La verrue sur le nez de M. Poirier
Au fond, qu’est-ce qui distingue un écrivain des autres personnalités publiques ? L’écrivain, c’est celui qui refuse par principe de se faire tirer le portrait et qui manifeste cette humeur sur chacun de ses portraits. Il faut le comprendre : il entretient un jeu de fascination/répulsion avec ce medium au-delà même de ses rapports complexes avec sa propre image (incroyable le nombre d’auteurs qui ne peuvent pas s’encadrer !). Cette tension est au cœur d’une réflexion collective qui eut pour cadre champêtre le centre culturel de Cerisy-la-salle en 2007 et qui se déploie seulement maintenant dans un album richement illustré, comme il se doit L’écrivain vu par la photographie. Formes, usages, enjeux, sous la direction de David Martens, Jean-Pierre Montier et Anne Reversea ( 293 pages, 32 euros, Presses universitaires de Rennes). Outre les portraits de l’écrivain, il y est question des photos prises par lui et de son discours sur la photographie, mais c’est avant tout de sa bobine qu’il s’agit.
Leur tête bien sûr aussi leurs bureaux, maisons, rituels, bibliothèques, instruments de travail, gris-gris, fétiches, jouets… Qui expose s’expose. Tous ne gagnent pas à être connus, quelques uns ne rêvent que d’être reconnus, certains gagneraient à ne pas sortir de l’ambiguïté. Tous ne sont pas tel JMG Le Clézio des Sam Shepard de la littérature. L’objectif peut être sans pitié : il faut être Julien Gracq pour oser demander à ce que sa verrue sur l’arête du nez soit dissimulée dans l’ombre, et il faut être Henri Cartier-Bresson pour l’accorder à Louis Poirier.
L’air de rien, cela a changé la relation entre l’auteur et ses lecteurs. Il y a des livres qu’on ne peut lire sans que s’y superpose entre les pages un certain regard. Celui du photographe bien sûr mais aussi celui de l’écrivain qui nous observe le lisant. A les voir si soucieux de la mise en scène du chez-soi (Victor Hugo à Hauteville House), on comprend vite qu’ils ne sont pas tous animés par la haine de soi. Reste à en connaître l’impact sur l’imaginaire littéraire.
Il y a là d’utiles réflexions à glaner sur l’importance du portrait de groupe comme acte de baptême des bandes, écoles, familles d’esprit : surréalistes, Beat Generation & co. S’agissant du Nouveau Roman, la vue des écrivains faisant le trottoir ou tenant le mur des éditions de Minuit, selon les versions des témoins de la scène, ce cliché historique a créé le mythe, seuls Butor et Duras y brillant mais par leur absence.
Certaines photos ont le don de mettre l’imaginaire en mouvement, même les portraits iconiques de Rimbaud par Carjat, de Baudelaire par Nadar, de Joyce par Freund, déjà vus mille et une fois. Il fut un temps où la prise de vues obligeait le studio. Cela dit, les images qui vieillissent le mieux sont celles où le photographe fait prendre l’air au modèle et lui épargne la lumière artificielle. Louons Robert Doisneau d’avoir baladé l’ami Prévert dans Montmartre ! (voir page ?? de ce numéro)
Les universitaires ici convoqués dressent au fond l’inventaire des postures littéraires du grand homme-de-lettres (Saint-John Perse) à l’homme invisible (Maurice Blanchot). Le fait est que Samuel Beckett, qui ne donnait jamais d’interviews et ne passait jamais à la télévision, a consenti à se laisser tirer le portrait par des photographes. Or son impressionnante présence en noir et blanc n’est pas étrangère à la trace mnésique que son œuvre a laissé dans l’esprit de ses contemporains.
« La littérature en représentation. Le portrait photographique de l’écrivain dans l’entretien du Magazine littéraire ». Toute une savante étude sous la plume de Guillaume Willem consacrée à cette conception du Grand Entretien depuis son apparition en 1982 dans les pages d’« une publication au capital symbolique remarquable », ce qui est plutôt bien vu. Des choses si profondes, si sophistiquées et assez complexes y sont dites sur « le double processus de légitimation » entre l’écrivain et le magazine que nous y réfléchirons désormais à deux fois et plus avant de faire photographier un écrivain pour, disons, cette instance de consécration auctoriale, enfin, cette rubrique.
Avez-vous remarqué comme on se sent mieux dans une librairie dont les murs sont ornés de portraits d’écrivains ou chez un particulier qui a eu le bon goût d’en disposer en équilibre d’incertaines reproductions sur les rayonnages de sa bibliothèque ? Une atmosphère chaleureuse, un air familier et soudain on s’y sent chez soi.
(« Julien Gracq, 1984 » et « JMG Le Clézio, 1965 » photos Henri Cartier-Bresson)
846 Réponses pour La verrue sur le nez de M. Poirier
Gracq en look capitaine de cavalerie sorti de Saumur assez réjouissant. Le Clézio destiné à une couverture de Vogue …
Bloom dit : le 26/4/2017 à 18h 36min : « C’est pas clair, Gardel. Que voulez-vous dire? ».
Je prends acte de votre perplexité en essayant d’apporter une petite lumière à mes commentaires. D’abord il y a là un mot clef (Pouvoir) dont le sens concentre, et motive, le sujet et le développement de l’ensemble. Un mot qui se métaphorise face à deux situations différentes (le « Blanc » et les « 7 familles … ») et auxquelles j’ose à peine attribuer une égale pertinence, en me gardant quand même d’être sentencieux ou définitif. Dans mon « brevissime » texte il y a une absence de références géographiques et historiques spécifiques, hormis « l’Amérique » de Baldwin et « L’Obs » de Paris, raccourci passible de désorienter d’éventuels lecteurs. « Aucun rapport entre les histoires de nos 2 pays », signalez vous. Il n’a jamais a été mon intention de l’établir. De là ma surprise du « que voulez-vous dire? ». Je croyais être suffisamment clair et je vois que ce n’était pas le cas. Mes excuses.
PD : Vous dites, Bloom : « L’Amérique est l’Autre absolu ». Quel Autre? Parce que BHL, notre philosophe national, vient de déclarer dans son Blog que « Macron est le Kennedy français ».
Avec Audrey Pulvar, femme de conviction. L’écouter sur France culture, chez l’ancien ambass à Dakar.
Gardel, BHL a le mauvais génie de la formule, souvent réductrice, hélas. Veut-il parler de new style, de new frontier en référence à JFK? En tous cas, on souhaite à Macron une fin moins tragique, une maladie moins débilitante, des rapports plus distants avec la mafia et surtout la bonne idée de ne pas envoyer de conseillers militaires dans ce qui pourrait être le Vietnam de demain.
Et puis Kennedy fut le premier président catholique, d’origine irlandaise (New Ross), dont les ancêtres furent contraient à émigrer dans les bateaux cercueils par la Grande Famine des années 1840. Je ne sache pas que Macron ait un quelconque lien avec la diversité qui fait plus d’un tiers de la France d’aujourd’hui, ou qu’il se distingue du pédigrée politique classique chez nous.
Bref, BHL a été mieux inspiré.
J’aurais du préciser: en matière de relations entre les races, l’Amérique est l’Autre absolu…Imaginez qu’au début du 19e, au sud d’une ligne La Rochelle-Nice, des populations noires eussent été esclavagisées dans des plantations ou dans de petites entreprises familiales, en ville ou à la campagnes. Essayez de vous représenter la Creuse comme département d’élevage d’esclaves, comme le furent, entre autres, les deux Carolines, le Maryland et la Virginie,après l’abolition de la traite atlantique en 1807…
Quand l’auteur de l’Attrape-coeurs tentait de se dérober au flash
http://www.arretsurimages.net/breves/2010-01-29/Salinger-la-photo-volee-id6988
Un colloque à Cerisy, mon dieu, mon dieu, pour soigner une coquetterie de Narcisse.
A l’heure où l’écrivain raté, ancien assistant de Paul Ricoeur, s’il vous plaît, fait des selfies sur un stade où seront recrutées les stars du club « tout paris saint-germain »
Faut-il qu’une mouche * vous ait piqué.
Pour s’extasier devant le portrait officiel de la madone de Montretout qui passe son temps à se faire tirer le portrait, que ce soit sur le parc d’attraction d’un site industriel sinistré, ou avec une cargaison de morues.
bzzz
http://www.pure-beaute.fr/2011/10/17/de-lutilisation-des-mouches/
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Bon, moi je veux bien afficher le portrait du « beau ténébreux ». Car les sadiques, il faut les avoir en ligne de mire.
Ne manquez pas demain, les selfies du nécrivain à Oradour. Cela risque de faire du bruit…
Pas sûr d’avoir bien compris le sens de cette phrase somme toute assez p.uta.ssière « la vue des écrivains faisant le trottoir ou tenant le mur des éditions de Minuit ». Mais surtout, un billet sur le ver dans le tarin comme une tâche au milieu de l’ergastule, au moment où les internautes de la rdl s’empoignent à perdre toute raison, c une véritable provocation ! Moi, je mets mes go ! D’autant que l’absence de têtes d’eccléziotiques sur mes murs me donnent pas le sentiment de me sentir chez moi et de m’inclure dans les fantasmes de pierre. Bon, je dis ça pour enquiquiner un débat sur un nouveau papier qui risque pas monter en maillot. Non, il aurait plutôt fallu nous parler de ce que BHL pensait de paul ricard, le philosophe préféré de martine lepène, par exemple, c’aurait plus été dans l’air du temps. Le niveau baisse de tous les côtés, quelle époque ! (signé – ouf de gracq … un brin fâché par tant de légèretés)
t’es pas trés bon non pus 3j..si c’est pour mettre à laise vas tfaire hanculer
et halors kabloom..qu’est ce tu viens maquiller havec ton hautre incommensurabe..
Gracq en look capitaine de cavalerie sorti de Saumur assez réjouissant. Le Clézio destiné à une couverture de Vogue …
y’a guère que polo qu’est un roc dans la tempête..c’est tout a fait ça..sauf le réjouissant..question de gout polo..hon a pas les mêmes..et halors c’est ton droit!..vogue c’est raccord..ouarol en plus beau gosse
Marine la chienne,
Marine la haine,
Marine la peine,
Marine la déveine,
Marine la hyène,
Marine la géhenne,
Marine la gêne,
Marine la teigne,
Marine la vaine…
@si c’est pour mettre à laise vas tfaire hanculer
c déjà fait depuis longtemps, mon bon, et depuis jé refermé mes sfinctères mon pote, l’expérience n’ayant pas été vraiment conculante (sic). é je m’sens bin mieux depuis. Ton pb c que t’arrives pas à les r’fermer et que pu personne veut si mett’, pas vrai totho-de-bougrelongh ?
je trouve que l’assouline a raté un élément himportant de la ‘figure’ de l’auteur..qui a toujours existé hévidemment..composé formé par le lecteur les conversations les phantasmes.. et que la photographie a volé..car évidemment la photographie n’est pas hune image..pas du tout..mais ça lassouline havec son laica s’hinterdit dle comprende
et depuis jé refermé mes sfinctères
mes mes..dis donc tu fais pas les choses a moitié que c’en est réjouissant dirait polo..hon srait daccord sur les mots
Gracq, mon presque homonyme, s’étonnait un jour que l’on ne lui demande jamais l’heure dans la rue. La remarque était drôle et finement proposée à la sagacité de son lecteur. La réponse est donnée aujourd’hui; il suffit de voir son portrait. Clos, fermé, au fond ce que l’on peut dire de sa prose: un peu trop serrée, mot contre mot, « étouffe chrétien ». J’ai toujours pensé que ce qu’il disait de Goethe était une image de sa propre prose: « … du veau froid mayonnaise ». Le voir en pied (je n’aimerais pas l’avoir sur un rayon de ma bibliothèque, même si je l’aime beaucoup comme prosateur) me réfrigère.
» chez un particulier qui a eu le bon goût d’en disposer en équilibre d’incertaines reproductions sur les rayonnages de sa bibliothèque ? »
Les particuliers que je connais ont plutôt des originaux marqués de personnalité…
C’est pas un rigolo, sur la photo, le père Poirier !
Remarquez, le jeune Le Clezio, quoique plus beau, n’est guère plus souriant ? Et sa femme semble totalement évanescente !
Paul Edel dit: 27 avril 2017 à 18 h 52 min
Gracq en look capitaine de cavalerie sorti de Saumur
Un petit peu plus de monocle, peut-être ? Pour le stick, faudra voir*…
* Attention quand même à pas prendre un chausse-pied sous prétexte que le manche est en bambou…
« chez un particulier qui a eu le bon goût d’en disposer en équilibre d’incertaines reproductions sur les rayonnages de sa bibliothèque ? Une atmosphère chaleureuse, un air familier et soudain on s’y sent chez soi. »
Pas moi, j’ai plutôt l’impression d’entrer dans un cimetière. Suis pas très fans d’ambiances de mausolées !
J’aurais du préciser: en matière de relations entre les races, l’Amérique est l’Autre absolu…Imaginez qu’au début du 19e, au sud d’une ligne La Rochelle-Nice
bof, bien évidemment on ne les pendait ni ne les torturait, les corons, le 19ème siècle et l’exploitation des mines de charbons envoyaient des enfants de sept ans au fond des puits, c’était normal et avec cela un patronat paternaliste logeait dans des cités (sorte ce ghettos) , organisait la cantine et laissait prospérer la silicose en déplorant les coups de grisou, ce n’était pas l’esclavage . A ceci s’est ajouté l’arrivée des machines qui mit en cause les emplois et généra la formation d’associations pour défendre les maigres droits des ouvriers.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_du_syndicalisme_en_France
Il y a Bruce Chatwin, en Patagonie, en Oregon photographié par James Ivory, avec Werner Herzog sur le tournage Cobra verde tiré du Vice roi de Ouidah , puis il y a Bruce Chatwin en entretien avec Mme Indira Gandhi.
http://www.mutanteggplant.com/vitro-nasu/wp-content/uploads/2013/05/1brucechatwinGandhi.jpg
Aussi Ozu, qui pose comme un clown http://www.mutanteggplant.com/vitro-nasu/wp-content/uploads/2013/05/1brucechatwinGandhi.jpg
alors que dans Bonjour, il montre les pères qui boivent, les mères qui commèrent et les enfants qui obtiennent la télé à force de révolte silencieuse et déterminée. Clown mais fin observateur.
Moi je préfère la couleur au noir et blanc en photo. Je trouve que le noir est blanc est trop facile.
En 2008, Salinger a eu 90 ans ; ici photographié en 1951
http://www.nytimes.com/2008/12/31/books/31sali.html?_r=2
pardon, j’aime beaucoup le noir et blanc ; nos écrivains enfants
http://museeyourcenar.chez.com/image-076.jpg
à la campagne
Rose, vous semblez avoir un faible pour Chatwin; ce fut mon cas aussi, lorsque je le découvrait en 1985, suite à la publication de On The Black Hill, que je considère comme son plus beau roman. Vinrent ensuite The Viceroy of Ouidah (matrice de Cobra Verde), Utz (faible) et bien sûr le passionnant In Patagonia et les courtes proses critiques & mini-récits de voyages, dont son livre de photos de ses pérégrinations. Sa méditation sur le nomadisme en tant que condition première de l’humaine condition dans The Songlines, lu en 1988, m’a beaucoup fait réfléchir. Réflexion qui devait prendre un tour inattendu lors de mes deux années australiennes où j’ai constaté qu’il était puissamment haï par les communautés aborigènes…La raison? C’était un traitre. Son livre révélait des secrets qui lui avaient livrés à condition qu’il ne les divulgue jamais. Ce faisant, il avait porté un préjudice incommensurable aux peuples autochtones, déjà dépossédés de leur terres et culture par les Blancs. La mâchoire serrée, un des membres influents de la communauté de Redfern à Sydney m’a confié que le sida qui allait l’emporter était rien moins que le châtiment du Serpent Arc-en-ciel…No comment.
Toujours prendre garde à la façon dont on exploite de ce que l’on a consigné dans ses carnets Moleskine.
découvrais
Il va presque de soi que les atrabilaires vomissent le mignon petit Macron. Ça leur fait du bien, pauvres mollusques englués dans ce que je n’ose nommer.
Voter MLP serait plus excitant. En sommes-nous là?
Bloom, vous êtes une bibliothèque ambulante et si vous étiez Africain serviriez la tradition orale qui de génération en génération a su transmettre une culture sans que l’écrit intervienne. Quand un vieillard meurt c’est une bibliothèque qui brûle, disent-ils et je suis toujours surprise que dépositaire d’une telle érudition s’associant à une grande mémoire reflétant une intelligence vive et instruit par tant de voyages et séjours à l’étranger vous ne soyez tenté par l’aventure de l’écriture à moins que votre modestie aussi grande que les qualités précédemment mentionnées vous interdisent ou vous retiennent de faire part de vos travaux.
– des secrets qui lui avaient été livrés- , excusez moi, je relève votre oubli bien que je sois infiniment et indéfiniment inapte pour prétendre devoir et pouvoir me le permettre.
4h51, je n’opterai pas pour MLP bien que le camp « novateur » soit loin de me convaincre.
Il fait froid ? Couvrez vous !
Il pleut ? Sortez votre parapluie !
Il fait soleil ? Prenez en plein la tronche !
Il fait votation ? Partez à la pêche….
Bref, adaptez vous au pire comme au meilleur.
Un Président est une verrue sur le nez de la Démocratie. Un élément disgracieux mais sans importance.
Each day’s a mistress, unenjoyed before:
Like travellers, we’re pleased with seeing more.
Comme dit l’autre : la France est une verrue sur le nez de l’Allemagne : disgracieux mais sans importance.
Bébé Macron attire les élites perdues comme la spirale fécale attire les mouches affamées : savoureux spectacle !
Les femmes d’Etat peuvent être bien meilleures que les hommes ! L’exemple de Mutti Angela Merkel est signifiant.
La Kanzlerin a réussi là où Dolfie p’tite Mustach, l’impayable tyran du Reich de 1000 ans, a échoué : faire en sorte que Germania règne sans partage sur l’Europe occidentale !
Et les nains en servitude d’applaudir le géant bonasse … Liberté, liberté chérie !
interdise et retienne.
JC nous connaissons votre intention et ce qui la motive, l’Europe est un organisme aussi complexe que tous les organismes vivants, une mouche tient du miracle ; l’excédent commercial de l’Allemagne devrait se voir mis en cause, Christine Lagarde n’est plus d’accord avec le joug que l’Europe impose à la Grèce et je lisais hier que le parlement avait voté une loi, un décret? ou s’était prononcé pour ne rien remettre en question des accords concernant les travailleurs détachés; il appartiendrait aux pays qui les envoient de lutter contre la fraude ( sous salaire, heures sup non réglementaires etc) de remédier à ces inconvénients qui désavantagent les pays qui les reçoivent et non à nos inspecteurs du travail de tenter de signaler à qui de droit ici par exemple pour intervenir et régler ces manquements à la législation du travail. On nous dit que la France elle aussi envoie des travailleurs à l’étranger, certes mais je doute fort qu’ils forment une main d’oeuvre bon marché et qu’ils soient tous employés dans le bâtiment. Pas pour autant que je prendrai le risque de voter FN qui d’un point de vue idéologique n’est toujours pas stable et économique pas plus rassurant, j’apercevai hier avant de zapper un représentant de ce parti congratuler chaleureusement un économiste prônant les vertus de l’ubériation, il est vrai que nous ne les avons jamais vu à l’oeuvre mais que ne promettrait-ils pas pour arriver au pouvoir et en faire d’un point de vue sociétal ce qui leur plaît et d’un point de vue économique pas mieux que les autres avec en toile de fond le risque de conflit et pas seulement économique que ferait courir leur avènement, nous basculerions dans le bloc est, quelle sympathique perspective, entre deux impérialismes choisir Vladimir , côté libertés individuelles, cela ne me dit rien qui vaille.
promettraient
Sortir souverain de l’Europe telle qu’elle est, càd merdoyante, me parait une nécessité de base.
Depuis le temps que vous militez en faveur d’une sortie, j’avais compris mais n »existerait-il aucune solution comme la renégociation de ce qui nuit, une limitation de ses pouvoirs pour redéployer un peu plus de place à la souveraineté des états , cela dit je suis loin de posséder la compétence pour statuer de ce qui devrait être modifié et cette clause d’unanimité exigée pour changer quoi que ce soit de son fonctionnement en fait un bunker, ainsi on voit pousser des dirigeants comme Orban.
Je milite, je milite …euh … de très loin. Parce que « militer » c’est un mot « mi-li-ter » que j’ai en horreur …
Les réseaux sont un support informel, des tas de gens vous lisent, qui sait ce qu’ils en retiennent, vous êtes un vecteur tout comme je le suis et bien que je ne prétende proposer de solutions qui d’ailleurs selon moi n’existent ni d’un côté ni de l’autre, l’argent est ‘égal de Dieu quand il n’est pas pire, actuellement ils font autant de morts, il nous faudrait un Confucius pour que chacun accepte son sort bien sagement, le porte dignement et se prosterne devant le maître clément qui nous accorde une aumône.
Cependant, remettre sa souveraineté à une entité sans projet, ingouvernable, déséquilibrée, irréformable, comme l’Europe actuelle … c’est pure folie ! Frexit !
Passou ça va continuer encore longtemps les accusations et procès d’intention des lvdb et berenice, leur petit jeu pervers (d’alcolo ?) pour attirer l’attention sur leur cas de pauvres folles frustrées hargneuses?
L’Allemagne pourrait le cas échéant ne pas opposer son veto , les choses vont à ce point mal pour de nombreux pays, pourquoi ne pas envisager que l’Europe puisse être réformée, lui accorder des domaines de compétences et lui en ôter et aussi ne pas ajouter aux règlements européens déjà lourds à porter d’autres contraintes nationales qui rendent le vie impossible à certains. Je pense au secteur agricole, d’ailleurs à ce propos, ( on se retient de rire pour ne pas hurler en attendant la suite des tractations) il y a peu Bayer ( groupe allemand écolo) a racheté Monsanto, comme par hasard les glyphosates sont de nouveau inoffensifs et autorisés.
Ah tiens superploucbeauf est réveillé! vous avez vu JC, il attente à notre réputation, Superglue 3 …ne vous en fichez pas sur les doigts!
Une photographie signée Henri-Cartier Bresson, des vieux albums aux photos jaunies, palissant peu à peu, portant leur présence de morts, des soirées diapositives, et des selfies, partout, tentant de la domestiquer… Dans les deux cas, immobiliser le temps… inactualité… arrêt… parfois un contre-souvenir, une certaine violence.
Capturer l’âme d’un écrivain dans une photographie ? Je ne suis pas ce rêveur-là. Je cherche quelque chose que je ne trouve que dans leurs mots… « cela a changé la relation entre l’auteur et ses lecteurs. Il y a des livres qu’on ne peut lire sans que s’y superpose entre les pages un certain regard. ». J’ai beau forcer l’attention, le visage, ici, de Gracq me parait impossible à percevoir. Par contre des visages d’inconnus, des paysages m’intéressent car il n’y a pas de souvenirs. J’aime me balader dans des expositions de photographies, rencontrer ces images toujours du passé qui ne sont pas le réel.
Ah, la photo d’H-C.Bresson de Giacometti traversant la rue d’Alésia sous la pluie, la tête enfouie sous son imper. Celle-là est troublante.
Passou écrit : « Avez-vous remarqué comme on se sent mieux dans une librairie dont les murs sont ornés de portraits d’écrivains ou chez un particulier qui a eu le bon goût d’en disposer en équilibre d’incertaines reproductions sur les rayonnages de sa bibliothèque ? Une atmosphère chaleureuse, un air familier et soudain on s’y sent chez soi. » Et cela est vrai…
Autre chose, les photographies d’êtres aimés disparus ou non. Là, c’est le tremblement. Un face à face parfois douloureux.
Drôle de billet en pleine campagne électorale, comme hors du temps alors que crépitent les appareils photos des journalistes, alors que valsent les citations d’écrivains.
Bob ! Comment pouvez vous rester insensible au charme subtil, à la dialectique éblouissante, aux vertus infiniment nombreuses, bref à l’irrésistible séduction quasi érotique de ces damoiselles de notre république, lvdb, Bérénice et autres houris, dignes du blaireau enchanté de Vermeer ?
légende de la photo:
Est-ce que cela ira comme pause , c’est ce que je peux faire de plus souriant.
JC….. dit: 28 avril 2017 à 9 h 34 min
Deux épaves ,alcolos, deux vieilles folles complètement cinglées,ivres de haine et frustrations, plutôt !!
A la pauvreté sociale, l’indigence s’ajoute la pauvreté intellectuelle, il est vrai qu’entrave par les soucis élémentaires: se loger, se nourrir, s’abriter – un homme n’a plus guère ne le temps ni l’esprit à cultiver son jardin mais peut-être est-ce pour cela que comme avant pour éviter qu’il se révolte ou cherche à inventer un système qui repose sur d’autres lois que celles connues en cours ou périmées, le système a besoin de cette marge grandissante de miséreux, de pauvres, de démunis, de précaires.
entravé
JC, votre ami,je le crains, n’a pas accès au second étage.
Bob, mon ami, vos « harpies » vous ont elles violé aux Invalides, à l’insu de votre plein gré ?
Ce JC est d’une bêtise insondable.
Un cas désespérément irrécupérable et irrémédiable.
Surnaturellement con et mystiquement bête comme une vieille oie bigote.
Dévotieux dans l’insanité et incurable dans l’imbécillité.
Tel est notre JC.
Certes OZZY, certes ! Laissez moi vous offrir un miroir….
OZYZY, j’ai une copine, entomologiste, à qui vous pourriez plaire. Elle adore les espèces rares …
JC a de plus en plus de gens qui le détestent, ça fait plaisir à lire, ‘tain !… et en plus il radote plein pot le pôvre
Ce n’est pas le système politique qui génère les inégalités entre humanoïdes, béré, mais seulement la diversité génétique de l’espèce …
Une caractéristique somme toute bien naturelle, contre laquelle il est impossible de lutter « sérieusement » !
Croyez vous que l’on puisse tirer quelque chose d’un cancrelat comme OZZY, d’un cafard comme Lacenaire ?
JC….. dit: 28 avril 2017 à 10 h 02 min
Leurs guigui javert et autres délires ..
…et cette pauvre nouille triste de Le Clezio qui menace de rendre son passeport en cas de victoire de la Marraine ! Ce monde est magique.
JC dit n’importe quoi pour choquer – on lui a seriné dans son enfance que, faute de quoi, il serait bête
Croyez-vous que l’on puisse soutirer quelque chose d’intelligent d’un JC en décomposition ?
On pourra sauver Bob, à condition qu’il y mette du sien … c’est pas gagné !
JC,
Elle est comment ta copine ?
Demoiselle bellement longiligne comme une libellule ou maquerelle laidement scatologique comme un bousier ???
Comme je suis un intellectuel avisé, toutes mes épouses sont belles et mes copines bellissimes …
Quittons nous, définitivement, sur une remarque.
Impossible de partager la même opinion que Maitre Pierre sur son « Avez-vous remarqué comme on se sent mieux dans une librairie dont les murs sont ornés de portraits d’écrivains ou chez un particulier qui a eu le bon goût d’en disposer en équilibre d’incertaines reproductions sur les rayonnages de sa bibliothèque ? Une atmosphère chaleureuse, un air familier et soudain on s’y sent chez soi. »
Je suis à mille lieues de ce style de déco outrancièrement chargé, comme je ne rentre pas volontiers dans une librairie d’aujourd’hui, généralement chaleureuse comme le Père Lachaise en deuil.
Quand JC, piteux et péteux, ne sait plus quoi répondre, il se casse vite fait, bye !
Polanski, poursuivi par la justice américaine pour viol, est annoncé à Cannes, avec sans doute une nouvelle polémique à la clef. Désormais, les sorties publiques du cinéaste donnent lieu à des manifestations de féministes et à des polémiques par médias interposés. Gageons que cette fois, ce sera encore la règle, et que le repos public sera perturbé par le cinéaste polonais en pleine cavale polanskienne :
« Le nouveau film de Roman Polanski, « D’après une histoire vraie », avec Emmanuelle Seigner et Eva Green, sera présenté hors compétition au 70e Festival de Cannes, qui se déroulera du 17 au 28 mai, ont annoncé jeudi les organisateurs. »
10h23 JC Jusqu’à présent aucune loi ne l’interdit, je vous trouve injustement insultant pour ne pas dire bêtement . Sauver Bob tiendrait de la transplantation cérébrale mais peut-être seriez-vous vous aussi candidat .
Le Festival, pourtant bien vu du grand public pour son côté glamour et paillettes, prend un risque en invitant Polanski. Le cinéaste polonais va en effet y apporter sa touche personnelle, qui en fait est peu recommandable puisqu’il incarne un privilégié, auteur d’un viol sur mineur, qui a réussi à s’en tirer pendant quarante ans au mépris de la loi. Un modèle pour les jeunes générations.
Par LE CLEZIO, je suis là, cafard albinos de Lacenaire !
Je te surveille. Même dans tes latrines où tu te livres à de coupables activités non littéraires qui te sont les seules connues, par suite de ta repoussante laideur.
On croyait que Cannes c’était le soleil, le cinéma, les starlettes qui se font photographier sur la plage, etc. Cette année, Cannes ce sera aussi l’actualité pénale la plus brute et la plus sordide en la personne de Polanski.
Béré, Le Clezio est une nouille, une nouille triste, un bêta de plus. Adieu !
Précaution des organisateurs du Festival, courageux mais pas téméraires : le film de Polanski sera présenté dans une catégorie où il ne concourra pas pour la Palme d’or. :
« Présenté hors compétition, il ne sera pas en lice pour la Palme d’or. »
Si vous pouviez lui lâcher la grappe à R Polanski, cela nous ferait presque un festival, vous êtes de la même espèce que les lecteurs de la presse à scandales, voulez-vous un appareil et vous joindre au gentil groupe de paparazzis qui guettent ou être présenté à ce procureur républicain, vieux, con comme un crocodile édenté?
JC, chacun son rôle, je l’ai un peu lu et je n’en distille pas la même opinion que vous, faites-en autant, j’attends votre Nobel et bien que cela ne suffise pas à définir l’individu.
Ou alors il faudrait créer un prix spécial du jury : le prix du meilleur repris de justesse, par exemple.
JC la tâche de 10h45 mordue par un chien enragé (il est mort peu après) vous réclame
« Si vous pouviez lui lâcher la grappe à R Polanski »
Bérénice, si vous aviez à faire à ce vieux procureur, vous n’en mèneriez probablement pas très large, vous seriez plus respectueuse devant ce qu’il incarne.
être présentée à ce procureur!? personnage antipathique qui vit aussi à l’ère médiatique et souhaite, je suppose, qu’on se souvienne de lui, peut-être n’a-t-il rien trouvé de mieux , tout ceci repose sur une mentalité d’extrême droite, cold case, va-t-il s’attaquer aux assassins de JFK? Il serait héroïque mais là dans ce cas c’est de la mauvaise foi, la victime a pardonné et la mère a été payée, combien d’anciens nazis se sont baladés impunément aux USA et encore employés dans des services de renseignements? Combien de prêtres continuent d’abuser les enfants?etc etc
J’ajoute , Delaporte, qu’il n’ existe aucune raison que je sois présentée à un procureur , ni en réalité ni en rêve.
Le péteux qui n’a pas trouvé de papier pour s’essuyer est prié de ne pas incommoder le personnel de service avec sa m.rde au c.l, les eschérichia coli étant manu-portés, il est utile de se laver les mains avant de sortir des toilettes et recommandé d’utiliser un kleenex propre pour se prémunir de la contamination en collectivité en actionnant les poignées de porte.
« la victime a pardonné et la mère a été payée »
La justice n’a pas été rendu car, sachez-le, Bérénice, nul n’est susceptible de se faire justice soi-même. Ce que vous racontez, c’est du pipeau… Polanski lui-même sait qu’il a encore des comptes à rendre, c’est inscrit au plus intime de son âme.
Au palais Nikaïa (la victoire, en grec) : « Plusieurs centaines de militants FN ont scandé ce jeudi 27 avril dans la soirée à Nice des insultes à l’encontre d’Emmanuel Macron en lançant des « Macron! Macron! On t’encule! » avant le début du premier meeting d’entre-deux-tours de Marine Le Pen. »
Est-ce cela qui fait fuir le Niçois Le Clezio ?
Le Clézio : courage, fuyons !
La verrue sur le nez de monsieur Poirier ou la bite dans le c.ul de monsieur Le Clezio, il faut choisir le bon engagement, Passou, plus politique que littéraire, l’heure est grave !
« la victime a pardonné et la mère a été payée »
Selon la justice, c’est la mère maquerelle qu’il faut emprisonner !
« Selon la justice, c’est la mère maquerelle qu’il faut emprisonner ! »
Désormais en France la loi punit aussi le client.
Secondairement, et occasionnellement, Delaporte, laisses-tomber Polanski, svp !
Appel aux résistants Niçois !
Voilà ce que l’un d’eux, Frédéric Nietzsche, écrivait à son ami Peter Gast, le 24 novembre 1885 :
« […] Ces jours-ci, j’ai été revigoré d’apprendre que le nom de cette ville que je ne peux quitter ni troquer contre une autre, évoque la victoire. Et si vous saviez comment s’appelle la place sur laquelle donne ma fenêtre (des arbres magnifiques, au loin de grands édifices rougeâtres, la mer et la baie des Anges à la courbe harmonieuse), c’est-à-dire : « Square des Phocéens [En français dans le texte] », vous ririez peut-être comme moi de l’extraordinaire cosmopolitisme que comporte cette alliance de mots. Des Phocéens ont réellement jadis établi ici un comptoir – mais quelque chose de victorieux et d’extra-européen s’en dégage, quelque chose de très réconfortant qui me dit : « Ici tu es à ta place ».
En effet, entre temps, j’ai essayé de Munich, Florence, Gênes – mais rien ne convient à ma vieille tête sinon Nice, sans compter quelques mois à Sils-Maria : bien que l’été soit ici, dit-on, plus revigorant encore qu’en n’importe quel lieu à l’intérieur de l’Allemagne (le soir, fraîche brise marine, les nuits un peu froides), l’air est d’une qualité incomparable, la force stimulante ne se retrouve pas ailleurs (non plus que la luminosité du ciel). J’ajoute enfin qu’on peut vivre ici à bon marché, très bon marché, et que l’endroit est assez vaste pour permettre de mener une vie cachée, érémitique, à n’importe quel degré. On a à soi tout ce que la nature offre de plus exquis, tels les sentiers sylvestres de la proche montagne, ou la presqu’île de Saint-Jean. De même la magnifique Promenade, libre d’accès, au bord de la mer écumante (environ trois quarts d’heure de parcours) et qui n’est fréquentée que quelques heures par jour. Pardonnez-moi si votre sort préoccupe souvent ma pensée et s’il n’est pas rare que j’arrive à cette conclusion : vous devriez tâter une fois de ce Nice et laisser l’Allemagne à l’Allemagne. […] »
on me cherche ?
guigui, et tes potes du parti des « travailleuses et travailleurs » de la fille du borgne, n’ont guère fait mieux hier dans la defecation, à Nice, Marseille et Porqurolles, que toi. Eructant, arachide, ta haine devant ton écran.
Ici, splendeur immaculée, calme et volupté. Comme la neige a neigé, c’est une d’une beauté, inattendue.
Météo à survivre, possibles avalanches sur versants exposés.
Arachide?
avachie, la guigui le pen.
sachez-le, Bérénice,
merci, je suis au courant mais si cela parvient à occuper une case de votre classement par ordre de priorité ou d’importance je n’y pourrais rien. Combien de criminels connus ne sont pas inquiétés pour des faits similaires, une question de positionnement dans la hiérarchie, de pas vus pas pris, sus mais cachés toutefois pour des faits moins lointains dans le temps, hypocrisie injustice absence de justice à tous les étages.
, c’est inscrit au plus intime de son âme
Un de vos intimes, may be? Il est vrai que la Vénus comme l’analysait l’un d’entre nous ici précédemment dit sûrement de ce qui le travaille. J’espère tout de même qu’il aura su recouvrir cet accident de conduite par une vie positive qui lui permette de passer à autre chose qu’un sentiment de culpabilité obsédant .
Si on lit l’ oeuvre entière de le Clézio, si ouverte sur le monde et les racines de sa famille ,on sait qu’ il se sent mauricien et que la vie entière de son père médecin ,dévouée à l Afrique l’a marqué. Il y a une grande cohérence chez lui.
@11.47. Osée, la philippique à passoul, faites fort, Jazzman parfois, je me demande si vous n’avez pas enfreint la ligne du possible, en dépit de tout ce qu’on peut lire et écrire icite !
@3.14. Profonde, l’anecdote rapportée sur le sentiment de trahison de Chatwin par les aborigènes ! je ne la connaissais pas. Est-elle répertoriée quelque part ?
Un sentiment identique d’immédiate sympathie à la découverte, naguère, des « Jumeaux de Blackhill » (il est précisé : « On the Blackhill? »), je pense qu’on évoque la même chose… Rien n’eut la même intensité par la suite, hormis « Patagonie », quand cette contrée n’avait pas encore été soulée/souillée par Nicolas Hulot, je suis encore en accord, là.
Je trouve que la très belle photo de J. Gracq explique à la perfection ce que fut la littérature à l’estomac non digérée.
BJ à toussent et à chacun-e, (& singulièrement à rénato chaloux et st’angèle).
Jazzi, mon avis est que les militants sont plus dangereux encore que ceux qu’ils soutiennent alors imaginez en cas de victoire une levée des inhibitions, tout ceux qui ne sont pas franchement blancs auraient à craindre les passages à l’acte, au minimum les insultes et agressions verbales.
12h24, il neige chaque mercredi, cela me rappelle que de la trilogie « trois couleurs » de Kieslowski, j’avais vu pour commencer , Blanc, à Paris et qu’en sortant une diseuse de bonne aventure avait voulu lire les lignes de ma main, j’avais refusé; j’ai bien fait, n’est-ce pas?
pourrai
Si Le Clézio avait dit : je rentre en résistance, au lieu de se débiner, on aurait mieux compris. Le FN arrive, et Le Clézio nous abandonne à notre triste destin.
Très honnêtement, si je possédais la moitié de ses moyens j’opterais pour la désertion , il est vraisemblablement l’heureux propriétaire d’un cottage ou d’une villa dans un paradis ensoleillé, il en profitera mieux ainsi, et puis nous resterions tous des citoyens du monde et cela importe.
« BJ à toussent et à chacun-e, »
On dit « cellzéceux » JJJ…
« j’avais refusé; j’ai bien fait, n’est-ce pas? »
bien évidemment! comme toujours
13 h 37 min
avoir voté pour poutou, vous allez donner votre voix à lp comme lvdlb
« cela importe »
En vérité !
« J’espère tout de même qu’il aura su recouvrir cet accident de conduite par une vie positive qui lui permette de passer à autre chose qu’un sentiment de culpabilité obsédant . »
vous devriez le lui écrire
« l’irrésistible séduction quasi érotique de ces damoiselles de notre république, lvdb, Bérénice et autres houris, »
T’aurais pu nommer Christiane et Clopine, JC. Elles le méritent bien
il a écrit autres houris, ce doit leur être destiné.
« l’excédent commercial de l’Allemagne devrait se voir mis en cause, »
Vous voulez dire quoi Bérénice? Interdire aux allemands de fabriquer des bons produits que le monde entier veut leur acheter? Les obliger à nous acheter plus de nos produits pour payer indirectement nos retraites trop longue, nos fonctionnaires trop nombreux et notre assistanat mortifère, en réoccupant la rive gauche du Rhin?
Les allemands sont un peu lourds, certes, mais pas complètement idiots. Ils n’ont pas envie de payer nos retraites, nos fonctionnaires, nos 35 heures, nos 6 semaines de congé et tout le toutim. Ils préfèrent réduire leur dette pour sauvegarder leur indépendance et préserver l’avenir. D’ailleurs, si la plus grosse économie de la zone euro se mettait à être déficitaire ou même juste équilibrée, on se demande qui compenserait les déficits des cigales.
« Il y a une grande cohérence chez lui. »
Pour fuir devant l’ennemie, Paul ?
Jazzi le Clézio à écrit « le livre des fuites « en 1969 c est un homme qui marche.
Le Clézio a le réflexe de l’élite : puisque c’est comme cela, qu’ils mangent de la brioche ! C’est dommage, car au départ voilà un écrivain qui avait un bon talent et des idées généreuses. Hélas, quand il s’agit de les appliquer dans la réalité, il n’y a plus personne. C’était de la masturbation intellectuelle, appellation d’origine contrôlée Nobel.
tu dvrais savoir closer qu’un pays c’est dla peréquation..et ce qu’elle ont voulu dire dans l’histoire de ton pays..si t’en as un
ce que fut la littérature à l’estomac non digérée..c’est mieux 3j..pub pour dragée fuka ?
Des grands entretiens dans le Maglit encore faudrait il en faire avant de penser à une éventuelle photo.
s. Ils n’ont pas envie de payer nos retraites, nos fonctionnaires, nos 35 heures, nos 6 semaines de congé et tout le toutim.
vous racontez n’importe quoi, nos économies même dans ce cadre de libre échange ne sont pas solidaires autrement que par le secours de la BCE quand c’est nécessaire. Je crois que l’Allemagne songe à investir de façon plus importante pour utiliser les bénéfices de son excédent commercial et on peut escompter un renforcement de sa puissance productive et financière à moyen terme, les français se sont trop longtemps reposés sur leurs acquis, ils n’ont pas investi pour renouveler et moderniser leur industrie à temps pour pouvoir être des concurrents sérieux dans certains domaines de production de biens manufacturés, ce n’est pas nouveau et on le paie. A cela s’ajoute la docilité des allemands dont on ne dit pas assez quelles sont leurs conditions, il semble qu’il y ait deux Allemagne, ce pays souffre aussi d’une « fracture » et d’une différence de traitement selon qu’on soit à l’est ou à l’ouest.
delakeupu..raclure
Si Hitler revenait, vous tiendriez? On peut aussi avoir honte de ce que devient le pays et préférer partir. Après tout, il n’est pas d’ici.
Ce n’est pas la première fois que ce Delaporte bave sur Polanski ; que révèle son obsession qui finit par devenir malsaine ?
les français se sont trop longtemps reposés sur leurs acquis, ils n’ont pas investi pour renouveler et moderniser leur industrie à temps pour pouvoir être des concurrents sérieux dans certains domaines de production de biens manufacturés, ce n’est pas nouveau et on le paie
macron..what else..l’integration par le haut et la désintégration par le bas..l’europe c’est une reconfiguration de la carte économicosociale..dailleurs suffit drgarder une carte éléctorale française et une européenne..le brexit est dabord une atteinte a l’unité nationale meussieu closeur..et un araisonnement à une certaine idée qu’on s’en fait..t’es un marchand dsoupe qui se cache derrière les parfumeurs..mais tu pues l’poirot
ta gueule delairporte
Delaporte qui allez vous critiquer, Polanski, Le Clezio, quelle sera la prochaine figure du traître ou du criminel brillant dont vous serez jaloux?
@14.39 pub pour dragée fuka ?
On n’en sort pas de tes histoires de sfinctaires, dès que tu te ramènes quand ton pote jc s’est barré ! (merci qd même de reconnaître mes progrès, vu qu’on peut pas êt’makron à tous les ouks, pour sûr).
Certaines photos ont le don de mettre l’imaginaire en mouvement
les portraits car c’est d’eux qu’il sagit ceux d’homère d’aristote de platon de shakeaspear de dante on dabord été phantasmé idéalisé..construit..et non pas ‘tiré’ lassouline..et non pas soustiré..car au fond si t’avais été à la hauteur de toute l’horreur du sujet t’aurais du dire que t’avais des selfi havec hergé..grac..simenon..dans ta bibli
Closer, l’Allemagne dépasse même la Chine dans sa progression à l’export et dans le gain, voyez aussi comme ils organisent l’accueil des migrants, c’est un tout autre processus que le nôtre et qui présente l’avantage de fabriquer d’autres citoyens que des assistés ou des délinquants et bien que les groupe d’extrême droite cherchent à détruire les structures d’accueil, ici on balbutie, il n’y a donc pas grand chose à détruire. on les expulsera ou on les emprisonnera, pour ces raisons que je caricature les migrants sont mal perçus. Voyez notre système scolaire coûteux qui produit de l’échec, qu’est-ce qui ne va plus dans ce pays?
Un article intelligent dans un océan de m…
« « Le choix est impossible », résume Quentin D., enseignant et chercheur de 27 ans, qui lui non plus ne peut « pas [s]e résoudre à donner sa voix à l’un ou à l’autre ». Car M. Macron lui paraît « extrêmement dangereux. (…) Le danger plus insidieux, bien poli, du néolibéralisme, mais un danger tout pareil ».
Tout à fait d’accord.
(Gracq n’était pas réfrigérant du tout, il semblait surtout ailleurs.)
ceux de lautréamonts sont passionants et cette traque de proust en paumé ou de rimbauld en smel de plomb est lamentabe
mon larbin qui fait l’chien truffier..cavé canème
boumou semble aller très bien, il va aller a pied au cimetière.
Elle me drague, ou quoi guigui le pen ?
À qui la vie donne « sa voie « , la belle affaire 😉
allons bon..à chval ou en voiture on y va mon larbin on y va..que tu m’y précèdes ou pas ne m’appartient pas mon larbin
Mais l’Allemagne ça va être supprimé y a plus un rat…
@ce pays souffre aussi d’une « fracture » et d’une différence de traitement selon qu’on soit à l’est ou à l’ouest.
Oui, mais est-ce que la nature et l’impact du « capitalisme rhénan » en est altéré au sein de la grande Germanie protectrice de l’Europe entière ? Est-ce que la partie Est est devenue la Wallonie de la Flandre de la partie Ouest ?… L’abondance des arguments fait un peu perdre le fil de la démo, c dommage car vous êtes la seule spécialiste de l’économie de la construction européenne de ce blog qui fait trop peu d’excursion sur ce terrain. Et on vous a besoin, vu les assauts des autres vitupérants de l’axe paris bxl berlin qui préfèrent se paresser avec le Breixit, plutôt que de méditer sur leur Jean Quatremer à meilleur escient… Enfin c mon avis, donc je le donne aussi au maladroit jmg le clezio qui nous lie beaucoup au blog de paul edel.
https://www.babelio.com/livres/Quatremer-Les-salauds-de-lEurope–Guide-a-lusage-des-euro/948642
Mais l’Allemagne ça va être supprimé y a plus un rat…
mort en bonne santé schweinhund!
La verrue nous semble moins sur le nez de monsieur Poirier que sur le mur de la pièce où il est photographié…
Cette malencontreuse et noire attache cloutée qui dépasse du cadre quasiment au-dessus de la tête de l’ écrivain ne fait qu’ attirer notre attention. Un encadrement exécuté dans les règles de l’ art ne devrait pas laisser voir l’ attache dans le mur. Il faut et il suffit de faire deux trous dans le carton de fond pour y loger des attaches et puis de tendre un fils entre celles-ci. Nantes ne manque ( et ne manquait ) pas de bons encadreurs pourtant?!
@delaporte- 14h11/ jazzi- 14h09. . Le Clezio a donc déclaré qu’il rendrait l’un de ses 2 passeports, en cas de victoire du FN.Je n’étais pas au courant, j’ai consulté le net et google : le clézio occupe, en gras, plusieurs écrans, c’est apparemment la plus importante des nouvelles, celle qui va bouleverser l’ordre du monde…
Ceux qui ont lu, lisent Le Clezio savent que son passeport mauricien est son passeport originel,à égalité avec son passeport français. Pourquoi ne pourrait-il pas choisir de renoncer à ce dernier si le régime politique mis en place ne lui agrée pas ?
« fuir devant l’ennemie » en quoi est-ce une fuite,
Le Clézio est constamment à l’étranger, non pas pour parler politique, mais pour parler de la culture ,de la littérature française, pour connaître, comprendre l’état de la culture ,de l’éducation dans ce qu’on appelle « des pays é mergents ». « fuir devant… » il faudrait expliquer..
» Le Clézio a le réflexe de l’élite…..masturbation intellectuelle… » Ce serait bien de donner 2 lignes d’explication. Je regarde la TV, j’écoute la radio, et les formules à l’emporte pièce, braillées à pleins poumons m’inquiètent; c’est tellement plus important que les mots donnés par JG Lc à un journal étranger qui lui demandait son avis.
Bérénice, je crois, dit que les supporters de la Candidate- qui manifestement exulte, sont autant et plus dangereux qu’elle .D’accord avec ça car ce qu’ils ont compris de son « programme » me laisse plus que perplexe.
l’europe des salauds..la france des phumiers..la rdl des raclures..si tu crois qu’on te voit pas vnir serdgio
bousemol, c’est toi qui as annoncé ta fin prochaine.
N’est-ce qu’une promesse de campagne?
hallons bon..quand ça mon larbin
» autrement que par le secours de la BCE quand c’est nécessaire »
Tout est là Bérénice! S’il n’y avait pas une économie hyper solide qui inspire confiance aux prêteurs internationaux, la BCE ne pourrait pas faire fonctionner la pompe à finance à plein régime pour nous permettre d’emprunter toujours plus et boucler nos fins de mois. Les bons apôtres irresponsables voudraient que l’Europe émettent des obligations garanties par tous les Etats, c’est-à dire essentiellement par l’Allemagne, pour financer nos déficits. Et puis quoi encore?
Quelqu’un ici a écrit que Macron était très dangereux car il voudra mener sans le dire une politique dite « ultra-libérale » (traduisons: « non irresponsable »)…C’est justement son seul point positif. Il a vaguement compris que le programme de Fillon était le bon et veut mettre plus de vaseline pour le faire passer.
Relis-toi, vieille barrique.
Je dois reconnaître qu’à J-9, j’ai du mal à y voir clair entre voter « blanc » et voter « macron » (cellzéceux du macaron blanc ?). J’essaie de comprendre les rares arguments de ceux d’icite qui sont un peu dans ce cas de conscience, comme Ch., mais dont la conviction est déjà mieux affirmée ; quoiqu’ils voudraient entendre autre chose de plus décisif que « halte au FN » ou « le vote d’abstention fait le jeu du FN », et autres billevesées mélanchonistes, genre « vous z’avez pas voulu de moi, donc allez vous faire foutre avec fion ». Attendons les rebonds.
(NB / L’appel conjoint de marie-france garraud et de marie-christine boutin pour D., jc. et lboug’ ne m’a pas non plus entièrement convaincu).
« c est un homme qui marche »
Avec Macron, Paul !
MF Garraud est tombée du côté où elle penchait déjà du temps de De Gaulle, vers un pèlerinage à l’ile d’Yeu avec la fille du borgne.
« Après tout, il n’est pas d’ici. »
Le Clezio a Nice dans ses gènes, béréNice !
« Lorsque j’ai commencé à fréquenter les salles de cinéma, à l’âge de seize ou dix-sept ans, je suis entré dans un cycle qui m’a apporté beaucoup de plaisir et d’émotions. C’était à Nice, qui à l’époque s’enorgueillissait de posséder cinquante salles de cinéma. Il y en avait pour tous les goûts, pour tous les prix, pour tous les quartiers. J’allais au cinéma jusqu’à deux ou trois fois par jour. On m’objectera qu’il fallait avoir les moyens. C’était une autre époque. Certains cinémas (il en sera question plus loin) étaient de véritables théâtres, présentaient les films récents, hollywoodiens. Cinémascopes et Eastmancolor, et drainaient les spectateurs les plus fortunés de cette ville, qui s’endimanchaient comme pour aller au théâtre. Toutefois, les six premiers rangs étaient généralement bradés à des prix dérisoires, au cours des matinées. C’est là que j’ai vu nombre de péplums, les westerns récents, Autant en emporte le vent, Pain, amour et fantaisie, ou Les Diaboliques. Les amateurs désargentés pouvaient opter pour les cinémas de quartier. Chacun avait son public : les Gitans – très nombreux à Nice à l’époque – allaient au Politéama, ou au cinéma du Pin, ou de la Tour, dans la vieille ville. On y donnait des films populaires, les Maciste, les films de guerre (Audie Murphy), dans une ambiance houleuse. Le cône de lumière dont parle Barthes était la plupart du temps fracturé par la fumée des cigarettes qui montait des premiers rangs et s’interposait devant l’écran. J’ai vu des passages entiers de certains films projetés sur ce brouillard lumineux qui leur conférait une apparence fantasmagorique, voire diabolique. Des bagarres éclataient, le film était interrompu, les lumières rallumées, le temps d’un contrôle de police. Au Cinéac – le cinéma fréquenté par Gilles Jacob –, on pouvait voir pour une somme dérisoire les anciens succès. C’est là que j’ai vu Orson Welles pour la première fois dans La soif du mal (Touch of Evil, de 1958), avant d’aller voir au ciné-club ses chefs-d’œuvre, La Splendeur des Amberson, Citizen Kane, Le Procès. Mais aussi toute la série des Lemmy Caution – sauf Alphaville, sa dernière aventure mise en scène par Jean-Luc Godard. Les incontournables du cinéma français : L’assassin habite au 21 de Clouzot, Quai des brumes de Marcel Carné, Pépé le Moko de Julien Duvivier…
Certains cinémas étaient spécialisés : le ciné Edouard-VII projetait exclusivement des films d’horreur, puis, quand la mode a passé, des films dits « érotiques ». Le cinéma Barla, des films de muscles, généralement italiens – outre Maciste déjà cité (Maciste contre les monstres), Hercule (Hercule se déchaîne). Le Mondial (la grande salle aux petits prix) permettait de voir en permanent les grands Américains, John Ford, Huston, Elia Kazan, Peckinpah, Aldrich, Cukor, Capra, Minnelli, Hitchcock. Le Magnan, presque en dehors de la ville, permettait à ceux qui les avaient manqués de voir les succès commerciaux vieux de deux ou trois ans, déjà sombrés dans l’oubli. Mais le cinéma que je fréquentais le plus, c’était le Saint-Maurice, perché sur les hauts de la ville, qui accueillait une fois par semaine le
Ciné-club Jean-Vigo
C’est là que j’ai vu la plupart des classiques. Le ciné-club, c’était une véritable institution à cette époque. C’était le temple de l’art cinématographique, servi par des cinéphiles dotés d’une vaste culture cinématographique, provenant de milieux très divers. On y trouvait des avocats tel Levamis, des profs de lycée tels Woeffel ou Salvetti, qui en constituaient le noyau dur ; gens souvent intransigeants, polémiques, ils oeuvraient avec dévouement à la formation d’une jeunesse qui pourrait un jour les remplacer et poursuivre leur combat. »
(« Ballaciner », éditions Gallimard, 2007)
Closer, je n’y connais pas grand-chose et la carte des conseils d’administrations des grandes entreprises montrent que des intérêts multiples sont mêlés à de nombreuses filiales, on retrouvent les mêmes noms, le capital est composite et une entreprise qui produit en France n’appartient plus majoritairement à des actionnaires locaux, dans ces conditions il est facile d’obtenir des accords de délocalisation, dans le cas d’Alstom c’est Bouygues qui avait besoin de céder ses 30% de parts.Les PME pour forcir et perdurer devraient prioritairement bénéficier des plans d’aide qui sont proposés car elles connaissent des difficultés à l’investissement et sont sujettes aux même durcissement des conditions d’existence en rapport avec la mondialisation du marché que les grands groupes or les mêmes aides sont attribuées à tous et paradoxalement plus les entreprises sont grandes et donc plus solides plus elles reçoivent d’aide de l’état. Arcelor a déménagé parce que le cours de l’acier est en baisse et qu’il lui fallait choisir et fermer certaines de ses usines,; un tas de facteurs interviennent dans la survie ou la fermeture , le coût du travail en France est trop élevé, allez dire cela à un ouvrier qui gagne péniblement un peu plus que le salaire minimum! Les entreprises délocalisent même quand elles réalisent de sérieux bénéfices pour en faire de plus gros dans des pays où la main-d’oeuvre est bon marché.Il faut baisser les charges, certes: on baisse les charges qui garantissent la santé, les retraites pa exemple, qu’en résultera -t-il logiquement? Les prises en charge et les retraites seront moins élevées également. Alors je ne sais trop à quelles charges EM veut s’attaquer mais il serait bon qu’il précise. Ce que je retiens de ses différentes interventions est qu’il n’explique précisément jamais comment il compte obtenir les résultats des actions qu’ils projette de mener. Le comment se fait attendre sur de nombreux points de son programme hormis pour la réforme du code du travail pour laquelle il est possible d’en avoir d’ores et déja une idée .
Je signale qu’un projet de décret va bientôt empêcher les adeptes des coyotes et autres détecteurs de radars de faire les marioles sur la route censé épargner quelques vies et ajouter quelques recettes dans l’escarcelle de l’Etat. Reste à savoir si le nouveau gouvernement Macron-LePen le reprendra à son compte. Et là, ben c pas gagné, Serdgio.
(préfiguration) Le projet de décret vise à interdire la diffusion, au sein de tout service électronique d’aide à la conduite ou à la navigation (notamment : applications smartphone, GPS, sites internet, réseaux sociaux), de tout message ou indication permettant aux usagers de ce service de connaître la localisation des forces de l’ordre dans certains périmètres et susceptible de nuire à l’efficacité des opérations de police administrative de sécurité routière ou des opérations de police judiciaire réalisées. Ces périmètres, communiqués par le Gouvernement aux exploitants de ces services électroniques, seront ceux où auront lieu certains contrôles sensibles, notamment dans le cadre de la lutte contre le terrorisme ou la criminalité organisée, d’actions de sécurité routière, de la recherche de détenus évadés ou de personnes enlevées. Ces périmètres ne couvriront donc que les contrôles les plus sensibles et ne pourront s’étendre sur plus de vingt kilomètres. L’interdiction ne pourra dépasser vingt-quatre heures. Pour ce faire, un article R. 131-1 est créé par le projet décret dans le code de la route. Une sanction (contravention de la cinquième classe) est prévue pour les exploitants qui ne respecteraient pas ces nouvelles dispositions ». (Gazette des communes).
Non merci, pr le tweet qui voudrait nous faire curioser la bibli de la mémé de Manu. Je ne me sens pas du tout concernée par cette invitation chez Manu, à la bibli de la rotonde.
A Oradour, j’y suis allée il y a pile 30 ans. Et vous .?
« Comment le camp Macron veut réactiver le réflexe républicain contre le FN en invoquant le nazisme »
Comment peuvent-ils espérer que ce genre d’exagération ridicule (Delanoë fait de même) puisse déplacer une seule voix dans le sens qu’ils souhaitent?
Nous sommes à l’Institut Bartabacs de Porquerolles, vivier d’intellectuels dynamiques, en train de travailler, tous ensemble, sur un nouveau concept proche du Think Tank à l’ancienne : le Think Drink à table.
On en sort….
Nos conclusions sont simples, saines efficaces : foutez vous complètement de ces élections à la Macron, pièges à crons ! Laissez tomber le choix du primate ! Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain …etc etc …
Janssen, d’après moi la présence de Macron au deuxième tour est le résultat d’un coup d’état. Les socialistes et Hollande ont bourré les urnes de leurs primaires pour pouvoir présenter un candidat qui n’aurait aucune chance. Tout cela à fin de dézinguer l’aile gauche du PS et de condamner le pays au néo-libéralisme (c’est à dire à l’ultra-libéralisme) et à la dictature de la commission européenne à la tête de laquelle Hollande espère bien s’installer sous peu. C’est donc bien un coup d’état. Libre à ceux qui accepteront de le légitimer de le faire. Mais il y a aussi un moment où il faut savoir dire non.
« Ce que je retiens de ses différentes interventions est qu’il n’explique précisément jamais comment il compte obtenir les résultats des actions qu’ils projette de mener. »
Là, you have a point Bérénice!
La photo aurait été parfaite et je l’aurais bien crochetée chez moi si on y avait enlevé les deux tableaux et la lampe. Car a-t-on jamais vu une composition aussi savamment nulle ? Je crois que gracq, au costume impeccable, avait exigé d’apparaître ainsi au milieu de ses 3 objets familiers. Enlevez-les, et vous verrez mieux apparaître le sourire de julien prunier derrière son discret bec de lièvre. Assurément, il aurait voté macron sans tout cet encombrant fatras. Mais avec lui, il aurait voté martine.
Autre élément du « coup d’état », Chaloux, le dézingage de Fillon, qui n’a pu se préparer qu’à Bercy, puisque c’est là que se trouvent toutes les infos nécessaires à la constitution d’un dossier de cette ampleur et de cette précision: il faut consulter toutes les déclarations fiscales de la famille sur 25 ans!.
Mais je comprends que vous n’en parliez pas…
Le Vieux sur la montagne, Jean-Marie La Pine, a raison : on a plus célébré la vie invertie du policier tué que sa fonction régalienne.
La faute au discours ému de sa veuve ?…. Ah les femmes ! … C’était l’inverse ? scusi !
Pour Fillon, vous avez tout à fait raison, Closer, sa chute faisait partie du programme. Une chute acceptable pour les marchés et la commission puisque Macron va faire bien pire. Après quoi, Hollande se présentera à la présidence de la commission européenne comme un rempart contre l’extrême-droite, ce qu’il n’est pas. La suite promet quelques rebondissements amusants.
« Aimez vous les uns les autres ! » (Evangile selon Saint Jean 13-34)
Version plus récente : « Enfilez vous les uns les autres ! » (Evangile selon Beauvau)
Oui Chaloux c’est bien ce qui était prévu.
Seulement ce n’est pas ce qui va arriver. Tout l’astral, qui comprend les siècles des siècles, ne cesse de me le dire.
Sergio, sans l’apport de l’immigration elle pourrait vieillir prématurément comme d’ailleurs le France qui s’enorgueillit du taux de natalité le plus élevé de tous les pays d’Europe. Ce n’est pas nouveau, dans les années 90 il en était dejà ainsi, je me souviens avoir confié ironiquement ce genre d’idée à un médecin français mais noir de peau, heureusement qu’ils sont là pour rajeunir la démographie. Je discutais récemment avec une assistante maternelle sur le pourcentage d’enfants issus de l’immigration dans notre coin de France et le situait à 70% , ce à quoi elle contraria ma réponse par un 90% en déplorant de plus le niveau d’éducation de ces derniers , son fils unique bénéficiait d’un enseignement dans le secteur privé en dépit de son faible niveau de revenu.
Je suis bien plus inquiet pour le Pape François qui refuse la voiture blindée en Égypte. Là aussi l’Astral m’en cause mais de façon pas très positive.
« Tout l’astral, qui comprend les siècles des siècles, ne cesse de me le dire. »
y te téléphone tous les jours, D?
Le deal Hollande-Macron est là. Je te pousse vers l’Elysée et tu appuieras ma candidature à la commission. C’est cousu de fil blanc. La rue -le seul espace démocratique qui reste- mettra bon ordre à tout cela.
« elle contraria ma réponse par un 90% en déplorant de plus le niveau d’éducation de ces derniers , son fils unique bénéficiait d’un enseignement dans le secteur privé en dépit de son faible niveau de revenu. »
Ben oui, tu vois Béré, la quantité n’est pas tout…
Janssen J-J dit: 28 avril 2017 à 15 h 58 min
Et là, ben c pas gagné
Ca va ça vient… Avec l’Europe normalement on devrait être débarrassé de la limitation à cent chevaux (motos) ; en revanche on va se ramasser le contrôle technique ; c’est surtout ennuyeux pour la forme, personne ne s’amuse à rouler sur un rossignol en tous cas je l’ai jamais vu…
Moi l’oeuvre de Le Clézio, j’ai essayé de la lire et je l’ai vite jetée tellement elle est chante, bien pensante, convenue que c’en est puéril, du moins pour moi.
Je crois que j’ai allumé le feu de cheminée avec.
Bon débarras, qu’il se barre pour de bon !
iante
Je ne suis pas méchant, mais la provocation du Pape François en Egypte musulmane devrait se solder par la décapitation de sa suite (au coupe-ongles, si possible), et la crucifixion de l’Argentin de Roma !
ribouldingue, d’où la nécessité du brassage des populations afin que des exemples différents circulent, s’échangent. On apprend tout de même un peu de ses voisins, et cela donne aux enfants l’occasion d’avoir à découvrir un autre modèle que le modèle familial pour le meilleur.
« Delaporte qui allez vous critiquer »
En fait, j’aime surtout dire du bien, tresser des lauriers, mais les cas sont rares dans cette époque malheureuse, grossière, si absolument médiatique. Ceux qui trouvent tout bien sont de pauvres spectateurs hypnotisés par un spectacle pourrissant qui s’écroule. L’élection présidentielle en est le parfait exemple.
Le brassage de population ? La chienlit, quoi ! La chien au lit …
bérénice dit: 28 avril 2017 à 16 h 24 min
heureusement qu’ils sont là pour rajeunir la démographie.
Juste, comme disait mon prof d’allemand en écoutant nos pauvres subjonctifs…
Ce que je comprends pas, moi, c’est qu’il n’y ait pas plus de métissage ; pourtant j’ai dans mon entourage, et en plusieurs exemplaires, et des fanatiques des Asiatiques, et des Africaines !
Le pape François montre son courage surhumain, en faisant cette visite en Egypte. Cet infatigable médiateur de la paix fait admirablement son boulot.
Ne lisez pas LE CLEZIO ! Lisez les bons, baurdel de culte de naine chauve unijambiste, violoniste manchote ! ! Y en a des tapées, des bons ! Plus que vous ne pourrez en lire …….
Il y a beaucoup de gens, y compris sur ce blog, qui ont l’esprit à l’envers ou de travers : ils disent du bien de Polanski et du mal du pape François.
« d’avoir à découvrir un autre modèle que le modèle familial pour le meilleur. »
Et pourquoi pas pour le pire? L’un des préjugés les plus absurdes sur le brassage des cultures est que le meilleur en sort nécessairement. Quand l’une des cultures est salafiste, il n’en sort généralement pas le meilleur, c’est le moins que l’on puisse dire.
Il n’y a rigoureusement aucune raison pour que le bon subsiste et que le mauvais disparaisse, comme par enchantement.
Chaque fois que je lis les commentaires politiques de Chaloux, je ne peux pas m’empêcher de sourire. La notion de coup d’état prend une tournure avec lui, mes chéris, faut voir ça !
@16.04 J’avais bien compris votre attitude qui se tient… jusqu’à un certain point. Mais je trouve que votre hypothèse complotiste, cher monsieur Chaloux, courageux animateur de l’anti wgg-isme devant l’Eternel, reste bien trop complexe pour présenter une quelconque crédibilité scientifique, et vous le savez bien. Mais comme vous êtes un homme par ailleurs très finement cultivé politiquement, souvenez-vous que la somme aléatoire des petits calculs conspiratoires antipodiques des différentes chapelles en présence peut parfois produire des effets de compositions congruents tout à fait inattendus (en l’occurrence, la promotion de l’infect p’tit makron au 1er rang). Le problème est que l’on ne peut pas déduire de ce type de phénomènes une attitude analogue à la vôtre face (donc à l’échelle individuelle) face au 2e tour sans voir qu’elle arrange d’abord votre intense besoin de rationaliser une mauvaise conscience de futur abstentionniste bien compréhensible. Laquelle consiste à anticiper les effets pervers d’un vote blanc à caractère punitif vis-à-vis de ceux qui auraient trompé vos fondamentaux de gauche, en acceptant qu’ils soient punis de leurs traitrises par les funestes conséquences d’un abstentionnisme massif, tout en s’en désolidarisant par avance dans son coin.
Il faut hélas trouver autre chose à ce ponce-pilatisme de ressentiment, et j’avoue que ce n’est pas simple pour moi non plus, car je suis également pris dans les abysses de telles contradictions comme beaucoup des compatriotes de notre génération. (Je note bien moins d’états d’âme chez ces jeunes lycéens qui découvrent la vie politique en brandissant le bandeau « ni macron ni le pen » -à leur âge, nous eussions fait de même !-).
brefl, on va sans doute y arriver, mais pas sur la base de votre attitude, ni de celle des jmenfoutistes de pq, en réalité de vraies racailles fascistoïde avec lesquelles il n’est pas possible de se solidariser à défaut de se comparer. Non, nous ne sommes pas comme ça, icite.
Peut-être conviendrait-il de méditer une fois de plus les vertus prophétiques de la littérature, je pense à l’impayable roman de ian mc ewan qui raconte la stratégie du fœtus sur le point de naître, allant tout mettre en œuvre pour prévenir le complot ourdi par la parturiente et son amant, futur assassin du papa, afin pour lui de naître dans un monde possible, bien qu’il ait fortement douté de vouloir y apparaître,vu ce qui s’y annonce.
Et donc, je préfère ne pas vous raconter la chute, un véritable plaisir, car pour ce qui nous concerne, la nôtre n’est pas encore écrite, elle reste encore à inventer collectivement, nous avons 9 jours et 5 ans en principe devant nous.
C’est un sacerdoce, pas un boulot, Delaporte. Bon sang, il faut vous reprendre à tous bouts de champ.
Vous avez de bonnes intentions à la base, néanmoins.
« Ce n’est pas la première fois que ce Delaporte bave sur Polanski »
Non, et ce ne sera pas la dernière non plus. Je sais, moi, où est le bien et le mal. Dostoïevski nous l’a appris en mettant en scène le viol d’une petite fille. Je ne « bave » pas sur Polanski, je dis ce que tout le monde devrait en penser si ce public n’était pas constamment ébloui et induit en erreur par les feux délétères du spectacle.
C’est normal, Polanski baise et met au monde des enfants merveilleux avec une femme adorable, pas le pape François ! Polanski a un destin tragique de persécuté derrière lui, persécuté en Polgogne, persécuté aux Etats-Unis, persécuté par ce gros coOnnard de Delaporte, comme un paria de juif, pas François !
Oui, c’est bien ce qui te définit en effet, mon brave coOnnard de Delaporte, c’est que tu crois savoir où est le bien et le mal ! Là est ton travers de fanatique pourri.
. Mais il y a aussi un moment où il faut savoir dire non. Chaloux.
Oui? vous même en dehors des économies drastiques que vous imposez, vous dites non à la tentation du mal, aux excès, au stupre, aux bouquets printaniers, au promenade à cheval ou à vélo, vous renoncez facilement à la perplexité d’un auditoire pas tout fait conquis, au plaisir d’un excellent menu le soir le long des golfs clairs?
Prenez exemple sur JC. Il est très rares qu’on ait à le reprendre.
Chez lui, tout se tient magnifiquement dans l’immense la grande majorité souvent assez des cas parfois : idées, structuration du discours, vocabulaire, choix des citations.
Savoir où est le bien et le mal, c’est la base de la morale, mais cela vous échappe, mon pauvre Wgg, pris que vous êtes dans un confusionnisme aliénant, qui vous rend du reste malheureux et plein d’amertume. Pour avoir comme idole un Polanski, il faut être particulièrement dépravé, et sourd aux premiers éléments du bon sens humain. Et dire qu’un type comme vous a pour métier l’instruction des enfants. Mais c’est le monde à l’envers !!!
On peut trouver plus « con » que JJJ mais il faut s’inscrire au Parti des Abrutis entretenus par l’Etat.
Bérénice, si la France est dans l’état où elle est aujourd’hui c’est à cause du vote de gens comme vous depuis quarante ans. Je ne comprends pas qu’au lieu de faire amande honorable vous persistiez
golfes mais je vous vois bien en adepte du golf.
Je ne vais pas voter pour des gens qui sont suivis par des fachos ou des cons, merci bien.
Polanski est libre, à juste titre : on* a apporté une jeune chevrette au bouc bien connu dont la fonction première est d’accepter les cadeaux de grande fraicheur…
*(la propre mère de la chevrette)
Pope François est croyant. Il fait partie de ces imams qui posent question : à quoi rêvent ils, ces travailleurs du fraternel, les nuits chaudes où la mentule incrédule ondule ?….
D comme souvent j’éprouve ce sentiment d’être la juive de service, vous devriez comprendre.
Les gens qui, comme Wgg, défendent Polanski, violeur d’une adolescente, fugitif depuis quarante ans de la loi américaine, devraient recevoir un avertissement, et, s’ils ont des contacts dans leur profession avec des enfants, en être définitivement radiés. Voilà le bon sens, tout simplement !
Delaporte vous n’êtes qu’un horribl et gros cornard qui pullulent dans ce malheureux pays rendu au bout du rouleau avec des énormes gros coOnnards de votre espèce infatigable…
« Delaporte vous n’êtes qu’un horribl et gros cornard… »
Wgg, vous êtes à bout face à mes arguments. Moi, je ne vous insulte pas, je propose simplement que vous soyez radié de l’Education nationale. C’est tout.
Argument…???? Sait-il seulement ce qu’est un argument ce gros cornard de Delaporte. Le franchouillard type ! Dupont La Joie, quoi !
S’il est élu il pourra dire merci à la grosse nase (vos g.ueules la folle des bois et l’alcolo)
Incroyable ce qu’elle se prend au sérieux pour dire des banalités la pauvre bérénice distillée dans son verre
Manifestement, ce pauvre Wgg ne sait pas se contrôler. En voilà, un exemple pour la jeunesse !?!
wgg et delaporte, allez donc faire un peu de vélo électrique en sologne ensemble, il en sortira bien un consensus de vue judéo-chrétien sur heidegger, polanski et la défense de l’islam soufi par un manuel macron coaché par jacques attali.
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