Vraiment, la France fut le laboratoire du fascisme ?
Pour une fois, on ne reprochera pas à un intellectuel de s’être résigné au livre d’entretien sur « saviesonoeuvre » en lieu et place de Mémoires dûment sortis de sa plume même. D’abord parce que, eu égard à la matière brassée par ses recherches, à l’extrême diversité de ses sources, à son érudition souvent impressionnante mais touffue, à la complexité théorique qui y est parfois à l’œuvre, il n’est pas toujours aisé de suivre Zeev Sternhell dans ses raisonnements ; d’autre part parce qu’il ne s’est jamais considéré comme un écrivain d’histoire ; enfin parce que ses thèses sur le nationalisme français ayant souvent suscité des controverses, du moins en France, il était de bon augure qu’un interlocuteur le poussât dans ses retranchements. Voilà pourquoi Histoire et Lumières. Changer le monde par la raison (361 pages, Albin Michel), recueil d’entretiens de l’historien israélien avec le journaliste du Monde Nicolas Weill, était espéré et attendu. Cette longue conversation, dont on ne doute pas qu’elle a été longuement réécrite et peaufinée par son auteur, savant d’une grande précision et d’une rigueur certaine, était la forme la plus adaptée pour populariser sa vision du monde.
Dans sa dimension purement autobiographique, le livre est passionnant. On y découvre dans toutes ses nuances la matrice d’une pensée. Car il est difficile, pour lui comme pour tout autre, de dissocier ses engagements d’universitaire et d’intellectuel de son cheminement intime. Né en 1935 dans une famille juive de la grande bourgeoisie de la région de Cracovie, tôt orphelin de parents qui furent déportés, réfugié auprès de sa famille à Avignon pendant la guerre, il a conservé de ce temps-là un « sentiment de solitude » qui ne l’a pas quitté durant toute son enfance et sa jeunesse. Même s’il a fondé une famille par la suite, il en est resté quelque chose en lui, dans sa solitude de chercheur. C’est en prenant acte de ce trait de caractère qu’il a renoncé à faire de la politique après avoir inspiré la création du parti Meretz et cofondé le mouvement La Paix maintenant : « Je me suis rendu compte que je ne pouvais réussir que là où je ne dépendais que de moi-même » explique-t-il.
Le fameux procès que lui intenta Bertrand de Jouvenel, après sa mise en cause dans Ni droite, ni gauche (1983) n’aurait pas probablement pas eu lieu si Sternhell lui avait rendu visite avant pour l’interroger sur son rapport à l’Allemagne nazie ; or il veut s’en tenir aux textes dans leur jus et les analyser à l’abri de toute justification a posteriori. Il fuit les témoins de l’Histoire pour ne s’intéresser qu’à ce qu’ils ont écrit. Il va jusqu’à se méfier de l’empire que ses propres souvenirs d’enfance pourraient avoir sur la vie qu’il s’est construite ; c’est la raison pour laquelle il n’a pas vu Shoah, le film de de Claude Lanzmann. Le fait est qu’il travaille toujours en solitaire, ce qui n’est pas sans danger car cela peut aussi conduire à une forme d’autisme intellectuel. Il ne frotte son intelligence à celle des autres que dans les textes et le silence des bibliothèques, ou à la rigueur dans le cadre de colloques, réunions dont on sait qu’elles sont souvent des juxtapositions de monologues. Zeev Sternhell, qui vit à Jérusalem où il a longtemps dirigé le département de Sciences politiques de l’université hébraïque, n’est pas seulement, par sa seule volonté, un chercheur solitaire : il est géographiquement isolé de son terrain d’enquête et des bibliothèques et centres de recherches français, ce qui est particulièrement douloureux pour qui a, comme lui, le goût de l’archive. Mais cet isolement a des répercussions sur le plan intellectuel. Un tel parti pris méthodologique, qui se traduit par une absence d’empathie, reflète une absolue indifférence au facteur humain dans les engagements politiques. Loin de s’en défendre, il le revendique. Tout pour les idées !
Il est aussi déterminé dans son attitude « archisioniste » (en ce sens que les Juifs ne devaient plus être à la merci du bon vouloir d’autres peuples mais devaient fixer eux-mêmes leur destin) que dans son opposition radicale à la colonisation des territoires occupés en 1967 qu’il désigne comme « une plaie », « un cancer » et autres métaphores du même type, ce qui lui a valu un attentat terroriste d’un excité de Brooklyn à la porte de son domicile à Jérusalem. Ses pages sur sa fidélité désenchantée à la gauche israélienne, malgré un constat implacable sur sa déliquescence, ses trahisons et sa marginalisation, sa critique des inégalités croissantes en Israël, sont saisissantes d’authenticité.
Admirateur inconditionnel de la laïcité à la française (« une merveille »), tenant les bigots en horreur, il se définit comme un homme de gauche et un laïque absolu, la gauche des droits de l’Homme, de la Révolution française et de la Commune, depuis toujours, et certainement pour toujours ; car s’il y a bien un trait de caractère qui définit Zeev Sternhell, c’est sa constance en toutes choses ; il creuse le même sillon sur la durée et il faut vraiment un séisme intellectuel de très grande ampleur pour lui en faire creuser un autre.
Son expérience d’officier, les quatre guerres auxquelles il a participé, n’ont pas seulement solidifié sa force de caractère ; elle ont appris à l’historien en lui à établir la relativité des points de vue, à ne jamais accorder foi à une source, à se méfier des mémoires et des témoignages. Il se défie de toute historisation des événements qui n’aurait pour effet que de blanchir le nazisme, ce qui ne l’empêche pas de mêler son vécu à l’analyse :
« Il faut toujours se rappeler que chaque juif ayant survécu en Pologne a été aidé par quelqu’un, un catholique. On ne pouvait pas y parvenir tout seul »
Et la France ? C’est l’autre grand thème qui traverse de bout en bout cette autobiographie. La France, et non le fascisme français, en est le fil rouge. Après les années avignonnaises, l’émigration en Israël, un mémoire de maîtrise sur Tocqueville, quatre années d’assistanat à l’université hébraïque de Jérusalem, ce fut à 29 ans la rue Saint-Guillaume à Paris, Sciences Po, et la lecture par hasard des Déracinés qui font de Maurice Barrès « le père du roman politique français ». En y découvrant le culte de « la terre et les morts », il y entendit les échos de l’idéologie du « sang et du sol » (Blut und Boden) allemand. Il s’y jeta à rebours de la science politique empirique, persuadé, quant à lui, du primat des idées « à l’état pur », et donc hélas souvent débarrassées du contexte historique, elles seules permettant d’expliquer la politique. A force de vouloir remonter le plus loin possible en amont, il se construisit un strict cadre conceptuel ramenant tout aux Lumières, qu’on les adule ou qu’on les combatte, quitte à ce que la philosophie politique prenne le pas sur l’Histoire.
Il y a bien à ses yeux dans les élites européennes une tradition des Anti-Lumières qui court du XVIIIème siècle à la guerre froide, et même au-delà puisque le néo-conservatisme américain y est inclus, à la… lumière de laquelle il relit la critique radicale de la démocratie. Mais Sternhell a tellement tendance à remonter à cette source que non seulement il discrédite d’un revers de main les politologues qui ne le suivent pas sur ce chemin (« leur horizon ne remonte pas plus loin qu’une génération en arrière »), souvent par lui méprisés comme « historicistes », que son grand bond en arrière lui fait parfois négliger l’importance de la première guerre mondiale dans l’élaboration des totalitarismes. Tout historien des idées s’accordera avec lui pour trouver une cohérence entre d’un côté Voltaire, Rousseau, Condorcet, Montesquieu, Diderot, Kant et de l’autre, entre Burke, Herder, Taine, Renan, Croce, Spengler. Pour autant, tout débat politique doit-il se relire à l’aune de leur affrontement ? Il y a là quelque chose de binaire qui ne cadre pas avec la complexité, la richesse et la diversité des sources auxquelles le chercheur s’est abreuvé. Au moins a-t-il la bonne foi de reconnaître :
« Je parle de Lumières et d’Anti-Lumières comme de concepts. Je n’en fais pas des moments spécifiques de l’histoire européenne ou grecque. Cela non plus n’est pas toujours facile à comprendre… »
En effet… D’autant que tout à sa logique de démonstration conceptuelle, il nous entraîne sur le terrain des idées dans leur dimension la plus abstraite. (bizarrement, il n’associe le sacré et l’obéissance qu’à la religion, ce qui est pour le moins réducteur). On le suit avec un intérêt croissant lorsqu’il explique pourquoi il faut considérer la droite hostile aux Lumières comme étant elle-même révolutionnaire. Mais il élargit tant et si bien la perspective, incluant tant et tant d’éléments et de facteurs dans sa définition du fascisme, que l’on en vient à se demander plutôt qui n’a pas été fasciste. Les réflexions et les travaux d’Ernst Nolte et François Furet sont par lui balayés pour avoir privilégié la thèse d’un fascisme né en réaction à la révolution de 1917 et à la Grande guerre. S’il y revient souvent, au moins ne s’acharne-t-il pas contre eux, comme il le fait sur Raymond Aron ou Isaiah Berlin. Même le portrait de son ancien professeur de Science Po, Raoul Girardet, auquel il fut pourtant lié, est biaisé : avant d’être brièvement incarcéré en attendant son procès pour son activisme Algérie française, il le fut plus longuement sous l’Occupation ; si sa qualité de résistant avait été précisé, cela aurait rendu plus compréhensible qu’il n’avait « aucune nostalgie de Vichy », et pour cause !
En s’attaquant à l’ancien catéchisme de Science Po sur la question, à savoir que le fascisme fut un phénomène d’importation en France, quelque chose d’étranger à ses mœurs et ses traditions, il a pris le taureau par le cornes. Mais dans ces entretiens, il y revient plus vivement encore, dénonçant « le système de mandarinat français », dans lequel il voit un « réseau » solidaire et corporatif avec René Rémond aux manettes, englobant sans nuances la nébuleuse des historiens du contemporain de Sciences Po-Paris et de Paris X-Nanterre. Bref, une cabale à base de copinage ! Le grand patron de la politologie française aurait, selon lui, peu apprécié qu’à sa fameuse théorie des trois droites (légitimiste, orléaniste, bonapartiste), Sternhell ait osé rajouter une quatrième catégorie plus extrême : fasciste. Pierre Milza, Serge Berstein, Michel Winock auraient repris le flambeau de René Rémond en faisant bloc à la parution de Ni droite ni gauche. Ce qui vaut au dernier d’entre eux une mise en cause qui frôle la calomnie ; il l’accuse de déloyauté car celui-ci ayant été son éditeur, il n’aurait pas dû se démarquer de ses thèses en les critiquant dans un article du Débat ; or Michel Winock a toujours soutenu que son ami et auteur Sternhell l’avait libéré de ses obligations envers lui : « Tout cela est faux du début à la fin » polémique l’historien israélien ; à quoi Winock répond par anticipation dans une annexe de la réédition en poche de Nationalisme, antisémitisme et fascisme en France (503 pages, 11,50, Points/Seuil) qui vient de paraître, en y reproduisant la lettre de 15 avril 1983 dans laquelle Sternhell, justement…
Contrairement à ce qu’il veut croire, ce n’est pas parce qu’il est un historien étranger, et qu’il assène des vérités dérangeantes, que le milieu de ses collègues français y a parfois mal réagi ; l’américain Robert Paxton, dont les révélations en 1983 sur la France de Vichy étaient autrement plus perturbantes, a longtemps représenté chez nous la doxa sur le sujet ; en fait, si Sternhell fait problème en France comme en Israël, c’est aussi par sa forme, son expression, la radicalité de ses positions, sa méthodologie que Raymond Aron qualifia de « a-historique », son absence de doute et sa manière de récuser les thèses adverses ; et gageons qu’avec ce nouveau livre, particulièrement vif et nerveux, où des intellectuels comme Alfred Fabre-Luce et Bertrand de Jouvenel sont traités de pronazis, cela ne s’arrangera pas, ce dont il se moque bien. Lui n’en démord pas, volontiers provocateur, exhumant leurs articles et textes de l’époque quitte à se voir reprocher « le terrorisme des citations ».
Et il enfonce le clou sur les anciens combattants regroupés dans la ligue des Croix-de-feu, puis au sein du Parti social Français du colonel de La Rocque dont il persiste à vouloir faire un mouvement fasciste, en cela d’accord, comme il le fait remarquer, avec la totalité des historiens étrangers travaillant sur la question, et en contradiction avec nombre d’historiens français travaillant sur la même question, qui taxeraient plutôt ces mouvements de conservateurs ; ils se défendent de voir du fascisme partout où il y a une critique virulente de la république parlementaire ; la modélisation du fascisme par Zeev Sternhell est selon eux si vague, et surtout si généalogique et héréditaire, elle amalgame si facilement les antilibéraux, qu’elle inclut dans le lot beaucoup de monde, partis, mouvements, ligues et personnalités, de Esprit à l’Action française. Or à trop ouvrir le compas on risque de casser l’instrument. Malgré l’imprégnation fasciste de certaines élites des années 30, c’est tout de même le Front populaire qu’à cette époque, les Français ont porté au pouvoir. Il a fallu l’occupation de la France par l’armée allemande pour qu’une dictature s’y installe, ce que jamais Sternhell ne rappelle lorsqu’il compare les « fascismes » français et italien.
Reste à savoir ce qu’est au juste le fascisme. Un nationalisme avant tout, sans aucun doute, mais encore ? Contrairement à beaucoup d’autres, Zeev Sternhell n’inclut ni le parti unique, ni l’expansionnisme territorial parmi ses critères : dans le cas du premier, il y voit un instrument d’accès au pouvoir mais non d’exercice du pouvoir ; et on notera qu’il n’inclut pas davantage le déterminisme biologique. Quels critères alors ? La suppression des libertés publiques, la volonté de créer un homme nouveau sur les décombres de valeurs humanistes, la concentration de l’autorité dans les mains d’un chef, le rejet des principes des Lumières, de la démocratie, du socialisme marxiste et du libéralisme. Juste de quoi lui permettre d’affirmer que le régime de Vichy était fasciste, et que la France fut de longue date le berceau, la matrice, le laboratoire où fermentèrent les idées directrices des fascismes.
On voit par là que le débat est loin d’être clos ; encore faut-il s’entendre sur le sens des mots ; on s’en rend compte par exemple lorsqu’on l’entend dire que, dans la France d’aujourd’hui « l’extrême-droite se bat sur un terrain où elle excelle – la culture… » ce qui en surprendra plus d’un, attentif à l’actualité. Sur ce sujet, et sur quelques autres plus saillants, on aurait aimé d’ailleurs que son interlocuteur l’interrompe et le relance, quitte à le mettre face à ses contradictions. Le débat d’idées y aurait gagné en intensité ce qu’il aurait perdu en agressivité, accusations et insinuations contre les personnes, ce qui n’est pas digne d’un intellectuel et d’un homme de cette qualité. Cela aurait au moins eu pour effet de réduire la place accordée aux règlements de compte.
(« Le 6 février 1934, les ligues manifestent place de la Concorde » photo D.R.; « Zeev Sternhell » photo D.R.; « Manifestation du parti Franciste en 1933 » photo D.R.)
1 123 Réponses pour Vraiment, la France fut le laboratoire du fascisme ?
« Fragment de cadastre » recueil de poèmes de Deguy, lu quand j’étais en classe de philo m’a complètement émerveillé.
widergänger a raison.
Je crois que Deguy avait été marqué par les lectures de Heidegger, lui même grand lecteur de Hölderlin. Lire est désormais un exercice plus difficile et plus enrichissant qu’écrire.
« L’élite non carriériste ça n’existe quasiment pas. Je ne vois guère de J. Attali. »
c’est de l’humour juif.
– à un pilpoil près
tu m’impressionnes zouzou..tsahal t’embauche toudsuite !
Bien que toutes les gauches soient proches, intellectuellement veux-je dire, je suis à peu près certain que la gauche la plus conne du monde civilisé est israélienne.
Nous sommes d’accord : la droite la plus conne est française !
A 12H58,
Alba à la masse, Bouguereau con comme la lune. Rien ne se perd, rien se crée comme disait Lavoisier.
Moi, je ne sais plus comment faire avec TKT, vous comprenez. J’ai beau faire depuis plus de sept longues années de dur labeur à essayer d’inculquer à TKT les bases de ma généalogie, il n’y arrive pas. Je suis désespéré.
Alors, pour la enième fois :
Grand-père (Raphaël Alba) juif né dans la Pologne russe en 1876 à Raciaz à l’ouest de Varsovie (une bonne centaine de kilomètres). Emigration à Paris en 1905 à partir de Wloclawek. Installation à Paris comme tailleurs. En 1916, il s’installe au 63 bd Haussmann où il occupe pour sa maison de haute Couture trois étages avec un magasin au rez-de-chaussée. On parle de ses collections dans la presse, notamment dans Le Figaro (j’ai trois articles de l’époque).
Ma grand-mère née Rachel Marguerite Schneider à Odessa (jusqu’à plus ample informé Odessa ne se trouverait pas en Crimée) en 1886, sa sœur Selma en 1888 (toutes les deux parties en fumée à Birkenau en 1942). Ma grand-mère épouse mon grand-père à Paris à la mairie de Montmartre place Jules Joffrin et à la synagogue de la rue St-Isaure. Mon père naît en 1909 (oui, il m’a eu tardivement, ce qui explique peut-être les confusions de ce pauvre TKT car depuis 1876 le temps a passé… quoi qu’il ne passe pas…).
Voilà, mes chéris.
qui touche à la Fin (troisième majuscule), à l’eschatologie pour être pédant. La question est toujours de savoir où l’on va, comment on y va et comment tout ça va finir.
Je reste persuadée qu’une troisième guerre mondiale en raison des techniques en cours et employées qui ont remplacé le bois de chauffage ne peut avoir lieu, il n’y aura qu’une lente agonie, douloureuse essaimant des foyers guerriers et localisés, avec en toile de fond le délabrement inexorable des écosystèmes aboutissant à transformer le merveilleux parc qui nous fut donné en zone urbanisée peinant à contenir tant numériquement que pacifiquement une société où les clivages seront abrupts et sans nuances, avec quelques aires plus ou moins étendues où encloses des espèces animales survivront en souvenir de ce qui fut quand il sera possible d’avoir pu conserver les conditions à leur survie.
Bloom, je reviens d’un voyage en Californie, San Francisco et Los Angeles. Le concept d’Asia-Pacific fonctionne, la Californie devient de plus en plus une terre d’accueil pour les Asiatiques (idem pour le Canada, Vancouver, mais aussi Toronto ville asiatique), ouvre des horizons nouveaux pour la Culture de la cote ouest.
SFO et LAX sont toujours des villes juives.
La bourgeoisie relaxée de West L.A. mange des sushi, les restaurants français et italiens n’ont plus trop la cote. Hélas, dans un sens.
Dans un restaurant de sushi de Brentwood, ma famille zürichoise, me parlait d’une table en disant « tes cousins ». Je répondis, qu’il serait plus facile et rapide, dans les restaurants upgrade des quartiers ouest, de dénombrer les familles occidentales d’origine « vin et ostie ».
Dans ces deux villes, les grandes collections sont Juives. Sauf le LACMA, Mr. Hearst, grand collectionneur, idem pour Getty, ont laissé des collections qui comprennent soit du fake, pour Hearst, soit du mal restauré, pour Getty.
Ce qui est amusant dans les projets de Madame Le pen, c’est qu’au finish, en isolant la France, elle en ferait encore plus un musée. Je n’ai rien contre, j’aime les musées, les chateaux, mais, avec quels moyens le FN, entretiendrait le parc culturel national ?
Dear Passouline, vous étiez très bien hier dans le poste, sur les ondes de Radio France, lorsque vous avez aimablement recadré la vision crispée de Madame Paula Jacques sur les collaborateurs.
M’en vais lire votre notule à thème fascistoïde, qui ne va pas décrisper Madame Jacques.
Et ce n’est que la branche Paternelle, attention ! Dans cette branche il y a le frère de mon grand-père, qui a émigré en 1905 en Russie à Pskov. Il y a là trois enfants, deux cousines germaines russes de mon père et un cousin. Les deux cousines vivaient encore à Leningrad en 1985 de manière certaine. Le benjamin est certainement mort à la guerre.
Une autre branche venue d’Espagne (la cousine qui habite tantôt à Paris tantôt à Tel-Aviv ou à Jérusalem que j’ai retrouvé il y a maintenant quatre ou cinq ans grâce à mon blog) Jeanne, avait son grand-père qui s’appelait Abraham Alba (né en Pologne). Cette branche a fui l’Inquisition espagnole en émigrand d’abord en Turquie à Istanboul, puis en Russie, pour revenir vers l’Ouest en Pologne où son grand-père maternel est né vers 1888 par là. Sa mère s’appelait Esther Alba, elle a longtemps vécu au Magreb en Tunisie puis s’est remarié pour vivre à NY avec un galeriste newyorkais connu.
Du côté de ma mère, c’est du côté de la Charente-Maritime qu’il faut se reporter. Ma mère est née dans un petit hameau qui n’a même pas d’église en 1916 (mars) à Razour près du village de Champagne et de la petite ville de Pont-L’Abbé d’Arnoult qui possède une ravissante petite église romane du 12ème. Razour est probablement un mot viking… La mère de ma mère était couturière mais elle était de Razour comme tous ses frères et sœurs, où leurs parents nés vers 1860) vivaient dans une grande ferme à Razour en haut (comme on disait dans mon enfance). Ma mère est passée d’une France des terroirs à un mariage avec un juif qui ne se sentait pas du tout juif, mais profondément Français et Parisien, comme beaucoup de juifs assimilés de sa génération. Ma mère a fait le saut de l’Ange.
Je suis tout à fait de ton avis, JC, au sujetd e la gauche israélienne. Mais bon, on peut comprendre aussi. Ils ont simplement beaucoup de mal à devenir de vrais israéliens entourés d’Arabes. Ils se croient encore en Europe.
OK, Michel, j’ai bien lu. Donc les Alba anoblis du sud de la France, sont éradiqués ? Vous vous les inventiez avec le titre pour le chef de famille, de Comte. Éradiqué ?
Dommage, les Français adorent les titres et les vieilles armoiries.
Les Autrichiens aussi, mais plus masochistes, ils interdisent les particules et les titres, enfin officiellement.
TKT dit: 19 mai 2014 à 13 h 05 min
Z’avez compris quelque chose ?
Moi je cale.
Racias
Razour
Trés compliqué
C’est sûr, pour TKT tout est très compliqué… En polonais on prononce ratsionche.
TKT dit: 19 mai 2014 à 13 h 15 min
Donc les Alba anoblis du sud de la France, sont éradiqués ?
Ahah, pris sur le fait. C’était noté, enregistré.
On ne la lui fait pas, il veille.
@ Le tékatien pour tous dit:19 mai 2014 à 13 h 17:
JCouille, je m’adressais à Bloom, pas à vous.
D. a pleuré en écoutant Marine le Pen.
Et vous ? Oui, difficile quand sort un liquide de votre carcasse, de différencier entre petite et grosse commission.
Que diriez vous d’une nouvelle monnaie, Le billet Bleu Marine ?
Ou le FN, 10 000 FN vaudraient 1 € ?
Michel, non tout n’est pas compliqué, j’essaie toujours d’apprendre la bonne prononciation des noms propres. Même à La Jolla, San Diego.
Je n’en ai pas parlé pour ne pas ennuyer.
Mais en effet. Mes ancêtres juifs qui ont fui l’Inquisition vers 1457 se sont installés dans le Périgord, pas loin d’ailleurs de chez Montaigne. Là, ils ont prospéré, d’abord vignerons, ils sont devenus maire de Bergerac, avocats, procureur du roi. Et ils se sont convertis au calvinisme. Ils devaient être des Juifs marranes déjà en Espagne, hypothèse. Et ils ont été anoblis en 1638 (mon ancêtre qui était maire de Bergerac). Ils ont un blason qui est toujours vivant d’ailleurs parce qu’il a été adopté par une bourgade du Périgord avec celui des Lauzun dans le blason de la ville. Un de mes ancêtres a même été vicomte de Monbazillac, le grand château qui domine la plaine et produit ce si bon vin blanc. La branche du vicomte s’est éteinte vers 1730. Il s’était converti au catholicisme. Une autre, Lydie de Rochefort de Théobon, dont parle Madame de Sévigné dans quatre de ses lettres était aussi une de mes ancêtres rattachée à la famille Alba de mes ancêtres par sa grand-mère qui était d’Alba. Elle fut une des nombreuses maîtresses de Louis XIV. Elle s’est marié à un type connu de la Cour de Louis XIV. Elle était Jungfer de la Princesse Palatine à Versailles et une de ses plus intimes confidentes. La Princesse Palatine en parle dans nombre de ses lettres en termes très louangeurs comme une femme exceptionnelle, ainsi que Saint-Simon dans ses Mémoire, où il lui rend hommage à l’année de sa mort en 1709.
Cette branche, d’où je viens, est passée à Amsterdam après la révocation de l’Edit de Nantes en la personne du seigneur de Lespinassat (un château au sud de Bergerac, où mes ancêtres vivaient depuis 1457 ; mes ancêtres du Périgord possédaient cinq châteaux dans le Périgord dont celui immense de Monbazillac), qui était écuyer, il s’appelait Josué de Alba, seigneur de Lespinassat. C’est à Amsterdam, où des cousins avait déjà émigré, qu’ils se sont reconvertis au Judaïsme sans doute dans le courant messianique à Amsterdam à l’époque de Spinoza.
Voilà, voilà.
mais, avec quels moyens le FN, entretiendrait le parc culturel national ?
—
Vous savez, TKT, c’est une question qu’on peut poser à tous les partis, et au gouvernement actuel.
A l’international, la coopération décentralisée a encore un peu d’avenir, même si on s’aperçoit que les régions tournées vers l’étranger ne sont toujours les mêmes: PACA, Ile De France et un peu Pays de Loire (Septimanie nulle part…). Le reste regarde vers l’intérieur (en étant déjà à l’intérieur)…
Le Pacific Rim/ pourtour Pacifique est un lieu vaste et fascinant. On s’y sentira vraiment tout à fait à l’aise quand la came aura cessé de déglinguer Vancouver et Seattle, et que les motos japonaises sorties des garages de Fukikshima auront cessé de contaminer mortellement la zone de pêche des Kwatiutl…
A Bang Cock, essayez le buffet françois du Sofitel So: avec vu sur le parc Lumpini tout de jaune recouvert (les anti-Thaksin frère et soeur), c’est le sans sushi assuré.
@ Cardex dit19 mai 2014 à 13 h 25: JCouille, non les fichiers c’est vous et D.bile. Pas besoin de me faire une fiche, pour me rappeler l’histoire inventée, donc, des Alba, Comtes en Provence. Par contre, oui, j’ai bien un fichier words, des commentaires illégaux de D.bile. Je n’ai jamais encore copier coller les votres. Vous êtes de la merde, mais plus retenue que Pathos Connemara D.
Soit, vous êtes moins alcoolisé, soit il y a 25 ans, vous aviez encore des neurones en bon état. Il vous en resterait quelque chose ?
Franchement, Cardex, c’est ringard, vous n’avez jamais travaillé sur un ordinateur ? C’est quand même bien, vous avez 95 ans, et vous savez connenter à l’aide d’un clavier.
ne sont toujours les mêmes = sont toujours….
TKT dit: 19 mai 2014 à 13 h 27 min
Mais Thierry en quoi serai-je lepeniste ou mariniste en essayant seulement de comprendre et traduire votre divine pensée, parfois il faut le dire un peu ésotérique.
Pour vous rassurer je n’ai absolument aucune affinité avec le borgne et sa famille, par ailleurs je n’habite pas en région PACA et suis malade sur la plus petite embarcation, je n’ai ni 54 ni 92 ans et ne connait Melun que pour l’avoir traversé une fois.
Ah, je ne suis pas comptable.
Voilà pour vos fiches.
Bonne mise à jour.
En somme, Bloom, aujourd’hui ça pourrait être Perpignan.
—
Ou Vesoul.
La solution finale ne règle pas le problème
Un peu limite celle-là, Barozzi… Ce qui m’étonne c’est que ça vienne de vous, qui êtes classé à gauche, vous à qui on confierait les yeux fermés son petit garçon.
vous à qui on confierait les yeux fermés
un peu limite là 1note
Bloom, je n’ai pas de projet de voyage en Thaïlande. En septembre, je vais passer quelques jours à Singapore (j’y connais une bonne pizzeria, un bon bistro français et Dim Tai Fung) puis, dix jours à Lombok.
Je n’aime pas les buffets, quand c’est bon, on y mange trop.
C’est rarement bon.
La cuisine thaïlandaise peut être très bonne, en dehors de la Thaïlande, on vous vend souvent des plats chinois pour des plats thaïlandais, les membres de la diaspora sino-thaï, devenus restaurateurs, affichent souvent « Restaurant Thaï ».
c’est le sans sushi assuré
mangue et saintémil
difficile quand sort un liquide de votre carcasse, de différencier entre petite et grosse commission
toi aussi t’es un peu limite là vontraube..
JCouille le D.bile: Oui je sais, vous voudriez nous donner le mal-de-mer.
Bien entendu, vous êtes multiple et chacune de vos interventions sont uniques et jamais répétées. La vérité, que D. et vous, JCulé, soient deux personnes faux-jumeaux, c’est possible. Le contenu de vos connentaires reste ce qui reste quand on a enlevé le fumier, que du négatif.
Le problème du fascisme, c’est qu’on en a tous un bout dedans inside. Donc il faut sortir de l’identité c’est le meilleur moyen d’y réchapper…
Je n’aime pas les buffets, quand c’est bon, on y mange trop.
C’est rarement bon
sapré vontraube..
t’es superlimite là sergio..
Photo 1
Le mec à droite est Alain Geismar.
Je suis comme vous, je suis absolument stupéfait.
Photo 2
Manager du Stade Toulousain.
(Allez vérifier avant de m’emmerder).
Photo 3
Pourquoi ce vert?
En ce temps-là, la Marseillaise de Rude était moisie.
Donc il faut sortir de l’identité c’est le meilleur moyen d’y réchapper…
donc tu veux dire que dracul est consanguin pédophile et toi on te doit donner du messire par cy et du excellence par là
mangue et saintémil
Yep, Saint Emimile-coulez-pour-nous et Mangue rhino, avec sa petite corne noire…
Bon y a aussi de la charcuterie klassich und lecker…
Pourquoi ce vert?
geismar etait d’alkaïda..va vérifier
…Alain Geismar.
—
Qu’irait faire l’Alain Specteur Général de Maths dans zette kalère…
TKT dit: 19 mai 2014 à 13 h 37 min
@ Cardex
TKT, merci mettre vos fiches à jour, je ne suis ni D. ni JC., je ne connais aucun extra-terrestre, ne vais pas la messe du dimanche et ne suis pas docteur en maths.
Vous voyez comme Michel je vous dis tout.
« un fichier words ».
Vous êtes sûr de maîtriser l’informatique ?
JCardex, quand vous changez de pseudo, changez de refrain.
Bref, au cabaret, vous êtes travesti multi-emploi ?
bouguereau dit: 19 mai 2014 à 13 h 55 min
t’es superlimite là
Ha mais il y a pire ! Dans ma rue, il y a énormément de voisins : et alors tous, ils le sont. Mais pas modérément moyennement ou quoi ou qu’est-ce, non, à la puissance quarante mille. Ca se voit tout de suite comme ils sont faits ou à mater tout le temps… Ha les rats ! Et pas question de leur filer de l’Hugo Boss, hein ! Sont beaucoup trop laids ils défigureraient…
ueda dit: 19 mai 2014 à 13 h 56 min
Photo 2
Le toulousain cours plus vite.
« geismar etait d’alkaïda..va vérifier »
Des voyous!
Et ne me parle pas de ses potes, Daniel Bandit et Jacques Sauvageon.
vous êtes travesti multi-emploi ?
une chemise jaune sur un T-shirt, un pantalon rouge, des mocassins à glands.
Bonjour, les petits zenfants, c’est tonton Thierry.
Actualité
Européennes 2014
Européennes : Alain Delon dans le clip de Christine Boutin
au départ j’avais lu « dans le slip » j’ai eu peur!
Bon mais la terre elle ment pas mais les morts, eux, qu’est-ce qu’on leur fait pas dire…
Sergio, vous êtes un sage.
Le parti franciste ? D’où ça surgit, ça, encore ?
TKT dit: 19 mai 2014 à 13 h 49 min
je n’ai pas de projet de voyage en Thaïlande.
Non seulement il nous bassine avec ce qu’il fait mais maintenant il compte augmenter la dose avec ce qu’il ne fait pas.
Dur.
Bon, maintenant il faut mettre en ligne son arbre généalogique, et puis quoi encore ?
Il faut un ‘s’ à fascisme = les fascismes.
Point commun: ordre militaire, rejet de la démocratie, des morts hais (les autres), adulés (les siens), des bouc émissaires, complexe de la double crêpe: celui qui écrase les autres s’applatit devant les plus puissants que lui.
Repas dominical.
Nous sommes une famille unie soudée autour de la misère du monde. Mes quatre fils ont mis la table. Ils n’oublient de mettre l’assiette du juif inconnu, sinon gare à eux.
Après le bénédicité, ils pourront prendre leur fourchette et attaquer le rôti, mais pas avant d’en avoir demandé la permission à l’invité muet devant son assiette pleine. Un hochement de ma tête sera son acquiescement.
Nous entamons le repas dans un silence de mort. L’instant paisible du recueillement. Soudain, Paul, le plus bavard, dit :
– Il y a de grandes injustices sur terre. L’oncle Adolf se trompait parfois. J’ai ouï dire que certains personnes qui n’étaient pas de confession juive, se sont fait déporter parce qu’ils avaient le nez crochu.
Mon sang n’a fait qu’un tour. Je lui ai envoyé un vat’navet qui lui a laissé la marque de mes cinq doigts sur la joue.
– On ne parle pas la bouche plein, lui ai-je dis.
Et il recraché le morceau de viande avec trois dents.
Pierre le plus timide, s’est mis à chanter « Shoa, shoa quand tu nous tiens ». J’avais trop mal à la main pour lui faire subir le châtiment de son aîné. Je lui ai simplement dit : « Tu me copieras mille fois « J’ai honte d’être raciste ». ». Il replongé son museau dans son assiette.
C’est alors que Jacques a dit avec beaucoup d’étonnement : « Pourquoi Sabra et Chatila n’ont pas d’assiette ? »
J’ai pris sur moi mais je me suis promis d’enlever mes enfants de l’école laïc où on ne cultive que l’intolérance.
Vint le tour de Charles-Albert, le plus jeune, un poète, mon petit préféré. Il a dit :
– Un copain à l’école
M’a posé une colle.
– Et qu’elle est cette colle ? lui fis-je versifiant à mon tour.
– Vois-tu la différence
Entre un wagon de juifs
Bondé jusqu’à l’outrance
Et celui de captifs
Grains de maïs de France.
– Non mon enfant. A cause de la couleur jaune ? Peut-être a-t-on affaire à des juifs chinois.
– Tu n’y es pas mon père
On voit bien, sans façon,
Que tu n’eus pas à faire
Le vide du wagon
De cette céréale
Avec, et c’est pas bon,
Une fourche…
Charles-Albert n’eut pas le temps de trouver une rime à céréale. Je lui envoyai une prune magistrale, ce qui indubitablement rimait, qui lui enfonça le nez dans les fosses nasales et faillit lui faire sortir l’œil gauche de son orbite pour aller jouer les pendules au bout de son nerf optique.
Je ne crois pas du tout à la notion de « laboratoire du fascisme », français, allemand, italien, espagnol, suisse ou monégasque … d’où sortirait un produit pharmaco-politique prêt à l’emploi dans les pays demandeurs.
Autant de pays, autant de cas particuliers… c’est l’histoire, culture, langue, climat, géographie, taille qui déterminent les particularismes de ce style de gouvernance communautaire. Observons rétroactivement que le fascisme communiste, soit disant « universel », a toujours été différent dans chacun des pays pourtant présentés comme « pays frères ».
Même le fascisme religieux est différent d’une nation à une autre.
Pour finir, la « société multiculturelle » malienne est à nouveau en ébullition : reprise des joyeusetés entre les frères Touaregs et les frères de la Négritude qui ne veulent pas leur donner la liberté d’une plus grande autonomie.
Vivre-ensemble n’est pas ce que l’on croit…!
De quoi cette obsession généalogique est-elle le nom, W ? Qu’est-ce que cela traduit chez vous ? La question se pose forcément un moment ou l’autre. On ne peut plus aborder la question de l’identité – juive ou autre – innocemment après tout ce qui s’est passé au XXe siècle. Or cette passion identitaire, même chez les Juifs les plus libéraux, cet » attachement viscéral » (charnel, dirait Péguy, donc hors de raison, hors des Lumières) à Israel finit immanquablement par poser problème… et pas seulement un problème métaphysique, abstrait, mais un problème concret, bien concret, terre à terre si j’ose dire, en ce qui concerne la politique israélienne…
Göering,
Toi aussi t’es un gros dégueulasse simiesque ! Si on ne peut plus dire qu’un ministre est un gros minable moche, où va t on ???
Je crois que le livre de Zeev Sterhell n’est possible aujourd’hui que parce que l’historiographie française vit dans le déni de l’existence d’un vrai fascisme français.
Il est bon qu’il existe un emmerdeur juif qui sonne le rappel face à toute cette pourriture d’historiens corrompus.
Voilà ce que je dis, moi, mes chéris ! Maintenant vous en penserez ce que vous voudrez… ou ce que vous pourrez.
keupu,
Ton copain Göering est un facho qui traite les fachos de fachos comme s’ils étaient des fachos antifachos ! Où on va là ? Où on va… ?
Je dirai plutôt attachement organique à Israël.
Je suis quasiment certain que mon grand-père russe n’était absolument pas attaché à Israël, qui n’existait alors que comme un pur fantasme. Il était profondément peut-être même hostile à l’idée d’Israël. Je n’en sais rien.
Mais aujourd’hui, les choses ont profondément changé, à cause justement de la Shoah et de ses conséquences. Israël compte énormément pour tout juif aujourd’hui, ou presque tous.
La politique israélienne, vous voulez désigner par là une toute petite partie en vérité de la politique israélienne, celle liée aux teritoires de Judée-Samarie. C’est très peu de choses en vérité du point de vue territorial.
Ce qui me pose problème à moi, c’est plutôt la politique de droite des gouvernements israéliens à l’égard des israéliens, le fait que la société isréalienne devient de plus en plus injuste, où la classe moyenne et les idéaux de départ, socialistes, tendent à se tarir. Ça c’est beaucoup plus grave à mes yeux que le problème des territoires.
Le grand danger qui menace Israël aujourd’hui, c’est la prétention et l’orgueil des gouvernements israéliens. La corruption aussi des gouvernants. Pas Netanyahou, mais Olmert qui va en taule.
JC….. dit: 19 mai 2014 à 16 h 19 min
Göering est un facho
Je crois qu’il s’en tamponnait un peu, non ? A part faire partie du casuel…
WDG j’ai trouvé cet appel à contribution pour lequel votre expérience en matière de généalogie pourrait etre utile, je vous le joins
http://www.fabula.org/actualites/histoires-de-famille-filiation-transmission-reinvention-family-stories-parentage-transmission-or_62933.php
Mon grand-père paternel était un truand, qui a passé l’essentiel de sa vie à la Santé. Mon grand-père maternel était un ouvrier journalier, qui faisait figure d’idiot du village.
Mon père était une petite frappe, qui a fait quelques coups avec le SAC et s’est fait dézinguer à l’issue d’un casse foireux. Ma mère était une bonne, mise sur le trottoir à 23 ans (i.e. deux ans après m’avoir donné naissance) par mon père.
Vous comprendrez donc que j’hésite à parler de ma généalogie.
@ renato dit:19 mai 2014 à 15 h 15: « Bon, maintenant il faut mettre en ligne son arbre généalogique, et puis quoi encore ? »:
Pourquoi pas, je peux y ajouter des photographies, prises dès les années 1860. Auquels s’ajouteraient d’autres portraits, plus anciens.
Le cousinage le plus plaisant, celui avec Tristan Bernard, autre Juif de Besançon descendant de Meinrad Kron, habitant de Witzenheim, village alsacien à quelques kilomètres de Phalsbourg.
J’ai même découvert dernièrement, un cousin acteur, né dans les années 60, garanti fils et petit-fils d’avocat, et arrière-petit-fils de Paul Kron, peintre post-expressioniste, grand marchand de produits métallurgiques et grand-marchand d’art spécialisé dans les faïences anciennes. Or cet acteur, joue la plupart du temps, des roles de voyou. Il jouait dans « La Haine ». Pourquoi s’intéresser à la généalogie ? Pour se persuader d’exister dans une lignée, c’est à dire, ne pas être le produit d’une génération spontanée.
Peintre de l’École française, rattaché par René Huyghe au courant qui joint le fauvisme à l’impressionnisme, mais qui resta toujours très indépendant, Paul Krôn est l’auteur d’une œuvre riche et dense qui comportait à sa mort quelques centaines de paysages, de marines et de natures mortes et de très nombreux dessins. Plusieurs critiques d’art du xxe siècle, et non des moindres, l’ont placé parmi les très grands artistes de l’époque en exaltant chez lui le « peintre de la lumière ».
Né le 18 mars 1869 à Besançon, dans le Doubs, de père alsacien et de mère champenoise, il avait huit ans quand sa famille vint habiter Lyon. Âgé de douze ans à la mort de son père, il dut quitter l’école et commencer à travailler. À treize ans, il se fractura la jambe en sautant dans un train en marche. Il mit à profit une longue période de convalescence pour reprendre ses études ; mais surtout, la souffrance physique et l’impossibilité de se mêler aux jeux de son âge exercèrent sur lui, même après sa guérison, une profonde influence. Très vite, le goût du dessin lui était venu et on ne devait plus jamais le voir sans un petit bout de crayon dont il se servait sans relâche.
« Il est bon qu’il existe un emmerdeur juif qui sonne le rappel face à toute cette pourriture d’historiens corrompus. » (ML)
C’est la photo 1.
« A bas les voleurs!
Historiens tous pourris!
Winock démission!
Milza complice! »
« La politique israélienne, vous voulez désigner par là une toute petite partie en vérité de la politique israélienne, celle liée aux territoires. C’est très peu de choses en vérité
Ce qui me pose problème à moi, c’est plutôt que la classe moyenne … Ça c’est beaucoup plus grave à mes yeux que le problème des territoires. »
Poulantzas aurait dit:
Normal, c’est l’expression d’un intérêt de classe.
Médié par la culture, hein.
Paul Krôn avec un accent circonflexe, désir de la prononciation germanique. Il signait Kron et aussi Krôn.
Le patronyme prononcé à la francophone, me parait assez laid; de tout temps, les connards se sont amusés à dire « kron sans r », comme quoi D.bile et J.Couille manque d’esprit de création.
Quelle famille !
16h43 n’y lisez aucune ironie, je m’adressais bel et bien à WDGG et pas à un mythomane.
Et Patrick Kron, aussi, est de votre famille, Thierry ?
Ah, mais ça n’explique pas pourquoi le type de droite (photo 1) semble pressé de rentrer chez lui !
1)Oh, j’ai laissé la cafetière sur le feu!
2)C’est pas tout mais Ginette a préparé un boeuf carottes.
3) L’Histoire, oui mais au calme!
Mais enfin, Bérénice ! Tu ne m’as pas reconnu ? C’est moi ! Ton mari !
Ce commentaire est très con :
Daaphnée dit: 19 mai 2014 à 17 h 05 min
16h25 C’est un phénomène général sauf qu’ailleurs la démographie se contient à l’intérieur des frontières et les états ne rencontrent pas le besoin d’aller puiser l’eau à l’extérieur pour arroser ses vergers. La politique de droite en Israël ne peut pas ne pas être liée à ces problèmes de territoire, elle la justifie plus qu’une autre le ferait.
4) sans vontraube on oublerait la grosse commission
Thierry perd de sa sagacité. Il ne m’a pas reconnu en OneNote.
@ le beau-frère de ueda dit: 19 mai 2014 à 17 h 04:
« Et Patrick Kron, aussi, est de votre famille, Thierry ? »
Non, ces parents arrivèrent de Russie (ou Pologne).
Malheureusement, non, mais magnifique carrière que celle de Patrick Kron.
Mais enfin, Bérénice ! Tu ne m’as pas reconnu ? C’est moi ! Ton mari !
J’ai avoué il y a peu l’avoir refroidi et conservé comme le droit le permet dans un congélateur en état de bon fonctionnement.
Ce commentaire est très con
Vous n’avez pas su choisir la bonne réponse.
Vous êtes éliminé.
c’est à dire, ne pas être le produit d’une génération spontanée
un gros tas de chiffons arrosé de calva et tenu au chaud donne un norchon dans des délais assez bref vontraube
Comme l’a dit Al-Kindi, ne jamais oublier que l’homo est simultanément sapiens et insipiens.
bouguereau dit: 19 mai 2014 à 17 h 08 min
Non, bouguereau, j’y ai pensé. Je m’en suis acquitté tout à l’heure, après mon goûter.
Bouguereau, dans votre famille (je ne parle pas de votre illustre Père, fils de famille Hanséate), on dit comment ?
JC….. dit: 19 mai 2014 à 16 h 19 min
Göering est un facho
retire ça tout de suite jicé !
Ce commentaire est très con 5 à L’adresse de Daaphnée)
Vous ne comprenez rien à la subtilité de son humour, tout en dans la chute un peu révisionniste.
Dans notre famille, monsieur von Traube, on dit bonjour, d’abord, et faire caca, tout simplement.
’une génération spontanée
En fait, peut-être que les enfants nés de parents vieux – voire ML – …
Remarquez, c’est vrai que le terme « spontané » suggère une vivacité exagérée, ici ..
bérénice dit: 19 mai 2014 à 17 h 16 min
L’adresse de Daaphnée)
113 rue Saint-Fargeau, Paris 20ème.
désolée, j’habite dans l’ouest de Paris ..
on dit comment ?
comme atali vontraube « je vais me lancer dans le big biznèce »
votre illustre Père, fils de famille Hanséate
Notre mère était fille de famille Acrobate et nous en sommes fiers.
CYBERATTAQUES depuis Shanghaï
Les hackers sont « basés principalement en Chine et le gouvernement chinois est tout à fait au courant de leurs activités », affirmait dans ce rapport la société Mandiant, qui est l’un des conseils du gouvernement américain en matière de sécurité informatique.
Ce rapport avait notamment mis en lumière le rôle d’un groupe, baptisé « APT1 », un acronyme de « Advanced Persistent Threat » (« Menace importante permanente »), qui serait une filiale de l’Armée de libération du Peuple appelée Unit 61398.
Les signatures de ses cyberattaques ont pu être suivies jusqu’à un immeuble de 12 étages, dans les faubourgs de Shanghaï, selon le rapport, qui estime qu’APT1 compte « des centaines, voire des milliers d’employés ».
UN GROUPE, nommé RDL Unit666, commandé par le Général UEDA, SERAIT CHARGE D’ESPIONNER LES PRINCIPAUX INTERVENANTS DE LA RDL….Et si le laboratoire du fascisme était shanghaïote ?
j’habite dans l’ouest de Paris ..
Vous n’êtes pas la seule Daaphnée de Paris. La plus célèbre habite rue Saint-Fargeau.
Daaphnée dit: 19 mai 2014 à 17 h 16 min
’une génération spontanée
Depuis la science a progressé et le droit également: D’une part plus personne en matière d’épidémiologie ne croit à la génération spontanée, d’autre part les enfants nés d’accouchement sous X ont un accès à leurs origines, à l’identité de leurs géniteurs, du moins quand les deux sont connus, et ce dés leur majorité. Subsiste encore une carence en ce qui concerne les donateurs de gamètes, les dons en France sont anonymes et par le droit le restent, me semble-t-il.
@ bérénice
Madaame ne souhaite pas s’entretenir avec vous.
Ce parti franciste (photo 3) .;
Ils éta
La mort rode rue Saint-Fargeau
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rue_Saint-Fargeau
Ce parti franciste (photo 3)
Ils étaient qd même peu nombreux !
D’après wikiki « Au total, il ne dut guère rassembler plus de 8 000 adhérents avant 1939 pour atteindre un total de 12 à 13 000 après 1940. ».
Pas de quoi fouetter un chat, si ?
Ce parti franciste (photo 3)
Ils étaient qd même peu nombreux !
D’après w
ut guère rassembler plus de 8 000 adhérents avant 1939 pour atteindre un total de 12 à 1
fouetter un chat, si ?
Fouetter un chassis ?
Secrétariat de ueda dit: 19 mai 2014 à 17 h 32 min
Votre gueule, Bérénice. Vous n’avez pas le niveau requis pour vous adresser à madame Daaphnée.
Ueda de toutes façons je ne chante pas, le maitre jusqu’à ce que l’élève le dépasse, lui est supérieur et dans mon cas, aphone de naissance y compris au téléphone, je n’ai nul besoin d’un maitre ou d’une maitresse pour conduire mon progrès, vous ne me réduirez au silence par vos mesures d’intimidation ou des humiliations dont je n’ai que faire, j’ai revêtu mon ciré de pêche.
Il est vrai que pour confondre orthographe et lexique ..
il convient de ne pas venir du Mexique, ces pauvres étrangers affamés de culture et qui se voient refoulés au pied d’un mur d’indifférence survolé d’hélicoptères.
« ikiki « Au total, il ne d »
C’est Dédé qui dédouble, Daaphnée!
Ecrire « t’as » au lieu de « ta » n’est pas une méprise lexicale. Il s’agit d’une confusion entre le pronom possessif « ta » et le verbe « avoir » conjugué à la deuxième personne du singulier.
Mais tout le monde peut se tromper, ce n’est pas bien grave.
laisse béton la téquila tu chauffes du bérét épicétou CQFD
…
…c’est trop con!,…
…
…nous vivons dans un monde!,…ou les innovations techniques n’existent pas!,…
…
…il y a le contrôle du plus-valu escompté sur le style!,…et conformités-bourgeoises à l’€uro en priorité,…
…cycle bref!,…déposé le brevet ( payant ),…
…attendre, la caste à s’investir dessus!,…
…le temps, que votre brevet soit juste » modifié « ,…pour un prix Nobel,…aux hasards des universités-morpions mondialistes,!…
…
…et, vous restez avec votre progrès-innovent,…comme le roman de bébel dans le » Magnifique « ,…
…conséquences à toutes innovations, lâcher les baskets aux vrais chercheurs, et laisser les travailler en pointes des sciences,…non-connectées aux loobyng’s,… » plus cons tu meurt « ,…
…
…il y a un minimum, de respect et de crainte à avoir!,…des génies!,…
…c’est qu’ils nous abandonnent!,…dans notre merde de basse-court!,…
…
…çà crame!,…tout ce florilège,…déviant sous coupole et couvercle en casse-rôle!,…
…vous y trouverez, ce que vous y avez mis!,…
…Mon expresso!,…est fait!,…à la vôtre!,…sociétés hiérarchiques tarés à fond la caisse!,…etc!,…sans sucre!,…
…Vlan!,…
« Votre gueule, Bérénice. »
El Dèdè de mi corazón!
Encore plous difficile!
Ueda ne vous ai-je point confié ma surdité sélective? Je n’entends pas Wagner alors pour ce genre de sonorités polluées qui séjournent dans ces bas registres de la langue, comprenez… Quant à ce qu’elles colportent, attendons les développements personnels.
« Bérénice, ne savez-vous donc pas lire ? »
Coronel Dèdè!
Dé plous en plous difficile…
Vous savez quoi, U. ?
Je me demande s’il n’y en a pas plusieurs nés de parents trop vieux ..
Mais non, ce n’est pas hamelito qui m’a filé un coup de bambou.
Je suis allé tracter pour Martin Schulz.
J’irai jusqu’au bout.
Deux dames âgées au carrefour, avec un greluchon.
Le greluchon me cède une liasse.
C’est pas la bonne bouille de Martin qui est sur la photo, mais le visage de Mme Pervenche Bérès.
Renseignement pris, pas de honte, c’est une femme qui travaille, pas une exfiltrée.
(De toute façon, en pensant à tout ce que son père a permis d’éditer aux éditions Hermann, je suis d’une indulgence infinie).
« Vous savez quoi, U. ?
Je me demande s’il n’y en a pas plusieurs nés de parents trop vieux .. »
Pour notre ami Dédé, je ne sais pas, Daaphnée.
C’est sûr, i est le seul ici qui ne soit pas né au 20ème siècle.
Il est né après, ou alors il y a très très longtemps ou très très loin.
Je me demande s’il n’y en a pas plusieurs nés de parents trop vieux ..
Oui bien sûr la trisomie se voit plus fréquemment mais ce n’est pas tout, j’ai toujours pensé que bénéficier de parents matures qui ne regretteraient pas un voyage ou des aventures ou des soirées à bavarder plutôt qu’à devoir garder bébé, constitue un avantage pour l’enfant, en contrepartie l’enfant devra aller au ski tout seul par exemple en raison du risque de fracture plus fréquent passé 50 ans.
Quand même, s’appeler Pervenche !
Pourquoi pas Aubergine .
Aurore mais c’est une fois encore affaire de goût et les couleurs ne se discutent pas, Rose pas mal non plus, Capucine Hortense Flore tout simplement pour synthétiser son amour en fleur.
Mais vous préférez les légumes, n’Est-ce-pas?
« Quand même, s’appeler Pervenche !
Pourquoi pas Aubergine » (Daaphnée)
Je connais pire.
Désir d’un père, un peu insensible sans doute…
Mais « Hermann », c’était bien.
Il y a Fleur aussi.
Mi piace.
Moi j’aime bien Choucroute, ueda. J’ai eu une copine qui s’appelait Choucroute mais je crois que c’était un surnom lié à sa coiffure.
Un prénom que je n’aime pas du tout, en revanche, c’est Anne. Ce sont souvent des connes.
Vous en connaissez, ueda, des Anne ?
Les Anne ont la tête près du bonnet, c’est connu.
Je fais une exception pour Anne de Bretagne. Elle commis certaines erreurs, mais les historiens ont montré que c’était à cause de ses hémorroïdes. Vous savez ce que c’est, ueda.
Dédé dit:9 mai 2014 à 18 h 31: « Un prénom que je n’aime pas du tout, en revanche, c’est Anne. Ce sont souvent des connes. »:
Votre pseudo, Anette, vous allait donc à ravir !
Et c’est quoi la morale de ce repas dominical, Marcel ?
Un poing dans la figure !
C’est sans concession, le choix d’un prénom. J’ai déjà du conter cette anecdote mais j’ai rencontré une femme africaine qui voulait comme prénom pour sa fille, maman, un psychiatre que je rencontrai un plus loin dans le train voulut tout savoir d’où et quand, ce à quoi je me refusai de répondre.
L’alternative à la Shoah suivie de la naissance d’Israél ça aurait donné quoi, ML ?
L’intégration totale des Juifs dans les diverses nations européennes ?
Une diaspora de 8 millions d’habitants.
…
…comme disait » Kerck-Viol « , en général,…
…
…St-Clare,…Oui!,…Karpoff’,…
…donc,…on laisse finir le film,…on se plaint,…une fois le film sortis!,…
…trop ou pas assez ressemblant notre navet!,…çà nous fera toujours çà de récupérer!,…sur le Cash africain!,…
…
…des petites miettes pour les pigeons que nous sommes en concorde des moralités!,…
…
…tout ces François en puissance,…çà me fend le coeur!,…Oui!,…
…
…une fin!,…comme Fernandel, » Dagobert à mis sa culotte & à l’envers vaut l’en droit « ,…en générique!,…en tout petit petit!,…
…etc!,…la moralité des complicités suspectes,…retour des bénéfices sur les auteurs de scénario’s de base!,…
…
…copier/coller,…la morale dédommagée!,…etc!,…
…
Ce n’est pas le sujet, Jacques.
Widergänger dit: 19 mai 2014 à 12 h 58 min
C’est bien ML de rester dans les faits, rien que dans les faits.
Justement, j’ai lu un truc, qui a à voir avec l’histoire contrefactuelle ou virtuelle, si vous préférez.
(dans cette revue il y a un article interessant sur le codex d’Alep, mais bon, une autre fois)
Donc, dans cette analyse de l’histoire contrefactuelle, on peut lire:
« Souvent, fait aussi observer Evans, les auteurs de récits d’histoire virtuelle ont tendance à faire la morale et à donner présomptueusement des leçons aux acteurs du passé dont ils estiment, un peu vite, que les décisions ont infléchi l’histoire de manière radicale, en donnant l’impression d’éprouver le sentiment qu’eux-mêmes auraient agi avec davantage de courage, de lucidité, de jugement, de sagesse ou de discernement. »
et plus loin:
« Si amusants, voire intellectuellement excitants que puissent être certains exercices d’histoire virtuelle, leur place dans la recherche historique ne peut (et ne devrait donc) être qu’assez marginale. Après tout, ainsi que le rappelait avec bon sens l’industriel et homme politique allemand Walter Rathenau à l’issue de la première Guerre mondiale, en une phrase sur laquelle Richard Evans a heureusement choisi de clôturer son livre : « L’histoire ne se conjugue pas au conditionnel, elle parle de ce qui est et de ce qui a été, pas de ce qui pourrait être ou pourrait avoir été ». »
bon, l’historien est anglais, mais keske ça change ?
http://www.books.fr/blog/lhistoire-peut-elle-secrire-au-conditionnel-/#section
Bon maintenant Sant’Angelo ça suffit, tu énerves tout le monde.
bon, l’historien est anglais, mais keske ça change ? (des journées)
Ça peut changer beaucoup de choses, dirait Daaphnée.
var.e.n. dit: 19 mai 2014 à 19 h 49 min
Fatrigue. Encore une fois assumez!
si vous avez un truc à dire à quelqu’un, faites-le.
Y’en a marre un peu de ces pleutres.
Et fatigue encore plus.
des journées entières dans les arbres dit: 19 mai 2014 à 19 h 46 min: votre pseudo, est digne de D.bile Anette.
…
…@,…(…),…à 19 h 47 mn!,…
…
…en voilà ( un ), qui comprend, plus vite que son ombre!,…etc!,…
…
des journées entières dans les arbres dit: 19 mai 2014 à 19 h 51 min
Encore une fois assumez!
Eh, oh, c’est pas moi, hein !
Allez, encore un peu, juste pour le fun:
« L’histoire n’est pas une science au sens étroit du mot, mais elle est un savoir organisé, méthodique, contrôlé et rigoureux, basé sur l’étude attentive des documents et un effort pour reconstituer patiemment les faits dans leur réalité objective, autant que ceci est possible et en sachant bien qu’on n’y parviendra jamais tout à fait. L’imagination, l’interprétation, la formulation d’hypothèses et de conjectures ont pleinement leur place dans une telle entreprise et y sont même indispensables, mais elles doivent rester contenues dans les limites assignées par le respect des faits et des documents, la pleine conscience de l’interdépendance des forces à l’œuvre et des interactions entre facteurs, et l’attention vigilante à l’extrême complexité de la causalité en histoire. »
même lien.
Vous êtes restés un peu secs sur cette notion de Kibboutz, et pourtant, je vous assure, ça vaut le détour.
Je comprends parfaitement, que les rescapés de l’Est, de la Shoah, aient voulu un pays où ils seraient chez eux. Je l’ai compris en voyant un film allemand sur la famille Warburg, sur leur chateau de Blankenese, devenu hôpital d’accueil pour les enfants rescapés, quand les Anglais occupèrent la région.
Néanmoins, la majorité des Juifs, de par le monde, vivent hors d’Israël. Il y a plus de Juifs en Californie, qu’en Israël, par exemple. Ajoutons Chicago, NY, Miami, inutile de dire, que c’est suffisamment Yidd pour se sentir à l’aise.
Des juifs de l’Est, débarqués à Göttingen en 1945/46, refirent leur vie dans l’Allemagne libérée des nazis.
Les Juifs Français, depuis Napoléon, se sentent très bien en France.
Quelques uns partent vivre en Israël, de là à dire, que les Juifs se sauvent de France, comme le fait Michel (bien en place dans son nid parisien), me parait un peu tordu.
Jacques Barozzi, les Juifs qui se veulent émancipés, ne sont pas poursuivis apr les Autorités, ni en France, ni ailleurs (sauf peut-être la Hongrie, ponctuellement). Il y aura toujours des antisémites et des clubs de golf, qui ne veulent que des aryens garantis par les lois de Vichy. Dans les familles de la bourgeoisie juive-française, on se marie avec des chrétiens depuis la moitié du 19ème siècle, au moins.
Quant à Israël, je le sais par le cinéma israélien, les gays des deux cotés, Israël et Palestine, se lient en prenant des risques and that’s it !
Les gays, sont souvent, pas toujours, moins racistes que le reste de la population.
16h46 Des journées, attendons que François Delpla donne un avis fourni sur cette affaire, comme c’est un peu son domaine, il devrait s’exprimer et vivement.
3Les gays, sont souvent, pas toujours, moins racistes que le reste de la population.3
Je ne sais pas trop que penser de ce coq à l’âne. C’est un selfie de Zürich?
C’est à dire Bérénice, que je redoute un peu la carrure de Churchill; son « rampart de son corps », brrr.
19h59 Tout ceci est un tissu d’évidences sur lequel personne ne songe à revenir. Mais je n’ai pas lu ce qui de WDGG vous met dans pareil état d’alerte. Je n’y manquerai pas, je dois m’absenter.
Bon, maintenant il faut mettre en ligne son arbre généalogique, et puis quoi encore ?
vaudrait mieux faire prendre du neuf au deuxième degré, t’as raison de râler renato
bérénice dit: 19 mai 2014 à 20 h 09 min
Encore une fois concentrez-vous. Je ne suis rien dans cette histoire.
Pour les Kibboutz, en fait, je revois parfaitement ma prof d’histoire-géo nous en parler. C’était au lycée. Du temps où l’enseignement de l’histoire était, heu, plus, heu moins… ?
…
…@,…des journées,…à 19 h 59 mn!,… » erreurs colossales « ,…
…
…lors de l’achat de livres ( anciens ) sur les stratégies (…),…quel n’a été m’a surprise ( énorme ),…d’y retrouver les mêmes explications que je donnais par téléphone à une Dame!,…
…
…je n’avais jamais lu de livres de cet sorte!,…
…donc!,…sans documents,…je suis parvenu à dire ce que des experts on conclus!,…
…
…donc!,…l’établissements de liens, sans documents!,…puisque seul attentif aux résultats liés entre-eux!,…etc!,…
…
…je m’excuse!,… » des journées,…vous êtes trop dogmatique » et joué l’ouverture sociale avec des procédures,…de prendre sur le fait!,…les méfaits,…& laisse courir les moutons de Panurge!,…etc!,..
…
Giovanni, je n’ai pas tout compris.
Vous avez lu ce livre de Richard. J. Evans « altered pasts » ?
Guiovanni, s’il est question de rigueur en matière d’Histoire, je pense qu’il y a pléthore de gens sérieux, et qui ne travaillent pas seuls dans leur coin, sans bibli, sans rien. Le dogme n’a rien à voir là-dedans.
Fatigue.
Eh, oui, il y en a qui bossent.
Bonne soirée.
…
…des journées!,…je parle de ce que vous avez écrit et êtes convaincu!,…
…
…j’ai des pistes de recherches ( … ),…sous d’autres latitudes!,…
…l’auteur de » altered pasts « ,…j’ai lu!,…tout comme Picasso!,…etc!,…
…
…
…des journées,…tout comme Picasso!,…je n’ai pas lu ce livre!,…pas encore!,…
…
…l’histoire!,…sur les livres est une chose-diplomatique pour ne tenir de rien!,…aux événements présents, aussi!,…etc!,…
…bien compris, votre €uroland !,…tendances!,…
…
vous êtes trop dogmatique
faut pas exagérer, même si l’étiquette peut bien faire la colle
Bien sûr qu’il y a encore des centaines de milliers de juifs en France, la plus grande communauté juive d’Europe. Mais il n’empêche qu’il y a une fâcheuse tendance à ce qu’il émigrent en Israël. Le mouvement s’accélère. Ce n’est pas bon pour la France ni pour l’Europe.
Le mariage mixte est une autre forme de disparition.
« Le mariage mixte est une autre forme de disparition. »
C’est sympa pour vos parents, ML !
Sans cette mixité-là, vous n’existeriez pas…
Vous n’avez pas compris ce que j’ai écrit.
Langue Moisie, si, Jacques a bien compris. Vous êtes pour les races pures, les gens ne se mêlant pas pour garder, les religions tout aussi pures que les gènes. Bref, votre avis sur les mariages mixtes, se rapproche de l’idéologie nazie.
Après les Lois de Nuremberg, les désirs de ML.
Comme produit de la mixité, vous devez prendre vos faiblesses comme le résultat de votre sang impur. Mélange Shtetl de l’Est, des sefardim de l’Espagne maure, et votre sang de souche ?
Si vous aviez été équipé pour, mentalement, et si aviez eu tous l’âge, de faire un enfant avec MLB, auriez eu peur de produire un tutifruti ?
Mes grands-parents ont des descendants blonds polonais catho, des petits mulâtres et d’autres nés d’un père d’origine bretonne. Je ne sais pas s’ils auraient apprécié, mais franchement, who cares ?
J’ai un cousin qui a épousé une Martiniquaise, une femme magnifique, distinguée, qui a fait des études supérieures, fait une carrière dans une grosse boite. Le fils est sorti de London Business School, parle le coréen, il a étudié à Seoul.
LM, la mixité c’est très positif, cela ouvre l’horizon.
Et puis, je sais que vous appréciez JC, mais vos désirs sont du vent.
Non, pas du tout. Vous vous trompez complètement. Il ne s’agit pas du tout de cela.
Je répète, Baroz n’a pas du tout compris ce que j’ai écrit. Mais on peut comprendre qu’il ne comprenne pas quand il suggère une « alternative » à la Shoah… et en plus qui serait une intégration des juifs à l’Europe. Là, je dois dire qu’on en reste baba…
Il y a un abîme d’incompréhension entre les vous et les juifs.
Il y a aussi des Juifs qui quittent Israel. L’Alya inversée. C’est une société rugueuse, sans merci, où le stress est toujours très présent et les rapports entre les gens rudes, comme en mode survie. Et puis cette constante tension entre Ashkénazim/Shephardim est lancinante.
Par bien des aspects Israel est devenu un pays presque comme les autres, avec ses putes,ses réseaux mafieux (Terre promise d’Amos Gitai), ses étudiants boutonneux, ses travailleurs chinois…Presque, sinon que la société est de facto entièrement militarisée – fière allure de ma blonde cousine de Tel Aviv prenant le bus, Uzi à l’épaule, les flingues à la ceinture dans les boites de nuit de Jérusalem, visibles à chaque fois que les types lèvent les mains…Le pays est en proie à une fièvre obsidionale permanente du fait de sa non intégration dans la région. Seule porte de sorite, la mer… que le dernier qui pqrte ferme lq lumière était-il écrit sur une baraque de maitres nageurs sauveteurs de Tel Aviv.
On est désormais très loin de l’utopie des Kibbutzim et des Moshavim. C’est dans un de ces derniers, ferme semi-communautaire où j’ai passé pas mal de temps en famille près d’Ashkelon. L’ambiance était à la désillusion. Le sentiment d’avoir construit quelque chose et d’avoir été floué dans les objectifs, par le fric et la marche du monde… Hashomer Hatzair n’a plus vraiment le vent du Kinneret en poupe…Sans parler du scandale des milliers de rescapés de la Shoah qui vivent en-dessous du seuil de pauvreté. Il en pense quoi, d’ailleurs, Zev S.? Et C. Lanzmann? Et Passou?
Oz, Grossman, Agnon, Keret, Gitai, Appelfeld, Sternhell, Barnavi, S.Sand, A.Cohen, Ari Folman et la nouvelle génération de cinéastes hyperdoués, mon panthéon à moi, témoin de la singulière prolixité de cette bande de terre compliquée…
Je crois même me souvenir qu’il y a une sorte de conférence faite par J. Attali au Mémorial de la Shoah, je crois bien, et qui parle très bien de ce genre de disparition des Juifs par mariage mixte. C’est très simple à comprendre en vérité quand on est juif. Mais sans doute impossible à comprendre quand on ne l’est pas. En tout cas, ça n’a strictement rien à voir avec quelque fantasme de pureté du sang ou quelque racisme que ce soit. Mais avec la préservation d’un monde juif, d’une culture juive, de racines juives. C’est tout autre chose. Mais je pense que les goim ne comprennent absolument rien à ce genre de problèmes.
HR, descendez des branches de votre bonsaï.
Selfie zürichois ?
Vous faites du plagiat de JCouille.
Je vous ferais remarquer, que dans les années 60, les Afro-américains et les gays, se libèrent, grâce à un mouvement libéral qui voulait la liberté.
Les gays sont souvent des libéraux, pas tous bien sûr, il y a des cons partout.
Ah, vous vouliez dire, par selfie, que je suis un anti-raciste raciste parfois ? Je ne vois pas ce que Zürich vient faire la dedans, je suis arrivé à Zürich, adulte ou presque, 22 ans, et j’ai beaucoup vécu dans d’autres pays. Je n’ai de zürichois que le domicile et ma feuille d’impôts. Je vis au moins, deux mois par an à l’étranger. J’ai toujours refusé de parler le zürichois. Seriez vous comme les deux crétins du FN, l’un catho, l’autre un chien enragé, tous les deux des frustrés malfaisants, vous confondez domiciliation et nationalité ?
Vous savez, on est d’abord le produit des 25 premières années.
Je partage tout à fait ce que dit Bloom.
Et c’est à ce moment-là que Bloom est parti enjuiver l’Asie ?
« la préservation d’un monde juif, d’une culture juive, de racines juives. » nous raconte langue mauvaise.
Michel, vous divaguez, de quel monde parlez vous ?
il y a diverses manières de se sentir Juif, quant aux racines, vos racines goy, vous ne pourrez jamais les éradiquer.
La dignité c’est de ne pas refuser ses racines, de ne pas les cacher; pourquoi faire ? Les racistes n’en valent pas le coup.
Vous êtes um fumeur de joint, pas au sens propre, mais quand même.
Jacques, quand j’ai visité X’ian en 2007, j’ai bien lu que le premier Empereur de Chine, avait fait venir des Juifs, persuadé que les Juifs sont de bons commerçants.
Ma famille est l’exemple même de la disparition du monde juif par mariage mixte.
Mes deux grand-parents étaient juif et s’étaient mariés à la synagogue. Ils n’étaient pas plus croyant que ça mais étaient malgré tout d’après l’idée que j’ai pu m’en faire à partir des documents. Or, leur fils, mon père est allé dans son enfance à la synagogue mais comme son père est mort quand il n’avait que 12 ans, je ne suis même pas sûr qu’il avait fait sa Bar-Mitsva. Néanmoins, vers la fin de sa vie, mon père s’intéressait à Israël, ses racines juives l’y poussaient sans doute. Mais mon père n’avait aucune culture juive. Il confondait l’hébreu et le yiddish dans les livres qu’il avait. Des trois enfants qu’il a eus, un seul, moi, se définit comme juif. Mes deux autres frères n’ont aucun rapport avec le monde juif. Il ne savent rien de l’histoire de la famille, ni de ma cousine récemment retrouvée, ils s’en foutent complètement et je dirais même qu’ils s’en moquent. La culture juive de mes grand-parents, deux générations plus tard est quasiment morte. Je suis le dernier juif de la famille. Mon neveu, que je n’ai pas vu depuis plus de vingt ans n’a plus aucun lien avec le monde juif de ses arrière grand-parents. On voit tout à fait concrètement ce que signifie la disparition des juifs par mariage mixte dans cet exemple. C’est ça que je veux dire, rien d’autre.
Vous finirez un jour par oser affronter vos propres contradictions plutôt que de toujours les fuir, ML. Vous avez déjà fait de gros progrès dans la maîtrise de vos émotions : un brin d’humour a remplacé vos anciennes éructations. Continuez !
Se prétendre juif sans n’avoir aucune culture juive n’a strictement aucun sens.
Être juif, c’est lire la Torah, apprendre l’hébreu biblique, se plonger dans la culture juive. Tout le reste n’est que foutaise.
Et je dirais que les vrais racistes sont ceux-même qui se prétendent juifs sous l’unique prétexte qu’ils sont nés d’une mère juive comme si il y avait un gène juif dans leur sang. Ça c’est une vision nazie de la transmission de la judéité si cette origine ne s’accompagne pas d’une vraie culture juive.
Baroz est stupide et il ne le sait pas. Je ne vois aucune contradiction dans ce que j’écris. Aucune.
>Widergänger
si on avait les cartes ce serait vachement plus facile. Merci quand même d’y avoir rajouté la branche maternelle.
Vous lire à 12h58 en même temps que bérénice cela m’a donné une vision d’apocalypse étonnante qui vous correspond à tous deux.
Qui positive ici ?
Qui mange de vrais œufs de poule ? Et pas des ersatz issus du cul de poulets en batterie ?
Soyez honnêtes ; tentez-le.
Qui ?
>JC reprends-toi (relis-toi aussi, parfois je m’inquiète).
Ceci en passant,
la révolution orthographique dit: 19 mai 2014 à 17 h 53 min
Ecrire « t’as »
La phrase complète, canonique et paradigmatique est :
– Tahar tagueul.
A laquelle il ne faut jamais omettre de répondre par :
– Sordehor…
être juif c’est avnt tout avoir un père et une mère juif.
Même si la mère s’est convertie par amour pour l’homme qu’elle a épousé elle n’est pas juive.
D’ailleurs pour divorcer faut payer un guet pour reprendre sa liberté ; et si l’homme n’est pas d’accord (mais pourquoi ne serait-il pas d’accord ?)il a le droit de se faire indemniser. Ce qui pose moult problèmes financiers à sa femme qui compte bien devenir son ex.
Ceci en passant,
D’accord pour les capitales.
Aujourd’hui Berlin.
Demain Pékin.
Je propose.
Vous disposez.
« une fâcheuse tendance à ce qu’il émigrent en Israël. Le mouvement s’accélère. Ce n’est pas bon pour la France ni pour l’Europe. » (ML)
Sur ce point au moins on est d’accord.
— Européens/ Israéliens
Il est assez facile de prendre ses distances en Europe sur les discours universalistes (Raison, Lumières, etc.)
Mais quand ces mêmes mots sont prononcés publiquement à Sheikh Jarrah, ça a de la gueule.
Ni celui qui parle, ni ceux qui écoutent ne sont des « naïfs ».
J’aime bien « un attachement organique »
chouette expression un attachement organique. Et métaphysique et pulsionnel.
Comme dans Tom à la ferme.
Ou le sujet ce n’est ni la dualité campagne/ville, ni l’homophobie, mais bien la violence du désir.
Là, entre hommes.
Attachement organique, je le retiens.
TKT dit: 19 mai 2014 à 13 h 05 min
Dans ces deux villes, les grandes collections sont Juives.
>TKT
Allez dire ça à Anne Sinclair, elle va gueuler !
deux ans avant, en 81 j’interrogeais personne et dans un anglais impeccable tout le monde connaissait admirait et rêvait Paris et la France sans les confondre avec le Texas !
si on parlait franglais bien sûr, en bikini turquoise, crocheté avec amour, je pense que la concentration était ailleurs que sur Paris …
Hein C ?
comme tu te fringues, plan Q.
Widergänger dit: 19 mai 2014 à 13 h 10 min
Et deux cousines germaines russes de mon père et un cousin. Les deux cousines vivaient encore à Leningrad en 1985 de manière certaine. Le benjamin est certainement mort à la guerre.
Une autre branche venue d’Espagne (la cousine qui habite tantôt à Paris tantôt à Tel-Aviv ou à Jérusalem que j’ai retrouvé il y a maintenant quatre ou cinq ans grâce à mon blog) Jeanne,
désolée mais de mémoire c’est pas plus de trois ans, peut-être même deux.
Deux quoi ?
…
…une brève anecdote, somme toute!,…historique!,…et tactique!,…
…
…à l’époque des normands en Sicile,…Guillaume de Pouilles, Roger II, Guillaume II,…
…
…il est venu, de découvrir, que même la cour normande était lier,…par les prêts à intérêts aux système-juif à crédit,…
…et donc!,…l’immobilisme de bloqué par ses contraintes l’indépendance du royaume,…et son expansion!,…
…
…la décision punitive effectué,…fût seulement,…avec toute les précautions et secrets et soutiens et discrétions mis en place,…et en vagues successives,…
…
…d’installez tout ce beau monde à Rome,…à l’époque » ennemis « , des Normands de Sicile!,…
…donc!,…trouvez des spécificités à autrui,…& les placés!,…par l’expéditeur à son échiquier d’intérêts!,…etc!,…
…Natuurlicht!,…etc!,…la Pampa!,…l’Amazonie!,…etc!,…Ah!,…Ah!,…
…une autre!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…
« Jacques, quand j’ai visité X’ian en 2007, j’ai bien lu que le premier Empereur de Chine, avait fait venir des Juifs, persuadé que les Juifs sont de bons commerçants. » (TKT)
C’est naturellement une légende moderne.
Pas de trace des Juifs en Chine avant les Tang/ Song, et encore de manière extrêmement fragmentaire.
C’est plus clair à partir des Mongols.
Non, cette cousine m’a contacté en 2009. Ça fait cinq ans.
Le témoignage le plus ancien connu de la présence juive en Chine date de la dynastie des Tang au VIIIè siècle (Histoire universelle des Juifs, Elie Barnavi)
Widergänger dit: 19 mai 2014 à 13 h 34 min
Là je suis favorablement impressionnée ; c’est plus passionnant de vous suivre que de lire n’importe quelle bluette compliquée.
Je n’ai jamais eu l’ombre de tout ça dans ma famille.
Néanmoins, je crois pouvoir dire avec certitude, que si l’on se convertit au catholiscisme pour se reconvertir au judaïsme c’est qu’à un moment on a eu la trouille sacrément et que c’était la seule manière d’échapper à un sort terrible.
On appelle cela se parjurer ce me semble.
Mais j’aime la fin, qu’ils reviennent à leurs racines, essentielles pour moi, les racines.
Peut-être alors, hypothèse futile sans nul doute, qu’épouser une non juive qui se fait juive par amour pour l’homme qu’elle a épousé est une des manières d’oublier ce passage noir de l’histoire familiale.
Quoiqu’au jourd’hui, on devrait accepter les mariages mixtes : un juif avec une non juive, sans faire autant de salamalecs très compliqués. Par amour pour toi, je renonce à ce en quoi je crois c’est d’un ridicule consommé : les temps ont changé.
Mais vivre avec un mec de droite, ça jamais.
C’est rédhibitoire. La judéïté, non. Mais je sens la difficulté des négociations et des marchandages (faut que je m’entraîne sec).
D’accord sans doute. Mias vous y êtes allé ensuite : l’année d ela POlogne, plus l’Itlaie plus Barcelone plus Jérusalem. Je m’en souviens. Je suis hypercontente d’ailleurs de comment vous avez évolué par rapport à l’Espagne parce que votre premier regard sur Barcelone fut tellement négatif que j’en ai eu le cœur serré. Depuis vous vous êtes amendé ce qui prouve une belle capacité d’évolution.
Pareil que TKT avec l’aéroport de Palma de Majorque : là j’ai eu le cœur saignant.
D’accord sans doute. Mais vous y êtes allé ensuite : l’année de la Pologne, plus l’Italie plus …
zut
cette année là je sais pas pourquoi, je partais pas en vacances et j’étais toute contente de suivre vos pérégrinations que vous avez partagées fort gentiment avec nous, sauf, que nib que dalle Jérusalem.
Ce qui me permet depuis, merci W. ! d’en rêver !
Ce que dit TKT des musées d ela côte ouest ce n’est pas sorcier ; il nous dit que les grandes collections sont juives.
J’ai vu pour ma part nombre de musées où les collections ne sont pas juives.
Mais, et c’est vrai, je ne porte pas d’œillères.
Cette histoire de conversion à mes yeux est lointaine.
Et aussi quand je visite un musée, je ne me demande jamais si les collections sont juives ou pas.
Je ne pense pas que mes ancêtres séfarades venus d’Espagne, qui devaient être marranes, se sont convertis au calvinisme par peur de quoi que ce soit. À Bergerac il n’y avait absolument rien à craindre s’ils pratiquaient le Judaïsme dans leur château de Lespinassat. En revanche, il fallait du courage pour devenir calviniste. Jacquou le Croquant, vous connaissez ? Ils ont d’ailleurs été persécutés comme calvinistes puisque l’un d’entre eux a été obligé de foutre le camp à Amsterdam.
Quand je suis allé à Raciaz en Pologne, je suis tombé par hasard pour m’y rendre sur un chauffeur de taxi qui était juif et dont la famille venait aussi lointainement d’Amsterdam. J’y ai vu un signe de mes ancêtres. Et la façon, dont ce taxi est apparu devant moi a aussi quelque chose de mystérieux. Mais je n’ai pas le temps d’en parler ici. En tout cas, nous avons parlé de nos familles réciproques dans un mélange bizarre d’anglais et russe et d’allemand.
En fait, non seulement je n’en sais rien, mais en plus je m’en fous royalement de collections juives ou pas.
Cela me paraît être devenu un gimmick ce truc systématique de dire « antisémite » à tout propos. Cela coupe toute possibilité d’argumentation et même de dialogue. Je pense au film d’Abel Ferrara que je n’ai pas vu. Que je ne suis pas sûre d’aller voir. Déjà? je me bichonne pour tenter d’aller voir le film avec Zabou Breitman, et je prends du courage pour cela. Mais faut pas trop tirer sur la bête. Elle finit par clamser, comme Martin, pauvre misère.
déjà virgule
Oui, en effet, rose, je suis allé en Israël il y a deux ans où j’ai vu ma cousine chez elle à Tel-Aviv, mais je l’avais déjà rencontrée à Paris où elle habite la moitié du temps. Cette cousine était juriste, en retraite maintenant.
Elle m’a montré sa cuisine avec ses deux éviers, ses deux frigidaires, ses deux séries d’assiettes, de couverts, de petites cuillers, etc. C’est ça être Juif. Ça passe par les petites cuillers. Ça ne passe pas par la mère exclusivement. Et c’est tout un bordel les petites cuillers juives…
je ne porte pas d’œillères
admettons que le vent vient des oreilles..
non mais les protestants aussi étaient persécutés assassinés même.
Lorsqu’on se convertissait c’est par peur d’être tué.
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