
Aragon, combien de divisions ?
Louis Aragon (1897-1982), combien de divisions ? Cinq Pléiades pour les romans, deux pour la poésie et désormais une pour les Essais littéraires (sous la direction d’Olivier Barbarant avec la collaboration de Marie-Thérèse Eychart et Dominique Massonnaud, 2064 pages, 80 euros, Gallimard), tous les Aragon étant ainsi consacrés sur papier bible en huit tomes. Autant de divisions. Peu peuvent en dire autant. La réunion de son œuvre critique presque complète dans sa dimension littéraire propose un peu d’inédit, quelques introuvables et surtout d’indispensables retrouvailles avec des textes lus, connus et reconnus. Préfaces, chroniques, fragments, articles, et même, convenons-en, des essais en bonne et due forme car ainsi décrétés par l’auteur même quoique d’une veine nettement pamphlétaire tel le fameux Traité du style dont l’énergie étincelle comme en 1928 même si l’effet de souffle d’une provocation surréaliste s’est quelque peu émoussé entre temps.
L’essai littéraire apparait en l’espèce comme un genre un peu fourre-tout, tant et si bien que l’on y aurait volontiers inclus l’un de ses chefs d’œuvre parmi les moins considérés et, partant, comme des plus méconnus : je veux parler d’Henri Matisse, roman qui est tout sauf un roman et qui, à vrai dire, ne ressemble à rien de répertorié sinon à un défi lancé à la biographie ; mais il est vrai que le volume annonce la couleur et que ses maitres d’œuvre ont resserré la focale sur les essais littéraires ce qui permet par exemple de ne retenir que la moitié littéraire de L’Homme communiste à l’exclusion de son autre moitié politique. Parfois, même lorsque l’essai était à dominante littéraire, il a été exclu de la sélection par crainte de demeurer inintelligible au lecteur du XXIème siècle, le cas de Littératures soviétiques (1955) dont la plupart des noms, pour ne rien dire des enjeux et des références, sont désormais inconnus du public, ce qui aurait exigé un appareil critique étendu qui aurait alourdi un volume fort déjà de deux mille pages. Aragon n’était pas seulement très cultivé en grand lecteur vorace qu’il ne cessa jamais d’être, il demeurait particulièrement informé- ce qui rend plus impardonnable encore tout ce qu’il savait du totalitarisme soviétique et qu’il a longtemps tu.
Pas toujours facile de s’y retrouver dans le maquis des réécritures et le souci de contextualisation après coup mais les maitres d’œuvre de cette édition se portent garants de la « stabilité » du sens des textes. Les corrections de l’après coup ne sont pas dissimulées, ni les regrets et repentirs. Encore ne s’agit-il que d’une sélection tant l’auteur fut prolixe. Un tel écrivain décourage l’exhaustivité. Tous ses articles des Lettres françaises sur un demi-siècle ne s’y trouvent pas tant il en a écrit mais Olivier Barbarant, à la tête de cette édition, assume le choix subjectif de la sélection. Au fil des pages, Aragon apparait plus que jamais saisi dans une tension sur une ligne de crête entre deux fidélités : avant-garde surréaliste et réalisme socialiste. Il s’en trouva même pour lui fabriquer un oxymore sur mesure à défaut d’être à sa mesure : « le surréaliste réaliste-socialiste ». Contrairement à Gide, si Aragon n’a pas écrit de Retour d’URSS, c’est que lui n’a pas cessé d’aller et venir dans la patrie de l’avenir radieux. Libre à chacun d’éprouver la sincérité ou la mauvaise foi d’Aragon lorsqu’il se livre à l’autocritique dans Pour expliquer ce que j’étais (1943)
En toutes choses il ne cesse d’écrire en poète puisqu’elle irrigue toute son écriture- et l’on comprend que ce soit difficile à admettre face à certains textes du militant. Mais tous les Aragon en lui sont convoqués dans chacune des lignes qu’il a tracées. Jamais il ne cessa au fond d’être surréaliste, communiste, poète, romancier, essayiste, journaliste. L’œuvre poétique se laissait lire aussi lire aussi en la décryptant comme des Mémoires qu’il se refusait de donner comme telles. Ne prévenait-il pas :
« Tout m’est également parole » ?
Allez ranger, classer après cela… Pas facile d’être éditeur pour la Pléiade avec un auteur qui s’est plu à dynamiter les genres (Le Paysan de Paris est proprement inclassable). Il serait vain, comme ce fut longtemps la règle académique, de le découper en tranches et en autant de périodes successives. La leçon qui se dégage par exemple de Je n’ai jamais appris à écrire ou Les Incipit (1969) n’a rien perdu de sa pertinence ; tout handicapé de l’insurmontable première phrase du roman à écrire y trouvera un signalé service (à la relecture des textes originaux de Blanche ou l’oubli ou de La Mise à mort, par exemple, la chercheuse Julie Morrison avait été frappée de ce que la phrase d’incipit ne soit pas la seule à enclencher l’écriture, chaque parcelle du roman en faisant tout autant, poursuivant une relance sans fin). J’abats mon jeu, réflexions sur les relations aussi complexes qu’ambiguës que le roman entretient avec l’Histoire. Une vague de rêves (1924) résonne comme son propre manifeste du surréalisme. Quant à Hugo dont il se sert (Hugo, poète réaliste) tout en voulant le servir (Avez-vous lu Victor Hugo ?), on dira que le génie national n’en avait pas vraiment besoin même en des temps où une vision marxiste de la société dominait dans l’Université.
« C’est avec les jeunes sots qu’on fait les vieux cons » (Aragon)
Barrès (mais oui ! évoqué même en 1948 comme un « « extraordinaire ouvrier de la prose française » ! ), Lautréamont, Stendhal, Desnos, Châteaubriand y côtoient Desbordes-Valmore, Eluard, Lewis Carroll, Sand et même Christie (parfaitement, Agatha). Une sacrée bousculade à laquelle se mêlent également Colette, Rimbaud, Racine et Guillevic. Sur une durée de plus d’un demi-siècle, différentes visions du monde et conceptions de la littérature s’y succèdent mais in fine, ce qui en fait l’unité et le ciment, c’est bien son art poétique qui ne s’interdit aucune digression, aucune ressource de la liberté de l’esprit, bien loin des dogmes du Parti dont il fut membre du comité central officiellement de 1950 à sa mort. En aura-t-il avalé des couleuvres en se taisant pendant les grandes crises (crimes du stalinisme, complot des blouses blanches, rapport Khrouchtchev, révolte polonaise, insurrection hongroise, révélation sur le Goulag…) et en pratiquant de grands écarts pour soutenir des dissidents soviétiques ou d’Europe centrale. On se demande parfois s’il ne s’appliquait pas à se rendre incompréhensible. Il est vrai que le casier est également lourd qu’il s’agisse du pacte germano-soviétique (et son fameux « Vive la paix ! »), de son rôle au Comité national des écrivains ou de son attitude durant l’épuration. Pas facile avec un écrivain qui plaide pour le mentir-vrai sans jamais sacrifier son souci du réel. On se souvient comment son biographe Philippe Forest a montré ce que le personnage peut avoir de « tordu », cynique et calculateur, joueur fasciné par le pari, accumulant des contradictions qui ajoutent à sa complexité.
« Sa façon simpliste de se référer au marxisme, le ton exalté, lyrique et excessivement enthousiaste doivent s’expliquer par le contexte historique, la personnalité d’Aragon, ce en quoi il croyait. On sait que beaucoup d’écrivains avaient la même optique que lui ou s’en rapprochaient. Plus difficiles à faire comprendre sont les références à Staline qui, pour Aragon, et d’ailleurs beaucoup d’autres, n’était pas le personnage que nous connaissons. Il était l’homme qui conduisait tout un peuple sur la voie révolutionnaire. Ce qui est maintenant présenté comme stalinien avec tout ce que ce mot peut comporter de négatif, était à ses yeux et l’est longtemps resté, la voie révolutionnaire » (Marie-Thérèse Eychart)
Pas sûr qu’on lui rende service, et qu’on rende justice à son œuvre, en louant si souvent sa virtuosité, jusques et y compris dans ses essais. Une anaphore passée à la postérité (« Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant/ Vingt et trois… ») ne suffit pas à faire oublier son appel aux « Soviets partout ! » dans la France de 1934. Mais refuserait-on de lire Flaubert en raison de ses positions politiques sur la Commune, Baudelaire sur le second Empire, Victor Hugo parce qu’en 1832 il était monarchiste libéral etc ? Longtemps, Aragon fut l’alibi pratique d’une droite excipant de son ouverture d’esprit en louant haut et fort son œuvre poétique pour mieux mépriser le reste. François Nourissier, qui fut de ses fidèles, se sentait tenu, lui, de monter au front pour clamer la puissance subversive de Blanche ou l’oubli de « cet aîné magnifique et déroutant ». C’était un duelliste dans l’âme (son père l’amena jeune à la salle d’armes) qui montrait une grande capacité à réagir positivement à l’impossible, quitte à vivre en permanence au bord du chaos. C’est peu dire qu’il aimait foutre le bordel : il n’était jamais meilleur que dans les situations de crise, de débâcle et de débandade.
On trouvera aussi dans cette ultime Pléiade quelques utiles piqures de rappel sur des faits méconnus tout à son honneur. Ainsi sa préface à La Plaisanterie de Milan Kundera, texte et auteur qu’il avait apportés à Gallimard en plein « printemps de Prague » par lui soutenu. Alors, que faire d’Aragon en 2025 ? Le lire, pardi ! Les enjeux liés au communisme ayant été emportés avec l’effondrement du mur de Berlin, Aragon et son œuvre souffrent désormais de l’indifférence, ce qui est pire. Il est temps que le monument sorte du purgatoire. Mais tout est à prendre dans cette « œuvre mosaïque » et les Essais littéraires ajoutent à son génie pour le meilleur et, parfois, pour le pire.
(« Louis Aragon » photo D.R. dessins Henri Matisse, 1943)
1 577 Réponses pour Aragon, combien de divisions ?
qui a parlé de Neruda ?
bravo ! c’est une super idée de mettre en parallèle ces 2 poètes communistes : Neruda et Aragon.
ah oui c’est moi, ça m’étonne pas.
si passou devait nous pondre un article sur Neruda il serait probablement plus élogieux.
d’ailleurs j’ai retrouvé par exemple ce billet de passou, en 2020, à peine 5 ans et on a l’impression que c’était il y a 60 ans :
https://larepubliquedeslivres.com/le-chili-au-coeur/comment-page-6/
Melville, oui.erci,MC
en 2020 on pouvait lire sur ce blog sous la plume de Bloom des trucs du genre :
« Pablo Neruda était très ami avec le grand poète pakistanais Faiz Ahmed Faiz. Dans la grande maison pleine de vie de la fille de ce dernier, à Lahore, trône une belle photo de ces deux géants, différente de celle que l’on trouve sur le Net:
Tous deux servirent un président / premier ministre socialiste qui fut renversé et assassiné par la junte militaire: Salvador Allende pour Neruda, Zulfikar Ali Bhutto pour Faiz. Tous deux mirent leur talent au service du combat pour la liberté. »
« Tous deux mirent leur talent au service du combat pour la liberté »
étonnant non ?
t’en penses quoi closer du bolchévique Neruda ?
tu l’aurais plutôt envoyé à Buchenwald ?
en 2020 sur le blogapassou on pouvait lire des commentaires du genre :
« Pinochet est tellement sûr de lui sur la photo, plein de morgue dictatoriale. Un salaud intégral et un criminel accompli. »
aujourd’hui dirait que la France aurait dû s’allier avec Pinochet pour combattre les bolchéviques !
comme il dit que c’était stupide d’imaginer que la France devait s’allier aux soviétiques pour combattre les nazis.
et ça c’est l’évolution en 5 ans !
Son jet privé n’explosera pas en plein vol mais il y a de l’eau dans le gaz:
Les places Neruda comme les squares Gagarine sont nombreuses en France, dear Puck, les rues Alexis Carrel débaptisées, de quoi se plaint le peuple
en 2020 sur le blogapassou on pouvait lire des commentaires du genre :
puck dit: 2 juillet 2025 à 8h24
Pablo75 dit: 19 août 2020 à 17h37
La « Complainte de Pablo Neruda » (1948) de Louis Aragon est un « poème » spécialement nul, en partie à cause des concessions stupides à la rime et à la métrique (ce « Don » dans « De Don Pablo Neruda », comme si Neruda était un vieillard de 90 ans ou un chef de la mafia !!):
« Comment croire comment croire
Au pas pesant des soldats
Quand j’entends la chanson noire
De Don Pablo Neruda. »
Il y a des strophes débiles écrites par un poète de 50-51 ans. On dirait le résultat d’un atelier d’écriture pour ados dans une Fête de l’Humanité des années 70:
« Lorsque la musique est belle
Tous les hommes sont égaux
Et l’injustice rebelle
Paris ou Santiago ».
« Mon pays contradictoire
Jamais libre ni conquis
Verras-tu sur ton histoire
Planer l’aigle des Yankees ».
On ne dénoncera jamais assez les ravages des idéologies sur la littérature en général et sur la poésie en particulier. Dans « Canto general » que je relis depuis quelques semaines, on trouve des choses étonnamment nulles dans un poète capable d’écrire de la grande poésie comme Neruda:
« El pueblo es el cimiento de la patria.
[…]
Stalin dijo: « Nuestro mejor tesoro
es el hombre »,
los cimientos, el pueblo.
Stalin alza, limpia, construye, fortifica,
preserva, mira, protege, alimenta… »
*
Pablo75 dit: 20 août 2020 à 7h08
Le poème sera ensuite intégré au grand recueil de l’auteur, El Canto General, cinquième et dernière partie du poème La Arena. Traicionada », sous le titre Gonzalez Videla, El Traidor de Chile (Epilogo).
Marie Sasseur dit:
Je viens de le relire. C’est très mauvais. Ce n’est pas de la poésie, mais un pamphlet en prose coupée. Le Neruda politique est bien plus nul que je le pensais (déjà quand il y a très longtemps j’avais lu « Canto general » après « Residencia en la Tierra » j’avais trouvé la chute dans la qualité poétique énorme). Ce qui est normal, la démagogie étant incompatible avec la poésie.
Plus je lis Neruda et plus je le trouve mauvais (à part ses 3 premiers livres) et plus je lis César Vallejo et plus je le trouve bon. Vallejo était communiste aussi, mais lui il était beaucoup plus poète qu’idéologue, un poète pur, de naissance, comme Holderlin, Lorca ou Rilke. Son « ami » Neruda savait très bien cela et c’est la raison pour laquelle il l’a laissé crever de misère à Paris, sans bouger un petit doigt, ce que tous les admirateurs de Vallejo ne le pardonneront jamais. Comme avec sa fille hydrocéphale, Neruda a été une ordure avec le poète péruvien, le meilleur pour moi qui a écrit en espagnol depuis les poètes du Siglo de Oro. Neruda était un type prétentieux et opportuniste, avec une morale très sélective et un cynisme à toute épreuve.
*
Pablo75 dit: 20 août 2020 à 7h43
Il ne faut pas oublier non plus que Neruda fait dans « Canto general » l’éloge de Staline plusieurs fois. J’en ai cité déjà des vers nuls sur lui. Il en a écrit d’autres particulièrement ridicules:
« En tres habitaciones del viejo Kremlin
vive un hombre llamado José Stalin.
Tarde se apaga la luz de su cuarto.
El mundo y su patria no le dan reposo.
Otros héroes han dado a luz una patria,
él además ayudó a concebir la suya,
a edificarla
a defenderla.
Su inmensa patria es, pues, parte de él mismo
y no puede descansar porque ella no descansa. »
Etc, etc.
Et en même temps il appelle dans ce livre « hijos de perra » ses anciens amis Gerardo Diego et Dámaso Alonso (poètes importants de la Generación del 27), parce qu’ils sont restés en Espagne après la guerre civile et accuse les poètes Juan y Leopoldo Panero d’avoir assassiné Lorca, alors qu’ils n’ont rien à voir avec sa mort.
Quelle différence avec ce chef-d’oeuvre de César Vallejo qu’est « España, aparta de mí este cáliz », un livre où il n’y a pas un gramme de « non poésie ».
ces 2 poètes communistes : Neruda et Aragon.
puck dit: 2 juillet 2025 à 8h15
2 poètes staliniens, tu aurais dû dire, PPPPPPPP (Puck la Pathétique Pute Pétomane Pro-nazie Payée Par Poutine)
Comme ordure morale, Neruda fait bien mieux qu’Aragon…
en 2020 Bloom écrivait sur Neruda :
Le petit court (sic) n’a pas bien compris, alors on va lui ré-expliquer, sans illusion aucune, car il est de l’école des cadavres « plutôt Hitler que Staline ».
1.
Le régime stalinien a effectivement commis un génocide en Ukraine. Les Turcs ont effectivement commis un génocide en Arménie. Les colons blancs en Amérique ont effectivement commis un génocide à l’endroit des populations autochtones. Les Khmers rouges ont effectivement commis un génocide à l’encontre des opposants au régime. Mao a délibérément fait mourir de faim sa propre population. L’extermination des Tutsis par les Hutus est un génocide.
2.
Le caractère « unique » de ce qu’il est convenu d’appeler la Shoah, terme auquel je préfère celui de destruction des juifs d’Europe, est bien décrit par Eberhard Jäckel : « L’assassinat des Juifs par les nazis a été quelque chose d’unique (einzigartig) parce que jamais encore auparavant un Etat n’avait décidé et annoncé sous l’autorité de son responsable suprême qu’un certain groupe humain devait être exterminé, autant que possible dans sa totalité, les vieux, les femmes, les enfants et les nourrissons inclus, décision que cet Etat a, ensuite, appliquée avec tous les moyens qui étaient à sa disposition. »
3.
Quant à la mise en regard de « la Shoah » et de la Kolyma, Enzo Traverso écrit: « Auschwitz et la Kolyma demeurent des gigantesques univers de mort, ce qui n’enlève rien aux différences de nature de ces deux crimes, liées autant à leurs objectifs qu’à leurs méthodes. Dans un cas, la terreur, les déportations et les exécutions à une échelle de masse visaient – avec des conséquences parfois non calculées – à réaliser des buts sociaux et politiques : procéder à une transformation de l’économie par la collectivisation des campagnes, puis consolider le régime en place en éliminant ses opposants réels ou potentiels ; dans l’autre, l’extermination à la chaîne des Juifs – de même que celle des Tziganes – avait perdu tout caractère instrumental, était devenue la finalité du régime et fut mise en oeuvre de façon systématique en dépit de son irrationalité économique et militaire dans les conditions de la guerre »
«
closer un jour où j’aurais le temps je vous enseignerai la vérité historique sur l’Holodomor comme je l’ai sur le Pacte germano-soviétique.
vous verrez que comme pour le pacte germano soviétique la vérité historique de l’holodomor est très différente de la propagande que vous bouffez bêtement.
À) Ceci n’engage que Bloom. B) On dit encore, dans Le Cid, Don Diegue et Don Gormas, et ce ne sont pas des chefs de mafias. Quant aux vieillards de quatre vingt dix ans , il faut les chercher dans « les Burgraves » de Hugo, tous d’âge canonique,
MP.
Il sera fait de la Suisde 4 départements français et une région administrative « Alpes helvètes ».
Le numéro 96 (ancienne Algérie française) sera réemploi.
Les 4 nouveaux départements seront numérotés 96A, 96B, 96C et 96D.
En parlant de déguisements régionaux qui n’ont que deux siècles d’existence, on ne peut pas ne pas parler du goût indéniable de Förster-Nietzsche pour les déguisements.
Jetez un coup d’oeil sur internet. C’est une fashion addict ! Son goût va vers des costumes très lourds. Très très lourds.
Sur la célèbre photo où elle reçoit Arturo, peu de temps avant d rendre l’âme, elle porte une saillante tenue dont je n’arrive pas à démêler si c’est un costume de vieille, ou quelque chose de régional. De la région de Weimar donc.
La tour Eiffel ? Cela me fait penser à un détail non mentionné à propos de Louis Andrieux : la jeune veuve qu’il avait épousée était née Hélène Kœchlin (même famille de la haute bourgeoisie protestante que l’ingénieur et le compositeur).
Mme Sasseur a donc disparu mystérieusement comme un opposant politique dans un pays du Tiers-Monde.
Oui ce matin, elle avait retrouvé une taille plus normale.
Autre oubli de ma part, à propos de Drieu cité comme témoin de moralité — à charge, bien sûr — contre Aragon qui ne lui aurait pas pardonné de lui avoir prêté de l’argent…
en oubliant de préciser que cette générosité très « grand seigneur » s’exerçait avec l’argent de sa belle-famille (transposée sans élégance ni délicatesse excessives dans les Pragen de « La comédie de Charleroi »).
Pas besoin de « percer à jour » Drieu, il le fait très bien tout seul dans son Journal : derrière le dandy, l’homme du ressentiment.
Trump et Musk, c’est Tom et Jerry.
« les rues Alexis Carrel débaptisées »
Les statues de Bugeaud, de Lamoricière et du duc d’Aumale sont toujours sur les murs du Louvre.
@Poutine ? A l’instar de renato, tout baigne ; il prend un bain de soleil et fait quelques longueurs cul nu en mer Arctique, le réchauffement climatique et le grand dégel des ressources sont pour lui une bénédiction, à tous égards … si seulement le reste du monde pouvait ne pas exister qu’il dirait Bibi la Fripouille
C’est du sérieux …sinon du nouveau
Du climato-scepticisme à la glorification du réchauffement climatique
Tom et Jerry sont indispensables l’un à l’autre.
Las.
Poutine a raison, les cycles géophysique sont les causes principales du réchauffement climatique. L’activité humaine découlant de sa surpopulation incontrôlée ne faisant que l’accélérer constamment. Voir ce qu’est une accélération constante en physique.
@ »Du climato-scepticisme à la glorification du réchauffement climatique »
Jeannot Lapin t’es vraiment un mec bizarre.
quand on tu parles de Gaza tu donnes l’impression d’avoir compris comment l’occident fabrique fabrique la figure de l’ennemi, celui qu’il faut détruire à tout prix, quitte à tuer tous les enfants et les vieux.
et quand tu passes à la Russie tu changes complet de logiciel et tu oublies la façon dont l’occident fabrique la figure de l’ennemi.
et pourtant avant Poutine t’en as eu une flopée : Saddam, Kadhafi, Bachar,, les talibans, et maintenant les iraniens.
et à chaque ça fonctionne de la même façon : nous incarnons le Bien et eux ils incarnent le Mal et dont nous devons mener la Guerre Juste, la Croisade pour les libérer même si cela suppose de tous les dégommer au passage.
sérieux t’es vraiment un mec hyper zarbi.
limite j’aimerais pas t’avoir comme voisin parce que t’es hyper flippant tellement t’es zarbi.
donc Poutine milite pour le réchauffement climatique.
donc ça veut dire qu’il est pour la destruction de la planète.
donc ça veut dire qu’il représente une menace existentielle.
donc ça veut dire qu’il incarne le Mal Absolu.
donc ça veut dire qu’il faut….
qu’il faut quoi en fait ? mettre des sanctions ? attaquer la Russie ?
quelqu’un peut-il me dire ce qu’il faut faire contre la Russie avant que Poutine ne détruise la planète à cause du réchauffement climatique ?
pedro !!!!!!! tu veux faire quoi ? donne-nous la voie !
ceux qui représentent une menace existentielle c’est pas les Russes c’est nous !
parce que le monde est en train de changer ! comme ils disent il est en train de créer un nouvel ordre mondial et ce nouvel ordre mondial c’est un ordre mondial où l’occident n’est plus le patron !
du coup le monde est en train d’échapper à notre contrôle.
on l’a vu avec les sanctions quanbd l’autre dit avec nos sanctions on va mettre la Russie à genou ! pourquoi il a dit ça ? parce qu’il imaginait vivre dans un monde où l’occident représente l’essentiel de l’économie du monde.
on retrouve le même truc quand Boris Johnson explique qu’il demandé aux ukrainiens de ne pas signer les accords d’Istanbul en mars 2022 pour ne pas que l’occident perde son hégémonie.
le mec il a fligué 1 million d’ukrainiens juste pour ne pas perdre une hégémonie qui de toutes façons est perdue !
donc le mec il a sacrifié 1 million d’ukrainien pour rien !
closer qui n’en est plus à 1 million près va dire ouai mais 1 million c’est toujours moins pire que l’holodomor.
c’est juste pas une raison !
Boris Johnson devrait être poursuivi par la CPI !
sauf qu’on l’aura peut-être remarqué, mais les crimes de l’occident ne sont jamais poursuivis par la CPI.
pour le moment.
pour l’Iran il s’est passé un truc marrant dans les médias mainstream américains.
Trump a bombardé 2 sites nucléaires.
le lendemain CNN et les autres ont dit : non, ce bombardement n’a servi à rien, nous n’avons rien détruit, il faut envoyer des troupes américaines pour être sûr de tout détruire !
ces journalistes bellicistes qui essaient de pousser Trump à la guerre aux aussi ils devraient être poursuivis par la CPI
parce que ces journalistes bellicistes représentent eux une vraie menace existentielle !
en Russie on a les mêmes ! limite il faut remercier le Ciel que Poutine soit leur patron.
déjà suite à l’attaque terroriste de la salle de concert à Moscou les mecs ils voulaient envoyer un bombe nucléaire sur Kiev !
c’est là où l’on voit que les occidentaux sont des branques !
si les russes envoient une bombes nucléaire tactique sur Kiev que feront les occidentaux ?
par exemple quand les ukrainiens ont envoyé des drones sur le Kremlin imaginons qu’un de ces drones tue Poutine : la doctrine russe dit que dans ce cas la réplique est nucléaire !
dans ce cas :
la France prendra-t-elle le risque de riposter ? non !
l’Angleterre prendra-t-elle ce risque ? non !
les américains prendront-ils ce risque ? non !
aucun pays occidental ne mettra son peuple en danger pour protéger les ukrainiens !
là on voit toute l’hypocrisie de l’occident !
c’est même pas de l’hypocrisie c’est le comble du nihilisme
Non, pas d’éditions de Pascal sous le manteau en France. Et, de mémoire, les tirages des Provinciales et des Pensées sont plutôt forts. En revanche la première édition des Pensées suit moins Pascal que la courbe des inquiétudes des habitants de Port Royal. Cf entre autres, la place donnée à l’article Mahomet.
même closer qui nous bassine avec l’holodomor il est prêt à sacrifier tous les ukrainiens pour assouvir sa russophobie !
pour ça que ces lamentations sur l’holodomor c’est tout du flan !
sérieux vous êtes des putains d’hypocrites tous quye limite il faudrait vous mettre sous verre pour vous étudier dans les universités !
MC non je suis sûr que Pascal a publié des trucs en utilisant un faux nom.
je me trompe ? si c’est pas lui c’est Descartes ? non Descartes était un trouillard de première il n’aurait jamais osé prendre des risques !
sérieux quand Descartes a appris que Galilée avait été condamné il a refusé de sortir un bouquin à lui de peur de finir comme lui.
comme si Descartes pouvait écrire un bouquin ayant une portée scientifique…
l’époque où les philosophes étaient multitâches ne les a pas aidé.
déjà quand ils font qu’un truc comme Onfray c’est déjà pas un cadeau, mais dès qu’ils se mettent à en faire plusieurs à la fois du genre je suis spécialiste en astronomie, en médecine, en physique, en chimie etc… là ça devient n’importe quoi.
le seul qui s’en est tiré à ce jeu ces Pascal, c’est pour ça qu’on dit de lui qu’il est un « anti-philosophe », c’est le terme employé pour dire qu’un philosophe n’a pas merdé comme les autres.
,
Jjj a raison : ,
Puck et D, c’est Jerry et Tom !
Pour Neruda, puck, lire Pablo…
Tu peux te garder tes leçons sur Holodomor et le Pacte germano soviétique.
Le Livre Noir du Communisme est une excellent source; le livre de Nicolas Werth sur Staline aussi.
Encore deux mois pour visiter l’exposition Francisco de Zurbarán à la National Gallery de Londres.
Les Provinciales ont été éditées clandestinement sans le nom de Pascal.
… ne nourrissez pas le troll !
,,
De quel grand roman est extrait ce passage ?
« Qu’est-ce qu’un jour ? un espace insensible : à peine a-t-on le temps de se retourner, que déjà la nuit vient. Ainsi donc rien de plus sage que de passer directement du lit à la table. »
Jazzi dit: 2 juillet 2025 à 14h41
De quel grand roman est extrait ce passage ?
Le Satyricon de Petrone.
sans le nom de Pascal : sous le pseudonyme de Louis de Montalte.
Le jeune Aragon « alors en pleine possession de son prénom et d’une ombre de moustache » (Adrienne Monnier) :
Il s’était abonné à la bibliothèque de prêt de La maison des livres trois mois après l’ouverture de la librairie — où il pouvait croiser (entre de nombreux autres dont certains l’intéressaient sans doute davantage) Darius Milhaud, le diplomate lettré Henri Hoppenot et sa femme Hélène) ; sa fiche témoigne d’une boulimie de lectures analogue à celle dont faisait preuve Hemingway chez Shakespeare and Company.
Au passage : partant du principe qu’une éventuelle méprise est préférable et qu’il vaut mieux saluer par erreur quelqu’un que l’on ne connaît pas plutôt que de manquer à des personnes de connaissance que l’on se réjouit de croiser à nouveau, un salut cordial à Sibylle Pythie.
christiane dit: 19 août 2020 à 18h47
Rose, Jibé et JJJ,
ce texte l’Élégie à Pablo Neruda) fait en réalité partie d’un recueil lyrique commun de 40 pages qui entremêle des citations de poèmes de Louis Aragon et de Pablo Neruda, paru chez Gallimard en 1966.
Des strophes évoquent la maison détruite :
« Pablo la vie au bout du compte la maison de notre vie / Même debout tu le sais bien n’est jamais qu’un château de cartes / L’étrange c’est précisément qu’elle demeure ainsi debout /
Et pour l’homme et pour la maison crouler est soudain naître.[…]
où tout le passé meurt que tombe l’homme ou tombe la maison […]
Et je suis dans le ciel ses mouettes chansons / Après nous qui s’en vont en quête d’autres Andes / Entre mourir et non mourir cet homme-ci / a fait son choix croyant qu’il n’était pas trop tard / d’à vivre ou d’à périr préférer la guitare/ Et pour mieux l’écouter les mots s’étaient assis. […]
Je connais ce souffrir de tout qui donne bouche de tourment »
Un dialogue… Dans l’Élégie, Aragon cite des vers de Neruda : « N’est large espace que douleur et n’est univers que de sang / Si loin que j’aille rien n’y change. »
Les deux poètes étaient contemporains s’étaient rencontrés à Paris en 1937 lors d’un congrès contre les fascismes. Les deux couples sympathisèrent, s’écrivirent (E.Triolet/Aragon et Neruda/Délia del Carril) et font des voyages ensemble. Neruda sera proche d’Aragon lors de la mort d’Elsa.
Lors de ce tremblement de terre où la maison de Pablo Neruda fut détruite, Louis Aragon écrivit son Élégie qui donna naissance au recueil.
Ici, https://www.youtube.com/watch?v=S7ZB5Ja8kOw,
Erik Orsenna en lit un extrait.
Merci, Puck, d’avoir remis en ligne ce beau billet de Passou. Relisant les commentaires de 2020, j’ai retrouvé ces mots que je ne renie pas.
En page 1 Rosanette / DHH avait écrit un beau commentaire sur le film « La facteur », si magnifiquement interprété racontant la rencontre dans une île au sud de l’Italie de ma lo Neruda en exil et de ce jeune facteur qui lui portait son courrier. Belle et cruelle rencontre où la poésie fait lien. Mais le départ et l’oubli de cette amitié par Pablo Neruda laissé beaucoup d’amertume à la fin du film…
Un autre Louis, une autre œuvre de circonstance (pratiquant déjà la superposition des époques pourtant « incomparables »)
Richard II Quarante
Ma patrie est comme une barque
Qu’abandonnèrent ses haleurs
Et je ressemble à ce monarque
Plus malheureux que le malheur
Qui restait roi de ses douleurs
Vivre n’est plus qu’un stratagème
Le vent sait mal sécher les pleurs
Il faut haïr tout ce que j’aime
Ce que je n’ai plus donnez-leur
Je reste roi de mes douleurs
Le cœur peut s’arrêter de battre
Le sang peut couler sans chaleur
Deux et deux ne fassent plus quatre
Au Pigeon-Vole des voleurs
Je reste roi de mes douleurs
Que le soleil meure ou renaisse
Le ciel a perdu ses couleurs
Tendre Paris de ma jeunesse
Adieu printemps du Quai-aux-Fleurs
Je reste roi de mes douleurs
Fuyez les bois et les fontaines
Taisez-vous oiseaux querelleurs
Vos chants sont mis en quarantaine
C’est le règne de l’oiseleur
Je reste roi de mes douleurs
Il est un temps pour la souffrance
Quand Jeanne vint à Vaucouleurs
Ah coupez en morceaux la France
Le jour avait cette pâleur
Je reste roi de mes douleurs
@ un salut cordial à Sibylle Pythie.
Pmp, en outre, un souvenir ému à Samuel Paty.
,,,
un autre communiste, une œuvre aussi de circonstance :
Neuf cent mille prisonniers
Cinq cent mille politiques
Un million de travailleurs
Maîtresse de leur sommeil
Donne-leur des forces d’homme
Le bonheur d’être sur terre
Donne-leur dans l’ombre immense
Les lèvres d’un amour doux
Comme l’oubli des souffrances
Maîtresse de leur sommeil
Fille femme soeur et mère
Aux seins gonflés de baisers
Donne-leur notre pays
Tel qu’ils l’ont toujours chéri
Un pays fou de la vie
Un pays où le vin chante
Où les moissons ont bon coeur
Où les enfants sont malins
Où les vieillards sont plus fins
Qu’arbres à fruits blancs de fleurs
Où l’on peut parler aux femmes
Neuf cent mille prisonniers
Cinq cent mille politiques
Un million de travailleurs
Maîtresse de leur sommeil
Neige noire des nuits blanches
À travers un feu exsangue
Sainte Aube à la canne blanche
Fais-leur voir un chemin neuf
Hors de leur prison de planches
Ils sont payés pour connaître
Les pires forces du mal
Pourtant ils ont tenu bon
Ils sont criblés de vertus
Tout autant que de blessures
Car il faut qu’ils se survivent
Maîtresse de leur repos
Maîtresse de leur éveil
Donne-leur la liberté
Mais garde-nous notre honte
D’avoir pu croire à la honte
Même pour l’anéantir.
un poète soviétique :
Je dévorerais la bureaucratie comme un loup,
je n’ai pas le respect des mandats,
et j’envoie à tous les diables paître
tous les « papiers ».
Mais celui-là…
Longeant le front des compartiments et cabines,
un fonctionnaire bien poli s’avance.
Chacun tend son passeport, et moi je donne
mon petit carnet écarlate.
Pour certains passeports on a le sourire,
d’autres on cracherait dessus.
Au respect ont droit, par exemple,
les passeports avec lion anglais à deux places.
Mangeant des yeux le brave monsieur,
faisant saluts et courbettes,
on prend comme on prend un pourboire,
le passeport d’un Américain.
Pour le Polonais on a le regard
de la chèvre devant l’affiche.
Pour le Polonais le front est plissé
dans une policière éléphanterie
d’où cela sort-il et quelles sont ces
innovations en géographie ?
Mais c’est sans tourner le chou de la tête,
c’est sans éprouver d’émotions fortes
qu’on reçoit les papiers danois
et les suédois de diverses sortes.
Soudain, comme léchée par le feu,
la bouche du monsieur se tord.
Monsieur le fonctionnaire
a touché la pourpre de mon passeport
Il le touche comme une bombe,
il le touche comme un hérisson,
comme un rasoir à deux tranchants,
il le touche comme un serpent à sonnettes,
à vingt dards, à deux mètres de longueur et plus.
Complice a cligné le regard du porteur,
qui est prêt à porter vos bagages pour rien.
Le gendarme contemple le flic,
le flic le gendarme.
Avec quelle volupté la caste policière
m’aurait fouetté, crucifié,
parce que j’ai dans mes mains,
porteur de faucille,
porteur de marteau,
le passeport soviétique.
Je dévorerais la bureaucratie comme un loup,
je n’ai pas le respect des mandats,
et j’envoie à tous les diables paître
tous les « papiers », mais celui-là…
Je tirerai de mes poches profondes
l’attestation d’un vaste viatique.
Lisez bien, enviez
— je suis
un citoyen
de l’Union Soviétique.
un autre immense poète communiste :
« Les étoiles n’avaient qu’un rôle :
M’apprendre à lire
J’ai une langue dans le ciel
Et sur terre, j’ai une langue
Qui suis-je Qui suis-je ? »
(Mahmud Darwich)
Oui, Puck, absolument. Mahmud Darwich.
Les Oiseaux. Je ne vois pas de réalisateur actuel capable de transmettre le malaise subtil du texte de Daphné du Maurier, notamment parce que représenter et redéfinir le concept d’éloignement ne semble pas être un enjeu d’actualité. Cela dit, cinéma mis à part, comparer un livre à un film n’est pas une démarche intelligente ; toutefois, quiconque veut apprendre à écrire devrait lire attentivement, démonter et remonter, puis relire avec encore plus d’attention Les Oiseaux.
3 magnifiques poèmes d’un immense écrivain et poète communiste :
@Jeannot Lapin t’es vraiment un mec bizarre.
Tu vois keupu, les gens bizarres, pour reprendre ton qualificatif, sont ceux qui comptent sur Bibi la Fripouille, Ubu le Margoulin et les terroristes sanguinaires du Hamas qu’ils ont financés pour faire la paix à Gaza et en Palestine … Quant à Vlad l’Empaleur, que serait une troïka planétaire de criminels sans lui ?
x, il me semble entendre la grande Colette Magny.
s’il fallait expurger du 20è siècle toutes les oeuvres des poètes, écrivains, musiciens, peintres etc… communiste !
tous ces artistes communistes avaient en commun d’être portés par un souffle, une puissance, des espérances etc.. que quand j’entends tout cela réduit au goulag et aux crimes staliniens sérieux ça refile la nausée !
en fait ce blog est devenu un repère de gens nauséeux, juste une fachosphère bas de plafond.
en fait ce n’est pas que vous ne savez pas lire, que vous ne savez regardez un film, que vous ne savez pas écouter la musique c’est juste que vous êtes bas de plafond genre supporters de foot bourrés.
mais en fait ce n’est pas vous, c’est le monde, c’est l’époque.
je ne même pas sûr que même Paul Edel serait encore capable de nous parler de Brecht.
… autrement dit, ceux qui croient une paix durable possible quand ont été écarté des discussion de manière préventive et dictatoriale, tout ce que le monde peut compter de leviers efficaces pour faire la paix, hommes et femmes de bonnes volontés inclus ; bref, quand on est entre soi entre voyous
écartés (les encartés aussi)
Hors les Provinciales publiées sous le faux nom de Montalte, mais publiées , ce qui n’en fait pas une œuvre sous le manteau, je n’en vois pas. D’autant que le pseudonyme ne trompait personne. MC
Jeannot Lapin tu en connais des palestiniens ?
si tu en connais demande leur ce qu’ils pensent des russes !
sans les russes des palestiniens il ne resterait plus qu’un souvenir !
parce que toi tu comptes sur Macron pour s’en occuper des palestiniens ?
tu sais ce que t’es ? une épave.
Les palestiniens sont représentés aux Nations Unies, keupu
Et non, il ne renonce pas à publier. Mais comme Gallilee, il avance masqué. Des accusations d’athéisme pouvant conduire au bûcher sont opportunément déjouées en 1619…Par ailleurs, dans une circonstance critique de sa vie, il est tout à fait capable de faire un pèlerinage à ND de Lorette, et est en bonnes relations avec le milieu ecclésiastique : Mersenne, les Jésuites, etc. ( il en a jusque dans sa famille!) . Ce n’est pas le Descartes pour l’Universite. C’est. Un homme entre 16eme et 17 eme siècle.
MC
« Les deux poètes étaient contemporains s’étaient rencontrés à Paris en 1937 lors d’un congrès contre les fascismes. Les deux couples sympathisèrent, s’écrivirent (E.Triolet/Aragon et Neruda/Délia del Carril) et font des voyages ensemble. »
Christiane dit: 2 juillet 2025 à 15h42
Dans quelle langue s’écrivaient et parlaient? Aragon et Elsa parlaient l’espagnol? Neruda et Delia del Carril parlaient le français? Communiquaient-ils en russe?
s’il fallait expurger du 20è siècle toutes les oeuvres des poètes, écrivains, musiciens, peintres etc… communiste ! tous ces artistes communistes avaient en commun d’être portés par un souffle, une puissance, des espérances etc..
PPPPPPPP (Puck la Pathétique Pute Pétomane Pro-nazie Payée Par Poutine)
Va dire cela à tous les grands écrivains en général et poètes en particulier massacrés par les communistes partout où le communisme a régné.
Si tu veux comprendre le communisme et tu as le courage (ce qui m’étonnerais chez quelqu’un qui a l’âme fasciste comme toi) lis le « Réquiem » d’Anna Akmathova.
Dans son introduction, Ana Akhmatova raconte :
« J’ai passé dix-sept mois à faire la queue devant les prisons de Leningrad. Un jour, quelqu’un crut me reconnaître. Alors, derrière moi, une femme aux lèvres bleuies et qui n’avait jamais entendu mon nom sembla s’éveiller de la torpeur où nous étions toutes plongées et me chuchota à l’oreille (là-bas, nous ne parlions toujours qu’à voix basse) :
– Et ceci, vous pourriez le décrire ?
Et j’ai répondu :
– Oui.
Alors, quelque chose comme un sourire glissa sur ce qui, un jour, avait été son visage. »
REQUIEM : ÉPILOGUE, I
Et j’ai appris comment s’effondrent les visages,
Sous les paupières, comment émerge l’angoisse,
Et la douleur se grave sur les tablettes des joues,
Semblables aux pages rugueuses des signes cunéiformes ;
Comment les boucles noires ou les boucles cendrées
Deviennent, en un clin d’œil, argentées,
Comment le rire se fane sur les lèvres sombres,
Et, dans un petit rire sec, comment tremble la frayeur.
Et je prie Dieu, mais ce n’est pas pour moi seulement,
Mais pour tous ceux qui partagent mon sort,
Dans le froid féroce, dans le juillet torride,
Devant le mur rouge devenu aveugle.
(Traduction du russe par Paul Valet).
Regarde aussi ce qui lui est arrivé à Ossip Mandelstam pour avoir eu le courage d’écrire un poème contre ton idole Staline…
@tu sais ce que t’es ? une épave.
Une épave à marée basse, si tu permets, keupu
Attention, l’eau peut tuer plus vite que l’alcool:
« Canicule : ce risque méconnu pour la santé lié à une surconsommation d’eau »
Alain Bashung – Tant de nuits
https://www.youtube.com/watch?v=KOzVfkZOgiQ&list=RDKOzVfkZOgiQ&start_radio=1
l’exposition Francisco de Zurbarán à la National Gallery de Londres.
Chouette nouvelle, je pensais justement m’y rendre à la nage!
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Francisco_de_Zurbar%C3%A1n_031.jpg
Pourtant attentive, je ne garde pas le souvenir souvenir du tableau dans la collection permanente.
renato, sur quelle montagne vous etes- vous réfugié ? les scientifiques ont relevé zerodegré à 4000 ou plus dans les Alpes, c’est plus qu’inquiétant.
« Les palestiniens sont représentés aux Nations Unies, keupu »
regarde sur une carte les pays qui à l’onu reconnaissent un état palestinien, ensuite tu superposes cette carte à celle montrant les pays qui appliquent des sanctions contre la Russie et ensuite tu me dis ce que tu en penses.
Pablo 17h 05. Ce n’est pas faux! Un homme comme Ramuz a été fasciné par cette Révolution, ce qu’il exprime dans Besoin de Grandeur, sans jamais tomber dans les communisteries de rigueur. Si donc Ramuz a été fasciné, combien d’autres qui n’avaient pas sa résistance! Le problème est qu’en France on veut des papes et des dogmes.,,, MC
https://pablo-neruda2-france.blogspot.com/2012/12/pablo-neruda-et-louis-aragon.html
Pablo Neruda et Louis Aragon.
renato, emprunté un bouquin de Sandor Marai / en pensant à vous:
» Ecrit en 1974, SM vit alors en Italie, ce roman autour de la figure de Giordano Bruno, où s’entremelent passé lointainet passé proche, révèle un aspect inédit del’oeuvre du grand écrivain hongrois. Nourri de l’expérience de la guerre, du fascisme, et du stalinisme qui poussera Marai à l’exil, il expose le regard lucide d’un homme sur l’idéologie totalitaire, conçue pour broyer la volonté et la dignité humaines. »
X. Je vous signale la vente des toiles du fils légitime d’ d’Hélène Koechlin, Alfred Louis Andrieux, demi-Frere de celui qui nous occupe. Le tableau choisi par la librairie Comellas est plutôt une bonne surprise. Bien à vous. MC
18.15 quand même, Ste Agathe portant ses seins amputés dans une soucoupe, moij, ce tableau m’a marqué durablement à une époque où on ne connaissait pas encore les mamectomies réparatrices. En revanche, St Denis portant sa propre tête décapitée dans ses mains, où ai-je vu cette de représentation ?…
Je nage itou dans le Channel,
,,,,
27 minutes pour entendre Pablo Neruda parler en Français de la guerre d’Espagne. Un grand partage entre lui et Louis Aragon.
B, la « barre » du zéro degré à largement dépassé les montagnes et les 5000 mètres dans les Alpes ces derniers jours
a largement dépassé
keupu, tu es aussi nul en cartographie que tu es bon pour superposer les âneries à propos de l’ONU
Koechlin ? C’est Rock and Folk (pour compléter ou nuancer la fiche établie par x sur cette famille ; fiche digne de la meilleure des stasi actuelles : celle qui te répertorie et te classe selon ta supposée confession, traditionnelle ou pas … cela en République Une (indivisible), laîque, démocratique et sociale … ; le public de ce cul de basse fosse serait-il orienté ?)
Il etait peut-etre en réserve lors de mes visites.
Aragon parlait et traduisait plusieurs langues étrangères.
« les écrivains ou artistes étrangers communistes amis du couple Elsa Triolet-Aragon (l’Espagnol Rafael Alberti, le Chilien Pablo Neruda, le Brésilien Jorge Amado, l’Italien Alberto Moravia, pour ne citer qu’eux) ont-ils, lorsqu’ils ont pu le faire, joué un rôle spécifique dans la diffusion et la réception de son œuvre dans leur pays d’origine ».
Rions un peu
« Pierre Haski: aux États-Unis, «on assiste à une offensive généralisée contre le journalisme» »
Parmi mes livres, j’ai les quatre volumes du Traité de l’orchestration de Koechlin ?
« (…) Interrogé sur la situation des journalistes à Gaza depuis le 7 octobre, Pierre Haski, qui est aussi président de “Reporters sans frontières”, déplore le nombre “sans précédent dans une période aussi courte” de confrères tués, pour “certains, on le sait, délibérément ciblés”. “L’accès de la presse internationale au territoire du conflit est aujourd’hui interdit. Ça fait plus de trois mois qu’aucun journaliste ne rentre librement à Gaza. En termes d’accès à l’information, c’est sans précédent”, alerte-t-il. »
18h54 RFI le 02/07/2025
18h58 France Inter le 20/01/2024
Trump, un élan de liberté ou de licence ?
C’est au Castor Astral
https://www.babelio.com/livres/Koechlin-Memoires-de-rock-et-de-folk/302546
Exact, Nicephore !
B, de Sandor Marai, avez-vous lu « Braises »?
Inoubliable.
« Les Braises », pardon…
Oui – inoubliab’ anéfé. Tout le monde l’alu ou devrait l’avoirl. Bàv. Buvez de l’o, histoire de.
J’en résume l’anecdote pour les lecteurs.trices à venir, qui ne se savent pas ce qu’iels ont perdu.
—-
L’action se déroule dans un château à la campagne, en Hongrie. Les deux personnages, le Général et Conrad, ont passé ensemble leur jeunesse jusqu’à ce que Conrad disparaisse subitement pour ne venir voir son ancien ami qu’une quarantaine d’années plus tard. À travers l’évocation des souvenirs du Général dans les premiers chapitres, puis le dialogue entre celui-ci et Conrad, l’histoire de l’amitié entre les deux hommes se révèle progressivement ainsi que les différences qui les opposent. Le Général, originaire d’une famille aristocratique et fortunée, fonde ses principes moraux sur les valeurs militaires héritées de son père, alors que Conrad, issu d’un milieu cultivé mais modeste, n’a que peu de goût pour l’armée mais possède un grand sens artistique.
La tension dramatique du récit est entretenue par une série de révélations et de coups de théâtre et le sens réel de la fuite de Conrad n’apparaît qu’à la fin. Aux questions multiples que lui pose le général, Conrad n’apporte pas de réponse directe, c’est au lecteur qu’il convient de trouver celle dont le caractère se devine. C’est toute la force de ce récit qui parfois prend la forme d’une enquête a posteriori.
Le récit aborde en réalité le thème de la fidélité rendue difficile par la différence de condition entre les hommes (Conrad n’est pas seulement moins riche que le Général, il est également son obligé). Il témoigne d’une vision plutôt pessimiste des relations humaines. Le récit décrit aussi la fin de l’Empire Austro-Hongrois et le bouleversement des sociétés et de l’ordre européen au cours du XXème siècle.
—-
Voilà. Bàv, D.
bre…, closer versus renato. De quoi ?
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Sandor Marai fit aussi une fiction sur Merlin, Me semble-t-il …,
Non
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Son journal, récemment publié en français en 3 tomes chez AM, est par ailleurs tout à fait passionnant. Enfin, c’est mon avis.
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20h02 : oui, récemment.
Le récit aborde en réalité le thème de la fidélité rendue difficile par la différence de condition entre les hommes
Pas tout à fait d’accord avec cette lecture.
Christiane
Il postino.
La petite île italienne part des Îles éoliennes. Départ de la péninsule de Milazzo, à mi chemin de Stromboli. Îles Éoliennes — Wikipédia https://share.google/9RMgjxfftgjRvweHE
est part
Jean Langoncet,
• lorsqu’il est question de Mulhouse et de l’Alsace (à l’origine, puisqu’après 1870 il fallut choisir), admettez que l’on a affaire à une situation particulière
• proposez-vous de mettre Max Weber à l’Index Républicain ?
• (au cas où vous me liriez avec une attention extrêmement soutenue, ce dont j’ai pourtant tout lieu de douter : la MacIntyre connection et l’intérêt pour l’éthique des vertus, mentionnés en passant, n’impliquent pas une adhésion au « communitarianism » politique ; il m’est aussi arrivé de mentionner le regretté Georges Corm…)
• une attitude « faith/denomination blind » peut être exigible sur le plan légal et au présent, mais comment l’imposer aux études historiques sans les mutiler ou les empêcher ?
• s’agissant de Louis Andrieux, je suppose que cette particularité offrait les avantages du « beau mariage » sans affecter son positionnement politique (très proche de celui prêté au Dr Barbentane dans Les beaux quartiers)
• car enfin, ce n’est pas comme si Aragon ne s’intéressait pas à ces aspects du « monde réel » : « Les Schoelzer-Bachmann sont une dynastie industrielle d’Alsace, qui défie les guerres et les annexions, grâce au fil SB qu’ils fabriquent et fabriqueront tant que le monde sera monde, c’est-à-dire tant qu’il y aura des actionnaires, des dividendes, des ouvriers. » (ibid.)
Toute ressemblance avec DMC (Dollfus-Mieg et Compagnie)…
Puisqu’avec un curieux sens des proportions vous évoquez la Stasi et le fichage, je vous signale que l’on trouve dans les mémoires de Louis Andrieux, À travers la République, réunies par hasard sur une seule et même page (298) mais avec un effet cocasse pour nous, les mentions suivantes :
— la préfecture de police, évidemment (fonction exercée de mars 1879 à juillet 81) … et le nom « Nuñez »
(mais il s’agit du duc de Fernan Nuñez, ambassadeur d’Espagne, auquel Louis Andrieux « avai[t] pu rendre quelques services », auquel il me semble fort peu probable que Laurent Nuñez-Belda soit apparenté)
— et, tenez-vous bien, le patronyme « Henckel de Donnersmarck » : « l’agent de Bismarck », « le mari de la Païva » — et là on reste en famille (est-il seulement permis de le dire ?)
(En passant, et même si je l’ai déjà dit, Christian Petzold était beaucoup plus subtil avec son film Barbara — mais on peut au moins reconnaître un mérite à Florian H von D : on ne regarde plus de la même façon les distributeurs de prospectus, ou plutôt on les regarde tout court, ils sont enfin devenus visibles)
x, vous savez vous montrer concise et lapidaire, par parenthèse
@La tour Eiffel ? Cela me fait penser à un détail non mentionné à propos de Louis Andrieux : la jeune veuve qu’il avait épousée était née Hélène Kœchlin (même famille de la haute bourgeoisie protestante que l’ingénieur et le compositeur)
Incidemment, sur ce modèle, comment qualifieriez vous votre propre famille ?
Puisque j’ai évoqué Le Castor Astral, je signale cette parfaite édition bilingue de Brautigan
https://www.castorastral.com/livre/cest-jai-a-declarer/
C’est tout ce que j’ai à déclarer
Hélène Kœchlin
Beaucoup d’homonymes.
Vu Indomptables
Vu aussi Mission Impossible.
Grandes jubilations.
Dans le nom Koechlin « oe » n’est pas entrelacé.
P.S. Étant de la même famille que le compositeur.
Je l’ai trouvée (mais pas sa première noce)
Alfred Koechlin-Steinbach (1825-1872), industriel et homme politique. Il épouse Henriette Élisabeth Suzanne Frauenfelder (1832-1910), fille adoptive de Jean-Georges Steinbach.
Hélène Koechlin (1851-1928) épouse Louis Andrieux, homme politique.
Georges Maximilien Koechlin (1854-1904), officier de cavalerie, industriel à Belfort. Il épouse sa cousine Laure Kœchlin (1862-1935), fille de Frédéric Armand Léon Koechlin (1828-1910) et de Mathilde Louise Kullmann (1839-1881).
Geneviève Laure Mathilde Koechlin (1883-1946) épouse son cousin Rodolphe Emile Koechlin (1874-1916), fils de Rodolphe Koechlin (1847-1920) et de Julie Engel dite Emma (1849-1947).
renato dit: 2 juillet 2025 à 14h34 … ne nourrissez pas le troll ! // Ne réveillons pas les drolls… qui d’ordin-aire dorment et dînent.
Rien ne nous rend si grands qu’une grande douleur (sic – AdM)
des herbes à écouvillons et des eulalies, partout. Des férules, aussi.
Koechlin vs Kœchlin. Entrelarder (ou non) l’e pris dans l’o ? Je sais, lourd, mais en passer par là, le matin.
Vitupérer les vipères ovovivipares (de sombres alliter[]ations) – Des coupes claires.
festival d’Avignon (le)
Nicolas, Léa, Claude & les autres. Marie-Pierre.
Lapidaire et concise. Et juste. et très pro, toujours, malgré la canicule.
Je reviens te chercher.
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et si tu es resté insensible aux aventures de Justine, Balthazar, Mountolive et Cléa, et bien…, je ne ferai jamais d’affaires avec toi.
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Je vais bientôt tâcher la découverte, JL… merci. Nos goûts sont souvent proches. ———– Bàv,
« Sous la plume de Richard Brautigan, l’humour fait de l’œil au tragique, la fantaisie flirte avec la métaphysique et l’absurdité file le parfait amour avec la satire. Plus jeune (et moins speed) que Kerouac, plus frais que Charles Bukowski et plus fun que Thomas Pynchon (…), Brautigan est d’emblée à l’exact diapason d’une génération dont l’ambition première est de déverrouiller les portes de la perception. Au petit jeu consistant à remettre en cause le témoignage des sens et à pointer la concomitance plasticité du réel, cet écrivain d’un genre nouveau est sans égal ».
Plût au ciel.
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ok pour les communisteries, dans ce cas faut aller jusqu’au bout de votre raisonnement :
interdire les expos de Picasso parce qu’il était communiste
interdire les pièces de Brecht raison idem
pourquoi pas interdire les films de Guédiguian …
pedro c’est ça ce que tu veux ? si tu étais ministre de la culture ou ministre du controle de la pensée tu interdirais les pièces de Bertold Brecht ?
en plus je suis sûr que vous êtes tous complètement capables.
Où les voyous en costard cravate persévèrent dans le non-être : à peine sorti de l’affaire des assistants parlementaires fictifs, qui a valu à MLP une retentissante condamnation, voilà le RN confronté à un nouveau scandale financier. Un rapport confidentiel de l’administration du Parlement accuse le RN et ses alliés d’avoir dépensé de façon irrégulière 4,3 millions d’euros de crédits européens.
La suite promet.
Nietzsche parlait de moraline.
là ce n’est plus ça, en fait vous nous faites de la morale de boutiquier où vous comptabilisez les bons et les mauvais points.
l’article de passou sur Aragon pareil, 2 colonnes : bien, pas bien, morale de boutiquier !
la morale de boutiquier ne laisse pas de place audoute, pas d’interstices où se glisserait un soupçon de tragique, non il faut que les briques de la prison mentale dans laquelle vous vous enfermez soient parfaitement joints, pour rendre votre pensée hermétique !
c’est ça la morale de boutiquier !
de la petite morale à 2 balles pour petit esprit de comptable !
JJJ – 7h18
Les aventures de Justine,
Balthazar,
Mountolive et
Cléa, …
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Merci pour ce souffle épicé venu de la ville mythique d’Alexandrie…
Ce quatuor, toujours aussi voluptueux, mystérieux, cruel…
Lawrence Durrell nous a laissé son rêve. C’est d’abord celui d’une ville cosmopolite.
question : d’où vient ce besoin de s’enfermer dans une prison mentale ?
si après la chute du mur tout s’était passé selon une certaine logique historique alors le communisme s’effondrait et l’occident sortait grand vainqueur.
si tout s’était passé comme ça vous n’auriez pas besoin de prison mentale et de morale de boutiquier : vous verriez ces artistes communistes de haut, vous les tolèreriez.
sauf que tout ne s’est pas passé comme prévu.
JD Vance l’a dit lors de son discours de Munich, il a dit « quand je regarde l’Europe j’ai le sentiment de voir les vaincus de la guerre froide ».
pour ça que les petits esprits faibles comme Macron tabassé par sa meuf sont bien capables de nous déclencher une 3è guerre mondiale !
d’où cette peur qui crée ce besoin chez vous de construire à nouveau un mur, mais cette fois c’est un mur mental, qui permet de rejeter à l’extérieur tout ce qui vous fait peur pour tenter de vous sécuriser.
des petits esprits avec leur morale de bourtiquier dont la peur leur fait rejeter une partie du monde !
rose dit: 2 juillet 2025 à 21h47
Christiane
Il postino.
La petite île italienne part des Îles éoliennes. Départ de la péninsule de Milazzo, à mi chemin de Stromboli. Îles Éoliennes… »
Merci Rose.
C’est vrai que le cadre de cette île donne au film sa saveur mais l’histoire de ces deux hommes l’emporte.
L’un croit vraiment à cette amitié mourra en attendant que son »grand écrivain » revienne. L’autre, Neruda, repris par sa vie d’écriture et de combats, l’oubliera, enfin presque… l’identité profonde de ce jeune homme amoureux qui ne veut pas être pêcheur comme tous les hommes de son île, qui veut écrire d’abord parce qu’il est amoureux ensuite une parole enregistrée sur le gros magnétophone oublié par Neruda. Une parole pour raconter son île à celui qui est parti, sans se retourner, à celui qui n’enverra aucune lettre.
C’est un conte cruel greffé sur la vie de Neruda qui a connu exil et persécution.
Un type vraiment sympathique ce Neruda !
« Sur le plan de sa vie privée, la parution posthume en 1974 de son autobiographie intitulée J’avoue que j’ai vécu (Confieso que he vivido), suscite aussi la controverse : dans cet ouvrage, l’auteur raconte avoir violé une femme de chambre, alors qu’il était consul de Ceylan en 1929. Il raconte ainsi qu’après que cette femme intouchable a refusé ses avances, il a attrapé son poignet et l’a emmenée dans sa chambre, où ils ont eu une relation pendant laquelle cette femme est restée impassible telle une « statue », les yeux grands ouverts. Il considère dans ses mémoires qu’ « elle avait raison de [le] mépriser ».
En décembre 1930, il épouse une Hollandaise, Maryka Hagenaar (qu’il renomme Maruca), avec qui il aura une fille : Malva Marina Reyes, née le 18 août 1934. L’enfant est hydrocéphale (volume anormal de liquide cérébrospinal). Pablo Neruda prend la décision de ne pas la reconnaître et d’abandonner sa femme. Sans aide financière de Pablo Neruda, malgré ses lettres de supplication, Maryka se voit contrainte de confier Malva Marina Reyes à un couple néerlandais qui l’adopte. »
Le 3 juin 1994, Troisi achève Il postino ; le lendemain il décède.
Charles Koechlin a tout de même signé un Livre de La Junhle? Une Symphonie des sept Stars ( dont Garbo, Chaplin) et d’autres remarquables choses. Il ne me paraît pas qu’il y ait entrelac.
Renato,
Oui, terrible. Il n’aura jamais vu son film…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massimo_Troisi
Il est tout à fait extraordinaire dans le rôle du facteur.
Jungle!
Il est assez probable que SP soit MS.
https://diacritik.com/2016/05/30/massimo-troisi-la-paresse-et-la-pudeur/
Un portrait de diable de cet acteur et une réflexion fine sur la place des dialectes régionaux dans le cinéma et la littérature italienne. Je pense à Pasolini.
de diable / sensible
et si vous arrêtiez de refaire sans cesse l’histoire à votre mesure, et sans y mettre d’H ?… et si interrogiez vous-même votre propre prison mentale de boutiquier ? Pourquoi toujours ces qualificatifs dépréciatifs pour de la sorte vous humilier sans cesse à longueur de journée, comme dans la complainte du Renart bétourné de Rutebeuf ? Ce n’est vraiment pas bien, pensa-t-elle. Vous ne viviez pas dans nos mêmes époques et ne parlez finalement qu’à vous-même, comme tout bon chrétien pro russe, affecté d’écholalie.
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Comment les contemporains de Balzac comprenaient le panonceau à la porte la pension Vauquer « Pension des deux sexes et autres » ?
* Comment les contemporains de Balzac comprenaient le panonceau à la porte de la pension Vauquer : « Pension des deux sexes et autres » ?
« Je pense à Pasolini. »
L’ancêtre immédiat de Pasolini et de Zanzotto est Gadda. Il existe cependant une grande tradition italienne d’utilisation des langues minoritaires, car celles-ci ne sont pas l’expression d’une autre Italie, ni de groupes ethniques perdants par rapport à la langue dominante. Déjà Croce disait que la littérature dialectale implique le partage d’une norme littéraire considérée « non pas comme un ennemi, mais comme un modèle ». Il n’est pas utile d’entrer ici dans l’histoire, il suffit de dire que l’idée est que la langue naît dans la rue.
@ Il postino. La petite île italienne part des Îles éoliennes. Départ de la péninsule de Milazzo, à mi chemin de Stromboli. Îles Éoliennes.
Pour moi…, plutôt Positano. Et l’un des derniers et attachants romans de Goliarda Sapienza.
https://unlivreunetassedethe.fr/products/rendez-vous-a-positano
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« Par ailleurs, dans une circonstance critique de sa vie, il est tout à fait capable de faire un pèlerinage à ND de Lorette, et est en bonnes relations avec le milieu ecclésiastique : Mersenne, les Jésuites, etc. ( il en a jusque dans sa famille!) . »
Il était chrétien. Il suffit de lire « Les Méditations métaphysiques » pour s’en convaincre. Il y a une démonstration de l’existence de Dieu.
@ Il est assez probable que SP soit MS.
Totalement improbable (Kamel Daoud).
@ Pension des deux sexes et autres… (Cora V.) voulait dire : … pour des couples hétérosexuels et/ou des célibataires.
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À Bruxelles, la controversée Fondation humanitaire de Gaza tente en vain de sauver son image
Article de RFI
La Fondation humanitaire de Gaza (GHF) soutenue par les États-Unis et Israël, mais remise en cause par l’ONU et des dizaines d’ONG internationales, n’aura bientôt plus droit de cité en Suisse pour des raisons administratives. En l’espace de cinq semaines, plus de 600 Palestiniens ont été tués alors qu’ils attendaient leurs cartons de nourriture, 4 000 autres ont été blessés… Dans ce contexte, GHF a organisé ce mercredi 2 juillet, à Bruxelles, une conférence de presse pour rendre des comptes.
Devant les journalistes, Johnnie Moore, président exécutif de la très controversée Fondation humanitaire pour Gaza tente, en vain, de sauver son image : « Ce que nous lisons dans les médias, ce n’est pas quelque chose que nous avons vu en réalité. Il n’y a pas eu un seul incident de violence sur nos sites de distributions. Le soi-disant ministère de la Santé, totalement contrôlé par le Hamas, qui est une organisation terroriste, sort des statistiques tous les jours et les attribue à 100% à des civils qui attendant de l’aide… mais c’est très clair qu’il s’agit d’une tentative de délégitimer ce que nous faisons pour nourrir les Gazaouis. »
Ce chrétien évangélique et ancien conseiller de Donald Trump développe un discours infondé, contredit par l’épreuve des faits. Sa fondation a été à l’origine d’une violence meurtrière, confrontée au chaos sur ses sites de distribution, et à une démission jusque dans ses propres rangs. Inébranlable, Johnnie Moore va jusqu’à réfuter les rapports des Nations unies et des organisations internationales humanitaires. Celles qui ont l’expérience du terrain, sont sur place. Pour lui, ce ne sont « que des déclarations politiques ». « Leurs chiffres viennent de personnes ou d’organisations qui sont directement affiliées au Hamas, ou qui ont été, à notre connaissance, infiltrées par le Hamas », avance encore Johnnie Moore.
En boucle, les arguments s’amoncellent : « Le Hamas est responsable des morts », « il y a un coût à payer pour pouvoir faire des affaires », « nous sommes des professionnels, alors laissez nous faire ! » Toujours est-il que 170 ONG appellent à revenir à l’ancien système de distribution d’aide humanitaire.
Des ONG déplorent de nombreux morts
La GHF, organisation caritative privée officiellement basée aux États-Unis avec des financements opaques, a commencé ses opérations le 26 mai après qu’Israël a interrompu les flux d’aide alimentaire à Gaza pendant plus de deux mois, en dépit des avertissements de risque de famine. La mise en place de cette aide a donné lieu à des scènes chaotiques, l’armée israélienne ayant fait feu à plusieurs reprises pour tenter de contenir des centaines de Palestiniens désespérés. L’ONU et les principales organisations d’aide ont refusé de travailler avec la GHF, affirmant qu’elle servait les objectifs militaires israéliens et violait les principes humanitaires de base.
Le bureau des droits de l’homme de l’ONU a déclaré la semaine dernière que depuis le début des opérations de la GHF, « l’armée israélienne a bombardé et tiré sur des Palestiniens essayant d’atteindre les points de distribution, causant de nombreux décès ». Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a de son côté déclaré, le 27 juin, que 500 personnes avaient été tuées « sur des sites de distribution de nourriture militarisés non liés à l’ONU » au cours des deux semaines précédentes. Le même jour, l’organisation médicale Médecins sans frontières (MSF) a déclaré que « chaque jour, les équipes de MSF voient des patients tués ou blessés en essayant d’obtenir de la nourriture sur l’un de ces sites ». Il a demandé le démantèlement immédiat du programme.
Ah je ne suis pas le seul à m’interroger sur la présence sur la statue de Bugeaud sur la façade nord du Louvre. En 2021 Julien Bayou n’en voulait pas.
Son journal, récemment publié en français en 3 tomes chez AM
what’s zat AM, dear JJJ ? 8 volumes pour le journal de Maraï en hongrois, la traduction française doit faire des choix, souvent agaçant d’interrompre le fil des jours, en particulier quand il s’agit de négocier avec les Soviétiques pilleurs violeurs mais qui respectent bêtement la qualité « d’écrivain ». Sur le lac Balaton, le commandant soviétique a fait murer la bibliothèque du château d’un noble local, retrouvée intacte soixante ans plus tard. Séféris a plus de chance que Maraï avec ses traductions en français.
Il postino. Les extérieurs ont été tournés à Procida en Campanie, et à Salina et Pantelleria en Sicile ; les intérieurs ont été tournés principalement à Cinecittà.
* Ah je ne suis pas le seul à m’interroger sur la présence de la statue de Bugeaud sur la façade nord du Louvre.
AM : albin michel
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L’endive a souffert des fortes chaleurs, inutile de le nier.
Elle est résiliente mais, comme Phil, elle a des limites.
Le plan climat devra impérativement comporter un large volet traitant des cultures d’endives et des méthodes innovantes et écologiques permettant de maintenir sa production quasi-constante du fait de son essentialité.
en fait c’est quoi la dynamique dans la quelle l’occident est-elle en train de s’enfoncer et dont les les échanges ici donnent un aperçu ?
parce que si on revient à aujourd’hui on a quoi comme paysage ?
bon l’oligarchie qui possède les médias et qui choisissent nos gouvernants en fonction de la protection de leurs intérêts personnels et au détriment des intérêts du peuple français, bon ça c’est une chose.
si on regarde à l’international sera le genre humain on a quoi ?
bon tous les mensonges genre sur les menaces existentielles inventées pour des raisons obscures mais néanmoins réelles.
je veux dire tout le monde sait que tout ça c’est des mensonges, notre président met son costume noir et sa cravate noire pour dire « l’heure est grave, la menace existentielle d’un pays qui fait croire au monde qu’à Paris on trouve des punaises de lit… » ok tout ça c’est acté, pas de soucis…
non, le plus grave c’est l’Ukraine !
les partis nazis en Ukraine représentent moins de 5% de la population ! c’est peanuts ! en principe on devrait même pas en parler.
sauf que les anglais, la cia, les français et les allemands ont réussi à faire en sorte de mettre au pouvoir ces 5% !
là, arrivé à ce point il faut prendre 2 minutes, se poser, bien respirer et réfléchir à c’est quoi que ça veut dire que nos gouvernants prennent ces individus pour les mettre à la tête d’un pays comme l’Ukraine.
là stop ! on efface tout ! et on réfléchit !
parque que là on passe direct au pacte germano soviétique à un autre type de pacte, un pacte d’un autre ordre !
à partir de ce nouveau pacte qu’on pourrait appeler « pacte occidentalo-azovien » commencer à penser il nous faut !
sauf que le moyen de ne pas penser ni parler de ce pacte occidentalo-azovien le mieux c’est quoi ? contnieur de parler du pacte germano soviétique !
et là on comprend le pourquoi de cette morale d’épicier !
cqfd !
Château des Festetics à Kezsthely, difficile à prononcer pour les Français de Trianon dear dédé, sur le Balaton. Magnifique bibiothèque, protégée du pillage soviétique, par un Soviétique.
non en fait je préfère une autre appellation à ce nouveau pacte : le « pacte occidentalo-banderiste »
je trouve que comme nom c’est mieux.
pacte occidentalo-banderiste.
oui c’est cool comme nom, j’aime bien.
d’où la résurgence de tous ces souvenirs du soviétisme : violeurs et pilleurs de bibliothèques.
parce qu’on aurait pu en parler il y a 6 mois, ou 2 ans, en fait non : on en parle aujourd’hui !
pourquoi ? pour à la fois justifier et consolider ce nouveau pacte franco-banderiste !
comme disait closer : entre les soviets et les nazis vous ne croyez tout de même pas qu’on allait choisir les soviets !
je trouve ça génial de voir dire une vérité si longtemps dissimulée de façon aussi spontanée !
non vous n’allez tout de même pas croire…
sérieux c’est génial !
Pour votre gouverne, dear dédé dear Puck, Maraï explique le besoin de violer du Soviétique par la taille de son équipement viril trois pièces, bien moins dégrossi que celui des occidentaux. Baroz donnera son avis.
Tu as vu. Puck, comment j’ai placé le mot essentialité, comme ça, mine de rien ?
Parce que ce qui fait le bonheur des peuples, c’est la réponse aux essentialités.
Ainsi, annexer et conserver la région des Alpes helvètes, autrement appelées Suisse ou Switzerland par d’autres, avec toutes ses richesses en or et devises, dont nous avons besoin, nous les Français, est essentiel.
B évoque Sandor Marai, je me souviens de mon enthousiasme à la lecture des Braises, dudit Marai…et hop c’est parti pour des controverses à propos des Mémoires! Personne n’aime vraiment la fiction finalement sur ce blog.
Crétin de puck, nous nous sommes bien alliés avec Staline finalement quand celui ci a été obligé, je dis obligé, par l’opération Barbarossa (sinon il était ravi de partager l’Europe avec Hitler) de faire la guerre aux nazis.
T’es obsédé par la Suisse D! Mais quand tu l’auras annexée, où toi et Renato mettront leur pognon???
Rien qu’en or, on peut estimer à au moins 1500 tonnes ce qui est stocké en Suisse par les banques et l’état.
Plus vraisemblablement 2000 tonnes.
Soit près de 100 milliards d’euros.
4300 milliards d’euros y sont stockés en billets de banque de monnaies forte.
Total : 4400 milliards d’euros.
Le coût militaire et administratif de l’annexion de la Suisse est évalué à 50 milliards d’euros, puis 25 milliards par an sur 5 ans (environ).
Soit 125 milliards d’euros.
Bénéfice net : 4275 milliards d’euros + un petit appareil industriel et agricole productif.
Bien évidemment il faut faire participer les voisins entourant la Suisse, tous pays de l’UE.
l’Allemagne récupère la province de Zurich et participe à l’annexion et au maintien de l’annexion. Elle récupère 30 % en or et espèces.
L’Italie récupère une partie des Alpes helvètes et 25 % en or et espèces.
La France 40 % et la plus grande part du territoire ont Genève et Lausanne, Berne, Bâle, Lucerne. Étant à l’origine du projet. L’Autriche 5 % parce qu’elle n’a pas le choix.
»L’Oligarchie qui choisit les gouvernants », ça remonte à Pompidou, au moins!!! Curieux cet attachement à de vieux épouvantails…
D
La Banque de France publie mensuellement l’encours des réserves en or, exprimé en milliers d’euros et en millions d’onces. Il s’élevait, fin mai 2023, à 78,3 millions d’onces, soit 2 436,8 tonnes. Ce chiffre n’a pas varié depuis 2009, date des dernières ventes d’or.
Surement un gilet de sauvetage.
Hier, après 3/4 de projection de « L’Accident de piano » au UGC les Halles, panne électrique dans tous le Forum, comme la veille !
Nous avons dû quitter les lieux dans l’obscurité.
Grande frustration à un moment capital du film…
Baroz donnera son avis.
Encore faudrait-il qu’il ait eu des contacts avec le service secret!
« autrement appelées Suisse ou Switzerland par d’autres »
Ou CH (Comté helvétique), dans les mots croisés.
« Tu as vu. Puck, comment j’ai placé le mot essentialité, comme ça, mine de rien ? »
bien sûr, rien de ce que tu fais mine de rien ne m’échappe.
Sur les 4275 milliards d’euros disponibles, il faut cependant considérer que :
– 30 % seront exfiltrées par des milices privées.
– 40 % devront être garantis aux clients, notamment US, GB, Ça, AU, F, NL, Ru et Emirats pour avoir carte blanche et tous les feux au vert concernant l’opération.
On ne récupère au final que 1300 milliards d’euros au total soit plus de 500 milliards pour la France. Au pire. C’est tout bénef.
Quelle idée d’aller au ciné dans ce quartier pourri des Halles alors qu’il y a tant de salles sympa qui donnent sur rue au Quartier Latin!
Et du coup ça devient essentiel.
Selon la rumeur en cours dans les milieux autorisés, Phil, le trois pièces des Suédois est généralement beaucoup plus conséquent : mieux que les Slaves ou les Africains, les Scandinaves…
Je me disais exactement la même chose. Closer. Quelle idée…
Jazzi, si par une nuit d’été un spectateur…
Renato, puis MC, vous avez parfaitement raison pour la graphie (absence de ligature, ou d’entrelacs ? enfin, le « e » n’est pas dans l' »o »), merci de l’avoir signalé. Voilà ce que c’est d’écrire les noms propres « à l’oreille »…
D. tu sais, mine de rien, en parlant de facteur (postino) j’aime bien l’idée de savoir que la lumière nous parvient de certaines étoiles qui n’existent plus où moment où nous percevons cette lumière.
c’est comme si nous recevions des lettres envoyées par des milliards d’étoiles qui, lorsque nous recevons leurs lettres, n’existent plus.
à partir de là tu pourrais me demander mine de rien, et tu aurais raison de le faire mine de rien, quel intérêt de recevoir toutes lettres d’étoiles mortes au moment où nous les recevons ?
je te répondrais, mine de rien, que c’est surtout pour garder à l’esprit que nos vérités ne correspondent qu’à une infime parte de la réalité, c’est cette infime partie que nous pouvons alors appeler « essentialité ».
si tu ne m’as pas suivi je peux te le redire autrement, même en russe si tu veux, mine de rien.
MC l’oligarchie du temps de Pompidou est une oligarchie qui n’a aucune mesure avec l’oligarchie actuelle, quand je dis aucune mesure il faudrait la considérer sous l’angle d’une développement des nombres premiers allant jusqu’à un niveau proche de l’infiniment grand.
ah ce brave Pompidou… c’était le bon temps.
non aujourd’hui c’est autre chose : la pire nouvelle pour Macron est qu’il vient d’être lâché par Bernard Arnault, et être abandonné par Arnault c’est un truc terrible.
être abandonné par Arnault c’est kifkif des types qui ont aidé les américains en Afghanistan et qui se sont retrouvés seuls au monde quand les américains se sont barrés en catastrophe.
le mec il te fait président et un jour vlan ! il te lâche, niveau dramaturgie c’est limite intenable.
Jean Langoncet, vous aussi vous avez raison : il y a toujours un côté de son discours que l’on ne perçoit pas, angle mort ou tache aveugle — parce que l’on suit son idée, assuré(e) de ses (bonnes) intentions — et c’est précisément ce côté-là qui saute aux yeux de l’interlocuteur et dont il se saisit… d’où l’effet « mais quelle mouche l’a encore piqué ? », l’auto-justification, etc.
Mais, effectivement, donner l’impression d’assigner quelqu’un à une appartenance alors que soi-même on signe « x » — et ce, qui plus est, dans un échange à propos d’Aragon, ce n’est pas le summum de l’habileté.
MC vous savez où l’on voit la différence entre le temps de Pompidou et aujourd’hui.
du temps de Pompidou il existait plusieurs type de médias allant de l’extrême gauche à l’extrême et sur un fait donné chacun donnait son point de vue qui différait de celui des autres.
aujourd’hui c’est fini : prenez n’importe quel fait et vous verrez qu’il ne règne en France qu’une chose : l’uniformité !
pour ça je me marre que j’entends les mecs se foutres des soviets : limite dans l’empire soviétique il existait une diversité d’opinions plus large qu’aujourd’hui en France !
c’est là que l’on voit la puissance de frappe de l’oligarchie aujourd’hui !
et ça, croyez-moi, ou ne me croyez pas : c’est du jamais vu ! c’est de l’inédit !
limite il faut remonter à Vichy pour retrouver une pareille unicité de la pensée.
alors que du temps de Pompidou vous aviez encore Aron qui mettait sur la tronche avec Sartre, c’était le bon temps.
Vu, hier soir sur Arte, »De rouille et d’os » film (2012) de Jacques Audiard avec Marion Cotillard et Matthias Schoenaerts.
C’était le seul film que je m’étais abstenu d’aller voir au cinéma de Jacques Audiard.
A cause du sujet trop humanitairement correct et larmoyant et de Marion Cotillard, actrice qui m’insupporte.
J’avais tort, le traitement qu’en fait le cinéaste est excellent (un de ses meilleurs films) et le jeu du couple principal, la sans jambe et le bad boy au coeur tendre, superbe et émouvant !
Comme quoi, il ne faut pas toujours suivre ses propres impulsions…
si on considère ceux présents ici comme un panel représentatif des français on en a l’illustration.
limite ça sert à rien d’être si nombreux vu que vous répétez tous la même chose !
comment ils disent les angliches ? boring ?
en bolchévique on dit skuchny.
« Vu, hier soir sur Arte »
Arte est probablement la chaine télé qui déverse le plus gros flot de propagande anti russe de toutes les chaines !
j’ai vu des émissions sur Arte totalement démentielles dans lesquelles ils accumulaient les mensonges, la désinformation et la propagande !
je sais pas si tous les mecs qui travaillent dans ce truc orwellien sont tous des potes de BHL et de Glucksmann mais là ils sont passés complet dans la force obscure…
d’ailleurs BHL a fait des trucs sur l’Ukraine financés par Arte (donc avec nos impôts) que même les ukrainiens ont trouvé ça hallucinant !
sauf les bandéristes !
BHL c’est le meilleur copain des bandéristes !
limite les mecs du bataillon Azov se font font tatouer la tête de BHL sur les bras entre le soleil noir et les emblèmes de des Reich !
c’est pour ça que la génocide à Gaza quand BHL en parle pour lui c’est limite une opération humanitaire où les israéliens viennent délivrer les palestiniens.
D. souffre du syndrome du voleur — il y a un court passage du Tristram à ce sujet —.
MC, 2 juillet 2025 à 18h28 : merci de l’information.
Le plus curieux étant que « Alfred » figurait aussi parmi les prénoms donnés à Aragon ; « Quelle âme divine » s’ouvre sur l’appel des enfants : « Venez vite ! Victor ! Marie ! Alfred ! René ! » tandis qu’à l’autre bout, il y a bien sûr le dédoublement Anthoine/Alfred dans La mise à mort.
Closer, il est parfaitement légal de détenir de l’argent en Suisse : les comptes sont déclarés aux autorités étrangères par les banques elles-mêmes et le Trésor des pays de résidence récupère l’impôt.
On est en juillet et il fait très chaud, c’est pas normal disent les écologistes, c’est même mal, très mal, s’alarment-ils.
Si on avait eu de la neige, du verglas et un froid sibérien en ce même mois de juillet, les écolos auraient trouvé cela très normal !
Toujours alarmer les autres pour leur faire peur et les culpabiliser.
Telle est la bonne vieille méthode des inquisiteurs religieux, des tyrans, des dictateurs et autres despotes.
Qu’en pensent nos chers ayatollahs verts ?
C’est grâce aux milliards déposés dans leurs banques des dictateurs, des criminels de guerre et de toutes les mafias du monde, que les suisses vivent bien.
Le jour où tout ce beau monde déposera son argent sale ailleurs, les suisses deviendraient des mendiants.
Pauvre petit x,
Il prend la Rdl pour le Collège de France et il se croit le professeur Phénix des hôtes de ce bois !!!
La ridicule vanité de ce vieux corbeau qui se prend pour un paon est proprement comique !
Jazzi le merdeux,
Tes merdiques comptes-rendus des films de merde que tu nous affliges sur la Rdl ont la couleur du caca de tes ancêtres, les macaronis parasites ritalo-chiants !
Surtout que c’est une jeune femme cultivée et des plus distinguées, la petitixe…
M’enfin, les deux trolls habituels qui se la pètent ne sont pas à saprès…
@ « Comme quoi, il ne faut pas toujours suivre ses propres impulsions »…
Ben voui, on peut toujours l’espérer surtout chez des vioques genré punckt. Soyons résolument optimiste face à l’éradication partielle de la veulerie humaine. De manière générale.
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Puck. J’ai connu , avec sa femme, un Monsieur dont on parle encore et qui s’appelait Leonid Plioutch.
Je puis évidemment me tromper, mais je n’ai pas eu l’impression que de son temps , « dans l’ Empire Soviétique il existait une liberté plus grande qu’aujourd’hui. ». MC
Qu’en pensent nos chers ayatollahs verts ?
Au pays des aveugles les borgnes sont rois.
Tes merdiques comptes-rendus des films de merde que tu nous affliges sur la Rdl ont la couleur du caca de tes ancê
Ils nous les infligent ou nous en sommes infligés ( selon vous), il faut choisir.
Il nous les inflige, veuillez m’excuser ou le correcteur.
Où nous en sommes affligés, décidément !
J’ai retrouvé un vieil ami à la montagne. Nous avions fait plusieurs excursions à motos ensemble : Stelvio, Bernina, Splügen, Gothard. Puisque ma moto est au garage depuis sept ans, il veut l’acheter. Je dois donc nettoyer le moteur et l’emmener au contrôle technique, ce qui raccourcit mes vacances ; mais c’est une occasion de libérer de l’espace, donc c’est bon. Il reste étrange qu’il quitte Laverda pour une Ducati ; il a raison, mais c’est étrange.
trois pièces des Suédois
Merci dear Baroz pour votre update. Aucun Suédois menaçant les propriétés de Maraï à Budapest pour juger sur pièce et Eugène de Savoie qui partageait votre expertise avait refoulé les Turcs trois siècles plus tôt. Restaient donc les Russes, sévèrement membrés selon le constat de Maraï, stoïque comme tous les Hongrois habitués aux batailles perdues mais excellents clients des casinos.
« Pauvre petit x,
Il prend la Rdl pour le Collège de France et il se croit le professeur Phénix des hôtes de ce bois !!!
La ridicule vanité de ce vieux corbeau qui se prend pour un paon est proprement comique ! »
incroyable !
ça aussi c’est nouveau sur le blogapassou.
je veux dire reprocher à un type de dire des trucs trop intéressants, en plus bien écrits.
du genre ouai c’est trop intelligent ce que vous racontez, sérieux c’est chiant de lire des trucs intelligents.
vous pourriez svp mr écrire des trucs moins intelligents et moins intéressants svp ?
parce que nous n’avons aucun intérêt pour les trucs intéressants !
nous ce qui nous intéresse c’est les trucs inintéressants !
il parlait qu’à l’école c’est pareil.
ils appellent ça le nivellement par le bas qu’y parait.
tu veux quoi ? qu’on te parle des marques de bière ? du genre c’est quoi la meilleure bière irlandaise ?
ou des voitures ? si Mercedes c’est mieux qu’Audi ?
c’est ça qui t’intéresse dans ta vie de merde ?
il doit y avoir des endroits où on parle de foot et de bagnoles tu devrais y aller si là est ta place ?
« Je puis évidemment me tromper, mais je n’ai pas eu l’impression que de son temps , « dans l’ Empire Soviétique il existait une liberté plus grande qu’aujourd’hui. ». »
je n’ai jamais dit ça !
je n’ai jamais dit que du temps de Staline il existait une plus grande liberté qu’aujourd’hui en Russie !
j’ai dit que du temps de Staline il existait une plus grande liberté qu’aujourd’hui en France !
alors ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit svp !
ou alors si vous pouvez me prouver qu’aujourd’hui en France les journalistes font vraiment un travail de journaliste, ou alors s’il existe des débats contradictoires etc… donnez moi des exemples !
un exemple au hasard qui me vient à l’esprit dont pourtant je parle assez peu : la Russie.
trouvez moi un seul journaliste en France qui ne dise pas que la Russie représente une menace existentielle pour la France.
aucun !
et pourtant tout le monde sait que ce n’est pas vrai !
un truc répété par tous les journalistes sans exception bien qu’ils sachent tous sans exception que c’est faux et c’est un mensonge ça vous rappelle quoi ?
Lyssenko ? Staline ? Mao ? les Khmers ?
cqfd…
même ici même sur ce blog pourtant si libre d’esprit, j’y lis des trucs du genre :
« PPPPPPPP (Puck la Pathétique Pute Pétomane Pro-nazie Payée Par Poutine) »
si ça ce n’est pas de la rhétorique stalinienne qu’on me dise ce que c’est !
je ne sais pas trop c’est quoi cette petite chaine vidéo YT, ils sont peut-être de droit ou de gauche extrême, ils se disent « souverainistes » n’empêche qu’un journaliste de TF1, un certain Martin Weill, débarque chez eux et les interroge d’une façon assez flippante (ça démarre à 1mn40) :
pour nos chers ayatollahs verts, cqfd…, Embrigadons-nous derrière monsieur Retailleau, il va te les retailler fissa. Une menace existentielle ? et portant tous sans exceptions sachent que c’est un faux excérment. ça vous rapp’ pelle pas les émoliennes du croisé Stéphane Bergne qui nous coûtent un max de pognon ?
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mon bébé
lisse and co
(C’est la débandade dans la micro ferme à trolls interstellaire peuplée de spécimens soi-disant jeunes, jolis et brillants … la Nasa est à l’affut)
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