Anéanti par le nouveau Houellebecq
S’il y a un livre qui doit être séparé du bruit qu’il fait si on veut le juger pour ce qu’il est, c’est bien tout nouveau roman de Michel Houellebecq quel qu’il soit. Evacuons donc le secret sur le contenu, l’embargo jusqu’au 30 décembre, les versions pirates numérisées, le buzz, le marketing, la rumeur, la consigne d’embargo qui précèdent sa sortie (le 7 janvier en librairie) et oublions un instant la mise en scène du texte par l’auteur même, le seul à obtenir de son éditeur un emballage selon son goût avec reliure et couverture cartonnée (sur le modèle allemand, parait-il), marque-page en tissu rouge comme un signet de reconnaissance pléiadisant l’auteur par anticipation, typographie de la titraille et mise à page adaptée à sa conception de la chose à commencer par le titre de son huitième roman anéantir (730 pages, 26 euros, Flammarion) gravé en lettres rouges sur fond monochrome blanc inspiré par « l’album blanc » de Beatles, titre qui se signale par sa minuscule initiale. Rarement un livre à prétention littéraire a été ainsi traité par son auteur à l’égal tant d’un objet que d’un produit. Des exigences de star. Mais après tout, c’est bien le moins pour l’écrivain français vivant le plus traduit et le plus lu dans le monde comme c’est partout écrit (on n’ira pas vérifier). Allez savoir pourquoi on attend beaucoup d’un roman de plus de 500 pages, on lui prête a priori une grande ambition et un vaste projet, beaucoup plus que, disons, au format-Modiano ou à l’épaisseur-Michon, c’est bête mais c’est ainsi.
Paris 2026. Dès l’incipit, on est transporté dans le couloir de la mort à proximité du néant. Ca se veut un thriller mais sur ce plan-là, Grangé, Chattam, Minier, Thilliez n’ont pas de souci à se faire. Il y a bien un mystère, avec pentagones, schémas, cercles à l’appui de la main même de l’auteur mais j’avoue n’avoir même pas cherché à le résoudre. Très vite, le pourquoi du comment, on s’en tape. Probable que l’auteur aussi. L’enquête, ou ce qui en tient lieu, nous indiffère. Tout pour les personnages, rien pour l’intrigue. Il avait du mal à convaincre lorsqu’il a expliqué, lors de sa conférence à la Sorbonne du 2 décembre dernier, que ses romans n’avaient aucune structure. C’était pourtant vrai et anéantir en témoigne : ça part dans tous les sens.
L’un des personnages principaux, pur polytechnicien dans un monde d’énarques inspecteurs des finances, nommé Bruno Juge, est ministre de l’Economie et des Finances (toute ressemblance etc). Dans le rôle du couple, on trouve Prudence, personnage saisi en pleine mutation végane, et Paul Raison son mari, un haut-fonctionnaire de la direction du Budget proche de la cinquantaine, quelqu’un qui a toujours vécu « sur le côté » dont le ressenti semble bien être celui de l’auteur. Un peu jeune pour être hanté par la mort mais c’est une question de tempérament. Son père, un ancien des services secrets, est très mal en point. Il ne peut plus parler, ce qui est regrettable car les attentats se multiplien. Les Raison, un couple parvenu à « une sorte de désespoir standardisé ». Le déclin, quoi. Air connu sous cette signature.
Ce serait une catharsis si anéantir reflétait l’époque, mais il colle à l’actualité dans ce qu’elle a de plus ordinaire, médiocre et éphémère. Si encore il nous renvoyait quelque chose de l’air du temps, mais non. Il nous parle d’une époque où les analyses de Christophe Guilluy sur l’état de la France sont jugées « déjà anciennes », forcément. Mais anéantir n’est-il pas lui-même déjà daté à l’aube de sa parution ? De quoi est-il question ? Panneaux solaires chinois, campagne électorale, psychologie des boomers, transferts de technologie, Breyvick, solitude dans la ville, taux de fécondité, écolofascisme, nihilisme, AVC, droit successoral, gène égoïste, misère sexuelle, Rassemblement national, Zemmour, guerre commerciale Pékin-Washington, rêves, chaos, Islam, biotechnologies, dentistes séfarades, le Lambeau, euthanasie, rêves encore, campagne électorale, déficit de notoriété, rêves… (inventaire non exhaustif). Et puis l’amour, toujours, dont il répète que c’est son sujet principal. Mais va-t-on vers la littérature pour retrouver le menu du 20 heures de France 2 ? Une ambiance parfois « Baron noir », espoir vite déçu car c’est bien moins cruel.
Notre compassion va aux dizaines de traducteurs d’anéantir de par le monde qui auront à préciser en note de bas de page qui sont ces Français nommés François Lenglet, David Pujadas, Jacques Martin, Michel Drucker, suffisamment importants pour être enrôlés par l’auteur dans son grand roman -sans parler de Bruno Le Maire en majesté quoique en loucedé. C’est inutilement digressif et bavard. Lorsque Paul doit consulter un chirurgien à l’Institut Gustave-Roussy, cela nous vaut une page de biographie de Marcel Grosménil pompée dans le Maitron (il faut emprunter la rue qui porte son nom pour aboutir à l’entrée du Centre de lutte contre le cancer !) et à une autre sur la politique à Villejuif (où il se trouve !). A ce train là, on est soulagé à la pensée du pensum de 1500 pages auquel on a échappé.
Tout cela est si français mais d’une France tellement plate, banale, quotidienne. On s’ennuie ferme comme Aurélien avec tout et tous page 215, sauf que nous, on a encore 500 pages à s’enquiller. Car on a tout de même envie de savoir où il veut en venir à défaut de découvrir ce que ce roman dit d’autre que ce qu’il raconte – mais que raconte-t-il au juste, c’est peut-être le vrai mystère. Les houellebecquiens les plus inconditionnels (autrefois les Inrocks, désormais le Monde), aiment à le faire passer pour un écrivain versé dans la sociologie sauvage mais il en faudrait plus pour que anéantir connaisse le destin des Choses. C’est d’une lecture peut-être plaisante, entendez que ca se lit sans déplaisir malgré l’ennui qui gagne le lecteur, car Houellebecq sait faire ; il a du métier ; mais à côté du livre de Georges Perec, c’est insignifiant. Pourtant, si l’on s’accroche, c’est que tout de même, il ne s’agit pas de n’importe qui mais de Houellebecq et l’on n’imagine pas qu’il va nous balader si longuement et si longtemps pour rien, sans but et sans objet. On veut savoir où il veut en venir car on n’envisage pas de quitter ce livre avec le goût amer du « tout-ça-pour-ça ». Et pourtant…
D’aucuns voudront une fois de plus faire passer Michel Houellebecq pour un styliste, ce qu’il n’est en rien (la charité bien ordonnée du début d’année nous fait soudainement oublier le nom de celui qui le compara jadis au cardinal de Retz). Cela ne signifie pas que son roman soit dépourvu de style, loin de là. Mais l’écriture d’anéantir, plus encore que dans ses précédents romans, est si platement conventionnelle qu’elle endort. Rester vivant, certes, mais surtout rester éveillé, ce qui ne va pas de soi (il ne suffit pas, comme l’un de ses personnages insomniaques, de regarder des documentaires animaliers la nuit à la télé). Le ton est à l’image de ce qu’est devenu son radical nihilisme d’autrefois : mou. A croire que l’auteur s’est embourgeoisé en se mariant ; pourquoi aurait-il été le seul à y échapper, après tout il est humain.
Mais rassurez-vous, il y en aura toujours pour se pâmer devant cette « écriture blanche » quand bien même son livre ne paraitrait pas chez Minuit. Au fond, cette fois, elle ressemble à sa reliure. Une chose d’autrefois avec le charme du suranné et ses limites aussi. Généralement, l’humour, l’ironie, le goût de la litote, le second degré le sauvent :
« Elle avait même le souvenir demi-honteux de s’être, le soir de son inscription à la fac de médecine, masturbée devant une affiche de Bernard Kouchner en meeting qui décorait sa chambre, ce n’était pourtant qu’un meeting du parti socialiste, il n’avait même pas de sac de riz ».
Sauf que cette fois ils se font plus rares, étouffés par le souci didactique et c’est lourd, mais lourd… Un exemple parmi d’autres :
« Ce n’étaient pas seulement les oiseaux qui se cachaient pour mourir, selon le titre francisé du célèbre best-seller d’une auteure australienne, qui avait par ailleurs donné lieu à une série télévisée encore plus célèbre et plus rémunératrice ». (p. 656).
Bizarre que les correcteurs aient laissé passer « les images saint-sulpiciennes de la Vierge » (p. 252) alors que, depuis La femme pauvre de Léon Bloy, lorsque l’adjectif se veut péjoratif, « sulpicien » suffit. Des incongruités (« l’amour ou un sentiment analogue ») y côtoient des formules à l’emporte-pièce (« Une amélioration des conditions de vie va souvent de pair avec une détérioration des raisons de vivre, et en particulier de vivre ensemble ») pour ne rien dire des jugements expéditifs et des généralités lorsque le moraliste se permet, par exemple, de liquider en un paragraphe les recherches de René Girard sur le désir mimétique : « Amusante sur le papier, cette théorie est en réalité fausse ». La postérité de l’anthropologue ne devrait pas s’en remettre.
Les cent dernières pages tranchent avec le ton qui les précède. A la fois plus nerveuses, plus surprenantes, plus poignantes. Forcément, un cancer de la mâchoire. Une descente aux enfers décrite dans le détail. Là au moins, on se dit qu’un peu de transcendance pourrait se glisser, ou à défaut, l’ombre d’une spiritualité, mais non, rien. Ceux qui, depuis quelques années, avaient crû pouvoir l’annexer, avec sa collaboration médiatique, au catholicisme, sinon à l’Eglise voire au christianisme, en seront pour leurs frais (voir Misère de l’homme sans Dieu. Michel Houellebecq et la question de la foi, sous la direction de Caroline Julliot et Agathe Novack-Lechevalier, 416 pages, 14 euros, Champs/Flammarion). De son propre aveu, de ce côté-là, il a « un peu laissé tomber ». On chercherait en vain l’ombre de Huysmans dans les couloirs de Bercy. Dommage, on n’aurait pas fait le voyage pour rien. Au lieu de quoi on en ressort anéanti. Et l’on ignore toujours pourquoi anéantir doit impérativement s’écrire avec une minuscule initiale, ce qui n’est d’ailleurs pas le cas à l’étranger au vu des couvertures de Annientare, Vernichten, Ekmidenizo…
A part ça, réjouissons-nous, une belle rentrée littéraire s’annonce.
(Photos Fabrice Coffrini et Philippe Matsas, dessin MrT-cartoons)
1 270 Réponses pour Anéanti par le nouveau Houellebecq
Chevillard donne son avis sour forme de poème à propos d' »anéantir » de Houellebecq. cela donne :
n° 4915 :
« hop hop hop hop
cours m’acheter, salope
le nouveau Houellebecq au Monop’ »
Ce n’est pas très élégant. On dirait du Queneau. Jalousie d’écrivain, certes. Enfin, il a dit ce qu’il en pensait, brièvement, avec concision. Pour bien montrer que l’écrivain, c’est lui ! Pas de confusion, surtout…
Nathalie Heinich, moi-même je l’apprécie. J’ai lu sa plaquette sur le woke dans l’université, ses articles dans « Le Figaro ». Et pourtant je ne suis pas « réactionnaire », tout juste conservateur. Je suis de gauche, car je crois en l’amour entre les hommes et à l’entraide. Eh bien, Heinich me botte !
Quoi de neuf dans la musique de 2021 ? Les Beatles ! Long de sept heures et quarante-huit minutes, The Beatles: Get Back, réalisé par Peter Jackson et distribué par la plateforme Disney+, est le docu de l’automne. Il revient sur les dernières semaines du plus célèbre groupe du monde, lorsque John Lennon, Paul McCartney, George Harrison et Ringo Starr composent leurs albums Abbey Road et Let It Be, en janvier 1969.
Michka Assayas a traduit en français le livre qui accompagne la sortie du documentaire. Il nous livre son ressenti des dernières images d’un groupe qui a « changé » – mieux, « déterminé », sa vie. Attention, entretien fleuve passionnant – et très instructif !
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19594287&cserie=29470.html
Langoncet, si je me fie au beau film de Robert Guédiguian, ‘L’Armée du crime’ (faut-il souligner que le titre est aérement ironique puisque c’est ainsi que les Allemands désignaient les « terroristes » du groupe Manouchian – Le titre de l’Affiche rouge était « La Libération par l’Armée du crime »), le futur Secrétaire général de la CGT était affectueusement appelé « Krazu » par ses camarades, qui découpaient les syllabes de façon plus experte que les Vrounzais des années 60 et sqq.
Alexia Neuhoff dit: à
Nathalie Heinich est sociologue, spécialiste d’art, notamment d’art contemporain
Non, certes pas Alexia. Elle a spécifiée elle-même qu’elle n’est pas spécialiste de l’art contemporain mais utilise comme « paradigme », l’art contemporain.
Elle est avant tout sociologue et ses travaux universitaires concernant l’art et les problématiques sociologiques qu’il pose est un objet d’analyse. Comme d’ailleurs les autres sujets que vous évoquez.
Ses travaux sur l’art semblent solides et originaux et ne pas donner sujet à qualification politique.
Pour le reste, je n’ai pas lu ses travaux, sinon ce qu’elle précise de son travail de sociologue.
Moi aussi je suis un spécialiste de l’art et je n’en fais pas tout un fromage.
parce que par dessus le marché, Krasu n’était pas même français ? mais suis-bête, français et résistant sont aujourd’hui comme l’eau et l’huile. de l’union des wokin’ dead
Nathalie Heinich est une populiste sans épaisseur, une sociologue improprement définie critique d’art.
Cela dit, rappelons le simple fait que l’on parle de mort ou de fin de l’art lorsqu’on ne retrouve plus les formes connues.
Pour ce qui est des relations de l’art avec l’argent, ce sont les bourgeois du XIXe siècle qui ont fait la scission. Avant, c’était normal de payer un artiste selon sa valeur — voir par exemple Dürer ; ou allez voir le montant de la rente versée annuellement à Leonardo par François I.
Bloom, je ne regrette pas cette période de la RDL où certains agités du bocal comptabilisaient les prix Nobel prétendument « juifs » – ils ne sont évidemment nulle par répertoriés comme tels – pour confondre les musulmans à la culture prétendument arriérée : du zemour de La Télé avant l’heure
nulle par > nulle part
Lors de l’inauguration de l’exposition du «grand art allemand», en 1937, Adolf Hitler enfonce le clou avec ce discours : «Les sauvages instigateurs d’une culture préhistorique arriérée» méritent la mort ou doivent «retourner dans la grotte de leurs ancêtres pour y faire leurs gribouillages internationaux primitifs». Pour les nazis, les dessins de Paul Klee l’incapable sont comparables à ceux d’un enfant, d’un fou ou d’un homme des cavernes… Et, fascistes mis à part, la vulgate qui colle à son œuvre depuis plus d’un siècle n’est-elle pas : un enfant pourrait le faire ?
Qu’à cela ne tienne, le LaM a pris ces critiques au pied de la lettre pour s’interroger : l’œuvre de Paul Klee (1879-1940) lorgne-t-elle du côté de l’art asilaire, est-elle soumise aux influences non-européennes, à la préhistoire et aux dessins d’enfants, tout ce qu’abhorraient justement les partisans d’Hitler ? C’est précisément cette grille de lecture qui intéresse Entre-Mondes, l’exposition de Villeneuve-d’Ascq. Avec 120 œuvres venues de Berne (Suisse), le parcours ignore la chronologie et préfère l’approche thématique qui irrigue à la fois l’histoire culturelle de l’époque et la vie de l’artiste. LIBE
Je suis flatté d’être mis dans le même bateau que DHH, quoique je pense que vous l’analysée mal.Du moins Heinich prouve-t-elle qu’elle n’est pas qu’une bourdieusienne bornée aux « Règles de l’Art » le soporifique de son maître. Pour le reste, Chrysale recule devant Philaminte, ce qui n’est pas précisément mon cas,et j’ai trop d’estime pour Plutarque , surtout traduit par Amyot, pour y mettre mes rabats . Je finis par penser que ce que Bourdieu a produit de mieux, c’est Emmanuel, le metteur en scène…Bien à vous. MC
Des Juifs polonais, Langoncet,des Rayman, Gryzwacz, Wasjbrot, Witchitz, Fingerweig, ou hongrois comme Elek et Boczov, ou encore des Rouges italiens comme Fontanot, ou espagnols comme Alfonso, et leur chef, un poète Arménien, Missak Manouchian (« Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand »).
Nous sommes des petits minables derrière nos écrans,Langoncet.
Pour ceux que cela intéresse.
Excellente présentation des travaux sociologiques de Nathalie Heinich et instructive énonciation par elle-même de ce qu’elle entend par « paradigme » utilisé pour son analyse sociologique.
Bon appétit et bonne écoute!
Sans doute méritez-vous un sort meilleur, Bloom ?
Si vous avez des questions sur l’art, profitez-en, posez-les moi.
renato, peut-être ?
De ce point de vue, je vous suggère d’envisager de vous convertir au catholicisme, à l’instar de Simone Weil, pour prendre un exemple que nous avons ici évoqué récemment
Dites-moi D., je suis tout ouïe !
les Dindes Galantes c’est pas un opéra de Jean-Philippe Rameau ?
Dommage pedro il est plus là c’est le seul qu’il aurait pu me renseigner.
encore qu’il me semble qu’il confondait Rameau avec Ramos le défenseur du Réal de Madrid.
C’est devenu la dictature des youtubeurs la RDL, je vous l’dit ma bonne dame, le monde se barre en couille
@Passou faudrait avoir la possibilité d’envoyer des messages vocaux dans les com de la rdl, ça aurait un franc succès
« Je finis par penser que ce que Bourdieu a produit de mieux, c’est Emmanuelle »
le film ?
SUR LE POINT/Filles du Bon Pasteur : des dossiers compromettants ressortent
DOCUMENTAIRE. Enfermées dans des maisons de rééducation dans les années 1960, les anciennes pensionnaires demandent réparation pour les abus subis.
« C’est devenu la dictature des youtubeurs la RDL »
»
exact ! je peux vous raconter jeune homme l’histoire de la rdl depuis ses débuts, le temps où vous preniez encore le biberon.
hé bien sachez que la rdl est l’endroit où sont nés les premiers (ce qu’on appelle aujourd’hui) les influenceurs.
je vous rappelle ce qu’est un « influenceur » (définition donnée par la célèbreécole de commerce de Gueret dans la Creuse) :
« Dans un contexte marketing et dans son sens le plus large, un influenceur est un individu qui par son statut, sa position ou son exposition médiatique peut influencer les comportements de consommation dans un univers donné. Ce pouvoir ou cette influence potentielle sur la consommation justifie le fait que les marques et organisations cherchent à toucher ou à collaborer plus ou moins directement avec les influenceurs dans le cadre d’actions et dispositifs marketing spécifiques »
le top 3 des influenceurs les plus influents :
1 – Mister V
2 – Nabila Vergara
3 – passou
en 27ème position on trouve greubou
D. n’arrive qu’en 54ème position.
ARTICLE DANS LIB2/
Congrégation catholique
Maltraitance : les «mauvaises filles» du Bon Pasteur attendent leur pardon
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Chargées jusque dans les années 70 de «rééduquer» des mineures jugées vulnérables, les religieuses de la congrégation catholique sont accusées par d’anciennes pensionnaires de violences physiques et gynécologiques. Réunies en association, les victimes se battent aujourd’hui
https://www.liberation.fr/societe/maltraitance-les-mauvaises-filles-du-bon-pasteur-attendent-leur-pardon-20211013_TCE7F6VPNJEATOBSORUKZ66TRM/
Pas de doute là-dessus, Heinrich est, si j’ose le pléonasme, paradigmatique d’un courant de pensée dominant. Hélas ! Dont MC (et DHH) sont, sur leur pédalo, les hérauts.
IL Y A UNE PAGE WIKI§
La congrégation des filles du Bon Pasteur, généralement connue simplement sous le nom de Filles du Bon Pasteur, était un ordre religieux catholique séculier de femmes, actif aux xviie et xviiie siècles, qui prenait en charge les filles repenties1, c’est-à-dire souvent des prostituées.
Elle ne doit pas être confondue avec la congrégation de Notre-Dame de Charité du Bon Pasteur d’Angers, aussi appelée congrégation du Bon Pasteur, fondée par sainte Marie Euphrasie Pelletier en 1835, même si leurs missions présentent quelques similitudes.
« les religieuses de la congrégation catholique sont accusées par d’anciennes pensionnaires de violences physiques et gynécologiques. »
»
il est évident qu’il n’y avait pas que les curés !
la domination masculine n’est qu’une vue de l’esprit saint : nous sommes tous les enfants de Dieu.
en plus il serait extrêmement dommage que Jésus qui est mort pour nos péchés soit mort pour rien !
« je vous suggère d’envisager de vous convertir au catholicisme »
»
Jeannot il veut convertir les feujs… bien ouej ! et s’ils refusent je suggère la torture.
Bien vu keupu, voire l’auto torture à défaut d’auto critique ; cela vaut aussi pour les sans confession
y compris les sans confession qui ont libéré Paris à bicyclette (suivez mon regard si vous pouvez)
MAINTENANT QUE des personnes ont commencé de parler, consulter des archives ,que « la presse » est sensibilisée à l’idée qu’il n’y a pas que les chateaux à visiter, et photographier, mais des etres humains ont non seulement des souvenirs partageables avec un sens de leur « dignité » , j’ajouterai encore un lien d’un article signé par une femme:
À l’ombre des hauts murs de la rééducation des filles
Yvette Rolin
Dans VST – Vie sociale et traitements 2009/2 (n° 102), pages 119 à 124
https://www.cairn.info/revue-vie-sociale-et-traitements-2009-2-page-119.htm autant de personnes prêtes à travailler en « équipes » , et soutenir le poids de leur mémoire personnelle, et non les demandes de curieux cherchant du « personnel » sur des réseaux à soumettre à leurs recherches de « considération »
bonsoir
Langoncet, le vrai Bloom est confortablement installé pour l’éternité et un jour entre les pages 65 et 933 de l’édition Gabler de Ulysses. All’s well.
Conversion…encore faudrait-il avoir un peu de foi en ces fariboles de bibezines.
Simone Weil est un esprit puissant bien trop doloriste pour qui pencherait plutôt côté sybarite.
Je serai bien plus terre-à-terre & me contenterai de citer Harlan Cobden parlant de lui-même:
« I view my Jewishness as cultural. There’s a weird deal with Jews where they will define themselves as Jewish even if they don’t buy a word. You don’t see too many Catholics or Christians or anybody Muslim saying, “Oh, I’m a Catholic, but I don’t buy a word of it!” »
I for one don’t buy a single word of it. Period.
« (A)ll palaver and what they can get out of you », comme le dit Lily, la fille du gardien de la maison des Morts.
sur mediapart, un article sur « Remplaçants à l’Education Nationale : le prix du mépris »;
oui, des témoignages sont lus; assez de déballage de lexique d’anatomie ou de management d’entretien de poulaillers;
@ à l’instar de Simone Weil, pour prendre un exemple que nous avons ici évoqué récemment
« (…) « Depuis l’enfance, mes sympathies se sont tournées vers les groupements qui se réclamaient des couches méprisées de la hiérarchie sociale » : ce passage d’une lettre (1938) à Georges Bernanos atteste l’éveil très précoce de Simone Weil, fille d’un médecin, aux questions politiques et sociales. Cet intérêt devait la conduire, après l’École normale supérieure (1928-1931) et l’agrégation de philosophie, à occuper des postes dans des villes ouvrières comme Le Puy (1931-1932) ou Roanne (1933-1934). Elle avait été également nommée à Auxerre (1932-1933) et à Bourges.
Proche du syndicalisme révolutionnaire d’avant 1914, Simone Weil adhéra à la Fédération unitaire de l’Enseignement (CGTU) par opposition au réformisme de la CGT.(…) »
@“Oh, I’m a Catholic, but I don’t buy a word of it!” »
« Chez Tati t’as tout »
Je suis en train de regarder, sur Arte, Devine qui vient dîner ce soir, avec Sydney Potier, qui est mon acteur préféré.
Plutôt que de vitupérer à l’encontre de Nathalie H demandez-vous pourquoi tant de Fiacs , de Fracs, ou la quantité l’emporte de beaucoup sur la qualité, et l’esbroufe sur le talent, donnent une si mauvaise image d’un art contemporain, qui, au demeurant, étouffe d’être ainsi caricaturé. Nakagami est sorti du mauvais Dewasne, Hoehnerloh ne ressemble à rien de connu. Pour ces deux là, et pas qu’eux, je veux bien passer pour conservateur, encore que je vois mal ce qu’ils conservent. Et vivre avec leurs œuvres et quelques autres. Ce qui ne serait peut-être pas le cas avec le premier barbouilleur abstrait académique venu!
Bonne nouvelle:
Le tout dernier Houellebecq est arrivé et il est excellent, je l’ai dévoré en une journée complète. On comment l’ouvrage par un mystérieux croquis que Bastien Doutremont voit dans le métro parisien, son passe-temps pour les graffitis le caractérise bien, Bastien est aussi un contractuel de la DGSI, personnage atypique et original, je reconnais bien là l’auteur. L’intrigue est excellente, je me suis laissé porté par le récit, l’écriture à bien évoluée depuis Extension du domaine de la lutte, mais toujours avec cette mélancolie qui prédomine chez cet auteur. Il digresse moins et ça me plaît, je ne me perds pas en le lisant.
Dans ce pavé de 735 pages quand même, je ne lui trouve rien à jeter, tout le texte et le sous-texte est à garder. Michel (vous permettez que je vous appel Michel ?) sait parfaitement où il va est ça se ressent dès les premières lignes. Il faut que je vous parle de Fred aussi, le génie de l’informatique, très au courant de ce qui se fait et loin des clichés de l’hacker à capuche que l’on croise trop souvent dans les romans. Au final on a deux types banals, comme souvent chez Michel Houellebecq, qui se retrouve dans une aventure pas banale, là aussi comme toujours, et on les suit avec plaisir.
Ce que j’aime chez cet auteur c’est son authenticité, qui se retrouve dans ses personnages, il ne cherche pas à nous convaincre de quoi que ce soit, il n’est pas là pour nous offrir une morale, c’est à nous de nous débrouiller avec ce qu’il nous donne et j’aime ça.
Côté rythme les chapitres courts aident pas mal à enchaîner les pages, c’est d’ailleurs à cause de ça que je l’ai déjà terminé, mais le rythme du récit, lui, il prend son temps, il développe ses personnages, l’ambiance, nous fait nous poser des tonnes de questions auxquelles on n’aura pas forcément toutes les réponses mais encore une fois, il faut être débrouillard avec Michel.
Avec tout ça j’en oublierais presque de parler de l’intrigue, l’auteur fait dans l’original dans sa façon de traiter les nouvelles technologies, les trois vidéos qu’étudient nos deux comparses sont bluffantes par leur réalisme, on progresse à bonne vitesse dans l’intrigue mais ne soyez pas trop pressé, il y a anguille sous roche et il vaut mieux être bien armé pour la suite. Franchement je suis fan de ce genre d’histoire, du grand Houellebecq.
Je pourrais en parler pendant des heures mais je trouve ma critique déjà trop longue alors pour résumer, on a des personnages excellents, une intrigue qui avance à bon rythme, une vision originale de la technologie et de ses travers, les détails très précis me font toujours autant sourire, c’est très bien documenté aussi. Michel Houellebecq nous offre son meilleur cru pour l’année 2022.
et qui tire scandaleusement à la ligne parce qu’il n’a rien à dire, qui puisse donner un peu d’épaisseur aux deux personnages,
Zut, mauvaise pioche! Non je ne l’ai pas reçu et ne sais plus s’il faut l’attendre après votre rapport. De plus même d’occasion il n’est pas donné comparé à d’autres . La critique ne fait pas don travail correctement!
Heu..
Désolé!
@DHH
Vous avez été appelée, par une tête un peu écervelée, « réactionnaire ». Beaucoup ici savons bien que ce n’est pas du tout le cas. Une des composantes du drame français est que la plupart ne savent pas faire la moindre différence entre ce terme et « conservateur ». La cassure remonte loin. Pour ma part, et cela n’engage que moi, je suis résolument du côté de Burke. Bien à vous.
Cela doit faire drôle de se dire que l’on a un coeur de porc ?
Je me souviens que ma mère disait que tous les hommes sont des cochons !
https://www.leparisien.fr/societe/sante/etats-unis-des-chirurgiens-greffent-avec-succes-le-coeur-dun-porc-sur-un-humain-pour-la-premiere-fois-11-01-2022-XLPQOIPMXJBZDLJGQZQFKSIYL4.php
Les cons sont partout !
Mais à quoi les reconnait-on ?
https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/tv/obseques-des-freres-bogdanov-sur-le-vaccin-jai-fait-le-meme-choix-queux-se-vante-francis-lalanne-10-01-2022-MSTYPJFFBFB73HIZSKWZ7YIFZ4.php
MARDI 11 JANVIER 2022, 4h57, 6°, hiver rigoureux
Nous sommes des petits minables derrière nos écrans, Langoncet. (Bloom)
Ne généralisons pas, voulez-vous ? Beaucoup de fumiers qui nourrissent quelques belles plantes, tout de même. Peu de sequoia, j’en conviens…
ANTIQUITE SOVIETIQUE : LE COMMUNISME
Le chat joue avec la souris, il s’amuse, puis s’endort définitivement
GREFFE
Rien d’extraordinaire ! La plupart des hommes sont équipés d’un cœur de porc depuis leur naissance.
Diriez-vous, comme le léZard, et le paysan de Paris, que le parc des Buttes-Chaumont est le plus beau jardin de Paris ?
Diriez-vous, comme Passou qui a de ce coquetteries, que la rentrée peut être « peuplée » de romans ?
Pour MC, très « éveillé » : « Le colloque organisé à La Sorbonne contre le “wokisme” relève d’un maccarthysme soft » François Dubet (Sociologue) / quotidien Le Monde du jour
« Reconstruire les sciences et la culture »
Sur un modèle précis, disons quand ma grand-mère était jeune, ou sur un fantasme quelconque ?
@ GG, très heureux du post de gloubi-boulga, qui nous change enfin de la conformiste mise à mort de MH… Comme s’il avait été convenu d’anéantir un succès planétaire qui échapperait à la construction de « la critique » parisienne boboïsée… Et comme si le peuple des lecteurs ne devait pas avoir le dernier mot… Je suis également entré hier dans l’opus que je lis vite et lentement, craignant d’arriver à la fin et brûlant d’envie d’en dire autre chose, sans l’avoir achevé. Au moins, il y a toujours ce même plaisir voyeur élémentaire du lecteur sociologue de profession habitué avec MH à se déchausser de se lunettes préventives liées au buzz habituel… et à voir ainsi s’ébattre à nouveau un merveilleux observateur du quotidien de notre monde. L’auteur est un type heureusement controversé, qui avance à tâtons mais sûrement, armé de ses propres méthodes d’observation cognitives et affectives, palpitant dans la musicalité atonale dépourvue d’esbrouffes imagées…
Chacun entre ou n’entre pas dans un roman de Houellebecq comme il le peut ou n’y entre pas. Y entre à reculons, cacahuète et taratata… Quand on est allé au bout de chaque roman, on ne les compare pas entre eux… On se tient à ce qu’on vient de lire. Et il n’y a pas de guerre entre des lecteurs qui ont lu… Chacun vrai lecteur reçoit, au cas par cas, quelque chose de ce qu’il est ou n’est pas… ou de ce qu’il ne veut pas admettre de soi-même en Houellebecq, la prétendue misogynie ou le prétendu racisme, pour focaliser bêtement sur ces noeuds de stupides controverses. Disons enfin que si l’éventuel ennui de la lecture est ennuyeux, sachons surtout que le plaisir de la lecture est plaisant. « Anéantir » n’est pas un acte de salubrité publique ni une idéologie politique… Anéantir signifie pour le lecteur, essayer de lire différemment une banale intrigue, sentir ce qu’elle apporte de nouveau dans le paysage général de la littérature universelle, vérifier comment elle transforme la nature de nos préjugés sur l’écrivain et sur nous-même… Si ce roman ne sert pas à cela, comme tous ceux qui les ont précédé, il est bien inutile alors d’en dire quoi que ce soit, surtout si on ne l’a pas lu correctement.
A bientôt, après achèvement, anéantissement et renaissance,
bàv et BJ à tous.tes, & à B-B en particulier (11.1.22@9.08)
En fait, le libraire a reçu ses exemplaires lundi, hier donc. Il en a fait deux piles à deux endroits différents de sa grande librairie dépôt central de presse. La première dès l’entrée près du flacon plastique de produit désinfectant, la seconde vers les parutions régionales. Tout cela en pile de cinq.
Un détail, ce beau livre relié comporte un magnifique tranchefile mordoré de jaune. Les titres, nom d’auteur et d’éditeur sont en relief gaufré sur un fond cartonné blanc légèrement cassé et rond de bosse.
11:01:2022 09h24 pour le texte précédent.
Il était temps, JJJ !
Mais est-ce que Houellebecq et son éditeur forment un couple, demande présentement Passou ?
Plus de 1250 commentaires, c’est sympathique pour M.H.
Bon positionnement de mise en vente sans être encombré des autres périodes de parution.
Bon coup marketing!
agricole tout savoir:
Aujourd’hui, c’est LE guide de tous ceux qui souhaitent devenir autonomes.
Découvrez dans ces manuscrits :
sur slate bonne journée
ça c’est le sens dumarketing MH;
Page 113, pour soutenir les exportations de camembert aux États-Unis, le narrateur Florent-Claude Labrouste suggère des « dégustations de fromage » à la sortie des cimetières militaires des plages du Débarquement.
sur un tweet
https://twitter.com/IsabelMalsang/status/1081858706126585856
@vedo
merci de cette mise au point
efectivement je suis de gauche ,mais d’une gauche disons concsevatrice ,celle de Chevenement ,de legalit » des chances de l’ecole de la Republique celle d’une époque où la ligne de clivage entre la droite et la gauche etait d’ordre economique et social ,et pas entre identitarisme mondialiste et le package wokisme, multiculturalisme et genrisme.
je ne me retouve plus dans cette gauche.
Malheureusement je reste aussi allergique à la droite d’aujourd’hui, que je l’étais à celle d’hier; et je regrette que certaines des idées qui me sont chères ne soient portées que par cette droite et soient destinées à s’alimenter au terreau idéologique qu’elle leur offre
François Dubet a assez fait de dégâts dans ce qui subsiste de l’éducation nationale pour que sa contribution idéologique soit jugée, sauf par une tête que d’autres ont dite éventée, très prévisible, et par là de très peu d’intérêt. Sauf à s’intéresser à la manière dont le haut clergé académique défend ses prébendes, devant laquelle se pame la Dinde pré -citée
@Janssen J-J
C’est la critique de Cronos du 20 décembre 2021, sur Babelio que j’ai copiée/collée.
Merci de votre post!
(Mardi 11.1.2022 à 14h57)
L’office de tourisme de Niort a de l’humour.
@DHH
Merci pour ce rappel de Chevènement. Il représente parfaitement ce qui manque tellement maintenant. Pour le côté de l’hémicycle, ma référence de Burke montre que je suis de droite, mais je suis presqu’aussi allergique que vous à celle que je vois, et qui ne changera pas.
DHH, Cazeneuve aurait peut-être pu porter l’héritage de Chevènement. (Pas ma chapelle, mais s’il était vraiment engagé dans cette traduction républicaine, il aurait mon adhésion avant les autres personnalités actuellement en scène). Ses difficultés semblent illustrer le naufrage de la gauche.
@vedo
merci de ces post
les deux personnages ne se ressemblent pas, mais ils ont en commun d’etre des vrais démocrates visceralement républicains et de representer l’aile serieuse realiste et raisonnable de leurs troupes
« Tradition » (en non traduction).
Partageons le plaisir infantile de Philippe Bilger, pour une fois… Je ne crois pas que quiconque ait ajouté icite ce lien d’un enthousiaste pour anéantir !… histoire de ne point peiner Passoul !
Tiens, pour une fois, je suis d’accord avec l’une des analyses de Pierre Assouline, autant le signaler en commentaire (mon premier depuis au moins 10 ans) !
Ma propre critique du navet houellebecquien, intitulée Anéantir de Michel Houellebecq ou le dernier stade du devenir-Ehpad de la littérature française ? : https://www.juanasensio.com/archive/2022/01/18/aneantir-de-michel-houellebecq-devenir-ehpad-litteratture-francaise.html
Je ne suis pas sûr que quelqu’un l’ai relevé – il y a ce passage de la grande explication du pentagramme, où l’on fait passer une cercle par trois points. Et le spécialiste en satanisme de la DGSI d’expliquer doctement que non ce n’est pas toujours possible, que c’est assez exceptionnel. Eh bien c’est une ânerie énorme, pour un auteur qui se documente plutôt bien (trop bien parfois, au point de recopier des encyclopédies) c’est assez étonnant. On peut faire passer un cercle par trois points quelconques (sauf s’ils sont alignés). Ça porte même un nom, c’est le cercle circonscrit d’un triangle. Et à mon époque je crois qu’on apprenait ça en primaire. C’est un détail mais cela montre une baisse de niveau un peu pitoyable.
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