de Pierre Assouline

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La République des livres
Telle Cassandre à l’instant de sa mort

Telle Cassandre à l’instant de sa mort

L’instant de ma mort, c’était le titre d’un récit bref et coupant, d’une exceptionnelle puissance d’évocation, dans lequel Maurice Blanchot restituait les minutes qui précédèrent le moment où un peloton de soldats allemands faillit l’exécuter pendant la dernière guerre. Depuis sa parution en 1994, « l’instant de ma mort » est devenu une expression. Une consécration sans risque de banalisation car cela désigne un moment des plus rares, et pour cause. Ce parti pris fut également celui de la romancière Christa Wolf (1929-2011) lorsque, réinterprétant les mythes antiques, rajoutant son palimpseste sur les couches accumulées de Homère, Eschyle, Euripide, Lycophron de Chalcis, Schiller et d’autres encore, elle s’empara du mythe de Cassandre. Les Prémisses et le Récit (Kassandra. Erzählung, traduit de l’allemand par Alain Lance et Renate Lance-Otterbein, Alinéa, 1985 ; rééd. Stock 1994, 2003) avant d’en faire autant avec Médée.

Il est si bien passé dans le langage courant que Cassandre a facilement glissé du nom propre au nom commun. Mais, on s’en doute, Christa Wolf en a fait bien plus qu’une pessimiste qui annonce de mauvaises nouvelles. Son héroïne a bien le don d’entrevoir l’avenir mais elle but sur l’impossibilité de prévoir l’instant de sa mort. Ce n’est pas seulement quelqu’un qui prétend dire la vérité quitte à être la seule à la dire, mais quelqu’un qui dit non. Pas spécialement une femme mais un individu.

Si l’on revient aujourd’hui au récit de la romancière et essayiste allemande (je serais tenté d’écrire « est-allemande » tant elle demeurait imprégnée par son vécu de la RDA, et attachée à ce passé-là, état qu’elle aurait été la dernière à renier), c’est que sa Cassandre se donne cette semaine au théâtre de l’Athénée-Louis Jouvet  (dépêchez-vous, c’est jusqu’au 22 octobre seulement) avec Fanny Ardant dans le rôle-titre, dans une mise en scène Hervé Loichemol et une musique de Michael Jarrell, s’appropriant l’œuvre après le Berlioz des Troyens et Xénakis, notamment.Aias_Kassandra_Louvre_G458

Sur scène, Cassandre est saisie à Mycènes, au lendamin de la guerre de Troie, une heure avant son trépas. Elle est en pleine remémoration. Le souvenir de ses prédictions l’assaille, leur justesse et leur vanité car elles n’ont rien modifié du cours des choses. Sa déploration a un autre ton dès lors que l’événement est passé. Il y a du réquisitoire dans son indignation. Elle ne fait pas l’impasse sur sa mauvaise conscience. Mais les paroles de la prophétesse troyenne dansent sur un fil invisible du mensonge en toutes choses et toutes circonstances, l’une surtout qui domine : la guerre.

Toujours la guerre lorsque sa justification est bâtie sur un mensonge qui sert de prétexte (suivez son regard des interminables guerres de l’Antiquité aux introuvables armes de destruction massives inventées par l’administration Bush en Irak sans oublier la guerre à l’ennemi intérieur comme dans l’incendie du Reichstag). Elle est celle qui sait mais à quoi bon. Elle sait que la mort d’Agamemnon est imminente, ce que l’intéressé ignore. Il en est toujours ainsi avec tous, situation qu’elle vit comme un cruel châtiment, elle qui avait prédit l’anéantissement de sa ville. Son impuissance est d’autant plus pathétique que son don est puissant.

« Apollon te crache dans la bouche, cela signifie que tu as le don de prédire l’avenir. Mais personne ne te croira »

Après avoir été gouvernée par l’amour, celle qui attend la mort l’est désormais par la peur. Le réel est sans pitié pour les pythies. Malheur aux devineresses ! On n’a jamais cessé de tuer le messager dans l’espoir de supprimer le message.

«Maintenant je peux mettre à l’épreuve ce à quoi je me suis entraînée toute ma vie : vaincre mes sentiments par le moyen de la pensée ».

Pétrifiée dans la bouleversante solitude de celle qui a trop longtemps crié dans le désert, on dirait qu’elle ne s’est accrochée à la vie que pour témoigner du passé des siens, leur massacre ou leur réduction en esclavage. Ce monodrame pour comédienne et orchestre, inspiré du récit de Christa Wolf, avait été créé par Georges Lavaudant avec Astrid Bas dans le rôle-titre, puis repris par les mêmes il y a dix ans aux Ateliers Berthier à Paris. Le décor est réduit à sa plus simple expression : un rideau rouge encadré par deux panneaux blancs latéraux ; au-dessus, les vingt musiciens de l’orchestre ; sur scène, Cassandre seule. Il est demandé au texte, et donc à Fanny Ardant qui le porte avec une énergie et une vibration poignantes, d’une voix au timbre fragile et têtu (rien à voir avec ses chuchotements aristocratiques et ses snobs murmures à l’oreille qui en exaspèrent tant et me comblent au cinéma, ah, Mathilde, inoubliable femme d’à côté, ni avec toi ni sans toi…), de s’adapter à la musique.

christa-wolf_1979_helga-paris_bildUne partition originale, riche, colorée dont l’auteur ne cache pas qu’elle recèle pour ceux qui sauront les y dénicher des échos de Bartok, du Pierrot lunaire de Schönberg, ou encore de l’Histoire du soldat de Stravinski pour le ressouvenir de la rencontre entre Cassandre et Enée. C’est bien la musique, et donc la main sans baguette du chef Jean Deroyer à la tête du Lemanic Modern Ensemble, qui donne le tempo d’ensemble ; car il y a bien deux rythmes et deux cadences sur deux registres d’intensité variable, lisses ou striés, qui alternent en permanence et imposent à la parole un débit très rapide lorsqu’il s’agit de se souvenir ou plus calme dès lors que l’on est dans le présent et l’évocation des violences de guerre. Des mots et des notes à l’unisson jusque pour faire résonner une étrange qualité de silence.

« Jamais auparavant un silence pareil n’avait régné sur le palais de Troie. Chacun sentait qu’une frontière venait d’être violée. Jamais un membre de notre famille n’avait eu le droit de parler ainsi. Mais moi. Moi seule, j’ai vu. Ce fut en cet instant que se déclencha le mécanisme conduisant à notre perte. Immobilité du temps «

Lorsque la voix de la comédienne, une voix d’alto pas plus grave qu’il ne le faut, ne peut se projeter, on en reçoit des nuages de mots, ce qui produit un effet troublant. A cet effet, la comédienne a été légèrement sonorisée afin que jamais la musique, parfois vigoureuse sinon violente, ne couvre ses mots et ne porte préjudice à la compréhension.

Le metteur en scène confesse que Cassandre lui fait « un peu » penser aux lanceurs d’alerte (moi, pas du tout), ceux qui, en divulguant des secrets d’État, « n’attendent aucun profit personnel de leurs révélations, ne sont pas écoutés et sont condamnés ». Outre qu’ils sont très écoutés, bénéficiant de tous les relais médiatiques sans précaution, que certains en tirent un grand profit personnel, et que tous ne sont heureusement pas condamnés, ce serait inutilement abîmer le puissant texte de Christa Wolf que de le détourner ainsi. D’autant que si elle l’a crypté, c’était dans un contexte particulier et pour lui faire dire bien autre chose quelques années après qu’elle ait dénoncé l’expulsion de RDA du poète Wolf Biermann, quelques années avant la chute du Mur de Berlin.

Je préfère encore retenir ses tout derniers mots et les emporter :

« … plus tard, si plus tard il y a ».

(« Fannay Ardant à l’Athénée » photo Marc Vanappelghem ; « Ajax le petit arrachant de force Cassandre du Palladium auprès duquel elle s’était réfugiée, intérieur d’une coupe à figures rouges du Peintre de Codros, vers 440-430 av. JC, musée du Louvre  ; « Christa Wolf en 1979 » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères, Théâtre.

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commentaires

1 134 Réponses pour Telle Cassandre à l’instant de sa mort

Jean Langoncet dit: à

@Une consécration sans risque de banalisation car cela désigne un moment des plus rares, et pour cause.

Et pourtant

Delaporte dit: à

Excellent article, qui donne envie de voir le spectacle. Sauf à la fin, cette petite pique polémique contre les lanceurs d’alerte, ces homme pourtant admirables qui sont là pour veiller à la démocratie et aux droits de l’homme : « ce serait inutilement abîmer le puissant texte de Christa Wolf que de le détourner ainsi », nous dites-vous, Passou. Je crois qu’au contraire c’est montrer toute la richesse féconde d’un texte très fort, apte aux multiples interprétations. Voilà d’ailleurs pourquoi ce texte est sans doute encore aussi « vivant » aujourd’hui, et que sa représentation est si enthousiasmante.

JC..... dit: à

« mais elle but sur »

JC..... dit: à

« la comédienne a été légèrement sonorisée »

J’adore !…. légèrement sonorisée…. mmmh…

rose dit: à

vous ne dormrz pas ?

JC..... dit: à

…les algorithmes rêvent de moutons numériques ….

rose dit: à

vous rêvez éveillé vous ?

rose dit: à

bonjour JC.
comme c important pour moi que vous dormiez ???????

rose dit: à

antonomase est le terme lorsque le nom propre désigne un type commun d’ individus
i-e Don Quichotte, Don Juan, Hercule etc. La Castafiore, Hélène de Troie.

JC..... dit: à

Homme d’équilibre, je ne souffre jamais d’insomnie … il suffit d’avoir la conscience tranquille.

rose dit: à

L’instant qui précède la mort.
C’edt cet instant détaillé qui bouleverse le lecteur désireux de comprendre Parler.de Sandrine Rousseau.

rose dit: à

chacun est juge de sa conscience JC

JC..... dit: à

Pour avoir la conscience tranquille, il ne faut surtout pas cassandriser à tout propos …

De la distance avant toute chose.

JC..... dit: à

Quant à « juger » ! Les juges sont les petits magasiniers de l’ordre.

rose dit: à

La vie des morts est le premier roman long de 331 pages.
Dépité par le refus des éditeurs il l’ offre à la femme dont il est amoureux et qui retourne en Duède Christel Söderlund.
Il sera rendu par elle en 1992 et mis en vente à l’hôtel Drouot le 3 juillet 1992 et acheté par Philippe Brenotbpsychiatre.
Icelui ne sait pas que nous aimons nous aussi Romain Gary. Donc il garde cet inédit en son giron.
Si j’étais riche, je lui achèterais l’oeuvre qui a succédé à ses premières nouvelles publiées dans Gringoire comme Joseph Kessel qu’ il admire. ?

rose dit: à

chacun est respinsable de sa conscience.
ça va comme ça ?

rose dit: à

Suède

rose dit: à

En ce moment le combat dans lequel nous nous engageons, nous les femmes, de la parole libérée est un marqueur d’ histoire.
Il faut avoir connu la petite stagiaire, harcelée par son patron qui veut coucher avec elle et qui ne trouve d’autres solutions que de résister en serrant les dents puis de capituler un mois avant la fin du stage qui devient alors invalide pour terminer le cursus d’études.
Et grossir de 10 kg. Crever de douleur. Trouver un autre stage ou finalement on te demandera pour le commerce de mettre des talons hauts et de t’habiller sexy de mettre en avant ta séduction et pas ton intelligence.

Il faut admettre que ces temps soient révolus et que tous les prédateurs sexuels, pas seulement ceux qui opèrent envers les femmes , mais aussi envers les hommes et envers les enfants soient sanctionnés.

Ceci pour que les mentalités changent et que ce qui est inadmissible ne soit plus admis.

Ne minimisons pas ce combat et ne le caricaturons pas.
Il sera suivi d’autres combats. Là c’est une vague qui se soulève.

rose dit: à

responsable.
seul juge de soi-même.

rose dit: à

Les imprécations de Cassandre sont minimisées alors qu’ il s’ agit de prédictions de ce qui advient suite à la folie des hommes.
cf. les teois singes mis avant hier ici.

rose dit: à

« On ne sait pas ce que les personnes inscrites à Pôle emploi font. Ce n’est pas normal qu’elles mettent sept mois en moyenne avant d’entrer en formation. Il faut ouvrir cette boîte noire, instaurer un système de contrôle pertinent et ciblé. »

Elles crèvent de douleur, eh grand co…..rd.D’avoir été virées sans ménagement de leur taf.Et la lenteur est consécutive de la douleur eh abruti de mes deux.
On marche sur la tête sous ce gouvernement.

rose dit: à

. Concrètement, seul le ministère dispose du droit de déposer plainte contre un individu soupçonné de malversations fiscales, un procureur ou une partie civile ne le pouvant pas.

je lai testé cela.
Une partie civile, bafouée dans ses droits ne peut pas dénoncer des malversations fiscales. Le contrôleur des impôts annonce : c’ était à nous de trouver cela. Et le jour où il y aura un #malversationssurlisf, on verra bien que malhonnêteyé et triche sont deux grands vecteurs de richesse soutenus par l’ état.
je crois que nous allons à la révolution. je suis bien contente.

JC..... dit: à

« Là, c’est une vague qui se soulève. »

Ayant un peu navigué, nous savons que toutes les vagues retombent, toutes, et rien ne change. Ceci dit, on peut rêver : ça occupe….

JC..... dit: à

Cassandra est folle.

et alii dit: à

une lanceuse d’alerte ,bénie soit-elle :irène frachon
affaire du mediator

JC..... dit: à

« je crois que nous allons à la révolution. je suis bien contente. » (rose)

Toujours préférer la réforme à la révolution, car la « révolution » est l’arme des sots les plus sots !

JC..... dit: à

J’ai trouvé un fiancé pour Cassandre !!! DELAPORTE !

bérénice dit: à

Histoire du soldat

National Public Radio broadcast from a live performance with Sinfonia San Francisco in Herbst Theater in San Francisco.

https://youtu.be/-QTJZSw2HcI

rose dit: à

est folle est l’argument massue.
hystérique non ?
l’absence de sommeil ne convient pas au cerveau. La preuve par neuf.
Durant les révolutions il y a fuite à Varennes et échafaud.
Lorsque le peuple se soulève cela met du temps à retomber et il reste mémoire.
Pour le soufflé c’est plus hâtif : suffit d’ouvrir la porte du four.
Je vous laisse à vos morigénations.

rose dit: à

derrière les vagues qui retombent il y a d’autres vagues qui se soulèvent.
Qui retomberont certes, mais derrière elles, d’autres.. etc.
Lorsque l’on assiste à un grand mouvement qui se soulève, ce peut être bien d’y participer. D’autant plus si jamais de sa vie on n’a été un harceleur sexuel.

JC..... dit: à

Si je puis me permettre, rose, les vagues c’est comme les mentules : ça se soulève, ça retombe, ça se soulève, etc …. et rien ne change.

Mais vous devez être au courant, non ?

JC..... dit: à

Bon vent d’est, la mer venue du large mange la côte ici, l’hiver arrive.

rose dit: à

non.
je ne partage en rien votre point de vue.
et démarrer la journée comme cela, pour moi, ce n’est pas top.

rose dit: à

le passage des vagues fait que tout change justement, tout.

Laura Delair dit: à

6 h 17 : JC ou la conscience tranquille d’une andouille

JC..... dit: à

8h48 : Laura, je t’aime ! Tu es l’idéal, l’icône, la joie, la promesse de bonheur, pour les andouilles perdues …. !

Veux tu m’ézouper, mariage islamique à la Chirac : 10 mn, douche comprise ?

tristan dit: à

mais elle « buta » sur l’impossibilité.

bérénice dit: à

on peut aussi boire en cas d’impossibilité, de rendez-vous pas honoré, tous les prétextes sont bons pour BoIrE ,

La ligue des alcooliques anonymes.

JC..... dit: à

Laura, je t’harcèle,
Monte en selle,
Monte en selle !

Delair, tu en auras,
Mon gros rat,
Mon gros rat !

bérénice dit: à

mon gros chat, mon gros pacha, mon tralala.

bérénice dit: à

Laura je te harcèle
ma crécelle
ma sarcelle

de l’air tu en auras
mon petit chat
mon petit rat

bérénice dit: à

JC comment s’appelle cette figure de style qui redouble de vigilance?

bouguereau dit: à

Pas spécialement une femme mais un individu

lassouline est spécialement poto havec polo

JC..... dit: à

J’en sais rien, Bérénice. Le style c’est pas mon truc….

bérénice dit: à

chacun est juge de sa conscience JC

Rose, si l’on en possède une et pas une âme de psychopathe à la place, ce qui est toujours possible, la conscience est un juge redoutable, peut-être le pire. Enfant, vers 7 ou 8 ans ( mais peut-être ai-je rapporté ce souvenir) je me demandais comment un criminel pouvait endurer de vivre en portant sa culpabilité( la radio nous portait bonnes et mauvaises nouvelles, drames et crimes), en portant de façon définitive le crime commis. Je me souviens même de l’endroit où m’était venue cette pensée, juste avant ou après le pont selon le sens emprunté qui passait au dessus de la rivière Ornain, à 100 mètres du HLM où nous vivions.

bouguereau dit: à

Apollon te crache dans la bouche, cela signifie que tu as le don de prédire l’avenir

c’t’un fait qu’a chaque fois que je vois cette phameuse figure de style dans un porno je pense a l’odisseye..jdois ête le seul..même polo y avait pas pensé..henfin jveux dire l’individu polo

bouguereau dit: à

Enfant, vers 7 ou 8 ans ( mais peut-être ai-je rapporté ce souvenir) je me demandais comment un criminel pouvait endurer de vivre en portant sa culpabilité

tu mettais trop ta main dans ta culotte béré..’individu suspect’ comme disait serdgio quand qu’y travaillait à la mondaine

bouguereau dit: à

Il est demandé au texte, et donc à Fanny Ardant qui le porte avec une énergie et une vibration poignantes

fanny lui fait des trucs dans la culotte à l’hindividu

bérénice dit: à

Bouguereau, vous m’attribuez une pratique masturbatoire qui ne m’occupait pas, je me souviens aussi que la première personne qui m’éclaira sur ce sujet fut un jeune homme en classe de première, donc bien plus tard dans un éphéméride resté jusqu’à ce jour éducatif loin de toutes corruptions ou tentations.

bouguereau dit: à

Il est si bien passé dans le langage courant que Cassandre a facilement glissé du nom propre au nom commun

tu dis ça au café du commerce d’habeville..tu passes pour un hindividu.. »prophète de malheur »..le populo croit hencore aux mots

bérénice dit: à

J’ajoute que l’ORTF ne diffusait que Zorro, Saturnin, Zebulon, au nom de la loi, bref des choses accessibles aux enfants.

bouguereau dit: à

la première personne qui m’éclaira sur ce sujet fut un jeune homme en classe de première

un henergumène hou un hindividu suspect y’a une nuance bon dieu comme hon dit à la mondaine

JC..... dit: à

Là où l’impénétrable Bougboug voit perversion masturbatoire, je ne vois qu’une chose : on met sa main dans la culotte pour donner aux pauvres …. d’abord.

bouguereau dit: à

Outre qu’ils sont très écoutés, bénéficiant de tous les relais médiatiques sans précaution, que certains en tirent un grand profit personnel

tu dvrais rlire la définition de lanceur d’halerte lassouline..dabord il y est fortement question de : risque..ça n’est pas du tout de fait un type adoubé par la confrérie médiatique..belle perversion linguistique ici dèçe..comme « cassandre » mot trés adoré par les journaliste qu’a le prononcer il vous laisse de l’encre sur les doigt..c’est pas la manchette des journaux la réalité hultime lassouline

bouguereau dit: à

je dis ça pour havoir vu 2 ou 3 fois des gens disant en hentreprise « la » vérité..la vérité hon la rconnait presqu’a tout coup pasqu’elle est a ses risques et péril..c’est la tradition qui veut ça..gaffe lassouline

bouguereau dit: à

on met sa main dans la culotte pour donner aux pauvres …. d’abord

les pauvres en esprit comme nous sront riche au paradis d’allah

JC..... dit: à

« J’ajoute que l’ORTF ne diffusait que Zorro, Saturnin, Zebulon, Au nom de la loi, bref des choses accessibles aux enfants. » (Bérénice)

Pour avoir lu un peu avant le bac « Le Portier Des Chartreux, ou les Mémoires de Saturnin, écrit par lui-même » de Jean Charles Gervaise de la Touche, cela m’épaterait que l’ORTF ait diffusé sur cet excellent livre pour érotomaniaque diplômé ou en voie de l’être !

closer dit: à

Hello Bérénice, vous avez passé votre enfance à Gondrecourt-le-Château, Ligny-en-Barrois, Velaines, Nançois-sur-Ornain, Bar-le-Duc, ou Revigny-sur-Ornain ?

Bar-le-Duc, pour moi, c’était une étape importante sur la route de la Lorraine, à l’époque lointaine où je m’y rendais régulièrement.

JC..... dit: à

Lanceur d’arlette : que voilà un beau job de boite de nuit débile, à la portée de n’importe quel journaleux politique.

Lanceur de nain : job interdit pour cause de « jeu dégradant pour la personne humaine ». Pas pour le nain qui gagnait sa pitance….

JC..... dit: à

TERREUR
« Pendant cette période, environ 500 000 personnes sont emprisonnées et approximativement 100 000 sont exécutées ou victimes de massacres ; dont environ 17 000 guillotinés, 20 000 à 30 000 fusillés, et des dizaines de milliers de prisonniers et de civils vendéens, hommes, femmes, et enfants, victimes notamment des massacres du Mans, de Savenay, des colonnes infernales, et des noyades de Nantes. »

Alors …. ? Vive la Révolution ?….

JC..... dit: à

Loin de moi le désir de tenter de relier par de fausses liaisons, forcément dangereuses, héros modernes et démentes anciennes !

Pourtant, je trouve que le merveilleux Harvey Gros Wein, beau bouc émissaire idéal, a un côté Cassandra, délicieuse folle de Troie l’invraisemblable, ce côté « monstre inexplicable » qui mériterait une thèse.

christiane dit: à

@M.Court
Voilà, nous sommes à égalité ! virée des commentaires chez P.E. Laissons donc la place à qui vous savez…
Un blog que j’efface donc de mes promenades internet !

JC..... dit: à

Quittons nous sur ce souhait : que survienne la Justice et que les Bons pseudos soient distingués des Mauvais !

A bientôt ….

Pat V dit: à

christiane dit: 19 octobre 2017 à 10 h 56 min

Apparemment vous n’ êtes pas les seuls.
Popaul se serait-il embrouillé les boutons de la censure?

Paul Edel dit: à

Christiane arrêtez de hurler à la censure.hier et avant hier, mes commentaires n’ ont pas fonctionné.

Laura Delair dit: à

la main dans la culotte de bouguereau ? non !, ma main sur la gueule de cette vieille taupe, Paf !

christiane dit: à

Passou,
c’est impressionnant ce billet sur la « Cassandre » de Christa Wolf quand on sait que ce texte (paru chez Stock)fut précédé de cinq conférences de poétique données à l’université de Francfort-sur-le-Main en 1982 et que vous en revenez.
La question du courage politique mais aussi une quête et un refus.
Une héroïne incarnée par Fanny Ardant à l’Athénée. Beau choix pour donner la parole à la prophétesse méprisée parce qu’elle avait repoussé l’amour du dieu. Donc, un décor minimaliste pour l’évoquer devant les portes de Mycènes juste avant qu’elle ne meure. Mémoire désenchantée qui interroge cette guerre qui aurait pu ne pas avoir lieu… Long monologue entre présent et passé.
«Maintenant je peux mettre à l’épreuve ce à quoi je me suis entraînée toute ma vie : vaincre mes sentiments par le moyen de la pensée.»

« Médée » qui suivra m’a bouleversée. Christa Wolf aime les personnages féminins et les mythes pour voyager en littérature et dénoncer la violence comme partage du masculin et du féminin…

Laura Delair dit: à

ah ! les dépipités, christiane et le p’tit Court qui hurlent à la censure, furieux qu’on entende plus leurs voix discordantes…

bouguereau dit: à

vaincre mes sentiments par le moyen de la pensée

c’est bien plus dévoyé que le ‘chacun est juge de sa conscience’ de rose ou le cercle vicieux reste productif..c’est à peu prés une profession de foi d’hantiliterature primaire..horror horror dirait kabloom

bouguereau dit: à

« Il reste le peintre admirable de cette masse ballottée,indécise, indessinée, tiraillée d’aspirations inconciliables, oscillant d’un embourgeoisement désiré à une prolétarisation redoutée ». Il causait bien Claude Roy…

tfrais bien dbiffer ljean richard polo..un dil qu’il a passé havec la télé pour bsolument la voir hincarner cette moisissure noble dans son porte feuille..dmande à lassouline

christiane dit: à

@P.Edel
Pat.V. aussi… Bon, je vais patienter. Je répondais à Y. Pas du tout d’accord sur Maigret et Simenon. (et bien sûr je n’ai pas garder le double !
Mais vous nous embrouillez !!!
Passou parle de Christa Wolf, vous de Simenon… Comment voulez-vous que nous ne soyons pas désorientées dans ce monde à l’envers ?
Reste l’inénarrable Sergio et son stylo 4 couleurs et ses droites qui font la course.
Dur dur d’être… à l’heure pour prendre le train !

bouguereau dit: à

Christiane arrêtez de hurler à la censure

il fait ljuge de sa conscience le polo..dans la phumée dsa pipe comme simenon poil au con

bouguereau dit: à

cricri elle va réhussir a lfaire revnir le dracul..zont pas de honte..haucune

bouguereau dit: à

Alors …. ? Vive la Révolution ?….

faut toujours qutût victimises ou qutu fasses le nain mal payé..dans les révolutions ya des gagnants..fais pas ton louzeur

bouguereau dit: à

..keupu en lanceur d’alerte que ça sent la tanerie s’en frait des thunes

D. dit: à

La Grande Bretagne vient de reconnaître l’existence d’un troisième genre. C’est une étape franchie, mais la lutte doit continuer pour en reconnaître un quatrième.

bouguereau dit: à

c’est la grande bretagne elle même dédé..t’es toujours en rtard d’une messe a notre dame

bouguereau dit: à

tu dois hinstamment mette harry baur polo..c’est le seul qu’a su haussi incarner et montrer « l’âme du flic »..car ha mon himble avis c’est un des génies de simenon..le français et la française en sont estrémement friands..lecteur monte ta thune et tes papiers..si tu connais un critique qu’en a parlé ça ‘mhinteresse

bérénice dit: à

10h05 entre 6 et 11 ans, exactement le parcours, j’allais à Velaine à pied, une souris me mordit le doigt sur ce trajet alors que je la délivrai des griffes d’un chat qui étaient nombreux errant dans la campagne. Gondrecourt était un lieu de promenade dominicale pour sa forêt .

bérénice dit: à

virée des commentaires

Paul est d’une susceptibilité erratique mais cela vous apprendra, je n’ai pas lu cependant c’est sûrement justifié; convoquons l’oracle pour connaître les suites de ce litige réduit à silence, absence, errance hors du cercle privilégié.

bérénice dit: à

D cela devrait vous conduire à rencontrer enfin le troisième type; pour ceux qui aiment le genre policier une déconvenue, plus besoin d’enquête l’élément manquant, le troisième homme est là apprêté, prêt à être consommé ou consumé selon qu’on soit pour le bûcher ou non.

Nicolas dit: à

Cassandre mouais, par exemple pratiquement tout le monde a conscience que la terre se réchauffe, Trump s’en fout. Et donc ?

Nicolas dit: à

C’est pour quand la guerre Passou?

bérénice dit: à

Alors …. ? Vive la Révolution ?….

résumons ce principe révolutionnaire, on ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs , cessez de casser du sucre sur le dos de ces audacieux anc^tres qui nous sauvèrent des griffes de l’aristocratie pour la remplacer par l’aristocratie, c’est injuste.

bérénice dit: à

. Et donc ?

Il n’a pas lu, se contente d’acheter et manque de bol pour la planète son empire est très mal situé, s’il admettez comme vérité scientifique au lieu de couper les vivres aux gens de science il accepterez en même temps de voir dévaluer sa fortune immobilière, Trump ne voit pas plus loin qu’une ou deux générations et que ses interets , deux c’est optimiste.

bérénice dit: à

et il n’est pas le seul, la population est tranquillisée à coup de blabla.

Nicolas dit: à

Vous ne répondez pas à la question par contre côté charabia y’a du level. Vous aimez perdre votre temps en en faisant perde aux autres. Vous avez l’esprit malade?

bérénice dit: à

Nico malgré le respect dû à chacun je dois vous avouer que très souvent vos réponses m’ennuient, seriez pas un peu macho, dominant, cherchant à affirmer une supériorité que je ne conteste par avance d’ailleurs pas, c’est fatigant . Court pense la même chose, charabia, ne me lisez plus, faites comme pour Delaporte, je ne vous en voudrai pas.

bérénice dit: à

Et puis comme si la formulation de votre question appelait à une réponse unique, qu’est-ce qu’elle détermine cette question? Attendiez vous un compte rendu exhaustif des conséquences de l’inconséquence des politiques industrielles et écologiques des plus grands pollueurs ?

bérénice dit: à

il accepterait, sorry.

bérénice dit: à

s’il admettait, excuses présentées.

Pat V dit: à

Enfin, Popaul peut virer qui il veut, c’ est son blog.
Sauter les commentaires du professeur cosinus et basta!

Paul Edel dit: à

Bouguereau, le tandem Julien Duvivier (réalisateur) et harry Baur(Comedien) fonctionne bien. Baur est un Maigret fabuleux dans La Tête d’un homme (1932)
Pour la petite histoire, Simenon avait dans un premier temps envisagé de tourner lui-même son roman.. Duvivier a tellement modifié le roman de Simenon qu’il a mis dans le générique « inspiré du roman de Simenon ».. J’aime les éclairages et les ombres menaçantes du film, et aussi le comédien Inkijinoff , étonnant car il donne un coté dostoïevskien halluciné à son personnage. Au départ, c’est Pierre Renoir qui était prévu par Duvivier à la place de Harry Baur pour jouer Maigret…..

Pat V dit: à

Bérénice vous pourriez faire plus court et moins chantourné. Cela dit, calmement et avec distance.

Nicolas dit: à

J’ai écrit « par exemple » et vous faites une fixette sur Trump. Le sujet c’est Cassandre.

bérénice dit: à

Pat V, oui . hypoglycémie. Manger. A plus.

bérénice dit: à

Cassandre mouais, par exemple pratiquement tout le monde a conscience que la terre se réchauffe, Trump s’en fout. Et donc ? _ Nous pourrions conclure à l’optimisme ou au négationisme écologique concernant cet exemple.

bérénice dit: à

Le sujet, en principe, agit sur le verbe. Le vôtre semble n’agir sur rien.

DHH dit: à

De Christa Wolf j’avais beaucoup aimé « trame d’enfance » et aussi un autre livre dont j’ai oublié le titre, où elle dénonce l’inconfort intellectuel de sa vie dans l’Allemagne de l’est où son statut d’apparemment intouchable grand écrivain du regime ne lui evitait pas une surveillance permanente ni les interventions policieres pour pallier le risque que telle ou telle de ses interventions publiques diffuse dans une jeune génération tentée par la rébellion un message déviant par rapport à l’idéologie officielle.
Mais j’ai calé devant Médée .C’est sans doute une grande œuvre ; mais son sens m’a échappé .Qui peut me mettre sur la voie de l’intelligibilité de ce texte ?

JC..... dit: à

« …. par exemple pratiquement tout le monde a conscience que la terre se réchauffe, Trump s’en fout….. »

– la terre se réchauffe ! ? La belle affaire… elle a connu d’autres troubles non-humainoide, elle en connaitra d’autres !

– faut être con pour ne pas voir que notre cher Donald a raison : laissons ces malades d’écologistes délirer !

JC..... dit: à

« Un homme de 28 ans a été tué par balle mercredi soir dans un bar de Montélimar »(Kaboul news)

Fumer tue. Boire tue. Next ?….

JC..... dit: à

Judith !
Vous n’avez aucun besoin des propos de la teutonne sur Médée….

Nicolas dit: à

Oui oui

Nicolas dit: à

Non non
Cassandre

Au temps pour moi.

Sergio dit: à

rose dit: 19 octobre 2017 à 6 h 58 min
Le contrôleur des impôts annonce : c’ était à nous de trouver cela.

Oui mais ils donnent suite quand même ; sinon au contraire c’est tout bénef on se dénonce soi-même, donc même réaction et on n’est plus jamais importuné par ces rats !

Sergio dit: à

bérénice dit: 19 octobre 2017 à 12 h 33 min
j’allais à Velaine à pied, une souris me mordit le doigt sur ce trajet alors que je la délivrai des griffes d’un chat.

Mainenant c’est la flicaille qui a ses griffes au rond-point de Velaine… Faut pas bomber, là ! Ha non non non…

Sergio dit: à

D. dit: 19 octobre 2017 à 14 h 03 min
il suffit de très peu pour qu’on ait froid à la place d’avoir chaud :

Forte pensée comme dirait Boug, et sages paroles…

JAZZI dit: à

« j’allais à Velaine à pied »

Rimbaud aussi, il allait à Verlaine à pied !

JAZZI dit: à

« seriez pas un peu macho, dominant »

Pléonasme, bérénice, vous connaissez des machos soumis ?

D. dit: à

Le troisième type ?
Le titre du film évoquait une « RR3 », en ufology une rencontre de 3ème « type »=catégorie.

Paul Edel dit: à

Dhh Christa Wolf a ecrit un grand récit sur le romantisme allemand et Kleist: »aucun lieu,nulle part »mais sa série Cassandre est à mon goût un peu laborieux et n ou blions pas qu’ apres la chute du mur de Berlin les archives ont révélé qu elle fut une collaboratrice de la Stasi.

D. dit: à

Bien évidemment ce sont les rencontres du 7ème type qui sont les plus courues :

Rencontre Rapprochée du 7e type (RR7) : Le ou les témoins ont un rapport sexuel avec les occupants d’un ovni, à l’intérieur ou à l’extérieur de celui-ci. Il y a deux types de rencontre RR7 :
Les « RR7 de classe 1 », où les victimes sont non consentantes et éprouvent des symptômes caractéristiques d’un viol ;
Les « RR7 de classe 2 », où le témoin a un rapport sexuel consenti avec l’entité. Ces derniers cas sont rares et souvent qualifiés d’affabulation.

Passou dit: à

Paul Edel, « La tête d’un homme » est un film envoûtant, mystérieux, vénéneux. L’épaisseur de la silhouette de Baur, le masque indéchiffrable d’Injikinoff, la fumée du tabac… Cela dit, Pierre Renoir n’était pas une mauvaise idée.Il l’a prouvé en incarnant Maigret dans « La nuit du carrefour »

D. dit: à

Haprès y’a la rencontre du 8ème type, c’est Bouguereau déguisé en alien avec un gros gode-ceinture vert à écailles. HA la limite je préfère encore la 7ème.

bérénice dit: à

Fumer tue. Boire tue. Next ?…

tuer tue, tout simplement, pourquoi voulez-vous trouver des explications alambiquées?

D. dit: à

Excusez-moi, passou, je vous interromp.

Sergio dit: à

Houi ben l’instant de la mort, quand c’est une agonie de quinze jours à haleter comme un animal, on a le temps de voir venir, isn’t ? Merci les toubibs !

Sergio dit: à

bérénice dit: 19 octobre 2017 à 14 h 30 min
tuer tue

Ben heureusement, encore, je vois pas pourquoi on se décarcasserait…

bérénice dit: à

vous connaissez des machos soumis

non, Jazzi, si j’en connaissais soumis ou pas ils ne tarderaient plus à abandonner leur statue indécente ou l’idée de m’avoir pour amie, une exception néanmoins s’ils se montrent généreux mais ça ne s’est jamais inscrit dans ma ligne de vie de cette façon et puis pour finir j’ai cessé tous commerces avec la gente masculine du moins au près, je garde une longue vue pour l’observation.

bérénice dit: à

oui Sergio mais remarquez que dans cette phrase on ne sait pas qui, auteur du crime, victime; l’un fait le deuil de son identité l’autre n’a pas le temps de faire le deuil du deuil possible etc etc

Delaporte dit: à

« n ou blions pas qu’ apres la chute du mur de Berlin les archives ont révélé qu elle fut une collaboratrice de la Stasi. »

Ce fait avait porté un coup à sa réputation, mais quand on y pense objectivement, cela faisait d’elle aussi un pur produit, sublime de vérité, de l’Allemagne de l’Est…

Delaporte dit: à

« La tête d’un homme » est un excellent Maigret. Je me souviens que même l’adaptation TV avec Jean Richard était géniale. C’était inratable.

Delaporte dit: à

J’ai relu des romans de Simenon, il y a quelques mois, et j’ai eu la profonde impression que le meilleur de l’oeuvre, cela reste quand même les Maigret. J’ai par exemple été déçu par La Mort de Belle, mais enthousiasmé par Maigret et l’homme du banc.

bouguereau dit: à

jean richard il aurait du s’empecher légalment dtravailler dlalourde..il aurait mérité..

JAZZI dit: à

Ces aliens, ils ont de sales gueules de machos, mais pas grand chose dans la culotte. De jolies petites fesses néanmoins…

bouguereau dit: à

quand c’est une agonie de quinze jours à haleter comme un animal

c’est pas une petite mort de pédé

bouguereau dit: à

si tu dis que jean richard est ton type..chte cause pus baroz

bouguereau dit: à

Ces aliens, ils ont de sales gueules de machos, mais pas grand chose dans la culotte

ha c’est certain que dpuis les 70’s l’espace est mormon et à la nra..ça fait chillier

bouguereau dit: à

dédé c’est l’empire qu’a presque gagné..la galaxie est en danger

JAZZI dit: à

Extrait du « Goût de l’été »

CHRISTA WOLF

Cet été-là

Avec Scènes d’été, commencé à la fin des années soixante-dix et achevé en 1987, Christa Wolf (1929-2011) signe là un de ses plus beaux romans. Celle qui fut l’écrivain le plus célèbre de l’ex-République démocratique allemande, et qui en présida longtemps l’union des écrivains, se livre ici à la chronique heureuse de couples d’intellectuels berlinois habitués à passer l’été dans leurs belles maisons à colombages du Mecklembourg, dans un paysage rustique idyllique, entre champs de culture et dunes de sable. Mais cet été-là, un sentiment d’inquiétude commence à sourdre au plus profond de chacun des personnages de ce roman choral pour qui l’été jusqu’alors était une fête : bientôt, plus rien ne sera comme avant. Une fin de partie, traduite dans le roman par de violents incendies qui embraseront définitivement les maisons et disperseront irrémédiablement le groupe d’amis. Et qui résonne d’un sombre écho lorsque l’on sait qu’après la chute du Mur de Berlin et l’ouverture des archives de la Stasi, on découvrit que Christa Wolf avait été une informatrice de la police politique est allemande…

« Il y eut cet étrange été. Les journaux en parleraient plus tard comme de l’ « été du siècle », pourtant d’autres étés lui succéderaient qui le surpasseraient encore, par suite de certains changement dans les courants atmosphériques au dessus du Pacifique qui avaient fait « basculer » l’équilibre de l’océan, entrainant du même coup des modifications imprévisibles de la situation climatique générale au-dessus de l’hémisphère Nord. De cela nous ne savions rien. Ce que nous savions, c’est que nous voulions être ensemble. Il nous arrivait de nous demander quel souvenir nous garderions de ces années, ce que nous pourrions en dire nous-mêmes et à d’autres. Mais jamais nous n’avons réellement cru que notre temps était compté. Maintenant que tout est fini, cette question là aussi a trouvé sa réponse. Maintenant que Luisa est partie, que Bella nous a quittés pour toujours, que Steffi est morte, que les maisons sont détruites, le souvenir a repris le dessus sur la vie. (…) Lorsque nous nous demandons pourquoi cet été, dans notre souvenir, apparaît unique et sans fin, il nous est difficile de trouver le ton neutre qui seul convient face aux phénomènes singuliers auxquels la vie nous expose. Le plus souvent, lorsque nous venons à parler de cet été entre nous, nous faisons comme si nous avions eu prise sur lui. A dire vrai, c’est lui qui avait prise sur nous et fit de nous ce qu’il voulait. (…)

Maintenant il nous faut parler de la canicule. Elle ne faisait que commencer, nous ne savions pas encore que c’était La canicule. L’été sera beau, disaient les gens. Un été chaud. Un été caniculaire. Les journaux commençaient prudemment à lui faire des remontrances. C’est qu’il ne tenait pas compte des plans de production agricole. Pendant des semaines et des semaines pas une goutte de pluie, et ce, dans une région aussi proche de la mer. La nature semblait œuvrer à sa propre perte. (…)

Au début, c’était pur hasard, vous vous souvenez, si nos rencontres se terminaient toujours en fêtes. Cette soirée-là fut celle qui ouvrit la série des fêtes champêtres, ballons multicolores auxquels était attaché le lacis arachnéen de l’été. Nous autres citadins, nous qui ne connaissions que la rigueur du travail, n’avions pas la moindre idée de ce qu’étaient les fêtes, une lacune qu’il nous fallait combler. Plus tard, c’est vrai, nous fûmes comme aspirés par un tourbillon, une sorte de rage de fêtes se manifesta : des fêtes de jour et des fêtes de nuit, des fêtes à trois et des fêtes à vingt, des fêtes en plein air, des fêtes à l’intérieur, des fêtes dans la cuisine, des fêtes dans les granges, des fêtes avec les mets les plus variés. Le vin ne manquait jamais, parfois accompagné seulement de pain et de fromage, parfois de viande grillée, de soupe, de poisson, de pizza, et même de gros rôtis. Sans oublier les gâteaux, les femmes commençaient à rivaliser dans la confection des gâteaux. Il y avait des fêtes avec musique et danse, des fêtes où l’on chantait, des fêtes où l’on se taisait et des fêtes où l’on parlait. Des fêtes pour se disputer et d’autres pour se réconcilier. Des fêtes pour jouer. Nous nous apprenions les uns aux autres à aimer l’ivresse. »
(« Scènes d’été », traduit de l’allemand par Lucien Haag et Marie-Ange Roy,
Stock, Bibliothèque cosmopolite, 1995)

bouguereau dit: à

vous connaissez des machos soumis

tous..

chantal dit: à

c’est une coïncidence curieuse, je viens d’écouter pour la première X le pierrot lunaire de Schönberg, je vais essayer de distinguer les accents de Bartok dedans.

et alii dit: à

Harcèlement sexuel: Juliette Méadel propose la création d’un statut de «lanceur d’alerte»

Paul Edel dit: à

On oublie trop souvent que Maigret au cinéma a curieusement commencé par deux échecs commerciaux, avec « Le chien jaune »(Juillet 1932) de Jean Taride, et « La nuit du carrefour » (avril 1932) de Jean Renoir Renoir.il travailla en famille…avec pierre Renoir, le frère, en Maigret, Claude Renoir assistant- operateur, et marguerite Renoir au montage.. Simenon a parlé de « navets » aux journalistes quelques années plus tard…Il a fallu attendre Julien Duvivier et son expressionisme à la française dans cette « Tête d’un homme » . De plus, belle originalité : Duvivier choisit de montrer le crime avant que l’enquête commence, car il se moque complètement du « suspense » policier, et fait comme dans « Crime et châtiment ».ce qui l’intéresse c’est l’affrontement criminel-policier.. D’ailleurs en 1935, Harry Baur ,jouera Porphyre ,et Pierre Blanchar Raskolnikov dans l’adaptation de Pierre Chenal.. Un jeu du chat et de la souris entre le criminel et le commissaire. Oui, « La tête d’un homme » est un immense film inspiré.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…il existe, un nouveau, comportement  » subversif « , des profits,…
…comme,  » des « , soumis,!…avec des codes déontologiques,…

…des hommes, aussi, comme des bains de boues,…
…encore là,…il faut sortir, éviter de faire sculpture en creux,…façons ‘ moulages ‘ au bains de boues,…endurcis à la vapeur,!…

…tient, çà me fait penser, à un James Bond,…avec les masques moulés,…sans la Cassandre,…et, autres  » perfides  » Albion mondialistes des profits,…aux scénarios,…

…donnez de la maille, et filets, pour retendre, avec, des âmes en pêches,…sur des livres en chrétientés,…aux belles églises et bourses des profits,…

…comme les tout, ne font qu’un,…la chasse,…et l’élevage des cons,!…Ah,!Ah,!…honnit soit,…etc,…
…encore,…

bouguereau dit: à

Toujours la guerre lorsque sa justification est bâtie sur un mensonge qui sert de prétexte

le prétexte c’est l’occasion pour hemporter d’hadésion lassouline..la raison est souvent beaucoup plus certaine..sinon à quoi bon divulguer des secrets d’état lassouline..buche est un ‘menteur’..comme clinton..lui c’est plus gravomme..hallons..hallons..dans liliade c’est pourtant claire..dit et redit

JAZZI dit: à

« vous connaissez des machos soumis ?
tous.. »

Bien vu le boug, mais toi tu le sais de l’intérieur, contrairement à bérénice.Soumis à leur mère, soumis à leur queue, soumis à leur femme dont ils ont peur. En fait, ces machos, tous de grosses tapettes !

JC..... dit: à

« Harcèlement sexuel: Juliette Méadel propose la création d’un statut de «lanceur d’alerte»

Je propose un site contre le harcèlement féminin : « BalanceTaSalope ». On a droit au calme quand on rentre du boulot, nan ?

Delaporte dit: à

« Harcèlement sexuel: Juliette Méadel propose la création d’un statut de «lanceur d’alerte» »

Une excellente idée. Les lanceurs d’alerte sont des pierres angulaires de la démocratie moderne.

Delaporte dit: à

« On a droit au calme quand on rentre du boulot, nan ? »

A moins d’être impuissant, et encore…

JC..... dit: à

Tu sais, Delaporte, que con comme tu es, je ne te filerai pas un job de gardien de nuit d’entrepôt de livres saints, même avec contrat aidé !

Faut être fier de son personnel…

bouguereau dit: à

Bien vu le boug, mais toi tu le sais de l’intérieur

c’est ma conscience qui juge mes sentiments par le moyen de la pensée..c’est ça l’étant qu’il a dit heideguerre..béré elle la ramène avec son être couche toi là..

bouguereau dit: à

A moins d’être impuissant, et encore…

pasque les liens du mariage son sacré..dlalourde fait son tyran sessuel

bouguereau dit: à

un dlalourde tous les jours c’est pire qu’un gros wenstein 2-3 jours par an quelle dirait bonne clopine..même jicé lui chtrai pas la pierre

Lacenaire dit: à

le paradoxe du jour : JC (l’andouille de ce blog) traitant Delaporte de con !

même qu’ici au Pays de Galles, les moutons rigolent

bérénice dit: à

bon écoutez bouguereau j’ai pas lu Martin et je ne sais rien de l’être et de l’étendard mais pointez vous par là et vous verrez si je me couche, ça m’étonnerait un peu quand même de moi , je suis comme un Giacometti, la femme qui marche et en bronze une statue couchée faite pour se poser debout n’a plus l’air de rien, sans être galeriste je tiens à une exposition convenable qui révèle le sens objectif, profond, enfoui, ou superficiel qu’autoriserait l’objet , sujet objectal

Delaporte dit: à

« Tu sais, Delaporte, que con comme tu es, je ne te filerai pas un job de gardien de nuit d’entrepôt de livres saints, même avec contrat aidé ! »

Ah, le mauvais réflexe de vouloir me donner du travail !

bérénice dit: à

: Juliette Méadel propose la création d’un statut de «lanceur d’alerte» »

mauvaise idée, imaginez-vous reçu au beau milieu de puristes extremiste intégristes attachés à un dogme rigide qui se mettent à signaler à tort et à travers. Il appartient aux harcelé es et agressé es de se signaler et déposer plainte.

Sergio dit: à

JAZZI dit: 19 octobre 2017 à 15 h 33 min
En fait, ces machos, tous de grosses tapettes !

C’est pas grave on se réfugie dans les roadsters (havec capote) les grosses bécanes…

JC..... dit: à

le paradoxe du jour : JC …./… traitant Delaporte de con !

Il ne s’agit pas d’un paradoxe, mais d’un constat : Delaporte est con !

Sergio dit: à

Lanceur d’halertes oui : il faut construire des mosquées et des Kommandanturs…

bouguereau dit: à

Ah, le mauvais réflexe de vouloir me donner du travail !

halerte à malibou havec dlalourde

Delaporte dit: à

« Il ne s’agit pas d’un paradoxe, mais d’un constat : Delaporte est con ! »

Vous ne devriez effectivement pas trop insister, JC, parce que, sans vouloir être méchant, je vous verrais bien participer à un dîner de con, et dans le rôle principal. Vous avez tout à fait le profil, et celui qui vous amènerait serait certainement félicité.

JC..... dit: à

Je vous ai signalé sur le site que je viens de créer, Delaporte : « BalanceTonCon ».

Sergio dit: à

Pour le Reichstag faudrait quand même faire quelque chose… Mette des Sicli, par ézample…

Sergio dit: à

Dîner de cons, dîner de cons… Boh les seuls cons c’est ceux qui bouffent pas !

Janssen J-J dit: à

… un nouveau scoop scientifique en astronomie à partir d’hypothèses enfin vérifiées sur les ondes gravitationnelles.
http://www2.cnrs.fr/presse/communique/5253.htm
Imaginons la masse d’une étoile à neutrons de la taille de la ville de Londres dont une petite cuillère de sa matière équivaudrait à un milliard de tonnes. Tout se passe comme si les lanceurs d’alerte…

D. dit: à

Des scientifiques viennent de découvrir une crotte géante sur la Lune, qui donc attesterait de la présence dessus de dinosaures géants type brontosaure ou approchant il y a des centaines de millions d’années.
C’est tout frais, je vous le livre en exclusivité. De quoi bouleverser pas mal nos manuels de science et pour longtemps.

la vie dans les bois dit: à

Deachach, maintenant qu’elle lit l’italien facile de E. Ferrante, peut trouver sur le web , des docs sur Medea, d’Anita Raja.

Sergio dit: à

C’est embêtant… Il faut des lanceurs d’alerte pour dénoncer les lanceurs d’alerte ! Et d’autres encore pour dénoncer les premiers…

Une vraie suite de Fibonacci, quoi !

la vie dans les bois dit: à

Anita Raja, traductrice de C. Wolf.

Sergio dit: à

Y a plus personne qui va rien lancer !

Ach, depuis tant d’années…

Janssen J-J dit: à

Je ne pense pas que paul edel ait voulu fermer la porte à christiane wolf, au contraire il s’engage volontiers dans les débats afférents, mais souvent, on voit comme de l’incompréhension qui s’installe dans les claviers, c pourquoi les stylos waterman étaient moins dangereux. Les défaillances de technologies trop sophistiquées peuvent hélas tuer sur de tels melentendus, les communications épistolaires les mieux établies.
Pour ma part, j’ai pris conscience de l’injustice beaucoup plus tôt que la plupart des êtres humains : dès l’école maternelle. Vous souvenez-vous de ce roman de Léon Frapié qui eut son heure de gloire en 1904 ? Petit rappel de l’argument qui ne devrait pas déplaire à l’une de nos compatriotes des plus éloquentes et robustes sur cette chaîne :
https://www.babelio.com/livres/Frapie-La-maternelle/20777

la vie dans les bois dit: à

« Fanney Ardant à l’Athénée »
C’est quand elle s’est entendue sur rtl, tombée raide. Il est trop balèze, L. Gerra pour la « sonoriser »

bérénice dit: à

16h39 Christiane, à propos de Médée et de Christa Wolf:

« Médée s’imposa à moi comme une femme à la frontière entre deux systèmes de valeurs, concrétisés d’une part par sa patrie, la Colchide, et d’autre part par le lieu où elle a trouvé refuge, Corinthe, […], Corinthe, la riche cité dorée, qui ne supporte pas la guérisseuse hautaine, sûre d’elle, compétente qui devine que la cité s’est construite sur le crime. On sacrifie des êtres humains à deux idoles, pouvoir et la richesse. Il faut calomnier cette femme, l’humilier, la chasser, la supprimer. On lui accroche pour l’éternité l’étiquette d’infanticide. Les meurtriers de ses enfants auront l’hypocrisie de rendre hommage à leurs victimes. Toute tentative pour tirer au clair les circonstances du meurtre en essayant de comprendre, d’élucider, de changer les comportements est rendue impossible. L’Histoire se met en marche. »
Christa WOLF. »

christiane dit: à

Merci, Bérénice pour vos deux liens.
JJJ, entre quiproquos et mémoire…
Lvdb. Quel est ce lien avec L.Gerra et RTL ?

bérénice dit: à

C’est tout frais, je vous le livre en exclusivité

D, il n’y a pas d’eau sur la lune, on peut supposer que la crotte a pu sécher , hygrométrie à zéro depuis des siècles, des millénaires, la crotte n’est donc pas fraîche mais lyophilisée? Va-t-on pouvoir en faire des petits sachets qui seront ensuite revendus après avoir été négociés à prix d’or ?

la vie dans les bois dit: à

Aucun lien, je ne vais pas à Paris ce ouikende. Mais « Fannay » Gerra sur RTL, c’ est top.
Depuis les dames de la côte, sa voix s’est enraayee. Funny.

bérénice dit: à

De plus avec l’apesanteur on peut aussi se demander comment la crotte ne s’est pas envolée, mise en orbite pour devenir un satellite ordinaire bien que fécale .

Sergio dit: à

En tout cas le camp il est beau ; j’espère qu’on a gardé les plans !

la vie dans les bois dit: à

Jamais entendue de vive voix. La télé, la radio, au ciné, mais pas sur scène. Je plains ceux ici qui vont devoir régler leur sonotone. Terrible.

bérénice dit: à

Terriblement négative, dommage .

bérénice dit: à

En tout cas le camp il est beau ;

Quel camp?

la vie dans les bois dit: à

Terriblement réaliste. Pour moi, le théâtre, c’est l’art de l’expression orale par excellence, si c’est pour n’en percevoir que des bribes « augmentées », l’horreur.

la vie dans les bois dit: à

Mais c’est trop souvent le cas du théâtre contemporain. Soit ça braille, soit t’entends rien, comme ici, si on comprend bien.

bouguereau dit: à

un satellite ordinaire bien que fécale

le gout de chiottes à béré frait dlombre aux rododendrons à baroz

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tout, et n’importe quoi, je m’occupe de mes affaires, des montagnes d’idées,…comme un ordinateur,…mais, très différend,…
…en somme, même les résidus, sont classés  » utiles « ,…
…rien, ne se perd, rien ne se créer, tout se transforme,…c’est pas de moi,!…
…etc,…
…s.v.p.,…plus d’élèves, dans le génie, civil & militaire, en plus, du commercial à larguer, son profit,…en peau d’âne à licorne,…

…les gens sont conscients de ne pas se faire, empoisonner la vie,…de la bouche à l’esprit, et des yeux, à tout les sens,…

…se démarquer, entre ses obligations civiles et ses libertés de propriétaire de sa conscience,…par rapports à ses chiffres,…
…Ah,!Ah,!…

bérénice dit: à

A l’écrit il n’y a que la vision, la compréhension, la reflexion qui sont convoquées, l’ouïe au théatre, d’accord et même si le blog est une scène silencieuse il résonne autant qu’une crypte.

bouguereau dit: à

Petit rappel de l’argument

bourdieu avait pompé sur un mec qu’avait écrit un bouquin l’ecole primaire divise ou quelquechose comac..ça te dit quekchose

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