de Pierre Assouline

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La République des livres
S’enchaîner sans s’asservir

S’enchaîner sans s’asservir

Un jour, un paysan longeant la forêt près de son champ, a le regard attiré par une ligne sombre ondulant dans l’herbe. Il s’approche de ce qui n’est qu’une corde, mais une corde serrée, épaisse, comme nul n’en possède au village. En rentrant chez lui, il ne peut se contenter de la quiétude que lui offre sa femme et sa fille sans qu’elle se mue en inquiétude. Une force sourde le pousse à œuvrer à son propre bonheur. Pour le préserver, il doit faire quelque chose. Il lui faut savoir à qui appartient cette corde, ou du moins, où elle mène. Un groupe d’hommes se retrouve à sa demande autour de la chose. Ils songent à la tronçonner afin d’en conserver chacun un morceau en souvenir. Le village est en émoi.

Après une discussion, ils conviennent plutôt d’envoyer trois d’entre eux pour en voir le bout ; mais elle est si longue qu’ils reviennent bredouilles après quelques heures ; ils n’en rapportent qu’une frayeur lorsqu’un énorme verrat les a chargés par surprise, leur laissant à peine le temps de décocher une flèche sur son flanc. Le lendemain, après une nuit où la bière coule à flots, ils décident de former un groupe d’une douzaine d’hommes, chasseurs aguerris et tireurs adroits, et de partir en expédition dans la forêt afin de résoudre le mystère de la corde. Tant pis pour la moisson. Après des jours et des nuits de marche à suivre la corde, les voilà gagnés par la lassitude et l’épuisement. Certains tiennent, d’autres moins. Le doute les hante. Et s’ils tournaient en rond ? Et s’il n’y avait rien au bout du bout ? Et si une créature mauvaise avait disposé exprès cette corde sans fin pour les rendre fous ? Ils se réunissent autour du feu pour réfléchir ensemble à la corde. Deux d’entre eux décident de rentrer au village. Pas les autres. Tout ce qu’ils savent, c’est qu’ils ne savent rien :

« La corde exerçait sur eux un pouvoir d’autant plus grand qu’elle dépassait les limites de leur entendement. N’ayant pas de prise sur elle par le biais de la pensée, il ne leur restait d’autre issue que de continuer à marcher. Tôt ou tard, l’énigme finirait bien par se résoudre ! Ils cessaient de penser, se contentant d’avancer »

Un village abandonné se présente, apparition fantomatique au cœur de la forêt. Nul ne cherche à savoir les raisons de la fuite de ses habitants, ni à s’interroger sur le fait que la corde passe par là, chacun s’affairant à en piller les restes, quitte à alourdir leur sac. Ils reprennent leur marche dans les bois, s’enfonçant au cœur des ténèbres ; ils sont désormais envahis par la peur car des loups se sont attachés à leurs pas. Il n’est même plus question de faire demi-tour. De toutes façons, leurs récoltes sont fichues, vaincues par la grêle. Les ponts du retour sont coupés. Leurs femmes auront probablement trouvé refuge dans des villages voisins. Il faut aller au bout coûte que coûte. La corde est plus forte qu’eux :

« Ils étaient collés à elle comme au fil gluant d’une toile d’araignée, sans espoir de lui échapper »

Les loups sont toujours sur leurs talons, de plus en plus menaçants. Ils semblent déterminés et hypnotisés par les hommes, comme les hommes le sont par la corde. A ceci près qu’à ce stade de leur expédition, ils sont désormais pris en main par la corde. La suivre les empêche de se perdre dans la forêt. Elle devient leur guide et leur amie. Jusqu’à ce que les loups attaquent. Le combat est sans merci. Quand les flèches ratent leur cible, les hommes se battent au corps à corps, se défendent à coups de haches. Les bêtes finissent par lâcher leur proie et s’éparpiller. Mené par l’aiguillon de l’incertitude, le petit groupe soigne ses blessés, enterre ses morts et reprend la route au plus profond d’une forêt de plus en plus menaçante, réminiscence des sombres forêts des contes de Grimm. Il lui faut marcher encore et encore pour découvrir ce qu’il y a de l’autre côté du monde. Jusqu’à ce qu’il découvre, stupéfait, une deuxième corde coupant en biais la première et formant un X. Dès lors, quelle direction prendre ?…

C’est peu dire que le lecteur se retrouve encordé par La Corde (Das Seil, traduit de l’allemand par Jean-Marie Argelès, 151 pages, 16,50 euros, Ecriture), troisième roman de Stefan aus dem Siepen, un jeune diplomate allemand (Essen, 1964). La nature y règne en maître implacable. C’est elle qui fait la loi. On n’y croise pas seulement des lapins et des bécasses, mais aussi des tétras-lyre parmi les fougères scintillant dans la lumière du soir. Un souffle léger et poétique anime cette parabole, du moins à ses débuts ; mais il se fait dur, sombre et cruel à mesure que les hommes s’enfoncent dans une quête sans fin au fin fond d’une forêt sans limite. On retrouve là quelque chose de l’esprit de Délivrance, le film de John Boorman, et surtout le roman et le scénario de  James Dickey, lequel était d’abord un poète. Bernhardt, Michael, Ulrich, Johannes, Raimond… : des prénoms suggèrent que ces évènements se produisent dans une région où l’on parle allemand, mais le récit est si bien conduit qu’il accède dès les premières pages à l’universel. On ne sait où ni quand cela se passe. Disons que c’est arrivé et que cela arrivera près de chez vous. Puissance du conte philosophique…

Une parabole, chacun y met ce qu’il veut. Celle-ci tend à montrer qu’un détail suffit à perturber, puis à faire disparaître, une société qui vivait solidement ancrée sur des traditions ancestrales. La catastrophe qui l’engloutit est d’autant plus impressionnante qu’elle s’abat sur un petit monde intact. Le hasard des parutions, un hasard objectif bien entendu, m’a mis entre les mains le dernier numéro de la revue Medium (No 39) au moment où je refermais le roman si léger et si profond de Stefan aus dem Siepen. Consacrée à « l’effet génération », il s’attache notamment à décrypter la notion de transmission d’une génération à l’autre, la nécessité de se succéder, ces héritages moraux et intellectuels qui ne sont précédés d’aucun testament, cette invitation à enchaîner/ s’enchaîner sans pour autant s’asservir. Vous me croirez si vous voulez mais d’un article à l’autre, j’y ai constamment aperçu, subliminale mais solide, une corde.

(photo Ellen Davies)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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748 Réponses pour S’enchaîner sans s’asservir

renato dit: à

Première crise
Le débarquement

« L’endroit parfait pour un Snark ! » cria l’Aboyeur,
Qui débarquait ses hommes — méticuleux,
En les soulevant au-dessus des vagues, sans heurt,
D’un doigt entortillé dans leurs cheveux.

« L’endroit parfait pour un Snark ! Je l’ai dit deux fois :
Ce qui devrait suffire à les encourager.
L’endroit parfait pour un Snark ! Je l’ai dit trois fois :
Ce que je vous ai dit trois fois est vrai. »

L’équipage au complet comprenait un Brosseur —
Un Bonnetier fabricant de capuches —
Un Bâtonnier, venu arbitrer leurs rancœurs —
Un Broker pour évaluer leurs biens.

Un Marqueur de Billard à l’immense talent
Aurait grugé ses compagnons placides —
Si un Banquier, recruté contre émoluments
N’avait en charge leur argent liquide.

Et un Bièvre, ou castor, arpentant le pont,
Ou, au bossoir, faisant de la dentelle :
Souvent (dit l’Aboyeur) sauva la cargaison —
Pour les marins, c’était accidentel.

La suite ici :

http://wvorg.free.fr/hoepffner/spip/spip.php?article94

Clopine dit: à

Ah oui, Renato, ceci vous ressemble bien… Bon, voici donc pour vous :

« « Il était grilheure ;
les slictueux toves
Sur l’alloinde gyraient et vriblaient ;
Tout flivoreux étaient les borogoves
Les vergons fourgus bourniflaient. »

Polémikoeur. dit: à

La leçon ou la « morale » de cette histoire…
… »un détail suffit à perturber »…
et pas de proportion entre la taille du détail (!)
et l’ampleur de la perturbation ; soit !
Il est quand même bien commode
de coller la responsabilité
de la perturbation
sur le dos d’un détail
alors que le germe du chaos
reste inscrit dans le patrimoine profond
de l’animal conscient de l’être (conscient)
et qui se trimbale et une mémoire et l’idée
donc de ce qui pourrait (lui) arriver.
Est-ce pour autant « pécher » que céder
au vilain défaut de la curiosité ?
Au mirage ondulant de l’ailleurs
qui ne peut être que meilleur ?
Est-ce « mal » ? Parce que c’est risqué ?
Parce que l’individualisme qui détache du groupe
ne doit être qu’exception pour que le risque
ne repose que sur l’aventurier et surtout pas
sur le groupe ?
S’il peut exister un éden où l’herbe est plus verte,
le groupe tolère le départ de quelques éclaireurs
à sa recherche puisque l’espérance de gain élevée
l’emporte sur le risque de perdre la mise.
Le conte effrayant ne serait-il qu’un enclos virtuel
à l’intention du troupeau qui doit rester en place
et en ordre en attendant le retour d’un prophète
et l’annonce d’un éventuel âge d’or ?
Laterrérondement.

JC..... dit: à

De retour de jogging –rien de meilleur pour vous donner des idées claires, que de courir quelques kms- j’ai pris une décision importante qui en réjouira plus d’un (e) ! Partir … Quitter la république définitivement !

Je m’explique ! Des malfaisants, des vilains, des petits, m’ont traité ici-même de : raciste macho homophobe facho collabo pseudo-scientifique scootériste égoïste inculte humaniste con …

Cela fait beaucoup pour un seul homme ! Il y a du vrai, mais…. tout de même !

Avant de quitter ce blog, je me dois de protester de mon innocence car je m’inscris en faux contre cette manie réductrice de coller des étiquettes politiquement correcte sur un homme qui vous est absolument inconnu !

Raciste ? Pas le moins du monde ! Offrir une banane à Taubira est à mes yeux un acte d’amour sans pareil. De même du couscous à un maghrébin, du riz à un asiate, un gode-ceinture à une gouine …

Macho ? Relisez les Livres Saints : je suis à cet égard un véritable féministe ! Exemplaire, affectueux, respectueux, de nos chères soeurs !

Homophobe ? Pas du tout ! Je pense seulement qu’il ne faut pas flatter ces bas instincts qui mènent droit en Enfer. Toute maladie mentale se soigne et guérit, un jour ! Il faut aider ces pauvres gens … ces gentils enculés.

Facho ? Vous rigolez les gauchistes : votre démocratie –donner le même poids électif aux Gros Nuls et aux Prix Goncourt – est aberrant ! Cela ne marche pas … sauf promesses mensongères et attrape couillons divers !

Collabo ? Un excellent moyen de faire du pognon en léchant les culs qui ont du pouvoir. Par exemple, les media font toujours ça, quel que soit ce pouvoir !

Pseudo-scientifique ? Pourquoi pas «littéraire», quand à être ignoble, insultant et cruel avec moi ?!

Scootériste ? Vous y viendrez lorsque le litre de carburant sera à 3 € !

Égoïste ? Question de survie en milieu hostile. Conseil : faites pareil !

Inculte ? Lire Proust fait plus de mal que de bien : il suffit d’observer les résultats chez certain( e) drogué( e)s. Bonne lecture pour les femmes de ménage en quête de promotion sociale…

Con ? Le sentiment qu’il faut faire le con sciemment pour ne pas le devenir sans s’apercevoir de rien !

Humaniste ? C’est ce gros mot qui m’a fait le plus de mal… il y a vraiment des gens méchant.

Inutile de vous dire que ma décision de disparaitre est définitive. Il sera illusoire de supposer que des trolls disant du mal des meilleurs de ce blog passoulinien, seraient des avatars de celui qui fut brisé par la haine des malfaisants, des intolérants, des scorpions fielleux !

Allez vous faire voir, maudits ! Quelle absence de tendresse, louange, appui, quel manque de compassion de beaucoup d’entre vous, pour un homme qui souffre tant !

Adieu ! Salut fraternel au taulier ! Embrassades pour les amis, bras d’honneur et quenelle puantes pour les autres !

renato dit: à

« Il était grilheure ;
les slictueux toves ;
Sur l’alloinde gyraient et vriblaient ;
Tout flivoreux étaient les borogoves ;
Les vergons fourgus bourniflaient.
Prends bien garde au méchant Meuporg, mon enfant ! »

Anonyme…

Onésiphore de Prébois dit: à

JC, vous n’avez qu’une seule burne (je vous cite), comme d’autre part vous vous prenez pour plusieurs individus (idem pour John Brown) (TKT)

Vous n’allez pas vous y mettre vous aussi. Il suffit bien que l’hôte de ces bois ait eu à ce sujet des mots que j’ai trouvés assez désobligeants. Je le laisse à ses remords. Qu’un bout de corde… Mais enfin sachez que j’ai besoin de ces diverses identités pour gérer l’éventail de mes affaires dans les pays du monde où elles me conduisent, et dont les mesquines et inutilement tâtillonnes législations entraveraient autrement mes entreprises. Ainsi, je puis bien vous confier (il y a prescription) que, sous le nom de Père Brown, j’ai naguère, dans le Transcontinental, entre Mococo et Buenos Aires, veillé au salut de l’âme d’un diamantaire juif du nom de Goliadkin, dont la marchandise intéressait le Saigneur. Pour plus amples informations, consulter le rapport établi sur cette affaire par Messieurs Borges et Bioy Casares dans « Six problèmes pour don Isidro Parodi ».

renato dit: à

Vous oubliez “champion du monde de pédalo sur plage”, JC…

Cela dit, voyons-voyons, vous lâchez prise aux premières contrariétés ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…l’éducation divisée,…des techniciens politiques d’amalgames fonciers de collaboration du droit avec le coeur des promesses à s’en foutre des peuples,…
…les objectifs nous faire la peau,…avec nos glands de chêne susse-pendus dans la morale forêt,…
…la Soeur Supérieure dans ses oeuvres,…
…à table,…
…le partage aux familles divisées,…prétextes serviles aux aristocrates en manque,…
…la collaboration pour des oiseaux sans têtes,…avec du bordeaux of course!,…

…Paris,…elles grandissent vos filles,…
…c’est quand les chapeaux à pointes en  » catimini  » non moins orthodoxes,…

…les chambres d’étudiant(e)s,…on s’arrangera,…avec les petits à côté de la vie quotidienne, la maturité morale en lambeaux pour châteaux d’Ô,…
…les pays de tout les droits sociaux,…etc,…
…mais c’est sur la case blanche,…
…je vous montre les phases de jeux,…j’adoube et par cette ouverture-là,…je reste au lit avec banane chérie en terre sainte,…
…je susse-pend mon vol,…c’est pas trop tôt, canaille de philosophe à pointe lubrifiées de droit,…etc,…
…vite mon café!,…Bip!,…Bip!,…Ah!,…Ah!,…etc,…

Polémikoeur. dit: à

D’un autre côté,
pour le sédentaire,
la découverte d’une trace,
du passage de quelque inconnu,
à la lisière de son champ
a toujours représenté
une menace diffuse.
Laboureusement.

Jacques le F. dit: à

JC….. dit: 9 mars 2014 à 8 h 54 min
« De retour de jogging… »

Vous plaisantez?

renato dit: à

Le voyageur, le passant, l’itinérant, l’ambulant… maintenant il y a aussi le touriste excentrique… celui qui croit battre des sentiers “jamais” battus…

Polémikoeur. dit: à

D’un article à l’autre,
comme d’une génération à l’autre,
corde peut-être, parfois, mais lien, plutôt.
Les marins ont bien raison de ne réserver
la corde qu’à la cloche de quart
(et, autre temps, aux pendaisons !).
Sans doute parce qu’ils n’en étaient pas
avares d’usages.
Cordalement.

Polémikoeur. dit: à

Dans le fantastique,
le merveilleux côtoie souvent
le versant obscur.
L’inconnu, l’inexplicable,
recèle une part de force insurmontable,
d’où la peur légitime ressentie à son contact.
Peureuligieusement.

Polémikoeur. dit: à

Le « touriste excentrique » de 9 h 23 :
ils sont beaucoup moins qu’ils ne le pensent,
quelle que soit la catégorie dans laquelle ils s’inscrivent.
Exit, pour commencer, le client de voyage organisé.
Parmi les voyages à la carte, combien « refont »
plus ou moins le circuit d’un(e)tel(le) ?
Idem pour les « expéditions » !
Restent quelques scientifiques spécialisés
et des coureurs de record (absurdes parfois)
pour tutoyer les rivages de l’inconnu.
Touropératueusement.

Polémikoeur. dit: à

« La nécessité de se succéder »…
Et comment l’éviter, à moins de surgir de rien ?
Souprimitivement.

Polémikoeur. dit: à

Autrement hasardeux, objectivement ou pas,
de trouver l’accord acceptable
entre les générations,
d’avant et d’après.
Gamétocidement.

renato dit: à

« ils sont beaucoup moins qu’ils ne le pensent »

Ce n’est pas par hasard que j’ai écrit : « celui qui croit battre des sentiers “jamais” battus… »

Cela dit, il y a les lieux qui disparaissent. Près de Côme : un pont pas très long mais assez large pour que deux poids lourds y passent ; de l’autre côté des platanes jamais élagués ; une muraille : vu en 71 et depuis impossible de retrouver le chemin pour y aller.

Par ailleurs, un poète (Sergio Solmi) parle d’un lieu-dit (Vallée d’Aoste, il me semble) dont il se souvient avoir vu le panneau avec le nom : « Maè » (mais il est). Il n’est jamais arrivé à retrouver ce panneau… il se demandait donc « Mais il est ou il n’est pas ? ».

D. dit: à

Faire croire qu’on peut vivre presque en symbiose avec son troll est un aveu de faiblesse.

TKT dit: à

De plus en plus, JC ressemble à D.bile-son-fils-d’esprit, maintenant il nous annonce son départ de la RdL. Comme les mauvaises herbes, les deux trolls pervers narcissiques, reviennent inlassablement.

Polémikoeur. dit: à

Oui, bien sûr !
Des géographies en pointillés,
en péril (Pompéi) ou aux limites
de l’imaginaire : très beau sujet !
Et pas besoin d’aller très loin.
« Il y avait, ici, une boutique où… ».
La petite rivière dans le vallon (Sotchi !).
Monter au sommet du World Trade Center, jamais !
Une liste ouverte, à cheval entre forum
et jardin secret.
Concordialement.

Polémikoeur. dit: à

Suite à 10 h 21 et toujours en écho à 10 h 06 :
Sans oublier les dorénavant très harrypottériens :
« J’aurais juré qu’il y avait ici une porte,
une rue, un château, un autre monde ensoleillé ! ».
Laberlufiscotement.

Comptage dit: à

TKT dit: 9 mars 2014 à 10 h 15 min
les deux trolls

Tu vois Thierry, quand tu veux, tu peux.
Fais encore un effort, puise en toi, admets.
Nous sommes beaucoup plus de deux.

Marcel dit: à

Passou, champion cruciverbiste ?

Il écrit « en voir le bout »

en deux lettres évidemment.

C’est mieux que « là où finit finir »

Jacques le F. dit: à

Marcel dit: 9 mars 2014 à 12 h 02 min

jamais « demain »

Jacques Barozzi dit: à

Marcel, s’agissant des mots croisés, on dit « cruciverbiste » pour celui qui résout les énigmes, tandis que celui qui les crée est appelé « verbicruciste ».
J’ai été jadis verbicruciste, notamment pour le quotidien Ouest-france, au début des années 1980…

Péraique dit: à

J’ai été jadis verbicruciste
baroz

Avec son goût pour un vocabulaire limité il ne faisait que des grilles de Force 1.

Jacques Barozzi dit: à

Chez lui, la rumeur prime sur l’information.

Solution : Péraique.

Sergio dit: à

abdelkader dit: 9 mars 2014 à 1 h 38 min
je me souviens pas de tennis deserts ni de vélo…

Là c’est d’Inde, comme disait Charles-Maurice : le vélo d’Anne-Marie Stretter ! Pour Marienbad c’est tellement classique géométrique absolu, comme parc, qu’effectivement pour rajouter encore des tennis…

kicking dit: à

pas croyables ces laïusophones.. enfin, ça aurait pu être pire, je pourrais être un grand connaisseur en NTC étalant son savoir tout offrant mon total soutien aux monomaniaques crachotant inlassablement la même merde..

renato dit: à

C’est une option qui en vaut d’autres… après, il faut voir le profile…

kicking dit: à

le profile, ah faut rire, après en avoir vu tant ramper en se tortillant pour mendier « envie moi ! ».. sûr que le pathétique c’est vraiment du vilain caca quand on aime le pitoyable à ce point..

kicking dit: à

et tout ce cirque pour à la fin n’avoir rien d’autre que « va chier » à dire pour inviter à brasser autre chose que de l’air..

renato dit: à

Les options vont avec le profile : pas de profile pas d’options… puis on peut brasser n’importe quoi, de la bière, même… mais il faut un profile…

Sergio dit: à

Corboeuf dans le fantastique on a oublié le plus grand de tous là comme ailleurs Ferdine ! La description de Berlin je me demandais vraiment ce que je lisais… Si c’était pas un autre bouquin camouflé ! Et la traversée de l’Allemagne en chemin de fer… On a beau s’y attendre…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…rien à raser,…cette après midi,…Oui,…
…je recommence à avoir des invités,…
…une personne à le fois, c’est mieux,…

…avec tout ces cleptomanes de crise-provoquée !

…Oui,…des mensurations de flic-bustière à patin en roulettes pour meubles amovibles,…etc,…

…poussez  » on « ,…sur le bouton rouge,…pour allumer les feux,…
…mais, qu’est ce que çà consomme,…les endoctrinées de bijoux,…la peaux des fesses!,…
…envisager un élevage aux parfums !,…of course !,…etc,…Bip,…Bip,…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…en Bleu-Marine,…un collectif-mendient de l’espoir des cathédrales,…à la rallonge-là!,…

…se faire une branlette pour fille à universitaire à papa,…Dieu te là rendra!,…of course!,…la grâce d’un Dom Pérignon,…
…au suivant, remplir la bouteille adroite!,…
…St-Ciré, Dieu nous garde,…à cheval sur nos moutons!,…of course,…sur la dominante couleur!,…etc!,…

hamlet dit: à

Ceux qui ont la bonté de nous accorder leur pardon le font parfois avec l’intention de faire de nous leur esclave.

kicking dit: à

Les options vont avec le profile : pas de profile pas d’options…

ouais ben les vieux cons m’excuseront de ne pas aimer les vieux cons et en particulier les vieux cons qui ont besoin de faire des jeunes des vieux cons avant l’âge, bon dimanche chez les majoritaires..

renato dit: à

Pas “besoin de faire des jeunes des vieux cons avant l’âge”, c’est déjà fait…

kicking dit: à

ah oui tiens c’est vrai qu’ils sont nombreux à avoir le même profil que toi: le nez dans mon cul..

Sergio dit: à

renato dit: 9 mars 2014 à 17 h 11 min
Pas “besoin de faire des jeunes des vieux cons avant l’âge”, c’est déjà fait…

Oui. Une génération de quarante, qu’on a… C’est limpide voyant…

renato dit: à

« le nez dans mon cul.. »

Vous voyez bien que vous êtes déjà un jeune con… bien que… il y en a de comme vous qui trichent sur l’âge…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…je ne peux rien dire,…même rien,…pour respirer!,…et çà fait la pincée de sel, qui écume,…
…c’est, incroyable au détour à noeuds du chemin,…une corde en bataille hissée haute du clocher,…
…les vêpres en stalles à Dom Périgon,…Ah!,…etc,…

Marcel dit: à

Bon, je vous l’accorde, monsieur Assouline, on ne peut pas dire que le conte que vous nous baillez soit usé jusqu’à la corde, mais enfin, il y a deux bouts dans une corde et pour éviter de faire un conte à dormir deux bouts, on peut dire qu’en coupant cette corde, on obtient quatre bouts. Poursuivant ainsi cette opération, on obtient, après un temps assez long certes, une infinité de bouts. Ainsi, le bout qui vous intéresse devient négligeable devant le nombre de bouts que l’on obtient à partir de cette dichotomie. Alors, qu’il y ait une cloche, une biquette ou un pendu au bout de votre bout, n’a plus aucun espèce d’importance. Dans un prochain billet, n’omettez pas de dire que le fil que vous utilisez est insécable, pour éviter ce petit déboire, cela tondera l’herbe sous le pied aux gens, qui aiment couper les cheveux en quatre, de vous contredire.

Sergio dit: à

« Deux d’entre eux décident de rentrer au village. » : là c’est fort ; et en plus il leur reste toutes les taupes…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…astiquer le vernis d’château,…c’est déjà le pied de grâce dans l’y tel à la corde!…

…s’asservir sans s’enchaîner aux boudoirs à cordes,…
…mon majordome!,…la 8,…ce soir!,…
…attention Monsieur de St-Ciré,…son vernie vas se prendre des cloches à noeuds,…

…c’est, bien la Mercedes à peau-fine de vélin,…
…un petit tour,…chez les folles,…
…n’oubliez pas votre badge,…çà vous rajeunie le pourpoint!,…
…la hurre à Jeanne, toujours du bon côté!,…
…Oui!,…molo,…ne poussez pas tous ensemble derrière moi!,…Ah!,…çà s’en va et çà revient,…çà ira!,…çà ira!,…etc,…
…la corde au pied pour un coup!,…c’est trop!,…

bouguereau dit: à

…n’oubliez pas votre badge,…çà vous rajeunie le pourpoint!

le jeune pourpoint ne fait pas le perdrau de l’année

u. dit: à

Passer par ce blog, c’est devenu passer chez Drouant, vue la petite couverture à droite qui nous fait de l’oeil.
Ces convives qui bambochent jour après jour me donnent l’impression de me narguer.
C’est ça, l’effet génération?

Dans le numéro de la revue de Debray, je vois un résumé qui me nargue aussi.
Cette phrase de Mme Malaval me laisse circonspect:

« Cet inventaire des faits que l’on a vus (autopsie) et des faits que l’on surplombe a posteriori (sunopsis) demeure le problème fondamental de l’historien dans sa relation à l’histoire de sa génération. »

La corde ou la ficelle semble relier deux notions hétérogènes (pourquoi pas synopsie pour la beauté du parallèle?).
Surtout ce pédantisme me laisse sur la touche, c’est mortifiant.
Ce qu’on voit soi-même et ce qu’on voit ensemble, c’est ça?
Ce qui fait l’expérience et ce qui vient après l’expérience?

Hélas, je ne connaîtrai probablement jamais les secrets de ce couple conceptuel.

u. dit: à

« le jeune pourpoint ne fait pas le perdrau de l’année »

Pourpoi?

Clopine dit: à

Personnellement, Marcel, je dirais qu’une fois n’est pas coutume : notre hôte a changé sa manière de « critiquer » la littératute, ce qui nous laisse un peu sans voix.

D’habitude, l’exercice est parfaitement maîtrisé : remise en perspective, analyse littéraire, soulginement de l’aspect novateur (ou non), diagnostic social de l’auteur, etc. Mais là, notre maître a changé de registre, se « bornant », en quelque sorte, à adopter le rythme même du livre qu’il chronique.

Et peut-être cela ne marche pas.

Bref,Pierre Assouline (qui ne peut pas être génial tous les jours) ici marque le pas. Et du haut de sa posture professorale, il patine un peu. Bref, « l

Clopine dit: à

Bref, bref, aujourd’hui : « la chaire est triste », hélas.

u. dit: à

L’article suivant, intitulé noblement Que sont les militants devenus?, a quelque chose de sympathique:

« Longtemps, la transmission du savoir constitua le coeur de l’apprentissage politique, à droite comme à gauche. Il existait des instances de passages de témoin intellectuels : conférences, débats, revues, journaux… On observait également un apprentissage au quotidien des pratiques militantes : savoir rédiger un article, un tract, s’exprimer oralement, organiser un service d’ordre, perturber une réunion publique adverse… Il y avait la convivialité du local, l’atmosphère enfumée du café, la chaleur collective du meeting, la sociabilité étroitement mêlée à la camaraderie (Très bien). On chantait en général faux, on buvait souvent sec (Bien vu). L’initiation individuelle à la chose publique allait de pair avec la communion du groupe. »

Pourquoi faut-il que ce soit moi qui doive rappeler que les histoires de cul font aussi partie du paysage?

Bon, j’ai dit une connerie sur la photo, je suis allé déterrer le lien.
J’ai fait mon boulot.

u. dit: à

« notre hôte a changé sa manière de « critiquer » la littératute, ce qui nous laisse un peu sans voix. » (Clopine)

Tûtût.

« Bref,Pierre Assouline (qui ne peut pas être génial tous les jours) ici marque le pas. Et du haut de sa posture professorale, il patine un peu. Bref, « l »

Bref.
Je ne suis pas d’accord.
Je me souviens d’avoir lu ce billet dans la nuit (premier à poster, if you please) et avoir été frappé par un texte qui démarrait comme s’il était lui-même non un article mais un conte ou une nouvelle.
Une manière de charme se trouvait transmis (ce qui est quand même le thème).

Heureuse exception, donc, nous avons suffisamment de professeurs (pas trop, pas trop).

José Bové dit: à

La chaire est triste, la chèvre est triste

renato dit: à

Ce qu’il aurait fallu dire c’est que celui qui découvre la corde — Bernhardt — pratique chaque soir un rituel : il s’assure que la fille dorme ; que sa femme ait éteint la lampe à pétrole ; il rempli sa pipe et il sort fumer. Et c’est en fumant qu’il arrive à la sapinière… etc.

des journées entières dans les arbres dit: à

« Le doute les hante. Et s’ils tournaient en rond ? Et s’il n’y avait rien au bout du bout ?

La parabole, chacun y met ce qu’il veut. Voire.
une figure de rhétorique
une figure géométrique
une comparaison imagée

Cerise sur le gâteau, la réception par satellite ?
déjà diffusé !
http://www.youtube.com/watch?v=qsP-QdIA1os

Sinon, y’a beaucoup de citadins, et autres casaniers, qui s’ennuient ici, didon.

Paul Edel dit: à

J’ai longtemps hésité à communiquer à la RDL ce texte reçu vendredi midi. c’était un petit paquet mal ficelé venant d’un ami un peu perdu de vue, , professeur de lettres à la retraite. Il vit dans les Pyrénées, à Pau exactement .A sa charmante carte postale représentant la grotte de Lourdes, il a joint une revue assez mince , à couverture jaune passé, « le Renouveau littéraire numéro 9 ». Il m’a signalé un article ,pages 22 à 28, intitulé « « Figure normande « . Je vous le photocopie sans aucune coupure ni retouche.

« Ame passionnée, inspirée par la lecture de Michel Onfray cette mère de famille d’origine normande vit dans une jolie ferme du pays de Bray, sur cette terre viking qui s’abreuve à pleins bords des pluies venues de l’océan. Parmi des prairies saturées d’eau, cette femme encore jeune , altière, éduque son fils, nourrit ses animaux, chante et cuisine au milieu de son époux et de ses animaux.. Elle vit, dans son adolescence , son énergie dilatée par la lecture des grands auteurs, de Victor Hugo à Marcel Proust. Elle comprit alors que le présent à la ferme ne lui suffisait plus et que le moment d’une nouvelle entreprise etait arrivée :elle créa un blog. Le bouillonnement littéraire et humoristique, la force d’une conviction, grossi par l’afflux et les péripéties d’une chronique familiale enjouée , lui valurent la renommée .Elle fascina le Milieu littéraire parisien par sa fougue, où la blague et la franchise le dispute à l l’attendrissement. Celle qui se fait appeler Clopine eut son chemin de Damas dans les allées du Salon du livre en rencontrant les plus belles figures de la littérature contemporaine. Son énergie naturelle fut alors sublimée dans le rêve d’un destin hors du commun grâce aux encouragements des plus hautes figures littéraires.. Elle publia un essai sur Proust et un recueil de nouvelles à caractère visiblement autobiographique qui satisfont aux exigences profondes des lettrés de sa génération. Pour bien des admirateurs de son blog, elle devint une Muse, au sens Romantique du mot. Ce fut pour elle l’occasion rêvée d’échapper à l’ennuyeuse et routinière vie de province malgré les beautés du passage des saisons sur le toit de chaume et les pizzicati des rossignols.
Ses interventions pleines de rêves , de familiarités, de sincérités successives, ses interventions exaltées, le flot débordant de ses jugements sur la RDL attirent alors les personnalités les plus diverses. Mais ses combats féministes et écologiques, son militantisme prolétairien-logé dans une âme d’ascendance si nobiliaire- attirent sur elle des puissances de destruction, des figures de colère, une meute de jaloux et de congénères envieux. Notamment chez les femmes. Des Erinyes apparurent. malgré les paroles affables de quelques- uns, personne n’arriva à désarmer ces Furies . Pire :ce combat personnel de Clopine mené pour le progrès humain lui vaut des inimitiés de certains commentateurs qui avaient favorisé ses premiers pas dans la prose. Certains timorés s’’éloignent de sa personnalité héroïque. Ce fut alors l’entrée dans un cycle de dérèglements, une bacchanale d’accusations réciproques, de reproches démesurés, de ricanement et de dérision générale qui fit que les bons esprits désertèrent le lieu.
Clopine passa outre. En elles- mêmes, ces inimitiés, ces sarcasmes eussent été sans gravité, mais la violence ,la fréquence, la bassesse ,l’acharnement et la continuité des attaques, exaspérèrent cette héroïque figure, qui, les mains noires de l’encre fraiche avec laquelle elle écrit ses pensées et ses émotions, combat d’une inspiration pure et étincelante, comme les ruisseaux qui cernent sa demeure.. Tenant ferme la hampe du drapeau du progrès culturel déchiré, elle traverse des bataillons d’ennemis et se bat sans hésitation pour briser les progrès du machisme et de l’Inculture.. Elle quitte des positions modérées pour des positions plus dogmatiques , aussi bien en politique qu’en littérature. Selon ses détracteurs elle prend alors l’initiative d’une lecture terroriste et triomphale des évènements culturels marquants. Elle apporte son imagination, des torrents de rêve et de générosité au pied de ceux qui n’ont ni les loisirs ni la fortune qui leur permettraient d’avoir accès à la culture et qui se refugient par dépit dans l’alcool,le PMU et le foot. Elle met à jour les misérables combines, la foire aux vanités des accapareurs de la Culture de la haute bourgeoisie qui veulent garder dans leur bibliothèque dorée un savoir qui leur permet de régner sur des foules humiliées. A propos de la publication « d’eddybellegueule » elle frappe un grand coup :elle prend la tête d’un comité de surveillance qui cherche à rendre homogène ce qui doit s’écrire à propos des nouvelles publications romanesques parisiennes. .En pleine période de troubles électoraux , elle forme des sections à Rouen, à Elbeuf, dans le pays de Bray ; elle demande alors le châtiment des esthètes décadents et des ces molles figures blanchâtres de l’élitisme culturel qui dressent un mur de papiers et de livres entre eux et le Peuple. Sa famille la retient de distribuer gratuitement ses œuvres.sur les marches de la cathédrale de Rouen, si bien peinte par Flaubert et si bien décrite par Monet..
Blessée par des comploteurs de sensibilité ultra- bourgeoise qui forment une agitation hideuse , surprise que ses plus fidèles lecteurs écologiste ne se rallient pas à chaque poussée de sa générosité et de sa hardiesse, elle quitte soudain la scène littéraire et médiatique pour un déroutant voyage dans la Russie de Vladimir Poutine .
Elle laisse ses admirateurs aussi bien que ses détracteurs dans une âpre rivalité qui ne masque pas un de réel désarroi. Certains disent qu’à l’abri des rayons du soleil printanier, elle surveille la chicorée coriace de son jardinet tandis qu’elle noircit des petits cahiers d’écolier pour capter les derniers échos de sa jeunesse enfuie.. »
Extrait d’un article d’une rubrique titrée « Figure normande et renaissance culturelle « » mars 2014. C’est signé Palmyre de Giraud de Prébois..

Charles de Consigny dit: à

si Clopine tombe, Rouen meurt, Rome et son empire chutent, les barbares triomphent

Mairie d'Elbeuf dit: à

Communiqué de Michèle LEJEUNE, chargée de l’Ouverture sur le monde / Paul Edel ! Toucher à Clopine Trouillefou, c’est toucher ELBEAUF au cœur.

renato dit: à

Et naturellement c’est l’instituteur, un gars toujours accompagné par deux dogues allemands, qui persuade les hommes qu’il faut découvrir où conduit la corde… comme quoi…

Jacques Barozzi dit: à

Mais, au-delà de la parabole, vous ne nous dites pas, renato, si vous avez trouvé le livre bon, ou non, du stricte point de vue littéraire ?

Onésiphore de Prébois dit: à

Palmyre de Giraud de Prébois n’est pas membre de notre famille. Il s’agit probablement d’un imposteur ukrainien infiltré.

renato dit: à

Vous savez Jacques que je l’ai lu en traduction, ce qui peut faire problème car, indépendamment des garanties de l’éditeur (que là je vous passe, mais nous sommes dans le dithyrambique), il se peut que les qualités du traducteur jouent un rôle dans mon appréciation… donc…

Jacques le F. dit: à

renato dit: 9 mars 2014 à 19 h 10 min
« … celui qui découvre la corde — Bernhardt — pratique chaque soir un rituel : il s’assure que la fille dorme ; que sa femme ait éteint la lampe à pétrole ; il rempli sa pipe et il sort fumer… »

Là, je vois l’oncle Félicien de laie Philémon.
Rien à voir …

Jacques le F. dit: à

de la série Philémon

Chaloux dit: à

Pierre Assouline,
Je constate que parmi les posts dans lesquels un usurpateur me prêtait des propos antisémites qui ne me sont pas supportables, vous avez laissé celui de TKT qui cite cette ordure, la croyant naïvement mienne. Quoiqu’on fasse, elle me demeure donc associée. Je vous serais très reconnaissant de faire disparaître ce post.
Avec mes remerciements,
Voici :
TKT dit: 6 mars 2014 à 7 h 45 min

hamlet dit: à

très joli texte de Clopine, c’est juste dommage que Michel Onfray vienne le gâcher par sa présence en première.
sans Onfray il serait parfait.

Chaloux dit: à

Clopine, j’ai oublié de vous dire, je vous pique votre atroce assassinat de dindon pour en faire un petit truc. Merci !

hamlet dit: à

Clopine sérieux, si vous voulez que vos écrits passent la postérité il faut virer Onfray, vous imaginez si on les lit dans 100 ans, l’histoire ne fait pas de cadeau aux philosophes les plus crétins, il arrive toujours un moment où il se voit démasquer.

Clopine assez rigolé : Proust ou Onfray il vous faut choisir !

u. dit: à

Paul Edel dit: 9 mars 2014 à 19 h 22 min

Ouaouuuuuh!

Un Coeur Simple, hollando regnante!

Clopine, si vous passez par là, voyez la qualité de l’attention qui ne va pas sans une très profonde empathie.

Ce post m’a mis de belle humeur.
J’ai ouvert la fenêtre et sous une lune précise, car il n’y a pas de pluie, j’ai chanté sur un air du Faust de Gounod (baryton, me semble-t-il)

« Que de tendreeeeesse,
En cette cruauté… »

(richesse/ pauvreté bien sûr, Chaloux va retrouver la partition).

Hourrah!

rose dit: à

Je n’en reviens pas.
Stefan aus dem Siepen parle de son livre en français. William Boyd parle de son James Bond dans un parfait français.
Frédéric Wiseman s’exprime en français châtié.

Je vais l’acheter, le lire.
Ai bcp apprécié votre manière d’écrire ce billet Passou.

Je ne sais qui parle de saint jean ; il aurait écrit Laisse tous tes biens, quitte tout et pars.

rose dit: à

>Paul Edel
concernant votre article mis en ligne sur Clopine : il est fort exagéré de dire les femmes et de toutes nous convoquer chez les Érinyes.
Non : nombre de trolls de Clopine sont hommes/homme ?. Une femme principalement est son troll aussi.

Pour le reste, c’est assez dithyrambique.
Néanmoins, cela nous réduit à vivre dans une réduction parce qu’hors les murs, et ceci ne correspond pas à une réalité concrète à mon sens.

Comme si la littérature n’avait pour fonction que de pallier à un ennui quotidien alors qu’elle est breuvage et liquide amniotique, nourricière Paul nourricière…

Cessons les dichotomies vous proposerai-je, Paul Edel.

(charmant admirateur, ceci étant : silencieux mais dévoué)

des journées entières dans les arbres dit: à

je n’en reviens pas non plus. Que personne n’ait évoqué la psychanalyse des contes de fées.

« James Dickey, lequel était d’abord un poète »
C’est juste. Il s’y est consacré entièrement dès l’âge de 38 ans.

« In the tree house at night.

And now the green household is dark.
The half-moon completely is shining
On the earth-lighted tops of the trees.
To be dead, a house must be still.
The floor and the walls wave me slowly;
I am deep in them over my head.
The needles and pine cones about me
… « 

rose dit: à

« Que mon conte soit beau et se déroule comme un long fil »
Taos Amrouche

rose dit: à

Je l’ai conté à des Seigneurs

rose dit: à

Ai adoré lire ce billet.
Waouh !

Copie conforme dit: à

rose dit: 9 mars 2014 à 21 h 09 min
>Paul Edel
concernant votre article

Paul ?
Mais rose, pourquoi pas Onéné pendant que vous y êtes.

renato dit: à

Le nom des Grimm a été fait, c’est par ailleurs vrai que l’on croit lire une fable (parabole c’est un mot que dans ce cas me laisse perplexe), et on sait que dans une fable chaque signe a un sens… donc, Bernhardt sort de chez soi fumer sa pipe et découvre “la corde”…

Onésiphore de Prébois dit: à

Ai adoré lire ce billet.
Waouh ! (rose)

Voilà bien le genre de commentaire qui vous donne envie de célébrer la journée de la femme.

Béhémoth dit: à

Salutation’sss !.

Le titre, c’est pour Vauban ?.

des journées entières dans les arbres dit: à

(parabole c’est un mot que dans ce cas me laisse perplexe) Rose

C’est ce saut quantique de la pensée avec la revue Medium, qui laisse perplexe.

D’où l’aventure d’un petit groupe d’hommes ( sans queue ni tête cette aventure ? aussi hasardeuse que de vouloir théoriser les rêves) devient celle d’une société.

la ficelle sociologique, que dis-je médiologique, est assez grosse.

rose dit: à

>onésiphore de prébois

si t’es pas content c’est pareil.
Waouh.
bis répétitat

renato dit: à

Un brin d’attention, des journées…

u. dit: à

« la ficelle sociologique, que dis-je médiologique, est assez grosse. »

Jamais assez chez nous, Journées, jamais assez.
Demandez à Jacques.

rose dit: à

>Clopine

en chaire c’était ‘achement chouette : ai failli renoncer et ai d’ailleurs coupé le poste brutalement. Puis me suis dit courage et me suis farcie deux sermons en chaire. Un protestant et le suivant de Notre

Onésiphore de Prébois dit: à

si t’es pas content c’est pareil.
Waouh.
bis répétitat (rose)

C’est bien ce que je pensais : la journée de la femme, c’est un peu comme en Chine l’année de la truie.

rose dit: à

Dame de Paris.
C’était passionnant sur France Culture. Le thème était pourquoi dieu choisit pas tout le monde. Et pourquoi y’a des chouchous.
C’est vrai, si on y pense c’est dégueu comme concept. Mais là c’était premier dimanche de Carême alors me suis dit faut comprendre quand même ces trucs compliqués.
Et le type parlait beaucoup d’

des journées entières dans les arbres dit: à

renato dit: 9 mars 2014 à 21 h 42 min

Renato, vous avez avalé la cerise de travers ?

rose dit: à

Eric Emmanuel Schmitt et de son expérience seul la nuit dans le dé&sert enterré dans le sable avec pour ciel les étoiles à 29 ans.

renato dit: à

Pas du tout des journées, mais lorsque je cite je prête attention…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la chasse,…c’est déjà en automne,…

…une forêt à noeuds a nulle autre pareille,…
…si verte et aux couleurs à cordes enroulées DANS l’obscurantisme,…à déployez,…etc,…

des journées entières dans les arbres dit: à

renato dit: 9 mars 2014 à 21 h 48 min
C’est très bien Renato.
Vous avez isolé le noeud de cette corde ?

u. dit: à

« C’est bien ce que je pensais : la journée de la femme, c’est un peu comme en Chine l’année de la truie. »

Ce propos est atroce.

rose dit: à

la truie de diamant onésiphore

quant à la palme des propos atroces, gardez-vous la.

renato dit: à

Quoi, des journées, vous êtes incapable de revenir un instant sur vos pas ?

Chaloux dit: à

Gaffe, John Brown, le jour de ta fête il y aura aussi des filles! Et tu les connais quand elles sont pas contentes?
(Tous tes posts sont transmis journellement à la troupe)

rose dit: à

conte de la Chine ancienne

rose dit: à

on peut l’introniser Palmyre Onésiphore je te propose.

rose, fidèle lieutenant

rose dit: à

Tiens bon didon
t’auras bientôt le bout (tant que c’est l’bon)

rose dit: à

alors nœud/nœud si pas de chaise

Fragment d'un D.A. dit: à

C’est regarde DTC
hé, t’es deux fois un connard de la vie toi

des journées entières dans les arbres dit: à

renato dit: 9 mars 2014 à 21 h 53 min
Renato mettez du sens à vos phrases, ou finissez-les vous-même.

La comparaison de ce rêve de Stefan aus dem Siepen, avec le livre de James Dickey s’avère nulle et non avenue.

Joie de ce hasard, qui m’a fait repenser à ce livre « Délivrance ».

rose dit: à

http://www.youtube.com/watch?v=UkbsTmLPaWU

tu tapes banjo
tu voies délivrance
tu vois lucchini le couple tu tapes lucchini

et tu vois cela où il dit tout
ton projet
repeindre le studio en blanc
faillir mettre les bougies mais se retenir
préparer un ‘ti plat dans deux assiettes
et puis l’autre qui s’enfuit t’as pas encore compris pourquoi

comme le type qui marche depuis vongt cinq ans chez moi
mince et droit
on dirait van gogh

vincent
le peintre

rose dit: à

vingt cinq ans il marche non stop très droit les yeux devant pas derrière
sans corde sans rien

il avance juste

u. dit: à

« Ce propos est atroce. (u.)
Bof » (Prébois)

Prébois, j’en appelle à votre conscience.

En Chine, sur les femmes on peut discuter, mais le cochon c’est sacré.

Voyez le sort des Musulmans dans ce pays, forcément ils irritent.

Ici, quand on dit viande tout court, ça veut forcément dire viande de porc.

Selon mon observation, le paysan le touche plus souvent que sa femme, ce qui est parfaitement normal.
Je veux dire normal selon la tradition, qui impose la « distinction » 别 entre les sexes (difficile à traduire).
Mais bien sûr que ça change, il faut le temps c’est tout.

rose dit: à

>Donc Clopine si vous êtes branchée péchés (mon honneur perdu tout ça) après les deux sermons que je me suis farcis sans être sur la montagne (ni sous non plus)il y avait une émission sur les sept pé »chés capitaux et les mortels à bien différencier. Puis ensuite le péché capital l’orgueil, la gourmandise aussi et la luxure pour lequel une ‘tite journaliste a été faire un reportage dans un club échangiste si j’ai bien tout noté faubourg saint honoré à Paris où il y avait deux protagonistes Alain et Jeanne.

Fragment d'un P.D.A. dit: à

J’ai demandé ça quand?

renato dit: à

Donc, des journées, vous êtes incapable de revenir sur vos pas… vous avez commis une erreur de citation, allez donc voir…

des journées entières dans les arbres dit: à

renato dit: 9 mars 2014 à 22 h 21 min
peut-être, mais vous aurez rectifié. C’est bien.

renato dit: à

Moi, je ne rectifie rien, l’erreur est à vous, c’est donc à vous de rectifier.

rose dit: à

Je finis clopine et je vas me coucher : Alain c’est le patron de la boîte échangiste : c’est un mec qui aime les femmes (il fait de l’argent avec) : « elles sont magnifiques ce sont elles qui décident et elles sont maîtresses de tout, et patin et couffin ».
Puis y’avait Jeanne trente ans à qui son compapnon propose d’aller baiser dans la boîte avec d’autres. Et ils y vont.

Jeanne racontait cela.
La journaliste était horriblement gênée. C’en était gênant de l’entendre gênée.

Alors que c’était simplement terriblement laid d’entendre Jeanne, trente ans, aller baiser dans sa boîte échangiste avec son compagnon.

Le tout, sur les sept péchés capitaux était entrecoupé par des analyses (je suis pas d’accord du tout, je suis d’accord à moitié je serais presque d’accord si) de deux psychiatres éminents dont Tobie Nathan que j’aime vraiment beaucoup énormément.
Et qui mettait en lien la dépression avec la paresse et la procrastination.

Tout ça.

Passionnant.
De 16h15 à 18h30 environ : la culture à l’état pur.
T’y rajoutes Lucchini, tu rentres chez toi et tu te dis mais pourquoi recommencer même si tu n’es pas une enfant de dieu à porter le voile quoiqu’élue incroyablement.

rose dit: à

pardon son compagnon (le compagnon de Jeanne)
ne s’exprimait pas était derrière le rideau baisait mais pas Jeanne un ou une autre –
bête de sexe –

des journées entières dans les arbres dit: à

Dites Reanato, je ne vais pas vous tenir le crachoir bien longtemps.
Après cette journée, en très haute altitude, il y avait des Allemands, tiens, des Russes aussi, je veux bien m’amuser encore deux minutes.
L’extrait du livre a été traduit par Pierre Clinquart.
J’ai bon ?

rose dit: à

élue : tout ceci était parabole.
Je ne vous raconterai pas, donc, comment j’ai pris le petit déjeuner aux côtés d’une prostituée.
Comment j’ai assisté aux tractations avec deux clients un jeune un vieux. Aucune n’a abouti. Elle ne se contentait pas d’un bout de ficelle.

rose dit: à

Ne raconterai pas non plus comment ce petit déj. aux côtés d’une fille de joie a fait suite à une longue marche au fond d’un fossé de double muraille -une douve jamais remplie par l’eau mais destinée à faire obstacle aux assaillants.

renato dit: à

Vous n’avez pas bon, des journées, mais peu importe. À la prochaine…

rose dit: à

Comment ces un kilomètre deux m’ont montré combien d’issues et d’échappatoires étaient accessibles/construits/disponibles (ah paresse du choix quand tu nous prends) pour s’extraire sains et saufs de la muraille première, franchir la seconde et fuir ainsi les mortelles attaques nuitamment. Nus et crus.

Fragment d'un P.D.A. dit: à

non mais quand ça sert à rien de vous prévenir, c’est que c’est fini quoi

rose dit: à

Clopine dit: 8 mars 2014 à 8 h 45 min

merci du lien et de l’analyse de cet/te élève fort intéressante à lire.
A recadrer dans notre évolution de société. Si la satisfaction sexuelle était si fédératrice d’équilibre il y aurait amélioration de la qualité de la vie et cela ne semble pas autant être le cas que cela a été espéré par Reich.
Où est-ce donc que le bât blesse ?
Je pencherai pour la finitude.
Dois me tromper.
L’incomplétude ?
Mais si rien ne complète ?
Donc ?

Chaloux dit: à

D’un autre côté, John Brown, ne t’inquiète pas trop non plus : il y aura aussi un charcutier.

rose dit: à

cela fait combien de mois que tu écris que c’est fini ?
D’années ?

De temps ?

Fragment d'un P.D.A. dit: à

C’est drôle comme je manque le mur mais toi, ça m’étonnerait

Fragment d'un P.D.A. dit: à

Dans ton cul la balayette
Pauvres endormis

Fragment d'un P.D.A. dit: à

Change-toi l’esprit, va

rose dit: à

« et j’aime ça. »

Ben non.
Moi j’aime pas être asservie.

Ne soyez pas bouleversés.

rose dit: à

Pas de chagrin pas de pitié.

Fragment d'un P.D.A. dit: à

Fussiez-vous de mes lèvres en joue

des journées entières dans les arbres dit: à

renato dit: 9 mars 2014 à 22 h 31 min

Pffeuh, attribuer à Rose ce qui vous revenait ! mais il fallait le dire tout de suite Renato que je vous citais dans le texte. A-t-on idée d’un tel crime de lèse-pensée! D’autant que c’était vachement important: la parabole qui laisse perplexe, hein. Juste Nietzsche, déjà …
Et bonne nuit, va.

http://www.mathematiquesfaciles.com/paraboles_2_93254.htm

Fragment d'un P.D.A. dit: à

Je fais ça par service Assouline
Par ailleurs vous me molestez
considérez-vous comme conquis

rose dit: à

C’est marrant à vous lire ce culte de la pute dévouée et soumise que vous partagez certains d’entre vous.

rose dit: à

Ce goût de la pute le 8 mars comme lollande fêtant la journée de la femme, les complexes sais pas c’que c’est. Le ridicule abroad « scooter, fuck, and so on »

rose dit: à

Comment ne pas être émue par la sincérité de ce jeune homo, martyrisé par les media ?

Bern on ne peut pas être émus car les media aiment cela martyriser ce jeune homo.
Être de surcroît élus signifierait être pervers, or, nous ne sommes pas pervers : donc nous regardons, nous constatons, nous ne portons pas de jugement critique non. Pas de crainte, pas de pitié, pas de chagrin.
Observation clinique.

Tristum post coïtum.

La rapidité aussi.
Suivi de la déshérence.
Puis du dégoût.

Comme cela a commencé cela finira Socrate acte II scène 5

Sergio dit: à

rose dit: 9 mars 2014 à 21 h 09 min
Comme si la littérature n’avait pour fonction que de pallier à un ennui quotidien alors qu’elle est breuvage et liquide amniotique, nourricière

Bien sûr, mais c’est du même tonneau : pallier un ennui quotidien, c’est déjà vouloir changer de monde ; maintenant choisir entre Ferdine et Ruquier, c’est une distinction qui vient, et de taille, mais seulement après.

rose dit: à

Être de surcroît émus signifierait être pervers

revenir vide du plein.
Et plein du vide.

rose dit: à

pallier un ennui n’a jamais signifier changer le monde.
Ce qui l’a signifié c’est prendre la truelle.
Sans montre en main.

rose dit: à

Le marteau aussi.

rose dit: à

La faucille pourquoi pas.

Sergio dit: à

Ha ben voilà la corde c’est la baleine blanche d’Achab ça va mal tourner, quoi…

Sergio dit: à

rose dit: 9 mars 2014 à 23 h 26 min
pallier un ennui n’a jamais signifier changer le monde.

Précisément si : tout ce que l’on a inventé depuis le début ne l’a été que pour pallier quelque chose, le fil parce que le beurre voulait pas se couper, la roue parce que sinon ça traînait par terre, et reliqui. Maintenant une Bugatti c’est du plus de quatre cents à l’heure, pratique pour aller à Cora…

rose dit: à

Demander aux femmes de se lâcher c’est l’équivalent de demander aux femmes de se mettre nues en public.

Je n’y crois pas.

rose dit: à

<Sergio

précisément non : par exemple nombre d'inventions ont été faites avant de trouver quelconque utilité.

C'est comme un point de départ et un point d'arrivée. Le point d'arrivée explique le point de départ qui a eu lieu bien longtemps avant le point d'arrivée.
J'en suis à l'arrivée.
Cela m'explique le départ.

Bien sûr allez cherchez les égyptiens et autres…
Mais il y a eu tout le reste dont l'invention dont l'homme est le maître.

Pas l'esclave non.
L'homme.
Ai-je dit avec constance.

rose dit: à

après Sergio partiellement d’accord avec toi sur l’ingéniosité époustouflante de l’homme lorsqu’il trouve moyen de résoudre ce qui lui pose problème : fascination absolue pour tout ce qui est moyeux :

cf tous ses projets sur les poulies moyeux engrenages et tout ça

rose dit: à

JC….. dit: 9 mars 2014 à 8 h 54 min

vous manquez simplement, cruellement, de lucidité.

Pensais aussi en écoutant ces deux discours en chaire sur le développement ou pas de la conscience. En indi on dit hein, dis, ouvrir ses chacras.
Quand ils sont fermés y’a pas moyen.

Ce n’est pas pas de conscience c’est enfoui sous les gravats.
Emergence.

rose dit: à

Pour être poilu, il l’est.
Béni soit-il.

rose dit: à

Ai pas tout lu, je renonce.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…et dire,qu’on à retrouver des tableaux de maîtres à Munich,…
…chez un collectionneur  » héritier « ,…malgré lui,…sur d’autres cordes-croisés,…sans lendemains,…du  » guide  » des patois des bouses de vaches,…

…premier de cordée de  » l’aventure c’est l’aventure « ,…etc,…
…paradis offshore,…mon guide en trampoline,…etc,…

rose dit: à

Ne soyez pas désespérés.
Arrêtez de le répéter.
C’est fini entre nous.
Je l’ai rêvé sous forme d’éléphants et de crue du fleuve.

rose dit: à

1500 toiles de maître.

rose dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 8 mars 2014 à 20 h 23 min

je suis désolée : il est classé premier l’orgueil des péchés capitaux. Et Tobie Nathan a dit mégalomanie et désir d’être plus fort que dieu. Et autre chose mais j’ai sommeil.

Un mortel est irréversible.
Mortel signifie irréparable.Irréparable signifie manquer aux dix premiers commandements.

rose dit: à

Ne pas se mettre dans la position d’être en péché mortel.

Mettre le réveil à sonner.

Attendre que les éléphants constatent que le petit manque.
Partir le sauver.
Il est sur le dos, dans la boue.
Il n’arrive pas à se retourner.
Ni à barrir.
Pourvu que un de la famille compte et recompte.
Le mettre au milieu de tout le groupe.
Le surveiller incessamment.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…et encore,…en plus une autre série,…

…la réalité,…dépasse le fiction du film,…etc,…

Sergio dit: à

rose dit: 9 mars 2014 à 23 h 43 min
fascination absolue pour tout ce qui est moyeux

Des machines simples, que ça s’appelait. Là ça allait, et puis c’était au premier trimestre. Mais alors après, les réservoirs qui se vidaient avec des tuyauteries pires qu’à Beaubourg, où fallait calculer toutes les pressions au stéthoscope, la c’était vraiment les tranchées ! Je gardais la dernière cartouche pour moi…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la doxa,…pour se foutre du monde,…avec la sérénité en extase,…
…les larmes parlantes des crocodiles,…naturels aux vides d’€sope le phrygien,…etc,…

Fragment d'un P.D.A. dit: à

On atteint le plus haut point de la génèse

Béhémoth dit: à

« rose dit: 9 mars 2014 à 22 h 30 min
Ne raconterai pas non plus comment ce petit déj. aux côtés d’une fille de joie a fait suite à une longue marche au fond d’un fossé de double muraille -une douve jamais remplie par l’eau mais destinée à faire obstacle aux assaillants. »

Rose, vous avez fait Avignon ?.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…sincères rêves au lit!,…etc,…

rose dit: à

Non je, ne fais jamais rien.
J’erre.

rose dit: à

J’erre.
Rance.

rose dit: à

Moyeux engrenages poulies tout ça

rose dit: à

2007
1977

Mademoiselle, la jeune fille inconnue

merci.
Vous n’avez compris en rien combien il vous aimait, combien il vous était dévoué.
Vous n’avez su voir vous avez chu vous avez fui.

Trente sept ans après, je l’ai écouté vu son émoi regardé essuyer la table ronde devant lui de son coude.

Merci : en le refusant tout à vous, vous nous l’avez accordé tout à nous.

Son talent est immense ; il est acteur de haute tenue. De votre quotidien absent, il a orné nos soirées de son talent mirobolant.

Mademoiselle, de votre ignorance je vous remercie.

rose, émue z’aussi

rose dit: à

n’ai jamais vu en avignon une double muraille ceignant une forteresse.

Béhémoth dit: à

Les ceintures de charretées*** se sont elle perdues ?.

Marcel dit: à

Bon mon patron revient de le neige où il a failli se prendre les pattes dans un triolet, lors voilà :

Fait d’hiver,

Sur la piste crisse la neige ;
L’ivresse est là dans le dévers.
Il vous faut éviter le piège ;
Sur la piste crisse la neige.

Briser ses os dans ce manège,
Fera l’objet d’un fait divers.
Sur la piste crisse la neige ;
L’ivresse est là dans le dévers.

Jean Calbrix, le 10/O3/14

Avec un peu de retard pour le 8 mars :

Fée du logis

La fée heureuse en sa demeure,
Chante : « do mi si la do ré ».
Aucun souci ne vient, l’effleure,
La fée heureuse en sa demeure.

Mais le plaisir qui, seul, l’affleure,
C’est le : « sol fa si la si ré ».
La fée heureuse en sa demeure,
Chante : « do mi si la do ré ».

Jean Calbrix, le 10/03/14

rose dit: à

pas pour tout le monde

rose dit: à

saluto Marcel !

Marcel dit: à

Salut aussi à toi, rose.
Bonne nuit.

cherchez l'erreur dit: à

« Le troll de 3h 18 est allé copier-coller une phrase que j’avais mis sur mon blog pour la mort d’un ami. On voit la délicatesse… »
euh, vous avez des visions, maintenant?

Court dit: à

Mort de Gérard Mortier. Il nous reste sa femme, le calamiteux sylvain Cambrelling.
(qu’est-ce que l’orchestre de l’Opera était bon, quand il ne dirigeait pas!)
Bien à vous.
MC

rose dit: à

Bisous
salut à tutti
Martchello et otro

Clopine dit: à

Non, je n’ai jamais écrit ça, troll du matin. J’ai dit qu’être trollée à 3 : 18 du matin, cela prouve l’obsession de mon troll. Et j’ai rappelé qu’un troll est capable d’aller chercher sur un blog (alors que le troll prévient qu' »on » n’y va jamais) une phrase un peu maladroite c’est vrai, pour la coller ici et faire rire les intervenautes, alors que cette phrase avait été écrite sous le coup de l’émotion de la mort d’un ami.

C’est juste un exemple de la délicatesse des trolls, et de l’ampleur de leur désir de nuire et de salir, c’est tout.

renato dit: à

Qu’est-ce qu’un troll ? Définition usuelle
Dans le jargon en ligne de Linux-france on trouve la définition suivante :
« Un Troll est donc sur l’Usenet [les newsgroups], soit (1) un sujet qui fâche (par exemple : « Mac ou PC ? »), soit (2) un individu qui persiste à lancer des discussions sur des sujets qui fâchent. »
Cette définition reste à développer, car les sujets polémiques ne sont pas nécessairement des sujets à trolls. Et qu’en dehors du sale temps qu’il fait (et encore…) il y a peu de sujets qui ne fâchent pas. On rencontre en effet des trolls en dehors de l’Usenet.
Pour l’instant, il suffit de savoir qu’un troll désigne, dans l’imagerie de l’internet, un personnage malfaisant dont le but est de perturber le fonctionnement des forums de discussion en multipliant les messages sans intérêt (ou, plus subtilement, en provoquant leur multiplication). La règle première des forums est en effet que, lorsque le nombre de messages sans intérêt devient trop important par rapport à celui des messages pertinents, le forum est considéré comme mort : il est dès lors impossible (trop de choses inutiles à lire, interface surchargée, temps de chargement du forum rédhibitoire…) d’y trouver l’information intéressante.

Source : http://www.uzine.net/article1032.html

Polémikoeur. dit: à

Il resterait bien le thème de l’emprise,
corde, chaînes, servage, asservissement,
tant de formes de sujétion, choisie ou non !
La petite trollite chronique remplissant
les couloirs du commentarium en crise
n’en est qu’une pâle illustration.
Soumissionniaisemsnt.

Onésiphore de Prébois dit: à

une phrase un peu maladroite c’est vrai, pour la coller ici et faire rire les intervenautes, alors que cette phrase avait été écrite sous le coup de l’émotion de la mort d’un ami. (Clopine)

Mais justement : ce sont les plus drôles.

Polémikoeur. dit: à

…ment, soumissionniaisement !
Orthographielleusement.

Polémikoeur. dit: à

Règle 1 du Fight Club : ce qui est dans le blog
reste dans le blog.
Commentarégulairement.

Ciboulette dit: à

MCourt sur pattes est toujours vivant à 2 h 40; il nous reste aussi son mari, Popaul

Salpetrière dit: à

L’amphithéâtre est plein. Charcot attend. Il est 7h38 lorsque deux infirmières font entrer Augustine ; l’hystérique grimace, les étudiants s’esclaffent. Une séance ordinaire.

Onésiphore de Prébois dit: à

Apparition sensationnelle de Jean-Marie Le Clézio au festival Etonnants voyageurs à Rabat.

Occasion de rappeler que « Désert » reste à ce jour le plus beau livre de Le Clézio. S’il fallait n’en lire qu’un…

passager dit: à

Je rejoins u. et Rose pour le plaisir de lire cette critique différente. Plaisir de découvrir le texte aussi, poétique, léger, vous l’avez dit, et souvent drôle, parfois tendre. Rester au village ou suivre la corde étrange, poursuivre le chemin ou abandonner et rentrer chez soi, il n’y a pas de bonne ni de mauvaise solution puisque chacun trouvera les bonnes raisons ou la bonne occasion …
Conte faisant référence à d’autres contes, parabole, mais aussi petit traité à l’usage des jeunes aspirants diplomates.

Jacques le F. dit: à

« On n’y croise pas seulement des lapins et des bécasses, mais aussi des tétras-lyre parmi les fougères scintillant dans la lumière du soir. »

Une métaphore de ce blog, peut-être?

Onésiphore de Prébois dit: à

Prébois, j’en appelle à votre conscience. (u.)

Je ne suis jamais longtemps importuné par ma conscience car, lorsque cela arrive, je me lave soigneusement les mains. Le plus étonnant est que l’efficacité de cette procédure — dite « de Lady Macbeth » ou « de Ponce Pilate », comme on voudra — est expérimentalement établie (voir sur cette question un intéressant article publié dans le dernier numéro de « Pour la science »).

Salpetrière dit: à

Un quart d’heure après avoir été examinée par Charcot, Augustine jouit d’un puissant orgasme. Les étudiants de premier rang l’entendent distinctement gémir :  » Lucien, mon Lulu, ma bergeronnette ! Entrolle-moi, enfin ». Deux infirmiers l’entrainent dans les communs.

trollitude dit: à

C’est juste un exemple de la délicatesse des trolls
Clopine

D’où votre habileté à toujours en avoir.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la société des crédits et des dettes fomentées par les états,…

…Oui,…Mademoiselle est belle,…elle est désirée de tous,…bien vernie,…
…Avec, une belle voiture américaine,…déjà que çà consomme la peau des fesses,…
…un crédit,…pour se la payez avant les autres  » cons « ,…
…rien n’y fait,…
…la société des crédits en becs de gas,…

…les sociétés pour faire dépenser aux autres et prendre la liberté de vivre sur les crédits  » accordés aux prochains avec  » charités « ,…

…les chiens de concours,…après les peaux de lapins aux parfums,…
…le crédit des lois pour se faire arnaquer!,…les sociétés en esclavage,…à qui le premier travaille pour rien,…et meurt de courbatures, sans soins et abuser de médicaments!,…

…les enchaîner sans s’asservir,…
…le travail, les machines,…et le chômage,…pour s’enrichir à crédit,…d’épargne,…sur le dos des premiers volontaires à crédit de crise  » social  » sur listes d’abrutis,…de concert,…

…les professions libérales, en concurrence de manque d’activités pour en être à crédit et en faillites de nourrir,…les prêteurs ou actionnaires d’entreprises,…

…faire travaillez les préteurs de crédits à rien foutre,…
…lutte ou complémentarité,…entre les l’intérêts du partage des pensions actionnaires et assurances,…
…l’épargne, la peur du crédit aux « cons « ,…à devenir!,…le premier de  » cordée « ,..

…en somme l’argent, vivre sur les « erreurs et abus d’autrui  » non légiférer,…donc, en plus complicité de la justice,…au processus!,…

…les rouages du crédit pour courir comme des endoctrinés à visières!,…
…une autre,…Stop ou encore!,…Ah!,…Ah,…Bip!,…Bip!,…etc,…

Clopine Trouillefou dit: à

renato, je crois bien que j’ai découvert une autre sorte de troll, qui d’une pierre fait deux coups : non seulement il pollue le forum où il sévit, mais encore il tente de détruire l’image de celui ou celle qui lui aura déplu.

Avec sa délicatesse coutumière, mon troll, aujourd’hui, m’a assimilée à la malheureuse hystérique décrite par Charcot. Il ne s’agit pas des simples insultes que, grâce à l’impunité d’internet, quelqu’un à qui vous avez déplu ou que vous avez attaquée (comme bibi avec Daaphnée, par exemple) vous adressent à chaque commentaire que vous laissez. Il peut s’agir d’une entreprise délibérée, justifiée aux yeux de celui qui la commet d’une part par le plaisir qu’il y prend (c’est donc pervers), d’autre part parce qu’il s’attaque à qui ne peut lui nuire (l’impunité), enfin par le besoin de se sentir supérieur à sa victime. Nous sommes deux ici, à être la proie d’un pareil être. TKT et moi.

Le problème, c’est que ça marche, puisque cela fonctionne sur les mêmes principes que la publicité, à savoir qu’à force de répéter inlassablement le même message, il deviendra vérité. Par exemple, le but du troll est de faire passer TKT pour un crétin. Il s’attaquera donc, inlassablement, aux moindres propos de ce dernier, et même les plus pertinents (quand TKT parle des pays qu’il connaît, quand il décrit son mode de vie, bref, quand il parle de lui-même, ce que le troll ne supporte pas) sont qualifiés de crétineries, sans aucune justification ou vraisemblance. A force, les autres intervenautes vont avoir cet a priori dans la tête, et les pires d’entre eux feront chorus…

idem pour moi. Je suis bien entendu différente du profil habituel des participants de ce blog (non parisienne, non érudite, non universitaire) et j’ai l’audace de parler de moi (ce que les trolls et les froids érudits ont du mal à supporter. Les trolls, on les comprend, les érudits, un peu moins : l’objet de leur érudition étant bien souvent l’oeuvre de personnes qui « parlaient d’eux-mêmes », précisément. Paradoxe. Les passeurs, eux, s’accommodent fort bien des discours personnels, se contentant de corriger les néophytes comme moi, quand ils commettent des erreurs…) Bon je reprends : le troll (Lucien Bergeret) n’a pas supporté ma « prétention ». Souvenez-vous que son but est de démontrer sa supériorité, et comme il ne peut le faire « en face », alors il va utiliser la calomnie la plus grossière et la plus systématique. C’est une vraie entreprise de destruction, je n’exagère pas, et cela laisse bien entendu des traces, cela jette de la suspicion chez tous.

Je n’ai JAMAIS utilisé l’insulte grossière (ou vraiment exceptionnellement, je préfère tenter l’ironie) quand quelqu’un avait des propos que je n’aimais pas. Je n’ai jamais joué le petit jeu des pseudos qu’on endosse le temps d’un post d’une ligne, comme celui sur l’hystérique de Charcot. Je n’ai évidemment jamais conçu le projet de démontrer une quelconque supériotité en abaissant l’autre.

Nos torts, à TKT et à moi, sont d’une autre sorte. Notre besoin de « reconnaissance », certainement, est doublée d’une grosse part de naïveté. Nous n’attirons pas la vengeance, nous attirons ceux qui se sentent impuissants devant des personnalités comme les nôtres (bien différentes au demeurant, mais je nous reconnais, à TKT et à moi, un caractère assez ingénu, au fond).

D’autres, comme CURIOSA, tentent de prendre notre défense en jouant le jeu du troll, en allant le chercher sur son terrain. C’est peine perdue, je le crains. Une calomnie planquée sous l’ironie de la supériorité (fallacieuse évidemment, les vrais esprits supérieurs de ce blog n’ont certes pas besoin de ça, et font souvent montre d’une grande bienveillance et d’une grande générosité. Paul Edel, par exemple, a fait une chronique très élogieuse de mon petit livre, alors que l’idée même que je puisse écrire un livre, et oser espérer attirer l’attention, révulse le troll qui n’aura de cesse que de tenter de détruire mon image), une calomnie, donc, sera toujours « avalée » plus facilement qu’un compliment, sur un blog comme celui-ci, où tout ce qui est spontané est regardé comme enfantin, ce qui est émotion est soupçonné d’égocentrisme, ce qui est généreux relève de la bêtise, et où, pour exister, il faut être « quelqu’un », même quand on est uniquement poussé par l’envie de faire « quelque chose ».

Eddy dit: à

Arrêtez de vous moquer de la maman de mon petit copain

renato dit: à

Dans la plu part des cas qui s’expriment ici, Clopine, on ne peut vraiment pas parler de trolls car le troll n’est, comme nous avons vu, qu’un ennemi du blog plutôt que d’un intervenant en particulier.

Dans les cas où, ici, il y attaque, je parlerais plutôt de provocateurs ou/et de persécuteurs… ce sont des cas où on tire quelques coups de pied dans le ballon puis on laisse pisser car réfléchissez au temps que vous perdez avec ces provocateurs-persécuteurs, et pendant que vous perdez votre temps eux s’amusent… Vous ne réagissez pas et le jeu perd tout son intérêt…

Si, pour une question de principe ou quelque chose dans le genre, vous persistez, vous devenez à votre tour un troll, c’est inéluctable…

Clopine Trouillefou dit: à

Oui, vous avez raison, Renato, je me le suis dit cent fois. Il doit y avoir chez moi (je ne parle pas de TKT, qui m’apparaît comme plus sûr de lui) une faiblesse apparente, qui me désigne. Je suis souvent démontée par la morgue, aussi, qui me paraît toujours injustifiée.

Bon, et si nous parlions de littérature ? A ma petite façon, je tente toujours d’y revenir. Mais comme il est devenu extrêmement difficile d’avoir un échange ici…

La forme fort étonnante du billet du jour de notre hôte éveille bien entendu ma curiosité, mais contrairement à DHH, cela m’éloignerait plutôt du livre dont il est question. Une écriture « parabolique », en quelque sorte, et flirtant avec certains courants littéraires de « science-fiction » (je pense à Asimov), cela aurait plutôt tendance à me faire fuir. Mais peut-être est-ce précisément l’inverse qui se produira (quand je pourrai acheter le bouquin, j’ai déjà épuise mon budget livres du mois !)

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…pour un Oui,…pour un Non,…il y a des  » larbins  » en suspend!,…
…quel suspens,…à porter de crédit,…

…du bricolage,…jamais sans  » système D « ,…
…Oui,…maintenant à mon signal,…tourner la tête vite à votre droite,…pour mon floue artistique,…
…Non,…n’y mettez pas du votre,…Oui!,…je sais vous êtes une véritable  » amateur « ,…
…Ah!,…vous voulez conclure,…en pleine séance,…toute des nymphomanes de haute-lice,…
…vous toucher aux buts,…çà augmente l’oseille à crédit,…
…des amateurs de la profession, le vieux métier à jour,…par les finances du crédit des gay’s-gouines,…etc,…en prime-sauteuse!,…

Onésiphore de Prébois dit: à

Je suis souvent démontée par la morgue (Clopine)

Ah bon ? On démonte les cadavres à la morgue ? Je ne savais pas. C’est pratique, remarque, pour le rangement. Et puis, tous ces morts qui s’étalent à leur aise dans les cimetières, quand on pense aux prix du mètre carré, c’est indécent.

Paul Edel dit: à

Oui, parlons littérature.On sent chez Pierre Assouline, une veritable surprise,une lecture assez médusée devant un objet littéraire peu commun.tres germanique.Et qui reprend les thèmes de la foret qui ne sont jamais loin dans la littérature allemande des meditations du « wanderer »; donc on marche vers la parabole,le conte, la légende..le chemin forestier n’est pas que heidegerien ou Jüngerien.. il mènecependant toujours vers les questions météphysiques à la mélancolie, à une vie intréieure divisée,sinon déchirée tourmentée.j’vas lire ça mon bon monsieur.

Clopine Trouillefou dit: à

… C’est d’autant plus étonnant que les chroniques de Pierre Assouline se déploient généralement suivant des thèmes bien repérés : contexte biographique de l’auteur, contexte historique du livre, appartenance (ou non) à une famille littéraire, références et commentaires, généralement non personnels. Vos critiques à vous, Paul, sont généralement plus empreintes de subjectivité assumée.

Et là, on dirait que notre hôte avait envie de réécrire le bouquin : il nous l' »invoque » à la manière d’un récit propre.

(merci de ne plus être en colère contre moi.)

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