Anéanti par le nouveau Houellebecq
S’il y a un livre qui doit être séparé du bruit qu’il fait si on veut le juger pour ce qu’il est, c’est bien tout nouveau roman de Michel Houellebecq quel qu’il soit. Evacuons donc le secret sur le contenu, l’embargo jusqu’au 30 décembre, les versions pirates numérisées, le buzz, le marketing, la rumeur, la consigne d’embargo qui précèdent sa sortie (le 7 janvier en librairie) et oublions un instant la mise en scène du texte par l’auteur même, le seul à obtenir de son éditeur un emballage selon son goût avec reliure et couverture cartonnée (sur le modèle allemand, parait-il), marque-page en tissu rouge comme un signet de reconnaissance pléiadisant l’auteur par anticipation, typographie de la titraille et mise à page adaptée à sa conception de la chose à commencer par le titre de son huitième roman anéantir (730 pages, 26 euros, Flammarion) gravé en lettres rouges sur fond monochrome blanc inspiré par « l’album blanc » de Beatles, titre qui se signale par sa minuscule initiale. Rarement un livre à prétention littéraire a été ainsi traité par son auteur à l’égal tant d’un objet que d’un produit. Des exigences de star. Mais après tout, c’est bien le moins pour l’écrivain français vivant le plus traduit et le plus lu dans le monde comme c’est partout écrit (on n’ira pas vérifier). Allez savoir pourquoi on attend beaucoup d’un roman de plus de 500 pages, on lui prête a priori une grande ambition et un vaste projet, beaucoup plus que, disons, au format-Modiano ou à l’épaisseur-Michon, c’est bête mais c’est ainsi.
Paris 2026. Dès l’incipit, on est transporté dans le couloir de la mort à proximité du néant. Ca se veut un thriller mais sur ce plan-là, Grangé, Chattam, Minier, Thilliez n’ont pas de souci à se faire. Il y a bien un mystère, avec pentagones, schémas, cercles à l’appui de la main même de l’auteur mais j’avoue n’avoir même pas cherché à le résoudre. Très vite, le pourquoi du comment, on s’en tape. Probable que l’auteur aussi. L’enquête, ou ce qui en tient lieu, nous indiffère. Tout pour les personnages, rien pour l’intrigue. Il avait du mal à convaincre lorsqu’il a expliqué, lors de sa conférence à la Sorbonne du 2 décembre dernier, que ses romans n’avaient aucune structure. C’était pourtant vrai et anéantir en témoigne : ça part dans tous les sens.
L’un des personnages principaux, pur polytechnicien dans un monde d’énarques inspecteurs des finances, nommé Bruno Juge, est ministre de l’Economie et des Finances (toute ressemblance etc). Dans le rôle du couple, on trouve Prudence, personnage saisi en pleine mutation végane, et Paul Raison son mari, un haut-fonctionnaire de la direction du Budget proche de la cinquantaine, quelqu’un qui a toujours vécu « sur le côté » dont le ressenti semble bien être celui de l’auteur. Un peu jeune pour être hanté par la mort mais c’est une question de tempérament. Son père, un ancien des services secrets, est très mal en point. Il ne peut plus parler, ce qui est regrettable car les attentats se multiplien. Les Raison, un couple parvenu à « une sorte de désespoir standardisé ». Le déclin, quoi. Air connu sous cette signature.
Ce serait une catharsis si anéantir reflétait l’époque, mais il colle à l’actualité dans ce qu’elle a de plus ordinaire, médiocre et éphémère. Si encore il nous renvoyait quelque chose de l’air du temps, mais non. Il nous parle d’une époque où les analyses de Christophe Guilluy sur l’état de la France sont jugées « déjà anciennes », forcément. Mais anéantir n’est-il pas lui-même déjà daté à l’aube de sa parution ? De quoi est-il question ? Panneaux solaires chinois, campagne électorale, psychologie des boomers, transferts de technologie, Breyvick, solitude dans la ville, taux de fécondité, écolofascisme, nihilisme, AVC, droit successoral, gène égoïste, misère sexuelle, Rassemblement national, Zemmour, guerre commerciale Pékin-Washington, rêves, chaos, Islam, biotechnologies, dentistes séfarades, le Lambeau, euthanasie, rêves encore, campagne électorale, déficit de notoriété, rêves… (inventaire non exhaustif). Et puis l’amour, toujours, dont il répète que c’est son sujet principal. Mais va-t-on vers la littérature pour retrouver le menu du 20 heures de France 2 ? Une ambiance parfois « Baron noir », espoir vite déçu car c’est bien moins cruel.
Notre compassion va aux dizaines de traducteurs d’anéantir de par le monde qui auront à préciser en note de bas de page qui sont ces Français nommés François Lenglet, David Pujadas, Jacques Martin, Michel Drucker, suffisamment importants pour être enrôlés par l’auteur dans son grand roman -sans parler de Bruno Le Maire en majesté quoique en loucedé. C’est inutilement digressif et bavard. Lorsque Paul doit consulter un chirurgien à l’Institut Gustave-Roussy, cela nous vaut une page de biographie de Marcel Grosménil pompée dans le Maitron (il faut emprunter la rue qui porte son nom pour aboutir à l’entrée du Centre de lutte contre le cancer !) et à une autre sur la politique à Villejuif (où il se trouve !). A ce train là, on est soulagé à la pensée du pensum de 1500 pages auquel on a échappé.
Tout cela est si français mais d’une France tellement plate, banale, quotidienne. On s’ennuie ferme comme Aurélien avec tout et tous page 215, sauf que nous, on a encore 500 pages à s’enquiller. Car on a tout de même envie de savoir où il veut en venir à défaut de découvrir ce que ce roman dit d’autre que ce qu’il raconte – mais que raconte-t-il au juste, c’est peut-être le vrai mystère. Les houellebecquiens les plus inconditionnels (autrefois les Inrocks, désormais le Monde), aiment à le faire passer pour un écrivain versé dans la sociologie sauvage mais il en faudrait plus pour que anéantir connaisse le destin des Choses. C’est d’une lecture peut-être plaisante, entendez que ca se lit sans déplaisir malgré l’ennui qui gagne le lecteur, car Houellebecq sait faire ; il a du métier ; mais à côté du livre de Georges Perec, c’est insignifiant. Pourtant, si l’on s’accroche, c’est que tout de même, il ne s’agit pas de n’importe qui mais de Houellebecq et l’on n’imagine pas qu’il va nous balader si longuement et si longtemps pour rien, sans but et sans objet. On veut savoir où il veut en venir car on n’envisage pas de quitter ce livre avec le goût amer du « tout-ça-pour-ça ». Et pourtant…
D’aucuns voudront une fois de plus faire passer Michel Houellebecq pour un styliste, ce qu’il n’est en rien (la charité bien ordonnée du début d’année nous fait soudainement oublier le nom de celui qui le compara jadis au cardinal de Retz). Cela ne signifie pas que son roman soit dépourvu de style, loin de là. Mais l’écriture d’anéantir, plus encore que dans ses précédents romans, est si platement conventionnelle qu’elle endort. Rester vivant, certes, mais surtout rester éveillé, ce qui ne va pas de soi (il ne suffit pas, comme l’un de ses personnages insomniaques, de regarder des documentaires animaliers la nuit à la télé). Le ton est à l’image de ce qu’est devenu son radical nihilisme d’autrefois : mou. A croire que l’auteur s’est embourgeoisé en se mariant ; pourquoi aurait-il été le seul à y échapper, après tout il est humain.
Mais rassurez-vous, il y en aura toujours pour se pâmer devant cette « écriture blanche » quand bien même son livre ne paraitrait pas chez Minuit. Au fond, cette fois, elle ressemble à sa reliure. Une chose d’autrefois avec le charme du suranné et ses limites aussi. Généralement, l’humour, l’ironie, le goût de la litote, le second degré le sauvent :
« Elle avait même le souvenir demi-honteux de s’être, le soir de son inscription à la fac de médecine, masturbée devant une affiche de Bernard Kouchner en meeting qui décorait sa chambre, ce n’était pourtant qu’un meeting du parti socialiste, il n’avait même pas de sac de riz ».
Sauf que cette fois ils se font plus rares, étouffés par le souci didactique et c’est lourd, mais lourd… Un exemple parmi d’autres :
« Ce n’étaient pas seulement les oiseaux qui se cachaient pour mourir, selon le titre francisé du célèbre best-seller d’une auteure australienne, qui avait par ailleurs donné lieu à une série télévisée encore plus célèbre et plus rémunératrice ». (p. 656).
Bizarre que les correcteurs aient laissé passer « les images saint-sulpiciennes de la Vierge » (p. 252) alors que, depuis La femme pauvre de Léon Bloy, lorsque l’adjectif se veut péjoratif, « sulpicien » suffit. Des incongruités (« l’amour ou un sentiment analogue ») y côtoient des formules à l’emporte-pièce (« Une amélioration des conditions de vie va souvent de pair avec une détérioration des raisons de vivre, et en particulier de vivre ensemble ») pour ne rien dire des jugements expéditifs et des généralités lorsque le moraliste se permet, par exemple, de liquider en un paragraphe les recherches de René Girard sur le désir mimétique : « Amusante sur le papier, cette théorie est en réalité fausse ». La postérité de l’anthropologue ne devrait pas s’en remettre.
Les cent dernières pages tranchent avec le ton qui les précède. A la fois plus nerveuses, plus surprenantes, plus poignantes. Forcément, un cancer de la mâchoire. Une descente aux enfers décrite dans le détail. Là au moins, on se dit qu’un peu de transcendance pourrait se glisser, ou à défaut, l’ombre d’une spiritualité, mais non, rien. Ceux qui, depuis quelques années, avaient crû pouvoir l’annexer, avec sa collaboration médiatique, au catholicisme, sinon à l’Eglise voire au christianisme, en seront pour leurs frais (voir Misère de l’homme sans Dieu. Michel Houellebecq et la question de la foi, sous la direction de Caroline Julliot et Agathe Novack-Lechevalier, 416 pages, 14 euros, Champs/Flammarion). De son propre aveu, de ce côté-là, il a « un peu laissé tomber ». On chercherait en vain l’ombre de Huysmans dans les couloirs de Bercy. Dommage, on n’aurait pas fait le voyage pour rien. Au lieu de quoi on en ressort anéanti. Et l’on ignore toujours pourquoi anéantir doit impérativement s’écrire avec une minuscule initiale, ce qui n’est d’ailleurs pas le cas à l’étranger au vu des couvertures de Annientare, Vernichten, Ekmidenizo…
A part ça, réjouissons-nous, une belle rentrée littéraire s’annonce.
(Photos Fabrice Coffrini et Philippe Matsas, dessin MrT-cartoons)
1 270 Réponses pour Anéanti par le nouveau Houellebecq
LUNDI 3 JANVIER 2022, 6h29, 10°, temps dégagé
Et si c’était ça , l’avenir de la littérature ?
Témoigner longuement de ces tout et rien qui font notre quotidien, bref la peste de notre futur probable. Un roman d’anticipation limitée au lendemain matin, comme hier…
PS : Pierre, une « consigne d’embargo » en trop, semble t il, au début du billet…
Tac! Un coup d’aiguille dans le ballon de baudruche, pchchchttt… Entreprise salutaire.
Merci Passou de penser aux centaines de milliers de lecteurs qui n’ont pas encore accès à ce roman de Houellebecq, car il ne sera en librairie, en France, que dans 4 jours…
Du » bruit qu’il fait ».
J’ai retenu que Houellebecq ne donnera aucune itw de son dernier roman à des journalistes, je suppose qu’il pensait aux parisiens, en précisant : car « pas au niveau ».
Ce qui laisse de l’espoir à tous les autres…petits lecteurs, de réussir cette ascension… laissant de nombreux journalistes sur le plancher des vaches, ruminer leur ressentiment quand ce n’est pas de la jalousie.
« Ce sont les autres qui font de vous un écrivain, en vous disant qu’ils ont aimé votre livre. L’acte initial, c’est d’écrire une chose et de le faire lire à quelqu’un d’autre. Il y a plus de différence entre 0 lecteur et 1, qu’entre 1 et 1 million. » Houellebecq.
( pssst Passou, le prochain point presse est prévu en avril. Vous pourriez y aller en loucedé, masqué…
https://cslf.parisnanterre.fr/recherches/equipes-du-cslf/seminaire-michel-houellebecq)
Pour la transcription de la banalité du quotidien nous avons Eggleston, Parr — compte tenu qu’il y a un avant et un après.
https://phototrend.fr/wp-content/uploads/2018/08/w_e-los_alamos.jpg
Bon, fidèle à moi-même (jamais lire les nouveautés à chaud) le jour J je mettrai Anéantir dans la pile des livres à lire. Puis, vers Juin-Juillet on verra.
Sans doute notre hôte a-t-il raison (je n’irai pas vérifier Houellebecq m’ennuie depuis Soumission), mais néanmoins, dans ce cas, constater une fois de plus que ce type a le génie des titres de bouquins. Car après avoir lu la démolition en règle opérée par notre hôte, on se dit que c’est bien d’anéantissement qu’il s’agit, et qu’une fois de plus l’auteur déjoue d’avance ses détracteurs, en « annonçant la couleur ». Accordons lui au moins cela : tout est dit, non dans la jaquette, mais dans le titre qu’elle supporte. Et ce n’est pas la première fois. Les titres de Houellebecq sont à eux seuls (et pour eux seuls ?) de la littérature.
Enfin quelqu’un qui écrit correctement le titre, « anéanrir », avec ‘a’ minuscule.
Comme Jazzi, j’ai une pensée pour Jean-Pierre Pernaut.
merci Jicé
(sic) C’est d’une lecture peut-être plaisante, entendez que ca se lit sans déplaisir
(sic) Cela ne signifie pas que son roman soit dépourvu de style, loin de là.
(sic) après tout il est humain.
(sic) l’humour, l’ironie, le goût de la litote, le second degré le sauvent
(sic) pages (…) à la fois plus nerveuses, plus surprenantes, plus poignantes,
Après cette émouvante apologie très inattendue du nouveau roman de Michel Houellebecq, je me prépare personnellement un très bon moment de lecture pour la nouvelle année 2022. Cela tombe très bien, je ne savais vraiment plus quoi lire… Merci Pierre Delairdéhelle : comment faites-vous pour nous surprendre à nouveau après toutes ces festivités, à nous redonner ainsi le goût de la grande littérature ?…
Bien belle journée à vous, à tous.tes et à chacun.e (3.1.22@9.07)
N’appartenant pas au happy few ,ce microcosme litteraire qui fait la pluie et le beau temps sur le marché de l’edition , je n’ai pas lu Anéantir
Ne souhaitant pas dilapider mon argent pour un achat inutile et encombrant je ne l’achèterai pas ;l’emprunterai à l’occasion à une bibliothèque quand il sera disponible, dans quelques mois, lorsque le vivier des lecteurs candidats pressés à la déception, aura été épuisé
Mais surtout Je ne veux pas par mon achat contribuer à a assurer , même de manière infinitésimale ,le succès sonnant et trébuchant d’un livre qu’on a choisi de me vendre comme une lessive
On nous avait déjà fait le coup avec Serotonine et comme aujourd’hui ,avant meme d’avoir lu le livre -qui n’a pas « deçue en bien » comme je l’ai écrit plus tard sur la RDL- j’ai posté ceci
« A supposer que, dans « Sérotonine », contrairement à ce que pense Passou, la pensée ne soit pas médiocre ni l’écriture indigente, le succès planétaire que connaît le livre ne recèle aucun mystère et ne tient pas à d’ eventuelles qualités littéraires .
Il procede de la mise en œuvre efficace de techniques mercatiques ,comme on dit en français, dont la consistance et le succès feront sans doute souvent l’objet d’études de cas dans les écoles de commerce , ce qui est plus probable que de voir l’oeuvre elle-même faire l’objet de theses universitaires » .
On peut certes remplacer « Serotonine » par « Anéantir « ,mais je ne sais pas si le « succes planetaire sera au rendez-vous ,et si les lecteurs qui ont marché une premiere fois avec « Sérotonine » vont accepter de jouer de nouveau les consommateurs otages
Même si cette fois on a fait encore plus fort, si j’en crois Passou ,puisqu’on a joué aussi sur le packaging
Que de leçons pour les lessiviers!
Le plus lamentable dans cette vie littéraire bien franco-française, c’est de confondre les effets et les causes.
Mutualiser la médiocrité.
En faisant croire que Houellebecq fait de l’ombre a la rentrée- concept de marketing editorial, qui fait partie de la loi du marché bien maîtrisée.
Certains éditeurs pensent décaler la sortie en librairie de plusieurs de leurs têtes de gondoles, les Foenkinos, de Kerangal, et j’en passe et des aussi pire.
Misant sur quel ressort ?
Un étalement des dépenses du lecteur?, son amnésie ?
Si les mauvais ne sont pas lus, c’est la faute à Houellebecq qui leur vole la vedette ?
C’est quoi cette mascarade?
Défendez ce en qui vous croyez ! Sans mettre la faute sur Houellebecq !
Il permet en outre à son éditeur de faire émerger des talents, autre que les éternels salonnards qu’on ne peut plus voir en peinture !
Comme dit dans cette chanson d’amour:
« Je n’avais besoin de personne et tant de place pour toi »
Et svp, foutez la paix aux lecteurs de Houellebecq , une bonne fois pour toutes !
L »H » de Houellebecq est il muet ou hiatus?,
doit on écrire » nouvel Houellebecq » ou « nouveau Houellebecq », comme Passou
la réponse est chez Houellebecq lui même qui devrait preciser comment il a imaginé l’H(ou le H) du pseudo qu’il s’est fabriqué
un billet qui me fait enfin sourire;j’en rêvais avant de me réveiller(je ne tiens pas ma cigarette comme M.H, même en jeans)
merci pour l’annonce !
« Elle avait même le souvenir demi-honteux de s’être, le soir de son inscription à la fac de médecine, masturbée devant une affiche de Bernard Kouchner »
Le plus ennuyeux chez Houellebecq me semble t-il est qu’il vire de plus en plus dans l’humour hétéro-beauf ! Lourd, forcément lourd.
Mouais, eh bien on va attendre de l’avoir lu pour savoir par soi-même s’il mérite cette volée de bois vert.
J’avais été fortement déçu par ses deux derniers romans, ce côté bâclé, lâche. La Carte et le Territoire, c’est le dernier en date qui m’a intéressé en fait. .
Le défaitisme dépressif est ensuite devenu de fond et de forme.
Pavie, curé no-vax fait sa propagande pendant l’homélie, les spectateurs sortent de l’église.
Chine, polémique autour d’une pub de Mercedes-Benz, où on voit une chinoise avec les « yeux en amande » — le journal du parti Global Times l’a perçues par comme stéréotypée —. Les yeux en amande sont tenus comme offensant et désobligeant chez les Asiatiques.
perçues par > perçue sans S et sans PAR
« Elle avait même le souvenir demi-honteux de s’être, le soir de son inscription à la fac de médecine, masturbée devant une affiche de Bernard Kouchner »
cela ne m’étonnerait pas que l’anecdote ait été récoltée dans un colloque!
Je trouve assez injuste cette charge contre Houellebecq, je n’ai pas lu ce livre, mais j’ai lu tous les autres : cet auteur est bien plus qu’un écrivain, il est un des grands penseurs de notre époque, à placet du côté des philosophes avec Michel Onfray, BHL, Enthoven et Laurent Ruquier.
S’il est une loi de la pensée facilement vérifiable c’est bien celle qui consiste à dire que chaque époque a les penseurs qu’elle mérite, et si aujourd’hui Houellebecq est le penseur que nous méritons c’est tout sauf sa faute, il n’y est absolument pour rien.
D’ailleurs lui-même décrit très bien cette situation : Houellebecq se livre à une parfaite analyse de nos sociétés, et ces sociétés qu’il décrit avec une précision digne de Flaubert, produisant des lecteurs consommateurs de produits culturels bas de plafond, ne peuvent avoir rien d’autre qu’un auteur comme lui.
Houellebecq dit tout très bien et ça ne sert à rien d’en ajouter : il est exactement ce qu’il décrit dans ses livres.
Un type qui dit que les théories de Girard sont fausses c’est comme Onfray qui tire à vue sur Freud : un pur produit de notre époque.
Houellebecq est le Jeff Koons de la littérature en ce sens qu’il en est le plus parfait reflet : c’est peut-être pour ça que personne ne l’aime.
Passou sacrifie au petit jeu de l’extrait salace. Et c’est très, très facile, avec Houellebecq.
Pour les vicieux, il leur est plus difficile de recontextualiser dans le récit et de prendre de la hauteur. Et quand la jalousie et le ressentiment s’en mêlent, encore une fois, cela relève de l’intention de nuire.
Si Houellebecq mérite une critique litteraire, et pourquoi devrait-il être exclu de ces analyses, cette approche de paparazzi ne fait que renforcer la défiance de lecteurs vis à vis de ce qui relève d’une opinion.
je me souviens d’une dame italienne plasticienne très folle de psy et un peu de philo
qui m’avait invitée chez elle et qui avait mis une photo de FREUD dans sa salle de bain, au-dessus de la baignoire pour ses plaisirs érotiques
j’ai connu un « financier » devenu web master qui avait été invité chez M.H; (un projet « numérique »)et me montra une video faite à leur rencontre; pas tres littéraire; il détestait M.H et ses rencontres
Combien de fois grimé, maquillé, déguisé en FREUD lui-même, je me suis promené dans le métro parisien pour pincer les fesses de mes sœurs en transport urbain afin d’étudier leur réaction !
Aucune, pratiquement aucune !
A l’exception d’une jolie vieille de 50 ans qui m’a pris la main en me chuchotant :
« Voyons, Siggy ! Voyons ! Ce n’est pas convenable ce que vous faites ! »
J’ai botté en touche, surpris : « Moi, pas comprendre ! Moi, Viennois !… »
Après les pull moches de Noël certain que les lectrices de Velbecq vont ressortir leur pyjama d’enfant. The new place to be.
clopine,pensez-vous qu’il ait découvert le titre « anéantir » en cours d’écriture, comme son « projet »?
Ereintage parfait, et mérité. J’y souscris et je diffuse.
que ses romans n’avaient aucune structure. C’était pourtant vrai et anéantir en témoigne : ça part dans tous les sens.
vraiment? même après coup?
LA RECEPTION et le « facteur » M.H
https://journals.openedition.org/rief/6777
Tout est dans la vache!!!
Vous aurez remarqué, en bons lecteurs de H. que vous êtes, ô assidus du blo de PA, que le ‘a’ du titre est une minuscule. Or, le ‘A’ majuscule étant le portrait, renversé, d’une tête de vache, cela veut dire que H. renverse, dans ce roman le renversement, moyennant quoi, on ne trouve dans ‘anéantir’ qu’une seule vache, celle qui rit (et qui est dégueulasse), tandis que dans ses autres romans on trouvait toute sorte de vaches, faisant honneur au métier d’origine du poète. Avec H ce n’est pas la gran remplacement qui s’annonce, mais le grand renversement…
Je ne suis pas sûr que le reproche essentiel que Passou formule à l’encontre du dernier roman de Michel Houellebecq soit le bon.
« Car on a tout de même envie de savoir où il veut en venir à défaut de découvrir ce que ce roman dit d’autre que ce qu’il raconte – mais que raconte-t-il au juste, c’est peut-être le vrai mystère. »
A travers une littérature de personnages, dans laquelle il s’implique, sans vraiment se donner le beau rôle, Houellebecq ne dresse t-il pas avant tout le portrait d’une époque, d’une société, d’une culture en fin de parcours et dans laquelle les lecteurs se reconnaissent ? Sa « condition humaine » n’est-elle pas celle du désenchantement généralisé et l’écrivain doit-il nécessairement nous mener quelque part ?
En attendant, le léZard se promène du côté de l’avenue Foch, se souvenant que cette splendide avenue-jardin, baptisée jadis avenue de l’Impératrice (Eugénie), était la voie principale de la vanité !
..sinon parmentier rilodid qui pourrait donc encore t’apprendre qu’en dire du mal présentment c’est surtout en dire du bien..hach lassouline il eut tété plus superbe de l’ignorer toutafé..comme t’as su lfaire telment nickelchrome havec onfray..mais tout lmonde il a son péché original
Houellebecq est le Jeff Koons de la littérature en ce sens qu’il en est le plus parfait reflet : c’est peut-être pour ça que personne ne l’aime.
Puck, avez-vous vu le bouquet de tulipes de Michel H. ?
Passou dit: à
merci Jicé
vla l’jicé rabillé en larochefouco trans..ça donne pas chaud pour lhivers
Accordons lui au moins cela : tout est dit, non dans la jaquette, mais dans le titre qu’elle supporte.
les stimulus négatif prennent en général moitié moins de temps pour être perçu dans le marketting social..c’est ça l’extension du domaine de la lutte..bonne..clopine
Un type qui dit que les théories de Girard sont fausses c’est comme Onfray qui tire à vue sur Freud : un pur produit de notre époque
..c’est bien connu aussi que dans un régime estérieur de dévaluation des valeurs les siennes en prennent soudain..même elle nous en semblent soudain plus belles..havec un oeil chargé d’un pleur involontaire..et des rêves d’échafauds..stéfane pladza our brozeur
Ereintage parfait, et mérité. J’y souscris et je diffuse
a voté!
« il eut tété plus superbe de l’ignorer toutafé.. »
Tout à fait, le bou !.
Tu auras noté que Passou qui parle deux fois de l’embargo en ouverture de son papier, l’a, pour sa part, parfaitement respecté…
le boug !
@ en dire du mal présentment c’est surtout en dire du bien
… ben voui, c quand même pas compliqué à comprend’
-> Onj ‘apprécie toujours les différents emballages de lessives à l’heure du choix de la meilleure blancheur au Leclerc, et en général onj’ prend le plus surprenant des marques, qui est souvent le plus chère… (année en tire 22), normal une lessive à 27 euros pour toute l’année, faut en avoir pour son Argent… Il semblerait enoutre qu’une grande partie du produit des ventes, (une fois les impôts sur droits d’auteur dûment acquittés), serait reversé aux associations des victimes de la covid et des attentats commis par les fondamentalistes islamistes et à un fond de solidarité pour certains blogs littéraires nécessiteux, sur les réseaux sociaux…
Une morale sauve (qui peut), en somme…
Bàv,
@ moij ‘attends de lire ce roman pour délivrer mon haut pignon (lu : ô pognion), car veux-j pas trop me laisser uniquement emballer par le seul ’emballage, d’autant que j’ai pas eu la chance de le recevoir gratoss’ en service de presse marouflé, par un chauffeur d’usp dûment dépêché aux premières aurores.
« un fond de solidarité pour certains blogs littéraires nécessiteux »
En voilà, une bonne idée, JJJ !
Une valeur qui s’est perdue chez les journalistes et les écrivains : l’insolence !
UN PROF DE GESTION conteste la gestion dégagée d’une lecture professionnelle (d’un prof!) de M.H
Pourquoi Michel Houellebecq a (presque) raison
« calcul mimétisme et exemplarité »
https://theconversation.com/pourquoi-michel-houellebecq-a-presque-raison-51093
ma phrase n’est pas claire:
un prof de gestion conteste; par une lecture professionnelle dégagée du texte de M.H.
Sous ses airs égarés michel h s’est faufilé une x de plus dans nos envers de paletot. Ce qui agace sans doute un comité Goncourt tout entier dévoué à l’efflorescence de la langue française et sa gourme un brin surfaite.On ne sait lequel ( du critiqué et du critique ) a pissé dans les mêmes quatres coins de champs de navets en espérant faire rire jaune un maximum de suiveurs impressionnés par la charge. Donc comme d’hab nous aurons droit à des personnages aux vocables tarte, en fin de parcours. Je dois avouer m’être finalement divertie d’une rediffusion de Jean de Florette et de Manon des Sources, ces personnages à défaut d’être gaillards avaient au moins un supplément d’âme.
stéfane pladza our brozeur
Doré sur tranche H. le bronzeur!
Le fonds de solidarité a été mis en place pendant la crise sanitaire pour soutenir les entreprises en difficulté financière. Il est remplacé par le … »
il n’y a aucune insolence à restituer une orthographe
retenue par l’usage :fond/FONDS
Jeter sa gourme au supplément d’âme, je vous embrasse avec la langue française (;) )Chantal!
AUTREMENT DIT, ne prenons pas les pulsions pour
des valeurs incontournables
Fonds de Solidarité Thérapeutique International FSTI
Paul Klee – Le sapin, 1915
Ce billet est tellement « attendu », que vainement on chercherait , encore, un début de contestation qui tienne debout.
N’attendez pas de Houellebecq qu’il change sa lecture de la » théorie » psycho-socio du désir jaloux de R. Girard, d’autant qu’en un simple clic, on comprend que Houellebecq a lu cette thèse, et qu’il n’est pas seul l’avoir anéantie.
Mais on attendait quand même un autre boulot du lecteur, qui craint plus pour la réputation mondaine de R.Girard, que pour ses fadaises a destination de névrosés, expédiées en un clic. Sans les avoir lues.
En attendant Houellebecq…
« René Girard, un allumé qui se prend pour un Phare »
http://rene.pommier.free.fr/Girard00.htm
Moi j’attends l’avis de Patrice Charoulet et je m’y conformerai.
Et moi j’ai été lire le billet de mr pommier sur l’allumé , encore une vache sacrée pote de Michel Serres dont j’ignorasse l’existance même !
le 3 de l’an étant consacré aux relevés de compteurs et updates j’ai pourtant une petite envie quitte à donner dans le collector, il paraît que le dernier Bolano est une belle sortie de clous …
D’ accord avec vous Jibe. La Carte et le Territoire « est le dernier qui m’´a accroché. Mais essayez de trouver une galerie qui fonctionne comme celle du roman,ce sera une autre paire de manches.!
https://diacritik.com/2020/11/10/hotel-bolano-architectures-dun-piege-oeuvres-completes-iii/
en cherchant un billet dans lequel P.Assouline avqait évoqué Girard, j’ai lu « prenez garde à la révolte des personnages »;or, j’ai justement lu ce matinplainte contre DIEU! obs
Mircea Pavel, emprisonné pour meurtre, lui reprochait de ne pas avoir été « délivré du mal » après son baptême. Le parquet de Timisoara estime que l’être suprême « n’est pas un sujet de droit et n’a pas d’adresse ».
en cherchant un billet dans lequel P.Assouline avait évoqué GIRARD? JE TOMBE sur » Prenez garde à la révolte des personnages »
P.ASSOULINE,j’ai lu qu’un roumain avait porté plainte contre Dieu
https://www.nouvelobs.com/monde/20070711.OBS6115/un-roumain-porte-plainte-contre-dieu.html#modal-msg
Parmi mes cadeaux de fin d’année destinés aux ami.e.s, « Avant que j’oublie » / Anne Pauly / Verdier 2019, prix du livre Inter 2020. Lu en coup de vent (cad avant de rentrer chez moi). Impossible de le lâcher. Janssen (entre autres lecteurs) l’a-t-il pareillement dévoré ?
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Un Roumain qui avait porté plainte contre Dieu pour « escroquerie » et « abus de confiance », a été débouté de son action par le Parquet de Timisoara (ouest), a rapporté mercredi 11 juillet le quotidien Evenimentul Zilei.
Mircea Pavel, 40 ans purge une peine de 20 ans de prison pour meurtre.
Un contrat non honoré
Il avait porté plainte contre « le nommé Dieu, domicilié aux cieux et représenté en Roumanie par l’Eglise orthodoxe », l’accusant d' »escroquerie, abus de confiance, corruption et trafic d’influence ». Il reproche notamment à Dieu de ne pas avoir pris en compte ses prières. « Lors de mon baptême, j’ai conclu un contrat avec l’accusé visant à me délivrer du mal. Or, jusqu’ici, ce dernier n’a pas honoré ce contrat, bien qu’il ait reçu de ma part différents biens et nombreuses prières », a écrit le plaignant. Le parquet de Timisoara l’a toutefois débouté de sa plainte, estimant que « Dieu n’est pas un sujet de droit et n’a pas d’adresse ».
Le Monde/Jean Birnbaum semble beaucoup aimer le nouveau « Houellebecq ». Passou au contraire ne semble pas être convaincu. J’admets que je n’ai jusque à présent jamais lu de Houellebecq. Souvent des amis me demandent – hast du schon den neuen « Houellebecq » gelesen – mais malheureusement jusqu’à présent je suis obligé de leur dire – que je n’appartiens pas à la tribu des « « Houellebectians » – car ici en Allemagne « Houellebecq » est beaucoup lu et aussi beaucoup admiré ! A mes rares amis allemand, lisant des livres, des vraies, – et lisant aussi le français, – je suggère de lire « Sandormokh. Le livre noire d’un lieu de Mémoire. Traduit du russe par Nicolas Werth » – livre dont je parle un peu dans un de mes derniers billets de paysages … je me demande souvent pourquoi « Houellebecq » est-il devenu si populaire en Allemagne/ à l’étranger ! Malheureusement Hollebecq est devenue aussi un synonyme pour la littérature franco française ! Warum ?
En complément de mon dernier commentaire voici le lien vers Memorial – les forêts de Carélie n’oublieront jamais les âmes perdues des « zaklioutchonny kanaloarmeets », les détenus-combattants du Belomorkanal = https://cneffpaysages.blog/2021/12/30/memorial-les-forets-de-carelie-noublieront-jamais-les-ames-perdues-des-zaklioutchonny-kanaloarmeets-les-detenus-combattants-du-belomorkanal/
@Et moi j’ai été lire le billet de mr pommier sur l’allumé , encore une vache sacrée pote de Michel Serres dont j’ignorasse l’existance même !
Oui, n’est-ce pas ?
Plus éclairant que le lien de Passou.
Il n’y a aucune fatalité, il est plus facile de promouvoir le psycho machin debile pour des névrosés, segment clientéliste très prisé sur la rdl, que de s’atteler à un vrai boulot de critique, qui ne soit pas un catalogue de litanies au s.a.v…pour tromperie sur la marchandise, comme une maîtresse outragée, alors que ce client sait d’avance qu’il détestera » le produit ».
Y’a qu’a faire comme 5% de ceux qui ne veulent pas de leur cadeau de Noël, le mettre sur le Boncoin ! Sans emmerder les autres.
n’oublions pas un mot:
étrennes!
C’est de Rome que nous vient l’usage du premier jour de l’an et des étrennes. Tatius, roi des Sabins – qui par la suite régna sur les Romains conjointement avec Romulus – ayant, après la réunion des deux peuples, regardé comme un augure favorable qu’on lui eût fait présent, au premier jour de l’an, de quelques branches coupées dans un bois consacré à Strena, déesse de la force, convertit en coutume ce qui n’avait été que l’effet du hasard, et donna aux présents qu’il reçut depuis au renouvellement de chaque année le nom de Strenae, dont nous avons fait étrennes. À des branches d’arbre, bientôt les Romains substituèrent des figues, des dattes, du miel : symboles, comme nos confitures et nos dragées, de toutes les douceurs qu’ils souhaitaient à leurs amis pendant le cours de l’année nouvelle. Les clients joignaient une pièce d’argent aux étrennes qu’ils donnaient à leurs patrons, ce qui était un signe de tribut. Les trois ordres de l’Etat donnaient à Auguste des étrennes dont il employait le prix à l’achat de la statue de quelque divinité. Il pensait que les deniers du peuple devaient être consacrés à des objets d’utilité publique, et ne devaient pas entrer dans l’épargne de l’empereur. L’usage de recevoir des étrennes, tantôt imité, tantôt négligé par ses successeurs, ne s’est définitivement conservé qu’entre particuliers. 2.
L’expression « livres d’étrennes » est couramment utilisée en France entre le milieu du xixe siècle et au moins jusqu’à la Première Guerre mondiale pour désigner des « beaux » livres édités à cette occasion. Ils représentent un important marché pour les éditeurs de l’époque qui ciblent le public jeune comme Mame, Hachette et Cie, ou la Maison Quantin. Ils sont généralement entoilés, cartonnés et très illustrés.
toutafé, je vais revendre le dernier Saar, inspiré de Ouloghem et l’Anomalie capilotractée qui ronflaient sur ma table de nuit, cadeau d’un brave type qui croit me faire plaisir en m’offrant les têtes de gondoles.
j’ai beau m’escagasser à lui expliquer qu’il est victime de marronniers et de produits de marketing lourds orchestrés par la clique des ramiers de Drouant il récidive.
C’est à commettre un crime en Tesla.
Clin d’oeil de nouvel an à Clopine
https://www.facebook.com/SandrineSarrocheOfficiel/videos/615638776555578
j’ai beau m’escagasser à lui expliquer qu’il est victime de marronniers et de produits de marketing lourds orchestrés par la clique des ramiers de Drouant il récidive
cause & effet
C’est à commettre un crime en Tesla
si c’était avec la vidange de ton kilo de rouge tu procastinerais pas
@je vais revendre le dernier Saar, inspiré de Ouloghem et l’Anomalie capilotractée qui ronflaient sur ma table de nuit, cadeau d’un brave type qui croit me faire plaisir en m’offrant les têtes de gondoles.
Ah ça, les cadeaux empoisonnés faut toujours faire gaffe. Il doit être grec votre pote.
J’ai préféré les avoir achetés moi moi-même avec mes sous, les Goncourt 2019, 2020 et 2021, comme ça, je ne sens pas obligée de devoir être sympa, avec un type qui essaierait de m’avoir par les bons sentiments, en me refourgant de la ( très) bonne littérature, sur l’oreiller.
Helen Frankenthaler, painting-motion :
En revanche si un brave con avait essayé de me refourguer tous les Goncourt de 2011 à 2018, sûr que ça repartait direct sur le Boncoin.
Trisha Brown, motion :
Malheureusement Hollebecq est devenue aussi un synonyme pour la littérature franco française ! Warum ?
girard dirait que le français aime trop son bouc pour faire tabaski..dans la grande distri hon appelle ça « platform d’éclatment »
rénateau a la flemme d’acheter un hébergement
on avait demandé des pieux:ceuxci sont amérindiens
https://hyperallergic.com/698826/through-photography-a-book-tries-to-capture-the-slow-creep-of-history/?utm_medium=email&utm_campaign=B010321&utm_content=B0103
Oui, n’est-ce pas ?
Plus éclairant que le lien de Passou
ton lien c’est à peu prés dla merde térezoune..dla polémique qui fait long havec des idées trés courtes
Pour bouguereau, Giacomo Balla :
https://lesempio.blogspot.com/2012/05/giacomo-balla-bambina-che-corre-su-un.html
Bien que comme les vieux psychanalystes annoncent ne plus vouloir prendre de nouveaux patients, René Pommier laisse entendre qu’il n’a plus l’âge d’entreprendre de nouveaux travaux de dézingages. On aimerait pourtant savoir ce qu’il pense de Michel Houellebecq. Ce serait là une consécration pour M.H. : après Freud, Barthes et René Girard, Michel Houellebecq ?.
J’admets que je n’ai jusque à présent jamais lu de Houellebecq
..les cons se cachent partout
c’est un ardennais matheux, du genre tiesse di bois, pas un grec,
j’ai lu le devoir de violence en son temps et n’ai pas le goût du succédané, quand à le Tellier je pense en faire un lustre à based’ origamis, autant recycler l’affaire çà évite le gaspi. Chéri j’ai plié le Goncourt lol !
pour l’instant, je suis sur le roman d’Abel Quentin « le Voyant d’Etampes », et j’en souris beaucoup(un bobo gaucho vieillissant de 65 ans s’accroche au monde), et à cheval sur le dernier quart du grand voyage de Jakob Frank, voyage au long cours entrepris depuis novembre 21 de Constantinople à Cracovie en remontant le Danube sur les pas du gourou d’une secte juive antikabbaliste au bord de se convertir à Jésus Christ, en février 2022… – Je note pour ce mois ci : « Avant que j’oublie », d’Anne Pauly, jamais entendu parler, mais fais confiance et me demande bien si la pile 2022 doit ocntinuer ainsi à s’allonger avec Lucazeau (« la nuit du faune »), le silence des bêtes (E de Fontenay), Artistes sans oeuvres (JY Jouannais), et « Vers l’abîme » (d’Erich Kastner), toujours manqué depuis le grand autodafé nazi de 33. – Michel H. n° 8, va venir s’y miscer sous peu, impolrté dans la la liste des futures autres commissions à faire le 7 janvier : charcuteries, sopalin, gel douche, lait, mousse à raser, beurre 1/2 sel, clémentines, amandes coupées, Prosecco, ananas, légumes, Corbières, 6 nems et 10 maki sushis sauce nioc man, etc). Bàv,
D. dit: à
Moi j’attends l’avis de Patrice Charoulet et je m’y conformerai.
Vous n’êtes pas le seul D., Patrice Charoulet est un critique littéraire avisé.
Matheux et pas grec ?
Avoir la bosse des maths n’est pas une garantie de jugeote litteraire.
Mais pour Le Tellier, c’est une évidence. J’avais dit, en son temps, au sujet de « l’anomalie », qu’il fallait un pre-requis, pour en apprécier tout le potentiel, mais c’est très mal passé…chez les névrosés.
Tu auras noté que Passou qui parle deux fois de l’embargo en ouverture de son papier, l’a, pour sa part, parfaitement respecté…
je l’avais signifié baroz..tu dis que l’insolence s’est perdu..pourtant elle serait beaucoup plus facile aujourdhui..mais comme dirait boloré au rédac en chef.. »mourir pour des idées daccord mais de mort len en-en teu »
J’ai savouré cet article de Passou, écrit avec une verve puissante et tellement sincère. Néanmoins, avant de me faire une opinion définitive, je m’apprète à lire le livre de Houellebecq, que j’ai réservé chez ma libraire. Moi aussi, je veux profiter de ce moment historique, comme l’autre qui voyait Napoléon passer à pied à deux mètres de lui comme si c’était l’Esprit du temps. Même si c’est un ratage historique, je veux pouvoir dire un jour : « anéantir » de Michel Houellebecq ? J’y étais ! J’avais retenu le livre et je l’ai lu ! Après tout, je note que 1° Passou l’a lu ; et que 2° il lui consacre un grand article furibond. Cela fait beaucoup pour un seul homme, même s’il s’agit de 700 pages. Je reviendrai vous dire ce que j’en ai pensé, si c’est toujours d’actualité — ce qui ne m’étonnerait pas. Je dois obtenir ce livre dans les prochains jours, quand ma libraire aura été livrée (peut-être ce soir ?). Et je vais le lire d’une traite, croyez-moi. Au fond, l’article de Passou est excellent : meilleur qu’une critique positive où il en aurait fait l’éloge grandiloquent. Maintenant tout le monde va vouloir posséder cet « anéantir », le « white album » qu’il faut avoir lu !!!
« Pour ne pas le nommer »
A la radio comme à la télé, j’ai entendu cent fois des gens nommer quelqu’un, en ajoutant : « pour ne pas le nommer ». Bizarre, bizarre, bizarre ! On nomme pour ne pas nommer ? Qu’est-ce que c’est que ce charabia ?
Pommier ne peut que vous aller, Sasseur, avec sa mécréance militant jusqu’à la lourdeur naguere en Sorbonne. On peut certes trouver du plus haut comique le passage sur la resurection des Morts dans les Tragiques de D’ Aubigne. Il est plus gênant, et plus lassant, de le voir attaquer Pascal comme il le fait dans un livre qui est une honte pour la profession. Enfin, vous qui êtes si regardante avec nos impôts, vous saurez que sa thèse contre le Sur Racine de Barthes a vu sa diffusion payée par le CNRS. On pouvait autre chose que cette vieille baudruche d’un autre âge pour attaquer Girard, mais on a les penseurs qu’on mérite, celui-ci étant confit dans l’anticléricalisme haineux grande époque de Marianne III,et, de manière plus générale, dans le refus de toute modernité.
On pouvait trouver
Merci pour votre suggestion, je le mettrai en vente avec la notice névrosés s’abstenir, nécessite prérequis, vendu suite à flemme.
Ça fait un peu pisse-froid radasse, pas sûr que je récupère quelques euros. Mais soyons frugaux.
Comme quoi R.Pommier, grand racinien, première occurrence, ne s’adresse pas aux névrosés de ce blog.
Sont trop rares des pointures comme R. Pommier, dans le paf.
Pas de petit profit Chantal, quelques euros contre deux pavés d’intelligence, des fois nécessité fait loi.
C’est mathématique.
puck :Morin le spécialiste en accessoires pour civiliser le boug et le rendre bloguocompatible
https://www.morinfrance.com/categorie/muselieres-de-frappe-pour-chien
pour se faire une idée d’anéantir rien ne vaut une critique belge goguenarde, roman familial teinté de romantisme en vue ?
R. Pommier a fait un excellent travail sur B. Pascal, c’est très subtil philosophiquement fondamental…
Apres ‘est comme tout il faut aimer parier… sur l’intelligence, de préférence.
Janssen 2022 : – Je note pour ce mois ci : « Avant que j’oublie », d’Anne Pauly, jamais entendu parler
Janssen 2019 :
« Devoir de rentrée moyen. La fille de Pierre Pachet, chez fayard, a plus de chance pour le fémina, bon. Celle de chez verdier, aucune dans les deux maisons. Enthousiasme du critique un poil forcé. »
Moralité : Pierre qui se décarcasse d’un demi-article n’obtient pas un centième de l’attention suscitée chez JJJ par 4 lignes d’Alexia. C’est la vie…
La morale de cette morale: Tel est fiché qui croyait ficher.
La morale de la morale de cette amoralité, c’est qu’en utilisant deux pseudos qui se répondent, t’as plus de chance, mathématiquement, de passer pour un gros con de keuf !
Rarement un livre à prétention littéraire
on se doutait de ce dont P.ASSOULINE,lui, voulait nous donner l’intuition sur ce « fourre-tout » après ce « prétention littéraire », impossible de retenir le rire qui pointe déjà;
Puck, avez-vous vu le bouquet de tulipes de Michel H. ?
»
moi ? non, pourquoi ? en fait j’en sais rien, c’est un article ?
en fait, autant je me souviens de tous les sketchs de Jean Yanne, autant je me souviens de rien chez Houellebecq, mais alors absolument rien, je serais incapable de me souvenir le plus petite idée originale chez lui.
d’ailleurs si un lecteur de Houellebecq peut me dire la moitié du quart d’une idée originale qu’il aurait trouvée chez cet auteur je suis preneur !
tout ce pseudo intellectualisme à 2 balles pour bobos en quéquête de pensées philosophiques à 2 balles sur la fin de l’histoire, la fin de la civilisation, la fin de la culture, la fin de l’art, la fin de la fin, c’est des trucs qui me gonflent à un point que vous pouvez pas imaginer.
Le tri très très sélectif de la mémoire à jjj à propos des posts de Pierre Ass…, yès !… il n’a jamais tenu de fiches des recommandations de passoul sur la rdl… De fait, il n’accorde d’importance qu’à celzéceux qui prouvent leur amour des romans (Al., SV, PE ou rôz,…), du cinéma (Jzmn), de l’histoire-sociologie-géopol (Jibé, Bl.) sans faire accroire qu’ils auraient lu ce dont ils parlent…, voilà toute la différence d’avec ma sœur, for instance, qu’a jamais lu une ligne de ces pauvres Ouelbèk ou Tellier, et nous fatigue les nerfs avec ses névroses de keuf manqué…, qui voudrait tant se faire mettre une bonne fois par Passoul… Moralité : dura lex-xianne, c’est la lex, x de petit-tix (?).
Bien à vous, merci pour votre hommage indirect, j’y suis très sensib’… je sais qu’il vient d’un très immense homme de cultivure, jouant les très Modestes, un peu comme nos Puckt, Jissé, MC, Fil…, et tout un tas d’autres intelligences, de semblables gabarits.
Bàv,
à la question posée par Jazzi :
« Houellebecq ne dresse t-il pas avant tout le portrait d’une époque, d’une société, d’une culture en fin de parcours et dans laquelle les lecteurs se reconnaissent ? Sa « condition humaine » n’est-elle pas celle du désenchantement généralisé et l’écrivain doit-il nécessairement nous mener quelque part ? »
»
je préfère laisser greubou répondre, les trucs qui mènent nulle part c’est un peu sa spécialité.
non le seul truc que j’avais trouvé futé chez Houellebecq c’était l’idée, pour éviter de se retrouver accusé de pédophilie comme Matzneff, d’aller se taper des gamines de 12 ans à Manille plutôt qu’à Paris.
du coup ça répond déjà à la question de savoir où un écrivain doit mener les pédophiles.
je me demande si ça vient pas de là ses histoires de cartes et de territoire.
Mais pour Le Tellier, c’est une évidence. J’avais dit, en son temps, au sujet de « l’anomalie », qu’il fallait un pre-requis, pour en apprécier tout le potentiel, mais c’est très mal passé…chez les névrosés.
C’est quoi la définition de la névrose?
un névrosé c’est un type qui supporte pas les psychotiques.
Afin de se situer dans ou hors le champ de la névrose. Après savoir si un livre n’est passible que d’une seule lecture en dehors de publications scientifiques relève d’un autre questionnement. De plus saseur en dehors de vos mots admiratifs, c’est fin, c’est subtil etc vous n’avez fait par aucune explication concernant votre compréhension de l’anomalie. Vous affirmez avoir mieux compris que tout un chacun. Voilà j’imagine votre côté 1ère de la classe, qui cafte, qui copie, qui triche, qui bluffe .
https://www.google.com/amp/s/www.sante-sur-le-net.com/maladies/psychiatrie/nevrose/%3famp
Jazzi : Sa « condition humaine » n’est-elle pas celle du désenchantement généralisé
»
ça c’est top ! :
Nager dans les eaux troubles
Des lendemains
Attendre ici la fin
Flotter dans l’air trop lourd
Du presque rien
A qui tendre la main
Si je dois tomber de haut
Que ma chute soit lente
Je n’ai trouvé de repos
Que dans l’indifférence
Pourtant, je voudrais retrouver l’innocence
Mais rien n’a de sens, et rien ne va
Tout est chaos
A côté
Tous mes idéaux : des mots
Abimés…
Je cherche une âme, qui
Pourra m’aider
Je suis
D’une génération désenchantée…
Qui pourrait m’empêcher
De tout entendre
Quand la raison s’effondre
A quel sein se vouer
Qui peut prétendre
Nous bercer dans son ventre
Si la mort est un mystère
La vie n’a rien de tendre
Si le ciel a un enfer
Le ciel peut bien m’attendre
Dis moi,
Dans ces vents contraires comment s’y prendre
Plus rien n’a de sens, plus rien ne va.
Un travail d’une rare subtilité ? On se demande à quoi ont servi les travaux de Jean Ménard et Philippe Sellier. C’est un pari, certes, mais moins sur l’intelligence que le renversement des valeurs. J’aime bien l’emploi du mot ficher chez quelqu’un qui passe son temps à crier au keuf! Mais on en est plus avec vous à un paradoxe et une inexactitude près… MC
Part de.
«… ne culture en fin de parcours ? »
L’extrémisme et la « prophétie de hyène » de Spengler son bien à part, seulement les réacs en parlent de cette ‘fin de parcours’, car, si on regarde de près, les conditions de vie n’ont jamais été à un si bon niveau, la recherche scientifique aussi que les arts jouissent d’une liberté jamais vue avant, et ainsi de suite. Donc, En fin de parcours : où ça ? qu’ils disent plutôt qu’ils n’aiment pas le monde comme il est fait parce que ils sont incapable de le comprendre.
ça c’est encore plus top :
avec un Q.I. de moins de 130, je parie que vous n’êtes pas foutus de m’expliquer pourquoi, quand je bande, je pèse exactement le même poids que quand je ne bande pas.
Ça vous en bouche un coin, ça, hein ?
Et non seulement je garde le même poids, mais je ne change pas non plus de volume. C’est fou, non ?
Si vous ne me croyez pas, faites vous-même l’expérience : remplissez votre baignoire.
Entrez dans la baignoire sans bander.
Je sais c’est difficile. I1 faut fournir un effort d’imagination.
Je ne sais pas moi, imaginez que vous passez la soirée à manger des moules mayonnaise tièdes dans un restaurant d’autoroute avec Jean-Claude Bourret qui vous explique les montants compensatoires.
Bien. Allongez-vous dans l’eau.
La tête seule doit émerger. Repérez le niveau de l’eau. Maintenant bandez.
Pensez que le groupe Indochine fait de la moto sans casque. Et boum, le camion.
Regardez alors votre repère de niveau : il n’a pas bougé d’un millimètre !
D’où le théorème d’Archimède: « Quand on plonge un corps dans une baignoire, le téléphone sonne. »
Malgré mon Q.I. de 130, ils n’ont pas voulu me confier de poste clé à la SNCF.
Pierre Ass
..ça me plairait pas qu’il dirait kabloom
Les frères Bogdanoff, jumeaux dans la mort
Tristesse
keupu il est toujours aussi con en 2022..et térezoune lui souhaite bonne continuation..c’est la vie
« … vous ne devez pas vous faire d’illusions, vous devez savoir que tout le monde ne vit pas dans le moment historique dans lequel vous vivez, que même si vous vivez au vingtième siècle, tout le monde ne vit pas au vingtième siècle (et penser ici que le véritable moment historique est le résultat de votre moment et de celui de tous les autres). Rappelez-vous que nous avons près de nous des représentants de toutes les périodes de l’histoire, que nous n’avons pas que des contemporains, en fait, qu’il n’y a peut-être pas deux contemporains dans ce monde. »
Roberto Bazlen, Le nationalisme est-il vraiment mort ? dans Comunità, 3 mai 1947.
le port pleureur il le fait bien grün
« ne t’inquiéte pas d’être de ton époque..c’est la seule chose quaucun artiste ne peut héviter »
@ Mais on en est plus avec vous à un paradoxe et une inexactitude près
A qui vous adressez vous, marc ? apparemment cette phrase est bancale, voilà pourquoi je suis un brin dans l’expectative.
@ Que voulez-vous nous dire, SV ? Igor B, aussi ?
Qu’est-ce que c’est que ce charabia ?
..et si nous continuions ensemble qu’il dirait keupu à patrice
X nous renvoie, cher Janssen, à un billet du 13 septembre 2019 et nous gratifie, au passage, d’une tape sur nos têtes de linottes à l’instar d’un maître d’école d’antan. Acceptons ce châtiment corporel et battons notre coulpe d’avoir séché le cours du 13/09/19 ou bien de n’y avoir accordé l’attention requise. Espérons qu’il nous accordera une session de rattrapage… deux ans et des poussières plus tard. La littérature serait-elle, comme les yogourts, marquée d’une date de péremption ?
Ceci dit, P.A. a trouvé les mots justes pour évoquer le bouquin de Anne Pauly. Donc merci à lui et à X, son archiviste.
les conditions de vie n’ont jamais été à un si bon niveau
rénateau y pirate les smartphone de hsbc & jp morgan..
Puck, c’est une histoire d’afflux sanguin et votre volume circulatoire ne varie qu’en cas d’apport ou d’export( hémorragie) , donc même poids, même volume.
Vous n’aimez pas les sans-dents mais pas plus le Champagne, dear passou, difficile de finir à l’Elysée. Reste le pen club, toujours bien fréquenté, cuirs de qualité. Depuis son excellent guide sexuel de Lanzarote pour enfoncer tous les routards, Houellebecq est une référence mondiale, chaque conférencier inviteur rêve de le voir oublier son dentier sur la table, nos amis allemands adorent, il faut s’y faire.
Pas la meilleure idée de portaiturer ce ministre de l’économie trop français pour durer dans sa littérature.
Y a t il du sexe dans ce nouveau roman puisque l’amour est central?
Et maintenant bandez.
J’ignorais que cela soit si facile et à volonté . Section! Marche! Opération commando. La bain, avec ou sans mousse, pour cacher la chose, la quille chère à Rimbaud?
J’apprécie votre façon de m’inclure dans votre légère auto-critique en défaut de vigilance des dates de péremption, et de renvoyer notre x à sa déontologie du secrétariat général (section archives) de la rdl… D’aucuns veillent quand d’autres fichent, c’est rassurant, notez bien !…
(nb/ « les clauses compromissoires ne valent pas qu’en littérature, j’vous en fiche mon billet »…, comme le rappelait le peu productif prof de droit commercial, feu le Pr Jean Deruppé).
https://www.persee.fr/authority/35820
Bàv,
@ Fil, je trouve que nos amis allemands ont bon goût, s’agissant du sexappeal débondant de nos meilleurs écrivains français… Comment ont-ils traduit son nouveau roman : vernichten ? destroy ? destruir ? distrugga ? vernietig ? zniszczyc ? tuhota ?…
@ RM : tchin !
En attendant Houellebecq…
Dear Prudence, white album.
>JJJ : @ Que voulez-vous nous dire, SV ? Igor B, aussi ?
Oui
@ Y a t il du sexe dans ce nouveau roman puisque l’amour est central ?
Perso, je vois pas le rapport, mais je me souviens que dans le précédent, sa dernière compagne asiatique se faisait saillir par des animaux…, un chien ou un cheval, je crois… Pour le nouveau, je ne sais pas, je ne l’ai pas encore lu… Mais ma sœur va sans doute nous répondre très bientôt… Carla déjà lu en ligne, en version piratée d’Anne et Anthir, Bàv.
(Nb / Vous n’en avez pas marre de vos mauvais jeux de mots, etalii ? Non point !)
Jj..ja: Vernichten. So wie, comme les camps.
Hypothèse 1 : Il existe un individu tel qu’il est capable de rester une vingtaine d’heures sur vingt-quatre au bas mot, trois cent soixante-cinq jours par an devant son écran ; de consacrer tout son temps et son énergie à un blogue qui n’est même pas le sien ; de veiller sans relâche à cloisonner ses multiples « personnages » (genres masculin ou féminin, styles d’expression, lexiques spécifiques, centres d’intérêt, langues parlées, cultures (musicale, juridique, sociologique, scientifique, philosophique, politique, géographique…), genres littéraires et auteurs de prédilection, etc.) sans JAMAIS se mélanger les pinceaux ni les « fixettes » ni les sympathies ou les antipathies vis-à-vis des autres commentateurs, bref une espèce de Balzac ou de Zola 2.0, un Mozart de l’imposture, un ventriloque surdoué, un Frank Abagnale Jr. jonglant avec les identités mais en simultané, et tout cela pour le seul plaisir de berner des inconnus et/ou d’assouvir les besoins de sa nature diabolique, forcément diabolique (menteuse, diviseuse et divisée), laquelle est au « pervers » ce que la vertu dormitive est à l’opium.
Il faut donc supposer un individu non seulement tordu mais carrément génial et qui n’aurait rien de mieux à faire de ses extraordinaires capacités.
Hypothèse assez coûteuse on en conviendra.
Hypothèse 2 : MS s’est plantée.
Quelqu’un serait-il assez charitable pour lui passer le rasoir d’Ockham ?
ennui!
bonsoir!
B dit: à
Puck, c’est une histoire d’afflux sanguin et votre volume circulatoire ne varie qu’en cas d’apport ou d’export( hémorragie) , donc même poids, même volume.
»
ben voilà ! au moins avec Desproges on apprenait des choses pratiques de la vie courante.
le moment fort de ce sketch c’est quand il dit que pour bander il imaginer le groupe Indochine faire de la moto sans casque et boum un camion !
si un type sort ce genre de blague aujourd’hui (pas de très bon gout je l’admets, mais moi ça me fait rire) j’imagine même pas les réactions.
non il y a provoc et provoc, et celle de Welbec est nulle à chier.
il n’y a qu’une société telle qu’il la dépeint, au bord du gouffre et peuplés de crétins, qui peut faire de lui un écrivain « important ».
dire que cette proposition est fausse revient à dire qu’il se trompe sur toute la ligne de coke.
peupléE
je fais vachement plus de fautes que mes autres pseudos.
sur l’épisode du tourisme sexuel à Manille j’avais regardé une émission où le journaliste, une espèce de ravi de la crèche, faisait exactement ce qu’on reproche à Pivot avec Matznef.
Finalement, le « mon chéri » de Marcel c’était son petit frère Robert !
N’est-ce pas touchant ?
Faut dire que pour les grandes folles (Jacques Chazot, Michou, Alice Saprich…), tout le monde est son « chéri ».
D’où ma perplexité quand, ici, fut un temps où nous étions tous les « petits chéris » d’Alba…
« ne t’inquiéte pas d’être de ton époque..c’est la seule chose quaucun artiste ne peut héviter »
»
c’est de toi greubou ? parce que lychtainebèrgue il disait l’exact contraire.
« non il y a provoc et provoc, et celle de Welbec est nulle à chier. »
Contrairement à Pierre Desproges ou Jean Yanne, la provocation de Michel Houellebecq flirte désagréablement avec les idées d’extrême droite…
c’est vrai qu’un écrivain peut être scotché à son époque, le problème avec welbec c’est qu’il a tellement la tête dans le guidon avec son idéologie de vieux beauf qu’il a même pas vu qu’une nouvelle génération était en train d’arriver pour démolir tous ses vieux schémas.
même les 2 frères qui ont fait les premiers Matrix maintenant c’est 2 soeurs : on vit une époque absolument géniale !
A.N., je me rappelais avoir lu l’article (mais sans me souvenir des réactions de JJJ, n’exagérons rien) ; il n’y avait plus qu’à utiliser un moteur de recherche.
Ni fiches ni férule.
(Par ailleurs, c’était plutôt « petite x », comme chez P.J. Jouve, mais en poussant la logique jusqu’à la minuscule. Je laisse le grand X au grand Malcolm.)
puck dit: à
peupléE
je fais vachement plus de fautes que mes autres pseudos.
–
Ah pêne.
la provocation de Michel Houellebecq flirte désagréablement avec les idées d’extrême droite…
»
au moins de vieux beauf réactionnaire abandonné par sa mère partie fumer de l’afghane dans un ashram (je sais pas s’il a vu « Darjeeling Limited »)
sûr que Finkielkrault l’invitera dans une de ses prochaines émissions pour parler de son livre.
D. arrête de semer la confusion stp ! si la terezoune elle nous pète un boulon ce sera de tafote!
C’est bon les moules-mayonnaise. Surtout tièdes.
à part terezoune c’est qui aime Welbec sur le blogapassou ?
juste pour mesurer sa douleur d’être aimé par des cons.
Puck, il me faudrait relire plateforme et les particules, les premiers auxquels sûrement je n’ai rien compris.
Je ne suis pas etonné que vous n’y ayez rien compris, Bérénice. Demandez-donc à Greubou de vous expliquer.
RENTREE 2022 : 545 NOUVEAUX CAS
étonnÉ
Des cas de quoi ?
Et lire Les choses .
« De grands élans les emportaient. Parfois, pendant des heures entières, pendant des journées, une envie frénétique d’être riches, tout de suite, immensément, à jamais, s’emparait d’eux, ne les lâchait plus. C’était un désir fou, maladif, oppressant, qui semblait gouverner le moindre de leurs gestes. La fortune devenait leur opium. Ils s’en grisaient. Ils se livraient sans retenue aux délires de l’imaginaire. Partout où ils allaient, ils n’étaient plus attentifs qu’à l’argent. Ils avaient des cauchemars de millions de joyaux. »
Une dépêche
Du côté des romans traduits, les nouveaux ouvrages d’Haruki Murakami Première personne du singulier et Abandonner un chat (20 janvier) devraient aussi avoir du succès.
Des cas de vente, vente de livres qui épargneront à leurs auteurs quand ils ne savent qu’écrire de pointer à pôle emploi.
L’aspect économique
Un couple parvenu à « une sorte de désespoir standardisé ».
Le désespoir n’est il pas désormais une espèce de nerf central qu’il s’agit s’endormir avec tout ce qui nous tombe sous la main, sexe, drogue et Pollini sur Mezzo?
(non, tu ne seras pas mon nouveau cas contact, D., ni aucun des nouveaux arrivants)
Pierre Assouline, je pense qu’au fond de vous même, vous aimez beaucoup Houllebecq et son oeuvre mais vous faites un blocage psychilogique. Ça passera un jour.
Du temps de Voltaire, on ne l’était pas moins, le monde apparaissait autant dezingué à ses contemporains, on y mourait plus tôt, la population mondiale n’avait pas dépassé le milliard, on s’arraachait le ventre, on y violait déjà les vierges et les pauvres allaient par légion demander l’aumône.
hypothèse 1 = Grichka
hypothèse 2 = Igor
Fermez le band’ Alexia…, il est bien, le petit malcolm, trouvez pas ? je croiv qu’il nous a à la bonne… 🙂 Il se décrit bien en 1, et ma soeur, pas mal non plus en 2 !
Ils sont partis aux étoiles les frères, car ils ont pas voulu y croire… et nous on est toujours là comme des cons de puck et jissé…, car on a voulu y croire…, alors on sévit le temps que vaxin fasse son effet.
(nb/ d’ailleurs on va sans doute vaincre le chancre mou et le palu … ça c une bonne nouvelle pour les scandinaves !- je le signale à etalii qui a oublié de nous en causer. Avec MH…, elle est comme toute chamboule, eh !
https://www.bayer.fr/fr/sommes-nous-sur-le-point-de-vaincre-definitivement-le-paludisme
Bàv,
en mi opinión anéantir es un análisis científico y filosófico de la condición humana actual , una de las mejores novelas de Michel Houellebecq, junto con las partículas elementales y la posibilidad de una isla, y, por tanto, una prueba más de que Michel Houellebecq es merecedor , sin duda, del premio Nobel de literatura ya !
D, je l’ai rarement lu aussi furieux. Pourtant il sait faire preuve d’indulgence.
@ Pollini sur Mezzo
je suis donc avec vous B… et il est bien chiant, ce vieux pianiste… Faut dire que sur les deux autres, il y a casse-burnes (Tchaïkov) et Ernani (Verdi)… Les lundis, on n’est pas gâtés pour la masturbation musicale, hein !… sûr… Que faites vous après TOUS CES concertS si c pas indiscret ? un rencard pour une bonne soupe aux poireaux, à Charenton sur-le-pont du D. ?
comment être sûr d’un geste barrière contre les cauchemars issus de l’internat de l’enfance empoisonnée ???? Le siniste Varan, il dit qu’il n’en existe point, papy paul, hélas !
Les Bogdanoff n’étaient pzs vacciné j’ai entenfu ça à la radio tout-à-l’heure.
RTL.
@ tout cela pour le seul plaisir de berner des inconnus et/ou d’assouvir les besoins de sa nature diabolique, forcément diabolique (menteuse, diviseuse et divisée), laquelle est au « pervers » ce que la vertu dormitive est à l’opium.
Aurait pu faire pu simp’, le rasoir de l’ordl… mais non… veut peaufiner sa came,
Bàl
@ B… bin chiantiss, cette 2e sympho de Brahms dirigée par Pollini… Soporifik, quoi, allons coucher. B Night !
Jacques, à paraitre (le 5 mars) Pasolini par Dacia Maraini :
Pollini, c’est le pianiste .
Le concert n° 2 pour piano et orchestre, éventuellement ?
Très surpris de comprendre que les aficionados de littérature dont vous êtes tous, n’ayez pas encore lu le nouveau chef-d’oeuvre du petit maître! Surtout qu’en guise d’embargo, ça fait au moins 15 jours qu’il traine sur le net en accès gratuit sous différents formats d’ebook…
(@Ça passera un jour
et je ne te dis rien de mon covid long, D. – https://pbs.twimg.com/media/FH70au2WQCwki0r?format=jpg&name=small )
(@L’aspect économique
ce qui s’appelle avoir le sens du devoir bien fait)
En quoi cette phrase vous semble-t-elle bancale, JJJ? Ménard et Sellier dont deux Pascaliens internationalement reconnus, à mille lieues au dessus du pitoyable travail de Rene Pommier qu’on voudrait faire passer pour un modèle. ( devinez qui est cet on!). MC
(@Les Bogdanoff n’étaient pzs vacciné j’ai entenfu ça à la radio tout-à-l’heure.
ils ont manqué à leur devoir bien fait et voilà : bien fait pour eux)
Je devrais ajouter l’édition de Port Royal par Georges Coûton et Jehasse. Mais d’ici qu’on fasse de mon bon Maître un obscur gourou…
(@Mais d’ici qu’on fasse de mon bon Maître un obscur gourou…
allons plutôt se coucher en rêvant de se réveiller sur la béquille)
MARDI 4 JANVIER 2022, 8h40, 13°, nuageux
Toute bonne société figée, bien ordonnée, respectable, sans imagination, molle, veule, inconsistante, stupide mais se voulant bien élevée, adore les farfadets tristes, type Houellebecq.
On les baptise « écrivain » ou « philosophe », ce qui est faux. Ce sont , avant tout, des « personnages »
Le Michel, c’est l’équivalent littéraire des jumeaux Bogdanov en science. N’apporte rien de durable, rien de solide, rien de durable, mais s’avère utile pour secouer le cocotier couvert de singes hurleurs,… et jaloux.
Tweet# « Côté premiers romans, on scrutera le nouveau vivier d’auteurs issus du master de création littéraire de Paris-8 Saint-Denis avec Anouk Lejczyk (Félis Silvestris, Éditions du Panseur), Adèle Rosenfeld (Les méduses n’ont pas d’oreilles, Grasset), Diadié Dembele (Le duel des grands-mères, JC Lattès) et Hélène Laurain (Partout le feu, Verdier)… »
Ce n’est pas la nuit de feu, là, c’est la tête en feu, à l’akademie de Paris.
… En attendant Houellebecq.
La La La Human Steps
ce n’est pas parce <que j'aimais M.H que j'ai continué de lire ses livres; je discutais alors avec un "ingénieur" très internet plus jeune que moi et nous confrontions notre vision du monde;l'engouement me semblait plus que questionnable
Le roman de la Rentrée que j’attends avec curiosité , c’es le Nicolas Mathieu,et son « Connemara » à paraitre chez Actes Sud le 2 février. C’est de ce côté là que peut venir une belle surprise.
le bruit autour de c’anéantir ne m’a pas dissuadée de le lire; au contraire ;mais il n’y a pas d’urgence
je trouve extraordinaire, l’engouement,l’attente,tous les effets de désir que suscite un écrivain; cela me « plait » beaucoup!et on le voit avec M.H. TANT MIEUX
“Je suis incapable de lire dix pages de Michel Houellebecq, il y a une telle complaisance sur la médiocrité de l’être humain”
Vous avez une vision très engagée de la littérature. Quel doit être le rôle de l’écrivain Alain Damasio 02aujourd’hui ?
excuses:
https://www.ernestmag.fr/2019/04/19/damasio-la-litterature-machine-a-susciter-le-desir/
« Avant que j’oublie » / Anne Pauly / Verdier 2019, prix du livre Inter 2020.
oui oui, Alexia N., je l’ai lu, recommandé par Bloom, et c’était excellent. Sur les liens et l’amour enfants/parents, ici le père, remarquable.
nouveau relevé des conteurs (JE, 4.1.22@9.00 – : évitons les majuscules)
1- pas mal, ce nouveau lien de pablito75
2- le cocotier hurleur, à faire tomber des singes passant des journées entières dans ses palmes
« – type de phrase bancale : « on en est plus avec vous à un paradoxe et une inexactitude près », il aurait fallu écrire : ON N’EN EST PLUS A… (je crois…, sinon on comprend l’inverse) -> « Plus ». comme privatif et moins comme explétif (cf. dhh)…
4 – avant « le goncourt » de 2010, il y en avait eu d’autres, c’est ceux-là qu’il faut garder dans un bon coin, le 2003 notamment, le meilleur de tous.
5- oui, on attend le Connemara, c’est de là que viendra le vent d’ouest. Nicolas, faites passer à
Matthieu, en attendant votre tour,
https://www.youtube.com/watch?v=bpEmjxobvbY
6- Rien n’est dit sur l’interprétation de Melle Superfétatoire dans le nouveau film de Nina Simone, « en attendant Bojangles » (jzmn ?)
7- « s-h-ors de moij, jmb : tu intoxik petitix (X) !…
8- il fait encore nuit à cause des nuages bien bas, cette journée ne restera pas dans mes annales nasales, je la sens pas bien.
C9 ->>> (nb /… la mise en route a du mal ce mardy mâtin… peut-être les flocons d’avoine au choco un brin périmés 2021 ?) (cause d’effet).
Le pauvre Attal n’était pas à la fête ce matin sur France Inter. Même Salamé avait le ton dur. Sent-on déjà le vent tourner à Radio-France ? Cependant le vent pourrait ne pas tourner dans la direction qu’ils imaginent (celle de Soupline), mais plutôt en faveur de l’éleveuse de chat.
JJJ: « pour l’instant, je suis sur le roman d’Abel Quentin « le Voyant d’Etampes », et j’en souris beaucoup »
je viens de le finir, JJJ, un très bon roman, de très bons moments, surtout que nous savons très bien de quoi ik cause et comment se sont passées ces choses, la marche des Beurs et tout ça, notre air naïvement idiot devant les wokes désormais, infoutus que nous sommes de savoir que répondre et surtout comment.
Car le medium a changé, le twitt vitesse nous a rattrapé et sans doute ne savons nous pas exprimer notre pensée en 144 signes. Donc, comme ce pov’Roscoff, je crains bien que nous perions ce combat. la cavalerie sabre au clair devant les panzer, ça ne le fait pas.
Salut à vous, JJJ, mention spéciale poules et chat pour le new year.
perDions
Merci Jibé, je leur transmets fissa vos 22 bons voeux !
Jibé et Janssen, je suis sur « Le mode avion » de Laurent Nunez (espérons que P.A. ne l’a pas chronicroqué sinon x va encore me tirer les oreilles). Cela transporte au-dessus des lourds nuages de l’actualité et c’est lumineux -en plus d’être drôle. Bouvard et Pécuchet obsédés de linguistique avant la bombe Saussure.
infoutus que nous sommes de savoir que répondre et surtout comment
l’ecrivain n’est pas comme clint eastwood un personnage de ses romans..
ils ont manqué à leur devoir bien fait et voilà : bien fait pour eux
un bon bourreau est appointé
mais s’avère utile pour secouer le cocotier couvert de singes hurleurs,… et jaloux
faut pas jeter les macaques havec leau de leur bain jicé..on peut être jaloux d’élonne et faire miriade..mais crois tu quil y en ait des caisses qui soit jaloux de tesla..nicolasse.. »l’inventeur »
avant la bombe Saussure,
cette bonne chaussure!
(You make my day, dear Alexia!)
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