de Pierre Assouline

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La République des livres
Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

Lorsque l’exécuteur testamentaire est un homme, on dit non sans déférence que c’est un gardien du temple ; mais s’il s’agit d’une femme, elle sera facilement désignée comme une veuve abusive.  La paternité d’une expression aussi fleurie vient d’Anatole de Monzie qui intitula un libelle sacrément misogyne Les veuves abusives (Grasset, 1936). Il y épinglait huit héritières de grands hommes dénoncées pour leur comportement, toutes coupables d’avoir assassiné leur mari après avoir sa mort. A rebours de l’idée selon laquelle un gardien du temple, à l’égal des prêtres du temple d’une divinité de l’antiquité, se jure de l’entretenir et le défendre jusqu’à la mort. N’empêche : encore un bastion à démolir pour #MeToo ! L’urgence de la situation ne permet plus d’ânonner l’adage selon lequel derrière chaque grand homme il y a une femme, d’autant qu’il est souvent détourné par d’horribles machistes (« Derrière chaque grand homme il y a une femme qui n’a rien à se mettre » etc). Car c’est injuste : la veuve comme le gardien abusent autant qu’ils protègent.

Ils ne sont connus que des chercheurs, universitaires ou biographes, fabricants de notes en bas de page et fouille-merde. Le grand public ne découvre leur existence que lorsqu’ils  se révèlent être des fléaux. Ou à leur mort en lisant la rubrique nécrologique. Deux d’entre eux et non des moindres ont disparu presque en même temps en janvier dernier. Deux tempéraments, deux univers fictionnels et surtout deux manières d’envisager leur fonction d’héritiers littéraires totalement opposées sinon antagonistes : l’un Christopher Tolkien, c’était le bon ; l’autre, Stephen Joyce, incarnait la brute (ne cherchez pas le truand). Leurs noms vous disent déjà quelque chose à défaut de leurs prénoms ? Et pour cause ! Il sonne autant comme un patronyme que comme une raison sociale ou une marque déposée,

Le bon d’abord. Christopher Tolkien est mort à 95 ans du côté du village de Aups, dans l’arrondissement de Brignoles (Var), où il s’était retiré au milieu des années 70 après avoir démissionné de son poste de professeur à Oxford, peu après la mort de son père, le génial créateur du Seigneur des anneaux. Plus qu’un roman ou une saga, un monde. Collaborateur et premier critique de son père, son plus jeune fils  fut tout naturellement désigné par testament son exécuteur littéraire, à charge pour lui d’exhumer, de décrypter et d’éditer une masse considérable de documents, fragments et manuscrits éparpillée en un chaos aussi calligraphique que catastrophique dans 70 boites d’archives, ce qui devait aboutir notamment à la publication du Silmarillion, des Enfants de Hurin et d’une vingtaine d’autres livres jusqu’alors inédits. On lui doit de mieux connaître le legendarium derrière cette œuvre qui a donné ses lettres de noblesse à un genre littéraire longtemps méprisé, la fantasy.

Passés 90 ans, il démissionna de ses fonctions au Tolkien Estate, la structure juridique qu’il avait créée mais gérer les droits d’auteurs, le droit d’auteur et certains produits dérivés mais jamais n’abandonna celle d’exécuteur littéraire, luttant jusqu’au bout pour enrichir et défendre et faire vivre la saga Tolkien, y mettant parfois sa touche mais sans abuser, juste pour combler des blancs ou rendre intelligible une page chancelante. A sa façon, dont tous les spécialistes lui ont été reconnaissants : en gardien du temple mais bienveillant, généreux, disponible, fidèle et surtout intègre quand tant d’autres sont si psychorigides.

On a pu dire qu’en le perdant, les tolkienolâtres, secte innombrable, venaient de perdre « la boussole de la Terre du Milieu »  dont il avait dessiné les cartes, et que ses peuples se considéraient en deuil. Tout jeune, il avait observé de près et accompagné pas à pas l’évolution de l’œuvre paternelle. Les deux ont grandi ensemble. Les personnages imaginaires de l’un et la petite personne de l’autre., mais en totale osmose puisque le géniteur-créateur les lui racontait et plus tard les lui soumettait. Il était écrit dans le Genèse de cette œuvre sans pareil que Christopher serait non le gardien de son frère mais celui de son père.

Stephen Joyce, c’était la brute. Lui aussi s’était retiré en France à la Flotte, commune de l’île de Ré. Il se voulait le gardien de son grand-père mais tout dans son comportement, ses décrets, ses interventions reflétait plutôt la névrose d’ une veuve abusive. En 2012, lorsque l’œuvre de James Joyce, auteur de Ulysses, l’un des rares romans de langue anglaise qui ont dominé leur siècle, est tombé dans le domaine public, ses spécialistes un peu partout dans le monde ont poussé un « ouf ! » de soulagement qui a du ébranler jusqu’aux murs des pubs de Dublin et qu’un tweet résuma d’un trait : « Fuck you, Stephen Joyce ! » (inutile de traduire : grâce aux films de Martin Scorcese, même ceux qui n’ont jamais appris l’anglais comprennent).

Il est vrai qu’il était détestable, non seulement par son arrogance et sa prétentions naturelles et par ses actions : héritier de 50%, puis de 70% puis de la totalité des droits à mesure des décès et des désistements dans sa famille, il ne cessa de faire obstacle à la recherche universitaire sur l’œuvre de James Joyce : il répondait toujours par la négative à toute demande de consultation des précieuses archives qu’il détenait ; il refusait d’accorder l’autorisation de reproduire des extraits des livres ou de la correspondance, s’y résignait parfois exceptionnellement mais à des tarifs si scandaleusement prohibitifs qu’ils aboutissaient à un refus ; il s’opposait aux projets d’expositions de manuscrits, ou aux lectures en public et adaptations pour la scène du maître-livre aussi bien que de Gens de Dublin, Portrait de l’artiste en jeune homme ou Finnegans Wake allant jusqu’à poursuivre des théâtres devant les tribunaux ; il s’invitait aux colloques où on ne l’invitait plus pour prendre la parole quand nul ne songeait à la lui donnait afin de lancer à la figure des érudits (« des rats et des poux qui devraient être exterminés ! » comme il les désignait) accourus des plus prestigieuses universités à travers le monde :

 « Si mon grand-père était là, il éclaterait de rire en vous écoutant !…Je suis un Joyce, vous n’êtes que des joyciens ! ».

Et reprenant tout interlocuteur qui l’évoquerait ou le présenterait autrement que comme « « Stephen James Joyce », il prenait un malin plaisir à raconter comment il avait détruit une partie de la correspondance entre ses grands-parents, les lettres de Samuel Beckett du temps où il sortait avec leur fille Lucia etc Au vrai, il y faisait régner la terreur et en jouissait, variante de la perversité en milieu littéraire. Abus de pouvoir ? C’est peu de le dire, la chronique de ses procès en témoigne. Stephen Joyce, qui avait neuf ans à la mort de son grand-père et qui fit une carrière de haut-fonctionnaire dans une organisation internationale, y avait renoncé à la mort de son père, comme Christopher Tolkien dans les années 70, pour se consacrer à la gestion de l’héritage, persuadé qu’il protégeait et préservait non seulement « la pureté » (sic) de l’œuvre de nonno (« papy », en italien) comme il continuait à l’appeler, mais la vie privée de sa famille. Ah, papy James, si tu savais…

(« Tolkien père et… fils », photos D.R. ; « James Joyce avec son petit-fils Stephen en 1934. Photo Bettmann Archive)

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commentaires

2 207 Réponses pour Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

Marie Sasseur dit: à

Bonjour Passou,
Juste vous dire que pour le billet je préférais le titre original. Ca faisait plus western spaghetti…
Vous avez féminisé, le truc, ok. M’est avis que Mme Kodama a du passer un message…

Merci pour le Seigneur des anneaux, le bon, donc.

Jazzi dit: à

J.R.R.TOLKIEN

Ils aimaient avoir des livres emplis de choses qu’ils savaient déjà, posées nettement et sans conteste.
Il est une autre chose à mentionner au sujet des Hobbits du temps jadis, une habitude étonnante : ils aspiraient ou inhalaient au moyen de pipes en terre ou en bois la fumée des feuilles en combustion d’une herbe qu’ils appelaient herbe ou feuille à pipe, sans doute une variété de Nicotiana. Une bonne dose de mystère entoure les origines de cette coutume particulière, de cet « art » comme les Hobbits préféraient l’appeler. Tout ce qui a pu être découvert à ce sujet dans l’antiquité a été réuni par Meriadoc Brandebourg (par la suite Maître du Pays de Bouc) et, puisque lui-même et le tabac du Quartier Sud jouent un rôle dans l’histoire qui suit, il sera bon de citer l’introduction à son Herbier de la Comté.
« Cet art, dit-il, est bien celui que nous pouvons revendiquer comme étant notre invention. On ne sait quand les Hobbits commencèrent à fumer ; toutes les légendes et les histoires de famille le considèrent comme chose établie ; durant des siècles, les gens de la Comté fumèrent différentes herbes, certaines nauséabondes, d’autres odorantes. Mais tous les documents s’accordent sur le fait que ce fut Tobold Sonnecor de Longoulet dans le Quartier Sud qui le premier fit pousser la véritable herbe à pipe dans ses jardins, du temps d’Isengrin II, vers l’an 1070 de la datation de la Comté. La meilleure du pays provient toujours de ce district, spécialement les variétés connues sous les noms de Feuille de Longoulet, Vieux Tobie et Etoile du Sud.
« Il n’existe aucune trace de la façon dont le Vieux Tobie trouva la plante, car il ne voulut jamais le révéler de son vivant. Il avait une grande connaissance des herbes, mais il n’était pas voyageur. On dit que dans sa jeunesse il se rendait souvent en Bree, encore qu’il ne se fût certainement jamais éloigné davantage de la Comté. Il est donc fort possible qu’il ait eu connaissance de cette plante en Bree où, maintenant en tout cas, elle pousse bien sur les versants sud de la colline. Les Hobbits de Bree prétendent avoir été les premiers fumeurs de l’herbe à pipe. Ils prétendent, naturellement, avoir tout fait avant les gens de la Comté, qu’ils traitent de « colons » ; mais dans ce cas leur prétention est, à mon avis, sans doute justifiée. Et c’est certainement de Bree que l’art de fumer l’herbe véritable se répandit au cours des siècles récents parmi les Nains et autres gens tels que les Rôdeurs, les Magiciens ou les vagabonds qui allaient et venaient encore par cet ancien carrefour de routes. Le lieu et centre de l’art se trouve dans la vieille auberge de Bree, le Poney fringant, tenue de temps immémorial par la famille Poiredebeurré.
« Néanmoins, certaines observations que j’ai faites au cours de mes nombreux voyages dans le sud m’ont convaincu que l’herbe même n’est pas originaire de notre partie du monde, mais qu’elle est venue vers le nord de l’Anduin inférieur, où elle fut, je l’imagine, originairement apportée par mer par les hommes de l’Ouistrenesse. Elle pousse en abondance en Gondor ; elle y est plus plantureuse et plus grande que dans le nord, où on ne la trouve jamais à l’état sauvage, mais où elle ne croît qu’en des endroits chauds et abrités comme Longoulet. Les hommes de Gondor la nomment galenas douce, et ils ne l’apprécient que pour la fragrance de ses fleurs. De cette terre, elle a dû être transportée par le Chemin Vert au cours des siècles qui s’écoulèrent entre la venue d’Elendil et notre propre époque. Mais les Dunedains de Gondor eux-mêmes nous accordent que les premiers à la mettre dans des pipes furent les Hobbits. Même les Magiciens n’y pensèrent pas avant nous. Encore que l’un d’eux, que j’ai connu, se soit adonné à cet art il y a bien longtemps et qu’il y fût devenu aussi habile qu’en tout ce à quoi il s’appliquait. »
(« Le Seigneur des Anneaux », traduit de l’anglais par Francis Ledoux)

Janssen J-J dit: à

@ Chantal, je lirai ce billet plus tard, mais pour l’instant, merci pour votre lien sur J de Decker, cet entretien de 456 minutes. Je viens de découvrir un homme passionnément cultivé, clair et chaleureux…
Hélas, fort mal servi par un insupportable animateur, Rony Demaeseneer.
Et son passage apologétique sur la richesse de Françoise Nyssen, « la plus riche des ministres du gvt Philippe… », même si à l’époque, une belle métaphore, n’était peut-être pas des plus heureux, vu le naufrage qui s’en est suivi pour la Dame… Qu’est-elle devenue, d’ailleurs ?…
Bon courage, Chantal. Encore merci.

Pat V dit: à

Sympathique article sur la vie mondaine littéraire!
Il y a quelques jours, par le plus grand des hasards, une responsable d’une association d’un  » énorme » écrivain français me parlait de certain(e)s veuves abusives, comme vous le décrivez, Passou.
Il y en a même qui cumulent leur mainmise sur plus de deux écrivains à la fois…

Janssen J-J dit: à

45 minutes

Pat V dit: à

les décrivez

Clopine dit: à

Et de l’autre côté, vous avez des veufs abusifs aussi. Le « pauvre » Yann Andréa, avalé tout cru par Marguerite Duras, en était un.

hamlet dit: à

je voudrais, si on me le permet dire la véritable première fois où j’ai découvert Tolkien. J’étais à la fac, je venais d’avoir mon deug et je commençais mon année de licence en physique fondamentale. Notre prof de physique était une sacrée pointure, sans doute le meilleur prof que je n’ai jamais eus. Quand il faisait ses cours, en train d’écrire ses équations au tableau, j’avais vraiment l’impression de découvrir l’univers, comme s’il nous offrait les clés permettant de comprendre tous ses mécanismes. Au début de cette année-là, une cousine m’a offert « le Fermier Gilles de Ham », elle faisait ses études de l’autre côté de la ville, « normal qu’elle m’offre un livre » m’étais-je dit, c’était une littéraire. Parfois je lui parlais des mon prof de physique fondamentale, de ses cours… elle avait dit un truc auquel je n’avais pas trop fait attention sur le coup du genre « tu vas voir ça te plaire, c’est les cours de ton prof… » ajoutant, car elle savait que je n’étais pas très orienté « littérature » : « il faut faire l’effort de rentrer dedans ! ». Ma foi durant des semaine je l’ai feuilleté, ça paraissait tellement emberlificoté et empreint d’une préciosité qui était totalement étrangère à mon mode de vie que je ne faisais pas cet effort. Jusqu’à ce que j’attrape une angine, piqûres d’antibio cortisone régime sans sel, coincé au lit j’ai commencé à lire. Au départ ma réticence était telle que je me suis souvent trouvé à deux doigts de le femrer définitivement pour poursuivre la série des livres de van Vogt, le monde des A, le monde des non A, les armuriers d’Isher… pourtant quelque chose m’en empêchait. Là j’ai commencé à entrer dans cet univers, à surmonter les difficultés de lecture lié à ces phrases interminables, essayer de comprendre le fonctionnement de l’auteur, et j’ai commencé à découvrir cette chose étrange que j’aurais cru impossible quelques semaines plus tôt, ce type, cet auteur était l’équivalent de ce professeur de physique que j’admirais tant, leurs méthodes n’étaient pas les mêmes, et pourtant lui aussi offraient au lecteur des clés d’accès permettant d’élucider les mécanismes intimes du monde. Sacré choc, moi qui pensait que seule la physique était capable de décrypter l’univers, je découvrais que par le langage, sa précision, sa perfection, il était possible de parvenir au même résultat. Ses phrases ne m’apparaissaient plus comme des objets incohérents, mais comme de longues équations, où l’auteur plaçaient tous les opérateurs nécessaires : variables, constantes, et par des factuers inconnus dans le monde des mathématique il réussissait à résoudre toutes ces équations écrites dans un langage qui semblait s’inventer de lui-même, des formules arithmétiques naissaient sous les mots au fur et à musure qu’ils se succédaient, comme si ce monde merveilleux engendré de lui-même une autre création supérieure.

hamlet dit: à

non je déconne, cette fois c’est la bonne ! je voudrais, si vous me le permettez vous faire part de la première où j’ai découvert Tolkien. C’était quand j’étais au lycée à Aix. Pendant l’été, un type, qui préférait passer l’été dans sa maison en Bretagne, laissait les clés de sa maison situé au nord d’Aix, vers Puyricard à un pote à moi. Il devait s’occuper de la maison, s’occuper du parc, arroser les fleurs etc… une immense et vieille bâtisse bourgeoise comme on en trouve dans le coin. Sauf que mon pote profitait de cette occasion pour organiser des fêtes deux ou trois fois par semaines. De sacrées fêtes, c’était les années 70, Aix était peuplée d’un tas d’américains qui voulaient échapper au Vietnam, Aix à l’époque c’était un peu une ville californienne, la banlieue de San Francisco. Oui sacrées fêtes, dans l’immense parc, musique a donf, ça dansait, ça picolait, ça fumait, ça baisait, les 70’s dans toute leur splendeur. Un soir je mettais introduit dans la maison, ce que mon pote nous avait formellement interdit de faire, déambulé un peu dans toutes les pièces, j’ai atterri dans la bibliothèque, j’ai pris un bouquin c’était « Contes et merveilles inachevés », je l’ai toujours, souvenir…

hamlet dit: à

bel article passou, c’est en effet une superbe région, pour les rescapés du c19 qui veulent profiter de la fin du confinement pour découvrir la région d’Aups je ne saurais trop leur conseiller d’aller visiter la’Abbaye du Thoronet, la cascade Sillans, ensuite passer de l’autre côté de l’autoroute pour faire un tour à la Sainte Baume et aller passer une nuit au couvent royal de la basilique de Saint Maximin, le restaurant y est excellent, sous les arches du cloitre, les filets de rouget y sont excellents…

Marie Sasseur dit: à

je voudrais, si on me le permet dire la véritable première fois où j’ai découvert Tolkien. J’avais un peu plus de 23 ans et c’est grâce à Conan le barbare, son sosie, enfin idéalement dans mon souvenir, que j’ai lu Bilbo le Hobbit.

Jazzi dit: à

L’exécuteur testamentaire de Simenon, est-ce un bon ou une brute selon vous, Passou ?
Plutôt un coriace, non ?

Phil dit: à

Perso, comme disait Abdelkader, ai découvert le Capitaine Conan avant le barbare. (ne pas hurler, miss Sasseur). John Milius, le réalisateur du film barbare a donné un appréciable film fascistoïde en 1984, « L’aube rouge », recommandable à tous les nostalgiques de l’ère Reagan. Pour les autres, « Dallas » fera l’affaire.

renato dit: à

Gardienne du temple : Maria Bruna Bassi, aidée par Angela Comodo, a détruit les photos érotiques prises par Morselli parce que « inconvenantes ». On en parlait hier avec Marie Sasseur.

William Legrand dit: à

la grande photo : JiCé, Justin Crétin a 20 ans !

hamlet dit: à

« Phil dit: Perso, comme disait Abdelkader »

non non non « perso » c’était une expression à Dexter, je m’en souviens bien, il la pondait presque à chacun de ses commentaires qui n’avaient pas besoin de ça pour être vains, longs et lourds, et son humour à la con qui n’amusait que ce pauvre garçon simple d’esprit.

christiane dit: à

hamlet dit: « la région d’Aups je ne saurais trop leur conseiller d’aller visiter la’Abbaye du Thoronet, la cascade Sillans, ensuite passer de l’autre côté de l’autoroute pour faire un tour à la Sainte Baume et aller passer une nuit au couvent royal de la basilique de Saint Maximin, le restaurant y est excellent, sous les arches du cloitre, les filets de rouget y sont excellents… »
Alors là, vous me sidérez !

et Passou m’apprend que « Christopher Tolkien est mort à 95 ans du côté du village de Aups, où il s’était retiré au milieu des années 70. »
2eme sidération !

Pour Joyce dont les livres me sont plus familiers, je garde le souvenir d’une écriture saturée de livres, de littérature. Une œuvre qu’il a eu tant de mal à faire publier de son vivant et à faire traduire.
Les petits carnets qu’il glissait dans ses poches, où il notait jeux de mots, citations, mots étrangers, rêves, repères historiques, articles de journaux sont-ils tous répertoriés ? Où sont-ils gardés ? Sont-ils traduits partiellement en français ?
On dit qu’il y écrivait puis biffait avec des crayons de diverses couleurs et que certaines pages restent illisibles.
Et ses manuscrits, ses brouillons ? tellement dispersés à sa mort, qu’en est-il ? Je sais que sous le titre « James Joyce Archive », les éditions Garland de New York ont publié certains de ces avant-textes. Ils doivent être contenus dans un nombre considérable de volumes…
Son héritier, Stephen Joyce, le petit-fils semble être, à lire ce billet, un triste sire…

hamlet dit: à

j’aurais aimé vous faire part de la première fois où j’ai découvert Alfred Jarry, mais comme le sujet c’est Tolkien, du coup Jazzy attendra son tour.

et alii dit: à

merci de continuer d’écrire en erdélien:
La présente page a pour objectif de permettre une meilleure appréhension des différents systèmes d’écriture développés par J.R.R. Tolkien. Elle comprend un ensemble d’index qui recensent tous les spécimens publiés des différents alphabets inventés par Tolkien qui furent couchés sur le papier par ses soins ou ceux de son fils, Christopher Tolkien. Quatre de ces Index sont tenus à jour par le Mellonath Daeron, la branche linguistique de la Tolkien Society Forodrim ; la section Langues de Tolkiendil est responsable de la traduction française. Les autres index sont maintenus par l’association Tolkiendil.
https://www.tolkiendil.com/langues/ecritures/scriptorium#specimens_de_sarati

Mimi Pinson dit: à

mais comme le sujet c’est Tolkien

Non pas principalement, ce sont les « veuves abusives »!

et alii dit: à

et comme TOLKIEN ETAIT PHILOLOGUE, ouvrons les débats sur le billet temple
Il est tentant, comme il est fait souvent, de lier ce mot au grec ancien τέμενος témenos (champ ou bois sacré, enclos réservé aux chefs) issu du verbe τέμνω témno (« couper ») et de faire de templum la coupure entre le profane et le sacré.
Le mot est plus probablement issu l’indo-européen commun *temp [1] (« étendre, étendue > espace », sens étymologique de templum), d’où contemplor (« regarder l’espace, le ciel (en vue d’un présage), contempler ») qui a très tôt pris un sens religieux.
De cette racine est issu le grec ancien τάπης, tápês (« tapis »).

hamlet dit: à

et alii exact il était philologue et comme beaucoup d’autres philologues de son époque il s’est intéressé aux légendes nordiques, pour le dire autrement les légendes nordiques doivent leur renouveau aux philologues, pour le dire autrement les philologues ont suscité un intérêt nouveau pour la légende nordique, pour le dire autrement sans les philologues les légendes nordiques seraient tombés dans l’oubli le plus total, pour le dire autrement les légendes nordiques doivent la chance de n’être pas tombés dans l’oubli le plus total aux philologues.

hamlet dit: à

le truc qui me pose le plus problème chez Tolkien c’est le rôle important donné à l’elfe, au détriment à celui accordé au farfadet, le farfadet reste le parent pauvre du philologue, là où l’elfe est mis sur un pied d’Estelle, le farfadet est jeté dans les oubliettes, nul doute qu’un jour le farfadet reviendra et prendra la place de l’elfe.

hamlet dit: à

« On a pu dire qu’en le perdant, les tolkienolâtres, secte innombrable, venaient de perdre « la boussole de la Terre du Milieu » dont il avait dessiné les cartes, et que ses peuples se considéraient en deuil. »

je sens comme quelque chose d’un peu méprisant dans cette phrase pour les fans de Tolkien.

les fans de Proust et de Flaubert n’appartiennent bien sûr pas à une secte, mais à êtres dotés d’une grande sensibilité et d’un gout prononcé pour la beauté stylistique.

par contre pour Tolkien vlan ! ils ont droit à la secte, et chacun ajoutera bien sûr ces deux mots présents dans l’esprit de passou : « de tarés », les amoureux de Tolkien appartiennent à une secte de tarés.

faut dire que la chose mise en avant en premier chez les lecteurs de Tolkien ce n’est pas son style.

mais son inventivité sans limite, son imagination débordante, son pouvoir créatif époustouflant, que les choses très mal des amoureux du style.

et ben oui désolé pour les fans de les adeptes de l’autofiction : Tolkien ne parle pas de lui dans ses livres !!!

et voilà la raison pour laquelle ils ont droit eux à la secte.

tel est le monde de la littérature dans ce pays : on n’aime pas les écrivains inventifs et imaginatifs ! on préfère quand ils parlent de leur mère et de leur grand-mère.

renato dit: à

L’œuvre de Snorri Sturluson (1179 — 1241) est une source essentielle pour la connaissance de la mythologie nordique — l’Edda, probablement l’Egill —.

Janssen J-J dit: à

Hommage à deux grandes dames qui eurent le mérite de prendre soin de l’œuvre de leur conjoint en s’effaçant durablement devant eux. Étrangement, leur veuvage respectif ne dura que très peu de temps, car elles ne survécurent que quelques mois à leur compagnon : Simone Boué pour E. M Cioran, et Liselotte Jünger (‘le Taurillon’ dans les journaux d’Ernst, des « 70 s’efface »).

renato dit: à

Interessant aussi Le Livre des héros, légendes ossètes sur les Nartes de Georges Dumézil.

JiCé..... dit: à

Tolkien ?
Euh….quel intérêt ?

Next !

hamlet dit: à

je me souviens d’un article dans libé y’a qq années où le critique se plaignait d’une « perte » de naturalisme dans les romans français.

imagine-t-on, au 12è siècles, des personnes rassemblés autour d’un conteur, et que ce dernier leur parle de sa mère, en commençant son conte par « longtemps je me suis couché de bonne heure » ?

non les hommes avaient besoin de contes, de légendes, d’arbres qui se révoltent contre les pollueurs et d’araignées géantes.

tous demandait : « est-ce le vaillant chevalier qui va sauver le monde civilisé ? », et le conteur de leur répondre « mais non mes amis ! attendez donc la suite ! savez-vous qui sauvera le monde du seigneur des Ténèbres ? de l’infâme Sauron ? » les autres « non, c’est qui c’est ui ? », bien il sera aidé par les cavalier du Rohan, par Aragorn et aussi le mage Gandolf, mais ce ne sont pas ces hommes vaillants qui sauveront le monde, mais un homme encore plus courageux qu’eux tous ! » les autres « qui ? qui ? qui ? », « hé bien c’est un demi homme de la terre du milieu qui va sauver le monde » les autres : « quoi un Hobbit ? vous vous moquez ! les Hobbits ne savent même pas se battres et monter à cheval avec leur grands pieds ! » – le conteur « bougez pas, attendez, et vous allez voir ce qu’un demi homme est capable faire…. »

voilà ce qu’un demi homme est capable de faire !

c’est juste ça Tolkien et les légendes nordiques, le pouvoir inattendus des faibles.

alors certians y verront comme un gout d’un message évangélique, pas dut tout ! on peut dire ce qu’on veut d’un Hobbit, mais ça reste un Hobbit !

Clopine dit: à

JJJ, mais pourquoi diable leur fallait-il « s’effacer » devant leurs « grands hommes » pour « prendre soin de leurs oeuvres » ?

Ne peut-on imaginer une épouse, une veuve, être loyale à l’héritage spirituel de son mari, être un exécuteur littéraire dévoué et honnête, et intelligent, sans avoir besoin, en plus, de « s’effacer » ?

Ne peut -on être une femme à la personnalité brillante, à la vie personnelle foisonnante, aux activités nombreuses, bref, tout sauf « une épouse effacée », et en même temps être parfaitement capable de promouvoir et préserver une oeuvre ?

Janssen J-J dit: à

Bonjour C. T.,
Une fois n’est pas coutume, permettez-moi de vous interpeler ad feminem, ès qualité rurale féministe experte en basse-cour proustienne. Boy George saillit Viviane et Monique une fois chacune par jour, l’une à 11 h, l’autre à 18 h. Il leur grimpe sur le dos et s’arrime au sommet de leur tête en arrière-crête par le bec durant à peu près 10 secondes. Cela se passe-t-il de la même façon chez vous ? Et si oui, que doit-on penser de cette mméthode un brin cavalière ? Est-ce là une VFF « violence faite aux femmes » ? A-t-on entrepris des études éthologiques au sujet de cette violence ? Qu’en disent les animalistes ? Le confinement actuel des bêtes aggrave-t-il la situation ? Dans la mesure où ces violences seraient intolérables, comment mettre fin à cette « problématique » macronienne ?
Merci de me dire, de nous dire…
NB/ cherchant à préserver mon identité, je préfère ainsi correspondre avec vous par la RDL, canal déférent habituel, d’autant que vos réponses publiques intéresseront sans aucun doute notre amie etalii/TMLP, et qu’on ne trouve nulle trace de réponses chez les zobites de Tolkien
(Je ne sache pas qu’ait jamais abordé ce sujet par un lien adéquat, sauf erreur).
A vous lire bientôt, j’espère. Merci par avance.

hamlet dit: à

et voilà, ça se passait à la table du pub « Eagle & Child » et ensuite les inklings offraient leur tournée et hop on en parlait plus jusuq’à ce qu’il diffuse en direct le derby entre Manchester City et Manchester United !

c’est ça la légende nordique !

et alii dit: à

si vous avez lu tout le texte envoyé par Renato,vous aurez retrouvé des masques (je n’arrive pas à copier)
je suis vexée parce que j’ai espéré trouvé sur le blog de toponymie « vous voyez le topo »des noms suisses comme Aar ou Zermat :rien! j’espère que tous les amis des bêtes et des elfes et des langues vont aller suggérer au veto de se plonger au moins dans Tolkien s’il ne veut pas aller promener sur ses pas

hamlet dit: à

passou, c’est vrai ça : vous ne parlez même pas du Eagle and Child dans votre article ? si c’est un oubli c’est limite une faute professionnelle ?

hamlet dit: à

je vous gonfle ?

vous n’allez pas encore demander mon excusion ?

je vous en supplie ! non ! pas encore une exclusion ! c’est trop de souffrance !

renato dit: à

Éventuellement, Indian Tales de Jaime de Angulo.

et alii dit: à

le proprio du site vous voyez le topo a fait savoir effectivement qu’il était véto ;son travail est remarquable et il fait jouer ses fidèles
L’aulne ( troisième partie )
Comme promis, j’aborde aujourd’hui la présence de l’aulne dans les toponymes en langue régionale, après avoir vu l’alnus latin et le vernos gaulois.
https://vousvoyezletopo.home.blog/

Janssen J-J dit: à

S’effacer, je ne dis pas que c’est ce qu’il faut faire, je dis que ce fut pour ces deux là, exécutrices testamentaires en effet, pour ne pas encourir le qualificatif infâmant de veuves joyeuses abusives.
Je ne comprends pas pourquoi vous me faites toujours dire des choses que je n’ai pas dites. Je préférerais que vous répondiez à la question précédente, en ressentant l’humour que j’y ai mis, sans vous sentir insultée. Voilà, puisqu’avec vous, il faut toujours mettre les poings sur les y. C’est un brin lassant…

@ Ed. Je vous avais mis un long commentaire sur l’Arbre-Monde, il y a une demi-heure, mais le robot l’a rejeté. Peut-être reviendra-t-il, qui sait ? Je vous disais de ne poin vous décourager ni surtout de décourager les erdéliens, déjà qu’ils sont pas mal feignants en matière de pavés. Or, 1000 pages, qu’est-ce que c’est… De la bibine de chêne vert, voilà… J’espère que tout va bien pour vous, là-bas.

William Legrand dit: à

Justin Crétin toujours au « jogging avec déambulateur »

next ?

hamlet dit: à

quand on regarde les scénaristes de séries tv récompensés aux US : les deux tiers sont anglais.

cette prédisposition à la fiction est-elle d’origine culturelle ?

oui.

hamlet dit: à

passou : « Il était écrit dans lA Genèse »

insupportables toutes ces fautes sur un blog dédié aux livres.

Marie Sasseur dit: à

Renato, votre lien sur le topo guide suisse est tout simplement excellent.

Chaloux dit: à

Je ne crois pas que Yann Andrea puisse être qualifié de « veuf abusif » : il n’avait pas la totalité des droits.

Je viens de faire l’emplette (juste avant le confinement)de la biographie de Grace Frick, une femme qui s’est sacrifiée pour l’œuvre d’une femme.
Le sexe de celui ou de celle qui décide de servir n’a évidemment aucune importance.

Il faut dire que tous les rats qui sonnent à la porte des héritiers d’écrivains défunts doivent agacer à la longue. On n’y pense pas suffisamment.

Maria Kodama a eu raison de se retourner contre Gallimard et ses traductions fantaisistes (cela a été déjà été prouvé ici). On voit malheureusement comment sont fabriquées les pléiades d’aujourd’hui. Plus rien à voir avec ce qu’elles étaient. Je leur préfère désormais la collection « Bouquins » bien plus sérieuse.

bouguereau dit: à

on dirait qulassouline tente d’ouvrir un genre de nouveau marché dla bio des héritiers en espérant du gros havaloir..pus bsoin d’en avoir le goût..du post baroz hen somme

christiane dit: à

Janssen J-J,
bonsoir.
C’est amusant : « @ Ed. Je vous avais mis un long commentaire sur l’Arbre-Monde, il y a une demi-heure, mais le robot l’a rejeté. Peut-être reviendra-t-il, qui sait ? Je vous disais de ne point vous décourager ni surtout de décourager les erdéliens, déjà qu’ils sont pas mal feignants en matière de pavés. Or, 1000 pages, qu’est-ce que c’est… De la bibine de chêne vert, voilà…  »

Je viens justement sous le billet précédent d’écrire à Ed à propos de « L’arbre-monde » de R.Powers, évoquant notre échange. C’est dommage que votre commentaire n’apparaisse pas. Essayez de le remettre dans l’espace commentaires du billet précédent.

bouguereau dit: à

L’œuvre de Snorri Sturluson (1179 — 1241) est une source essentielle pour la connaissance de la mythologie nordique — l’Edda, probablement l’Egill —

le seigneur des anneaux participe bien plus d’un retard a l’alumage que l’angleterre a eu avec la plus récente et bidonné mytologie dla planéte..c’est ouf le mathos degueux de brocante de chiottes qu’ils ont été capable de produire au xix..un vrai prés western..les ricains s’y sont pas trompé en y greffant leur robot en boite de bière..au début c’est marrant..plein d’hinvention..et toudincou c’est moins bien qule réalisme socialiss

Passou dit: à

Jazzi, John Simenon, c’est un bon.

Chaloux dit: à

Donc si j’en crois Ed, elle n’a rien dit. La vieille garce de maîtresse d’école a tout inventé. C’est une mythomane. On imagine ses pauvres enfants. Atmosphère Au bon beurre. Après le confinement, ça va moucher rouge…

Hurkhurkhurk!

D. dit: à

J’aime beaucoup, renato. Parfois nous avons les mêmes goûts.

D. dit: à

Je n’ai jamais rien lu de ce Tolkien maus j’en ai entendu parler maintes fois.
Ça vaut le coup ? J’ai peur de me faire chier.
Je n’arrive à lire jusqu’au bout qu’1 livre sur 20 en moyenne. C’est aussi pour cette raison que j’évite carrément les livres. Ils me font peur, et je ne blague pas.
Même les miens que je relisais avec plaisir je ne peux plus, au bout de 5 pages je referme.

Janssen J-J dit: à

Quoiqu’il en soit, je me souviens de la peinture de Savigneau en visite chez Youyou et Grace F. Elles engueulaient des gamins de Mount Desert Island, comme des vieilles instits goudou aigries et ronchonness, exaspérées par leurs turbulences.
Cette anecdote me les avait soudain fait descendre bien bas dans mon estime, me souviens-je.
Je me moque pas mal de qui exécute qui en matières testamentaires, si c’est le sujet du jour. Chadly B pour Jzmn B, par ex., moi je trouve ça très bien aussite, CT !

Chaloux dit: à

Janssen J-J dit: à
Quoiqu’il en soit…

Bien entendu, cette anecdote n’existe pas dans le livre de Savigneau.- Ajoutons que Grace Frick jouait du piano.

Gigi la visqueuse ne sait toujours pas ce qu’elle lit…

(Yourcenar très âgée, isolée dans sa maison, craignait d’éventuelles violences durant Halloween. Elle allait passer cette fête chez des amis.)

Clopine dit: à

JJJ, je ne suis pas vexée, je voulais juste attirer votre attention sur la formule « épouse admirable qui s’efface (lire « a su s’effacer ») devant son époux.

Vous n’êtes certes pas l’auteur de cette formule. Elle vient en droite ligne de toute une société (en train de disparaître à grande vitesse, et franchement, je crois que vous et moi ne la regrettons pas) où c’était à peu près la seule recommandation pour être « une bonne épouse » :l’effacement.

Je vous imagine, peut-être à tort, lecteur de Blake et Mortimer. Je crois que c’est dans cette bande dessinée que j’ai vu, de plus près, des représentations de ces « épouses effacées » : à table,le plus souvent, très dignes, et tentant de calmer les conversations pour les contenir dans la bienséance…

Je me souviens aussi de la malice d’Hemingway dans « Paris est une fête », décrivant comment Gertrude Stein, fermement, cantonnait les épouses de ses « poulains » dans les limites de cet effacement marital…

Bon, quand à question posée sur la violence des comportements sexuels animaux, à votre coq montant brutalement vos poules, vous auriez pu ajouter :
– les chats. Avez-vous déjà vu un chat monter une chatte ? Ils enfoncent leurs griffes dans l’encolure de leur partenaire.
– les équidés. Guère plus galant. Notre Grand Noir Dagobert mordait Quenotte à sang, c’étaient de vrais flots qui coulaient, à tel point que Clopin, un jour, lui mit une muselière pour préserver la femelle. Le même Grand Noir nous mangeait dans la main…
– les oiseaux en général. Le paon fait la roue, mais est incontestablement, sinon cruel, du moins particulièrement brutal pendant l’acte sexuel.
– je crois que la palme toutes catégories confondues revient à la baleine beluga. la femelle est poursuivie par plusieurs mâles qui, n’ayant cure de son consentement, la violent collectivement,violemment, au point que certaines femelles en meurent. La sélection naturelle est respectée : ce sont les plus costaudes qui s’en tirent. L’amour courtois des belugas, lui, par contre, n’en réchappe pas.

Mais, outre le fait que votre comparaison nous indique que vous vivez suffisamment aux champs pour y avoir de la volaille, ce qui signifie une présence constante, je ne vois vraiment, mais alors, vraiment pas le rapport avec nous autres, êtres humains.

A moins que, dans votre tête, vous ne preniez les auteurs, les écrivains géniaux, pour des sortes de coqs ?

Je veux juste vous dire que l’emploi du mot « effacement », pris dans un sens approbatif, louangeur, pour qualifier une attitude féminine, vous a sans doute aussi échappé que le mot « secte », chez Pierre Assouline, pour qualifier les fans de Tolkien (la notation d’Hamlet est juste, à mon sens°.

Mais vous pouvez ne pas souscrire à ma remarque, en la considérant comme l’insupportable « a priori » d’une féministe qui vous assigne à un procès « stalinien »;

Ou bien, c’est ce que je préfèrerais bien sûr, et que j’attends d’un homme tel que vous, que vous souriiez en admettant que, eh ben oui, de la même manière que j’ai appris de ma mère que flatter l’ego masculin peut vous procurer pas mal d’avantages (et il me serait si facile de le faire, je suis tellement formatée pour ça, que parfois, hop, cela m’échappe), eh bien, une expression reflétant un « temps d’avant » où les veuves étaient rarement joyeuses, vous a tout bonnement échappé, et ne reflétait pas votre pensée.

Bon, enfin, comme d’hab’, me voici conviée à admettre que la moindre de mes remarques, même émise sans la moindre animosité (et je vous défie bien d’en relever une trace dans mon commentaire à l’origine de cette discussion) est forcément le signe de l’outrance la plus caractérisée..

Ah là là.

Clopine dit: à

Chaloux, je faisais allusion à l’anecdote, maintes fois à mon sens racontée ici (je me répète et finis pas radoter) de « la cuisine de Marguerite ».

Jazzi dit: à

« vous n’allez pas encore demander mon excusion ? »

Arrête de faire ton Dostoïevski, hamlet, ça devient pénible !

Chaloux dit: à

Je ne connais pas cette anecdote.

Jazzi dit: à

« la moindre de mes remarques, même émise sans la moindre animosité (…) est forcément le signe de l’outrance la plus caractérisée.. »

Clopine, arrête de faire ton Dostoïevski toi aussi !

Marie Sasseur dit: à

Ah ben là on est vraiment gâtés today.
Z’êtes pas près de me r’voir.
En 2 liens Renato a rendu le confinement trop court…;-)

hamlet dit: à

« – les chats. Avez-vous déjà vu un chat monter une chatte ? Ils enfoncent leurs griffes dans l’encolure de leur partenaire.
– les équidés. Guère plus galant. Notre Grand Noir Dagobert mordait Quenotte à sang, c’étaient de vrais flots qui coulaient, à tel point que Clopin, un jour, lui mit une muselière pour préserver la femelle. Le même Grand Noir nous mangeait dans la main… »

ouai elles s’en tirent toujours mieux que les criquets, les mantes et les araignées mâles qui se font bouffer par la femelle, actes de cannibalisme passant allègrement les mailles de la justice pénale et de la psychanalyse lacanienne.

hamlet dit: à

Jazzi : « Clopine, arrête de faire ton Dostoïevski toi aussi ! »

bien d’accord avec vous Jazzi, on a déjà greubou et et alii qui nous gonflent avec Dostoïevski, si en plus Clopine s’y met l’air va vite devenir irrespirable.

rose dit: à

Clopine

« je crois que la palme toutes catégories confondues revient à la baleine beluga. la femelle est poursuivie par plusieurs mâles qui, n’ayant cure de son consentement, la violent collectivement,violemment, au point que certaines femelles en meurent. La sélection naturelle est respectée : ce sont les plus costaudes qui s’en tirent. L’amour courtois des belugas, lui, par contre, n’en réchappe pas. »

D’où sortez-vous cette information ?

Moi j’ai vu au musée de l’Homme à Paris dzpuos sa réfection une video extraordinaire montrant l’accouplement des cétacés.
C’était un ballet incroyablement doux et harmonieux durant lequel effectivement il y avait de multiples copulations de plusieurs mâles auprès d’une femelle. Nulle part je n’ai vu viols et brutalités.

Clopine dit: à

Certes, Hamlet. Une petite remarque tout de même en passant. Question anthropomorphisme, l’attribution de comportements humains aux animaux respecte un ordre : d’abord les mammifères, ensuite les autres bestioles, et in fine seulement, les insectes.

La mante religieuse ne sera jamais assez remerciée. Elle est l’exception qui confirme la règle : on la charge de tous côtés d’une féminité assassine. Heureusement qu’elle est là, à côté de deux trois autres bestioles, pour servir de contre-exemple !

Serait-elle chargée de toutes les peurs masculines en la matière ?

(c’est juste une question, messieurs, hein. Je n’affirme rien…)

Surtout qu’on ne sait pas grand’chose des rapports amoureux chez les amibes…

Nous savons seulement qu »’emmiellée dans la bile humide, l’amibe, ami, mine le bide ».

Et que les amis de nos amibes sont nos amibes. Nos amis. Bref.

(d’accord, une fois de plus, je ne sors pas. Mais vous verrez le 11 mai, mordedieu !)

hamlet dit: à

Marie Sasseur dit: « En 2 liens Renato a rendu le confinement trop court…;-) »

commentaire qui fait plaisir à lire !

Chaloux dit: à

L’amanquédoxygénoclopine pense que les cétacés devraient s’offrir des bagues de fiançailles!

Hurkhurkhurkhurk!

Clopine dit: à

D’un voyage au Québec, Rose, où nos guides amérindiens nous ont emmené voir les baleines et nous ont raconté ceci sur les bélugas; je les ai crus, naïvement, allez savoir ?

Comme j’ai cru ce qu’ils nous disaient du destin des cétacés dans le golfe du Saint-Laurent. Ces animaux sont tellement pollués (notamment par l’eau provenant des Grands Lacs américains, déversant toute la saleté de la civilisation nord-américaine dans le Saint-Laurent) que, lorsqu’ils meurent, leurs dépouilles sont acheminées vers des décharges : ils sont tous trop pollués pour qu’on puisse faire quoi que ce soit, même de leur graisse.

Nous n’étions pas, ce jour-là, dans une de ces navettes affrétées pour aller voir les baleines. Nous avions fait l’effort de « sélectionner » nos guides, pour donner notre pognon d’honnêtes (même si maladroits) touristes plutôt aux autochtones. Eh bien, l’histoire des baleines considérées comme des déchets toxiques amenait sur leurs visages la même tristesse et la même incompréhension que celles qu’on voit à l’écran, dans le film « little big man », envahir le visage des indiens, arrivant dans une plaine où tous les bisons ont été massacrés à plaisir…

Vous savez, Rose, ne le prenez surtout pas mal je vous en supplie, donc, surtout pas pour vous mais pour ce que les citadins en général renvoie à la gueule des ruraux (voir Chaloux et son dindon), mais moi, je vis aux champs.

Pas chez Disney.

et alii dit: à

détail intéressant dans la bio de Tolkien(lien du billet)
Tolkien découvre que ses cousines ont inventé une langue imaginaire, l’animalique, un langage dont le vocabulaire est principalement formé de noms d’animaux. Un an plus tard, alors que l’aînée Marjorie n’est plus intéressée par l’animalique, Tolkien et Mary inventent alors le nevbosh,
des filles donc! cela a été souvent remarqué que des filles inventent une manière de « communiquer » ;mais là, c’est précis

rose dit: à

Janssen J-J dit: à
Hommage à deux grandes dames qui eurent le mérite de prendre soin de l’œuvre de leur conjoint en s’effaçant durablement devant eux. Étrangement, leur veuvage respectif ne dura que très peu de temps, car elles ne survécurent que quelques mois à leur compagnon : Simone Boué pour E. M Cioran, et Liselotte Jünger (‘le Taurillon’ dans les journaux d’Ernst, des « 70 s’efface »).

Et Martine Franck pour Henri Cartier Bresson.

OZYMANDIAS dit: à

hamlet dit : ( Avez-vous déjà vu un chat monter une chatte ?…).

Heu… non seulement j’l’ai déjà vu mais j’l’ai fait des milliers de fois. Monter une chatte, c’est simple comme baisejour : Tu pénètres, tu patines, t’éjacules et tu dors après… héhéhé !
Mais bon sang hamlet, t’as quel âge bordel ?
Ne me dit que tu t’astiques la tige en regardant des minous qui miaoutent avec des minounettes ?!
Mais qu’il est marrant ce hamlet.

hamlet dit: à

Clopine, je sais, la nature est cruelle.

par exemple pour la chatte la chose la plus douloureuse pour elle ce n’est n’est certainement pas les coups de griffes, mais les épines recouvrant le pénis du mâle, ces épines raclent le vagin de la femelle dans le but de provoquer l’ovulation.

ces épines présentent chez la plupart des mammifères mâles provoquent une douleur bien plus grande que les morsures ou les coups de griffe.

ces épines existaient chez l’humain il y a quelques millénaires, aucun zoologue ne sait pourquoi elles ont disparue au fil de l’évolution.

loin de moi l’idée de dire ça pour dire que les femmes n’auraient pas à se plaindre.

cela dit, par solidarité féminine, vous pouvez toujours demander à votre vétérinaire de les enlever à votre chat.

hamlet dit: à

« OZYMANDIAS dit: à

hamlet dit : ( Avez-vous déjà vu un chat monter une chatte ?…).
 »

OZYMANDIAS, vous aurez sans doute remarqué les guillemets : ce n’est pas de moi, je citais une partie du commentaire de Clopine.

Janssen J-J dit: à

@ que j’attends d’un homme tel que vous, que vous souriiez en admettant que, eh ben oui, de la même manière que j’ai appris de ma mère que flatter l’ego masculin peut vous procurer pas mal d’avantages (et il me serait si facile de le faire, je suis tellement formatée pour ça, que parfois, hop, cela m’échappe), eh bien, une expression reflétant un « temps d’avant » où les veuves étaient rarement joyeuses, vous a tout bonnement échappé, et ne reflétait pas votre pensée.

Ne comprends pas ce que vous attendez d’un « homme tel que moi ». L’est pas du genre à trop supporter qu’on fasse les questions et les réponses. Désolé, je ne comprends rien à votre propos.
La vie rurale est beaucoup plus simple et vous la compliquez à loisir. (ah aha ah soupir 🙂 🙂 😉 😉 ces émoticônes vous sont-elles suffisantes ?
Effectivement…, jamais entendu parler de viols collectifs chez les bélugas.
S’agissant des mantes R, je vous renvoie à l’eouvre du grand Louis Calaferte (que vous devez détester…). Machin n’a pas encore compris que la mante aidait le petit mâle lors de la copulation à éjaculer avec certitude pour la féconder. Or, quoi de mieux pour cette reine que d’étrangler le mâle consentant ? Une histoire revue et corrigée dans je sais plus quel film japonais des années 70, chez deux êtres humains.

hamlet dit: à

la nature est cruelle, mais rien n’empêche l’homme de la rendre moins cruelle. Il suffirait de modifier quelques gènes pour supprimer ces épines sur les pénis des mâles, pour éviter que les mâles torturent les femelles pendant l’accouplement, et même pour permettre aux lionnes de se dorer la pilule sur un rocher pendant que le lion s’occupe de l’éducation et d’aller faire les courses pour nourrir ses petits !

rose dit: à

Clopine

Ilvs’agit du Musée Bational d’Histoire Naturelle à Oaris.
Je cherche.

rose dit: à

« féconder. Or, quoi de mieux pour cette reine que d’étrangler le mâle consentant ? Une histoire revue et corrigée dans je sais plus quel film japonais des années 70, chez deux êtres humains. »
L’empire des sens.

De Karasawa Hoshiguto.

rose dit: à

Il s’agit du Musée National d’Histoire Naturelle à Paris.

rose dit: à

Réalisateur : Nagisa Ōshima
1976

C’est pareil. Japonais.

hamlet dit: à

Clopine, autre chose, chez les mammifères l’affrontement entre les mâles est lié à la taille de leurs testicules, plus ils sont petits et plus ces affrontement sont violents, par exemple si ça s’affronte plus chez les baleines que chez les orques c’est simplement parce que les testicules des orques sont plus gros.

à noter aussi que chez l’orque l’éducation des petits, dévolue à la mère, est sévère, c’est la femelle qui engueulent le plus ses petits et lui met même des baffes à coups de nageoire dès qu’il joue à faire le malin.

quand on sait que l’orque est un des seuls mammifères où la femelle se permet une pluralité masculine on ne peut pas dire que cette pratique adoucit son comportement.

encore que je sais pas si les orques femelles sont plus sévères avec les petits quand ils sont mâles que femelles ? auquel nous serions face à un cas de discrimination sexuelle.

OZYMANDIAS dit: à

@ Rose

C’est qui ce Karasawa Hoshuguto ?!?!?!

« L’Empire des sens » film terriblement sensuel de Nagisha Oshima.
Et l’autre grand cinéaste nippon est Akira Kurosawa.
Karasawa !!!

rose dit: à

Clopine

C’était ça ; ne sais si vous aurez le film.

Un ballet gracieux bien loin de votre récit.

rose dit: à

C’est un nom japobaisxsui m’est venu Ozymzndias.

rose dit: à

C’est un nom japonais qui m’est venu Ozymandias.

J’ai des lunettes.

Marie Sasseur dit: à

@si vous avez lu tout le texte envoyé par Renato,vous aurez retrouvé des masques (je n’arrive pas à copier)

Moi non plus, ça passe pas la douane…

D’un autre côté autant que cette Terre du milieu reste confidentielle.

C’est une mine ce texte d’un apparenté au cartographe Charles Jacot-Guillarmod.

Pour les masques, pas ceux vendus aux plus offrant en Chine, mais ceux qui auraient pu inspirer Tolkien,( quelle histoire, presque aussi bien, enfin différente, de celle de Kipling dans les Pyrénées…) les voilà

https://www.loetschental.ch/fr/culture/tschaeggaettae–carnaval

Chaloux dit: à

Le dindon clopinien, c’est l’histoire d’un imbécile incapable de comprendre qu’on ne punit pas de mort un animal pour une faute qu’il est incapable de comprendre. C’est un problème de débilité mentale, y compris de celle qui l’a raconté. Ville-campagne, rien à voir.

Chaloux dit: à

Réponse de ED:
Ed dit: à

Non Chaloux c’est du délire. Je n’ai jamais dit ça pour la simple et bonne raison que je ne te connais pas et sans vouloir te vexer, je me fiche bien de savoir si des personnages virtuels sont alcooliques ou pas. De toutes façons tout le monde l’est devenu avec le confinement, ce que je trouve affolant. Mais c’est un autre débat.

Donc, la vieille maîtresse d’école est une mythomane délirante et une calomniatrice de la dernière espèce, qui aura à s’expliquer un jour où l’autre.

Ed dit: à

ok jjj, je vais essayer de tenir le coup. Pourquoi 1000 pages ? La version anglaise en fait 624 🙂

et alii dit: à

merci marie pour les masques :impressionnants;
bonsoir

Ed dit: à

Et puis qu’est-ce qu’un pavé ? J’ai lu L’autre nom de Ferrante il y a qq semaines. 550 pages et pourtant ca se lit en 3 jours.

B dit: à

Donc, la vieille maîtresse d’école est une mythomane délirante et une calomniatrice de la dernière espèce, qui aura à s’expliquer un jour où l’autre.

Si c’est de la stratégie , c’est du lourd et le plan est usé , faudrait changer les cordes. Il faudra un jour que je m’attaque à Machiavel pour oublier les manoeuvres grotesques et farcesques si souvent rencontrées. je suis trop conne pour le jeu d’échecs. Nous avons constaté récemment avec le voisin JD que vous étiez en mesure de converser alors que vous étiez orageux, ombrageux, presque menaçant monté sur vos ergots ou vos grands chevaux. On ne sait pas trop qui vous équipe.

Marie Sasseur dit: à

C’est une autre histoire, une autre guerre, un autre « tu seras un homme mon fils »

et toi ma fille tu feras du vélo…sténo, quoi.

« [quand j’avais] environ quatorze ans et seulement capable de taper avec deux doigts, je tapais les premiers chapitres du Seigneur des Anneaux, [mon] intense excitation au début de l’histoire et [ma] terreur lors de la poursuite des hobbits par les Cavaliers Noirs alors qu’ils quittent le Comté. — Priscilla Tolkien »

en lien ( très dense) dans le billet

bonsoir et un très grand merci, vraiment.

B dit: à

Hamlet chéri, je m’absente plusieurs jours, un congé sanitaire s’impose à moi. Recevez toute mon amitié.

Jazzi dit: à

 » la poursuite des hobbits par les Cavaliers Noirs alors qu’ils quittent le Comté. »

Dans l’extrait cité en début du commentarium, le traducteur a traduit par La Comté. C’est mieux !

DHH, dit: à

@Ed
je suis allée faire un tour sur votre blog
vos photos de Thaïlande sont somptueuses mais ce qui a été une vraie découverte, c’est la ravissante jeune femme blonde qui apparaît sur certaines photos

Janssen J-J dit: à

ok jjj, je vais essayer de tenir le coup. Pourquoi 1000 pages ? La version anglaise en fait 624

non point, Ed… sur le post précédent, je vous ai suggéré de laisser tomber… (version française, euh 800 pages environ, de fait).

christiane dit: à

Bonsoir, Ed,
j’ai donc pris le titre du billet (« Voilà. je te mets un peu de tout… ») pour le nom d’un nouveau blog car avant c’était, en bandeau : « tomtom… »
Oui, j’ai ressenti à contre-courant de l’impression majoritaire des lecteurs qui ont émis un avis sur internet, un ennui en lisant ce roman de Powers.
Quant au délire de chaloux, et ses assertions mensongères, n’en tenez pas compte. Je ne lui ai jamais parlé de vous.
Il ne digère pas, qu’un jour, excédée par l’accumulation de ses grossièretés à mon égard et de ses allégations mensongères (il prétendait que j’écumais les rencontres littéraires des librairies en assommant par du verbiage libraires et public assistant à ces rencontres. Étant certaine de mes rares présences à ce domaine je l’ai poussé à bout dans son mensonge. Il est devenu ordurier.) Je lui ai dit alors qu’il devait certainement avoir bu plus que de raison. Il était furieux.
Quand il m’a demandé ce qui me permettait d’oser insinuer qu’il buvait, je lui ai répondu, qu’une femme qui « pourtant l’aimait bien » et disait « bien le connaître », avait ajouté « que le problème c’était son addiction à l’alcoolisme ». Je n’ai pas donné le nom de cette correspondante personnelle. Depuis, il essaie de prouver que j’ai inventé cette information et presse toutes les femmes de ce blog de répondre à la question qu’il vous a posée… sauf une… car il sait qu’elle est honnête et que sa réponse serait affirmative.
Il la porte aux nues et ne veut pas briser son rêve.
Il dit que personne ne le connaît ici et qu’il ne connaît personne.
Dans le même temps il presse les uns et les autres de répondre à cette question, même ceux qui ne sont pas des femmes !
Cet homme a vraiment un problème grave. Je ne pourrais vous répéter toutes les insultes, insinuations graveleuses qu’il a émis à mon égard (prostitution – sévices à enfants – idiotie – calomnie…). Il a même prélevé quelques lignes d’une scène d’un roman de S.Bellow « La planète de Mr Sammler » (scène pour laquelle JJJ n’avait pas la même opinion que moi donc je l’avais citée en entier).
chaloux qui se montre particulièrement obsédé ou scatologique ou sexuel l’a tronquée et utilisée pour une démonstration de mon obscénité.
Enfin, cet homme est un grand malade (folie obsessionnelle ou alcool), la violence est là, le submergeant.
Je crois que dans la vie réelle il pourrait être dangereux.
Bref, faites attention à vous.
Votre voyage au Vietnam est superbe.
Amitiés.

Jazzi dit: à

« il essaie de prouver que j’ai inventé cette information et presse toutes les femmes de ce blog de répondre à la question qu’il vous a posée »

Pas que les femmes, Christiane !

et alii dit: à

ed, j’ai cru comprendre, à la différence des autres lectrices erdéliennes, que votre voyage-et les photos-était en  » Thaïlande mérite son étiquette de « pays du sourire » ; »
pouvez vous confirmer ? CEST TRES BEAU

rose dit: à

J’ai répondu hier ou bien avant hier.
C’est moi qui, en privé, Christiane, càd hors blog vous ai parlé de l’alcoolisme d’un que je ne connais pas.
C’est donc la seconde fois que je l’assume.
Prévenez-moi si je dois le faire tous les jours.
Il est vrai qu’à côté, je n’ai aucun emmerdement et donc uniquement cela à gérer.

rose, droite et fière

D. dit: à

Franchement Ed, avec le bagage intelletuel que tu as, t’aurais pu reprendre une scierie dans les Vosges au lieu que d’aller faire des selfies à la con en Thaïlande devant des soupes et des chatounets bridés.

et alii dit: à

SUSPECT/
Fièvre, toux, courbatures, maux de tête, fatigue extrême, perte du goût et de l’odorat étaient jusqu’à présent les symptômes provoqués par le coronavirus. Un autre semble vouloir s’inviter sur la liste comme s’en inquiètent les dermatologues qui ont remarqué chez des patients de nombreuses manifestations cutanées possiblement en lien avec la maladie du Covid-19.

D. dit: à

Et ton bilan carbone n’en aurait été que meilleur. Le bois c’esr du renouvelable. Pas comme le kérosène.

D. dit: à

J’ai eu ces manifestations cutanées, et alii, plein de petites pustules sur les avant-bras pendant trois jours.

Janssen J-J dit: à

@ Enfin, cet homme est un grand malade (folie obsessionnelle ou alcool), la violence est là, le submergeant.
Je crois que dans la vie réelle il pourrait être dangereux.
Bref, faites attention à vous.

Si je puis me permettre Ch., il y a longtemps que Ed. lui a réglé son compte, à ce petit con. Ne voyez-vous pas qu’il rampe devant elle comme un roquet, maintenant ? En effet, c’est un pitoyable malade, pervers narcissique, comme elle l’avait admirablement décodé voici un an ou deux, qui se croyait devoir lui donner des leçons d’écriture et de pianola… alors qu’il est incapable lui-même d’aligner trois phrases, sans proférer une ordure… Avez-vous au moins vu comment son blog où on allait voir ce qu’on allait voir, a tourné en jus de boudin au bout de son 2e vomi ? le blog Hurk hurk hurk, auteur Tokup. Édifiant il fut, et phenix, il ne ressuscita pas. Eternel retour en son cul de basse fosse, comme l’avait utilement éjecté passoul… Essaie pourtant bin de s’en extraire, n’y arrive point.

christiane dit: à

rose dit: « J’ai répondu hier ou bien avant hier.
C’est moi qui, en privé, Christiane, càd hors blog vous ai parlé de l’alcoolisme

d’un que je ne connais pas. »

Oh, Rose ! Comment osez-vous !
A L’avenir gardez votre courrier. Je vous enlève de ma liste de correspondants

« C’est donc la seconde fois que je l’assume. »

Non, Rose. Vous n’assumez rien du tout.

« je n’ai aucun emmerdement et donc uniquement cela à gérer. »
Bonne chance pour votre mère.

« rose, droite et fière »
Fière de quoi, Rose ?

christiane dit: à

Janssen J-J dit: « Si je puis me permettre Ch., il y a longtemps que Ed. lui a réglé son compte, à ce petit con. Ne voyez-vous pas qu’il rampe devant elle comme un roquet, maintenant ? En effet, c’est un pitoyable malade, pervers narcissique, comme elle l’avait admirablement décodé voici un an ou deux, qui se croyait devoir lui donner des leçons d’écriture et de pianola… alors qu’il est incapable lui-même d’aligner trois phrases, sans proférer une ordure… Avez-vous au moins vu comment son blog où on allait voir ce qu’on allait voir, a tourné en jus de boudin au bout de son 2e vomi ? le blog Hurk hurk hurk, auteur Tokup. Édifiant il fut, et phenix, il ne ressuscita pas. Eternel retour en son cul de basse fosse, comme l’avait utilement éjecté passoul… Essaie pourtant bin de s’en extraire, n’y arrive point. »

Oui, JJJ, il est exactement comme cela.

rose dit: à

Ah Christiane, je vais raconter cela sur le blog, puisque le hors blog arrive sur le blog.

Cet homme que je ne connais pas, j’en fais un portrait à l’opposé du vôtre.
Incroyablement doux, et maladivement timide, il est cultivé.
Ne ferai pas de mal à une mouche et ne couperai pas un ver de terre en tronçons.
S’intéresse aux gens et aux peuples.
Plutôt hypocondriaque et ne désirant pas mourir quoique faisant tout pour.
D’une pudeur certaine, féru de littérature de musique de cinéma de sciences du quantique et des cantiques, d’astrologie et d’astronomie.
N’aurai pas voulu divorcer mais a divorcé.
Vous emmerde alors qu’il vous aime bien à jazzi pareil ; comme s’il ne savait pas vous aimer bien sans vous emmerder.

Alors que vous êtes hyper douée Christiane que j’apprécie beaucoup, pour dresser les traits des personnalités que vous côtoyez ici, cet homme hyper doué aussi et plus encore, talentueux, vous passez à côté.

Être alcoolique est un drame, une maladie, une dépendance. Y a un homme letton, marin de surcroît, qui est tombé en mer hier et que nous n’avons pas repêché.

Moi, je suis comme Lavande : ces disputes m’insupportent. Elles prennent de plus en plus de place.

christiane dit: à

Jazzi dit: « « il essaie de prouver que j’ai inventé cette information et presse toutes les femmes de ce blog de répondre à la question qu’il vous a posée »

Pas que les femmes, Christiane ! »
Oui, j’ai vu. C’est un délirant…

christiane dit: à

Non, Rose, je ne vous lirai plus.

Chaloux dit: à

Rose, ce n’était pas malin de votre part. Ce genre de propos à la maîtresse d’école ratatinée qui ne comprend plus rien de ce qu’elle lit et probablement n’a jamais compris grand-chose, vraiment, apprenez à vous retenir, parfois.
Je ne vous en veux pas, trop d’estime pour vous, mais la vieille bique me le paiera.
Bonne soirée.

rose dit: à

Christiane

Vous n’arrêtez pas d’en parler tous les jours sans me citer.
Mais j’en ai RAS LE BOL.
Alors c’est la seconde fois, je le dis, c’est moi qui est dit que trucmuche est alcoolique.

et alii dit: à

D, je ne saurais rien vous en dire: voyez un dermato:tous ont certainement l’information que j’ai transmise et vous serez rassuré et/ou orienté pour traiter ce désagrément et en comprendre les causes; je suppose que ça évolue , et même assez vite; donc prenez la chose au sérieux , surveillez , et vous connaissez surement les démarches à suivre;courage ! et dites nous vite que ça va
bonsoir

et alii dit: à

he bien, nous découvrons tous qu’il faut être réservé
aussi bien hors blog que sur le blog, et quel que soit le sujet , ne pas traiter les gens de « menteur » (euse) ni de débauché(e) je ne le déplore certainement pas;

rose dit: à

C’est moi qui ai dit que …est alcoolique.

L’orthographe bordel.

rose dit: à

Les manifestations cutanées, D. sont le bout des doigts rouges.
Pas des pustules sur les avant bras.

Chaloux dit: à

1) Je ne bois pas, et je n’ai jamais bu.

2) Me font la morale:

– Un type extrêmement grossier et salace, une punaise de lit prétentieuse qui ne sait jamais ce qu’elle lit, et qui n’hésite pas à trahir ses amis publiquement, ce dont je vais m’occuper activement, j’en ai tout le temps en ce moment.

– Un infime bout mou à la ramasse tellement abruti qu’il finit par proférer des menaces de mort.

– Une vieille institutrice larguée par tout le monde, calomniatrice, vulgaire, sotte comme un panier, dont personne ne sait plus que faire au-delà du troisième paragraphe de sa prose outrée et ridicule, et qui multiplie les immixtions brutales et obscènes dans la vie privée et l’intimité d’autrui, même par le mensonge, la calomnie et la mythomanie pour ce qui me concerne.

D’horribles aptères qui s’agitent en tout sens, bien fâchés qu’on leur mette le nez dedans.

C’est fait pour les trois.

Bonne soirée,

Chaloux dit: à

Jazzi dit:
Oui, j’ai vu. C’est un délirant…

Jazzi, tu n’es qu’un ordure, c’est pourtant moi suis calomnié par cette vieille andouille et c’est elle qui a raison.

christiane dit: à

rose dit: « Christiane,
Vous n’arrêtez pas d’en parler tous les jours sans me citer. »
C’est lui qui en parlait tous les jours.
Il sème le vent et récolte la tempête.
Votre portrait de lui est un livre à l’eau de rose. Ce sale type est une or… (Je vous laisse le soin de continuer).
Donc je n’avais pas menti ! qu’il se le dise. Et s’il ne m’avait pas poursuivie de ses mensonges, de ses accusations, de ses insinuations dégue… (je vous laisse le soin de continuer), jamais je n’aurais eu l’idée de lui demander s’il n’était pas complètement ivre.
Quant à notre correspondance privée, Rose. TERMINÉE. Vous m’avez trop déçue.

Janssen J-J dit: à

@ Je ne vous en veux pas, trop d’estime pour vous, mais la vieille bique me le paiera.

Trait typique du pervers narcissique. Sauter sur l’occasion de qui lui semble arriver à sa rescousse, et reprendre la main de la domination sur cet.te allié.e inespéré.e. Le ou la flatter en voussoyant poliment, et surtout en faiaant mine de ne pas vouloir être plaint, (je suis un grand garçon et n’ai point besoin de cela)… Enfin, menacer à distance comme le roquet qui aboie, protégé par sa mémère psychanalyste d’épouze imaginaire (quelle farce), tel le ioche vexé par la personne qui lui résiste obstinément (…tu me le paieras, j’irai le dire aux juges, je te trainerai en justice, j’ai mes copies d’écran… et je vais déposer ma main-courante, tu vas voir… + les noms d’oiseaux afférents, comme il se doit, qui vont bien faire se gondaler les keufs et les juges).
Oh Jazm, il ne vous aime plus non plus !… Vous avez osé lui résister vous aussite…
Resss pu grand monde sur le pré.
Ah si… j’oubliais : « dis-moi mon Pablo : ne trouves-tu pas que la grande symphonie a quelque chose d’irréel dans le passage de la harpe joué par Lili Laskine ? »…
Ouarfl.

Chaloux dit: à

Cricri Gobe Tout : Depuis, il essaie de prouver que j’ai inventé cette information et presse toutes les femmes de ce blog de répondre à la question qu’il vous a posée… sauf une… car il sait qu’elle est honnête et que sa réponse serait affirmative.

Il fallait bien que je sache qui me calomnie. Comment pouvez-vous croire que j’allais laisser cela sans suite?
Je ne connais pas Rose, dont j’apprécie les posts et elle ne me connait pas.
Mais suffit pour l’instant, attendons la fin du confinement. Nous nous expliquerons.

OZYMANDIAS dit: à

@ Chaloux

J’ai une immense estime pour vous.
Je tenais à vous le dire.
Voilà qui est dit.

Chaloux dit: à

Oui, enfin, je suis or… (je vous laisse compléter) et un pervers narcissique, mais je ne bois pas, la vieille bique a menti. C’est pour moi l’essentiel.

Quant au reste, Gigi, tu peux m’insulter, c’est moi qui te tiens par la barbichette et je vais m’amuser un peu (prends bien ton traitement pour le cœur… Ne va pas l’oublier)…

Hurkhurkhurk!

Janssen J-J dit: à

@ Un type extrêmement grossier et salace, une punaise de lit prétentieuse qui ne sait jamais ce qu’elle lit, et qui n’hésite pas à trahir ses amis publiquement, ce dont je vais m’occuper activement, j’en ai tout le temps en ce moment.

Censé être Gigi la visqueuse menacée, ça ?… Enfin de quoi tokuper !… Vas-y mon grand, fonce… Déconfine-toi un brin, si ça peut soulager ta soulographie invétérée, te sortir de ton CDBF au fin fiond du CDF !… Moi j’ai toujours été pour la guérison des grands malades, même si c’est long et si ça réussit pas souvent, hélas.

et alii dit: à

je me demande s’il n’y a pas eu , de la part des hommes surenchère de scénarii salaces, pour faire monter l' »ambiance  » anti corona, et sans égard pour les « cibles »,et comme on pouvait s’y attendre des femmes ont emboîté le pas à ces fantasmagories infantiles; même si ça n’amusait personne et qu’on délaissait des billets qui appelaient un travail de recherche ;
il est temps de digérer le coup , de concevoir que la RDL n’est pas à l’abri de ce genre de bêtise partagée ;bonsoir

Chaloux dit: à

Non Gigi, je ne te menace pas, je te préviens. Ton ami « Philippe », je vais le trouver et l’informer de ce que tu fais ici, preuves à l’appui. C’est toi-même qui dis « il me tuerait ». Tu ne crois tout de même pas que je vais laisser passer l’aubaine… Je tente! Tu as tellement souhaité publiquement et en toutes lettres la mort des autres ici que tu ne peut pas m’en vouloir.

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

peux

D. dit: à

Vous n’avez pas de connaissances en dermatologie, et alii ? Rose dit que mes pustules ne peuvent provenir du Covid. Ce n’est pourtant pas ce que j’ai lu, à plusieurs reprises.

Janssen J-J dit: à

@ Jazzi, tu n’es qu’un ordure…,

@ Quant au reste, Gigi, tu peux m’insulter…,

… Ah ouais ?… Le PN qui dit tout et son contraire sur trois posts sans se rendre compte à quel point il se mord la queue en permanence avec ses menaces azimutées.. CQFD ! Et dire qu’il en est encore qui viennent l’enfoncer un peu plus dans son état lamentable, rôz & ozamandys… Grave.
(PR : « la pitié dangereuse », de S. Zweig)

et alii dit: à

D, je suis incapable de mettre des mots sur ces pustules que je ne vois pas dont vous ne dites pas si elles vous démangent (etc) allons soyez sérieux D, ne mettez pas dessus n’importe quoi(peut-être de l’éosine) et demain vous serez délivré de l’appréhension ;un vrai médecin D, même à l’hosto s’il le faut , avez vous été dépisté ? ALLEZ ? SOYEZ RAISONNABLE? DONNEZ L EXEMPLE ne vous grattez pas ; et pensez à toutes les questions que vous voulez poser à un homme de l’art s’il a le temps!
courage courage, bonsoir

Chaloux dit: à

Cricri Gobe Tout
Donc je n’avais pas menti ! qu’il se le dise.

Répéter une information fausse c’est encore pire que de mentir, la colporter d’une manière obscène et sans vergogne comme tu l’as fait pendant des semaines, c’est une faute encore plus grande. Tu dois expier!

Chaloux dit: à

Et la Gigi aussi doit expier. Quand son ami Philippe viendra lui faire un bisou, j’espère qu’on entendra sa graisse crépiter jusque sur les bords de la Charente.

christiane dit: à

OZYMANDIAS dit: à @ Chaloux
« J’ai une immense estime pour vous.
Je tenais à vous le dire.
Voilà qui est dit. »
Eh bien, voilà qui est clair ! Si vous approuvez les insinuations salaces et ordurières, ses calomnies, ses mensonges permanents de ce malade, je vous juge digne de lui, c’est-à-dire pas grand chose de bien. Qui se ressemble, s’assemble.
J’élague. Moins de commentaires à lire : Rose, l’ord… de chaloux et vous. Le blog va devenir reposant.

Chaloux dit: à

Pour la Gigi, lire plutôt Comment découper un cochon

christiane dit: à

Chaloux,
dites donc, vieille ord…., ne vous en prenez qu’à vous. Malade obscène. Vous pourrissez ce blog par votre malveillance. Vous ne valez rien, mais rien du tout.

christiane dit: à

Janssen J-J,
bravo pour votre lucidité et votre franchise. Ce chaloux, c’est une honte faite homme. Une limace répugnante. Un bloc de haine et de mensonges. Un jaloux vicieux. Vous avez mille fois raisons.

D. dit: à

Je n’ai plus ces pustules, et alii.
Vous me demandez si elles me démangent ; non puisque je ne les ai plus, et quand je les avais, non plus. Mais elles étaient assez spectaculaires parce que très zonées. Comme si une ligne tracée les empêchaient de s’étendre au reste de l’avant-bras. Et comme par hasard c’est survenu il y a 3 semaines en même temps que les autres petits symptômes de sûres, de fièvre à 38, de maux de tête, de trachée qui brûlait, de yeux rouges.
Bizarre.

Chaloux dit: à

Cause toujours vieille p… (tu complèteras toi-même), tu ne passeras pas au travers.

D. dit: à

Tout le monde ne peut pas être limace en même temps. Faites un choix dêfinitif.

christiane dit: à

cadeau de Rose à chaloux, qu’elle a dit connaître très bien : « Être alcoolique est un drame, une maladie, une dépendance. »
Soignez-vous, Chaloux avant qu’il ne soit trop tard…

D. dit: à

Je trouve qu’ils se foulent pas trop à la société de dermatologie. Des articles comme ça je peux en pondre deux douzaines, moi, et sans être dermato.

Chaloux dit: à

Cricri, je n’ai jamais bu, mais j’ai un excellent traitement pour toi. Car tu dois être corrigée.

et alii dit: à

D, faites vous dépister(ce n’est presque rien ,le nasal)et surveiller et voyez quand même un dermato si c’est si localisé et net ;c’est bien que vous n’en sentiez aucune douleur, mais observez l’évolution;même une nuit ; courage, dormez bien(prenez même quelque chose pour dormir si ça vous tracasse de trop:verre de schnaps ou 1/2 d’une « saloperie de pharmacien » comme vous en connaissez qui vous réussissent;à demain!

Janssen J-J dit: à

Allons bon… De mieux en mieux, la barbichette menaçante, ast’heure !…
« Philippe me tuerait »… Voulez-vous ses coordonnées pour aller plus vite en besogne ?
Il a bien ri quand je lui ai expédié tous les copiers-collers de ma correspondance avec rôz au sujet de sa maman. S’est montré ravi d’avoir pu l’aider en évoquant sa grand mère. Il a surtout été ému de l’élégance de rôz quand elle m’a prié de lui expliquer l’objet de mes demandes. Non, Philippe n’est pas un tueur, et Chalumeau ne comprend tout à coup que le premier degré qui l’arrange.
Désolé Chalumeau, une fois encore à côté de vos pompes… Décidément pour le seul spécialiste de Proust que vous êtes ici, c’est étonnant et confirme amplement le trop fort balancement au berceau que vous avez subi en votre enfance quand vous attendiez le baiser de votre maman qui ne venait pas toujours.
Il vous faudra donc chercher autre chose pour vous venger de la haine dont vous donnez l’affligeant spectacle chaque jour sur la RDL, au point d’avoir réussi ce tour de force de faire sortir, à juste titre, passoul, des gonds de sa légendaire placidité.
Je vous précise par charité que les A.A. sont toujours ouverts et accueillants, même durant la période du confinement. Au motif du besoin de vous faire désintoxiquer d’urgence, on devrait facilement vous laisser passer.

Chaloux dit: à

Gigi, ne te fatigue pas, je ne regarde plus tes tombereaux de déjections qui ne tombent que sur toi. C’est ton seul côté prodigieux, cette production de masse. On se dit encore un, mazette.
Raconte tout ce que tu veux sur ton ami Philippe, je le ferai quand même.

D. dit: à

Allez-vous faire dépister. Si vous croyez que ça se passe comme ça !
Je vais appeler un médecin demain et quand je lui dirai que j’ai eu des symptômes et que je n’en ai plus et que je souhaite être dépisté il va évidemment me rire au nez.

OZYMANDIAS dit: à

@ Christiane

L’estime dont il est question est pour les commentaires littéraires et musicaux de Chaloux et pas pour d’autres choses.
C’est clair, je pense.

D. dit: à

Bon je vais me taper une vodka sur les conseils médicaux éclairés de et alii.
Bonne nuit à toutes et tous et à demain.

Janssen J-J dit: à

@ ces fantasmagories infantiles; même si ça n’amusait personne et qu’on délaissait des billets qui appelaient un travail de recherche
——–
C’est drôle d’imaginer que le commentarium de la RDL puisse servir à « faire un travail de recherche ». Parce que c’est ce que vous estimez faire à longueur de journée en linkant sur tout et n’importe quoi et sur le voyeurisme prétendument horrifié que suscitent chez vous les chamailleries habituelles ????
Vous avez dû avoir une drôle de carrière de chercheuse en judéo-lacanisme, dites donc ! Essayez de bien dormir, réparée, txfl.

Janssen J-J dit: à

je ne regarde plus tes tombereaux de déjections

(pardon pour le tutoiement)… Mais tu ne fais que cela mon bon… Et mes tombereaux sont tout à ton honneur.. Mais tu ne te rends jamais compte du déni dans lequel tu vis en permanence. C’est la définition même de ta capitulation habituelle, dès qu’on te met le nez dans le miroir merdeux de ta PN. Et maintenant; couché !…
Si tu oses répondre encore une fois à ce que tu ne lis pas… preuve sera faite que tu n’es pas encore conchié… Hélas pour toi, il faut bien t’enfoncer dans le crâne que tu n’auras jamais le dernier mot avec moi. C’est comme ça. Arrête de te mentir un brin, si tu veux sauver ton âme ; arrête de t’abriter derrière ta perversion narcissique. Tout le monde en connait la mécanique, désormais.

OZYMANDIAS dit: à

Bonne nuit à tous et à toutes.

Chaloux dit: à

Je n’ai absolument pas un pervers narcissique. Mais quand une vieille ou plutôt deux vieilles charognes me calomnient, j’obtiens la lumière, avec une certaine violence, peut-être mais c’est la seule manière que ces bestiaux comprennent…

Chaloux dit: à

Je ne suis/ je n’ai rien d’

et alii dit: à

vous êtes tous écoeurants en christiano goujateries
c’est l’esprit des contributeurs qui m’écoeure avec leur hors blog à se mamourer ;
il faut être un malade pour répéter à une personne qu’elle n’est qu’une juive, et un obsédé de l’origine; tout ça pour en arriver à des histoires de mémés d’arrière boutiques, et en période de corona;
et c’est ça des histoires d’amis et de familles ;
oui, justement, il y a eu un psy connu aussi parce qu’il buvait
un titre d’article à son propos :
Présentation de l’ouvrage de François Perrier. L’alcool au singulier, L’eau de feu et la libido
https://www.cairn.info/revue-savoirs-et-cliniques-2011-1-page-99.htm
et sur le nom duquel on disait « le père y est »
ce n’est pas de ma faute si vous êtes si insignifiants que vous ne trouviez que le judaïsme pour vous faire mousser! quand il est question de musique,on ne vous entend guère, avec votre accentPN; pourquoi diable ne vous fait-il ps un blog rien que pour votre petit clan, les gens de « votre acabit » de « votre milieu »? ça serait plus humain pour tout le monde!

et alii dit: à

si vous étiez si chers à P.ASSOULINE, il ferait un blog rien que pour le »petit clan » des gens « comme », qu’ils puissent être entre eux; et aillent chez les autres essayer de se faire aimer avec leurs contrefaçons en tout
non D, je ne fais pas de l’exercice illégal de la médecine , inutile d’insister avec moi, je vous renverrai toujours chez un professionnel agréé !

Ed dit: à

« je vous ai suggéré de laisser tomber »

Minute papillon. J’en suis à Douglas qui échoue sur un figuier des banians en Thailande. Ca me plaît beaucoup.

Ed dit: à

@et alii
« pouvez vous confirmer »

oui.

DHH
C’est très gentil de votre part. Ravissante si vous voulez. Jeune, un peu moins, car j’ai déjà 32 printemps.

Ed dit: à

Au secours ! Les autorités allemandes veulent ouvrir les écoles—lundi !!!

DHH, dit: à

@ED
il faut être bien jeune pour penser qu’à 32 ans on n’est plus jeune ?l’ainé de mes petits enfants n’a qu’un an de moins que vous….. alors moi je ne peux vous trouver que très jeune

Ed dit: à

Pour moi, vous êtes une jeune grand-mère DHH. Mes grands-parents sont nés pendant la Grande Guerre et sont morts quand j’étais encore mineure.

renato dit: à

Qu’est-ce que le Club des 5 ?

Patrice Charoulet dit: à

FASTOCHE !

Pendant le confinement général décidé par le Président, donc pendant l’arrêt de l’économie française et l’effondrement du niveau de vie, j’entends régulièrement à la radio des mots singuliers ,comme « Le gouvernement va débloquer tant de milliards pour les uns, tant de milliards pour les autres ». Aux ignorants qui se demanderaient d’où viennent ces milliards, je fournis un info qui leur avait sans doute échappé: Il y a dans les jardins de l’Elysée un « arbre à argent ». Dans cet arbre élyséen, on ne débloque pas vraiment l’argent, on le cueille, comme ailleurs on cueille des cerises ou des pommes. Puis on l’expédie à travers l’Hexagone
Fastoche !

rose dit: à

« Je n’ai pas vu ce magasin russe de Nice dont vous parlez quand j’ai été la dernière x, mais je peux imaginer, ces bonbons ont des emballages très ornementaux, des cadeaux modestes à offrir, qui me rappellent ceux que ma grand – mère ramenait de ses voyages en car en Italie chaque été.

[…]… quel boulet ! »

>Chantal

Quel boulet : sinon il ne serait pas votre ex.. Souhaitons lui toutefois de guérir.

Quand vous marchez vers la mer, il était à droite en faisant l’angle ce magasin russe. Empli de bibelots extraordinaires dont des poupées russes. Du caviar de la Baltique, du saumon fumé de je ne sais où, un rêve complet.
Mais, Chantal, je n’ai pas vu les bonbons. Ni leurs emballages. J’y ferai très attention la prochaine fois.

Mes deux premières balades ne seront pas en ville : la première sera au lac d’Esparron du Verdon.
La seconde sur la crête du Contadour, au dessus de la vallée du Jabron.

Chantal
C’est beau d’avoir un père en littérature. Quelle belle expression ! Je comprends mieux et partage votre chagrin : après, l’amour restera comme le diamant sorti de sa gangue.

Marie Sasseur dit: à

Renato, bonjour,
Je suis toujours à la lecture du topo guide suisse, ce que Tolkien doit à Berne et au Valais. C’est très loin très loin de n’être qu’une carte au 1/25000ème.
Ce texte, très précis, montre que sa redactrice- il s’agit en fait d’une femme- de parenté avec Charles Jacot-Guilletmod est une lectrice hors pair de Tolkien. Et n’hésite pas à remettre en cause la trad’ du Bilbo le Hobbit de Ledoux, à plusieurs reprises.

Deux petites faveurs, auriez-vous une astuce pour télécharger ce texte, et avec les photos, qui n’apparaissent pas sur le site wattpad, en lecture simple.
Et pourriez vous, si vous le connaissez, indiquer ici le nom de cette personne, qui mérite toute notre reconnaissance.

C’est pas urgent, je dois prendre la route, today.

Phil dit: à

Ne résistons pas, saluons l’aimable propos de Miss Sasseur. les routiers peuvent être sympas, probablement l’effet du volant fourrure dans le camion.

Marie Sasseur dit: à

Non non, le vicieux, pas de carpette dans l’auto. lol

et alii dit: à

merci ed;
vous êtes peut-être la benjamine avec32 ans;
mon fils est allé l’an dernier en Thaïlande avec sa femme qui y a appris à faire de la cuisine thaï et ramené un livre pour en faire chez elle : vous aussi?
BONNE JOURNEE

Phil dit: à

Dommage Miss Sasseur, mais les guirlandes clignotantes pour égayer la cabine sont probablement suffisantes. Vous devez probablement à la lecture tardive de Bilbo Le Hobbit ce large éventail des êtres vicieux.

Ed dit: à

Certainement pas dhh ! Je n’ai pas vraiment apprécié la nourriture thaïlandaise. Colle je l’ai indiqué dans mon article, elle est très épicée. En revanche j’ai ramené un livre de recettes lors de mon premier voyage au Vietnam. Il a pris la poussière ceci dit.

x dit: à

Rose écrit donc ceci :

« il est cultivé.
Ne ferai pas de mal à une mouche et ne couperai pas un ver de terre en tronçons.
S’intéresse aux gens[…]
N’aurai pas voulu divorcer mais a divorcé.
Vous emmerde alors qu’il vous aime bien […] »

Dont la FORME (conjugaison) apparemment ne choque personne. C’est-à-dire que personne ne s’est posé la question de savoir si ce qui était écrit là était compréhensible.

Lors d’une discussion précédente avec Rose, il a été impossible de se mettre d’accord sur le choix entre futur de l’indicatif et irréel (ce que l’on appelait mode conditionnel).

Ici elle consentira peut-être à reconnaître un brouillement des personnes ?
— Il, cet homme (imaginaire ?) que Rose décrit « est », « s’intéresse », « emmerde », accord logique à la 3ème personne, au présent de l’indicatif.
— Mais tout d’un coup, « ferai », « couperai », « n’aurai pas voulu ».
Tiens, Rose parle d’elle-même ? Car on est bien à la 1ère personne cette fois. Et au futur de l’indicatif.

Pour vous en convaincre (si c’est possible), je vous suggère de transposer tout votre texte au pluriel.
Parlant de plusieurs hommes (imaginaires ?) cela donne :

« ils sont cultivés.
Ne ferONS* pas de mal à une mouche et ne couperONS* pas un ver de terre en tronçons.
S’intéressent aux gens[…]
N’aurONS* pas voulu divorcer mais ont divorcé.
Vous emmerdent alors qu’ils vous aiment bien […] »

Les formes suivies de (*) au futur de l’indicatif, à la 1ère personne (mais du pluriel).

ou bien plutôt ceci, avec des irréels à la 3ème personne (du pluriel cette fois) :

« ils sont cultivés.
Ne ferAIENT pas de mal à une mouche et ne couperAIENT pas un ver de terre en tronçons.
S’intéressent aux gens[…]
N’aurAIENT pas voulu divorcer mais ont divorcé. »
Vous emmerde alors qu’il vous aime bien […] »

Crédulité de la correspondante ou pas, il est tout de même difficile de comprendre clairement ces lignes.
Simple étourderie ? Ou incapacité de distinguer entre le réel et l’irréel reflétant une confusion entre le réel et l’imaginaire ?

Marie Sasseur dit: à

Dites philopede, des enflures comme vous, ignorants, limite analphabètes, je n’en fais pas mon goûter. Allez tirer votre crampette ailleurs que sur mes com’.

Ma lecture tardive du Bilbo… comme je ne la regrette pas aujourd’hui, des années et des années plus tard. Elle est aujourd’hui augmentee et d’une manière tout à fait inattendue. Ce qui n’enlève rien au souvenir ému, et plus, de mes aventures avec Conan.

Je vais repeindre l’avant de l’auto, y’en a, comme le vicieux, qui ne savent pas lire.

christiane dit: à

Quelques fragments d’un très long poème de Vera Feyder :
Avec
« Avec quelque chose qui aurait mis longtemps
pour arriver au but, mais aurait su depuis
toujours la mesure d’un pas et le nord
incertain où les doutes reviennent
comme limaille au fer

Avec quelque chose qui s’en va loin dans un
ailleurs plus grand où l’absolu enfin voyage
seul à bord de ses vaisseaux et n’a cure
des eaux qu’il lui fait traverser tant
océan jamais n’eût large
si ouvert

Avec quelque chose qui justement se lèverait sans fin
dans la nuit incurablement blanche à c veilleur
que rien n’endort, et dont les rondes à bout d’effroi
ne rapportent que cendres, fumées, méconnaissables
ombres de ce qui fut vivant, torturé
puis dissous

Avec morsure d’infamie dont les dents sont restées
dans le tissu vivant comme l’arme encore chaude
d’un crime indéfiniment perpétré
Avec les pas du justicier qu’on aurait vu
aux premières lignes s’avancer
avec pour tout visage
celui que vérité tient encore en son puits
d’où ne remonte plus de ses silences armés
que plaintes murées vives
dans leurs cages de peau

Avec un regard qui tiendrait de la fragilité des choses
sa très grande pudeur d’en savoir long sur elles
– c’est que tout est maison à qui sait y entrer…

Avec celui qui n’en sortira pas sans laisser
à tout hasard utile, une clé sur les portes
un piani ouvert sur un chant continu
qu’étranger peut reprendre
voyageur emporter
s’il venait par nuit noire demander son destin
à qui aura passé le plus clair de sa vie
à défricher l’obscur, à ouvrir patiemment chemin
dans le chaos humain
en laissant juste à l’homme ce qu’il faut de
ténèbres pour être tout ensemble
la flamme et l’éclaireur

Avec paroles d’arpenteur qui aurait remonté le temps
dans tous les livres, en horloger penché
sur ses aiguilles dont la marche
forcée ne donnerait ni l’heure, ni le lieu
du repos à qui l’a tant cherchée
puisqu’au soir la parole retourne avec son parolier
au sable fin des mots que le sommeil marchand
remporte en ses bras silencieux

Avec un peu de quelque chose et un peu de quelqu’un
celui qui et cet autre qu’on ne verra jamais
j’aurais pu faire un portrait
si le mouvant avait été saisissable
le modèle figé
et si l’homme profond se laissait capturer
et fixer par des mots. »

x dit: à

Erratum dans la transposition au pluriel de la dernière phrase de ce texte passionnant et hautement littéraire ; j’ai laissé la dernière phrase telle quelle, alors qu’il aurait fallu :

« Vous emmerdent alors qu’ils vous aiment bien […] »

D. dit: à

Mes grands-parents sont nés pendant la Grande Guerre

cherchez l’erreur

D. dit: à

Ah non c’est moi qui me plante. Désolé, je te donnais 18 ans, Ed. Remercie-moi.

Alexia Neuhoff dit: à

Il est fort méchant ce portrait de Ian Parker dans le New Yorker. D’autant que si l’on fait le compte de ce qu’il reproche à Edna O’Brien, ce ne sont qu’approximations, spéculations, voire -si ses accusations sont avérées- des peccadilles. Reste à se demander ce qui a poussé ce petit rédacteur à vouloir déboulonner une statue avec ses méprisables fléchettes.

hamlet dit: à

l’air de ce blog est de moins en moins respirable.

Ed dit: à

Euh merci dede de m’avoir pris pour une mythomane pendant un instant. Oui mais grands-parents sont nés pendant la Grande-Guerre. Ils ont fait mes parents très tard à cause de l’autre guerre et mes parents m’ont faite très tard aussi à cause de…ben j’en sais rien mais le résultat est honnête uhh.

hamlet dit: à

pourquoi un petit rédacteur déboulonne une statue avec ses méprisables fléchettes ?

par conviction?

ou peut-être pour lutter contre un darwinisme social et intellectuel ?

à moins que chaque chose doivent bien rester à sa place ? le haut, le bas, les ėlus, les éliminés, les célébrés, les éradiqués….

hamlet dit: à

incroyable à quel point je ne supporte plus ces darwinistes et l’usage qu’ils font de ces mots comme « méprisables » dans le seul but qu’eux savent bien voir, de leur hauteur, ce qui dans ce monde est méprisable et ne l’est pas sans même se rendre compte que l’usage incessant de ce vocabulaire darwiniste les rend eux mêmes mėprisables.

hamlet dit: à

dans le seul but de montrer aux autres

Jazzi dit: à

C’est vrai, hot pepper, il n’y en a que pour Tolkien et rien pour Joyce !

OZYMANDIAS dit: à

« Quand dans un village, les gros maigrissent et tombent malades, cela veut dire que les maigres sont morts depuis longtemps ». Proverbe africain

« Quand à Paris, les bobos grossissent, cela veut dire que les ploucs sont maigres depuis longtemps ». Proverbe parisien

Jazzi dit: à

Ed, moi ce qui m’a le plus impressionné sur vos photos, c’est votre décolleté généreux ! Et aussi une certaine intranquillité dans le regard…

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