de Pierre Assouline

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La République des livres
Super Mario parachuté quai Conti

Super Mario parachuté quai Conti

Jusqu’à présent, les seuls F-18 susceptibles de défrayer la chronique étaient les avions de combat multirôle américains que l’on a pu voir survoler le cortège funéraire de Superman dans Batman versus Superman. Depuis la réunion à huis clos, qui s’est tenue le 7 octobre dernier quai Conti à Paris, il en est autrement. La discussion fut vive pour ne pas dire houleuse autour du devenir du F-18. Un véritable problème identitaire : fallait-il user de la préférence nationale et faire obstacle à une manœuvre du Grand remplacement ? Finalement, une large majorité se dégagea pour accepter la candidature d’un métèque, un certain Mario Vargas Llosa, au fauteuil F-18 de l’Académie française précédemment occupé par feu le philosophe Michel Serres. Car l’impétrant ayant dûment rédigé et adressé sa lettre à Mme le secrétaire perpétuel (92 ans) comme il se doit, on n’imagine pas qu’il soit retoqué le 25 novembre, jour du vote. Ce serait aussi absurde qu’humiliant car il a été encouragé en haut lieu à se présenter. D’autres, sans problème (la chronique des candidats manipulés et instrumentalisés est aussi fournie que l’histoire de la vanité) mais pas lui. Autant dire que c’est plié même si quelques uns, une poignée, l’accueilleront les bras grands fermés non par hostilité personnelle mais par principe. L’Académie n’a pas fini d’en débattre et cela dure depuis des semaines.

On n’imagine pas quiconque dans la République des lettres se présenter contre lui d’ici le 11 novembre, date limite de dépôt des candidatures. Qui a envie de rejoindre un peloton d’inconnus et qui le resteront (Jean-Yves Gerlat, Emmanuel Cruvelier, Michel Carassou, Yves-Denis Delaporte, Eric Dubois, Eduardo Pisani, Frédéric Vignale) dont la seule gloire sera un jour de figurer dans Wikipédia au titre de « battu par Mario Vargas Llosa lors d’une élection ». Car l’issue du vote ne fait guère de doute pour les chroniqueurs spécialisés qui observent les moindres gestes et mouvements d’humeur de la vieille dame du quai Conti avec le sérieux de ces journalistes anglais attentifs au plus insigne haussement de sourcil des royals.

Malgré son âge, l’énergie créatrice du romancier est intacte comme en témoigne le toute récente parution de Temps sauvages. (et ces vingt dernières années des livres qui le reflétaient au mieux de sa forme tels que La Fête au bouc et le Rêve du Celte). N’empêche que l’élection du grand écrivain ne va pas sans problème. Il a tout de même fallu tordre le cou à la règle. D’abord il n’est pas français et n’a pas l’intention de le devenir. Kessel, Troyat et Ionesco avaient été naturalisés bien avant de se présenter. Green, Yourcenar, Senghor, Laferrière, Serra étaient ou sont étrangers ou jouissaient de la double nationalité. Comme Mario Vargas Llosa qui est hispano-péruvien mais à qui il en manque peut-être une troisième en la circonstance. Las ! Il fut décidé de fermer les yeux sur ce détail qui n’a guère de sens pour qui évolue dans l’univers de la fiction. On fera donc une exception, une de plus, qui confirme tant l’usage que la tradition. D’autant que ce ne soit pas précisé dans les statuts de l’Académie qui remontent à 1635.

Ensuite, il a 85 ans, ce qui est jeunôt par rapport à Hélène Carrère d’Encausse, 92 ans (mais elle jouit de la perpétuité en sus de l’immortalité) et plus encore en regard de René de Obaldia, 103 ans. Mais tout de même, quatre-vingt-cinq ans, c’est dix de plus que la limite d’âge. Fermons les yeux, d’autant que « le parti des ducs » à l’Académie n’étant plus que l’ombre de lui-même, il est heureux que le 1er marquis de Vargas Llosa vienne le renforcer.

Enfin et surtout, il n’écrit pas en français mais en castillan. Toute son œuvre est traduite dans des dizaines de pays mais elle a été rédigée dans sa langue natale. Une belle langue mais ce n’est pas la nôtre. Or la mission première de tout académicien, telle que définie par Richelieu, est de « porter la langue française », de la défendre et de l’illustrer en lui rendant un hommage permanent par la plume. Là, c’est tout de même plus gênant, même si Vargas Llosa n’a jamais cessé de payer sa dette à Flaubert en particulier et à la culture française en général. Pour paraphraser Alexandre Dumas, on dira qu’il est permis de violer les statuts de l’Académie à condition de lui faire de beaux enfants. Celui-ci est de toute beauté mais l’adouber, avec épée et bicorne, c’est ouvrir la boite de Pandore. Cette triple dérogation créé un précédent. Comment après cela refuser la candidature d’un vieil auteur afghan, yéménite ou philippin à l’œuvre considérable dans son pays surtout ?

Seulement voilà : Mario Vargas Llosa est l’un des plus grands écrivains de la seconde moitié du XXème siècle. L’ampleur, le rayonnement et la qualité de son œuvre sont difficilement contestables. N’est-il pas le premier auteur étranger vivant à être publié dans la prestigieuse collection de la Pléiade ? Ne sera-t-il pas le premier lauréat du Nobel de littérature à siéger sous la coupole depuis François Mauriac ? Ses livres n’ont-ils pas été couronnés des prix les plus prestigieux dont l’acmé est certes le parchemin suédois mais plus encore, peu après, le grand prix littéraire Château La Tour Canet, grand cru du Médoc ?

Mais que va-t-il faire dans cette sympathique galère, lui qui vit à Madrid et ne peut donc même pas en faire son « club du jeudi » ? On ne peut pas dire qu’il fuit les honneurs, invitations et grandeurs d’établissement avec des fauteuils à l’Académie péruvienne et à l’Académie royale espagnole ainsi qu’une quarantaine de doctorats honoris causa à son tableau de chasse. Bien que son éloge de Michel Serres soit très attendu, et on l’imagine déjà polyphonique, foisonnant, luxuriant, épique, mythique, satirique, réaliste, folklorique et costumbriste mais dépourvu de toute violence politique dictatoriale, ce n’est pas pour demain eu égard au nombre de ceux qui attendent leur tour.

Une fois qu’il a reçu le Nobel il a déploré son principal effet collatéral : on le considérait au comme un écrivain mort réincarné dans une statue. Aussi depuis il n’a de cesse de rappeler qu’il existe encore. Et qu’est ce qu’un romancier défunt peut rêver de mieux que de que de rejoindre à une société d’immortels à seule fin de se rappeler à la mémoire de ses contemporains ? Ce n’est pas tant l’Académie que l’on offre à Mario Vargas Llosa mais lui qu’on offre à elle. Il est même assez courageux de la part des Quarante de faire venir parmi eux un romancier qui les dépasse de tant de têtes ; la photo de famille ne sera pas à leur avantage. Il suffit de comparer les oeuvres et leur rayonnement. On lui promet une élection de maréchal. Seules les mauvaises langues y verront un rapport avec l’un de ses prédécesseurs à fauteuil, un certain Philippe Pétain. Condamné à l’indignité nationale à la Libération, il fut exclu de l’Académie française. De là à confondre le F-18 non plus avec un avion de guerre mais avec son siège éjectable….

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 510 Réponses pour Super Mario parachuté quai Conti

moralès sed laisse dit: à

Assez, Miss Caramel!

et alii dit: à

un philosophe remarqua l’importance de »quand même » dans un texte; je crois que WINNICOTT a été important quand même!

D. dit: à

Villeurbanne c’est pas terrible. Moi je n’y vais jamais jamais.

Jazzi dit: à

En ce jour férié, le léZard en goguette dans le 15e arr. rend hommage au sculpteur Bourdelle et au savant Pasteur !

bouguereau dit: à

Promesse de Gascon.ne

mentiries de normande c’est quand même moins hembarrassant qu’elle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

En ce jour férié, le léZard

..combien de coming aout avorté à cause des tranchées baroz

rose dit: à

Et alii

Qq réflexions faites par Carolyne Wittgenstein

née Iwanowska. In Gallica.bnf

rose dit: à

voici le lien.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k125718k/texteBrut
Pas encore lu en son entier.

Grosso modo : avons été envoyés comme des brebis au milieu des loups.
En alliant la simplicité de la colombe avec la prudence du serpent, il est possible d’atteindre le discernement.

Le texte entier donne plus de détails.
Moi, je vous aime bien parmi nous, tel l’aigle sur son rocher perché.

moralès sed laisse dit: à

Oh Mimi, tu exagères!

bouguereau dit: à

Paradoxalement, cette circulation n’est plus si évidente aujourd’hui…

comprendre..on leur a fait dla pub haprés on leur a succé la moele.. »les produits du terroir doivent rapporter au terroir » qu’ils disent..même à jéruzalème..l’huniversel est une marque déposée kabloom

bouguereau dit: à

Moi, je vous aime bien parmi nous, tel l’aigle sur son rocher perché

l’huile dholive a rosy elle est coupée à la vazline

Nicolas dit: à

C’est certains, remplacer un penseur de gauche par un idéologue frustré de droite l’Acadėmie va y gagner. Hâte de lire le discours.

bouguereau dit: à

tu fais tache à passer on temps à dire des trucs du genre « ferme ta gueule pouffiasse »

havec stéfane pladza c’est toujours du prope

Janssen J-J dit: à

… Les carrelets des Boucholeurs au soleil levant (11.11.21@10.24)
Bjr à tous.tes, et hommage aux nombreux résistants communistes fusillés au mont Valérien…

1 – la « vérité historique » courageusement défendue ce matin par PE et NO contre les turpitudes d’un Z. Il est pathétique qu’on en soit arrivé là et que ces historiens soient acculés à la défensive…

2 – Hilarité matinale à la rmeonté des filets RDl… liée au hameçonnage d’etalii… Trop forte, Lainée ! – Non, soyez bis sûrs qu’elle ne dégagera jamais, … Inutile de vouloir déloger les malades mentaux de la tremps de txfl… Tâcher de s’en accommoder seulement… Elle teste « la communauté » dont elle est l’épicentre… C’est sa piqûre de rappel à elle…, son petit manège à elle qui nous fait tourner la tête…
https://www.youtube.com/watch?v=akRLH3ibGdA

3 – Daniel Lefort : quelle peut bien être la crédibilité de sa défense de la candidature de Superbe Mario, quand on est son traducteur officiel (avec ABS) ? Nous prétend qu’il serait l’illustrateur le plus brillant de la littérature française, le meilleur essayiste sur Flaubert et Hugo, le meilleur interprète de la pensée d’Aron et Revel, le meilleur candidat pour dépoussiérer l’AF, du moins y introduire, en tant que ‘1st de la classe’, les graines de l’innovation nécessaires à contrer sa relative désertification par nos deux nobel français… – Bref, un plaidoyer prododo bin balourd et ballot pour « sauver » un filon bien pratique, à défaut d’une institution has been… Non, non !,… La solution est bien, pourmapar (RPTV) de vendre ce bâtiment après l’avoir vidé du contenu de ses membres pour cause d’inutile entretien de chrysanthèmes fanés… Par définition, ils ne brillent point d’innovation et cet argent serait bien utile pour essayer de sauver la planète, à défaut des victimes des dogmes du Vatican..

4 – Deux découvertes pépitées du jour : a) le mot « Sextorsion » ; mot-valise apparu sous la plume d’un criminologue de nos amis reconverti dans le polar régional, pour signifier : »extorsion de fonds par chantage au sexe » – b) l’origine du terme « les roberts » pour évoquer les nénés-nichons-seins et autres lolos- : de l’entreprise Robert, née en 1869, dont le patron inventa le premier biberon…
(C chaud, toussa)…

5 – Entendu de l’arrière petit neveu, Martin, 7 ans : « Q/ qu’aimerais-tu faire comme métier, plus tard ? – R/ influenceur sur les réseaux sociaux…

Dont actes, Bàv… attention, jour férié, mickaël !…
(Faites-vous « le pont » les esclaves de la rdl pour passoul) ?

Janssen J-J dit: à

@ Avez-vous déjà goûté à la cuisine de ces restaurateurs (liste en ordre alphabétique) :
Inaki Aizpitarte
Yannick Alléno
Juan Arbelaez
Christophe Bacquié
Pascal Barbot et Christophe Rohat
Philippe Belissent
Olivier Bellin
Akrame Benallal
Georges Blanc
Amandine Chaignot
Bruno et Marion Cirino
Anthony Clémot
Alexandre Couillon
Hélène Darroze
Amélie Darvas et Gaby Benicio
Jacques Décoret
Arnaud Donckele
Alain Ducasse
Julien Dumas
Alain Dutournier
Éric Fréchon
Pierre Gagnaire
Alexandre Gauthier
Michel Guérard
Éric Guérin
Christopher Hache
Patrick P. Henriroux
Simon Horwitz
Kei Kobayashi
Arnaud Lallement
Christian Le Squer
William Ledeuil
Perico Légasse et Natacha Polony
Gregory Marchand
Régis Marcon
Thierry Marx
Jacques Maximin
René et Maxime Meilleur
Mathieu Pacaud
Paul Pairet
Gérald Passedat
Laurent Petit
Anne-Sophie Pic
Jean-François Piège
Éric Pras
Emmanuel Renaut
Christophe Saintagne
Guy Savoy
Nicolas Stamm et Serge Schaal
Jean Sulpice
David Toutain
Marc Veyrat
Mathieu Viannay
Glenn Viel
Sylvestre Wahid
Antoine Westerman
(si oui, le ou lesquels, et quel a été votre verdict ?)…

Jazzi dit: à

C’est plutôt une grenouille, et alii.

Jazzi dit: à

Il manque Ghislaine Arabian, JJJ !
Vous vous adonnez à une retraite gastronomique ?

pourmapar dit: à

La grenouille de Lozère, la meilleure!

DHH dit: à

@Pour montrer que je suis capable de comprendre et de m’interesser au contenu des post de Et alii , ces compléments sur le judaïsme hellénistique :
ce livre tres personnel et accessible de Nathalie Cohen « une etrange rencontre « qui raconte comment elle s’est appropriée cette matiere et elle nous en parle savamment ; et aussi un ouvrage de Mireille Hadas Lebel qui dresse un inventaire surprenant par son ampleur des termes grecs entrés dans la langue liturgique hébraïque (bima afikomen etc.)

bouguereau dit: à

sextorsion..avant on aurait dit une grosse main de costaude au paquet pour vous mettre délicieusement à merci..ils pensent plus qu’a largent maintenant qu’il dirait cloclo

bouguereau dit: à

@Pour montrer que je suis capable de comprendre et de m’interesser au contenu des post de Et alii , ces compléments sur le judaïsme hellénistique :

védécuèçe..le terroir ça rapporte

bouguereau dit: à

Vous vous adonnez à une retraite gastronomique ?

y’a pas qule cul et largent dans la vie baroz..y’a haussi lacadémie

lmd dit: à

Non, au resto je ne demande jamais le nom du cuisinier.

Jazzi dit: à

Oui, mais j’ai cru comprendre que JJJ est en surpoids, le boug !
La nouvelle cuisine, c’est une manière de faire le régime : rien dans l’assiette et plus rien dans le portefeuille !

et alii dit: à

une enquête critique sur l’adversaire privilégié, et l’écriture:
bonne journée

bouguereau dit: à

Oui, mais j’ai cru comprendre que JJJ est en surpoids, le boug !

le français en général baroz!..y’a la guerre sur tous les fronts..reuzment y’a l’académie..et lassouline
https://www.youtube.com/watch?v=j880ORMfbUI

moralès sed laisse dit: à

La cuisine avec et alii, c’est le mille feuilles étouffe chrétien dont on ne connait jamais précisément le contenu. Ça déborde sans que l’on appuie dessus.

Soleil vert dit: à

Puck>quand je vois tous ces gens raffinées qui fréquentent ce si prestigieux blog comme Phil, Jazzy, renato, Alexia, SV qui alternent leur emploi du temps entre le thé, le golf et la visite des musées sérieux tu fais tache à passer on temps à dire des trucs du genre « ferme ta gueule pouffiasse » ou « terezoune elle aime hanculer Jazzman avec son gode ceinture » j’en passe et des moins bonnes.

Mon compte en banque dément cette vision mais merci.

Amour gloire et beauté

D. dit: à

Vous auriez pu me mettre aussi dans les gens raffinés, Soleil vert. Vous ne vous seriez pas trompé.

D. dit: à

Natpo fait de la cuisine ?!

D. dit: à

Ah ben oui. Je savais po.

Soleil vert dit: à

Je ne fais que citer, D.

Discussion ce matin autour des chats du parc. Une dame évoque les soucis de santé cardiaque de sa fille de 17 ans consécutifs à une injection de Pfizer. Essoufflements, pose d’un holter …

Janssen J-J dit: à

@ JJJ est en surpoids,
oui, mais très riche du portefeuille… Et puis, ça n’empêche pas d’être un brin encubankable, hein ! soyez po jalouze… (‘tagueule poupouf…)
@ oui D., Natpo fait, avec son mari, de la cuisine au beurre de baroz…
@ mes excuses pour l’avoir oubliée, mais elle ne m’a pas encore invité chez elle, donc je peux pas décemment la mettre dans ma playliste,… https://fr.wikipedia.org/wiki/Ghislaine_Arabian
Qu’en pensez vous vous-même, jzmn ?… sur le lézzard, pas encore vu la liste des meilleurs restaurants classés par arrondissements… Ce qui manque cruelly !…, Vous savez, Jâcques,… les musées et les cimetières de paris, ça va bien 5 minutes comme diraient txfl et D., mais çà nourrit pas vraiment son home. Hein, bon !

Janssen J-J dit: à

C’est qu’en fait elle est allergique aux poils de chats… Un flingue dans son holster, mais pour chasser quel virus au juste, SV (P) ?

Janssen J-J dit: à

Merci DHH pour cette très utile précision ô pas si fiante !… Je trouve pourmapar@rptv que cela manquait à la référence très floue de votre « rivale » pour OQP le leadership hébraïque de l’rdl (laquelle du moinsss, se vit visiblement comme telle)… Bàv, J.

Phil dit: à

Un flingue dans son holster

Mauvaise cible, dear jjj. Vos tirs en Diagonal sont plus rassurants.

et alii dit: à

Les livres en édition limitée ont été vendus dans le Whitney Shop , atterrissant entre les mains de quelques collectionneurs chanceux. Les objets uniques ont également trouvé leur place dans les collections de musées et d’universités du monde entier.
https://www.thisiscolossal.com/2019/08/object-books-ben-denzer/

Alexia Neuhoff dit: à

JJJ, pas de Michel Bras dans votre liste ? Hérésie ! J’y ai fabuleusement dîné. Avant chez G. Blanc, excellentissime. J’en suis aux B. (il faut bien se discipliner).

Jazzi dit: à

« pas encore vu la liste des meilleurs restaurants classés par arrondissements… »

Il y a des sites pour ça, JJJ !
Pas mon genre ni mes moyens…

DHH dit: à

@Et alli
Excellente manière de tourner en derision cet objet mythique qui sert à clamer urbi et orbi : » je suis riche distinguée et sobrement élegante » ,quand on l’a à son bras avec bien visible son petit cadenas griffé Hermes qui confirme qu’il n’est pas une contrefaçon
Jasmine ,l’héroïne du film bourdieusien éponyme de Woody Allen, ne se sépare jamais ce sac ,autrefois Kelly aujourd’hui Birkin, marqueur d’un statut social qu’elle est en train de perdre , rt auquel elle s’accroche quand tout se débine autour d’elle
elle le porte d’ailleurs légèrement ouvert pour que la griffe hermes puisse sauter aux yeux

et alii dit: à

j’ignorais que le squiggle de winnicott fût une propriété du judaisme; mais j’aime assez les jeux pour connaître des suffisamment bons joueurs ;
 » Il lui donna le nom de squiggle, terme souvent traduit comme « gribouillis » ou « tracé libre », et fit de ce jeu [1]
[1]
La formulation « squiggle game » est rarement utilisée. le support d’une relation thérapeutique avec les enfants. L’analyste et l’enfant participent à la construction d’un objet commun, objet intermédiaire né de la rencontre.

3Winnicott, pour introduire les nombreux cas cliniques, en dit ceci : « La technique que j’ai généralement adoptée est celle du squiggle game. Il n’y a rien là de particulièrement original et il ne faudrait pas qu’ayant appris à utiliser cette technique, on croie du même coup détenir la recette pour donner ce que je nomme une consultation thérapeutique. Il s’agit là simplement d’un moyen d’entrer en contact avec l’enfant […]. Pour pouvoir utiliser l’expérience mutuelle, il faut avoir bien ancré en soi une théorie du développement affectif de l’enfant […]. On peut effectivement en partant des dessins de l’enfant et de nos dessins à nous deux trouver le moyen de faire naître le cas à la vie [2]
[2]
D. Winnicott, La consultation thérapeutique de l’enfant, Paris,…. »
https://www.cairn.info/revue-psychanalyse-2014-3-page-53.htm

Jazzi dit: à

Dans son plaidoyer pro domo en faveur de Vargas,
Daniel Lefort conclut : « l’Académie (…) va enfin pouvoir entrer dans le XXIe siècle et nous permettre de croire qu’avec quelques autres « révolutions », elle va faire son aggiornamento et devenir ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être : le cercle des lumières de l’esprit. »

On peut donc écrire n’importe quoi sur la RDL !
La coupole, c’est plutôt l’abat-jour de l’esprit…

renato dit: à

Établir «… la liste des meilleurs restaurants classés par arrondissements… »

Objectif obésité ?

et alii dit: à

la liste des meilleurs restaurants classés par arrondissements… »
qui dort dîne:heureusement que j’ai des rêves généreux et bons pour la minceur!

Janssen J-J dit: à

@ mais les gens ne sont jamais contents… Alexia… Y aura toujours un meilleur manquant dans une liste… Cela dit, je suis passé à Laguiole, mais ne vous y ai point vue avec votre sac Hermès… en Wonder Bras !
@ « on peut donc écrire n’importe quoi sur la RDL »… Et comment ?!… quand on est son potapassoul, céfépourça !.., Me Jâcques, c comme sur certains « sites » spécialisés dans « pas mon genre »… Yes… mais pas ma faute, si vous avez la bourse trop piate !…
@ « Vos tirs en Diagonal sont plus rassurants »… Vouliez dire…: plus amortis ? dirfil, ou moinss meurtriers ?
@ baisse un peu l’abat jour sous ta coupole, jzmn, et enlève ton masque, disait-il avant d’aller s’en coucher…
Bàv

et alii dit: à

la coupole:et le SELECT?

DHH dit: à

@jjj
je connais de nom la plupart de vos restaurants je n’en ai fréquenté aucun
en revanche j’ai dîné une fois chez Bras ,familier de la belle famille aveyronnaise de mon fils,issue d’un village proche de Laguiole , Florentin la capelle
pas un souvenir inoubliable !

Janssen J-J dit: à

@ aux faces de carême coalisées…
Moi, j’adore la bonne bouffe et les bons vins de temps à autre, et je préfère nettement ça au mauvais sexe.
So what ? – Vois toujours pas le rapport avec vos angoisses d’obésité et de tabagies aux apéros systématiques trafiqués, désolé for you !…
Bàv,

J J-J dit: à

@ DHH … pas un souvenir inoubliable !
C’est Aleskia qui va être déçue… Mais il était pas sur ma playlist… !
Bàv,

Janssen J-J dit: à

Je vous concède qu’il y a pas beaucoup de Mohammed dans ma playstation, c’est Z. qui me l’a fait remarquer… Il a pas compris que beaucoup s’étaient mis des pseudo chrétiens de souche…, le kon !

Alexia Neuhoff dit: à

DHH dit: à

@jjj

pas un souvenir inoubliable !

La faute au sac Hermès trop petit pour y fourrer le doggy bag.

une main... dit: à

Encore un lien à la con de Super Toto auprès duquel il faut acheter un repas début de prix 49 euros.
Tu parles Ginette! 😉

moralès sed laisse dit: à

Qui est-ce le pizzaiolo du blog?
Un point c’est tout.
Cela vaut-il son pesant de salade croûtons?

une main... dit: à

salade croûtons, toi-même!
Frottés d’ail.

renato dit: à

sa > Ça

Janssen J-J dit: à

Proposition de jeu littéraire….Avez-vous gardé le souvenir d’un roman français qui se passe en une seule journée de l’année 1989 ? Lequel, quel auteur ? quel mois et quel jour ? Date de 1ère sortie du roman ? éditeur ?
(nb / rien à gagner… sauf mon estime de joueur bénévole)… Bàv !

renato dit: à

Ulysses, Mrs Dalloway, A Single Man, After Dark, mais pas de romans français 1 seule journée.

Alexia Neuhoff dit: à

Mauvignier (Histoires de la nuit) ?

et alii dit: à

àParis, évidemment:
Le Petit Bedon – restaurant mythique – gastronomie française – Pierre Marchesseau
12/14 rue Alphonse Baudin Paris 11

Alexia Neuhoff dit: à

Bon sang mais c’est bien sûr : Olivier Rolin, L’invention du monde, 21 juin 89, au Seuil ! JJJ, vous m’expédiez mon cadeau ?

DHH dit: à

@renato
si les français se montraient aussi clairvoyants que les italiens, ils iraient chercher son jumeau, Jean Claude Trichet, pour le mettre à la place de Macron

Janssen J-J dit: à

@ Alexia, Un gros bec seulement…Bravo mon Alexia !…, Vous avez gagné au repêchage !… J’avais rin promis de +++ hein @ RM, j’aurais pensé aux même(s) célibataires étrangers, venus de l’ailleurs, sure ! 2e prix : un petit bec seulement.
Bàv

Janssen J-J dit: à

@ petite rectif, Alexia : 21 mars 1989, jour de l’équinoxe du printemps… (paru en 1993).. yes !
https://www.cairn.info/ecrire-le-present–9782200285432-page-121.htm
Et maintenant, cherchons le titre d’un célèbre roman d’une écrivaine racontant la migration, au début du 20e siècle, de deux jeunes slaves dans la grande aventure du melting pot US… (auteure et titre français en deux mots, dont un prénom féminin)… A vos marques !

Bloom dit: à

Ulysses, Mrs Dalloway, A Single Man, After Dark, mais pas de romans français 1 seule journée.

Pas un roman, mais une pièce radiophonique, ‘Under Milkwood’, de Dylan Thomas, d’une nuit l’autre dans le petit port gallois imaginaire de Llareggub*. Un début parmi les plus gouleyants de la langue anglaise:

« It is Spring, moonless night in the small town, starless and bible-black (…) down to the sloeblack, slow, black, crowblack, fishingboat-bobbing sea (…) »

Les amateurs du Roi pourpre y trouveront le titre d’un des grands morceaux de Robert Fripp…`

* Llareggub = Bugger all (que dalle) à l’envers

et alii dit: à

raffiné?
Quand J’ai lu à propos de Vincherat
« science POENA « , ce poena (
La règle » nullum crimen, nulla poena sine lege »
j’ai vu
que poena était écrit!

et alii dit: à

Art Industry News: En fait, « Salvator Mundi » n’est peut-être pas de Léonard de Vinci après tout, les conservateurs du Prado Say

puck dit: à

ok c’est bon ! entre les profs à la retraite et en exercice, les journalistes à la retraite et en exercice, les spécialistes en poésie bretonne du bas moyen âge, les historiens, les spécialistes en fontaines et autres godes ceinture, et surtout les lecteurs qui lisent autre chose que des bd !!!… sérieux vous mettez la barre trop haut j’arrive plus à suivre.

puck dit: à

« Ulysses, Mrs Dalloway, A Single Man, After Dark, mais pas de romans français 1 seule journée. »

ah que si ! même que z’en ai lus énormément, même que des fois ça dépassait même pas 1 heure.

en fait tout dépend à quelle page on arrête la lecture.

DHH dit: à

@puck
rassurez vous vous n’êtes pas seul
La barre est trop haut pour moi aussi, et pour bien d’autres qui frequentent ces lieux je pense

Soleil vert dit: à

Parution prochaine du Grand livre de Mars, compilation de trois romans et de nouvelles sur le thème de la planète rouge.
L’autrice (je cite) « est mondialement connue comme scénariste de films tels que Le Grand sommeil (en collaboration avec William Faulkner), Rio Bravo ou encore L’Empire contre-attaque. »
Etonnant non ?

Soleil vert dit: à

Son nom : Leigh Brackett

puck dit: à

DHH faites pas la modeste svp, vous contribuez largement à la barre haute de ce blog !

cette forme de discrimination culturelle oscillant que je perçois comme une forme de mépris contre mes origines modestes va même m’inciter à voter pour une forme de Zemmour aux prochaines élections.

puck dit: à

« Parution prochaine du Grand livre de Mars, compilation de trois romans et de nouvelles sur le thème de la planète rouge. »

et voilà ça continue… j’ose même pas vous demander s’il s’agit de la barre chocolatée.

Janssen J-J dit: à

et ça va sans doute régler le sort de ceux qui se la pètent en matière de culture à la barre d’ovmaltine trop élevée à la dynamite.. Fouteznous toussa en tôles ont du lait…, qu’il va demander un jour à Me zezem !…

DHH dit: à

@puck
ma modestie ou mon absence de modestie n’est pas en cause
mon sentiment de manque ou d’incapacité vient de ce que notre environnement culturel ,notamment tel qu’il s’exprime sur ce blog, me montre que si ma culture est certes d’un niveau honnête ,elle est neanmoins pauvre, car uniquement française et desormais vieille
moi quand je cherche dans ma tête une œuvre qui se déroule en une journée ,c’est à Racine que je pense ,pas à Olivier Rolin
je ne sais pas grand chose des BD ,de la science fiction et des séries televiséees ,autant de sujets avec leurs histoires leur morale leurs personnages, qui sont aujourd’hui au centre de conversations ,auxquelles je ne peux prendre aucune part

Janssen J-J dit: à

c’est humain mais pas de complexe HS !, Chacun.e a les références des artères de sa culture la plus persistante, celle qui s’est forgée le plus intensivement au cours des deux ou trois décennies d’apprentissages cumulatifs entre les 18 et 40 ans… Après, on peut avoir beaucoup lu et jamais cessé… mais ça rentre beaucolup moins bien… C’est cette période qui constitue la référence décisive pour tout les reste… Nos réactions erdéliennes attestent de différences mémorielles liées à nos tranches d’apprentissage différées dans le temps…, mais les processus sont partout les mêmes !… Nous serons toujours des é-largué.es par rapport aux autres, et c’est pas l’etalii-txfl,(qui rame sur sa bécane à longueur de journée, telle une bête pour se faire accroire à la richesse de sa mémoire culte, cuite et encore cultivable ?), qui nous convaincra du contraire… Comme disait Gustave de Cubertin, il n’est point de barre trop haute pour qui sait attendre la délivrance en continuant à sauter tous les jours…
Pas de soussssis DHH…, en robes de mariées, sachez que nous sommes toutes pareilles aux célibataires, même !

Bloom dit: à

La Bangla Academy (l’Académie bengalie), crée à Dacca en 1955 pour affirmer et raffermir la place de la langue bengalie au sein d’un Pakistan dominé par son aile occidentale et ourdouphone, a pris pour modèle l’Académie française.

« The functions and structure of the Academy have been devised on the model of the French Academy ».
https://en.banglapedia.org/index.php/Bangla_Academy

Petit Rappel dit: à

Leigh Brackett…il y a aussi une partie de l’étonnante Roue Fulgurante de Jean de la Hire, qui se passe en partie sur Mars , Soleil Vert. DHH l’école auvergnate a encore de beaux restes, avec de substantiels menus.. Quand on se mele de promouvoir les femmes, comme on dirait d’une savonnette,, on devrait éviter comme la peste le terme d’écrivaine! Et autrice n’est pas plus heureux, pour d’autres raisons…

bouguereau dit: à

Quand on se mele de promouvoir les femmes, comme on dirait d’une savonnette

ne pas slaver lcul ça promeut pas nonplus les burnes qu’elle dirait bonnes clopines

bouguereau dit: à

the model of the French Academy

..give m! eu brêque qu’il dirait lassouline

bouguereau dit: à

y trouveront le titre d’un des grands morceaux de Robert Fripp

c’est bien phini les frippertronics..y fait danser sa grognasses dans sa kitcheune académie..c’est laid mais ça reste angliche..hon peut pas dire

bouguereau dit: à

si les français se montraient aussi clairvoyants que les italiens, ils iraient chercher son jumeau, Jean Claude Trichet, pour le mettre à la place de Macron

de caribou en chinchila qu’il aurait dit racine

bouguereau dit: à

Alexia, Un gros bec seulement…

pour tous les bateaux tous les oiseaux tous les soleils..tu repassras..quel rat!

bouguereau dit: à

elle va faire son aggiornamento et devenir ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être : le cercle des lumières de l’esprit

elle va se dépayser à élé lacadémie..ou dans les kiz qu’il dirait dirfilou..elle aura du pti personnel latinos pour faire chier raoul castro

bouguereau dit: à

tiens rvla la grosse truie

renato dit: à

Heureusement DHH, dès le début de la pandémie M. Macron s’est souvenu du « whatever it takes“ de Draghi (juillet 2012).

Soleil vert dit: à

>on devrait éviter comme la peste le terme d’écrivaine! Et autrice n’est pas plus heureux, pour d’autres raisons…

J’avoue que ça devient compliqué ces derniers temps.

>Le roman d’Olivier Rolin, connait pas, c’est dire

> »La roue fulgurante » je compte bien la lire au sein de l’anthologie de Serge Lehman Chasseurs de chimères qui contient aussi « Le péril bleu » de Maurice Renard

Soleil vert dit: à

>Petit Rappel : Mars – dans le domaine français – c’était aussi le sujet des Navigateurs de l’infini

Mais si on se met à inventorier le domaine anglo-saxon, on ne s’en sort plus.

Phil dit: à

DHH l’école auvergnate a encore de beaux restes,

Of course, dear mr Court

Soleil vert dit: à

Sylvère Monod dans la postface à Lord Jim, minore le personnage de McWhirr héros de Typhon dont la stature ne serait pas imposante.

Malheureux, c’est tout l’inverse, le véritable héros se dissimule, voyez Jean Valjean et Spiderman !

Janssen J-J dit: à

mais moij, à l’époque, DSH, en1993, je me suis juste demandé comment on pouvait lire 500 journaux parus dans le monde entier le même jour, et surtout comment on pouvait les récupérer alors que l’internet n’existait pas encore… Mais j’avais trouvé l’idée intéressante pour trousser un roman… et surtout juste d’avoir eu l’idée, et l’avoir mise en pratique… voilà pourquoi je m’en suis souvenu, mais j’aurais jamais imaginé que qqu’un allait s’en souvenir. aussite.. La question n’est pas de savoir si on a les mêmes souvenirs de lectures de petits romans au regard du tri de l’histoire, comme si c’était un signe de +gde richesse culturelle par rapport à la médiane, que de savoir ce qui, parmi les écrivains, nous a marqué le plus personnellement… Moij, par ex., ce Rolin, je me souviens que j’avais eu un fantasme similaire au sien : embrasser la totalité du savoir mondial tel qu’il était rapporté en temps quasi réel un jour J, à partir de la rotation de la terre, d’est en ouest… De là, à avoir eu l’idée d’en faire un roman qui allât marquer de son empreinte la mémoire collective, ben non !… Cela dit…, Racine, bon je vois, la règle des trois unités, machin… Bien sûr, ça nous a tous marqués…, mais ça ne s’est pas imprimé comme un dogme rédhibitoire avec la même intensité dans nos vies de lecteurs (et surtout de non enseignant de la littérature (PMP/RPTV)…. Non, moi j’ai pas pensé à Racine comme vous… Mais Rolin, oui, et j’aurais pu l’oublier +° vite encore, s’il ne m’était ^pas resté ce fantasme à l’incruste et l’idée toujours là d’avoir eu une pensée volée.. T’iamgines la vanité, comme si on pouvait avoir une idée volée en préférant l’emmener ddans sa tomble plutôt que de la voir se répandre sous une autre plume ?…Alors quoi ???…
Et puis personne n’est obligé d’être éclairé pareillement en lettres anglaises, en SF (et laquelle ?), en cinéma, en cimetières ou autres recettes de cuisine askénazes cautionnées par Margot Durass, c’est quoi, cette histoire de pauvreté culturelle ? ckoi, cette incapacité à communiquer avec les jeunes générations, et de se croire ringardisé.es pour ne pas savoir de quoi il retourne au sujet de kolantah, de l’amour du pré, des séries, des netflisques, des DB,, des cultures new age, et des coran en ligne, ? Bouh… bouh… A quelque chose, malheur est blond… Ne sombrons pas dans le complexe du vieux con… Les jeunes imbéciles heureux sans Racine ou Rolin déchanteront plus vite que nous autres, hein !… Pas s’en faire 2 brins, hein… Les Bl., RM ou SV n’ont qu’à bien se tenir… Mais ils se tiennent bien dans l’ensemble, même s’ils nous font sentir parfois que…. bon, bref… Furent relativement bien éduqués à la politesse et à la courtoise… Moins biin que MC, certes, mais bien plus que SMS/etalii… Sélavie. Il faut rester à l’extrême centre en tout, comme disait JF, le grand khan Cahn !
Bàv,

et alii dit: à

un espoir fondé que les virus seront jugulés avec les réussites DE 2 labos ! dormez bien

Janssen J-J dit: à

Probablement parce que « La promesse de l’aube » ne cachait que « Les enfants de l’aube ». (@ rien compris au phil-m des illusions naufragées)…
Je me souviens que la tête de cet homme me faisait toujours peur… et aujourd’hui encore…
https://www.google.com/search?q=daniel+emilfork&client=firefox-b-d&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=Vbtcyfj8i717MM%252CkA-aJ2QF5EuLZM%252C_%253B_SzqsiHgWDxvQM%252CIeItv8TxvSp0hM%252C_%253Bes96X21d-b-VcM%252CRgTANrtsDuMyvM%252C_%253B70IBfqcl-oiykM%252C6p_6mBDjekJ7pM%252C_%253BvnuXcfQctepp_M%252C0cyYBYoDyIsKQM%252C_%253BAKnGpwREBArHQM%252C_bWaao5RhqZuKM%252C_&vet=1&usg=AI4_-kTMuV9xN5jKXIfvvqaUPIejH24NZg&sa=X&ved=2ahUKEwjZoqvlmZH0AhWx5eAKHYb1AMAQ_B16BAg3EAE

D. dit: à

Proust, je voulais dire. Pardon.

M. Victor dit: à

L’école auvergnate c’est-y pas l’école des avares où l’on apprend les locutions latrines de la pingrerie.

DHH dit: à

@bougureau
la mere me ressemble effectivement
mais j’imaginais Pick moins corpulent

renato dit: à

Éventuellement:
Tom Nichols, Our Own Worst Enemy: The Assault from within on Modern Democracy; Oxford University Press, 2021.

Phil dit: à

Les enfants de l’aube », porno soft à ppd, n’est pas dans vos fichettes dear jjj ? Qu’avez vous fait de vos jeunes années. Perso, préfère Seberg à Ajar.

moralès sed laisse dit: à

Pim, pam, boum!
(Essai.)

Janssen J-J dit: à

Cher dirfil,
… j’ai tant de trous dans mes fichettes de romans, si vous saviez !… En allant sur vos sentiers, viens de m’aviser du bonheur d’être passé au large des romans (?) des PPDA de sa race, ce qui n’a sans doute pas fait grand mal à ma « pauvre culture ». et à ma jeunesse.. Vu à quoi cette « littérature » m’aurait instruit, hein ! Je ne sache pas que Gary eût harcelé Seberg au point de l’avoir poussée au suicide… La promesse de l’aube ?…, PPDA n’avait pas dû la méditer assez… Cela dit, j’espère qu’il est tjs présumé innocent le PPDA, en dépit de… Pas vrai, SMS ?…
Bàv, (12.11.21@9.06)

Jibé dit: à

« « All the world’s a stage », en « The stage is all the world ». Outre AM, je songe bien sûr à Peter Brook.
Paradoxalement, cette circulation n’est plus si évidente aujourd’hui… »
Oui, enfin non ce n’est plus si évident, il y aurait plutôt rétractation de chacun sur son îlot culturel originel. L’universalisme n’est plus ce grand partage, il est considéré comme un impérialisme occidental -ce qui signifie qu’on throw out the baby with the bath water, au om de l’identitarisme -effet du woke.

Jibé dit: à

post précédent adressé à Bloom

Jibé dit: à

JJJ, Daniel Emilfork avait en effet une tête à faire peur, mais quelle voix! Tellement étrange. Et cette diction…

Dans votre liste de grands cuistots, vous ne citez pas Bocuse. Perso, j’ai Georges Blanc en favori pour bien des réalisations, sa poularde en premier. L’hôtel de Vonnas est par ailleurs une merveille, rien que le petit dej…

Jibé dit: à

Under Milkwood de Dylan Thomas, Bloom, je suis allé voir et entendre sur you tube, tudieu quel accent! Welsh welsh ! Un bon moment en tout cas! Thanks.

et alii dit: à

surement parce que je n’ai ps eu ni jamais aimé les sacs hermès, je n’ai pas vu eugénie B ALIAS
Eugénie Brazier, surnommée la mère Brazier, née le 12 juin 1895 à La Tranclière (Ain) et morte le 2 mars 1977 à Sainte-Foy-lès-Lyon (Rhône), est une chef cuisinière française. Fondatrice du restaurant la Mère Brazier, c’est une des « mères » emblématiques des bouchons lyonnais
BON WEEK END

lea levy dit: à

Le bouchon est un restaurant typique où l’on mange des spécialités, dont le tablier de sapeur, les quenelles, la salade lyonnaise et la cervelle de canut. Le tout est généralement servi très copieusement et arrosé d’un verre de beaujolais ou de côtes-du-rhône. Cité par de nombreux auteurs, ce lieu traditionnel se doit d’être simple et convivial. Mentionnons Félix Benoit :

« Dans ces bouchons s’épanouit une ambiance qui ne souffre pas l’exportation, et dont la fortune fugace procède de critères impondérables qui tiennent à la fois de la qualité du vin servi au comptoir, de la tête du patron, et des pieds de cochon présentés sur la table31 ! » WIKI

et alii dit: à

Contrairement à ce que l’on entend, l’appellation « bouchon » ne viendrait pas du fait qu’on y « bouchonnait » (frotter avec un bouchon de paille) les chevaux des clients33. Ce nom viendrait plutôt de l’habitude qu’avaient autrefois les cabaretiers de signaler leur établissement par une botte de rameaux ou de branchages accrochée à leur porte34. Nizier du Puitspelu confirme cette hypothèse dans son Littré de la Grand’Côte, en définissant le mot « bouchon » comme étant : « 1. (des) branches de pin, formant autant que possible la boule, et qu’on suspend, en guise d’enseigne à la porte des cabarets […]. Dimin. de bousche, en vieux franç. faisceau de branchage. 2. Le cabaret lui-même. – Par métonymie : de la chose pour le signe de la chose. […]. »

Depuis 1997, l’Association de défense des bouchons lyonnais décerne un label nommé « Authentiques bouchons lyonnais », afin d’identifier les établissements considérés parmi les plus typiques et les plus anciens35. Les détenteurs du label se distinguent par un autocollant représentant Gnafron, un verre de vin à la main, symbole lyonnais du plaisir de la table, et une nappe à carreaux. Ils sont actuellement une vingtaine de restaurants à posséder cette griffe emblématique36. Après plusieurs années de fonctionnement, l’association doit faire

et alii dit: à

Le mâchon, autrefois repas traditionnel du matin, est servi dans les bouchons (mais pas seulement). On peut y trouver la « cochonnaille lyonnaise », les plats à base de porc, comme le lard chaud, les grattons, le paquet de couenne (appelé ironiquement « pigeons ficelés »), le jésus et la rosette, les rillettes et les pâtés de campagne. Le tout est arrosé d’un verre de vin rouge.

Au menu du repas de Noël, figurent le chapon, ou volaille de Bresse, aux morilles et aux marrons, le gratin de cardons et la bûche aux marrons d’Ardèche et les papillotes. Le déjeuner classique du 11 novembre chez la mère Brazier comportait saucisses ou boudins grillés, garnis de « pommes fruits » sautées, rôti de porc aux marrons, babas et glace à la vanille48.

Les plats portent parfois des noms issu du parler lyonnais comme les « clapotons » (pieds de mouton, comme dans l’exemple « une salade de clapotons “avè de transons de fèges”, avec des tranches de foie49 »), la « courge » ou la « courle50 » pour parler du potiron, les « barabans » pour parler des pissenlits (Taraxacum dens leonis, dit baraban, de barbanum, de barba probablement à cause de ses têtes à aigrettes poilues)51, les « goifons » pour parler du goujon, le « poureau » (écrit poreu en francoprovençal, et prononcé en lyonnais [puro]) qui signifie poireau, la « pourette » au lieu de la ciboule, le « cayon » est un mot directement issu du francoprovençal, et qui signifie le porc, les « hauts-goûts » au lieu des plantes aromatiques et les condiments parfumés, etc.

Le « pompier » désigne un mélange de vin, de sirop de groseille et d’eau de Seltz. L’origine purement lyonnaise est cependant mise en doute car le terme existe également à Paris52. Les pommes de terre furent parfois dénommées « truffes ». Nizier du Puitspelu, dans son Littré de la Grand’Côte, publié en 1894, mentionne les « truffes en barboton53 », qui désignent les pommes de terre cuites à l’étuvée, recette reprise sous le titre de « barbotons de pommes de terre » dans d’autres manuels de cuisine54.

et alii dit: à

Restons lyonnais:
« Au travail, on fait ce qu’on peut, mais, à table, on se force. »
et à la RDL, on fait les deux!
La plaisante sagesse lyonnaise de Catherin Bugnard

DHH dit: à

@JJJ
bien vu et reconfortant!

Jibé dit: à

 » On peut y trouver la « cochonnaille lyonnaise » »
dont deux spécialités « le tablier de sapeur » (Tripe panée) et les « amourettes », ie les couilles de mouton. Cervelle de canut pour finir. Ca cale pour la journée, je vous le dis.

Jibé dit: à

…et n’oublions pas la qualité du pain: une couronne de pain blanc, croûte bien foncée. Ah, mes madeleines de mon enfance…

Jazzi dit: à

Salle pleine et beaucoup d’émotion hier au cinéma pour le léZard…

bouguereau dit: à

le gout insoutenable du lézard bouillu à l’eau bénite c’est le plus gros suspense qu’il dirait dirfilou

Phil dit: à

mes madeleines

sapré jibé, Proust de la cochenaille ? me semblait que Lorrain occupait le terrain.

bouguereau dit: à

les « amourettes », ie les couilles de mouton

hum..jambon a été sextorqué à pigalle pour un spritzer dégueu à la rénateau à 40 euro le verre

bouguereau dit: à

« le tablier de sapeur »

et une fille avec un tablier de sapeur c’est une fille qui ne se rase pas jambon..ça revient à la mode « en force » qu’elle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

Perso, préfère Seberg à Ajar

baroz en aurait fait prex son coming back qu’il a dit

une main... dit: à

Mais qui aimerai faire une bouffe, même lyonnaise avec et alii?
C’est du gavage d’oie ses copiés/collés.

moralès sed laisse dit: à

un spritzer dégueu à la rénateau à 40 euro le verre

Tout ça pour dire que la mariée était belle! 😉

bouguereau dit: à

la grosse léa était un mdèle fort connu de poupée gonflabe..jme dmande si elle exiss toujours dans les présentoirs..faudrait chéquer..mais havec baroz y’a toujours un lézard dans l’usine

une main... dit: à

un spritzer dégueu à la rénateau à 40 euro le verre

Super toto n’est pas à 30 euros près..

et alii dit: à

les MERES!
L’expression « mères » lyonnaises désigne les cuisinières à l’origine de la réputation gastronomique de Lyon
les mères lyonnaises et auvergnates –
https://fr.shopping.rakuten.com/offer/buy/2533943000/les-meres-lyonnaises-et-auvergnates.html?bbaid=3602051746&t=180191&gclid=CjwKCAiAvriMBhAuEiwA8Cs5lWGUnOmoC24MHQlhdk2tqpcbYwruNNyeA6MA26sTzLBmTd_POthZ8hoCLY4QAvD_BwE
La première mention d’une mère date de 1759 avec la mère Guy, qui tient une guinguette sur les bords du Rhône et dont la spécialité est une matelote d’anguilles. Un siècle plus tard, sa petite-fille surnommée « la Génie », est identifiée comme la « mère Guy ». Le tandem qu’elle forme avec sa sœur reprend les recettes de l’aïeule et la fameuse matelote d’anguille10.

À la même époque, la mère Brigousse obtient un certain succès dans le quartier des Charpennes (de 1830 à 1850), avec ses « tétons de Vénus », de grosses quenelles en forme de sein, mets préférés des jeunes gens venus enterrer leur vie de garçon11. Au xixe siècle, les mères lyonnaises tiennent tables ouvertes pour les compagnons du tour de France12. Dès 1908, la mère Bourgeois officie à Priay dans l’Ain ; avec la mère Brazier elles
Parmi les plus connues, il faut aussi citer la mère Vittet dont le célèbre restaurant voisine avec la Brasserie Georges, à proximité de la gare de Perrache. La mère Léa tenait le restaurant La Voûte, place Antonin-Gourju, à Lyon. Elle était connue pour son tablier de sapeur et son gratin de macaronis14. Célèbre pour son franc-parler, ses « coups de gueule », la mère Léa allait au marché Saint-Antoine avec un chariot sur lequel elle avait placé une pancarte avec les mots « Attention ! Faible femme, mais forte gueule15 ». Le Conseil Municipal de Lyon IV a attribué le nom de Marie-Thé Mora au jardin situé montée Bonafous16.

et alii dit: à

. La mère Castaing, du Beau-Rivage, à Condrieu influencera Alain Alexanian, chef du restaurant L’Alexandrin47.

et alii dit: à

je connaissais les restos mais pas l’académie!
Bertrand Restauration reçoit au sein de son centre de formation agréé, l’Académie Bertrand, plus de 2000 stagiaires par an. Les formations sont animées par des professionnels de la restauration et par notre équipe d’experts dédiés, qui interviennent dans plus de 15 domaines d’activités différents.

Grâce à l’Académie Bertrand, nous proposons à nos collaborateurs des programmes personnalisés de suivi de carrière et nous les accompagnons tout au long de leur parcours professionnel.
https://www.bertrand-restauration.com/recrutement-carrieres/lacademie-bertrand/

bouguereau dit: à

On peut ricaner de Céline Dion, le boug, mais l’on ne peut remettre en cause son authenticité !

y’a bien pire que céline dion baroz..mais franchment ton mot d’authenticité est presque aussi terroriss que lassouline avec sa galvaudrie drolatique de vocabulaire fort connoté comme ‘métèque’..’grand remplasment’..de « préférence nationale »..c’est se moquer des mots..les vider de leur sens..et les remplir d’un autre fort mercanti comme des outres à piquette dans une mauvaise pub..

et alii dit: à

pourquoi ne pa retoquer votre « table d’hôte »?
Quand les exploitants d’une chambre d’hôtes proposent un repas, ce sont généralement des plats composés d’ingrédients provenant principalement du terroir1. Le repas est pris, généralement le soir, autour de la même table dans la cuisine ou la salle à manger familiale ou une salle spéciale, en compagnie du ou des propriétaires.

Il n’y a qu’un seul menu et le prix est forfaitaire. Il ne s’agit donc pas d’un restaurant. Il s’agit d’un moment convivial assimilé à un social dining, mais non assujetti à la même réglementation2. Il est bien souvent l’occasion de parler de la région, des activités en usages et à découvrir dans les environs, parmi les thèmes abordés.

Réglementation
Même si la table d’hôtes a un fort caractère familial, elle est tout de même assujettie à une réglementation pour ce qui concerne le service des boissons, l’hygiène alimentaire et la traçabilité des aliments servis.

La table d’hôtes en France n’est pas définie par la loi mais par la doctrine administrative et les usages. Cependant, une demande d’immatriculation au registre du commerce et des sociétés (RCS) est nécessaire ainsi qu’une licence petit restaurant ou licence restaurant, selon le type de boissons proposées. Le chapitre IV (art. 25) de la loi n° 2009-888 du 22 juillet 2009 dispense ainsi les exploitants de disposer une licence de type I pour les boissons non alcoolisées3. Par contre, cette loi oblige les exploitants à suivre une formation sur le sujet3.

En Wallonie (Belgique), le Code wallon du tourisme prévoit dans son article 1-19 que la table d’hôtes est une prestation réservée à la clientèle qui loge dans la chambre d’hôte, afin de ne pas confondre l’activité avec la restauration, et que le repas doit être « repas composés principalement de produits du terroir et servis à la table familiale du titulaire de l’autorisation »4.

Au Québec, une table d’hôte est un établissement de restauration proposant un choix de menus5.

et alii dit: à

RETOQUAGE/ premier pas
Pourquoi ne pas

bouguereau dit: à

..L’universalisme n’est plus ce grand partage, il est considéré comme un impérialisme occidental -ce qui signifie qu’on throw out the baby with the bath water, au om de l’identitarisme -effet du woke

le woke n’est pas sa cause mais son effet jambon..fais pas ton lassouline brouillon à pas cher qui peut rapporter gros dans les ptites têtes..les notres certes ne sont que moyennes..ne les insultons pas

Passou dit: à

Rectificatif:
« Je suis Michel Carassou. Je ne suis pas candidat à l’Académie française. Je ne l’ai jamais été.

Je suis bien celui dont la biographie est résumée sur le site de la République des livres. Je suis le responsable des éditions Non Lieu. Je suis spécialiste des avant-gardes littéraires du XXe siècle et de l’histoire de l’homosexualité. J’ai publié une dizaine d’ouvrages et de nombreux articles. Je suis en outre le président de l’Association Benjamin Fondane. Mais je n’ai jamais été candidat à l’Académie française.

Quand un homonyme s’est présenté pour succéder à tel ou tel académicien, des journalistes m’ont attribué cette candidature. Pas un n’a vérifié l’information, pas un n’a pris contact avec moi. Mais on ne m’a épargné ni le fiel ni l’ironie. Pire, quand j’ai demandé une rectification de l’information on n’a pas voulu se déjuger ; on m’a répondu « on verra plus tard » (Le Figaro) ou l’on a reproduit ma réponse tronquée et bien discrètement sur la version en ligne, de telle sorte que personne ne l’a vue ( Le Nouvel Observateur).

Monsieur Assouline, je vous serais gré de porter ce rectificatif à la connaissance de vos lecteurs et je vous prie de croire en mes sentiments les plus cordiaux.

Jazzi dit: à

Passou a dû confondre avec Renaud Camus, plusieurs fois candidat à l’Académie française…

D. dit: à

Un seul verre de Beaujolais ?!!
On ne doit pas manger dans les mêmes bouchons.

D. dit: à

« Dans quelques mois, on peut avoir un effondrement de l’hôpital », alerte le président de la commission médicale d’établissement de l’AP-HP.


Euh… dans quelques mois, il y a une élection, je crois ?

Phil dit: à

Dear baroz, vous avez interviouwé toute la schickeria pédé, Camus included ?
Poor Céline D. coule comme le titanic, Caprio c’est fini. Pas de nouvelles du Céline insubmersible ?

bouguereau dit: à

dédé et son entrisme maison nicolas du chardonnay

bouguereau dit: à

Passou a dû confondre avec Renaud Camus, plusieurs fois candidat à l’Académie française…

c’est quun petit remplacment qu’il dirait lassouline

bouguereau dit: à

Un seul verre de Beaujolais ?!!

c’est quoi déjà la couleur de l’élastique au goulot du pot pour le beaujolais?..tfaçon comme vontraub..du macon épicétou..et puis les bouchons c’est dvenu la ruine..c’est amorti que si t’arrives a souler une fille..le ghb du pauvre qu’elle dirait alesquia

renato dit: à

L’authenticité ? faudrait pas poussez le bouchon trop loin…

Janssen J-J dit: à

Heureusement que ce monsieur n’a pas demandé à entrer à l’AF… l’aurait été retoqué fissa par Perpétuelle :
« Monsieur Assouline, je vous serais (sic) gré de porter ce rectificatif » …

(***savapalfère, comme diraient les d’jeunes…)

Janssen J-J dit: à

@ hello, Jibé,
-> ah, la poularde bressane chez Blanc !
https://www.georgesblanc.com/fr/village-blanc/nos-hotels/hotel-5-etoiles-georges-blanc.html?gclid=EAIaIQobChMI5cSsw92S9AIVF-3tCh381QimEAAYASAAEgJAAPD_BwE
-> ah, la diction d’Emile la Fourchette !
-> ah non, pas de Bocuse, pas de trépassés dans ma playstation… et pourtant, de bons souvenirs à Collonges au Mont d’Or, quand j’allions enseigner les SH aux apprentis commissaires à l’ENSP de St Cyr… juste à côté… . Heureuse époque !…
Bàv,

D. dit: à

C’est quoi des SH ?

D. dit: à

Il faut mettre fes tirets, JJJ : Collonges-au-Mont d’or ou bien Saint-Cyr-au-Mont d’or.

D. dit: à

La poularde de Bresse est assez surfaite. C’est surtout la façon dont on la cuisine qui comptera. Certaines poularde frôlent les 100 euros le kg, je ne dis pas que ça ne les vaut pas par rapport au travail et à L’investissement fournis. Mais dans l’assiette ça ne les vaut pas de façon certaine. On obtiendra un résultat très proche avec un bon poulet bio 90 jours à 15-20 euros le kg.

renato dit: à

Mont d’Or, le vacherin, j’aime celui de la vallée de Joux (CH) sans passage au four avec pommes de terre en robe des champs accompagné d’un verre d’Épaisses.

Alexia Neuhoff dit: à

Janssen, ce monsieur D. qui confond trait d’union et tiret* sera également recalé par « Perpétuelle ».
* confusion désormais généralisée. Dommage : n’est-ce pas joli « trait d’union » ?

rose dit: à

Keskeuçaveudire sans passage au four ?

D. dit: à

Bon je quitte ce blog.
Personne ne me comprend ici. Tant pis pour vous parce que j’avais des secrets à vous révéler sur l’univers. Je les garde. Continuez seuls à pérorer sur les traits d’union et les tirets. Oui j’ai bien écrit pérorez. Pérorez.

D. dit: à

Et puis je n’aime pas du tout le prénom Alexia. Pour rien au monde je ne m’appellerais comme ça.

et alii dit: à

renato

Les deux expressions désignent la même chose, c’est-à-dire des pommes de terre cuites et servies avec leur peau.

La première expression, « pommes de terre en robe de chambre » est la plus ancienne ; elle est en effet attestée dès 1859 dans Le Cuisinier praticien ou La Cuisine simple et pratique, de C. Reculet et, en 1869, le Grand Dictionnaire universel du xixe siècle, de Pierre Larousse indique que cette expression est alors devenue plus courante que « pommes de terre en chemise ». Cette expression s’appliquait à l’origine, au xviiie siècle, à d’autres mets que les pommes de terre, lorsque ceux-ci étaient masqués au regard par la préparation, comme des « œufs en robe de chambre », ou des « pigeons en robe de chambre2 ».

La seconde expression, « pommes de terre en robe des champs », plus récente, n’est citée pour la première fois qu’en 1923, dans un menu publié par L’Écho de Paris2. Selon Maurice Grevisse, cette locution pourrait être une déformation, ou une correction voulue, de la première3. Dans le Dictionnaire historique de la langue française, Alain Rey indique que cette expression (« en robe des champs ») prétend corriger la précédente4.

L’expression « en robe de chambre » est parfois considérée comme vieillie.

D. dit: à

renato non plus d’ailleurs. Ni Jean-Jacques. philippe c’est pas mal mais pas phil. Ça fait trop feuille.

pourmapar dit: à

Rectificatif:
« Je suis Michel Carassou. Je ne suis pas candidat à l’Académie française. Je ne l’ai jamais été.

Bon c’est dit et bien dit.
J’avais été étonné de lire cette (fausse) nouvelle à propos d’un auteur plus que discret et spécialiste des avant-gardes en littérature avec notamment Henri Béhar.

Alexia Neuhoff dit: à

– Mais, D., où étais-tu passé ? (tiret en début de dialogue)
– A Gréoux-les-Bains (traits d’union). Mon rhumatologue – qui me suit depuis quinze ans- (incise) m’a prescrit une cure thermale.
– Comment t’y es-tu rendu ?
– J’ai pris le train Paris-Marseille puis l’autocar Marseille-Manosque. J’ai cru mourir : le car était conduit par une femme, j’ai fermé les yeux et prié durant tout le parcours. Sans compter qu’elle se prénommait Alexia…
– Ah, malheureux !

D. dit: à

Ben c’est ça, sers-nous tes tartines, fous-nous dans la vue tes draps de lit. On dira rien.

D. dit: à

Je parle à l’autre, là.

D. dit: à

C’est pas beau renato non plus.

Janssen J-J dit: à

Calmez vous, @ D., restez là, tout le monde vous ‘M et ne saurait se passer de votre humour juvénile si particulier… Moij’il me déride très souvent… Je m’esscuse pour les tirets, je sais que vous péroriez d’un bon sentiment. Bàv, Je rectifie : Saint-Cyr-au-mont-d’or ; Collonges-au-mont-d’or ; SH = sciences humaines ; ENSP = école nationale supérieure de police), vous pouvez toujours vous y inscrire comme auditeur libre… Je peux y faciliter votre entrée…
https://www.ensp.interieur.gouv.fr/
Bàv,

D. dit: à

Je n’ai rien contre les cars conduits par des femmes.

D. dit: à

Sciences humaines ?!! Incroyable.

D. dit: à

Je n’ai aucun à priori.

D. dit: à

Pour moi SH c’était Substract Halfword.
Une instruction d’un langage de programmation.

pourmapar dit: à

Emile Zola, trente fois candidat! ;

J J-J dit: à

Jean-Jacques Janssen, zéro fois !

D. dit: à

SH R15,R15 remet à zéro le registre 15. Il soustrait son contenu à son contenu. Il faut lui préfèrer XR R15,R15 qui est d’exécution plus rapide. En effet XR effectue un ou exclusif bit à bit. Et comme chacun des bits considérés est de valeur identique (0 ou 0, 1 ou 1), le résultat est évidemment zéro pour chacun des bits.
C’est drôle comme tout. Bien évidemment ça ne fonctionne pas avec le OR non exclusif, vous l’avez déjà compris.

pourmapar dit: à

Revenir au sujet, ce serait sympathique, non?

pourmapar dit: à

Baudelaire échoua à être immortel.

pourmapar dit: à

Et Passou a-t-il fait acte de candidature à cette vénérable Académie?

D. dit: à

Voilà enfin une bonne question. Je vais consulter mon pendule.

D. dit: à

Voici ; j’ai un résultat. Voulez-vous le connaître ?

et alii dit: à

Après une débauche, on se sent toujours plus seul, plus abandonné. Au moral comme au physique, j’ai toujours eu la sensation du gouffre, non seulement du gouffre du sommeil, mais du gouffre de l’action, du rêve, du souvenir, du désir, du regret, du remords, du beau, du nombre, etc.

J’ai cultivé mon hystérie avec jouissance et terreur. Maintenant, j’ai toujours le vertige, et aujourd’hui, 23 janvier 1862, j’ai subi un singulier avertissement, j’ai senti passer sur moi le vent de l’aile de l’imbécillité.

HYGIENE. MORALE

A Honfleur ! le plus tôt possible, avant de tomber plus bas.

Que de pressentiments et de signes envoyés déjà par Dieu, qu’il est grandement temps d’agir, de considérer la minute présente comme la plus importante des minutes, et de faire ma perpétuelle volupté de mon tourment ordinaire, c’est-à-dire du Travail !
C.Baudelaire

et alii dit: à

Cette histoire tragique de Baudelaire, alors miné par la pauvreté et sa mauvaise réputation, est à découvrir dans l’Académie Baudelaire, le premier roman de Jean-Clément Martin Borella. Dans sa quête vers la postérité, Baudelaire pourra compter sur le soutien de quelques amis sans faille (Asselineau, Poulert-Malassis, Banville) ou encore de jeunes visionnaires (Verlaine, Mallarmé, Villiers de L’Isle-Adam) qui l’admirent. Prêt à plonger dans l’univers littéraire et sociétal du milieu du XIXème siècle ?
https://www.caminteresse.fr/culture/le-jour-ou-charles-baudelaire-postule-a-lacademie-francaise-11174421/

et alii dit: à

histoire belge:
Tant et si bien que, le  février , la vénérable Académie choisit pour
succéder à Lacordaire le prince Albert de Broglie, un collaborateur assidu de la
vénérable Revue des deux mondes.
Barbey d’Aurevilly ne l’épargne pas, lui non plus, dans ses redoutables et si
réjouissants Quarante médaillons de l’Académie :
Il fait, en histoire, des pensums avec plaisir, et le lecteur seul est puni.
Copyright ©  Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. Tous droits réservés.
in
Baudelaire et l’Académie française
COMMUNICATION DE JEAN-BAPTISTE BARONIAN
À LA SÉANCE MENSUELLE DU 10 JUIN 2006
https://www.arllfb.be/ebibliotheque/communications/baronian100606.pdf

et alii dit: à

archives
dans une correspondance de lecteurs, je trouve:
« le seul lieu en France où l’on préserve les photos et les albums de famille », et qu’il pourrait s’occuper de transmettre les miennes si je décidais de ne pas toutes les garder.
Piqué, je lui ai demandé de m’en dire plus. « Quand elle a été créée, je me suis dit : génial, il va y en avoir une dans toutes les grandes villes maintenant », m’a-t-il expliqué. « Dix ans plus tard, il n’y en a toujours qu’une seule, à Metz, qui tient sur les épaules d’une femme qui se paie royalement un smic tous les mois. »
Cette femme-là, c’est Anne Delrez, et je suis allé la voir à Metz dans le cadre de « La vie après la mort », la nouvelle
je suppose que cela peut intéresser
c’est dans rue 89 avecl’obs

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