Anéanti par le nouveau Houellebecq
S’il y a un livre qui doit être séparé du bruit qu’il fait si on veut le juger pour ce qu’il est, c’est bien tout nouveau roman de Michel Houellebecq quel qu’il soit. Evacuons donc le secret sur le contenu, l’embargo jusqu’au 30 décembre, les versions pirates numérisées, le buzz, le marketing, la rumeur, la consigne d’embargo qui précèdent sa sortie (le 7 janvier en librairie) et oublions un instant la mise en scène du texte par l’auteur même, le seul à obtenir de son éditeur un emballage selon son goût avec reliure et couverture cartonnée (sur le modèle allemand, parait-il), marque-page en tissu rouge comme un signet de reconnaissance pléiadisant l’auteur par anticipation, typographie de la titraille et mise à page adaptée à sa conception de la chose à commencer par le titre de son huitième roman anéantir (730 pages, 26 euros, Flammarion) gravé en lettres rouges sur fond monochrome blanc inspiré par « l’album blanc » de Beatles, titre qui se signale par sa minuscule initiale. Rarement un livre à prétention littéraire a été ainsi traité par son auteur à l’égal tant d’un objet que d’un produit. Des exigences de star. Mais après tout, c’est bien le moins pour l’écrivain français vivant le plus traduit et le plus lu dans le monde comme c’est partout écrit (on n’ira pas vérifier). Allez savoir pourquoi on attend beaucoup d’un roman de plus de 500 pages, on lui prête a priori une grande ambition et un vaste projet, beaucoup plus que, disons, au format-Modiano ou à l’épaisseur-Michon, c’est bête mais c’est ainsi.
Paris 2026. Dès l’incipit, on est transporté dans le couloir de la mort à proximité du néant. Ca se veut un thriller mais sur ce plan-là, Grangé, Chattam, Minier, Thilliez n’ont pas de souci à se faire. Il y a bien un mystère, avec pentagones, schémas, cercles à l’appui de la main même de l’auteur mais j’avoue n’avoir même pas cherché à le résoudre. Très vite, le pourquoi du comment, on s’en tape. Probable que l’auteur aussi. L’enquête, ou ce qui en tient lieu, nous indiffère. Tout pour les personnages, rien pour l’intrigue. Il avait du mal à convaincre lorsqu’il a expliqué, lors de sa conférence à la Sorbonne du 2 décembre dernier, que ses romans n’avaient aucune structure. C’était pourtant vrai et anéantir en témoigne : ça part dans tous les sens.
L’un des personnages principaux, pur polytechnicien dans un monde d’énarques inspecteurs des finances, nommé Bruno Juge, est ministre de l’Economie et des Finances (toute ressemblance etc). Dans le rôle du couple, on trouve Prudence, personnage saisi en pleine mutation végane, et Paul Raison son mari, un haut-fonctionnaire de la direction du Budget proche de la cinquantaine, quelqu’un qui a toujours vécu « sur le côté » dont le ressenti semble bien être celui de l’auteur. Un peu jeune pour être hanté par la mort mais c’est une question de tempérament. Son père, un ancien des services secrets, est très mal en point. Il ne peut plus parler, ce qui est regrettable car les attentats se multiplien. Les Raison, un couple parvenu à « une sorte de désespoir standardisé ». Le déclin, quoi. Air connu sous cette signature.
Ce serait une catharsis si anéantir reflétait l’époque, mais il colle à l’actualité dans ce qu’elle a de plus ordinaire, médiocre et éphémère. Si encore il nous renvoyait quelque chose de l’air du temps, mais non. Il nous parle d’une époque où les analyses de Christophe Guilluy sur l’état de la France sont jugées « déjà anciennes », forcément. Mais anéantir n’est-il pas lui-même déjà daté à l’aube de sa parution ? De quoi est-il question ? Panneaux solaires chinois, campagne électorale, psychologie des boomers, transferts de technologie, Breyvick, solitude dans la ville, taux de fécondité, écolofascisme, nihilisme, AVC, droit successoral, gène égoïste, misère sexuelle, Rassemblement national, Zemmour, guerre commerciale Pékin-Washington, rêves, chaos, Islam, biotechnologies, dentistes séfarades, le Lambeau, euthanasie, rêves encore, campagne électorale, déficit de notoriété, rêves… (inventaire non exhaustif). Et puis l’amour, toujours, dont il répète que c’est son sujet principal. Mais va-t-on vers la littérature pour retrouver le menu du 20 heures de France 2 ? Une ambiance parfois « Baron noir », espoir vite déçu car c’est bien moins cruel.
Notre compassion va aux dizaines de traducteurs d’anéantir de par le monde qui auront à préciser en note de bas de page qui sont ces Français nommés François Lenglet, David Pujadas, Jacques Martin, Michel Drucker, suffisamment importants pour être enrôlés par l’auteur dans son grand roman -sans parler de Bruno Le Maire en majesté quoique en loucedé. C’est inutilement digressif et bavard. Lorsque Paul doit consulter un chirurgien à l’Institut Gustave-Roussy, cela nous vaut une page de biographie de Marcel Grosménil pompée dans le Maitron (il faut emprunter la rue qui porte son nom pour aboutir à l’entrée du Centre de lutte contre le cancer !) et à une autre sur la politique à Villejuif (où il se trouve !). A ce train là, on est soulagé à la pensée du pensum de 1500 pages auquel on a échappé.
Tout cela est si français mais d’une France tellement plate, banale, quotidienne. On s’ennuie ferme comme Aurélien avec tout et tous page 215, sauf que nous, on a encore 500 pages à s’enquiller. Car on a tout de même envie de savoir où il veut en venir à défaut de découvrir ce que ce roman dit d’autre que ce qu’il raconte – mais que raconte-t-il au juste, c’est peut-être le vrai mystère. Les houellebecquiens les plus inconditionnels (autrefois les Inrocks, désormais le Monde), aiment à le faire passer pour un écrivain versé dans la sociologie sauvage mais il en faudrait plus pour que anéantir connaisse le destin des Choses. C’est d’une lecture peut-être plaisante, entendez que ca se lit sans déplaisir malgré l’ennui qui gagne le lecteur, car Houellebecq sait faire ; il a du métier ; mais à côté du livre de Georges Perec, c’est insignifiant. Pourtant, si l’on s’accroche, c’est que tout de même, il ne s’agit pas de n’importe qui mais de Houellebecq et l’on n’imagine pas qu’il va nous balader si longuement et si longtemps pour rien, sans but et sans objet. On veut savoir où il veut en venir car on n’envisage pas de quitter ce livre avec le goût amer du « tout-ça-pour-ça ». Et pourtant…
D’aucuns voudront une fois de plus faire passer Michel Houellebecq pour un styliste, ce qu’il n’est en rien (la charité bien ordonnée du début d’année nous fait soudainement oublier le nom de celui qui le compara jadis au cardinal de Retz). Cela ne signifie pas que son roman soit dépourvu de style, loin de là. Mais l’écriture d’anéantir, plus encore que dans ses précédents romans, est si platement conventionnelle qu’elle endort. Rester vivant, certes, mais surtout rester éveillé, ce qui ne va pas de soi (il ne suffit pas, comme l’un de ses personnages insomniaques, de regarder des documentaires animaliers la nuit à la télé). Le ton est à l’image de ce qu’est devenu son radical nihilisme d’autrefois : mou. A croire que l’auteur s’est embourgeoisé en se mariant ; pourquoi aurait-il été le seul à y échapper, après tout il est humain.
Mais rassurez-vous, il y en aura toujours pour se pâmer devant cette « écriture blanche » quand bien même son livre ne paraitrait pas chez Minuit. Au fond, cette fois, elle ressemble à sa reliure. Une chose d’autrefois avec le charme du suranné et ses limites aussi. Généralement, l’humour, l’ironie, le goût de la litote, le second degré le sauvent :
« Elle avait même le souvenir demi-honteux de s’être, le soir de son inscription à la fac de médecine, masturbée devant une affiche de Bernard Kouchner en meeting qui décorait sa chambre, ce n’était pourtant qu’un meeting du parti socialiste, il n’avait même pas de sac de riz ».
Sauf que cette fois ils se font plus rares, étouffés par le souci didactique et c’est lourd, mais lourd… Un exemple parmi d’autres :
« Ce n’étaient pas seulement les oiseaux qui se cachaient pour mourir, selon le titre francisé du célèbre best-seller d’une auteure australienne, qui avait par ailleurs donné lieu à une série télévisée encore plus célèbre et plus rémunératrice ». (p. 656).
Bizarre que les correcteurs aient laissé passer « les images saint-sulpiciennes de la Vierge » (p. 252) alors que, depuis La femme pauvre de Léon Bloy, lorsque l’adjectif se veut péjoratif, « sulpicien » suffit. Des incongruités (« l’amour ou un sentiment analogue ») y côtoient des formules à l’emporte-pièce (« Une amélioration des conditions de vie va souvent de pair avec une détérioration des raisons de vivre, et en particulier de vivre ensemble ») pour ne rien dire des jugements expéditifs et des généralités lorsque le moraliste se permet, par exemple, de liquider en un paragraphe les recherches de René Girard sur le désir mimétique : « Amusante sur le papier, cette théorie est en réalité fausse ». La postérité de l’anthropologue ne devrait pas s’en remettre.
Les cent dernières pages tranchent avec le ton qui les précède. A la fois plus nerveuses, plus surprenantes, plus poignantes. Forcément, un cancer de la mâchoire. Une descente aux enfers décrite dans le détail. Là au moins, on se dit qu’un peu de transcendance pourrait se glisser, ou à défaut, l’ombre d’une spiritualité, mais non, rien. Ceux qui, depuis quelques années, avaient crû pouvoir l’annexer, avec sa collaboration médiatique, au catholicisme, sinon à l’Eglise voire au christianisme, en seront pour leurs frais (voir Misère de l’homme sans Dieu. Michel Houellebecq et la question de la foi, sous la direction de Caroline Julliot et Agathe Novack-Lechevalier, 416 pages, 14 euros, Champs/Flammarion). De son propre aveu, de ce côté-là, il a « un peu laissé tomber ». On chercherait en vain l’ombre de Huysmans dans les couloirs de Bercy. Dommage, on n’aurait pas fait le voyage pour rien. Au lieu de quoi on en ressort anéanti. Et l’on ignore toujours pourquoi anéantir doit impérativement s’écrire avec une minuscule initiale, ce qui n’est d’ailleurs pas le cas à l’étranger au vu des couvertures de Annientare, Vernichten, Ekmidenizo…
A part ça, réjouissons-nous, une belle rentrée littéraire s’annonce.
(Photos Fabrice Coffrini et Philippe Matsas, dessin MrT-cartoons)
1 270 Réponses pour Anéanti par le nouveau Houellebecq
par ailleurs..que fout pas la grosse pouffiasse avec la photo du haut..et d’où elle vient..et qui montre qua la prochaine ouelbeque va exposer ses mégots et ses durex sanctifié par sa personne..comme -saint- supilcerie avec pruneau à la rénateau
– continuer sans accepter – est un choix dont je ne connais pas tous les détails mais je crois que la formule a un bel avenir.
(You make my day, dear Alexia!)
..elle fait toutes ses nuits sans nous
la formule a un bel avenir
bien..mais si la vie avait jamais compté sur les assentiments..y’aurait que ouarène buffète uelbeque stefane pladza et renateau sur terre..ça srait lparadis
je crois que la formule a un bel avenir
même sans laccepter etc..t’as pas honte?
qui se souvient de ce héro of eurli internet..un condamné à mort si mes souvnirs sont bon
https://www.youtube.com/watch?v=7GPB1sjEhIQ
« all your base..your base..belong to us »
Bonne année Soleil vert frise le pléonasme. Je viens de m’en souvenir mais l’intrigue du film (pas du livre) se déroule en 2022.
Merci de ce lien lmd! 😉
« L’installation de Michel Houellebecq est une des pièces phares de la Manifesta, que se sont empressés de venir découvrir les premiers visiteurs qui assistaient à l’événement avant son ouverture officielle au public samedi 11 juin.
« J’ai été très surprise, de manière positive. Je suis presque jalouse », a commenté Jorinde Voigt, interrogée sur ses premières impressions dans la salle d’exposition. Cette artiste, âgée de 39 ans, qui présente elle-même une série de dessins pour l’événement, a salué ce choix de mode de communication pour raconter quelque chose sur lui-même autrement que par les mots. »
Le lien, à nouveau :
lmd dit: à
les pléonasme en merguez finment haché havec bien du piment et des chicons braisés front bien plusieurs dèzes et good night 4 dédeye grün..y donnera ta bite a son chat..y’a pas d’intrigue haucune qu’elle dirait alesquia
« Snuffed Out, Wiped Out », or Welbeck by Passou.
Même les grands écrivains ont leurs faiblesses. C’est pourquoi je ne lirai pas. Je reste sur mes préférés (Plateforme, La Carte & Sérotonine).
En revanche, le dernier Vuillard est bien tentant, qui traite de l’Indochine, où repart demain mon vieux complice P.
A quand un roman sur la presque guerre entre la France et l’Angleterre en Syrie en 1945? Le passé national, dont se gargarisent certain(e)s névropathes est loin d’être toujours reluisant.
rien pour CLEMENT?
« « …il est enterré au cimetière des chiens, port Van Gogh, à Asnières. Pour trouver sa tombe, à partir de l’entrée, il faut suivre la Seine, sur la gauche ; elle est à peu près aux trois quarts de la longueur du cimetière. (Ci-joint…) une photo de la stèle » : Michel Houellebecq. * M.H: « Le 25 mars 2011 au milieu de la nuit, Ton coeur s’est arrêté de battre Et le …
https://laregledujeu.org/arrabal/2012/03/25/2949/clement-houellebecq-est-mort-il-y-a-un-an/
Plutôt que de lire le dernier Houellebecq, don on peut aisément se dispenser, il vaut mieux, à mon humble avis, lire Du Bellay, Montaigne, Malherbe, Scarron, Molière, Sévigné, Bussy-Rabutin, Corneille, Méré, Pascal, Retz, Racine, Bourdaloue, La Fontaine, Bossuet, Bouhours, La Rochefoucauld, Fléchier, Fénelon, Boileau, Saint-Evremond, Fontenelle, La Bruyère,Saint-Simon, Bayle, Montesquieu, Massillon, Lesage, Marivaux, Voltaire, Rousseau, Laclos, Diderot, Chamfort, Constant, Joubert,
Chateaubriand, Vigny, Gautier, Nerval, Dumas, Lamartine, Musset, Hugo, Stendhal, Balzac, Joseph de , Flaubert, Maupassant, Labiche, Michelet, Fromentin, Barbey d’Aurevilly, Feydeau, Barrès, Bloy, Péguy, Alain, Gide, Valéry, Claudel, Montherlant, Martin du Gard, Morand, Jacques Perret, Chardonne, Saint-John Perse, Paulhan, Yourcenar, F. Dard, Cioran…entre autres. Y a de quoi lire.
On peut même lire des dictionnaires de A à Z . Lecture utile et plaisante. Si possible des dictionnaires avec citations d’auteurs.
CE QU4IL FIT DE SON ARGENT
la tombe de Clément. La stèle est en marbre gris avec sa photo et la date de sa naissance et de son décès (2000-2011). L’histoire d’amour de Michel et Clément avait commencé en 2000, lorsque l’écrivain l’acheta avec ses premiers droits d’auteur.
Sur l’épitaphe, fleurie de primevères rouges, on peut lire :
« Le 25 mars au milieu de la nuit,
Ton cœur s’est arrêté de battre
Et le monde est devenu plus terne.
Dors, mon petit bonhomme.
Que de belles escapades
Que d’amour.
Merci petit Clément »
Clément…Peut-être faut-il préciser qu’il s’agit du chien…
MON HISTOIRE BELGE/
« La bande dessinée belge n’a rien produit, en matière d’aventures, qui égale la grande période de Pif le Chien », écrit Michel Houellebecq dans « L’Idiot international » n°77 en mars 1992. « En 1970 je jouais encore aux billes, je lisais Pif le Chien. La belle vie. Puis une série de catastrophes s’est produite, et j’ai plus ou moins cessé d’être un enfant ».
(« L’Idiot international » n°77 en mars 1992 à l’occasion de la sortie de Pif-Gadget, n° 40 dans les kiosques)
Patrice Charoulet, votre liste d’auteurs à lire (plûtot que Houellebecq que vous n’avez pas lu bien que vous annonciez militer contre) ne comporte guère de surprise sauf Jaques Perret. J’espère que c’est le Perret du vistemboir plûtot que le Perret philologue. Que ce soit l’un ou l’autre, le voilà promu au rang de super vedette. Tant mieux, Jacques Perret a été enterré à cause de son caractère indubitablement réactionnaire alors qu’il n’est jamais con mais toujours généreux et n’a jamais fait de mal à personne.
(F Dard fermant la liste avec Cioran m’étonne plus).
La misère affective n’ est peut-être pas que dans les romans chers à Marie Sasseur. ( il serait intéressant de savoir pourquoi ce theme là lui parle tant. Il est permis d’avoir quelques idées…)
M.H.ANEANTI/
3 Aujourd’hui encore, lorsqu’une femme refuse de me toucher, de me caresser, j’en éprouve une souffrance atroce, intolérable ; c’est un déchirement, un effondrement, c’est si effrayant que j’ai toujours préféré, plutôt que de prendre le risque, renoncer à toute tentative de séduction. La douleur à ces moments est si violente que je ne peux même pas correctement la décrire ; elle dépasse toutes les douleurs morales, et la quasi totalité des douleurs physiques que j’ai pu connaître par ailleurs ; j’ai l’impression à ces moments de mourir, d’être anéanti, vraiment. Le phénomène est simple, rien ne me paraît plus simple à expliquer ni à interpréter ;
https://www.francetvinfo.fr/culture/livres/roman/houellebecq-10-curiosites-glanees-dans-son-cahier-de-l-herne_3376335.html
Je me conforme sans délai aux instructions de Monsieur Charoulet. Je commence par Bourdaloue, à cause de la tarte, et enchaîne avec les œuvres complètes de Morand.
A tout-à-l’heure.
Je suis désolé, avec ce bouquin de Welbec, en ce début d’année de l’an de Grâce 2022 j’ai complètement oublié de vous souhaiter une bonne fin du monde.
« La misère affective n’ est peut-être pas que dans les romans chers à Marie Sasseur. »
ça c’est sûr ! elle est aussi dans les romans chers à greubou.
« Aujourd’hui encore, lorsqu’une femme refuse de me toucher, de me caresser, j’en éprouve une souffrance atroce, intolérable »
c’est sûr qu’il aurait le physique de Brad Pitt il nous ferait moins chier avec ses états d’âme.
comme quoi la littérature ça tient à pas grand chose.
le plus drôle c’est qu’après les sociologues se penchent sur son oeuvre, il la décortique pour lui donner un sens profond.
alors que le seul truc à comprendre dans ses bouquins c’est qu’ils sont écrits par un auteur moche comme un cul.
après la question à se poser est de savoir s’il est bien utile de déprimer et voir la vie en noir simplement parce qu’on est moche comme un peu.
t’en penses quoi greubou ?
c’est une question littéraire que je te pose c’est pas pour coucher avec toi !
Si M. Houellebecq avait Clément, dont tout le monde se souvient dans la fin du roman » la possibilité… », moi j’ai sur ce blog un putain de clebs , un marteau complet, qui fait tout pour me tenir la jambe .
… En attendant Houellebecq pour les nécessiteux :
dont tout le monde se souvient dans la fin du roman » la possibilité… »
»
pas moi : je me mélange dans les débuts et les fins des bouquins de welbec.
d’ailleurs on pourrait faire un patchwork avec ses livres : prendre le début de l’un, le milieu d’un autre, la fin d’un autre… au final ça tiendrait peut-être mieux la route.
Le cancer à la mâchoire le plus célèbre de l’histoire, celui de Freud.
Trop de pipe (s).
La cancer de la mâchoire, plutôt.
..ta gueule keupu
moi haussi chus un grand fan de musique de fime porno térezoune
un marteau complet, qui fait tout pour me tenir la jambe
c’est salissant comme lamour l’est souvent qu’elle dirait bonne clopine..
terezoune : « moi j’ai sur ce blog un putain de clebs , un marteau complet, qui fait tout pour me tenir la jambe »
»
c’est qui ? c’est Mr Court ? pas grave terezoune il est pas méchant.
par contre s’il y en a un qu’il faut se méfier c’est greubou.
t’as déjà pensé à consulter pour tes problèmes de délires de persécution ?
« ..ta gueule keupu »
yep !!! c’est mon premier de l’année mazel tov !
alors que le seul truc à comprendre dans ses bouquins c’est qu’ils sont écrits par un auteur moche comme un cul
comme dans la bible quoi
« qu’elle dirait bonne clopine.. »
»
greubou j’ose même pas te demander comment tu sais qu’elle est bonne.
greubou la bible a été écrit par un type moche comme un cul ?
t’imagines un peu toutes ces années assidues de catéchèse assidue que tu balances assidument d’un revers de la main hassidique ?
Le « Joseph de… » de M. Charoulet (cf sa liste) renvoie-t-il à M. de Pesquidoux, en son temps tenu pour le « Virgile gascon » ?
C’est en reprenant ce roman de Michel Houellebecq, histoire de vérifier si ma mémoire ne me trahissait pas, -dans ce roman le compagnon du narrateur s’appelle Fox-, le hasard a fait s’ouvrir la page presque blanche, de » La possibilité d’une île « , où il est écrit:
« Pour Antonio Muñoz Ballesta et sa femme Nico, sans l’amitié et la grande gentillesse desquels l’écriture de ce livre n’aurait pas été possible »
Gracias, Señor, por haber tenido la amabilidad de confiar a rdl su comentario sobre esta próxima novela de M. Houellebecq.
greubou je peux te poser une question : il te reste quoi de ton enseignement religieux ?
tu crois que c’est vraiment facile de faire passer un chameau par le chas d’une épingle à linge ?
A quand un roman sur la presque guerre entre la France et l’Angleterre en Syrie en 1945? Le passé national, dont se gargarisent certain(e)s névropathes est loin d’être toujours reluisant
si tu lançais l’idée sur patreon kabloom..du french bashing qui s’en lasse?..préfèrer langliche..une traduction pour les névropate fra la balle..dirfilou préfère netflisque
MICHEL ET Clément:
https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRe1gyufJdNeEZ7RhlrIG00dYLUmHdnRPHTlA&usqp=CAU
terezoune tu nous gonfles avec ton welbec !
ce type il allait baiser des gamines de 12 ans aux Philippines !
t’as fait quoi de ton achetague mitou ?
sérieux ! quand c’est Matznef tu mets la blogapassou à feu et à sang alors qu’il allait attendre ses copines à la sortie du lycée alors que là ce type il va les attendre à la sortie de la maternelle et ça passe comme une lettre à la poste ???
non c’est plus possible ! là on marche sur la tête !
Lire Queneau, Bove, Corbière, Toulet, Suarès, Théophile de Viau, Sartre, Kessel, Gary, Cendrars, Lautréamont, Perec, Radiguet, les surréalistes, Bouvier, Rouaud, plutôt que certains des soporifiques listés plus hauts.
Merci à M. Antonio Muñoz Ballesta
Pour ce message :
antonio muñoz ballesta dit: à
en mi opinión anéantir es un análisis científico y filosófico de la condición humana actual , una de las mejores novelas de Michel Houellebecq, junto con las partículas elementales y la posibilidad de una isla, y, por tanto, una prueba más de que Michel Houellebecq es merecedor , sin duda, del premio Nobel de literatura ya !
comme si avec tout le temps qu’on passe à critiquer les livres on avait en plus le temps de les lire.
on croit rêver.
las partículas elementales… la posibilidad de una isla…
c’est beau welbec en allemand.
« en 2020 je perds toutes mes dents
en 2022 je fais ramadan.. »
yo ça daccord c’est du bon flow qu’il dirait meussieu courte
les pellicules particulaires c’est un shampoing ?
greubou il en perd son latin !
c’est pas 2022 c’est MMXXII !
Dans une tribune publiée dans Le Figaro, l’écrivain Michel Houellebecq s’emporte contre le projet de dépénaliser l’euthanasie en dénonçant la référence à la « dignité » au sens de Kant, invoquée par les défenseurs de l’euthanasie, qui laisseraient entendre que ceux qui veulent continuer à vivre dans ces conditions ne seraient pas dignes… Que pensez-vous de cette critique ?
Elle est justifiée, et on n’a pas besoin, pour en tomber d’accord, d’être kantien (ce que je ne suis aucunement) ! J’ai toujours dit que parler de « mourir dans la dignité » était maladroit. Si tous les êtres humains sont égaux en droits et en dignité, comme nous le pensons presque tous, il est exclu que cette dignité dépende des conditions de vie ou de mort. Le cancéreux en phase terminale a exactement la même dignité que vous et moi, qu’on l’aide à mourir ou pas. La dépénalisation de l’euthanasie n’est pas une question de dignité, mais de liberté, face à sa propre vie ou à la souffrance. C’est pourquoi elle est tellement importante. La dignité ne dépend pas de nous. La liberté, si !
https://www.philomag.com/articles/andre-comte-sponville-la-depenalisation-de-leuthanasie-nest-pas-une-question-de-dignite
Santé publique France se préparerait à annoncer près de 300 000 contamination ces dernières 24h.
personnellement, je ne comprends pas ce qu’entend C.SPONVILLE par « dignité » !
Dignitas est une association suisse fournissant des services d’aide au suicide1 et basée dans le village de Forch, sur les bords du lac de Zurich2. Elle a notamment aidé Sir Edward Downes, chef d’orchestre britannique, et son épouse à mettre fin à leur vie en juillet 20093.
Dans le roman de Michel Houellebecq, La Carte et le Territoire (2010), le narrateur Jed se rend au siège de Dignitas pour vérifier que son père s’y est bien rendu comme il l’avait annoncé.
Mon chat aime Morand.
toujours belge:
L’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) est une association française prônant « le droit pour chacun d’avoir une fin de vie conforme à ses conceptions personnelles de dignité et de liberté ». En pratique, l’ADMD entend obtenir en France le vote d’une loi légalisant l’euthanasie et l’aide au suicide (suicide assisté) ainsi que l’assurance d’un accès universel aux soins palliatifs. Une loi qui serait calquée sur celle qui existe déjà en Belgique depuis 2002.
La dignité humaine, philosophie, droit, politique, économie, médecine
À partir de l’ouvrage coordonné par Thomas De Koninck et Gilbert Larochelle
Pierre Bonjour
Dans Reliance 2006/2 (no 20), pages 85 à 92
https://www.cairn.info/revue-reliance-2006-2-page-85.htm
Que pensez-vous de cette critique ?
»
si je puis, en tant qu’éminent spécialiste de Kant, réponse à cette question ?
que penser de cette critique ? d’abord il faut définir s’il s’agit d’une critique de la raison pure ou bien bien d’une critique de la faculté de juger ? ensuite il convient que l’élève poursuive sa dissertation en opposant la question du droit à mourir dignement à celui de vivre dignement, en effet vu la quantité phénoménale de gens sur cette terre qui ne vivent pas dignement à la limite on s’en tape de savoir s’ils vont enfin atteindre à cette dignité le jour de leur mort alors qu’ils n’auront pas vue la queue de l’ombre de cette dignité durant toute leur vie, à partir de là l’élève pourra citer quelques exemples car il est toujours bon de citer quelques exemples dans une dissertation ne serait-ce que pour égayer un peu la vie de son correcteur et ainsi lui redonner un peu de dignité, en conclusion l’élève pourra donner quelques chiffres sur le déficit de la sécu pour montrer que si les gens se tapent de la dignité de leur prochain ils payent des impôts pour renflouer le trou de cette putain de sécu et que limiter les soins de quelques milliers de personnes permet d’économiser un max de pognon ! et là enfin on passe aux choses sérieuses en basculant de Kant aux 2 John Rawls et Dewey, pour hop ! passer à Adam Smith et Schumpeter et là on entre dans la vision comptable de l’euthanasie à côté de laquelle la vision comptable de la littérature c’est du pipi du chat ! et hop ! on passe à la conclusion et ciao ! ça c’est 19/20 assuré les doigts dans le nez ! avec ces 19/20 le gamin il fait une école de commerce et il finit trader à New York ! merci qui ? merci Kant !
« 300 000 contamination ces dernières 24h »
»
D. j’espère que tu portes le masque sur le blogapassou pour pas nous contaminer !
si le blogapassou devient un cluster passou il est obligé de fermer. c’est la loi.
cives plaudite Puck
>cives plaudite Puck, à propos de Kant
>D, vous êtes mur pour lire La mort vivante de Stefan Wul
https://images.noosfere.org/couv/p/pp5038-1979.jpg
J’ai lu je crois la plupart des les romans de Houellebecq .
Et jusqu’à Serotonine que j’ai trouvé mediocre ,sorte de plat préparé industriel cuisiné a la sauce Houellebecq, j’ai aimé. Plus ou moins certes, mais ,dans l’ensemble j’ai trouvé qu’il posait sur le monde un regard intelligemment décapant et qu’il trouvait pour le dire un style efficace.qui lui est propre
Mais de cette impression un peu mitigée se détache un de ses romans que j’admire sans réserve , parce qu’il m’a bouleversé comme un cri par sa force et sa verité ,et dont je m’etonne qu’il n’ai pas encore eté cité sur ce fil, c’est « l’extension du domaine de la lutte ‘‘
H y traite avec brio et empathie d’ une situation cruelle , le drame d’être moche , cette inégalité sociale irrémédiable à laquelle aucun projrt politique ne peut remédier , et qui condamne ceux qu’elle affecte a ne pas susciter d’attirance, à ne pas inspirer l’amour ,à être ainsi exclu d’un volet essentiel d’une vie normale et qui peut les pousser a ne plus accepter de continuer à vivre cette vie amputée
D, vous êtes mur pour lire…
»
alors là, permettez-moi d’en douter, s’il y en a un qu’est pas mur ici c’est bien D. cela dit bien moins que greubou je veux dire bien plus qui lui n’est alors pas mur du tout.
c’est sûr que quand on est une grande fan de l’Etranger de Camus alors là question écriture plus blanche que blanche tu meurs tout est permis…
{Merci à M. Antonio Muñoz Ballesta).
Voilà des applaudissements généreux (ou de confiance).
https://www.youtube.com/watch?v=kGXwpi2VuXc
je pensais qu’avec Camus on avait touché le fond, ben non welbec c’est encore pire.
à chaque fois que j’ai lu un livre de welbec il a fallu que je me retape 3 chapitres de Tristram pour retrouver la foi.
DHH
je crois que cet aspect est très difficile à traiter;il ne faudrait pas sous estimer que « la beauté » n’est pas un avantage qui suscite l’attirance; (je cherche des liens)
Chevillard reviens ils sont devenus fous !!!!
Certains faits pourraient même te surprendre, car ils ont tendance à prouver que la beauté n’est pas une bénédiction, mais plutôt, au contraire, un poids à porter chaque jour.
Chez Sympa, nous sommes conscients que l’apparence physique ne fait pas tout, et visiblement, beaucoup de gens beaux sont d’accord avec nous.
1. Les gens du même sexe aiment les rabaisser, et bien souvent, ils y parviennent
« il ne faudrait pas sous estimer que « la beauté » n’est pas un avantage qui suscite l’attirance »
sans les doubles négations ça donne quoi ?
vous voulez dire qui ne suscite pas l’attirance ?
Une étude a démontré que les gens se sentent menacés par la beauté, et que, quand ils rencontrent quelqu’un de vraiment attirant physiquement, ils peuvent avoir l’intention, consciente ou non, de le rabaisser, par peur ou par jalousie. Par exemple, si quelqu’un de sublime se présente à un entretien d’embauche et que l’entrevue est réalisée par un individu du même sexe, il est probable que la personne n’obtienne pas le travail, car celui qui mènera la rencontre se sentira menacé.
Au bureau, les individus font circuler des rumeurs à propos des gens beaux parce qu’on ne peut pas changer leur apparence, mais on peut en revanche détruire leur personnalité et les affaiblir. D’aucuns affirment même que les autres humains deviennent de plus en plus compétitifs avec eux, car ils projettent leur insécurité sur eux. Ils font donc en sorte d’éloigner cette “concurrence” par peur, par jalousie, ou pour toute autre raison. Les gens beaux se sentent donc constamment jugés, comme s’ils étaient sur une scène.
Les psychologues appellent ce phénomène “l’effet halo” : les gens associent toutes sortes de qualités à la beauté. Pire, l’entourage des personnes belles exige bien plus de ces dernières. Ainsi donc, on s’attend à ce qu’ils aient une vie de famille épanouie, un travail stimulant et une vie facile. Tout le monde espère beaucoup d’eux en termes de situation personnelle, professionnelle et de carrière. Naturellement, tout doit être au même niveau que leur apparence physique !
Mais ce n’est pas si simple en réalité, car tout le monde peut échouer, même les gens charmants. Mais le pire, c’est qu’ils seront durement jugés pour cela. De plus, ils n’ont pas le droit de se plaindre. Beaucoup de gens croient que, si quelqu’un est attirant, toutes les mauvaises choses qui lui arrivent sont de sa faute et ne dépendent que de lui.
3. Les beaux sont plus intelligents que les autres, même si certains croient le contraire
Commença je suis mur ? Tout ça parce qu’on sait que j’ai des briques. Roooohh.
Très émouvant la tombe du petit chien de Houellebecq. Cela montre sa grande sensibilité.
sûr qu’il y a des écrivains que limite il faudrait que les lecteurs se cotisent pour lui payer une chirurgie esthétique pour se refaire la tronche.
si welbec a la tronche qu’il a c’est à cause de la clope, et la clope chez welbec c’est un substitut au sein maternel, un truc qui remplace le téton manquant.
résultat il aurait suffit que sa mère l’allaite jusqu’à l’âge de 8 ans et hop ! il nous aurait écrit des bouquins qui tenaient la route !
comme quoi la littérature ça tient à rien.
Pierre Assouline, avez-vous déjà eu un petit chien au cours de votre vie ?
Etre beau facilite-t-il la réussite ? A-t-on plus de succès professionnel avec un physique avenant ? La beauté est à double tranchant, prévient Sophie Cheval, psychologue clinicienne, auteure de Belle autrement (Armand Colin, 2013). Entretien avec cette thérapeute spécialiste des souffrances liées à l’apparence physique.
A quoi tient la beauté ?
Avant de savoir si la beauté favorise la réussite, encore faut-il la définir. Les critères esthétiques valorisés fluctuent énormément d’une période de l’histoire à l’autre. Et ils fluctuent également dans l’espace, en fonction de critères socioculturels.
Les canons esthétiques de notre époque agissent comme des injonctions. Chercher à s’y conformer aboutit bien souvent à une souffrance. Il importe de souligner que ce sont des injonctions qu’on nous inflige – et pas qu’on s’inflige ! Dans la chanson Foule sentimentale d’Alain Souchon, il y a cette phrase très juste : « On nous Claudia Schiffer (…) / Ah le mal qu’on peut nous faire… » : notre environnement nous présente des normes de beauté qui influencent notre comportement.
« On nous “vend” l’idée qu’une personne belle est une belle personne, ce qui induit qu’elle est forcément heureuse, épanouie, talentueuse et parée de toutes les vertus » Sophie Cheval, psychologue
Il est d’autant plus difficile de correspondre à ces critères de beauté qu’ils sont toujours paradoxaux : dans les périodes d’abondance, les morphologies fluettes sont valorisées, et les morphologies plus rondes le sont pendant les périodes de « disette » et de restriction.
le monde
etc!!
Quand je pense qu’omicron aura eu raison d’omacron. C’est terrifiant.
Moi qui suis très veau, et alii, je peux bous dire que oui, ça sert dabs la vie d’eyre veau.
Je n’affirme pas cela à la va-vite.
CHERE DHH,
ainsi se conclut un article sur « le charme physique:
« Note : on ne veut évidemment pas faire ici de généralisation ni de jugement de valeur, juste susciter la réflexion!
comme je vous l’ai souvent rappelé, il y a des préjugés très partagés;
j’ai connu des femmes qui avaient tôt misé sur leur corps et sa beauté à entretenir ,avec des dépenses soutenues; à peine si elles ont appris à lire et à écrire; dans une vie collective, elles ont connu tous les ravages de la jalousie la plus « insensée »
et alii dit:
« la beauté » n’est pas un avantage qui suscite l’attirance; (je cherche des liens)
Tous aux abris ! Avalanche en vue…
eh bien, chère ALEXIA cherchez vous même et regardez autour de vous! épargnez nous les contes de fée! merci
The Smuggler :
« Cela montre sa grande sensibilité. »
»
avec les animaux peut-être, mais pas avec les secrétaires et les petits employés, et tout ce qui concerne d’une façon générale le secteur tertiaire de l’économie, le petit esprit franchouillard par excellence : il aime bien les paysans, mais c’est un anti tertiaire.
quelqu’un a-t-il lu des explications satisfaisantes de « l’apparence » des jumeaux récemment décédés?
« juste susciter la réflexion! »
»
c’est ça le plus drôle : l’objectif et son résultat.
parce que quand on lit la suite même dans l’émission reality show la plus nulle personne se sort des banalités aussi connes.
et plus drôle encore, tout le monde dit : ah ouai la belle réflexion, c’est fou personne n’y avait pensé.
faut lire :
« j’ai connu des femmes qui avaient tôt misé sur leur corps et sa beauté à entretenir ,avec des dépenses soutenues; à peine si elles ont appris à lire et à écrire; dans une vie collective, elles ont connu tous les ravages de la jalousie la plus « insensée » »
et avec Onfray c’est pareil : plus il sort des trucs nuls et plus les gens sont ébahis.
on va pas me dire qu’il n’y a pas un problème quand même !
DES « savants jumeaux » à propos desquels on parla-à tort semble-t-il- d’acromégalie; mais c’est resté « secret »!
« Je ne sers à rien, dit Bruno avec résignation. Je suis incapable d’élever des porcs. Je n’ai aucune notion sur la fabrication des saucisses, des fourchettes ou des téléphones portables. Tous ces objets qui m’entourent, que j’utilise ou que je dévore, je suis incapable de les produire ; je ne suis même pas capable de comprendre leur processus de production. Si l’industrie devait s’arrêter, si les ingénieurs et techniciens spécialisés venaient à disparaître, je serais incapable d’assurer le moindre redémarrage . Placé en dehors du complexe économique-industriel, je ne serais même pas en mesure d’assurer ma propre survie : je ne saurais comment me nourrir, me vêtir, me protéger des intempéries ; mes compétences techniques personnelles sont largement inférieures à celles de l’homme de Néanderthal. »
(extraits des pellicules particulières)
quizz :
« À Charny il ne reste qu’une épicerie ; mais la camionnette du boucher passe le mercredi, celle du poissonnier le vendredi ; souvent, le samedi midi, sa grand-mère fait de la morue à la crème. Michel est en train de vivre son dernier été à Charny, mais il ne le sait pas encore. En début d’année, sa grand-mère a eu une attaque. Ses deux filles, qui vivent en banlieue parisienne sont en train de lui chercher une maison pas trop loin de chez elles. Elle n’est plus en état de vivre seule toute l’année, de s’occuper de son jardin »
Camus, welbec ou Bernadette Lafon ?
et ça c’est un extrait de Soumission :
« Je n’avais aucun projet, aucune destination précise ; juste la sensation, très vague, que j’avais intérêt à me diriger vers le Sud-Ouest ; que, si une guerre civile devait éclater en France, elle mettrait davantage de temps à atteindre le Sud-Ouest. Je ne connaissais à vrai dire à peu près rien du Sud-Ouest, sinon que c’est une région où l’on mange du confit de canard ; et le confit de canard me paraissait peu compatible avec la guerre civile. Enfin, je pouvais me tromper. «
La liste de Patrice Charoulet n’est pas exhaustive. Je n’y trouve pas un roman, qui depuis l’âge de 14 ans, est un de mes préférés.
Quant à « l’éreintage » de MH, et cette remarque se veut en sympathie, je me demande si PA lui-même en est satisfait. Ce n’est pas un exercice facile, plus difficile en tout cas que la critique favorable, et surtout, impression personnelle, cela ne me semble pas le naturel et le talent de notre hôte. Au passage, que vient faire là-dedans le coup de pied au mariage (« le -seul- à y échapper… »)?
un problème?
» Depuis 15 ans, la chirurgie esthétique connaît ainsi un incroyable essor. »
Le Houellebecq originel chez Paul Edel
C’est vrai que le secteur tertiaire devrait susciter des Odes, vu la poésie qu’il véhicule.,,
@Et alii
vous avez raison lorsque vous dites que la beauté n »‘est pas toujours un avantage .
j’ai eu une amie qui souffrait de sa beauté parce q qu’elle occultait chez ses interlocuteurs la capacité de mesurer son intelligence, effectivement assez remarquable, et dont elle aurait aimé que cela soit ce qu’on remarque chez elle .
Mais mais ce qui est sur c’est qu’un physique disgracieux ,qui n’attire pas , est toujours un handicap pour qui aspire à une vraie vie sentimentale
Et c’est peut etre plus douloureux pour une femme,qui dans ce cas est simplement ignorée , que pour un homme que dans la même situation on repousse
(originel ne pouvait qu’évoquer il peccato originale et attirer illico presto le doctrinaire Mr. Synthétique)
DHH, parfaitement d’accord avec vous, j’ai apprécié H. jusqu’à Sérotonine et j’avais aimé Extension du domaine de la lutte qui nous l’a fait découvrir comme un auteur particulier. Un écrivain incontestable.
Je me demande, depuis Sérotonine, s’il travaille vraiment. Je ne sais pas où il va et s’il le sait, mais je crois qu’il faudrait qu’il s’arrête. Je lirai son dernier si on me le prête; je n’aime pas, déjà, cette sorte de caprice de star qui lui fait demander cette jaquette cartonnée et ce signet à son éditeur, encore moins ce pataquès autour de « la » sortie de l’année (dont il est devenu coutumier). Bref, il me gonfle.
« Le mode avion » de Laurent Nunez »
J’avais repéré ce titre Alexia, je vais donc me faire un plaisir de le lire. Merci du com’.
Celebrate Public Domain Day With Works by Kafka, Hemingway, and Zora Neale Hurston
https://hyperallergic.com/703299/celebrate-public-domain-day-2022/
« Tous ces objets qui m’entourent, que j’utilise ou que je dévore, je suis incapable de les produire ; je ne suis même pas capable de comprendre leur processus de production. »
A développer :
Arthur Clarke disait que « Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie. » Au fond nous sommes des primitifs; la seule différence avec un néanderthalien c’est que nous savons qu’un smartphone est un objet technologique. Mais nous sommes aussi démunis que lui devant la prouesse technologique qu’il représente. Au fond la société de consommation est une sorte de médiévalisme. Un relativement petit nombre (les prêtres) détient le Savoir, un grand nombre – les barbares – est tenu à l’écart.
« Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie. »
C’est la question du post-ancien qui se joue maintenant. Quelqu’un parmi nous a connu le monde ancien (les Années Cinquante, évidemment), et c’est peut-être pour ne pas gêner nos contemporains le plus sensibles — ceux qui ont oublié la leçon de McLuhan et de Dwight MacDonald — que quelques âmes gentilles ont imaginé l’approche post post-moderne, mais c’est de post-ancien qu’il faudrait parler, car il ne faudrait pas se laisser dominer par les illusions : la radio, l’automobile, le téléphone, l’avion, la télévision, le computer, la Lune, c’est fait ; Voyager 1 et 2 sont partis en vacances, je ne sais pas où ; Mars est sur la table et ainsi de suite. Si on réfléchit, cela peut angoisser les observateurs superficiels, d’ailleurs lorsqu’ils se retrouvent dans le cercle magique (un feu, un verre, conter une histoire, un instant de séduction — mourir qu’ils se limitent à un simple et élégant : I remember the first time I saw you !) la plupart retombent dans le temps, désormais vague, qui avait cours à l’époque de l’enfance de l’humanité… post-ancien, donc, et tout ira pour le mieux.
pasqu’il pue des pieds et que les gonzesses repousse tout commerce sessusel havec lui grün est un gros consommateur de porno allemand..c’est son droit
rénateau à qui on la fait pas trouve que les pornos allemands qui sont pas tournés en direct sound valent pas une wurst
Bref, il me gonfle.
en même temps sa gueule c’est quand même un chef d’oeuvre jambon..sil avait faut savoir rende aussi leur chetron aux kayus sakapusse qu’il aurait dit le beau gosse djizeus
« mais c’est de post-ancien qu’il faudrait parler »
mais non c’est encore pire car les avions on les fabrique en France ou en Europe; les smartphones c’est en Chine
mes compétences techniques personnelles sont largement inférieures à celles de l’homme de Néanderthal
on dirait un stéfane pladza survivaliss qui fonce sur le capitoul avec des cornes de bison
DHH,je connais des femmes vraiment « pas belles » et j’en ai toujours eu dans mes amies(et au début je ne les voyais pas comme « pas belles »; jusqu’à ce qu’on me le dise ce qui n’a pas entamé mon amitié pour elles;
mais j’ai connu des femmes « pas belles » et qui se pensaient belles; elles sont, celles-là, vraiment pénibles , à ne penser qu’à supplanter, exploiter, même, les autres qu’elles disent leurs amies lesquelles en ont conscience et « jouent » un drôle de jeu avec la jalouse
femme « pas belle »:c’est comme mon père que je n’ai jamais vu « vieux » :pas bien jeune, certes, mais surement pas vieux
Et c’est peut etre plus douloureux pour une femme,qui dans ce cas est simplement ignorée , que pour un homme que dans la même situation on repousse
total les hommes sont quand même plus classieux au finiche qu’elle dit drh..du coup
BFM annonce 271 686 nouveaux cas en 24h.
Le site Santé publique France donne 543 372 soit près d’un demi-million.
Alors qui a raison ?
ta gueule poufiasse
(ceptionnelment hinclusif pour mettre à laise)
ta gueule dédé!..c’est ça le début dla sagesse
@SV : sûr que si vous refilez un portable à un chamane il va vous expliquer comment ça marche vu qu’il a l’habitude de parler avec des entités qui vivent dans d’autres mondes.
sauf que la différence avec le chamane c’est qu’on demande pas au type qui a balancé la bombe atomique sur Hiroshima de savoir en construire une ou de savoir comment ça marche !
l’idée de l’homme qui perd la maitrise des choses c’est juste une vue de l’esprit : allez demander à un transgenre si la technique c’est l’oubli de l’être ? welbec parle de « production », qu’est-ce que ce mot vient faire ? il mélange tout juste parce que ses lecteurs ne savent pas compter jusqu’à cinq sans se servir de leurs doigts !
..avec drh tout a l’heure chsrais plus salope que manman qu’elle dit bonne clopine
dans son rapport au lecteur l’écrivain qui ressemble le plus à Welbec c’est Quignard.
il mélange tout juste parce que ses lecteurs ne savent pas compter jusqu’à cinq sans se servir de leurs doigts !
..tout..mais tout y est accompli qu’il dirait dédeye
https://www.youtube.com/watch?v=rlarCLhzfoU
puck, ce qui me frappe, c’est que vous reprenez l’argumentation de mes profs de philo! et là leur argumentation a été décisive pour moi et mon désir de savoir
non Puck
D’abord incidemment je mettrai ma main au feu que Houellebecq qui connait Lovecraft et toute la bande (il nous explique que la reliure des « J’ai lu » était supérieure à celle des » Présence du futur ») connait la citation de Clarke et qu’il s’en est inspiré. Ensuite en cas de conflit atomique généralisé ou une pandémie très meurtrière (c’est la mode), l’Humanité repartirait (soyons généreux) au stade de la révolution industrielle.
En fait, Bouguereau, le site Santé Publuque France a écrit que suite à un incident le chiffre affiché est doublé, que c’est en cours de résolution. Je trouve que lr gouvernement a de super sites très fiables.
Donc 271 386 en 24 heures.
C’est gigantesque et selon moi cela necessiterait selon mon propre avis la fermeture pour 15 jours au moins de tous les établissements scolaires de Frabce ainsi que des bars, restaurants, etablussemebts sportifs, brefs tous les endroits où les gens sont rapprochés de façon prolongée sans masque.
Yes dédé, le gvt perd les pédales de son boulier, bientôt quatre cent mille micronisés par jour, par ici l’immunité collective, Lénine enfoncé
Si ça ne se fait pas aujourd’hui ça se fera peut être demain ou après-demain voire le lendemain de l’après-demain.
>D. dit: à
Donc 271 386 en 24 heures.
D, ce qui compte c’est le nombre d’hospitalisations.
>PaulEdel : Sartre il faisait autant autant de name dropping dans « La nausée » ?
Le Houellebecq originel chez Paul Edel
La différence entre Davidof et Partagas. Paul Edel, Pourriture Noble (attention, achtung ! on cause raisins, pas pommes)
@D, ce qui compte c’est le nombre d’hospitalisations.
Le système étant réputé engorgé à 5000 lits de réanimation pour 68 millions d’habitants, on n’a pas fini d’en entendre parler
Le James Webb vient de terminer le déploiement de son bouclier thermique, on se rapproche de la mise en service. « Faire le tour de sa prison » disait Yourcenar parlant de ses voyages. Emprisonnés, nous le sommes à jamais, mais rien ne nous interdit de regarder par la fenêtre et de tenter de comprendre comment a été construite notre geôle.
MH face à Sollers
M. Houellebecq. – Le bouddhisme m’est très sympathique, mais je suis malheureusement très athée. Je ne sais pas ce qui peut rester du bouddhisme en l’absence de croyance en la réincarnation. Pourtant le bouddhisme est peut-être une solution d’avenir. Dans mes moments mégalomanes, je reprends volontiers à mon compte la phrase de Nietzsche selon laquelle Schopenhauer avait fait planer la menace d’un nouveau bouddhisme sur l’Europe, que lui, Nietzsche, avait écartée. Donc je reviens pour faire planer la menace d’un nouveau bouddhisme sur l’Europe, par infiltration lente.
P. Sollers. – Eh bien, je m’opposerai à cette pénétration bouddhiste comme Nietzsche à Schopenhauer. Ce dont il est question à travers le bouddhisme, c’est du devenir nihiliste européen, qui peut aller en effet dans ce sens de suicide, de résignation, d’autodécomposition. D’ailleurs la CIA aimait bien le daïla-lama et lui a donné beaucoup d’argent…
M. Houellebecq. – Bon, Philippe, demain, chez Pivot, on fait Schopenhauer-Nietzsche, et en fin d’émission on glisse Novalis. En plus, il y aura Virginie Despentes. Je suis sûr qu’elle va adorer Novalis. Elle va dire : oh, il est hyper-beau, ce mec !
– Moi, je trouve les libertins sympas, de même que je trouve sympas les catholiques traditionalistes. J’aime trop de gens, donc, du coup tout le monde me hait.
P. Sollers. – D’abord, il faut s’entendre sur le terme de libertin. Houellebecq, par provocation, a dit qu’il était contre le libéralisme… Il n’a pas dit qu’il était contre la liberté, mais on ne sait pas, après tout…
M. Houellebecq. – Je me tâte.
P. Sollers. – Il en est du libertinage comme de l’athéisme, qui, pensait Robespierre, doit être combattu parce qu’il est d’essence aristocratique. C’est pourquoi le culte de l’Etre suprême a été déclaré – à une époque bien précise de la déchristianisation – révolutionnaire : pour contrecarrer une restauration de l’aristocratie, il fallait une religion. Un thème que Houellebecq partage puisqu’il dit qu’il n’y a pas de société sans religion. Mon point de vue n’est jamais social. Je pense qu’il n’y a pas de bonne société. Toute société est fondée sur un crime commis en commun, comme l’a dit Freud. Par conséquent, toute proposition – religieuse ou autre – qui vise à « ensembliser » l’humanité est fausse. On dit que le sexe, loin d’être le diable, l’atteinte aux fondements de la société (procès de Baudelaire, de Flaubert, patati, patata), est la panacée, qu’il n’y a rien de mieux pour tout le monde. Houellebecq en tire les conséquences en constatant que cette obsession répandue démocratiquement conduit à une intense impasse…
M. Houellebecq. – J’aime beaucoup « intense impasse ». Je peux garder cette expression pour une autre interview ?
P. Sollers. – Moi, je n’ai jamais dit que le sexe était obligatoire. Mais là où c’est embêtant, c’est que la dénonciation de la tyrannie du plaisir est aussi une thèse réactionnaire. La tyrannie du plaisir, ce serait la faute à 68. Ce sont les révolutionnaires qui auraient détruit la famille, l’école, l’autorité, et répandu l’idée qu’il faut jouir automatiquement… Moi, je n’ai jamais été
propagandiste d’une démocratie sexuelle.
N. O. – C’est donc la faute à 68, Michel Houellebecq ?
M. Houellebecq. – C’est rien, 68. Toute l’histoire de l’Europe depuis 45 est une copie affaiblie de l’histoire des Etats-Unis.
P. Sollers. – Eh ben, c’est en train de changer !
M. Houellebecq. – On verra.
P. Sollers. – C’est tout vu parce que, l’Union soviétique disparue, l’Europe se dégage enfin.
M. Houellebecq. – Holà ! holà ! C’est pas gagné.
N. O. – Ne croyez-vous pas comme Sollers au salut du monde par l’Europe ?
M. Houellebecq. – Philippe Sollers me paraît d’un optimisme étonnant. Mais je reviens à cette idée de tyrannie du plaisir. Il faudrait plutôt parler d’une tyrannie du désir. Le mot de désir et de publicité sont devenus synonymes. A l’heure actuelle, on ne peut pas vraiment éprouver de désir non publicitaire.
P. Sollers. – Un petit mot sur l’Europe. Sauf peut-être à la campagne, dans des endroits très reculés. Je suis allé en Tchécoslovaquie pour voir la tombe de Casanova. Restaurant Casanova, Fast Food Casanova, produits de beauté, j’en ai vu plein à Prague. Casanova a écrit des choses très importantes parce qu’elles mettent en question les liens de parenté par une apologie de l’inceste père-fille…
M. Houellebecq. – (Pince-sans-rire.) L’inceste, j’aime pas trop. Je suis désolé, je ne peux pas vous suivre là-dessus, Philippe.
N. O. – Les femmes sont-elles meilleures que les hommes, comme l’affirme le personnage de Michel dans « les Particules élémentaires » ?
P. Sollers. – « Le monde appartient aux femmes. C’est-à-dire à la mort. Là-dessus tout le monde ment », a dit un auteur [Sollers dans son roman « Femmes »]. Les femmes sont meilleures que les hommes ? C’est de la folie de dire ça. On ne peut pas dire « les femmes », « les hommes ».
M. Houellebecq. – Oui, mais là, j’assume. Vous n’avez qu’à voir la différence entre un internat de filles et un internat de garçons. C’est vrai que les filles sont assez méchantes entre elles aussi, mais ça n’atteint pas le même niveau d’agression.
P. Sollers. – Si les femmes aimaient les femmes, ça se saurait. Non. La violence féminine a sa spécificité : elle passe plus par le poison que par le poignard. Vous préférez être empoisonné, Michel Houellebecq, chacun ses goûts. Revenons à la statistique. Sur le plan sexuel, je dirai donc qu’à peine 10% des hommes savent à peu près de quoi il s’agit. Ne rêvons pas. Tous les autres, c’est la confusion totale, l’embarras maximal, la culpabilité automatique, l’échec auto-érotique. Pas plus. Pour les femmes, ça dépasse très rarement les 6%.
Les sources ! Les sources !
P. Sollers. – Quand il y a masturbation chez Houellebecq…
N. O. – …Manustupration, pour employer le mot de Casanova.
P. Sollers. – Cela intervient assez souvent. D’accord ?
M. Houellebecq. – Moui… c’est une thématique forte, il y a des récurrences.
P. Sollers. – Est-ce qu’il y a une masturbation féminine dans l’un de vos livres ?
M. Houellebecq. – Euh, non.
P. Sollers. – (Triomphalement.) Ce sera tout, messieurs. Quelle chute ! (Il s’étouffe de rire.)
https://www.pileface.com/sollers/spip.php?article179
Et que viendrais-je dire sur le péché originel et le mythe adamique qui n’ait été pensé par Ricoeur? Sans parler de la difficulté que constitue l’Etat du texte de la Genèse? Je décline cet honneur. En revanche, comme doctrinaire se dit d’abord d’un groupe dont la plus belle illustration fut Guizot, j’accepte le mot par respect pour l’œuvre historique du bonhomme, mais dans ce sens là exclusivement. MC
Très athée c’est redondant, l’on est athée ou pas.
Mais vous abéissez à plus d’un titre, Mr. Synthétique ; qu’on en juge par ce simple rappel
https://www.cnrtl.fr/definition/doctrinaire
abéissez > obéissez à la chose
Très athée c’est redondant, l’on est athée ou pas.
c’est pas comme trés con qu’il dit keupu
Et que viendrais-je dire sur le péché originel et le mythe adamique qui n’ait été pensé par Ricoeur?
faut hinnover meussieu courte..penser par soimême..montrer qu’on a hériter de droit divin à dire des conries..sinon franchment c’est se défausser
« Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmetder. Donc on va continuer de le faire. »
Emmanuel Macron, ce 4 janvier 2022.
–
Eh bien, là, pour une fois, je l’applaudis.
« Faire le tour de sa prison » disait Yourcenar parlant de ses voyages
c’est du margueritte tout crachée dans sa soupe quil dirait dantesse hédmon
J’espère que tu es vacciné, Bouguereau.
faut « distancer » dédé..la litterature c’t’une façon de dmz..tiens par exemple ces pauves gars de coréen du nord en fuite qui retournent chez kim..i m’font des trucs
SV je sais pas si welbec connait Clarke mais c’est sûr qu’il a dû 2001 odyssée de l’espace (tiré du bouquin de Clarke) comme tout le monde. La première scène de ce film dément ce qu’il dit : même chez le néandertalien y’avait le type qui faisait des armes et les autres qui s’en servaient sans savoir les faire.
la supériorité des néandertaliens sur nous c’est qu’ils n’avaient des écrivains aussi cons que welbec.
si welbec est l’écrivain de notre temps alors c’est plus que normal que Zemmour devienne notre président : esthétique – éthique – politique !
« je suis très athée » : effectivement cela résume bien le personnage.
tout du flan.
« Vous n’avez qu’à voir la différence entre un internat de filles et un internat de garçons. C’est vrai que les filles sont assez méchantes entre elles aussi, mais ça n’atteint pas le même niveau d’agression. »
»
génial !
même greubou il nous pond pas ce genre de truc.
P. Sollers. – Est-ce qu’il y a une masturbation féminine dans l’un de vos livres ?
M. Houellebecq. – Euh, non.
»
terezoune !!!!!!!!
ça c’est plus top :
« Santé publique France se préparerait à annoncer près de 300 000 contamination ces dernières 24h. Mon chat aime Morand. Je n’affirme pas cela à la va-vite. BFM annonce 271 686 nouveaux cas en 24h. Le site Santé publique France donne 543 372 soit près d’un demi-million, qui a raison ? En fait le site Santé Publique France a écrit que suite à un incident le chiffre affiché est doublé, que c’est en cours de résolution. Je trouve que le gouvernement a de super sites très fiables. Donc 271 386 en 24 heures. C’est gigantesque et selon moi cela nécessiterait selon mon propre avis la fermeture pour 15 jours au moins de tous les établissements scolaires de France ainsi que des bars, restaurants, établissements sportifs, brefs tous les endroits où les gens sont rapprochés de façon prolongée sans masque. Si ça ne se fait pas aujourd’hui ça se fera peut être demain ou après-demain voire le lendemain de l’après-demain. »
observations à la peau de toutou devant ça :
« D’après les données Livres Hebdo / Electre Data Services, la rentrée d’hiver 2022 sera peuplée de 545 romans (521 lors de la dernière rentrée d’automne), soit une augmentation de 9,5 % par rapport à l’an dernier (52 titres supplémentaires). Soit 385 fictions françaises dont 61 premiers romans (contre 63 en 2021) et 160 romans traduits contre 153 l’an dernier (+4,4%).
Cette recrudescence rappelle celle d’il y a cinq ans, lors de l’élection d’Emmanuel Macron. La « rentrée littéraire d’hiver » avait produit 517 romans. Un effet « Présidentielle »? Toujours est-il que cette rentrée est la plus intense depuis 2014 (547 romans) et 2015 (549 romans). C’est essentiellement lié à la hausse de romans français. Avec 385 titres, c’est un record depuis 2013. »
Très vénérables Pères ! J’ai lu dans les écrits des Arabes qu’Abdallah le Sarrasin1, à qui l’on demandait quel était, sur cette sorte de théâtre qu’est le monde, le spectacle le plus digne d’admiration, répondit qu’il n’y voyait rien de plus admirable que l’homme – opinion que rejoint le fameux mot d’Hermès : « C’est un grand miracle, ô Asclépios, que l’homme ». Or, méditant sur le sens de ces sentences, je n’étais pas satisfait par les nombreux arguments qui sont avancés de toutes parts en faveur de la supériorité de la nature humaine. L’homme, dit-on, est un truchement entre les créatures, familier des supérieures, roi des inférieures, interprète de la nature grâce à la pénétration de ses sens, à l’enquête de sa raison, à la lumière de son intelligence, intermédiaire entre l’éternité stable et l’instant qui s’écoule, union, comme disent les Perses, et même hymen du monde, et enfin, au témoignage de David, « de peu inférieur aux anges ». Ces arguments sont certes importants, mais non point décisifs : ils ne sont pas de ceux qui permettent de revendiquer le privilège de la plus haute admiration. Pourquoi, en effet, n’admirerait-on pas davantage les anges eux-mêmes et les chœurs bienheureux au ciel ? Finalement, j’ai cru comprendre pourquoi l’homme est le plus heureux des êtres vivants – et par conséquent le plus digne d’admiration -, et quelle est précisément la condition que lui a donnée le sort dans l’ordre de l’univers, condition qu’envieraient non seulement les animaux, mais encore les astres et les esprits au-delà du monde. Chose incroyable et étonnante ! Et comment ne le serait-elle pas ? C’est à cause d’elle que l’homme est à juste titre estimé un grand miracle, et proclamé vraiment admirable. – Mais quelle est cette condition ? Écoutez, Pères, et prêtez-moi pour ce discours une oreille indulgente, conforme à votre humanité.Déjà Dieu le Père, architecte souverain, avait forgé selon les lois de sa sagesse impénétrable l’auguste temple de sa divinité, cette demeure du monde que nous voyons. Il avait orné d’esprits la région supra céleste, animé d’âmes éternelles les globes dans l’éther, et garni d’une foule d’animaux de toutes espèces les déjections et la fange du monde inférieur. Mais l’ouvrage accompli, l’artisan désirait qu’il y eût quelqu’un pour admirer la raison d’une telle œuvre, pour en aimer la beauté et en admirer la grandeur. C’est pourquoi, selon le témoignage de Moïse et de Timée, quand toutes choses furent achevées, il songea en dernier lieu à produire l’homme. Mais il n’y avait pas dans les archétypes de quoi forger une nouvelle lignée, ni dans ses trésors de quoi doter ce nouveau fils d’un héritage, ni parmi les séjours du monde entier de lieu où faire siéger ce contemplateur de l’univers. Tout était déjà plein, tout avait été distribué entre les ordres supérieurs, intermédiaires et inférieurs. Mais il ne convenait pas à la puissance paternelle de défaillir, comme épuisée, au terme de la génération. Il ne convenait pas à sa sagesse d’hésiter, par manque de conseil, dans une œuvre si nécessaire. Il ne convenait pas à son amour bienfaisant que l’homme, qui devait louer chez les autres créatures la générosité divine, fût contraint à la condamner pour soi-même. Le parfait artisan décida finalement qu’à celui à qui il ne pouvait rien donner en propre serait commun tout ce qui avait été le propre de chaque créature. Il prit donc l’homme, cette œuvre à l’image indistincte, et l’ayant placé au milieu du monde, il lui parla ainsi : « Je ne t’ai donné ni place déterminée, ni visage propre, ni don particulier, ô Adam, afin que ta place, ton visage et tes dons, tu les veuilles, les conquières et les possèdes par toi-même. La nature enferme d’autres espèces en des lois par moi établies. Mais toi, que ne limite aucune borne, par ton propre arbitre, entre les mains duquel je t’ai placé, tu te définis toi-même. Je t’ai mis au milieu du monde, afin que tu puisses mieux contempler autour de toi ce que le monde contient. Je ne t’ai fait ni céleste ni terrestre, ni mortel ni immortel, afin que, souverain de toi-même, tu achèves ta propre forme librement, à la façon d’un peintre ou d’un sculpteur. Tu pourras dégénérer en des formes inférieures, comme celle des bêtes, ou régénéré, atteindre les formes supérieures qui sont divines.
» « Amusante sur le papier, cette théorie est en réalité fausse » »
la réaction du président Macron (« j’ai envie ») me le rend « sympathique » : il apparait là plus comme français parmi « les français »que comme leur président ; « une affaire personnelle » dont il a les moyens; il serait temps que « les français » comprennent et que c’est assez rigolé avec le virus; tant mieux
bonsoir
Quel vol au dessus d’un nid de coucous, de faire parcourir, d’abord l’article, puis les commentaires qui le suivent par le lecteur à voix haute de son navigateur internet. Vous craignez tous tellement que ça fout vraiment les chocottes!
J’espère que l’infirmière passe de temps en temps pour la distribution des cachets, même si elle a d’autres préoccupations par les temps qui courent..
Oui enfin l’éloquence présidentielle. Qu’aucun Negre ne vient orchestrer, roule ici aux abîmes. C’est peut-être une manière imprévue de se rendre humain…
MERCREDI 5 JANVIER 2022, 5h31, 14°, nuageux
La France infantile a élue l’homme, le chef qu’il lui fallait, le seul capable d’en rajouter à l’hystérie sanitaire médiatique en plein développement : Bébé Macron.
Merci Président !
Les non-vaccinés enfermés dans des camps, les Virus et la Mort seront définitivement vaincus ! La vie heureuse de notre société démocratique fera des envieux partout dans le cosmos, vous serez éternellement jeune, brillant et compétent, cher enfant…
Bonne année 2022 !
fruits fantastiques
https://www.thisiscolossal.com/2022/01/kaori-kurihara-fruit-ceramics/
Licorice Pizza :
En attendant Houellebecq.
Sugar Mountain
Aujourd’hui, le léZard de Paris vous conte la belle histoire du square de la Tour Saint-Jacques.
« Licorice Pizza » ou comment faire un beau film avec des acteurs moches !
Le léZard en parlera sûrement dans un prochain numéro…
Pour une fois que Macron emmerde a bon escient, on ne va pas être » triste » pour Igor et Grishka.
Erreur de lien.
À Monsieur D
Dans ma liste (incomplète, je n’en disconviens pas) Bourdaloue a retenu votre attention, et, je suppose, peut-être un peu surpris. Je voudrais dire quelque chose à son sujet.
Au préalable, je rappelle ceci. Dans les deux meilleurs manuels de français de la fin du XXe siècle, destinés aux lycéens, le Lagarde et Michard et le Castex et Surer,, dans le tome XVIIe siècle, à côté de Corneille, Molière, La Fontaine, Racine…le seul prédicateur catholique présenté (avec des pages fameuses) était Bossuet. On avait bien raison. Que l’on soit agnostique, catholique ou athée, c’est en effet un des sommets de la langue française. Je ne suis pas sûr que dans les manuels qui ont succédé à ces deux-là Bossuet ait surnagé.
Pourquoi lire encore Bourdaloue , oublié de presque tout le monde ? A cet égard, un bon juge : Mme de Sévigné. Il faut avoir lu les trois tomes de sa correspondance en Pléiade (autre bonne lecture, bien préférable au livre de Houellebecq) pour noter ceci : elle considérait Bourdaloue comme le meilleur orateur sacré. Elle se pâmait d’admiration en écoutant ses sermons.
J’invite ceux qui sont, comme moi « écrasés sous le poids du loisir » (Morand) à vérifier mes dires en lisant quelques pages de Bourdaloue…sur Gallica. Cela ne les ruinera pas.
P.-S. Un autre intervenant a retenu dans ma liste Jacques Perret. A juste titre. Excellent styliste ! Rien à voir avec le médiocrissime Houellebecq.
Licorice Pizza
Alana Kane, dans la vraie vie Alana, est la plus déchainée des sœurs Haim.
« Rien à voir avec… »
Un peu quand même. Quand un battage de la fachosphere empêche de regarder le ciel …
https://diacritik.com/2022/01/04/dont-look-up-un-regal-sur-le-desastre/
@ JiBE
je vois que vous partagez mon impression sur Serotonine
Voici à votre intention une explication plus détaillée de ce que j’en avais pensé, et des reserves que ce livre ,mais aussi, l’oeuvre en general, avait suscitées de ma part:
» A la lecture des précédents livre de cet auteur J’ai toujours été sensible à l’acuité du regard qu’il porte sur le monde contemporain, sur ses poches de misère sexuelle et morale, sur le formatage aliénant des esprits sous l’empire de la publicité , de la télévision, et des clichés véhiculés par des idéologies mal digérées . On peut reconnaître aussi qu’il a une maîtrise des styles qui donne de la force à la cruauté décapante et cynique de son discours sur les gens, les mœurs, et les choses .
Mais malgre les indeniables qualités de son écriture il ne m’est jamais apparu comme un grand romancier. Il ne crée pas un monde, il ne fait pas vivre des personnages. Ceux qui y apparaissent n’ont pas de vraie épaisseur ;ils servent seulement de prétextes aux coups de projecteurs que MH lance sur un monde, un milieu social ou un évènement pour le disséquer jusqu’à l’os ; et le plus souvent ces morceaux d’écriture, loin de s’organiser au sein d’une structure romanesque aboutie , se juxtaposent linéairement comme des billets d’humeur ou des reportages mis bout à bout .
Et c’est ce que j’ai retrouvé a un degré presque caricatural dans Serotonine ;ce livre m’est apparu comme l’aboutissement de ce processus ,au terme duquel , en jetant de roman en roman sur le monde son immuable regard impitoyable , Houellebecq s’est installé dans l’exploitation un peu mécanique d’un filon permanent , ce qui de roman en roman nous arrive de plus en plus affadi et fait perdre de son intérêt à ce qu’il écrit
En effet qu’ai-je trouvé dans cette lecture ?
Une construction linéaire qui enfile sans vraie continuité les episodes ,comme des wagons qu’on accroche jusqu’à ce que le train ait une bonne longueur ; un héros inconsistant et dont Houellebecq . échoue à rendre et nous faire partager le mal-etre , et qui n’est là que pour servir de fil directeur à une sérié d’observations moroses et désabusées à sa manière sur la médiocrité du monde d’aujourd’hui en ses multiples facettes :flambée de l’immobilier, vanité de l’activité des technocrates, malaise paysan, chair triste etc …..
Certes sur tout cela Houellebecq s’efforce de continuer à poser ce regard aigu , distancié et chargé de cette amertume un peu cynique qu’on lui connaît.
Et c’est justement là ce qui me paraît la faiblesse de ce livre ,ce qui explique que je l’ai trouvé ennuyeux et plat après avoir apprécié les précédents : cette lecture m’a donné une impression de déjà vu , le sentiment gênant que Houellebecq a voulu faire du Houellebecq , qu’il a produit , se pastichant lui-même , une sorte de contrefaçon ressemblante de ses œuvres antérieures avec un roman délibérément pauvre, fabriqué à la va-vite avec les recettes qui ont bien marché auparavant
Cet aspect artificiel du produit se révèle de manière patente avec les scènes érotiques qui truffent le roman. Usant d’une écriture pauvre, à la syntaxe indigente et au vocabulaire conventionnellement salace, Houellebecq s’installe dans ce registre avec des scènes lourdement, longuement et inutilement développées. Elles se déploient en descriptions minutieuses de pratiques perverses, de postures à la transgressivité attendue, le tout visant la surenchère dans le stupre. Bref du porno ordinaire, le plus conventionnel, affublé de tous les clichés et tics de langage du genre .
Et même si certains, prêtant au riche, pourraient arguer que l’esprit de dérision qui court à travers le livre nous invite à lire ces scènes au second degré et à y déceler la dénonciation d’une misère affective et sexuelle généralisée dans un monde rongé par l’ ennui pascalien ,cela n’enlève rien a la pauvreté littéraire de cette protestation simpliste, quand tant d’autres ont dit que « la chair est triste » avec plus de finesse d’intelligence et d’élégance
Au point qu’on en vient à se demander, si ces passages érotiques tout en conformisme , délibérément et gratuitement étirés de page en page , par lesquels Houellebecq n’en finit pas de scandaliser le bourgeois et de flatter son voyeurisme, ne seraient pas des copiés-collés puisés dans des ouvrages X ordinaires, des « pornos de gare »,dont il aurait prélevé des fragments ad hoc pour étoffer son ouvrage à concurrence de l’épaisseur requise pour une mise sur le marché bien ajustée »
je m’excuse auprès des autres posteurs et de PA d »avoir squatté l’espace commentaire avec un sujet obsolete , dans ce un post destiné au seul JIBE
En attendant Houellebecq, je m’excuse aussi de remettre , mais comment taire.
Pourquoi vous excuser, DHH, vous êtes en plein dans le sujet, qui consiste à analyser « l’art romanesque » de Houellebecq.
Vous nous rappelez comment déjà dans son précédent ouvrage, Sérotonine, il rattachait ses wagons : « flambée de l’immobilier, vanité de l’activité des technocrates, malaise paysan, chair triste etc »
A quoi fait écho la composition de ce dernier ouvrage, qui a proprement anéanti Passou : « De quoi est-il question ? Panneaux solaires chinois, campagne électorale, psychologie des boomers, transferts de technologie, Breyvick, solitude dans la ville, taux de fécondité, écolofascisme, nihilisme, AVC, droit successoral, gène égoïste, misère sexuelle, Rassemblement national, Zemmour, guerre commerciale Pékin-Washington, rêves, chaos, Islam, biotechnologies, dentistes séfarades, le Lambeau, euthanasie, rêves encore, campagne électorale, déficit de notoriété, rêves… (inventaire non exhaustif). Et puis l’amour, toujours, dont il répète que c’est son sujet principal. »
Il ne crée pas un monde,
c’est un reproche un peu « convenu » surtout lorsqu’il s’agit d’un auteur qui porte et fait porter son-le regard sur LE monde commun;et que le lecteur le reconnait pour son monde
Je remercie Jean Langoncet de ces bonnes intentions dument stabilotees pour que je les comprenne bien mais je n’ai pas fréquenté les Pères de la Doctrine Chrétienne autrement que par une biographie dix-septième siècle et à cause dul travail novateurdu Professeur Franz Reitlinger sur Le Nobletz, je n’ai jamais soutenu aucun prétendant au Trône de France, et je ne me retrouve pas dans les théories fumeuses de Royer-Collard et consorts. Si Guizot m’intéresse , c’est précisément parce qu’il se situe au delà de ce fatras par son sens politique et son œuvre historique, voir la dessus Laurent Théis au cas où l’on croirait à une lubie de ma part. Il est vrai que je n’ai pas un amour fou pour la France de la Terreur, de la Commune, ou celle de Michel Houellebecq. Cela suffit-il pour mériter les épithètes de conservateur et de sectaire ? Et est- on bien placé pour vous les décocher quand on réduit soi-même toute la musique occidentale au ressassement des musiquettesdu seul Bob Dylan?! Disons que j’ai mes opinions, qu’elles ne sont pas les votres, ce qui ne vous donne pas le droit , que je sache,de les déformer arbitrairement façon Sasseur en plus poli. Bien à vous MC
PSEUDOS
Je me suis exprimé cent fois un peu partout contre les pseudos , autrement dit contre l’anonymat. J’ai donné mes raisons. Je n’y reviens pas, ne voulant pas lasser.
Sur certains blogs, il ya pire que les gens qui ont un pseudonyme, ce sont les gens qui changent sans arrêt de pseudonyme. On échange avec des courants d’air.
L’important charolais, est que vous puissiez continuer de troller sur plusieurs blogs comme un bourrin avec Bossuet pour les « agnostique, catholique ou athée » (sic)
UN FAIT DIGNE DE REMARQUE
Je connais au moins trois très grands écrivains du XXe siècle qui affirment avoir passé une part de leur vie à parcourir le Littré en tous sens, un peu comme on boit de l’eau ou en mange du pain tous les jours. C’est une trésor inesgtimable, en effet, quand on prétend vouloir écrire en français et , en particulier, quand on prétend écrire des livres.
L’auteur du dictionnaire, Littré, était matérialiste, positiviste et d’un athéisme absolu.
Voici le fait qui mérite une réflexion.
Ce dictionnaire , on le sait, est rempli d’exemples d’écrivains français. On y trouve tout Corneille, tout Molière, tout Racine, tout La Fontaine, tout Voltaire, tout Montesquieu, etc.
Mais aussi tout Pascal, tout Bossuet, évêque, tout Fénelon, évêque, tout Fléchier, prédicateur, tout Bourdaloue, prédicateur tout Massillon, prédicateur..
Il se s’est pas dit : Je suis athée, donc je ne vais remplir mon dictionnaire de phrases de ces six auteurs-là. Mais : C’est un dictionnaire de langue française et je dois donner au lecteur les meilleurs exemples de langue française. Et, à mon avis, il a eu raison.
Moi, je suis triste pour une amie morte parce que l’hôpital est occupé par des novax dont un, plus crétin que la moyenne, qui déjà sauvé lors de la première vague, il est retombé malade car novax, nomasque et, selon ses mots : « personne ne m’empêchera de tirer mon coup ». Donc oui, un irresponsable n’est pas un citoyen — et il y en a partout de ces irresponsables que les opportunistes politiques français, italiens, suisses et ainsi de suite justifient.
D’un autre côté faut aimer être joueur, pour gagner un ticket à l’hosto, covid ou cirrhose.
Je sors.
Désolé de réapparaître ce 5 janvier 22 (@11.55), mais j’essaie une dernière fois de savoir si la direction de l’RDL a définitivement donné l’ordre d’anéantir tous les messages de Janssen J-J. Lequel, n’en déplaise…, n’a jamais eu d’autres pseudos qu’icelui depuis des années, comme le savent bien tous ceux que l’on accuse d’avoir été vampirisés par cet internaute.
En effet, tous les messages (de J J-J, donc) postés ces 2 derniers jours ont disparu, au point que Paul Edel a eu la gentillesse de publier le dernier, sauvé des eaux, dans ses bons vœux de l’année 2022.
Il serait sympathique, sinon élégant, que PA confirmât cette éventuelle éviction, même si rien ne l’oblige à la justifier sur le fond, sans même faire apparaître ce message.
(nb / si le présent message apparaît ou ne disparaît pas dans les secondes ou minutes qui suivent, je lui présente bien volontiers mes excuses pour avoir douté de sa déontologie libérale, souventes fois éprouvée).
renato, la question ne me semble pas tant de soutenir les anti vaccin que de critiquer un chef de l’état qui réduit l’état de droit à un système de punitions et de récompenses ; il l’a montré en d’autres circonstances.
Et alii, il faut bien dire que dans l’hilarant dialogue Sollers Houellebecq, c’est le second qui s’en sort le mieux. Enfin, qui dit le moins de conneries, c’est déjà ça.
Il faudrait donc, Jean Langoncet, qu’ici comme ailleurs les sois-distantes oppositions apprennent à faire des différences, ce qui beau parleurs ou pas n’est pas leur tasse de thé Matcha.
Ceci poursuit une citation proposée hier (et pas autre chose):
«Qui n’admirerait notre caméléon? Ou, d’une manière plus générale, qui aurait pour quoi que ce soit d’autre davantage d’admiration? Asclépios d’Athènes n’a pas eu tort de dire que dans les mystères, en raison de sa nature changeante et susceptible de se transformer elle-même, on désigne cet être par Protée. De là les métamorphoses célébrées chez les Hébreux et les pythagoriciens.»
– flambée de l’immobilier
– vanité de l’activité des technocrates
– malaise paysan
– chair triste
– panneaux solaires chinois
– campagne électorale
– psychologie des boomers
– transferts de technologie
– Breyvick
– solitude dans la ville
– taux de fécondité
– écolofascisme
– nihilisme
– AVC
– droit successoral
– gène égoïste
– misère sexuelle
– Rassemblement national
– Zemmour
– guerre commerciale Pékin-Washington
– rêves
– chaos
– Islam
– biotechnologies
– dentistes séfarades
– euthanasie
inventaire non exhaustif ?
il manque :
– voyages privés dans l’espace
– prix de l’électricité pour voitures hybrides sur stations autoroutes
– le neutrisme (les ielles)
– sort des vieux des vieux dans les ephad
– ruptures de stock des masques
– la flambée de diabète en Polynésie française
– les révoltes aux Antilles
– la colonisation du plateua du Goaln
– le nettoyage ethniques des chrétiens dans les pays arabes
– la barbarie des passeurs à la frontière mexicaine
– l’impact d’amazon sur le petit commerce
– le renouveau des mariages à l’ancienne chez les jeunes
– la réussite à Chelsea de l’entrainement limogé au psg
– la relation Macron / Raoult
– la renaissance du disque vinyl
– la chute des abonnements à Télérama
– la fin des journaux papier et son imact sur l’information devenue séléctive et personnalisée
– la contribution des milliardaires français pour reconstruire Notre Dame
– déménagement de Diam à Dubaï
– l’apparition des influenceurs
– Dubaï capitale des influenceurs
– les ephad et le covid
– les pharmaciens : nouveaux millionnaires grâce au test antigénique
– les projet des foundeurs des gafa pour construire une cyberhumanité
– la gestation in vitro comme possibilité de faire naitre les enfants à terme
– prix des voiture hybrides
– rôle d’Onfray dans la crise du covid
liste non exhaustive
Donc, je n’ai pas été viré… Merci, PA.
Pour ajouter au dossier MH, ce lien d’une critique plutôt approfondie et je trouve, pas mal équilibrée… J’estime le Clint d’oeil politique avec Eastwood plutôt un parallèle malin… Et au delà, que quand un.e journaliste prend son temps de respecter un futur lecteur qui doutait d’aller y voir… au point de le faire changer d’avis, il.elle a fait correctement son job !
Donc, j’irai le voir, c’est décidé… Pas de raison d’ignorer ce nouveau MH, en dépit de la prévention générale… Un peu plus tard, sans doute, quand on sera passé à autre chose, et sera oubliée toute cette effervescence !
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2022/01/05/houellebecq-eastwood-francais/
(Souhaitons qu’aucun attentat ne soit commis nulle part, le 7 janvier prochain)… Bàv,
désolé j’ai oublié l’homosexualité féminine comme moyen pour les femmes de vivre pleinement leur sexualité (+400% d’orgasme en plus)
(il manque) – sort des vieux des vieux dans les ephad
non point -> cette question est apparemment très largement traitée par MH, et elle ‘serait) d’un réalisme atroce et indigné, quoique tempéré par la présence d’âmes dévouées… MH sait de quoi il parle sur ce sujet précis… Et pas que lui d’ailleurs.
dépassé un certain niveau on bascule de la littérature à la revue de presse.
sort des vieux des vieux dans les ephad
non point -> cette question est apparemment très largement traitée par MH, et elle ‘serait) d’un réalisme atroce et indigné, quoique tempéré par la présence d’âmes dévouées… MH sait de quoi il parle sur ce sujet précis… Et pas que lui d’ailleurs.
»
pas que lui effectivement.
j’ai même l’impression que tout le monde en parle, surtout ceux qui sont concernés par le problème.
mais j’ai l’impression que c’est ce qu’on aime le plus chez cet écrivain : qu’il nous parle de choses qu’on sait déjà et dont tout le monde parle.
ça doit donner l’impression à ses lecteurs d’être intelligents.
le fun, ce serait des anti-déprim anticovid au nom magique de « captor x »
renato, des débats sont en cours à l’assemblée nationale. Ne dit-on pas que de la discussion jaillit la lumière ?
https://videos.assemblee-nationale.fr/direct.php
renato,, tasse de thé? ET SI C EST LEUR MUG?
Là encore on peut déplorer une manière d’écraser les débats au moment même où ils se tiennent et d’instaurer la défiance plutôt que de favoriser discussion, par des declarations tonitruantes faites à la presse
Macron a l’art houellebecquien de faire sursauter la classe politique. Son « emmerder » les antivax fait de l’effet !
Bof. Spectacle assez médiocre
« Ne dit-on pas que de la discussion jaillit la lumière ? »
Il faudrait déjà que le politicien lambda, formaté XXIe siècle, sache discuter, d’un côté ; d’un autre qu’il sache faire la différence entre nécessaire et contingent. Et n’allez pas croire qu’il s’agit de ma part d’une défense de votre Président, car déjà il est un démocrate-chrétien qui se croit libéral ; puis, en cette occasion, les polémiques stériles ne sont pas une ‘exception française’ !
Baron noir, qui aura duré vingt-quatre épisodes, suivait la carrière du député-maire de Dunkerque Philippe Rickwaert (incarné par Kad Merad), ses affaires, ses ambitions, sa relation tumultueuse avec la future présidente Amélie Dorendeu (Anna Mouglalis) et sa propre ascension vers l’Élysée.
En effet, la musique stimule les mêmes zones du cerveau que la nourriture, les drogues ou le sexe.
Sur les centaines d’amendements examinés à l’assemblée, dont certains ont semble-t-il déjà été adoptés, êtes-vous a priori convaincu qu’aucun ne mérite votre attention de démocrate attaché à faire vivre un état de droit plutôt que se contenter d’un état vaguement légal, pour peu qu’il nous promette des jeux du cirque qui ont en effet une dimension houellebecquienne ?
Merdre, c’est trop long. À plus loin, si Dieu et ses représentants sur terre le veulent bien.
Enfin, le moins que l’on puisse dire, c’est que ces postures ne se sont pas signalées par leur efficacité depuis deux ans.
Donc, Jean, hier entre 270 et 300 décès (et on ne compte pas les gens qui meurent pour d’autres cause, mais en relation à la pandémie), cela étant donné, quels amendements méritent attention ?
Cela dit, et sans rire, où étaient les prétendues oppositions lorsque les diverses majorités ont transformé l’hôpital en organisations bureaucratique aliénée ?
Comment connaître ses propres préjugés ?
Publié dans le magazine Books n° 116, novembre-décembre 2021. Par Leonard Mlodinow.
@ mais j’ai l’impression que c’est ce qu’on aime le plus chez cet écrivain : qu’il nous parle de choses qu’on sait déjà et dont tout le monde parle (impression juste). ça doit donner l’impression à ses lecteurs d’être intelligents (conclusion erronée : pas une question de savoir, mais de vécu et de ressenti collectif mis en mot par quelqu’un que l’on comprend, y compris au delà des aires culturelles et linguistiques habituelles… au 1er, au 2e ou au 3e degrés, -selon le bagage de chacun-).
Si un jour j’ai un petit chien je l’appellerai keupu.
Bravo renato.
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