de Pierre Assouline

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La République des livres
Faut-il parier sur l’intelligence du lecteur ?

Faut-il parier sur l’intelligence du lecteur ?

Mais oui, c’est possible : des traducteurs peuvent se réunir trois jours durant sans qu’il soit question de l’éternel dilemme « Fidélité ou trahison « , ou de « L’intraductibilité de la poésie », et sans que s’affrontent « ciblistes » et « sourcistes ». Ca change ! C’était ce week-end au Moulin de la Tuilerie à Gif-sur-Yvette (Essonne), la première édition du Festival VO-VF organisé par des libraires, Sylvie Melchiori (La Vagabonde à Versailles), Hélène Pourquié et Pierre Morize (Liragif à Gif-sur-Yvette), avec une équipe de bénévoles constituée de leurs plus fidèles clients. Songez qu’à la table commune, parmi ceux qui avaient mis la main à la pâte, c’est le cas de le dire, un astrophysicien avait roulé la semoule du couscous du dîner samedi, ce qui ne fut certainement pas étranger à sa légèreté aérienne. Trois jours durant, si des traducteurs étaient bien à la tribune, ils étaient minoritaires dans le public constitué pour l’essentiel d’amateurs de littérature étrangère. A glaner des échanges d’un débat à l’autre des préoccupations communes surgissaient autour de quelques thèmes.

Faut-il parier sur l’intelligence du lecteur ? Si c’est un problème pour l’auteur, ca l’est plus encore pour un traducteur. Alors vous imaginez si les deux se superposent. Un double pari. L’américaniste Claro avait déjà donné le ton la veille sur son blog Le Clavier cannibale par un billet consacré à l’angoisse du traducteur au moment de la note en bas de page : la mettre ou pas ? Il esquissait la remarque à propos d’un roman turc où sa consoeur se demandait s’il fallait traduire simit par une note indiquant qu’il s’agit d’un petit pain en couronne couvert de graines de sésame, ou s’abstenir et faire confiance à sa compétence ? Dès lors qu’il ne s’agit pas d’un hapax, et que le contexte peut à plusieurs reprises l’expliquer, pourquoi pas ?

Johan-Frédérik El-Guedj, fut confronté à un problème semblable en traduisant de l’anglais Le seigneur de Bombay écrit en hindi par Vikram Chandra qui truffa sa langue d’argot pendjabi. Perplexe, le traducteur, qui n’hésita pas à trouver des mots que les Indiens souvent ignorent, usa alternativement de deux solutions : soit glisser une rapide périphrase au sein de la phrase, soit ne pas traduire et laisser le mot original en italiques : « Grâce à sa récurrence, le lecteur finit par le comprendre. Il faut parier sur son intelligence ». On peut en tout cas parier sur celle du traducteur qui, pour s’approprier le lexique argotique indien, s’est inspiré du lexique de cooptation mafieuse des films de Martin Scorcese, car les logiques claniques y sont les mêmes. A noter que rien ne vieillit comme l’argot, tous les traducteurs présents en convinrent ; c’est même ce qui date très vite un texte, lequel vieillit mal à cause de cette concession à l’air du temps. Cela dit, bien malin sera le lecteur qui décèlera dans trois chapitres du Seigneur de Bombay des références cryptées au Bruit et la fureur de Faulkner…

Le problème du titre. Les traducteurs font souvent des propositions tout en sachant qu’elles ne seront guère prises en compte. Ainsi peut-on regretter que Le seigneur de Bombay, titre choisi par l’éditeur Robert Laffont pour des raisons commerciales, ne rende pas compte du caractère sacré du titre original Sacred Games. Dans un tel cas, lorsque le traducteur entretient une relation privilégiée de longue date avec un auteur, il doit être assez vicieux pour le prévenir du mauvais coup qui se trame contre lui, afin que celui-ci réagisse en envoyant son agent au front avec menace de procès. Annie Montaut fut confrontée à un autre type de problème en traduisant un roman de Krishna Baldev Vaïd. L’auteur, francophile mais pas francophone, souhaitait que le titre ait « une double dimension prousto-célinienne » par admiration pour ces écrivains. Bigre ! Traduit mot à mot de l’hindi, cela donnait « Temps passé ». Ce sera donc au final Requiem pour un autre temps, solution qui ne convenait guère à la traductrice mais qui avait l’immense mérite de faire résonner A la recherche du temps perdu et Féérie pour une autre fois… Il arrive même que le choix du titre fasse vaciller une maison. Encore faut-il que l’auteur en question soit suffisamment grand pour susciter un tel émoi. Le cas de Philip Roth chez Gallimard. Josée Kamoun souhaitait que The Humain Stain devienne « La souillure humaine ». Aussitôt Philippe Sollers monta au créneau et menaça de démissionner si un scandale pareil devenait advenir. Après moultes discussions, on glissa vers « La tache humaine » avant d’arriver à La Tache. De toutes façons, il y avait de l’eau dans le gaz avec Roth depuis que des « conseillers » américains et français, certainement désintéressés, l’avaient encouragé à faire relire désormais la version française de ses romans avant impression. Ce qu’il fit. Josée Kamoun, qui a traduit sept de ses livres, dut s’y plier. Lorsqu’il revint vers elle et qu’il lui demanda pourquoi elle avait traduit par exemple au début d’un paragraphe « Everybody knows… » par « De notoriété publique… », elle ne se vit pas expliquer que, s’agissant d’une lettre de dénonciation à l’origine de l’histoire, cela s’y prêtait mieux.

Lorsqu’une véritable complicité s’instaure entre l’auteur et le traducteur, ils peuvent faire des merveilles. Le cas de Mario Vargas Llosa avec Albert Bensoussan qui retraduit et révise actuellement toute son œuvre avec une équipe pour les deux volumes de la Pléiade à paraître en 2016. Après avoir expliqué que son activité se résumait à un double exercice de mâchonnement et de déglutition, celui-ci raconta avec force détails colorés comment en mâchonnant de concert à haute voix avec son ami Mario ils finirent par sortir du brouillard et aboutirent à La Tante Julia et le scribouillard pour La tía Julia y el escribidor. De toutes façons, comme l’a fait remarquer Claro, il ne faut pas sacraliser le titre original : « Si on ne peut rien en faire, alors il faut passer outre ». Ne jamais oublier que le traducteur ne rend pas un lexique, une syntaxe, un vocabulaire mais une voix. L’important, comme l’a souligné Josée Kamoun, c’est que cela produise le même effet. S’il est vrai que, par définition, pas un mot de ces livres étrangers publiés en français n’est de l’auteur et que tous sont du traducteur, celui-ci a pour vocation de recréer la magie du texte d’origine. C’est un interprète, un instrumentiste sans chef d’orchestre, mais avant tout un soliste.

Anne-Marie Tatsis-Botton, qui a traduit du russe Mes Treize oncles de Vladislas Otrochenko, voit à juste raison une manière d’oulipien en tout traducteur de prose poétique : « On se donne des contraintes : rythme, césure, respiration. Il leur faut rester dans le souffle, suivre les sinuosités de la phrase et épouser le dessin rythmique ». Sentiment aussitôt confirmé par Sophie Benech, traductrice de La Fin de l’homme rouge de Svetlana Alexievitch : « Si les gens s’expriment bien dans ce roman, tous ou presque, c’est parce que c’est le cas en Russie dans la vie de tous les jours. Ce n’est pas une correction de traductrice ». Claro quant à lui, confia que, lorsqu’on lui confia le manuscrit de Fury, écrit par Salman Rushdie lors de son exil à Manhattan, c’était si imprégné de son environnement, si truffé d’idiome local, qu’il fut tenté de préciser sur la page de garde « traduit du new-yorkais par Claro »

La question des retraductions. Les traductions vieillissent, car la langue évolue. Cela se niche parfois dans des détails si gros qu’ils sont invisibles à l’œil nu. Ainsi Bernard Kreiss se plut-il à rappeler que sur les couvertures des traductions de françaises de Dostoïevski, son prénom Féodor est passé à Théodore, puis à Fédor, et désormais à Fiodor. De même, il fut un temps, lointain il est vrai, où l’on traduisait tout : l’isba devenait une chaumière, et la vodka de l’eau-de-vie… Avec Shakespeare, c’est du lourd, comme ne dirait certainement pas Jacques Darras qui éblouit son public en communiquant sa passion pour les Sonnets : « Rien n’est difficile à traduire chez cet auteur comme ses Sonnets » convint-il avant de citer la légion valeureuse qui s’y frotta, de François Victor Hugo, Pierre-Jean Jouve, Henri Thomas, Armel Guerne, Yves Bonnefoy, William Cliff, Jean Malaplat, Frédéric Boyer, Jean-François Peyré jusqu’à lui-même tout récemment pour le Mercure de France. Il fit d’ailleurs partager son rêve d’une édition des Sonnets où  (presque) tous seraient convoqués pour leur rendre justice, c’est à dire « rendre la qualité sonore et sonnante du sonnet, car Shakespeare, c’est du Mozart. Une petite musique de nuit ! il y a beaucoup de nocturne avec un fort sentiment de décomposition qui frôle l’univers des Vanités. C’est d’une subtilité et d’une finesse étonnantes. Ne jamais oublier que le sonnet est la forme aristocratique de la poésie ». Il faudrait se consacrer à le retraduction des grands œuvres tous les vingt ans, à chaque génération. Jacques Darras convient d’ailleurs que s’il s’y remettait dans vingt ans, sa version serait encore différente :

« Le sonnet 71 est le plus difficile et le plus célèbre de tous (il y en a 154). Le poème est presque en monosyllabe. J’envisage de retraduire le premier vers jusqu’à la fin de mes jours. Sur sa tombe à Stafford, il a fait inscrire : « Ne dérangez pas ma poussière ». Alors on se fiche bien de savoir qui il était, et celui qui se cachait peut-être sous ce nom. L’important, qui doit sauter aux yeux de n’importe quel angliciste, c’est la parfaite unité, la totale cohésion de l’œuvre. Je défends le vers de manière offensive car  je défends la poésie au moment où on la galvaude en disant, comme Philippe Sollers, que le roman est aujourd’hui le lieu où vit la poésie. »

Il fut souvent dit au cours des débats que, si la France était effectivement le pays où l’on traduisait le plus de littérature étrangère, c’était surtout le cas pour les auteurs contemporains, mais bien moins pour les classiques. Ce que la germaniste Nicole Bary déplora. Des explications furent avancées. Non pour les littératures anglaise et surtout américaine, qui tiennent chez nous le haut du pavé tant la télévision, le cinéma, la publicité nous ont familiarisé ad nauseam avec l’univers d’outre-Atlantique, mais pour des classiques venus d’autres horizons. Bernard Kreiss a une explication :

« La littérature russe, née au début du XIXème avec Pouchkine, est hélas peu lue chez nous par rapport à la littérature anglo-saxonne. Elle plus difficile à lire, comme l’est la chinoise. Les gens ont du mal ». Sophie Benech a renchéri : « Elle décourage car elle n’est pas gaie ».

Un sentiment renforcé par Bernard Kreiss :

« Quand Pouchkine a lu Gogol, il s’est exclamé : « Que la Russie est triste ! ». Il faut insister sur la difficulté de la traduction : l’appréhension du temps pour les Russes n’est pas du tout la même que celle des Français. Le passé en russe est très primitif : quatre formes. Pas de plus-que-parfait, de concordance des temps etc» 

On peut également ajouter pour les littératures asiatiques, outre la difficulté d’identification aux personnages, l’absence de familiarité avec les noms et les prénoms, plus difficiles à mémoriser que d’autres. Et même avec des langues qui nous paraissent proches, comme le roumain, cela ne va pas de soi. Philippe Loubière a ainsi dévoilé la fausse familiarité du roumain avec le français :

« Le mot à mot mène à un délitement et une vulgarité des phrases. Difficile de se projeter d’une langue à l’autre. Il faut s’accaparer la traduction et se dire qu’on a le pouvoir dessus. L’écriture roumaine contemporaine est théâtrale car le pays a été confronté à l’absurde au cours du siècle échu. Un univers étrange pour un lecteur français »

Ce serait un malentendu de n’y voir qu’une question technique. Claro, grand lecteur de Claude Simon, confiait d’ailleurs que le véritable outil du traducteur, ce ne sont pas les dictionnaires, ni bilingue ni unilingue et encore moins techniques ou professionnels, mais une bonne bibliothèque de littérature française.

De la complicité. Ce fut un leitmotiv. Le maître-mot. Complicité entre auteur et traducteur, entre éditeur et traducteur enfin lecteur et libraire. Sans oublier celle qui lie le traducteur au texte qu’il doit faire sortir de ses gonds. Il faut traduire vite pour retrouver le feu et le flux de la phrase. Le fondement de la traduction, c’est la logique du texte. Il faut sentir la volonté du texte de se déplacer, de recommencer dans son rapport physique à la langue. Chaque langue étant un système, il faut donc retrouver les mêmes correspondances, la même distance entre chaque élément dans le système. Chaque texte a sa méthode : au traducteur de la trouver comme y incite Claro : «Il y a une opacité qui résiste parfois au traducteur. On ne comprend pas ce qu’on traduit mais on le fait quand même en idiot faulknérien. On ne sera jamais plus intelligent que le texte. Je refuse les écrivains US qui parlent français. Je ne veux pas l’avoir derrière moi parce qu’il croit qu’il connaît le français ». On dirait qu’il a eu de mauvaises expériences… Claro n’est pas du genre à demander à un auteur ce qu’il a voulu dire. La seule chose qu’il attend de lui s’il le rencontre, c’est de l’entendre lire son texte, ou de l’entendre tout court, de le voir.

L’empathie, mais jusqu’où ? Josée Kamoun a refusé de traduire Beloved de Toni Morrison parce qu’il l’aurait mis mal à l’aise (une mère esclave y égorge sa fille pour qu’elle ne soit pas prise) et qu’elle aurait eu du mal à vivre trois ans avec elle. Elle vient de refuser de traduire un texte de Bernard Malamud (un juif accusé de meurtre rituel) pour les mêmes raisons : « C’est bien de se mettre en péril, mais pas comme ça ». Claro a refusé David Foster Wallace car on ne peut pas tout traduire. Même si on admire un écrivain, il faut renoncer lorsqu’on ne se sent pas capable et que l’on pressent que le texte résistera. « Pour le dernier Pynchon, je vais dire non. J’ai traduit Mason et Dixon puis Contre-jour. Je sentais déjà que je ne pouvais pas faire Vineland à cause de l’abondance des dialogues, de l’argot, de référents sociaux ou techniques qui exigent une certaine compétence ». En s’emparant d’Esprit d’hiver de Laura Kasischke, huis clos oppressant entre une mère et sa fille, Aurélie Tronchet s’est sentie en péril. Elle fut tentée de refuser. Son éditrice Dominique Bourgois lui demanda : « Avez-vous des enfants ? Oui ? Alors traduisez-la. » Il lui a fallu amadouer sa peur avant d’éprouver le plaisir de relever un défi, de se colleter avec un texte perturbant et de vivre avec cette histoire qu’elle finira par raconter à ses filles.

Albert Bensoussan, lui, pousse loin l’empathie. Traducteur de Cabrera Infante, José Donoso, Manuel Puig, Zoé Valdès, Alfredo Bryce Echenique, Mario Vargas LLosa, Hector Abad, que des exilés comme lui, il va jusqu’à manger avec eux et dormir à côté d’eux pour mieux les comprendre et saisir « ce qui n’est pas dans les mots mais à côté des mots ». Josée Kamoun avoue, quant à elle, être encore envoûtée par Canada, qui remporte actuellement toutes les faveurs publiques et critiques :

« Richard Ford est mystérieux. Une présence absente. Quelque chose d’un traître. Il a l’apparence du calme et la tension derrière. Comme son roman. J’habite Canada autant que Canada m’habite toujours. Si c’était une musique, ce serait celle de Rye Cooder dans Paris Texas. Si c’était une image, le ciel y tiendrait les trois quarts de la place. Le reste, ce serait l’ondoiement des blés dans des villes fantômes. Ce n’est pas un hasard si Ford a voulu dédier son livre au paysage et au mystère des choses évidentes. »

Il fut dit, par Philippe Loubière, que le traducteur est un écrivain raté qui s’accapare le monde de l’autre car il est impuissant à s’approprier le sien. Peut-être… On entend souvent cette remarque. Mais après avoir passé le week-end à écouter les passionnants échanges du Festival VO-VF, je me demandais si le traducteur n’était pas plutôt un critique réussi. Car il n’est pas de critique littéraire dans ce pays qui soit capable de parler des textes aussi bien, aussi intelligemment, aussi profondément, que leurs traducteurs. Et pour cause ! Non parce qu’ils les ont en quelque sorte co-écrits, mais parce qu’ils les ont pénétrés, ressentis, fouillés dans une intimité sans égale. Reportez-vous à la nouvelle rubrique de ce site (La version du traducteur) pour en avoir une idée. Quel critique a jamais remarqué, comme l’a fait Albert Bensoussan, que les pieds récurrents dans l’oeuvre de Mario Vargas Llosa, qui en est véritablement fétichiste, doivent quelque chose au pied de Fanchette qui l’avait tant marqué chez son cher Restif de la Bretonne ?

Exigeants sur la qualité, les intervenants avaient parié sur l’intelligence du public et ils ont eu raison. On vous sait toujours gré de nous tirer vers le haut. Ils ont été dans le don. Même s’ils ont dédicacé quelques livres, ils n’avaient rien à vendre. Juste à donner, à offrir, à partager. Cela change et fait du bien.

(« Mario Vargas Llosa et son traducteur Albert Bensoussan » photo Xavier Lambours ; « William Gass et son traducteur Claro il y a quelques années à la librairie The Village Voice à Paris » photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères, vie littéraire.

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commentaires

807 Réponses pour Faut-il parier sur l’intelligence du lecteur ?

Chasse gardée dit: à

Inutile d’essayer de draguer bérénice, Pablito, c’est le domaine réservé de D. Demande à TKT, il en sait quelque chose.

umh dit: à

Ou Arte povera (d’esprit)

Pablo75 dit: à

@ Hum

« Ce que nous aimons tous chez Pablo75, c’est son extrême amabilité. »

Normal, je la cultive. Sinon, la grossièreté avec les cons des blogs est l’une de mes grandes spécialités. Ça les éloigne.

Vérité deci delà dit: à

Dans le style espagnol fier et mal embouché, Laz était quand même moins agressif (quoique?)

bérénice dit: à

Pablo les mots ont un usage mais je ne doute absolument pas de vos qualités à les utiliser pour évoquer le charme des saisons, la qualités des êtres et des ustensiles de cuisine, difficile de dresser la liste des domaines auxquels ils sont employés en fidèles serviteurs, d’autres langages existent qui eux s’attachent à l’indicible mais je crains que mon cerveau incontinent et à coté de vos plaques ne souffre aucunement de votre renoncement. Alors soit on peut faire dans un lit avec une femme des polissonneries.

Clopine Trouillefou dit: à

l’arrêt public délivre (des interdictions de stationner, of course).

une fois de plus, sur ce forum, ça canarde dans tous les coins : comme dans Breaking Bad ? je verrais assez bien notre hôte en Walter White, moi.

(je sais que nous sommes sur un site dédié à la littérature ; mais BB innove une telle écriture cinématographique – et pensez à Cocteau qui disait que le cinéma était l’écriture moderne dont l’encre est la lumière – que je tiens à souligner la fin de ce nouveau genre de chef d’oeuvre ; snif, c’est fini depuis hier)

Copions/Collons dit: à

« Sinon, la grossièreté avec les cons des blogs est l’une de mes grandes spécialités. Ça les éloigne. »
Pablo75

L’odeur du Chaloux, le goût du Chaloux mais ce n’est pas du Chaloux,
pas moins de boursoufflure mais peut-être moins de style dans le phrasé.
Comme quoi l’ersatz ne vaut jamais l’original.

Pablo75 dit: à

@ bérénice

Si un jour j’écris un roman avec un personnage français qui parle le « mallarméen » couramment, je vous promets que je vous prendrai comme modèle et que je viendrais ici lire tous vos commentaires pour les traduire en espagnol de la façon la plus exacte possible (ça va être dur, je sais, de traduire sans comprendre, mais je peux vous assurer d’ores et déjà que je ferai de mon mieux).

Clopine Trouillefou dit: à

pablo75, merci pour le lien, fort intéressant quoique circonscrit à l’Angleterre, apparemment. C’est une bonne nouvelle si les trolls ont du souci à se faire. Cela pourrait-il être rétroactif ? Tenez, un exemple au hasard : bibi. J’ai été accusée d’antisémitisme, d’exhibitionnisme, de mauvais traitements à enfant (le mien !), de carriérisme, de mensonge biographique, de nymphomanie, etc. Et j’ai dû fermer les commentaires de mon blog, arrêter de fréquenter, contre mon gré, la RDl pendant un certain temps (le temps que se calme la tempête trollesque qui a suivi la parution de Brèves de Blog), et surtout apprendre à ne jamais répliquer. C’était pénible ! Et puis, si Pierre Assouline dévoile les adresses IP et qu’on puisse poursuivre ceux qui vous diffament, ça calmera sans doute les plus virulents, que je ne nommerai pas mais suivez mon regard, nom de d’là !

PS : les messages haineux sont les plus insupportables : ceux qui vous trouvent idiote, impertinente, imbuvable et totalement dénuée de talent ont bien entendu le droit de le dire. Mais franchement : « Clopine, taisez-vous » ! Est-ce un argument ?

deux ou trois mots... dit: à

« Version art brut », « arte povera »

La confusion des genres…

bérénice dit: à

11h48 Non pas, mais enfin ce mot appartient à un autre siècle surtout pour qualifier l’érotisme version 21ème siècle.

Pablo75 dit: à

@ Copions/Collons

Toi je te prendrais comme le modèle du troll avec le trou du cul en plein cerveau.

Passons dit: à

12h23

renato n’a encore rien compris.

renato dit: à

Parce que il y a quelque chose à comprendre ?

Pablo75 dit: à

@ Clopine Trouillefou

« si Pierre Assouline dévoile les adresses IP et qu’on puisse poursuivre ceux qui vous diffament »

Si vous portez plainte et elle est acceptée P.Assouline devra dévoiler les IP des commentateurs à la police. En Espagne cela se fait déjà: il y a eu des commentateurs de blogs condamnés pour défendre anonymement le terrorisme de l’ETA.

De toute façon, ce qui est incompréhensible ici c’est qu’on laisse changer de pseudos aux trolls. S’ils n’avaient qu’un seul leur activité serait déjà plus difficile. J’ai du mal à comprendre pourquoi on n’exige pas de s’enregistrer pour pouvoir commenter.

C.P. dit: à

Clopine, pourquoi pas simplement : « Dérapage » ?

passons entre deux ou trois mots dit: à

un artiste pauvre peu être riche alors qu’un artiste brut est mal fagoté?

Copions/Collons dit: à

« Toi je te prendrais comme le modèle du troll avec le trou du cul en plein cerveau »
Pablo75

Joli, frais, pimpant, ton morceau de bravoure ?
Le problème, je dois bien te l’avouer, c’est ton roman.
Le risque que tu aies les capacités de l’écrire se trouve si proche de zéro (pour te faire une idée, par rapport à toi LML est à 99%) que la visite me semble hautement improbable.
P.S.
Les deux se portent fort bien.

renato dit: à

Que voulez-vous, on s’adapte à l’environnement.

Mais quel boulet! dit: à

Clopine Trouillefou à ressasser ses vexations!
Pôv’nunuche!

vivat dit: à

Comme dit Barozzi, le niveau est très élevé. Merci Pablo.

Souvenirs dit: à

Clopine,
vous n’aviez pas déjà un copain, grand spécialiste de la lutte contre les trolls, qui allait révolutionner la pratique des blogs ?
Résultats ?
Alors, laissez tomber Pablo, il ne vaut pas plus, un léger vent d’automne que nous oublierons vite.

La traduction pour tous dit: à

Ah, oui, Dérapage, c’est pas mal.

Pablo75 dit: à

@ Copions/Collons

« Le risque que tu aies les capacités de l’écrire ».

C’est fait, mon connard. Mais il n’y avait pas de personnage parlant le « mallarméen » dedans et encore moins un Crétin des Blogs avec le trou du cul planté dans la zone du langage du cerveau comme toi. Et maintenant c’est trop tard pour le corriger, il est publié.

Mais pour le prochain je vais commencer à copier certains de tes messages pour le personnage du Gros Branleur au chômage qui passe sa journée devant un écran à essayer d’oublier le pathétique ratage de sa vie. Même si on a beaucoup d’imagination et on a connu beaucoup de crétins, difficile d’inventer ta stupidité surnaturelle.

la nature a horreur du vide dit: à

Mauvaise langue ayant disparu, il fallait combler le manque : Pablo est apparu.

Poids et Mesures dit: à

« J’ai du mal à comprendre pourquoi on n’exige pas de s’enregistrer pour pouvoir commenter. »
Pablo75

Encore une intelligence supérieure.
Prenons un exemple :
Popol, billet du 28/09 sur RR : 0 commentaires (même pas christiane c’est dire et pourtant je suis sûr que le billet a été beaucoup lu)
RDL, billet du 30/09, près de 450 commentaires, pas tous intelligents je vous l’accorde mais il suffit de faire le tri, ou dans votre cas de ne pas écrire d’âneries.

Miroir, mon beau miroir dit: à

Pablo75 dit: 1 octobre 2013 à 12 h 58 min
le personnage du Gros Branleur au chômage qui passe sa journée devant un écran à essayer d’oublier le pathétique ratage de sa vie.

débile de tabac dit: à

> condamnés pour défendre anonymement

C’est à dire que s’ils avaient tenu les mêmes propos « pignon sur rue » ils s’en seraient tirés ?

Dans ses commentaires je sentais bien le parfum du romancier dit: à

Wwwwwwwwwaaaaaaoooooooouuuuuuuhhh !

Pablo a écrit un livre, publié qui plus est.
Là , maintenant ?
Sur les listes de prix peut-être.
Non. Dommage.
Donnez-nous au moins l’éditeur, après on se débrouillera.

renato dit: à

Poids et Mesures,

450 vs 0 est, évidemment, une bonne raison.

Cela dit, chez PE un mot de passe est demandé, mais il n’y a pas le formulaire d’inscription…

court, dit: à

Pour répondre à une question posée plus haut sur l’édition du Temps Retrouvé des Mémoires de la Comtesse, elle comporte deux tomes d’environ 540 pages chacun.
Pour un format sensiblement égal, l’édition princeps établie chez Plon qui avait le quasi monopole des Mémoires vers 1907-1908 comprend trois tomes de 505, 434, et 448 pages. Meme en admettant un index, il faut bien constater une déperdition de texte importante. Cela dit, Charles Nicoulaud, maitre d’œuvre chez Plon, publie ,c’est en toutes lettres, d' »Apres le Manuscrit original ». Ce qui sous-entend aussi des manipulations.Mais moindres que par exemple les Mémoires de Beugnot, réduites à une anthologie de morceaux choisis par son petit fils….
Bien à vous.
MCourt

bouguereau dit: à

pablo75, merci pour le lien

ce pablo c’est une vieille ploucasse trés capabe de s’émouvoir d’un papier qui recycle tous les nanars d’internet..le plus mignon c’est le coup du compte google pour « augmenter la qualité »..ça lui rsembe de bêtise..c’est ça qui fait peur chez pablo

bouguereau dit: à

une formule équivalent à « Breaking Bad » ?

casser l’pot..clopine..évidemment

bouguereau dit: à

le personnage du Gros Branleur au chômage

..ça mle rendrait plutôt sympathique

bouguereau dit: à

..cheloux tire bien..se lève tard..est un lecteur rare..il sait faire peuple et dire des gros mots..si c’est un gros branleur au chomage..alors alors c’est un phénisque épicétou

bouguereau dit: à

tu dois t’entrainer pour faire le con français pablo..faut qutu fasses le pélerinage a l’envers..compostel la garenne bezon a reculons..et là peut être peut être que tireras bien et que tu sras un fin lecteur..peut être c’est pas sûr

des journées entières dans les arbres dit: à

Bérénice, muchas gracias.

un pèlerin dit: à

..compostel la garenne bezon a reculons..

j’ai essayé mais c’est dur, j’ai craqué avant Rodez.

Clopine Trouillefou dit: à

bouguereau, pourrait-on dire que parfois, vous vous barrez en couilles, à moins que ce ne soit en sucette ?

Phil dit: à

Les Mémoires de l’abbé Mugnier, aussi tronquées par.. le biographe de Talleyrand. pensez si ces gens devaient traduire.
Editions du temps retrouvé..en morceaux.

Lochschmouf Dürkt dit: à

Chaloux m’a convaincu, j’ai pris la décision de me retirer définitivement de la RdL.
Ce n’est pas de gaîté de cœur, croyez-le bien, mais mon choix est aussi solennel qu’irrévocable. Je regretterai l’esprit de renato, l’humour de TKT, la candeur de bouguereau, la cruauté de C.P., les longueurs de Court, la franche paillardise d’u., la sagesse visionnaire de D., la profondeur de rose, l’érotisme de bérénice et la sévérité de Clopine.
Adieu donc.
N’essayez pas de me retenir,
Bien à vous,
Lochschmouf Dürkt

des nuitées partielles dans les troncs dit: à

non, Lochsmouf, non ! si tu pars, moi aussi !

Secrétariat de Sergio dit: à

en couilles, à moins que ce ne soit en sucette

Y a une nuance, bon dieu !

renseignements pris dit: à

@Dans ses commentaires je sentais bien le parfum du romancier dit: 1 octobre 2013 à 13 h 19 min

Pablo Sanchez, Mi Culo por encima de la comoda, Alfaguara.

Polémikoeur. dit: à

Ici, toujours pas d’appel !
En conséquence, la sortie
est aussi libre que l’entrée.
Pas de contrôle des papiers
non plus dans la carlingue.
L’être est réduit à ce qu’il écrit.
A pas grand chose.
Moinqueriennement.

Un forcené s'est retranché... dit: à

« compostel la garenne bezon a reculons.. »

Tu devrais te montrer plus vigilant à l’égard de ta syntaxe, bouguereau. Ce con de pablo a lu de traviole, comme d’hab’.
Mords le résultat : croyant qu’il s’agissait de « composter un garenne », la ploucasse s’est manié la rondelle et a couru s’offrir un Gastine-Reinette Grand sport.Triple canon superposés et juxtaposés à la fois (on peut aussi tirer dans les coins, en option), visée infrarouge et cartouches à propulsion nucléaire, bref, l’arquebuse tsoin-tsoin.
Depuis, c’est Fort Chabrol dans son HLM, le Raid et le GSG9 sont sur le coup, mais on redoute de nombreuses victimes.
J’espère que tu as un peu mauvaise conscience.Ca t’incitera peut-être à prendre des cours du soir chez M. de Chaloux ?

Prends un siège Cinna dit: à

« Pablo Sanchez, Mi Culo por encima de la comoda, Alfaguara. »

Bien qu’il soit Sanchez, c’est pas une raison pour poser son gros derche sur une commode Louis XIV.
On lui a pas refilé un pliant, avec sa casquette Ricard ?

court, dit: à

Oui, Phil. Ce qui n’empêchait pas Bory d’en avoir , avec son ex-libris crayonné, dans sa Bibliothèque.On s’en est aperçu à sa vente. Une manière d’honorer le Temps Retrouvé -l’Autre?-
Bonne journée.
MCourt

Mesures et Poids dit: à

oui, Poids et Mesures, avez-vous aussi remarqué le ps de Christiane plus haut à propos du blog de Paul Edel « miné par certains commentateurs » ? en réalité le tenancier s’est miné tout seul, sa suffisance ne tolérant pas d’être contredit et n’appréciant pas certains commentaires non complaisants, il se retrouve isolé en compagnie d’une dizaine de fidèles ressassant les mêmes idées ou points de vues ; c’est pour cela aussi qu’on ne retrouve plus certaines signatures qui ont ici le droit de s’exprimer sans entrave

Phil dit: à

La traduction, chevau-léger des notules à passoupline. La clé doit être dans Job.

Phil dit: à

M. Court, il y a pire: Mercure de France a réédité en papier.. « chiotte ».
management de japon bouffant.

lave-linge familial dit: à

Phil dit: 1 octobre 2013 à 15 h 08 min
passoupline

Phil n’a aucun respect.

C.P. dit: à

Loschschmouf Dürkt, non ! Ou bien je pars aussi, cruel !

court, dit: à

Ah oui, le Mercure de poche? Notez, Phil, que durant les grandes heures de la Maison, époque Rachilde, le papier était d’une qualité exécrable, malgré des tirages numérotés.C’est donc d’une certaine manière un retour aux sources. Dommage, car Evelyne Lever sait surement ce qu’est un vrai livre.
Bien à vous.
MC

Sergio dit: à

Secrétariat de Sergio dit: 1 octobre 2013 à 14 h 31 min
Y a une nuance, bon dieu

Enfin bon, si déjà ça peut conserver le tabac…

C.P. dit: à

Marc Court, simplement pour un salut : vous m’avez fait ressortir d’un grenier l’édition Dubochet (1836) de « Don Quichotte », traduit et annoté par Louis Viardot (deux gros volumes, les miens pas en très bon état). C’est, comme vous le dites, bien sage, d’entrée de jeu… Mais il y a les vignettes de Tony Johannot.

Bonne journée !

court, en spirite. dit: à

Mesure et Poids 15h O5
« -Esprits de Jacques Chesnel ou de John Brown, vous que le monde entier nous envie mais ne nous prend pas, si vous etes là , frappez trois coups, de préférence sur un homme et un blog déjà à terre! On vous reconnaitra à votre courage. »
_Ah, c’est déjà fait? Vous ne m’étonnez pas.
MC

Phil dit: à

M. Court, Vallette économisait plus qu’il lisait. où est passée sa fortune ? et celle de Dumur, sans héritiers directs ? (Léautaud, on sait, c’est tout pour kitetkat )

court, dit: à

Bonjour, CP! Hélas les gravures de Johannot ne sont pas toujours reprises pour aérer la traduction au demeurant intelligente de de Viardot. Il en va un peu ici comme du Faust de Nerval, avec le meme illustrateur.
Je ne sais plus quel graveur a commis celles de l’Oudin-Jouaust. Il porte un nom espagnol, et ses décors sont ont un coté pièce historique pour l’Odéon des années 1880. Il montre bien L’idée que le public de l’époque pouvait se faire de l’Espagne via l’opéra ,ou le Théatre historique façon Sardou in La Haine, par exemple. Cela donne un ensemble plus ornemental que vivant, parce que trop porté sur l’espagnolade savante, si j’ose dire…
Bien à vous.
MC

Sergio dit: à

La complicité, cela ne va pas. La ferveur comme dirait Saint-Ex. Mais la complicité, on dirait des gamins qui se tapent dans les paumes. et bien sûr, cela repose sur quoi, l’identité assurément. Donc même pas discuter, au gnouf dans les camps directos…

court, dit: à

Phil, Sur Dumur, une notice dans l’excellent une Foret oubliée de Dussert. Pour Valette, no se, mais il faudrait examiner les com(p)tes de Rachilde, qui lui a survécu longtemps, et menait grand train. La plaquette consacrée à son mari n’apprend pas grand’chose, et relève de l’hagiographie laique. Il est vrai qu’elle était très occupée avec les Phares et Balises…
Bien à vous.
MC

Albert Dumur, fils de l'autre dit: à

Phil dit: 1 octobre 2013 à 15 h 48 min
Dumur, sans héritiers directs

holà, holà, on se calme…

M. Jardint dit: à

ah, y a pas, il est calé, ce Court.

Phil dit: à

oui c’est juste, Dumur, divorcé en Suisse (s’il l’on peut dire).
Rachilde, ça commence au pseudonyme

Sergio dit: à

Ha l’hagiographie laïque ça c’est bien… Après on embaume, on met dans un aquarium ça rupine…

TKT dit: à

@ sherlock darwin dit:1 octobre 2013 à 11 h 48:
« bérénice remplacerait « polissonneries », trop pudipond (has been) par « saletés » ou « cochonneries »:
je proposerais volontiers « vorspiele » ou « petits-plaisirs avant le pur plaisir »

Harry Bot dit: à

Hier TKT nous expliquait son pur plaisir en une grosse dizaine d’items.
Aujourd’hui nous apprenons qu’il a aussi plein de petit-plaisirs avant chaque pur.

Je me demande s’il ne confond pas plaisir et fraise tagada.

court, dit: à

Un des mérites parmi bien d’autres de Dussert, c’est de faire comprendre que meme un Dumur ait pu exister…
MC

TKT dit: à

HR, vous devriez oublier Haribo macht kinder froh et si vous n’avez pas encore de trous de mémoire, vous rappelez que le pur plaisir passe mieux après les petits-plaisirs.

Dussert dit: à

Au pied, Dumur.

TKT dit: à

HR, les fraises tagada, sont-elles une espèce nippone ?

Harry Bot dit: à

Je ne suis pas HR, Thierry, je suis JC.

TKT dit: à

Kinder k gross geschrieben, also K

HR dit: à

Vous confondez, TKT.
Remarquez, je ne sais plus moi-même qui je suis.
u. ? Peut-être… Phil ? En tout cas, ni Court ni C.P., c’est à peu près sûr. Sergio ? Faut voir.

Con voit le màt dit: à

Au pied, simplement.

hamlet dit: à

whaouhhhh.
il suffit que Monsieur Assouline mette le mot « intelligence » dans le titre pour que le niveau batte des records.

vous pouvez ralentir un peu et faire venir des trolls histoire de souffler, il faut penser à ceux qui n’ont pas la chance d’être intelligents comme vous, je parle pas de moi mais de greubou, le pauvre greubou il est totalement largué.

Monsieur Assouline j’espère que vous ne mettre pas le mot « érection » dans le titre d’un prochain article…

Didier dit: à

u., cessez de taquiner TKT, c’est un tendre, il est susceptible.

hamlet dit: à

le fait est que les traducteurs sont meilleurs avec le temps : on traduit de mieux en mieux.

quand je vais pour acheter un livre étranger je me dis « non! ne l’achetons surtout pas maintenant!! attendons plutôt la prochaine traduction… ».

hamlet dit: à

la traduction c’est comme l’amour : la première fois c’est jamais top, la seconde c’est déjà mieux, et pour ceux qui ont la chance d’arriver à la centième fois, il parait que c’est le nirvana.
je dis il parait parce que je me suis arrêté au numéro 2, il m’en reste 98.

hamlet dit: à

u. : vous vous êtes fait remonter les bretelles là où vous savez?
je veux rien dire mais moi ça m’aurait pas plu.

dolbach dit: à

je voudrais bien savoir par quel cheminement d’esprit TKT a fini par comprendre que u. était D. Sa sagacité est étonnante.

D. dit: à

Je me demande s’il ne confond pas plaisir et fraise tagada.

C’est curieux, il m’arrive à moi aussi de me poser la même question. Harry Bot, savez-vous que vous venez de vous faire un ami, presque un frère ? Je vous salue, Harry. Je pressens que vous et moi sommes au diapason, comme dirait Sergio. Nous ferons de grandes et belles choses ensemble, ami, toi et moi, nous deux. Nous serons les Poireau et Serré de la RdL, ses Roux et Combaluzier, ses Stone et Charden, ses Peter et Stone, Sloane, bon je m’égare.
Pourtant, lors de ma dernière livraison (un semi entier, si je puis dire, sans parler des taxes douanières : on comprend mieux d’où vient la fortune des Suisses, ces fumiers), j’avais pris soin de glisser au coeur de la plus grosse des fraises, quasiment une fraise géante, soigneusement roulé en boule, un mode d’emploi à l’intention de mon ami Thierry.
Je pensais, prudent comme je le connais, qu’il donnerait les tagada à son goûteur personnel, puis, le lundi suivant, constatant que le connard est toujours vivant, se hasarderait à taster chaque fraise du bout de ses lèvres purpurines, gourmandes et charnues,lesquelles signent sans conteste l’homme sensuel et ardent, voire hardant. Eh bien, je me suis trompé, force m’est de le reconnaître. Cet infâme gougnafier, ce goulamasse pour noces et banquets de sous-préfecture a dû boulotter 38 tonnes de tagada comme pour rire. J’ai le regret de dire, devant la RdL réunie en assemblée plaignière, que Thierry n’est plus un homme, c’est un entonnoir, un oesophage, une trémie sur pattes et en charentaises.
Mais il demeure et sera toujours mon ami, contre vents et marées (l’abus de fraises tagada a, je me répugne à le dire, mais je me dois, je vous dois la plus grande honnêteté, de fâcheuses conséquences sur le fonctionnement des organes de la digestion et de l’excrétion. Voilà, c’est dit, je vous avais prévenus que ce n’était pas ragoûtant, tout le monde a bien pris son quatre heures, au moins ?)
Au fait, Thierry, avez-vous songé à regarder dans les soucoupes que j’avais malicieusement glissées dans le stock de tagadas tsoin tsoin ? Ne me dites pas que vous les avez avalées elles aussi, immonde bâfreur ! Ne me dites pas ça, rontudju, ou je fais un malheur !
Hein, tu dis, mon Thierry chéri ? Non ? Nooon, vrai de vrai ? Ouf, j’en suis bien aise. Tu me retires un grand épieu de la pine, un gland épais de la…mais qu’est-ce que je raconte, moi ? Tiens, je retire toutes les méchancetés que tu m’as forcé à te dire, grrrrand fou !
Thierry, quand tu auras mis la main (ta senestre, celle du coeur, et qui est bien plus velue que la dexter, la dextre, merde ! si mes souvenirs sont bons, mis la main, disais-je, sur la soucoupe, une fois que tu auras fini de sniffer son contenu (tu verras, tu m’en diras des nouvelles), fais ce que je te dis. Ecoute bien, animal, ton avenir et celui de l’espèce humaine sur Terre en dépendent !
Sur le dessus de la soucoupe, tu trouveras un petit bitognot rose (je sais bien que tu ne les trouves jamais, mais là, fais un effort, quoi, merde !), soigneusement enfoui dans un repli du revêtement de la soucoupe, tel un petit-gris ayant oublié d’écouter Météo-France. Actionne-le (délicatement, ne fais pas ton butor), écoute la mélodie qui s’échappe en fines volutes du bouzin (on dirait du Chopin, avec Chaloux aux manettes, eh bien, c’en est !), et agrippe-toi aux rideaux (que dis-tu, ça glisse, Alice ? et alors, les mouchoirs, c’est pas fait pour les bichons !). Tu vas connaître l’expérience unique, jamais vécue par aucun humain avant toi, de la télétransportation sur Alpha du Century 21 (les loyers y sont réduits, les concierges toujours dans l’escalier, pas de conflits de voisinage, tu y seras comme un poisson dans l’eau).
Prêt, Thierry ?
Allez, go !
Bon, il est temps que que je prenne un peu de repos, moi.
A bientôt, les amis.

renato dit: à

Dans un moment critique dans la vie de sa maison (1983), Giulio Einaudi avait conçu, et suivi personnellement, une très intéressante collection « Écrivains traduits par des écrivains ». Il n’y a eu que 82 volumes (bilingues et trilingues), mais ce fut une intéressante expérience de lecteur.

L'Œil dit: à

Le 17 h 59 sent son u., même si on y trouve certaines fautes qu’il ne fait pas (il en fait d’autres). Mais elles sont peut-être mises là exprès et son « plaignière », par exemple, peut très bien être un jeu de mots…

Hé, renato, t'as une banane dans l'oreille ! - Ma qué, che cosa ? - Non, rien, laisse tomber... dit: à

« Giulio Einaudi »

Giulio, c’est un mec qui n’arrive jamais à se faire entendre.
Un peu comme Renato, quoi.

christiane dit: à

Oui, M.Court. comme il défend bien les écrivains oubliés ! Plus de cent auteurs (romanciers, poètes…) dont il explore longuement la vie, l’œuvre et les raisons de ces oublis souvent injustes (dont le décalage avec l’attente des contemporains de l’auteur mais pas seulement – guerres, maladies, suicides…).
Lisant Une forêt cachée (La table ronde /567 pages), il m’est arrivé de m’interroger sur les hiérarchisations habituelles des auteurs, des « grands livres » et ceux qui ne le seraient pas, sur la célébrité… sur ceux qui sont absents des manuels scolaires, des anthologies. J’aime la chronologie( de 1566 à 1946 – pour les naissances), la bibliographie précise et les fragments bien choisis.
On y parle aussi du rôle des éditeurs à qui ils ont confié leur manuscrit (rééditions…).
La littérature… « A l’image même de la vie, c’est un Barnum, un grand bazar récurrent de génération en génération dont la vaine gesticulation de la « saison des prix » ne donne qu’une piètre idée. (…) un superbe champ de fouilles (…) les tessons y sont des écrits anciens…(…)
Tout est affaire de paradoxe : « Quel auteur n’est pas lu ? était ma première question. « Pourquoi ? » était la seconde. »
Et il ajoute dans sa préface (écho au billet de P.Assouline) :
« Aussi, pour représenter les humbles parmi les humbles, j’ai choisi de faire leur place dans ce volume à ceux que l’on oublie souvent, une traductrice, des éditeurs, une poignée de critiques qui ont tous aimé assez les Lettres pour adopter un chef-d’œuvre, un texte inoubliable, un écrivain de talent. sans compter les inventeurs de langue, de formes, d’idées plus ou moins saugrenues. (…) Renverser des préjugés, j’y serai parvenu si, au sortir des pages qui suivent, chacun éprouve l’envie de lire un auteur qu’il ignorait jusque-là. »
Merci, M.Court d’avoir évoquer ce livre , un jour, dans les commentaires du blog de Paul Edel.

Le maître des colles dit: à

« Le 17 h 59 sent son u »

Un petit coup de destop, et ça devrait aller mieux.
Je rappelle que je donne des cours du soir en analyse stylistique,tarifs réduits spécial RdL of course, on n’est pas des chiens. Pour l’instant, seul Bouguereau s’est inscrit, mais il n’est pas très assidu, sans vouloir balancer.
Bouguereau, carnet de correspondance, please !

Pirouette dit: à

à Monsieur le Marquis de Court
l’un de vos écuyers me rapporte que vous citez le patronyme de mon compagnon dans l’un de vos billets, le dernier étant particulièrement venimeux à son égard. Sachez, M. le petit marquis, qu’il n’est pas dans son habitude de dégainer contre les occupants d’une diligence fusse-t-elle en perdition. Je vous laisse donc mijoter dans vos crachouillis qui essaient, en vain, d’atteindre à sa considération.
Vous comprendrez alors que je m’abstiens de vous saluer.
Pirouette

christiane dit: à

@hamlet dit: 1 octobre 2013 à 17 h 23 min
je vous lis en riant.

renato dit: à

P.S. à propos de trilingue — p. ex.

La rédaction anglaise de « Anna Livia Plurabelle , la version française de Beckett & Co (avec la collaboration de Joyce), et l’Italienne de Joyce avec Nino Frank de 1940.

Pompon dit: à

Les forêts cachées, ça existe pas.

Le maître des colles, qui n'aime pas qu'on lui conchie ses santiags dit: à

 » même si on y trouve certaines fautes »

Quoi, des fautes ? Où ça, pourquoi, comment, sag : warum ? A quoi ça sert ?
Annonce la couleur, amigo, ou va te faire considérer chez les Héllènes.

christiane dit: à

@Mesures et Poids dit: 1 octobre 2013 à 15 h 05 min
Quelle bassesse… (pas la peine d’inventer un nouveau pseudo on vous a reconnu(e) !)
Paul Edel n’a jamais refusé les débats littéraires sur son blog mais la conn… lui donnait de l’urticaire !

Fût-il futile ? Il le fusse, Maître, il le fusse ! dit: à

« fusse-t-elle en perdition »

De Coulanges ?

Pouy, deibel ! dit: à

« l’un de vos écuyers me rapporte »

Le petit écuyer a cafté, comme dirait l’excellent ami Pouy ?

Sergio dit: à

Pouy, deibel ! dit: 1 octobre 2013 à 18 h 31 min
Le petit écuyer a cafté

Je connaissais un gars qui mangeait physiquement le café en poudre, c’était le genre Alain Delon dans l’Homme pressé, le verre d’eau chaude pour faire passer ! La vie était dure pour ses sbires…

Le gardien du chalet dit: à

« le patronyme de mon compagnon  »

M.Pirouette-Caca wet, il nous serait agréable que vous sussiez que notre établissement, lequel vient d’obtenir sa 3ème Balayette dans le Guide Gogues-et-Mayo 2014 (l’une étant propitiatoire aux autres, pour les mous de la comprenette),notre établissement, disais-je, ne saurait tolérer en son sein de pareilles turpitudes, qui éclaboussent non seulement l’émail impeccable de nos sièges, que pour les récurer t’as le bonjour d’Alfred, eh patate !, mais encore la réputation que nous nous sommes forgé (un « e » ou pas ? ah putain, ces verbes pronominaux, quelle chierie ! Chaloux, à moi !)à la force du poignet. Nous sommes ici par la volonté du peuple, et nous n’en sortirons que par la force des boyaux nets !
Tenez-vous le, tenez-le vous, tenez le bout, comme vous voudrez, m’en branle ! pour dix, et ne venez plus nous faire iéch, comme dit mon excellent ami et commensal Bouguereau (à propos, une fondue de boeuf à la ficelle ce véquende, ça te dit, mon pote ?)

Pompon dit: à

que nous nous sommes forgé (un « e » ou pas ?

Là, Chaloux, tu me déçois. La réputation que nous sommes forgéE, évidemment. C’est comme ton « plaignière » et ton « bitognot ». Rho là, tu baisses.

U. mon cul ! dit: à

« ton « plaignière » et ton « bitognot » »

Oh, la pomponnette, mollo sur le champignon, if you plesae ! Garce, salope, ordure !
Mes soi-disant fautes (tiens, j’ai gfailli ajouter un « e », je me suis retenu, pas trop t’embrouiller, qu’après tu nous encombres les urgences en creusant le trohu de la sécohu avec tes ratiches de musaraigne), je les distille à loisir,à plaisir, à Rambouillet et à Bougival aussi, ad libitum, ad libidinum même, si ça me chante. Et ça !

D. le vrai dit: à

Je ne sais pas qui est le D. de 17h 59, mais je puis vous dire que c’est pas moi, et que c’est du bien mauvais moi qu’il a fait. Et avec des longueurs en plus. Je m’ennuyais à la fin.
Je ne l’encouragerais aucunement à continuer.

D. le vrai dit: à

Qu’entendez-vous par « profondeur de Rose » à 14h 24 ?

Maikikinaiki dit: à

Le 17h59, u. !
Sûrement pas.

Colette qu’a plié ses gaules,
là oui.

Au secours! dit: à

snif, c’est fini depuis hier)

Ils ont vu débarquer la grosse de sa Normandie!
Sauvvvve quiiiiiii peuuuuuuuuuuuuut!

D.,qui commence à l'avoir raide d'être usurpé à tout bout d' chou dit: à

Je ne sais pas qui est le D. de 17h 59, mais je puis vous dire que c’est pas moi, et que c’est du bien mauvais moi qu’il a fait.

Vous savez que j’ai des absences, ces temps-ci. Il faudra me pardonnez, mais je sais que je peux conter sur vous. De plus en plus fréquentes, d’ailleurs,ces absences. Il faudra que je songe à consulter. Vous avez tous compris que le D. de 19 h 04 n’était pas de moi, tout en l’étang, pardon…l’étant.
Je suis très dur avec moi-même, et me passe peu de choses, excepté un peu de gomina, le matin avant d’aller au turbin, et le soir, de l’onguent gris car je suis sujet à tout un tas de parasites, en comparaison desquels ceux sévissant céans sont de la petite bière.
J’ai donc jugé bon d’être sans complaisance avec ce commentaire dont la longueur m’a, en effet, plongé dans une torpeur dont je sors à grand-peine.
Tiens, d’ailleurs, j’y retourne immédiatement.

CQFD dit: à

mais la conn… lui donnait de l’urticaire !
Christiane

Vu qu’il n’y reste plus que vous, en date du 16 septembre, il faut croire que c’est vous qui donnez de l’urticaire.

Kikinaiki a un petit kiki ! dit: à

« Colette qu’a plié ses gaules,
là oui. »

Caramba(r), encore raté !
Suivant…

Pompon dit: à

« je sais que je peux conter sur vous. » (19h14)

Et celle-là, Chaloux ? C’est exprès aussi ?

D. le vrai dit: à

Je regrette, mais je ne l’ai pas raide, sauf le matin au réveil.

hamlet dit: à

je ne vois pas pourquoi vous dites qu’Emmanuelle Devos a une vilaine voix, sa voix n’est pas pire que celle de Fanny Ardant.

hamlet dit: à

oups désolé je me suis trompé de blog.

glaciers dit: à

« on comprend mieux d’où vient la fortune des Suisses »
elle vient des Templiers

D. le vrai dit: à

Il m’arrive aussi de faire des rêves érotiques suggérés par des succubes.

Didine dit: à

D.,qui commence à l’avoir raide

Vantard!

D. le vrai dit: à

En tous cas l’histoire des lingots d’or à destination de Zurich, personne ne l’a inventée.

hamlet dit: à

pour les germanistes qui ne parlent pas le russe, comme Phil, je leur conseille de lire Tchekhov en allemand, la traduction est bien meilleure qu’en français.

Borgès lui est mieux traduit en anglais.

et Pavèse le mieux est de le lire en danois, les danois ont en effet la chance d’avoir un très bon traducteur italien.

collationnons dit: à

TKT dit: 29 septembre 2013 à 19 h 50 min
Une chose est sûre, Chaloux, vous n’êtes pas doué pour écrire des pastiches.

Rectification dit: à

« Pavèse le mieux est de le lire en danois, les danois ont en effet la chance d’avoir un très bon traducteur italien. »

Vous n’êtes pas sérieux, hamlet ! Ce type est un escroc, un charlatan qui non seulement fait des contresens énormes mais écrit le danois comme un pied.

court, dit: à

Je ne sais pourquoi les dénégations Pirouettesques me rappellent, en transposant, certaine épigramme racinienne bien connue:

« Entre Leclerc et son ami Coras
Tous deux rimeurs rimant de compagnie,
N’a pas longtemps s’ouvrirent grands débats
Sur le propos de leur Iphigénie.
Coras lui dit: la pièce est de mon cru
Leclerc répond: « elle est mienne,elle est votre, »
Mais aussitôt que l’ouvrage a paru,
Plus n’ont voulu l’avoir fait l’un et l’autre! »

Ainsi en est-il des vilenies littéraires, meme bloguesques…On les désavoue après les avoir commises.
MCourt

nicolas stivi dit: à

« Borgès lui est mieux traduit en anglais. »

en espagnol la trad est pas mal

Desmedt dit: à

Belle conclusion que la fin du billet, Pierre Assouline. Pour un peu, on se prend à vous croire sincère. Témoignant d’un amour pas trop faisandé de la littérature. Sans faux col, en plein dans le motif, se gardant des flonflons habituels, capable d’enthousiasme. Cela aussi change et fait du bien.

Matthieussent parle d’acrobaties pour traduire. Pure vengeance?

C.D.

Pablo75 dit: à

@ hamlet

« Borgès lui est mieux traduit en anglais. »

N’importe quoi… Jean Pierre Bernès a traduit Borges pendant 30 ans avec sa collaboration.

des journées entières dans les arbres dit: à

Desmedt dit: 1 octobre 2013 à 19 h 38 min
Ah ! Ses notes de bas de page.
Quel panache, Brice Matthieussent, c’est extra.

ren ren you lian shu shu you pi* dit: à

. Un colloque qui fera du bruit à Paris.
SOT => Silence, On Traduit

hamlet dit: à

« N’importe quoi… Jean Pierre Bernès a traduit Borges pendant 30 ans avec sa collaboration. »

en vérité, pour tout vous dire Pedro je ne suis pas certain que la collaboration de l’auteur soit une bonne chose.

en effet quand l’auteur collabore à une traduction, immanquablement lui vient l’envie de réécrire son texte.
vous savez comment sont les auteurs? jamais satisfait.

aussi, mais là je vous donne mon avis personnel, je crois que Bernes s’est laissé totalement enfumé par Borgès.
comme vous le savez Borgès a enfumé un tas de gens, même Monsieur Assouline, et aussi ses lecteurs, pourquoi n’aurait-il pas enfumer son traducteur ?

la participation de l’auteur est parfois une bonne chose, j’en conviens, mais pas quand il s’agit de Borgès.

résultat des courses Borgès a profité de cette traduction en français pour réécrire une nouvelle oeuvre, totalement inédite, n’existant dans une aucune autre langue.

le traducteur lui disait : « mais vous êtes sûr ? là ce n’est pas la traduction ? » Borgès : « mais oui faites moi confiance ».
faites moi confiance Pedro !
s’il y a un auteur à qui il faut pas faire confiance c’est qui ? c’est Borgès !!!
ou alors dites que vous n’avez jamais lu Borgès et cela mettra définitivement fin à cet échange sans queue ni tête.

hamlet dit: à

pourquoi ne suis-je pas écrivain?
Pedro j’ai des millions d’idées dans ma tête.

le problème est que l’histoire de Borgès qui profite de son traducteur pour réécrire une nouvelle oeuvre vous la verrez éditer l’année prochaine.

pourquoi parce qu’un tas de types misérables viennent sur ce blog depuis des années pour me voler mes idées.
je ne vous fais pas la liste de tous mais croyez moi il y a eu, dix, cent livres!
plus mal écrits les une que les autres, à part peut-être Chevillard qui m’a tout volé mais pour en faire de belles choses, je l’admets.

Pedro moi seul pouvais les écrire, mais voyez-vous je suis une feignasse, une grosse feignasse.

alors s’il vous vient l’idée d’écrire cette histoire de Borgès qui profite de son traducteur pour ré écrire une nouvelle oeuvre je vous préviens, ça va très mal se passer pour vous!!!

boire ou écrire… il faut choisir.

U. dit: à

Absent hier et ajd (smartphone pas commode)
Je ne poste jmais contre TKT.
Bande de Ah-beng

Mais comme dit CP, ce n’est pas grave

des journées entières dans les arbres dit: à

________________________________________
*je loge ici sous cette fine barre noire. Voici mon lieu, mon séjour, ma tanière

Daaphnée dit: à

smartphone pas commode

Pfff ! En train de jouer avec des gadgets !

(Vous êtes resté gamin, U., non ?)

Daaphnée dit: à

( de toutes les façons, j’ai une grande théorie sur l’enfantinerie des hommes.
Moi qui suis, contrairement à certaines-que-je-ne-nommerai-pas, femme jusqu’au bout de mes jolis ongles … tsss !)

des journées entières dans les arbres dit: à

Bon, mais je trouve quand même que Claro s’en sort un peu trop bien, de ce colloque.
Riche idée que ce colloque à Gif sur Yvette ( un beau golf, si je me souviens des années héroïques)
Hamlet, cette âme russe, faut en causer maintenant, ou plus tard ?

Daaphnée dit: à

[( Et que personne n’essaie de me faire dire que – tiens! Au hasard … – j’aurAIS dit que Clopine est une grosse patate. Non, je ne l’ai pas dit. Non, non et non . )]

C'est là que réside le problème dit: à

« j’aurAIS dit que Clopine est une grosse patate. »

Ok, ok, c’est vrai.
Mais en quoi cela vous exonère-t-il de votre patatoïté propre ?
En rien.

Daaphnée dit: à

Alors ça, sachez bien que je ne réponds pas à des inconnus. Ma religion me l’interdit.
N’insistez pas.
Non c’est non.

U. dit: à

Clopine a dit « jusqu’au bout des seins », Daaphnée.

Forcément ça ébranle certains

Daaphnée dit: à

Plus exactement, U., son expression la plus éthérée est  » ça m’f’rait mal au sein » (!) ou qqc d’approchant, en usage chez les chauffeurs routiers.

Bref, nous sommes loin de l’âme russe .., même japonaise .

des journées entières dans les arbres dit: à

« les pieds récurrents dans l’oeuvre de Mario Vargas Llosa, qui en est véritablement fétichiste, doivent quelque chose au pied de Fanchette qui l’avait tant marqué chez son cher Restif de la Bretonne ? »

« pfeuhhh »

Daaphnée dit: à

(U., juste entre nous, si j’ai bien compris, vous êtes encore parti .. dans quel état allez-vous (me) revenir ?)

Daaphnée dit: à

Restif, il portait bien son nom !
J’aime mieux l’ambiguïté des moqueries de Crebillon fils,

« Nous étions alors dans le printemps ; et, en sortant de chez Germeuil, j’allai aux Tuileries. Je ne ressouvins en chemin du rendez-vous que m’avait donné Madame de Lursay ; mais, outre qu’il ne me paraissait pas alors aussi charmant que la veille, je ne me sentais pas assez de tranquillité dans l’esprit pour le soutenir. La seule image de l’inconnue m’occupait fortement ; je la traitais de perfide, comme si elle m’eût en effet donné des droits sur son cœur, et qu’elle les eût violés. Je soupirais d’amour et de fureur ; il n’était point de proets extravagants que je ne formasse pour l’enlever à Germeuil ; jamais enfin je ne m’étais trouvé dans un état si violent. »
Les égarements du coeur et de l’esprit

horatio dit: à

En grande forme, hamlet !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…le Yin et Yan, république-Cain,…

…le rêne des avortons fascistes et raciaux U.S.,…les intello’s,…de la culture du Bâton de berger,…
…ou , comment subsister en ayant tout faux sur ses compétences d’intello’s des familles à Caste,…le nombril de l’éléphant en l’air,…

…par tout les saints,…c’est de la merde-gay’s,…en bouille-à-baise des Cain’s,…

…un peu, l’élite tolérante,…c’est çà la  » noblesse d’états-unis « ,…en  » masters,…

…Oui,…chatouille-moi,…plus encore,…Oui,…çà vient,…Ah,…Ah,…j’en ris encore,…des élites de merde,…retourner dans vos Stalag-13,…et prenez un sauna, un bain et a la vapeur en bois de musc,…Oui, çà sent le gros porc  » intello « ,…jusqu’ici,…

…Oui,…achète du Coco-Chanel 5,…Sissi,…pour ta vapeur, Go Home U.S.,…
…etc,…envoyez,…

U. dit: à

« Ne nous égarons pas », comme disait Derrick. ..

Daaphnée dit: à

Maigret aussi, ce n’est pas mal.
Pas d’hémoglobine, juste ce qu’il faut .

bouguereau dit: à

y’a plus de pipes que dans derrick

D. dit: à

Daaphnée dit: 1 octobre 2013 à 20 h 34 min

( de toutes les façons, j’ai une grande théorie sur l’enfantinerie des hommes.

Cela m’intéresse au plus au point, Daaphnée.
Pourriez-vous me l’expliquer en privé ?

ren ren you lian shu shu you pi* dit: à

juste pour dire
lu des articles rapprochant la pensée occidentale et tout prticulièrement la poésie de l’amour courtois de l pensée védique
(rencontres avec Charles Malamoud

D. dit: à

Derrick ça me déprime. Le merveilleux design germanique dans les années 80 y est pour quelque chose. Vibration zéro et même moins.

bouguereau dit: à

Il m’arrive aussi de faire des rêves érotiques suggérés par des succubes

si qu’elles sugérent seulement c’est des faussés dédé..et l’inquisition t’arraches les ongles et te tort les couilles..c’est justice avec les couillons de simulateur..sois plus ferme dans tes visions

bouguereau dit: à

Derrick ça me déprime

c’est l’but pour augmenter les parts de marché de bmw..

bouguereau dit: à

moi c’est iron man..c’est pour augmenter les parts de marché d’audi

bouguereau dit: à

bouguereau, pourrait-on dire que parfois, vous vous barrez en couilles, à moins que ce ne soit en sucette ?

à l’anis c’est vraiment des conneries clopine.. pourquoi pas au pernod ou au 51..non mais franchement

des journées entières dans les arbres dit: à

Hamlet, c’est avec ce que Chantal dit le 30 septembre 2013 à 13 h 13 min que j’ai retrouvé dans « Yves Bonnefoy , dans la fabrique de la traduction »- livre de Giovanni Dotoli-, la traduction du sonnet LXXI.
Vous la voulez ?
sûr ?
Non parce que je sais que ça va faire plaisir aussi à ren ren you lian shu shu you pi*
Je vous donne juste le début:
« Ne me pleure pas plus longtemps , quand je serai mort,
Que ne retentira le sombre glas
Qui mornement annoncera au monde
Que j’en ai fui la vilénie pour vivre
Parmi les vers, certes plus vils encore.

Et même si tu lis ces lignes n’aie aucun
Souvenir de la main qui les a tracées,
Car si songer à moi dût te faire souffrir
Je t’aime tellement que je préfère
Ne pas rester dans tes tendres pensées »

pfeuuuh, ça en jette un peu, non ?

ren ren you lian shu shu you pi* dit: à

la main à la pâte
Qu’est-ce que « La main à la pâte » ?

« La main à la pâte » existe depuis 1996, à l’initiative de Georges Charpak, prix Nobel de physique 1992, Pierre Léna, astrophysicien, Yves Quéré, physicien, et de l’Académie des sciences.

Son objectif est de rénover l’enseignement des sciences et de la technologie à l’école primaire en favorisant un enseignement fondé sur une démarche d’investigation scientifique. Exploration du monde, apprentissages scientifiques, expérimentation et raisonnement, maîtrise de la langue, argumentation et éducation à la citoyenneté sont associés.

Chaque enfant doit pouvoir ainsi approfondir sa compréhension des objets et des phénomènes qui l’entourent et développer sa curiosité, sa créativité et son esprit critique.

De nombreux acteurs, enseignants, formateurs, conseillers pédagogiques, inspecteurs, ingénieurs, scientifiques, étudiants en sciences, etc. accompagnent la mise en œuvre de la main à la pâte.Qu’est-ce que « La main à la pâte » ?

« La main à la pâte » existe depuis 1996, à l’initiative de Georges Charpak, prix Nobel de physique 1992, Pierre Léna, astrophysicien, Yves Quéré, physicien, et de l’Académie des sciences.

Son objectif est de rénover l’enseignement des sciences et de la technologie à l’école primaire en favorisant un enseignement fondé sur une démarche d’investigation scientifique. Exploration du monde, apprentissages scientifiques, expérimentation et raisonnement, maîtrise de la langue, argumentation et éducation à la citoyenneté sont associés.

Chaque enfant doit pouvoir ainsi approfondir sa compréhension des objets et des phénomènes qui l’entourent et développer sa curiosité, sa créativité et son esprit critique.

De nombreux acteurs, enseignants, formateurs, conseillers pédagogiques, inspecteurs, ingénieurs, scientifiques, étudiants en sciences, etc. accompagnent la mise en œuvre de la main à la pâte.Qu’est-ce que « La main à la pâte » ?

« La main à la pâte » existe depuis 1996, à l’initiative de Georges Charpak, prix Nobel de physique 1992, Pierre Léna, astrophysicien, Yves Quéré, physicien, et de l’Académie des sciences.

Son objectif est de rénover l’enseignement des sciences et de la technologie à l’école primaire en favorisant un enseignement fondé sur une démarche d’investigation scientifique. Exploration du monde, apprentissages scientifiques, expérimentation et raisonnement, maîtrise de la langue, argumentation et éducation à la citoyenneté sont associés.

Chaque enfant doit pouvoir ainsi approfondir sa compréhension des objets et des phénomènes qui l’entourent et développer sa curiosité, sa créativité et son esprit critique.

De nombreux acteurs, enseignants, formateurs, conseillers pédagogiques, inspecteurs, ingénieurs, scientifiques, étudiants en sciences, etc. accompagnent la mise en œuvre de la main à la pâte.Qu’est-ce que « La main à la pâte » ?

« La main à la pâte » existe depuis 1996, à l’initiative de Georges Charpak, prix Nobel de physique 1992, Pierre Léna, astrophysicien, Yves Quéré, physicien, et de l’Académie des sciences.

Son objectif est de rénover l’enseignement des sciences et de la technologie à l’école primaire en favorisant un enseignement fondé sur une démarche d’investigation scientifique. Exploration du monde, apprentissages scientifiques, expérimentation et raisonnement, maîtrise de la langue, argumentation et éducation à la citoyenneté sont associés.

Chaque enfant doit pouvoir ainsi approfondir sa compréhension des objets et des phénomènes qui l’entourent et développer sa curiosité, sa créativité et son esprit critique.

De nombreux acteurs, enseignants, formateurs, conseillers pédagogiques, inspecteurs, ingénieurs, scientifiques, étudiants en sciences, etc. accompagnent la mise en œuvre de la main à la pâte.

bouguereau dit: à

Tigro, tigro, brile brula
En arbaro nokt-obskura,
Forĝis kia man’ eterna
Vin je simetri’ konsterna?

En kia fundo aŭ ĉielo
Ardis via okulhelo?
Kia lin flugil’ subtenis?
Kia man’ la fajron prenis?

Per kiaj ŝultro kaj kompreno.
Por vi tordiĝis kortendeno?
Kaj kiam pulsis batoj koraj,
Kiaj pied’ kaj mano gloraj?

Kia martelo? Ĉeno kia?
Kia forn’ por cerbo via?
Riskis kia fort’ kolosa
Spiti al terur’ ambosa?

Kiam steloj sin malarmis
Kaj sur la ĉielon larmis,
Ĉu la verko al li karis?
Ĉu vin Ŝafid-farinto faris?

Tigro, tigro, brile brula
En arbaro nokt-obskura,
Forĝus kia man’ eterna
Vin je simetri’ konsterna?

bouguereau dit: à

la zic qui va avec..le mec rsembe exactment a l’idée que jme fait de vontraube..une façon de succub de l’enfer
dire que c’était le papes de l’indus et du scandale a ma soeur..ha le charclo qu’c’est dvenu

https://www.youtube.com/watch?v=rwvoHP7bUAw

des journées entières dans les arbres dit: à

ren ren you lian shu shu you pi*?

Je voudrais aussi signaler le très accessible  » soyez savants, devenez prophètes » du même Georges Charpak et Roland Omnès, à commencer par  » souvenirs de génèse »

… mais de mémoire, il me semble que « Edouard Kiefer, Alsacien, ancien flic des R.G » détective à ses heures, a rencontré G. Charpak, mais pour une autre histoire. C’est dommage, d’ailleurs, qu’Edouard n’ait pas progressé, en sciences.

bouguereau dit: à

ho ma mère de ma mère..toutafé vontraube avec son anneau dans le blaze..c’est trop affreux
n’empèche tout en volapuk et degaulle l’aurait dans l’fion

des journées entières dans les arbres dit: à

Bouguereau, TKT est d’venu hachement gotic.

ren ren you lian shu shu you pi* dit: à

bien sûr , mais ici celui qui est dans l

C.P. dit: à

D., il y a sur un succubus’blog un « poème » écrit par un certain Dédé. Ce ne serait pas vous, par hasard ? Je le tape :

 » Alors tel un bienheureux
Je suce ce sein délicieux
Puis ce clito
Et la voilà au boulot
Le début d’une nouvelle vie
Est loin d’être fini  »

Bon, ça n’invente pas le sildénafil Pfizer…

des journées entières dans les arbres dit: à

dans quoi ren ren you lian shu shu you pi* ?

ren ren you lian shu shu you pi* dit: à

bien sûr , mais ici celui qui est dans la fonction de « prophète », non pas au sens vulgaire de prédisant l’avenir mais de s’adressant et faisant part, c’est P.Assouline ,le plus souvent (ourir les nombreux tweets et liens qu’il communique : ce soir encore j’ai présenté la RdL à une étudiante en communication qui lisait le chantal Thomas : on ne lui en avait pas parlé de toutes ses études

ren ren you lian shu shu you pi* dit: à

ouvrir
je ne reviens pas sur le difficile mot , et la tache de prophète mais je signale qu’on trouve sur la toile la revue de l’histoire des religions
ainsi
http://rhr.revues.org/6853

C.P. dit: à

Ministry, The Heartbreakers…, c’est bien parti pour les cauchemars !

le journal aux journalistes! dit: à

Pierre Bergé, actionnaire du « Monde », déteste son supplément littéraire.(tweet de Passou)

Il lui faut dégager ces journaleux à la baston!

ren ren you lian shu shu you pi* dit: à

Roth et le français : commandeur

ren ren you lian shu shu you pi* dit: à

Selon lui, la place de Roth, dans la littérature mondiale, le classe directement aux côtés de grands écrivains comme Céline, ou Dostoïevski, un Russe fortement influencé par la littérature française. « Vous avez toujours aimé brouiller les pistes de vos lecteurs, en brouillant les frontières entre fiction et réalité ».

« La France vous rend ce que vous avez apporté à mon pays », affirmait Laurent Fabius en remettant la Légion d’honneur. Roth lui-même a profité de l’occasion pour évoquer la portée de la France dans sa vie, et notamment le langage qui fut la première langue étrangère qu’il a apprise, déplorant de n’avoir jamais maîtrisé réellement les mots. Il a cependant enseigné durant plusieurs années la littérature comparée. « Cette importante décoration est une surprise merveilleuse », a-t-il ajouté, concluant en français qu’il était « absolument ravi ».

Cette cérémonie s’inscrit également dans une continuité puisqu’au premier trimestre 2014, la seule librairie française de New York verra le jour, au sein même de l’ambassade. Laurent Fabius a profité de son passage pour poser la première pierre de l’établissement. « Les écrivains et les livres ont besoin de librairies », a-t-il expliqué.

« Il est essentiel de considérer le livre comme un lien vivant avec l’écrivain, l’éditeur, le diffuseur, le libraire. Chaque maillon de cette chaîne doit être pris en compte. » L’établissement français sera particulièrement ouvert aux animations et événements culturels. « Nous souhaitions que ce soit plus qu’une librairie. Un espace ouvert à des débats motivants et une plateforme d’idées pour constituer une communauté. »

C.P. dit: à

Merci, bouguereau ! Vous vous souvenez donc de « Lune froide ». J’aime bien Stévenin et Bouchitey (Dédé, dans le film).

Sergio dit: à

ren ren you lian shu shu you pi* dit: 1 poser la première pierre de l’établissement

Bon mais faut faire ça comac, qu’on se retrouve pas trois ans plus tard avec une sorte de Pearl Harbor…

Arturo dit: à

@le journal aux journalistes!
Remarquez que les vrais journalistes de ce célèbre quotidien sont des écrivains.
Pas plus tard que ce soir, PH. Ridet, sur la radio nationale d’ État au court d’une émission éminemment littéraire ( l’ humeur vagabonde) sur l’ Italie s’est exclamé :  » je veux du bien à l’ Italie » après avoir dit pis que pendre sur ce pays.
( Mafieux, politicards,trafics d’influences, etc…)
Ah, la supériorité et l’ honnêteté des Français face à ce peuple qui a  » inventé « le fascisme » (sic!)
Voilà un homme qui devrait prendre la direction du supplément des livres avec la bénédiction de son chef Bergé.
( si vous n’ en croyez pas vos oreilles, écoutez le podcast..)
En tant que naturalisé français d’ origine italienne, j’ ai plus que honte de cette caricature radiodiffusée sur la radio d’ État.
Propagande!
Bien sûr, depuis quelques temps je ne lis plus le journal le Monde…sauf son supplément des livres.
Bon sang, que nous restera t-il alors si le financier coupe les vivres?

Dur à la comprenette dit: à

NY Daily News :
Afterwards, each time his mother called out to young Roth to get back inside, he would declare triumphantly upon his return: “Lafayette, I am here!”

C’est encore un truc pour épater la galerie ?

Pablo75 dit: à

@ macbeth

Tu picoles trop, c’est clair. Et tu connais Borges et les problèmes de la traduction aussi bien que moi l’importance des zéros non triviaux de la fonction zêta dans l’hypothèse de Riemann.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…franchement,…gagner,…plus,…pourquoi faire,…

…Sissi,…pour payer plus d’impôts à l’état central européen,…
…pourquoi faire,…réduire le déficit du bénéfice des marges de l’aide à la coopération  » équitable « ,…des pays membres,…

…c’est clair,…les  » bonnes places à l’administration « ,…d’héritiers,…

…si,…Sissi,…c’est équitable,…on l’à dans le cul,…c’est pomper dans l’oseille à Don – Grue-chotte,…de l’empire céleste,…etc,…

rose dit: à

>A la longue, qu’il est chiant ! Celui qui picole.
Trop est superfétatoire. Il picole et baste.

rose dit: à

Tu lui fais un cadeau (virtuel – comme les siens) le lendemain, il te conspue. Tu le sodomises, le lendemain il te dit encore. Qui est maso ?
Le mieux c’est du vent.

rose dit: à

Le mieux c’est :  » du vent ! »

rose dit: à

>Clopine, à vous je voulais parler : les affres de la traduction avec votre exemple (je ne connais pas la série du tout)
le premier sens de break, broke, broken c’est casser
« ing » c’est l’action en train de se faire
bad c’est mauvais ie le « bad boy », ou bad dream, bad luck etc.
Je vous propose pour Breaking bad
Se foutre en l’air grave, en un
en deux Disjoncter grave.
Le Pétage de plomb de Clopin me semble fort juste.
Ou Péter un cable
Le Partir en vrille aussi.

Je ne suis pas sûre qu’un titre à l’infinitif convienne bien. Là, dans votre exemple, traduire mot à mot ne va pas ; comme généralement la traduction : Claro parle bien dans son dernier billet des parti-pris du traducteur, qui sont forcément drastiques
Traduttore, traditore disent les italiens.

(P.S : l’entorse, c’est un moyen obligatoire de se poser)

cordialement
rose

rose dit: à

Il vit assis ou couché.

Debout il ne connaît pas.

rose dit: à

Faut-il parier sur l’intelligence du lecteur lambda ?

renato dit: à

« Faut-il parier sur l’intelligence du lecteur ? »

Compte tenu que l’on compte sur la bienveillance des autres seulement si on n’est pas sûr de son fait, fallait-il la poser cette question ? Ou est-ce qu’elle cache une inavouable vanité ?

des journées entières dans les arbres dit: à

ren ren you lian shu shu you pi* dit: 1 octobre 2013 à 23 h 15 min

« Rappelons-nous sans cesse que l’action dramatique se passe dans une salle dont un des murs a été enlevé par la baguette magique de Melpomène, et remplacé par le parterre et les loges au moyen de la baguette magique d’une fée. Les personnages ne savent pas qu’il y a un public. »

http://www.crht.paris-sorbonne.fr/ressources/actes-de-colloques/colloque-spectateur/laurence-marie-jeux-avec-le-quatrieme-mur-hamlet-1769-le-roi-lear-1783-et-macbeth-1784-de-ducis/

des journées entières dans les arbres dit: à

ren ren you lian shu shu you pi* dit: 1 octobre 2013 à 22 h 50 min

« soyez pas vulgate » 😉

schokine dit: à

son expression la plus éthérée est » ça m’f’rait mal au sein » (!) ou qqc d’approchant, en usage chez les chauffeurs routiers

(((hum))Les chauffeurs routiers((((pouah))) heum comment dirais-je (pfff))elle a de ces ((((tssss)))fréquentations, la daaaaf à zouzoudansl’cou

charlotta dit: à

c’est quoi, chauffeur routier?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…il chance que j’écrit,…quelque lignes,…

…çà donne,…une autre transparence humaine,…aussi d’héritiers aux bijoux de familles,…etc,…
…envoyez,…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…une chance,…que j’écrit quelques lignes,…

renato dit: à

« c’est quoi, chauffeur routier? »

Fut un temps, on appelait chauffeur un brigand qui brûlait les pieds de ses victimes afin de savoir où elles cachaient leur pécule. « Routier », je suppose qu’il s’agit d’un brigand qui pratiquait son métier le long ou près d’une route, ou, encore, de façon itinérante.

Dimitri d'Arlatan dit: à

U. dit: 1 octobre 2013 à 20 h 23 min
Je ne poste jmais contre TKT.

Moi non plus.

macbeth dit: à

@ Pablo75

je pense sincèrement que tu es beaucoup plus intelligent que moi et que la plupart d’entre nous.
tu as d’immenses connaissances et en plus tu dégages une force virile très impressionnante. depuis que tu es arrivé sur ce blog, tout le monde est baba.

Dimitri d'Arlatan dit: à

Au fait, qu’est devenu JC ? Vous avez des nouvelles, U. majuscule ? Ne nous dites pas qu’il a rendu l’âme, ce serait une perte irréparable.

Dimitri d'Arlatan dit: à

Pablo, j’ai une révélation cette nuit. Clopine et Daaphnée sont amoureuses de vous, mais chut ! Cela doit rester secret, elles n’aiment pas reconnaître qu’elles ont parfois les mêmes goûts.

funkett lou lou baya atakapoc dit: à

à : ren ren you lian shu shu you pi*

C’est votre vrai nom ?

Jean-ollivier dit: à

à C.P. 1 octobre 2013 à 9 h 47 min
C’est effectivement une traduction réalisée par Paul Celan. On peut trouver sur la Toile une analyse comparative des traductions des sonnets de W.S en allemand, notamment de Stefan George et de Karl Kraus.

à renato 1 octobre 2013 à 18 h 09 min
Ces éditions bilingues de Einaudi sont un petit trésor. à noter que Bonnefoy a traduit en français pour Einaudi les sonnets que Ungaretti avait traduits en italien, complétant à 40 ses propres 24 ou 25 traductions.
« Quaranta Sonetti di W.S. nella traduzione di Yves Bonnefoy » Versione italiana di Giuseppe Ungaretti, a cura de Carlo Ossola. n. 79
C’est là que j’ai trouvé la traduction d’ Ungaretti, bizarrement reléguée en note de bas de page.
On croit rêver en lisant le catalogue : par ex : Sofocle, Antigone. testo originale greco, tr. tedesca di F. Hölderlin, tr. it. di GL Radice. Con un saggio di George Steiner. In appendice adattamento di Bertolt Brect da Hölderlin, ou encore :

W. Blake, trad. De G. Bataille et de Ungaretti
Lewis Carroll Humpty-Dumpty tr. d’Antonin Artaud et de g. almassi

Quel éditeur français en fait autant ?

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