Le traître est parfois juste un peu en avance sur son temps
Franchement, que peut-on attendre d’un roman intitulé Judas (traduit de l’hébreu par Sylvie Cohen, 352 pages, 21 euros, Gallimard) qu’une histoire de trahison, une réflexion sur la chose, ses avatars et ses variantes ? On n’aime pas trop que l’intention s’affiche dès le titre. Ca tue le mystère. Et pourtant… C’est compter sans le métier d’Amos Oz, sa maîtrise de tous les registres narratifs, sa formidable faculté d’empathie, sa capacité à faire dire à une histoire autre chose que ce qu’elle dit. Et si Judas avait été, contrairement aux interpretations communément admises, jusqu’à en faire le paradigme absolu de la figure du traître, le plus fidèle et le plus dévoué des disciples de Jésus ?
Jérusalem en hiver entre 1959 et 1960, une ville qui porte encore les stigmates de la guerre d’indépendance dix ans après. Schmuel Asch, un étudiant qui poursuit une thèse sur « Jésus dans la tradition juive », doit interrompre ses recherches quand son père, qui subvient à ses besoins, est forcé de mettre la clé sous la porte de sa société. Son abandon est un renoncement définitif. Dès lors ce garçon d’un naturel apathique, asthmatique et cyclothymique, que sa petite amie vient de larguer, se met en quête d’un travail et trouve par petites annonces un boulot chez un vieil homme sur ses béquilles, Gershom Wald, lequel lui offre le gîte et le couvert en échange de quelques heures de conversation par jour. Au mur de la maison, des reproductions de Van Gogh, sur les tables de chevet, le Docteur Jivago de Pasternak traduit en hébreu six mois après l’édition originale russe, par nostalgie de l’Europe.
Le jeune homme timide et mal dans sa peau s’installe donc dans une petite chambre dans les combles de la maison et vit entre ce misanthrope passionnant mais revenu de tout, plus désenchanté qu’amer, qui l’entretient en permanence de questions politiques et de controverses théologiques, et l’étrange et froide Atalia Abravanel, une femme d’une quarantaine d’années murée dans son mutisme, sa bru au charme ravageur, triste et belle, veuve de son fils, un soldat sauvagement assassiné, et elle-même fille du défunt Shlatiel Abravanel, pionnier du sionisme historique qualifié de traitre pour avoir évolué vers la solution utopique d’un Moyen-Orient sans Etats ni frontières (faut-il préciser que ce personnage est purement imaginaire ?)
D’un côté un jeune homme pas si naïf qu’il en a l’air mais qui veut croire à une force qui sauvera le monde ; de l’autre un homme las qui ne croit pas en sa rédemption, que les bons sentiments exaltés par les trois religions monothéistes révulsent. Quand l’un veut croire qu’il n’y aurait pas eu de christianisme sans crucifixion, l’autre se dit persuadé que la trahison de Judas l’Iscariote est à l’origine des persécutions antisémites dans le monde, que c’est le mensonge fondateur, que c’est à cause de cela que pendant des siècles les chrétiens se sont persuadés que les Juifs avaient tué le fils de Dieu. Judas, synonyme de traitre, est devenu synonyme de juif.
A un moment du récit, le vieux Gershom Wald raconte que dans sa jeunesse polonaise, voyageant dans un train, il lisait un journal en hébreu. Una dame assise en face de lui l’interpella : « Comment se fait-il que vous lisiez un journal juif, monsieur ? » Il expliqua qu’il comptait bientôt émigrer en Palestine pour s’établir à Jérusalem. Alors la dame, le regard mouillé de larmes :
« Il était si bon, si bon, comment avez-vous pu Lui faire cela ? »
Emu par son émotion, Wald se retint finalement de lui confier qu’au moment de la crucifixion, il avait justement rendez-vous chez le dentiste et il ravala ses paroles. On croit qu’on va verser dans du Woody Allen mais non. On se croirait plutôt du côté de Tchékhov et pas seulement en raison de l’ atmosphère de huis clos hivernal, ce qui n’est pas tout à fait un hasard : bien qu’il ne possède pas de table de chevet, Oz a des auteurs de chevet, ceux vers lesquels il revient tout le temps, Tchékhov en premier lieu avec Cervantès mais aussi Bialik, Amichai, le Lampedusa du Guépard, Kafka et Borges, parfois Thomas Mann et parfois Elsa Morante ou Natalia Ginzburg.
Ce n’est pas un roman cultivé abreuvé de sources érudites. C’est à peine si Oz a consulté quelques livres, trois notamment qu’il cite à la toute fin sur Jésus dans le regard juif et qui remontent aux années 50. Le fait est que, croyant ou pas, juif ou chrétien, on est emporté par ce huis clos (il faut lire à ce sujet les forums de discussions sur cette… discussion notamment sur les sites de langue anglaise) même si la figure de Judas l’Iscariot, l’un des douze apôtres de Jésus de Nazareth, demeure évanescente et son historicité, douteuse. Amos Oz a du mal à croire qu’un homme comme lui, un homme riche qui avait du bien et jouissait d’une grande domesticité, aurait trahi pour trente deniers (équivalent de 600 euros), d’autant que l’identité de Jésus, qu’il est censé avoir vendue, était connue de tous à Jérusalem, ce n’était pas un scoop. Le baiser de Judas à Jésus n’a rien révélé du tout à ses géôliers. Au fond, en livrant Jésus à ses tortionnaires, Judas n’a fait que lui être fidèle, il lui a obéi puisque Celui qui prétend être le messie et le roi des Juifs veut mourir sur la croix.
Ca discute, qu’est-ce que ca discute dans ce roman qui n’est pourtant jamais bavard, Jérusalem sous la neige dominant en arrière-plan en personnage principal et silencieux, comme si la ville surveillait les faits et dits de chacun. Un vrai pilpoul que cette célébration de l’art de la conversation : beaucoup de conversation, un peu de thé, encore de la conversation, un peu… Parler dans le fol espoir de faire baisser le niveau d’angoisse et d’hystérie nationales. C’est une pièce de théâtre, on sort peu dans les rues car il pleut tout le temps ; cela donne un roman écrit comme un trio pour piano et cordes, allez, disons l’opus 67 en mi mineur, de Chostakovitch !
Parfois le traître est celui qui est en avance sur son temps, comme le général de Gaulle, qui est revenu au pouvoir là-bas en France grâce aux voix des partisans de l’Algérie française et qui ne va pas tarder à les tromper en accordant l’indépendance aux Algériens. Mais après tout, le prophète Jérémie n’était-il pas tenu pour traitre par la populace ? N’a-t-il pas connu la prison et l’exil pour avoir annoncé l’arrivée des Chaldéens, prédit la destruction de Jérusalem et l’exil des Judéens à Babylone à cause de leur manque de foi et la destruction de nombreux peuples étrangers, royaumes et cités ? Traitre, même Herzl le fut un temps aux yeux de ceux qui ne le pardonnaient pas de se décourager en envisageant la résurrection d’Israël loin de la Palestine historique. Et Ben Gourion, favorable à la solution des deux Etats ? Tous des traitres !
Oz a de la compassion, de l’empathie mais s’il croit en une certaine justice, il ne croit pas en l’amour universel. Ses personnages nous laissent dans l’irrésolution même si par la vertu de la conversation, ils donnent l’impression d’avoir fait un pas l’un vers l’autre, surtout le jeune thésard Shmuel Asch que l’expérience a déniaisé et dessalé. Militant de gauche et sioniste cela va sans dire, Amos Oz n’a cessé depuis des années d’œuvrer pour la paix et la coexistence de deux Etats, israélien et palestinien. Il n’a jamais trahi ses convictions politiques, et moins encore la littérature. A toujours creusé le même sillon dans ces deux registres. Pourtant, c’est peu dire que le qualificatif de « traitre » lui colle à la peau. Il ne se passe guère de semaine sans que dans une émission, un tract ou un journal, des extrémistes le lui accolent pour avoir osé dénoncer leur conception du Grand Israël. D’ailleurs son père et son fils s’appellent Yehuda. “Je suis donc le fils et le père de Judas!” s’amuse-t-il dans les interviews. Et puis quoi, il serait incroyable que le baiser le plus célèbre de l’histoire ne soit pas un acte d’amour mais de trahison, de déloyauté, d’infidélité…
(Photo Louis Stettner)
1 850 Réponses pour Le traître est parfois juste un peu en avance sur son temps
JJJ, brièvement. ce n’est pas la rupture avec Clotilde, qui n’a jamais vraiment eu lieu, qui détermine l’avatar du positivisme religieux, c’est tout ce que Comte voit en elle, et le « pas touche! » qu’elle lui oppose. Quand elle ne sera plus là, son souvenir sera divinisé.
Le traumatisme de l’enfance de Comte, c’est la mort de son jeune frère, d’où, un peu comme dans « Le Président Wilson » vu par Freud, un incessant besoin de disciples qui l’aiment, qu’il aime, et qui le trahissent parfois. Célestin de Blignières, Emile Littré en feront la dure expérience. Ceci, très révélateur, dans une lettre à un disgracié Lyonnais qui a osé baptiser selon les critères du positivisme: « Comment, Monsieur…. Et vous ne croyez pas que le positivisme puisse s’incarner dans un Pontife?! »
La ville natale de Comte étant alors plus orotestante que catholique, et l’ultramontanisme représenté surtout par les Cardinaux Noirs de l’entourage de Pie Septième du nom, il me parait difficile d’appliquer cette grille d’analyse ultramontaine à Comte. Joue par contre la compétition avec le Christ dans l’épisode délirant ou Comte entreprend de marcher sur les eaux du lac d’Enghien.
Il arrive parfois, pour répondre à quelqu’un d’autre, que des circonstances que vous nommez caquetage philosophique aient leur importance dans l’ignorance d’un courant. J’ai dit pourquoi Comte s’était abstenu de lire les allemands, et cette lettre existe .Ce courant n’ globalement pas eu de chance, avec Hegel quasiment séquestré à Paris par Victor Cousin, et Kant abordé sous la Restauration par bien peu de monde, dont Keratry (Hilarion, pas Emile de, mais au travers des opuscules esthétiques , semble-t-il). Hugo, en choisissant l’ Ane pour faire un cours hugolien à Kant montre surtout qu’il n’est qu’un nom pour lui.
Merci Rose, et bonne journée à tous.
MC
« Quand on en a une vraie en état de marche, on s’en sert, banane…, pas besoin d’en faire mention à tout bout de champ. » (JJJ)
A quoi en est réduit cette Jiclette Japonaise Junior ! Traiter un homme de « banane » : ça sent le raciste frustré … un séjour aux Antilles raté ?
Comme si le sexe n’était que le sexe ! Mais, mon petit drôle, mon bouffon à pied, demande à un spécialiste comme ….*, tout l’être est concerné par la sexualité !
(* oui ! Lui ! remet ta piteuse mentule dans son coffret à bijoux et ne la sort pas pour rien : elle fait peine à voir …uhuhu !)
Non Court, s’agissant de votre opposition Comte- Philo allemande, et les petits hommes verts, je n’ai pas pensé que vous livriiez à un caquetage philosophique. Plutôt: persiflage de sortie de messe.
Purée, conjuguer le verbe pronominal se livrer à l’imparfait, c’est pas gagné.
Et il commet l’erreur de sur interpréter « banane », tombant pile poil dans le piège tendu… Quelle déception après la défense, normal, il n’aime pas qu’on prenne sa défense.
Merci, MC, pour les précisions biographiques sur auguste comte destinées à donner une autre interprétation de sa fuite en avant délirante. Mais elle me semble trop freudienne, toujours intercalée dans la croyance en un trauma originel, une explication ultra psychologisante. Ce genre d’explication est peut être utile, mais jamais totalement déterminante. Onfray commet en général la même erreur sur Freud ou d’autres, en retournant les traumas à l’épreuve personnelle de celui qui a cherché à les expliquer, pour mettre à bas une théorisation universaliste quand elle lui déplaît. C’est toujours une régression intellectuelle trop mécaniste, mais il faut bien en passer par là.
Je suis en retard ! Une invitation chez le curé. Nous avons un point commun, les premières communiantes : divergences sur les moyens de parvenir* …
*excellent ouvrage ! Dom Guillaume, pense à me le restituer, par Priape ! …
On connait maintenant la façon de répondre du petit bedeau en rappel de ce blog : noyer le poisson avec le déversement le plus grand possible de noms, verbiage pesant et prétentieux, méprisant et rigolo à la fois
Purée.
Purée de pois.
De pois cassés.
Brouillard.
Brouillards.
La fin du monde terrae incognita.
s’il fait allusion au récit de Magda cité de mémoire à Coetzee lui-même, alors là, total respect !… Car, après le monologue de Molly Bloom, celui de Magda, la vierge acariâtre et frustrée (d’Au cœur de ce pays), est sans aucun doute l’un des plus grandioses que la littérature mondiale nous ait donné. –
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The very same, sirrah!
Je n’avais jamais songé à ce rapprochement fulgurant & osé (Coetzee a fait la mineure de sa thèse sur Beckett, qui est à Joyce ce que l’évidement est à la profusion), mais warum nicht? Le but du sadique jury d’agrèg était bien sûr de faire chuter les candidats, mais comme je l’ai écrit plus bas, ce texte fut d’emblée pour moi un livre ouvert. En revanche, celui de la version orale, tirée d’un magazine de pédagogie américain & intitulé « New norms for nation schools », m’est resté totalement hermétique…La pédago théorique m’ayant toujours royalement gonflé, j’étais puni par là où j’avais péché.
J’ai maintenant acquis l’insigne privilège de ne traduire que ce/ceux que j’aime, quand et seulement quand j’en ai l’envie.
Rites de passage (et de passation)…
Marc Court
Avec les nuances qui s’imposent.
Ne connaissant ni Auguste Comte ni Kant ni ni etc.
Ce me semble procéder d’une attitude face à la vie en opposition totale. D’un côté une recherche d’explication rationnelle aux événements en cours -et beaucoup de temps perdu- de l’autre, une acceptation de ce qui est irrationnel. Et du mystère.
Ce qui éclaire l’obscurité.
Le. A plena luz.
Ai entendu, ou lu, la possibilité d’être très intelligent tout en ne sachan ni lire ni écrire.
Ne crois pas à telle influence de l’enfance ds des rites quels qu’ils soient. On sort de l’enfance, grand dieu ! Crois bcp plus aux ravages de l’amour. A la détermination imposée suite à cela.
Aux solutions qui s’en suivent ou qui s’imposent.
Vous n’envisagez pas le refus sous d’autres angles.
Luz.
A plena luz.
quand se montre à ce point chaque jour incapable de contrôler le surdimensionnement de son propre ego. (JJJ)
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Je sais pas d’où il sort celui-là mais il est vraiment drôle. Il ne lui en faut pas beaucoup pour crier au « surdimensionnement ». Une simple anecdote avec un père qui achète une crème Mont-Blanc au prisunic et le voilà déjà sur ses grands chevaux… En plus j’ai jamais dit que c’était un extrait de mon roman, ce qu’il n’est pas. Je crois qu’il a besoin d’un bon psychiatre notre JJJ. Encore un de ces propalestiniens dégénérés qui prennent leur désir pour la réalité.
Dans les rites de passage et de passation, il s’agit aussi d’être normé. De courber l’échine. Pour qui ne sait pas cela pose problème.
L’originalité est admise/tolérée dans un cadre strict.
Il est hors de question de bousculer les convenances. De franchir les lignes. Je l’ai vécu nombre de fois.
Mais détrompez-vous Lavande. Dieu me téléphone aussi ! Une ou deux fois après sa mort, ma mère m’a appelé au téléphone. Ça peut vous paraître bizarre, pourtant je suis convaincu que c’était ma mère. Mystère du téléphone…!
En tout cas Widergänger, quoiqu’il en soit pour poursuivez vitre chemin sereinement. Vous teniez à être agrégé, vous l’êtes. Vous tenez à votre roman, vous l’écrivez.
Il expliqua qu’il comptait bientôt émigrer en Palestine pour s’établir à Jérusalem. Alors la dame, le regard mouillé de larmes :
« Il était si bon, si bon, comment avez-vous pu Lui faire cela ? »
sinon keupu adorateur des choses trappes saint sulpicienne a pti jésus..qui achétra ce chromo
Mais non, on rendra grâce un jour à Passou de ne pas s’être laissé abusé par Houellebecq, qui n’est — je le pense aussi — qu’un écrivain superficiel et surfait. Passou a du nez, et c’est ce qui fait sa grandeur… sans jeu de mot. Cela va sans dire.
Il faut s’honorer d’avoir sur terre un Passou qui a non seulement du nez mais du courage ! Et je le dis sans forfanterie parce que je le pense vraiment. Il est unique au monde, notre Passou. On ne mesure pas toute la chance que nous avons de l’avoir parmi nous. C’est une sorte de petit miracle. Mais si ! Mais si !
Sur le refus.
D’abord, un invente le refus.
Monte un piège. Deux tombe dans le panneau. Une parle de leurs pieds si beaux côte à côte. L’autre parle de calèche et de chevaux.
Une se fait baiser. L’autre est baisée.
Un manipule les rênes, tiré sur le mors arraché la denture des chevaux. Bouches ensanglantées.
Ai beaucoup pensé à cela.
Ai trouvé odieux la manière de se servir de l’autre pour se positionner face à une.
Pire : atroce.
A plusieurs reprises ai vécu cela, d’hommes.
Ne me suis jamais habituée. A chaque fois, la douleur est lancinante, je pense à cause de la perfidie.
Et d’ailleurs, si j’y associé Rimbaud, il n’avait rien RIEN à voir avec un colonial en Abyssinie.
Comment Rimbaud aurait il pu faire des affaires ?
Et comment Rimbaud aurait il pu monter des coups ? Et, l’inouï
tout l’être est concerné par la sexualité !
havec auguste en taulier..hévidemment hon peut préférer la chambre 3j à liane et bananier en plastique mais c’est un genre qui a ses fans
https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/564x/6d/b9/c6/6db9c688bbf219c6f60c6b699194928b.jpg
Deux tombent. Puisque deux.
Existe-t-il des juifs pro-palestiniens dégénérés susceptibles de générer de la paix avec des palestiniens ?
Réponse de wgg : non, ça n’existe pas !
Aussi quand je suis rentré d’Israël, en août 2006, je lui allé la voir à la morgue de l’hôpital. C’était précisément un vendredi et le jour de la sainte Hélène, sa fête. Et le soir je suis allé chez elle, et elle s’est manifestée à moi, ma mère. De manière indubitable, je vous assure. Vous pouvez me prendre pour un fou, mais c’est la vérité. Je regardais la télé, et d’un seul coup il s’est passé quelque chose d’incroyable qui était le signe de sa présence.
Inouï : pour moi qui suis assez fermée, plutôt fermée, totalement fermée à la compréhension de l’homosexualité comme la copie d’un autre soi-même et la peur irrémédiable et/ou de sa mère et /ou de l’autre sexe, c’est totalement inouï combien la voix de Gamblin, Jacques (salopard ; collection), me vrille dans les oreilles « Reviens » cri de Rimbaud à Verlan, après la dispute, après la prison ? Et combien ce « Reviens » déchirant m’à fait comprendre, admettre, tolérer l’homosexualité.
Merci Jacques Gambon.
Merci.
Je vous suis redevable.
cri de Rimbaud à Verlaine
Indeed, Rose.
Une fois qu’on s’est plié aux normes, on a le loisir de faire ce que l’on veut (ou presque).
Réponse de wgg : non, ça n’existe pas !
c’est l’gueubèls de la rdl jjj..c’est lui qui décide qui
Si, Amos Oz en fait partie. Mais il est de plus en plus seul. Shalom Archav (la paix maintenant) ne représente plus rien en Israël. Plus personne ne croit à la paix en Israël, et plus personne n’a confiance dans les Palestiniens. Sinon quelques illuminés comme Amos Oz, et encore !
Merci Jacques Gamblin.
Merci.
Je vous suis redevable.
Pas du tout. On peut se cacher et vivre sur une île déserte.
Indeed.
Je regardais la télé, et d’un seul coup il s’est passé quelque chose d’incroyable qui était le signe de sa présence
quand j’étais môme je m’étais fait un costume de robot en taule..j’allais chez un copain regarder la télé et à coté je faisais des brouillages pas popo comme dans
https://www.youtube.com/watch?v=HQSGHbbDR_Q
vous poursuivez votre chemin
——
Rien ne me semble plus important qu’une pensée originale et ce ne veut pas dire à contre-courant de façon automatique. Non originale. Hors normes.
Des chausses trappes.
Ça.
Réaction tellement tragique.
>13h06
Widerganger
Moi je vous crois.
Le père de mes enfants aussi est venu me visiter après sa mort. Je ne sais plus si c’est deux jours ou trois. Ses ongles poussaient encore.
Je ne peux pas en parler.
Immense douleur.
Salutos compaňeros
Sur le refus qui est un refus et pas une manipulation de l’autre, aurai à dire.
Ce qui est sûr est que j’aime montrer mon ordinaire à tel ou tel blogguer pour casser radicalement et mythes et fantasmes.
Pour moi rien de pire que de manipuler autrui et de monter des coups.
On se croirait chez Platon La gaffe, Survivre au travail avec les philosophes !
Chez COGITOP, Société à Rationalité Limitée, le P-DG est M. Dieu, Thérèse d’Avila étant sa Secrétaire de direction, Nicolas Machiavel son Conseiller particulier, secondés par MM. Sartre, Directeur de la Communication, Nietzsche, DRH, Michel Foucault, Chargé de la vidéosurveillance et de la sécurité. le jeune Kevin Platon effectue un stage d’observation dans cette entreprise, sous la tutelle de M. Socrate, et, ma foi, il ne fait que des bêtises, dont la première est de confondre la machine à café avec le distributeur de ciguë…
Au cours de son stage, il apprend les arcanes de la boîte et lui sont présentés, outre les employés sus-mentionnés, M. Rousseau, Commercial, M. Diogène, Créatif, M. Montaigne qui cumule les CDD, M. Spinoza qui l’introduit à Foucault, à Pascal, à Thomas d’Aquin, qui le présente à Machiavel, incapable de lui arranger une entrevue avec Dieu. Autour de la photocopieuse, il fait la connaissance de Walter Benjamin, d’Epicure, puis de l’inefficace Jacques Derrida, Chargé de maintenance. Après avoir risqué de se faire occire à coups de faucille par le délégué de la CGT, un certain K. Marx, il convie par erreur BHL, le coursier confondu avec DHL, assiste à un exposé de Bourdieu et au sévère jugement du Contrôleur de gestion, Manu Kant, et participe enfin au désastreux pot de départ d’Héraclite, qui constitue l’apogée du drame et le prétexte pour de nombreuses réflexions.
Remplacez les philosophes par qui vous voulez par ici ….
Ce que les gens peuvent supporter avant d’être retiré de la circulation pour folie furieuse ! Tenez, au hasard, JJJ … l’est encore en liberté, le dingue !
Plusieurs personnes ont eux aussi reçu des coups de téléphone émanant de Dieu. Quand je suis allé par exemple à Auschwitz-Birkenau, au retour notre accompagnateur, Joe Weisblatt, qui était prisonnier là en 1944 âgé de 14 ans, il m’a raconté qu’il se recueillait un jour sur la tombe de ses parents morts dans le ghetto de Lodz pendant la guerre, alors qu’il se trouvait dans le cimetière juif de Lodz. Et c’est justement à ce moment-là que sa fille qui vit aux Etats-unis l’a appelé sur son portable. C’était un signe de la présence de Dieu. Dieu vous parle, il suffit d’être attentif à ce qui se passe dans votre vie pour l’entendre. Je sais que tous les morts qui comptent pour moi dans ma vie sont constamment à mes côtés. Ce sont eux qui me permettent d’écrire mon roman par exemple. Il y a des jours avec et des jours sans, je dois constamment êtyre attentif à ce que je ressens et je sais quand je peux me mettre à écrire et quand je ne peux pas. C’est aussi précis qu’un signal.
Suite cité par Apoapo :
Voici les titres des chapitres « réflexifs » :
– La planète des stages
– Ressources humaines, trop humaines
– Process tam tam : la norme en entreprise
– Espèce d’open space
– Flic ou voyeur : la surveillance au travail
– Mon Dieu, mon boss ! : comment peut-on être patron ?
– En avoir ou pas : le pouvoir
– Friends : les collègues de bureau
– le zèle du désir : révolutionner le travail ?
– Course toujours : la tyrannie de l’urgence
– Autant en emporte la vente : le métier de commercial
– Powerpoint, point de pouvoir
– le petit coin du bon sens : du CV au WC
– Intime building : la vie privée au bureau
– Patron, une pression ! : visages du harcèlement
– Vendredi ou la vie sauvage : la révolution du Friday Wear
– Melting pot du départ
– le jour sans fin : la répétition au travail
– La voix de son maître : l’obéissance en entreprise
– Faut qu’on parle : le discours en entreprise
– le pire du milieu : quand l’entreprise regarde vers la Chine
– Acropôle-Emploi
Oui, je vous crois, rose. Je suis persuadé que c’est réel et qu’il est effectivement venu vous visiter. De très nombreuses personnes ont de telles expériences. mais elles n’en parlent pas parce qu’elles ont peur qu’on les prenne pour des fous. Tout récemment, je sais que mes morts m’ont sauvé d’un drame qui aurait pu très mal tourner pour moi. Une injustice qui m’était faite. Et je sais qu’ils sont impatients que j’écrive mon roman. Ils veulent manifestement que je l’écrive et l’achève. Ils savent combien c’est important pour eux comme pour moi. Ce sera pour eux aussi une délivrance quand il sera achevé.
moi jai eu un coup dfil de yavé m’disant que rose et dracul doivent se marier et que je devais l’dire sur la rdl pisqu’y comprenaient pas cqu’on leur disait ces couillons..’c’est dl’humour juif?’ que j’ai répondu..il a dit ‘mon humour est pas plus nul que celui de keupu’..j’ai racroché en disant ‘là tu marques un point’
Widergänger dit: 15 janvier 2017 à 7 h 27 min
… rue où vécut aussi David Oïstrak,
Réponse tardive d ma part car je vis dans un coin du monde « en retard » sur vous
merci pour l’aimable réponse; je prend bonne note que cette nervosité n’est qu’une impression, mais vous le dites vous-même: une violence intérieure vous habite. Un roman déjà paru ou à venir? s’il est déjà paru, quel est son titre?
Très beau souvenir sur vos origines, j’ai adoré lire ça; Odessa, ville de David Oistrack, un musicien absolument formidable, peut -être le plus grand. Il y a quelques jours on parlait ici sur la RDL de Dmitri Chostakovitch; il avait justement dédié une oeuvre, ou peut-être deux (je ne sais plus) à David Oistrack. Ce nom m’a fait revenir en mémoire des souvenirs d’enfance émerveillés: dans les années 50-55, on pouvait écouter à la radio en longues ondes (radio Hilversum, radio Beromünster, etc) des retransmissions de concerts avec D. Oistrack. Je vois encore cette grosse radio Philips, avec son « oeil magique » couleur vert-pomme…..
Il faut que je regarde dans mes vieux disques si j’ai encore quelque chose de D.Oistrack, peut-être Tschaikovsky…
En cas de doute… Yavhé !…. bien meilleur que Google.
JJJ, je vous lisais, HMC _ quel homme ou femme sous cet acronyme ?
Non, sensibilité ne veut pas dire « violence intérieure ». Je ne suis guère un être violent. Mais l’adrénaline monte vite chez moi, à cause de ma sensibilité. On m’en a fait presque un reproche récemment alors que c’est une qualité quand on écrit et quand on lit. Lire demande également une grande sensibilité.
Et puisque vous m’êtes sympathique, je vais vous raconter ce qui m’est arrivé le jour de mon arrivée par avion à Odessa. c’était en octobre 2012 pendant les vacances de la Toussaint. J’avais réservé un hôtel à Odessa. En Ukraine c’est un peu le chaos pour se trouver un taxi. Je trouve finalement un chauffeur mais qui n’était pas un taxi, il faisait ce travail au noir pour arrondir ses fins de mois. Je lui indique le nom de l’hôtel. Mais sans que je m’en aperçoive, il me dépose dans un hôtel qui se trouvait, demandez-moi dans quelle rue ! Je vous le donne en mille, eh oui, précisément rue Bounine, la rue même où habitait la famille de ma grand-mère avant 1905. Je ne m’en suis pas aperçu tout de suite mais le lendemain matin seulement. Et c’était comme dans un rêve parce que l’hôtel m’a accueilli comme si j’étais effectivement un client attendu à cet hôtel. Le soir mêmed e mon arrivée, j’étais impatient de me rendre dans la rue Bounine. Je suis donc sorti de l’hôtel et ne sachant pas que j’y étais déjà, j’ai marché vers le nord croyant que j’allais croisé inéluctablement la rue fameuse rue Bounine, et j’avais beau marcher et marcher encore en remontant les rues perpandiculaires vers le nord de la ville d’Odessa, je ne trouvais pas la rue Bounine. Je commençais à paniquer et à me demander dans quel cauchemar j’étais entré… Et je suis rentré à l’hôtel sans avoir compris ce qui s’était passé. Ce n’est que le lendemain matin après une bonne nuit de sommeil que je compris que je m’étais trompé d’hôtel et que le fantôme de ma grand-mère m’avait attiré à elle rue Bounine !
Non, il n’est pas encore terminé, mon roman. Il s’intitule pour l’instant « Fantômes ». Il raconte toutes les perturbations, plus ou moins graves, plus ou moins angoissantes, que le « fantôme d’Auschwitz » de ma grand-mère d’Odessa a produit dans ma vie et dans mes relations avec mes deux frères, et le rôle du silence. Il se termine par l’évocation d’un mannequin dans une cave… C’est une méditation sur notre époque qui a fait de nous tous des « fantômes ».
14.01 sorry, je me suis encore gouré : je voulais dire JMC (john maxwell coetzee)
« Paris accueille, dimanche, la conférence pour la paix au Proche-Orient. Les deux principaux concernés, les représentants d’Israël et Palestine, en sont absents. »
faut croire que la majorité des civils, population israelienne et palestinienne, est fatiguée du pilpoul.
Mon roman commence par mon retour précipité d’Israël en août 2006 alors que l’hôpital vient de me téléphoner en Israël pour me dire que ma mère vient de décéder et mon frère aîné m’appelle aussi pour me signifier qu’il vient de déposer une plainte contre moi à la police pour vol chez ma mère. Il a failli aussi assigner en justice le Mémorial de la Shoah parce que ma mère y avait légué tous les documents afférant à ma grand-mère morte à Auschwitz-Birkenau. Il voulait les récupérer pour lui. Il y a finalement renoncé parce que la justice ne lui donnait aucun moyen juridique de le faire mais il m’a fait honte auprès du Mémorial, qui m’a appelé un jour au téléphone. Là, ce n’était pas Dieu mais le Mémorial qui était prêt à confier l’affaire à leur avocat, c’est dire la gravité de l’incident. Une histoire de fou que je raconte aussi, qui est la conséquence du « fantôme d’Auschwitz », et ainsi de suite comme ça sur trois cents pages… Ça commence très fort…
Aîe, aïe, aïe… Ce qu’il faut pas lire sur la Rdl, quand même… Bon mon premier mouvement, après le soupir, serait de me dire « après tout, si la croyance au surnaturel peut faire du bien à celui qui la pratique, pourquoi pas ? »
Oui, mais… Le même qui invoque la présence surnaturelle des défunts se permet de préconiser des violences bien réelles en Israël, et manier tout naturellement l’insulte et le mépris à l’égard d’autrui.
Du coup ça fiche froid dans le dos. Pas de croire aux fantômes, hein. Mais de prendre la parole et de vouloir être écouté, quand on a si peu de distance entre la confusion et la réalité…
Brrr. (je plains les psys.)
14.25 c’est ce qu’on appelle le SAV (service avant vente)… et après ça, on saura pas que l’auteur est wgg.
C’est ce qu’on appelle des histoire de famille, avec un marteau qui entend des voix.
Hollande va s’exprimer sur la conférence de Paris. On est en pleine bérésina diplomatique.
Mais c’est pas pour toi, ma grande Clopine. Laisse ça aux grandes personnes !
Une fois qu’on s’est plié aux normes, on a le loisir de faire ce que l’on veut (ou presque).
la liberté encadrée? Mais c’est sûrement de l’art, de s’accommoder de la contrainte , des lois, des règlements en les comprenant, les acceptant puis appel à l’expert qui vous permettra de les contourner le plus intelligemment et discrètement possible, le Droit en galeries ramifiées, il suffit de ne pas rater sa correspondance et bien que les scandales financiers pleuvent en millions et milliards, mais en fait que risquent-ils ces détenteurs de comptes offshore? Pour revenir à cette phrase sans qu’il soit question d’argent, on dit aussi ( disait?) qu’on ne lutte jamais mieux contre un système que de l’intérieur.
Tu seras le seul à le savoir mais tu ne le diras à personne, hein. Ça pourrait me nuire. Sois sympa quand même !
, avec un marteau qui entend des voix.
Sans la faucille? vous ne me ferez pas croire cela.
C’est ce qu’on appelle des histoireS de famille, avec un marteau qui entend des voix.
Le pluriel est de mise, avec un cinglé comac.
Une petite citation de De Gaulle comme nouvelle réponse à notre ami Delpla afin qu’il la médite :
« Souvenez-vous de ceci. Il y a d’abord la France, ensuite l’État, enfin, autant que les intérêts majeurs des deux sont sauvegardés, le droit. »
Comme le montre habilement Zemmour, on vit aujourd’hui sous le règne des Juges dans une inversion complète des valeurs. Les juges ont remplacé les jugements de Dieu dans la Bible, comme dans le livre des Juges. Zemmour esquise même quelques analogies très pertinentes. L’emprise du droit sur nos vies pour les cadenasser est le fruit d’une inversion des valeurs dont nous sommes redevables à la gauche en grande partie mais qui a commencé avec Palewski sous Pompidou et poursuivi avec Giscard. La prise du pouvoir par les Juges qui nous oppriment.
Des histoires de famille typiques de la France. Comme celles de Modiano. Mais soixante ans plus tard.
@14.39, Ça pourrait me nuire. Sois sympa quand même
Bon, je vais essayer… Tu vas signer Gaston Pal. pour donner le change ?
bien sûr, tout se termine en disk jockey, comme Modiano, fils de .
________________________
Permettez ?
Different pulses.
rose dit: 15 janvier 2017 à 4 h 05 min
Moi je me farcis Citadelle
Sehr gut : c’est encore plus biblique que tous les Dodécatéronome et même les Al Corampf ! Que i nous la lâchent un peu la grappe, Saint-Ex c’est plus beau…
Je ne crois pas avoir autorisé WGG à me tutoyer, mais bon. Un homme que visitent les fantômes (enfin, des fantômes triés sur le volet, hein, parce que si certaines victimes palestiniennes venaient le tirer par les pieds, notre homme serait sûrement moins à l’aise dans le surnaturel) peut effectivement s’autoriser à trier le bon grain de l’ivraie… Et tutoyer qui bon lui semble…
@Boudegras dit: 15 janvier 2017 à 11 h 45 min
Justement, ce livre, où Régis Debray recentre les religions sur la vie des sociétés à laquelle elles sont intimement liées, est intéressant, autant pour les croyants que pour les non-croyants.
Il écrit: «Il y a plusieurs façons d’esquiver le réel, cette vexation. L’une, confond le sacré, avec le religieux: je ne crois pas en Dieu, cela ne me concerne pas. L’autre n’y voit que de l’archaïque: je suis moderne, laissez-moi rire. Une troisième le noie dans l’exotisme: je suis occidental, voyez mon tour-opérateur.»
Regis Debray distingue le religieux et les fonctions du religieux d’avec le spirituel. Une balade historique où l’on croise des dieux de tous les temps du Croissant fertile à l’Asie, du monde grec à celui des abbayes cisterciennes. Le dernier chapitre, notamment fait le point sur la place des religions dans notre société contemporaine sans omettre qu’elles s’affirment vérité universelle.
Si les uns détiennent la vérité, les autres ont forcément tort et deviennent des ennemis ! Le deuxième sur les hostilités. La guerre pour rassembler un peuple qu’elle soit faite au nom de Dieu (l’appartenance confessionnelle cimente un groupe humain !) ou de quelque tyran, est toujours affirmation d’un groupe contre le reste du monde. (Il est plus facile de s’unir pour tuer que pour aimer car la haine est plus ancienne que l’amour !) Contradictions entre discours et conduites…
Il explore en spectateur – souvent amusé- les conduites humaines, tous les recoins du sacré, de sa dimension matérielle à sa dimension spirituelle. (l’homme incroyant est également crédule et a aussi ses dieux et son dogmatisme personnel). On referme ce livre avec la sensation d’avoir compris beaucoup de choses…
Dire que ce pauvre Regis est allé mangé la soupe, à toutes les gamelles…
Clopine, définitivement un cas à part… dit: 15 janvier 2017 à 14 h 29 min
Du coup ça fiche froid dans le dos.
Yes ; i scache comme le steak mais il est visible !
Mais de quoi tu nous parles, ma grande Clopine ? Tu ne le sais même pas toi-même.
Hollande est le grand traître à Israêl. C’est Judas.
« Houellebecq, qui n’est — je le pense aussi — qu’un écrivain superficiel et surfait »
Wgg, vous n’avez pas compris Houellebecq et ses profondeurs métaphysiques. Pas plus que vous n’avez compris saint Paul, mais c’est une autre histoire. Lourd passif, Wgg !
@Janssen J-J dit: 15 janvier 2017 à 10 h 28 min
Donc JJJ « is » JJJ ! On vous reconnait même sans pseudo.
Cette Conférence de Paris est une palinodie d’une gauche en pleine décrépitude et qui a trahi toutes ses valeurs.
C’est vrai qu’entre Houellebecq et Zemmour, il y a un certain fossé. Le penseur approximatif nostalgique du maréchal Pétain contre le romancier raffiné qui voudrait sauver son âme…
Mais non, Delaporte ! C’est vous qui ne comprenez rien à saint Paul ni à Houellebecq. Rassurez-vous je parle en connaissance de cause. Je ne parle pas en l’air comme vous ! L’Institut des études lévinassiennes a consacré toute une année de conférence à saint Paul et sorti en librairie un tome que vous devriez lire avant de traiter les autres d’ignorant, que vous êtes !
Houllebecq n’est pas un grand écrivain. Le temps se chargera de le montrer. Il n’invente rien, il parodie des genres qu’il juge désuet. C’est ce qu’un grand critique a appelé la « littérature carnaval ».
Delaporte dit: 15 janvier 2017 à 15 h 16 min
Des clichés ! de simples clichés, Delaporte ! C’est pas avec ça que vous pouvez vous en sortir. Quand vous aurez lu Zemmour, vous pourrez argumenter. Pour l’instant vous n’en êtes qu’aux affirmations gratuites et aux pétitions de principe. Votre discours est vide.
nan merci cricri, je clique pas sur Regis.
Widergänger dit: 15 janvier 2017 à 14 h 48 min
Une petite citation de De Gaulle comme nouvelle réponse à notre ami Delpla afin qu’il la médite :
« Souvenez-vous de ceci. Il y a d’abord la France, ensuite l’État, enfin, autant que les intérêts majeurs des deux sont sauvegardés, le droit. »
Comme le montre habilement Zemmour, on vit aujourd’hui sous le règne des Juges dans une inversion complète des valeurs. Les juges ont remplacé les jugements de Dieu dans la Bible, comme dans le livre des Juges. Zemmour esquise même quelques analogies très pertinentes. L’emprise du droit sur nos vies pour les cadenasser est le fruit d’une inversion des valeurs dont nous sommes redevables à la gauche en grande partie mais qui a commencé avec Palewski sous Pompidou et poursuivi avec Giscard. La prise du pouvoir par les Juges qui nous oppriment.
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ahurissant et, par les temps qui courent, effrayant.
Il est impossible d’être plus complètement à côté de la plaque. La question qu’a soulevé le Delpla en ligne de mire n’est en rien celle de la raison d’Etat, mais, UNE FOIS ADMIS QUE LE CHEF DE L’ETAT A LE DROIT D’ORDONNER UN HOMICIDE, celle de l’encadrement de ce droit.
Les six prétendus prétendants à la victoire contre Valls lui ont servi la soupe en répondant à sa suite que rien ne les choquait dans son exercice hollandien, sinon le fait d’en parler.
Et dire que trois d’entre eux voudraient augmenter d’une unité le numéro de la République !
Je me refuse à croire que personne d’autre que moi ne voit le danger de mettre entre les mains d’une Le Pen un permis de tuer inconditionnel.
Quand on pense que c’est probablement Macron qui remportera les élections de Mai prochain, y a de quoi se faire des soucis sur l’avenir de la France.
La question qu’a soulevéE
Michel Houellebecq a les Lecteurs qu’il mérite.
Que de contre-vérités, Wgg, et de jugements vicieux ! Vous avez le chic pour aller vers l’erreur, condamner les bons auteurs et élire les médiocres ou les nuls. Comme si moi aussi je ne connaissais pas saint Paul aussi bien que vous et même infiniment mieux (ce n’est pas difficile) !
Mais citez moi donc un seul pays démocratique, Delpla, qui obéisse à votre façon ubuesque d’encadrer la raison d’Etat !
Vous n’en trouverez pas un seul !
Vous vivez dans votre bulle, c’est tout. Et tout ce que vous tenir comme discours est un discours d’invectives typique des impuissants en politique.
Il est évident que vous n’avez jamais réfléchi à la pensée de saint Paul ! C’est clair. Pour ça, il faut connaître la Torah et l’hébreu. Ce n’est pas votre cas. Mais ce l’était des internants à l’IEL.
Perso, ce n’est pas la question de la valeur de Houellebecq qui m’importe, mais l’effarement de lire qu’on le trouve « réconfortant ».
Houellebecq, d’après bibi bien sûr, a deux qualités : il a gentiment dissipé les volutes post-soixanhuitardes (ah ! La satyre de la pseudo-liberté sexuelle, des camps naturistes et new wave, de tout le vocabulaire idéaliste et pseudo-égalitariste de ce temps-là), et il a des titres formidables.
Et il sait écrire, c’est indéniable.
Mais encore un qui fait froid dans le dos, vraiment. Et trouver sa lecture réconfortante… Grands dieux. Aussi réconfortante que l’annonce d’un cancer du cerveau, en quelque sorte…
Ils avaient raison. Quand l’État hébreu ciblait les terroristes du Hamas ou son chef, il n’y avait aucune déclaration tonitruante de la part d’aucun responsable du gouvernement. Mais le travail était fait et bien fait ! Voilà comment un État défend la sûreté de l’État et de ses citoyens.
Vous êtes un idéaliste. Un type dangereux s’il avait le pouvoir.
Avant de sauver notre âme, essayons déjà de sauver les girafes, qui viennent d’être inscrites sur la liste des espèces menacées.
Non justement, on peut penser aussi qu’il ne sait pas écrire. Il écrit raplapla. Ce n’est même plus de l’écriture blanche.
bof, c’est sûr que pour lire Michel Houellebecq, il faut avoir dépassé le niveau mat’ sup, celui de l’école maternelle.
celui de l’école maternelle. Supérieure, hein, la maternelle.
Wgg, vous avez une vision trop étroite de saint Paul, en le prenant par le côté strictement hébreu, en oubliant que pour une grande part, l’invention de la religion nouvelle, c’est lui. Informez-vous davantage, Wgg, avant de dire des niaiseries de faux savant !
Ermeline de la Faisandière a bien résumé la prose ambérienne dans « Destruction et Reconstruction du pathos virevoltien (voilà du boudin) n’en déplaise au Marquis de l’Entrejambe qui dans « Démystifions l’andouille de Jicé » (Editions du porte-jarretelles) a rmis les chose à leurs places car il s’y connait, lui, vous pouvez ricaner tout votre saoul courtelinesque de profil
C’est Le Pen le problème. Pas l’encadrement du droit de tuer d’un Etat ! Au reste le droit de tuer est encadré, puisque ce sont les services secrets qui en sont chargés. Et si le président est l’ultime responsable, il consulte avant de prendre sa décision. C’est pareil dans tous les pays démocratiques.
Delaporte dit: 15 janvier 2017 à 15 h 38 min
Pas du tout. Bien au contraire. Pure affirmation gratuite comme s’il n’y avait derrière mes affirmations des penseurs et des lecteurs des textes avec la plus grande rigueur scientifique des intervenants aux conférences de l’IEL. Vous me faites rire avec vos déclaration de café du commerce.
Dans ce cahier de L’Herne il y a deux, non trois, poèmes inédits de Michel Houellebecq.
Eh bien, non.
Ce n’est pas sur ce blog, où il est l’ennemi public number one,-encore que, si j’ai bien compris, il tient ces « ennemis » le la « critique littéraire » officielle, en piètre considération, préférant encore avoir une discussion avec Nietzsche dont il a dit que du mal- que je vous en donnerai la primeur.
Être lu par des crétins, etc.
Pas le temps.
Si j’ai bien compris (ce n’est pas aisé)Widergänger s’est mis en devoir de poursuivre l’oeuvre de Pierre Souvestre et Marcel Allain (R.I.P.). A défaut d’être novatrice, l’intention est louable. La lecture du pitch n’incline pas à imaginer des éditeurs s’arrachant le tapuscrit.
Evidemment pas d’accord – Houellebecq a le sens de la formule (d’où ses titres). « N’ayez pas peur du bonheur : il n’existe pas », ça c’est du typique Houellebecq, et on ne peut nier la justesse percutante de la formule. (même si on aimerait tellement ne pas être d’accord avec lui…). Il en a plein, des comme ça.
Mais cet écrivain désabusé, « petit enfant du siècle » et poussant la charrue dans de mauvaises ornières, pâlira forcément – car rien n’est plus propice à l’ombre que ce type d’obscurité entretenue. En tout cas, moi je préfère infiniment la lumière d’un Giono, d’abord.
En fait, Wgg, vous zappez carrément un fait primordial, c’est que saint Paul s’est converti au christianisme, et que toutes les lettres qui nous restent de lui ont d’ailleurs trait à l’implantation de cette nouvelle religion.
De toutes les façon, Delpla, on ne va pas réunir une commission parlementaire chaque fois qu’un Etat souhaite la mort de l’un de ses ressortissants ! C’est complètement délirant. Les services secrets servent à accomplir les basses besognes des États. C’est comme ça. Il n’y a pas d’encadrement possible de ce droit de tuer. Ni souhaitable.
Purée, tu lâches une mémère verbeuse, en voilà une autre…
Je me refuse à croire que personne d’autre que moi ne voit le danger de mettre entre les mains d’une Le Pen un permis de tuer inconditionnel.
François Delpla, on pourra toujours trouver aux temps avec une bonne ou une mauvaise foi, et bien qu’il s’agisse de droit auquel je ne connais rien, des circonstances exceptionnelles. Le fait est que les temps changent aménagés par une technologie de pointe comme celle des drones, ce sujet demanderait à débat cependant que pensez-vous de la sous traitance aux USA de ces assassinats d’état par des sociétés privées et qui envoient des drones, je crois, faire un travail avec apprend on plus ou moins d’exactitude dans le choix des cibles? Sinon comment le droit français éclaire cette question, a-t-on affaire à une prérogative légale comme pour le droit de grâce à l’opposé.
Ecoutez, mon brave Delaporte, je ne sais quel est votre niveau de formation intellectuelle mais à mon avis il laisse à désirer pour dire ce que vous dites. Saint Paul ne s’est jamais converti à quoi que ce soit, il a prêché une nouvelle Alliance. Celle qu’il a lui-même pensée. Saint Paul est le grand penseur de son époque, sans conteste. Et solide avec ça puisque sa pensée a permis de construire l’Europe chrétienne et de la maintenir sur pieds durant maintenant deux mille ans. C’est pas donné à tous les penseurs de réaliser un miracle pareil ! Mais aujourd’hui, on en a atteint les limites.
radioscopie dit: 15 janvier 2017 à 15 h 46 min
Ténerve pas comme ça ! C’est pas pour les kons qui ne savent rien et parlent sans savoir. T’es nul ma biche. Des comme toi, j’en mange un chaque matin au petit déj. Le cannibale de Montmartre qu’on m’appelle. Si ! Si !
LDVB , vous êtes vous offert les deux Cahier de l’Herne nouvellement parus, le noir consacré à Schopenhauer et le blanc avec la photo de MH, les deux lui sont consacrés l’un pas cher l’autre plus cher et je suis fauchée donc je ne pourrais éventuellement souscrire qu’au premier en rupture dont le délai de livraison indiqué est de un à deux mois , le noir Schopenhauer.
Le portrait de Saint Paul qui m’a vraiment surprise, c’est celui de Velasquez.
Moins connu que l’Épître aux Corinthiens, celui aux Romains:
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89p%C3%AEtre_aux_Romains
Oui, mes justement, ma grande Clopine. La citation de Houellebecq montre une formule de carnaval qui se fiche de la littérature comme du reste. Ça tiendra jamais la route. Ça partira en guenilles comme l’époque ses romans. Et plus vite qu’on ne croit. On vit une époque où tout meurt très vite. Sauf rare exception en littérature comme en art. Et c’est pas forcément les plus connus qui resteront !
Vous allez faire accourir Pablo qui ne jure que par lui.
Mon brave Wgg, là je suis plutôt d’accord avec vous. Ce que je voulais dire, c’est qu’avant de rejoindre les partisans du Christ, saint Paul en était l’ennemi le plus radical. Tout ceci est raconté dans les Actes, bien sûr.
(re…) qu’est-ce qu’il faut pas lire, sur la RDL ! « Saint Paul ne s’est jamais converti à quoi que ce soit, »
Alors nous avons un certain Saül qui passait son temps à bouffer du chrétien, je veux dire à le mettre à mort, sous toutes les formes possibles et imaginables. Voilà-t-y pas qu’un beau jour sur le chemin de Damas, Swiiing ! La lumière le frappe aussi brutalement qu’un roulement d’Art Blakey, et voilà mon Saül qui se convertit et prend le nom de… Paul, appellation sous laquelle il proférera un certain nombre de conneries majeures, notamment au sujet des femmes, ce qui lui permet d’être encore aujourd’hui considéré comme un fondateur de l’église catholique. Mais à part ça, il ne s’est jamais converti…
Cahiers, sorry.
Il est indiqué que la version numérique du Cahier de L’Herne Houellebecq, contient des documents non publiés dans sa version papier.
S’il y a confusion : le petit recueil » En présence de Schopenhauer » est paru dans la collec’ carnets, de L’Herne.
A la librairie, c’est pas le même rayon.
(je reprends because modération)
(rere…) qu’est-ce qu’il faut pas lire, sur la RDL ! « Saint Paul ne s’est jamais converti à quoi que ce soit, »
Alors nous avons un certain Saül qui passait son temps à bouffer du chrétien, je veux dire à le mettre à mort, sous toutes les formes possibles et imaginables. Voilà-t-y pas qu’un beau jour sur le chemin de Damas, Swiiing ! La lumière le frappe aussi brutalement qu’un roulement d’Art Blakey, et voilà mon Saül qui se convertit et prend le nom de… Paul, appellation sous laquelle il proférera un certain nombre de …ies (commençant par co…) majeures, notamment au sujet des femmes, ce qui lui permet d’être encore aujourd’hui considéré comme un fondateur de l’église catholique. Mais à part ça, il ne s’est jamais converti…
Ben oui, je sais bien et alors ?
Cela n’empêche nullement que saint Paul a complètement perverti le message du Christ.
Jésus n’a jamais appelé à une nouvelle Alliance ! Il a au contraire toujours prêché pour accomplir la Torah (Matthieu, 5, 17) !
Qu’est-ce qu’il a dit au sujet des femmes de si méchant ? Je vois pas.
À mon avis, Soumission aura une durée de vie fort limitée, et se soumettra très vite aux bouleversement de l’histoire qui le renverront illico aux curiosités de rats de bibliothèque. Dans dix ans, on rigolera si on en parle encore.
Et le chef d’orchestre soulignant expressément qu’il désire le silence lors de son enterrement, cela est similaire.
Les plus grands opposants deviennent les plus grands prophètes IRL.
In fine, si vous vous occupez du vôtre de mariage au lieu de programmer le mien ? Je pense que vous avez assez de boulot.
Il ne s’agit pas d’entendre des voix. Faut être demeuré pour envisager cela. C’est être en lien avec les morts.
Ulysse l’a bien été lors de son retour à Italie. Juste pour arriver à quitter Circé cette belle s…..e.
Il a vu tous ses compaňeros et sa mère. Lui fallait ça.
Si vous vous occupiez boudegras
« Qu’est-ce qu’il a dit au sujet des femmes de si méchant ? Je vois pas. »
Qui Saint Paul? Je ne vois pas non plus.
Si c’est Houellebecq , c’est bien connu, il n’aime pas les mémères…
Et il fait une vraie déclaration aux Femmes.
Ithaque.
Oui je suis d’accord : Houellebecq aime le bordel.
Mieux : Houellebecq n’aime que le bordel.
C’est sa vision des femmes.
Mais Houellebecq et les hommasses comme rose, alors là, c’est même pas la peine d’y penser.
Yvon Quiniou aurait du attendre le troisième tome de la saga avant d’ergoter sur le 2e (bien qu’il soit tout à fait dans son droit, mais il aurait peut-être mieux compris le sens général de l’entreprise d’Onfray basée sur une dialectique simple : thèse (matérialisme – Cosmos) -> antithèse (spiritualisme – Décadence)-> synthèse (à venir : Sagesse)
https://blogs.mediapart.fr/yvon-quiniou/blog/060117/onfray-et-la-decadence-une-approche-defaitiste-et-eminemment-contestable
Cela dit, pas encore lu le 2e, donc, j’ai encore rien dit, hein…
On peut détester le personnage Houellebecq et ses interviews et provocations mais l oeuvre est là d une intelligence évidente et un constat clinique sur notre monde occidental, et nommer et analyser les désillusions de la vie.. »dans les particules élémentaires » c ‘est écrire « l éducation sentimentale « de sa génération. Ne pas voir ça, qu’ il y a du Flaubert et du Baudelaire en lui c est être aveugle ou de mauvaise foi.son succès en Europe et ailleurs est heureusement éclatant ☺
De Paul, je ne peux pas parler. Ne sais de lui que son prosélytisme et aussi ne connais que Saint Paul hors les murs de Rome qui, à mes yeux, est une pure merveille de la chrétienté, et où, sans la crypte antique, y a sûrement un bout d’os à lui.
16h07 vous avez raison, carnet pour Présence de Schopenhauer essai signé de MH, cependant je ne trouve pas comment accéder à une version numérique du dernier Cahier .
dans la crypte
Paul Edel, il faut vous familiariser avec les émoticônes. Ne pas confondre toujours le 0 et le O majuscule.
Je le fais à votre place:
🙂
Vous en voulez encore lvdlb ? Tous. Totalité je vous laisse. Bon app.
(re-re-re) qu’es-ce qu’il faut pas lire, sur la Rdl
à propos de Paul de Tarse « Qu’est-ce qu’il a dit au sujet des femmes de si méchant ? Je vois pas. »
Alors, certes, j’adhère de moins en moins aux propos et au personnage d’Onfray, m’enfin la lecture du « traité d’athéologie » (entre autres, parce que la majorité des philosophes hédonistes ou épicuriens l’ont analysé aussi) démontre que Saint Paul avait, au minimum, un sacré (ahaha) problème avec le sexe, et c’est un euphémisme… La chair coupable, la chair-péché, c’est lui, et on en a bavé suffisamment pour refermer doucement et gentiment la porte sur un olibrius de cet acabit. Pour peu qu’on soit athée, évidemment.
Non, du Flaubert et du Baudelaire en lui ! C’est lui accorder beaucoup trop ! Ou pas assez ! Car Houellebecq face à ces deux géants de la littérature disparaît complètement avec ses petites particules, si élémentaires soient-elles, Popaul !
vieille rosse, gimme a break.
Clopine, on veut des citations ! Pas des objurgations stériles qui ne traduisent que vos préjugés de petite fille inculte.
À mon avis, le succès de Houellebecq ne prouve rien du tout. Sinon qu’une grande majorité du lectorat se fait une idée de la grande littérature complètement fausse.
WGG écrivez donc les molécules, elles sont à la mode après le prix Nobel, vous figurerez comme queue de la comète.
Ce qui est vraiment caractéristique de notre époque, c’est que Boursouflure 1er n’a pas lu la moindre ligne de Michel Houellebecq; que par ouïe dire.
« Cela n’empêche nullement que saint Paul a complètement perverti le message du Christ. »
On peut voir cela très différemment, en disant que saint Paul a édifié toute une construction à partir de la parole du Christ – sans pour autant le trahir, évidemment.
Aucun problème de sexe chez Saint Paul, ni chez Popaul d’ailleurs… Un statut de la femme et du plaisir sensuel, ça oui. Mais comme dans le Judaïsme. Au reste, les femmes juives ont toujours été de grandes pu.tains ravies de la crèche ! Et c’est ça qu’est bon ! Alors que saint Paul ait voulu mettre un peu d’ordre dans ce bord.el, qui pourrait le lui reprocher ?
16h28 Bonjour Rose, ce soir à la Lune, nous irons ma brune, cueillir des serments.
Ben si ! Delaporte, voyons ! Vous avez d’un côté un type (Jésus) qui ne rêve que d’accomplir le message de la Torah, et de l’autre un type qui transforme la Torah en autre chose ! Boire ou conduire, faut choisir !
Lbitedlb
Vieille peau Houellebecq ne regarde que les jeunes filles. Avec quelque chance,il te reste Rosa de La vie de soi. Sinon, les écailles, cinquantenaire, millénaire plesosaurus, tyrannotittanicus, etc. Fossile.
Vous verrez, dans mon roman, il y aura aussi pas mal de sexe effréné comme peu en ont vécu ici je suis sûr. Tous des conformistes du culte…
Eh bien, les juifs vont être ravis de vous lire néanmoins beaucoup d’hommes sont un peu à penser que toutes des et des sauf leur mère et encore, il n’y a guère que Zidane qui puisse laver ce genre d’opprobre . ceci dit, à plus.
Ben non, Wgg ! Relisez certains passages des Evangiles, et vous verrez que le Christ lui-même s’éloignait volontairement de la lettre de la loi.
Dandysme, révolte navrée ,double mouvement d une angoisse et d une joie enfantine,vue souvent calcinée delà société. Intérêt pour l art de son temps, avance sur son époque, sentiment de décadence, oeuvre critique et théorique marchant ensemble, obsession du voyage et de l’ailleurs,mélange du trivialet fu sensuel,de l amertume d un cœur mis à nu… et recherche des vertiges par l alcool,que de points communs entre Baudelaire et Houellebecq. …
La curiosité ce n’est pas un succès éclatant. Heureusement encore que nous sommes curieux de Houellebecq.
vieille rosse, I said: gimme a break.
Vous avez des tendances sexuelles bestiales et malsaines. Qui ne concernent pas Michel Houellebecq.
Pour Israël, de toute façon, la solution à deux États, c’est une impasse. Et la solution à un seul État c’est aussi une impasse…! C’est sans solution. Ou uniquement après une conflagration mondiale qui redistribuera les cartes. Comme ça s’est d’ailleurs toujours fait dans l’histoire du monde, et surtout dans cette région du monde. Hélas !
Je m’aperçois, Wgg, que vous prétendez avoir un très haut niveau de culture, mais que votre éventail est assez peu large et que vous connaissez très mal la Bible. Vous en avez de plus, pour le peu que vous avez, une lecture déformée par d’autres rares lectures partisanes et peu généraliste. Au fond, vous êtes un parfait sectaire, Wgg !
Mais qui les a bien mises en évidence.
Mais non, Delaporte ! C’est ce que je me tue à vous dire ! D’ailleurs tous ceux qui se sont penchés sur la question l’ont reconnu, comme le grand-oncle de Amos Oz, comme Armand Abecassis et tant d’autres dans la tradition de l’exégèse juive de Jésus.
Il y a dans ce carnet de L’Herne un dessin de Houellebecq- jeune- qui me touche particulièrement. Il concerne Lamartine.
J’ai vu il y a peu de temps, un dessin du poète. C’était un château.
Ce ne sont que des idées, Popaul ! Moi, je te parle de l’art et de la manière. Houellebecq séduit par ses idées, pas par son art. Or, c’est l’art qui fait un écrivain, pas ses idées. Est-ce qu’il y a des idées chez Flaubert ? Non. Mais son art invite à penser. C’est pas la même chose. On a trop de recul vis-à-vis de Falubert et de Baudelaire, et pas assez à l’égard de Houllebecq dont les idées nous aveuglent pour se faire une idée convenable de son art qui, à mon avis, ne vaut pas un pet de lapin.
Delaporte, c’est comme si vous disiez à un professeur qui vous fait un cours sur Flaubert en connaissance de cause qu’il est sectaire sous prétexte qu’il refuse les contre-sens éhontés que lui propose des lectures superficielles de ses romans. C’est absurde de m’adresser ce genre de reproche. Pure invective sans fondement.
Sûr que s’habituer à l’usage des émoticônes, c’est comme devoir se socialiser fissa aux prédicats substitués aux COD et COI, pas facile, faut du temps d’adaptation. Le canard enchaîné, d’où pas mal tirent leur science, dispose-t-il de links ?
« son art qui, à mon avis, ne vaut pas un pet de lapin. »
C’est moins bien dit que dans le dico amoureux de la littérature, aux Editions Plon.
Qui fait de Houellebecq un prophète.
Je ne mets pas de smiley. J’ai mal aux dents.
« et tant d’autres dans la tradition de l’exégèse juive de Jésus »
Wgg, vous vous appuyez exclusivement, comme vous le dites vous-même, sur une certaine tradition juive, et encore, uniquement deux ou trois auteurs… et vous voulez en conclure des généralités qui sont bien sûr des approximations, et ne reflètent pas l’opinion généralement admise. Votre propos sur saint Paul est complètement vicié. Que dire aussi de ce que vous affirmez gratuitement sur Houellebecq, sans une once de démonstration. Quel grand intellectuel vous faites, mon pauvre Wgg !
Il a des idées houellebecq et aussi un sens artistique dans sa fausse ecriture plate et ses constructiond thematisurs .alors pour le recul mon vieux wgg on se donne rendez vous en 2257 …pour l instant suis très heureux de le lire et d etre son contemporain.au printemps dernier je dejeunais d une soupe pho avenue de choisy et il passait en parka un peu crasseuse avec une légère moue de dégoûtdans la lèvre inférieure c était tout à fait le Baudelaire de Nadar..
Avoir des idées n’est pas rédhibitoire pour un écrivain : voyez « L’Education sentimentale » de Flaubert, par exemple. C’est un faux débat.
Paul Edel, mais c’est horrible ce destin que vous assignez à Houellebecq d’être « le Baudelaire contemporain »… La vraie fierté d’un écrivain ne devrait-elle pas être de secouer totue filiation possible, d’emprunter un chemin résolument neuf et d’être « inassimilable » ?
(sinon, d’accord avec vous sur le miroir que Houellebecq nous tend. Mais sommes-nous vraiment aussi pitoyables qu’il le dit ? N’y a-t-il pas de la complaisance, aussi, dans cette acceptation de la médiocrité ? Bref, à mon sens il ne faut pas aimer Houellebecq, car ce serait aimer sa propre déchéance. Et l’on a besoin d’estime de soi, pour briser ce sale miroir où se reflètent, tentatrices, toutes les compromissions. Vous allez me dire que c’est de la morale. Eh bien, je préfère une morale énergique qu’un désespoir mou.)
Bah… quand Zemmour (ou Onfray)diront grand bien de Houellebecq, Widergänger l’encensera à son tour. Palinodies classiques de ces gens qui rampent dans le sillage de directeurs de conscience.
Jehova ou l’idée de dieu
Sinaï! Sinaï ! quelle nuit sur ta cime !
Quels éclairs, sur tes flancs, éblouissent les yeux !
Les noires vapeurs de l’abîme
Roulent en plis sanglants leurs vagues dans tes cieux !
La nue enflammée
Où ton front se perd
Vomit la fumée
Comme un chaume verd;
Le ciel d’où s’échappe
Eclair sur éclair,
Et pareil au fer
Que le marteau frappe,
Lançant coups sur coups
La nuit, la lumière,
Se voile ou s’éclaire,
S’ouvre ou se resserre,
Comme la paupière
D’un homme en courroux !
Alphonse de Lamartine, le début.
Clopine ,bien sûr un écrivain, un vrai ,s affranchit de ses influences..mais presque toute la littérature est faite de filiations et d influences .par ex.stendhal est marqué à la fois par destutt de tracy et Rousseau et les libertins du XVIII ème. le frisson nouveau apparaît plus tard quand l auteur se critique et echappe aux influences. Le sartre de la nausée vient en partie du premier Céline et même le tout premier Rimbaud lycéen doit à banville ou le ton de revues satiriques. les thématiques de Houellebecq sont nourries de Auguste Comte..enfin le « heautontimoroumenos » de Baudelaire n est pas loin.je vous donne des pistes c est tout..
« les thématiques de Houellebecq sont nourries de Auguste Comte »
Ce n’est pas du tout vrai, mais la critique parisienne ne se nourrissant, avec effets de manche, que de filiations et de comparatisme, cela peut être considéré comme vrai, dans un cercle très retreint qui va de Saint Germain, à Saint Germain. Sans dépasser le périph’.
un cercle très restreint . Un étouffoir.
Telle que vers quelque fenêtre
Selon nul ventre que le sien,
Filial on aurait pu naître.
mallarmé
Bon, la discussion sur le point que j’ai soulevé (et qui n’est pas sans rapport avec Amos Oz) avance un peu, même Wiedergänger reformule en loucedé ses anathèmes en caricaturant un peu moins mes propos.
Le quinquennat qui s’achève a battu tous les records de mépris du droit (simple exemple : sèchement rappelé au respect de la loi par le conseil d’Etat à propos du burkini, Valls écrit aussitôt sur Facebook « même pas mal la lutte continue » et peu font remarquer qu’en pareil cas sa démission s’imposait). Les gens de gauche qui veulent une politique « vraiment de gauche » feraient bien de prendre la question moins à la légère, faute de quoi ils nous présagent comme Fillon, comme Marine, des lendemains qui chantent « Maréchal nous voilà ».
Avec les drones, effectivement, Bérénice, le rétablissement de la peine de mort va bon train et quand les bornes sont franchies il n’y a plus de limites.
Je mets au défi quiconque de trouver dans mes posts quoi que ce soit qui tende à affaiblir les moyens de la lutte contre le terrorisme. C’est bien plutôt de les concentrer sur leur objet qu’il s’agit. De s’assurer par exemple que des petits malins hélas élus n’en profitent pas pour assouvir des vengeances.
Le contrôle démocratique doit être non certes absolu, mais maximal compte tenu des impératifs de discrétion.
C’est déjà effrayant d’avoir à rappeler cela.
Mieux vaut terminer sur une citation du père Herriot : la politique c’est comme l’andouille, ça doit sentir la merde mais pas trop.
La vie dans les bois vous avez raison
je ne peux pas dépasser mon bistrot du XIII ardt et je voyage en secret a rome plutot la nuit.votre vision géographique de la critique littéraire me fascine vraiment . Vous devriez développer.
Eh bien, François, gageons que ce soir Herriot va être au parfum…
Paul Edel, je vous envie.
Si, si.
D’avoir vu la parka passer, incognito… 😉
Welbekélas-serth, mèouèlbeck kenmèmeu!
(« tout citoyen peut (…) parler, écrire (…) librement »).
Essentiel de voir en Michou une icône rock semi-contrariée. Ses installations au Palet de Tokio servaient à affirmer cette perspective-là (en sus des mêmes problèmes que Moon & Bonham, boutanche & stups…)
Une rareté en l’hexagone : gros stock d’humour derrière les fagots de la pose & du déjeté…
Quelque chose me dit qu’il y a un certain avenir à chroniquer la médiocrité.
Bloom, lui est plutôt chemise blanche, avec gros staff tv, comme l’exégète de Botul.
… Je sais bien qu’on pourrait me rétorquer que la littérature n’a rien à faire avec la morale et qu’en plus, on n’en fait pas de « bonne » avec de « bons sentiments ».
Mais c’est que je flaire, renifle, subodore, enfin, je ne peux me défendre d’un sursaut quand je lis Houellebecq (cernier en date : soumission). C’est que ce type me flatte. Il tâte ma laine en faisant mine de la caresser, heureux d’y trouver les mêmes punaises que celles qu’il chasse dans sa propre toison. Or, je lui dénie ce droit – et je ne parle même pas du mépris dans lequel il range à la fois les femmes et leur sexe. Aucune de mes admirations littéraires (pas Stendhal, en tout cas) n’a ce penchant à la flatterie, que je décèle – à tort ou à raison – derrière cette « gloire nationale ». La fausse platitude, prise au premier degré par WGG, n’a d’autre but que de faciliter la lecture, et l’acceptation de tous les sentiments blâmables (lâcheté, envie, égoïsme, cynisme), par le lecteur. C’est sordidement subtil.
Traditionnellement, chez Tertullien, par exemple, un « traditeur » est celui qui parjure, apostasie, et livre les textes sacrés aux païens, comme Judas a « livré » Jésus aux païens et aux mécréants pour le mettre à mort, et comme les traducteurs ont toujours trahi des secrets pour les gardiens du temple.
https://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2008-4-page-973.htm
On remonte dans le niveau intellectuel… Il serait injuste de ne pas s’y référer.
http://www.juanasensio.com/archive/2006/06/13/le-mahatma-pierre-emmanuel-dauzat.html
Clopine il y a chez tout écrivain une entreprise de séduction et chez tout romancier un joueur de flûte de hamelin mais chacun sa méthode. Regardez comme Giono seduit et met dans sa poche le lecteur des les 30 premières lignes par un vocabulaire sensuel une rondeur une familiarité souveraine une manière d inviter à sa table son lecteur par un vrai bagout et une couleur locale.ce n est pas du tout simple..mais une éloquence très tambourinee car aucun paysan ne parle comme ça avec autant d effets chatoyants et un tutoiement du lecteur d une allégresse calculée . Chez Houellebecq c est par l écriture gris ciment qu’ il donne le ton de sa thématique urbaine désolée.chacun sa ruse. ..
Paul Edel réduit à faire de la flagornerie…
Espérons qu’il aura de l’audience , au moins auprès des ânes.
« Somes-nous vraiment aussi pitoyables qu’il le dit? »Clopine -Mais oui, mais oui!
Sinon, cette histoire de Dieu qui se manifeste au téléphone me rappelle cette Lettre de la Sainte Vierge aux habitants de Messine pour les remercier de leur conversion…
Houellebecq est surtout un écrivain éminemment politique, comme Baudelaire, ce que ce crétin verbeux d’Edel se garde bien de dire dans son portrait croisé. On n’est jamais trop prudent, au pays de Tartuffe.
Chez Houellebecq c est par l écriture gris ciment qu’ il donne le ton de sa thématique urbaine désolée.chacun sa ruse. ..
roo..polo havec ses arts de la rue..et fauteuil vieux rose a frange dans l’salon..sinon bonne clopine jvois pas qui va achter la chromo
Velbecq is the new Jesus. Allô? https://youtu.be/SN7-FQmuxYg
havec dracul c’est toujours if it bleeds fuck it or fuck it till it bleeds..kabloom doit fourguer la chromo à wachingtone..c’est du boulot
et nico sors ses chromos dchiottes pour rien..
Quand je lis Houellebecq, je ne lis pas de mépris ni envers les femmes ni envers leur sexe.
Je lis un mec qui a de gros problèmes avec le désir plus qu’avec la bandaison.
Pour ce qui est de Dieu et du téléphone, j’aime bien cette histoire:
Le grand Rabbin de Jerusalem rend visite au Pape qui lui fait parcourir ses appartements et lui montre une cabine téléphonique « Ça c’est une petite merveille de technologie: une ligne directe avec Dieu ». Bien sûr le grand Rabbin est épaté et demande s’il peut l’utiliser « j’ai justement un petit truc à régler avec Lui ». « Bien sûr » dit le Pape, grand seigneur. Dix minutes plus tard le Rabbin sort de la cabine très satisfait et demande à régler la communication. « Mille euros » dit le Pape; le Rabbin renâcle un peu mais paie sa communication.
A quelques mois de là c’est le Pape qui se rend à Jerusalem et, tout content de lui, le grand Rabbin lui explique qu’il a fait installer la même cabine chez lui. « Super » dit le Pape, « j’ai deux trois bricoles à Lui dire ». Une demie-heure après il sort en s’excusant d’avoir été aussi long « Vous savez d’une chose à l’autre… » et il demande combien il doit pour la communication. « Dix shekel » répond le Grand Rabbin. »Comment? … mais c’est très bon marché! » »Normal » répond son interlocuteur « ici c’est une communication locale! »
Je mets au défi quiconque de trouver dans mes posts quoi que ce soit qui tende à affaiblir les moyens de la lutte contre le terrorisme. C’est bien plutôt de les concentrer sur leur objet qu’il s’agit. De s’assurer par exemple que des petits malins hélas élus n’en profitent pas pour assouvir des vengeances
c’est un défi tellement himbéciye quil suffit a faire des programmes politique et des guerre polo..en plus de l’andouillette qui pue tu dvrais ajouter ‘c’est technique’ françoué..what else
Qui ne connaît pas l’amour. Terrae incognita. Mais s’en fout de le connaître et c’est là que cela devient passionnant.
@ rose
Tu recherches un sex friend
Vieille cougar fatiguée
You’re approchin’ the end
Vieil oiseau mazouté
Un poème « très très touchant » de notre Mimi national (Houellebecq, pas Onfray !).
lavande les juifs en général carambouille pas les blagues des pays d’lest..il savent hinventer..fait un effort
Qui choisit donc le bordel par grande solution de facilité.
Je lis un mec
et rose qui tient toujours l’bouquin a l’envers..
Diogène je t’emmerde. Houellebecq, je l’aime bien. Je le vois comme un mol écrivain. Coincé. Couard. J’aime beaucoup le regard qu’il porte sur ses contemporains. Sur les correcteurs surtout, ces gens épuisés.
Qui choisit donc le bordel par grande solution de facilité
tu vas pas nous faire du sacha guitry rose..dla tnue stp
Coincé. Couard. J’aime beaucoup le regard qu’il porte sur ses contemporains
tu tsens concernée vla tout..hon peut pas lutter contre ces choses là
Bougereau va te coucher. C’est François Delpla qui parle pas polo.
t’occupe..polo et françois on scomprends a 1/2 mots..
Je te sens très concerné le boug ; je vous sens tres concernés par cette décadence toi et ta poufiasse. Et cela m’émeut. Meuh.c’est pareil que la pollution atmosphérique.
ma poufiasse et moi..
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