de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Shakespeare à l’oeuvre derrière « Succession »

Shakespeare à l’oeuvre derrière « Succession »

La qualité des insultes proférées en permanence par le personnage de Roman Roy dans Succession est si inventive dans le registre ordurier (« Il va envoyer un million d’araignées venimeuses dans ta bite » ou encore « Je vais broyer tes putains d’os pour faire mon pain » outre les innombrables fuck you !, commodités du langage qui font office de charnière entre les phrases…), elle retient tant l’attention qu’elle fait oublier une autre dimension de la série à grand succès de HBO : son inspiration littéraire. De quoi surprendre le téléspectateur qui conserve encore dans le creux de l’oreille les dialogues qui émaillent depuis quatre saisons cette implacable lutte d’influences au sein de la famille Roy pour la prise de contrôle de l’empire médiatique édifié par le patriarche miné par la maladie. Une tragédie au sein de laquelle chacun des personnages vit la sienne dans la pure tradition des mythes grecs et romains.

Rarement une série-évènement aura été si truffé d’allusions à Shakespeare, pour les ressorts de ses tragédies comme pour le comique de ses comédies. Tant et si bien que leur décryptage est devenu un sport national en Grande-Bretagne. Logan Roy est un vrai méchant, dur, amoral, sans affect, quelqu’un qui a un peu assombri le ciel en fermant le cœur des hommes. Déjà, directement inspiré du magnat des medias Rupert Murdoch, il est rebaptisé Roy, racine de royal… Brian Cox, qui l’interprète, est d’ailleurs un acteur shakespearien, ancien membre des prestigieuses troupes du Royal National Theatre et de la Royal Shakespeare Company, qui consacra même un livre à raconter de l’intérieur (dans son livre The Lear Diaries) ce que cela représente que de se mettre des milliers de fois soir après soir dans la peau du roi Lear ou de Richard II.

De son propre aveu, il a interprété son personnage comme il l’avait fait au théâtre de Titus Andronnicus, de Jules César et du roi Lear. Jesse Armstrong, le concepteur de Succession, un grand lecteur assurément, ne cache pas qu’il y a emprunté l’esprit sinon la lettre de ses embrouilles familiales et la complexité de ses querelles dynastiques avec leur lot d’intrigues, de complots, de scandales, d’ambitions contrariées. Aux yeux des innombrables experts que comptent l’Angleterre de 2023, le clin d’œil le plus appuyé de toute la série demeure celui où Logan Roy juge son fils indigne et inapte de lui succéder, analogue à l’acte 3, scène 2 de Henri IV où le roi en fait autant avec son héritier. Et puis quoi, les premiers mots chus de la bouche du patriarche dès le premier épisode de la saison 1 ne forment-ils pas la plus shakespearienne des questions : « Where Am I ? » (Où suis-je ? »). Le téléspectateur, lui, sait tout de suite où il est dès les premières secondes de Succession : chez Shakespeare !

Rupert Murdoch, ainsi que dans une moindre mesure Conrad Black et Robert Maxwell, ont été la principale source d’inspiration de l’auteur de la série et de son équipe de scénaristes pour son personnage principal. Quand on demande au magnat de l’empire médiatique Waystar Royco qu’est-ce qu’il a prévu pour sa succession, sa réponse fuse invariablement : « Ne pas mourir ». Or ce genre d’humour, c’est typiquement Murdoch. Et lorsque Roy Logan lance à la cantonade « Ma citation préférée de Shakespeare, c’est : « Prends le putain de fric ! », c’est encore du Murdoch. Ce n’est pas qu’une question de luttes de pouvoir mais bien de langage, de lexique et de syntaxe. « Attachez vos ceintures, putains de têtes de nœud ! », c’est du Falstaff remasterisé.

Lors des fêtes données au sein de l’entreprise, l’atmosphère paranoïaque qui s’y développe parmi ceux qui y en sont et ceux qui n’en sont pas doit au théâtre d’Ibsen et à celui de Tchekhov. L’agitation intérieure de Kendall, le fils ainé, doit beaucoup au Dostoïevski de Crime et châtiment. La trahison étant le centre de gravité de la série, l’auteur a largement puisé dans les mythologies grecque et romaine, pour les prénoms de ses personnages et pour le reste (Œdipe etc), sans oublier l’usage que Shakespeare, encore et toujours, en fit (Coriolan). Les références littéraires, parfois directes, sont si récurrentes que Roy Logan ne peut s’empêcher de lancer à Franck qui l’assomme avec ses analogies :

« Prends-toi donc une carte dans une bibliothèque et va te faire foutre ! ».

La quatrième et dernière saison de Succession, série on ne peut plus addictive produite par HBO et diffusée au départ sur OCS, se trouve depuis peu sur Prime video. Remarquablement écrite, réalisée et interprétée, ses personnages rivalisent dans le cynisme, l’abjection, la fourberie. Elle triomphe dans de nombreux pays. Et si vous vous demandez pourquoi des millions de gens se laissent captiver par le spectacle tragicomique de tant de bassesse, prenez donc une carte dans une bibliothèque et… !

Cette entrée a été publiée dans cinéma.

845

commentaires

845 Réponses pour Shakespeare à l’oeuvre derrière « Succession »

Jazzi dit: à

« prenez donc une carte dans une bibliothèque et… ! »

Relisez Shakespeare ?

renato dit: à

Qui n’a pas regardé Succession ou n’a pas lu Shakespeare ou n’a pas un répertoire de sujets captivants ?

Marie Sasseur dit: à

Et donc, prenez-vous un abonnement Prime vidéo.
Ce Roy Logan a des difficultés d’élocution, non ? On dirait qu’il bafouille.
C’est dans quelle pièce de j’expire, cette fameuse tirade, prends ta carte et va, et te faire cuire un oeuf ?

Marie Sasseur dit: à

« et va et faire foutre !  »

C’est clair, ça smell pas bon, cette affaire.

Marie Sasseur dit: à

Avec ses miyons de téléspectateurs, Passou, c’est un peu la Denise Fabre de la télé parfois; rit beaucoup.

renato dit: à

À la longue ce spectacle de riches qui se conduisent mal est amusant, mais seulement jusqu’à un certain point car rien de vraiment iconoclaste : aucune tradition ni idée reçue détruite ; puis fréquentations italiennes et je crois que l’une de rare italiens (chez les femmes aussi) qui ne disent pas de gros mot à longueur de journée est mon agent. Donc 4 saisons pour a storm in teacup suffisent largement.

Cela dit, beaucoup de mes amis l’ont aimé, moi pas plus que ça : plus curieux de comment se développera la succession de Nicole Sturgeon et l’affaire dans laquelle elle est impliqué.

renato dit: à

Elle s’appelle Nicola, correcteur merdique !

Phil dit: à

publiée dans cinéma

Gosh..tivi, cable, troubleflix, pizza films..
My Kingdom for a « cinema »

Clopine dit: à

Aucun rapport avec Shakespeare (encore que…), mais j’ai entendu le billet politique ce matin surFrance Cul. Le journaliste soulignait le rôle que « les réseaux sociaux » ont joué dans la forme particulière de violence des émeutiers (petits groupes disparates, effet de meute, émulation avec la mise en images des incendies, etc;). Et je n’ai pas pu m’empêcher de me dire que les réseaux sociaux passent par les portables… Or, comme la langue pour Esope, la technologie numérique est peut-être, je dis bien « peut-être », une bonne chose, mais elle est aussi, de façon sans doute plus probable, la pire. Or, tous les chantres du capitalisme ne font que la promouvoir, encore et encore. Une des manières de « réduire les coûts » fait que désormais, c’est à l’usager-citoyen d’accomplir lui-même ses démarches. Plus de compte en banque sans portable. Vos démarches, impôts, sécurité sociale, assurance maladie, etc ? Personne ne vous répond, vous devez vous-même « aller sur le site internet » et vous débrouillez vous-même, n’est-ce pas. (et je défie quiconque de n’avoir jamais dû passer de longues et longues minutes à tenter de manipuler un site quelconque, et finalement renoncer, au motif que votre cas « ne rentre pas dans les cases », puisque des réponses aux questions préprogrammées, comme « ça dépend », ben « ça déborde » ! ) ; bref, tout le monde s’engouffre dans les « nouvelles technologies », qui permettent aussi de filmer les violences policières (sans cela, n’est-ce pas, la mort de Nahel aurait été gentiment étouffée, la police ayant d’abord déclaré que « la voiture avait foncé sur les policiers », ce que les images démentent formellement), qui permettent la mise en place de guérillas urbaines à la porte du premier ado venu, et qui… accroissent encore et toujours la solitude existentielle de tout un chacun. Combien de solitaires remplacent leur sociabilité par les écrans magiques, même ici, sur le blog à Passou ?

Janssen J-J dit: à

– Et aux séries, il y a mis la RDL…, fallait s’y attend’ un jour ou l’aut’ (OCS, HBO, Prime video…) – Une ciné-kur de jouvansse, à la patrie reconnaissante !
-« Rarement une série-évènement » // c que l’en a vu beaucoup, le boug !… et nous avait caché ça…
-« ses personnages rivalisent dans le cynisme, l’abjection, la fourberie » // et ma soeur s’y est pas trompée !
– Ce JR-là, rien à envier à notre Bol Aurée vu par Alexandre Jardin,
– Shakespeare a bonnes mines à toutes les sauces Vuittoni !…
– (coquillettes) truffé / truffée ? – Roman Roy ou Logan Roy ??
– « des innombrables experts que comptent l’Angleterre de 2023 » // une contrée en déroute qui réclame son pain et ses jeux
– « Prends l’oseille et tire toi », Woody !
– Avait toujours préféré Harry Lagman à Brian Cox
– Mais où sont les meufs, où est passée ma vieille Sue-Hélaine ?

Bon, cépatoussa, faut y aller, hein ! Bàv (5.7.23_9.07)

Marie Sasseur dit: à

Faire référence à Shakespeare, pour faire de ses royaumes, et par analogie, des empires industriels et commerciaux, si c’est le sujet, ici appliqué à in magnat de l’édition, j’avais noté piur ce qui mr concerne, d’aller voir cela :

« Un père, des enfants, une entreprise à transmettre. Balzac en a fait le terreau de nombreux romans, les Américains des séries à succès, mais la réalité dépasse la fiction. Cette enquête riche en révélations plonge dans les coulisses et les secrets de famille du capitalisme français.

Vincent Bolloré a rebâti son empire pour le rendre désirable aux yeux de ses enfants. Mais il ne lâche rien.
Bernard Arnault élève les siens comme on entraîne des chevaux de course.
Jérôme Seydoux ne juge personne à sa hauteur. Dans la tribu Bouygues, c’est l’outsider qui a finalement gagné.
Arnaud Lagardère, lui, a réduit méthodiquement l’héritage de son père, comme une vengeance œdipienne…
Méconnues jusqu’à présent, les histoires de succession des Pinault, Decaux, Hermès, Mulliez, Peugeot, Gallimard ou Bettencourt racontent les privilèges, les haines et les trahisons qui empoisonnent les liens du sang.
Sujet tabou, dossiers explosifs. Histoire universelle. »

https://www.albin-michel.fr/successions-9782226476647

Marie Sasseur dit: à

j’avais noté piur ce qui mr concerne, d’aller voir cela :

Je cause comme Roy.

J J-J dit: à

@ RM & etalii /// « Parmi la foule de questions existentielles que semble nous poser l’œuvre de Ron Mueck, il y a aussi celles-ci : que tenons-nous pour vrai ? Et quel est notre rapport aux images, si « séduisantes » et convaincantes soient-elles ?///
Un « artiste » hyperréaliste qui interpelle un paléontologue… En pleine révolution climatique.
https://theconversation.com/une-expo-un-chercheur-les-cranes-geants-de-ron-mueck-vus-par-un-paleoanthropologue-208800?utm_medium=email&utm_campaign=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%204%20juillet%202023%20-%202672626983&utm_content=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%204%20juillet%202023%20-%202672626983+CID_c70b205c76988cffa56b9434cd419d0b&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=Une%20expo%20un%20chercheur%20%20les%20crnes%20gants%20de%20Ron%20Mueck%20vus%20par%20un%20paloanthropologue

Janssen J-J dit: à

Essayons plutôt de répondre aux questions des enfants qui lancent des pierres, plutôt que de les laisser dans l’ignorance.
https://theconversation.com/capucine-si-avant-le-big-bang-il-ny-avait-rien-comment-et-pourquoi-le-big-bang-sest-il-produit-152541?utm_medium=email&utm_campaign=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%204%20juillet%202023%20-%202672626983&utm_content=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%204%20juillet%202023%20-%202672626983+CID_c70b205c76988cffa56b9434cd419d0b&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=Capucine%20%20%20Si%20avant%20le%20Big%20Bang%20il%20ny%20avait%20rien%20comment%20et%20pourquoi%20le%20Big%20Bang%20sest-il%20produit

Jazzi dit: à

« publiée dans cinéma »

Allez au cinéma plutôt que de visionner les séries sur vos petits écrans !

Jazzi dit: à

Et pour Shakespeare, allez au théâtre !

closer dit: à

« Succession »? Jamais vu…
En revanche, Shakespeare, plus qu’un peu…
Question de génération sans doute.

Enfin, on est sorti de la flotte, c’est déjà ça.

renato dit: à

Jamais, 3J, je n’ai nié qu’un travail puisse parler à quelqu’un : le spectateur peut avoir un tas mille de raisons pour trouver intéressant un objet, mais l’opinion du spectateur lambda, même paléontologue, ne m’intéresse que relativement…

Évidemment nous savons que ces objets, p. ex., ne sont pas réels, mais la peau, les cheveux, la barbe, les doigts disent le contraire et peuvent créer un court-circuit dans l’esprit des visiteurs… pas étonnant que les hyperréalistes aient trouvé un public.

Évidemment, s’il s’agit de combler un moment embarrassant à un diner et il n’y a pas de musique d’ameublement, par exemple, on peut écouter un passionné quelques instant, mais pour ce qui est des processus sous-jacents je préfère un autre registre que « l’immense éventail des possibilités offertes par le transfert d’une photographie sur une toile » ; ou « la possibilité d’insérer des myriades d’informations infimes, impossibles à saisir par le simple œil humain, sélectionnant, grossissant et faisant disparaître n’importe quel aspect de cet univers parallèle », c’est la base du travail de l’artiste de sélectionner, etc., donc rien d’extra-bleu-ciel ! d’autant plus que nous avons désormais la photo, et pour ceux qui ne se contentent pas d’un petit format, il y a la chambre 20×25.

Phil dit: à

Green au fil de son Journal plaint les Français condamnés à écouter du Shakespeare « translaté. Autant affligé par les traductions de Gide. Dear Bloom confirmera.

renato dit: à

un tas OU mille… sans DE

JC..... dit: à

Un sérial dispense de tout effort imaginatif personnel.
Bref, c’est de la merde.
Les enfants, vieux, adorent !

pourmapar dit: à

…Et lisez un bon livre, Jazzi!

Pmp, ai acheté en solde, 20,50 euros au lieu de 29,50 …le  » Cher, très cher, admirable et charmant ami… » correspondance 1956-1961 de Georges Perec&Jacques Lederer édition Sillage 2019.
Un vrai bijou de lecture ces lettres!
page 183 :
William Folk-nerf,
Malheur à celui par qui le Stendhal arrive,
Sivoire de Beaumone = Castor et Polluée,
Henry de M’enterre lent,
Ci-Gide André!

Et aussi :
Francis Ponge/Philippe Sollers Correspondance 1957-1982 chez Gallimard sorti la semaine dernière.
Pour Ponge mille fois plus que pour l’ esorllé des lettres!
Bonne journée.

Mary Curry dit: à

L’art a bon dos.
Je pense que c’est avant tout un problème d’éducation…

Passez au microscope…

Images botaniques entre l’art et la science : Essai d’une typologie des différents types d’images

https://journals.openedition.org/imagesrevues/10265

« La fraise vue par l’art et la science
32Cette comparaison des représentations de la Fragaria vesca L. a mis en évidence différents types d’images qui entretenaient une relation distincte avec l’art ou la science de leur époque. La primauté de la vue qui caractérisait encore les aquarelles de Weiditz et les gravures sur bois de Brunfels, perdit sa crédibilité au moment où loupes et microscopes révélèrent des détails impossibles à détecter à l’œil nu, mais essentiels d’un point de vue botanique. Les dessins analytiques et heuristiques de Conrad Gessner avaient déjà préparé la venue des nouvelles méthodes scientifiques. Lorsque la botanique avec la classification binominale de Linné était discipline autonome, les artistes étaient contraints de répondre aux nouvelles exigences de joindre la précision à la beauté. Dès lors, leurs images désormais « épistémiques », devaient suivre de nouveaux critères. Finalement, dans l’esprit de l’exigence de Descartes de comparabilité objective, les observations faites dans les jardins botaniques suscitèrent des doutes méthodiques concernant la représentation purement naturaliste, comme par exemple le fait que certaines caractéristiques des plantes, notamment leur couleur, sont accidentelles et changent selon l’emplacement géographique et le climat. »

pourmapar dit: à

Bon, mon commentaire est parti en c.
Je ne le retape pas…
Bonne journée!

D. dit: à

Moi je n’aime pas Shakespeare. Il m’énerve.

rose dit: à

Gentil n’a qu’un œil

Quand à la bonté, celle du cœur, communément il est dit « quand on est bon, on est con. »
Sans savoir que c’est un don de d.ieu.
La vie va.

D. dit: à

Marie Sasseur dit: à

Avec ses miyons de téléspectateurs, Passou, c’est un peu la Denise Fabre de la télé parfois; rit beaucoup.


… et qui fait Garcimore ? (disparaître et réapparaître les commentaires et les commentateurs)

« Touche pas ! hi ! hi ! hi ! I m’énerve… »

rose dit: à

Passou

« Et va te faire foutre »
Dernière citation avant le dernier paragraphe. Inversion de deux lettres.

Marie Sasseur dit: à

Shakespeare , combien de pièces, combien de sonnets, nécessite d’abord d’être traduit en anglais, et ça c’est pas donné au premier prof français d’anglais, qui passe.

rose dit: à

Quand on demande au magnat de l’empire médiatique Waystar Royco qu’est-ce qu’il a prévu pour sa succession, sa réponse fuse invariablement : « Ne pas mourir ». Or ce genre d’humour, c’est typiquement Murdoch.

Sauf que, chez le vrai bon pacha bien tyrannique italien, ce n’est pas du domaine de l’humour.
Mon père, sa dernière magnifique phrase avant de partir totalement en couilles, lorsqu’il a appris qu’il avait un cancer du canal cholédoque et que donc la mort était au bout, m’a dit : Je ne savais pas que j’étais mortel.

Les derniers lustres de la splendeur. Et comme j’étais sur place, et à l’IPC Paoli Calmette pour son entrée et à l’hôpital Laveran lors de son entrée et de sa sortie, je peux vous dire qu’il n’y avait pas une once d’humour.

Pas de tivi : j’ai tout sur place, en live.

Marie Sasseur dit: à

« Plus étonnant : Brian Cox n’a pas souhaité regarder l’épisode de la mort de Logan Roy. « La mienne viendra bien assez tôt », a-t-il soufflé. »

Marie Sasseur dit: à

@ « De son propre aveu, il ( Brian Cox) a interprété son personnage comme il l’avait fait au théâtre de Titus Andronnicus, de Jules César et du roi Lear. »

Titus Andronicus est bien la seule pièce de théâtre de Shakespeare, dont je me souvienne.
Elle avait été adaptée par Botho Strauss. Tamora-Christine Boisson, à la table de Titus, qui se regale du plat qui devait sceller la fin des hostilités, rend ce souvenir du dénouement inoubliable, à vie.
Théâtre de la cruauté.

Janssen J-J dit: à

@ l’opinion du spectateur lambda (…) ne m’intéresse que relativement.

Etonnamment, vous pensez que la vôtre sur ce blog intéresse énormément ? Moij oui, m’intéresse parfois, souvent même, mais pas toujours… Car vos tartinades sont parfois bin laboureuses comme on dit chez mes prolétaires ruraux, et pas dignes de la plupart des herdélien.nes bouchées aux sciences artistiques. A quoi bon alors toute cette peine perdue à reluire de confitures les blasons demeurés, pour si peu de gratifications personnelles ? Aimez-vous Shakespeare en sabeaux ?

Janssen J-J dit: à

@ et va et faire foutre (sic)
… le fait exprès, pour voir si l’herdélie suit-je bien… Moi, j’avoue j’avions pas bin suivi… Bravoj !

Janssen J-J dit: à

@ pmp, (et rptv)… c’est dommage, c’était sans doute une belle couil.lonnarde !…

J J-J dit: à

Mary Curry sent la Taxifolia caulerpa, ce matin…

renato dit: à

Si quelqu’un est intéressé bien, 3J, sinon tant pis.

Cela dit, vous croyez vraiment que vos opinions parfois ridicules intéressent tout le monde ici ? Déjà, politiquement vous êtes une vieille savate intolérante vers ceux qui ne partagent pas vos convictions qui sont loin d’avoir fait leurs preuves… et ce ne sera pas un vieux réactionnaire aux accents tribunitiens qui démontrera la supériorité de la gauche. Et pour revenir à vous qui faites le super civilisé, tolérant, démocratique et ainsi de suite, mais n’êtes qu’un banal censeur qui tient ses goûts pour pierre de touche, apprenez à accepter les goûts des autres. Moi, je donne mon point de vue et contrairement à vous je ne l’impose à personne.

Enfin, un paléontologue a trouvé son compte dans une exposition. Pour vous c’est une référence, pour moi pas.

Janssen J-J dit: à

parfois, en ramant, RM, vous vous laissez aller à la pire vulgarité, ce qui me choque sous votre plume d’ordinaire plutôt civile (super civilisées ?)… Genre « vieille savate intolérante » ; « un banal censeur qui tient ses goûts pour pierre de touche »…, « vos opinions ridicules » Mais où allez vous chercher toussa ? – Vraiment, vous ne devriez pas vous infliger pareille exaspération, si vous n’imposez votre point de vue à personne, vos affects ne devraient pas prouver le contraire. Laissez tomber, à nos âges, les aigreurs d’estomac peuvent s’avérer mortelles. Et vous savez que vous l’êtes, rénato, comme tous les artistes paléontologues 🙂

renato dit: à

Je trouve tout ça en vous lisant, 3J, car vous être très arrogant et semblez ne pas vous en rendre compte.
Pour les agréeurs d’estomac pensez plutôt aux vôtres !

Pour la chronique, présent à l’expo à la Sidney Janis Gallery de New York en 1972 et Documenta 5 (celle de Szeemann). Puis la chose a montré ses limites et si la middle mass actuelle y trouve un intérêt, tant mieux pour eux.

renato dit: à

Anthropologue, éventuellement !

renato dit: à

Class, toujours le correcteur du téléphone !

pourmapar dit: à

c’était sans doute une belle couil.lonnarde !…+

Je voulais parler de la correspondance Perec/Lederer, parue en 2019 et que j’ai trouvée en solde.
Excellent pour la période des vacances!
Et pour la correspondance Francis Ponge/Philippe Sollers publiée chez Gallimard il y a peu.
Pour Ponge, bien entendu et examiner les tactiques du jeune Sollers.
On en reparlera.
Bon appétit!

pourmapar dit: à

BLBG va sûrement aimer les jeux de mot de Perec dans sa correspondance.

Jazzi dit: à

ça c’est de la critique littéraire comme on aimerait en lire plus souvent ici !

« Un jeune homme de 17 ans, suivi en hôpital de jour à Paris, croisé aujourd’hui, m’a conseillé de lire  » J’irai cracher sur vos tombes » de Boris Vian dont je ne connaissais que les chansons (par cœur) et « L’écume des jours » à la poésie surréaliste si doucement mélancolique.
Il va sans dire que le fait que ce tout jeune homme malade me tende un titre si violent en soi, moi qui ne connaissais rien au sujet du livre, m’a touchée et interpelée. J’y ai vu comme l’expression de sa rage face à l’injustice de la maladie frappant de plein fouet sa jeunesse.
J’ai donc ouvert le livre en rentrant chez moi avec ce sentiment de colère juvénile, d’injustice insupportable.
Et même si le sujet est tout autre puisque c’est celui du racisme anti noir qui y est abordé, il est tout de même question d’un jeune homme qui crève de rage. Lee Anderson est mu par une soif de vengeance qui n’a d’égal que son appétit sexuel tant et si bien que pulsion meurtrière et pulsion érotique se mêlent parfois tout à fait et laissent le lecteur dans un profond malaise.
Lee veut venger le « gosse », son petit frère noir lynché sauvagement par l’Amérique raciste et ségrégationniste pour être tombé amoureux d’une jeune fille blanche.
L’idée de Lee qui est né clair de peau, est de pénétrer la haute société blanche d’une petite bourgade dans le Sud des États-Unis afin de séduire les filles à papa, plus délurées les unes que les autres pour en faire des objets sexuels d’abord et les assassiner ensuite.
La description de ses victimes appartenant à une jeunesse dorée désœuvrée et dépravée sexuellement ne serait plus du tout supportée aujourd’hui, et on y verrait très certainement l’apologie du viol. Car viol il y a, sans aucun doute.
On peut reconnaître dans la volonté de « pénétrer » au sens propre du terme le corps ennemi, la folle entreprise de Bahia Benmahmoud incarnée par la géniale Sara Forestier qui avait décidé en jeune femme de gauche de « coucher » avec tous ces ennemis politiques afin de les « travailler au corps » et de les convertir à ses idées humanistes dans  » Le nom des gens » de Michel Leclerc mais le film était drôle, loufoque même, et tendre et le roman de Vian n’est ni l’un ni l’autre.
Lee ne veut convertir personne : il veut punir et tuer. Et le sexe est son arme, ce qui est glaçant. Il n’y a pas d’amour, pas de dialogue possible, pas d’horizon derrière la jouissance des corps qui se rencontrent pourtant.
Ce roman écrit sous le pseudo de Vernon Sullivan ne ressemble pas au reste de l’œuvre signée du nom de Vian. Écrit en 15 jours lors d’un séjour en Vendée, ce roman répondait à un défi lancé à Vian par l’éditeur Jean d’Halluin. Il fallait écrire un roman capable de déclencher un scandale à la hauteur de ceux que provoquait Henri Miller. Et ce fut réussi. Je crois que les raisons de l’écriture de ce livre par son auteur n’ont pas fini de faire couler de l’encre. La propre femme de Vian parlait de » malédiction » tant ce roman, les censures dont il a été l’objet, les procès, et l’adaptation cinématographique qui l’a tant contrarié, ( certains disent même qu’elle l’aurait tué) l’ont mis à mal.
Le lecteur ne peut qu’être sidéré par tant de violence et de crudité. Par tant d’étrangeté aussi. Ce livre est un ovni, absolument inclassable. On dirait que Vian s’amuse à parodier les romans noirs américains de Cain et de Chase. Il assaisonne le tout de quelques morceaux épicés à la sauce pornographique dignes d’un Harlequin série rouge (jamais lu, mais cela correspond parfaitement à l’idée clichée que je m’en fais). Il n’y a qu’à voir l’adaptation en bande dessinée faite par Jean David Morvan et les représentations stéréotypées des personnages (on dirait Ken et Barbie) pour s’en convaincre. Vian explique qu’il n’a pas voulu être aussi cru que Miller et a tenté de se rapprocher d’« une tradition érotique plus latine» …
Et pour couronner le tout, l’auteur veut donner à son texte une dimension politique et engagée et là, le vase déborde. La coupe est pleine. A vouloir courir tous les lièvres à la fois, on dirait que Vian rate son but. Le lecteur est pris à la gorge par trop d’émotions diverses et contraires : il hésite entre fascination et dégoût. La version audio du livre portée par la voix étrange et grave de Denis Lavant rend bien le caractère complexe de cet anti-héros. Le personnage de Lee a un côté volontaire et obstiné qui peut rappeler le personnage acharné de Martin Eden de Jack London prêt à tout, lui aussi, pour pénétrer la haute société par le truchement d’une jeune fille riche et amoureuse mais Martin Eden est solaire et Lee est sombre.
Pour Martin Eden aussi, il est question de revanche sociale et de séduction mais Martin Eden est courageux, il est digne. C’est un personnage qui se tient droit sur ses deux jambes et que l’on admire. Il veut jouir des privilèges dont il est privé et qu’il pense mériter au même titre que ces bourgeois blasés et hautains. Lui aussi n’a que mépris au fond pour cette bonne société et ses préjugés absurdes. Mais ce n’est ni un psychopathe ni un pervers. Son but est d’être reconnu et de changer les mentalités, d’être accepté, non de détruire et de se venger. Lee, lui, est un dément aussi sanguinaire que suicidaire qui n’est pas sans rappeler l’effroyable Lennie de Steinbeck dans « Des souris et des hommes ». L’effroyable Lennie aimant tant la douceur qu’il étouffait les femmes et les petites souris pour les posséder tout à fait. On comprend mal comment Vian, un homme blanc, a pu croire que ce personnage monstrueux pourrait servir la cause noire …
Si bien que l’on se demande, au fond, si cette dimension politique n’est pas qu’un écran de fumée qui cache un roman parfaitement pulsionnel et « trash » digne de George Bataille. Un roman sur la sombre et angoissante imbrication de ces « deux géants immortels »: Éros et Thanatos. »

(Cha Ba Da in Cinéma & Littérature)

Marie Sasseur dit: à

Et il sortira sur quelle plateforme le doc de Passou, Churchill vs De Gaulle ?

Depuis que les twitts sont inaccessibles à ceux qui n’ont pas « la carte » et n’ont pas l’intention de prendre un abonnement twitter, un relatif «  »silence  » se fait, diminuant le volume du buzz, ce qui est plutôt une bonne nouvelle, mais du coup on sait pas quand il faudra écouter radio Londres, huummmppff. Va te faire.

Marie Sasseur dit: à

« Je voulais parler de la correspondance Perec/Lederer, parue en 2019 et que j’ai trouvée en solde. »

Trouvée à la librairie, éditions Sillage, dans l’édition revue et augmentée, 2019. 29.50 euros . Correspondance 1956-1961.
Extrême vivacité d’esprit et de références littéraires de part et d’autre. Néologismes et fantaisues syntaxiques extraordinaires pour des jeunes de vingt ans…
Je ne sais pas pourquoi cette correspondance s’est arrêtée presque au lendemain de la démobilisation de Perec. En souhaitant que ces chers, très chers, admirables et charmants amis, aient pu alors continuer leurs échanges en real life, avec autant de petillance, pendant les 20 années qui ont suivi.

pourmapar dit: à

Oui, Marie sasseur, payé 20,50 euros la correspondance.

666 pages de bonheur de lecture!

pourmapar dit: à

 » Malheur à celui par qui le Stendnal arrive »
page 183.

pourmapar dit: à

Stendhal…

rose dit: à

Je ne les ai pas lus comme cela.
Ni Boris Vian. Ni John Steinbeck.
John Steinbeck, son Lennie n’a rien d’effroyable. Certes il étrangle les petites souris dans sa poche et une femme, une fois ; mais il est un géant profondément innocent et pour cela accompagné par qui tente de réduire ses méfaits. Pas de méchanceté, ni de perversion, chez Lennie.
Quant à Boris Vian, mon préféré est L’arrache-coeur, avec le nénuphar qui se développe dans la poitrine, de mémoire, pas relu depuis des années, sa rage d’écrire me semble plutôt intimement liée à sa mort précoce, comme son père, ingénieur, à l’âge de trente-huit ans.
Il n’a pas eu le temps d’aller plus loin.

Jazzi dit: à

J’ai pas l’impression que le lien passe ?
Quelqu’un a filmé des jeunes pillant une boutique Lacoste, des ados Français de souche…

Janssen J-J dit: à

@ car vous être très arrogant et semblez ne pas vous en rendre compte.

Je défends ma peau, me rends compte surtout de ne pas vouloir me laisser emm…, par la cuistrerie générale, j’ignore si c’est de la rogance. Je sais n’équivaloir à rien de bien compréhensible, mais je parle à d’autres qui ne sont pas là. Et ne crois à rien a priori de ceux qui vous expliquent ce que vous êtres censés être, et surtout de ce qu’ils aiment, de leurs goûts qu’en aucun cas, ils n’imposeraient à kinkcong. Ils s’aiment et se regardent… et corrigent leurs fautes, celles de leurs correcteurs accusés de tous les mots…, et que grands biens leur fassent. Ils n’ont pas conscience de ce qu’est leur vie, c’est une innocence que je leur envie, (comme disait l’humbe Machin).

Phil dit: à

Renato vs JJJ, wigs on the green !

renato dit: à

Vous avez pleine conscience de ce qu’est votre vie et cela suffit amplement au bienêtre du monde.

Janssen J-J dit: à

Il ne faut pas gratter beaucoup sur les réseaux sociaux pour percevoir rapidement la vérité des vadiusses et des trissotes (*** célèbre Maxime de La R.) – Belote ou tarot sur tapis verts (15 h) ?

renato dit: à

Vous avez donc réussi votre autoportrait en habit de Trissotin en ne grattant beaucoup sur les réseaux sociaux. Félicitations !

et alii dit: à

EST -CE SAMUEL QUI JOUE KEAN?

Marie Sasseur dit: à

Je me souviens que PPDA avait daubé une citation de Shakespeare, lors de ses adieux télévisés, « ce qui ne peut être évité il faut l’embrasser », et quand on connaît la suite, judiciaire, ça ne manque pas de saveur.

Anyway, il est bien difficile de faire retrouver de l’intérêt pour Shakespeare , chez les jeunes.
Un prof a trouvé la parade

https://youtu.be/ZNMwhaSHK9Q

D. dit: à

poireaux – pommes de terre c’est bien, mais endives – poireaux -pommes de terre c’est mieux.

et alii dit: à

soons réalistes:
Vous l’ignorez peut-être, mais on mourait beaucoup, énormément même, dans les pièces du grand William Shakespeare. 74 morts violentes précisément (!) recensées et qui vont être mises en scène, dans une pièce de théâtre dédiée, en 2016, l’année des quatre cent ans de la mort du dramaturge britannique. Ce sont quatre clowns qui joueront toutes ces morts plus dures les unes que les autres.
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/t-as-vu-l-info/les-74-morts-de-william-shakespeare_1772925.html

et alii dit: à

La couverture des romans de détection de Philip Gooden mettant en scène le comédien shakespearien (fictif) Nick Revill désigne ceux-ci par le terme de « Shakespearean Murder Mystery ». Cette association entre le barde anglais et le genre policier n’a rien de nouveau. Depuis ses débuts, le roman policier britannique puise abondamment dans l’œuvre de Shakespeare, comme l’ont par exemple noté Madge Mitton (Mitton 1998 : 47-63), Lisa Hopkins (Hopkins 2018 :1) et Susan Baker (Baker 1995 : 424-48). Jusqu’à la fin du vingtième siècle, cette intertextualité shakespearienne prend essentiellement la forme de citations faites par le détective privé, au point que celles-ci deviennent un cliché du genre. Lorsque Roderick Alleyn, le détective de Ngaio Marsh, se met à citer Hamlet, son ami Lord Gospel l’interrompt : « D’accord, d’accord. Ne commence pas à citer, Rory, on pourrait te prendre pour un détective »1. Un autre motif récurrent est celui du crime commis pendant la représentation d’une pièce de Shakespeare, comme dans Light Thickens, de Ngaio Marsh, ou Hamlet, Revenge ! de Michael Innes.
preo.u-bourgogne.fr/textesetcontextes/index.php?id=2386&lang=fr

et alii dit: à

« Cette double fonction diégétique de comédien et de détective est signalée dès le départ par le jeu de mots contenu dans le nom du personnage, Nick Revill, ou « Master Revill ». Dans l’Angleterre élisabéthaine, le ‘Master of the Revels’ était un haut personnage de la maison royale qui veillait à la bonne conduite des festivités, et en particulier des représentations théâtrales. Son rôle était celui d’un organisateur et d’un censeur. Le mot ‘revel’, festivité, est phonétiquement proche de ‘reveal’3, révéler, renvoyant à l’activité de détection, mais aussi à la fonction pédagogique du théâtre telle qu’on la conçoit à la Renaissance. Dans Hamlet, le rôle de révélateur du théâtre est souligné par le personnage éponyme, qui explique que la fonction du théâtre est : « de tendre pour ainsi dire un miroir à la nature, de montrer à la vertu ses traits, au ridicule son image, et à notre époque et au corps de notre temps sa forme et son effigie »4 (« 

MC dit: à

Ngaio Marsh ne fait pas que citer. Elle a écrit un polar ou le meurtre se joue lors d’une représentation de Macbeth, sur scène. Si Succession est Shakesperarien, Marie Sasseur est shakespearienne…. MC

Marie Sasseur dit: à

Je ne sais pas, ni ne veux savoir ce que le vieux dément mc tente de dire de ses fantasmes , dans des spams toujours plus insensés. Qu’il aille, bien sûr, se faire, et bien comme il faut.
Next.

J’ai vu plusieurs pièces de Shakespeare sur scène, à part celle de Botho Strauss.
Et je regrette qu’il n’y ait pas , qu’il n’y ait plus de théâtraux sur ce blog, comme il y avait un prof de théâtre.

Mais le sujet Bolloré, je l’ai déjà bien documenté . Ce croisé de Bretagne est ce que les curés ont fait de pire.

Passou dit: à

Rose, merci de la correction

rose dit: à

Avec plaisir, Passou.

Marie Sasseur dit: à

Les autres, vous pouvez plier le matos, la représentation est terminée.

D. dit: à

Oui puisque c’est comme ça je quitte ce blog et je me fais ermite.

Marie Sasseur dit: à

Juste pour rire , du dialogue de sourds:

Extrait du message de Et Al

« Un autre motif récurrent est celui du crime commis pendant la représentation d’une pièce de Shakespeare, comme dans Light Thickens, de Ngaio Marsh »

Le dément mc , ensuite :

« Ngaio Marsh ne fait pas que citer. Elle a écrit un polar ou le meurtre se joue lors d’une représentation de Macbeth, sur scène. »

Marie Sasseur dit: à

Mais quelle saloperie quand même, ce mc, un vrai sociopathe ;il ne connaît que le ton fielleux et l’invective. Ses commentaires n’ont absolument aucun intérêt, même quand il ne passe pas son temps à injurier,faute de lire, et d’essayer de comprendre, il en est incapable.

J J-J dit: à

D’aucun.es, comme moij et RM essaient de vous lire, mais c difficile, et pour tout dire, confusionnel et inespéré. Voici, à qq heures d’intervalse… :

1 – Titus Andronicus est bien la seule pièce de théâtre de Shakespeare, dont je me souvienne.
Elle avait été adaptée par Botho Strauss. Tamora-Christine Boisson, à la table de Titus, qui se regale du plat qui devait sceller la fin des hostilités, rend ce souvenir du dénouement inoubliable, à vie.

2 – J’ai vu plusieurs pièces de Shakespeare sur scène, à part celle de Botho Strauss.

Bon, c’était par oui-dire, en somme, comme d’hab… Il faut bien redondir un brin pour être phasée avec mon passoul. Et raconter sa vie sur tous les fronts, se faire accroire comme la seule qui voit, qui lit, qui sait… et surtout, qui n’use ô grand jamais du « ton fielleux ni de l’invective » à l’endroit des sociopathes. Areuh, areuh !
____
Je dis ça en passant, mais je moraline pas du tout. Hein, ma soeur MC !

Jean Langoncet dit: à

@wigs on the green / La qualité des insultes proférées

Le greenset n’est pas la surface d’affrontement d’actualité, mais le gazon, celui de Wimbledon ; repensé aux noms d’oiseaux proférés par McEnroe à l’encontre des arbitres, qu’il soient de chaise, de ligne ou de ce que vous voulez, aussi bien qu’à l’encontre du public et retrouvé ce texte :

Borg-McEnroe ou les beautés de la raison pures
par Serge Daney

Wimbledon 1980. (Avant de lire l’article de Serge Daney, il faut voir ou revoir l’incroyable tie-break du quatrième set de la finale entre Borg et McEnroe, trente-quatre points en vingt-cinq minutes…)

Le champion suédois a remporté samedi après-midi son cinquième titre consécutif à Wimbledon en triomphant en 3h53 du n° 1 américain John McEnroe. Finale idéale qui s’est construite sous les yeux des spectateurs et des téléspectateurs, les joueurs s’obligeant au fur et à mesure du match à toujours plus d’intelligence dans les coups et dans les placements.

Finale épique, inoubliable. Match important. Pendant trois heures cinquante-trois minutes, Borg et McEnroe, dont c’était la première rencontre dans un finale du grand chelem, ont procuré à peu près toutes les émotions du tennis. De l’ennui à l’enthousiasme, de l’angoisse à l’admiration. On n’est pas près d’oublier le plan de McEnroe plié en deux, pleurant silencieusement après sa défaite, ni le regard égaré de Borg après sa victoire. Pendant près de quatre heures, le téléspectateur, lui aussi, a été promené d’un bout à l’autre du court mental de ses certitudes, sans cesse lobé, pris à contre-pied, surpris. Il lui est arrivé, chose rare, surtout en finale, d’assister à un match où les moments de plus grande tension ont été aussi ceux du plus beau tennis. Coïncidence miraculeuse. Les deux hommes n’ont jamais aussi bien joué que lorsqu’ils se sont retrouvés le dos au mur, comme si leur vie en dépendait, marque, on le sait, des grands champions.
Contrairement au football ou au rugby, le tennis est fondé sur un compte à rebours relatif. La durée d’un match dépend de la capacité des joueurs à créer ce temps en plus dont ils ont besoin pour gagner, à le faire surgir au détour d’une phase de jeu. C’est ce qui s’est passé à la fin du quatrième set qui a opposé Borg à McEnroe.
Le plus paradoxal c’est qu’on revenait de loin. On revenait d’un premier set sans éclat où McEnroe domina en se contentant de bien servir face à un Borg hésitant, crispé, jouant curieusement contre sa nature, montant au filet pour y manquer complètement de réussite. On revenait d’un second set équilibré mais terne où Borg donna le sentiment, chose rare, de ne bien jouer que les points décisifs pour « empocher » le set presque par surprise. On revenait d’un troisième set où McEnroe subit un passage à vide, changea de raquette et poussa son premier cri de la partie (or, de cris, il n’avait pas été avare la veille contre Connors), perdit un jeu décisif (le septième, qui ne dura pas moins de dix minutes) et le set avec. Jusque-là Borg avait joué avec plus de sang-froid que de souveraineté et on se disait que, face à un McEnroe découragé ou fatigué, il allait « logiquement » gagner, sans plus. Erreur ! Erreur totale. Car c’est alors, après deux heures de match, que tout commença. Le jeu s’améliore, se resserre : au quatrième set, les deux hommes gagnent leur services à tour de rôle puis Borg fait le break et menace de l’emporter. McEnroe sauve deux balles de match, aligne huit coups gagnants : cris dans les gradins de Wimbledon et cri de moi-même devant mon poste (un petit sony en couleurs, très bien). On arrive ainsi au tie-break que McEnroe va gagner par le score ahurissant de 18 à 16, après avoir sauvé cinq balles de match !

Ce tie-break est, je crois, l’un des grand moments du tennis depuis très longtemps. Les deux hommes s’y engagèrent résolument, sans frime aucune, sans un regard pour le public. On découvrit chez McEnroe une capacité de concentration tout à fait inconnue.
Surpris peut-être par la réussite de leurs coups, ils donnent le sentiment, dans ce duel au sommet, de succomber eux aussi aux vertiges de la symétrie, de vouloir et de ne pas vouloir se départager.

Étymologiquement, « tie-break » signifie « couper les liens, dénouer ». Le tie-break permet d’en finir avec un set qui menace de s’éterniser, empêche la crocodilisation du jeu et facilite la retransmission des matchs devenus plus courts. Pour toutes ces raisons, le tie-break joue sur la solidité des nerfs, donne parfois lieu à du cirque (on se souvient de la défaite de McEnroe devant McNamee à Roland Garros en quatre sets et quatre tie-breaks !), mais rarement à du très bon tennis. C’est du moins ce que je pensais avant ce tie-break là. Car ce qui fut admirable tout au long des trente-quatre points qui y furent disputés, c’est qu’on était arrivé à un moment de la rencontre où tout calcul, toute tactique étaient oubliés, passaient derrière l’émotion des joueurs et qui eux-mêmes pratiquent sans arrière-pensée et malgré la gravité du moment le plus beau tennis qui soit. On oubliait d’autant les ternes trois premiers sets où on les avait vus se neutraliser réciproquement (Borg gêné dans ses passing-shots, McEnroe dans son service-volées).
Le cinquième set les verra jouer, si j’ose dire « sans filet », sur leur seul talent, alignant à tour de rôle les aces et les jeux blancs. Chaque échange se gravant aussitôt dans la mémoire du spectateur comme un hiéroglyphe ou une figure parfaite qu’on a aussitôt envie de mimer, de dessiner, de raconter. Si Borg gagna, ce fut de justesse, grâce à quelques retours de services fulgurants, mais rarement on a eu autant envie d’applaudir les deux joueurs à la fois. Cruel, le tennis ignore le match nul.

Ce match est aussi un match important. Pas parce que McEnroe, comme Tanner l’année dernière, aurait pu gagner, ni parce que cette finale confirme qu’il est bien le numéro deux mondial et le seul capable de faire jeu égal avec Borg. C’est ce que beaucoup de gens, excédés par la supériorité de Borg, souhaitent. C’est compréhensible, bien qu’assez bas. On fait de McEnroe le représentant d’une jeune génération et de Borg un vieux. On a tort : il n’y a que trois ans d’écart entre les deux hommes et il serait plus juste de penser qu’ils appartiennent à la même génération et de se réjouir à l’idée que McEnroe c’est, autant que la possibilité de battre Borg, un autre tennis.
Et c’est ce que la finale a mis en évidence. Qu’il y a une autre conception du tennis, un autre rapport à ce qui bouge (l’autre, la balle) et à ce qui ne bouge pas (les lignes, l’espace, le filet). Par exemple, le point fort de Borg, c’est le passing-shot qui consiste à envoyer la balle exactement là où l’autre n’est plus (mais où il aurait dû rester). L’infortuné qui s’est aventuré au filet est croisé en sens inverse par la balle qui vient indiquer sèchement, derrière lui et souvent en plein milieu du court, le lieu qu’il a déserté. C’est pourquoi ce coup est non seulement redoutable mais humiliant, il donne aux victoires de Borg les allures d’un constant rappel à l’ordre ou d’un leçon de tennis. Borg envoie la balle là où l’autre n’est plus. McEnroe, lui aurait plutôt tendance à l’envoyer là où il ne sera jamais. Ses coups les plus beaux consistent à trouver le long des lignes des angles ahurissants, improbables. Au jeu lifté de Borg qui dessine au-dessus du court un volume idéal où les balles ont des trajectoires de satellites répond un jeu plus plat entièrement fondé sur cette notion d’angle. Différence de technique, différence d’éducation (Borg avantagé par les surfaces lentes, McEnroe par les rapides), mais aussi différence de vision du jeu, je dirai même de philosophie. Le tennis de McEnroe, plus généreux, plus kamikaze, plus artiste, nous revient de loin. Grâce à lui, il va y avoir de nouveau un peu de dialogue au sommet.

Libération, 7 juillet 1980 (repris dans : Serge Daney, L’amateur de tennis, P.O.L., 1994).

Note : Après cette 5ème victoire, Borg ne gagnera plus le tournoi de Wimbledon. Dès 1981, Mc Enroe le bat en finale et, raconte Laurent Rigoulet, « quand il sert la main du Suédois, il le sent « bizarrement soulagé ». A la fin du même été, il le bat encore à l’US Open, et Borg disparaît avant la remise des prix. On ne le reverra plus. Il annonce sa retraite à 25 ans, laissant son rival esseulé. McEnroe n’a pas dominé le tennis comme son rival avant lui. Quand on lui demande pourquoi, il répond que Borg lui a toujours manqué. » McEnroe gagnera également le tournoi de Wimbledon en 1983 et 1984, mais il ne gagnera jamais Roland Garros, son jeu aérien s’empêtrant dans la terre battue.

Janssen J-J dit: à

J’ai toujours aimé jouer le rôle de Trissotin au théâtre, un rôle qui n’est pas si facile à jouer en Angleterre, entre nous.

J J-J dit: à

que sont devenus ivan lendl, connors, chris evert lloyd ou martina navratilovna, nos idoles des jeunesses des 70 et 80′ ?

Marie Sasseur dit: à

Entre le vieux keuf alcoolique dont les commentaires boursouflés, passé une certaine heure n’ont plus rien de civilisé, le sont-ils jamais ses harcèlements immondes, et les spams du vieux dément mc, veritable sociopathe, qui ne doit pas sucer que des glaçons non plus,
je ne choisis pas mon fan club.

Place aux comédiens.

Marie Sasseur dit: à

Et soyez bons, on veut de la qualité.

« Mettez l’action d’accord avec la parole, la parole d’accord avec l’action, en vous appliquant spécialement à ne jamais violer la nature ; car toute exagération s’écarte du but du théâtre qui, dès l’origine comme aujourd’hui, a eu et a encore pour objet d’être le miroir de la nature, de montrer à la vertu ses propres traits, à l’infamie sa propre image, et au temps même sa forme et ses traits dans la personnification du passé. Maintenant, si l’expression est exagérée ou affaiblie, elle aura beau faire rire l’ignorant, elle blessera à coup sûr l’homme judicieux dont la critique, vous devez en convenir, a plus de poids que celle d’une salle entière. »

Jean Langoncet dit: à

Empêcher la « crocodilisation du jeu » … vaste programme qu’il aurait dit Charlie

Patrice Charoulet dit: à

LANGAGE MELENCHONIEN

5000 véhicules incendiés, 1000 bâtiments dévastés, 250 gendarmeries et commissariats attaqués,
milliers de magasins pillés.

M. Mélenchon, dans un discours, nomme tout cela « révolte ». C’est mal dit.

et alii dit: à

traduction:
mais je trouve qu’on ne devrait pas « traduire » fuck que tout le monde comprend tres bien!(même si, évidemment, à l’oral, dans « la vie »,on pourrait le soutenir ce fuck d’un geste ; étudions toutes propositions!

Jazzi dit: à

« « révolte ». C’est mal dit. »

Quel serait le qualificatif le plusexact ?

« vandalisme », « razzias », « incivilités », « pillages », « rébellion »…

Jazzi dit: à

« qu’il n’y ait plus de théâtraux »

C.P. et Lavande, qui était notre petit reporter en Avignon, in et off !

et alii dit: à

REVOLTE
il me semble que les « jeunes »,et tous ceux qui se mettent à leur parlure ne diraient pas « incivilités » , mais « carnage »

Jazzi dit: à

« Et ne crois à rien a priori de ceux qui vous expliquent ce que vous êtres censés être »

Vous dites ça pour Clopine dressant mon portrait, JJJ ?

D. dit: à

Dati est 100 fois mieux.

Janssen J-J dit: à

@ Quel serait le qualificatif le plus exact ?

je dirais… émeutes… (« rillotts », comme dirait jmb sur l’autre chaine). Bàl !

Jazzi dit: à

Oui, ça correspond bien, JJJ.

« émeute
nom féminin

(ancien français esmeu, participe passé de émouvoir)

Soulèvement populaire, mouvement, agitation, explosion de violence : Tourner à l’émeute.
Synonymes :
insurrection – sédition – soulèvement – troubles »

Jazzi dit: à

Pourquoi y a t-il plus d’émeutiers que d’émeutières, Samuel ?

MC dit: à

Allons, Sasseur, vous feriez au choix ou une très présentable et acrimonieuse Commère de Windsor, soit une Ophélie completemement déjantée, c’est sûr ! Ne soyez pas si modeste! MC

MC dit: à

Je veux bien être dément pourvu que vous soyez démone! MC

MC dit: à

Et, dites-moi, comment oserait-on commenter après vous, vous l’ Attila de ce Commentarium?!!!

Marie Sasseur dit: à

Décidément, commenter ici devient très compliqué, entre un sujet inintéressant au possible, et vite asséché, et des vieux désorientés comme ce dément mc, vieux puceau alcoolique, qui ne modère même plus ses insanités, l’incitation à l’insulte de Passou n’y fera rien. Je n’ai absolument rien à faire de cette série TV.

Sinon, indépassable, breaking bad sur Netflix, et le jeu de la dame , très bien aussi.

et alii dit: à

Les analyses ont révélé que les individus non solitaires avaient tous une manière similaire de traiter le monde qui les entoure. Les personnes seules interprètent non seulement les choses différemment de leurs pairs non solitaires, mais elles les voient même différemment les unes des autres.

« Nos résultats suggèrent que les personnes seules traitent le monde de manière idiosyncrasique, ce qui peut contribuer à réduire le sentiment d’être compris qui accompagne souvent la solitude », a déclaré l’équipe de recherche, dirigée par la psychologue Elisa Baek, dans une étude récemment publiée dans Psychological Science .
https://arstechnica.com/science/2023/07/lonely-people-see-the-world-differently-according-to-their-brains/?utm_source=nl&utm_brand=ars&utm_campaign=aud-dev&utm_mailing=Ars_Orbital_070523&utm_medium=email&bxid=5be9cb8e2ddf9c72dc17a8c1&cndid=26382597&hasha=3f61450b4cf08e9d44ccf6c2f649e776&hashb=2a99e27b12e26d79e2f4934bcd438913b192c953&hashc=c9d208096a0cf9890af148e732b7f0569a768fe1b915dacd51f2d2d7cda0cdd7&esrc=&utm_content=B&utm_term=ARS_OrbitalTransmission

Mary Curry dit: à

L’urbanité renvoie, dans le sens courant, à une qualité d’individus se comportant de manière polie avec autrui et dans une deuxième acception, propre à la géographie, au caractère urbain d’un espace.

Dans cette seconde acception, l’urbanité peut être définie comme procédant du « couplage de la densité et de la diversité des objets de société dans l’espace » (Lussault, 2003). L’urbanité apparaît ainsi comme un caractère propre de la ville dont l’espace est organisé pour faciliter au maximum toutes les formes d’interaction.

https://geoconfluences.ens-lyon.fr/glossaire/urbanite

Mary Curry dit: à

« VOUS FAIRE FOUTRE »

* Dépourvu de cause réelle et sérieuse le licenciement

Pour la Cour de cassation, les propos « allez vous faire foutre » tenus dans des circonstances particulières leur ôte tout caractère injurieux. Dans l’exercice du pouvoir d’appréciation qu’elle tient, la cour d’appel de Versailles a décidé que le licenciement ne procédait pas d’une cause réelle et sérieuse

Cass. Soc. 6 mai 1998 N° 96-41163

* Seulement une cause réelle et sérieuse de licenciement

Pour la Cour de cassation, l’expression « j’en ai rien à cirer vous n’avez qu’à vous faire foutre » adressée à son employeur mais demeurée exceptionnelle, ne rend pas impossible le maintien du salarié dans l’entreprise et ne constituait pas une faute grave. Ce comportement violent du salarié devait être mis au compte de l’état d’exaspération et de fragilité psychologique dans lequel il se trouvait, lié aux vicissitudes des relations professionnelles qu’il entretenait avec son employeur et relevé qu’en douze ans de carrière il n’avait jamais fait l’objet d’observations

Cass. Soc. 17 Juin 2009 N° 08-41.663

* Licenciement justifié pour faute grave

Pour la Cour d’Appel de Douai, les propos injurieux « connard vas te faire foutre » caractérisent une faute grave rendant impossible la poursuite de la relation de travail même pendant la durée limitée du préavis sans risque de compromettre les intérêts légitimes de l’employeur, ce comportement fautif ne correspondant pas à l’exécution normale du contrat de travail.

CA Douai, 31 Mai 2007 Numéro JurisData : 2007-344628

Pour la Cour d’Appel de Nîmes, la tenue de propos outrageants « allez vous faire foutre » constitue une violation essentielle du contrat de travail et en l’absence d’excuses immédiates formulées à l’égard de l’employeur, la rupture du contrat de travail est justifiée par la faute grave commise par le salarié.

CA Nîmes, 8 Novembre 2006 Numéro JurisData : 2006-332438

rose dit: à

L’urbanité dans les Open Space !!!

rose dit: à

Alain Delon
Isoler la personne âgée, c’est la première manière de la dépouiller.
Avec interdiction du téléphone.
La distance, je n’y étais pas (vingt mètres ?) mais la pente j’y pense depuis une semaine (45% le sol, en pente raide, plus 45% le corps de la personne, les pieds raclant le sol : c’est à peine pensable).

Marie Sasseur dit: à

Blog des séries et des hommes

« Souvent perçues comme d’interminables logorrhées, les séries télévisées savent aussi se taire quand la situation diégétique l’exige. La question du silence « total » est plus épineuse : le plus souvent, subsiste au moins une couche sonore (musique, bruit) visant à éviter de placer le spectateur dans une situation de gêne trop déstabilisante. Que certaines séries s’y essaient malgré tout mérite que l’on s’y attarde. »

https://dsdh.hypotheses.org/1186#more-1186

Marie Sasseur dit: à

« Saison est la première revue papier entièrement consacrée aux séries. Son comité de rédaction composé de journalistes, d’essayistes, d’universitaires et de professionnels du secteur audiovisuel (scénaristes, monteurs, réalisateurs), ainsi que de plumes spécialisées, tous grands amateurs de séries, s’en emparent comme matériau filmique et narratif, mais aussi comme phénomène de société inédit.  »

https://classiques-garnier.com/saison-la-revue-des-series.html

rose dit: à

Je connais un prof de philo.qui a pris la place* de Jean Paul Sartre, et qui enseigne à ses élèves la philo en s’appuyant sur des séries.
Il s’appelle Jean Bourgault. Il travaille à Condorcet.

* Il est sur son fauteuil.

rose dit: à

La japonaise :
 » Tout doit passer par moi. »

Janssen J-J dit: à

A native means a native of Africa who is not of European or Asiatic race or origin; all others are non-natives. A person’s race or origin does not depend on where he or she is born. Race depends on the blood in one’s veins.
____
@ 93 – Plutôt Rose Parks ou Angela Davies ?

(cf. Rachida, Anne ou Valérie ?… des parisiennes faites femmes)…

J J-J dit: à

@ absolument rien à faire de cette série TV. Sinon, indépassable, breaking bad sur Netflix, et le jeu de la dame, très bien aussi.

Prends-toi donc une carte chez Netkleuf, et va te faire foutre, Valérie !

Jazzi dit: à

pourquoi ai-je plus de compassion et de compréhension pour le populo égaré qui vote RN que pour l’intello dégénéré qui appelle à voter pour LFI ?

MC dit: à

« Tout doit passer par moi ». Ce pourrait être , nous semble-t-il, du Sasseur…. MC

et alii dit: à

fraise :et l’art?
Suite à ses études en histoire de l’art dont elle fait constamment référence, l’univers onirique de la jeune photographe Mathilde Oscar s’articule autour de mythes et de légendes qu’elle revisite dans un contexte actuel. Ses portraits sont davantage picturaux que photographiques comme en témoigne la « Jeune fille à la fraise » faisant référence au chef d’œuvre de 1665 « La jeune fille à la perle » du peintre Vermeer et qui caractérise l’âge d’or de la peinture néerlandaise.
https://www.yellowkorner.com/fr/p/jeune-fille-a-la-fraise/40228.html

et alii dit: à

JE RAM7NE MA FRAISE/. En Angleterre, ces peintures sont devenues connues sous le nom d’œuvres Grand Manner, et l’école hollandaise comptait des noms bien connus comme Rembrandt van Rijn, Johannes Vermeer et Frans Hals parmi sa cohorte, nous captivant encore aujourd’hui lors d’expositions à guichets fermés . Pour l’artiste allemand Volker Hermes , cette époque de l’histoire de l’art est une source d’inspiration inépuisable.
Des masques de brocart couvrent les yeux d’un sujet élisabéthain, des robes luxueuses s’étendent jusqu’au front et des collerettes de dentelle engloutissent les visages des porteurs.
https://www.thisiscolossal.com/2023/06/volker-hermes-hidden-portraits/?
« Pickenoy caché II » (2023). Toutes les images © Volker Hermes, partagées avec permission

Jazzi dit: à

Mais non, MC, sa devise c’est : « Tous doivent passer sur moi » !

Nicephore dit: à

Excellent dossier sur Céline dans le Point.
Avec interview de Frédéric Vitoux, Antoine Gallimard.
Et étude du droit moral de l’auteur , de la jurisprudence.

Jazzi dit: à

Sifflé par le public, l’acteur Frédérick Lemaître lance aux spectateurs :
– Tas d’idiots !
Le directeur du théâtre exige qu’il présente ses excuses au public. Lemaître s’exécute :
– J’ai prétendu que vous étiez un tas d’idiots. C’est vrai. Je vous fais des excuses. J’ai tort.

et alii dit: à

lemaître freddy
Chef-d’oeuvre absolu avec Jacques Prévert au scénario et Marcel Carné à la réalisation, Les Enfants du Paradis a été élu meilleur film de tous les temps par les critiques français à l’occasion du centenaire du cinéma. L’affiche est une succession de noms désormais mythiques (Jean-Louis Barrault,Pierre Brasseur, Marcel Herrand…) avec, au sommet, l’inégalable Arletty.

MC dit: à

Lemaitre, ce fut l’ Auberge des Adrets, dont Banville s’émerveillait encore dans ses Souvenirs quarante ans après, et, avant tout, Ruy Blas! Le type même de l’acteur romantique. MC

Phil dit: à

Drôle de sujet dear Passou, pour débiles légers perfusés aux séries, of course.
Did you know ? Murdoch, requin blanc australien, dixit : « là où Murdoch passe, le niveau baisse ! » Dear Bloom retrouvera la vo. Le mogoul Maxwell sans filtre voulait le bouffer, l’a été liquidé par le mossad. Alles klar.
Sasseur Curry à fond les manettes, opéra savon à elle seule. Mr Court nous distrait en filant des coups de latte pour tourner la toupie.

Soleil vert dit: à

Un tour chez les serbes :

Goran Petrović – Soixante-neuf tiroirs – Zulma

JC..... dit: à

SCOOP 06/07/2023, 12h42

Le camarade PRIGOJINE vient d’arriver, accompagné d’une armada de fidèles subventionnés, à PORQUEROLLES !

Nous vous tiendrons au courant…..

Janssen J-J dit: à

des coups de phil aux pattes pour tourner la bourriche en furies, et ça marche à toutes les battes, oui ! L’a enfin compris, marc, comment s’y prendre avec elle – SV, il était rudement bien votre petit hommage à CMC, je crois que Pérutz avait été total édité chez Phoebus, non ? Epépé…, oui, c’était un roman formidable, angoissant et même vaporeux dans le brouillard. Babélien, surtout, et pas sorti du fond du web, peinant tels des furtifs arrivant en gares improbables.

Marie Sasseur dit: à

Et ce vieux philopede, toujours plus infect.
A bien raison de rester planqué.

Marie Sasseur dit: à

Dans d’autres circonstances, ce valet, biberonné à la grosse vache teutonne, aurait eu du mal à compter ses abattis. Le genre de lâche, à rester bien planqué derrière un écran.

Marie Sasseur dit: à

Je ne pense pas que ce genre d’ordure ait jamais eu l’honnêteté de donner son identité à Passou.

et alii dit: à

A l’occasion de la Journée internationale des langues étrangères, « l’Obs » vous offre un petit florilège de ces termes intraduisibles, qui vous permettront peut-être de mettre des mots sur ces émotions sans nom qui nous traversent tous.

Neugieredummheitencyrilhanounieren
Fusion de trois mots signifiant respectivement « curiosité », « stupidité » et « Cyril Hanouna », ce verbe désigne le fait d’être irrésistiblement attiré par un extrait vidéo

D. dit: à

Moi je n’aime pas les langues etrangères. Elles ne servent à rien en France.

Phil dit: à

Neugieredummheitensasseurieren

Ausgezeichnet, liebe Etalii

et alii dit: à

le prénom de mon ex était on ne peut plus shakespearien, mais il n’a jamais été fichu d’apprendre l’anglais,alors que j’ai longtemps rêvé d’être anglaise;

D. dit: à

JC….. dit: à

SCOOP 06/07/2023, 12h42

Le camarade PRIGOJINE vient d’arriver, accompagné d’une armada de fidèles subventionnés, à PORQUEROLLES !

Nous vous tiendrons au courant…..

C’était couru d’avance, JC.
Je l’ai écrit il y a 2 semaines preuves à l’appui. À Porquerolles sous les cocotiers avec des millions de dollars. Tout le monde m’a ri au nez, Langoncet en premier.

Marie Sasseur dit: à

C’est cela aussi, commenter sur un forum , le risque de tomber sur des saloperies, comme le philopede, dont la veulerie n’a pas de limite. Le genre de lâche qui n’aurait pas le temps dans d’autres circonstances de dire ouf.

Marie Sasseur dit: à

Un vrai délinquant ce philopede, justifie à lui tout seul les lois pénalisant les salopards, bien planqués derrière leur écran,
incitant aux lynchages sur internet.

Marie Sasseur dit: à

Ce valet sera bien sorti d’entre les cuisses d’une femme lui aussi, même si sa misogynie maladive le pousse à préférer les hommes tres jeunes. Tous ses messages sont très explicites.
C’est pas un homme, cette ordure.

Phil dit: à

Da…laaasssss..

Marie Sasseur dit: à

Il se croît où, ce délinquant, à la fête à neuneu, où il peut appeler au lynchage et déverser toutes ses saloperies sur un blog, en toute impunité ?

renato dit: à

« Tout le monde m’a ri au nez… »

Évidemment, dédé, en bon couillon anti-atlantiste vous aviez parlé de dollars, tandis que dans le fait c’est la lavette du Kremlin qui lui a rendu son pognon.

lmd dit: à

À propos de Caulerpa taxifolia, l’algue tueuse : devant la menace tout le monde s’est alarmé, et particulièrement ceux qui regardent sous la mer Méditerranée avec affection. On a imaginé des solutions d’éradication par tous les bouts … et puis elle a cessé de s’étendre et elle a disparu et on n’en parle plus.
Ce n’est pas si souvent que les séries dramatiques finissent aussi peinardement.

et alii dit: à

regarder sous la mer
comment fait-on?

rose dit: à

On ouvre les yeux.

rose dit: à

En attendant, on sait pkoi a laissé faire les riots.
En allant au concert d’adieu de Elton John.
Pck, ne faisant rien, l’État touchera un million d’euros de droits sur la cagnotte du policier.
Fortiche, non ?

rose dit: à

En attendant, on sait pkoi Macrounet a laissé faire les riots

et alii dit: à

SOUS la mer!a-t-il dit! ce n’est pas sur, ni au delà, ni dans;

Kilékon dit: à

rose pousse son r(i)ot, ce n’est pas la première fois, hélas!

et alii dit: à

Vues à travers une lentille artistique, les algues se révèlent avoir « une certaine qualité fabuleuse ».
ouverte au New Bedford Whaling Museum dans le Massachusetts, une exposition surprenante dans la même veine : « A Singularly Marine and Fabulous
Le spectacle tire son nom d’un passage d’Henry David Thoreau, qui a qualifié les algues « d’invention digne de Neptune pour orner sa voiture », ajoutant que c’est l’un des produits de la mer qui a « une certaine qualité fabuleuse ».
artnet

et alii dit: à

Sont également exposés des peintures de personnalités majeures telles que John Singer Sargent et Andrew Wyeth, ainsi que des arts décoratifs de marques notables telles que Gorham et Wedgewood, ainsi que des albums, des collages et des premières photographies de créateurs anonymes. Parmi les œuvres frappantes figurent une photographie des années 1880 d’une femme vêtue d’une robe ornée d’algues, un bol à punch Tiffany en argent et or décoré d’un motif d’algues et une sculpture en bronze grandeur nature d’un chandail de pêcheur en algues et cire par l’artiste Céleste Roberge. 

D. dit: à

Je ne suis pas anti-atlantiste, je ne suis pas atlantiste. Le Gaullisme, en avez-vous entendu parler, reNATO ?
Il faut dire que n’étant pas Français (corrigez-moi si je me trompe), vous n’êtes pas le mieux placé pour en parler.

renato dit: à

Ne vous caché pas derrière à un nationalisme à 2 balles dédé, la couillonnade des dollars c’est vous qui l’avez cuisinée et servie ici. Parlez d’avions, c’est mieux, les fiches techniques étant sur le net vous ne risquez pas de propager des fausse nouvelles en faveur des criminels fascistes que vous appréciez tant.

renato dit: à

fausseS

D. dit: à

De Gaulle, vous en avez entendu parler, reNATO ?

renato dit: à

Non, mais quel con ce dédé… bon il est vrai que comme toutes les lavettes sans idées ni projets il se cache derrière un qui en a eu au moins une.

Jean Langoncet dit: à

@De Gaulle, vous en avez entendu parler, reNATO ?

Moi oui ; et Le Pen et Mélenchon s’en revendiquent aujourd’hui pour tenter de justifier leur poutinophilie … étonnant, non ?

renato dit: à

Il faut vraiment être décalé relativement au présent et n’avoir aucune idée de l’état des choses pour ne pas comprendre qu’il y a une différence entre la France des années cinquante et celle d’aujourd’hui. Mais bon, c’est compressible si l’on tient en compte que dédé se paye une dépendance à l’endive.

Jean Langoncet dit: à

… et s’ils avaient raison avec l’Iran, la Corée du Nord et Cuba pour ne citer que les plus notables des poutinophiles de 2023 ?

Jean Langoncet dit: à

Incidemment, on peut dire qu’il y a une différence entre la France des années cinquante et celle des années soixante, ces dernières étant celles de De Gaulle au pouvoir

Jean Langoncet dit: à

La France est un des pays fondateur de l’Alliance atlantique dont elle ne s’est jamais dissociée de la politique ; De Gaulle au pouvoir était avant tout un florentin et seuls quelques foutriquets inconséquents, capables de soutenir tout et son contraire selon les circonstances à la manière des démagogues, voient en lui une figure « non alignée »

Jazzi dit: à

Macron est étonnamment gaullien, non ?
La reprise en main de l’information sur le service public et sur les réseaux sociaux en sont un parfait exemple…

honneur de blog dit: à

Oui, les années50, c’est René Coty. De Gaulle c’est plutôt les années 60…( Dès 1958.)
Nuance.

vadeboncoeur dit: à

Macron est étonnamment gaullien, non ?

Non.
Il est Macron dans toute son intelligence et toute sa splendeur.

renato dit: à

1958 ce sont encore les années 50… bon, à un moment j’ai lu ici que le mouvement hippie c’était les année 70… mais peu importe.

Jean Langoncet dit: à

58 > 69 ; plutôt cinquante ou plutôt soixante ?

honneur de blog dit: à

Soixante sans aucun doute.
Les années 50 c’est aussi Mendès-France et son verre de lait à l’école. Renato n’a pas connu ça.
Années 60, c’est l’ Algérie (1962) et mai 68 et Baden-Baden…
De Gaulle n’entre en aucune façon dans le concept historico-culturel des années 50,( années 40-45, oui) il faut ici encore le préciser.

honneur de blog dit: à

Ni dans le concert historico-culturel, il faut bien le dire.

honneur de blog dit: à

En Italie ils reprenaient de façon tardive et bêtement répétitive le slogan de mai 68, le : « sé néquin débout, continouillons le combat ».

renato dit: à

La constitution de la cinquième est de 58 ou pas ?

Quel 68 et pour qui ? valle Giulia le 1mars 68 ou la zanzara en 66 ? pour le reste le mouvement estudiantin italien fut comme celui français un refuge pour débiles opportunistes en carrière.

Jean Langoncet dit: à

@De Gaulle, vous en avez entendu parler, reNATO ?

Il me semble que Calimero faisait allusion à une décision de De Gaulle de quitter l’organisation militaire intégrée de l’Alliance- décision au demeurant sans effet politique – datant de 1966

et alii dit: à

La violence des émeutiers est-elle le signe d’une décivilisation ?

Boris Cyrulnik : Oui. On a reproché l’emploi de ce mot à Emmanuel Macron, en l’accusant d’utiliser une notion issue de l’extrême droite. Pour moi, il est évident que le terme vient de La Civilisation des mœurs, de Norbert Elias. Le président a utilisé ce mot au sens de déritualisation. Si la plupart des jeunes des quartiers s’intègrent extrêmement bien, contrairement à ce qu’on dit, une minorité d’entre eux est décivilisée. Autrement dit, elle n’a pas appris les rituels d’interaction, n’a ni éducation, ni école, ni famille, ni travail, ni projets. Comment voulez-vous qu’elle soit civilisée ? Ces cas sont très minoritaires, mais, comme l’a montré Serge Moscovici dans ses travaux sur les minorités actives, 3 % d…le point
bonsoir

et alii dit: à

TRIBUNE. Le linguiste Alain Bentolila estime que ni les uns ni les autres n’ont appris à inscrire pacifiquement leur pensée par la force respectueuse des mots.
le point

renato dit: à

Selon Loukachenko : « Prigojine n’est pas en Biélorussie mais à Saint-Pétersbourg, selon lui dirigeant le chef de Wagner pourrait être à Moscou.
Il n’a donc pas seulement récupéré son poignons mais il voyage comme bon lui semble.

Par ailleurs, selon une chaîne Telegram près de Wagner la maison fouillée par le FSB n’est pas celle de Prigojine.

Phil dit: à

son poignons

aïe

renato dit: à

OK, sans S…

renato dit: à

… et sans I !

rose dit: à

et alii dit: à
TRIBUNE. Le linguiste Alain Bentolila estime que ni les uns ni les autres n’ont appris à inscrire pacifiquement leur pensée par la force respectueuse des mots.
le point

Magnifique !
Merci et alii,

Jean Langoncet dit: à

La France est un des pays fondateur de l’Alliance atlantique > La France est un des pays fondateurs de l’Alliance atlantique

(ah, les seventies selon Pompidou … une France de retraités heureux dès l’oeuf , what else ? https://scontent-cdg4-1.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/358128067_658485272964641_4671759211687701431_n.jpg?_nc_cat=1&ccb=1-7&_nc_sid=8bfeb9&_nc_ohc=O1puUV7J10cAX-60BCW&_nc_ht=scontent-cdg4-1.xx&oh=00_AfCskKy27MiDUIguKhbH1TDZgDZ89IeO4vK6bCCv5RXRqQ&oe=64AB68CD )

renato dit: à

«… Le Pen et Mélenchon s’en revendiquent aujourd’hui… »

Cette revendication, et non seulement pour les mentionné ci-dessus, n’est que l’expression de l’incapacité de produire des idées et de réalment faire face au présent.

Jean Langoncet dit: à

C’est surtout une supercherie, ou à tout le moins une méconnaissance notoire de l’histoire de France la plus récente … micron le caméléon absolutiste s’inscrit parfaitement dans ce jeu de dupes

Jean Langoncet dit: à

@une France de retraités heureux dès l’oeuf , what else ?

C’est l’électorat que se dispute la troïka de démagogues qui anime la politique intérieure française

Jean Langoncet dit: à

@On a reproché l’emploi de ce mot à Emmanuel Macron, en l’accusant d’utiliser une notion issue de l’extrême droite. Pour moi, il est évident que le terme vient de La Civilisation des mœurs, de Norbert Elias. Le président a utilisé ce mot au sens de déritualisation. Si la plupart des jeunes des quartiers s’intègrent extrêmement bien, contrairement à ce qu’on dit, une minorité d’entre eux est décivilisée.

Foi de désauvagé ? Qu’en dit mon vieux Rousseau ?

D. dit: à

Bonne nuit toto.

Jean Langoncet dit: à

Du prodige attendu. J’appelle de mes voeux une formation politique qui saurait enfin unir en France – elle est ailleurs en ce moment même à l’action et elle a fait ses preuves dans l’Histoire, notamment outre-Rhin – les décivilisés et les désauvagés

Jean Langoncet dit: à

(literally a suck session for The Who)

Jean Langoncet dit: à

@Macron est étonnamment gaullien, non ?
La reprise en main de l’information sur le service public et sur les réseaux sociaux en sont un parfait exemple…

Bien observé ; comme s’il en avait le pouvoir … à défaut de, feindre de …

Au chapitre je parle pas aux cons, ça les instruit (effet collatéral insoutenable pour l’intéressée : bécassine ne verra pas Passou arborer sa paire de New Balance devant l’objectif) :
Elon Musk restreint l’accès à Twitter dans une bataille contre l’IA
Le patron du réseau social veut contenir l’utilisation massive de données pour alimenter les modèles d’intelligence artificielle.
https://www.letemps.ch/economie/elon-musk-restreint-l-acces-a-twitter-dans-une-bataille-contre-l-ia

JC..... dit: à

VENDREDI 7 JUILLET 2023, 5h32

ILE DU LEVANT

Repéré à Porquerolles par les autorités supérieures de l’Institut Bartabacs, notre cher Prigogine s’est rendu avec des fidèles wagnériens dans l’Ile aux Nudistes pour en prendre le contrôle.

Nus, ces wagnériens ont affolé les indigènes qui ont pris peur et se sont enfuis en kayak, à toute allure.

Nous vous tiendrons au courant de ces mouvements bien plus significatifs que les pillages sur le continent, amusements d’insoumis qui expliquent la recrudescence de l’armement chez les commerçants assaillis par des hordes de sauvageons-vidéo déchainés !

renato dit: à

« Elon Musk restreint l’accès à Twitter… »

Et Zuckerberg a lancé Threads pour concurrencer Twitter : Musk menace de porter plainte !

7.7 — 6.33

Marie Sasseur dit: à

Si les data contenus dans les messages Twitter et récupérés par des machines sont du même niveau que les « commentaires » de zonards comme le junkie langoncet, et autres borborygmes nazifiés du philopede, le charabia du vieux dément mc, etc, ne parlons pas d’Intelligence, même artificielle.

Les mots ont un sens.

Marie Sasseur dit: à

Au chapitre je parle pas aux cons, ça les instruit.

Et les cons parlent aux cons, c’est devenu leur unique mode d’interaction  » machinale  » sur ce blog.

Phil dit: à

Toutafet

Miss sasseur a grand besoin de vacances à zizibar.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*