de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Amaury Nauroy, lanterne inspirée des rondes de nuit

Amaury Nauroy, lanterne inspirée des rondes de nuit

D’un côté, un jeune auteur parfaitement inconnu dont c’est le tout premier livre. De l’autre, des auteurs très connus surtout là-bas, sur l’autre versant de la frontière, en Suisse, une contrée exotique pour tant de Français. Entre les deux, la littérature vécue comme une passion. De ce croisement est né l’ouvrage le plus original, le plus inattendu, le plus fin de cette rentrée, laquelle compte comme chaque année à la même époque une douzaine de bons livres mais aucun qui s’impose. On n’en voit guère qui ait la qualité de Rondes de nuit ( (288 pages, 24 euros, Le Bruit du temps), en librairie depuis un peu plus d’un mois mais si discrètement, à l’image de l’auteur et de l’éditeur.

Un titre pareil fait immédiatement penser au tableau de Rembrandt exposé au Rijksmuseum d’Amsterdam, et pour cause : un détail de La Ronde de nuit (1642) figure sur la jaquette, son nombre d’or où apparaissent une petite fille symbolisant Saskia, l’épouse du peintre, entourée des mousquetaires d’une compagnie de la milice bourgeoise de la ville et d’arquebusiers, menés par leur capitaine Frans Banning Cocq. Mais n’allez pas croire qu’il s’agirait là du travail d’un historien de l’art à cette oeuvre entièrement voué. Difficile de qualifier un tel livre car il ne relève d’aucun genre canonique : on y trouve du roman, de l’essai, du reportage, de l’enquête, de l’anecdote, du portrait, de la poésie et même du polar à l’occasion d’un fait divers criminel. On pourrait dire à l’instar de l’éditeur qu’il s’agit d’un recueil de proses mais la fragmentation et la discontinuité que cela suppose induirait le lecteur en erreur. Disons : un récit, faute de mieux.

Amaury Nauroy (Vernon, dans l’Eure,1982) a tout fait avec, pour et autour des livres : libraire, éditeur, bibliothécaire, attaché de presse, correcteur, nègre à l’occasion, et pourquoi pas visiteur de grand écrivain. Ne lui manquait plus d’en écrire un, enfin. Ca lui a pris dix ans. La durée n’est jamais un indicateur de qualité ; elle évoquerait plutôt le labeur, la difficulté ; il faut bien du talent pour faire oublier l’effort. Le cas, ici. Toutes ces années à lire et écouter afin de tisser un éloge de la littérature, de la poésie, de l’amitié littéraire d’une beauté à couper le souffle. Car son goût de la langue, sensuel, charnel, sensible, ne l’a pas pour autant confit dans le respect en dépit de sa capacité à admirer. Sa liberté est totale lorsqu’il s’en prend à « la prudence helvétique », à l’épaisse haine romande des Bernois, au goût du méchant complot anti-parisien. Rien ne bride sa fantaisie, pas même l’aura d’un maître devenu un ami. Sous sa plume, un mot en rencontre souvent un autre pour la première fois, du moins veut-on le croire tant l’osmose est magique. De l’élocution de Jacques Chessex si pathétique, décrit en « vieille tortue précautionneuse », il rapporte :b45cdd8f8dc24b8a9ad3d5e36e261b22_paginF

« A chaque phrase, la Suisse tumultueuse qu’il racontait me sautait au visage, comme un dieu-chat »

Le récit, dont il est le narrateur et personnage principal, déroule de bout en bout sa passion pour la fiction et la poésie de la Suisse romande depuis l’après-guerre. Il les a tous lus et relus, les Gustave Roud, Philippe Jaccottet, Jacques Chessex, Anne Perrier, Charles-Albert Cingria sans oublier bien sûr, en amont, Ramuz le patron. Plusieurs avaient leur éditeur en commun, le fameux Henry-Louis Mermod, largement abordé, ainsi que leurs amis peintres. Amaury Nauroy a rendu visite aux vivants pour évoquer les morts en leur souvenir radieux, quitte à « passer de l’autre côté de l’époque, rejoindre une scène légendaire où les poètes existent » jusqu’à tirer de leur commerce un éclairage fut-il partiel sur « la mentalité poétique de l’époque », manière de prendre le pouls de cette famille d’esprit.

Désormais éclairé, il nous éclaire sur ce milieu romand, dont une partie s’est transporté du côté de Grignan, comme s’il portait la lanterne dans le tableau. On y est avec lui, de plain pied dans le motif. On s’étonne avec lui de constater la présence de barreaux à la fenêtre qui fait face au bureau de Ramuz. Son empathie est contagieuse. Tant et si bien que, même les lecteurs qui ne savent rien de ce monde-là seront touchés et emportés par le tableau de leurs existences quand un écrivain d’une reconnaissance si fraternelle s’en fait le resusciteur. Au-delà de l’hommage parfois critique, sinon féroce dans les à-côtés de certains portraits à l’acide de quelques dynasties lausannoises, ou dans l’ironie moqueuse par laquelle sont évoquées «  la jaccottisation des cercles littéraires et la bouviérisation de l’université de Lausanne », Rondes de nuit a les accents universels d’un roman d’apprentissage, au plus près et au plus profond de l’intime expérience des œuvres et des leçons de vie qu’elles prodiguent parfois à ceux qui les y cherchent.

Voilà tout ce que l’on déguste page après page dans ce récit vif et profond, composé dans une langue splendide, avec le goût du détail cher à Cingria, l’inimitable façon qu’avait Ramuz de métamorphoser le Valais en une haute vallée de l’Inde, le réenchantement des routes du Haut-Jorat par Roud, toutes choses racontées à la lumière d’un clair-obscur diffusé par la carte postale d’un tableau hollandais, posée sur le bureau de l’auteur, l’écrivain Amaury Nauroy. Pour en avoir fait son grigri, il a fini par y voir une mystérieuse et inexplicable ronde de poètes emmenée par le plus invisible des personnages de la scène, celui dont on ne voit que l’oeil, le reste étant dissimulé par l’épaule gauche du porte-enseigne, l’oeil d’un certain Rembrandt…

(« La Ronde de nuit », 1642, huile sur toile de Rembrandt, Rilkjsmuseum, Amsterdam ; » l’oeil de Rembrandt dans le tableau » détail de la Ronde de nuit »)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

1013

commentaires

1 013 Réponses pour Amaury Nauroy, lanterne inspirée des rondes de nuit

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 15h06

– Et surtout, sire, ne prenez pas de premier ministre !

tous les mourants sont marxiss léniniss..mais légalment ça sauve pas

Delaporte dit: 29 octobre 2017 à 15h07

« C’est un hère qui erre… »

Merci d’avoir rectifié. J’étais emporté par mon élan…

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 15h08

comme c’est dimanche, jour du Seigneur, on va pardonner à Closer

il a du pot..le lundi c’est sodomie

tristan dit: 29 octobre 2017 à 15h15

« C’est un hère qui erre »

Eh oui c’est bien connu, « le fond de l’hère effraie ! »

Piqure de Rappel dit: 29 octobre 2017 à 15h25

« Un cinéma qui se regarde faire du Cinéma »
Paul Edel.
On a bien je sais ou un romancier qui se regarde écrire son roman tout en disant qu’il ne l’écrira pas mais en en livrant des morceaux choisis tantôt sur la Rdl tantôt ailleurs, ce qu’il défend d’ailleurs de dire .Il n’est pas dit que le Roman y gagne grand chose, mais c’est un autre problème!

closer dit: 29 octobre 2017 à 15h27

Toutes les traductions de la Bible ont toujours parlé de « l’étranger », y compris la Bible de Jérusalem que je possède et consulte de temps à autres…D’un seul coup, comme par miracle, « l’étranger » devient « l’immigré » dans la TOB.

La ficelle est un peu grosse Delaporte. Ce bourrage de crâne politique est insupportable. Si le texte original parlait d’immigré, on se demande pourquoi personne ne s’en serait aperçu avant.

L’étranger est une notion générale, celui qui n’appartient pas au peuple élu. Il a vocation à être rare, une exception. L’immigré est une notion socio-politique, celui qui participe aux flux migratoires massifs qu’on veut nous imposer sans limite ni contrôle…

le rabbin de service dit: 29 octobre 2017 à 15h40

En hébreu : vê gêr : et l’étranger : וְגֵ֥ר (Ex 22 : 20)

Rien à voir avec l’immigré.

Delaporte est un imposteur de gauche, un suppôt de satan !

Delaporte dit: 29 octobre 2017 à 15h41

Ce qui me paraît évident, c’est que les Hébreux ont été fort mal traités en Egypte, comme des esclaves et pas seulement comme des « étrangers ». Comme aussi les travailleurs immigrés dans les années 70, ajouterais-je pour donner un exemple d’actualisation. Maintenant, il faut voir ce que le texte biblique dit en hébreux, et pourquoi la TOB a choisi elle aussi, avec la traduction liturgique, de parler d’immigrés. C’est sans doute que c’était bien l’esprit du texte, qui, même lorsqu’on utilise « étranger » est quand même très clair. Comme vous le soulignez maladroitement, Closer, il y a certes un peu d’idéologie, là dessous, mais une idéologie qui clarifie, en l’occurrence lorsqu’on parle d’émigrés.

le rabbin de service dit: 29 octobre 2017 à 15h42

En hébreu : vê gêr : et l’étranger : (Ex 22 : 20)

Rien à voir avec l’immigré. Closer a entièrement raison.

Delaporte (qui cite avec une faute dans la numérotation du verset en plus) est un imposteur de gauche, un suppôt de satan… !

Delaporte dit: 29 octobre 2017 à 15h46

Il faut aussi rappeler ici le discours du pape sur les migrants, fait cet été, qui était en sois une chose magnifique et radicale, et qui explique très bien pourquoi on utilise le mot « immigré » dans les traductions liturgiques, qui résonnent aujourd’hui dans toutes les église du monde.

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 15h50

L’étranger est une notion générale, celui qui n’appartient pas au peuple élu. Il a vocation à être rare, une exception

..une perle..cloclo il a vocation a être con et son nom est légion

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 15h53

Comme vous le soulignez maladroitement, Closer, il y a certes un peu d’idéologie

il viennent pasque ya pas dboulot chez eux dlahuis..tout ça fait dtoi un drole de paroissien dlahuis

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 15h57

Ce qui me paraît évident, c’est que les Hébreux ont été fort mal traités en Egypte, comme des esclaves

hévidemment..c’est pas les étrangers qui écrivent l’histoire de leur pays..dailleurs les égyptiens n’en pipent mots..dailleurs ils sont rares

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 16h06

le réenchantement des routes du Haut-Jorat par Roud, toutes choses racontées à la lumière d’un clair-obscur diffusé par la carte postale d’un tableau hollandais

..le paradosque c’est que justement c’est pasque ‘les scénes de genre’ ce quetaient les nature mortes et les paysages et les agozils la nuit pasquelle étaietn profane est sans hintéréts (pour les catholiques et les protestants pour 2 raisons diamétrable) qu’elle réenchante le monde lassouline..cet effet devrait nous donnez des idées lassouline..mais chais pas si jme fais bien comprende

Sergio dit: 29 octobre 2017 à 16h09

Etranger = extraneus = extérieur.

On va souvent chercher bien loin c’est le cas de le dire…

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 16h10

..c’est haussi stupide que cloclo et dlalourde en converse..alors qu’c’est la bétise..la bétise qui gagne..elle ‘réenchante’ lassouline..elle..et à pas cher..et la vie est courte

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 16h16

agozil..abruti..vient d’lespingoin..donc estranger.. algazil..un genre de keuf casqué lourd

christiane dit: 29 octobre 2017 à 16h17

@Piqure de Rappel dit: 29 octobre 2017 à 16 h 25 min
Ce n’est plus une piqure de rappel, c’est un smash !

Piqure de Rappel dit: 29 octobre 2017 à 16h25

La TOB est célèbre par sa traduction jargonnesque et inutilisable. Il fallait satisfaire tout le monde dans ces années post-conciliaires sous ce Paul VI dont on ne peut dire qu’une chose : que Dieu hait son âme!

. Un bon catholique (?) comme Delaporte devrait se référer à la Vulgate ou à la Bible de Jérusalem…Et ne pas tant nous assommer de sa morale. Car si aujourd’hui, Tartuffe est Musulman, qui sera-t-il demain?

Recommandons aux bonnes âmes qui y voient une persécution anti-Ramadanesque la page d’anthologie du RP Plwenel en sa chapelle Médiapartesque… Tarik Ramadan , c’est presque Alfred Dreyfus!. Voir aussi le compte-rendu du Monde concernant Oumma.Com, hélas fort instructif…

Piqure de Rappel dit: 29 octobre 2017 à 16h51

Impressionnant, cette effort de concentration mentale de Laura Delair. Meme s’il est à coté de la plaque. -Pardon? Qui a dit comme toujours?!

Delaporte dit: 29 octobre 2017 à 17h00

« Un bon catholique (?) comme Delaporte devrait se référer à la Vulgate ou à la Bible de Jérusalem… »

Les bonnes traductions de la Bible sont très récentes, et la Bible de Jérusalem en fait partie, comme la TOB, travail éminemment scientifique préconisé par de nombreux biblistes. Je possède évidemment toutes ces Bibles, ainsi que d’autres… La TOB ne me paraît pas « jargonnesque » du tout, c’est au contraire une tentative très précieuse de traduction, dont la dernière édition remaniée date de 2010. Et certes, il faut savoir de quoi on parle !

bérénice dit: 29 octobre 2017 à 17h13

La TOB est célèbre par sa traduction jargonnesque et inutilisable

Tob, est-ce que ce n’est pas une expression couramment utilisée pour désigner on ne sait trop quoi par cette frange de la population inclassable en rejet des valeurs et des normes et qui pour s’assurer de sa position utilise les encensoirs pour faire une drôle de fumée suspecte aux yeux de l’autorité, il me semble avoir entendu des phrases dans ce style, allez viens, ce soir on s fait une tob d’enfer, je prends mes amphèt, ramène ton ecta…

rose dit: 29 octobre 2017 à 17h20

une teuf.
pas une tob.

petit souffle sur la coca
parents disent -la mère, reusement il nous
reste la ktazi.. Les Deschiens. l’autre jour.

Petit Rappel dit: 29 octobre 2017 à 17h29

La Tob (Traduction Œcuménique de la Bible) veut faire plaisir à tout le monde. C’est un peu la Bible Catholique Orange que Frank Herbert cite dans Dune. Une Bible de Science Fiction. A supposer d’ailleurs que celle-ci n’ait pas été le premier Opéra Spatial du genre. On peut quand même avoir une autre idée de sa religion qu’une foi accommodée au gout du jour. De ce point de vue, le précédent Lamennais avec ses Paroles d’un Croyant (D’incroyant?);,dont vous vous réclamez peut-être, n’incite guère à l’optimisme. Lamentabili…
MC

bérénice dit: 29 octobre 2017 à 17h38

17h25 lu la page dans le Monde, un autre monde pour les femmes , elles ne peuvent être que soumises et silencieuses ou achetées bien évidemment.

bérénice dit: 29 octobre 2017 à 17h44

Qu’en est-il dans la Bible Hébraïque ? Au moins cinq mots en hébreu sont largement attestés, en particulier dans le Pentateuque, pour distinguer l’étranger en fonction de divers degrés d’assimilation :
◊ NEKAR / NOKRI : l’étranger, en général.
◊ ZAR : l’étranger au point de vue ethnique, politique ou cultuel.
◊ GER et TOSHAB : le résident, celui qui disposerait aujourd’hui pour ainsi dire, d’un permis de séjour. C’est ce statut qu’ont les Hébreux en Egypte :
“Tu n’opprimeras pas l’immigré
car vous avez été immigrés au pays d’Egypte.”

—————————————————(Exode 23, 9)

http://biblique.blogspirit.com/archive/2006/11/14/xenos-etranger.html

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 17h48

Il fallait satisfaire tout le monde dans ces années post-conciliaires

serait ce qu’on y est pus et qu’il est temps dmécontenter pas seulement tout l’monde mais haussi ce pov polo qui n’en peut msieu courte? ..hallons..en toute chose et tout temps..dla tnue!

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 17h53

Une Bible de Science Fiction. A supposer d’ailleurs que celle-ci n’ait pas été le premier Opéra Spatial du genre

yavé est un produit weinstein..hou aparenté..polo là a bon

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 17h56

Et certes, il faut savoir de quoi on parle !

c’est bien trop dboulot dlalourde..et yavé a légalment ça en horreur..

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 18h00

Car si aujourd’hui, Tartuffe est Musulman, qui sera-t-il demain?

c’est toujours le même tartuffe qui tourne msieu courte..c’est lui l’hinvariant..bonne perception

Paul Edel dit: 29 octobre 2017 à 18h01

Chaloux. à 13 h 53 min.réponse: parce que j’ai fermé une porte définitive entre journaux et maisons d’édition.un blog,petit carré de liberté ,suffit à mon plaisir quotidien.

bouguereau dit: 29 octobre 2017 à 18h06

un..un..tu débordes polo..comme mon larbin pour pister ce pov dracul..l’unique objet de vote hamour..faut vous l’partager..mais hailleurs attation..hou halors tarzoune va faire l’cul dsinge chez toi..y fait tout cque serdgio lui dmande..hillico..sauf quand phil est là..

Delaporte dit: 29 octobre 2017 à 19h24

bérénice dit: 29 octobre 2017 à 18 h 44 min

Chez les protestants, on utilise donc la traduction « immigrés ». En se référant aux mots, et à la manière de les traduire. Travail de savant, mais qui montre que cette traduction de la TOB et de la tradition liturgique ne vient pas du néant, loin de là. C’est basé sur des faits vérifiables.

Delaporte dit: 29 octobre 2017 à 19h32

« La Tob (Traduction Œcuménique de la Bible) veut faire plaisir à tout le monde. C’est un peu la Bible Catholique Orange que Frank Herbert cite dans Dune. »

Vous avez une vision très extérieure du problème. La réalisation des la TOB a au contraire été une avancée pour le monde des biblistes. On a fait un pas en vant dans la manière de traduire, et d’aborder divers concepts essentiels. La TOB est la traduction que citent le plus souvent les spécialistes, sans oublier la Bible de Jérusalem et quelques autres. Le savoir moderne sur la Bible passe par toutes sortes d’exégèses, qui reposent de manière centrale sur cette traduction moderne exemplaire. Du moins, voilà l’idée qui ressort pour moi de mes nombreuses lectures sur le sujet.

rose dit: 29 octobre 2017 à 19h47

bientôt, entre une semaine trois mois ou trois ans, on saura ce qui, dans la Bible a besoin d’être su.

closer dit: 29 octobre 2017 à 20h18

L’étranger peut très bien ne pas être immigré s’il est né dans le pays; l’immigré peut très bien ne pas être étranger s’il appartient au même peuple que les locaux. Un juif américain ou russe ou français qui va s’installer en Israël est techniquement un « immigré » mais personne ne le considérera plus comme « étranger » au bout de 6 mois.

C’est évidemment « l’étranger » que vise la Bible, c’est-à-dire celui qui, immigré ou non, n’appartient pas au peuple autochtone.

Cette traduction de la TOB est une imposture à visée d’endoctrinement politique.

Jean Langoncet dit: 29 octobre 2017 à 20h28

points

nombre de lunetiers proposent en complément pour les oreilles, des prothèses implantées dans les branches de lunettes

Petit Rappel dit: 29 octobre 2017 à 20h39

D’accord avec Closer et Bérénice. Vous semblez confondre avancées scientifiques et avancées religieuses. Votre Bible dépend de la foi de l’exégète, qui elle-même dépend d’un certain contexte historique. Qui donnerait un kopeck aujourd’hui du travail de Loisy?

Jean Langoncet dit: 29 octobre 2017 à 21h11

@Petit Rappel dit: 29 octobre 2017 à 21 h 39 min
D’accord avec Closer et Bérénice. Vous semblez confondre avancées scientifiques et avancées religieuses. Votre Bible dépend de la foi de l’exégète, qui elle-même dépend d’un certain contexte historique. Qui donnerait un kopeck aujourd’hui du travail de Loisy?

L’éternité, c’est long, surtout vers la fin

Delaporte dit: 29 octobre 2017 à 21h30

« C’est évidemment « l’étranger » que vise la Bible, c’est-à-dire celui qui, immigré ou non, n’appartient pas au peuple autochtone. »

Cela voudrait dire pour vous que le sens d’étranger est encore plus radical que le sens d’immigré, parce que l’émigré peut n’être plus un étranger ? A ce moment-là, je serais d’accord avec vous…

« Cette traduction de la TOB est une imposture à visée d’endoctrinement politique. »

En quoi, alors, si l’on vous suit ?

Sergio dit: 29 octobre 2017 à 22h02

« Etranger » c’est statique puisque « hors de » ; « immigrant » c’est dynamique puisque (in, donc mouvement de l’extérieur vers l’intérieur) ; si c’est un participe passé, cela devient du passé mais reste dynamique. Haprès le reste… Comme on veut on choise !

Sergio dit: 29 octobre 2017 à 22h05

Jean Langoncet dit: 29 octobre 2017 à 22 h 11 min
L’éternité, c’est long, surtout vers la fin

C’est comme un cinquante mètres papillon halor…

bérénice dit: 29 octobre 2017 à 22h10

littéralement c’est résident, résident= étranger à la terre où l’on vit . La notion de citoyenneté n’existait pas au moment où ce texte fut rédigé.

En France, la carte de résident est un titre de séjour qui permet à un étranger de résider sur le territoire français pour une durée de 10 ans ou plus ( wiki). D’une façon contemporaine le statut de résident et la position occupée par celui qui vient d’un autre pays sont toujours liées sauf à rester clandestin et être en situation irrégulière c’est à dire sans statut ( de réfugié,de résident) .

Jean Langoncet dit: 29 octobre 2017 à 22h51

@rose dit: 29 octobre 2017 à 10 h 04 min
une chance sur 10 000 qu’ils lisent le blog d’assouline.

Ça fleurait l’étude de marché

christiane dit: 30 octobre 2017 à 5h38

@Bérénice,
J’avais l’intuition qu’un effacement guettait dans ces « rondes de nuit ». Amaury Noroy affronte, dans l’entre-deux du livre, la disparition de cette pléiade, ce qu’il advint alors de leur notoriété, de la maison d’édition, la façon dont les enfants ont continué ou pas l’œuvre des pères.
C’est un passage émouvant où tout devient fragile, où il va peser dans sa vie l’importance de ces rencontres. Comment va-t-il être là, vivre, avec toute cette lumière reçue ? Les pages qui suivent sont claires et sombres car il ne suffit pas d’avoir des souvenirs. Comment va-t-il associer vie et écriture ? Comment va-t-il aller avec cet héritage impérieux qui le hante ? Quelle aventure solitaire l’attend ? Une belle gravité vous guette dans ces dernières pages, sa propre recherche y devient un don, un étonnement une présence au monde, une réconciliation, un acquiescement. Écrire… encore…

christiane dit: 30 octobre 2017 à 5h56

@M.C
Il y a cette pensée de Stendhal dans Promenades dans Rome : « Si vous daignez y réfléchir un instant vous verrez que les jugements des artistes les uns sur les autres ne sont que des certificats de ressemblance. »
Subtile et impertinente, cette pensée me met en connivence avec certaines de vos réticences exprimées ici, récemment. Plutôt que de voir se gâter certain blog… je préfère m’en éloigner. Impressionnant le rapt d’une voix que nous aimions par le romancier fantôme…

renato dit: 30 octobre 2017 à 7h04

Avant de se dire catholique, la Pologne devrait déjà apprendre à se tenir aux principes chrétiens et prendre sa part de migrants ; offrir l’asile politique à une statue — moche comme tout, d’ailleurs — n’est qu’une initiative insignifiante : il y en a Un qui doit se retourner dans sa tombe.

Cela dit, le sermonneur actif en ces lieux devrait se soucier du risible sens du droit d’un inénarrable cardinal lyonnais, comiquement dit Primat des Gaules ; puis, éventuellement, s’occuper du metteur en scène polonais et des forfaits commis par l’ogre hollywoodien ; après, on pourra trouver crédibles ses suspectes régurgitations moralisantes relativement auxquelles une question s’impose : que fait-il ce Savonarole forain lorsqu’il se trouve dans la position de témoin d’une incivilité ou d’un geste déplacé commis contre une femme ?

rose dit: 30 octobre 2017 à 7h12

Il s’esquive comme Friedrick dans The square (rupture en vue) ou il saute sur l’agresseur ?
Une jeune femme dit que c’est une question de génération, pck la jeune est très individualiste.
Et donc si Friedrick ne défend pas sa compagne c pour cela. Et pas parce qu’il a peur pour lui ?

renato dit: 30 octobre 2017 à 7h18

“Bouguereau, dites moi comme le prétend renato si vous avez enseigné…”

Il se peut que le souvenir se soit effacé, mais dites-moi S.V.P. quand et où j’aurais prétendu ça ?

rose dit: 30 octobre 2017 à 7h21

Mélenchon fait grise mine.
Plusieurs choses sur France culture hier au soir.
Ce que l’on nous serine. ce qui est : les faits.
Premièrement, c’est éminemment ringard d’appeler télétravail ce qui se passe aujourd’hui.
Homework- coworking, trouver les équivalences en français.
Dire que l’entreprise ne pousse pas est faux.
L’entreprise pousse. Exige. Influe.
Pas de.bureau, pas de chauffage pas d’électricité.
Ce n’est que le.premier acte.
Ensuite : pas de.congés maladie, pas de.congé maternité, pas de congés payés, pas d’indemnités de licencient, pas de prud’homme.
Et le free-lance est taillable et corvéable à merci. L’entreprise, elle, peut jeter. Exiger. Ne pas respecter les droits du travail.
Face à ce qui se profile, la dérégularisation, prendre le contre-pied est une solution positive.

rose dit: 30 octobre 2017 à 7h22

vous avez corrigé vos « copines ».
En général c lorsqu’on enseigne (cf le tarik).

JAZZI dit: 30 octobre 2017 à 8h27

rose, qu’est-ce qui t’a plu dans « The square » ? Qu’en as tu compris ? J’ai trouvé le film confus, bavard et plutôt sinistre. Des pointes d’humour cependant, la séance de baise avec capote vous ferait presque préférer l’abstinence !

D. dit: 30 octobre 2017 à 9h32

La bible de référence est incontestablement La Vulgate de Saint Jerôme.
Même les textes originaux grecs ou hébreux ne parviennent pas à restituer la beauté, la profondeur et la précision de la Vulgate.

Jean 1:

1:1 in principio erat Verbum et Verbum erat apud Deum et Deus erat Verbum
1:2 hoc erat in principio apud Deum
1:3 omnia per ipsum facta sunt et sine ipso factum est nihil quod factum est
1:4 in ipso vita erat et vita erat lux hominum
1:5 et lux in tenebris lucet et tenebrae eam non conprehenderunt
1:6 fuit homo missus a Deo cui nomen erat Iohannes
1:7 hic venit in testimonium ut testimonium perhiberet de lumine ut omnes crederent per illum
1:8 non erat ille lux sed ut testimonium perhiberet de lumine
1:9 erat lux vera quae inluminat omnem hominem venientem in mundum
1:10 in mundo erat et mundus per ipsum factus est et mundus eum non cognovit
1:11 in propria venit et sui eum non receperunt
1:12 quotquot autem receperunt eum dedit eis potestatem filios Dei fieri his qui credunt in nomine eius
1:13 qui non ex sanguinibus neque ex voluntate carnis neque ex voluntate viri sed ex Deo nati sunt
1:14 et Verbum caro factum est et habitavit in nobis et vidimus gloriam eius gloriam quasi unigeniti a Patre plenum gratiae et veritatis
1:15 Iohannes testimonium perhibet de ipso et clamat dicens hic erat quem dixi vobis qui post me venturus est ante me factus est quia prior me erat
1:16 et de plenitudine eius nos omnes accepimus et gratiam pro gratia
1:17 quia lex per Mosen data est gratia et veritas per Iesum Christum facta est
1:18 Deum nemo vidit umquam unigenitus Filius qui est in sinu Patris ipse enarravit
1:19 et hoc est testimonium Iohannis quando miserunt Iudaei ab Hierosolymis sacerdotes et Levitas ad eum ut interrogarent eum tu quis es
1:20 et confessus est et non negavit et confessus est quia non sum ego Christus
1:21 et interrogaverunt eum quid ergo Helias es tu et dicit non sum propheta es tu et respondit non
1:22 dixerunt ergo ei quis es ut responsum demus his qui miserunt nos quid dicis de te ipso
1:23 ait ego vox clamantis in deserto dirigite viam Domini sicut dixit Esaias propheta
1:24 et qui missi fuerant erant ex Pharisaeis
1:25 et interrogaverunt eum et dixerunt ei quid ergo baptizas si tu non es Christus neque Helias neque propheta
1:26 respondit eis Iohannes dicens ego baptizo in aqua medius autem vestrum stetit quem vos non scitis
1:27 ipse est qui post me venturus est qui ante me factus est cuius ego non sum dignus ut solvam eius corrigiam calciamenti
1:28 haec in Bethania facta sunt trans Iordanen ubi erat Iohannes baptizans
1:29 altera die videt Iohannes Iesum venientem ad se et ait ecce agnus Dei qui tollit peccatum mundi
1:30 hic est de quo dixi post me venit vir qui ante me factus est quia prior me erat
1:31 et ego nesciebam eum sed ut manifestaretur Israhel propterea veni ego in aqua baptizans
1:32 et testimonium perhibuit Iohannes dicens quia vidi Spiritum descendentem quasi columbam de caelo et mansit super eum
1:33 et ego nesciebam eum sed qui misit me baptizare in aqua ille mihi dixit super quem videris Spiritum descendentem et manentem super eum hic est qui baptizat in Spiritu Sancto
1:34 et ego vidi et testimonium perhibui quia hic est Filius Dei
1:35 altera die iterum stabat Iohannes et ex discipulis eius duo
1:36 et respiciens Iesum ambulantem dicit ecce agnus Dei
1:37 et audierunt eum duo discipuli loquentem et secuti sunt Iesum
1:38 conversus autem Iesus et videns eos sequentes dicit eis quid quaeritis qui dixerunt ei rabbi quod dicitur interpretatum magister ubi habitas
1:39 dicit eis venite et videte venerunt et viderunt ubi maneret et apud eum manserunt die illo hora autem erat quasi decima
1:40 erat autem Andreas frater Simonis Petri unus ex duobus qui audierant ab Iohanne et secuti fuerant eum
1:41 invenit hic primum fratrem suum Simonem et dicit ei invenimus Messiam quod est interpretatum Christus
1:42 et adduxit eum ad Iesum intuitus autem eum Iesus dixit tu es Simon filius Iohanna tu vocaberis Cephas quod interpretatur Petrus
1:43 in crastinum voluit exire in Galilaeam et invenit Philippum et dicit ei Iesus sequere me
1:44 erat autem Philippus a Bethsaida civitate Andreae et Petri
1:45 invenit Philippus Nathanahel et dicit ei quem scripsit Moses in lege et prophetae invenimus Iesum filium Ioseph a Nazareth
1:46 et dixit ei Nathanahel a Nazareth potest aliquid boni esse dicit ei Philippus veni et vide
1:47 vidit Iesus Nathanahel venientem ad se et dicit de eo ecce vere Israhelita in quo dolus non est
1:48 dicit ei Nathanahel unde me nosti respondit Iesus et dixit ei priusquam te Philippus vocaret cum esses sub ficu vidi te
1:49 respondit ei Nathanahel et ait rabbi tu es Filius Dei tu es rex Israhel
1:50 respondit Iesus et dixit ei quia dixi tibi vidi te sub ficu credis maius his videbis
1:51 et dicit ei amen amen dico vobis videbitis caelum apertum et angelos Dei ascendentes et descendentes supra Filium hominis

JAZZI dit: 30 octobre 2017 à 10h43

« La troisième sélection du prix Goncourt 2017 sera livrée le 30 octobre, et c’est le 6 novembre que sera annoncé le nom du lauréat 2017. »

Quel(le)s auteur(e)s encore en piste, Passou ?

Petit Rappel dit: 30 octobre 2017 à 10h44

Un honnête homme comme Charles Perrault disposait de la Vulgate, de la Lemaitre de Sacy,du Novum Testamentum Graece paru chez Plantin et reprenant probablement le prodigieux travail d’Estienne, et d’une Concordance latine de Jullieron . Pas mal pour un amateur…
Et lui ne nous assénait pas les Sermons de Delaporte.

closer dit: 30 octobre 2017 à 11h03

« 20 Advenam non opprimes neque affliges eum; advenae enim et ipsi fuistis in terra Aegypti. »

Exode 22 20

L’étranger…

rose dit: 30 octobre 2017 à 12h06

jazzi
je l’ai trouvé limpide succinct et joyeux.
Ce n’est pas pour vius contredire.
L’argument du quotidien qui démythifie l’imaginaire : soyez cinfiants. blam tu te fais baiser.
La charge corrosive contre l’art contemporain : le technicien de surface, homme de bonne volonté.
Les enfants totalement livrés à eux-mêmes, avec des parents totalement dépassés : les soeurs qui se crêpent le chignon et le petit rom hystérique.
Les parents entre eux : la mère qui fout les deux mômes devant la porte du père, c’est ton tour dém…-toi.
Le conservateur qui conserve tout y compris son sperme.
L’acteur/performer plus crédible qu’un grand singe.
Le vrai grand singe qui vit avec la fille.
La romano qui réclame un ciabatta-poulet et sans salade, pas de s’il vous plaît.
Cette éducation extrêmement puritaine qui fait àun docteur psy demander de la tolérance envers le syndrome de la Tourette injurieux.
Sauf la scène de baise j’ai jubilé non stop.
Toutes les.scènes longues avaient cette nécessité de la longueur.
N’ai pas vu -assez-celle où le couple se dispute avec le bruit des chaises.
Les invités au vernissage qui se ruent sur le buffet gratuit.
Les mécènes au cul serré et au courage à l’avenant.
j’ai trouvé ce film jouissif : une caricature bien observée de notre société. Et bravo au jury de l’avoir primé.

Et vous jazzi ? Vous développez un peu ?

rose dit: 30 octobre 2017 à 12h07

p.s ds Valeurs actuelles lue ce matin, la critique était plutôt juste ; l’ai bien appréciée. Plus que ds Telerama.

bouguereau dit: 30 octobre 2017 à 12h24

La bible de référence est incontestablement La Vulgate de Saint Jerôme

les rligions du live..daccord sur une chose..le gout du sang

bouguereau dit: 30 octobre 2017 à 12h28

Un juif américain ou russe ou français qui va s’installer en Israël est techniquement un « immigré » mais personne ne le considérera plus comme « étranger » au bout de 6 mois

..midi a ma porte de gros con

JAZZI dit: 30 octobre 2017 à 12h29

L’ambulancière Christiane n’a pas suscité de vocation au chevet du patient Beineix !

bouguereau dit: 30 octobre 2017 à 12h49

la Pologne devrait déjà apprendre à se tenir aux principes chrétiens et prendre sa part de migrants ; offrir l’asile politique à une statue — moche comme tout, d’ailleurs — n’est qu’une initiative insignifiante

non pas hinsignifiant c’est haussi criminel que de revendiquer le rapatriment des termes de la bible dans son giron..tous ces himbécilles sanguinaires tiennent a mériter leur gros ceinturon de got mit ounsse

Giovanni Sant'Angelo dit: 30 octobre 2017 à 12h51


…quand, on est rien, et qu’on ne sait rien donner,…sauf, l »art, de la comédie humaine, pour voler, et escroquer, ses proches et voisins amis,…l’on, met, en exerce, tout ce qui a un rappoert avec la bible et tout dieux, et autres évangiles,…pour rouler, les gens dans ce monde,…dans leurs farines préférer,…
…les choses innocentes, sans connaissances,…ligotées aux affaires de soumissions et esclavages,…ne serais ce que, mental,…ou un simple rappel, en faisant, un nœud, avec son mouchoir, faute, de ne pas être scribe,…

…l’esprit  » malin « , pour porter préjudice, à la concurrence,…

…ami, entend tu, le vol – noir, des corbeaux, sur la pleine,…( l’autre messe, en extension,…)

…les comptes saints des affaires, à se repasser,…les plis et replis, et coutures, mais, çà peux faire  » poches paradis « , camoristes – caméristes « ,…Ah,!Ah,!…

…tout ces valets de chambre, des dieux, avec un bonus, payez, par l’état, encore, ces affaires de maintient, des héritiers, à continuer, le combat, de l’obscurantisme, dégeler,…les cadavres des  » suites sociales « , aux Cassandre,…etc,…
…les comptes et d’escomptes, sans fards, ni masques,…
…prendre, les enfants, pour des cons,…
…etc,…et attendre, la justice, des misérables, en blog,…tout tarés, tout touffus,…
…envoyez,…

chantal dit: 30 octobre 2017 à 12h55

j’ai été voir The Confident Victoria & Abdul et malgré quelques manipulations le film est vraiment drôle … comme c’est bientôt jour des morts, je vais aller voir l’adaptation d’Au – revoir Là haut il paraît que c’est pas mal.
Je n’ai pas le temps de lire où plutôt je dors car mon manuscrit est chez le correcteur.

Delaporte dit: 30 octobre 2017 à 13h41

« Un honnête homme comme Charles Perrault disposait de la Vulgate, de la Lemaitre de Sacy,du Novum Testamentum Graece paru chez Plantin et reprenant probablement le prodigieux travail d’Estienne, et d’une Concordance latine de Jullieron . Pas mal pour un amateur… »

Certes, c’était là l’attirail de l’honnête homme à cette époque, mais depuis les choses ont évolué, la science biblique a fait des progrès ainsi que la théologie. Vous êtes marrant vous ! L’honnête homme en 2017 a davantage, en tout cas autrement, à sa disposition, et c’est bien normal.

Delaporte dit: 30 octobre 2017 à 13h43

« Et lui ne nous assénait pas les Sermons de Delaporte. »

Je n’assène jamais de sermons, bien sûr, c’est une perfidie de plus.

Delaporte dit: 30 octobre 2017 à 13h46

« Pas mal pour un amateur… »

Vous êtes bluffé par tous ces titres en grec et en latin, mais l’honnête homme aujourd’hui peut avoir beaucoup mieux et en français seulement…

Delaporte dit: 30 octobre 2017 à 13h48

En fait, Petit Rappel sent son « cuistre », pour reprendre un mot du XVIIe qu’il affectionne.

Delaporte dit: 30 octobre 2017 à 14h05

D’ailleurs, plutôt que de « sermons », genre tout en longueur, il s’agirait plutôt d’aphorismes, genre où l’on fait court. Un post de trois ou quatre phrases, qui dit une une idée essentielle, est un « aphorisme ».

JAZZI dit: 30 octobre 2017 à 15h01

Entre la révolution de palais au Magazine littéraire et la remise du prix Goncourt la semaine prochaine, Passou semble se désintéresser de son propre blog. Pour suppléer à ses fonctions élémentaires, je reproduis ici l’information péchés chez Paul Edel :

Troisième sélection pour le Prix Goncourt 2017
Yannick Haenel Tiens ferme ta couronne Gallimard
Véronique Olmi Bakhita Albin Michel
Eric Vuillard L’Ordre du jour Actes Sud
Alice Zeniter L’Art de perdre Flammarion

JAZZI dit: 30 octobre 2017 à 15h11

La parité est respectée : deux femmes et deux hommes. Mais c’est déjà une femme qui a eu le prix l’an dernier…

Janssen J-J dit: 30 octobre 2017 à 15h23

Je vote pour l’Eric Vuillard, le seul que j’ai lu des quatre restants. D’autant que c’est assurément le meilleur !
Plongé dans le dernier essai magistral du toujours très Terrestre Bruno latour qui se demande où atterrir (càd comment s’orienter en politique à l’ère de la dérégulation, de l’explosion des inégalités et du climato-négationnisme), je n’ai pas eu le temps d’aller au cinéma, (sauf pour Au revoir là haut) et ne saurais entrer dans la nouvelle controverse des cinéphiles de la rdl. J’ai préféré aller poser des chrysanthèmes de saison sur quelques tombes de mes cher-es disparu-es, histoire de ne pas me les oublier, mais sans trop regarder en arrière. L’Europe provinciale reste mon pays, leur refuge. Je voulais le leur rappeler et puis vous dire à nouveau combien vous ravira le dernier roman de Daniel Mendelsohn, Odyssée, un père, un fils, une épopée.
BJ à toussent, de belles lectures en perspective, la nuit arrive si vite ainsi que la déprime. Il ne faut pas s’en laisser piéger.

bérénice dit: 30 octobre 2017 à 15h57

« Un honnête homme comme Charles Perrault disposait de la Vulgate, de la Lemaitre de Sacy,du Novum Testamentum Graece paru chez Plantin et reprenant probablement le prodigieux travail d’Estienne, et d’une Concordance latine de Jullieron . Pas mal pour un amateur… »

mazette, je remballe les gaules, je suis toute ébaudie, abasourdie, éberluée sans vraiment maintenir l’enthousiasme au beau fixe malgré l’effort bien qu’on puisse supposer que vous n’en fournissiez aucun , anomalie génétique!

bérénice dit: 30 octobre 2017 à 16h02

JJJ, je ne l’ai pas lu après avoir hésité à l’acquérir, trop proche de notre réalité et j’ai crains qu’il me déprime ou ne m’atteigne plus que je ne le suis déjà consternée par la marche du monde, bien aimé tiens ferme ta couronne, mais je ne sais pas parler de ce que j’aime ; vous devriez y jeter un œil.

bérénice dit: 30 octobre 2017 à 16h06

Et je dois attendre la semaine prochaine pour découvrir la prose vantée par le billet et Christiane qui contrairement à moi dispose des mots et des idées pour passer l’envie de s’y enfuir . En attendant pour vérifier, Paul Morand et il n’y en avait qu’un dans les rayons:Ouvert la nuit.

bérénice dit: 30 octobre 2017 à 16h14

Un roman, Chantal?

Casanova, un voyage libertin (essai), Denoël, mais publié en 1985.

Bloom dit: 30 octobre 2017 à 16h22

La littérature peut en une phrase, résumer une tendance lourde de l’évolution historique d’un pays.
Citant un célèbre dramaturge bien connu, celui qui s’est imposé comme le plus influent des spécialistes français de l’Inde me disait ce weekend. »Les affaires sont les affaires ». Il parlait de notre diplomatie. Avec tout ce que cette formule sous-entend…

Sergio dit: 30 octobre 2017 à 16h43

Les sermons les sermons… Mmh… Vaut pas « les (indigestes, ou sirupeuses, ou…) tartines de morale », dont parlait l’excellentissime MàC…

Sergio dit: 30 octobre 2017 à 16h45

rose dit: 30 octobre 2017 à 17 h 27 min
Quand on a de problèmes avec sa mère
et ou sa libido
et ou son oedipe

Euh… Surtout l’argent de poche, si mes souvenirs ne me trahissent point…

Delaporte dit: 30 octobre 2017 à 16h57

« Les sermons les sermons… Mmh… »

Des sermons, il y en a de très beaux dans l’histoire de la littérature, et même aujourd’hui… Les gens gobent ceux qui émanent de la TV, et ne sont plus habitués à ceux qui, alternatifs, viennent de la sainte Eglise…

bérénice dit: 30 octobre 2017 à 17h14

ceci étant, c’est un peu comme chez le poissonnier, l’ouïe fraîche attirera le calant alors qu’une écaille terne, un oeil qui perd sa brillance, une odeur trop prononcée décourageront la pulsion d’achat.

D. dit: 30 octobre 2017 à 17h23

bérénice dit: 30 octobre 2017 à 18 h 14 min

C’est dég.ueulasse ce que vous racontez, Bérénice.

D. dit: 30 octobre 2017 à 17h26

Le gouvernement a beau dire qu’il n’y a pas de pénurie de beurre, le fait est que je n’ai pas réussi à en trouver dans 2 supermarchés près de chez moi. D’aucune sorte, ordinaire, fin, demi-sel. Que dalle.
Moi j’appelle ça une pénurie.

D. dit: 30 octobre 2017 à 17h27

J’aimerais bien que Macron fasse rapidement une allocution au sujet de cette crise d’une ampleur sans précédent.

Janssen J-J dit: 30 octobre 2017 à 17h31

passou avait commencé assez tôt à « couvrir » les lauréats, puis il a tout laissé tomber, du coup -sauf erreur- on sait pas trop ce qu’il pense des 4 derniers, hormis Vuillard. Ce sera p’tt « Ferme ta couronne ». Je verrai après le 6, b., merci.

bérénice dit: 30 octobre 2017 à 17h42

C’est dég.ueulasse ce que vous racontez, Bérénice.

certes, je ne pensais pas pouvoir fâcher les susceptibilités masculines mais admettez qu’on est pas encore sorti d’une logique de maquignon et bien que je ne fréquente pas ce genre voyez les sites de rencontre, les images proposées, les postures adoptées et je suppose les amateurs alléchés.

Janssen J-J dit: 30 octobre 2017 à 17h45

85 euros, c’est quand même cher pour ce genre de problématiques (sic). Epi, c pas sûr de réussir.

site signalé par la rdl (Éjaculation précoce, rapports sexuels difficiles et douloureux, perte de libido, faites la lumière sur vos problématiques et lancez vous dans une véritable démarche de résolution de vos troubles sexuels).

bérénice dit: 30 octobre 2017 à 17h47

Moi j’appelle ça une pénurie.

Au Tibet je crois et au Népal j’en suis sûre ils proposent de boire du thé au beurre rance , conservez ces petits morceaux qui restent dans l’emballage et qui finissent à la poubelle, vous en aurez besoin!

bérénice dit: 30 octobre 2017 à 17h54

«Tiens ferme ta couronne » JJJ.
Si le Goncourt va à Acte Sud, que se passera-t-il? 300 000 manifestants pour réclamer l’indépendance du jury?

D. dit: 30 octobre 2017 à 18h01

Ça suffit maintenant Bérénice.
Pour qui me prenez-vous ? Je n’ai jamais jeté de beurre à la poubelle. De toute ma vie.

Petit Rappel dit: 30 octobre 2017 à 18h02

« Un post de trois ou quatre phrases qui dit des choses essentielles est un aphorisme. »

Nous ignorions, charitable Delaporte, que l’aphorisme en tant que genre littéraire n’avait pas plus d’ancienneté que le post! Nietzsche et quelques autres apprécieront.

Quant au fait de « prétendre dire des choses essentielles, » ce dont on ne se doute guère en vous lisant, n’est-ce pas précisément l’apanage des cuistres que de le reveniquer?!
Bonne soirée.
MC

D. dit: 30 octobre 2017 à 18h02

Vous voulez que je vous dise, Bérénice ?
Depuis quelques mois vous subissez manifestement de mauvaises influences qui peuvent venir aussi de mauvaises lectures.

Janssen J-J dit: 30 octobre 2017 à 18h04

réclamer l’indépendance du jury?

vous voulez dire à l’égard de Mme Nyssen, la nouvelle éditrice à la kulture ?

D. dit: 30 octobre 2017 à 18h08

J’aimerais pas être à sa place en tout cas.
Quelle idée saugrenue que quand on est appelé pour être ministre de la culture on répond oh ben oui, ben d’accord, j’arrive, le temps de donner à manger au chat et j’arrive.

Petit Rappel dit: 30 octobre 2017 à 18h09

Dans les genres brefs, il y a l’épigramme, dont celle-ci, à propos de l Abbé…De La Porte à propos d’un hommage posthume/

De La Porte admirez le sort,
L’esprit lui vint après la mort§

Ou celle-ci, plus gentille:

De feu La Porte, en ce livret,
L’esprit, oui, l’esprit, se révèle.
C’en est la première nouvelle,
Tant le bon Abbé fut discret.

Bien à vous.
MC

rose dit: 30 octobre 2017 à 19h28

https://fr.yahoo.com/news/bouleversé-guy-carlier-consacre-tribune-shaka-ponk-taratata-162113324.html

Moi z’aussi, j’ai raté ça pck j’ai pas non plus la télé, mais il vieillit bien guy carlier non ?

n’empêche que pour moi non plus c’était dimanche ce matin : sur france culture Homère et juste après Bukowski. Du petit lait. Du petit lait. On a même eu le lit conjugal de Pénélope : du grand art, rien de contemporain. L’olivier dru et feuillu, Homère et l’inflation stylistique.

rose dit: 30 octobre 2017 à 19h35

(mais je changerai de coiffure Oleg ; suis plus pour les tresses russes si tu m’en veux pas).

rose dit: 30 octobre 2017 à 19h37

nous on a plein de beurre ; j’en ai amené à mes parents ils en avaient j’en ai ramené ; si vous voulez j’vous en envoie.

rose dit: 30 octobre 2017 à 19h41

ils ont dû se marier, à force de faire des portés.
mais elle n’a pas appris à se faire des tresses russes.

Giovanni Sant'Angelo dit: 30 octobre 2017 à 20h09


…gags, & aphorismes,…imaginaires, du capitaine du gland,…
…les rapports d’artistes avec nos grandes dames conviviales,…la monture, du tatouage à rester  » indélébile « ,…tout sein & transparent,…
…le grain de beauté, à gauche du clitoris,…environ, 2 cm,…plus haut,…certainement, du côté du mont de V&nus,…encore elle,!…

…au nouveau praticien du tatouage,…venez plus près,…prenez vous à deux mains, je fini, mon cours,…allez-y,…avec, vos instruments rythmiques de propulsions musculaires,…Non, n’effacer pas mon grain de beauté, plus que nécessaire,…restez bien, coincer, pour mes œuvres,…restaurer,…

…rester, célibataires, le mieux de nos jours, pour ne pas rester bloquer, à des jérémiades des cinq sens,!…
…vérifier, tout les tatouages, et grains de beautés, c’est pas rembourser, par les mutuelles, encore que, avec tout ces grands clitos, de deux à deux cm,…
…encore, que, des godes de toutes tailles, c’est la famille en crise,…sans châteaux,…
…enfiler, les femmes des autres, pour être bien payer,…
…Papa, c’est le troisième docteur, pour maman,…elle en à trop besoin,…etc,…
…des films à imaginer, vu les crises en cours,!…Ah,Ah,!…
…bien, plonger, la main, Oui, mieux comme çà,!…Ah,Bon,!…
…chérie , je baise,…avec les trois mousquetaires du tatouage en chambre,!…
…on a compris,…l’espace des obscurantistes,…à baleines,…
…un vrai travail,…

rose dit: 30 octobre 2017 à 20h15


Maintenant, les hommes vont être aux côtés des femmes, j’en suis tout à fait sûre.

rose dit: 30 octobre 2017 à 20h16

c’est sûr que, enceinte à cinquante ans, c’est autre chose que se battre pour un préservatif après l’amour.

Giovanni Sant'Angelo dit: 30 octobre 2017 à 20h51


…rose,…votre Karin Viard,…elle est, encore, trop bien,…pour y faire  » tomber « , un troupeau d’éléphants,…
…le collier, de perles, plus serré,…pour un meilleur ressenti longue durée,…
…les mousquetaires à la douzaines,…
…vive, les omelettes,…etc,…Go,!…

Giovanni Sant'Angelo dit: 30 octobre 2017 à 21h08


…c’est, comme, vous voulez, le ressentis, a ce niveau,…
…sans, s’affranchir des passions, un cour de chasse, aux bornes de Dianes la chasseresse,…
…à ses labradors,…etc,…

Delaporte dit: 30 octobre 2017 à 21h10

« De La Porte admirez le sort,
L’esprit lui vint après la mort§ »

Merci pour votre épigramme « posthume », MC, mais gardez-le pour quand je serai mort. C’est-à-dire dans longtemps…

Giovanni Sant'Angelo dit: 30 octobre 2017 à 21h44


…rose, sa maison de retraités, elle a eu le temps de faire son porno,…sur clichés – canapé,

…pour finir en douce, quelques dards qui demande l’extrême onction répétitive,…
…les courses aux  » Emmanuelle « ,…pour pêcher, son gros,…
…de bonne guerre,…Ah,!Ah,!…etc,…
…pain d’épices et café, c’est de saison,…

Delaporte dit: 30 octobre 2017 à 21h46

La cérémonie en l’honneur de Polanski à la Cinémathèque perturbée par des manifestantes :

« Torse nu, deux Femen ont fait irruption lundi soir dans la Cinémathèque, scandant « pas d’honneur pour les violeurs » au passage du réalisateur. Les deux femmes, portant sur le corps l’inscription « Very Important Pedocriminal », ont été rapidement évacuées du bâtiment. »

Delaporte dit: 30 octobre 2017 à 21h57

En janvier, la Cinémathèque remet le couvert, comme si ça ne suffisait pas :

« En janvier 2018, la Cinémathèque Française célèbrera également Jean-Claude Brisseau, condamné pour harcèlement sexuel puis pour agression sexuelle, et accusé de viols par plusieurs actrices. La programmation inclut Les Anges exterminateurs, film d’auto-absolution du cinéaste, justifiant ses crimes sexistes par sa position d’“artiste”, et renvoyant la responsabilité sur les actrices, “transgressives” et “perverses”. »

Piqure de rappel. dit: 30 octobre 2017 à 22h45

Qui veut des miracles? En voici!
Comment diable un homme qui déclare n’avoir pas lu Ricoeur le soir, ce que ses approximations relevées par son contradicteur confirment largement, peut-il le lendemain en donner une réfutation?
Mille pages en deux ou trois heures, c’est battre l’école Pluriverselle chère à Woody Allen!

rose dit: 31 octobre 2017 à 23h04

delaporte du cimetière à 22h15 et alii

je me demande si vous n’en faites pas un peu beaucoup là ?

Ce qui me rassure sont les paroles « c’est dur de mourir au printemps ». Or étant en automne, congelés, il reste au moins huit mois avant le printemps. Cela laisse un délai.

Soleil vert dit: 31 octobre 2017 à 0h09

Et pourquoi pas Pierre Assouline à la tête du Magazine littéraire ?
J’aimais bien André Gluksmann, mais le fils connaît pas ?

JAZZI dit: 31 octobre 2017 à 7h50

Rien de plus à dire que vous, rose, sur « The square ». Vous, ça l’a fait, moi, pas trop !

rose dit: 31 octobre 2017 à 7h53

un film un livre une toile une musique – chanson, piano et alii, ne sont pas faits pour nous guérir de quelque chose. ils nous donnent un regard sur le monde.

Après, c’est à nous d’agir, avec, par ce regard.
Par exemple, Guy annonce je suis bouleversé. Et la chronique qu’ il écrit est d’ une poésie éblouissante et lundi est encore dimanche.
Par exemple, tu as, j’ ai aussi, à apprendre que tu n’ es ni vieux ni moche mais timide.
C’est comme cela que la vie change.
En s’apprivoisant soi.

rose dit: 31 octobre 2017 à 7h56

jazzi
dslée que nous n’ ayons pas un petit débat sur The square. ?
je repense bcp à la performance devant les mécènes. L’ étirement du temps est nécessaire à la montée de la terreur qui nous saisit, nous, les spectateurs.

rose dit: 31 octobre 2017 à 8h01

non.jazzi
c un espace de liberté pour d’ autres, pas pour moi.
g passé ma soirée à me réconcilier virtuellement avec une sacrée ….cela me suffit.
je ne me mets jamais en concurrence avec d’ autres femmes. sororité. béguines.
vous pouvez l’ effacer ?
merci

JAZZI dit: 31 octobre 2017 à 8h07

Depuis quand est-on en concurrence avec l’auteur du blog en venant commenter, rose ?

renato dit: 31 octobre 2017 à 8h13

Beethoven avait ses habitudes à la Taverne Schwan, il me semble. Il est par contre certain que parmi ses compagnons de beuverie on trouve le violoniste et chef d’orchestre Ignaz Schuppanzig dit Falstafferel car il était plutôt enveloppé et pas très grand — ce qui explique Canon à 5 voix WoO 184 (Falstafferel, lass’ dich sehen!), que LvB le lui dédia.

http://www.youtube.com/watch?v=2qynl413u10

Laura Delair dit: 31 octobre 2017 à 8h39

Petit Rappel ou piqûre de, le p’tit Court se donne bien du mal pour prouver qu’il existe !

Janssen J-J dit: 31 octobre 2017 à 9h36

@de facto, c’est Léa Salamé qui va diriger le nouveau mag litt. à distance, elle s’introduit partout.

@magnifique rose en robe verte sous la houlette d’Oleg. Ca zwingue class, la vie dans les salons de thé populaires !

@l’étau se resserre sur eux : on dit que la peur est en train de changer de camp (IT).

@ « La vie automatique », de Christian Oster (l’olivier), son dernier roman dépressif mais quoiqu’il en ait, bien revigorant.

@J’apprécie les rappels de Marc Court, je ne comprends pas ce qu’on lui reproche en permanence. Son immense culture littéraire qui ne se hausse pas plus du col que ça, peut-être ? Encore faut-il avoir su l’acquérir, c pas donné à toutes, hein ?

BJ à toussent, et à notre ami Mustapha.

bérénice dit: 31 octobre 2017 à 9h50

Encore faut-il avoir su l’acquérir, c pas donné à toutes, hein

L’égalité des chances, depuis le collège j’en suis surprise, j’avais des copains qui lisaient une fois et savaient leur leçon, d’autres qui comprenaient tout ce qui n’a jamais réussi par être une évidence à mes yeux, c’est amusant chez lui, il suffit de solliciter c’est comme un robinet qu’on ouvrirait et même s’il passe du temps aux sources sa facilité déconcerte, il n’est pas le seul à présenter ce genre de profil mais est-ce que cela prémunit de la bêtise, de l’erreur de jugement, de l’égarement, de toutes sortes de défauts qu’on attendrait qu’une intelligence supérieure éteigne?

bérénice dit: 31 octobre 2017 à 9h58

Vu Lucky Logan, on peut y voir une illustration de l’économie souterraine , de l’évasion fiscale version revanche prolétaire . J’ai lu les analyses du film mais devant la complexité des circuits j’ai pensé à cette fraude, tout cet argent qui dort et qu’on ne peut pas quantifier. La scène de la mutinerie est super bien vue .

Petit Rappel. dit: 31 octobre 2017 à 10h10

« Immense »me gêne. On a toujours quelque chose à apprendre.
Bérénice: Non, absolument pas! On peut s’en rendre compte dans le domaine de la Critique qui devrait être, soit dit en passant, celui de la majorité des contributeurs de ce blog…
MC

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*