de Pierre Assouline

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La République des livres
Super Mario parachuté quai Conti

Super Mario parachuté quai Conti

Jusqu’à présent, les seuls F-18 susceptibles de défrayer la chronique étaient les avions de combat multirôle américains que l’on a pu voir survoler le cortège funéraire de Superman dans Batman versus Superman. Depuis la réunion à huis clos, qui s’est tenue le 7 octobre dernier quai Conti à Paris, il en est autrement. La discussion fut vive pour ne pas dire houleuse autour du devenir du F-18. Un véritable problème identitaire : fallait-il user de la préférence nationale et faire obstacle à une manœuvre du Grand remplacement ? Finalement, une large majorité se dégagea pour accepter la candidature d’un métèque, un certain Mario Vargas Llosa, au fauteuil F-18 de l’Académie française précédemment occupé par feu le philosophe Michel Serres. Car l’impétrant ayant dûment rédigé et adressé sa lettre à Mme le secrétaire perpétuel (92 ans) comme il se doit, on n’imagine pas qu’il soit retoqué le 25 novembre, jour du vote. Ce serait aussi absurde qu’humiliant car il a été encouragé en haut lieu à se présenter. D’autres, sans problème (la chronique des candidats manipulés et instrumentalisés est aussi fournie que l’histoire de la vanité) mais pas lui. Autant dire que c’est plié même si quelques uns, une poignée, l’accueilleront les bras grands fermés non par hostilité personnelle mais par principe. L’Académie n’a pas fini d’en débattre et cela dure depuis des semaines.

On n’imagine pas quiconque dans la République des lettres se présenter contre lui d’ici le 11 novembre, date limite de dépôt des candidatures. Qui a envie de rejoindre un peloton d’inconnus et qui le resteront (Jean-Yves Gerlat, Emmanuel Cruvelier, Michel Carassou, Yves-Denis Delaporte, Eric Dubois, Eduardo Pisani, Frédéric Vignale) dont la seule gloire sera un jour de figurer dans Wikipédia au titre de « battu par Mario Vargas Llosa lors d’une élection ». Car l’issue du vote ne fait guère de doute pour les chroniqueurs spécialisés qui observent les moindres gestes et mouvements d’humeur de la vieille dame du quai Conti avec le sérieux de ces journalistes anglais attentifs au plus insigne haussement de sourcil des royals.

Malgré son âge, l’énergie créatrice du romancier est intacte comme en témoigne le toute récente parution de Temps sauvages. (et ces vingt dernières années des livres qui le reflétaient au mieux de sa forme tels que La Fête au bouc et le Rêve du Celte). N’empêche que l’élection du grand écrivain ne va pas sans problème. Il a tout de même fallu tordre le cou à la règle. D’abord il n’est pas français et n’a pas l’intention de le devenir. Kessel, Troyat et Ionesco avaient été naturalisés bien avant de se présenter. Green, Yourcenar, Senghor, Laferrière, Serra étaient ou sont étrangers ou jouissaient de la double nationalité. Comme Mario Vargas Llosa qui est hispano-péruvien mais à qui il en manque peut-être une troisième en la circonstance. Las ! Il fut décidé de fermer les yeux sur ce détail qui n’a guère de sens pour qui évolue dans l’univers de la fiction. On fera donc une exception, une de plus, qui confirme tant l’usage que la tradition. D’autant que ce ne soit pas précisé dans les statuts de l’Académie qui remontent à 1635.

Ensuite, il a 85 ans, ce qui est jeunôt par rapport à Hélène Carrère d’Encausse, 92 ans (mais elle jouit de la perpétuité en sus de l’immortalité) et plus encore en regard de René de Obaldia, 103 ans. Mais tout de même, quatre-vingt-cinq ans, c’est dix de plus que la limite d’âge. Fermons les yeux, d’autant que « le parti des ducs » à l’Académie n’étant plus que l’ombre de lui-même, il est heureux que le 1er marquis de Vargas Llosa vienne le renforcer.

Enfin et surtout, il n’écrit pas en français mais en castillan. Toute son œuvre est traduite dans des dizaines de pays mais elle a été rédigée dans sa langue natale. Une belle langue mais ce n’est pas la nôtre. Or la mission première de tout académicien, telle que définie par Richelieu, est de « porter la langue française », de la défendre et de l’illustrer en lui rendant un hommage permanent par la plume. Là, c’est tout de même plus gênant, même si Vargas Llosa n’a jamais cessé de payer sa dette à Flaubert en particulier et à la culture française en général. Pour paraphraser Alexandre Dumas, on dira qu’il est permis de violer les statuts de l’Académie à condition de lui faire de beaux enfants. Celui-ci est de toute beauté mais l’adouber, avec épée et bicorne, c’est ouvrir la boite de Pandore. Cette triple dérogation créé un précédent. Comment après cela refuser la candidature d’un vieil auteur afghan, yéménite ou philippin à l’œuvre considérable dans son pays surtout ?

Seulement voilà : Mario Vargas Llosa est l’un des plus grands écrivains de la seconde moitié du XXème siècle. L’ampleur, le rayonnement et la qualité de son œuvre sont difficilement contestables. N’est-il pas le premier auteur étranger vivant à être publié dans la prestigieuse collection de la Pléiade ? Ne sera-t-il pas le premier lauréat du Nobel de littérature à siéger sous la coupole depuis François Mauriac ? Ses livres n’ont-ils pas été couronnés des prix les plus prestigieux dont l’acmé est certes le parchemin suédois mais plus encore, peu après, le grand prix littéraire Château La Tour Canet, grand cru du Médoc ?

Mais que va-t-il faire dans cette sympathique galère, lui qui vit à Madrid et ne peut donc même pas en faire son « club du jeudi » ? On ne peut pas dire qu’il fuit les honneurs, invitations et grandeurs d’établissement avec des fauteuils à l’Académie péruvienne et à l’Académie royale espagnole ainsi qu’une quarantaine de doctorats honoris causa à son tableau de chasse. Bien que son éloge de Michel Serres soit très attendu, et on l’imagine déjà polyphonique, foisonnant, luxuriant, épique, mythique, satirique, réaliste, folklorique et costumbriste mais dépourvu de toute violence politique dictatoriale, ce n’est pas pour demain eu égard au nombre de ceux qui attendent leur tour.

Une fois qu’il a reçu le Nobel il a déploré son principal effet collatéral : on le considérait au comme un écrivain mort réincarné dans une statue. Aussi depuis il n’a de cesse de rappeler qu’il existe encore. Et qu’est ce qu’un romancier défunt peut rêver de mieux que de que de rejoindre à une société d’immortels à seule fin de se rappeler à la mémoire de ses contemporains ? Ce n’est pas tant l’Académie que l’on offre à Mario Vargas Llosa mais lui qu’on offre à elle. Il est même assez courageux de la part des Quarante de faire venir parmi eux un romancier qui les dépasse de tant de têtes ; la photo de famille ne sera pas à leur avantage. Il suffit de comparer les oeuvres et leur rayonnement. On lui promet une élection de maréchal. Seules les mauvaises langues y verront un rapport avec l’un de ses prédécesseurs à fauteuil, un certain Philippe Pétain. Condamné à l’indignité nationale à la Libération, il fut exclu de l’Académie française. De là à confondre le F-18 non plus avec un avion de guerre mais avec son siège éjectable….

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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1 510 Réponses pour Super Mario parachuté quai Conti

B dit: 15 novembre 2021 à 14h30

Voudriez vous que nous parcourions ensemble la côte des Asturies au prochain printemps? C’est un peu la Bretagne espagnole.

B dit: 15 novembre 2021 à 14h33

Qu’est ce que vous fichez ici à cette heure du jour, d’habitude vous sortez après les chauve- souris qui comme les promeneurs le savent sortent entre chien et loup pour capturer leur ration alimentaire. Bon, en hiver je sais pas trop.

Jazzi dit: 15 novembre 2021 à 14h46

« Franchement ! Y’a de quoi nous faire une AVC erdélienne… Donc l’art est fini… »

Discours approximatif, vaseux, dans un langage confus, sans intérêt : mal conçu et mal énoncé !
Le plus drôle, c’est les sous-titres involontairement surréalistes qui montrent bien que la machine traduit du charabia !

D. dit: 15 novembre 2021 à 15h14

Qu’en pensez-vous, Langoncet ? Puisque vous êtes là. Dites quelque chose que l’on comprend pour une fois.

bouguereau dit: 15 novembre 2021 à 15h28

la passion des erdéliens branchés sur cet essai, dans la mesure où on les sent associés au bien fondé des gestes d’apprentissages promotionnels ds z’arts plastiques à l’EN…

ça va bien le speed dater de l’université française qui extrapole d’une vidéo de 10mn..chte rappelle que mon emploi du temps a 100% c’est à toi que jle dois..faux cul

D. dit: 15 novembre 2021 à 15h30

Je partirai le matin de Toussus le Noble, vous retrouverai dans l’après-midi à Pau. On repart le lendemain matin. Survol des Pyrénées, les Asturies. On reste deux jours puis direction Palma, la Corse, puis l’Italie, l’Adriatique, la Grèce, l’Égypte,la Crète, la Sicile, la Sardaigne, je vous dépose à Pau et je rentre à Toussus.

bouguereau dit: 15 novembre 2021 à 15h34

Le plus drôle, c’est les sous-titres involontairement surréalistes qui montrent bien que la machine traduit du charabia !

le monde entchier sait que baroz copie colle ses review dune feuille de choux de cinéma de chenzène..qui sue du colmao..pendant qului traine toute sa putain djournée en calbut kangourou..haprés hon s’étonne que kabloom et rénateau disent qu’elle est belle la france

renato dit: 15 novembre 2021 à 15h37

Voyons plutôt, Janssen J-J.
« Quelle est la meilleure forme du chef-d’œuvre ? Il n’y a pas de réponse à cette question — on ne peut qu’en souligner le caractère anachronique. Par contre, pour la question “qu’est-ce qu’il se passe là où l’Histoire advient ?”, nous avons la réponse : “je vais et je vois”.
Depuis le temps de ma jeunesse, rien ne change pour ce qui est de ma curiosité, mais le panorama c’était mieux avant ? Laudatio temporis acti : l’on s’amusait beaucoup plus, le monde était moins vulgaire et l’on trouvait plus aisément des objets d’admiration.
Déjà, nous avions une autre perception du temps, car nous étions jeunes, en bonne santé et insouciants ; il était ainsi plus facile de se dire “je vais et je vois”, et par-dessus le marché, ce n’était pas fatigant, tandis qu’aujourd’hui…
Aujourd’hui, on jette un coup d’œil à la salle des machines seulement s’il s’agit de bonnes machines — celles qui sont peu ou pas bruyantes ; donc, lorsqu’un bruit désagréable monte de la salle des machines on sait qu’il n’y a rien qui vaille là-bas.
Mais, c’était vraiment mieux avant ? Déjà, mon grand-père regardait avec suspicion les études et les divertissements de son fils, qui à son tour eut le même regard relativement aux miens ; un mode recourant, donc, qui fonctionne comme ça depuis la nuit des temps, probablement. Est-ce ma fatigue ou est-ce la qualité de la plupart des objets offerts par le monde qui m’induit à redéfinir le périmètre de mes intérêts ? Est-ce la qualité de certains produits culturels qui en fait des objets indigestes ou est-ce mon estomac qui s’est fait trop sensible ? La fortune du “fait divers” chez Gadda aux prises avec le monde romain, par exemple, ou chez Capote en immersion, m’ont gâté, ou bien je suis simplement contrarié par les frustes qualités des objets proposés par certains de nos contemporains ? Est-ce leur approche esthétique qui est objectivement faible (même avec la démocratisation des arts comme alibi) ou est-ce le mien qui n’est pas/plus adéquat ? Si je me tiens aux critères d’évaluation que j’ai développée, leur faiblesse esthétique ne tient pas le coup à front d’approches qui, même si subjectives, correspondent aux expériences artistiques conduites par de jeunes gens que je trouve par-ci par-là et qui méritent que je prenne le temps de les regarder de près : “Je vais, je vois”, donc. Dans cet environnement, la rencontre Bernstein/Michael Jackson au Plaza de NY ne serait pas dépourvue de sens, et l’esquisser me plairait beaucoup, mais le temps dédié aux passetemps étant ce qu’il est, la narration de cette anecdote ne sera pas pour aujourd’hui, car maintenant “a potion stimulating rebellion and immoderate desires (coffee)” et relire More Die of Heartbreak. »

En bref, Janssen J-J, un jour le philologue Contini exposa à Gadda de certaines théories que, vu son travail il aurait dû connaître. À exposition finie, le Grand Lombard conclut : « Inintéressant, je devrais m’informer ». Il importe de savoir que le mot « intéressant » est entré dans l’usage de la prose critique avec les Romantiques avec le sens « je m’en fout ». Donc aller et voir, tout le reste importe peu.

D. dit: 15 novembre 2021 à 15h48

Il faudra compter du 5000 € / jour pour le zinc, carburant (détaxé) non compris. Plus les taxes d’aéodromes et les taxes de séjour. On a donc intérêt à emmener deux personnes avec nous. Par exemple Bouguereau et Puck.

M. Victor dit: 15 novembre 2021 à 16h13

Dire je m’en fous, c’est exprimer tout simplement le mépris le plus neutre et le plus total pour la chose.

pourmapar dit: 15 novembre 2021 à 17h05

le monde entchier sait que baroz copie colle ses review dune feuille de choux de cinéma de chenzène..qui sue du colmao..pendant qului traine toute sa putain djournée en calbut kangourou.

😉 / 😉

Janssen J-J dit: 15 novembre 2021 à 17h14

@ j’ai rien trop compris RM à votre mise au poing, ai seulement été surpris par la qualité de votre maîtrise de notre langue pour une fois, et crois que vous avez ramé + fort que dab (avec votre deepl peut-être ?) pour l’occasion, j’y ai été très sensible… Gadda et les Contini eussent été ravis de la rencontre Léonard Bernstein/Michel Jackson… en eussent fait un phénomène esthétique post conceptuel…,pour sûr… 🙂 Hélas, dès que vous redevenez familier, dans votre chute par ex., se glisse l’erreur cardinale qui détruit instantanément le charme de l’effet de bluff précédent… Je m’en fout (sic)… Et du coup,… « je vais et je vois… rien », votre leitmotiv… nous reste « entre les reins », comme il aurait dit, le SG (surveillant général)…

@ enfin l’jmb, vesqué, sort du bois !… et crache son venin ad hominen sur jzmn et jjj, sans louvoiements et autres circonvolutions d’usage… plutôt que de commenter l’actu des erdéliens, comme à son habitude… Pas toutcher à Michaud, hein…
Il se passe ainsi qq chose de vraiment nouveau sur cette chaine, avec le repli de la tarzane…. Toussa augure mal mal du virage à 180° qui nous attend dans six mois… On perd encore un allié… le traître et le néant… quoi !

Tchin et bàv 2, (d’une calotte glaciaire)…

Jibé dit: 15 novembre 2021 à 17h21

JJJ « Toussa augure mal mal du virage à 180° qui nous attend dans six mois »
vous piquez au vif ma curiosité. Vous ne parlez tout de même pas des zélections? Pourquoi « tournant à 180°? Si?

renato dit: 15 novembre 2021 à 17h25

« Je vais, je vois » : il vaut mieux se mettre en mouvement pour participer de ceux qui advient, plutôt qu’accepter les spéculations qui ont la côte à un moment donné.

Cela dit, Janssen J-J, voilà l’anecdote Bernstein / Jackson.

« Bernstein assiste à un show de Jackson. Après le concert il y a un party au Plaza. À un moment, Bernstein va aux toilettes et au même moment Jackson il en sort, et Bernstein dit à Jackson qu’il a aimé le spectacle, que ses qualités de danseur l’ont impressionné. Jackson, qui n’a pas reconnu son admirateur, le remercie à la hâte. Plus tard dans la soirée, quelqu’un révèle à Jackson l’identité de « ce petit vieux », sur ça Jackson s’agenouille devant Bernstein et le supplie de le pardonner. »

Jibé dit: 15 novembre 2021 à 17h25

Est-ce que Jazzi ne devait pas voir Tre piani de Moretti?
Parce que je me demande si j’y vais ou pas. Accompagné ou pas. Je veux dire si j’incite d’ autre(s) à venir ou si ce serait une moyenne idée? Bref, comment je passe ma soirée de demain ou après demain.
Je suis en train de lire le Goncourt, Sarr. Très mitigé je suis pour le moment.

Jibé dit: 15 novembre 2021 à 17h30

« La vie n’est rien d’autre que le trait d’union du mot peut-être.’ »
d’avoir lu cette phrase m’avait incliné à acheter ce Goncourt là. je ne regrette pas, il y a plein de phrases du même genre, amusantes et profondes, émouvantes et tapant juste. C’est l’ensemble considéré dans son ensemble qui me laisse songeur. Enfin, je ne l’ai pas fini encore.

B dit: 15 novembre 2021 à 17h32

Il faudra compter du 5000 € / jour pour le zinc, carburant (détaxé) non compris. Plus les taxes

Allez! craquez votre tirelire pour mes beaux yeux, prendre d’autres passagers, oui, comme ça si l’on s’abimait en Méditerranée nous aurions plus de chances de rester à jamais inscrits au nombre des disparus en mer pour la gloire. St Ex en serait effacé. Je préparer au des sandwiches et des boissons pour le voyage.

Bloom dit: 15 novembre 2021 à 17h33

Je suis en train de lire le Goncourt, Sarr. Très mitigé je suis pour le moment.

Jibé, j’ai lu les 15 premières pages, pas inintéressantes (dissonnances des registres), mais TRES fabriqué, comme un mauvais Paul Auster.
Je vais néanmoins continuer.

Jibé dit: 15 novembre 2021 à 17h34

Pas de shitstorm pour vous, renato: il va falloir quitté le monde des blogs alors. Ce que je regretterais d’ailleurs. On a quand même droit en ces lieux à pas mal de débats vaseux, crapoteux, merdouilleux. Pas que, mais quand même…

Janssen J-J dit: 15 novembre 2021 à 17h35

(dune feuille de choux de cinéma de chenzène..qui sue du colmao)

@ Jzmn, pouvez-vous décrypter les allusions à semblable calomnie ?.. parfois j’ai la curiosité du décryptage, mais avoue n’avoir pas toujours les bonnes clés restées en suspension dans les airs.., comme dans cette célèbre toile que ma Gritte n’a jamais peinte. Très souvent d’ailleurs, cette chaîne est difficile pour moi, bien plus qu’Arte +, je veux dire…
Merci par avance, le k échoyant, jzmn… Bàv, je crois que le succès de votre blog commence à raidir et agacer leurs passions tristes latentes, hein… Croyez pas, mon bon ? Et donc, je vous donne le mot de la fin :
« Oh, elle était bien cette planète. Et nous aussi, on était bien comme la brûlure du soleil, la piqûre de la pluie, l’odeur du sol vivant, le chant universel des formes infinies, paraphant l’air d’un monde changeant qui, d’après tous les calculs, n’aurait jamais dû exister ».

renato dit: 15 novembre 2021 à 17h37

Ce n’est pas ma faute, JJJ, si Gadda a employé un mot élégant pour dire « je m’en fous » — il m’est semblé essentiel d’en dévoiler le sens caché.

Jibé dit: 15 novembre 2021 à 17h38

«  »TRES fabriqué »
Bloom, je crois que c’est l’expression qui convient, quelque chose de forcé, de « fait pour ». C’est agaçant, en fait. (Me fait penser à un autre que Paul Auster, mais je ne trouve plus qui).

renato dit: 15 novembre 2021 à 17h45

Pourquoi quitter le monde de blog, Jibé ? il me suffi de ne pas répondre aux provocations ¬— vous savez, selon une légende urbaine on peut ne pas lire les posts d’un troll, il suffit de faire défiler avec le doigt et d’aller plus loin sans casser les boules à son prochain, ce qui n’est pas nécessaire par ailleurs, car le troll s’en charge.

Clopine dit: 15 novembre 2021 à 17h49

Si notre hôte le permet, je mets en ligne le lien viméo qui vous permettrait, pour un coût de 4 euros, un visionnage du film « tant qu’il y aura des pommes », et de découvrir une voix « off » qui n’apparaît pas dans la bande-annonce, et pour laquelle, bien sûr, je suis preneuse de vos avis, vu que c’est bibi qui l’a écrite, ahaha.

Mais z’êtes obligés à rien, of course.

voici : https://vimeo.com/ondemand/tantquilyauradespommes

Clopine dit: 15 novembre 2021 à 17h51

Et au fait, c’est pour une bonne cause les 4 euros. Le film a été fait bénévolement, et si nous rentrons dans nos frais, les recettes générées seront partagées entre Beaubec Productions, l’association du domaine de Merval (donc deux associations à but non lucratif), et dans une moindre mesure pour le lycée agricole du pays de Bray. Bref, un geste citoyen, hahah.

Janssen J-J dit: 15 novembre 2021 à 17h58

Il m’avait semblé lire le critique de Jzmn sur le film de Nani Moretti…. C’est qu’il faut toujours cliquer sur le lézard rouge quand il survient…
Oui, tout le monde se prépare à voir lepen ou zemmour au 2e tour et à assumer l’idée qu’il n’ira pas voter macron une 2e fois, quoiqu’il en coûte, et tant pis si on bascule alors dans le freixit… Dans la mesure où bcp font ce calcul…, immanquablement l’effet performatif va jouer, car à cet effet s’ajouteront le plein des voix à droite reportées sur l’extrême…
On peut déjà préparer les mouchoirs : on l’a pas voulu, on l’a pas cru, mais on a pris le rix… voilà ce qu’a pas compris Foucault martial bis… les autres, ils ont eu donald, ils ont eu boris, ils ont eu jair, mais ils auront pu manu… et angela est pu là !…
C profond la science pôpô française, Jibé !… au doigt mouillé, hein, faut pas regarder la lhune, comme dirait jean-mimi l’apathique… 🙂

M. Victor dit: 15 novembre 2021 à 18h04

Sacrée Clopine, elle vient fourguer sa camelote aux vieux fesse-mathieux de la Rdl, hahahahaha. Quatre euros !!! Même pas un kopeck de ces vieux retraités de l’Éducachiant nachionale.

une main... dit: 15 novembre 2021 à 18h06

Même pas un kopeck de ces vieux retraités

Surtout de Super toto le super radin du blog! 😉

B dit: 15 novembre 2021 à 18h07

3J, comme s’il était possible à un pays isolé de sortir du système de l’économie libérale et financiarisée. Vous n’allez pas voter RN, moi non plus d’ailleurs il faut attendre les joutes, les débats, que vont promettre les candidats d’extreme-droite pour capter des votes revanchards, qui croit encore aux promesses électorales? . Je crois qu’une bascule du pouvoir est envisageable sur la droite, ceux qui votaient à droite n’auront rien à y perdre et les macronistes déçus ne sont pas des votes d’extreme-droite. La gauche risque de faire monter le score du vote blanc, de l’abstention au second tour.

Marie Sasseur dit: 15 novembre 2021 à 18h10

« Caroline Hayek est devenue la quatre-vingt-troisième titulaire du prix Albert-Londres, lundi 15 novembre en début de soirée. Le jury a récompensé cette journaliste franco-libanaise pour ses reportages finement composés sur la vie au Liban après la double explosion qui a ravagé le port et la ville de Beyrouth et causé la mort d’au moins 214 personnes, le 4 août 2020. »

https://www.lemonde.fr/economie/article/2021/11/15/le-prix-albert-londres-2021-de-la-presse-ecrite-revient-a-caroline-hayek-journaliste-a-l-orient-le-jour_6102167_3234.html

Janssen J-J dit: 15 novembre 2021 à 18h18

@ reich…, anagramme de chier ???

la main de M. Victor ne fait pas de sermon, elle…, je la lui tends bien volontiers, en signe d’apaisement… Comme avec ma soeur, Marjorie Perdrix…

bouguereau dit: 15 novembre 2021 à 18h19

Je crois qu’une bascule du pouvoir est envisageable sur la droite, ceux qui votaient à droite n’auront rien à y perdre et les macronistes déçus ne sont pas des votes d’extreme-droite

faut chercher à mettre le ballon en touche béré..dans la mélée tu sextorques..et hop c’est l’échappée belle..le coup de pied tombé..et le all black est fait marron qu’l dirait jambon

bouguereau dit: 15 novembre 2021 à 18h22

comme disait Londres, il faut porter la plume dans la plaie

..térezoune elle a des hémoroides..dirfilou est aux abois..dédé trouve ça hinteressant..béré s’en fout

bouguereau dit: 15 novembre 2021 à 18h24

Le film a été fait bénévolement, et si nous rentrons dans nos frais, les recettes générées seront partagées entre Beaubec Productions, l’association du domaine de Merval

henfin du porno amateur..c’est du long

Marie Sasseur dit: 15 novembre 2021 à 18h25

Perso puisque la miss Hayek est incapable de s’infiltrer pour donner les infos sur la corruption et les causes de cet accident industriel au Liban en 2020, je regrette que ce prix Albert Londres, compte tenu de la sélection, n’ait pas été décerné à cet insider, au cœur de la violence périphérique parisienne.

« Valentin Gendrot (Editions Goutte d’or) raconte le quotidien d’un commissariat du 19e arrondissement parisien, réputé sensible. Pendant deux ans, il a infiltré la police et relate dans son ouvrage la violence quotidienne dans ce commissariat où les policiers commettent des bavures. »

Histoire de faire fermer sa grande gueule à l’inspecteur la bâv-ure, qui fait sa loi h24, sur ce blog.

Phil dit: 15 novembre 2021 à 18h27

comme un mauvais Paul Auster.
Je vais néanmoins continuer.

Dear Bloom austérise Mohamed, mazette, parti comme Finkielkraut qui met Arendt à toutes les sauces. Miss Neuhoff, spécialiste de la pensée tournante, va rétablir le champ des possibles oecuméniques.

bouguereau dit: 15 novembre 2021 à 18h27

TRES fabriqué, comme un mauvais Paul Auster

..putain dbordel de pompe a cul..ça nous fait de combien d’adjuvants au finiche?..tu savais toi jabon que les patissiers pouvaient vende des patissries surgeulées sans même a havoir à le signaler..moi je suis catastrophé au abois comme dirphilou..tu t’en fouts?

Marie Sasseur dit: 15 novembre 2021 à 18h31

Sinon, Passou, j’ai relu votre bio de Londres, à propos de son voyage in Africa.
Comme vous le suggérez, …un impressionniste, mais de talent.

bouguereau dit: 15 novembre 2021 à 18h37

Pas toutcher à Michaud, hein…

faire ta déduc nazbroc haprés une fiche de lecture..si fog avait fait ça jlui aurait fourré son montblanc dans l’cul..por démolir faut havoir du biscuit qu’il dit lassuline..sinon dans l’doute on bénit et flatamor..haprés on peut toujours se déboutonner

Phil dit: 15 novembre 2021 à 18h41

Attention aux biscuits mouillés, ça trempe dans le champagne mais c’est pour les sans dents.

M. Victor dit: 15 novembre 2021 à 18h42

L’Orient-Le Jour, Al Nahhar, fondé par l’immense Ghassan Tuéni que j’ai bien connu durant mes « années moyen-orientales ».
Son fils, Gibran, figure du Printemps de Beyrouth et chantre de la liberté et de la laïcité, fut assassiné par les sbires du régime syrien et leurs acolytes les fils de pute hizbollahis.
Nayla Gibran Tuéni, la ravissante et brillante héritière, occupe actuellement le poste de présidente et gérante du groupe de presse libanais Al Nahhar.

Bloom dit: 15 novembre 2021 à 18h56

« reich », c’est « riche », ce qui nous renvoie renvoie aux délices de la toute puissance du stade anal, entre fric & merdre (Liaudet, « Le complexe d’Ubu et la névrse libérale », top des livres des psychopathologie de vie quotidienne). Pas sur la liste de Science-Pot Paris? Pas assez politik?

Janssen J-J dit: 15 novembre 2021 à 19h00

@ j’ai relu votre bio de Londres,

si après ça j’ai pas gagné ma consécration comme reine du blog H24 dit des abeilles melliflues, donc mon avaloir sur le prochain opus du passoul offert à titre gratuit avec sa dédicace, c qu’il y a pas d’justice en ce bas monde, qui dirait l’jmb…, les biscuits seront jamais assez sucrés, hein !

@ jmb, Laissez fog tranquilloù il est, vous abrites pas derrière le cul des stars journalistik, comme d’hab. Soyez vus…, Aviez si commencé comme prof à l’EN, comme samuel, étiez si bon en histoire-Géo (trouvedetout…, parmi vos assortiments de godes-ceinture vintage) …

Marie Sasseur dit: 15 novembre 2021 à 19h05

@ j’ai relu votre bio de Londres,

En version poche. 2005.

Le chapitre 27  » traite des noirs ».
On peut reconnaître à Passou un certain humour  » noir ». Au moins ne s’agit- il pas d’une hagiographie…

Janssen J-J dit: 15 novembre 2021 à 19h10

… Bl, /… une minorité à sc po nous recommandait Wilhelm Reich, on les fit taire, fissa… Ils avaient beau leur raconter que la RS datait de 36 en Angleterre, ben non…, ils le croyaient pas… Las autorités avaient eu trop peur du grand orgasme de 68, en ruth…

Marie Sasseur dit: 15 novembre 2021 à 19h12

@« reich », c’est « riche », 

Au moins avec cet obèse du verbe, on append l autrechien avec la méthode balèze.

Jibé dit: 15 novembre 2021 à 19h32

JJJ: « le critique de Jzmn sur le film de Nani Moretti…. C’est qu’il faut toujours cliquer sur le lézard rouge quand il survient… »
vous avez raison, j’irai voir à a source
Quant à la bascule à droite, oui, certes: sera-ce une véritable bascule? Je veux dire, aux présidentielles, Z ou MLP? Oui, il y a BoJo et il y a eu Trump -les deux appartenant à un des deux grands partis de leur système quasi bipartiste, ce qui rend difficile les comparaisons car ils ont eu l’appui final de la machine partisane. Ici, cheu nous, Z et MLP peuvent faire cause commune mais pas vraiment compter sur l’appui de la machine Les Rép. Eh aux Législatives, Z, combien de divisions?
C’est bien du doigt mouillé, pour nous deux. Enfin, on n’est jamais à l’abri du pire.

Jibé dit: 15 novembre 2021 à 19h40

Merci renato pour votre avis avisé sur Moetti, que j’aime tellement, … j’aurais voulu croire que les critiques généralement mauvaises sur Tre Piani n’étaient pas si unanimes. Mais elles le sont. Qué tristesse!

Marie Sasseur dit: 15 novembre 2021 à 19h45

« c’est koi encore, c’te charabia judirique exfiltré ?… »

Je vais t’apprendre à t’exprimer en français.

«Tabassages» au commissariat du XIXe à Paris : l’enquête confiée à un juge d’instruction

Dans son livre «Flic», Valentin Gendrot, journaliste infiltré pendant plusieurs mois au sein d’un commissariat, explique avoir assisté à plusieurs «tabassages» et témoigne de pratiques «racistes» de la part de certains policiers.

Par Le Figaro avec AFP

Publié le 21/06/2021 à 18:18

Marie Sasseur dit: 15 novembre 2021 à 19h48

Tu sais lire le français ?

Violences, insultes racistes et homophobes mais aussi manque de moyens, suicide et mal-être des troupes : dans le livre «Flic» (éd. Goutte d’or), paru début septembre, le journaliste Valentin Gendrot raconte son infiltration mouvementée. Officiant dans le commissariat du XIXe arrondissement de Paris entre mars et août 2019, il a expliqué avoir assisté à plusieurs «tabassages» et témoigne de pratiques «racistes» de la part de certains policiers.

Des «baffes», «claques» et «coups de poings» à un adolescent lors d’un contrôle

Passage le plus explosif de son livre, Valentin Gendrot assure avoir assisté à une «bavure» commise par un collègue et que lui-même a couverte avec d’autres policiers. Lors d’un contrôle qui dégénère, un policier met plusieurs «baffes» et «claques» à un adolescent, puis des «coups de poing», selon le récit du journaliste. Le jeune homme, dont la gravité des blessures n’est pas détaillée, est embarqué au commissariat pour une vérification d’identité. Le policier porte alors plainte pour outrage et menaces, l’adolescent pour violences.

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/tabassages-au-commissariat-du-xixe-a-paris-l-enquete-confiee-a-un-juge-d-instruction-20210621

Marie Sasseur dit: 15 novembre 2021 à 19h51

Editions  » la goutte d’or », ce qui ne manque pas de sel.

Le quartier :

« Il a été chanté par Aristide Bruant dans sa chanson À la goutte d’Or ainsi que par François Hadji Lazaro dans une chanson du même nom. Dans L’Assommoir, Émile Zola situe l’action au cœur de la Goutte-d’Or, et en fait un espace fermé dont il semble impossible de s’échapper — l’alcoolisme sert alors de toile de fond — en insistant sur la détresse et la misère des habitants de ce quartier au xixe siècle. Alain Bashung, qui habitait la villa Poissonnière, a beaucoup œuvré pour les associations du quartier. »

Marie Sasseur dit: 15 novembre 2021 à 20h10

Bref, il fera froid en enfer, avant que je ne remette les pieds à Paris. Disons, en janvier prochain.

Je vais enfin pouvoir commencer ces  » Temps sauvages  » ( guatémaltèques) de f18.
titre emprunté à ste Therese ? celle qui rit quand. Ça commence mal.
Ciao.

Jazzi dit: 15 novembre 2021 à 20h32

Pour rappel.
Le léZard, qui n’est pas morettien par deux sous, a plutôt bien aimé.

(Demain, nous évoquerons le pathétisme au cinéma à l’occasion du dernier film de Clint Eastwood (92 ans)…

Bloom dit: 15 novembre 2021 à 20h46

en ruth…

In truth…

3J, allez vérifier ce que signifie to call ‘ruth’ en anglais, vous allez kiffer.

Jazzi dit: 15 novembre 2021 à 21h17

Quel écrivain, qui a failli y passer, a écrit cet éloge du virus : « 2020, avec ses deux confinements, fut une année de silence et d’absence, autant dire d’âme. Tels ne furent pas les moindres mérites du coronavirus, qu’on peut bien reconnaître quand on a beaucoup souffert de lui. Il a un peu nettoyé les rivières, remis les dauphins dans les baies, légèrement déplastifié les océans, cassé le tourisme de masse, porté à l’économie des coups fatals. Les morts et les demi-morts ont peut-être le droit de s’en frotter les mains. » ?

B dit: 16 novembre 2021 à 3h05

Explications et schémas

https://lithub.com/watch-kurt-vonnegut-explain-the-different-shapes-of-stories/

Jean, ne soyez pas fâché, vous ne perturbez absolument pas nos jours , ce n’était pas votre heure habituelle aussi votre survenue impromptue et fulgurante m’a surprise et je ne pouvais pas rester sans réagir aussi naturellement que possible. Vous savez qu’en dehors de la vie des bêtes, rares et visibles de mes parcours je ne sais pas grand chose de ce monde que de plus j’aimerais oublier ou changer, transformer d’un coup de baguette magique pour le sauver des flammes et de la submersion prévisibles.

B dit: 16 novembre 2021 à 6h57

Je vais enfin pouvoir commencer ces » Temps sauvages »

Bon courage pour le passage de cette traversée historique peuplée de colonnels , de paysans, de marchands. Ce tropisme sud américain me fait me souvenir d’un livre d’un autre auteur, mort à présent, Mexique en proie à la généralisation de l’usage des téléphones portables et à ses conséquences. Le bouquin a déjà plus de dix ans et il est étonnant de constater que cette dynamique qui me paraissait incompréhensible alors est tout à fait d’actualité, révolution numérique et son cortège de nuisances, sinistres, crimes, mouvements de foules et peuples, trafics en tout genre, réseaux d’influence, espionnage, surveillance des masses.

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 8h37

je ne sais pas grand chose de ce monde que de plus j’aimerais oublier ou changer

béré a encore mis sa culotte sur la tête qu’elle a pris pour son cul qu’il dirait kilgoretrout

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 8h40

Debout là-dedans

il est parti reich..ça lui prend 1000 ans..y’a pas dfiche pour ça à sc

Jibé dit: 16 novembre 2021 à 8h40

« to call ‘ruth’ en anglais, vous allez kiffer » dit
Bloom à JJJ
Oui, fondé sur la sonorité, très explicite. Il existe un équivalent français.

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 8h43

Demain, nous évoquerons

c’est le nous reptilien….sur fond vert avec à peine dla cgi tout lézard senfle en tiresque

Jibé dit: 16 novembre 2021 à 8h50

Merci Jazzi pour le lien sur Tre Piani.
Un immeuble cumulard : tout sur l’époque en trois étages, on dirait.

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 8h50

caybotte..ça valait pas un maravédi dans les 70’s..qu’a tu fais de ton talent qu’il va te dire yavé jambon..et sras sec encore

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 8h57

jambon il est toujours a se réver mino..et il se dit là qu’il va phinir à la coupe comme un real ibérico..jambon beurre hen somme..c’est balloot

Phil dit: 16 novembre 2021 à 9h25

Le grand Clint n’a jamais eu de voix, faut pas s’exciter sur les manettes, un mètre nonante suffit pour donner la réplique aux chevaux, disait Mitchum. Comme les dents du john Wayne, on les voit jamais

racontpatavi dit: 16 novembre 2021 à 9h38

Debout là-dedans

Serait-ce la levée du dortoir du moniteur JJJ?
Melon charentais au dessert.

rose dit: 16 novembre 2021 à 10h17

« Clint Eastwood, 92 ans, nous apparait bien vite comme un héros de farwest pour ehpad ! »

Dans le EHPAD on leur passé les films des années 20 à 50.
Pas de western.
Fernandel.

Quand tu entres dans un EHPAD, de gré ou de force, tu vieillis d’autorité.

Janssen J-J dit: 16 novembre 2021 à 10h43

@ Le véritable héroïsme n’est-il pas de se montrer tel qu’en soi-même, jusque dans son extrême délabrement ?

Yes jzmn, et vous leur en donnez un exemple éclatant !…
Les critiques de cinéma finissent toujours aux épades comme tous les autres, sauf annelise@roux.fr qui a su prendre la tangente à temps. Deboul Emor !…

nb @ / ai bien aimé l’anecdote Jackson/Bernstein… Ainsi donc le premier n’était pas si demeuré que je l’aurais cru, hein !… Avait sans doute pressenti qu’à côté de West Side Story, n’avait guère produit que de la daube musicale bin trop surestimée, comme celle des 2 Célines,

@ RPTV, bonne journée… (le melon, c très bon… ! croyez le) !

Janssen J-J dit: 16 novembre 2021 à 11h01

@ Géo Trouvedetout /// y’a pas dfiche pour ça à scpo …

… i vont mett’ mein kampf (23) au programme de l’agrèg cette année, à condition que les candidats aient bin assimilé les annotations des historiens…, Trouvent que c’est plus d’actu aujourd’hui que le Lippman (22) qui date de la même époque…

Janssen J-J dit: 16 novembre 2021 à 11h06

@ jzmn, non non vous êtes encore bogoss, mais savapaduré longtemps, je préfère vous prévenir à temps, hein !…

Damien dit: 16 novembre 2021 à 11h07

Jazzi, vous êtes littéralement passé à côté de « Cry Macho ». En réalité, c’est un très grand film, qui ose la simplicité, et revendique les grandes valeurs humanistes. Ce n’est jamais facile à faire, cela demande une grande sagesse, un véritable savoir-faire cinématographique. Le cynique Jazzi, le pervers cinéphile n’y a pas trouvé son compte. Dommage pour lui. Il se moque de la vieillesse d’Eastwood. Celle de Jazzi (et il y est déjà, je crois) sera un naufrage, comme disait de Gaulle (une autre de mes idoles).

Clopine dit: 16 novembre 2021 à 11h10

Waouh un remake de West Sise Story !Gageons que Spielberg va dépoussiérer le personnage niais de Tony, et qu’il va préserve la fraîcheur de celui de Maria. Pourvu qu’il ne change pas les ballets ..
Je suis déçue, enfin pas trop je m’y attendais, par le fait que pas un seul d’entre vous n’ait téléchargé et regardé mon documentaire. Un avis sur la voix off m’aurait diablement intéressée. Les spectateurs en salle ont semblé émus, mais ils sont vingt fois moins cyniques et ont bien moins accès aux codes littéraires que les crocodiles de la Rdl. Tant pis.

vanina dit: 16 novembre 2021 à 11h24

@ r.m.

relire « More die of heartbreak », oui, quand on voit des
fleurs en plastique, il faut fuire.

relire Vasilij Aksionov, en italien, « L’ustione », bordélique rapport sur l’Union Soviétique, où le collant social est la vodka, la femme est exutoire et miroir des toutes les peines, la verve stylistique de l’auteur vous capture et V.Prop et son analyse de la fable est déjà lu, indispensable car les Russes se sont toujours racontés des fables pour survivre.
1a ed. Mondadori , febbraio 1980.

Mention spéciale pour les traducteurs, Giovanni Buttafava e Sergio Rapetti.

L’art est partout où on regarde, mais il faut savoir regarder, comme disait déjà quelqu’un. Après il y les spécialistes, mais l’art a toujours été un domaine protégé, saccagé, acheté et vendu par les marchands,
« cosa mentale », mais objet souvent perdu dans la folie de l’histoire, des guerres, la violence touche les produits artistiques, si fragiles, et tous les connaisseurs du monde sont impuissants à sauver des monuments visés pa la folie humaine. Hélas.

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 11h37

Clopine, j’ai trouvé les images de Clopin très belles dans la bande-annonce du documentaire.
Pour la voix off, je ne suis pas très pour en général…

Janssen J-J dit: 16 novembre 2021 à 11h40

Faut jamais rien attendre de cette chaine, on est toujours déçus, marie benoit… J’ai vu le film des pommes, mais je sais pas quoi en penser…. mon attention est restée flottante. Celles que j’ai récoltées dans mon verger avaient juste l’air moins belles que les vôtres, mais comme nos melons, nos pommes charentaises sont tout aussi goûteuses que les normandes… je crois… Le gars à la fin qui roule les R,, comme un basque, croyez pas qu’il exagère un brin ?
Bàv CT,

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 11h43

« Il se moque de la vieillesse d’Eastwood. »

Je crois que tu m’as mal lu, D.amien.
Une séance de rattrapage peut-être ?

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 11h58

«  »Âme qui vive ». D’aucuns traduiront ce titre par « personne », « absence », « pas d’âme » ou « pas de vie ». Tout lecteur sensible de Renaud Camus y lira au contraire : âme, vie, présence (au monde). Au cours de cette année 2020, Renaud Camus est touché par une forme grave du Coronavirus. À l’hôpital, son cœur cesse de battre à plusieurs reprises… »

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 12h01

Je suis déçue, enfin pas trop je m’y attendais

t’es trop grosse crocro dans lmarigot bonne clopine..vla lprobloc

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 12h03

JJJ, selon vous, AnneLise R. et Sophie A., amies ou amantes ?

le lézard est jalouse pas que des crocros

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 12h07

… i vont mett’ mein kampf (23) au programme de l’agrèg cette année, à condition que les candidats aient bin assimilé les annotations des historiens…

ma mère jespère que jambon il a lagreg..sinon c’est la baignoire à loriston..hou lhinverse

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 12h10

Le vieux boug se réveille et montre les crocs, le problème c’est qu’il ne fait peur à personne !

Clopine dit: 16 novembre 2021 à 12h12

Jazzi, merci d’avoir regardé la bande annonce. Bon, en fait tu peux voir le film en entier ici et gratuitement !

TQDP2021GRATUIT

https://vimeo.com/ondemand/tantquilyauradespommes

Et justement, la voix off n’est pas habituelle. Enfin, je crois. On va dire que j’ai chargé la mule… Et ton avis m’intéresse (ceux des autres aussi). Même s’il est négatif. Merci d’avance, Clopine.

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 12h12

En réalité, c’est un très grand film, qui ose la simplicité

c’est nul..jai honte jaurai du donner la thune aux productions podcroco..mais j’ai une escuse..jai été hinfluencé..et jme dis que peut être que j’aurai voté litlère en 33 si javais été gretcheune..reuzment votan veille sur moi pour pas trop dconries

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 12h16

le problème c’est qu’il ne fait peur à personne !

c’est -ton- problème baroz..mais si tut tsens comme un tiresque sur sa harleydavidsonne..j’y suis pour quelquechose

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 12h23

Quand tu entres dans un EHPAD, de gré ou de force, tu vieillis d’autorité

à en chier dans son benne rosy..mais faut rester philosophe et quelquefois havoir la force de le faire exprés..hen attendant jme sens faignant mais faignant..faut queujme ressaisisse..tiens jvais relire mein kampf pour me donner du jus

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 12h26

..non c’est nul..heichman..le mec trés ordinaire..a dit qu’il l’avait consicencieusement pas lu lui..que c’était un sujet de plaisantrie dans les bureaux..un truc dagrégé par hanticipation

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 12h29

34 milliards de bénéfice pour Pfizzer.Et ce n’est pas fini.

stéfane keupu aurait pu achter sa maison en corse au frais de ses locataires malades q’il met dehors..nobodiz perfect

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 12h45

« Et ton avis m’intéresse »

Le tien aussi sur mon site m’aurait intéressé, Clopine.

J’ai horreur des Harley Davidson, le boug !

Janssen J-J dit: 16 novembre 2021 à 13h00

@ jzmn /Tout lecteur sensible de Renaud Camus/
hormis Finkie…, ça existe encore, c’te bête là … ??
Aurait failli crever du corona al’hors ?… Faut dire que les tricks du grand rempiassement à c’tâge-là, c pas bin malin non pu, xa pardonn’point !…

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 13h10

« jzmn /Tout lecteur sensible de Renaud Camus/
hormis Finkie…, ça existe encore, c’te bête là … ?? »

Grand styliste de la langue française (il ne dépareillerait pas à l’Académie)et théoricien politique (tendance Maurassienne), Zemmour lui a tout piqué, JJJ. Pour son plus grand profit !

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 13h12

Je soupçonne Phil d’être un grand lecteur de Renaud Camus, mais il ne l’avouera jamais ici, JJJ…

Alexia Neuhoff dit: 16 novembre 2021 à 13h25

Jazzi : (il ne dépareillerait pas à l’Académie)

Comme disent les brocanteurs.

Phil dit: 16 novembre 2021 à 13h53

Dear baroz, jaloux de la tour à Camus ? Ses journaux sont fort lisibles jusqu’au début des années nonante, ensuite la détente de son muscle testiculaire crémaster semble rejaillir sur le style. Le sieur Z., aussi couillu pour se déclarer ou finir en ectoplasme de nosferatu

vanina dit: 16 novembre 2021 à 13h57

@ r.m.

non, les faits divers, la cronaca nera, je suis pas friande, si c’est C.E. Gadda qui en fait un chef-d’oeuvre, je suis prenante, disons que la vie brute me fait trop souvent regretter la page ou la toile ou le reflet artistique, la vie sans accompagnement musical,
vous blesse sans vous apprendre grand chose, une danseuse par contre fait bien plasir à voir. Misty, par ex. Merci .

Marie Sasseur dit: 16 novembre 2021 à 13h58

A. F. Une histoire de fauteuil par D. Rondeau:

« J’ai beaucoup voyagé avec ces deux fauteuils, le 36 et le 12. Toujours pour la cause des peuples. Vers le Liban rebelle, très souvent, à bord de bimoteurs Beechcraft qui se posaient sur la route de Jounieh, entre des barres d’immeubles. Vers Dubrovnik aussi, quand la ville était menacée de destruction. Jean d’Ormesson, un ancien de la 1re demi-brigade de commandos parachutistes de Vannes, m’avait appelé un matin en me proposant de sauter en parachute avec lui sur Dubrovnik. Nous nous étions contentés de réquisitionner à Bari un hydroglisseur de cinq cents places. Cinq cents fauteuils en plastique pour cinq passagers. Bertrand Poirot-Delpech et Max Gallo étaient du voyage. J’espère, Madame le Secrétaire perpétuel, que ce n’était pas un jeudi. Nous avions vite été interceptés par un patrouilleur de la marine serbe, qui nous avait assignés à résidence sur une petite île merveilleuse, Korcula. Il avait fallu une colère homérique de Jean-François Deniau, dévastant avec sa canne anglaise le bureau de la gendarmerie locale, tout en couvrant d’imprécations et de menaces nos « geôliers » pour que nous soyons immédiatement libérés. Je voudrais, dans ce propos liminaire, nommer aussi Jean-Pierre Angremy, fauteuil 40, romancier et diplomate, je lui dois ma première mission à Beyrouth, mandaté par le Quai, pour un exercice de diplomatie hors cadre et sans filet.  »

https://www.academie-francaise.fr/actualites/reception-de-m-daniel-rondeau-f8

Marie Sasseur dit: 16 novembre 2021 à 14h04

« L’Académie française, dans sa séance du jeudi 28 octobre 2021, a enregistré la candidature de M. George James Cliff au fauteuil de M. Michel Serres (fauteuil 18).L’élection à ce fauteuil aura lieu le jeudi 25 novembre 2021. La limite de dépôt des candidatures est fixée au jeudi 11 novembre.
Too bad, c’est pas Jimmy Cliff.

Marie Sasseur dit: 16 novembre 2021 à 14h06

« George James CLIFF,

Né le 04 juin 1974 à Nottingham (Grande Bretagne),

Professeur agrégé d’anglais, ancien membre du jury de l’agrégation interne d’anglais – Chargé de mission auprès du Doyen de la Faculté des lettres de l’Université de La Réunion – Ancien traducteur assermenté près la Cour d’Appel de Poitiers. »

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 14h19

« Comme disent les brocanteurs »

Ou les antiquaires, Alexia.
Il va sans dire que pour Renaud Camus, dont je ne partage pas les idées, je fais partie des premiers remplacistes…

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 14h26

Le style de Renaud Camus n’a pas changé, Phil, seulement le regard posé sur lui depuis « l’affaire Camus »…

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 14h27

la querelle des antiquaire et des brocanteurs c’est hun peu les anciens « vs » les modhernes comme elle disait térezoune quand elle ne citait pas encore comme sa greffière à son meussieu courte

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 14h29

chus dac avec toi baroz et dirphilou..lantisémistisme le rendait hintelligent..et les autres franhcment cons..maintnant les brocs se crèpent tout seul le chignon qu’elle dirait alesquia

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 14h30

je fais partie des premiers remplacistes…

les plus pires fauxcul!..jaune dehors..caca dedans!

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 14h33

sur la photo on dirait qu’il a pas enlvé son plug baroz..ou s’est mélangé entre le gel et la dijon estraforte..en cuisine ça peut arriver..reuzment que chus un crocodile qu’elle dirait bonne clopine

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 14h35

« sur la photo on dirait qu’il a pas enlvé son plug baroz »

Un peu de compassion, le boug, il sortait à peine du service de réanimation des urgences, plus mort que vif !

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 14h37

Grand styliste de la langue française

chez les copin mécanos en congepaye à baroz c’est du motul..

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 14h39

il sortait à peine du service de réanimation des urgences

j’ai eu comme un flash comme dédé..térezoune devait y bosser comme fille de salle..faudrait que meussieu courte il enquête

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 14h40

Heureusement qu’à l’hôpital il y avait des personnels métissés remplaçants pour lui changer ses couches culottes et vider son urinoir, le boug !

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 14h46

J’ai horreur des Harley Davidson, le boug !

pourtant avec un bandana avec un ‘le lézard roule pour vous’ dans le dos..sillonnant paridgi.. »y’aurait des retombées » comme on dit à lacadémie

Eric Dubois dit: 16 novembre 2021 à 14h47

Je ne pense demeurer longtemps un inconnu , comme vous écrivez, renseignez-vous avant d’écrire cela. J’ai été publié comme poète aux éditions Publie.net et Encres Vives, et d’autres éditeurs. Je suis dans un projet pour un éditeur important en tant qu’auteur de récit.

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 14h48

des personnels métissés remplaçants pour lui changer ses couches culottes et vider son urinoir, le boug !

oui baroz..t’as fini par aller voir debout les femmes alors

B dit: 16 novembre 2021 à 14h49

90 policiers pour sécuriser le président, j’ai mes info, c’est du terrain! On peut même pas lui serrer la main!

Clopine dit: 16 novembre 2021 à 14h54

Je vais régulièrement sur ton site, Jazzy, et ce que j’ai préféré c’est ton jeu de citations mises bout à bout. J’ai identifiée plus faciles, Proust, Duras, etc … Ton site te ressemble, ne change rien.

racontpatavi dit: 16 novembre 2021 à 14h58

Jazzi dit: à

JJJ, selon vous, AnneLise R. et Sophie A., amies ou amantes ?

Arrête de déconner jazzi, je viens de commander du vin à sa belle sœur! 😉

Phil dit: 16 novembre 2021 à 14h59

Le style de Renaud Camus n’a pas changé

Beaucoup « d’épluchures culturelles », dear baroz, comme on disait à l’époque de Matigon (du Figaro), mais le voyageur baiseur faisait passer la pilule.

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 15h00

Au départ, dans ma famille paternelle, c’est tous des Français d’origine italienne. Du côté de ma mère, des Français provençaux de souche qui se sont mariés entre eux, sans pour autant être particulièrement dégénérés (on nous raconte n’importe quoi !).
Ensuite, à la génération suivante, mes parents, mes oncles et mes tantes, se sont mariés entre Italo-provençaux.
Mon frère et moi, ainsi que la plupart de mes neveux et nièces, ou cousins et cousines germain.e.s, avons épousés des Français d’origine maghrébine.
Tout ça, ça fait toujours plus ou moins des bons Français.
Où est le problème ?
Le grand remplacement est un mythe…

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 15h05

« Beaucoup « d’épluchures culturelles » »

Oui, et pas mal de name dropping mondain, Phil. Mais c’est ce à quoi on reconnait son style.

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 15h08

« ce que j’ai préféré c’est ton jeu de citations mises bout à bout »

T’es vache, Clopine : ce que tu préfères c’est quand il n’y a pas une seule ligne de moi !

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 15h10

« Matignon..Renaud »

Non, Zemmour président, Renaud aux affaires culturelles, et Passou n’aura plus qu’à prendre le maquis…

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 15h13

Le grand remplacement est un mythe…

c’est nous les légendes qu’il dit matheson..les autres que des zombis des vampires des froggs

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 15h15

Non, Zemmour président, Renaud aux affaires culturelles, et Passou n’aura plus qu’à prendre le maquis…

bien sur que non baroz..c’est sôt..regarde rénateau..dpuis pépégriyo y bouffe dla brioche

B dit: 16 novembre 2021 à 15h18

C’est qui le voyageur baiseur? Au cas où il soit encore en service et fonctionnement sans médicament . Passé 60 ans, il n’y a plus rien sur le marché.

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 15h18

tout ça c’est surtout une affaire de packaging baroz..et en france..pays du gout du lusque et dla molesse..c’est hubeur himportant attation

Jazzi dit: 16 novembre 2021 à 15h19

« dpuis pépégriyo y bouffe dla brioche »

Il m’inquiète, le boug, il ne s’intéresse plus qu’aux petites culottes des danseuses, comme les vieux financiers lubriques de la Belle Epoque, qui fréquentaient le foyer de l’Opéra !

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 15h25

chez les hétéro c’est l’marché des plus d’60 baroz..bien sur y a dsk et cloclo en handcuff qui les aiment costaude..mais c’est un marché de niche

bouguereau dit: 16 novembre 2021 à 15h31

le code vip à bonne clopine y marche pas..c’est con j’aime beaucoup le calva..les gateaux normands..les filles en bottes qui roulent les r..j’avais une expertise

B dit: 16 novembre 2021 à 15h31

(on nous raconte n’importe quoi !)
pour les maladies génétiquement transmissibles il vaut mieux se mélanger sinon il y a plus de probabilités que des gènes s’expriment, deux récessifs d’une même famille.

B dit: 16 novembre 2021 à 15h38

Bouguereau, n’importe quoi. Moi je me souviens simplement de ces lieux où dans les années 80 étaient affiché sur la porte ou la vitre, Ici on peut apporter son manger. Il y avait aussi des resto abordables sur la cote normande où l’on mangeait plutôt bien, la côte ne tombait pas encore avec ses maisons. On parlait tout juste du trou d’ozone, rien n’alarmait encore. Il y avait aussi ces fromages de Neuchâtel, des pommes sur les pommiers, des vieux hôtels avec des cloisons qu’on aurait dit en torchis. La mer, l’hiver, le froid, les copains, les voitures improbables .

B dit: 16 novembre 2021 à 15h42

Je retourne du côté de Pynchon. Avec ses fous d’une autre espèce disparue. Actuellement, ils sont méchants.

D. dit: 16 novembre 2021 à 16h14

Nice to meet Eric, dans ces colonnes.

J’ai d’abord cru à une contrepéterie mais pas du tout.

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