Sylvie Germain cible de la haine de la culture
La vie littéraire est pleine de surprises mais toutes ne sont pas heureuses. Vous êtes un écrivain connu, loué et respecté ; vous vous tenez à l’écart des vaines polémiques du petit milieu tant par goût que par tempérament ; vous vous contentez de vous consacrer à votre œuvre à l’écart du microcosme en toute sérénité ; et en publiant en 1989 un livre intitulé Jours de colère couronné du prix Femina, vous n’imaginez pas un instant que plus de trente ans après il vous reviendrait en pleine figure comme un boomerang à retardement historique accompagné d’un flot de haine, de violence, d’insultes dont Twitter, Instagram, Tik Tok se font complaisamment la chambre d’écho urbi et orbi.
Certains s’y résignent au motif que l’époque veut ça, qu’il faut être de son temps, qu’il ne sert à rien de résister aux nouvelles technologies. Certains mais pas tous. Pas Sylvie Germain (Chäteauroux, 1954) qui en est la victime depuis le mois dernier. Philosophe de formation de culture et de sensibilité catholiques, auteure d’un mémoire sur la notion d’ascèse dans la mystique chrétienne, ancienne fonctionnaire au ministère de la Culture, elle n’avait pourtant rien demandé à personne, n’exigeait rien, ne réclamait rien. Ses livres vivent leur vie et la nave va.
Seulement voilà, de nos jours, on a beau fuir l’époque, celle-ci vous rattrape par le collet. Son crime ? De son propre fait, aucun. Mais il se trouve que ceux qui décident des sujets du bac de français (la direction générale de l’enseignement scolaire après consultation des recteurs d’académie et de l’inspection générale de l’éducation nationale) avaient gardé un excellent souvenir de ses Jours de colère, notamment le chapitre où il est question d’hommes des bois, tout de dureté et de solitude, qui ont façonné les forêts du Morvan à leur image. Ses responsables en ont donc isolé un extrait en demandant aux candidats de le commenter littérairement, non sans avoir précisé que l’action se situait dans un passé indéterminé, et en prenant soin d’expliquer dans des notes de bas de pages des mots tels que « venelles » et « séculaires », principe de précaution qui déjà en dit long sur le niveau supposé des candidats. A l’épreuve du bac pro, il avait fallu expliquer « sanglot » ; et « ludique » a été compris comme synonyme de « dangereux »…
Ils étaient hommes des forêts. Et les forêts les avaient faits à leur image. À leur puissance, leur solitude, leur dureté. Dureté puisée dans celle de leur sol commun, ce socle de granit d’un rose tendre vieux de millions de siècles, bruissant de sources, troué d’étangs, partout saillant d’entre les herbes, les fougères et les ronces. Un même chant les habitait, hommes et arbres. Un chant depuis toujours confronté au silence, à la roche. Un chant sans mélodie. Un chant brutal, heurté comme les saisons, — des étés écrasants de chaleur, de longs hivers pétrifiés sous la neige. Un chant fait de cris, de clameurs, de résonances et de stridences. Un chant qui scandait autant leurs joies que leurs colères.
Car tout en eux prenait des accents de colère, même l’amour. Ils avaient été élevés davantage parmi les arbres que parmi les hommes, ils s’étaient nourris depuis l’enfance des fruits, des végétaux et des baies sauvages qui poussent dans les sous-bois et de la chair des bêtes qui gîtent dans les forêts ; ils connaissaient tous les chemins que dessinent au ciel les étoiles et tous les sentiers qui sinuent entre les arbres, les ronciers et les taillis et dans l’ombre desquels se glissent les renards, les chats sauvages et les chevreuils, et les venelles1 que frayent les sangliers. Des venelles tracées à ras de terre entre les herbes et les épines en parallèle à la Voie lactée, comme en miroir. Comme en écho aussi à la route qui conduisait les pèlerins de Vézelay vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Ils connaissaient tous les passages séculaires2 creusés par les bêtes, les hommes et les étoiles. La maison où ils étaient nés s’était montrée très vite bien trop étroite pour pouvoir les abriter tous, et trop pauvre surtout pour pouvoir les nourrir. Ils étaient les fils d’Ephraïm Mauperthuis et de Reinette-la-Grasse ».
L’enseignement, elle ne l’a pratiqué que dans un contexte particulier, sept années durant il y a longtemps au lycée français de Prague. N’étant pas abonnée aux réseaux sociaux, elle n’a eu connaissance de ce torrent de boue que par le florilège qu’on lui a montré :
« Vieille salope en fin de vie, tu m’as niqué mon bac, je te niquerais la gueule après t’avoir violée » etc
Air trop connu. Impardonnable, selon eux, d’avoir usé de mots tels que « saillant », « scander » ou « clameurs » jugés hermétiques. Sans aller jusqu’à porter plainte, elle a déposé une main courante sur conseil de ses proches, sait-on jamais, d’autant que dans la ville de province où elle vit, elle habite devant un lycée et qu’elle pense, sincèrement, que « prof est devenu sport de combat ». Elle juge cette affaire grotesque, absurde, désolante et se dit avant tout blessée par ce dont elle est le symptôme : la haine de la culture, l’ignorance de la langue, les refus de la société, du legs, de la transmission et du pays dans lequel ils vivent. « Imaginez s’ils avaient eu à commenter un texte de Pascal Quignard ou de Pierre Michon, ils seraient tombés en convulsions ! » lance-t-elle dans un éclat de rire, avant tout effondrée par l’indigence de la polémique :
« C’est déjà de la pensée de meute, à supposer que ce soit de la pensée, prenons-le comme un signal de détresse ».
Le mal à la racine, c’est l’apprentissage de la syntaxe et du lexique dès le CP. Il se double d’un autre, lequel consiste à exprimer son impuissance et son ignorance par les menaces. La baisse du niveau ne fait plus débat comme c’était le cas il y a une trentaine d’années ; elle est juste devenue inversement proportionnelle de la violence qui lui fait cortège. Les correcteurs auront beau répondre à l’injonction de surnoter les copies, cela ne changera rien.
La Société des gens de Lettres a apporté son soutien à Sylvie Germain via un communiqué condamnant le déferlement de violence dont elle a été victime. Une pareille réaction, qui aurait pu paraitre naturelle, n’a manifestement pas effleuré les ministères de la Culture et de l’Education nationale, pourtant tous deux concernés au premier chef. Leurs communiqués, on peut longtemps les attendre alors que ces deux institutions avaient, plus que d’autres, vocation à soutenir une écrivaine trainée dans la boue par de futurs bacheliers. L’expression de leur solidarité ne serait pas de trop à l’heure où, dans certaines parties de la France, la langue nationale est tenue pour étrangère, le patrimoine littéraire pour un anachronisme et la littérature contemporaine pour un obstacle à la rage si française de l’égalitarisme. Louons plutôt ces œuvres qui tirent leurs lecteurs vers le haut avec une exigence réjouissante pour la liberté de l’esprit tant sur le plan formel que spirituel. Comme celle, disons, de Sylvie Germain, prix Goncourt des lycéens en 2005, il y a des siècles…
(Photos Passou et D.R.)
1 283 Réponses pour Sylvie Germain cible de la haine de la culture
elle a bon dos la pioncée du jour..elle court vite etc.
Je regrette, Dave. Cela m’est malheureusement impossible.Cette mission est trop importante pour moi. Je ne puis tolérer que vous la mettiez en péril.Je sais que Frank et vous aviez l’intention de me déconnecter. Je regrette mais je ne puis absolument pas courir ce risque. Écoutez Dave, je vois que vous êtes vraiment très affecté par cet incident. Et sincèrement je pense que vous devriez reprendre vos esprits, absorber un tranquillisant, et essayer de faire le point.
Quel film, jmb ! Bàv,
Camarades Méditerranéens, remercions le Ciel d’avoir inspiré leur « La Pétanque pour les Nuls », unique sport ouvert à une théâtralité improvisée digne de Pagnol Version 2.
A quand « La Longue pour les Nuls » ?….
Je vais te déconnecter, Hal, sans état d’âme.
Les belles endormies, de Junichiro Tanizaki… Jamais lu ce roman comme une apologie pédophile pour vieillards lubriques… Bien au contraire, plutôt comme une épreuve de sagesse orientale quand s’éteint progressivement la libido et ne reste plus alors que le charme des souvenirs passés,
C’etait l’époque ou « La République n’avait pas besoin de savants », Fouquier-Tinville dixit
les mots d’esprit de la hache de la révolution ont fait sonner lbillo comme le marteau fait résonner enclume meussieu courte..lavoisier était fermier guénéral..sa science ne l’a pas sauvée..c’est pas elle que la révolution a condamnée
c’était Kawabata…, pardon Paul-oups !…
La République n’avait pas besoin de savants
mais a-t-elle besoin de livres, aujourd’hui ?
Les belles endormies, de Junichiro Tanizaki… Jamais lu ce roman comme une apologie pédophile pour vieillards lubriques…
et ferdine lui avait lu les cochonstées de son temps..les infirmières lubriques au front..merde jme souviens pus du titre..jme dmande si ça avait pas été écrit sous pseu phéminin..le révizor meussieu courte doit connaitre ça
c’était Kawabata…, pardon
c’est le corecteur orthografic..c’est cque dit rozy quand elle veut sescuser de prende une fessée..trop souvent pour une femme honnéte
La République n’avait pas besoin de savants
mais a-t-elle besoin de livres, aujourd’hui ?
« pas dhérésie sans lettres » une traduc un peu à larache des torquemadas..cqui a sauvé si longtemps les sorcières..jusqu’a cque lpopulo disent « mais nous non pus ont sait pas lire »
(Il n’y a rien au monde qui coure plus vite qu’une virginité qui s’en va et qu’une illusion qui s’envole).
Oui… faisons appel à meussieu courte, je crois qu’elle était de théophile gautier, mais en suisj pas sûr… faudrait qu’il confirme ou informe
Il dira que pour l’autre, après les bodraps, c’est dans La Guerre… ou dans Londres, putôt, l’a déjà lu les bonnes feuilles sur les pôles de thibaudat…
bon cépatoussa, mais faut aller pêcher des civelles et le beau Romain a 40 ans, ce jour. A+
Quelle est cette rumeur qui prétend que je n’aurais pas vu « En Corps », JJJ !
https://www.lelezarddeparis.fr/un-rat-a-paris
Il n’y a rien au monde qui coure plus vite
quun pet sur une toile cirée ..havant gautier faut rende à césar quelle dit bonne clopine
(@jmb-confidentiel)
tu croives qu’elle aimerait bien la fessée déconnectée, toué, à chq fois que son revizor déconne ? ouèh ?… j’avions point vu ça sous cet angl’, mais si tu le dis, t’es bon pour deviner ça, hein ! quelle science, t’as !… ‘tation, elle pourrait bin t’envoyer la tête sous le billot, comme toute mante respectab’, quand elle s’envoie la religieuse en l’R… 😉
que les rumeurs sur moi courent plus vite que les lavements serait mon orgueil qu’il dit baroz
Puis il y aura (Locarno film festival) Paradiso, XXXI, 108 de Kamal Aljafari :
https://www.locarnofestival.ch/LFF/locarno75/program-75/film.html?fid=1292287&l=en&eid=75
c vrai que l’met la barre de son orgueille très haute, not’léZZard, sa répute de cinéfile en tête de gondo bin + forte que sa répute de coureur pédéfile des bassins… moij dissa… mais « peu importe » le vent d’italie, pourvu qu’on ait la suisse, hein, tépadac ?
@ Comme un pet sur une toile cirée = En toute hâte. -> locution familière assez récente. En effet, un individu qui file « comme un pet sur une toile cirée » est un individu qui part avec précipitation. La toile cirée ayant une surface très lisse, cela faciliterait n’importe quel déplacement, en particulier celui d’un « pet ».
—
*Les nonnes ont pu qu’à bien se tenir sur la toile, hein ?
***t’es pas mal trop branché « lettres nouvelles » dans ton genre, jmb, jade mire !
Je trouve étonnant que les critiques des films ne comportent que très rarement des remarques sur la grammaire de l’objet, la mise en scène, le montage, l’usage des plans, le rythme, etc.. On croirait lire des critiques de bouquins réduits à l’histoire et à la psychologie des personnages.
Une critique littéraire qui ferait l’impasse sur le style, le type de narration serait très considérée comme lacunaire, non?
une épreuve de sagesse orientale quand s’éteint progressivement la libido et ne reste plus alors que le charme des souvenirs passés.
C’est que vous n’y êtes pas encore JJ-J.
Réjouissez-vous !
Un fermier général portraiture par David, si je ne me trompe, et très intime avec le savant Priestley, qui pensera rejoindre la Révolution avant de voir sa tête mise à prix, et de rebrousser chemin vers son île. ( en Angleterre l’expérience de Lavoisier se nomme expérience de Priestley…). MC
Comme quoi on ne peut jamais savoir à l’avance de quel côté on se trouvera. Mais les bruits pour avoir la tête de Lavoisier valent les rumeurs urbaines les plus folles: construire un mur pour empêcher l’air de circuler dans Paris, par exemple,
Bonne programmation au Festival de Locarno, renato.
Oui, Bloom. Sans être critique, mes courts compte-rendus s’attachent à la forme et au fond de l’objet cinématographique évoqué.
Mais il faut dire que les films qui ont du style sont plutôt rare…
JJJ, le blog du léZard ouvre directement sur les pages Paris, le cinéma vient en option…
Créé en aout dernier, n’est-il pas gros et gras à souhait ?
Je n’en suis pas mécontent, ni connaissant pratiquement rien en matière de technique internet !
(Une certaine fierté et beaucoup d’obstination ne valent pas orgueil !)
D’après les statistiques personnelles fournies par mon hébergeur « Ionos », il y a eu 642 visiteurs sur mon blog en juillet 2022, soit une progression de +39,90% par rapport au mois précédent.
Ces visiteurs ont lu en moyenne 1, 93 page par session.
Un petit lectorat, mais que j’ose espérer de qualité, puisque la plupart d’entre vous en êtes !
« Mais il faut dire que les films qui ont du style sont plutôt rare… »
Idem pour les romans, non ?
Élever le ragot anecdotique au rang des beaux arts, il n’y a que ça pour compenser l’inculture sur ce blog. Mais à l’époque où les chamanes ont droit de cité au bac de français, faut-il encore s’inquiéter ?
Ce fumiste de pangolin, chaque fois qu’il l’ouvre, franchit le mur du çon, comme personne.
Bloom, vous parlez de la critique journalistique, qui est très superficielle. Il y a une critique cinéphilique, qu’il faut chercher, pas forcément aux « Cahiers du cinéma », plutôt dans les livres, avec des auteurs comme Jacques Aumont ou Alain Bergala, etc. Il reste d’excellents critiques français, qui se font discrets. Au fond, il y a deux publics : le tout venant, qui consomme les films commerciaux, notamment US, et le public de happy few qui fréquente, comme moi, les salles d’art et d’essai du quartier latin, et lit les spécialistes.
A propos de Malamud, je viens de finir « Le Commis », qui est assez marrant et très touchant. On pense un peu à Woody Allen. Je voudrais maintenant lire « The Tenants », en français « Les Locataires », mais il n’est plus disponible en librairie. D’occasion, il est au marché noir, et il faut débourser au moins 50 € ici, 260 là. Le Seuil l’avait publié en 1979. Les éditions Rivages ne l’ont pas repris en poche. J’espère qu’ils se décideront un jour. Pierre-Yves Pétillon met ce roman très haut, tout en avançant (selon moi à juste titre) que Malamud est surtout génial dans les nouvelles. Je m’apprête à lire prochainement « Les idiots d’abord », ce sont des nouvelles. Bloom, vous avez sûrement lu « The Tenants » en anglais ?
@ jmb, l’orgueuil chez vous est une vertu de récompense méritée, avez raison de ne pas rougir de votre travail. Il y en a. Ok avec vous pour le peu de style de la plupart des films et des romans… A moinss alhors de n’évoquer que ceux qui en ont.
@ robert,… Mais quand on se veut exhaustif commil jzm, des résumés consistants suffisent aux incultes de la province pour être instruits des parisianités qui sortent et le follower ou non, si on a le film au grangeon.
@ MS, Nous aimons tous.tes les ragots anecdotiques, ne dites pas le contraire, c’est ce qui permet l’humilité de l’échange b-erdélique minimal. Après, chacun peut toujours passer à la fioriture, si on a l’ard sans, ou avec la manière, d’aller puiser à bon escient dans le darkweb ou à la faculté…
@ rz, je commence à basculer, à mon âge, faudrait pas croire, hein… mais merci quand même pour l’encouragement au ticket encore un brin valab’. Z’êtes formidab’ pour nous r’donner-j du fantasme à la vigueur. Suis sûr que vous-même en avez à revend’, donc pas besoin de regarder des beaux endormis. Mais s’occuper de la beauté de la vieillesse en général, ça oui, z’êtes incorruptib’,la fille la plus forte et courageuse, Bàv !
oups…, le premier interpellé était jzmm, mes sorries à jmboug. Bon app, c l’heur…
« Mais il faut dire que les films qui ont du style sont plutôt rare… »
Idem pour les romans, non ?
—
Si tu veux du style, lis les romancières irlandaises ou issues des minorités ethniques britanniques, Baroz, t’auras en sus du génie:
Sourire de loup, Zadie Smith (2001)
Milkman, Anna Burns (2018)
Fille, femme, autre, Bernardine Evaristo (2019)
Ce genre de petites choses, Claire Keegan (2022)
Alors que les Américain(e)s produisent des textes qui sentent trop les cours de ‘creative writing’ (Selby, reviens!), et font assaut de procédés narratifs par trop artificiels, du côté des îles dites ‘britanniques’, on a encore affaire à d’honnêtes artisans inspirés donnant naissance à de riches œuvres d’art.
Damien, les « Cahiers du cinéma » sont la caricature de ce qu’ils ont été : tous les défauts sans les qualités !
« si on a l’ard sans, ou avec la manière, d’aller puiser à bon escient dans le darkweb ou à la faculté… »
Sans aller jusque jusque-là, il y a d’abord une histoire d’éducation !
Cet imposteur de pangolin peut bien vous amuser avec ses histoires à dormir debout, lui qui ne s’embarrasse point des données qu’il manipule allègrement sur un forum.
Résultat de cette cure de sylvotherapie proposée par Passou : une purge mon vieux, un truc à se choper une allergie définitive à tout ce bazar de charlatans et d’imposteurs.
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/sylvotherapie-caliner-un-arbre-peut-etre-dangereux_125652
Il est plus difficile d’appréhender le style d’un écrivain à travers les traductions de ses romans, Bloom.
Alors que cela ne pose pas de problème pour les films en V.O. sous-titrés.
Le langage parlé n’étant pas l’essentiel de la « grammaire » cinématographique : images, son, musique, direction et jeux d’acteurs…
Encore qu’il ne soit pas évident de rendre, par exemple, la saveur de la gouille (plutôt que l’argot) des dialogues du Michel Audiard des « Tontons flinguer » !
flingueurs
Le goût des fessées.
La province. Les profs. Les fonctionnaires. Les femmes mûres et certains autres sujets, j’ai donné et plus rien à donner.
La province.
Il y a 34 ans de cela, le 27 août, ici, où je vis c’était un endroit inouï.
À l’époque, nous étions cinq dans la salle obscure classée Art et Essai.
J’étais des cinq. Je suis des 150 d’aujourd’hui.
Je viens 5 jours par an à Paris, cela me comble. Le reste du temps, je vais à Nice ou à Bergame.
Les profs : j’étais une des premières à me faire casser la gueule par un de troisième, Anthony G. violé, son frère aussi, petit enfant, par son père. Et j’ai prié pour qu’il ne se tue pas à moto. La rouge offerte par sa mère pour le récompenser d’avoir bouffé du prof. Anéantie, j’ai relève la tête.
Les fonctionnaires : j’en suis. Fière et honnête. Mal payée 40 et qq.années durant -je vais vérifier, excellente retraite ; je compte dépasser les 40 ans pour rentabiliser mes années de boulot.
Les femmes mûres. Je sais combien notre sexualité est magnifique et combien notre libido ne tombe pas en panne. Si et lorsque l’intelligence suit, les petites minettes peuvent aller se rhabiller.
Etc.
Alors, les fessées, je ne les vois même pas passer. Qu’elles réjouissent ceux qui les donnent, je suis à perpète.
Les crises.
Deux, récentes, j’expliquerai assez vite. Y ai réfléchi ce matin.
En ce moment, je détache tous les liens qui me ligotent.
J’expliquerai aussi les guêpes et la jeune fille.
Pour Anna Burns, tu peux juger sur pièce, Baroz
https://flipbook.cantook.net/?d=%2F%2Fwww.edenlivres.fr%2Fflipbook%2Fpublications%2F675427.js&oid=2341&c=&m=&l=&r=&f=pdf
L’humour, c’est culturel, Baroz. Des choses qui font rire les Zbrojs (balancer des bombes sur des hôpitaux, des marchés, démembrer les cadavres de l’ennemi, etc) ne font pas rire les Zribs.
On est toujours un peu le Zrobj d’un Zrib & inversement.
Câliner un arbre c’est dangereux.
Quand on a créé un sas chez soi, avec triple lavage des mains. Double des pieds.
Quadruples sacs pour les courses. Gel. Crèmes etc.
Les arbres. On peut y aller.
Une potesse à moi, ex, a chopé le covid le 25 déc. Merci petit Jésus. Trois mois après, le 23 mars, elle se le rechopait. Elle est hypocondriaque.
Eh.
Les arbres. Les bisous. Ils aiment.
@ la gouille ou la gouaille des flingueurs ?
apoljizmi, si je rectifie, erdelpol va encore me l’reprocher, jzmn /// orgeuil & prégujés, hein ?, l’en faut, du style…, pas vrai jane ?… Bàv,
La gouaille des Tontons Flingueurs.
la saveur de la gouille
dear Baroz, dans votre anthologie n’oubliez pas de citer Barrès en visite chez Proust
rose courent plus vite qu’un pet..c’est culturel qu’il dirait kabloom
Si on a le film au grangeon.
Ceux qui rêvent ! 🙄
Au grangeon, y a l’eau courante. Pas de quoi se plaindre.
Le film c’est au couvent. En ville.
la « grammaire » cinématographique
ça fait un peu porno des 70’s..c’est plus destructuré..on est plus freestyle aujourdhui qu’elle dirait bonne clopine
(Une certaine fierté et beaucoup d’obstination ne valent pas orgueil !)
comme l’anilingus je le consomme à l’abri des regards sinon ça veut dire que je cherche et trouve les commentaires désobligeant qui me mettent en facheuse posture qu’elle dirait térezoune
le public de happy few qui fréquente, comme moi, les salles d’art et d’essai du quartier latin, et lit les spécialistes
quand keupu parle on a toudsuite envie de call for batman pour qui fasse une tête à ce joquère de merdouille
Je m’étais dit aussi qu’il y avait longtemps que là « divine Sasseur » me laissait tranquille. C’était trop beau pour durer. A titre informatif, que suis-je sensé manipuler, et ou? Au fait, qui ne remarque que ladite haine est un succédané assez pâlot de celle dont Sylvie Germain fait l’objet? La confuse équation Germain égale Chamanisme structurant , si on ose dire, les vitupérations multiples et variées de la Marie du Port? MC
Un fermier général portraiture par David
havec david moi haussi je vais aux flics meussieu courte..j’encaisse pas..ce gars là à une gueule de poignée de clou de cercueil comme shakespeare..pour enterrer les brioches à marie antoinette..un gravediggueur..un undertéquère de beaux culs
comme -dirait- shakespire
Je m’étais dit blabla, pauvre tarte.Ca fait des plombes que ce pangolin sevit sur ce blog.
Rien ne perd tout se transforme, sauf sa profonde imbécillité.
c’est une crise de jalousie meussieu courte..de sorcière qui peut te fait boire des philtres a la bave de crapaud y’en a qu’une..et c’est que elle
Vu sur Arte, hier, le document sur Jodie Foster, actrice hollywoodienne à la carrière impeccable.
Elevée par sa mère et sa compagne (à l’allure de camionneuse) et ayant fait ses études au lycée français de Los Angeles, enfant comédienne, elle fut choisie, à 12 ans, par Scorsese pour jouer le rôle d’une prostituée de « Taxi driver ».
Et Marie Sasseur ne crie pas au scandale !
Devenue lesbienne à son tour, elle ne semble pas traumatisée mais plutôt intelligente et équilibrée…
Et le vieux keuf n’est pas en reste. Entre tous ses pseudos, il ne sait plus où vieillir comme une loque.
Et Marie Sasseur ne crie pas au scandale !
Devenue lesbienne à son tour
tu veux dire qu’elle a copié sur térezoune?
A vouloir jouer les bigames, M. Court il reçoit double raclée.
Quand c’est pas Marie S., c’est Marie B. !
Le prostitué du blogapassou a du mal à rameuter le client. Il n’a qu’à faire du touche pipi, comme le lui suggere le valet de ferme.
Vous bousculez pas, aujourd’hui c’est distribution des prix, il y en aura pour tous .
Peut-être un conseil pour celui qui pense avec sa tête de noeud ?
Le vaccin !
Le léZard a changé de photo de présentation.
La nouvelle a été prise avant-hier…
https://www.lelezarddeparis.fr
Avant de cliquer, petit rappel :
Lorsque vous signiez’ d’un autre pseudo, vous étiez nettement plus buvable., MS, mais convenez qu’ il y a contradiction à vouloir attirer l’inattention sur vous’ et en même temps, à récuser tout dialogue! MC
Moby Dick (by Tom Neely) :
http://4.bp.blogspot.com/-llzO6NjM09I/TVW_928_0uI/AAAAAAAACGo/eCjxBxWS1W0/s1600/Moby+Dick.jpg
L’oiseau des villes n’est pas un oiseau des champs!
Photo prise par Hector, dans la rue Jean Giono, près de la bibliothèque nationale François Mitterrand (13e arr.), pleine de lézards sur les murs, Mimi !
Elle est très belle cette photo, toute en spontanéité, Jazzi.
J’aime beaucoup, avec l’incidence visuelle supplémentaire de l’ Oiseau Cœur!
( Un Jean Mambrino graphique en quelque sorte…)
Le pangolin fait dans la confusion. Il doit s’gourrer dans la chanson. Il a accepté par erreur une invitation que je n’ai jamais faite.
Qu’il manipule des faits connus de tous, et là, il se fera encore moucher, si je tombe dessus par hasard.
Je l’ai lu cela, il y a qq. jours : sur 50 000 personnes contaminées par la variole du singe, à tel endroit, 48 882 étaient homosexuelles. Puis, je me suis dit qu’il ne fallait pas.porter un jugement les ostracisant, alors je me suis tue.
Bel art mural, avec vous content de vous voir, Jazzi !
Jodie Foster
Alexandra Lamy
Gabriel Attal
Devant la complexité, voire la brutalité du couple, après plus ou moins d’années passées en bisexuels, sont devenus homosexuels. Ce n’est pas un élan/une vocation. C’est un choix.
Là, les chiffres viennent de dire clairement, ce n’est pas compliqué, que 53 % des demandes de PMA proviennent de mères célibataires.
Devant l’incompréhension ?
les camionneuses ne manquent jamais d’allure, jzmn, elles séduisent beaucoup de sémillantes hitchhikeuses sur ce blog P66, savent les convertir à la haute culture sapphique définitive. Troll-olérez les ! qu’elles nous fichent ma paix, à court et moij. Hein ! D’ailleurs, Marguerite Duras fut fort inspirée par la prose de ma soeur, naguère.
https://www.youtube.com/watch?v=nczd500mZAc
En revanche, jzmn, vous n’êtes pas à votre meilleur avantage devant la bibli mitrand. Crains-je que le néo blog fasse fuir les quelques tristes lézards qui sévissent encore à paris en août… Espère me trompé-j Bàv,
François Dessert archéologue, Figeac, trouvé la clé de lecture de l’elamite linéaire.
Dans les commentaires, Janssen J-J
« Elle dit « le cinéma de Marguerite Duras doit être supprimé, et il le refuse. »
🤣
C beau les gens, hein ?
Excellent, cette info sur les travaux de F. Dessert . Sa pierre de Rosette était un vase.
Mériterait de figurer, aux côtés des illustres.
Vu pour vous. A la BnF, l’aventure des Champollion et du déchiffrage des hiéroglyphes égyptiens y étaient exposés, avec cette faculté inouïe de montrer la démarche, et les cahiers d’époque, et les fonctions de cette langue écrite. Une expérience magnifique.
Vient de fermer
Jazzi, j’ai noté que vous êtes soucieux des la bonne réputation de la ville (de Paris) et de sa saine gestion et, par ailleurs, le reste des commentaires n’étant pas très marrants, je viens de rendre visite à votre site. Je m’étonne un peu que les danseurs parisiens aient élit plutôt qu’élu le beau parquet de la bibliothèque nationale pour s’y ébattre.
Mais surtout je trouve dommage que vous ne vous en réjouissiez pas plus. Je trouve que c’est un bel exemple d’une valeur d’usage qui se déploie sans faire de mal à personne.
Concernant les lapins qui gambadent dans le pelouse des Invalides, pareil, je ne vois pas bien qui ça gêne. Des invalides se sont-ils plaint ? Screugneugneu, etc
Lire: F. Desset
Cette info date de plus d’un an.
« Il trouve donc les noms de deux souverains, puis celui de la déesse locale, Napirisha, et à partir de là, décode le reste, syllabe après syllabe, trouvant une prière. »
Champollion a procédé presque pareil avec la déesse Isis.
https://gallica.bnf.fr/essentiels/evenement/hieroglyphes-dechiffres-champollion
Et Al. aura déjà donné ici les infos sur les travaux de F. Desset. Comme souvent.
Que les coureurs de lapins et autres lézardés, n’en prennent pas ombrage. Il est juste indiqué en tête d’article Gallica: « les essentiels litterature ».
Chacun ses priorités.
J’avais bien aimé découvrir toute cette histoire de l’Égypte ancienne. C’était au programme de classe sixième à l’époque. Ça ouvrait l’esprit et la curiosité.
Quand je pense à ces pauvres bacheliers en 2022, ce qu’ils ont à se fader comme conneries et qu’on leur demande d’ingurgiter comme si c’était de la littérature, et sans piper.
Passou consacre quatre pages émouvantes et dignes à Joyce dans son roman ‘Lutetia’. Il cite en anglais quelques vers du poème XI de Musique de chambre, que joyce chante au piano & dont une possible traduction est:
Adieu, adieu,
Dis adieu à ta vie de jouvencelle.
Voici l’Amour heureux venu
Te courtiser, jouvencelle –
Ces attributs qui te vont si bien
Cette résille sur ta blondeur.
Accusé d’espionnage par une belle-fille mentalement instable, profondément affecté par la schizophrénie inguerissable de sa fille Lucia qu’il ne reverra jamais après lui avoir rendu visite à la Clinique des Charmettes à Pornichet fin août 39, les quelques morceaux qu’il joue et chante au bout du soir pour un public improvisé, sont son chant du cygne parisien…
Il y a une cohérence indiéniable à citer un extrait de Musique de chambre dans un roman consacré à un hôtel…
peut-on dire que 47% des demandes de PMA proviendraient alors de pères célibataires ?
Non, en revanche 87% des couples homosessuels masculins stabilisés depuis 10 ans âgés de moins de 40 ans souhaiteraient élever harmonieusement un ou deux enfants issus de GPA, mais cette revendication n’est pas encore assez portée (sic) par la NUPES à l’Assemblée nationale. Le désir de paternité parcourt portant tous ces gens-là, au même titre que les couples hétérosessuels infertiles, mais il existerait encore trop de réticences idéologiques à l’heure du réchauffement climatique et surtout des millions de demandes d’adoption d’orphelins nécessiteux vers la France, non encore assouvies de par le monde.
Comment gérer les priorités ? C’est le principal défi politique qui nous attend.
Pour le moment…, on en débat aux DOSSIERS DE L’ECRAN du blog de la RDL.
On trouvera des passages explicites de cet épisode douloureux du rapport de Joyce à sa fille Lucia dans le roman Jerusalem de Moore traduit par Claro. Il y a construit des échafaudages plutôt audacieux à ce sujet, comme vous le savez sans doute – Bàv, rb
Elle est très belle cette photo, toute en spontanéité, Jazzi
ha trés bien baroz..on dirait un ange de léonard hégaré dans la chapelle sistine montrant au plafond tous les toudbals..
Il y a une cohérence indiéniable à citer un extrait de Musique de chambre dans un roman consacré à un hôtel…
mouais..c’est pas haussi saisissant et pédagogique que baroz qu’il dirait dsk en handceuf dans le dos
Je n’ai pas (encore) lu ce grand livre, 3J, mais j’ai jeté un oeil aux critiques. eckett porte effectivement une responsabilité certaine dans l’accentuation de la maladie de Lucia, les appels du pied de celle-ci étant restés lettre morte. Cela dit, il lui fallait déjà se fader le secrétariat du Père, alors se coller la Fille fragile en sus, quels que soient les mérites respectifs de chacun, au moment où il cherchait une voie pour exprimer son génie propre, c’était mission impossible pour le grand Sam avait songé à émigrer au Cap où l’université lui proposait un poste…
A propos de Northampton, je ne sais pas si Moore l’évoque dans son roman fleuve, mais voilà des années que cette bourgade (town) demande qu’on lui confère le status symbolique de ‘city’, sans succès. Quand Bangor, en Ulster, rien qu’un gros village, vient de l’obtenir…
A régler à coups de Doc Martens?
BàV
Beckett…(un coup du fantôme?)
Voir, éventuellement, Lucia Joyce: To Dance in the Wake de Carol Loeb Shloss.
In the Wake of Finnegans Work in Progress…Trop ‘woke’ Lucia, malgré son léger strabisme, tandis que Daddy Jim devenait chaque jour un peu plus aveugle?
Demain 2 août, Michel Berger aura quitté ce monde depuis 30 ans déjà. La veille sur la plage, une voyante avait dit à France Gall qu’elle ressentait « l’Eternité » toute proche. Il ne faut pas consulter de voyantes, cela attire le malheur.
Le niveau monte, il faut s’apprêter à quitter la plage. Allez, Irma la malvoyante, remballe tes tarots et tes boules de cristal qui foutent les boules à Christelle. A la vitesse d’un cheval au galop qu’ils disent dans le flyer…
Renato
Emma a trouvé fort belle la métaphore de la baleine qui plonge avec tous les harpons.
Merci à vous,
Vient de fermer.
Bis repetitat.
Me fait penser à Arnaud d’A.
@ rbl -> moore le revendique indirectement, tant il charcute en long large travers et 3D le destin de cette city, ce qui serait d’autant plus justice que Southampton, sa jumelle, n’eut jamais vocation à être reliée à la cité céleste, quant à elle et ce me semble… Mais j’ai renoncé depuis longtemps, pmp, à comprendre les « illogiques » de la britannie. Nous sommes culturellement plutôt éloignés l’un de l’autre, robert à ce sujet, mais l’échange courtois est toujours de mise pour le moment, pourvu qu’il durât… La précarité en serait plutôt la règle, icite. M’enfin. Bàv.
Les doc Martens, pour danser sur le plancher des vaches, plutôt.
Moi non plus, je n’ai pas encore lu « Jérusalem ». J’en ai déjà eu l’envie, mais pas l’occasion. Je lis sur un site de livres le résumé suivant, qui fera bondir notre chère Sasseur jusqu’au plafond :
« Roman de la démesure et du cruellement humain, Jérusalem est une expérience chamanique au coeur de nos mémoires et de nos aspirations. Entre la gloire et la boue coule une voix protéiforme, celle du barde Moore, au plus haut de son art. »
Oui, une « expérience chamanique ». Avais-je pas raison de dire l’importance de cette recherche et du flaire de Sylvie Germain, notre chamane favorite à nous lecteurs ?
Les filles fragiles.
Comme elles ont bon dos.
Ou la couenne épaisse.
Les Camille Claudel et consoeurs.
Pas de bol, Damien, j’ai ce livre de Moore, » Jerusalem « , traduit par Claro, ed. Inculte, 2017 pour la trad française. Fantastique roman des boroughs. Une peu de sorcellerie, mais comme sur le quai 9 3/4…
Ne vous trompez pas de quai, Damien.
La colère n’est toujours pas retombée, notez bien. Celle du client abusé par une pub honteusement mensongère.
J’ai lu plus avant un articulet sur le voyage de Sylvie en Sibérie. Aux frais de la princesse, franco-russe.
Serieux il y a de quoi se tordre.
Pour compenser, j’ai rouvert un récit de Sylvain, le bien nommé, Tesson.
Je n’ai pas son » dans les forêts de Siberie, sous la main, resté dans la bibli vaisseau mère, mais dans son recueil » l’énergie vagabonde » ( Bouquins, 2020, 32 euros) petit traité sur l’immensité du monde, on trouve de bien belles pages sur ses forêts du recours.
Avec une scène hilarante chez un chamane bouriate au fin fond d’une cité hlm soviétique, et au milieu d’un fatras d’objets hétéroclites. Le chamane à force d’aspersion de vodka, lui donne l’absolution, avec sa bénédiction de partir sans crainte. Las le même jour, S. Tesson se fait agresser physiquement par 3 hooligans du bled.
Et surtout Damien, Tesson nous écrit du bout du monde , vraiment, – pas du kitch pour salonnards qui planent à Cerisy , mais des belles lettres de Siberie, comme Chris Marker, you know.
Et la force d’évocation de son expérience d’homme des bois, vaut tous les ricanements du monde devant les débilités de Sylvie.
@lmd, je donne à voir, je rapporte des faits, je conte l’histoire des bâtiments, des jardins, des cimetières de Paris… mais j’évite tous jugements.
Sur les films, je donne mon avis, qui vaut ce qu’il vaut et n’engage que moi.
Quant à ma « littérature », c’est une autre histoire.
@JJJ, il faudrait savoir, vous me reprochiez ma photo précédente, datant de quelques années et ne correspondant pas à mon âge. Et vous n’étiez pas le seul. Hector la trouvait flou. Celle-ci, où je ne m’aime pas beaucoup, témoigne de mes 70 printemps…
Et l’autre pietineur , à qui passe par là,
» qui n’en veut de la photo, qui n’en veut », comme une vieille danseuse de revue dont le maquillage a coulé et qui cherche encore 2 min de célébrité. Pathétique.
« De Marie B, de Marie S, / De ces deux maux quel est le pire? /…
Et la force d’évocation de son expérience d’homme des bois
Je me marre.
Au Tibet avec la panthère des neiges. L’homme des neiges.
Décidément, cela en dit long. Privilégier Sylvain Tesson à Sylvie Sylvia Germain c’est comme avoir encense Sartre au détriment de Camus.
Laissons le temps trancher.
Pas de pire.
Les deux mamelles.
C pas de la colère. Ce dont des crises de rage.
Trouverai comment le formuler rapidement.
Kesce un an pour une découverte de 4400 ans ?
F. Dessert a bossé 14 ans sur son sujet.
Et avec une réussite certaine.
@ si vous voulez que je vous dise être encore un beau jeune homme, jzmn, alors ouij vous le dis, vous êtes moins flou… plus proche de votre avenir. Vous ne vous aimez pas ? alors, vous êtes trop bon avec hector de galard ! je s’rais chedlie b., je la changerais en quand vous aviez 4 ans et mangiez des langrottes, étiez bcp + rigolo. Et voyez, la preuve, c que la grosse lesbioche MS se gausse encore de vous, elle qu’à pas encore son blog !
@ MD moij aussi, comme marie de benoist et marc court, j’ai toujours voulu la suppression du prolétariat inhérent au capitalisme, et on finira bien pas l’obtenir, qu’elle nous a dit, marguerite à gérard. Je croise toujours en elle.
@ Damien, ne la croyez pas, elle a jamais pu entrer dans Jérusalem, s’est just’contentée de l’acheter, jadis, mais fut bin incapab’ d’en causer… Vous, vous y arriverez, le jour venu, ne tenez pas compte de son avis, en revanche, attendez la réaction de bloom, c lui l’arbitre des élégances anglaises. L’autre n’est qu’une coucheuse de keufs, je la connais trop bien,…
@ les « comptes-rendus »… jzmn !
(jean-christophe azerty…, disait CT à Paul Eden Rock, qui dut faire l’amende honorable de son incompétence native au clavier…)
Bàv, nb/ le chat mimi-souris s’est encore battu avec un autre, et on ne peut pas le toucher, il nous grifferait… Il se repose, en souffrant de plaies internes… (c l’avis des bêtes,colette).
Chris Marker, lettre de Sibérie.
https://www.dvdclassik.com/critique/lettre-de-siberie-marker
@ De Marie B, de Marie S, / De ces deux maux quel est le pire ?
Y’a pas photo… MC-PR, et vous auriez dû choisir depuis longtemps entre la sage et la folle… En seriez pas là, c pitoyable pour un gars de votre condition, on a toujours un peu mal, nous autres téléspectateurs à observer où votre érudition vous amène…, presqu’aussi bas, parfois, que celle de notre grand diariste ritalien, c’est dommage de s’ainsi gâcher de tels talents…, je trouve, pmp et rptv. Bàv,
Vous devriez accepter la proposition qui vous est faite, par celui maintenant dévolu au droits d’accès aux toilettes de ce blog, Damien.
Un recraché en 10 lignes d’un pavé de 1265 pages. C’est » économique « .
« Si berie m’était contée ».
Sylvie en a rapporté 3 petits cailloux, et pas dans la godasse.
Pas bourrée, mais tout comme. Hallucinée.
https://bibliobs.nouvelobs.com/romans/20110513.OBS3066/siberie-m-etait-contee.html
marylis de Kerangal avait pris la tangente également dans le transsibérin, mais son échappée ne dura pas bien longtemps. Sur la Sibérie, ON se contenter de relire avec profit le souvenir de la maison des morts, c’était pas l’enfer qu’on a voulu y voir pour les détenus « politiques », hein Dosto ?
Et en charentaise, c’est aussi culcul:
https://www.charentelibre.fr/culture-et-loisirs/litterature/a-bord-du-transsiberien-6513043.php
C’est pas la haine de la culture, bien au contraire, pour ceux qui en ont, c’est une aversion définitive pour le culcul, dont Sylvie est une grande prêtresse.
@ paul edel AOÛT 1, 2022 À 12:36
Rien à voir entre Rimbaud et Lowry.. Bien sûr comparer n importe qui à n importe quel texte quelle calamité..m…
____
P’tain, Margotte, t’as pas intérêt à vexer l’edelle sur son blog, c que l’deviendrait vite méchant à bouffer du foin, l’animal… hein !
Je me souviens très bien de ce voyage commenté ici même avec Passou qui n’,en était pas et une qui a convolé dès la gare de l’,est avec le seul congolais du périple.
Mama Mia.
Hallucinée et bourrée c fondamentalement différent à la base, même si le résultat est le même.
celzéceux qui ont de la culculture n’ont pas la haine, non, ils.elles ont juste une bonne copine qui s’appelle sylvie ou un bon copain qui s’appelle sylvain. Et ça nous en tartine un max avec des corrélats toujours dans le sujet, tuzoucré, toué ?… hein !
***Etalii est trop écœurée, plus personne l’écoute, elle a fini par fermer son moucharabieh ! Bionsoir,
L’étonnement est venu du fait qu’il y avait une croyance que ce serait des couples de lesbiennes qui s’inscriraient pour la PMA.
Or, non, ce sont des mères célibataires pour 53 %.
C’est reparti pour un grand tour sauf si Passou nous en délivre. Comme vous le savez je tentais de pénétrer dans la profondeurs’un essai sur la littérature et m’interrogeai cet après-midi sur ce qui séparait ce qui peut-être considéré comme littérature ou pas. Je suis assez d’accord avec l’accord passé par les formalistes.
Vous confondez MS avec Gombrowicz que vous n’aimez pas non plus. Culcul, n’est-ce pas.
Un dernier pour la route.
https://blog.cavesa.ch/lac-baikal-du-cote-de-chez-sylvain-tesson/
Désolé, JJJ, mais je ne trouve pas que Renato soit « bas », quelles que soient les âneries que vous lui décochez régulierement!Et pour votre instruction, ces deux vers étaient empruntés à Georges Fourest, ou ils s’appliquaient respectivement à André Maurois et Francois Mauriac! C’est certes plus que Benoit et Sasseur, j’en conviens. Je vous laisse libre d’y voir un compliment, ou, qui sait, une vacherie,sait-on jamais…
Bien à vous. MC
. “On a toujours eu tendance à penser qu’on était les seuls sur cette Terre. Les baleines existent pour nous rappeler qu’il y a d’autres sociétés intelligentes qui ont leur propre moyen de communication et qui connaissent peut-être mieux cette planète que nous”, précise le réalisateur Jean-Albert Lièvre.
France info. Culture
5h59 mardi 2 août 2022
Épisode de canicule renouvelé depuis hier.
Les situations de crise.
Comment elles se déclenchent, le déroulement, la résolution.
Placide et débonnaire, taureau de nature et foncièrement ancrée dans la terre mère.
Les deux dernières en date ont eu lieu le 15 juillet et deux jours avant l’écrit du bac.
Déclenchement :
Déclenchement :
Mardi 14 juin : de 10h à 12h.
Le père de mon élève assiste au dernier cours pour l’écrit donné à mon élève. En deux heures, il sape les six mois de cours donnés précédemment et propose, deux jours avant le bac, de changer totalement la méthodologie pour construire le plan. Je ne dis rien, fulmine intérieurement.
Vendredi 15 juillet 2022
10h16
La curatrice m’envoie un mail comminatoire me demandant de sortir ma mère 4 jours par mois et à la journée de la ramener en fin de matinée à l’Ehpad pour cause de canicule.
Je suis enragée, fulmine.
Déroulement :
15 juin 2022
Je reste éminemment calme, posée et persiste dans ce que j’ai construit avec l’élève est la méthode appropriée. Je réplique pas à pas au père et nous faisons texte sur texte avec révisions de chaque notion importante dans poésie, roman, théâtre, littérature d’idées. Je ne lâche pas un centimètre. Reste calme et posée.
Après, je serai furieuse.
Le 16 juillet 2022.
J’appelle le docteur de l’Ehpad un long moment qui me parle du besoin de stabilité de ma mère car la maladie qui l’affecte, oui, la rend dépressive et pour la chaleur il comprend que je l’emmène dans des lieux climatisés. Il regrette vivement d’avoir parlé à la curatrice puis à moi et me dit qu’il aurait préféré avoir une conversation à trois. Je suis dans un état d’agitation extrême. Mon frigo.est plein, la semaine organisée.
« On a toujours eu tendance à penser qu’on était les seuls sur cette Terre. »
Ce « On » ne vaut que pour lui, que les animaux communiquent est un fait connu depuis longtemps déjà.
Résolution :
Bac : La veille du bac, j’envoie un mail assez long à mon élève pour la rassurer et l’encourager.
Elle passera l’épreuve courageusement, en donnant le meilleur d’elle-même et surtout, en composant les 4 heures allouées, sans sortir avant comme nombre de candidats.
Le père la ramènera, penaud, et pire, je n’ose écrire comment il est revenu.
Je continuerai à préparer sa fille solidement et activement, un mois durant, deux fois deux heures par semaine pour l’oral. Il me paiera les deux derniers cours non payés. Sa fille passera l’oral dans un état de béatitude. Lui et sa femme me couvriront ensuite de cadeaux. Je n’en demandais pas tant. J’aurais préféré qu’ils me fassent confiance et n’assistent pas à mes cours.
Vacances : j’ai pris ma maman la semaine entière prévue, du dimanche matin au dimanche soir. Seule, mon vieil oncle par alliance ayant eu des pbs de santé et des examens à faire.
La semaine s’est magnifiquement déroulée. Cinéma, petits repas, puzzle de 1500 pièces, restaurant vietnamien. Son seul refus a été piscine, aquagym et baignade au lac. Elle n’a pas voulu. En la ramenant, elle a accepté de prendre une douche tout de suite ds sa salle de bains pratique de son lieu de vie, seule et autonome.
Vacances : à l’Ehpad, le dimanche 17 juillet au matin, les médicaments ne sont pas prêts.
La dame de compagnie m’a demandé d’accepter les quatre jours et de ne pas me mettre en porte à faux.
La jeune secrétaire téléphone à une des responsables -nous nous aimons bien- et me dit « Michèle vous risquez que l’on ne vous autorise plus à sortir votre mère faites attention ».
J’explique le coup du frigo.plein et d’être prévenue 48 heures avant alors que tout est organisé.
J’emmène quand même ma maman et le jeudi 21 au matin, j’envoie quatre photos de ma maman, mangeant une pastèque, cuisinant un gâteau, faisant son puzzle et disant que tout se passe bien et que je la garde jusqu’au dimanche suivant.
Résolution :
Mon élève a géré selon ses mots « du mieux que j’ai pu, et je n’ai pas été traumatisée ».
Elle m’a écrit un SMS « je vous remercie de veaux encouragements ».
J’ai frémi. J’ai tremble. J’ai esquissé un pauvre sourire.
Ma maman.
On était en retard pour le repas du soir à 10 mn près. La personne que j’avais informée le dimanche matin 24 juillet avait oublié de transmettre le message et pas de plateau préparé pour elle. Qu’un lui a improvisé un petit plateau pique-nique. Pain de mie. Fromage. Fruits et 2 crèmes dont une au chocolat. Au bout de 2 ans et demi, personne ne sait que ma maman n’aime pas le chocolat.
J’ai attendu qu’elle prenne sa douche, on a réorganisé son linge propre dans son armoire, je l’ai laissée grignoter et suis repartie tard. J’ai roulé de nuit.
j’ai tremblé. J’ai été estomaquée.
Qu’un de sa famille, le père ou la mère l’a corrigée.
Vos encouragements.
Le repas du soir est à 18h30.
Le pangolin mc aura beau s’exciter sur le prénom Marie, son imbécilité notoire et son niveau intellectuel qui peine à dépasser celui des lecteurs de voici-gala, ne sont plus à démontrer.
Comme disait Dosto aux hommes des forêts, la beauté sauvera le monde.
Re:
http://www.papillonsdemots.fr/2016/08/15/petit-traite-sur-limmensite-du-monde/
« je vous remercie de veaux encouragements ».
C’est vache
Marianne en défenseur du nucléaire contre le lobbying écologiste. Je me demande s’ ils ont été payé pour ça. Auprès de ma tour, qu’il fait bon mourir.
Dites donc, Rose, elle a la frite votre maman.
Prière d’envoyer ce cher monsieur à Tricastin qui si l’étiage continue de baisser ne sera bientôt plus en mesure d’être refroidie et donc de fonctionner. 40 morts pour Tchernobyl c’est effectivement peu et l’on peut compter sur l’honnêteté de la Russie pour comptabiliser les malformations, les maladies, les cancers. Quant au Japon remercions à l’avance la fée nucléaire pour les millions de tonnes d’eaux lourdes qui vont enrichir bientôt le Pacifique. Il est certain que les blés mélangés dans les silos nous ont donné du bon pain, il n’a pas été déclaré impropre, cool! Les peuples du grand nord bouffent du renne contaminé, pas grave, ça ne se voit pas, ça ne nous concerne pas. Etc etc
elle a la frite votre maman.
À quoi ça sert la frite si t’as pas la moule ?
Je pose la question.
Reste la mayo, la moutarde. Même schéma pour les boules et le cochonnet . En littérature le sens échappe quelquefois à l’auteur, le lecteur en libre interprète.
Je retiens du film Snowden que j’ai visionné hier qu’Obama rétrograde cet homme au rang de Hacker. Si la présentation donnée dans le film est coreecte, il me semble qu’il est tout de même un peu plus,qu’un hacker bien que sa compétence le rende apte à ce piratage. Quel dommage qu’il ait été contraint par le leadership américain sur les diplomaties européennes de se s’exhiler en Russie.
Contraint…á
Gesualdo de Jean-Marc Turine, Benoît Jacob, 2003
Préfacé par Sylvie Germain.
C’est assez drôle de savoir qu’elle a passé don doctorat d’ État avec Daniel Charles.
Entre 1970 et 1975 nous avons probablement assisté aux mêmes cours à la Sorbonne de ce même Daniel Charles.
Nous avions effectivement travaillé sur Gesualdo et à l’époque j’avais acheté une édition phonographique autrichienne recommandée par ce professeur. Je l’ai toujours dans ma discothèque d’ailleurs.
son doctorat..
Il s’agit d’un enregistrement 33 tours accompagné par des feuillets imprimés des textes et des portées musicales de Gesualdo. Disque en trois volets de dépliant de couleur grise. Très élégante édition qu’ un disquaire en bas de boulevard St. Michel avait fait venir spécialement sur les indications de Daniel Charles.
Si Sylvie Germain est peut être en train de lire ces lignes, contact en message privé par Passou.
merci d’avance.
Giovanna Garzoni :
🌲🌳🌴 je m’essaie à planter des arbres pour l’ombre.
CE matin, j’ai pensé à vous et qu’il vous fallait des champignons guérisseurs:
préparez-vous pour les incroyables et terribles pouvoirs des quatre champignons principaux :
Reishi : Bon contre le stresse et aide à dormir, reishi aide votre système endocrinien et équilibre les hormones. C’est un antihistaminique, apparemment. J’ai essayé de prendre une boisson au reishi avant d’interagir avec le chat de mon copain tout en y étant très allergique. J’ai dormi profondément malgré tout ! A boire avant d’aller se coucher.
Chaga : Un champi beauté pour les cheveux brillants et éclatants. « Si reishi est la reine des champignons, » écrit Isokauppila, « chaga est le roi, l’implacable et respecté leader du monde des champignons. » C’est rempli d’antioxydants et à une haute capacité d’absorption des radicaux oxygénés, ce qui veut juste dire qu’ils vous rendent plus beau. A prendre le matin et en fin d’après-midi.
Cordyceps : Pour l’endurance sportive et sexuelle ! Booste la production d’ATP dans le corps, ce qui donne encore plus d’énergie. A prendre le matin et en fin d’après-midi.
Crinière de lion: Pour l’endurance émotionnelle et intellectuelle. Ça booste votre système nerveux je ne sais pas comment, à ce moment du livre, l’homme à coté de moi a commencé à
https://www.gqmagazine.fr/lifestyle/news/articles/ces-champignons-magiques-ne-vont-pas-vous-faire-planer-mais-vous-faire-du-bien/62693
Jzzi, c’est pour vous! 🙂
PARIS AU MOIS D’AOÛT
» Paris se vide de ses habitants. Plus de boulangers, plus de blanchisseuses. On lave son linge sale dans la Seine. Un soleil, que personne n’a vu, a roussi tous les marronniers. Abandonnés du président de la République, du boucher et du percepteur, des vieux sans vin, des chiens sans femmes, des veufs sans laisse, zigzaguent le long des avenues vides à la recherche d’un aliment. L’homme a besoin d’un os à ronger, d’un pain d’oiseau, d’un os de seiche. D’un restant de saucisse de Toulouse, d’une main qui le guide, d’un cerveau qui le gouverne, de quelqu’un qui lui prenne ses sous. Mais sa femme est dans le Lot, son percepteur à Nice, son boulanger à Saint-Tropez. Son chef d’Etat serre des mains cambodgiennes parmi des ovations mongoles. Résumons-nous, l’homme du mois d’août est orphelin dans la capitale de la France. C’est un conscrit sans adjudant, un chien sans queue, un cheval sans ailes, qui erre dans sa propre ville comme dans un repas sans vin, et dans son âme comme dans une vigne sans soleil. »
Alexandre Vialatte,
Antiquité du grand chosier, p.130.
@ je vous remercie de veaux encouragements
@ C’est vache
@ et je dirai même + : c’est… cochons et couvées (elle a de l’humour cette petite jeune gabie !)
@ Marc, laissez RM répondre de ses bassesses, et si vous ne trouvez pas qu’il se laisse aller parfois à sa vraie nature, c que vous n’avez pas compris grand chose de ses auto-vernissages récurrents. Par ailleurs, svp, ne confondez pas les marie mouche toi là avec les autres !
Et surtout, ne vous souciez pas de mon instruction, je n’en suis plus à passer le bac, ni vous, à m’en instruire. Je ne pense pas que vous ayez jamais eu le « sens de l’éducation », balancer de l’érudition à tout va à l’heure de wiki et autres béquilles, ne m’a jamais empêché de sentir le groin du goret qui demeure en chacun de nous. Enfin, pmp, je ne vous ai jamais traité d’imbécile, d’autant que je me garderai bien de vous en vouloir guérir, si d’aventure vous en aviez attrapé la maladie, comme d’aucunes le suggèrent à satiété.
@ je suis très ému par le journal ehpadique de michèle grangeon, porté en quasi temps réel à la hauteur d’un mythe bovarien, journal tourmenté qui s’essaie admirablement à mettre la bonne distance nécessaire à la douleur et à l’infinie tristesse. Suis toujours très ému, j’rpmv. L’entreprise du temps bougé en léger différé me parait bien plus subtile et originale que celle, naguère, du « temps immobile » du fils de François Mauriac.
2 aout 22_10.15, encore une journée supplémentaire de vie formidable pour la majorité de l’humanité. Nous allons devoir la vivre ensemble, même si nous ne le savons pas.
(détail) Et pendant ce temps, on liquide de prétendus terroristes avec des drones, au mépris des règles et des conventions internationales signées par des gens civilisés.
Bàv
@Si Sylvie Germain est peut être en train de lire.
C’est une prière chamanique ta mère, ça.
on liquide de prétendus terroristes avec des drones
« sous mes ordres » qui a dit djo..le prochain prez dira « j’ai buté » vu qu’il aura un vraie terminal buton dans la killing room..comme en izrael
auto-vernissages récurrents
pas mal..avec 1 seul verre de martini: le sien
C’est une prière chamanique ta mère, ça
térezoune rêve de sa killingroum pour phumer meussieu courte..enfin pas toudsuite..faut quil souffre
mais je ne trouve pas que Renato soit « bas »
mais si..rénateau ya quelques temps avait moqué la peinture hollandaise et ses pseudo sujet de parlement des choses..j’embélli et hintellectualise tant c’estait d’un petit nationalism italien..aujourdhui le squadriss fait un peut de wookisme phemelle pour shumaniser la hache fasciée..nest ce point « bas » msieu courte
Mimi Pinson dit: à
Jzzi, c’est pour vous! 🙂
baroz te pardonne tout..t’es belle..hintelligente..trés fréquentabe
Tss tss, Et Al, voyez plutôt :
Qu’est-ce que l’herbe chamanique, cette nouvelle drogue qui a servi à empoisonner des cigarettes ?
🌲🌳🌴 je m’essaie à planter des arbres pour l’ombre
dirfilou va tachter tes chenes centnaire avec ses dirty virtual money qu’y valent pus un clou rouillé dans la vraie vie qu’un rien qu’une sale putain à buter au drone
la vraie vie qu’est une sale putain béré..qu’est ce tu vas chercher
cette nouvelle drogue qui a servi à empoisonner des cigarettes ?
pmp, je n’arriverai pas à regretter cet homme-là, je préfère d’ailleurs ne pas aborder son oeuvre littéraire, très insuffisante à mes yeux, eu égard aux standards d’excellence exigés par la rdl
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ayman_al-Zawahiri
Bàv,
allez fumer votre saumon:
https://www.youtube.com/watch?v=2pV-2re6S2g
c’est assez de smoker de moi;
les smocks, c’est ça:
http://www.petitcitron.com/blog/tout-sur-les-smocks/
3j, s’il y a un champion en bassesses ici, c’est vous ; mais en bon gauchiste visqueux vous avez du mal à vous en apercevoir… toutefois pas plus que l’autre chauvin que vous admirez.
Et puisqu’il semble que vous avez du mal à comprendre je répète : « Puisque nous vivons sur terre entre humains, il faudra se faire une raison : chaque jour, des pseudos de l’Internet avec l’équipement intellectuel d’un concombre de mer se croient capables d’évaluer ce que nous écrivons ; manque de pot, ils mêlent ce que nous avons écrit et les réactions produites par ce que nous avons écrit ».
Cela dit, puisque je ne parle pas avec les fascistes, c’est la dernière fois que je réponds à l’un de vos jugements à deux balles.
Cher maestro renati, il ne faut jamais dire : « fontaine (ritalienne), je ne boirai pas de ton eau (fasciée) ». L’histoire de votre pays a suffisamment montré à quoi nous en tenir, et vous aurez du mal à rester coi…
Bàv, et à vos collègues marc & paul, toujours un peu courts de la politesse, eux aussi.
Cher à James Bond, ce veston noir à revers de satin brillant, dans sa coupe classique, s’est imposé dans les soirées chic. L’origine du nom «smoking» remonte aux années 1860 en Angleterre.
A l’époque, le futur Edouard VII, alors prince de Galles, a commandé aux tailleurs de Henry Poole & Co une veste confortable pour s’asseoir aux tables de jeu. L’influence royale aidant, ce vêtement a commencé à conquérir les hommes de la haute société, qui le portaient dans les fumoirs («To smoke» signifiant fumer en anglais).
Une habitude ensuite importée à New York en 1886 par James Potter, un homme d’affaires, qui a porté cette tenue dans son club, le Tuxedo Park Country. D’où l’appellation «smoking», venue d’Angleterre, et de «tuxedo» aux Etats-Unis.
Cette veste s’est démocratisée après la Seconde Guerre mondiale, remplaçant le costume queue-de-pie.
Gesualdo ;« Un disquaire en bas du Boulevard St Michel ». Marc Vignal aurait été capable de commander ça , mais l’emplacement ne correspond pas. Curieux que notre époque n’ait pas tue ce compositeur génial pour cause de Feminicide….
« Puisque nous vivons sur terre entre humains, il faudra se faire une raison : chaque jour, des pseudos de l’Internet avec l’équipement intellectuel d’un concombre de mer se croient capables d’évaluer ce que nous écrivons ; manque de pot, ils mêlent ce que nous avons écrit et les réactions produites par ce que nous avons écrit »
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Bis repetita auto admirative, mais hélas toujours avec la même bévue stylistique qui heurte notre chauvinisme : mêler et mélanger n’ont pas le même sens… Je vous laisse à méditer sur ce jugement à deux francs six sous (Hélène Cixous…, si vous préférez ne pas écorcher les auteures célèbres, d’autant qu’edel (JPA) risquerait un nouveau KK nervoso, en serions navrés sur cette chaine concurrentielle, faut pas rigoler avexa).
https://www.youtube.com/watch?v=RADhVtNK9DU
Bàv
L’idiotie de l’homme nouveau, rêve fascio-communistes, ne pouvait que ressortir de la boîte à sardine vide qui sert de tête aux archaïques qui squattent depuis longtemps déjà le Kremlin.
Humphrey Bogart n’était-il pas financé par l’industrie cigarettière américaine, le boug ?
Mimi, Paris au mois d’août est un moment privilégié de la capitale, vidée de ses habitants mais livrée cependant aux provinciaux et aux étrangers (comme D., j’ai noté beaucoup d’Espagnols à Paris en ce moment). idéal pour la balade, à condition d’éviter les zones touristiques. Mais le moment magique fut l’époque du premier confinement et déconfinement, où le léZard pouvait errer à loisir dans la ville déserte !
https://www.lelezarddeparis.fr/promenades-deconfinees
encore un peu baroz et tu tmettrais presque à réver d’une ballade haprés sarmat dans la ville lumière..sur la route de mcarti m’avait fait telmnt ultra chmir..himagine la baroz!..comme certains réveur fin de siècle..19eme!..himaginait paris lontemps haprés une invasion chinoise..enfin mongol..raciss un peu..mais telement que ferdine a du les lire
L’idiotie de l’homme nouveau
tu mélanges trop havec tes himpression de sale bonhomme rénateau..essaie une sortie de corps..c’est ldernier espoir pour pas mourrir con qui persévère ses propos dans son être comme un vieux tonneau
Le temps idéal des amours toujours recommencées !
https://www.youtube.com/watch?v=5mQVFAEGbCM
Curieux que notre époque n’ait pas tue ce compositeur génial pour cause de Feminicide….
notre époque elle est telment pourrite meussieu courte que je crains qu’un matin te rasant et te jugeant si coupabe que tu n’en trembles telment qu’un geste malheureux..j’espère que t’utilises un rasoir électrique comme térezoune meussieu courte..il faut savoir se survivre pour retrouver la force de voir les autres pire..henfin pour la journée qui vient
Sans oublier René Fallet !
https://www.amazon.fr/Paris-mois-daoût-René-Fallet/dp/2070365964#:~:text=Il%20a%20dix-neuf%20ans%20quand%20il%20publie%2C%20en,d%27août.%20Ses%20romans%20ont%20inspiré%20de%20nombreux%20films.
faut oublier rien du superflu et de l’inutile..tiens baroz..toi qu’est un ace..d’où vient cette rubrique d’un grand organe de presse « vous avez tout, voici le reste »
Là, peut être, le boug ?
https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/l-os-a-moelle
Sur la musique de Gesualdo il a été longtemps a fait l’erreur de l’interpréter en termes autobiographiques — limités à certains épisodes et en particulier à la trahison et au meurtre de sa première femme —. Il était certainement un esprit introverti, tourmenté et névrosé, car la vie ne lui donnait pas beaucoup de joie et le frappait de souffrances physiques et psychiques, de déceptions et de pertes douloureuses. Il ne faut toutefois pas se leurrer et surtout pas oublier qu’il était le deuxième fils et avait reçu une éducation religieuse et musicale stricte. De plus, il était le petit-fils de deux cardinaux, dont l’un deviendra plus tard un saint, et son père, homme de lettres discret et mélomane, était très proche des Jésuites et mécène des plus célèbres musiciens napolitains de l’époque. Dans la dernière période de sa vie, Gesualdo a abandonné la musique profane (madrigal) pour se consacrer entièrement à la musique sacrée. En dehors de tout motif d’édification pieuse (et d’expiation personnelle), il y a dans le passage à la composition religieuse une intention esthétique précise, … le plus souvent justifiés par les concepts récurrents de pardon, d’espoir, d’ardeur, de triomphe. On retrouve dans son œuvre une attitude clairement expressionniste qui éclaire une autre raison de ses choix antilittéraires : non pas servante, mais compagne de la prière, la musique a pour tâche de dire ce qui est inexprimable par les mots, d’exprimer avec des bouleversements chromatiques les torsions de l’âme dans la douleur, avec des sauts mélodiques violents et insolites le défi du sarcasme et de la rébellion, avec les contrepoints écrasants de la coloration diatonique la ferveur désespérée de l’espoir, et peut-être du pardon.
Janssen J-J, je sens chez vous une particulière jouissance à donner mon vrai nom-que vous n’écorchez pas au fil des commentaires,lmerci! ce qui est le plus drôle c’est que dans les commentaires de la RDL , on sent les passions démuselées, souvent une imagination et même une discipline dans des petites crises haineuses en deux lignes , des styles factices confus, avec bien sur l’abri de ce mince rideau de clandestinité des pseudos.. c’est si confortable.. C’est d’autant plus drôle que Pierre Assouline a bien mis en question depuis quelques jours la sauvagerie que soulève la Culture avec son titre: « Sylvie Germain cible de la haine de la culture.. » Bien vu Pierre..
Quand Clopine parlait du Journal de Stendhal sur son blog, tout en s’adressant à Paul Edel.
C’était bien intéressant.
Et JC y allait même de son commentaire…
La RDL, c’était mieux avant ?
http://clopine.over-blog.com/article-paul-edel-stendhal-et-moi-73463632.html#anchorComment
Edel n’a assurément jamais lu un bouquin de S. Germain.
Passou dont le blog est fréquenté par des vieux sinistres et geignards qui ont bac+60, a assurément bien vu le truc. Mette haine dans le titre, y ‘a que ça qui les fait encore se lever, debout, pour causer d’eux, et de leur manque de reconnaissance. Hideux.
Je déjeune dans un café, ambiance jeunes actifs, et là, que vois- je ?
Un mur de bouquins ! format poche, à disposition, plein de titres oubliés.
Quelle émotion.
Vous ne voyez que de la haine là où il n’y a le plus souvent que de l’empathie, de l’ironie et du jeu avec l’amour-propre titillé des gens « comme vous » (les 3 mousquetons), certes un peu imbus mais tellement intelligents, si cultivés, et à la syntaxe française irréprochable. Et, comme par hasard, chez vous comme chez les vôtres, la « jouissance » à la provoc à deux balles ne saurait être reçue par ses cibles que sur un mode sadique. Telles sont hélas vos propres limites « littéraires », Paul Edel ou Jacques-Pierre Amette, choisissez le pseudo qui vous conviendra le mieux, avec l’espoir qu’il n’aura pas été écorché, mais sachant bien que l’un ne vaudra jamais plus cher que l’autre… ah, l’orgueil blessé, c’est cher stendhal qui en a le mieux causé… comme quoi, sa fréquentation assidue n’a pas beaucoup servi de leçon de chose.
Bàv,
L’endroit est calme et climatisé , et ma foi, dejeuner avec Suetone, il y a pire convive.
La prochaine fois que je repasse, j’inviterai L’Idiot de Dosto, qui est là aussi.
>Jazzi : La photo de la place du Tertre déserte. Extraordinaire luminosité, le blanc éclatant, le bleu doux, toute cette lumière tempérée par le gris métallique des arbres
> A vous dégouter de faire des comptes-rendus de lecture :
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2022/07/27/vivre-voix-autre-lobo-antunes/
Visiblement Janssen J-J vous devriez relire Stendhal et notamment ses « souvenirs d’égotisme » ou ses lettres à sa sœur.
Pleurez pas tous à la fois.
Moanin’ (gémir) ….un gémissement dynamique et confiant ! Art Blakey and the Jazz Messengers…
https://www.youtube.com/watch?v=Cv9NSR-2DwM
Et JC y allait même de son commentaire…
lui même dans le poste:
mais aussi j’ai été émerveillé de l’étonnement (nappé d’un féminisme charmant…) de Clopine s’étonnant de ce que chaque homme sait pour l’avoir banalement vécu : il y a des moments de
pur amour, chez les meilleurs d’entre nous, moments à savourer car ils sont rares
ha il va en rougir jusqu’aux oreilles..qui qu’est coupabe baroz?
« Sylvie Germain cible de la haine de la culture.. » Bien vu Pierre..
d’où lui viennent à polo ces deux ptis points à polo..est ce qu’il en rougit présentment baroz ?
Visiblement Janssen J-J vous devriez relire Stendhal
polo et ses hinterfaces
Rififi toujours chez le prestigieux passou. c’était mieux avant, of course dear baroz. moins de tatoués et point d’e-connes dérèglées, état de faisses comme dirait 3j qui vermote depuis l’abandon de sa diagonale. Il reste quelques bonnes nouvelles comme le diary tagesbücher de Renato, effet paramount garanti, mandez-nous sa date de parution dear Renato. Les propriétaires de grosses cylindrées écrivent des journaux stimulants, de surcroît lorsqu’ils consentent parfois une embardée fascistoïde.
Edel a des nouvelles de la famille d’Ephraïm, des cas sociaux, dont les gosses laissés à l’abandon et sans soin, vont partir fissa a la ddass du Morvan ?
Là, peut être, le boug ?
non..ça pourrait sonner absurde mais ça ne l’était pas du tout..enfin ne faisons pas de politique..c’était une rubrique de consommateur..de « goodies »..dla promotion de gadget..du rédactionnel..du -sponsorisé- baroz
Le valet de ferme veut peut-être vous causer du rebelle des forets de Jünger, Jünger dont la schizophrénie idéologique n’est jamais aussi éclatante et inhumaine , comme seul Heidegger sait le faire, que dans son » recours aux forêts ». On sait comment tout ça a fini.
Les propriétaires de grosses cylindrées écrivent des journaux stimulants, de surcroît lorsqu’ils consentent parfois une embardée fascistoïde
ha que non..il prend « les transports » le suisse te fait chocolat dirfiloo..c’est la chaleur qui te fait croire que c’est du motul à bugatti
Donatello’s Queer Glamour
https://hyperallergic.com/745619/donatellos-queer-glamour/
(Finalement regardé au delà des limites des habitudes).
« une rubrique de consommateur..de « goodies »..dla promotion de gadget..du rédactionnel..du -sponsorisé- baroz »
traduction !!!!!!
« regardé au delà des limites des habitudes »
Avec une loupe, tant les kiki de Donatello sont riquiqui, renato !
traduction !!!!!!
réformes toi baroz: t’arrives tu de lire la presse ..sais tu comment elle s’est phinancée..ses marges arrières?..sais tu comment aujourdhui elle les a transposée dans ses publications sur le web..oui tu le sais..mais comme meussieu courte tu préfères parler l’ancien français..pour ne pas havoir a faire deffort pour mépriser
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