de Pierre Assouline

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La République des livres
Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

Lorsque l’exécuteur testamentaire est un homme, on dit non sans déférence que c’est un gardien du temple ; mais s’il s’agit d’une femme, elle sera facilement désignée comme une veuve abusive.  La paternité d’une expression aussi fleurie vient d’Anatole de Monzie qui intitula un libelle sacrément misogyne Les veuves abusives (Grasset, 1936). Il y épinglait huit héritières de grands hommes dénoncées pour leur comportement, toutes coupables d’avoir assassiné leur mari après avoir sa mort. A rebours de l’idée selon laquelle un gardien du temple, à l’égal des prêtres du temple d’une divinité de l’antiquité, se jure de l’entretenir et le défendre jusqu’à la mort. N’empêche : encore un bastion à démolir pour #MeToo ! L’urgence de la situation ne permet plus d’ânonner l’adage selon lequel derrière chaque grand homme il y a une femme, d’autant qu’il est souvent détourné par d’horribles machistes (« Derrière chaque grand homme il y a une femme qui n’a rien à se mettre » etc). Car c’est injuste : la veuve comme le gardien abusent autant qu’ils protègent.

Ils ne sont connus que des chercheurs, universitaires ou biographes, fabricants de notes en bas de page et fouille-merde. Le grand public ne découvre leur existence que lorsqu’ils  se révèlent être des fléaux. Ou à leur mort en lisant la rubrique nécrologique. Deux d’entre eux et non des moindres ont disparu presque en même temps en janvier dernier. Deux tempéraments, deux univers fictionnels et surtout deux manières d’envisager leur fonction d’héritiers littéraires totalement opposées sinon antagonistes : l’un Christopher Tolkien, c’était le bon ; l’autre, Stephen Joyce, incarnait la brute (ne cherchez pas le truand). Leurs noms vous disent déjà quelque chose à défaut de leurs prénoms ? Et pour cause ! Il sonne autant comme un patronyme que comme une raison sociale ou une marque déposée,

Le bon d’abord. Christopher Tolkien est mort à 95 ans du côté du village de Aups, dans l’arrondissement de Brignoles (Var), où il s’était retiré au milieu des années 70 après avoir démissionné de son poste de professeur à Oxford, peu après la mort de son père, le génial créateur du Seigneur des anneaux. Plus qu’un roman ou une saga, un monde. Collaborateur et premier critique de son père, son plus jeune fils  fut tout naturellement désigné par testament son exécuteur littéraire, à charge pour lui d’exhumer, de décrypter et d’éditer une masse considérable de documents, fragments et manuscrits éparpillée en un chaos aussi calligraphique que catastrophique dans 70 boites d’archives, ce qui devait aboutir notamment à la publication du Silmarillion, des Enfants de Hurin et d’une vingtaine d’autres livres jusqu’alors inédits. On lui doit de mieux connaître le legendarium derrière cette œuvre qui a donné ses lettres de noblesse à un genre littéraire longtemps méprisé, la fantasy.

Passés 90 ans, il démissionna de ses fonctions au Tolkien Estate, la structure juridique qu’il avait créée mais gérer les droits d’auteurs, le droit d’auteur et certains produits dérivés mais jamais n’abandonna celle d’exécuteur littéraire, luttant jusqu’au bout pour enrichir et défendre et faire vivre la saga Tolkien, y mettant parfois sa touche mais sans abuser, juste pour combler des blancs ou rendre intelligible une page chancelante. A sa façon, dont tous les spécialistes lui ont été reconnaissants : en gardien du temple mais bienveillant, généreux, disponible, fidèle et surtout intègre quand tant d’autres sont si psychorigides.

On a pu dire qu’en le perdant, les tolkienolâtres, secte innombrable, venaient de perdre « la boussole de la Terre du Milieu »  dont il avait dessiné les cartes, et que ses peuples se considéraient en deuil. Tout jeune, il avait observé de près et accompagné pas à pas l’évolution de l’œuvre paternelle. Les deux ont grandi ensemble. Les personnages imaginaires de l’un et la petite personne de l’autre., mais en totale osmose puisque le géniteur-créateur les lui racontait et plus tard les lui soumettait. Il était écrit dans le Genèse de cette œuvre sans pareil que Christopher serait non le gardien de son frère mais celui de son père.

Stephen Joyce, c’était la brute. Lui aussi s’était retiré en France à la Flotte, commune de l’île de Ré. Il se voulait le gardien de son grand-père mais tout dans son comportement, ses décrets, ses interventions reflétait plutôt la névrose d’ une veuve abusive. En 2012, lorsque l’œuvre de James Joyce, auteur de Ulysses, l’un des rares romans de langue anglaise qui ont dominé leur siècle, est tombé dans le domaine public, ses spécialistes un peu partout dans le monde ont poussé un « ouf ! » de soulagement qui a du ébranler jusqu’aux murs des pubs de Dublin et qu’un tweet résuma d’un trait : « Fuck you, Stephen Joyce ! » (inutile de traduire : grâce aux films de Martin Scorcese, même ceux qui n’ont jamais appris l’anglais comprennent).

Il est vrai qu’il était détestable, non seulement par son arrogance et sa prétentions naturelles et par ses actions : héritier de 50%, puis de 70% puis de la totalité des droits à mesure des décès et des désistements dans sa famille, il ne cessa de faire obstacle à la recherche universitaire sur l’œuvre de James Joyce : il répondait toujours par la négative à toute demande de consultation des précieuses archives qu’il détenait ; il refusait d’accorder l’autorisation de reproduire des extraits des livres ou de la correspondance, s’y résignait parfois exceptionnellement mais à des tarifs si scandaleusement prohibitifs qu’ils aboutissaient à un refus ; il s’opposait aux projets d’expositions de manuscrits, ou aux lectures en public et adaptations pour la scène du maître-livre aussi bien que de Gens de Dublin, Portrait de l’artiste en jeune homme ou Finnegans Wake allant jusqu’à poursuivre des théâtres devant les tribunaux ; il s’invitait aux colloques où on ne l’invitait plus pour prendre la parole quand nul ne songeait à la lui donnait afin de lancer à la figure des érudits (« des rats et des poux qui devraient être exterminés ! » comme il les désignait) accourus des plus prestigieuses universités à travers le monde :

 « Si mon grand-père était là, il éclaterait de rire en vous écoutant !…Je suis un Joyce, vous n’êtes que des joyciens ! ».

Et reprenant tout interlocuteur qui l’évoquerait ou le présenterait autrement que comme « « Stephen James Joyce », il prenait un malin plaisir à raconter comment il avait détruit une partie de la correspondance entre ses grands-parents, les lettres de Samuel Beckett du temps où il sortait avec leur fille Lucia etc Au vrai, il y faisait régner la terreur et en jouissait, variante de la perversité en milieu littéraire. Abus de pouvoir ? C’est peu de le dire, la chronique de ses procès en témoigne. Stephen Joyce, qui avait neuf ans à la mort de son grand-père et qui fit une carrière de haut-fonctionnaire dans une organisation internationale, y avait renoncé à la mort de son père, comme Christopher Tolkien dans les années 70, pour se consacrer à la gestion de l’héritage, persuadé qu’il protégeait et préservait non seulement « la pureté » (sic) de l’œuvre de nonno (« papy », en italien) comme il continuait à l’appeler, mais la vie privée de sa famille. Ah, papy James, si tu savais…

(« Tolkien père et… fils », photos D.R. ; « James Joyce avec son petit-fils Stephen en 1934. Photo Bettmann Archive)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

2 207 Réponses pour Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

William Legrand dit: à

Va repredre des forces, Gaga, tu faiblis de plus en plus, ça devient grave pépère que dirait terzoune

et alii dit: à

lettre de BOOKS
ers la fin du roman de H.G. Wells, le passager de La Machine à explorer le temps se retrouve sur une plage désolée, dans un avenir lointain. Sous un ciel rouge et sinistre, au bord d’une mer morte et huileuse, il est attaqué par des crabes géants, derniers survivants d’un monde à l’agonie, « ces lentes et répugnantes bêtes monstrueuses » aux « vastes pinces maladroites, barbouillées d’une vase gluante ». Si Wells écrivait cette scène aujourd’hui, la méduse serait un bien meilleur candidat que le crabe pour le rôle de la créature apocalyptique sur une plage de la fin des temps. À en croire l’essai troublant de Lisa-ann Gershwin, la méduse est un « ange de la mort », annonciateur d’un « cataclysme planétaire » ; elle risque fort d’être le « dernier survivant » dans un avenir qu’elle qualifie de « gélatineux ».
Piqué ! de L’attaque des méduses tueuses, University of Chicago Press

Phil dit: à

elargissez vos horizons passez-vous le dividi, dear Etalii. Le film 1960, George Pal, a supprimé la scène des crabes gluants, le reste est sympathique, des chevelus albinos mangent des crétins lobotomisés, donne envie de pédaler dans le temps sans regret.

et alii dit: à

attaque de tigres en Inde (books)
« L’agriculteur vous dira : “C’est ma terre, je cultive ce que je veux”, soupire Chaudhary. On a cette mentalité qui fait qu’on raisonne en termes de droits, ­jamais de devoirs. » À Himkarpur, le tigre a ­passé trente-deux jours dans les champs de canne avant qu’on le repère, explique-t-il. Les plants étaient si drus et si hauts, près de 2,50 mètres pour la plupart, que l’animal pouvait rester à couvert.
C’est dans le quotidien The Times of India que j’ai entendu parler pour la première fois de cette vague d’attaques mortelles. L’article affirmait que des villageois envoyaient des personnes âgées dans la forêt pour servir de proies au tigre, dans l’espoir d’obtenir un généreux dédom­magement. Les aînés en question, écrivait le journaliste, sont des « victimes consentantes » qui se sacrifient pour que leurs enfants puissent toucher les indemnités offertes par les pouvoirs publics.

et alii dit: à

certes phil;mais je vois un grand nombre(étonnant) de très belles vidéos sur les méduses sur la toile(ce sont de belles bêtes littéraires aussi)
je me souviens aussi de la plage à Menton couverte de petites méduses séchées, il y a quelques années

et alii dit: à

Méduse (en grec ancien Μέδουσα / Médousa, de μέδω / médô, «commander, régner»), appelée aussi Gorgo, est, dans la mythologie grecque, l’une des trois Gorgones (avec Euryale et Sthéno), la seule à être mortelle.
Fille de Phorcys et de Céto, et donc sœur des Grées, elle est une belle jeune fille dont Poséidon s’éprend. Séduite par le dieu dans un temple dédié à Athéna, elle est punie par la déesse qui la transforme en Gorgone. Ses cheveux deviennent des serpents et désormais son regard pétrifie tous ceux qui le croisent.
À la demande de Polydecte, Persée la décapite, aidé selon des sources plus tardives par Hermès et Athéna.
De son sang jaillissent ses deux fils, Chrysaor, père de Géryon, et le cheval ailé Pégase, sur lequel Persée s’enfuit, poursuivi par les autres Gorgones.
Après l’avoir utilisée pour pétrifier le monstre marin envoyé par Poseidon, délivrer Androïde et tuer Polydecte qui retenait sa mère prisonnière, Persée offre à Athéna la tête de Méduse, que la déesse fixe sur son bouclier, l’égide. (L’Art magique)?http://www.histoiredelafolie.fr/psychiatrie-neurologie/michel-collee-les-representations-de-meduse-album-n1-2017

bouguereau dit: à

des chevelus albinos mangent des crétins lobotomisés

ça manquait de cul..il leur restait lessentiel..et je suis fidèle au tesque biblique dirphilou..les anges copulèrent avec les humaines..c’est un truc que les raves hont chourave aux assyriens hencore

hamlet dit: à

Marie Sasseur dit: à

Ducon, dedebouguereaulegrandamlette
 »

chuuuut ! hamlet = bouguereau : personne ne l’a encore vu, faut surtout pas vendre la mèche !

Phil dit: à

certes Etalli, les méduses fascinent la recherche et les producteurs de porno soft;
intéressante aussi votre Soylent green, version inde. Bouvier heureusement Suisse, l’a écrit, les Indiens sont affreux, ceux de Ceylan en particulier, pas sa tasse de thé

bouguereau dit: à

Ducon, dedebouguereaulegrandamlette, sérieux, tu gaves. Ta passion de vient triste , et toxique pour ce blog.

continue de me donner tes bonnes nouvelles pendantes tèrezoune..ça réjouit l’coeur à dirphiloo..il ose pas dmander..

Marie Sasseur dit: à

D’un cretin de toxique à l’autre, il n’y a pas l’épaisseur d’un doute. Alors dedebouguereaulegrandamlette et scie, tu changes de disque.

bouguereau dit: à

je suis hun peu son cirano à dirfiloo qu’elle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

t’ajoute un collier dchien a ce ton hautoritaire..et dirfiloo pamoise

Marie Sasseur dit: à

Un autre histoire de tu seras un Homme…

Didier Raoult, une histoire africaine

Le professeur Didier Raoult est loin d’être un inconnu au Sénégal, comme l’a démontré un récent portrait que lui a consacré l’hebdomadaire Jeune Afrique. L’homme est né à l’hôpital principal de Dakar en 1952. Son père André était médecin colonel, fondateur à Dakar de l’Organisme de recherches sur l’alimentation et la nutrition africaine (Orana), sa mère était infirmière. À la tête de cet organisme pionnier dans son domaine, hérité de la « Mission anthropologique de l’Afrique-Occidentale française », Raoult père s’illustre pour ses travaux sur l’alimentation et les graves pathologies nutritionnelles dont souffrent nombre d’enfants du Sénégal.

Meme lien

hamlet dit: à

MS j’ai pas trop compris ce que vous essayez de prouver ? je ne suis même sûr que vous le sachiez vous-même ?

Patrice Charoulet dit: à

BR ASSENS

Vendredi soir, j’ai eu beau chercher dans ma revue TV, rien, rien, sauf un documentaire sur Brassens
(France 3). J’ai hésité à voir ça, croyant savoir tout ce qu’il y avait à savoir. J’ai vu et j’ai écouté.
J’ignorais presque tout. Qu’ai-je appris ?
Famille très modeste. Père maçon marié tard avec une veuve très pieuse. Sa mère le rêvait médecin, prêtre ou militaire. L’école le barbait. A quinze ans, il vole régulièrement des bijoux avec des copains. Procès. Trois mois de prison avec sursis. Famille déshonorée. Un seul prof l’a intéressé, un
prof de français, avec lequel il restera lié. A 18 ans, il monte à Paris. Il fera même un an d’usine :
12 heures par jour. Il n’a pas aimé. Il a eu des ambitions au point de mettre sur sa carte d’identité « homme de lettres ». Il tentera d’ailleurs plusieurs fois de devenir romancier, sans grand succès.
Pendant la guerre, il doit travailler en Allemagne où il trouvera quelques amis français qu’il conservera. Il a détesté les tondeurs de femmes, à la Libération. . A 25 ans, il n’a pas de toit, pas de métier, et ne veut pas « louer ses bras », vacciné par son séjour en usine. Il vit chez un couple modeste en étant l’amant d’une dame beaucoup plus âgée que lui, et qui croit en lui. Ses chansons ne plaisent pas des années durant. Jusqu’à Patachou, célèbre alors, qui avait un cabaret. Elle est enthousiasmée et , « bonne fée », le lance. Il sent le soufre et beaucoup s’indignent de certaines chansons, comme « Le gorille ». A la radio, certaines chansons sont interdites  par «  le comité d’écoute ». Sa carrière se développe…jusqu’au « Grand prix du disque en 1959 ». La suite est bien connue de tout le monde : des triomphes de Bobino en Bobino, et des tournées en province. Il s’estime trop célèbre au point d’hésiter à sortir dans les rues, où il se sent « persécuté ». Fin de vie assez triste .Coliques néphrétiques. Cancer de l’intestin. Mort assez jeune.

Son anarchisme, son antimilitarisme, son hostilité à la police,son anticléricalisme peuvent encore déplaire.
Ce portrait montre surtout qu’il chanta des chansons, faute de pouvoir devenir …homme de lettres. C’était son rêve. Gainsbourg considérait la chanson comme un art mineur. Lui aussi.

bouguereau dit: à

mais qu’est ce qu’il vaut au lit ce raoul térezoune..zat iz the big ou tini question

et alii dit: à

phil, je ne regarde pas de « porno »,ni soft, ni hard:une lacune, encore une?

bouguereau dit: à

Gainsbourg considérait la chanson comme un art mineur. Lui aussi

et nous sommes tous mineur meussieu ljuge qu’il dirait matzneff

hamlet dit: à

« Son anarchisme, son antimilitarisme, son hostilité à la police,son anticléricalisme peuvent encore déplaire. »

comme je m’intéresse aux destins des civilisations je dirais qu’à l’époque ça déplaisait parce que ça représentait une minorité marginalisée.

au fil des années cette minorité s’est agrandie, pour devenir dans les années 80-90-2000 la pensée commune majoritaire : les cléricaux militaristes aimant la police représentait alors la minorité.

et aujourd’hui c’est 50/50 et nul ne sait, en dehors de quelques intellectuels de haute volée comme Sasseur, Greubou et Pablo, de quel côté penchera la balance.

Phil dit: à

dommage etalii. les pornos soft bavarois années septante stimulent le neurone mieux qu’une réplique finkielkraut bruckner

bouguereau dit: à

c’est l’amur..l’amur qui déstablise térezoune..raclure de keupu

Marie Sasseur dit: à

T’as pas compris quoi? qu’il y a les bons. Et les autres, les nuisibles.

hamlet dit: à

« et alii dit: phil, je ne regarde pas de « porno »,ni soft, ni hard:une lacune, encore une? »

je ne saurais vous dire exactement vu que mon cardiologue m’a interdit de visionner ce genre de film, Phil et Greubou qui s’y connaissent mieux vous donneront sans doute un avis mieux éclairé, mais j’imagine que cela doit raconter à peu près toujours la même histoire.

hamlet dit: à

MS : mais Raoult vous le mettez du côté des utiles ou des nuisibles ?

utiles – nuisibles : j’aime bien ce vocabulaire autant darwiniste qu’éradicateur.

et alii dit: à

MAIS je pense que pour le porno, il ne manque pas d’observateurs sur la RDL? et de spécialisés;vous en êtes la preuve « digitale »! il vaut mieux laisser les « sachants » se jouer la partie et renvoyer les balles:on en apprend aussi

bouguereau dit: à

T’as pas compris quoi? qu’il y a les bons. Et les autres, les nuisibles

tu rgardes trop netflisque térezoune..

hamlet dit: à

« Phil dit: les pornos soft bavarois années septante stimulent le neurone mieux qu’une réplique finkielkraut bruckner »

l’étendue de votre culture m’épatera toujours.

Marie Sasseur dit: à

Bon n’est pas le synonyme d’utile.
Pr Raoult est un authentique résistant à la connerie académique de paris-ment qui prend des proportions hallucinantes.
Et il en a les moyens.

hamlet dit: à

mon logiciel permettant de décrypter le langage greubousien bute sur ce mot : « térezoune ».

il me dit que térese correspond à Sainte Thérèse d’Avila.

et que zoune correspond au mot « zouzounette ».

et qu’il faudrait alors comprendre « térezoune » comme décrivant la zouzounette de Sainte Thérèse d’Avila ?

pas sûr que ce logiciel soit encore bien au point ?

bouguereau dit: à

raoul en sherif local conte le fbi..trop de netflisque tèrezoune..épicétou

Marie Sasseur dit: à

Didier va leur faire son « rapport pour une akademie ». Ca ce serait chouette.

hamlet dit: à

« MS : Pr Raoult est un authentique résistant à la connerie académique de paris-ment qui prend des proportions hallucinantes. Et il en a les moyens. »

ben voilà ! et pourquoi vous ne l’avez pas d’emblée dit d’une façon aussi clarinette ?

je suis bien d’accord avec vous ! si c’est autant le bordel dans ce pays c’est bien la faute des parisiens ! Marseille serait la capitale de la France que personne ne parlerait plus de ce coronavirus !

rose dit: à

Non chez bouguereau térezoune c’est Tarzan. C’est de l’auto-ironie.
C.P le comprend très bien bouguereau et moi un peu.

Marie Sasseur dit: à

Ducon, fous-moi la paix, ça aussi c’est clair ?

bouguereau dit: à

Bon n’est pas le synonyme d’utile

c’est souvent les noirs et les méchants qu’ont les plus grosses..les gentils sont toujours a sla carrer sous lbras qu’il dit job a yavé dans le bouquin dlaloussline.ça..et les bonnes sont bonnes ‘yavé au chiotte’ qu’elle a ajouté bonne clopine..

et alii dit: à

hamlet, et si corona , c’était con or

rose dit: à

Je me.suis fait la coupe au bol avec un gros saladier tupperware. Seulement devant. C pas mal. J’étais échevelée.

bouguereau dit: à

dirfilou y dit ‘rgarde comme elle est belle quand elle est en colère’..c’est chacun ses gouts térezoune..moi jveux pas lui gacher son plaisir

Marie Sasseur dit: à

Il est déchaîné le keuf. Je ne sais pas comment sa « famille  » va le récupérer le 11 mai.
A mon avis, elle a laissé tomber l’affaire, depuis bien avant le confinement…

Grand soleil, j’y retourne.

rose dit: à

Usuellement bouguereau l’orthographie terzoune.

hamlet dit: à

« Marie Sasseur dit: Bon n’est pas le synonyme d’utile. »

tout dépend dans quel courant philosophie vous inscrivez votre pensée. Par exemple si vous vous référez au courant « utilitariste anglo saxon » démarrant par Jeremy Bentham et Stuart Mill votre affirmation devient tout de suite moins évidente…

Chaloux dit: à

Quant on compare ce qu’est devenu Onfray par rapport au petit opportuniste lèche-cul minable qui tente maintenant d’effacer les traces de ses complicités, il n’y a pas photo.
A tout bientôt, ailleurs…

hamlet dit: à

« rose dit: Usuellement bouguereau l’orthographie terzoune. »

merci Rose ! c’est donc pour ça que mon logiciel plantait.

Clopine dit: à

Brassens est (évidemment) connu, reconnu, archiconnu, chanté, étudié, scruté, bref, aimé comme jamais à Beaubec…

J’ai une jolie anecdote qui concerne Brassens et le Clopinou. Comme ce dernier était âgé de moins de cinq ans au moment des faits, peut-être puis-je la raconter ici sans qu’on m’accuse de violer mon fils ?

Bref.

A l’époque, j’habitais encore à Rouen et emmenais le Clopinou à Beaubec, tout harnaché dans son siège auto, à l’arrière de la bagnole. Je n’ai jamais eu d’autoradio, aussi, pour passer le temps, je lui chantais des chansons tout en conduisant. Henri Dès, évidemment, mais aussi Vincent Malone, etc. Un jour, je me suis lancée dans Brassens, « à l’ombre du coeur de ma mie ».

Vous souvenez-vous des paroles ?

 »
A l’ombre du coeur de ma mie
Un oiseau s’était endormi
Un jour qu’elle faisait semblant
D’être la Belle au bois dormant

Et moi, me mettant à genoux
Bonnes fées, sauvegardez-nous
Sur ce coeur j’ai voulu poser
Une manière de baiser

Alors cet oiseau de malheur
Se mit à crier  » Au voleur  »
 » Au voleur  » et  » A l’assassin  »
Comm’ si j’en voulais à son sein

Aux appels de cet étourneau
Grand branle-bas dans Landerneau
Tout le monde et son père accourt
Aussitôt lui porter secours

Tant de rumeurs, de grondements
Ont fait peur aux enchantements
Et la belle désabusée
Ferma son coeur à mon baiser

Et c’est depuis ce temps, ma soeur
Que je suis devenu chasseur
Que mon arbalète à la main
Je cours les bois et les chemins »

La chanson finie, j’ai tendu l’oreille, mais rien, pas un son ne venait du siège de derrière. Bon, ai-je soupiré in petto, c’était évident : l’arbalète, Landerneau, Belle au bois dormant, tout ça, ça lui passe forcément au-dessus de la tête…

Et là, 20 bonnes secondes après (le temps de la rumination), voilà que la toute petite voix s’élève :

« Ben dis donc, quelle histoire !!! »

C’était si joli…

et alii dit: à

des mots?
A. − Vieilli. [S’appliquait essentiellement à une femme] . Veuvage. Après la virginité, c’est la viduité qui a joui partout du respect des hommes (J. de Maistre, Pape, 1819, p. 272).L’état de viduité était envisagé comme sacré; les veuves constituaient un ordre ecclésiastique (Renan, Marc-Aurèle, 1881, p. 552).

et alii dit: à

CLOPINE,vous l’avez déjà racontée, cette histoire

hamlet dit: à

« Clopine dit: Brassens est (évidemment) connu, reconnu, archiconnu, chanté, étudié, scruté, bref, aimé comme jamais à Beaubec… »

sûr ce bled c’est le refuge d’un ramassis de gauchistes féministes écologistes antibourgeois anticléricaux antimilitaristes libertaires anarchistes d’Europe !

ce bled et même toute la Normandie depuis l’ami Gustave !

au napalm je te nettoierais ce haut lieu de la dégénérescence humaine !

et alii dit: à

certaines, dans un XIXe siècle qui les tenait loin du monde économique, de s’émanciper et de fournir de beaux exemples de chefs d’entreprise en crinoline. Il s’agit bien sûr des fameuses « veuves » de la Champagne qui, comme les « mères » de Lyon, ont forgé la légende des femmes d’exception.

Fille d’un baron, maire de Reims, Barbe-Nicole Ponsardin (1777-1866) enterra son mari, François Clicquot, alors qu’elle n’avait que 27 ans. Celle qui prit pour devise « Une seule qualité, la toute première! » se révéla une remarquable femme d’affaires. Visionnaire, elle acheta plus de 300 hectares dans les meilleurs crus, pour assurer les approvisionnements, et inventa le marketing avant l’heure, en étant la première à millésimer une cuvée: celle de 1810.

Janssen J-J dit: à

Non chez bouguereau térezoune c’est Tarzan.

le vrai keuf petit rappelle que ce sobriquet fut inventé le jour où elle était restée confinée des journées entières dans les arbres, puis quand elle décidé de descendre des branches pour aller se reposer sur les bords du lac de Waldène u, telle une Jane nympkomane, espérant y rencontrer Johnny W. Thoreau, avant de devenir sa soeur good ale, sous ses traits actuels….
et lboug… sait pu trop où donner d’la tête, kil dirait, bon dir’angélo.

Janssen J-J dit: à

Etait déjà très intelligent comme sa mère le môme Clopinambour. réfléchissait mâturément. Moi, je l’avais ratée, cette histoire de brassens
Faut dire que je sais toujours pas comment faire les captures d’écran.
(NB : en patois charentais, une Since = une serpillère à Bras qu’on range dans la souillarde ou la coulée).

Janssen J-J dit: à

le délai de viduité permettait de vous cliquer le mousseux dans la ceinture de machteté, comme dirait elbougrelon.
J’aime beaucoup les films pornos israéliens des années 80, on y apprend pas mal de lagunes insolites dans le genre, aussite. Pas vrai, jzmn/fmlp ?

et alii dit: à

. Après Jeannette, film sur l’enfance de Jeanne d’Arc orchestré par Igorrr, Christophe prenait la relève de la bande originale du second opus de Bruno Dumont et accompagnait de sa voix effilée le trajet de la pucelle d’Orléans, du siège de Paris jusqu’au bûcher. C’est Dumont qui le convainc d’y tenir également le rôle de cet archange qui siège incognito parmi les prélats, guest star séraphique dont les interventions, semblables à celles d’un chef de chœur antique, nous lèguent les dernières images récentes du chanteur sur les écrans. Sur les ailes de ses compositions électroniques, le film oppose la foi opiniâtre de l’enfant Jeanne à l’arrogance de ses aînés, théâtre lyrique et braque où abondent les grands écarts entre le vertical et le trivial, le verbe de Charles Péguy et la parlure anachronique d’acteurs non professionnels. Jusqu’à ce que transe s’ensuive. S.O.

Marie Sasseur dit: à

Thoreau, souvenons-nous en, avait été « confiné  » une nuit pour désobéissance civile. Refusant de payer l’impôt qui finançait l’esclavagisme. Toutes choses égales par ailleurs, moi, je salue les US, pour leur refus de financer cette grande mascarade du cop50, et actuellement celui qui sanctionne l’OMS, pour sa gestion désastreuse de cette pandémie.

J’espère que ça aussi, c’est clair.

hamlet dit: à

les états ne peuvent pas tout payer !
s’il n’y avait pas Pinault qui aurait commandé à Jeff Koons cette statue de 6 mètres de haut pour la modique somme de 45 millions d’euros représentant Donald et Mickey terrassant le Covid-19 avec leur épée Excalibur ?
et cette oeuvre monumentale sera exposée sur l’avenue centrale de l’hôpital de la Salpétrière !
qui aurait pu rendre un aussi bel hommage au dévouement du personnel médical risquant leur vie chaque jour et travaillant 70 heures par semaine ? l’état ?
il faut en finir avec vos idées débiles de bolchéviques enragés !

Marie Sasseur dit: à

Ducon, tu ne t’en souviens pas de l’original,- dont tu as usurpé le pseudo, et ce qui me navre :peut-être à l’insu de Passou,- mais me saluer en disant que j’avais pris le maquis m’avait fait rire, autant que de comprendre que lui avait pris la fuite.

Je ne sais pas, du coup, si ça, c’est bien clair, pour ta bande de nuisibles.

Janssen J-J dit: à

[Petit jeu des 1000 francs / post prandial]

Qui saura le 1er des erdéliens à répondre à ces deux questions ? .
– De quel roman français ce résumé est-il tiré ?
– Comment ce roman a-t-il été réintiutlé par la suite (2011) dans se traduction littérale de l’anglais ?
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Billy a bien de la chance : cette année, il va en vacances avec son père chez son oncle Sagamore Noonan. En pleine prohibition, les temps ne sont pas faciles et Sagamore est l’objet d’une persécution de la part du shérif qui persiste à croire qu’il fabrique de l’alcool de contrebande et rêve de le coincer.
Là-dessus, arrivent le docteur Severance et sa nièce, Miss Harrington, « convalescente » qui ne doit voir personne et passe son temps vêtue d’un maillot de bain minuscule qui va déclencher la ruée de tous les hommes du comté lorsque l’on apprendra sa disparition dans les marais. Pour couronner le tout, c’est l’ouverture de la chasse au lapin. Et cette année, les chasseurs en costume-croisé et mitraillettes sont particulièrement nombreux.
______________________

A vos marques, prêts, partez ! Le.la gagnant.e aura mon amitié perpétuelle et le nouveau mail de WGW… => 🙂 Cela devrait en dissuader pas mal)

DHH, dit: à

La « Veuve Cliquot « apparaît dans le film de Scola » La nuit de Varennes »,
On la rencontre installée avec d’autres voyageurs , dont son homme de peine, homme de confiance , dans une berline qui se trouve par hasard emprunter la même route que les berlines qui le même jour -coup politique qui tournera mal -emportent vers l’étranger la famille royale et sa suite .
Le film se déroule pour l’essentiel à l’intérieur de la voiture qui transporte ,en toute innocence, des gens apparemment ordinaires, en fait ,pour deux d’entre eux Restif de la Bretonne et Casanova voyageant incognito, motivés par des soupçons sur ce qui se trame côté roi , et dont le voyage va être perturbé par l’évènement historique en cours.
Dans des séquences qui font penser à Boule de suif une certaine familiarité bon enfant s’installe à bord entre compagnons de voyage qui ne se connaissaient pas au départ et qui se mettent a parler d’eux ,ou à mentir sur eux-mêmes s’informant les uns les autres de leurs identités et de leurs metiers .
La femme en deuil, pour sa part, explique qu’elle élève du vin en Champagne ;C’est à ce moment que le spectateur comprend le clin d’œil et identifie la « Veuve Clicquot » ,dont on comprend dans une scène ultérieure que son homme de peine ne lui rend pas uniquement les services ordinaires de sa fonction

Janssen J-J dit: à

@ J’espère que ça aussi, c’est clair.

De quoi ? Encore une usurpation de pseudo ?… … que Trump se prendrait pour Thoreau, TCEPA, ast’heure ?… Non c’est pas clair. On est en pleine confusion mentale.
Je me demande comment on peut s’y retrouver dans le fatras du darkweb pour échapper à l’impôt Petit rappel des faits pour Marcel B. :

Paroles des chansons d’Annie Cordy
Jane la tarzane

Au sommet d’un grand baobab,
Une fille formidable
Est en train de faire la sieste.
Et tout en bas du baobab,
Une tribu de minables
Épie ses mots et ses gestes.
En pensant : « Quelle saveur elle a ?
Enfin ça nous changera
Des indigènes indigestes.
Sur qu’avec un bon thermostat,
On va se lécher les doigts.
Il n’y aura pas de restes. »

(Refrain 🙂
Mais là-haut, Jane la Tarzane
Se pavane de lianes en lianes.
On entend dans la savane :
« Qu’elle est jolie la Tarzane ! »
Jane la Tarzane
Se pavane de liane en liane.
Tous les goulus des alentours
En feraient bien leur plat du jour.

Sous les branches du baobab,
Les cuisiniers cannibales
Ont installé la marmite.
Il vont presque se mettre a table
En se disant : « C’est fatal
Elle va tomber, elle est pwête. »
Tout autour du feu, bien à l’aise,
Ils préparent la mayonnaise
Et le bouillon qui crépite,
En se demandant qui aura
Le blanc, la cuisse ou le bras
Quand grillera la petite.

(Au refrain)

Mais soudain, la jungle a tremblé.
On vient d’entendre passer
Un hurlement formidable. (Haaahaaaahaaa!)
Tous les animaux du quartier
S’enfuient de tous les cotés
Et tout le monde détale.
Et Tarzan arrive par les toits
Il va rejoindre là-bas,
Sa fiancée endormie.
Comme la belle au bois dormant,
Il la réveille en chantant
Sa chanson la plus jolie.

Et avec Jane la Tarzane,
Il se pavane de liane en liane.
En chantant dans la savane :
« Qu’elle est jolie la Tarzane. »
Avec Jane la Tarzane,
Il se pavane de liane en liane.
Tous les singes aux alentours
Reprennent leur chanson d’amour.

Jane la Tarzane
lalala lalala lalala ….
Paroles via l’appartement confiné

Alexia Neuhoff dit: à

Le burkini de Diam’s ?

Marie Sasseur dit: à

Autre chose, j’avais eu à subir, ce mot pour la personne qui en était à l’origine avait valeur surpotectrice , d’un vrai bourrage de crâne , sur le rester confiné, plus bouger, se protéger.
Aux dernières nouvelles du front, et quel… elle a revu ses conseils à la baisse, surprise de l’ethologie de cette pandémie. Surtout pour ce qui semblerait être le profil des personnes décédées. Enfin, en ce moment elle enquête et me laisse tranquille.

Ils ont démonté l’hôpital de campagne, construit à grands renforts de caméras. Déjà. La guerre est finie, donc?

Janssen J-J dit: à

@ AlexiaNe – Yes !… et la 1ère version en français était : (avez déjà gagné la moitié de mon amitié)

(nb/- j’aime beaucoup les BD de Mini-Poinçon).

renato dit: à

Drôle de moment. On prends des nouvelles de gens que l’on ne voyait depuis plus de 10 ans. Je téléphone à un ami, c’est sa fille qui répond :
« Ils viennent de m’informer du résultat de 2 prélèvements consécutifs, négatifs, le Covid 19 m’a finalement quitté. Tu imagines ? 40 jours de peur, de douleur, de souffrance et de solitude. Terrible.
— Et ton père ?
— Il est à l’atelier, il se porte plus que bien, lui. »

Janssen J-J dit: à

@ elle a revu ses conseils à la baisse, surprise de l’ethologie de cette pandémie. Surtout pour ce qui semblerait être le profil des personnes décédées. Enfin, en ce moment elle enquête et me laisse tranquille.

Ah voui, vous aussi, vous travaillez dans la marine marchande ? et parfois sur les porte avions atomiques ?… Florence enquête. Va sûrement trouver Masseur, la patiente zéro innocente du sous-marin et son pseudo Le PANGOLIN Chauve.

Marie Sasseur dit: à

Non pas du tout. Mais les précisions relatives au lieu et l’activité ne regardent pas des buses comme toi
Bisous à bobonne au fait.

rose dit: à

Nicolas dit: à
« Qu’est ce qu’il a le connard !? » https://youtu.be/zj5pF8dsOuM

Bon, il est bourré.
Moi j’aime les chansons plus que la musique classique. Ne me hisse pas.
L’autre jour, lorsqu’il était en bagnole avec une très jolie fille, je n’ai pas reconnu Jane et poirtant elle lui ressemblait terriblement, et qu’ils avaient une bestiole horrible qui tressautait et elle riait, riait, je l’ai trouvé beau Sergio.
D’un coup on ne voyait pkus ses grandes oreilles. Il était amoureux et il aimait que cette fille rie en conduisant. Pck lui, ben, il était passager. On dirait qu’ils seraient heureux.

rose dit: à

Je n’ai pas écrit Sergio.
J’ai écrit Serge.
Le correcteur a abusé.

Bon, ben, il est bourré. Ce qu’il dit sur les arts majeurs est essentiel, mais moins que ce qu’il dit sur l’argent qu’il pique, lui aussi à ces salauds de pauvres.

hamlet dit: à

« La « Veuve Cliquot « apparaît dans le film de Scola » La nuit de Varennes » »

faudrait demander à Phil si la Veuve Clito n’apparait pas aussi dans les films porno soft bavarois des années 60.

C.P. dit: à

Janssen J-J, il s’agit de « The Diamond Bikini » de Charles Williams, traduit en français « Fantasia chez les ploucs ».
Un autre roman de Charles Williams, « Uncle Sagamore and his Girls », traduit « Aux urnes les ploucs » a été, si j’ai bonne mémoire, adapté au cinéma par mon vieux copain Gérard Pirès. Alcool frelaté et bousculade de voitures de police…

hamlet dit: à

MS : vous connaissez l’histoire de : Ducon et Lekeuf sont sur un bateau ? et celle de Lekeuf et Ducon sont dans un avion ?

Nicolas dit: à

Le rythme c’est celui d’une danse transmué en musique.

C.P. dit: à

Janssen J-J, il d’agit du roman de Charles Williams, « The Diamond Bikini », traduit en français par « Fantasia chez les ploucs ».
Un autre roman de Charles Williams, « Uncle Sagamore and his Girls », traduit par « Aux urnes les ploucs » a été adapté au cinéma par mon vieux copain Gérard Pirès. Alcool frelaté et bousculade de voitures de police…

bouguereau dit: à

Fantasia chez les ploucs

vu!..un jean yanne ferrailleur alimentaire..qu’est ce qu’il a du bien bouffer ct’enculé

bouguereau dit: à

la Veuve Clito n’apparait pas aussi dans les films porno soft

la veuve était un grand sujet de sexpol dans l’temps..comme faire sa vie avec une pute..les chiffes vraisemblabe a paris au xix eme donnent le vertige..les ocasionnelles? légion! qu’elle dit la police..térezoune c’est qu’une tout ptite rubrique du fétichisme..mais toudmême qu’il dirait dirphilou

C.P. dit: à

Je me trompe (Annelise me redresserait ?), c’est bien « Fantasia chez les ploucs » (« The Diamond Bikini ») que Pirès a adapté. Même remarque touchant l’alcool et les bagnoles du shérif…

Truffaut, en un de ses derniers films, « Vivement dimanche » est aussi redevable à Charles Williams ».

Clopine dit: à

Fantasia chez les ploucs (autre titre d’une pièce de théâtre rural qui se déroule en ce moment du côté de Beaubec)

Phil dit: à

hamlet, pas adepte du lien cliqueur, mais là vous livre du sérieux, pour une agrégation films à culottes bavaroises et huiler la turbine à cabale d’etaalii,
ach jodeln mir einen
https://www.youtube.com/watch?v=P8CP8Ef-aJM

Janssen J-J dit: à

@ CP – 2 réponses remarquables. Si en plus G Pirès était dans le coup !…
Vous avez mon amitié éternelle, désormais…, elle était déjà bien présente auparavant, vous le savez !

@ MAS – (Bisous à bobonne au fait).

Au fait, nous vieillissons bien au milieu de la basse-cour, tels les Philémon et Baucis moyens. Elle vous aime toujours beaucoup et vous embrasse également. Nous espérons que vous prenez bien soin de vous et très régulièrement vos pilules contraceptives depuis le naufrage de 2003. Bàv,

bouguereau dit: à

On prends des nouvelles de gens que l’on ne voyait depuis plus de 10 ans

on textote rapido sa bite a des vieilles maitresses..bonne clopine fait larcante millénaire qu’il dirait ferdine..ha les femmes..c’est toujours des embarras pas possibe..mais chtement c’est ça qu’on kiffe qu’il dirait dirfilou

Jazzi dit: à

Samedi 18 avril 2020

« 13 septembre 2019 à 12 h 46 min
« Jeanne » de Bruno Dumont.
Depuis l’époque du cinéma muet avec Carl Dreyer et Falconetti (1928) jusqu’à plus récemment Rivette (Sandrine Bonnaire) ou Luc Besson (Milla Jovovich), chacun veut faire sa Jeanne d’Arc.
Est-ce un passage obligé de tout bon cinéaste qui se respecte ?
Pour Bruno Dumont, qui s’était déjà attaqué au motif avec « Jeannette, l’enfance de Jeanne d’Arc » (2017), c’est même un joli doublet !
Faut dire que depuis «La vie de Jésus » (1997), Dumont nous avait préalablement familiarisé avec son goût pour les sujets à caractère mystique et religieux.
Plusieurs partis pris forts caractérisent (entachent ?) sa dernière proposition artistique.
Tout d’abord l’âge de l’apprentie comédienne à laquelle le cinéaste a confié le rôle titre.
Remarquable Lise Leplat Prudhomme, à la diction limpide et au caractère entier qui, du haut de ses douze ans (une manière de souligner la virginité de la Pucelle ?), peut renvoyer Greta Thunberg à ses chères études.
Autre singularité tout aussi décoiffante, c’est le fait d’avoir mixé ici le texte de Charles Péguy avec la musique de Christophe (le choc des lyrisme !).
Un mélange classique/variété aussi intriguant que l’effet du doux/amer culinaire sous la langue !
On peut s’interroger également sur la pertinence de ces choix singuliers, sur leur sens, mais il faut reconnaître qu’au vu du résultat final, ça fonctionne plutôt bien.
Cela rajoute même une couche à la bizarrerie de ce film où, comme à son habitude, Dumont mélange les comédiens professionnels et non professionnels.
Ainsi Fabrice Luchini, dans le rôle du roi Charles VII, participe tout autant du casting que le Gilles de Rais joué par un jeune inconnu édenté semblant sorti d’un tableau du Caravage.
Evoquant assez rapidement la période des batailles de Jeanne d’Arc, le film s’attache surtout sur celle de son procès.
Ce qui nous donne toute une série de plans vertigineux à l’intérieur de la cathédrale (Amiens a été préféré à Rouen), en plongé et contre plongé, comme si la caméra était située au niveau du regard du Christ en croix : comme si l’oeil de Dumont voulait se hisser à celui de Dieu !
Bel effet esthétique garanti, tandis que s’agite plus bas la cohorte richement bariolée des divers juges ecclésiastiques exaspérés par l’insolente gamine et pressés, sur l’injonction des occupants Anglais, de l’envoyer au bûcher.
Autant de libertés factuelles et géographiques (le bûcher de Jeanne est dressé sur fond d’un superbe paysage naturel) qui se justifient sur un plan esthétique, moins sur celui de la vérité historique.
Mais avec Jeanne d’Arc n’est-on pas plus ou moins condamnés à la légende ?
Selon qu’il viendra voir un film sur la vie de la future sainte ou une oeuvre de Dumont, le spectateur sera déçu ou enthousiaste… »

Janssen J-J dit: à

ouh là…, je vais avoir un paxon d’amitiés éternelles ! (A.N, C.P, M.B., C.T… pour commencer)
Y’a pas à dire…, y’a quand même de la vache de culture chez les erdéliens. Qu’ont des siestes crapuleuses, on dirait même !…

bouguereau dit: à

Mais avec Jeanne d’Arc n’est-on pas plus ou moins condamnés à la légende ?

hassez avec ta propagande perfide d’angliche inverti baroz..sinon c’est la question au baqueroume

bouguereau dit: à

ach jodeln mir einen

havant c’était la fantasy erotic..les aliennes tentaculaires..les pti colants..les bestiasses velue de lespace..havec lotr on est pas à la fête..des grands calcifs partout..changé une fois par moi pour dégouter de tout comme à beaubec qu’elle dit bonne clopine

Marie Sasseur dit: à

Ducon, tu dois confondre, ta bobonne s’est barrée. Tu as du oublier ça, depuis que tu suis le même traitement que ta mère. Tes petits exercices mnésiques avec cp, peuvent t’aider.

Jazzi dit: à

La Sapienza (sagesse, connaissance), requière recul et dénuement. Une certaine hauteur de point de vue aussi. Elle n’est jamais le fruit de la haine ou de la vengeance.
Aussi, JJJ, il faut se méfier des connaissances tous azimuts de Michel Onfray, dont les séduisants propos consistant à refaire le monde sont entachés par un trop fort désir de règlement de comptes !

Jazzi dit: à

« hassez avec ta propagande perfide d’angliche inverti baroz.. »

Mais non, le boug, je prépare seulement le service après vente de mon prochain Goût de… !

bouguereau dit: à

dis donc tèrezoune tu vas pas égorger ma famille aussi..et t’as pas faux le cinoche c’est beaucoup dmésie..darc avant sa robe décoleté..les souvnir me sont revnu par millier..douce france

bouguereau dit: à

tu dis la ‘postprod’..ça va en boucher un coin à lassouline

Jazzi dit: à

« Autre singularité tout aussi décoiffante, c’est le fait d’avoir mixé ici le texte de Charles Péguy avec la musique de Christophe (le choc des lyrisme !). »

Deux victimes emblématiques de guerre !
Manque plus qu’Apollinaire, victime de la grippe espagnole…

bouguereau dit: à

dans mon trou les fimes sortaient avec 5 voir 10 ans dretard..on a eu orange mecanique en 2000..jcvd est encore jeune..bruce lee n’est pas mort etc..mais hon confine..c’est dingue..mais attation..raoul rsembe a un fumeur de ounij des 70’s..faut henquéter térezoune..faut enquéter!

AnTo..... dit: à

que con suis-je dit Gaga Bouguereau
signé keupu et tèrezoune

Jazzi dit: à

« dans mon trou les fimes sortaient avec 5 voir 10 ans dretard.. »

C’est le boug chez les ploucs, mais sans fantaisie !

bouguereau dit: à

La Sapienza (sagesse, connaissance), requière recul et dénuement

requière rente de situation et prébende baroz..lui il est un peu dla gig economie..et contrairement a cque dit rénateau..il n’ont -rien- a espérer..faut méditer ça

bouguereau dit: à

C’est le boug chez les ploucs, mais sans fantaisie !

si chtement..brassens a écrit ‘les cons qui sont né quelquepart’..ceux qui ne sont pas né a paris ou à jéruzalème pour être quelquepart sont pourtant plus grande légion

hamlet dit: à

@Phil : merci ! vous avez mon amitié sidérale parce que j’ai toujours rêvé de voir une version allemande de Star Trek, de plus c’est rassurant de voir que tous les spécialistes allemands de fusée n’ont pas fini aux US.

en échange je vais vous donner un conseil allemand si vous ne voulez pas mourir du c19, il a été donné par le ministre allemand de la santé au tout début : vaccinez-vous contre la pneumonie !

pas besoin d’ordonnance, ça ne coute que quelques euros, vous pouvez vous l’injecter vous-même dans le bras ou la cuisse, ou demander à la voisine de le faire si vous rêviez de lui montrer vos fesses et voilà !

ne me remerciez je le fais par amour de l’humanité !

renato dit: à

C’était pourtant on ne peut plus clair bouguereau, c’est en Californie que les travailleurs de la gig economy seront payés — nonobstant, etc.

bouguereau dit: à

les couillons qui font du mining avec leur carte video on leur enverra leur 4$50 en masque..les autres aux indes..un robot leur souhaitra bonne chance sil ont encore du réseau

Janssen J-J dit: à

Me fera toujours rire, terezoune A-D B, avec ses histoires de bobonnes.

@ Jzmn, soyez plus explicite sur Onfray. Avecques lui, je sais à quoi m’en tenir. Mais vous, apparemment, n’êtes pas si clair.
Avouez qu’il vous plait physiquement, non ?, car l’intellectuel est toujours secondaire chez vous. Il est vrai que si le MO n’est pas homophobe il n’est pas homosexuel non plus, dit-il. Et c’est un brin embêtant pour vous de ne pas avoir grand chose à vous mettre sous la dent au sujet de sa vie privée depuis son veuvage. Non ?

hamlet dit: à

Onfray c’est comme Jeff Koons ou Christine Angot : on ne peut pas les critiquer pour ce qu’ils sont, parce que c’est nous qui les avons fabriqués, les critiquer équivaut à NOUS critiquer, d’où leur immense intérêt : ils représentent à la fois un miroir de nous même et une porte permettant d’y accéder.

j’ai pas raison greubou ?

rose dit: à

Manque plus qu’Apollinaire, victime de la grippe espagnole…

Non.
Un éclat d’obus dans le crâne, guerre de 14.

Diap dit: à

« Manque plus qu’Apollinaire, victime de la grippe espagnole…
Non.Un éclat d’obus dans le crâne, guerre de 14. »

Mais non. Grippe espagnole, on vous dit.

hamlet dit: à

quizz pour voir si vous suivez : la grippe espagnole c’est quel virus ?

bouguereau dit: à

Un éclat d’obus dans le crâne, guerre de 14

t’as raison rozi..ça aide pas

rose dit: à

C’est vrai. Je m’incline
Deux jours avant l’Armistice. Le 9 novembre 1918, jour de l’abdication de l’empereur Guillaume II, deux jours avant l’Armistice, encore affaibli par la congestion pulmonaire dont il a souffert au début de l’année, Apollinaire est emporté à l’âge de 38 ans par la grippe espagnole dont l’épidémie ravage l’Europe.

hamlet dit: à

et le compositeur espagnol Enrique Granados est mort en 1916, non pas de la grippe espagnole, mais parce qu’il a voulu sauver sa femme de la noyade, sauf qu’il ne savait pas nager.

Le bateau « civil » a été torpillé par un sous marin allemand entre Dieppe et Folkestone.

bouguereau dit: à

Onfray c’est comme Jeff Koons ou Christine Angot : on ne peut pas les critiquer pour ce qu’ils sont, parce que c’est nous qui les avons fabriqués

le meilleuir marché que les libéraux hont fait aux sofiss c’est de leur faire croire que le libéralisme était le biotope naturel de la sofia..je ne le méprise pas le libéralisme..mais c’est tout le propos..jme dmande dailleurs sil y en a un autre quand ce sont eux qui le cite..thinkovit keupu

bouguereau dit: à

en politique rénateau faut boire jusqu’à la lie..dailleurs c’est à ça qu’ils se reconnaissent

bouguereau dit: à

..et la konnerie tue pas..keupu lsaurait havant tout l’monde sacrénom..

renato dit: à

Apollinaire. En novembre 1918, il tomba malade — grppe espagnole —; il fut retrouvé dans un état d’inconscience, et probablement déjà mort, le 9 novembre 1918, par son ami Giuseppe Ungaretti qui était venu l’informer de la victoire de l’Entente ; à côté de lui se trouvait sa femme désespérée.
Léautaud écrit dans son journal du 11 novembre 1918 grippe intestinale compliquée de congestion pulmonaire.

Travail de Duchamp pour la mort d’Apollinaire :

https://pin.it/3NM2Vbw

hamlet dit: à

greubou oui le libéralisme… et aussi un peu les médias et les journalistes, sont pas très blancs dans cette affaire, la poule et l’oeuf dur… ces histoires de patate chaude c’est que le refus d’assumer ses responsabilités, thinkovit greubou.

hamlet dit: à

greubou : tu le vois où le libéralisme dans tout ces tissus d’imbécilités ???

Janssen J-J dit: à

@ Tirée du dkwb, une note int intéressante sur le lien toujours ténu entre pandémie et terrorisme, une note de conjoncture susceptib’ d’intéresser la réserve erdélienne prête à replonger avec marie sasseur alacoque en pâte.

https://www.aefinfo.fr/assets/medias/documents/4/9/493640.pdf

Et la blessure d’Apollinaire c’était pas plutôt en 1915 ? Toussa…, c’est la faute à Alain-Fournier, tombé sur le front dès les premiers jours, non ?

hamlet dit: à

greubou : tu peux me dire d’où vient cette faculté innée de toujours se défiler ?

thinkovit greubou !

Janssen J-J dit: à

c’était l’époque où le journal de Libé était encore enamouré à d’Onf. Depuis, ç’a bin tourné au vinaig… Mais vous, H., z’en êtes où avec ce journal ?… impression qu’avez toujours 20 ans de moinss d’âge mental sur l’actu. Robert Maggiori était certes un lecteur vulgarisant assez corrèq pour les bobos de gauche reconvertis au néolibéralisss sarkozisss puis macronisss, mais en matière de philo personnelle, l’aura pas laissé grandes traces.

Diap dit: à

Apollinaire, c’était en 1916, le 17 mars 1916, Un obus explose dans sa tranchée,lui emporte un morceau de crâne. Il touche son cerveau du bout du doigt, et le porte à ses lèvres. Il dit : « Quel goût… quel goût étrange que… l’âme », et s’évanouit.

DHH, dit: à

@Rose
Dans le texte rabbinique mis en lien par Et Alli que vous citez il y a cette phrase
« Dans les lettres qui forment Méémataï, il y a emet (vérité), met (la mort), em (mère), mayim (eau) », .
Eclatante illustration de ce qu’a de d’antiscientifique cette méthode ‘particulière d’exégèse des textes rabbiniques qui méconnait le B et A BA de la linguistique, à savoir l’autonomie du signifié par rapport au signifiant et l’arbitraire du signe, attribue aux syllabes d’un mot voire a ses lettres ou a sa graphie une valeur signifiante
C’était ce que faisait Isidore de Séville et qui fait rire aujourd’hui avec des affirmations comme :Ca da ver= chair donnée au vers avec Ca = chair, Da= data et Ver=vermus
Ce qui est consternant c’est qu’actuellement certains exégètes juifs ne se contentent pas de porter un regard historique sur ces errement midrachiques ancestraux, mais se prévalent d’une utilisation sérieuse de cette méthode pour faire parler les textes, et la considèrent comme une démarche sensée de décryptage herméneutique.
Sous ces différentes formes (sens des phonèmes ou des syllabes formant un mot, inversion de racine ,forme des lettres ,insertion d’une voyelle, guématria etc.) cette approche des textes est largement décrite par David Banon , tenant inconditionnel de sa validité, dans son livre « la lecture infinie » où il ne craint pas d’écrire parlant de l’hébreu :Tout dans cette langue semble soumis à une motivation :les mots mais aussi le phonèmes et bien sur les lettres »
Ce pseudo savoir relève de l’escroquerie intellectuelle et on a peine à croire que les penseurs qui se sont fait les diffuseurs par leurs cours et leurs livres de ces méthodes d’analyse des textes, tels Ouaknin ou feu Raphael Dray ,n’en aient pas eu conscience ;et dans ce cas leurs écrits et leur enseignement relèveraient d’une imposture dont seraient victimes des gogos abusés par la fausse profondeur de leurs discours et flattés qu’on les leur tienne

hamlet dit: à

3j j’ai pris libé, mais j’aurais pu prendre n’importe quel autre journal : tous ont fait l’éloge d’Onfray, tous l’ont supportés, c’est aux qui en ont fait une star !

alors pourquoi l’autre vient me parler du libéralisme ? pour se cacher derrière son petit doigt ? il veut enfumer qui encore avec ces excuses à la con ?

à moins bien sûr qu’il faut voir dans le mot « libéralisme » le fait qu’il faille vendre des journaux qui à y écrire des sommes d’idioties !

voilà où justement Onfray peut servir de miroir de ce que nous sommes, c’est nous qui l’avons fait alors par pitié assumons-le !

qu’un journaliste vienne nous expliquer le pourquoi du comment il a été possible de faire passer pour un grand penseur un crétin pareil !

Janssen J-J dit: à

Goliarda Sapienza ? Y’en a pourtant des pages furieuses dans « l’art de la joie » !…
Autre chose que la bibine d’Elena Ferrante !

hamlet dit: à

mais ce n’est pas grave, si nous ne le faisons pas nous nos enfants le ferons pour nous.

Nicolas dit: à

« Mars 17. Vendredi. Bombardement. Je lisais à découvert au centre de la section, je lisais le Mercure de Fr… À 4h. un obus éclate à 20 mètres; un éclat perce le casque et troue le crâne. Après bombardement, 8h. 1/2 ; le Cdt Genet m’amène au médecin-chef du 246e : Dr Chambellini (?) qui me panse (plaie de la région temporale droite). »

Janssen J-J dit: à

je suis pas journalissss, mais si l’onfray me parle toujours, (quand je DECIDE de l’écouter) c’est pas parce qu’il est un « grand penseur » (c quioi c’te bêle à ?), mais parce qu’il a tenu le pari d’édifier une ‘contre histoire de la philosophie’ académique, qu’il l’a chamboulée de manière particulièrement astucieuse et élégante pour une génération de gens peu cultivés cependant désireux de s’instruire par un guidage dans les basiques (ce qui est mon cas)… Ce qu’évidemment le moindre journaleux pantelants devant des zeidegger ne lui pardonneront jamais, et vous les petits maîtres, jzmn et dexter en avez tous les symptomes. Se commettre avec l’Onfray, quelle horreur, vous n’y pensez point !? Des fois que le peuple se mettrait à comprendre un peu mieux ce que le journaleux borné en question ne pigera jamais…
Que l’Onfray s’exprime sur tout et n’importe quoi aujourd’hui, cela… peu me chaut. Je ne trouve pas qu’en tant que citoyen moyen, il dise plus de salades que nos dirigeants ou fielleux de vos semblables. T’en prends et t’en laisses, mon gars. Désolé, mais c’est lui qui t’as formé, pas le contraire. Non, il n’est pas ta créature médiatique snobinarde, hamlet. Tu te prends pour qui de si profond, dexter ? De quel complexe jamais dépassé as-tu (avez-vous) souffert au juste, vous et l’AMS ? Boudiou…, quelle bande de ramassis et pisse vinagire on a icite ? Holà !

et alii dit: à

sur l’interprétation « rabbinique »:c’est plutôt qu’elle fonctionne comme un « catalogue » préétabli et rigide pour écrire et choisir ses mots , et donc les retrouver dans un écrit de « l’école » ;on peut remarquer néanmoins que lorsqu’on lit vite, il arrive qu’on lise un mot pour un autre:ce qu’avait remarqué A.Cohen pour le mot « juif » « suif » ;et c’est bien sur ridicule mais cela ne veut pas dire que notre esprit ne fonctionne pas un peu comme ça et ne voit pas « met » et « maïm  » comme le lapin canard pour les images ;rien à voir avec la linguistique cette « reconnaissance » , comme celle de visages dans des nuages; quant à se sentir flatté, pourquoi se sentitait-on flatté d’être trouvé beau? Ce n’est pas moins ridicule de dire d’une femme qu’elle est belle!

et alii dit: à

Saussure et les anagrammes ou Le symbolisme phonétique,
Josette Larue-Tondeur (Paris-Ouest-La Défense ; ParisX-Nanterre)
Le Saussure des Anagrammes, qui perçoit un second message sous le
premier, est loin de l’arbitraire du signe linguistique, comme l’a montré
Starobinski : il est proche des poètes, qui utilisent les contraintes sonores en plus
du sémantisme. Saussure a manifesté quelque réticence envers les forces
obscures du psychisme en arrêtant ses recherches sur les anagrammes parce
qu’il s’était rendu compte que l’existence éventuelle de ces mots sous-jacents
était involontaire. Pourtant ce travail révèle qu’il avait l’intuition de la primauté
du signifiant, cher à Lacan, qui s’affirme en psychanalyse et en poésie.
Le symbolisme phonétique, à savoir l’attribution d’un sens aux sonorités,
est souvent prudemment écarté des recherches linguistiques sous prétexte de
scientificité parce que c’est un sujet délicat. Il mérite pourtant qu’on
l’envisage sérieusement car il recèle probablement l’une des clés essentielles au
fonctionnement de la parole, qui n’échappe guère à l’affectivité.
https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00511121/document

Nicolas dit: à

Chez Onfray y’en a quand même plus à en jeter qu’à en garder ….. l’aurait dû faire une psychanalyse hihihi , sa mauvaise foi l’a perdu, trou du cul.

bouguereau dit: à

les harédims kiffent pas onfray 3j..what else

et alii dit: à

C’est à lui que nous devons l’expression « symbolisme
phonétique ». Il a utilisé des logatomes, c’est-à-dire des fragments de mots
dépourvus de sens, pour proposer à des sujets des associations sémantiques
telles que la grandeur ou la clarté. La corrélation statistique est indéniable. Ses
expériences semblent montrer que certains traits phonétiques sont porteurs de
sens. Ainsi, le phonème /i/ est perçu comme petit et clair, /a/ est considéré
comme grand, /u/ est vu comme sombre. Sapir estime qu’il y a association entre
l’aperture et la taille de l’objet. Köhler, en 1929, a mis en évidence les traits de
rotondité vs angularité qui s’attachent aux groupes phonématiques /maluma/ vs
/takete/ en les faisant associer à des figures visuelles rondes et rectangulaires2
.
Le premier groupe est associé à la rotondité, le second au caractère anguleux.

et alii dit: à

pression.
Fónagy a montré que les consonnes dures (/k/, /t/) sont plus fréquentes dans
Les Châtiments de Victor Hugo, où le poète exprime sa colère contre Napoléon,
alors que les consonnes douces (/m/, /l/) prédominent dans L’art d’être grandpère, où il exprime son amour pour ses petites-filles (1983, 69). La même
opposition caractérise Les Invectives et La bonne chanson de Verlaine («Le
langage poétique : forme et fonction », in Diogène 51). Les poètes exploitent
donc les caractéristiques dures ou douces des sonorités selon le thème
d’expression et les affects qui leur sont liés.
Les observations intéressantes de Fónagy dans le domaine poétique se
vérifient dans la vie courante : une personne explosive utilise des consonnes
dures dans ses colères avec des accents d’intensité plus marqués, tandis qu’une
maman parle à son bébé avec des sonorités douces. Cette dernière exprime une
fusion avec l’enfant par des sonorités presque sans interruption d’air, tandis que
les discours furibonds font appel à la spécificité séparatrice des occlusives : les
bilabiales /p/, /b/, les linguo-dentales /t/, /d/), et surtout des palatales (/k/, /g/),
avec une plus grande efficacité de la consonne sourde par rapport à la consonne
sonore (/p/ par rapport à /b/, /t/ par rapport à /d/ et /k/ par rapport à /g/).
Les sons semblent ne pas avoir de sens en langue, mais ils en ont dans les

hamlet dit: à

3j : désolé pas du tout d’accord, c’est ignoré la stratégie d’Onfray. Freud, les religions etc.. c’était annoncé comme un combat de boxe entre 2 poids lourds du type qui va enfin nous révéler la vérité sur Dieu, Freud etc… il s’agissait à chaque fois de ramener la pensée à une émission télé de Ruquier.

avant même de le lire cette façon de procéder était déjà critiquable en soi.

mais de ça vous ne parlez pas, vous préférez vous aussi vous attaquer à ma personne, comme Pablo : l’attaque ad hominem.

peu être je ne pense pas comme il faut, mais pourquoi le prendre avec mépris du haut de votre suprême intelligence espèce de taré que vous êtes !

hamlet dit: à

fait chier cette suffisance, cette condescendance et ce mépris !

bouguereau dit: à

sa mauvaise foi l’a perdu, trou du cul

hun peu..lumour..et même saint juss -on lsait- savait se détende plus du troudballe qu’elle dirait bonne clopine

et alii dit: à

Cela peut vouloir dire qu’on
interprète les sons partiellement en fonction du lexique.
Si l’on essaie d’interpréter ces données sur notre vocabulaire français,
l’effet de douceur du mot « losange » par rapport à l’effet de dureté du mot
« parallélépipède » vient des sonorités douces du premier (une liquide, une
sifflante sonore, une voyelle nasale, une chuintante sonore) et des trois
occlusives sourdes du second. Mais à cet effet acoustique et articulatoire
s’ajoute le fait que « losange » contient « ange », qui connote la douceur. De
même, si l’on considère le nom propre « Amboise », les sonorités douces
(voyelle nasale /ã/, semi-consonne /w/ et sifflante sonore /z/) sont interrompues
par une occlusive (/b/) mais l’effet d’ensemble est relativement doux, d’autant
plus que s’y ajoute le phénomène de paronomase qui lui associe « framboise »,
avec la connotation de texture moelleuse.
La corrélation entre le son et le sens est donc établie par des faits établis.

renato dit: à

Pas compris le succes d’Elena Ferrante, ce n’est que du sous-sous Pavese.

et alii dit: à

L’adéquation du son au sens ne relève plus du divin comme dans le
Cratyle, mais la création du mot participe à la représentation mentale et
affective. Si le cratylisme s’avère persistant, c’est parce que cela correspond à
l’instinct de la langue, à l’intuition profonde du locuteur. Le conventionalisme
correspond à la mode du moment, la norme actuelle, l’idée ambiante, mais va à
l’encontre de notre nature intuitive. D’ailleurs les travaux des linguistes Sapir,
Chastaing, Toussaint, Peterfalvi et Fonagy montrent que les locuteurs attribuent
un sens aux sons : /i/ semble petit parce qu’il se prononce avec la bouche
presque fermée alors que /a/ semble grand parce que son articulation nécessite
une aperture plus grande ; la voyelle /i/ paraît plus claire et gaie parce qu’elle est
aiguë et prononcée à l’avant de la cavité buccale alors que le /u/ (graphie « ou »)
grave et prononcé en arrière de la bouche paraît plus sombre. Cependant le /i/
semble moins gai aux anglais qu’aux autres peuples européens (français et
espagnols), sans doute à cause de l’influence du mot bitter, « amer » (Fonagy,
1983 : 58). Cela peut vouloir dire qu’on interprète les sons partiellement en
fonction du lexique. Il s’agit de « l’union directe du sociologique et du
physiologique » dont parle Mauss à propos de la danse (op. cit. p. 301)

bouguereau dit: à

c’est drh qui nourrit renfield de blatte..dali y aurait surment vu comme des lettres carrés

bouguereau dit: à

Pas compris le succes

y’a rien qui réussit comme le succés rénateau

bouguereau dit: à

Il dit : « Quel goût… quel goût étrange que… l’âme », et s’évanouit

keupu il aurait posté chez lassouline sans faiblir..non mais chte jure la chochote

renato dit: à

C’est un commentaire ou une glose ?

bouguereau dit: à

comprendre le succés c’est s’avouer peu ou prou client rénateau..une glose on sort pas encore son porte monaie

rose dit: à

Une glose oh Lalie

rose dit: à

Closer

Et François Joseph ?

rose dit: à

Renato

Votre lien : la famille.

(Les gens rient 🥴)

Marie Sasseur dit: à

Tolkien qui a inventé plusieurs langages, donne des éléments de phonétique associés. C’est ce qui est en appendice du Silmarillion. On y trouve également des elements de quenya et de sindarin.

et alii dit: à

Quoi qu’il en soit, Merritt Ruhlen a avancé la thèse d’une proto-langue mère originelle et commune à toutes les superfamilles, qui aurait vécu vers 50 000 ans avant notre ère. Selon lui, le premier mot prononcé par l’homme serait la monosyllabe tik («doigt») ou aq’wa («eau»), appartenant à 32 familles de langues et proto-langues reconnues par la
http://www.axl.cefan.ulaval.ca/monde/origine-langues.htm

Pablo75 dit: à

Roland Jaccard

LE PROFESSEUR RAOULT A COMPRIS PAUL FEYERABEND

Deux mots d’abord, et peut-être un peu plus, pour préciser qui est Paul Feyerabend. Né à Vienne en 1924 et décédé en 1994 dans le canton de Vaud en Suisse, il est considéré, à l’instar de Karl Popper dont il fut l’élève et de Ludwig Wittgenstein, comme l’un des plus grands philosophes des sciences du vingtième siècle. Son livre « Contre la méthode, esquisse d’une théorie anarchiste de la connaissance » ( 1975 ) est un classique, de même que : « Adieu La Raison » ou « La tyrannie de la science ». Il enseigna à Berkeley et prit la nationalité américaine, avant de se retirer en Suisse. Quand je travaillais au « Monde » , c’est Emmanuel Todd qui me l’avait fait découvrir. Cela tombait d’autant mieux que je m’étais déjà passionné pour le livre de Thomas Kuhn : « La structure des révolutions scientifiques » paru en 1962, époque où j’étais encore très sérieux.
Les liens entre Thomas Kuhn et Paul Feyerabend sont évidents : pour eux, la science n’est scientifique qu’en apparence, enfermée qu’elle est dans son jargon et son logicisme, sans omettre les luttes de pouvoir qui s’exercent pour la contrôler et la manipuler. Dans ce qu’elle a de plus fécond, elle relève plus de l’art que d’une méthode prétendument expérimentale. Pour Feyerabend, le seul principe qui vaut est « Tout est bon ». Telle serait la devise de l’anarchisme épistémologique. Ajoutons qu’à ses yeux il n’y a pas d’idée si ancienne et absurde soit-elle, qui ne soit capable de faire progresser nos connaissances.

Et, sur ce plan, vous pressentez la proximité qu’il y a entre le Professeur Raoult et Paul Feyerabend. Nous sommes en présence de deux dadaïstes de l’épistémologie, ce dont il faut se féliciter, car ils ne sont pas si nombreux nos « experts » et nos éminents professeurs de médecine à avoir lu Paul Feyerabend, à supposer qu’ils aient même jamais entendu parler de lui. Ce qui n’est pas le cas du Professeur Raoult qui a reconnu combien Paul Feyerabend a été et reste une référence inspirante dans ses recherches. On peut supposer et même espérer que le Président Macron qui se pique de philosophie l’a étudié, ce qui expliquerait son intérêt passionné pour la démarche du Professeur Raoult. Ce que ce dernier a également retenu de Feyerabend, c’est la nécessité d’instaurer un débat public pour faire avancer ses idées plutôt que de rester prisonnier de méthodologies qui servent plus à bâillonner les connaissances qu’à les faire progresser. Il n’est pas si fréquent qu’un médecin et scientifique de carrure internationale, français de surcroît, se réfère à un philosophe qui occupe une place de premier plan dans l’histoire des idées. On souhaiterait que cela soit plus répandu et que ceux qui traitent le Professeur Raoult de guignol ou de gourou la ramènent un peu moins et, qui sait, élèvent le débat au niveau où Feyerabend et Thomas Kuhn avant lui, sans omettre Popper et Wittgenstein, ont révolutionné l’épistémologie des sciences.

https://leblogderolandjaccard.com/2020/04/17/le-professeur-raoult-a-compris-paul-feyerabend/

renato dit: à

« tik »

Si on s’essaye à façonner un outil dans un nucléus de silex on comprends.

hamlet dit: à

et alii, je peux vous parler ? vous êtes la seule personne ici à l’écoute de l’autre. C’est pour une question, que je me pose. Il y a pas mal d’années, avant que les téléphones portables existent, j’avais un ami qui venait de finir ses études de psy et d’ouvrir son cabinet. Au début il n’avait pas un seul patient, du coup voilà ce qu’il faisait : il repérait une cabine téléphonique en panne, il virait le papier indiquant que le téléphone était hors service et il attendait. Certaines personnes esseyaient d’utiliser le téléphone et après deux ou trois essais, elles laissaient tomber et repartaient. Par contre d’autres s’acharnaient à le faire marcher, elles y laissaient toutes leur monnaie, elles s’énervaient, se mettaient à crier, même pleurer parce qu’elles n’arrivaient à joindre leur amoureux, leur patron, leur collègue etc… et là mon ami se pointait, leur parlait pour les calmer, les premanit même parfois dans les bras en leur tapotant l’épaule pendant qu’elles sanglotaient etc… ensuite il les accompagnait vers une cabine toute proche qui marchait, en leur laissant sa carte visite, et en procédant comme ça il a réussit à récupérer un max de patient pour démarrer son cabinet. Après quand les affaires marchaient mieux pour lui il a arrêté de faire ça.

Voilà ma question, un jour je lui ai dit que c’était pas bien d’agir comme il le faisait, qu’il trompait les gens. Et là il m’a répondu « non, ces personnes avaient besoin de moi » et ajoutait « c’était un raccourci éthique ».

cette notion de « raccourci éthique » m’a longtemps préoccupé, vous en pensez quoi et alii de ce « raccourci éthique » ?

et alii dit: à

hamlet , anything goes!
mais je ne crois pas que nous parlions vous et moi une langue à clic en dépit de l’ordi!

C.P. dit: à

Dexter, je vais encore vous engueuler (amicalement). Car la condescendance est plutôt de votre côté : Onfray a décortiqué quelques modes, pour des gens que d’ordinaire vous ne méprisez pas. Il est vrai qu’il s’expose beaucoup médiatiquement, plus que ne le faisait Philippe Muray, qui en a signalé d’autres… Prenez et laissez ! Le philosophe, comme homme public, a le droit de touiller la soupe, voire de se contredire, s’il en reste quelque chose, y compris de quoi vous faire réagir. Je ne comprends pas bien la comparaison avec Christine Angot (que pour ma part je ne méprise pas du tout). Mettons que nous les avons « fabriqués » ? A partir de quelles hautes références, peut-être inactuelles, balayez-vous Onfray de devant notre/votre porte ?

christiane dit: à

DHH,
vous écrivez à Rose des choses dures que je ne comprends pas. C’était beau son dialogue avec Et Alii, même si votre grande culture semble remettre en cause, leurs recherches.
Vous écrivez : « Ce pseudo savoir relève de l’escroquerie intellectuelle et on a peine à croire que les penseurs qui se sont fait les diffuseurs par leurs cours et leurs livres de ces méthodes d’analyse des textes, tels Ouaknin ou feu Raphael Dray ,n’en aient pas eu conscience ;et dans ce cas leurs écrits et leur enseignement relèveraient d’une imposture dont seraient victimes des gogos abusés par la fausse profondeur de leurs discours et flattés qu’on les leur tienne. »

Cette ironie mordante m’étonne de vous.
Marc-Alain Ouaknin, justement, a réuni dans un très beau livre Zeugma (Seuil), de belles méditations.
Ce texte me semble éclairer, un peu, leur dialogue, un risque parfois sur ce fil de commentaire…
« Un jour un mot vous éveille, vous réveille, vous emporte, vous questionne, vous séduit.
Un jour vous vous retrouvez face à l’énigme d’une sonorité exotique qui vous donne envie d’ouvrir des dictionnaires, de chercher des racines, de reprendre vos études de grec et de latin.
Un jour vous voilà parti sur les ailes de quelques lettres, qui, vous ne savez pourquoi, vous invitent au voyage, vous motivent, vous pulsent, vous dynamisent, et vous donnent le désir de la recherche, de la lecture, et vous font entrer dans la danse du sens, dans la chance d’une nouvelle compréhension du monde.
Un jour le jour se lève et le vent du matin vous offre un mot-fenêtre, un mot-porte, qui fait entrer le soleil, le goût du sable et du désert, le rythme du fleuve et le chant des blés, les profondeurs d’une mémoire, l’inquiétude aussi.
Un jour une lettre chante devant vos yeux et raconte l’amitié, le sourire, le labour, les champs, l’éclair, la lumière et la rupture, le rire, la joie de penser, la volonté de traverser un pont, d’aller de l’autre côté, à la découverte de tout, de rien, simplement marcher, écrire aussi.
Un jour vous avez la chance de recevoir un « mot-cadeau », un cadeau de mot, Droshé genshenk, selon une belle expression yiddish.
Un jour un mot vous transforme et vous n’avez qu’un souci, partager cet inouï, cet inattendu, le raconter, le faire comprendre, le faire vibrer. »

Voilà, quelques lignes pour Rose et Et Alii dont j’aime beaucoup le dialogue dans cet enfer qu’est devenu le fil des commentaires , parfois… J’apprécie votre culture mais surtout votre éthique, votre générosité. Pourquoi avez-vous écrit ce commentaire si dur ?

christiane dit: à

Par contre, ce commentaire-là, je l’aime beaucoup :

C.P. dit à Dexter : « je vais encore vous engueuler (amicalement). Car la condescendance est plutôt de votre côté : Onfray a décortiqué quelques modes, pour des gens que d’ordinaire vous ne méprisez pas. Il est vrai qu’il s’expose beaucoup médiatiquement, plus que ne le faisait Philippe Muray, qui en a signalé d’autres… Prenez et laissez ! Le philosophe, comme homme public, a le droit de touiller la soupe, voire de se contredire, s’il en reste quelque chose, y compris de quoi vous faire réagir. Je ne comprends pas bien la comparaison avec Christine Angot (que pour ma part je ne méprise pas du tout). Mettons que nous les avons « fabriqués » ? A partir de quelles hautes références, peut-être inactuelles, balayez-vous Onfray de devant notre/votre porte ? »

C’est comme une truite fario qui remonte le cours d’une rivière…

et alii dit: à

je tiens à dire que R.Draï évoquait les linguistes qui s’écharpaient sur l’hypothèse d’une langue originelle:ce qui n’est pas prendre ses lecteurs auditeurs pour des « gogos »; mais on sent bien d’où vient ce mépris d’ une personne particulièrement flatteuse et peut-être envieuse

Marie Sasseur dit: à

 « tik »
Si on s’essaye à façonner un outil dans un nucléus de silex on comprends. Renato

Moi je comprends beaucoup mieux si le doigt sert d’abord a montrer.

et alii dit: à

voici l’image fameuse! du lapin canard
data:image/jpeg;base64,/9j/4AAQSkZJRgABAQAAAQABAAD/2wCEAAkGBwgHBgkIBwgKCgkLDRYPDQwMDRsUFRAWIB0iIiAdHx8kKDQsJCYxJx8fLT0tMTU3Ojo6Iys/RD84QzQ5OjcBCgoKDQwNGg8PGjclHyU3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3Nzc3N//AABEIAHkA1gMBIgACEQEDEQH/xAAcAAABBQEBAQAAAAAAAAAAAAAAAwQFBgcBAgj/xABBEAACAgEEAQMDAgMEBwYHAQABAgMEEQAFEiExBhNBFCJRMmEHcZEVI4GhM0Jic7Gz8CQ0NlJUciU1Q3SSorIW/8QAFAEBAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAP/EABQRAQAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAD/2gAMAwEAAhEDEQA/ANx0aM6NAaNGjQGjRo0Bo0aNAaNGjQGkrFiGtC81iRY4kUs7ucBR+50jum41dqoT3twmSCrAvKSRz0B/11jWGepvWiesLcsMwttsRf24KkEixu+BlpZsEtxBxgYx/iMaCf8AU38YYnitr6WWGQRAAWrQxlmPEcUyMr5yx8ddHVc2ujR9Y7eLm42p7u5e0zfUTguxcEqVRGIi8lML0fuz5GrJ6a9MWNnozpV2mKGW1UJlWayXhgc9oTyzz+CesAggfvPents3evtscbyxxQ1o1SFKUsczsR+p8FeJ5Hvvx+2gQj9JVl21q12P2q1OI/TXTFGprqOOUxIWznByfHkfvp5sm153GFIr1nhFEsckayVSGA7PJUQHBz8Hzg6muO4yXg0U9mKFFQM0nBEY95OOHfYGQCP1dEaQ3j1DLt0DJH9HLZ5cA8lqKGOIkgDlli2T2QADnGNArckrbVs9mIF3IGCY0kIBY4ABUMRjI8ePOBrPZ22e9LZljjir2lk4kPujrEzJ0MEMWGDgj7Ousga7fmqXpmcWpJrTfeiQXnbnKACzBIWVnUDB+1QfjrHbilWpR7dau0dxvpbpE846IkaJypy2VcZYE+SST8ZB0DS2bdWWGOvJbipKMs8sfuRw9Z4DABJ/fl3n8nTrbm2+rJHLFHV+pmYtPWrs6OIwSJGSPIwwYZBJzjvJ60jTsbdFJCssq1LET8ITPS+kmmLMf7z7mHLn3gAZznPnT23uNybcFc2o/wCzaUv0+4QT8AntHrk3EvkhgDkcMdA+c6CpepPpq22y76lOvcexZNixVtRrK0ZH2qf1BkHgkEEd4PjGoSld9Xeh7q2tvldNrkkVwoIlrsH7/R9uD34wp8eNWHfNlrA2ZH2apQ4yrKttr5MbMT92HVjwQktkEEDnjI0judTbpqcteXaJfrkwziZ24mMZ5snjMeBlcfBzkE9BpHpT+JG2bzfXarskVbcyCUVXykvfgE4IcfKEZH76vQOTr5T3H03HXlcJItbnN/2Vo2kcIQEbiTw5DirE9+Pn97x/DT+JbbRKuzeqrsk8LvxguuxPsnoFHz92M/J/4aDddGvKOGAIIIPgjXrQGjRo0FC23b/4h11nE/qDarAWbjD79PJkT8koV4n9sH+epf631HRrK9uLb7b9AiIyR47Azni/5+QP56e1vdXi/wDaEllnZgkbLGufjOBjIGCf66aWt4u0b0dP6eKz75Brye4Y+fRLZ6IyOsZYZ/bGdB5T1akcpiv7fagZBmV4is6J898CWAPwSo07qeqtjtSe3FudcTcuPtSt7b5/9rYP+Wm39oQS12beKlf20h9yeSQJxHYxkZYAY+eXx+2mN3YvTVjc1eWkPeeAj3wRIhXGcMDkAd5GRjPjvQW5J4n6WRGP4DA6U1RZ/TnpeJ57aw7XCZUwj+z7eWP+sSCM9nrGMHwdL7f6ZhRY7FFtxpSD70jk3SR42yBnKhiD0fP5A0FyyPzruRqnnbt5b6iLbfU10SBuUYu1FYKPxn21z315PWf8EHk3qksUdv1N7koUBzX2rIBzgknJH6uvj9/k6C764SMedUwS+omic1bNm0/JVVjXhhXB8kEk5x/L+uuS7Z6usTIh3MwwKRydJ0LOAfHUI45/Pf8AL50FK/jvvMt2zS9MVHcKWWSyVU8S7dRI3x2QTqk7YsdTeXr1LFDdYm4GxPHAQEjRDlyhwmAG4nIJOD1k60D1V/ClnT+16tmxuG4KC9itZlMgtEZxhiPIBAGRjr41G7LtdPZqVPb5ZpqW7Jy+oqRVzLP7hbikpHY48SpODjogEnQW+jbj3MrLBDMqOzmWCZlUYX/R88B8FR4BK/GQc6WtWLdRWk2ynYMiEs6QwwsSw8AFcHsD5XrP7aZVLcE0Ni007RSiYwyR2cV5yvwF4+OWM9gHv41MUN1heyIBfowAo7pE00bNIMAdnmc4yM9D48eNBDSeo6+47bFF6hqTxs74ZBKrJWcgkFshQ6r1gnkM/wAtUPe/VO00ZpJxPDY3JJCDJHRFeVyFwrE4zgg4yGxj4OdWL15uO7UqEiwzQxLOFSJqqsRZkxgFWChSVAP24PjyMao3o/05HJPH6j9WW4K1FbvBjeJBmIUk/b5J8YH/ABA0Be37d7c23WrN1NjaGJhXexI80jIxALAMCQOj31nvGdINue9RbbLeo31vye6ZZbkEgaQM/kSRuucYDeBjxnxp36gqelr2/R3J/U8luN1R7M9ak7cQuORkznDMTgADiPn4GqZWa4L9b+zvqEYy8anH9f3McAfkk9f10Fq231RuZvy/R7ilmOeSMytaVTIyntl4MCD2T2oOOIx11q+1LGzXPrZ9w2u5DOiI00onUCNfvUEkMqkD2uQJ6H6sZOqh/ED0vU2i5X3jY51pxTWvphGknEo4AVpEA7K8g4IH4PwdSew2N/g+yvRjO1O33ie6v922cdBpFJU+SMDzjQSkN+il3cTBQsR1ZkiLPOoJmGeRVkjxx5HJ5E4PJhjUGU5tVsWpNzSe3IXjMScqzxyyBfbw3asBjBx5x+x1aa3pSxVm3Cat78UlqNS/0rIY48ZLcoyZM5P3Yx84z3pFPQkt2txrbmXeWXmiGL24olKggGNSAqkYAyn2nv50FKpy1YqzJvTFHh5Ba25Oyui+IuBHlgoYdgfqxkYGGtnbre527DJUpVrS0SppXV9tihZQpQscMxzkccY6HerjvnpyajHLJ6l2Gqodfa+prKZosBsrxXIaM9+Q3f8A5TpGX03DtkVKC+4mh6ejZqWVhng4nBDFgMk8wAOOSyAd6B3/AAl9f2al6t6X9QTpLC4CULhbrP8AqoT8g+AT34H41t+dfK12WCMrb3mOGWeYtPG8VxlmiIAH3qRgSHAZcgZx+Dr6O9FbyvqD0vtu6L+qeBTIPw46b/MHQTmjRo0GVV4atRqk8kV5dwiicSe7XH6gvgSxxYGc/qLY+Dn4mqO8U5kje/djp2HnxwFuYRtk4GThRk/4d6un1Nf/ANRF/wDmNMru6UIiIZG+oLg/3cKGXx+cZAH88aCvWbEEtMJLuEG4RuSnKFO1GSV65ZYHGDgjJGdRu6ULUex+0I9tQssc9h7UxhlWTKsORPMA5GDjPx+O5XeIdg9uOW76cR3zyjxHCrrx7DBuQA/IOf6agNz3aKGaWKls+4ySyQmVRLcWRn5EDjHj3APP5AAyetAlXsSbUKt+Y17Fm1YKTWIczSfcW4soTyvar0Bnvwder25bnVsQRrFZUS3FMViW3KJGHROIZOuK95U4GOxjGoCXcN9Fmf626HljhDVo4oIpTYK4Lni3ElRywOv6/MnuXqzhs8dW5SE6qwbMVZT73gheCuGDjrkAMfb+NA82be4a1+cpf3WVvqJFmo81dQxCryHFWwCcsMsAuR4HiWh3K3IZOV/dYJJbDCNH9jCoDjkMggr5wc5/Y/MLtu9R70k23xV1qrGTLyptlXDNyKTB1LHvzx77yD+Iq1YuNatct6hihjkWVqe3RPliMEdJ9wVQq98TlW8aC5Wd73apSKB0MiMAJC3uFs57OFAPjwPOcdY0+g3y5FQMpeKx2FDOHLBsdgrHH1/1/LVOj3+9C9VqdL3JLUiqa+Z3SqRhmU4xxwDyyAR138DUTvfqLaVvRQQX7i3pDh2gaKBF59q3P2icNkk+Gwc40GtbXuduyhkt0/ahwP7zDL3n8OAcfuRpl6h2705uUsU+6ew9iFhFG6yEMpbsL9vn8gH+es5v77t8t6nWo7/YnoywIt2zAmRz/wBXvhy8t2O8E5IHeja603J5YtwuywM7SS1RF7/NmJwUxHx4/wDmBHWfOgdf/wCW3OvudN4ILO7MOXHcDmEFeR6kB7yMk5+dLxUaNPdritQ9PkiMF4VVpJlVieTSSKhOScYB+Qf8JixDEtXlcubzPQQAACukSwoDggEqhGfk99eCPOo6zuHp2q2IoIKcdeQAS37K4LH7mK9N3no9jseNAzuV7F+nBFD6dhG1A/8AZ7dOwkUkfeWOXyygYGP0no+MYKc227ttVWFrdsXtvnRUeHdpVsViuD00qqGRgMYcr+BnThPUGzXLgT+0a8uRxKiwGI5L/qiVwmcHvCnU1Pue3COSXbqUhesnL3EtKqBelBIB458fGOs+BoMr3H0QJ71h/SlitGiRZt7bdtAPAmMk8s8ZIvBDAnv+WoenAvppWMM9TcN2fiedKYyfQxDtiHH2+4fAIzxH7nWj7hAkVJNx3OnNLXh5rKl6OKSOBJDyLgK33HJ8gsSGOANNKsFOukNvapBtQEDp/aFXbpHBj8kZDPxzyDDI/ocaCOqTVbMVefc9sSazUdyPceCRgmW9tTHK32KEXpQezn5Pcq0ttqYji3ada0DcYk23co6pYoDlFBRh0o7HMDIP7a7ttODfYQa+9X41eMZkgtguzY7P6pGzj46/lkafrtu3VpPbs1vrXt5MzQiwkjg5z2SAfCk4/frGDoINtm2yxZjnNLflmsoec1ZpJpvIwGLJgNgHvlnB66xq9ejvR9ujVK2L936eQFolmk5yK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3XhlURkt5wM9/GpeTa/TU7Wp44drktXHxMXeIuwIIEeGAIyAox578570ykW5UMG3bShVkIDRzWPaKY/8uDIh8EYKjx50C9Kz6LvQNQuXIIrZGJxLI9WUNjsA8gwHzjkf8dKWdvt07M9nYqkEtQqpzVkWR5cYJLZeMlzgZPI5HnOpWKtuIWL3oJU9uuMxw+w3J/GORAycd/pA0wvQzS+4JNqqQwIxBktRxzTSZ6z7SYHHOMktnHxoGm8eo5qVyrH6h2NRFNIDE8rK4jAHZKryKjod5PeqrPvWzVjDPQ2qBtyldhjbYmt5UgllIJU4wAesfp+NaR6e3Snaqw0YI7GPbYiRK00UPR7Ads48+OX5/Gqd6ko36styptG7WIbPL+4NncXRVyPB/YZ/OgZxvNKVs27taNo0yBuETwrGhx+oNMRnPX8xn8aZfQizZaShDWupY+6KYRqKpkVQpDPnyDntScnJOldwG8Xdin2jf59ggszKY0swXI2c9eOLnyQ2Mjvyc96n/SHpgGjRazVpLDHHg+xM0sROSWxh+OC3ajBA6+dA59NbaaRoRbya8FiSUPVjguv7bKoBwo+cZOB5wdaANQm1NUrLHBFWMDSyHiqxg5wMcmK5C54nzj8edTY0HdGjRoDRo0aA0aNGgNGjRoDRo0aA0aNGgNGjRoDRo0aA0hdh+orvFyK8h+oAHB+D3++l9cOgqtens09oJYv1LtmE4RXK8lPf75+T/0NJRbVWrLH7ce40JUQljCzSKrA9YypDfPn486Q9e/9xk/9rf8AA6PQH+gn/wB+P+C6CX22216vPHQnuJMc8ZblN8RsD354hvxgHSMHp+aSwLO7WYrFkt+qCpEiAY6OGDN/+x1Zfz/LTS9/o4f9/H//AENBWbli7XthqNaes4+LkgeLGMfbGkmB4/Hzr2l/d3hmlv3o68akcPpIFUkeCcyMQMaY+ov/ABTa/wDsa3/Nk1Begf8AwjU/3tn/AJ7aCZsiG+ZEp7pIGkXH1Jkjd26xlSgypx1nzjx41ZKNtIoUhsyPZcFRyWKRlH7kkYGMfn4/OpWD/RN/I6z31d/80X/fQf8AM0GhpXRJDIoYEgAjkcdft40vri67oDRo0aA0aNGgNGjRoP/Z

Marie Sasseur dit: à

On peut pas faire clic ça marche pas.

renato dit: à

Un nucléus de silex gros — + ou – — comme une pomme sur lequel il faut taper avec un percuteur. L’un des doigts qui tiennent le nucleus est souvent victime d’une distraction ou d’une mauvaise prevision.

Chaloux dit: à

Comme souvent, sauf quand il s’agit de Balzac (sic), c’est C.P. qui a raison. Chez Onfray, il y a à prendre à laisser, mais pourquoi ne pas prendre ce qui est à prendre? Et il y a beaucoup à prendre. Ai souscrit à sa revue.

@Pablo, suis en train de lire ton ami Jacques Drillon, Schubert et l’Infini. Pas d’enregistrement pour le moment, je m’enregistre tellement peu que je ne sais même plus comment fonctionne le ZOOMH4. M’en vais potasser le mode d’emploi. Reçu aussi le Traité de la ponctuation française.

Marie Sasseur dit: à

Oui Renato, mais z’etaient sans doute pas des vulcain…

et alii dit: à

cette image du lapin canard ne sort pas de chez Clopine;elle a une page wiki et surement des articles

Marie Sasseur dit: à

En outre je ne pense pas qu’un langage soit fondé sur des onomatopées, ça va bien pour quelques mots, mais, c’est pas la généralité.

Marie Sasseur dit: à

Encore une erreur Et Al.
Play again

et alii dit: à

pardon, renato, je n’avais pas encore vu votre com;
cela me plait que nous nous rencontrions ainsi ;mais si vous avez d’autres illusions pour les méduser, n’hésitez pas! je reste là un moment;
bonsoir

Marie Sasseur dit: à

Eh bien pas moi.
Bonsoir.

Jazzi dit: à

« pour 3 amies très chères qui m’ont pris en stop dans leur 4L ce jour de juillet 1974 à Sisteron »

Tu avais donc + ou – 20 ans et cela fait remonter ta naissance dans les années 1950. Contrairement à tes affirmations habituelles, tu es largement soixantenaire, like me !

et alii dit: à

je n’ai pas vu où était mon erreur,;mais votre manquement à la précision, si
Onomatopées et traduction
poétique : les onomatopées
allemandes dans les premières
versions françaises de la Lénore de
Bürger
Rarement texte poétique aura
connu au XIXe
siècle la faveur des traducteurs français comme la
Lénore de Bürger. Dans son article consacré aux traductions de Lénore
en français, L. D’Hulst a recensé une trentaine de versions de la célèbre
ballade entre 1814 (date de la première traduction) et la fin du siècle5
.
La majorité des traductions sont enregistrées entre les seules années
1814 et 1849, avec une pointe tout à fait significative autour de 1830.
Les vingt-deux versions parues par exemple entre 1820 et la fin des
années 1840 (une par an en moyenne) trahissent un réel intérêt pour le
genre lui-même et pour le défi qu’il impose aux traducteurs.

hamlet dit: à

« christiane dit: Par contre, ce commentaire-là, je l’aime beaucoup »

moi aussi, j’ai l’impression de revenir qq années en arrière, retour vers le futur…

C.P. je parlais plus de sa stratégie éditoriale, la méthode « choc », avec des titres « choc », stratégie marketing « choc » accompagnée par les médias « choc », qui entrent dans cette mise en scène « choc », cette mise en spectacle « choc » d’une pensée « choc ».

qu’en reste-t-il après quelques années ? il suffit d’une boulette de la pat d’Onfray pour que ces mêmes médias retournent leur veste, celui qui était présenté comme révélant la vérité sur Freud et sur Dieu, se retrouve alors déglingué.

d’où le parallèle avec Angot qui a aussi fait pas mal de boulettes lors d’émissions tv (peut-être n’était-elle faire pour cet exercice télévision parce que ça va trop vite pour elle).

et maintenant on voit se rejouer le même film avec Raoult simultanément sauveur et charlatan.

cela rappelle certains films de Clint Eastwood où la même personne passe en trois jours du statut de héros à celui de criminel.

pourquoi Eastwood insiste-t-il tant sur ce sujet qu’il remet à toutes les sauces ? (le dernier portant sur le « sauveur » d’Atlanta)

parce que pour lui c’est le signe d’un truc qui cloche qq part, on sort de ces films sans savoir exactement ce qui cloche, mais là où Eastwood réussit son coup c’est qu’on comprend bien que ça cloche, et pour lui, quand ce socle cloche on ne peut rien construire par dessus, parce que pour lui c’est tout du vent (j’ai bien aimé celui sur le sniper).

renato dit: à

Peut-être pas des vulcains, mais voyons la complexité de la méthode de débitage de taille Levallois.

La première étape consiste à sculpter, à l’aide d’un percuteur, le nucléus sur ses deux faces de manière à obtenir deux surfaces convexes. Sur l’une des faces, le plan de frappe, le tailleur procède à la percussion.
L’autre face, la surface de débitage, correspond à la zone d’enlèvement des éclats et des lames. Celle-ci est aménagée de façon à présenter une surface convexe qui déterminera la forme de l’éclat désiré.

Janssen J-J dit: à

@ non, ces personnes avaient besoin de moi » et ajoutait « c’était un raccourci éthique ».

Un peu comme Onfray serait le raccourci éthique de Dexter.

Il faudrait que je m’exprime bien sûr comme C.P… c’est notre seule différence de forme dans notre partage du fond. il faut ramener H. à récipiscence.
Cela dit, la comparaison avec la truite fario m’a un brin l’air d’une aimable schubertiade. Sans plus. Pourquoi tant de miel ?

et alii dit: à

le maître Nodier
Dictionnaire des onomatopées, par Ch. Nodier [compte-rendu]
sem-linkG. Blanchard
Communication & Langages Année 1985 63 p. 120

renato dit: à

de taille > de LA taille

hamlet dit: à

Pourquoi tant de miel ?

simplement parce que dans le fond je suis un mec hyper cool et sympatoche ! un mec 70’s.

et puis n’allez pas faire votre chochotte 3j, un peu d’intensité dramaturgique à la pièce qui se joue ici ça n’a jamais fait de mal à personne !

D. dit: à

Comment a-t-on pu laisser « Lady Gaga », qui représente une sorte de niveau zéro de la musique contemporaine, s’emparer de l’oriflamme de la mobilisation du milieu artistique mondial ?
Qu’on ne compte pas sur moi pour l’écouter.

D. dit: à

Bérénice, ça commence à m’énerver que vous donniez l’impression d’être très occupée à plein de choses alors que vous êtes censée être confinée et ennuyée.

Chaloux dit: à

Ce choix du pire m’enchante. Ces deux posts étaient un test. Ils figureront dans le portrait.

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