Autoédition : Zemmour et les autres feront-ils école ?
De quoi donner à méditer à l’éditeur qui m’éditait… C’est ce qu’a dû se dire Eric Zemmour en étant quitté par Albin Michel. Il ne s’est pas rendu chez un concurrent mais… chez lui afin de publier lui-même son livre paru il y a deux jours. Les 200 000 exemplaires se sont arrachés dès le premier jour, razzia annoncée par le fait que depuis quinze jours, l’ouvrage était déjà en tête des précommandes sur Amazon. Sa bonne fortune en librairie sera suivie par le monde politique, l’auteur ne cessant d’être depuis des mois le candidat le plus non-déclaré aux prochaines élections présidentielles, mais aussi par les éditeurs. Où va-t-on si tout auteur à succès se met à se passer de leurs services pour augmenter ses profits et y gagner une totale indépendance ?
Au début de l’été, après le divorce annoncé entre Zemmour et Albin Michel, les observateurs se livrèrent à un jeu de l’oie pour tenter de savoir qui publierait La France n’a pas dit son dernier mot auquel l’éditeur qui l’avait sous contrat reprochait officiellement d’avoir des allures de manifeste électoral. L’intéressé mit fin au mystère en modifiant les statuts de la SARL « Rubempré » dont il est le gérant afin d’en élargir l’objet social. Ainsi il cumulera les fonctions d’auteur et d’éditeur. Pour n’être pas confondu avec les milliers de sans-grades qui se sont jetés ces dernières années dans l’autoédition dans le fol espoir de vendre des dizaines d’exemplaires de leur recueil de poèmes, il préfère parler d’autopublication. Ce qui revient sensiblement au même.
Les droits de ses anciens essais continueront à être exploités chez Albin Michel (on a tendance à l’oublier mais un livre appartient toujours à son éditeur et non à son auteur). Selon ses confidences au site ActuaLitté à propos de son nouveau livre, il l’a aussi conçu sur un mode autobiographique puisqu’il va jusqu’à évoquer son propre rôle dans l’histoire immédiate du déclin français : « ce sera mes Choses Vues à la manière de Victor Hugo », excusez du peu (autant dire que l’éditeur en lui se prend déjà pour Gaston Gallimard). La diffusion et la distribution, nerfs de la guerre, ont été par lui confiées à Interforum, qui appartient à Editis, holding du groupe éditorial racheté par Vivendi dont Vincent Bolloré, propriétaire de Cnews où Zemmour officiait encore tous les soirs jusqu’à la semaine dernière, est le principal actionnaire. La boucle est ainsi bouclée.
Celui qui se publie lui-même récupère une part enviable de la répartition du prix d’un livre HT ; mais du coup, il doit assumer les coûts de mise en page, d’impression et de promotion. Ce qui lui laisse tout de même une marge appréciable en sus de ses droits surtout, comme c’est le cas, lorsque le premier tirage est de 200 000. Une manière de signifier aux éditeurs qu’on peut très bien se passer de leurs conseils car de nombreuses tâches (correction, relecture etc ce qui n’aurait pas été de trop en l’espèce, une faute sautant aux yeux dès l’incipit !) peuvent être externalisées- et plus encore s’agissant de l’édition numérique, plus légère puisqu’elle se passe de l’imprimeur. Un pari que seuls des auteurs jouissant d’un vaste et fidèle public peuvent se permettre de tenter (Zemmour devrait au moins doubler ses profits par rapport à l’époque où Albin Michel le publiait). De quoi bousculer une vérité que l’on voudrait intangible : il en va de l’édition comme de la psychanalyse car il est aussi illusoire de s’éditer que de s’analyser. Le regard critique et l’expertise professionnelle se doivent d’être extérieures.
Eric Zemmour n’est pas le premier. Joël Dicker, dont les qualités d’entrepreneur ne sont plus à démontrer, ne s’est pas contenté d’associer son image à Peugeot-Citroën, Piaget et à la compagnie aérienne nationale Swiss, ou de racheter avec un ami la chocolaterie du Rhône à Genève : depuis 2013, il s’autoédite, ou plutôt s’autoproduit tel une rockstar, à travers sa propre maison Moose Publishing (distribuée par Interforum, décidément). Renaud Camus ne publie plus ses livres chez Pol ou Fayard mais, depuis 2012, « chez l’auteur ». Une grande partie de son abondante bibliographie peut être achetée sur son site soit en édition papier brochée et imprimé à la demande, soit sous forme de crédit de lecture en ligne. En publiant en 2010 son vingt-huitième livre L’Homme qui arrêta d’écrire « en antiédition », c’est-à-dire à son propre compte, Marc-Edouard Nabe a franchi le cap de même que Marco Koskas, également édité par ses soins après l’avoir été dans de grandes maisons ; les deux n’en ont pas moins réussi à faire sélectionner leurs livres par le jury Renaudot.
Pour s’y être lancé trop tôt il y a vingt ans, le romancier américain Stephen King s’était planté en prenant le contrôle total de l’édition électronique de The Plant, l’un des rares fiascos de sa production. La notoriété n’est pas toujours une garantie. S’agissant de Zemmour, on est déjà fixé. Riad Sattouf, l’auteur multicélébré de l’Arabe du futur, vient de quitter son éditeur Allary pour se publier désormais dans sa propre maison Les Livres du futur. Feront-ils école ?
(Photos Xavier Miserachs et Séverin Mouyengo)
814 Réponses pour Autoédition : Zemmour et les autres feront-ils école ?
Le lien sur les autonomie-planners, en rapport avec la journée mondiale #alzheimer.
https://instagram.com/stories/les_autonomie_planners/2667569358900864677?utm_medium=share_sheet
@ vous l’avez vu ou non les envoûtés de Proust ?
Oui.
Deux intervenants se distinguent dans ce documentaire. Et au bout de whatmille billets rdl sur Proust, j’ai apprécié qu’avec le jardinier, vous sortiez de la chambre…
Je comprends mieux le conseil de votre psy, une vraie pro, elle doit lire Proust aussi ?
Documentaire tourné avant que deux arbres qui se regardent immobiles, une histoire sans parole, ne se séparent ?
Vous aviez donné un passage de la RDTP, où est décrit un pommier, que j’avais personnellement trouvé très peu réaliste et grossièrement descriptif.
Voila pour ce qui est des « arbres ».
Plus intéressant est le jardinier, M. Damblant, déjà évoqué sur la rdl.
Il a écrit un bouquin, voyage botanique et sentimental du côté de chez Proust. Il avait fait comprendre à quelles « fins », Proust utilise ( detourne ?) les connaissances, la botanique et les insectes qui butinent, pour illustrer la grand affaire proustienne : puisque la nature n’a pas de » morale « , il serait bien vain de vouloir en imposer une aux hommes, en matière de mœurs sexuelles. Une « logique » artistique qui se défend.
C’est donc armé d’un sécateur, que notre botaniste déambule dans son jardin en pleine floraison ( toute autre saison aurait foutu la démonstration en l’air…), un petit coup par-ci, un petit coup par par-là dans les massifs à pleine maturité florale.
Et avec talent nous donne Kd fin mot de l’intérêt de Proust pour les fleurs, sa vraie grande affaire, Charlus et Jupien, l’aristo et le subalterne, le vieux et le jeune.
Le bourdon et la fleur.
C’est pile a ce moment que surgit un bourdon, au-dessus du massif fleuri.
Ah non ! s’exclame le botaniste, ça c’est un frelon asiatique !, et d’un coup sec de sécateur, tenta en vain de lui faire la peau.
La morale proustienne de cette histoire, c’est que si la » nature » est sans morale sexuelle, un bourdon qui « butine » c’est quand même préférable a un frelon asiatique qui fait pareil.
Pauvre Darwin…
Bonne journée !
4 heures pour un parcours (130km) qu’avec le train on fait en 45 minutes ?! ce sont les joies de la voiture ?
Cela s’appelle mentor-show.com pour faire ce travail avec Boris Cyrulnik sur la confiance en soi.
Renato
Non ce sont les joies de la vie citadine.
Hâte de rentrer chez moi.
Y ai songé hier au train.
Mais pour aller aux thermes de San Pellegrino, ou marcher au bord du lac à Lecco, difficile.
Séparer les capitales des coins nature, faire évoluer mon mode de voyage.
@ J’entends bien que tout vous intéresse sauf ça,
LA PLUPART d’entre vous êtes si doués pour l’autopromotion et le mépris qu’on n’aura plus aucun doute que notre existence vous gêne
eh bien non, tout ne m’intéresse pas
eh bien non, tout ne m’intéresse pas
+1
Ce jardinier ne doit pas avoir de buis à Belle-Île en mer.
Parce que les chenilles papillons asiatiques sur les buis sont catastrophiques : la pyrale du buis.
Quelle drôle d’idée d’aller en Italie, aussi… Il y a déjà tout en France. Même des pizzas.
Elle est infernale cett pyrale.
@ nos verts erdéliens…
Je me suis équipé l’an passé d’une voiture électrique (zoé), bien que maints diésélistes m’eurent mis en garde… Je ne puis plus faire machine arrière, même si j’entends la conserver au moins trente ans… hein !
https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/la-generalisation-des-voitures-electriques-et-une-aberration-economique-et-ecologique
A la suite de ce récent papier de la revue Marianne, je dois conclure n’ être pas très fier de cet achat et de cet investissement. Mais comme je ne me sens pas « tartuffe de l’écologie », je ne puis m’empêcher de m’esclaffer la gorge éployée, quand j’arrive à la chute, digne d’une erdélienne bien connue pour son vigoureux moralisme sur maints sujets décroissants. Laisser moi y arriver :
(je cite) « Que des politiques valident, sciemment ou non, le tout-électrique en dit long sur l’indigence de leur réflexion, et leur soumission à l’air du temps, si ce n’est aux industries dominantes. Il faut marteler que la voiture la plus écologique est celle… qu’on ne produit pas ou que l’on conserve (elle a déjà été produite !) : au lieu de remplacer une pollution par une autre pire encore, il appartient aux gouvernements de favoriser la conservation des véhicules thermiques, d’une durée de vie comprise actuellement entre six et dix ans, mais qui pourrait aisément être doublée »
Conservons la voiture ANGELA ! Bàv,
…mercredi 22 septembre 2021 à 10 h 22 min.
…
…la nature technologique ou tout le monde se trouve à sa raison, de puissances et d’intérêts initiés liés au frics,…
…passer outre ses engagements, vues les contrats et le temps de livraisons, en suivant les stratégies devenues » obsolètes « , aux fils des consensus évolutifs sur le devant efficace de la scène,..
…après les retombes de la pandémie moralisatrice en cours, sur l’économie des profits en variants de covid – 19
…les dindons de la farce en cours,!…
…faut voir,!…avec les paradis fiscaux,!…
…etc,!…etc,!…
J’en ai marre des gens qui se plaignent des voyages. Est-ce que je voyage, moi ? Personne n’est obligé à ce que je sache. Ce sont les voyages qui ont créé tous les problèmes dans le monde depuis la nuit des temps. Si chacun etait resté tranquillement chez lui ce serait le paradis sur terre. Parfaitement. Adam et Eve ne bougeaient pas avant qu’ils soient devenus curieux. Tout ce que je dis est vrai.
Je regrette que Bruno Latour n’ait pas su intégrer cette pensée sociologique d’accès difficile de Luhman dans son propre système d’explication du monde… Peut-être l’a-t-il imaginée comme tout à fait dépassée ou sans aucune emprise possible sur le réel d’aujourd’hui… Pourtant, elle continue de passionner les gens qui ont toujours voulu prendre leurs distances avec le dogmatisme triomphaliste de Habermas…, comme on le voit dans cette aimable recension à l’occasion de la traduction posthume du dernier opus magnum du sociologue allemand.
https://laviedesidees.fr/Niklas-Luhmann-La-societe-de-la-societe.html
Axel Honneth s’est prudemment tenu à l’écart du débat entre les deux gourous de la fin du siècle dernier, bien qu’il ait toujours été un disciple des héritiers de l’école de Francfort, alors que Luhman est plutôt resté dans le creuset de l’école stucturo fonctionnaliste américaine des Parsons+Bertalanfy…
Bref, de quoi repartir sur de meilleurs substrats intellectuels, ce matin, après toutes les billevesées « littéraires » de ces derniers temps. Bàv,
nous sommes aujourd’hui au rayon des cuirs et velours. Un rayon où l’on croise souvent Malbrough qui s’en va-t-en-guerre (et reviendra-z-à Pâques). On y voit aussi passer mille-z-écoliers venant délester les chalands de quelques pièces : « M’sieur ! m’dame ! il nous manque quatre-z-euros pour des bonbons ! »
(illustration de Fragonard pour « Les Liaisons dangereuses », 1796)
https://www.lemonde.fr/blog/correcteurs/2009/02/12/
@ D. Vous n’aimez pas voyager, apparemment. Et nul ne saurait vous en blâmer, surtout Sylvain Tesson.
Bon, tout peut se défendre, mais je crois avoir lu que vous alliez souvent de Charenton au Massif central. Peut-on savoir comment et dans quel but ? Faites vous l’A/R à pied ? Et si oui, est-ce bien utile ? Ne craignez vous pas d’user prématurément votre unique paire de chaussures au risque de devoir la changer ou d’aller pieds nus à l’avenir ?
Bàv, et bon courage !…
liaisons
Georges Brassens – Les Quat’z’arts
https://www.youtube.com/watch?v=UJj2ekUOJ2M
J’y suis obligé JJJ. Ça ne m’amuse pas.
– Le bulletin de santé
https://www.youtube.com/watch?v=IMPCklkWCrY
salopes et pub!
Les Trompettes De La Renommée
https://www.youtube.com/watch?v=gWRzopyZBSA
… et l’air de la journée…
« DANS LA JUSTICE EST EN SOMME TOUTE VERTU. » (ARISTOTE)
Ah JJJ, dans mes bras! Je sors de cours, je lis votre post, je clique sur le lien, cet excellent article consacré au trop dédaigné Luhman. Je ne parlerai pas de Latour, si restrictif en termes de références et qui tourne autour du même arbre depuis des dizaines, vingtaines d’années et d’articles, qui m’a beaucoup déçu, au final. Trop catégorique, trop fermé.
De Luhman je retiens son approche des sous-systèmes sociaux que je trouve très pertinents pour expliquer les sociétés et (surtout) leur dynamique.
A ceux qui ne le connaissent pas, je conseille de suivre le lien que vous avez signalé et j’adresse ce copié-collé en guise de présentation de ce penseur éclairant:
(il) »récuse l’alternative du progressisme et du conservatisme, tout comme il se méfie du grand récit post-moderne de la fin des grands récits (voir p. 753-754) : tous ces points de vue participent à ses yeux de « sémantiques provisoires » (p. 714) dont l’illusion commune est de croire qu’on puisse définir un point de vue ultime, qui serait celui d’un observateur omniscient »
Ce qu’il faut souligner chez Luhman (entre autres) c’est qu’il insiste sur les recompositions permanentes en matière sociale, à rebours des grands systèmes passablement figés qu’on nous sert si souvent (avec leur origine, leur vie, leurs structures quasi immuables).
The World of R. Buckminster Fuller :
@chére clopine
je vous ai vue , vous ,et aussi les autres, tous gens qui ont « leur » Proust ,qui en sont fiers ,et qui en parlent
Et ce qui m’a frappée c’est que vous êtes la seule chez qui on ne décèle pas une once de cabotinage.
Les autres surtout le hommes ,sans rien dire de vraiment intéressant ,cherchent à se mettre en scene dans leur posture de grands connaisseurs de Poust ,ravis de faire part des conditions originales dans lesquelles ils l’on découvert ,et s’y sont immergés, satisfaits de l’ aura de distinction que leur confere cette familiarité aux yeux de de ceux pour qui « Proust c’est ennuyeux ,indigeste, illisible avec ses phrases interminables ».
Bref ce film est l’occasion pour eux de faire montre de leur appartenance à un happy few. Et c’est vrai même du jardinier qui disserte en décor naturel sur une lecture que je trouve pour ma part appauvrissante de la Recherche ,mais qui lui permet d’être original et il se complait à bavasser .Le comble étant atteint par le fabricant de chaises, avec son œuvre biscornue ,et qui n’est pas convaincant sur le lien qu’il indique avec les personnage proustiens qui donnent leur nom a ces sieges inconfortables
Aussi ,ce que j’ai aimé chez vous Clopine,ce qui est absent chez les autres c’est l’authenticité , cette parole spontanée et naturelle qui malgré tes 7 lectures de la Recherche nous parle comme si cette rencontre avec le monde Proust etait un bonheur encore tout neuf , dont vous parlez simplement sincerement sans vous soucier de l’effet ,avec une jolie voix tranquille et claire et une sorte de fraîcheur presque naïve
Bref de ce documentaire éclaté ,où les interwiews s’entrecroisent ,et qui ne nous apprend pas grand-chose de Proust et de son œuvre ,ce qu’on peut retenir c’est une galerie de portraits de gens qui apprécient ,impression gratifiante ,d’apparaître comme les membres d’un cercle élitiste et fermé celui des gens, si rares qui connaissent bien Proust
Je suis d’accord avec Harry Stott.
C’est qui ce type, d’ailleurs ?
Chez les Harry je connais l’ex prince déchu (bonjour la honte) à cause de Mégane, ainsi qu’un certain Harry Cover, qui vend des légumes sur les marchés.
Renato
Ah le Solférino, Piazza Solférino garde sa réputation.
Quelques biscotto pour vous, si vous aimez cuisiner : cela vient du nord ouest de Turin à Chivasso, que j’ai visité hier, bien malgré moi.
https://www.altergusto.fr/2011/03/23/nocciolini-biscuits-aux-noisettes/?amp=1
Elle est comment votre pizza Solferino, Rose ? Y’a quoi dedans ?
oui je confirme : une sorte de fraîcheur, naïve.
Un cercle élitiste c’est facile d’y entrer : vous prenez un bâton, vous le tracez autour de vous et hop terminé.
The World of R. Buckminster Fuller :
je crois que « le plus beau métier ,à mes yeux, est architecte;
« Jeanne Gang, une architecte au sommet
À Chicago, cette Américaine a achevé en 2010 la tour la plus haute jamais construite par une femme et s’apprête à battre son record avec un nouveau gratte-ciel. À Paris, elle va bâtir le nouveau centre de l’Université de Chicago. Son credo : le respect de l’environnement. Rencontre avec une « starchitecte » très engagée.
image
https://www.lesechos.fr/industrie-services/immobilier-btp/jeanne-gang-une-architecte-au-sommet-1149702
Vous conessez la Déclaration de Chivasso, rose ?
Si non, ici en français :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Déclaration_de_Chivasso
Merci pour les biscuits, vous êtes encore à Turin ?
De Jeanne Gang Aqua Tower, magnifique, et al.
Clopine, parlant des illusions ou du couple chez Proust, ça a une curieuse et touchante résonance…
Tu es belle en petit chaperon rouge traversant la forêt, Clopine, mais gare au loup !
(quelle galère pour voir les programmes de FR3 régions et quel scandale tant de publicité sur le service public)
j’aime aussi populus à Denver:
https://studiogang.com/img/TXNVMTR1cWxHSVg1SHAyZXY5VjlWUT09/populus-c-studio-gang.jpg
Oui.
Demain, je rentre à la maison.
Aujourd’hui, métro et pédibus jambus.
tourisme et tweet:
Hôtel littéraire Marcel Aymé – 16 rue Tholozé, 75018 PARIS – http://www.hotel-litteraire-marcel-ayme.com
https://lavieestunroman.fr/hotel-litteraire-marcel-ayme-montmartre/
L’adresse que j’avais oublié de vous donner, rose, donc si vous avez le temps et l’envie :
Tre galline
Via Gian Francesco Bellezia, 37
011 436 6553
Je remercie sincèrement tous ceux et celles qui ont pris le soin de commenter, si positivement, mon intervention dans le film de Patrick Bazin. Et un petit mot à Dhh, pour la remercier certes, mais aussi pour lui dire que je la trouve bien sévère : je les trouve plutôt sympathiques, moi, les Proustiens, et suis flattée d’être comptée comme l’une d’entre eux. Et puis, comme ma résolution du moment est d’arrêter de penser du mal de moi, une jolie aventure comme celle là tombe à pic, d’autant que la conférence à Combray sur les considérations autour du style en littérature s’est elle aussi carrément bien passée, au point que je me dis que je pourrais peut-être, si je trouve la structure adéquate, poursuivre dans cette voie . Je vais tâcher aussi de réintégrer ce blog incroyable pour de vrai, peuplé de tant de gens originaux….
Je crois, et al., que Aqua Tower est mieux intégré dans le paysage.
Tu es belle en petit chaperon rouge traversant la forêt, Clopine, mais gare au loup !
–
Ça t’ennuyerait de quand même lui faire voire la vidéo avant, Jazzi , au loup ?
D, je me demandais quand la première méchanceté tomberait sur mon physique de femme de 65 ans, qui n’a jamais vraiment su prendre soin d’elle… C’est fait, grâce à vous. Jazzy, plutôt rose le chaperon, non ?
sur jewish cock:
l’entretien n’évoque pas
‘Qui est Zelig, le personnage du film de Woody Allen qui se transforme en tout ce qu’il rencontre pour se faire aimer? Pour en parler, Charles Dantzig reçoit Guillaume Erner, producteur des Matins de France Culture.
école?
CHEZ NADEAU AUSSI/
Un peu profond ruisseau… paraît cinq ans après La vie avec Lacan où Catherine Millot racontait sa relation avec ce maître de la psychanalyse qui ne se disait pas un maître tout en l’étant quand même : « j’avais attendu de lui une sorte de clef supérieure, qui dise “le vrai sur le vrai”, selon la formule d’un de ses élèves… Il ne fallait pas compter sur lui pour prendre la place de cet “Autre de l’Autre”, dont je savais bien pourtant qu’il avait dit qu’il n’existait pas ». Dégagée du récit de cette relation avec Lacan qu’elle avait refusé longtemps de livrer, elle revient comme libérée d’un devoir de mémoire. Et c’est peut-être précisément ce qui lui permet d’atteindre un autre souvenir, plus essentiel : celui du désir de mort, jamais clairement exprimé mais terriblement puissant, éprouvé par sa mère à son encontre. Quelque chose de la vie intime de Catherine Millot qui avait été préservé jusqu’à ce dernier livre s’ouvre à la faveur de ce qui ne paraît au départ qu’une toute petite blessure narcissique, à peine une égratignure sur la peau lisse de sa psyché, pourtant, selon elle, lavée de l’anxiété par les grâces de la cure psychanalytique.
Au tout début d’une crise du covid qui s’ignore encore, Catherine Millot ressent les premiers signes d’un affaiblissement. Une première visite aux urgences ne donne rien. Elle rentre chez elle, sans avoir été testée, et sent ses forces l’abandonner. En réalité, l’air de rien, elle est en train de mourir. Le virus a annihilé « les réflexes qui accélèrent la respiration quand l’oxygène dans le sang vient à manquer. On appelle cela, paraît-il, “l’hypoxie heureuse” ». Même dans l’extrême danger, le bonheur, c’est-à-dire une certaine façon de rythmer sa vie, s’impose : « J’ai eu une vie “confortable”, me disais-je. S’associait à cette idée de confort le souvenir des séjours dans les villes d’art, les bons hôtels. Je m’étonnais de ce mot : le confort n’avait pourtant jamais fait partie de mes valeurs. Croyais-je. Il m’apparaissait que cela avait gouverné mes choix de vie beaucoup plus que je ne le pensais, le rythme de vie, les lieux de vie. Surtout le rythme, que j’avais toujours défendu envers et contre tout. »
Ce rythme, cette tranquillité, est une façon de ne pas se ruer sur le savoir mais aussi une façon de prendre, non pas de vitesse, mais « de lenteur » les ruses du langage : « Pour connaître la volonté de Dieu, il faut être bien reposé… comme on laisse rasseoir l’eau troublée pour voir ce qui est au fond », disait Jeanne Guyon, une des grandes figures de la spiritualité avec Simone Weil et Etty Hillesum, héroïnes discrètes d’une certaine façon de plonger au dedans de l’être, auxquelles Catherine Millot a consacré ce chef-d’œuvre qu’est La vie parfaite (2006). Ce confort, cette vie qui apparaît « bizarrement comme
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/09/13/retour-mere-millot/
Visionné le film avec Clopine. Félicitations pour votre prestation. J’ai spécialement apprécié ce moment avec l’arbre que le glissement de la caméra fait apparaître double. C’est une image forte et pleine de sens par rapport à Proust. Bravo.
Mais Clopine, j’ai un peu moins que votre âge. En famille je reçois avec de grands sourires toutes les vannes et fines allusions à ce sujet faites par les « gamins ».
Je suis pour ne pas avoir d’ennui avec les ligues de protection des loups, c’est tout 😁.
Quinze ans c’est beaucoup moins, D.
Serais assez pour qu’au petit chaperon, l’on fasse choisir son loup.
Jazzi,
Dans quoi t’es-tu lancé là ?
Catherine Millot : La vie parfaite [*]
Marie Pesenti-Irrmann
Dans Figures de la psychanalyse 2007/1 (n° 15), pages 225 à 230
http://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=https%3A%2F%2Fwww.cairn.info%2Frevue-figures-de-la-psy-2007-1-page-225.htm
Je n’ai pas quinze ans de moins, Rose, où êtes-vous donc été allée chercher ça ?!
Le Sentiment de soi. Histoire de la perception du corps
(XVIe-XXe siècle)
Georges Vigarello
Yoga, méditation et autres techniques de bien-être : l’idée est aujourd’hui largement répandue que nous pouvons agir sur notre humeur et nos états d’âme par un travail sur le corps. Or cette idée a une histoire que Georges Vigarello révèle ici, proposant un parcours fascinant à travers l’histoire des représentations de l’intime.
Jusqu’au XVIIIe siècle, le moi était circonscrit à la pensée et à l’esprit : « je pense, donc je suis ». C’est avec les Lumières qu’apparaît, dans les textes de Diderot ou de l’ Encyclopédie, l’idée d’un sixième sens pour désigner les perceptions internes du corps. Cette conscience inédite s’exprime dans la notion nouvelle de sentiment de l’existence. Le corps coïncide avec le moi : véritable révolution de la perception de soi, qui s’exprimera bientôt abondamment dans les journaux intimes.
Le XIXe siècle approfondit ces réflexions en s’interrogeant sur le rêve, la folie, l’effet des drogues, le somnambulisme. Le début du XXe siècle introduit plus qu’on ne le croit à la culture d’aujourd’hui : de la relaxation aux exercices de prise de conscience, de la détente à l’étourdissement, la conscience corporelle devient un lieu de vertige autant que d’exploration de l’intime.
« Tiens-toi droit, relève-toi, rentre le ventre, dégage les épaules, lève le menton, sors la poitrine: redresse-toi! » Georges Vigarello, ancien professeur d’éducation physique, philosophe et historien, a une oeuvre singulière. Il publie à nouveau, quarante ans plus tard, sa thèse de doctorat: « Le corps redressé », qui s’intéresse à l’intériorisation – l’incorporation – de la domination et du pouvoir depuis la Renaissance.
CLOPINE, MEFIEZVOUS/
https://www.google.com/search?q=TUTLAISSES+ALLER+CHANSON&oq=TUTLAISSES+ALLER+CHANSON&aqs=chrome..69i57j0i8i13i30l2.13999j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
« Tiens-toi droit, relève-toi, rentre le ventre, dégage les épaules, lève le menton, sors la poitrine: redresse-toi! »
Ce que je préfère: » ne mets pas tes coudes sur la table, éteins ton portable «
Ce conseil musical un peu méchant dans l’intention, s’appliquera à un autre personnage la rdl, qu’à la destinataire dont vous » petez » la tête, Et Alien.
Cela dit, se faire regonfler un déficit d’ego par un vieux crevard jaloux comme un pou et une vieille confite dans la domination sociale, ne va pas pas combler de désespérant besoin d’être aimée (diag posé par dr Passou et mister Hyde, il y a…il y combien de temps déjà? …14 ans???@#$%!!!!)
ne va pas pas combler ce désespérant besoin d’être aimée.
Ni cette vidéo, désolée…
, il y a…il y a combien de temps déjà? …14 ans???@#$%!!!!)
Fuck the hell
Pour clopine
ce désespérant besoin d’être aimée, ma soeur sait de quel défi-site elle cause depuis 14 ans, la pôvresse !… et personne jamais pour consoler notre insatiab’,… même matzneff & z’emour n’y arrivent point… Furie Barde, elle fut, est, sera. A les mains propres, comme Simone.
Bàv,… à PE, surtout !…
@ cette époque, je ressemblais comme deux gouttes d’eau à Maxime LF, qu’on me disait… J’étais amoureux de sa Soeur Catherine… Il y avait eu ce concert dans la banlieue de Bordeaux en 74, c’était notre Woodstok à nous-autres… On chantait à tue-tête : c’est pas exprès qu »était fasciste, parachutiste »… Et toi, mon frère que j’ai jamais connu… sais-tu ce qu’on aurait pu faire ensemble ?… etc.
Oui, bien des choses à se faire empardonner…. c drôle après la vacherie de charles aznayoure. Enfin, chacune voyage comme elle peut. Hein.
Dommage ducon, que tu sois encore bourré ce soir, pour faire comme si.
(Nota : Mylène Chichportich est la femme d’Eric Zemmour. C’est une avocate spécialisée dans le droit des faillites.
Tout un programme.)
Sa femme l’est chiche.
Tout un programme.
@Et toi, mon frère que j’ai jamais connu… sais-tu ce qu’on aurait pu faire ensemble ?… etc.
Ça je veux bien partager, car c’est vrai.
Et heureusement, comblé par autre chose comment dit-on , déjà?… adelphie.
D.
C venu tout seul.
Après, j’ai calculé.
Trop tard, c’était parti, comme la pique à Mercotte.
Mais là, c’était plutôt gentil, hein.
Les paroles c’est
« Toi, le.frère que je n’ai jamais eu
Sais-tu si je t’avais connu
Ce que nous aurions fait ensem emble »
Hé ho.
C le métèque.
On ne le déforme pas.
@De Jeanne Gang Aqua Tower, magnifique, et al.
Oui. Mais quand on lit le commentaire qui accompagne l’image, on retombe assez bas dans la dérision : » la tour la plus haute jamais construite par une femme »
Ai passé l’après-midi entière à prendre Catherine Millot pour Catherine Millet. 🤦
Une des tours écologiques les plus hautes jamais construites par des termites
https://i.ytimg.com/vi/BUShDsSKfVY/maxresdefault.jpg
Les insectes sont une source inépuisable d’inspiration pour l’humanité et pour son aspiration à s’élever (surtout les femmes)
avez vous aimé Zaha Hadid ?
https://www.larchitecturedaujourdhui.fr/zaha-hadid-le-prix-de-lapesanteur/
le truc le plus top avec Proust c’est d’apprendre à ses lecteurs la façon dont ils peuvent se mettre le doigt dans l’oeil jusqu’au coude sur le regard qu’ils portent sur celui ou celle qu’ils ou elles aiment.
Proust nous apprend qu’aimer c’est toujours voir les choses de travers.
du coup, quand on a compris ça, après on risque plus de se laisser enfumer et d’être déçu : Proust est à la déception amoureuse ce que l’astrazeneca est au covid : un vaccin !
il me semble.
je voterai pour Zemmour au prochaine présidentielle à la seule condition qu’il décide de prendre Onfray comme premier ministre…
@Et toi, mon frère que j’ai jamais connu… sais-tu ce qu’on aurait pu faire ensemble ?… etc.
Ça je veux bien partager, car c’est vrai.
Je viens de comprendre pourquoi j’ecoutais cette chanson, bien avant que youtube n’existe.
C’est très bête en fait, c’est que j’avais, en exemple rare ( encore des » relatives ») ce qui a manqué a M. Le Forestier, et pas qu’a lui, donc.
Anne Teresa De Keersmaeker :
@avez vous aimé Zaha Hadid ?
Oui, beaucoup.
Dans l’intention, surtout…
Though never built, The Peak is considered to be Hadid’s breakthrough project and a pivotal moment in her investigation of painting as a design tool.
https://www.moma.org/collection/works/202
Bonsoir.
… et là,vous redevenez sympathique, apparemment. Comment faites vous pour passer à cette vitesse bipolaire d’un coin à l’autre sur le net ?…, sans être jamais (la)bourrée, ma soeur ? Un frère (ou une soeur) vous manque depuis tjs !… et toute votre vie dépeuplée est à refaire…
Mais en quoi serions-nous responsables nous autres les herdélien.nes de ce manque qui hurle en vous… la duconne ?
nb/ désolé pour avoir écorché la chanson du Métèque… L’ai réécoutée intégralement, du coup. Bouffée de nostalgie névralgique immédiate ! Aurais point dû… Va me trotter durant trois jours dans la caboche, ast’heure…, c malin !
BN –
C’est très bête en fait, c’est que j’avais, en exemple rare ( encore des » relatives ») ce qui a manqué a M. Le Forestier, et pas qu’a lui, donc
Bienvenue au club.
Moi, pas encore compris pkoi j’écoutais en boucle je suis malade de Lama.
S’il y avait bien une seule femme qui sortait jamais le soir, c’était bien ma mère.
Moi c’que j’crois, c’est qu’elles choses, on les sait avant que elles n’arrivent.
Parfois, on a des indices, et connement, on n’en tient pas compte. Pour moi, c’était Noël 2016. Un an et demi avant.
Faudrait être éclairée.
c’est qu’les choses
@Mais en quoi serions-nous responsables nous autres les herdélien.nes de ce manque qui hurle en vous…
Ah bon ?
Euh non, tu es a côté de la plaque. Je ne sais pas ce qu’ils vous enseignent chez les keufs en psycho-socio, et ça ne m’intéresse pas.
Non, je ne te dirai rien de ces deux frères , ce lien unique, que M. Le Forestier a su admirablement décrire que par une part manquante.
Clopine
Je viens de me taper le doc 52’en entier.
Grâce à Marie Sasseur.
Passons discrètement.
Immédiatement, ai envoyé le lien à ma libraire.
L’équipe, vous êtes de doux dingos de Proust.
À 20 mn, j’étais épatée.
À 52, j’étais dans un enthousiasme fébrile.
Ai deux questions à vous poser, puis, je vous ferai ma critique de l’intégrale.
1/Pourquoi, les trois dernières fois, la 5ème, la 6 ème et la septième de votre relecture de Proust, avez-vous sauté des passages ?
2/ il me semble que vous nous aviez informés que vous aviez lu, déjà, dans le film que construit Véronique Albouy.
Si oui, quel en est le passage ?
Auriez-vous l’opportunité de lire encore une fois sur le tome et demi qui reste à filmer ?
Si oui, pourriez-vous choisir votre passage ?
Je prépare mon retour.
Votre frère est mort, MS?
Le billet zemmour traine des commentaires poussivement, ça ne décolle pas. J’espère que Pierre ne va pas nous laisser nous embourber trop longtemps.
1/Pourquoi, les trois dernières fois, la 5ème, la 6 ème et la septième de votre relecture de Proust, avez-vous sauté des passages ?
–
Parce que c’est chiant comme tout, Rose. Tout simplement.
Bon je vais me coucher.
A demain. Bisou à tout le monde.
@Mais en quoi serions-nous responsables nous autres les herdélien.nes de ce manque qui hurle en vous…
Si tu dis… et pour que les clébards et la clébarde, à ta suite, ne se méprennent pas :
« Que cherches-tu, Diogène, avec ta lanterne, en plein jour ?» «Un homme, répondit-il, un homme véritable, qui ait de la superbe !» »
D.
Moi je crois que c’est parce qu’elle les connaît par cœur.
J’attends sa réponse.
« un an après moi tu serais né
On se s’rait plus jamais quitté
Comme deux amis qui se ressem-embent »
« On aurait appris l’argot par coeur
T’aurais étè mon professeur
Plutôt qu’au chenil, le blog fait parfois penser à un cirque, à une foire où des monstres viendraient exposer leurs talents, leur locacité, leurs imaginations, leur logique si singulière, leurs beaux habits, semer le doute, emmêler un écheveau de fils de soie pour le laisser à disposition comme si c’était un casse-tête chinois. Ne retenir que le pur apport, le détacher du distributeur, remettre une pièce pour en obtenir de nouveaux .
Le billet zemmour traine des commentaires poussivement
Le risque, assumé, de titrer une notule de blog littéraire sur ce tribun bréhaigne. Le commentaire de Closer a proprement circonscrit le sujet. si l’on ose dire.
Ce tribun bréhaigne circonscrit.
À nos zemmours.
JiCé,
Je te fais de l’ombre.
Pousse-toi de mon soleil.
Chronique people, zemmour et sa cousine.
« L’article revient longuement sur la carrière de Sarah Knafo, énarque de 28 ans, qui était jusqu’à tout récemment magistrate à la Cour des comptes, avant de se mettre en disponibilité pour « convenance personnelle ».
L’hebdomadaire publie aussi des clichés pris samedi, lors d’un déplacement du polémiste dans le sud de la France. Eric Zemmour y apparaît enlaçant Sarah Knafo à la mer. Interrogé sur une possible atteinte à la vie privée, Bruno Jeudy a répliqué : « On a fait notre boulot. » »
Chronique people, zemmour demande sa nationalité catholique traditionnalisste.
« Ensuite, pour devenir français, il faut s’imprégner du catholicisme. Jadis, quand la nation reposait sur la religion, on se convertissait à la foi catholique, de gré ou de force. Aujourd’hui cela repose sur la culture, l’histoire, le passé – ce sont les mots de Renan. On s’imprègne donc de ces valeurs chrétiennes. Par exemple, de la beauté des églises. C’est concret. De l’universalisme chrétien aussi, de la pompe de l’Église, de la laïcité née dans l’Église, de cette histoire, de cette compassion pour les faibles. Même si je m’en méfie… »
J Langoncet
thanks for the velvet, oh que c’est bon le matin!
Oh oui que c’est bon, et que ça continue.
https://mobile.twitter.com/tintinades/status/1440700894434062341/photo/1
Vous avec demandé l’Heure de Dicé.
Jeudi 23 septembre 2021, 8h54
« On s’imprègne donc de ces valeurs chrétiennes »
En trompant sa femme ?
« Bruno Jeudy a répliqué : « On a fait notre boulot. » »
En montrant en effet que Zemmour est un Tartuffe !
@ circonscrit… dans sa connerie, et circoncis aussi… grand bien lui fasse, le bréhaigne au stérilait !…
Le rassurant icite, avec ce lamentable billet publicitaire à la gloire de ces gens qui s’auto’éditent, c’est que personne n’a l’air de prendre la défense politique de ce pauvre type…, ni trop celle de la duconne qui, à son insu, en dit long sur elle-même et son zemmour contrarié, ce dont la rdl se br…. comme de sa prime sauce…
Bàv,
L’exceptionnelle Nathalie Rheims est dans Boomerang tout de suite à 09h sur France Inter.
Vous avec demandé l’Heure de Dicé.
23 septembre, premier jour de l’automne.
« À l’époque archaïque, les Heures sont filles de Zeus et de Thémis. Hésiode en compte trois : Eunomie, Dicé et Eiréné, c’est-à-dire le Bon Ordre ou la Législation, la Justice et la Paix, noms indiquant leur rôle moral. Homère les nomme les portières du ciel, et leur confie le soin d’ouvrir et de fermer les portes éternelles de l’Olympe. Elles sont aussi les régulatrices de la vie humaine. La mythologie grecque ne reconnut donc d’abord que trois Heures ou trois Saisons : le Printemps, l’Été et l’Hiver. Ensuite, quand on y ajouta l’Automne et le solstice d’hiver, c’est-à-dire sa partie la plus froide, la mythologie créa deux nouvelles Heures, Carpo (ou Xarpo) et Thalatte (ou Thallo), qu’elle établit pour veiller aux fruits et aux fleurs. Enfin, quand les Grecs partagèrent le jour en douze parties égales, les poètes multiplièrent le nombre des Heures jusqu’à douze, employées au service de Zeus, et les nommèrent les douze sœurs. »
C’est déjà l’automne et l’on va bientôt passer à l’heure d’hiver !
@ Cherche un homme qui ait de la superbe…
Désespérément, comme Suzanne !… hein, ma duconne…
Mais risque pas d’en trouver, même avec sa tête de lanternon allumée en plein jour… A moinss d’aller traînée dans les écoles des keufs, aurait des surprises pour trouver à soigner la socio de sa psychose de manque d’homme. Voyons point aut’chose…
Bàv,
L’eau tonne ?
… c’est l’heure de la laisser couler, Angela.
(23.9.21@9.11)
JJJ
« personne n’a l’air de prendre la défense politique de ce pauvre type »
et tout le monde s’accorde à dire qu’il n’y a rien à en dire, du billet, ni sur l’autoédition (on voit mal qu’elle menace l’édifice des éditeurs), ni sur ce type, triste sire animé de passions tristes, dopé au narcissisme, rêvant nombrilisme national. Bref. Regain de rengaines.
@ de fil @ etalii…, / en aiguille /… – petit cours de rattrapage matinal – …
————————
Étymologie
(XIIIe siècle) De l’ancien français brehaing, brehaigne (« stérile »)[1], attesté sous la forme baraigne dans le Livre des Créatures (1119) de Philippe de Thaon[5]. En ancien français, le mot était masculin ou féminin, mais seul le féminin a perduré. L’étymon est un radical prélatin[5][6][8]. Plusieurs hypothèses sont proposées :
Le Trésor de la Langue Française informatisé[1] propose un radical *bar- (« infertilité ») avec une finale -aigne qui représenterait le suffixe -aneus (→ voir montain et montagne). Ce dictionnaire rejette les hypothèses d’étymon germanique faites par Gamillscheg, et celle de l’étymon latin vorago faite par Garcia de Diego[1]. Selon Gustav Körting[2] cet étymon est le vieux haut allemand bar (« nu, dépouillé ») qui donne bar en allemand, bare (« nu ») ou même barren (« stérile ») en anglais.
Alternativement, Körting[2] et Diez[3] proposent comme étymon le latin baro, baronis (« lourdaud, homme »), une jument brehaigne est « masculinisée » (voir citation ci-dessous), une femme bréhaigne est une virago, une hommasse.
Pour Oscar Bloch et Walther von Wartburg, l’étymon est *barañ, apparenté à l’albanais beronjë (« femme stérile »).
Pierre Gastal[7] propose le gaulois *bregano (« stérile »), qu’il base sur le breton brec’hagn (« stérile »). Il l’apparente à l’ancien français meshain, meshaigne (« mutilation, estropiement », « mutilé »).
Le sens de « bohémien » que l’on trouve chez Victor Hugo ne se retrouve nulle part ailleurs.
————-
Adjectif
Singulier Pluriel
bréhaigne bréhaignes
\bʁe.ɛɲ\
bréhaigne \bʁe.ɛɲ\ ou \bʁe.ɛnj\ féminin Note : inexistant au masculin.
Stérile, en parlant des femelles de certains animaux.
A Mervale, les vieilles biques bréhaignes cabretaient sans besoin de bouc, les petits poussaient sur les fumiers ! — (Jean Rogissart, Mervale, Éditions Denoël, Paris, 1937, page 24)
(Spécialement) Qualifie un poisson qui n’a ni œufs ni laitance.
Duhamel pense aussi que les carpes qu’on nomme bréhaignes ne sont point des mulets, mais des poissons qui, dans certaines circonstances, sont dépourvus de laitance et d’œufs. — (Exposé succinct des principales observations faites jusqu’à ce jour sur les maladies et sur les anomalies des poissons, par P. Rayer, dans Archives de médecine comparée, Paris : chez J.-B. Baillière, 1843, volume 1, page 305)
(Par extension) (Souvent ironique) Stérile, en parlant d’une femme.
20 avril 43 – Il y a parfois dans les familles de ces cousines bréhaignes, providence des veufs et cerbères de logis qui ne leur appartiennent jamais que par accident. — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 274)
Cette prouesse médicale se payait cependant au prix fort : Marguerite n’aurait plus jamais d’enfant. […] Sous le coup de la déception, Lucien n’avait pas trouvé les mots qui auraient pu apaiser le chagrin de Marguerite, devenue bréhaigne à vingt ans. — (Jean-Max Tixier, Le Maître des roseaux, 2003, Terres de France)
Je vous parie une vache pleine contre une dame bréhaigne qu’il se prépare des choses pas décorticables pour bientôt! — (San-Antonio, Béru-Béru, Éditions Fleuve noir, 1970, chapitre 12)
(Par extension) Qui est stérile, ne contient aucune vie.
Tout est déréglé, la nature (la mer devient bréhaigne), les lois (il n’est plus permis de porter secours), la famille (le conseil des anciens n’est plus écouté), et l’ordre ancien ne reviendra jamais. — (Le Monde, 13.03.2012)
Ce n’est point cependant une terre bréhaigne, puisque ses enfants se comptent par millions, et si cette mère n’a pas de lait pour ses petits, du moins l’aiment-ils passionnément. — (Jules Verne, P’tit Bonhomme, chapitre 1, J. Hetzel et Cie, Paris, Illustrations par Léon Benett, 1891)
Qui partage avec le cheval certaines caractéristiques, en parlant de la jument.
[Les crocs ou de crochets sont] les quatre dents canines du cheval, que nos peres appelloient écaillons. Ces quatre dents canines sont celles dont les jumens sont dépourvûes, à l’exception de celles auxquelles nous donnons le nom de brehaigne. — (L’Encyclopédie, 1751)
Les jumens en sont communément privées, & n’ont par conséquent que trente-six dents : il en est néanmoins qui en ont quarante, mais leurs crochets sont toûjours très-petits, & elles sont dites brechaines. Beaucoup de personnes les regardent comme admirables pour le service, & comme très-impropres pour le haras. — (L’Encyclopédie, 1751)
(Hapax) Bohémien.
À l’avant, sur un strapontin adhérent au fourgon et ayant pour porte la fenêtre, au-dessus de la croupe des chevaux, à côté d’un vieillard qui tenait les guides et dirigeait l’attelage, deux femmes bréhaignes, c’est-à-dire bohémiennes, vêtues en déesses, sonnaient de la trompette. L’ébahissement des bourgeois contemplait et commentait cette machine, fièrement cahotante. — (Victor Hugo, L’Homme qui rit, 1869)
@ Emma,
quelques fleurs sous un croissant de lune…
https://www.thisiscolossal.com/2021/09/sophia-ahamed-dark-night/
@puck
vous écrivez
« Proust nous apprend qu’aimer c’est toujours voir les choses de travers ».
et Cocteau dit que ce verbe est diffcile a conjuguer car
« Le passé n’est pas simple, le présent n’est qu’indicatif ,et le futur est conditionnel »
Aussi l’employer nous expose aux fautes de grammaire
Le billet zemmour traine des commentaires poussivement
lassouline sautoéditant clandestinement chez moulinsart en vieux tchang qui charrie dla piramide de cageot..en haut jibé te contemple dirfilou
jicé leur maitre a tous mon père ce héro quelle dirait térezoune..
cette poufiasse de renfield aveugle au pays des paralitiques dit que c’est un miracle
Claude Alonso, 81 ans, est accusé d’«abus de faiblesse» sur cinq femmes et de «viol» sur trois d’entre elles, dont sa propre fille. Son procès, qui devait se tenir ce lundi 20 septembre, a été renvoyé.
Il s’était constitué un harem qui se voulait une reconstitution de l’Olympe en Gironde, à quelques kilomètres du bassin d’Arcachon, à Gujan-Mestras. Claude Alonso, 81 ans, est accusé d’«abus de faiblesse» sur cinq femmes et de «viol» sur trois d’entre elles, dont sa propre fille. Ces cinq femmes, à qui le gourou avait attribué des noms de déesses grecques, devaient se plier à des «exercices pratiques» afin de «sauver l’humanité et éviter l’Apocalypse», explique au Figaro Me Maleine Picotin-Gueye, l’avocate de la fille du pseudo-Zeus et spécialiste en dérives sectaires.
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À LIRE AUSSIMarlène Schiappa: «Les dérives sectaires sont de nouveau une vraie priorité»
Ces femmes, il les a rebaptisées «Déméter», «Perséphone», «Hestia» ou encore «Artémis». Le soir, il organisait chez lui, dans sa petite mezzanine, des soirées qui se terminaient bien souvent en bacchanales. Des orgies qui seraient le fruit, selon sa fille, d’une puissante emprise sectaire. Une enquête avait été ouverte en 2013 après que celle-ci a déposé plainte en 2012. Son procès, qui devait se tenir en 2020, aurait dû in fine avoir lieu ce lundi 20 septembre à la cour d’Assises de Bordeaux. Il a finalement été renvoyé à une date ultérieure.
Nectar sacré et bacchanales
Fukushima ? C’est la faute d’«Hestia», déesse protectrice de la famille et du couple : d’après «Zeus», elle ne s’était pas assez acharnée à la tâche ce jour-là. Alors «Hestia», se sentant coupable de la mort de tous ces malheureux, a redoublé d’efforts, se pliant à ses moindres désirs. «C’est comme ça qu’il obtenait leurs faveurs, en tenant des propos prémonitoires sur la fin du monde», explique Me Picotin-Gueye, qui dénonce un phénomène d’emprise au sein de cette communauté. L’une de ces femmes s’est suicidée, sans qu’un lien entre cet acte et l’ascendant de Claude Alonso n’ait été formellement établi. Une autre «devait s’habiller uniquement en jupe, afin d’assouvir le plus vite possible le gourou lorsque celui-ci estimait en avoir besoin», rapporte l’avocate.
Constituée essentiellement de femmes mais aussi d’hommes, la communauté de l’Olympe se retrouvait régulièrement au sein d’une propriété appartenant au gourou du groupe. Un lieu financé par les cours de danse donnés par sa fille, «Artémis», mais aussi par les autres adeptes, qui étaient redevables à «Zeus» d’une somme mensuelle de 700 euros, en échange de quoi ils obtenaient le gîte et le couvert. Et participaient à des soirées, qui commençaient toujours de la même manière : on apportait de grandes jarres remplies d’un étrange «nectar sacré» composé de vin rouge, d’anxiolytiques, de sperme et de menstruations des femmes de la communauté. La suite allait de soi.
Mécanisme d’emprise
Claude Alonso avait ses préférées. Mais celle qui était l’objet de toutes ses attentions, c’était surtout sa fille. Aujourd’hui âgée d’une quarantaine d’années, elle intègre la secte à l’âge de 19 ans. À l’époque, cela fait un moment qu’elle n’a plus revu son père. La dernière fois, c’était dans son lit de jeune fille. Il lui avait dit «que toutes les femmes passaient une nuit avec lui» et avait eu des gestes déplacés. Elle ne l’avait plus jamais revu, jusqu’à sa majorité. «Il lui a dit qu’il avait changé, qu’il avait des problèmes de santé. Elle s’est installée chez lui, et c’est là que le mécanisme d’emprise s’est mis en route», rapporte Me Picotin-Gueye.
je ceut and past..vous attendrez que vos vieux nosse se dégèlent..bande de sales cabots
aucune vie?
« Le “vivant” n’est pas un slogan, c’est une carte pour s’orienter »
Le philosophe Baptiste Morizot précise la signification et la portée d’un concept « qui déplace la focale de notre attention collective vers nos interdépendances » avec les autres vivants, au moment où celui-ci est largement repris, mais parfois aussi critiqué.« Le “vivant” n’est pas un slogan, c’est une carte pour s’orienter »
Le philosophe Baptiste Morizot précise la signification et la portée d’un concept « qui déplace la focale de notre attention collective vers nos interdépendances » avec les autres vivants, au moment où celui-ci est largement repris, mais parfois aussi critiqué. LE MONDE
Pour répondre à Rose et à son enthousiasme ! Eh bien, j’ai sauté les passages traitant d’étymologie (les longs discours de Brichot), et j’ai sauté plein de passages dans la Prisonnière et la Fugitive, car j’étais étouffée par la jalousie et la duplicité du Narrateur envers Albertine. De plus, je ne croyais pas à la « double vie » d’Albertine, et je haussais les épaules devant toutes les trahisons décrites par Proust. Vous allez tous rigoler, je me croyais personnellement la moins concernée du monde par l’infidélité. Ahahah.
Je ne me souviens plus de mon numéro dans le film de Véronique Aubouy, mais je pense que sur son site il doit y avoir un moteur de recherche qui permet de le retrouver. Je me souviens du week-end lumineux passé avec elle, de mon choix du pré du haut pour lire le passage… à mes ânes, je ne savais pas à ce moment-là qu’un jour, je serai arrachée de cet environnement. Comme je tente de me protéger, du coup, pas question de revisionner, bien sûr.
Voilà, merci de votre intérêt, mais afin de ne pas trop envahir ce blog, si vous voulez d’autres précisions, vous pouvez me contacter à l’adresse clopinetrouillefou@gmail.com.
petit cours de rattrapage matinal –
Ok.
« C’est une vieille femelle, la bréhaigne, qui mène le groupe. Dans les couloirs d’avalanches ou les passages délicats, c’est elle qui passe la première et les autres suivent un par un. »
JE VENAIS DE LIRE « clos » et la question de la liaison me préoccupait doublement (puisque le clos et Laclos)
or je découvre qu’il y a des Liaisons interdites
https://www.lepointdufle.net/ressources_fle/liaisons_obligatoires_liaisons_interdites.htm
Merci Clopine.
Comptez-vous relire avec Véronique Aubouy, ailleurs ?
Clopine
Je ne rigole pas du tout.
Je vais vous faire mon retour sur le visionnage du doc.vu hier soir.
En attendant, bravo !
Janssen J-J
Merci pour Emma.
Ai copié collé.
Rentre chez moi fin de journée.
Demain psy.
Samedi midi et aprem avec elle.
Mon cœur vit dans un étau.
D.
Piazza Solférino, restaurant Solférino.
Ai mangé des pâtes plates et larges comme un ruban aux champignons frais sauvages.
Un truc style pulled pork avec rhubarbe et crème de céleri.
Pas de desserts puisque tous, quasiment, au chocolat.
Ai dit au serveur adorable (la fille de l’Office du tourisme adorable aussi) mais pkoi pas orange, citron ?
Pkoi tant de chocolat toujours ?
M’a regardé en souriant et répondu
« Parce que le chocolat c’est bon. ».
Pfffff.
Renato
Irai la prochaine fois aux tre galline.
Aujourd’hui cafet’ et retour pour rêcupérer la voiture.
Renato
Ai copié collé l’adresse.
@ C’est une vieille femelle, la bréhaigne, qui mène le groupe. Dans les couloirs d’avalanches ou les passages délicats, c’est elle qui passe la première et les autres suivent un par un…
Bravo pour le comparatif avec votre Z !…
Il parait qu’11% de la faune des vieilles peaux de chamois s’apprêterait à suivre leur vieille bréhaigne sur ses sentiers escarpés des montagnes pour lutter contre les hordes d’envahisseurs venues du sud et de l’est…
Janssen J-J dit: à
L’eau tonne ?
… c’est l’heure de la laisser couler, Angela.
(23.9.21@9.11)
Non, elle coule tranquille.
Joyeusement Dora entre dans fiume Pô et tourne à gauche avec de petites vaguelettes.
Fiume Pô lui continue tout droit c’est à dire vers la droite, bref.
Se sont rejoints.
C’est l’amour, et cela sent la mer.
À Turin, avant de pénétrer sur Piazza San Carlo, la statue de droite représente fiume Dora.
Et que tient -elle dans sa main ?
Mmmm ?
Ne serait ce pas une pomme ?
Fiume Pô, file file vers Venise
https://images.app.goo.gl/hDeMtdqRzq49FZqA6
Y a qq.mouettes et de moyens échassiers blancs, blancs blancs.
Rose, non, le principe du Proust lu c’est un lecteur différent par page. Une unique lecture, donc. Je me demande si notre hôte, qui avait fait la promotion du film de Véronique ici même, « y est passé » ?
Pour ceux qui voudrait mieux comprendre le contexte intellectuel et humain dans lequel évoluent Eric Zemmour et ceux, de même origine que lui, qui le rejoignent, j’invite à lire le grand entretien du jour du Figaro (ça tombe bien, c’est le jour du Littéraire).
George Bensoussan, qui vient de publier « Un exil français » répond aux questions…On comprendra mieux.
Il n’y est nullement question de Zemmour ni de politique politicienne.
»On est du pays où on est enterré »
Le complexe juif de Zemmour (23 min)
sur Akadem
https://akadem.org/magazine/magazine-culturel-2020-2021/le-complexe-juif-de-zemmour/45774.php
à propos de ZEMMOUR JE SUGG7ERE QUAND MËME/
https://akadem.org/sommaire/themes/limoud/individu-et-pouvoir/individu-et-societe/100-juif-100-francais-avec-haim-korsia-08-11-2018-105325_227.php
Pour ceux qui voudraient…of course
water closet, de quelle merde êtes-vous le nom , pour continuer votre petite musique de bâtard.
Vous savez lire ?
« Droit dans ses idées, le polémiste Eric Zemmour a livré sa vision de l’histoire de Vichy selon sa grille idéologique qui heurte les consciences : Vichy a protégé les Juifs français car 90% d’entre eux ont survécu, les statuts des Juifs n’ont tué personne, Pétain comme De Gaulle sont
dignes d’admiration, les Juifs d’Europe centrale sont responsables de l’antisémitisme dont ils étaient les victimes en prenant le travail des « Français »… En résumé, des propos donnant la nausée. »
Pour ceux qui voudrait mieux comprendre le contexte intellectuel et humain dans lequel évoluent Eric Zemmour et ceux, de même origine que lui, ceux de l’oas.
« C’est alors qu’Eric Zemmour fait référence au général Bugeaud : “Quand le général Bugeaud arrive en Algérie, il commence à massacrer les musulmans, et même certains juifs. Eh bien moi, je suis aujourd’hui du côté du général Bugeaud. C’est ça être Français !” »
Voilà.
ZEMMOUR DANS « MATCH »
Je n’achète jamais « Paris-Match ». On m’a fortement poussé à l’acheter, pour une fois. Cela coûte 3euros 50. Je ne savais pas. Sur la couverture, on voit de loin Zemmour face à une dame, qui n’est pas sa femme, dans l’eau. Le journal nous incite à penser que Zemmour trompe sa femme avec cette dame. Est-ce vrai , est-ce faux?Je n’en sais rien.
Cette photo est la photo-choc d’un article consacré à Zemmour et à cette femme, énarque, de 28 ans, qui assiste Zemmour dans ses déplacements (et sa précampagne?). Elle organise des choses, rédige des fiches.
Ces pages vont-elles favoriser la progression de Zemmour ? On verra bien.S’il n’y avait que la partie rédactionnelle de l’article, on pourrait le croire. Mais la photo de couverture a manifestement pour but de lui nuire.
Je me pose une question. Comment Zemmour a-t-il pu se montrer dans l’eau sur une plage de la Côte d’azur avec cette collaboratrice importante sans craindre une telle photo et une telle publication ? Ne serait-ce pas intentionnel ? Lui seul le sait.
DHH dit: à
@puck
vous écrivez
« Proust nous apprend qu’aimer c’est toujours voir les choses de travers ».
et Cocteau dit que ce verbe est diffcile a conjuguer car
« Le passé n’est pas simple, le présent n’est qu’indicatif ,et le futur est conditionnel »
Aussi l’employer nous expose aux fautes de grammaire
»
je vois pas de quoi vous parlez.
chez Proust il y a une théorie de la relation amoureuse, un concept de l’amour, une idéologie du couple.
à savoir l’amour nous nous aveugle à tel point que l’on se trompe toujours sur le compte de l’autre.
pour tous les couples ça marche comme ça dans la recherche.
à partir de là il me semble qu’un lecteur de Proust ne peut pas dire avoir vécu dans la compagnie amicale de cet auteur et ensuite venir faire un foin parce que ce lecteur s’est planté sur la nature de son ou sa conjoint(e).
ou alors ça revient à dire j’écoute ce que me dis mon ami, mais je comprends rien à ce qu’il me raconte, en fait je ne l’écoute pas.
ou alors je suis tellement ébloui(e) par le style magnifique de ses phrases que j’en oublie ce qu’il est en train de me dire.
vus me suivez ? ou bien je peux vous le réexpliquer en espéranto comme grebou.
Un paparazzi du paf dans la gueule a aussi été choqué, par la photo de son copain:
« Eric Naulleau est sorti de ses gonds dans « Touche pas à mon poste » où il a réagi à la une de Paris Match sur Eric Zemmour.
Financement occulte, fausse adresse avec boite à lettres de complaisance, multiples actions en justice contre ce délinquant verbeux.
Oui, il n’en faut guère plus pour pouvoir mettre en place les mesures qui viendront peut-être pour ce qui représente une menace sur la sécurité publique.
Le ficher s a tout le moins, ou considérer sa petite entreprise « maison » comme possiblement terroriste.
PROUST/
e Proust :
Il considérait que l’amour ne pouvait être que malheureux, qu’il ne pouvait engendrer
que la jalousie, que la jalousie était utile parce qu’elle vous faisait vous intéresser aux
autres, que normalement vous ne pensez à peu près à rien, vous êtes d’une bêtise sans
nom en ce qui concerne les êtres1
.
CITE IN “ Pourquoi Proust ne doit pas changer votre vie :
l’exemple de la jalousie ”
Stéphane Chaudier
« Eh bien, j’ai sauté les passages traitant d’étymologie (les longs discours de Brichot), et j’ai sauté plein de passages dans la Prisonnière et la Fugitive… » Clopine
Ce n’est pas très sérieux ! Et après vous osez parler doctement de Proust ?
« Eh bien, j’ai sauté les passages traitant d’étymologie (les longs discours de Brichot), et j’ai sauté plein de passages dans la Prisonnière et la Fugitive… » Clopine
SI C’est vrai, c’est désolant; je ne vous envie pas!
@et alii : la jalousie c’est qu’un détail. là où Proust défend un « concept » de la relation amoureuse c’est surtout dans l’idée que la mour fait en sorte que l’on se trompe toujours sur l’autre : on aime toujours une autre personne que la personne elle-même : Saint Loup / Rachel – Swann / Odette – le narrateur / Gilberte etc etc… l’amour incline toujours à l’erreur sur identité.
et voilà ! à partir de là soit on partage cette idée, soit on ne la partage pas ! on ne peut pas considérer Proust comme un « ami » si on ne dit pas à cet ami qu’il se met le doigt dans l’oeil !
et là je vous renvoie à Herzog de Bellow où ce dernier nous dit la façon dont il conçoit un lecteur, à savoir une personne qui interpelle l’auteur.
le problème avec Proust c’est qu’il fait l’objet d’une telle dévotion qu’on finit par ne plus comprendre de quoi on parle !
on a même écrit des « dictionnaires amoureux » sur Proust, et là c’est à mourir de rire parce que si on suit les théories de Proust sur l’amour qui engendre toujours des erreurs sur la personne alors ses lecteurs considèrent Proust comme Swann considère Odette.
vous me suivez ?
le problème avec Proust c’est qu’il fait l’objet d’une telle dévotion qu’on finit par ne plus comprendre de quoi on parle !
vous vous trompez, ;mais c’est comme d’habitude sur le dos de **,***,****;
non, je ne vous suis pas
puck, l’amour n’est pas un affect indispensable pour justifier,éclairer, la jalousie;
Exode 34:14
Concept des Versets
Tu ne te prosterneras point devant un autre dieu; car l’Éternel porte le nom de jaloux, il est un Dieu jaloux
Source: https://bible.knowing-jesus.com/Fran%C3%A7ais/topics/Dieu,-Jaloux
Les bains du mois de septembre sont les plus heureux ; on a déjà profité tout l’été de la mer et là, du rab encore meilleur, mer calme, temps doux, peinard. Que ce Zemmour qu’on dit pas plus niais qu’un autre en profite, cela me paraît naturel.
Ce qui est vraiment inquiétant ce sont ces millions de Français qui s’apprêtent à le suivre sur la piste imbécile de la France qui doit rester la France. C’est absurde.
Et Alii, c’est lors de mes dernières relectures que j’ai sauté ces passages, alors que lors de mes quatre ou cinq (je ne sais plus) premières lecture de l’intégralité de la Recherche je les avais scrupuleusement suivis. Je peux ainsi me souvenir que, dans les étymologies de Brichot, il est question de « bricq », de « bec » et de « vastatus »…
OK CLOPINE/
– Antoine Compagnon, « Brichot : étymologie et allégorie », in : Proust entre deux siècles, Paris, Seuil, 1989, rééd. 2013.
Antoine Compagnon écrit : « Les étymologies de Brichot […] brouillent aussi la dualité des noms et des choses, de l’illusion et de la désillusion […]. Elles réinvestissent les noms de secret, elles leur rendent une autre épaisseur. 511 » Ainsi, l’érudition ne manque pas de qualité. Le narrateur n’est plus à l’âge de la rêverie des noms, il n’est plus non plus à l’âge des choses, il est à l’âge du savoir. « Une fois la déception consommée », le plaisir lui revient par l’érudition — quoiqu’elle ne le fasse pas rêver.
. Par contre, Gérard Genette pense que les explications toponymiques données par Brichot ont pour fonction de rétablir la « vérité décevante de la filiation historique » (« Proust et le langage indirect », in Figure, II, Paris, Éditions du Seuil, 1969, rééd., « Points », 1979, p. 245).
qu’importe… oh et puis zut z’avez qu’à écouter ça épicétou !
https://www.franceculture.fr/emissions/repliques/l-identite-armenienne
Zemmour et les étrangers, et pour les artistes étrangers il propose quoi, pas de diffusion radiophonique ?
Vivaldi :
Dear Renato, chaque matin Zemmour écoute du Vivaldi en buvant son ovomaltine (made in Switzerland), demain il déjeune avec Orban à Budapest, gardien de la chrétienté depuis 1683. Tout ça finira à long aïlande derrière des écrans plasma à contempler la mise en abymes des ruines de l’Europe. Qu’aurait dit Ida Pfeiffer ?
Ce soir, France 2 inaugure son émission politique pré présidentielle avec une candidate sérieuse, crédible, qui pourrait inquiéter Macron si elle est au second tour, Valérie Pécresse.
Le même soir BFM organise un face à face Mélenchon Zemmour qui suscite une immense curiosité et qui va retirer une foule de téléspectateurs à Pécresse.
Est-ce un hasard ?
« Ce qui est vraiment inquiétant ce sont ces millions de Français qui s’apprêtent à le suivre sur la piste imbécile de la France qui doit rester la France. C’est absurde. »
je vois pas d’où vous sortez ça ! j’ai relu 2 fois l’articlapassou et il n’est à aucun moment question d’histoire de France qui doit rester française !
passou explique que le gros problème dans cette affaire c’est l’autoédition ! il cite, preuve à l’appui, Joel Dicker et Stephen King, du genre « l’édition tu l’aimes ou tu la quittes ! ».
même si j’ai pas compris grand chose à ce que raconte passou à cause de tous ces chiffres que je vois pas à quoi ça correspond vu qu’il ne le dit pas il n’est pas question à aucun moment d’histoire de France qui quitte la France !
d’ailleurs je vois pas pourquoi on fait autant de ramdam dans ce pays juste pour un problème d’un type qui s’autoédite : l’auto édition n’est certainement pas le plus gros problème de ce pays.
je veux dire faire tout un procès à un type juste parce qu’il s’auto édite c’est limite déplacé quand on voit le nombre de toubibs, d’infirmières et d’ostéonouilles qui refusent de se vacciner contre le covid.
Tu sais ce qui me fait plaisir en ce moment, Puck ?
c’est comme reprocher à Zemmour de vendre ses livres chez amazon.
c’est nul vu que s’il le fait pas je vois pas comment Bezos il va payer ses voyages dans l’espace.
la France devrait être fière de compter parmi ses habitants un type qui contribue aux voyages interstellaires…
parce que c’est loin d’être le cas de tout le monde dans ce pays !
C’est que chaque jour passant, la pleine saison de l’endive approche davantage.
D. dit: à
Tu sais ce qui me fait plaisir en ce moment, Puck ?
»
manger des merguez ?
D. : l’endive et la mandarine !
Et qu’est ce qui réjouit plus qu’un bon plat d’endives au jambon à la béchamel et au fromage gratiné au four ?
Rien.
D. tu sais quoi ? t’es le seul sur ce blog avec greubou à avoir les pieds sur ses épaules et la tête sur terre.
Clopine est parait-il excellente cuisinière. Et ça c’est très bien. C’est mieux que disserter sur Proust.
D. tu sais qu’il faut mettre du lait quand tu fait cuire tes endives, ça enlève l’acidité.
il faut pas les faire cuire longtemps pour qu’elles restent craquantes en prenant en compte le fait essentiel qu’elles vont contineur de cuire dans le four si tu vois ce que je veux dire !
Oui une bonne merguez c’est très très bien aussi. Je ne sais pas pourquoi j’aime tant la merguez. Peut être parce que j’ai des ancêtres numides dans l’Antiquité. Possible.
Il n’y a pad d’acidité dans l’endive. Qu’est-ce que c’est que ces sornettes encore ?!
D. tu sais quoi ? le top c’est mettre de l’orange, du cumin et de la coriandre dans tes endives au jambon.
en cuisine faut pas avoir peur de sortir des sentiers battus.
Notons tout de même, puisqu’il faut bien parler de livres, la laideur des ouvrages auto-édités dans leur version papier, souvent trop blancs, avec une police de caractères mal choisie. Le liseré noir et rouge de Gallimard, pensé par un flamand pur sucre de Bruges rappelons-le, est sans rival.
« Peut être parce que j’ai des ancêtres numides dans l’Antiquité. Possible. »
D. j’ai jamais voulu te le dire, mais c’est plus que probable que tes ancêtres soient humides.
un flamand pur sucre de Bruges
non, phil, c’est moi,(et tintin exceptionnellement)qui suis la spécialiste des histoires belges;vous n’aviez pas compris?
« la laideur des ouvrages auto-édités dans leur version papier, souvent trop blancs »
houla faut surtout pas dire à Zemmour que son papier est trop blanc malheureux !
n’importe quoi ! pourquoi pas du papier noir tant qu’on y est !
D. ça débloque plein pot sur ce blogue.
@Clopine est parait-il excellente cuisinière. Et ça c’est très bien. C’est mieux que disserter sur Proust.
Memento rigolo : Kinder, Küche, Kirche
https://fr.wikipedia.org/wiki/Kinder,_K%C3%BCche,_Kirche
« suis la spécialiste des histoires belges »
tout s’explique…
greubou aussi est un grand spécialiste en histoires belges.
pour que je l’aime pas : j’ai horreur des gens qui ont de l’humour.
PUISQUE C’EST çA? VOILA UNE HISTOIRE BELGE
Le musée de la frite (en néerlandais : Frietmuseum) est un musée se trouvant à Bruges (Belgique) en province de Flandre-Occidentale, dans la Saaihalle. Il s’agit d’un bâtiment du xive siècle, le plus ancien de Bruges, ancienne « Loge génoise » dans lequel était installée la représentation de Gênes à Bruges.
Ouvert en mai 2008, ce musée se targue d’être le seul au monde consacré à l’histoire de la pomme de terre et de la frite1. Il contient notamment une collection de machines qui ont été utilisées pour la récolte, les traitements, le tri et la cuisson des pommes de terre. Le musée montre aussi la place de la frite belge dans la culture (art, musique, cinéma, bande dessinée).
Memento rigolo : Kinder, Küche, Kirche
»
bien ce que je disais : rien de plus flippant que les gens drôles.
Léo Ferré – Comme à Ostende
https://www.google.com/search?q=comme+%C3%A0+ostende+chanson&oq=comme+%C3%A0+ostende+chanson&aqs=chrome..69i57j0i22i30.12070j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
trop nul ! ça c’est une histoire belge :
« il en va de l’édition comme de la psychanalyse car il est aussi illusoire de s’éditer que de s’analyser. »
bravo passou !
ferré:
c’est là qu’on teste vraiment votre humour bande de nazes !
qui ne rit pas en lisant ça :
« il en va de l’édition comme de la psychanalyse car il est aussi illusoire de s’éditer que de s’analyser. »
allez-y ! levez le doigt !
« il en va de l’édition comme de la psychanalyse car il est aussi illusoire de s’éditer que de s’analyser. »
passou ça vous vient comment ce genre de phrase ? c’est du pur génie !
pourquoi la psychanalyse ? vous auriez pu prendre les dentistes, les conducteurs de tgv ou les pilotes d’avion !
il en va de l’édition comme des soins dentaires car il est aussi illusoire de s’éditer que de se soigner une carie.
même pas besoin de vous pour me bidonner !
puck, on va pas s’friter?
SANDRINE ROUSSEAU MESURE 1m32 ou 1m33 ? JE M’INTERROGE .
ROSE puisque tous, quasiment, au chocolat.
ET JE PARIE QUE ce n’était pas du choco de BRUGES!
ça aussi c’est une histoire belge :
« Camille Laurens, feuilletoniste au supplément littéraire hebdomadaire du quotidien Le Monde, y a pourtant ajouté un étage en signant, dans l’édition datée du 17 septembre du journal, une chronique certes dûment argumentée, mais très violente contre le livre d’Anne Berest, La Carte postale (éd. Grasset). Lui aussi présent dans la première sélection du Goncourt, il traite d’un sujet assez similaire à celui du livre de François Noudelmann – ce sont deux récits familiaux dans lesquels les auteurs se penchent sur les destins de leurs parents et grands-parents juifs, victimes des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. »
réussir à faire de la Shoah une compétition genre concours de caniches qui racontent la vie de leurs grands parents c’est tout de même fort de café.
c’est pitoyable.
Entre relativisme rampant et faurisonneries, que zemmour se baigne en septembre n’est pas un problème pour lmd.
Qu’il le fasse sur la Côte d’Azur, en revanche , il sait etre » chez lui », comme disent les « chez nous » des hauts de fransse.
Et la France » qui doit rester la rance, dont cause lmd, c’est sur ce rivage,celle d’une très importante communauté pied-noir, maintenant âgée, très aisée, qui vote rassemblement facho, et pour la bâtarde du clan le pen dernière generation .
Rien que de très connu. Ils y ont opéré leur » grand remplacement » , il y a plus de 60 ans maintenant.
La mare ciottesque où lmd se baigne en septembre, elle est dégueulasse, les zemmouriens baisent dedans. Mauvaise chanson.
La nuit est tombée sur le massif du Trieves, un peu comme le silence sur la mer.
Je continue ma route.
le devoir de mémoire ramené à une bataille où l’on gagne à la fin une médaille en chocolat.
interview du gagnant : « sûr que je suis triste que mes grand parents soient morts dans un camp de concentration, mais grâce à eux j’ai quand même eu le Goncourt ! »
merci aux grands parents morts à Auschwitz !
comme à Cannes : « merci ! je suis très heureux d’avoir remporté ce concours, je voudrais remercier mes amis, ma femme qui m’a beaucoup aidé, mon éditeur et surtout mes grands parents, car sans eux je ne serais pas présent ici sur ce podium ! »
la honte et la pudeur ont totalement déserté notre beau paysage littéraire…
puck, n’insistez pas !
et alii au contraire il faut insister pour montrer que Zemmour n’est que l’expression d’un bordel bien plus grand.
taper sur Zemmour au nom de quoi ? pour défendre quelles valeurs ? quelles idées ?
qu’est-ce qu’ils ont à défendre les gens face à Zemmour ? rien !
tweet prof d’histoire:
« es tentatives d’interpréter la Shoah comme un des principaux événements de l’histoire russe du xxe siècle se heurtent aujourd’hui à une sourde résistance, non seulement des nationalistes, mais aussi des libéraux. Ainsi, le professeur d’histoire Léonid Katsva, que l’on peut certainement qualifier de libéral et qui est l’auteur du meilleur manuel d’histoire pour les classes terminales, déclare dans une interview au journaliste Ilya Faïbissovitch :
Est-ce qu’on étudie la Shoah chez nous ? [c’est-à-dire dans les écoles de Russie]
Ce mot figure dans les programmes, il faut y faire allusion. Mais là-bas [en Allemagne], c’est une matière obligatoire. Je dirais d’ailleurs que cela est juste sur le plan des principes : faire un cours d’histoire de la Shoah n’est pas nécessaire dans une école russe d’enseignement général.
Et qui dit que cela est nécessaire ?J’ai eu l’occasion de me confronter à de telles propositions, mais cela n’est pas nécessaire parce que l’étude de la Shoah est soumise à des modèles différents dans les différents pays. En Allemagne, c’est le modèle de la repentance nationale, en Israël celui de l’indentification nationale, en Suède c’est le modèle des populations qui se tenaient à l’écart. En Russie, avec ses pertes gigantesques, où on ne trouve pas une seule famille où un arrière-grand-père n’ait pas été tué, blessé ou tout simplement n’ait pas combattu, les enfants se posent une question logique : « Et pourquoi il ne faut pas parler de mon arrière-grand-père alors qu’il faut parler de celui de Monia ? »[prénom juifN.d.T.]
Mais en laissant de côté l’arrière-grand-père de Monia, peut-être faut-il que le cours sur la Shoah soit cantonné à l’Allemagne et que chez nous, on fasse un cours particulier sur les répressions ?
En effet, il est absolument indispensable de prêter attention à ce sujet. Je viens d’examiner tous les manuels d’histoire de la Russie et je dois dire que même ceux des années 2000, sans parler des plus anciens, mentionnent les répressions. Sans doute pas assez en détail, et parfois même en passant, mais elles ne sont niées nulle part. Et c’est seulement dans un manuel odieux bien connu (il s’agit d’un ensemble de livres d’histoire pour les grandes classes publié sous la direction d’Allexandre FilippovI.K) que l’on tente non pas tant de les justifier que d’expliquer « pourquoi il fallait faire cela ». Mais c’est pour le moment une exception. Il est très compliqué de dire où nous allons14. Il y a des professeurs qui en font (de la Grande TerreurI.K.) la partie centrale du cours [d’histoire dans les grandes classes] et il y en a qui disent aux élèves qu’on n’arrêtait pas les gens pour rien. »
in « Pourquoi la Shoah n’est pas considérée comme événement à part entière dans l’histoire de la Russie » fabula
histoire
Annie Epelboin
Assia Kovriguina
EAN : 9782221127094
300 pages
Éditeur : ROBERT LAFFONT
La littérature des ravins : Ecrire sur la Shoah en URSS
https://www.babelio.com/livres/Epelboin-La-litterature-des-ravins–Ecrire-sur-la-Shoah-en/489246
Monsieur Chalouret, aimez-vous les merguez ?
Et alii
Du gandujia, oui.
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