de Pierre Assouline

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La République des livres
Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

Lorsque l’exécuteur testamentaire est un homme, on dit non sans déférence que c’est un gardien du temple ; mais s’il s’agit d’une femme, elle sera facilement désignée comme une veuve abusive.  La paternité d’une expression aussi fleurie vient d’Anatole de Monzie qui intitula un libelle sacrément misogyne Les veuves abusives (Grasset, 1936). Il y épinglait huit héritières de grands hommes dénoncées pour leur comportement, toutes coupables d’avoir assassiné leur mari après avoir sa mort. A rebours de l’idée selon laquelle un gardien du temple, à l’égal des prêtres du temple d’une divinité de l’antiquité, se jure de l’entretenir et le défendre jusqu’à la mort. N’empêche : encore un bastion à démolir pour #MeToo ! L’urgence de la situation ne permet plus d’ânonner l’adage selon lequel derrière chaque grand homme il y a une femme, d’autant qu’il est souvent détourné par d’horribles machistes (« Derrière chaque grand homme il y a une femme qui n’a rien à se mettre » etc). Car c’est injuste : la veuve comme le gardien abusent autant qu’ils protègent.

Ils ne sont connus que des chercheurs, universitaires ou biographes, fabricants de notes en bas de page et fouille-merde. Le grand public ne découvre leur existence que lorsqu’ils  se révèlent être des fléaux. Ou à leur mort en lisant la rubrique nécrologique. Deux d’entre eux et non des moindres ont disparu presque en même temps en janvier dernier. Deux tempéraments, deux univers fictionnels et surtout deux manières d’envisager leur fonction d’héritiers littéraires totalement opposées sinon antagonistes : l’un Christopher Tolkien, c’était le bon ; l’autre, Stephen Joyce, incarnait la brute (ne cherchez pas le truand). Leurs noms vous disent déjà quelque chose à défaut de leurs prénoms ? Et pour cause ! Il sonne autant comme un patronyme que comme une raison sociale ou une marque déposée,

Le bon d’abord. Christopher Tolkien est mort à 95 ans du côté du village de Aups, dans l’arrondissement de Brignoles (Var), où il s’était retiré au milieu des années 70 après avoir démissionné de son poste de professeur à Oxford, peu après la mort de son père, le génial créateur du Seigneur des anneaux. Plus qu’un roman ou une saga, un monde. Collaborateur et premier critique de son père, son plus jeune fils  fut tout naturellement désigné par testament son exécuteur littéraire, à charge pour lui d’exhumer, de décrypter et d’éditer une masse considérable de documents, fragments et manuscrits éparpillée en un chaos aussi calligraphique que catastrophique dans 70 boites d’archives, ce qui devait aboutir notamment à la publication du Silmarillion, des Enfants de Hurin et d’une vingtaine d’autres livres jusqu’alors inédits. On lui doit de mieux connaître le legendarium derrière cette œuvre qui a donné ses lettres de noblesse à un genre littéraire longtemps méprisé, la fantasy.

Passés 90 ans, il démissionna de ses fonctions au Tolkien Estate, la structure juridique qu’il avait créée mais gérer les droits d’auteurs, le droit d’auteur et certains produits dérivés mais jamais n’abandonna celle d’exécuteur littéraire, luttant jusqu’au bout pour enrichir et défendre et faire vivre la saga Tolkien, y mettant parfois sa touche mais sans abuser, juste pour combler des blancs ou rendre intelligible une page chancelante. A sa façon, dont tous les spécialistes lui ont été reconnaissants : en gardien du temple mais bienveillant, généreux, disponible, fidèle et surtout intègre quand tant d’autres sont si psychorigides.

On a pu dire qu’en le perdant, les tolkienolâtres, secte innombrable, venaient de perdre « la boussole de la Terre du Milieu »  dont il avait dessiné les cartes, et que ses peuples se considéraient en deuil. Tout jeune, il avait observé de près et accompagné pas à pas l’évolution de l’œuvre paternelle. Les deux ont grandi ensemble. Les personnages imaginaires de l’un et la petite personne de l’autre., mais en totale osmose puisque le géniteur-créateur les lui racontait et plus tard les lui soumettait. Il était écrit dans le Genèse de cette œuvre sans pareil que Christopher serait non le gardien de son frère mais celui de son père.

Stephen Joyce, c’était la brute. Lui aussi s’était retiré en France à la Flotte, commune de l’île de Ré. Il se voulait le gardien de son grand-père mais tout dans son comportement, ses décrets, ses interventions reflétait plutôt la névrose d’ une veuve abusive. En 2012, lorsque l’œuvre de James Joyce, auteur de Ulysses, l’un des rares romans de langue anglaise qui ont dominé leur siècle, est tombé dans le domaine public, ses spécialistes un peu partout dans le monde ont poussé un « ouf ! » de soulagement qui a du ébranler jusqu’aux murs des pubs de Dublin et qu’un tweet résuma d’un trait : « Fuck you, Stephen Joyce ! » (inutile de traduire : grâce aux films de Martin Scorcese, même ceux qui n’ont jamais appris l’anglais comprennent).

Il est vrai qu’il était détestable, non seulement par son arrogance et sa prétentions naturelles et par ses actions : héritier de 50%, puis de 70% puis de la totalité des droits à mesure des décès et des désistements dans sa famille, il ne cessa de faire obstacle à la recherche universitaire sur l’œuvre de James Joyce : il répondait toujours par la négative à toute demande de consultation des précieuses archives qu’il détenait ; il refusait d’accorder l’autorisation de reproduire des extraits des livres ou de la correspondance, s’y résignait parfois exceptionnellement mais à des tarifs si scandaleusement prohibitifs qu’ils aboutissaient à un refus ; il s’opposait aux projets d’expositions de manuscrits, ou aux lectures en public et adaptations pour la scène du maître-livre aussi bien que de Gens de Dublin, Portrait de l’artiste en jeune homme ou Finnegans Wake allant jusqu’à poursuivre des théâtres devant les tribunaux ; il s’invitait aux colloques où on ne l’invitait plus pour prendre la parole quand nul ne songeait à la lui donnait afin de lancer à la figure des érudits (« des rats et des poux qui devraient être exterminés ! » comme il les désignait) accourus des plus prestigieuses universités à travers le monde :

 « Si mon grand-père était là, il éclaterait de rire en vous écoutant !…Je suis un Joyce, vous n’êtes que des joyciens ! ».

Et reprenant tout interlocuteur qui l’évoquerait ou le présenterait autrement que comme « « Stephen James Joyce », il prenait un malin plaisir à raconter comment il avait détruit une partie de la correspondance entre ses grands-parents, les lettres de Samuel Beckett du temps où il sortait avec leur fille Lucia etc Au vrai, il y faisait régner la terreur et en jouissait, variante de la perversité en milieu littéraire. Abus de pouvoir ? C’est peu de le dire, la chronique de ses procès en témoigne. Stephen Joyce, qui avait neuf ans à la mort de son grand-père et qui fit une carrière de haut-fonctionnaire dans une organisation internationale, y avait renoncé à la mort de son père, comme Christopher Tolkien dans les années 70, pour se consacrer à la gestion de l’héritage, persuadé qu’il protégeait et préservait non seulement « la pureté » (sic) de l’œuvre de nonno (« papy », en italien) comme il continuait à l’appeler, mais la vie privée de sa famille. Ah, papy James, si tu savais…

(« Tolkien père et… fils », photos D.R. ; « James Joyce avec son petit-fils Stephen en 1934. Photo Bettmann Archive)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

2 207 Réponses pour Tous les gardiens du temple ne sont pas des veuves abusives

renapatatras dit: à

Un barman de New York : « Les gens viennent ici pour noyer leurs ennuis, mais il y a un problème : les ennuis savent nager. »

Il y en a un qui a oublié les glaçons dans son Martini! 😉

JiCé..... dit: à

La mort n’existe pas.
( ah, ben, merde alors !…celle là, fallait la faire)

renato dit: à

Étant donné le processus, il est impossible d’oublier un glaçons dans le Martini.

renapatatras dit: à

perdu dans son petit humour sans epaisseur

Laissons à l’autre la reconnaissance de son gros humour et de son extrême épaisseur! 😉 😉 😉

JiCé..... dit: à

« Tu parles de la foi des athées, j’imagine… Celle, gigantesque, qu’il faut pour croire que tout ce qui existe est sorti du Néant par hasard. »
(ah ben merde alors !… celle là, fallait la faire)

renapatatras dit: à

Étant donné le processus

En voilà un qui veut nous refaire la tentative sur le Champ.
Gaz d’éclairage.

Nicolas dit: à

3j, c’est une expression pour signifier que je n’en fait pas parti, de vos amis, et que vos familiarités à mon encontre n’ont pas lieu d’être. Vous qui tenez à ce que l’on vous vouvoie tachez d’être raccord avec vous même. Vous le savez très bien et jouer l’imbécile nous vous grandit pas. On peut ne pas finir d’accord, quoi de plus normal ? Restons aux batailles philosophiques…c’est ce que je fais.

Pablo75 dit: à

« ( ah, ben, merde alors !…celle là, fallait la faire) »

Eh, oui JiCé Desborels…

renato dit: à

Voilà la preuve du petit humour sans épaisseur du renapatatras.

Cela dit et pour revenir au réel. Covid-19 : Armani et Calzedonia ont converti leurs usines en usines pour blouses blanches jetables pour médecins et infirmiers. Ferrari se met à fabriquer des ventilateurs, Gucci et Prada des masques, Bulgari et Ramazzotti du gel hydro-alcoolique.

Jazzi dit: à

« Avant d’affirmer des contre-vérités il faut s’informer »

Auprès de qui, des morts-vivants, Pablo75 ?
Mais où les rencontrer !

renato dit: à

Laissez Duchamp tranquille, l’expression « étant donné » peut s’employer sans l’impliquer.

bouguereau dit: à

mais au caveau à lachaise sacré nom baroz..comme t’es un homme de peu de foi

bouguereau dit: à

henfin rénateau..c’est les autres qui meurent..’dailleurs’

renapatatras dit: à

Cela dit et pour revenir au réel.
il a compris la peinture mais il ne sait pas l’exprimer par la peinture.

Garouste est un poète!

bouguereau dit: à

(ah ben merde alors !… celle là, fallait la faire)

..on se croit lafrenchézado de souche et yen a toujours un hombré qui traverse les pysrennées pour te couper lherbe sous le pied

renapatatras dit: à

Laissez Duchamp tranquille

On dirait madame pipi qui défend son pré-carré! 😉

renato dit: à

Évidemment bouguereau, puisqu’on lit les journaux. Mais il y a une question qui reste sans réponse.

https://pin.it/4uJokcd

Alexia Neuhoff dit: à

Parler de « dame pipi » en relation avec Duchamp, voilà qui ne manque pas d’à propos.

bouguereau dit: à

comme si greubou avait besoin de petits valets pour voler à son secours.

hun peu mon nveu..petit combien de fois j’ai révé que gandalf toquerait a ma lourde et dise..’écoute pas dirphilou..chus pas un gros pédé..viens je t’emmène dans un pays ou elle sont toutes gentilles et bonnes’
https://www.youtube.com/watch?v=yZEKlp-H6FE

renato dit: à

Je n’ai pas de pré-carré, donc rien à défendre, je rappelle seulement une évidence.

renapatatras dit: à

@ Alexia 😉

Jazzi dit: à

« écoute pas dirphilou..chus pas un gros pédé.. »

Oui, mais comment expliques-tu que le mot qui revient le plus souvent sous ta plume soit : « baqueroume », le boug(re)* ?

*surnom lourdement connoté que je t’ai donné…

Jazzi dit: à

« Mais il y a une question qui reste sans réponse. »

S’il s’agit de savoir ce que l’on devient après la mort, Pablo75 va vous l’expliquer, renato.

Nicolas dit: à

Le problème renato c’est que MO lit tout _______ (mettez l’auteur que vous voulez) en un week end et qu’il pond un livre en une semaine à la sauce nietzschéenne (qu’il a lu en deux heures) pour effaroucher le « bobo bien pensant » le tout enrobé de son égo de philosophe raté. Qu’il soit sincère c’est très bien. Et donc ?

Jazzi dit: à

Comment ça va entre votre mère et sa nouvelle copine, rose ?

Jazzi dit: à

« pour effaroucher le « bobo bien pensant » »

JJJ serait un bobo effarouché, Nicolas ?
MO est une oie productrice prolifique de foie gras…

rose dit: à

Elle perd la tête la copine de ma mère. Elle réclame la visite de son fils tout le temps. Hier, elle s’est couchée à 18h30.
Aujourd’hui, ma mère m’a dit
« le dimanche, on pourrait mourir que personne ne s’en rendrait compte. ».

Elle est quand même adorable.

Janssen J-J dit: à

Pourquoi avoir fait l’effort de lire l’intégralité de « La Sorcière » de Jules Michelet, en ces temps de confinement et de vous le présenter ?
Parce qu’il pleut ce dimanche et qu’il ne faut pas se laisser aller. Parce que les temps sont propices à combler des déficits de lectures sans cesse remis sur le métier. Parce qu’icite, à la rdl, à son insu peut-être, DHH m’y a poussé ou encouragé. Parce qu’un jour, j’ai retrouvé ce bouquin dans ma bibliothèque, déposé par BS et récemment mis sur ma pile en me promettant de, sans trop y croire. Parce que j’avais gardé le souvenir du Pr. Sabatier, attachant prof histoire du droit et des institutions de la féodalité à ma fac de Bordeaux, durant ma vie estudiantine. Il en avait parlé passionnément au ciné-club du campus (après avoir évoqué les vertiges qu’avait provoqué la poitrine de Brigitte Bardot sur les écrans des années 1960 parmi les étudiants de sa génération). La ‘sorcière Brigitte’ jetait alors sans doute ses sortilèges hypnotiques sur le professeur Sabatier, comme le père Girard fut affolé par la jeune Catherine La Cadière dans le long développement que lui a consacré Michelet (censuré à cause d’une scène hardiment porno-soft). De l’eau avait passé sur ce genre d’historiens poussiéreux, jamais lus,… à cause de l’école des Annales, sans doute, des Robert Mandrou (Magistrats et sorciers), y compris de la séduction trouble passée au chevet des châtiments atroces et raffinés infligés par les grands Inquisiteurs du XIVe au XVIIIe dans toute l’Europe, dans l’ouvrage de Dominique Villerot (l’Inquisition)…, Autant d’autres éléments qui m’avaient largement suffi à cette époque (1971-1975). Bien plus tard (en 1995 ?), nous avions mis la main sur le Marteau des Sorcières, une curiosité qui venait d’être rééditée (d’après le Malleus Maleficarum de Sprenger & Ignatius). Et voilà pourquoi et comment tout s’est reconnecté aujourd’hui. Michelet était un romancier féru d’histoires approximatives et parfois imaginatives, mais il avait surtout « le génie de l’explication » (d’après R. Mandrou). Il expliquait l’histoire de France comme le fit cet instituteur qui berça mon école primaire, qui avait su digérer son Michelet et nous la raconter sur son modèle. Je ne l’ai jamais oublié.
Michelet publia La Sorcière en 1862, à l’âge de 64-65 ans (l’âge de ma lecture actuelle), après avoir effectué des recherches durant trente ans. Il y dépeint un millénaire d’histoire occidentale en justifiant son entreprise de la façon suivante :
1/ J’ai voulu dire comment la sorcellerie se fait par l’excès des misères, comment la simple femme, servie par l’Esprit familier, transforme cet Esprit dans le progrès du désespoir, est obsédée, possédée, endiablée, l’enfant incessamment, se l’incorpore, enfin est une avec Satan
2/ J’ai dit comment la sorcière règne, mais se défait, se détruit elle-même. La sorcière furieuse d’orgueil, de haine devient dans le succès, la sorcière fangeuse et maligne, qui guérit mais salit, de plus en plus industrielle, factotum empirique, agent d’amour, d’avortement…
3/ J’ai voulu montrer comment la sorcière disparait de la scène en subsistant dans les campagnes, non comme sorcière mais comme ensorcelée (3 exemples : Aix/affaire Gauffridi ; affaire Urbain Grandier à Loudun ; les possédées de Louviers (Madeleine Bavent) + l’affaire de la Cadière).
Il s’efforce de « classifier » géographiquement la sorcellerie (Allemagne, Angleterre, France/pays basque), de citer ses sources, les registres originaux de l’Inquisition (passage de « l’hérésie’ au 13e s. à la « magie » au 14e), quand la sorcière devient la créature de l’homme noir et du bourreau (tortures de l’in pace et de l’autodafé). Il dépeint « l’état moral » d’une humanité désespérée… où la femme est amenée à aller et à se donner au Diable (du 5e s. jusqu’en 1300, un peu comme notre Ch. en prie notre etalii). Il nous raconte l’usage des philtres hallucinatoires sous l’emprise d’un « Satan médecin » qui faisait communier à sa cause de magicien le partage du pain philtré (par des solanées). Il établit ce que furent les rapports de Satan avec les jacqueries populaires ; et les « actes de sabbat » dans une société encore sous faible influence de l’Eglise (un passage intéressant sur l’adultère comme institution, et l’inceste mère/fils comme état général de la condition serve). Michelet passe en revue la littérature de sorcellerie chez les inquisiteurs comme chez les juges laïcs, Lancre, sous Louis XIII (mais surtout le Marteau de Sprenger, en maitre ouvrage révulsif et révoltant : « quelle fécondité d’âneries ! », s’emporte-t-il), Del Rio dans l’autodafé de Logroño, ou la compilation du dominicain Michaëlis, encore convoquée dans l’affaire Gauffridi (en 1610). En épilogue, il se réserve une belle envolée de l’historien autosatisfait, en révolté bien décidé à contribuer à en finir avec les temps obscurantistes à l’aube des temps hégéliens de l’Histoire, des progrès de l’idée d’humanité et du triomphe de la science… La réhabilitation de la « femme » est en marche, conclut-il, pas encore l’avenir de l’homme, certes, mais… : « si elle a perdu son vrai rôle de médication et de consolation, celui de la Fée qui guérit…, elle rentrera dans les sciences et y apportera la douceur et l’humanité, comme un sourire de la nature ».
Bien sûr, on aurait aimé un peu plus… (à noter un hymne à GS, « une femme de génie », un vibrant hommage à Consuelo.
(Question Gala : au fait, fut-il de ses amants ?), etc.

Jazzi dit: à

Clopine, j’ai lu ton dernier pastiche.
Sur la forme, tu maîtrises toujours aussi parfaitement la phrase proustienne.
Chapeau, je ne saurais pas le faire !
Sur le fond, je suis moins séduit par l’Oriane passant du faubourg Saint-Germain à la Jet set internationale. Et la fin est un peu abrupte.
Le Charlus, adepte suicidaire recyclé dans les salons privés sur réseaux sociaux, m’avait paru plus réussi.
Qu’en dit JJJ ?

bouguereau dit: à

nico a mis une grosse moustache a sa poupée gonflabe et il fait son surhomme..

hamlet dit: à

merci Pablo pour ce beau message (je me suis permis d’y ajouter un peu ponctuation) :

« Pablo75 dit: à

@ rose

La mort n’existe pas ! (humblement…)

Mourir c’est changer de réalité, tout simplement ! (humblement)

Et la suivante, comme celle-ci, n’est pas de tout repos non plus ! (humblument)

Les gens qui CROIENT qu’ils sont sortis de l’auberge avec la mort, sont très naïfs ! (humblement)

en plus d’incultes et prétentieux (puis qu’ils parlent de ce qu’ils ne connaissent pas) !!! (humblement)

Avant d’affirmer des contre-vérités il faut s’informer !

Humblement… (!)

bouguereau dit: à

c’est bien michelet mais ça manque de cul..et c’est pas pasque ça le travaillait pas

bouguereau dit: à

La mort n’existe pas ! (humblement…)

c’est du lucresse..le jésus ça se mange afrenchézado dpédro..c’est pas en sle carrant dans l’cul qutu fras plus ta parisienne

hamlet dit: à

Pablo, plus sérieusement, je peux vous demander un peu d’aide ? il faut savoir aider son prochain n’est-ce pas ? donc j’ai essayé de me mettre à l’astrologique, Dieu que c’est compliqué… J’ai essayé de trouver de quel signe vous étiez, corrigez-moi si je me trompe, mais j’ai trouvé que vous étiez du signe du Jukebox ascendant DJ ? Sauf que maintenant, comme vous ne mettez plus de lien YT, j’ai bien peur d’avoir fait une boulette quelque part ?

Janssen J-J dit: à

@ Nicolas. Je vous présente mes excuses pour ma familiarité, et vous prie de m’oublier, oomme je vais m’y efforcer à votre endroit. Je ne suis pas de taille à discuter de philo avec vous. En effet, je m’en tiens à Michel Onfray, c’est dire le niveau de mon entendement.
(nb: @ renato, personnellement, je préfère la noble notion de vulgarisateur à celle de divulgueur ou divulgateur).

hamlet dit: à

 »
La mort n’existe pas !!!!

Mourir c’est changer de réalité, tout simplement !!!!!!!!!!!!

Et la suivante, comme celle-ci, n’est pas de tout repos non plus !!!!!!!!!!

Les gens qui CROIENT qu’ils sont sortis de l’auberge avec la mort, sont très naïfs !!!!!!!!!

en plus d’incultes et prétentieux (puis qu’ils parlent de ce qu’ils ne connaissent pas) !!!!!!!!!!!!

Avant d’affirmer des contre-vérités il faut s’informer !!!!!!!!!!

Humblement !!!!!!!!!
 »

c’est beau comme du Michel Onfray.

hamlet dit: à

Pablo, il en dit quoi Wittgenstein du fait de mettre à la suite deux affirmations du genre :

La mort n’existe pas.

et juste après :

en plus d’incultes et prétentieux (puis qu’ils parlent de ce qu’ils ne connaissent pas)

???

qu’affirmer « la mort n’existe pas » c’est savoir de quoi on parle ?

Wittgenstein vous aurait adoré Pablo !

Janssen J-J dit: à

@ Qu’en dit JJJ ?
Nous avons échangé sur Charlus, l’autre jour. Pas encore lu sur Odette de Crécy. Je vais m’y atteler après une visite aux gallinacés, malheureux et triste sous la pluie, ce dimanche. Font eux aussi l’expérience du confinement après de scandaleux ébats depuis un mois.

bouguereau dit: à

personnellement, je préfère la noble notion de vulgarisateur

et il a incontestablement le don de la parole..c’est hun ornement qu’il a su ravir aux officielment plus pédants..pour le donner ‘pour rien’ au populo..et nico avec sa poupée gonflabe à moustache veut montrer qu’il ne mange pas de leur pain mais dla brioche

renato dit: à

Enfin, hamlet ! déjà nous vivons dans une société faite de plusieurs segments, puis nous sommes en démocratie et il y a de la place pour tout le monde — vous nommez un certain Thierry Ardisson, qui est-il ? —.

hamlet dit: à

« il a incontestablement le don de la parole.. »

oui c’est quand même mieux pour passer à la radio et sur bfm, mais pas dans les journaux….

c’est comme Etienne Klein pour la physique et Alain Connes pour les maths : les médias nous ont inventé une nouvelle espèce de scientifiques et d’intellectuels.

on les appelle des « vulgarisateurs », et non pas parce que ce sont des gens vulgaires.

hamlet dit: à

« vous nommez un certain Thierry Ardisson, qui est-il ? »

c’est le présentateur tv qui a sauvé Onfray.

preuve qu’Onfray doit tout aux médias, même la vie.

bouguereau dit: à

on les appelle des « vulgarisateurs », et non pas parce que ce sont des gens vulgaires

si les pédagogues t’hanculent raclure de keupu..c’est pas par sofia..mais parcequ’il faut bien qu’ils se payent sur quelques salles bêtes..c’est l’progré

renapatatras dit: à

une société faite de plusieurs segments,

C’est pourquoi cela ne marche pas comme sur des roulettes! 😉

( processus, segments, etc. que des mots pour donner l’idée de sérieux.)

hamlet dit: à

renato, nous sommes des fans de Oncle Tobie : bien sûr qu’il y a de la place pour tout le monde dans ce monde.

cela n’empêche d’essayer de comprendre comment tout cela fonctionne.

je voulais profiter de la présence parmi nous d’une personne d’une grande culture et ayant la réponse pour justement lui poser des questions : on m’a bâillonné, qu’est-ce que j’y peux ?

hamlet dit: à

« si les pédagogues t’hanculent raclure de keupu »

amoureux de la grande culture bonjour !

renapatatras dit: à

une société faite de plusieurs segments,

Une personne faite de plusieurs saignements, ça marche aussi. 😉

renapatatras dit: à

( processus, segments, etc. que des mots pour donner l’idée de sérieux.)

On va pouvoir enfin parler le renato sans peine grâce au blog à Passou! 😉 (y) 🙂

bouguereau dit: à

il faut bien qu’il reste quelquechose de grec pour l’hélite keupu..hassume..pour le reste que tu en parles beaucoup trop et tant prouve que tu enragé ou payé..le faire pour rien et a sang frais ruine ta position dans l’hinstant

bouguereau dit: à

« la mort, n’est rien pour nous, puisque, tant que nous existons nous-mêmes, la mort n’est pas, et que, quand la mort existe, nous ne sommes plus. Donc la mort n’existe ni pour les vivants ni pour les morts »
et duchamps n’en a fait qu’un énième readymade

Ed dit: à

Je viens de terminer La ville noire de George Sand. Soixante lecteurs sur Babelio, vous vous rendez compte ? Je n’ai jamais rien lui d’autre d’elles, mais ce livre doit sortir de l’oubli. C’est un très joli roman qui met de la poésie dans l’industrie (pas un hasard si j’ai lu Ponthus juste avant).

Ed dit: à

D’elle

hamlet dit: à

« enragé ou payé »

ni un ni l’autre, perdu !

vous oubliez une troisième option : il y a une douzaine d’années j’ai été enlevé par des extra terrestres.

renato dit: à

D’accord hamlet, c’est le présentateur tv, mais pourquoi « le présentateur tv » plutôt qu’un présentateur ?

hamlet dit: à

renato, en fait c’est un peu des deux, d’une façon générale c’est effectivement « un » présentateur tv, mais pour Onfray c’est aussi « le » présentateur tv qui lui sauvé la vie.

hamlet dit: à

« il faut bien qu’il reste quelquechose de grec pour l’hélite keupu »

l’élite elle a Jankélevitch et Deleuze, Onfray c’est un truc qui a été vendu pour les ploucs, pour les rendre encore plus ploucs comme qu’il dirait l’Bourdieu ?

bouguereau dit: à

il y a une douzaine d’années j’ai été enlevé par des extra terrestres

..à la jéruzalème céleste

hamlet dit: à

l’élite elle a Jankélevitch et Deleuze, j’ai oublié : Bergson et Stanley Cavell oeuf corse !

bouguereau dit: à

vas donc te faire hanculer..raclure de keupu..épicétou

renato dit: à

hamlet, on sait comment ça marche depuis Masscult and Midcult de Dwight Macdonald — nous avons le droit de ne pas l’avoir lu en 1960 —. L’auteur émet une critique sociale radicale qui se concentre sur les catégories de production et d’utilisation de la culture dans la réalité massifiée au tournant des années 50 et 60, mais comte tenu que le blob a pris du corps sans changer de nature, il reste encore aujourd’hui instructif.

renato dit: à

comte > comPte

hamlet dit: à

«  »il y a une douzaine d’années j’ai été enlevé par des extra terrestres

..à la jéruzalème céleste
 »

j’en sais rien, dès qu’ils t’embarquent dans leur vaisseau ils font osciller un petit pendue devant tes yeux comme dans Tintin et parès tu te souviens plus de rien, sauf qu’après tu supportes plus de voir la tronche d’Onfray dans les journaux, tu préfèrerais qu’on parle plutôt de Stanley Cavell au p’tit peuple.

ces extra terrestres ils ont des trucs à eux qu’on trouve même pas à Jérusalem.

bouguereau dit: à

c’est tout cqui a dplus français pinson..les écoutes pas..

hamlet dit: à

renato, pour ça j’aurais plutôt été voir du côté d’Adorno.

hamlet dit: à

je m’intéresse aux destins des civilisations : Onfray m’a refilé son virus.

Nicolas dit: à

Jazzy c’est lui qui le dit

3j c’est ça allez donc lire Onfray

renato dit: à

Voyez Macdonald, plutôt, hamlet.

Nicolas dit: à

Allez un petit dernier sur MO et pis après faut passer à autre chose hein…. comment quelqu’un qui peut dire que « pendant sa trop courte vie, (Camus) à traversé l’histoire sans jamais commettre d’erreurs » ne pourrait pas t’il être autre chose qu’un divulgacheur? Bon pour les gogos!
Amen

Clopine dit: à

Et zou, après Madame Verdurin, Charlus et Oriane, je viens encore d’assassiner un personnage de la Recherche du Temps Perdu, avec l’aide, bien évidemment,du confinement, mais cependant : vous devrez (enfin, ceux d’entre vous que cela risque d’amuser ! ) attendre la fin du texte pour savoir comment Françoise trouve la mort !!!

(et merci de TOUS vos avis critiques, hein !)

https://www.scribay.com/text/1504257332/le-confinement-de-francoise/chapter/351688

rose dit: à

« (à noter un hymne à GS, « une femme de génie », un vibrant hommage à Consuelo) ».

Quelle Co,suelo Jansen J-J ?

très étonnée par Georges Sand. On en parle tout le temps et partout. Dans nombre de situations : sa grand-mère déjà l’encourageait y compris à porter le pantalon.

rose dit: à

Quelle Consuelo Janssen J-J ?

Merci pour votre compte-rendu de Sorcières de Michelet.

renato dit: à

Vous pouvez aussi jeter un coup d’œil à Avant-garde and kitsch de Clement Greenberg, hamlet.

Jazzi dit: à

« Madame Verdurin, Charlus et Oriane, je viens encore d’assassiner un personnage de la Recherche du Temps Perdu »

Clopine, que signifie cet oedipe littéraire !

Nicolas dit: à

nico avec sa poupée gonflabe à moustache veut montrer qu’il ne mange pas de leur pain mais dla brioche

T’aime bien te palucher à la médiocrité facile le boug hein, ça t’rend bon à rien, comme ça t’as rien à te reprocher, va donc te cacher

rose dit: à

Pablo75 dit: à
@ rose

La mort n’existe pas. Mourir c’est changer de réalité, tout simplement. Et la suivante, comme celle-ci, n’est pas de tout repos non plus. Les gens qui CROIENT qu’ils sont sortis de l’auberge avec la mort, sont très naïfs – en plus d’incultes et prétentieux (puis qu’ils parlent de ce qu’ils ne connaissent pas). Avant d’affirmer des contre-vérités il faut s’informer. Humblement…

Merci Pablo 75

Petit Rappel dit: à

DHH, ne faites pas du BHL!
Isidore de Séville meurt vers 636. Ce n’est plus l’Antiquité.
Ceci dit sans prétendre être Vidal Naquet!
Bien à vous.
MC

Petit Rappel dit: à

JJJ
Le Guéhenno sur la mort, c’est du Montaigne sauce Jivaro.
Pour les lectures de Sabbat, voir aussi Bodin, de La Démonomanie et des Sorciers, et le plus clmément Jean Wier.
Bien à vous.
MC

Jazzi dit: à

« Pour les lectures de Sabbat »

Et pas « Là-bas » de Huysmans, M. Court ?

Jazzi dit: à

« Et la suivante, comme celle-ci, n’est pas de tout repos non plus. »

Et comment le sais-tu, Pablo75 ?

Janssen J-J dit: à

@ Quelle Consuelo Janssen J-J ?

-> Consuelo de George Sand (1843)

Résumé WIKI / Consuelo, surnommée la Zingara (c’est-à-dire la bohémienne), est une cantatrice vénitienne, élève du célèbre maître Porpora. Elle fuit après la trahison de son amant Anzoleto, et les tentatives de séduction d’un riche Zustiani. Son maître Porpora l’envoie alors servir de professeur de chant dans la famille des Rudolstadt, en Bohême. Elle y rencontre le Comte, personnage étrange et tout d’abord inquiétant, servi par Zdenko un bohémien simple d’esprit, tous deux apparaissant et disparaissant à leur gré dans le château. Finalement le Comte tombe follement amoureux de Consuelo qui doit, quant à elle, prendre en compte le fossé social qui les sépare malgré les sentiments qu’elle éprouve pour lui. C’est alors que son ancien amant Anzoleto se présente au château : Consuelo décide de fuir malgré l’amour de moins en moins réprimé qu’elle éprouve pour le Comte de Rudolstadt. Elle part alors chanter à Vienne. Le Comte tombant malade, elle retourne le voir, agitée par des pressentiments, et l’épouse juste avant qu’il meure, au terme d’une maladie étrange. Mais Consuelo semble douter de la mort de son mari, surtout depuis qu’elle a vu se déplacer dans le château une ombre qu’elle croit être Zdenko…

—————–
Epilogue (dans La Sorcière de Michelet)
Une femme de génie, dans un fort bel élan du coeur, croit voir les deux Esprits dont la lutte fit le moyen âge, qui se reconnaissent enfin, se rapprochent, se réunissent. En se regardant de plus près, ils découvrent un peu tard qu’ils ont des traits de parenté. Que serait-ce si c’étaient des frères, et si ce vieux combat n’était rien qu’un malentendu ? Le cœur parle et ils s’attendrissent. Le fier proscrit, le doux persécuteur oublient tout, ils s’élancent, se jettent dans les bras l’un de l’autre (Consuelo).

NB / Michelet ne nomme pas la dame, son roman seulement, encore très célèbre à l’époque, un rien oublié aujourd’hui…
Votre perplexité est-elle lié à l Consuelo de St Ex. que vous aimiez tant, à l’égal de RG ?
Belle fin de journée.

Taleb dit: à

La mort existe vraiment et réellement encore plus que toute autre existence mensongère et illusoire.
Parler et évoquer la Mort familièrement et ironiquement n’évacue pas du tout son angoisse et son inévitabilité.

Pablo75 dit: à

« Avant d’affirmer des contre-vérités il faut s’informer »
Auprès de qui, des morts-vivants, Pablo75 ?

Très drôle, Jazzi…

C’est beaucoup plus facile que ça: étudie l’ésotérisme et la mystique (hindoue, taoiste, zen, juive, soufi, chrétienne) ou cherche et lis les meilleurs livres sur la mort, comme par exemple:

– « La source noire » de Patrice Van Eersel (Livre de poche)
– « Les morts nous parlent » de François Brune (Livre de poche, 2 vols)
– « 20 cas suggérant le phénomène de réincarnation », du très sérieux psychiatre canadien Ian Stevenson, professeur à l’Université de Virginie (J’ai lu)
– « Le Livre de la réincarnation : le phénix et le mystère de sa renaissance » de Joseph Head et Sylvia Cranston (Livre de poche).

Mais tu peux lire aussi les livres de la psychiatre helvético-américaine, Elisabeth Kübler-Ross, pionnière de l’approche des soins palliatifs pour les personnes en fin de vie, et qu’après 30 ans de travail avec des mourants, a écrit: « La mort est le grand passage. Notre corps physique n’est que le cocon, notre vrai moi, le papillon, est immortel et indestructible, et il est libéré à cet instant que nous appelons mort. ». Ou ceux du médecin anesthésiste, référent en réanimation à Toulouse depuis 2004, Jean-Jacques Charbonier. Ou encore ceux de l’économiste et expert en finances François de Witt (polytechnicien ayant fait aussi Sciences Po).

Ou, encore mieux, ceux de Philippe Guillemant, ingénieur physicien français diplômé de l’Ecole Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe, docteur en Physique du Rayonnement, ingénieur de Recherche Hors Classe au CNRS, spécialiste d’intelligence artificielle, créateur de deux entreprises innovantes licenciées par le CNRS: Synapsys et Uratek, qui lui ont valu plusieurs distinctions dont le Cristal du CNRS et dont les brevets et publications portent essentiellement sur des méthodes de traitement de l’information dérivées de la théorie du chaos, qu’il a appliqué à la reconnaissance de formes, à l’analyse des mouvements des yeux et à la caractérisation de l’activité cérébrale EEG (calcul du niveau d’éveil), un physicien passionné de mystique et d’ésotérisme qui en complément de son activité technologique, mène aujourd’hui une recherche beaucoup plus fondamentale en physique de l’information, recherche qui, en partant du concept de l’indéterminisme macroscopique vise à mettre en évidence les limites du chaos déterministe et à réviser notre conception classique de l’espace-temps, et qui est l’auteur de la théorie de la double causalité, un modèle de création de la réalité fondé sur le libre arbitre et présenté dans son livre “La Route du Temps” (Le Temps Présent, 2010) qui conduit, entre autres choses, à une explication rationnelle de la synchronicité qui débouche sur un véritable « pont » entre la Science et la Spiritualité.

Interview de Philippe Guillemant – Synchronicités
https://www.youtube.com/watch?v=Pd3IVZQkKXE

Tu peux aussi regarder des interviews avec tous ces gens-là sur Youtube, où il y a, par ailleurs, plein de documentaires très sérieux sur le thème de la vie après la vie.

Pour s’informer il faut bouger le cul, mon pote, arrêter d’être avachi sur son canapé en attendant que quelqu’un sonne à ta porte pour qu’il te libère de tes idées reçues aussi débiles et primitives que dogmatiques sur la mort, ou de tes impressions cartésiennes sans le moindre fondement basées sur une idée de la science imbécile et prétentieuse (qu’un Paul Feyerabend a démontée si bien).

Tout cela, je te l’ai déjà dit il y a deux ans, quand on a parlé ici du même thème, mais je vois que tu n’as pas fais le moindre cas, ce qui montre à quel point tu es frivole…

Jazzi dit: à

Sinon, JJJ, à ma connaissance, Michelet ne figure pas au tableau de chasse de George Sand…
Ils ne devaient pas être leur genre ?

Pablo75 dit: à

…tu n’as pas fait…

Janssen J-J dit: à

@ JJJ Le Guéhenno sur la mort, c’est du Montaigne sauce Jivaro.

J’avais 17 ans, et aucune culture… Excusez moi… J’ignorais que c’était de la daube à l’époque. Le saviez-vous, vous MC/PR, à 17 ans, que Guéhenno, c’était du Montaigne à la sauce Gribiche ?

@ Pour les lectures de Sabbat, voir aussi Bodin, de La Démonomanie et des Sorciers, et le plus clmément Jean Wier.

Oui, vous me l’avez déjà dit et signalé, MC, et j’ai failli faire ma thèse de science po sur Jean Bodin, imaginez un peu !…
Etes-vous sûr d’avoir lu Sprenger dans le détail, au moinss, et la préface de Mandrou à Michelet (en 1964) ? Je vous y renvoie au cas où… Merci de me donner de nouvelles références que vous n’auriez pas lues, le cas échéant ? Vous imaginez bien comme j’haspire à vous rivaliser sur ce sujet.
Merci par avance. Bien cordialement,
J J-J

DHH, dit: à

@petit rappel
merci de cette précision
je situais Isidore de Seville dans l’antiquité tardive mais je n’avais jamais eu l’occasion de m’interesser à ses dates exactes
De chic j’aurais dit en me trompant lourdement vers 450
Mais heureusement ce détail est sans importance au regard des raisons pour lesquelles j’invoquais le personnage

Jazzi dit: à

Pablo75, que faut-il penser d’un un type, Philippe Guillemant, qui finit toutes ses phrases, affirmatives, en demandant à son interlocuteur : « d’accord ? », comme s’il n’était pas permis de douter de ses propos ?

et alii dit: à

imaginez un peu !…
sur qu’on imagine; il est incapable d’écrire -et parler- en français : j’haspire à vous rivaliser sur ce sujet.!

et alii dit: à

« d’accord ? »c’est la mode, commeO.K.

Janssen J-J dit: à

Merci Jazm, sur les rapports inexistants d’Aurore et Jules…

mais vous le savez maintenant… « qu’il y a, par ailleurs, plein de documentaires très sérieux sur le thème de la vie après la vie ». (sic).

Je me sens comme vous, Jzmn, un peu demeuré sur le sujet de la vie après la mort. Le références données pour notre édification sont évidemment des plus suspectes et sujettes à caution, très new age dans le substrat des auteurs et autrices mobilisées.
Pas de quoi se faire insulter, si ?

DHH, dit: à

@JJJ
compte tenu de l’intérêt que vos semblez manifester pour la question une lecture passionante l’ouvrage consacré par Michel de Certeau à l’affaire de Loudun

Jazzi dit: à

et alii, sur Michel Onfray et sur la vie après la mort, vous n’avez pas une idée, un lien ?

et alii dit: à

OCCASION/UN CLIC SUFFIT;il suffit d’y penser:
Isidore de Séville (en latin : Isidorus Hispalensis), né entre 560 et 570 à Carthagène et mort le 4 avril 636, est un ecclésiastique du viie siècle, évêque métropolitain d’Hispalis (Séville), une des principales villes du royaume wisigothique entre 601 et 636.

Il vient d’une famille influente (son frère, Léandre, ami du pape Grégoire le Grand le précède à l’épiscopat de Séville) qui contribue largement à convertir les Wisigoths, majoritairement ariens, au christianisme trinitaire.

Son épiscopat fut marqué par de dures persécutions anti-juives et des conversions forcées.

Il est également connu pour ses œuvres littéraires abordant des domaines variés, de l’Écriture sainte à la grammaire, en passant par la théologie, la cosmologie et l’histoire ; il est appelé pour cela par Charles de Montalembert « le dernier maître de l’ancien monde »1. Il est notamment célèbre pour son œuvre majeure Etymologiae, encyclopédie en vingt livres rédigée vers la fin de sa vie.

Janssen J-J dit: à

Je m’amuse toujours beaucoup aux réactions d’etalii, qui relève systématiquement des orthographes inorthopédiques.
« J’haspire »… c’était drôle, non ?… Faut-il vous mettre un 😉 pour vous dérider un brin, Txfl ?

Pablo75 dit: à

Pablo75, dernière chose : franchement je ne vaux vraiment pas toute cette attention que vous me portez, ce que j’écris ici ou ailleurs n’a aucune importance pour personne sauf pour vous, ça me flatte, mais sérieux je n’en vaux vraiment pas la peine, alors lâchez-moi les baskets svp.
hamlet dit: à

Maurice Desborels, pourquoi parfois tu pleurniches quand je te mets une raclée alors que tout le monde peut voir ici que tu les cherches, que tu es un maso qui adore les punitions publiques?

À force de trop fréquenter des putes dominatrices dans ta vie, on sent que cela te manque terriblement, maintenant que tu n’as plus l’âge d’aller les voir et que le fait d’être en chaise roulante et d’avoir des couches te rend impossible une telle pratique.

Et ce manque fait que tu cherches n’importe quel prétexte pour te faire tabasser publiquement.

Tu crois que ton manège ne se voit pas, Gros Maso fou de fouet?

Jazzi dit: à

« Pas de quoi se faire insulter, si ? »

Ô misère, qu’avez-vous dit, JJJ !
Les plumes vont voler dans la basse-cour, envoyez boy George à la charge…

Mimi Pinson dit: à

Jazzi dit: à

et alii, sur Michel Onfray et sur la vie après la mort, vous n’avez pas une idée, un lien ?

Attention Jzz, n’éveillez pas la blob du blog!

Jazzi dit: à

C’est pas l’haspirateur, mais le « à vous rivaliser », que pour ma part j’ai trouvé très bon, que vous reproche et alii, JJJ…

Janssen J-J dit: à

@ une lecture passionante l’ouvrage consacré par Michel de Certeau à l’affaire de Loudun

Merci DHH. Pourriez-vous m’en faire une fiche de lecture personnelle, rien que pour moi et ne pas la divulguer à MC/PR ?
***(E. Philippe bavasse pour ne rien dire, pendant ce temps… Imaginez un peu si Sibeth avait été envoyée au front !!!)

Pablo75 dit: à

Pablo75, que faut-il penser d’un un type, Philippe Guillemant, qui finit toutes ses phrases, affirmatives, en demandant à son interlocuteur : « d’accord ? », comme s’il n’était pas permis de douter de ses propos ?
Jazzi dit: à

Je pense que tu es beaucoup plus con que je ne le pensais… Si c’est ça tout tu ce que tu as retenu de lui, je te plains.

Pablo75 dit: à

…ça tout ce que tu as…

rose dit: à

Janssen J-J dit: à
@ Quelle Consuelo Janssen J-J ?

-> Consuelo de George Sand (1843)

merci ; pas la Consuelo de Saint EX

et alii dit: à

vous devenez blobjectivement emmerdants
bonsoir

et alii dit: à

rivaliser: quand on pense dévaliser?

D. dit: à

A se crêpe le chignon avec B et avec C

B s’en prend à C

deux possibilités :

B va s’allier à A pour s’en prendre à B

ou C va s’allier à A pour s’en prendre ensemble à B.

une troisième possibilité : que D. s’en mêle.

D. dit: à

Ed, dis-moi que c’est une blague ?
Tu as fait Khâgne sans avoir rien lu de Georges Sand ?
Tu peux me la refaire stp ?

et alii dit: à

très bon :rien que ça ? même pas sublimissime?
La blobitude ne vous vaut rien

et alii dit: à

je voulais dire la bloblablativité

et alii dit: à

il aura fallu le covid:
Lutter comme nous le faisons pour l’inclusion des « vieux « et des « vieilles » n’est pas simplement une approche morale : il s’agit de se battre pour le type d’humanité que nous voulons. Aucune société humaine ne peut vivre durablement sans toutes ses composantes, et aucune de ces composantes ne peut être sacrifiée en cas de contrainte sur les ressources, car cela expose le collectif à un avenir démuni de résilience. Nous ne devons pas plus de respect aux personnes âgées qu’aux autres, mais pas moins non plus. Outre le fait qu’on ne sait pas définir ce qu’est une personne âgée, et nous sommes tous ou presque des personnes âgées par rapport à d’autres autour de nous, ce qui compte est l’égalité des droits et des devoirs. La petite musique qui monte en ce moment, comme dans toutes les sociétés abondantes dès qu’elles subissent une petite crise, c’est une stigmatisation de gens en fonction de critères plus ou moins sérieux. Les bénéficiaires du RSA seraient des profiteurs, les homosexuels sont vecteurs du Covid-19, et j’en passe sur les absurdités qui se diffusent en ce moment sur les étrangers, les prisonniers ou les gens du voyage.

Désigner les personnes âgées qui mettraient en danger « votre » réalité économique, c’est tout simplement une vision fausse et suicidaire de notre société.
Réponse à Christophe Barbier sur les vieilles et les vieux…
19 AVR. 2020 PAR CYRILLE RODOLPHE GALLION BLOG : LE BLOG DE CYRILLE RODOLPHE GALLION
Directeur d’une association militante contre les discriminations liées à l’âge (Association CIF-SP Solidaires entre les Âges), nous réagissons aux propos de Monsieur barbier Christophe sur BFMTV hier 18 avril : «Pour sauver quelques vies de personnes très âgées, on va mettre au chômage des milliers de gens ?» : Christophe Barbier sur une chaîne d’info en continu le 18 avril 2020.

et alii dit: à

sur mediapart:
Cette cause se nomme l’âgisme, une discrimination si répandue qu’elle est peu combattue. Votre assertion est fausse aux demeurant car plus de 80% des victimes sont des personnes dites âgées et les décès en EHPAD représentent 40% du total, alors que les résidents des EHPAD constituent environ 1% de de la population en France : le risque létal du Covid-19 ne vise donc pas que « quelques personnes très âgées » et une bonne partie d’entre elles n’est d’ailleurs pas sauvée. Mais le plus grave est de stigmatiser une partie de la population. En effet, imaginons, que vous ayez déclaré : pour sauver quelques vies de femmes, ou quelques vies de noir(e)s, d’homosexuels, ou d’autres parties de la population qui subissent des discriminations sur la base de la croyance dans leur différence et infériorité naturelle. C’est non seulement moralement inadmissible, mais aussi illégal.

et alii dit: à

sur mediapart:
Manifeste des 121 «vieilles et vieux» réfractaires
17 AVR. 2020 PAR LES INVITÉS DE MEDIAPART ÉDITION : LES INVITÉS DE MEDIAPART
À l’appel de Sonia Combe, Régine Robin et Dominique Vidal, 121 personnes âgées de plus de 60 ans ont signé le Manifeste suivant, où elles se déclarent « réfractaires » à une prolongation du confinement discriminatoire envers les « vieilles et vieux ».

et alii dit: à

L’humanité serait-elle arrivée au bout du processus de civilisation pour se livrer à l’« agisme », le racisme « anti-vieux » et, pourquoi pas, au génocide (soft) des anciens ? Allons-nous commencer la « société d’après » par cette mesure liberticide et de toute évidence anticonstitutionnelle ?
mediapart manifeste

et alii dit: à

Sonia Combe, est une conservateure et historienne française, spécialisée en histoire contemporaine des pays de l’Est.

Sommaire
1 Biographie
2 Bibliographie
3 Notes et références
4 Liens externes
Biographie
Elle a été responsable du département des archives de la « Contemporaine » (anciennement Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (université Paris-Nanterre), puis du Musée d’Histoire contemporaine situé dans l’Hôtel des Invalides à Paris.

De 2010 à 2017, elle est chercheuse à l’Institut des sciences sociales du politique (CNRS) et désormais chercheuse associée au Centre Marc Bloch, à Berlin, ville où elle a été professeur invité à l’université Humboldt et à l’Université libre.

Ancienne collaboratrice de la La Quinzaine littéraire, elle contribue aujourd’hui à la revue En attendant Nadeau et est membre de son comité de rédaction.

Elle est membre du Comité de vigilance face aux usages publics de l’histoire1.

et alii dit: à

Régine Robin-Maire (née Rivka Ajzersztejn), née à Paris en 1939, est une professeure, écrivaine, historienne, traductrice et sociologue franco-québécoise1.
Après son admission à l’Ecole normale supérieure de Fontenay-aux-Roses [archive] en 1959, elle obtient un diplôme d’études en géographie à la Sorbonne (1962), puis l’agrégation d’histoire à la Sorbonne (1963)1. Elle détient un doctorat de l’Université de Dijon (1969) et de l’École des hautes études en sciences sociales de Paris (1989). Les travaux qu’elle a menés durant sa « période » française ont porté sur la société française durant la Révolution, sur les notions de féodalité de Boulainvilliers à Tocqueville et sur les rapports entre histoire et linguistique du discours.
Régine Robin est également l’une des pionnières de l’analyse du discours, discipline qu’elle a contribué à développer aux côtés notamment du linguiste althussérien Michel Pêcheux, de Denise Maldidier et de Jacques Guilhaumou. En confrontant histoire et linguistique (Histoire et linguistique) Régine Robin a élaboré une réflexion épistémologique se proposant de tenir compte à la fois des apports du marxisme et de l’approche « archéologique » de Michel Foucault. Cette approche a eu des échos en Allemagne dans l’Histoire des concepts (Begriffsgeschichte) de Reinhart Koselleck.
. Sa maîtrise des langues de l’Europe de l’Est et sa connaissance approfondie des régimes communistes de la Guerre froide l’ont conduite à une analyse extrêmement documentée de l’esthétique du « réalisme socialiste » (Le réalisme socialiste : une esthétique impossible). Cet ouvrage audacieux et érudit demeure une autorité dans le domaine de la sociologie de la littérature et de l’analyse des discours idéologiques.
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gine_Robin

Jazzi dit: à

« l’âgisme », c’est la faute à Jacques Brel, et alii !

Janssen J-J dit: à

et alii dit: à « rivaliser: quand on pense dévaliser? »

Qui pense quoi, exactly, taxifoldingue ?… à piller le monde sur la toile sans citer les sources ?… du photocopillage, disait-on jadisse, on va dire ast’heure du photodévalisage par haspiration de marcourt ? ou d’hexpiration de L.L/FMLP ?

Clopine dit: à

Jazzi, je crois bien que mon oedipe littéraire va s’arrêter là, il ne provoque pas de réactions (malgré les nombreuses lectures, allez y comprendre quelque chose !) Demain, je confine Tante Léonie, déjà bien avancée sur ce terrain, et puis… Hop, le tiroir. Snif : je m’amusais bien, au moins. J’aurais cru faire sourire plus de gens que cela : caramba, encore raté!

DHH, dit: à

De Regina Rubin, je n’ai pas lu, évidemment ,les ouvrages savants , mais je garde un excellent souvenir d’un livre rassemblant divers textes sur Berlin

rose dit: à

Clopine

demain Olivier Véran réouvre les visites des familles dans les EHPAD.

Continuez, on en reparlera.

hamlet dit: à

Mediapart a raison : c’est pas normal que ce virus tue essentiellement des vieux ! qu’il se livre à ce génocide des plus de 60 ans !

j’espère que le virus sera capturé et jugé devant un tribunal international pour non respect des droits de l’homme et de la dignité humaine !

hamlet dit: à

bras de fer assez marrant entre Macron et Trump : Mérieux fabrique des tests de dépistage c19 sur 3 sites : Toulouse, Grenoble et Salt Lake City. Macron a dit on récupère les tasts de Salt Lake City parce que M »rieux c’est français, Trump lui a répondu d’aller se faire foutre parce que Salt Lake City c’est aux USA, et Macron l’a mis en veilleuse. c’est fou ce que ce virus peut révéler de l’humanité quand sonne l’heure du sauve qui peut !

hamlet dit: à

un type vient de lancer une pétition pour exiger de Macron qu’il réduise ses discours, il a déjà obtenu 3000 signatures.

hamlet dit: à

un type aurait reproché à Macron de mal compté les décès, Macron lui aurait répondu « moi monsieur j’aime la France, et quand on aime on ne compte pas ! »

à vérifier….

Soleil vert dit: à

JJJ :

Maurice Clavel : en 1974 je fais crise d’angoisse sur crise d’angoisse. Maurice Clavel dans son Ce que je crois disait : c’est Dieu qui frappe à la porte

Soleil vert dit: à

je faisais

et alii dit: à

les biographies sur wiki ne sont pas des « textes littéraires » ceux qui veulent connaître les publications de ces auteurs n’ont qu’à se reporter à la page de wiki;quant aux personnes infichues de faire un clic et s’imaginent que les autres sont à leur service pour faire le travail, qu’ils-elles-aillent « au diable-comme on dit sur ce blog;

et alii dit: à

au fait, vous trouverez des correspondances de-etavec-Michelet à la BHVP. Dont des lettres de son élève Xavier francisque Michel, qui était descendu en Espagne à la recherche des gitans ,sur les conseils (l »héritage » serait plus juste d’un manuscrit) de l’abbé grégoire dont il tira
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1092191.texteImage

D. dit: à

C’est quoi un oedipe littéraire ?

rose dit: à

hamlet dit: à
« Mediapart a raison : c’est pas normal que ce virus tue essentiellement des vieux ! qu’il se livre à ce génocide des plus de 60 ans ! »

Hamlet

lu ce soir que dans les rechutes de Covid 19 en Chine, les rechutes concernent les 19-29 ans. Ce qui est aussi grave que les 69-99 ans.

et alii dit: à

excuses: qui était descendu en Espagne A CHEVAL!
Sainte Beuve ne voulait pas le recevoir au motif qu’il sentait l’écurie

rose dit: à

Mimi Pinson dit: à
😉

Hier, ai vu une belle vignette avec une fille sexy qui s’occupait de ses ongles et de ses préoccupations. Il était omis une bulle concernant le courrier à son avocat à Mayotte. Ai souri.

et alii dit: à

Les scientifiques israéliens sont sur le point de développer le premier vaccin contre le nouveau coronavirus, selon le ministre des Sciences et de la Technologie, Ofir Akunis. Si tout se passe comme prévu, le vaccin pourrait être prêt en quelques semaines et disponible en 90 jours, selon un communiqué. ( Akunis a fait sa déclaration fin février.)

“Félicitations au MIGAL [The Galilee Research Institute] pour cette percée passionnante”, a déclaré Akunis. “Je suis convaincu qu’il y aura de nouveaux progrès rapides, nous permettant de fournir une réponse nécessaire à la grave menace mondiale COVID-19”, a déclaré Akunis, se référant à la maladie causée par le nouveau coronavirus.

Au cours des quatre dernières années, une équipe de scientifiques du MIGAL a mis au point un vaccin contre le virus de la bronchite infectieuse (IBV), qui provoque une maladie bronchique affectant la volaille. L’efficacité du vaccin a été prouvée dans des essais précliniques menés à l’Institut vétérinaire.

MIGAL est situé en Galilée.

«Notre concept de base était de développer la technologie et non spécifiquement un vaccin pour TEL type de virus», a déclaré le Dr Chen Katz, chef du groupe de biotechnologie du MIGAL. «Le cadre scientifique du vaccin est basé sur un nouveau vecteur d’expression protéique, qui forme et sécrète une protéine soluble chimérique qui libère l’antigène viral dans les tissus muqueux par endocytose auto-activée, provoquant la formation d’anticorps par le corps contre le virus.»

D. dit: à

Rose, l’utilisation conventionnelle de l’état d’un électron dans un semi-conducteur est un système purement binaire, puisque l’état représente seulement 0 ou 1 (suivant la charge de l’électron) équivalant à un bit, et 8 bits suffisent à représenter tous les nombres entiers entre 0 et 255, un nombre à la fois. Les bits en spintronique, nommés qubits, exploitent les états spin up et spin downcomme une superposition de 0 ou 1, et 8 qubits possèdent la propriété de représenter tous les nombres entiers entre 0 et 255 de façon simultanée.

Jazzi dit: à

Peu importe les réactions, Clopine.
On te lit.
Même Chaloux, qui ne peut actuellement te répondre.
Prends ton pied et continue à zigouiller toute la galerie des personnages du Temps perdu !
Narrateur inclus.
C’est seulement après que tu pourras enfin te consacrer à tes propres personnages…

Jazzi dit: à

Peu importe les réactions, Clopine.
On te lit.
Même Ch.aloux, qui ne peut actuellement te répondre.
Prends ton pied et continue à zigouiller toute la galerie des personnages du Temps perdu !
Narrateur inclus.
C’est seulement après que tu pourras enfin te consacrer à tes propres personnages…

et alii dit: à

à propos de f.X.Michel:il tenait une copie d’un Ms de l’abbé Grégoire mais l’avait reçue de Carnot! il y a une question de la succession de Grégoire:
Nous avons relaté, à plusieurs reprises, les circonstances particulières dans lesquelles nous sont parvenues les archives de l’abbé Grégoire et exposé les conditions qui président actuellement à leur consultation. Nous croyons devoir les rappeler brièvement ici. Avant même le décès de l’abbé, en 1831, deux groupes d’héritiers, prétendant être, chacun, les véritables dépositaires de ses papiers, lettres, manuscrits, se disputent la succession : l’abbé Baradère Jean, Henri (chanoine de Tarbes) et Duplès Pierre-Jean (conseiller à la Cour royale) se disant exécuteurs testamentaires d’une part, Mme Dubois Marie-Anne légataire universelle d’autre part. Les deux premiers revendiquent uniquement l’héritage spirituel (papiers, manuscrits), la seconde réclame l’intégralité de la succession, archives comprises. Les deux requérants Baradère, Duplès soulignent, dans leur plaidoyer, l’importance qu’attachait l’abbé, dans ses derniers moments, à sa correspondance. Il allait jusqu’à recommander qu’à sa mort on en retirât plusieurs missives de certains de ses ennemis déclarés, qui lui avaient prodigué, par ce canal, des marques d’estime et d’amitié, lesquelles restaient susceptibles de les gêner auprès d’un certain public. Ce procédé, dont les intentions honorent, certes, les scrupules de notre auteur ne sont pas de nature, on le devine, à satisfaire pleinement les exigences de l’historien. Dans la réalité, Mme Dubois gagna son procès et les deux plaignants furent déboutés, ce, sans doute, en raison du caractère purement oral des engagements pris en leur faveur par l’abbé mourant. Cependant, la destination ultime des archives Grégoire demeure mystérieuse et n’a jamais été pleinement élucidée. C’est vraisemblablement à la mort de Mme Dubois, en 1836, qu’eut lieu leur dispersion. Une enquête historique approfondie mériterait d’être conduite sur cette ténébreuse affaire, mais elle déborde complètement l’objet du présent propos et du livre que nous publions.
En fin de compte trois dépositaires principaux revendiquent officiellement la possession des manuscrits, lettres et papiers de Grégoire : la famille Carnot, la Société de Port-Royal, la bibliothèque de l’Arsenal. Ces trois fonds contiennent des textes publiés ou non, des notes personnelles et surtout une volumineuse correspondance.
https://classiques-garnier.com/export/html/correspondance-de-l-abbe-gregoire-avec-son-clerge-du-loir-et-cher-tome-i-1791-a-1795-avertissement.html?displaymode=full

Taleb dit: à

Pourquoi sommes-nous mortels ?
Pour vivre provisoirement nos peines et nos douleurs et réserver nos joies et notre bonheur pour un monde meilleur. Pour l’Éternité.

Jazzi dit: à

« C’est quoi un oedipe littéraire ? »

C’est quand un lecteur postulant écrivain tue son ou ses pair(s) en littérature, D.

rose dit: à

D. dit: à
Rose, l’utilisation conventionnelle de l’état d’un électron dans un semi-conducteur est un système purement binaire, puisque l’état représente seulement 0 ou 1 (suivant la charge de l’électron) équivalant à un bit, et 8 bits suffisent à représenter tous les nombres entiers entre 0 et 255, un nombre à la fois. Les bits en spintronique, nommés qubits, exploitent les états spin up et spin downcomme une superposition de 0 ou 1, et 8 qubits possèdent la propriété de représenter tous les nombres entiers entre 0 et 255 de façon simultanée.

>D

et l’électron libre ? Combien de bits ?

Jazzi dit: à

« Si tout se passe comme prévu, le vaccin pourrait être prêt en quelques semaines »

Pourquoi n’en parle-t-on pas sur les médias, et alii ?

Janssen J-J dit: à

Subsistent encore rop d’abscurités gongoresques chez Benito Perez Galtos, d’après moi.

et alii dit: à

autant que je sache, on appelle media la source de l’information que j’ai transmise à la rdl

Janssen J-J dit: à

N’arrive pas à savoir si, à SLC, les Mormons continuent d’enregistrer toutes les généalogies des naissants de la terre, ou s’ils font des tris sélectifs et lesquels.

@ SV : qui parle d’une crise de 1974 ? chez vous-même ou chez Momo Clacla ? Ai pas bien compris. Ce que je crois, c’est que Dieu est dieu, nom de dieu ! Messieurs les Censeurs, bonsoir !
@ CT, je lirai le prochain épisode demain à la Ste Odette. Ne soyez pas impatiente, c’est toujours votre défaut : laissez les gens vaquer un brin le dimanche ! Savez-vous ce qu’on appelait naguère un Clopinox ?

Clopine dit: à

Euh, Jazzi, je n’avais pas compris ça comme ça, car il faudrait être démesurément mégalo pour oser dire qu’on peut « tuer » le « père » en pastichant Proust !!!

Je suis bien plus modeste que ça. Et en même temps, pas tant, bien sûr. Parce que pasticher c’est effectivement prétendre avoir compris comment une écriture fonctionne, et s’amuser avec !

Mais de là à « tuer », comme tu dis…

Mon admiration pour Proust n’est pas ressortie amoindrie des petits pastiches que je commets actuellement. Au contraire : ce sont autant d’hommages, parce que je ne lui arrive pas à la cheville. Que dis-je : au doigt de pied. A l’ongle de l’orteil !!!

Toutes mes images, toutes mes métaphores, sont « plates » par rapport aux siennes. Oh, certes, elles y font penser : ben tiens, je les ai un peu « décalquées », mais, outre qu’elles arrivent comme forcées, mises là sans souci de cohérence, elles sont « pauvres », non signifiantes, et non surprenantes.

Bref, je ne cherchais pas à tuer le père, mais à le célébrer… Tout en m’amusant, parce que c’est vrai que j’ai tout de même compris deux-trois trucs de sur la manière dont Proust écrivait.

Ce qui d’ailleurs échappe, enfin à mon sens hein, et compte tenu des contresens et des lectures « délirantes » que j’ai eues à connaître, à certains des lecteurs « obligés » de cette oeuvre. Je pense à ceux -ou celle- qui, notoriété aidant, veulent absolument avoir lu cette oeuvre, et en rendre compte, alors qu’elle est le plus éloignée possible de leur univers mental, social et moral, et qu’ils-elle- devraient en réalité l’exécrer, et la vouer aux gémonies…

M’enfin, bref, vous m’aurez comprise. Une oeuvre pareille échappe à tous les critères, et, comme disait une des « Une » de Charlie Hebdo qui lui valut sûrement, entre autres, d’être assassiné, c’est dur d’être aimé par des cons.

Mais on n’y peut rien.

et alii dit: à

ceci dit, il vaut mieux parler anglais si vous voulez communiquer avec des scientifiques (israéliens notamment)

rose dit: à

une troisième possibilité : que D. s’en mêle.

que D. s’emmêle n’est pas souhaité pck nous n’y comprendrions plus rien.

>D.

rose dit: à

et alii dit: à
j’ai donné les coordonnées précises:en voilà plus:
Cet article a été initialement rédigé fin février et a été mis à jour le 7 avril.

Que le salut nous vienne de Jérusalem serait une espèce de miracle.

rose dit: à

« Ce qui d’ailleurs échappe, enfin à mon sens hein, et compte tenu des contresens et des lectures « délirantes » que j’ai eues à connaître, à certains des lecteurs « obligés » de cette oeuvre. Je pense à ceux -ou celle- qui, notoriété aidant, veulent absolument avoir lu cette oeuvre, et en rendre compte, alors qu’elle est le plus éloignée possible de leur univers mental, social et moral, et qu’ils-elle- devraient en réalité l’exécrer, et la vouer aux gémonies…

M’enfin, bref, vous m’aurez comprise. Une oeuvre pareille échappe à tous les critères, et, comme disait une des « Une » de Charlie Hebdo qui lui valut sûrement, entre autres, d’être assassiné, c’est dur d’être aimé par des cons.

Mais on n’y peut rien. »

Voilà. On n’y peut rien.

et alii dit: à

sur le clavier cannibale de Claro
In memoriam Marcel Moreau

« La plus grande affaire est de mourir et nous n’en connaissons pas une lettre », écrivain Pierre Jean Jouve dans Noces. A défaut d’une lettre, donc, gardons l’esprit, l’esprit de la lettre… L’écrivain Marcel Moreau est mort hier, à Bobigny. Voici le feuilleton que je consacrais dans Le Monde des Livres à son ouvrage A dos de dieu, ou l’Ordure lyrique (éd. Quidam).

Janssen J-J dit: à

J’ai toujours détesté cette remarque du Général, comme si les renifleurs avaient besoins d’avions chercheurs pour convaincre les présidents de trouver du pétrole ?
Ci-joint un papier d’Etalii, ex Michel Rouzé, sur l’affaire
https://www.persee.fr/doc/raipr_0033-9075_1984_num_70_1_2363

rose dit: à

Janssen J-J dit: à
« N’arrive pas à savoir si, à SLC, les Mormons continuent d’enregistrer toutes les généalogies des naissants de la terre, ou s’ils font des tris sélectifs et lesquels. »

Je ne sais pas moi non plus.
Z’ont l’air heureux. Je crains qu’ils soient polygames ; et les trois filles de la station service l’autre jour à Sisteron, chui pas sûre qu’elles leur suffisent. Alors que déjà, y en avait deux de trop.

@ SV : « qui parle d’une crise de 1974 ? chez vous-même ou chez Momo Clacla ? Ai pas bien compris. »

Maurice Clavel. Soleil Vert cite.

et alii dit: à

Ci-joint un papier d’Etalii, ex Michel Rouzé, sur l’affaire
qu’est-ce encore que cette confusion malveillante et obsédée?

Diap dit: à

Pour ce qui concerne le covid-19 (la partie scientifique), un seul site complet, qui compile les études les plus récentes (certaines datent d’hier):
https://bibliovid.org/

hamlet dit: à

D. vous avez bien raison, l’ordinateur quantique associé à la physique du même nom sera la plus grande révolution de l’humanité. Vous vous y connaissez un peu en mécanique quantique et en déterminisme des particules ? la destinée de chaque particule est déterminée depuis l’origine de l’univers, chaque grain de matière est associé à son équivalent d’antimatière, et chacun de ces grains vit sa propre destinée, vous me suivez ? ces élements vont créé des étoiles, la lumière, et aussi des organismes vivants, toute l’histoire est inscrite dans chacune de ces particules, et aussi dans leur association permettant des créer par exemple des organismes vivants, tout ce qui constitue votre corps et vous permet de vivre a éxité avant et existera après, voilà ce que nous le déterminisme quantique, à partir de là on peut remonter la chaine, ou la poursuivre, le monde vivant n’est que l’assemblage de l’ensemble de ces particules à moment précis et à un endroit précis de l’univers, la physique quantique nous enseigne que le hasard n’exsite pas, donc il ne peut exister qu’une configuration possible, qu’un seul monde possible, existant sous la forme d’une image semblable à celle qu’un oridnateur peut reconstituer de façon virtuel et visible sur un écran, en vérité D. la réalité en elle-même n’existe pas si l’on se place du point de vue de l’assemblage de ces particules élémentaires, vous voyez ce que ça signifie ? que l’ordinateur quantique pourra créer la vie, soit la vie passée en visualisant l’organisation de la matière temps et lieu donné, soit la vie future, soit aussi l’autre vie, vous me suivez, si je décompose votre organisme à l’échelle la plus élémentaire, il sera possible de remettre en place cette combinaison, à partir de là l’homme ne sera pas l’égal de Dieu, mais il lui sera supérieur, car si Dieu a crée le monde, il sera possible de faire et défaire cette création et créer d’autres mondes possibles, un mathématicien américain, Hugh Everett, né en 1930 à Washigton a donné les clés de codage de ces simulations, D. il faut surtout pas voir dans le mot « simulation » le côté péjoratif, parce que tout ce qui existe dans l’univers est une simulation, je crois que vous vous y connaissez un peu en maths, alors penchez-vous sur le travail d’Everett, si vous ne le connaissez pas regardez sa page wiki, vous verrez ce que Misner dit de lui : « He was smart in a very broad way. I mean, to go from chemical engineering to mathematics to physics and spending most of the time buried in a science fiction book, I mean, this is talent », ensuite rapprochez son travail de celui de de Broglie, ça vous connaissez : à toute particule doit être assicié une onde », ensuite reliez le travail de Schrodinger à celui de Watson, sous savez que Schrodinger était un spécialiste de l’hindouisme et du védenta sur le fait que chaque conscience individuelle est la manifestation d’une conscience collective répandue dans l’univers, et si vosu avez le temps finissez par le principe d’incertitude d’Heisenberg, et ensuite projetez tout ça dans la possibilité offerte par l’ordinateur quantique et là… je vous le dis : l’homme dépassera son Dieu et tout ce qu’il a pu imaginer !

D. allez-y doucement quand même, parce que je vous préviens : c’est du brutal !

Janssen J-J dit: à

Il a voulu dire que pour oser raconter votre propre univers, qui intéresse le 21e siècle, il fallait vous défaire d’une certaine dévotion à un auteur du 19e finissant, de prendre vos distances en quelque sorte avec lui, de vous extirper progressivement de l’envoutement que son propre univers mental et de sa prose qui vous retiennent prisonnière telle une Albertine. Je pense qu’il vous donnait un bon conseil, et que vous n’auriez pas dû prendre au pied de la lettre la métaphore usagée du parricide littéraire, comme si vous étiez la victime d’un vulgaire complexe de Jocaste.
Je vous souhaite un apaisement proustien. Maman va venir vous embrasser, ne vous inquiétez point.
Mais je crois moins me tromper sur ses intentions que sur les vôtres. Vous êtes un brin plus compliquée que lui. Jzmn est l’internaute le plus pur de l’erdélie, nous le savons maintenant, et même depuis fort longtemps. Il est curieux des gens, s’intéresse à eux, n’a pas de malveillance. Bien sûr il est un peu bobo flemmard, ne pense pas toujours correctement sur le plan politique, mais quand même, ce sont là de petits défauts bien assumé. Par exemple, il est plein de sollicitudes envers mon coq boy George, et Chaldy, le sien. Et ça, ça compte méchamment à mes yeux. Voyez.

rose dit: à

>D

un ici disait ne pas aimer le rap.
Celui mis en ligne par Raymond Prunier récemment était festif.

Celui-là dit clairement la montagne d’injustice que nous vivons :

D. dit: à
www.http://youtu.be/CkyRTriM4GY

Contrairement à l’art qui ne serait pas une thérapie, dixit renato, la musique le serait ?

Marie Sasseur dit: à

Patrice van Eersen
Francois Brune
Ian Stevenson
Etc

Et avec cette biblio, le loubard de la connerie passe crème, sur la rdl et prétend causer de science…

A croire que le corona a pris une autre ampleur…😜

rose dit: à

hamlet

j’ai suivi toute votre démonstration :
« et là… je vous le dis : l’homme dépassera son Dieu et tout ce qu’il a pu imaginer !

D. allez-y doucement quand même, parce que je vous préviens : c’est du brutal !  »

ce n’est pas rassurant ; ai appris à faire les tartelettes portugaises et étudié deux modes de cuisson.

hamlet dit: à

et alii souvenez-vous de ce qu’écrit Ricoeur : « la liberté se souvient de son intégrité dans la mesure où elle attend sa totale délivrance » et de conclure un plus loin « il n’y a de Genèse que dans la lumière d’une Apocalypse ».

rose dit: à

Janssen J-J
Chedly, le sien. Chedly.

C’est une histoire d’amour.
Pas un coq avec ses poules.
Nanmého.

Je respecte Jazzi moi aussi. Son calme, sa régularité. Ouaip.

D. dit: à

Hamlet, l’IRM est formidable. Tout le monde se focalise sur les images obtenues du corps humain, en occultant totalement autre chose aux conséquences infiniment plus grandes.
Quoi ?

Marie Sasseur dit: à

J’ai repensé a Perec, et j’aurais bien aimé lire un peu d’innovation, au lieu de trucs débiles genre ma vie de covidé attendant la mort.
Non, plutôt vie mode d’emploi, avec Cinoc, Barthlebooth, Winckler, etc. en confinement collectif.

hamlet dit: à

rose, quel est le nom déjà de ces petites tartelettes portugaise ? qu’importe l’important est de toujours se venir qu’à partir d’une cuisson de 40 mn à 240 degrés on ne gagne pas du temps, si par exemple on est pressé, en doublant la température et en la mettant 20 mn à 480 degrés pour gagner 20 mn, pour le dire autrement ce qui marche théoriquement sur le papier ne marche pas toujours sur les tartelettes.

et alii dit: à

hamlet, je viens d’être happée au téléphone et on va encore me rappeler, et c’est à ça que j’ai latête maintenant;bonsoir

rose dit: à

renato dit: à
The Blob, le film de 1958 :

https://youtu.be/GODDLgM1gKo

Le petit garçon est absolument formidable ; dommage que le canon de son magnum 632 se soit enrayé. Me demande cependant si voir cet extrait avant d’aller se coucher est formateur.

Me pose également la question de cette scientique qui a appelé cet enzyme exposé au zoo de Vincennes un blob en lien avec ce blob de 1958. Parce que le nom semblait joli. Mais lorsqu’on en voit la démonstration de 1958, l’on devient sceptique.

hamlet dit: à

D. oui, j’ai un ami qui a travaillé à la conception et la mise au point du premier IRM avec 3 bouts de ficelles, j’adore quand il m’en parle, c’était une sacrément belle aventure, surtout quand on voit pour la première fois que ça marche.

et alii dit: à

avez vous entendu parler du test du marshmallow est une étude sur la gratification différée ?

rose dit: à

Hamlet

quelque chose comme Pastéi de nata.

dans la recette il est écrit four à 250°.
Je recommencerai.
Viennent de Belem.
Pourquoi au Québec ils connaissent cela ; c’est mystérieux.

Bonne soirée et alii.
Me suis extirpée du tél. au bout d’une heure trente quatre. Très difficile. Finalement, on paye cher, je, l’aide reçue. Me demande si ce n’est pas du centuple.
Tout est exacerbé : qualités mais aussi défauts.

Ed dit: à

« Fou du fouet »

Excellente allitération. Je note, on sait jamais.

rose dit: à

Marie Sasseur dit: à
(…)
« Non, plutôt vie mode d’emploi, avec Cinoc, Barthlebooth, Winckler, etc. en confinement collectif. »

Ce serait chouette.
En sommes nous capables ?
Lu en fin d’aprem l’amour en confinement : les célibataires attendent l’amour à la fin du confinement, les couples attendent la fin du confinement pour prendre leurs cliques et leurs claques. Ai ri un moment et appris le crush.
J’ai un crush, c’est j’ai un coup de coeur.

renato dit: à

Nous connaissons le riz sauvage du Canada.

Marie Sasseur dit: à

« Le laboratoire de la régie municipale Eau de Paris a retrouvé des « traces infimes » de Covid-19 dans le réseau d’eau non potable de la ville, a indiqué la mairie de la capitale dimanche en milieu d’après-midi. Plus précisément, des particules ont été recensées sur 4 des 27 points de prélèvements habituellement testés. »
Le parisien

De toute façon, je n’ai pas l’impression que le problème de certains ici, vient de là.

D. dit: à

Ça ne répond pas à ma question, hamlet.

et alii dit: à

j’aime les bonbons à l’érable du Canada

Marie Sasseur dit: à

Entre l’eau contaminee et les rats, je ne sais pas si Paris est vraiment un lieu sain.

rose dit: à

Janssen J-J dit: à
@ Quelle Consuelo Janssen J-J ?

-> Consuelo de George Sand (1843)

Résumé WIKI / Consuelo, surnommée la Zingara (c’est-à-dire la bohémienne),

Oui Janssen J-J, je pensais à l »-‘épouse de Saint Ex.

Ainsi Zingero serait le masculin de Zingara, le bohémien donc ?

Ai écrit une lettre brève et polie à la directrice de l’EHPAD pour aller voir ma mère.
Lui ai souhaité sa fête grâce à un rappel ici avec une chanson de Dalida sur Skype, « Laissez moi danser ».

Ma soeur l’a appelée.

Ai commencé le portrait. douze lignes. Ne sais comment écrire les horreurs successives. Un sur les deux.

rose dit: à

Aucune ville ne sera désormais un lieu sain.
Ne sais comment les choses vont se passer.

Pense que peu de progrès sont faits par l’être humain dans cette situation extrême ; au contraire, il y a accentuation, crises, énormité.

Ai lu les premières pages sur l’enquête soignée concernant les avions renifleurs ; ne sais s’il y a un lien entre cette omerta politique et ce que nous vivons aujourd’hui.
N’envisage pas une apocalypse, mais pense possible l’explosion d’une extrême violence.
Constate que dans certains pays, nul besoind ‘amendes ni de mesures de rétorsion.

Hier, très petites courses à Intermarché et sortie surtout pour aller chercher des oeufs frais, et d’oie, deux 🙂 ; encore contrôlée par les gendarmes au rond-point d’Intermarché. Ma voiture couverte de pollen jaune. Lui ai dit « vais faire des courses et chercher des oeufs » ; il m’a demandé ma carte d’identité pour vérifier avec l’attestation dérogatoire de sortie. Il a été correct, courtois. Lorsque j’irai voir ma mère, je cocherai visite à une personne vulnérable.

Pablo75 dit: à

Patrice van Eersen
Francois Brune
Ian Stevenson
Etc
Marie Sasseur dit

Et de Philippe Guillemant tu n’en parles pas, Grosse Andouille Analphabète, championne incontestée des messages les plus débiles du blog, qui même par hasard est incapable de dire quelque chose d’intéressant? Son CV (qui a rendu muet le Pétomane Fou du Fouet) t’a fait si mal dans le derrière quand tu l’as lu? Écoute ses vidéos et informe-toi pour éviter de mourir d’un effondrement mental produit par ta bêtise monstrueuse, au lieu de perdre ton temps ici à poster des conneries toute la journée, que même cryptées ne trompent personne sur leur nature et sur la dimension de leur vacuité.

Même les commentaires de Maurice (D)esborels (oui, le Grand Maso du Blog aux pseudos multiples qui à chaque fois qui reçoit une raclée publique convoque l’un de ses pseudos pour montrer aux autres qu’il n’est pas encore totalement gâteux) paraissent intelligents si on les lit après les tiens.

C’est dire…

Pablo75 dit: à

Entre l’eau contaminee et les rats, je ne sais pas si Paris est vraiment un lieu sain.
Marie Sasseur dit

Tant que tu ne viendras pas répandre la peste infernale de ta monumentale connerie, on est tranquilles.

Par contre, je plains le bled où tu la répands chaque jour impunément. Tes voisins doivent être désespérés de devoir vivre à côté de l’un de plus gros foyers de bêtise pure et dure qu’il y a en France.

Tu as de la chance que la connerie ne pue pas, parce que sinon tu devrais te trouver une île déserte au milieu de l’Atlantique.

et alii dit: à

ayant fait observer que la langue de communication entre scientifiques étant essentiellement l’anglais(même en dehors des communications savants lorsqu’ils sympathisent et se retrouvent autour d’une table),et en ayant eu confirmation d’un interlocuteur qui intervient dans le monde entier, j’ai cherché un lien qui s’intéresse à cette question insupportable à la RDL? Comme si les sciences étaient une sorte de sorcellerie pour  » « primitifs »(comme ils-elles-pensent et disent parfois:
c’est sur le blog de Paul Jorion:
PHILOSOPHIE DES SCIENCES, QUESTIONS ESSENTIELLES
L’ANGLAIS COMME « LANGUE SCIENTIFIQUE »
1 JUIN 2008 PAUL JORION 10 COMMENTAIRES
Je reviens sur un thème que j’ai déjà évoqué dans Les scientifiques et la langue française.
Le point de départ est une discussion née au sein du MAUSS (Mouvement Anti-Utilitariste dans les Sciences Sociales) à partir d’une remarque relative à un colloque qui s’est tenu à Paris « tout en anglais, la traduction en français étant au-dessus des moyens des organisateurs ». J’ai proposé les observations suivantes :

Cela soulève quand même une question : celle de la qualité de l’anglais utilisé par ceux pour qui il est une deuxième langue. J’habite depuis près de vingt-cinq ans dans des pays anglophones et j’ai pu faire un certain nombre de constatations (intuitives !) : »https://www.pauljorion.com/blog/2008/06/01/l%E2%80%99anglais-comme-%C2%AB-langue-scientifique-%C2%BB/

et alii dit: à

communication des savants lorsqu’ils

et alii dit: à

PHILOSOPHIE DES SCIENCES, QUESTIONS ESSENTIELLES
LES SCIENTIFIQUES ET LA LANGUE FRANÇAISE
On me fait parvenir une pétition intitulée « Lettre ouverte aux responsables de l’évaluation scientifique. Les scientifiques doivent–ils continuer à écrire en français ? » – émanant d’ailleurs d’un éditeur et non de la communauté des chercheurs – et je suis consterné : je n’ai jamais lu de défense du français dont les arguments soient aussi minables : 1) le contribuable a le droit de lire – dans sa langue (grand coup de poing sur la table !) ce que les scientifiques écrivent – avec ses sous, 2) protégeons la marge bénéficiaire des éditeurs et des libraires, 3) il existe des scientifiques trop bêtes pour apprendre une langue étrangère.

Qu’on me propose à la place une pétition qui défende, comme on avait le culot de le faire autrefois, la « grandeur » de la langue française, en énonçant simplement : Villon, Ronsard, Montaigne, Hugo et Proust, et je la signerai des deux mains !

Je sais qu’il s’agit de « textes scientifiques », je vois aussi que la plupart de ceux-ci sont aujourd’hui écrits dans un anglais tout à fait approximatif et souvent à la limite du compréhensible (paradoxalement, c’est tout particulièrement vrai aux États-Unis) par des gens qui maîtrisent très mal cette langue, que rien ne prédispose d’ailleurs spécialement au discours scientifique. La solution n’est pas que la communauté scientifique tout entière se mette à baragouiner.

J’ai la chance, chaque fois que j’écris, de pouvoir choisir le français ou l’anglais, le fait est que je choisis le français deux fois sur trois. S’il existait un service – qui ne soit pas hors de prix – qui permette que ce que j’écris en français soit également disponible dans un anglais correct, j’y recourrais certainement. C’est un service de ce type qui est nécessaire et les pouvoirs publics ont un rôle à jouer ici – au niveau de la francophonie tout entière s’entend.
https://www.pauljorion.com/blog/2008/02/19/les-scientifiques-et-la-langue-francaise/

JiCé..... dit: à

« Pourquoi sommes-nous mortels ? Pour vivre provisoirement nos peines et nos douleurs et réserver nos joies et notre bonheur pour un monde meilleur. Pour l’Éternité. » (Taleb ben Blob)

Je n’ai pas trouvé de second degré. Peut être dans ce cas, faut il en déduire qu’il n’y en a pas ? Et s’il n’y en a pas, rions devant tant de …!

JiCé..... dit: à

Chez l’ami Popaul, gardien de temple à Saint Malo, le trou dans le mur, pourtant épais, laisse échapper un torrent de mots et d’idées absolument fabuleux, en provenance de commentateurs brillants, parmi lesquels règne un Michel qui me rappelle vaguement quelqu’un… Bizarre, bizarre !

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