait solidement ancrée sur des traditions ancestrales. »

« la notion de transmission d’une génération à l’autre, la nécessité de se succéder »

Chaque génération, chaque individu avance vers la mort, formant un chaînon l’inscrivant dans l’histoire de l’humanité. Mais ça nous le savons déjà, que l’on croit ou que l’on ne coit pas au ciel. Cette parabole n’est pas nouvelle ? Et pas vraiment contemporaine, puisque les chasseurs tirent encore à l’arc ! On pourrait même trouver à cette fable des relents réactionnaires propres à ravir les disciples de Brigitte Farjot, Christine Boutin, Richard Millet et Renaud Camus actuels, qui proposent d’avancer à reculons ?

Curiosa dit: à

Vous comprendrez aussi mon agacement, Clopine, quand je lis la réponse méprisante de donneur de leçons littéraires de la part d’un critique à la retraite

renato dit: à

« Pas de broussailles entre les arbres de la forêt de la photo »

Le sol de la sapinière est généralement propre — on ne peut même pas parler de défamiliarisation de la forêt (Chklovski) car pas besoin de beaucoup l’entretenir : le peu de lumière que les sapins laissent passer et les aiguilles qui tombent au sol font le travail…

hessel : orientez-vous ! dit: à

« Brigitte Farjot, Christine Boutin, Richard Millet et Renaud Camus actuels, qui proposent d’avancer à reculons ? »

Où se trouve la falaise ?

Jacques Barozzi dit: à

« Jusqu’à ce qu’il découvre, stupéfait, une deuxième corde coupant en biais la première et formant un X. Dès lors, quelle direction prendre ?… »

A partir de là, ça se corse un peu !

Jacques Barozzi dit: à

« Où se trouve la falaise ? »

Devant ou derrière, peu importe, puisqu’en définitive tout le monde tourne en rond…

Jacques Barozzi dit: à

La corde mène toujours au fond du trou…

Jacques Barozzi dit: à

Un jour, Clopine et TKT ont aperçu leurs trolls qui les attendaient au bord du chemin des commentaires de la RDL. Au lieu de passer, indifférents, ils ont eu l’imprudence de les saisir par le col. Depuis, Ils sont collés à eux : « comme au fil gluant d’une toile d’araignée, sans espoir de lui échapper ».
Au point qu’aujourd’hui, leurs trolls leurs sont devenus consubstantiels et que l’on ne peut plus imaginer Clopine sans Lucien Bergeret et TKT sans D. !

des journées entières dans les arbres dit: à

« la corde bouffe tout mon temps »
Renato, la citation extraite de cette parabole n’est peut-être pas tout à fait exacte.

Barozzi, aux éditions de la bagnole, voir la corde à linge

Paul Edel dit: à

Curiosa, un critique littéraire ne connait pas « la retraite »,c’est comme un écrivain…:il change de support,parfois, c’est tout.Je vais d’ailleurs bientot publier un petit livre sur la critique littéraire, et pas à compte d’auteur..malgré mon grand age..(non je n’ai pas connu Peguy et Hugo)
Mais qu’un critique littéraire défende son point de vue, ça a l’air de vous choquer.. etrange..vous n’etes donc pas une amie de la liberté d’expression? un espace de liberté,comme ce blog ,c’st précieux..vous ouvez y dire tout le mal que vous pensez de moi.. quelle chance. c’est important cette RDL chere Curiosa ,ca permet de dialoguer ..ça n’est pas qu’un qu’un lieu d’ invectives comme certains le souhaitent..

Mme Michu dit: à

Et baroz qui tient à son name dropping alors que les courageux de la haine à plusiejrs sont légions…

des journées entières dans les arbres dit: à

la médiologie, n’est-ce pas un concept un peu flou qui n’appréhende pas bien les avancées technologiques ?

Barozzi, l’histoire de la corde à linge, c’est un livre:

« Il y a quelques années, je me suis fait couper le câble chez moi. J’avais nommé les deux gars qui avaient fait ça Lobo et Tommy! C’est ainsi que j’ai imaginé faire passer Internet dans une corde à linge… pour compenser. Difficilement réalisable pour moi, j’ai pensé que Liam et Juliet, de jeunes personnages anglais fraîchement débarqués dans un petit village français épargné par les avancés technologiques, y parviendraient. »

http://revue.leslibraires.ca/entrevues/litterature-jeunesse/max-ferandon-branche-sur-le-passe

renato dit: à

Et pourquoi une sapinière (sempervirent) plutôt qu’une forêt d’arbres à feuilles caduques ?

TKT dit: à

J’ai acheté hier, en e-book, « Das Seil », en allemand. Il y a une certaine préciosité dans l’écriture et un ennui certain, se dégage du récit.

bouguereau dit: à

plutôt qu’une forêt d’arbres à feuilles caduques ?

ptête c’est des mélèzes

bouguereau dit: à

Il y a une certaine préciosité dans l’écriture et un ennui certain, se dégage du récit

ha c’est certain que si y’avait un ogre au bout

bouguereau dit: à

Et puis, tous ces morts qui s’étalent à leur aise dans les cimetières, quand on pense aux prix du mètre carré, c’est indécent

et crémé ça fait un cubage de co2 honteux..du soleil vert jean marron!..dailleurs tu reprendras bien du dormesson

bouguereau dit: à

un ogre au bout

mettons que c’est clopine qui suit une chaine en or..à chaque rubis elle doit enlever une nippe..au dernier elle voit le verrat..vdqs et dsk..

bouguereau dit: à

j’aime le son du cor au fond des bois

renato dit: à

Pourquoi un ogre déjà qu’il y a ce abruti d’instituteur avec ses deux dogues allemands qui les pousse au cul : « Faut y aller, faut y aller ».

Polémikoeur. dit: à

Sur la photo (Angleterre) :
assurément des conifères !
En Allemagne forestière,
sont aussi majoritaires.
Essenciellement.

Jacques Barozzi dit: à

Les trolls, c’est les vampires du virtuel !

Jacques Barozzi dit: à

La corde à linge, c’est bien, des journées…, mais la corde à sauter, c’est encore mieux !

Polémikoeur. dit: à

Corde à sauter, oui ?
La cordite, pardi !
Mèchecourtement.

bouguereau dit: à

mais la corde à sauter, c’est encore mieux !

..avec des gros nibes et des couettes

Onésiphore de Prébois dit: à

L’humour serait-il au coeur de l’anglicité et de l’identité britannique ?

C’est vraiment la question à deux balles pour attardés du jeu des mille francs. Il y a belle lurette que tout le monde sait que les Britanniques sont les inventeurs de l’humour, le mot et la chose. A condition de considérer Swift comme un Britannique d’honneur.

Polémikoeur. dit: à

Et le cordon Bickford pour allumer,
et le cordeau détonant pour miner.
Sauterituellement.

Sergio dit: à

bouguereau dit: 10 mars 2014 à 13 h 55 min
j’aime le son du cor au fond des bois

Le duc de Chevreuse, pom, pom,
Ayant déclaré, pom, pom…

Phil dit: à

TKT, c’est une bonne idée de lire Siepen avec votre e-reader. Il y a du rétroéclairage dans cette histoire qu fascine passouline. L’Allemagne revient en force, Schlöndorff partout sur les ondes franceculturées pour causer diplomatie sur les toits du Meurice. Il lui en faudra, de la diplomatie, pour filmer Drieu en connivence avec Gallimard et Abetz.
Dali aimait descendre au Meurice, pour monter également sur les toits, mais avec les grooms.

M. Court, vous êtes dur avec Mortier. Je ne peux pas juger.

Onésiphore de Prébois dit: à

M. Court, vous êtes dur avec Mortier. Je ne peux pas juger. (Phil)

Dur-dur, le court-circuit logique ! Si Phil ne peut pas juger, comment peut-il « juger » que Court est dur avec Mortier ?

Sergio dit: à

Les forêts c’est dangereux y a qu’à voir celle de Teutoburg…

Onésiphore de Prébois dit: à

Il me semble que la prédominance des conifères en Allemagne soit récente — et serait une conséquence de la sylviculture.

La forêt sur la photo est manifestement une forêt récente, plantée de main d’homme.

Phil dit: à

cela s’entend, Onésiphore, comme un jugement du jugement de M. Court.
On ne va pas risquer de traduire forêt de hêtres ou de bouleaux en allemand quand le public souhaite causer jardiland.

TKT dit: à

@ “ mais les dégats sont irréversibles pour les trollés »:
Là, Jacques, vous exagérez. Je n’ai pas eu de dépression nerveuse, je suis plus résilient que Clopine et, je sais relativiser. Vous même, vous avez fait l’expérience avec D., au sujet de votre « long time compagnon », cela n’a quand même pas laissé des débats irréversibles, non ?
Aimerais-je dans une nouvelle vie, être D. ? C’est à dire bêtissime, chômeur récurrent, alcoolique, ancien enfant violé, adolescence et vie adulte par là-même assassinée ? Sans oublier, puisque je l’ai vu, en 2006, un physique de radiateur dans une décharge publique. Pour ce qui est de JC, personnage encore plus délabré, il parvient à quoi ? La RdL se meurt ?

renato dit: à

Dans les faits la forêt c’est le lieux où l’on abandonne les enfants (même Homer Simpson le sait). On peut toutefois ne pas se faire avoir par les parents si on s’arrange pour marquer le chemin avec des cailloux. En tous cas, ne pas se laisser tenter par des maisons en chocolat et pain d’épices car si c’étaient des vraies elle seraient pleine de fourmis, abeilles et guêpes… Attention aussi à ne pas s’endormir sous certains arbres car on risque de se réveiller deux ou trois cent ans après… Bon, si on est une fille et on trouve une tribu d’hommes de petite taille c’est bien car lorsqu’ils rentrent à Venise, ça vous fait un beau voyage et des possibilités de carrière insoupçonnées même pour une princesse…

DHH dit: à

@clopine
Moi ,une attaque de troll (et j’en subis aussi d’une source unique à sa proie attachée) ne me gêne pas .
Ce que dit de moi un troll ou bien reflète sa véritable pensée ,ou bien releve de la calomnie haineuse et purement gratuite ?
Dans le premier cas elle reflete sa bêtise, dans le second sa malveillance, donc dans les deux cas sa médiocrité , ce qui par différence ne peut que me valoriser ,moi qui suis l’objet d’aussi minables attaques .
La morale de cette histoire est pour vous clopine :Vos troll ne méritent pas l’attention que vous leur portez ; et cessez de cultiver dans votre inconscient ce sentiment injustifié d’illégitimité à parler de litterature , qui vous rend si vulnerable à des attaques qui mettent en question votre légitimité en ce domaine

Ciboulette dit: à

à Phil, 14 h 24 : à part Ciboulette de l’ineffable Reynaldi Hahn, MCourt sur pattes n’aime pas la musique… quant à ce ton venimeux !!!

Sergio dit: à

Les trolls, par définition, c’est dans les forêts, non ? Enfin nous en Auvergne on a un Saint-Loup, qui est la bête du Gévaudan, pour les dévorer !

scientifique pro de pq dit: à

« La forêt sur la photo est manifestement une forêt récente, plantée de main d’homme. »

la photo est-elle récente?

Curiosa dit: à

à Paul Edel, 13 h 16 : je n’ai rien contre vous perso, je vous reproche seulement votre ton un peu docte et définitif, vos jugements proches de l’emporte-pièce, vous avez de la chance de n’avoir aucun doute, il semble que vous ne vous posez pas de questions, vous tranchez, vos certitudes m’interrogent et vous citez toujours vos confrères d’un autre temps, jamais ceux d’aujourd’hui qui ont un point de vue différent du votre ; c’est tout ; bonne semaine.

Ciboulette dit: à

ReynaldO Hahn, bien sûr, Phil… tiens, parlez-lui de Schönberg, au p’tit Court, au secours

Clopine dit: à

merci de votre bienveillance qui ne se dément pas, DHH. Finalement, on a toujurs quelque chose à apprendre de soi-même, même à 58 balais, même plus tard, pas vrai ?

(j’espère cependant qu’aucun petit pan de mur jaune ne viendra m’assassiner à coup de révélation ultime de ce qu’est une oeuvre d’art !)

PS vous savez, recevoir un courrier d’un éditeur (un très grand, mort depuis, ami de notre hôte) qui vous précise qu’il « ne suffit pas d’avoir du talent pour être édité(e) », ça ne contribue pas à renforcer votre confiance en vous ! Je voudrais tant vous croire, DHH. Bon allez, une grosse bise en ces jours de printemps. Je vous envoie, hop au-dessus des lignes, le jaune de mes jonquilles et le coeur orange de mes narcisses, les primevères du talus, les anémones sylvie du sous-bois et les genêts qui se balancent sous le soleil. Prenez le tout, et déposez-le sur la table de votre si savoureuse cuisine : elles y seront bien, mes fleurs !

Ciboulette dit: à

très bel hommage à Gérard Mortier à lire dans Le Monde d’aujourd’hui

Ciboulette dit: à

Phil – Court – Mortier : il y a des gens qui ont cœur, d’autres de la ran-cœur

Sergio dit: à

Clopine dit: 10 mars 2014 à 16 h 07 min
même à 58 balais, même plus tard

Ha non après on n’a plus le temps faut rouler en Bugatti vivre comme d’Annunzio… Mais avant aussi, en fait !

DHH dit: à

@ Clopine
et à votre avis clopine qu’est-ce qu’il faut en plus du talent pour etre edité?
certes je ne parle pas par experience ,mais je pense que ceux qu’on publie le doiventaussi à des copinages ,à un reseau ,à un potentiel qui leur est propre de renvoi d’ascenceur.
et si j’en juge par certaines oeuvres que je lis ,ces avantages compensent même l’absence de talent,pour les faire acceder à la publication .
merci pour vos propos pleins de fleurs et de couleurs

Sergio dit: à

renato dit: 10 mars 2014 à 15 h 41 min
Ellie Davies et la photo es de 2011

Ha ben voilà y en avait des toutes belles et Passou il nous a mis celle où le sentier vire au marigot à tous les coups c’est pour nous dresser…

renato dit: à

DHH,

vous oubliez peut-être que Virginia Woolf fut une self-publisher… comme Anaïs Nin, du reste, ou Stephen King, qu’en 2000, avec “Riding the bullet” et “The plant”, a mis sur pied, selon ses mots, le pire cauchemar des Grands Éditeurs (avec “The plant” en téléchargement il gagne un ½ million de $). Et Joyce publié par une libraire… etc.

Phil dit: à

Ciboulette, attendons la soupe de M. Court qu’il versera à la brune, comme il a coutume.
Mortier après Abbado, la succession de Herbert von Karajan est un damné lignage, pour rester encordé.

bouguereau dit: à

c’est pour nous dresser…

ça fait landart à la gland: si tu zoom tu vois dsk qui montre sa bite debout sur sa cayenne au fond..les enculés de frères grimm sont bon qu’à copier

bouguereau dit: à

y a qu’à voir celle de Teutoburg…

germania qui saute à la corde..le marteau à thor a coté c’est du flan

bouguereau dit: à

Enfin nous en Auvergne on a un Saint-Loup

dsk il l’attrape il le rtourne et il l’encule ton saintloup..et aprés il retourne sous la futaie avec un grand houuou qui te fait froid dans le dos

Marcel dit: à

Pourquoi que tu dis du mal d’un grand homme qui a offert son sperme au tiers monde défavorisé, Boug ?

Sergio dit: à

bouguereau dit: 10 mars 2014 à 17 h 22 min
dsk

Non mais heureusement qu’il y a des gars comme lui pour porter hautes et fières les valeurs de notre cher et beau pays, parce que sinon on sait plus où on en est qui revenons de loin…

Le président fait bien un peu ce qu’il peut, mais enfin c’est pas encore Trianon…

Onésiphore de Prébois dit: à

vous oubliez peut-être que Virginia Woolf fut une self-publisher… comme Anaïs Nin, du reste, ou Stephen King,( renato)

Voilà de quoi rassurer notre Clopine. Peu importe, au fond, l’idée que les autres ont de vous, ce qui seul devrait compter, c’est la haute idée que vous avez de vous-même. Pour l’entretenir ad libitum, je conseille à Clopine et à tous les malheureux en manque d’estime de soi l’exercice suivant (dont l’efficacité a été scientifiquement établie):

– Prendre un crayon et en serrer l’extrémité entre ses dents. Tout au long que dure cette opération, penser très fort à soi. On se découvrira à chaque fois d’éminentes qualités et une valeur incontestable.

Pour vérifier l’efficacité de cette technique, essayer l’inverse :

– Prendre un crayon et en serrer l’extrémité entre ses lèvres (bouche en cul de poule); tout au long de l’opération, penser très fort à soi; on découvre alors qu’on n’est qu’une triste merde.

L’explication est simple : dans le premier cas, on active les muscles faciaux du sourire; dans le second, on active ceux des mimiques de la tristesse. Les jugements laudatifs ou dépréciatifs sont inconsciemment corrélés à ces mimiques ; en somme, la pensée est très fortement et directement influencée par des habitus corporels et sociaux aussi basiques que ceux-là. En ce qui me concerne, j’ai pris le parti de me balader dans la vie quotidienne en arborant invariablement un sourire de crétin ; très négatif et timide autrefois, j’ai aujourd’hui une très bonne opinion de moi, et je me sens beaucoup mieux. Les réflexions saisies au vol, telles que « tiens, v’la l’ravi d’la crèche » ou « tiens, v’là l’débile profond », ne font qu’augmenter ma confiance en mes dons éminents : elles sont la preuve que bon nombre des malheureux qui me croisent ne tiennent pas encore, comme moi, le bout de la corde de la félicité.

Polémikoeur. dit: à

Ellie Davies (Ellie !),
à quoi ça sert qu’il se décarcasse,
8 mars 2014 à 11 h 29 min ?
Inducrottablement.

Marcel dit: à

m’a mis entre les mains le dernier numéro de la revue Medium (No 39)

Une saine lecture, assurément !

Sergio dit: à

Il y a quand même quelque chose d’émouvant, dans ce sentier humide et battu, c’est qu’il ressemble fort à une piste cavalière, donc forcément même la piétaille doit être montée, et bien montée, houseaux acceptés mais provisoirement…

Polémikoeur. dit: à

Ligne jaune (code de la route).
Ligne blanche (jaune mise à jour).
Ligne bleue (des Vosges, Jules Ferry).
« La ligne rouge », « la ligne verte » (films).
Et maintenant, une ligne noire !
Peinturlurement.

u. dit: à

« m’a mis entre les mains le dernier numéro de la revue Medium (No 39) »

Le comité de rédaction de la revue Medium, c’est des mecs les yeux fermés dans le noir autour de quatre pattes folles, celles de la table.

renato dit: à

« Inherent Vice », le film, adaptation de « Inherent Vice » de Thomas Pynchon, c’est pour décembre prochain…

Polémikoeur. dit: à

Elle zigue et elle zague,
mène l’âme dans le vague,
la ligne de la photo-gag.
Enfilindiennement.

u. dit: à

Je ne veux pas être désagréable, mais ce comité de la revue Médiums reste un peu provincial: la globalisation va aller irrésistiblement dans ce sens (du reste, Debray a la bonne idée de s’ouvrir à ces régions):

http://www.youtube.com/watch?v=XurZQ0qF7yY

Les deux médiums tiennent la planchette qui transcrit l’écriture inspirée par les esprits (dieux, ancêtres); un officiant énonce le caractère qu’il a reconnu, et un deuxième le met par écrit.

Après, on a des spécialistes occidentaux en costard-cravate qui n’ont jamais vu ça, et ignorent qu’une partie des textes religieux de la Chine n’a pas été écrite par un auteur, mais relève de cette écriture inspirée.

Bientôt l’heure de mon p’tit blanc.

renato dit: à

Une question, pas innocente du tout (et hors sujet), est-ce que l’œuvre de Leo Frobenius est traduite en fr. ?

Polémikoeur. dit: à

Le travail graphique en 3D
de l’artiste anglaise Davies
flatte les papilles visuelles,
mais l’artefact émeut-il plus
que la nature quand elle se met
à l’ouvrage de toutes ses forces ?
Bien sûr, il n’est plus question
du tout de rendez-vous convenus
mais d’apprivoiser l’instant
avec l’espoir qu’il se change
en surprise si une magie
du fond des âges consent
à opérer. En combinant
heure, saison et lieu,
parfois…
Et l’original surpasse
toujours la copie.
Instamagiquement.

u. dit: à

« Une question, pas innocente du tout (et hors sujet) »

Pas hors sujet non plus.

Hélas, renato, sauf erreur, non.
Frobenius est un peu comme une référence mythique, on la cite sans l’avoir lu.

Songez que Bachofen a attendu les années 1990 pour que son Mutterrecht soit traduit…
Et pourtant, on ne s’interdisait pas dans les cafés de se référer à l’articulet de Benjamin à ce sujet (par ex.)
Ils sont comme ça, nos Français…

Pareil pour le père Wilhelm Schmidt (père au sens catholique) et l’école autrichienne.
Interrogez nostri studiosi, ils vont plisser le front et articuler: « … Franz Boas? »
Il ne connaissent que la queue américaine de cette histoire, et grâce à qui?
Merci qui?…
Le voyage en Amérique du père Lévi-Strauss (père au sens non catholique), bien sûr.

J’exagère, j’exagère.
Mais il y a d’ça, il y a d’ça.

Je vous dédis mon Pouilly.
Saluto a pugno chiuso!

des journées entières dans les arbres dit: à

renato dit: 10 mars 2014 à 18 h 39 min

Pourquoi changer de sujet, Renato, vous êtiez très bien à 15h06, en technicien de l’ONF qu’aurait lu tous les contes de Grimm.

Tenez changeons de forêt. Quittons les forêts de conifères tempérées et allons en forêt de conifères boréale.

Dans la collec’ ‘je repense à des livres oubliés’:
« Des géologues prospectant non loin de la frontière mongole tombent par hasard en 1978 sur la famille Lykov. Ils comprennent aussitôt le caractère fabuleux de cette rencontre. Le père, ses deux fils et ses deux filles n’ont pas vu d’être humain depuis des décennies »
C’est un quatrième de couv’ pour  » Ermites dans la TaÏga »

renato dit: à

Par-ci, par-là « l’artiste anglaise » exagère un chouia, mais le travail est très artificiel — envers et contre le “naturel” — donc, on pardonne…

Polémikoeur. dit: à

Se dédit-il donc de s’être dédié ?
Délicatement.

u. dit: à

J’en étais sûr, renato, j’en étais sûr.

Tac.
Doublés par les Italiens:

Leo Frobenius
Storia della civiltà africana
Traduzione di Clara Bovero
2013, pp. 483

« Et voilà », comme disent nos amis américains.

u. dit: à

« C’est un quatrième de couv’ pour » Ermites dans la TaÏga » (Journées)

Ça fait songer.
Quatrième de couv’…

Ça évoque un parent pauvre (un Samoyède?) accueilli dans le froid par un couple au grand coeur, sous la couette commune.

Molodjets!

u. dit: à

(Et merde.
Le deuxième blanc sec, il m’est interdit de le déguster en solitaire…

Bonne soirée!)

renato dit: à

Vous rigolez, des journées ? je suis un lecteur compulsif de fables (donc des Grimm), c’est par ailleurs en lisant “Fiabe del Kordofan” de Frobenius qu’il m’est passé par la tête de demander s’il (L. F.) était traduit en fr. …

Polémikoeur. dit: à

La grande taïga… « Dersou Ouzala ».
Quant à Ellie (Ellie, pour le crédit !),
que les Elfes, eux, lui pardonnent
ses tags à leur forêt !
Graffitartinement.

u. dit: à

« Polémikoeur. dit: 10 mars 2014 à 19 h 22 min
La grande taïga… « Dersou Ouzala ».

Polémikoeur, avant de quitter courtoisement les lieux, souffrez que je vous embrasse.
On dira les pires choses sur la production soviétique (et on aura raison), on dira les pires choses sur l’empereur Kurosawa surnommé Tennô (et on n’aura parfois pas complètement tort), mais là…

Le dialogue dans la neige…

« Diersu!
– Kapitan! »

Qui n’est pas ému n’est pas mon frère.

Polémikoeur. dit: à

C’est l’heure du mécréant, des brumes
et du froid qui entre si l’on tarde
à jeter le feu dans l’âtre.
Vespérâlement.

de nota dit: à

« Tout est dit:et l’on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu’il y a des hommes,et qui pensent.Sur ce que qui concerne les moeurs,le plus beau et le meilleur est enlevé:l’on ne fait que glaner après les anciens et les habiles d’entre les modernes.
Il faut chercher seulement à penser et à parler juste,sans vouloir amener les autres à notre goût et à nos sentiments:c’est une trop grande entreprise.
C’est un métier que de faire un livre,comme de faire une pendule.Il faut plus que l’esprit pour être auteur.Un magistrat allait par son mérite à la première dignité,il était homme délié et pratique dans les affaires;il a fait imprimer un ouvrage moral qui est rare par le ridicule.
Il n’est pas si aisé de se faire un nom par un ouvrage parfait,que d’en faire valoir un médiocre par le nom qu’on s’est déjà acquis. »

La Bruyère, »les Caractères »chapitre premier.

renato dit: à

Celle de 2013 c’est une réédition u. — même traductrice autre éditeur.

En fr. il y a (avait) « Le destin des civilisations » en 1940 et « Histoire de la civilisation africaine » en 1936, depuis plus rien — si je ne fais erreur.

Polémikoeur. dit: à

Et pourtant, à la chandelle,
des mots continuent de chanter
sous le stylet qui les cisèle.
Typogravement.
Il sera trop tard quand le barbier de Sibérie
n’aura laissé de bois qu’une terre pelée,
même pas une lande pour les bruyère.

Polémikoeur. dit: à

Aux pays où l’on assure
la barre derrière la porte
quand les volets sont fermés
comme à ceux où brille le phare
dans la nuit pour le pèlerin attardé.
Nuitellement.

Polémikoeur. dit: à

Une ration d’humus avant de partir
pour l’Arboricole en réparation
de la terrible vision
du déboisement.
Constamiablement.

Chaloux dit: à

Sergio dit: 10 mars 2014 à 16 h 20 min

« Ha non après on n’a plus le temps faut rouler en Bugatti vivre comme d’Annunzio… Mais avant aussi, en fait ! »

Tout à fait mon point de vue. D’ici deux ou trois ans, si je suis encore de ce monde (sait-on jamais?), j’ai très sérieusement l’intention de m’offrir une Rolls pour aller chercher le pain. Une vieille, hein, une pas chère…

Polémikoeur. dit: à

Rolls… Rolser, la marque des paniers à roulettes.
Coursivement.

Polémikoeur. dit: à

19 h 45 : les bruyèreS.
Valsez, caractères !
Tireleridomintenent.

Saint-Jean dit: à

Évangile de Saint-Jean XIV, 1-6

Ne soyez donc pas bouleversés : vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi. Dans la maison de mon Père, beaucoup peuvent trouver leur demeure ; sinon, est-ce que je vous aurais dit : Je pars vous préparer une place ? Quand je serai allé vous la préparer, je reviendrai vous prendre avec moi ; et là où je suis, vous y serez aussi. Pour aller où je m’en vais, vous savez le chemin. » Thomas lui dit : « Seigneur, nous ne savons même pas où tu vas ; comment pourrions-nous savoir le chemin ? » Jésus lui répond : « Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ; personne ne va vers le Père sans passer par moi.

de nota dit: à

Chopé ce poème au musée Paul Valéry à Sète,vous me direz qu’est-ce que Valéry vient foutre ici!
Eros serait-il déplacé?

« Eros n’est point toujours le même,
Que l’on s’amuse ou que l’on aime,
Il vous accorde ce qu’il peut.
Plus d’un se contente du peu
Que la chair sans l’âme vous livre,
Mais le meilleur ne se sent vivre
Qu’au brasier d’une seule en feu.
Celui-ci,pas Juan,pas Sade,
Au vulgaire laissant passade
Et mécanique du moment,
Méprisant la « bonne fortune »
A pour devise qui point ne ment:
Il n’est d’extase que dans une. »

Saint-Jean dit: à

Première lettre de Saint-Jean (4:1-3)

Bien-aimés, n’ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s’ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. Reconnaissez à ceci l’Esprit de Dieu: tout esprit qui se déclare publiquement pour Jésus-Christ venu en chair est de Dieu; et tout esprit qui ne se déclare pas publiquement pour Jésus n’est pas de Dieu, c’est celui de l’Antéchrist, dont vous avez appris la venue, et qui maintenant est déjà dans le monde.

Radio FU KU dit: à

Hypothèse. Quatre écrivains chinois dissidents , persécutés par le pouvoir à Pekin, sont passés à l’action. Ils sont allés clandestinement passer des vacances en Malaisie après avoir lu « l équipée malaise « du français Echenoz (« éditions de minuit, » et ces chinois pensent que cette maisons d’édition est toujours clandestine et résistante…) .ils ont donc décidé, sur place, dans un bouge-bordel malaisien, et après plusieurs bouteilles d’alcool, décidé donc d’acheter des faux passeports .Ils décident à quatre heures du matin de lancer une fantastique « équipée malaise »,pour de vrai, c’est à dire de détourner un boeing de la malaysian airlines et de l’amener doucement sur une ancienne piste de l’ile de Togo amo dans les Îles Ryūkyū. Ce qu’ils réussissent.
Le Boeing est détourné. L’avion est caché dans la jungle sur une ancienne piste à l’abandon construite par les japonais en 1942 puis prise par les américains en 1945, par les « têtes brulées » . Mais il y a actuellement un débat entre deux écrivains et une partie des voyageurs qui veulent revendiquer ce détournement à la face du monde pour dénoncer leur manque de liberté individuelles en Chine , et deux autres écrivains qui ont trouvé sur l’ile un mode de vie agréable, des indigènes des deux sexes d’une grande douceur.ces derniers prennent des bains et mangent du poisson cru particulièrement frais après avoir jeté leur portable plein de saletés de pubs au cours d’une cérémonie religieuse locale…

renato dit: à

In “L’Autre Côté”, d’Alfred Kubin, c’est un horloge qui exerce sur les gens un pouvoir qui dépasse les limites de leur entendement.

kicking dit: à

Et l’original surpasse
toujours la copie

oui bon, si tu voulais bien retenir tes envies de sucer parfois..

kicking dit: à

heu.. pomper voulais-je dire..

Jacques Barozzi dit: à

« Il n’est d’extase que dans une. »

Vous êtes pour la monogamie exclusive, de nota ?

Monogamie dit: à

Jacques Barozzi dit: 10 mars 2014 à 21 h 53 min
Vous êtes pour la monogamie exclusive

Comme toi baroz, qui ne voit que par :
TKT et D. ;
Clopine et Lucien ;
Toi et ….. l’amicale du pipilet.

Prix de location dit: à

« Une vieille, hein, une pas chère… »
Chaloux

Moi, si j’étais Daaphnée, j’apprécierais moyen.
Mais c’est elle qui voit.

Jacques Barozzi dit: à

Ta gueule, kipu !

Monogamie dit: à

Jacques Barozzi dit: 10 mars 2014 à 22 h 15 min
Ta gueule, kipu !

Ne joue pas les boug’ baroz, t’es pas assez intelligent.
T’essaies de copier, mal.
Pipilet tu es, pipilet tu resteras.
Accepte, prends conscience, ta nature est ce qu’elle est.

Chaloux dit: à

Jacques, pas de panique (ce qui d’ailleurs ne vous ressemble pas), vous êtes mille fois plus intéressant que le petit merdeux anonyme qui vous agresse et même que ce pauvre Bouguereau qui pense comme un prospectus.
Bonne soirée,

Monogamie dit: à

Chaloux dit: 10 mars 2014 à 22 h 41 min

Alors là mon Jacquot, le bonheur ! Le vrai.
Tu le sais, rien ne vaut le soutien d’un Chaloux.
Ce gars là est une épée.
Ok, a priori personne ne souhaite recevoir les compliments d’un mec qui roule en break Laguna et rêve de parader en Rolls.
Mais si tu réfléchis bien, le crapaud peut toujours se transformer en prince charmant, et là, avoue le, c’est tout bénef.

Chaloux dit: à

Je ne rêve pas, et pas de parade, pas ma faute si tu comprends la douce dérision… Un autre monde, pas pour toi.

Chaloux dit: à

Correction… »Si tu comprends pas la douce dérision ».
Et puis si tu n’as jamais conduit de Rolls, tu peux pas comprendre. C’est comme les Steinway (là je renonce pas ton niveau)….
Bonne soirée,

Sergio dit: à

Chaloux dit: 10 mars 2014 à 20 h 09 min
une Rolls pour aller chercher le pain

Il y a un petit marché cela doit être jouable. Rien qu’à Nancy à un moment j’avais déniché un garage qui au moins connaissait localement les filières.

Sergio dit: à

Idéfix y va le bouffer, le barbier de Sibérie… Comme les oies de Ferdine dans Nord : clac ! clac ! Tôles sécables…

Sergio dit: à

N’empêche on serait en Russie et ce seraient des bouleaux, là on touche au sacré !

Béhémoth dit: à

(u. dit: 10 mars 2014 à 19 h 27 min
« Polémikoeur. dit: 10 mars 2014 à 19 h 22 min
La grande taïga… « Dersou Ouzala ».)

Confondre les monts de l’Oussouri avec la taïga sibérienne !.
Bonne suite pour votre voyage !.

Marcel dit: à

Il haïssait le mauvais temps,
Le crachin, l’orage, la pluie,
Les tempêtes, les ouragans.
Il haïssait le mauvais temps.

Il mourut pas un beau printemps,
Desséché sous un parapluie.
Il haïssait le mauvais temps,
Le crachin, l’orage, la pluie.

Jean Calbrix, le 11/03/14

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Saint Jean !,…Ga!,…Ga!,…Ga,…

…l’habite l’antichrist!,…
…l’inquisition obscurantiste à lèche-culs serviles d’aristocrates dominateurs d’abrutis!,…Oui!,…

…les chrétiens en transe du seigneur  » gay’s -lesbien « , K.K.K.,…adroite,…des thons aux huiles,…
…pour les strates du crédit lèche-culs!,…etc,…collabo’s à mon guide!,…à corde,…
…en passant!,…

Béhémoth dit: à

« Chaloux dit: 10 mars 2014 à 23 h 30 min
Correction… »Si tu comprends pas la douce dérision ».
Et puis si tu n’as jamais conduit de Rolls, tu peux pas comprendre. C’est comme les Steinway (là je renonce pas ton niveau)…. »,

Moi, ce que je comprends malheureusement :
« c’est qu’une Rolls sans chauffeur n’est pas une Rolls. »
Parole de propriétaire.

Pour la conduite :
une Bentley suffira.

Clopine Trouillefou dit: à

Aïe, j’aurais besoin d’aide, là. DHH saurait sûrement ça. C’est une question de concordance des temps et d’accord du participe passé.

C’est une question de concordance des temps et d’accord du participe passé.

« Elle demandait pardon…

d’être née sans qu’il le désirât
d’être née sans qu’il l’eût désiré
d’être née sans qu’il l’eût désirée
d’être née sans qu’il l’eut désiré
d’être née sans qu’il l’eut désirée

? Laquelle est la bonne ? Je m’y perds ! Help !

Polémikoeur. dit: à

Que l’aimable contributeur nocturne (1 h 07)
s’abstienne de ruer pour si peu
dans le magasin de porcelaine,
autant que le lui permette
sa respectable carcasse !
Ou qu’il veuille bien
préciser sa pensée
au risque d’instruire
de si misérables bipèdes
à côté de lui. Vrai, quel culot
ç’aurait été, à l’aube du XXe siècle,
époque des reconnaissances d’Arseniev
en Primorie, d’étendre la Sibérie
à l’extrême-Orient russe !
Et parler là de taïga
était inconvenant ?
Balalaïkalmement.

Contourner l' obstacle dit: à

Dans le doute, on change carrément la phrase…
( Et là on prouve qu’ on existe!)Clopine Trouillefou dit: 11 mars 2014 à 8 h 41 min

A côté du sujet dit: à

Une « question de concordance des temps et d’accord du participe passé » ? Que non ! c’est une question de contraception défectueuse

Jacques le F. dit: à

Clopine Trouillefou dit: 11 mars 2014 à 8 h 41 min
« Aïe, j’aurais besoin d’aide, là. … »

« Elle demandait pardon … d’être née. » serait moins lourd, rendrait tout aussi bien votre pensée et résoudrait votre problème, me semble-t-il.

Clopine Trouillefou dit: à

Ah non, Jacques le F. Ma pensée n’est pas d’indiquer la naissance, mais le non-désir de cette dernière. (en plus il y a une question d’euphonie après).

je crois que je vais opter pour :

… être née sans qu’il l’eût désiré.

Ce n’est pas « elle » qu’il n’a pas désirée, mais sa « naissance », ou plus exactement « le fait de naître ». Donc, pas d' »e ».

Enfin, je crois.

Ferdine dit: à

Elle demandait pardon d’être quelque chose, là, au lieu d’être quelqu’un !

renato dit: à

Pour faire simple, c’est qui le non désirant ?

@renato dit: à

Faire simple avec Clopine ? Compliqué !

Clopine Trouillefou dit: à

son père, Renato. En réfléchissant, cette phrase redoutable est encore pire que ce que je croyais. Car le non-désir est double. Il n’a pas désiré la naissance, donc il n’a pas désiré la fille. Comment rendre ce double, tout en conservant l’unité de la phrase ? Je sens que je vais en avoir pour la journée, or on attend le texte définitif, merdalors. Je ne vais quand même pas opter pour
« sans qu’il les eût désirées » (elle et sa naissance ?)

Enfants rétrospectivement non-désirés dit: à

Buisson, Georges
Louis, Edouard

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…çà bêche dans la pêche,…

…par les misères des abus de la foie,…

…production industrielle des  » Rarcons « ,…etc!…

renato dit: à

« son père… », ce qu’il me semblait… dans ce cas c’est à lui de s’excuser car, si elle n’était pas désirée, il n’avait qu’à prêter un brin d’attention au moment de l’action… c’est vrai que, hors automatismes, certains peinent à prévoir les conséquences de leurs actes… mais là, enfin… c’est un cas où tout le monde sait faire cause-effet…

Chaloux dit: à

Clopine,
Il faudrait voir le contexte. Peut-être faudrait-il deux phrases.
Toto est en grande forme ce matin, sa philosophie est au sommet.
Pour ce qui est la Rolls, merci de conseil, mais les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Une belle journée en pespective…

DHH dit: à

@ clopine
Puisque vous faites appel à moi ……
Vous proposez
« Elle demandait pardon…
d’être née sans qu’il le désirât
d’être née sans qu’il l’eût désiré
d’être née sans qu’il l’eût désirée
d’être née sans qu’il l’eut désiré
d’être née sans qu’il l’eut désirée »
de ces CINQ phrases, les deux dernieres sont incorrectes ,car elles sont à l’indicatif au lieu du subjonctif
les trois autres sont correctes mais ne disent pas la même chose .
tout dépend du sens qu’’on donne au « l’ »
s’il remplace » la « c’ est votre personne est l’objet de l’absence de desir ;si il remplace un pronom neutre « le » c’est le fait de votre naissance .
cette ambigüité n’a aucune conséquence orthographique dans la première phrase (desirat)
,en revanche dans les deux suivantes selon que vou écrivez « desirée » ou « desiré » vous parlez de vous ou du fait representé par votre naissance
Si vous ecrivez « il l’eût désiré(e) « au lieu de « désirât « vous introduisez une nuance d’anteriorité par rapport à la naissance qui n’est pas dans la première phrase ;vous la perdez si vous souhaitez avec « désirât » conserver la dualité du sens .

u. dit: à

Photo
Quel baril se trouve placé au bout de cette traînée de poudre?

— La poudre, ma réflexion ne l’a pas inventée en tout cas, j’en suis bien conscient.
C’est un p’tit coup d’chapeau en passant, c’est tout, même pas un café.

Groupe de Défense des Mouches Abusées a retro dit: à

Assez ! Assez ! Assez !…

Oubli fâcheux dit: à

Enfants rétrospectivement non-désirés dit: 11 mars 2014 à 9 h 39 min

Trouillefou, Clopine

DHH dit: à

@clopine
je m’aperçois que j’ai ecrit une bêtise ;la premiere phrase est evidemment sans ambiguïté puis que le pronom  » le » peut avoir q’une valeur neutre.
donc votre premiere phrase parle de la naissance comme d’un fait et les deux suivantes parlent l’une de vous (desirée) l’autre du fait(desiré)
et ce que je dis de l’anteriorité reste valable

Clopine Trouillefou dit: à

DHH, merci, je crois que je vais opter pour l ‘ambiguïté du « désirât » ; de plus, ça m’arrange pour des raisons euphoniques ! Et je m’en fiche que ce soit une phrase alambiquée, Renato : ça va trancher sur le reste, particulièrement « simpliste », donc c’est tout bénef.

renato dit: à

La question à se poser, Clopine, est : « qui a commis l’action initiale ? », celle d’où découlent les autres, pour nous entendre… enfin, ce ne sont pas les enfants qui doivent essuyer les erreurs des pères (se rappeler de Karl Kraus quand il dit que l’on nous met au monde sans anesthésie)…

Jean de Laf dit: à

Harlem désirât des villes, désirât Deschamps, désirât des goûts, désirât de bibliothèque, désirât de l’Opéra, désirât Bougris, désirât mon heure

bouguereau dit: à

de ces CINQ phrases, les deux dernieres sont incorrectes

la bonne c’est « t’aurais mieux fait dte faire enculer maman »

Raymond dit: à

l’aurait pas fait cette saucisse

bouguereau dit: à

le reste fait picard consanguin crévindju

bouguereau dit: à

et zouzou qui fait son posteur honteux..

La philosophie, le boudoire! dit: à

@renato dit: 11 mars 2014 à 9 h 30 min

Faire simple avec Clopine ? Compliqué !

Et avec Aldo, on accouche de Karl Kraus, sale temps pour le journalisme d’ investigation!

scientifique dit: à

Enfants rétrospectivement non-désirés:
jicé l’attardé de pq

zouzou dit: à

Enfants rétrospectivement non-désirés: daaphnée

Marcel dit: à

Clopine Trouillefou dit: 11 mars 2014 à 9 h 30 min
Je ne vais quand même pas opter pour
« sans qu’il les eût désirées » (elle et sa naissance ?)

mille excuses, clopine, la tournure correcte est :
« sans qu’il ne les eût désirées »

Jacques Barozzi dit: à

Clopine, le subjonctif ça fait tout de suite précieux, par rapport surtout au style inspirateur d’Eddy Louis. Vous devriez pouvoir dire cela plus simplement et plus précisément ? On ne comprend pas très bien ce que votre père n’a pas désiré, un enfant, une fille, vous spécialement ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…dire qu’ils nous laissent toute l’€urope de l’est sur les bras,…
…Oyez!,…Oyez!,…
…Votons nos rattachements à la république des pieds nickelés,…

…qui vend des embrouilles bien montées au fonds seines,…j’achète à crédit,…en attende des  » dommages et intérêts,…Vlà!,…accordés,…
…Oui!,…aussi des investissements pourris,…of course!,…

…des plans  » Marchall du crédit « ,…à distribuez,…le No-mens-land de l’€st en jachère,…l’europe des mendiants d’escroqueries,…la bonne à faire,…etc!,…

…un trou sous le trône,…pour touchez à l’E.N.A.,…St-Cyré du pré à nos ouailles qui mailles,…vaille la moue-tarde au nez!…etc,…un rarcon et pas nuit!…

Raymond dit: à

BALI BALO

Bali Balo dans son berceau, bandait déjà comme un taureau
C’fils de putain lui dit sa mère, tu bandes déjà plus que ton père
Ah ! Ah ! Bali Balo ! Bali Balo est un salaud !

Bali Balo dans le désert, se trimbalait les couilles à l’air
Arriva un nuages de grenouilles, qui lui bouffa la peau des couilles
Ah ! Ah ! Bali Balo ! Bali Balo est un salaud !

Bali Balo sur sa moto, faisait du 100 et du 0
Et c’est dans s’putain de virage, qu’il s’les ai pris dans l’embrayage
Ah ! Ah ! Bali Balo ! Bali Balo est un salaud !

Bali Balo chez les bonnes soeurs, se tapa la mère supérieure
La vieille lui dit jamais l’seigneur, ne m’a donné autant d’bonheur
Ah ! Ah ! Bali Balo ! Bali Balo est un salaud !

Bali Balo dans son avion, avec sa femme et son cochon
Dès qu’sa femme eut tournée la tête, il encula la pauvre bête
Ah ! Ah ! Bali Balo ! Bali Balo est un salaud !

Bali Balo au cinéma, péta si fort qu’il s’envola
Il atterit dans les coulisses, et encula l’pompier d’service
Ah ! Ah ! Bali Balo ! Bali Balo est un salaud !

Bali Balo dans son cercueil, bandait encore comme un chevreuil
Avec sa bite en arc de cercle, il parvint à soulever l’couvercle
Ah ! Ah ! Bali Balo ! Bali Balo est un salaud !

Marcel dit: à

Chaloux dit: 11 mars 2014 à 10 h 18 min

Tu t’enferres, Chaloupinet. Quand on a une Rolls, on a cinq chauffeurs, un pour chaque porte et un pour le coffre.

Jacques Barozzi dit: à

Désiré ou pas, n’est pas le plus important, ce qui compte c’est aimé ou pas, avec ou sans retard à l’allumage…

Jacques Barozzi dit: à

Il y a des cas d’enfants, ou d’animaux domestiques, désirés au départ puis impitoyablement abandonnés à eux-mêmes par la suite…

Chaloux dit: à

Bonne nuit, Marceloupinet.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…encore,…la ruée sur la confiance,…

…un bleu de l’école belge à  » Madoff « , à disparu,…
…comme un boeing,…avec 80 ou 100 millions d’Euro,…
…sans laisser son dictaphone ou ses enregistrements de confiance  » ecclésiastiques « ,…même pas de carnets – rose,…

…un Saint-Jean du Christ convertis en un élu du paradis offshore direct,…suivant,…

…chacun son tableau pour appâtez ses pigeons!,…on n’est pas des canards à poêle,…la part des anges,…etc,…
…Bip,…Bip,…

Marcel dit: à

Raymond dit: 11 mars 2014 à 12 h 12 min

Il y a beaucoup d’erreurs dans ta transcription, Raymond. D’abord, ce n’est pas Bali Balo l’objet de la chanson mais père Dupanloup.
Ensuite, pour être en accord avec la musique, il ne faut pas déformer les paroles du refrain :
Ah ah ah oui vraiment,
Père Dupanloup est dégoûtant.

Dans la cinquième strophe, père Dupanloup ne monte pas en avion mais ballon, ce qui est nettement plus croustillant. etc.

Marcel dit: à

Jacques Barozzi dit: 11 mars 2014 à 12 h 26 min
Il y a des cas d’enfants, ou d’animaux domestiques, désirés au départ puis impitoyablement abandonnés à eux-mêmes par la suite…

Bel humour, Jacques. On a même vu des parents indignes attacher leur gnard à un arbre de la forêt de Fontainebleau pour poursuivre leur route, pénards, vers la Côte d’Azur.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


… » quand on aime le seigneur,…on ne compte pas!,…of course ,…entre autres,…

…mais, dis donc, t’en à mis du temps,…
…du bleu en tangente,…se retrouvez tout jaune en collabo’s moral,…etc,…

…bénis soit le seigneur!,…Dieu vous le rendra à droite de la rallonge d’aristo’s!,…la-moi!,…etc!,…
…encore un émule à Tsar!,…Stop ou encore!,…

Vivre ensemble, mais seuls dit: à

Enfant, Marcel a été abandonné par ses parents, attaché à un arbre fragile. Qu’il arracha vigoureusement pour s’en libérer. Arrivé au bord de la départementale, un car de voyageurs, le Bourbaki Travel Group, l’embarqua et une certaine Leonarda Hypathie, brave femme inculte, l’éleva jusqu’à en faire le poète que nous admirons tous !

kicking dit: à

on nous met au monde sans anesthésie

il y a comme ça des petits poseurs du stade régressif qui donnent de ces envies de le rappeler..

Jacques Barozzi dit: à

« attaché à un arbre fragile »

Au bour de la corde, Marcel !!!

Jacques Barozzi dit: à

« on nous met au monde sans anesthésie »

Encore une idée reçue, renato, certains nécessitent une péridurale* pour naître !

*péridurale, définition : Anesthésie locale du bassin…

kicking dit: à

et baroz qui continue à parler de ce qu’il n’a pas essayé.. tout va bien..

Clopine dit: à

Ah, Jacques, la réponse à votre question sera dans mon petit livre, étoffé ! (je vous en reparlerai, d’accord ? Pour l’instant, mon seul lecteur est Clopin, qui trouve toujours bien ce que je fais. Je crois qu’il n’est pas objectif. ahaha.)

Un Mariage de Normand dit: à

Le juge proposa à Clopin le choix suivant, il prenait 20 ans de taule, ou épousait Clopine. La connaissant bien, Clopin refusa les épousailles effrayantes, s’apprêtant à l’ennui de la vie en cellule en compagnie de grands détraqués sexuels.

Astucieux, le juge qui était loin d’être con, revint à la charge et proposa 40 ans de taule ou le mariage…

Clopin sourit et accepta. Non seulement il s’avait lire écrire, mais aussi compter. Surtout compter.

Sergio dit: à

Marcel dit: 11 mars 2014 à 12 h 49 min
Père Dupanloup est dégoûtant.

Pas étonnant qu’on soye la fille aînée…

Marcel dit: à

Jacques Barozzi dit: 11 mars 2014 à 13 h 27 min
« attaché à un arbre fragile »

Au bout de la corde, Marcel !!!

Bien vu, Jacques, le remake de l’affaire Boulin !

Phil dit: à

La corde s’use, le mystère n’est pas éclairci Polemikeour s’est fait rhabillé pour son Dersou Ouzala situé en syldavie, Clopine sickananalysée gratos par pauledel en verve. La routine, quoi.
La corde du gros Hitchcock n’était pas moins perverse.

Court dit: à

Que Hahn me détende parfois est une chose, que ma conception de l’histoire de la musique se borne à lui en est une autre. On signale à Curiosa un chœur assez désopilant de Schoenberg mettant en scène la manière dont il il est perçu ( » ich bin ein Klassiker, Romantiker », etc!)Et ma curiosité va bien jusqu’à Florentz et au delà!
Je ne comprends pas très bien les reproches adressés à ¨Pierre Assouline. Pour rendre compte d’un univers de marchen, ne faut-il pas aussi etre un peu conteur? Et raconter, ici, n’est pas se raconter, limite trop souivent franchie par certaine pythie brayonne…Pierre Assouline sert le livre, comment le lui reprocher?
Bien à vous.
MC

bouguereau dit: à

Ils songent à la tronçonner afin d’en conserver chacun un morceau en souvenir

un hanger britons fameux la vendait en tronçon..au moyen age on en faisait un bouillon

bouguereau dit: à

La corde s’use

l’objet lui même est désuet..la corderie royale maous laisse place a une extrudeuse de la creme de la chimie des carbones..une grosse comme un crayon qu’on ne verrait pas dans l’herbe suffit a pendre d’un coup tout une famille

bouguereau dit: à

plutôt la corde est devenu un objet kitch, baroque..le prisonnier de guantanamo avec son petit lien de serrage comme handcuff c’est pas que la corde qu’on daube..

christiane dit: à

Pourquoi Pierre Assouline dans cet écho du livre de Stefan aus dem Siepen La corde, ne dit-il rien du chapitre 13 (2e partie) ? entre la page97 et la page 102, se glisse une énigme : « Il était une fois un jeune garçon… ».
Livre vraiment étrange…
Les femmes évoquent d’autres res au mystèretées dans les villages désertés par les hommes partis à la guerre dans les années 14/18. « Tenaces, obstinées, lucides.
La grêle, le jour de la moisson est une belle métaphore.
Le titre de ce billet ressemble au mystère du chapitre 13.

Entre temps, un autre livre, terrible et beau « Le tort du soldat » de Erri de Luca (Gallimard). Certaines lettres hébraïques et le mot èmet, bien mystérieux, y transforment le hasard en destin.

christiane dit: à

« res au mystèretées » = « restées »

A Tom dit: à

Bouguereau, un esprit en fusion.

A Thomas dit: à

Bouguereau, vieux pot de chambre, à chaque que tu lis « miction », dis-toi: « non, c’est fiction ».
Cela dit, nous voulons bien croire que tu sois l’auteur de nombreuses mictions. (Là, tu peux lire « mictions »).

Clopine dit: à

Personnellement, si un jour je me pends, ce sera à un noyer.

(celle-là je l’aime bien).

Bon d’accord, je sors.

Chaloux dit: à

Clopine, vous êtes mon écrivain préféré.

Chalouxo dit: à

Clopina, eres mi escritor favorito.

Chalouxth dit: à

Clopina, you’re my favourite writer.

Von Chalouxus dit: à

Frau Clopina, Ihr seid mein Lieblingsautor

Chalouxus dit: à

Clopina, Tu es meus ventus nimis.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…n’en faite pas de trop!,…

…je vais assimiler,…les écrivains,…à des dix-versions de vernis de culture,…des clopinettes,…à cent-foutres,…

…en résumé,…si, çà existe,…

… » tenir et occupé le haut du pavé d’une structure et blog,…pour en jeter du sable aux yeux d’abrutis – collaborateurs du néant-vide à la mort,…

…un peu de sel, et du poivre,…ces lectures à se prendre en gigot,…l’ère des lumières enfuies,…
…je ne vous félicite pas!,…c’est pas de la  » fraîche « ,… » french « ,…etc,…
…Ah!,…Bip!,…Bip!,…nos extraordinaires du bouleau en parasites et diversions!,…là!,…
…les hautes à parer qui se plient à se casser!,…etc!,…
…les vernis de la culture en ambassade de troll’s balourds,…ETC!,…déjà,…18 h 58,…

Chaloux dit: à

Giovanni Sant’Angelo dit: 11 mars 2014 à 18 h 55 min

Excellent.
Oui, comme vous dites, déjà 19H…

bouguereau dit: à

vieux pot de chambre

sapré christian..

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…franchement,…
…je ne me souvient pas,…d’avoir lu,…un niveau pareil,…

…un bon livre  » technique « ,…
…Traité pratique de la fabrication des cuirs et du travail des peaux,…1912,…
…par A.M.Villon et U.J.THUAU,… Ch.Baillières et Fils,…Paris,…

…le tanin,…par l’écorce des arbres!,…etc,…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…Oui,…Chaloux,…sur mon potable, il y une heure,…sur le P.C….une autre,…en plus du décalage horaire entre nos villes limitrophes!,…etc!,…

…je ne suis pas, endoctriné à l’exactitude de la chronométrie,…garder du jeux en somme!,…des minutes, de quarante à quarante ans!,…feront l’affaire,…merci!,…etc,…

Mme Michu dit: à

si un jour je me pends, ce sera à un noyer

Pour pallier à des mictions difficiles ?

DHH dit: à

Marcel
Vous êtes sans doute un immense mathématicien, vous faites la preuve sur ce blog d’un talent époustouflant de versificateur, mais question grammaire et bon usage vous n’êtes pas au point, et votre correction par ajout d’un » ne » à la formule de Clopine est infondée .
Ce »ne » explétif ne s’impose,d’ailleurs par un effet de contagion, que dans une phrase négative (et encore l’usage est laxiste)
On dira « :je le ferai sans qu’il me le dise » mais »je ne le ferai pas sans qu’il ne me le dise )

Jacques Barozzi dit: à

« y’a pas de rose baroz »

On dirait les couleurs du drapeau gay !

D. dit: à

Ce qu’on ne vous dit pas, mais que je sais parce que j’étudie ce genre de dossiers depuis de très nombreuses années, c’est que lorsque un appareil de la dimension du Boeing 777 disparait sans laisser aucune traces, et que les téléphones des passagers sonnent, il faut envisager des hypothèses particulières en utilisant les méthodes hypothéticodéductives, celles enseignées à juste titre dans les Sergents-majors.
Or l’une des hypothèses actuellement étudiée par les spécialistes coïncide à presque 100 % avec les faits observés; il s’agit du passage de l’avion au travers d’une distorsion spatio-temporelle, et il en existe quelques uns. Les ondes électromagnétiques peuvent circuler librement à la surface de ces sortes de trou de vers, ce qui explique que les communications aient été possibles.

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