de Pierre Assouline

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La République des livres
Avec lui, on est toujours à deux pas de l’hôpital

Avec lui, on est toujours à deux pas de l’hôpital

Etrange comme certains éprouvent le besoin de médicaliser la passion. On observe le phénomène parfois en littérature, ou même en peinture (ah, le « je ne suis pas assez pervers pour aimer Puvis de Chavannes » du tonton flingueur Bernard Blier !) mais plus encore en musique. Comme si elle devait nécessairement conduire ses sectateurs et thuriféraires aux transports les plus paroxystiques et les plus hyperboliques, lesquelles, on le sait, mènent lentement mais sûrement à la maladie mentale. L’essai sous forme d’anthologie de Philippe Berthier annonce la couleur dès la couverture : Toxicologie wagnérienne. Etudes de cas (252 pages, 20 euros, Bartillat).

Professeur émérite de littérature française à la Sorbonne, ce qui trahit un certain âge et une formation certaine, ce spécialiste des études stendhaliennes tient Wagner pour le nom d’une maladie. Vous avez bien lu. A ma connaissance, on ne sache pas que les mozartiens ou les verdiens aient été jamais traités de la sorte. Car enfin, voir traiter de pathologie l’objet de sa passion artistique, ce n’est pas rien. On pourrait se vexer, et même se sentir humilié, pour moins que cela. La folie Wagner dont il est question n’est pas celle du maître mais bien celle de ses adorateurs. Peut-être est-ce dû à l’ombre portée du grand Nietzsche : si son Cas Wagner (1888) a tant marqué les esprits, c’est aussi qu’il s’y présentait comme un malade de Bayreuth en voie de guérison. Son antidote ? Rien moins que Carmen. Il est vrai qu’à côté, la tétralogie, c’est du brutal. Le festival, auquel le philosophe avait assisté dès sa première édition, est organisé avec ce qu’il faut de rituel sacramentel : révélation etc

L’essai de Berthier est donc conçu autour de larges extraits commentés. On lui sait gré d’avoir été les pêcher. Certains sont inoubliables :

« Ce n’est pas un homme, c’est un demi-dieu qui a écrit ça » ose sans rire Paul Claudel à propos des adieux de Wotan dans la Walkyrie.

Nietzsche n’est pas en reste :

« Il a rendu la musique malade…. Wagner est une névrose… Avec lui, on est toujours à deux pas de l’hôpital » ».

Thomas Mann jugeait que cette musique était un au-delà de la musique qui participait à la nature et au spectacle du monde. Cela dit, lorsqu’on écoute les wagnériens, qu’ils soient ou non conscients de leur état, ils ne donnent pas l’impression de vouloir en sortir. Mais à les en croire (à cette légère distance, vous comprendrez que je n’en suis pas), cette musique a une puissance d’envoûtement, un pouvoir de séduction, de quoi anesthésier le raisonnement et hypnotiser l’intelligence.

Philippe Berthier use d’un vocabulaire médical bien choisi : étiologie, syndrome, virus, infectieux… Il suffit de considérer le romantisme comme un catalogue d’affects pour s’embarquer dans ses raisonnements. Elimir Bourges, Thomas Mann, d’Annunzio, Joséphin Peladan, Blasco Ibanez, Edouard Rod, Arthur Schnitzler, D.H Lawrence, Lucien Rebatet… Chez certains, l’admiration confine au délire. Un vrai concours de superlatifs. L’auteur a examiné leurs nouvelles ou leurs romans, parfois leurs articles, et les plus wagnériens au prisme du pessimisme créateur du grand homme, mais c’est rarement ce qu’ils ont écrit de mieux. Il y a débusqué les symptômes de leur fascination pour la mort liée à l’amour, si puissamment transcendée dans ses opéras, païenne dans le Crépuscule des dieux et chrétienne dans Parsifal. Pour le Rebatet des Deux étendards par exemple, c’est facile tant le texte est « saturé » sinon « surchauffé » de bout en bout par le wagnérisme ; les personnages, qui veulent vivre selon Tristan, s’y exténuent de sublime ; ce qui n’a pas empêché le Dictionnaire encyclopédique Wagner (Actes sud, 2010) d’ignorer royalement celui qui a pourtant écrit Une histoire de la musique (1969) de référence bien qu’il ait du sang sur les mains (mais pas sur la conscience).

Au détour, on apprend que, dans son combat archaïque contre la prééminence de Paris, Lyon se prétend « la ville la plus wagnérienne de France ». Ce qui laisse entendre que, outre la programmation de son opéra et les travaux de son Cercle Richard Wagner, l’ancienne capitale des Gaules possède des services hospitaliers spécialisés en traitement de la wagnérite, un peu comme l’hôpital municipal de Florence s’enorgueillit de soigner, lui le seul, le syndrome de Stendhal. Mais en quoi ce compositeur surexcite-t-il la machine nerveuse davantage que d’autres ? Après tout quiconque a assisté à un opéra de Verdi, de Bellini ou de Puccini, surtout en Italie, plus encore à la Scala lorsqu’une diva s’y produit, peut témoigner des hurlements, des huées et des sifflets, du passage de l’état de grâce à l’état de transe et retour, chez nombre de spectateurs qui souvent n’attendent même pas la fin de l’acte pour manifester. L’Opéra apparait alors comme le plus élitiste des transports en commun. Parlera-t-on pour autant à propos de ce phénomène d’hystérie quasi collective de « pathologie » ? (dès que je pourrais vérifier dans La Civilisation de l’opéra de Timothée Picard, je ferais le cas échéant un rajout ; on se souvient peut-être de son essai sur les rapports antiwagnérisme et germanophobie)

Là où on le suit plus difficilement, c’est lorsqu’il esquisse un rapprochement alambiqué entre le mal et le remède. Car dans son idée, ceux qui s’adonnent à ce culte le font pour se soigner. Il dresse donc une analogie avec le pharmakon grec : ce qui inocule le mal et en délivre. Encore faudrait-il savoir de quoi souffrent les wagnériens au départ, ce qui n’est pas si clair. Si c’est de la maladie de Wagner, elle existe bel et bien : c’est une maladie vitréo-rétinienne rare, à transmission héréditaire, un trouble du tissu conjonctif qui affecte le collagène et doit son nom à l’ophtalmologue Suisse Hans Wagner, mais il n’a pas été prouvé (pas encore ?) que cela frappait surtout les pèlerins de Bayreuth.

Au fond, ce qu’il manque à cet essai original, c’est une large conclusion qui inclurait un rapide panorama de l’actuel wagnérisme littéraire, juste pour voir si la maladie a évolué et comment. Heureusement qu’il est dédié à « mes amis les plus atteints », ce qui change tout. Il est vrai que les commentaires de l’auteur tout le long ne manquent pas d’humour, ce qui ne semble pas être la principale caractéristique des mélomanes atteints de wagnérite, qu’ils évoquent leur dieu, demi-dieu, quart-de-dieu… Sauf à penser que Philippe Berthier le tout premier est le plus atteint d’entre eux puisqu’il fait tenir à Richard Wagner le double rôle de grand contaminateur et de bienfaiteur de l’humanité, « bien évidemment… ». Qu’on se rassure sur un point : ce voyage en haute toxicité n’a rien de toxique.

(Photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Musique.

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commentaires

894 Réponses pour Avec lui, on est toujours à deux pas de l’hôpital

JC..... dit: à

Après avoir attendu un billet durant 9 années épouvantables d’angoisse, je reçu ce don du ciel par un jour de beau temps : un viatique pour le Bayreuther Festspiele 2003 (27/28/30 juillet et 1 août).

Joie ! Joie ! Joie ! Pleurs de joie…

Embrassant femmes, enfants, voisins, voisines, je quittais le Paradis pour la Mecque : un gros bourg teuton, sans intérêt autre qu’historique.

L’aventure qui allait me faire rencontrer Kawabata et Merkel en roble longue rideau de chambrette commençait … La suite au prochain numéro.

boudegras dit: à

Vient de paraître : JC ou l’andouille musicale !

closer dit: à

« La suite au prochain numéro. »

JC ou l’art du teasing…

JC..... dit: à

Accélérant le pas en croisant la Marie-salope de service, la bouse grasse vomissant le même pus puant putride, j’arrive au sujet.

Lorsque le spectacle total voulu par notre Dieu (Richard est un prénom de dieux, Wagner, Millet …) en son théâtre a été admis, apprécié, compris, assimilé, il ne reste plus que Momo, l’Arabe de Salzbourg, a tenir la route…

Le caniveau est plein d’Italiens minables comme le pauvre Verdi, d’Allemands lourdingues comme le pauvre Beethoven et quelques modernes qui nous questionnent …

JC..... dit: à

« Mais à les en croire (à cette légère distance, vous comprendrez que je n’en suis pas), cette musique a une puissance d’envoûtement, un pouvoir de séduction, de quoi anesthésier le raisonnement et hypnotiser l’intelligence. » (Passou)

« Anesthésier le raisonnement » ne s’applique qu’a Marcelito Proutprout, « Hypnotiser l’intelligence » à des tapées d’inutiles larves politiques, religieuses ou culturelles…

Par contre pour Wagner « Envouter et séduire », nous sommes d’accord ! Pas grave ! Dans d’autres domaines envoutement et séduction sont acceptés sans réserve.

Suite dit: à

Richard est un prénom de dieux, Wagner, Millet …
…Anthony, Clayderman…..

Miss Tigris dit: à

des demeurés graves comme ce JC que Boudegras s’échine à traiter d’andouille (à juste titre), on en rencontre tous les jours; la plupart essaient de la moins paraître quelquefois avec succès; ce qui est inquiétant chez ce JC : sa volonté manifeste de le prouver plusieurs fois par jour avec une évidente satisfaction

JC..... dit: à

« Ce que la loi de Poe résume est intrinsèquement source de confusion, un peu comme avoir une conversation émotionnelle de fond avec quelqu’un qui porte des lunettes de soleil » (X)

Se méfier de ce Poe là ! Préférer Edgard à Nathan … un glandu creux parmi les potiches sœurs !

Nicolas dit: à

Difficile de faire plus élitiste qu’un Wagnérien, ai écouté Parsifal un peu, c’est joli mais ca suinte de trop ce qui devient vite rédhibitoire.
Je me souviens du docu Pianorama, la beauté révélée de l’homme dans la folie à exprimer ses sentiments. Rien de divin là dedans. https://youtu.be/tWGHPpPFy0o

et alii dit: à

la pathologisation psy est la tendance de notre époque après la métaphore médicale de l’éléctro choc ;
ce n’est plus que des « parano », « hystérie » « autiste »
c’est le succèspar défaut, d’une pathologisation jusqu’au totalitaire du discours psy,

Janssen J-J dit: à

Je crois qu’il faut toujours remettre les billets du jour, aussi drôles soient-ils, dans un contexte plus général, « l’idéologie de l’opéra » qui atteint son apogée au 19e s., par exemple.
http://www.cairn.info/zen.php?ID_ARTICLE=SOC_093_0053
(sans compter l’inégalé essai de philippe-joseph Salazar aux PUF, 1980), etc.
Quant à se « wagnériser » au 21e s. au point d’y consacrer une amusette vénitienne, je pense que cela ne concerne plus grand monde, ni nos mélomanes habituels du blog. La chevauchée des W., qui jadis me provoquait toujours des picotements vers le bas, ne remplit plus son office depuis des plombes, preuve que tout s’en lasse rapidement.
Je me suis toujours souvenu que Mme Simone Veil, naguère, disait ses transports troublés à sa participation annuelle à Bayreuth, du temps de Chéreau. Quant à imaginer ce que penserait P. Quignard de cet opus de Berthier, on préfère le lui laisser ignorer.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…le vase crachoir wagnérien est disponible,!…

…chacun à vomir son  » Dali  » blasez en verves;!…

…Oui,!…Non,!…pas de pistes & recettes pour des artistes nés sur votre dos,!…

…c’est mieux,!…

…des grands garçons,!…sans ailles,!…

…des traces éparses d’instruments,!…

…les arts, côté instruments, côté sciences chimiques,!…les deux en mixité,…

…pour qui faire de l’excellence, si on survit dans l’exécrable et profits,!…
…concours entre me.des – abrutis,!…
…déjà, le court chemin entre fosses du goût libre démocratique indépendant,!…??? encore plus à venir,!…???…çà promet, préparons le terrain au  » génie  » populiste,!…
…c’est possible Nosferatu,!???,… Ah,!Ah,!…etc,!…
…ces œufs aux lardons,!…transgenres,!…à la cage aux folles sociale,!…
…qu’est ce qu’il dit,!…il a oublier ses lunettes sur son nez,!…

…l’As d’écrire,!…sans pistes,!…
…aux inquisiteurs du copier-coller, tout mes tableaux à se ronger,…

…c(est gratuit, les échecs & mat,!…etc,!…

JC..... dit: à

« Je crois qu’il faut toujours remettre les billets du jour, aussi drôles soient-ils, dans un contexte plus général, « l’idéologie de l’opéra » qui atteint son apogée au 19e s., par exemple. » (JJJ)

Joyeux Jankélévitch Jovial… je me tue a essayer de pousser Passou à « remettre ses billets dans un contexte plus général »… Hélas, il agit comme un sergent en présence d’une cantinière, un migrant à Cologne voyant les blondes libres de droit, un Trump ou un Cahuzac à Bercy … cad la main au culte des autorités, et le sourire lointain.

Widergänger dit: à

Il m’est arrivé de voyager en Russie avec Philippe Berthier, en 2005. À la question que je lui avait posée, N’est-ce pas vous qui avez fait une thèse sur Barbey d’Aurevilly, il me répondit par l’affirmative (j’ai chez moi l’essai qu’il avait pondu pour les concours sur Barbey alors au programme) et ajouta qu’il avait repris un projet de thèse du président Pompidou qui l’avait abandonné pour aller s’inscrire au chômage chez Rotschild…

Sa bio de Stendhal est à lire.

Quant à Wagner, je comprends fort bien qu’il soit interdit en Israël. C’est Wotan vu à travers Bollywood, et aussi Watan. Musique hystérique qui transforme celui qui l’écoute en écorché vif. La mort d’Iseult a quelque chose de grandiose et de pathétique à la fois. Le pathétique poussé à ce degré, c’est du vice. Quand je l’entends, je ne peux m’empêcher de voir des images d’Hitler vociférant à son pupitre devant la foule captée, capturée, avec ses gestes hystériques qu’on lui connaît.

Widergänger dit: à

Même Baudelaire s’y est laissé prendre. C’est dire la puissance de cette Fleur du mal.

etudiant sérieux dit: à

DonaldTrump ne trouve pas de chanteur pour sa cérémonie d’investiture (twit)

pour renforcer l’éclat de l’aura, le cas varois pourrait apporter sa pierre a l’édifice – il passerait à la tv – what else

Widergänger dit: à

Tout ce qu’on peut dire de certain, c’est que quand Trump quittera la Maison Blanche, le monde sera au bord du chaos.

etudiant sérieux dit: à

« la pathologisation psy est la tendance de notre époque »

ça n’empêche pas la montée de l’intégrisme religieux

etudiant sérieux dit: à

« quand Trump quittera la Maison Blanche »

si la planète existe encore

et alii dit: à

Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit.baudelaire

D. dit: à

Wagner est un musicien remarquable, c’est inadmissible de rabaisser son œuvre de cette façon.
Sinon c’était un salaud antisémite, là-dessus on est d’accord.
Je ne vois pas pourquoi il faudrait rejeter la belle musique écrite par des salauds antisémites, ça n’a aucun sens.

D. dit: à

Si on rejette la musique de Wagner sous prétexte d’un excès de passion proche de la folie, alors on va rejeter un bon quart de l’œuvre musicale classique. On va rejeter une bonne partie de Beethov., de Chopin, même de Mozart. On va rejeter Rachmaninov, et puis si on rejette les belles œuvres soys prétexte de folie, on va s’attaquer à la poésie, à la sculpture, à la peinture…à tout !
Ce qui s’est passé sous le IIIe Reich.

et alii dit: à

puis si on rejette les belles œuvres soys prétexte de folie, on va s’attaquer à la poésie, à la sculpture, à la peinture…à tout !
on peut aussi reconnaître que wagner n’est pas l’unique pharmakon, et qu’il y en a même beaucoup , et pas que les thérapeutes selon leur « ordre » (médecins, psys,)

Nicolas dit: à

Wagner est vraiment interdit en Israël. C’est pas une blague. Ils nous auront tout fait.

Sergio dit: à

Miss Tigris dit: 2 janvier 2017 à 12 h 28 min
sa volonté manifeste de le prouver plusieurs fois par jour

Bien sûr ! C’est le problème du passage du discret au continu, le fondement et la justification des mathématiques… Le jour où l’on aura résout ça, on pourra dire comme dans L’étranger : « chapeau bas » !

Sergio dit: à

Mais pourquoi i porte cette sorte de faluche pour gomposer ? On entend la mer, peut-être… I fait de la sophro !

Paul Edel dit: à

D.vous avez raison avec ce type de raisonnement les plus belles œuvres sont jetées à la poubelle

Sergio dit: à

Bon ben là si on réchappe à Heidegger je veux bien être pendu par quatre chevaux…

Petit Rappel dit: à

Cela veut dire quoi? Que Wagner a tenu de la place, et d’autant plus qu’après l’échec de Tannhäuser (1867), il est venu porter son feuilleton tétralogique en Bavière. Résultat : son œuvre est mal connue en France, meme des Wagnerolatres. L’aveu de Léon Daudet, intime du salon de Judith Gautier, pèse lourd « J’ose à peine le dire, mais ce que nous connaissions de lui, c’était surtout ses livrets.
Le choc en retour a lieu en 1893, lorsque Tannhäuser triomphe à l’Opéra de Paris. Entretemps, s’est développée une école musicale tentant de faire du Wagner à la française dont le Fervaal de d’Indy , le Guercoeur de Magnard, et l’Artus de Chausson, sont les plus estimables pâtisseries. Mais ça ne vit pas. ça ne tient pas. On se souviendra quand meme qu’une Lubin y a fait ses classes…
L’institution de Bayreuth comme lieu de pèlerinage a du jouer dans la sacralisation de la figure. On en veut pour preuve le succès du Lavignac, Le Voyage à Bayreuth, sortde de Baedeker musicologique rédigé par un professeur du Conservatoire.
Les sarcasmes de Nietzsche n’ont pas eu grand effet de ce coté-ci du Rhin. il faut avouer que la musique du philosophe, quelque part entre le Biedermaier et une très chétive imitation de Mendelssohn,meme quand c’est orchestré par l’ami Peter Gast, laisse la partie belle à Wagner. Il n(‘y a guère que Debussy pour s’insurger contre « la ferblanterie tétralogique », et après lui, Darius Milhaud. A -t-il désintoxiqué Claudel?
Pas d’accord avec la mauvaise langue sur l’interdiction de Wagner, levée d’ailleurs me semble-t-il par Daniel Barenboïm.
Bien à vous.
MC

bouguereau dit: à

Etrange comme certains éprouvent le besoin de médicaliser la passion

..hon dirait du keupu se parlant en mistigri

Jean dit: à

Ouais. Ce dont il ne semble pas beaucoup question dans cet essai, c’est de musique. Parce que, tout de même, sans Wagner, pas de Schoenberg, pas de Richard Strauss, pas de Debussy etc. etc.

bouguereau dit: à

son œuvre est mal connue en France, meme des Wagnerolatres

hon dirait du meusieu courte se congratulant et se serrant les deux mains derrière le dos..de face ça fait louche

bouguereau dit: à

Ce dont il ne semble pas beaucoup question dans cet essai, c’est de musique

ça va ête dur de surrenchérir..

bouguereau dit: à

« Il a rendu la musique malade…. Wagner est une névrose… Avec lui, on est toujours à deux pas de l’hôpital »

..faut toujours qui rjette la faute sur les otes celui là

Janssen J-J dit: à

14.49… sans doute pour tenir les rouflaquettes bien au chaud. Mais pourquoi cette plume d’oie plutôt qu’une pointe bic pour graver des notes ?

bouguereau dit: à

Son antidote ? Rien moins que Carmen. Il est vrai qu’à côté, la tétralogie, c’est du brutal.

..c’est hinteressant

bouguereau dit: à

pendu par quatre chevaux…

les hémisfères de magdebour c’est une cavalerie

bouguereau dit: à

Le caniveau est plein d’Italiens minables comme le pauvre Verdi, d’Allemands lourdingues comme le pauvre Beethoven

le caniveau c’est linfini à la portée des caniches

Bloom dit: à

Wagner, pas de Schoenberg, pas de Richard Strauss, pas de Debussy etc. etc.

Non..!? Sans Monteverdi, pas de Bach, pas de Vivaldi, pas de Mozart, pas de Beethoven, etc etc.
Et sans les Italiens, pas de piano, pas de violon. Ni Bill evans, ni Caoimhín Ó Raghallaigh..quelle tristesse…

Sergio dit: à

Janssen J-J dit: 2 janvier 2017 à 15 h 05 min
une pointe bic pour graver des notes ?

Des fois ça bave les imprimeurs vont croire que c’est des dièses des bécarres i vont en coller partout on va se retrouver avec de la dodécaphonie militante…

bouguereau dit: à

Mais à les en croire (à cette légère distance, vous comprendrez que je n’en suis pas)

..c’est du brutal

bouguereau dit: à

de la dodécaphonie militante…

il a seulement dit que ça méritait d’être essayé..(à cette légère distance tu remarqueras que je préfère le passo doble)

D. dit: à

Bouguereau a peut-etre dejà écouté Beethoven mais ne l’a manifestement pas entendu.
Ca arrive parfois. Il faudrait voir s’il n’y a pas un traumatisme caché là -dessous, genre panne de gode-ceinture musical jouant la Cinquième.

bouguereau dit: à

je préfère le vrai dédé keupu

bouguereau dit: à

Au fond, ce qu’il manque à cet essai original, c’est une large conclusion qui inclurait un rapide panorama de l’actuel wagnérisme littéraire

..j’éssaie de transposer..chopinesque..mozartienne..bachanale litteraire..pourquoi que ça sonne pas serdgio ?

Sergio dit: à

bouguereau dit: 2 janvier 2017 à 15 h 23 min
le passo doble

Ben ça chais pas si ça s’happrend mais le tango j’oubliais tout le temps le retour a hurlait dans toute la salle une vraie essesse… Haprès une fois qu’on est repéré c’est la malemort !

bouguereau dit: à

Ce dont il ne semble pas beaucoup question dans cet essai, c’est de musique

..j’aurai essayé de surenchérir jean marron..mais tu fais trop fort

bouguereau dit: à

Haprès une fois qu’on est repéré c’est la malemort !

le tango c’est pas comme la peinture à l’eau

Sergio dit: à

bouguereau dit: 2 janvier 2017 à 15 h 36 min
pourquoi que ça sonne pas

Les vibrations ça se commande pas… Mais c’est effectivement la preuve qu’on réagit à des impulsions qu’on ne remarque pas ; c’est passeque on est des bêtes !

et alii dit: à

« Si un jour j’ai la maladie d’Alzheimer, j’aimerais que ma famille me fasse écouter des chansons françaises car ça stimule la mémoire à long terme ! », assure-t-il, facétieux. c’est nir barzilaï le médecin qui sait comment avec de la musique et des chansons reviennent des souvenirs et sont traités des alzheimer
nir barzilaï est né en Israel et He also directs the Longevity Genes Project,
https://en.wikipedia.org/wiki/Nir_Barzilai%5B

et alii dit: à

Autrement dit — et pour la première fois — que vieillir est une pathologie que l’on peut combattre. « Un nouveau paradigme », affirme-t-il.
il:nir barzilaÏ

Janssen J-J dit: à

@ Des fois ça bave les imprimeurs vont croire que c’est des dièses des bécarres i vont en coller partout on va se retrouver avec de la dodécaphonie militante…

Mais c’est comme ça qu’elle a commencé, quand le père Mann n’arrivait pas à se dépêtrer de sa plume baveuse pour écrire l’histoire d’adrien Leverkühn… Il a fini par prendre un mont-blanc et alors, tout s’est arrangé. Depuis le docteur Mabuse, tous les fœtus baveurs à venir (nos futurs mélomanes branchés et désormais un peu ringards ayant voulu définitivement congédier le gros Richard), te prennent leur do-déca avant d’aller s’coucher, l’iPad branché dans les ouïes. Sont tristes.

Sergio dit: à

« une puissance d’envoûtement, un pouvoir de séduction, de quoi anesthésier le raisonnement et hypnotiser l’intelligence. »

C’est que déplacer des repères, l’intelligence c’est que de la connexion elle le fait partout pareil…

Au permis les cônes quand on les déplace on tombe immédiatement c’est la moto qui reste debout… Forcément, elle a rien compris !

Conclusion l’intelligence faut rien lui laisser faire…

Nicolas dit: à

JJJ, votre lien est particulièrement lourdingue. Le mec s’écoute parler. Ce n’est pas sérieux.

christiane dit: à

Eh bien, que de passion !
Wagner… Je l’entends plus que je ne l’écoute car j’ai besoin des images. Je suis assez d’accord avec cette pensée de Friedrich Nietzsche : « La musique de Wagner en tant que telle, est insupportable ; on a besoin du drame pour la délivrer. »
Et je retrouve Wagner dans le 7e art… au sommet des atmosphères et actions les plus pathétiques. Sa musique déferlant sur les images, j’aime beaucoup !
« Apocalypse Now » de F.F.Coppola (1979). Les déesses guerrières des Walkyries se confondant avec l’œuvre de mort des hélicoptères déversant napalm et roquette sur un village vietnamien. Hynkel, rêvant de conquête et de puissance sur le prélude de « Lohengrin ».(« Le dictateur » de C.Chaplin), le prélude de « Tristan et Isolde », leitmotiv du film de Lars Von Trier « Melancholia, ou les 3 notes de la boite à musique au début de « Citizen Kane » d’O.Welles.
Quant à « La guerre des étoiles », la musique de Wagner n’a-t-elle pas influencé John William dans sa partition comme les accords de Tristan ont inspiré la musique de « Vertigo » ? Sans oublier « Ludwig » de Visconti : « Le crépuscule des Dieux » , « Excalibur » de J.Boorman, (prélude de « Tristan et Iseult »)et marche funèbre de « Siegfried »). W.Allen, imbattable dans « Meurtre mystérieux à Manhattan » quand il dit par Larry :  » Je ne peux m’enlever cet air du « Hollandais volant » de la tête. Demain, fais-moi penser à acheter tous les disques de Wagner en ville et à louer une tronçonneuse. Comme pour « Ariane » de B.Wilder ou l’adorable A.Hepburn à l’opéra, sur le prélude de « Tristan et Isolde », saisit les jumelles de théâtre de son voisin pour fixer… l’homme de ses rêves assis au premier rang d’orchestre, Frank Flannagan alias Cary Cooper.
Les salles de cinéma ont été mon Bayreuth. J’ai acheté les disques après avoir vu ces films. La magie Wagner est associée à toutes ces scènes de cinéma. J’écoute Wagner et je les revois. Pas vraiment mélomane mais accro du septième art !

Jean dit: à

« La musique de Wagner en tant que telle, est insupportable ; on a besoin du drame pour la délivrer. »

Alors là, chère Christiane, je pense le contraire. Apparemment que Nietzsche n’a pas saisi la puissance novatrice du chromatisme wagnérien. Au fond, il y a deux Wagner, le compositeur et l’écrivain, l’auteur des partitions et celui des livrets. Admirable dans les deux cas, mais pour mesurer le génie du compositeur, il est utile de se libérer de la mise en oeuvre dramatique des opéras et d’écouter les ouvertures et préludes pour l’orchestre seul, ou alors les « Wesendonck Lieder », qu’on ne connaît pas assez.

S’agissant de l’antisémitisme, le cas Wagner ressemble assez au cas Céline. On peut se délecter des oeuvres de l’un et de l’autre sans être gêné par l’antisémitisme de l’auteur, vu qu’il n’y tient aucune place.

La wagnérolâtrie est aujourd’hui une mode obsolète. La musique de Wagner fascine autant que celle de Mozart, de Verdi ou de Ravel, ni plus ni moins. Simplement, pour se laisser prendre par le charme de cette musique, on a besoin d’une écoute pleine de fraîcheur naïve, celle qui manquait complètement au Jankélévitch de l’après 1945, celui qui avait jeté l’anathème sur toute la musique allemande depuis le Romantisme, et pour qui Brahms n’était, selon ses propres mots, qu’un « bourgeois teuton ». Cette fraîcheur naïve, on l’a encore dans l’adolescence, quand on ne sait pas encore trop de choses, extérieures à l’art du musicien ou de l’écrivain, et qui risquent d’en gâcher l’approche. C’est la chance que j’ai eue, dans ma rencontre avec la musique de Wagner et avec les romans de Céline.

christiane dit: à

@Jean dit: 2 janvier 2017 à 17 h 47 min
Superbe, Jean !
Ce qui m’a plu dans la pensée de F.Nietzsche c’est la fin : le drame qui délivre la musique. Je l’ai découvert comme cela. Une scène de cinéma m’éblouissait et en sortant de la salle, elle me revenait par la musique. Quand j’écoute ses ouvertures, je plane dans un monde où la musique emporte l’âme mais alors des images surgissent, des couleurs, des courbes. C’est très visuel.
Vous avez de la chance de le recevoir par l’écoute.
Ça m’arrive aussi pour Schubert, Mahler, Mozart, Bach mais pas pour Wagner. Wagner, c’est trop grand pour ma tête. Effet vague énorme qui vous submerge et vous noie. (Le surf… vous souvenez-vous ?)

Jean dit: à

Non..!? Sans Monteverdi, pas de Bach, pas de Vivaldi, pas de Mozart, pas de Beethoven, etc etc. (Bloom)

Oui,oui. Pas la peine d’être très expert pour saisir tout ce que doivent des oeuvres comme « la Nuit transfigurée » (Schoenberg), « La Mer » (Debussy) ou, bien entendu, toute l’oeuvre de Richard Strauss, aux innovations de l’écriture musicale wagnérienne.

Janssen J-J dit: à

@17.18 votre lien est particulièrement lourdingue

Son contenu, vous voulez dire ?… alors un bon conseil : flanquez-le à la pourrielle, c’était juste une pub pour un vieux pote’, je l’ai pas relu…, et s’il « s’écoute », surtout pas l’écouter, pas ouvrir tous les links conseillés, merci avoir d’essayé quand même. La lourdeur est 1 trait constitutif des sociologistes, la légèreté souvent celui des opéralâtres, notamment les plus wagnérisés d’entre iceux.

Jean dit: à

Je crois que le chef d’orchestre qui a le mieux perçu et fait sentir l’extraordinaire modernité de la musique de Wagner et les causes de sa puissante influence sur la musique occidentale, c’est Pierre Boulez. A cet égard, son interprétation de la Tétralogie, et notamment de son dernier volet, est exemplaire.

Jean dit: à

l’extraordinaire modernité de la musique de Wagner

Quand je parle de la modernité de cette musique, j’aurais pu aussi bien dire qu’entre 1850 et 1880, elle avait plusieurs longueurs d’avance sur tout ce qui s’écrivait à l’époque.

ns la drogue dit: à

Oui,oui. Pas la peine d’être très expert pour saisir

que ça va finir dans la drogue et le roquèneroll jean marron..tous ces bourgeois au sepctacle total sauf leur cul rivé à leur chaise..fallait bien quenfin ils se lève pour le grand soir dans l’caniveau..

ns la drogue dit: à

Pour dé-antisémitiser Wagner

..une phontaine de canada dry

Sergio dit: à

Jean dit: 2 janvier 2017 à 17 h 47 min
sans être gêné par l’antisémitisme de l’auteur, vu qu’il n’y tient aucune place.

Je crois que tout tient là, oui. Il (Ferdine) va s’étendre en revanche sur tel ou tel groupe qu’il croise au hasard, à Berlin ou à Sig, voire aux Bibelforscher (objecteurs de conscience) de Zornhof, qu’il semble d’ailleurs bien aimer puisque, pour ne pas tenir un fusil, ils abattent du boulot et du gros boulot comme quatre…

Sinon on le voit pas tellement prendre une communauté à partie, pas du tout, même, plutôt décrire des réunions d’habitués, de commensaux (Cascade à Londres, tous ces trains de blessés à Sig)…

Petit Rappel dit: à

Allons Christiane,le pudding musical de John Williams pour la Guerre des Etoiles n’a vraiment rien à voir avec Wagner, ou alors c’est celui de Rienzi!
Pensez à Richard Strauss qui, avec humour, avait fait écrire dans son jardin sur une stèle consacrée à son premier opéra, Guntram, sorte de lourd devoir wagnerien: « ci-git Guntram, tué par l’orchestre de son père! »

Laura Delair dit: à

la musique ne s’explique pas, on la ressent, on l’accepte ou on la rejette, ce serait trop fastidieux de donner des exemples mais je n’arrive pas à comprendre pourquoi j’aime tant Richard Strauss, Bela Bartok, Henri Dutilleux et pas Wagner ? je n’aime pas la musique qui provoque des images, pour cela le jazz est parfait, je ne peux envisager le monde sans musiqueS

Boudegras dit: à

18:07, Boulez… MCourt vient d’avoir un malaise

christiane dit: à

@Petit Rappel dit: 2 janvier 2017 à 18 h 30 min
Ah, vous avez vu « la guerre des étoiles » ? Vous me surprendrez toujours. Bien sûr qu’il y a écart. J’ai parlé d’inspiration. De même que Vivaldi et Smetana s’étaient inspiré des danses paysannes dans certains passages de leurs œuvres et Debussy du clair de lune.
Et puis, ce soir, j’ai envie de légèreté comme Woody Allen !

Jean dit: à

Dans le très riche et très passionnant « La vie intellectuelle en France » (Seuil), une intéressante étude, signée Myriam Chimènes, intitulée « Wagnérisme et antiwagnérisme en France ». Où l’on voit que la très forte opposition à la musique de Wagner dans les dernières décennies du XIXe siècle est motivée par des considérations extra-musicales (nationalistes). « En 1887, Charles Lamoureux monte « Lohengrin » à l’Eden Théâtre, ce qui fournit aux milieux et à la presse nationalistes un prétexte pour déclencher des manifestations de rue qui aboutissent à l’arrêt des représentations dès le second spectacle ».

Parmi les partisans de Wagner de l’époque, d’Indy,Chabrier, Saint-Saëns. Il est piquant de constater que le dernier nommé, un des fondateurs, en 1871, de la Société nationale de musique, qui organise la résistance à la musique allemande et notamment à celle de Wagner, et la défense de la musique française, interprète Wagner au piano, quelques années plus tard,dans des soirées semi-privées, à l’intention des happy few. Parmi les écrivains admirateurs de Wagner, Mallarmé, Verlaine. En 1891, « Lohengrin » entre à l’Opéra de Paris.

bouguereau dit: à

Oui,oui. Pas la peine d’être très expert pour saisir

que ça va finir dans la drogue et le roquèneroll jean marron..tous ces bourgeois au sepctacle total sauf leur cul rivé à leur chaise..fallait bien quenfin ils se lève pour le grand soir dans l’caniveau..

bouguereau dit: à

Pour dé-antisémitiser Wagner

..une phontaine de kanada dry au faux chocolat

Widergänger dit: à

Christiane a raison, Wagner ça fait musique de film de Bollywood, comme je l’avais dit. De l’art vraiment dégénéré pour le coup, pour ne pas dire nazi avant l’heure.

Boudegras dit: à

christiane et woody : ‘tain, c’est le diable et le bon dieu

zerbinette dit: à

Ah si Wagner avait connu Rabbi Jacob…..

bouguereau dit: à

Où l’on voit que la très forte opposition à la musique de Wagner dans les dernières décennies du XIXe siècle est motivée par des considérations extra-musicales (nationalistes)

..un peu facile..le public franzosiche n’en avait rein a péter..il a boudé au début..pas longtemps..haprés les symboliss hont brodé les premiers rapport aux livrets..faut aussi voir que wagner est trés trés ringard au xix eme..les épopées fumiss national n’était pas nationaliss..ça existait pas..par exempe napo kiffait les conneries celtes a fond..et qu’c’est un gros voleur haussile wagner..à commencer par son béret bax

Widergänger dit: à

La primaire socialiste risque d’être surréaliste… La grande bouffonnerie.

bouguereau dit: à

Où l’on voit que la très forte opposition à la musique de Wagner dans les dernières décennies du XIXe siècle est motivée par des considérations extra-musicales (nationalistes)

..un peu facile..le public franzosiche n’en avait rein a paiter..il a boudé au début..pas longtemps..haprés les symboliss hont brodé les premiers..rapport aux libréteau..faut aussi voir que wagner est trés trés ringard au xix eme..les épopées fumiss national n’était pas nationaliss..ça existait pas..par exempe napo kiffait les konneries celtes a fond..et qu’c’est un gros voleur haussile wagner..à commencer par son béret bax

bouguereau dit: à

pour ne pas dire nazi avant l’heure

pov typ..toi t’en as un dlivret amphoncé profond dans l’cul dracul..guignol

bouguereau dit: à

Parmi les écrivains admirateurs de Wagner, Mallarmé, Verlaine

haprés villiers..le sar..

bouguereau dit: à

j’ai envie de légèreté comme Woody Allen !

il plombe depuis longtemps

bouguereau dit: à

Wagner ça fait musique de film de Bollywood

chte rappel que les kaisers dolioud rfilaient les 3 mousquetères aux scénariss et wagner au musicos..pas la bibe et du klesmer..y étaient pas aussi kons qutoi t’es un habruti dracul

bouguereau dit: à

je n’aime pas la musique qui provoque des images

c’est un bottin qu’il a henfoncé profond keupu..ça lui monte a la tête a force

Janssen J-J dit: à

@ Ah si Wagner avait connu Rabbi Jacob…..

Ah si Rabbi Jacob avait connu lvdlb !… te l’aurait enfourchée fissa, la walkurienne, j’te raconte pas, et avec le dextre au milleu, en plus.
Bonne année, i d’la salud sobretodo, en la nieve bianca li.

christiane dit: à

@Boudegras dit: 2 janvier 2017 à 18 h 52 min
Entre les deux, mon cœur balance !

christiane dit: à

@zerbinette dit: 2 janvier 2017 à 18 h 52 min
J’ai regardé pour la énième fois ce film en compagnie de mes petits enfants. Quelques scènes culte toujours irrésistibles. Ce film ne pourrait être tourné maintenant dans les mêmes conditions.

JC..... dit: à

« Christiane a raison, Wagner ça fait musique de film de Bollywood, comme je l’avais dit. De l’art vraiment dégénéré pour le coup, pour ne pas dire nazi avant l’heure. » (Wiwi, en pleine crise de démence)

C’est ce que j’aime chez Wiwi !
Quand il est bon, il est bon
Mais quand il est kon, il est kon.
Là, c’est un must ! …

On ne peux pas faire mieux que ça, question konnerie !!!

Widergänger dit: à

JC est jaloux…

la vie dans les bois dit: à

javert, tu commences cette nouvelle année aussi piètrement que tu as vécu les dernières. Devant ton écran de télésurveillance.

________________________________

Rivedi il concerto di Capodanno con Lawrence Brownlee – tenore, Carmen Giannattasio – soprano, Orchestra e Coro del Teatro La Fenice. Direttore: Diego Matheuz, maestro del Coro: Claudio Marino Moretti. In coproduzione con Rai 1 con la collaborazione della Regione del Veneto e di Arte con il contributo di Allianz

http://www.rai.it/dl/RaiTV/programmi/media/ContentItem-d1971435-0d2b-445c-b402-244185676233.html

zerbinette dit: à

Christiane, je n’avais pas l’intention de regarder encore une fois Rabbi Jacob, mais j’ai allumé la télé et suis tombée dessus, je n’ai pas pu résister… Il est certain que ce film ne pourrait être réalisé aujourd’hui sans qu’une association ou une autre crie au scandale et cependant il a battu des records d’audience une fois de plus, donc tout n’est pas perdu ?

la vie dans les bois dit: à

Sorry, javert, le concerto di Capodanno 2017 à la Fenice de Venise n’est pas disponible en replay, sur le réseau nazional français.

la vie dans les bois dit: à

Si le cas Wagner de Nietzsche est très connu ( ?), what about son essai de psychologie ?

Nietzsche contre Wagner
PIÈCES JUSTIFICATIVES D’UN PSYCHOLOGUE
1re édition allemande, 1889
Traduction Henri Albert, Mercure de France, 7e édition, 1908

Les chapitres suivants ont tous été choisis, et non sans précaution, de mes écrits précédents — quelques-uns remontent jusqu’en 1877 —, rendus peut-être plus intelligibles par-ci par-là ; ils ont, avant tout, été abrégés. Lus l’un à la suite de l’autre, ils ne laisseront aucun doute, ni sur Richard Wagner, ni sur moi : nous sommes des antipodes. On y verra encore autre chose : on comprendra par exemple que ceci est un essai pour les psychologues, mais nullement pour les Allemands… J’ai mes lecteurs partout, à Vienne, à Saint-Pétersbourg, à Copenhague, à Stockholm, à Paris, à New-York — je ne les ai pas dans le pays-plat de l’Europe, en Allemagne… Et j’aurais peut-être aussi un mot à dire à l’oreille de messieurs les Italiens, que j’aime autant que je… Quousque tandem, Crispi… Triple alliance : avec l’ « Empire », un peuple intelligent ne fait jamais qu’une mésalliance…

Turin, Noël 1888.

Frédéric Nietzsche.

https://fr.wikisource.org/wiki/Nietzsche_contre_Wagner_(traduction_H._Albert)

Widergänger dit: à

« le pitoyable bavardage de la politique du jour et de l’égoïsme des peuples. » (Nietzsche, Préface de l’Antéchrist).
_______
Nietzsche toujours d’actualité.

rose dit: à

La musique de BollyWood est à l’exact opposé de celle de Wagner. C’est comme comparer Muriel le Mathieu à la Callas. Et c’est comme aussi si l’on comparaît ce cinéma là à celui de Werner Herzog. Aux antipodes. L’un grave l’autre léger.

rose dit: à

Muriel le Mathieu c’est Morelle de son prénom. Mon correcteur automatique à repris le pouvoir. Subrepticement.

rose dit: à

a repris

rose dit: à

Mireille

rose dit: à

De mes souvenirs la structure du synopsis des films de BollyWood est fort proche de la structure des contes de fées (cf Vladimir Propp nous en abons déjà parlé ici).
Situation initiale
élément perturbateur
péripéties
élément de résolution
situation finale

De manière classique, la jeune fille vertueuse & d’une beauté incomparable est aux prises avec vilaine marâtre,père incestueux, demi soeurs jalouses etc. L’amoureux, d’une beauté incomparable, richissime, va tenter de la sauver des griffes terribles qui l’empêchent de convoler en justes noces.
Les péripéties idoines seront bienvenues pour renforcer ses vertus maigrelettes jusqu’à ce jour.

Talala tsoin tsoin
les enfants la rupture le divorce sont hors cadre.
Tout se déroule magnifiquement bien.

Wagner c’est à l’opposé. Et cela ne se termine jamais bien.
j’aime Wagner. Immensément

rose dit: à

J’aime Wagner pck tu n’as qu’une envie te jeter dans le Rhin.
Dans les chutes.

Gare de Lyon.Bangkok dit: à

Merci beaucoup pour le lien Robert Linhardt. Que c’est beau la radio ! Merci. Pour contrebalancer, une suggestion de lecture : ‘’Qui a tué Pierre Overney ?’’ de Morgan Sportes. Cordialement.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…Oui,!…il fallait se changement de tuteur sur les U.S.A.!…
…le paysage politique économique et social, devenait pour le moins morbide, à cuit au fond de casseroles,!…

…même, sans croire à rien,!…les obtus régaliens des connivences d’états, blanc seing bancal,!…pourvu du 1/4, de profit net, sur les bénéfices,!…
…et, puis, les mêmes à toutes les accordailles des pensées uniques,!…

…Ah,!Ah,!…Oui,!…pour quels changements,!…l’enfer viking,!…naviguer sur une terre gluante,!…
…etc,!…

…tout ce que vous pouvez avoir, vous le pouvez par vous même,!…
…en y prenant les dispositions adéquates,!…hisser vous, et sortez vous du magma qui ne vous lâche pas les baskets,!…

,,,des épinards aux lait de temps en temps, à cette saison, un certain bienfait naturel,!…of course,!…
…etc,!…

Mohawk dit: à

Le cinéma de Bollywood n’est pas seulement léger, il est conventionnel, convenu, régi par des lois très strictes. C’est tout sauf une expression de la liberté. Une analogie avec la société qui le produit est tentante.

JC..... dit: à

Bollywood est à Hollywood, ce que Fillon est à De Gaulle … d’un convenu sans surprise.

JC..... dit: à

Widergänger dit: 2 janvier 2017 à 20 h 36 min
« JC est jaloux… »

Je suis un homme du large à l’esprit étroit, lorsque Wiwi est un homme à l’esprit étroit qui se veut large…!

Widergänger dit: à

Paroles, paroles, paroles !

JC..... dit: à

Les Primaires de nos Egarés de la Gauche, en débat TV, cela va ressembler à « Games of Krons »

JC..... dit: à

Ne nous fâchons pas ! La vie est courte, les femmes sont chères, et les enfants faciles à faire…. !

JC..... dit: à

Réchauffement climatique ? Réchauffement, mon œil ! il fait 8° à cette heure, 13° maxi dans la journée !

Widergänger dit: à

T’as vu la banquise, mon petit JC chéri ?

JC..... dit: à

Quittons nous sur deux remarques pleines de gaité :
-Information affective : je ne suis pas ton petit chéri, Wiwi, je suis le petit chéri de Christiane et le gros porc d’Annelise …
-Information délinquance : cartographie qui donne une première valeur « violences pour 1000 hab », et la seconde « cambriolages pour 1000 hab ». (le Figaro)

Une sélection :
93 Seine-Saint-Denis 18,19 / 5,82
94 Val-de-Marne 10,31 / 5,25
95 Val-d’oise 11,73 / 5,06
971 Guadeloupe 14,79 / 7,87
972 Martinique 11,90 / 4,66
973 Guyane 23,46 / 7,67
974 Réunion 10,16 / 3,59

France entière 8,09 / 5,38

On remarquera l’influence bénéfique de notre Taubira chérie d’amour que nous regrettons si fort … Quelle perte pour le pays !

JC..... dit: à

« T’as vu la banquise, mon petit JC chéri ? »

J’ai vu la neige à Porquerolles, mais la banquise jamais ! Des membres de notre Institut de recherche intensive sur l’Anisette GRAS ont vu la banquise sur la Plage d’argent avec des ours blancs dessus qui dansaient un menuet…

Je mets en doute la qualité de leurs observations scientifiques.

Widergänger dit: à

Les satellites ne peuvent pas mentir, hélas. La banquise a fondu. D’ici 2020, il paraît même qu’elle n’existera plus en été.

Nicolas dit: à

Rien de tel qu’un petit Wagner pour bien commencer l’année. C’est enjoué, plein d’espoir pour l’avenir, merveilleusement féerique, on ressent dans chaque vibration une vie qui s’épanouit, c’est la pulsation d’un coeur qui bat qui est au centre de l’attention qu’il porte à chaque instant, bref ca ne se voit pas tout de suite mais en cherchant bien Wagner c’est une ode en l’humanité. Encore deux trois papiers comme ca et le monde sera meilleur. Gardez la foi.
Bonne journée

JC..... dit: à

« Rien de tel qu’un petit Wagner pour bien commencer l’année. » (Nicolas, 8h37)

Cette réflexion me rappelle celle d’un distingué cannibale de l’île d’Hawaï, début de l’année 1779, en train de gouter un petit morceau de l’Amirauté britannique, se pourléchant les doigts tout en s’écriant, ravi :

« Rien de tel qu’un petit morceau de James Cook pour bien commencer l’année. »

Widergänger dit: à

La police allemande a confisqué des centaines de milliers de copies d’une traduction la plus pure du coran, car il promeut la haine au nom d’une religion.

Pendant toute l’année 2016, les autorités allemandes ont discrètement fait des raids dans des centaines de lieux de distribution gratuite du coran, dans dix Etats fédéraux, lors d’une opération de répression contre un groupe salafiste, «Vraie Religion», dirigé par un extrémiste palestinien, et a confisqué des dizaines de milliers de copies d’une traduction fondamentaliste du coran.
http://www.dreuz.info/2017/01/02/lallemagne-saisi-des-centaines-de-milliers-de-corans-car-il-contient-des-appels-a-la-haine/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

Laura Delair dit: à

Nicolas à 8:37… pour moi ce sera plutôt Stravinsky avec « Le sacre du printemps »… en plein hiver

Widergänger dit: à

La musique sert à accentuer, à renforcer, à intérioriser le geste dramatique et l’extériorité du comédien ; le drame wagnérien n’est qu’un prétexte à de nombreuses attitudes intéressantes ! — Wagner avait, à côté de tous les autres instincts, les instincts de commandement d’un grand acteur, partout et toujours, et, comme je l’ai indiqué, aussi comme musicien. (Nietzsche)
_________
C’est ce que je voulais dire en parlant de musique hollywoodienne, ce que personne n’a compris. Musique d’accompagnement du drame.

Widergänger dit: à

C’est ce que j’ai une fois démontré clairement à un wagnérien pur sang, — clarté et wagnérisme ! Je ne dis pas un mot de plus. J’avais des raisons pour ajouter encore : « Soyez donc un peu plus honnête envers vous-même ! Nous ne sommes pas à Bayreuth. » À Bayreuth on n’est honnête qu’en tant que masse, en tant qu’individu on ment, on se ment à soi-même. On se laisse soi-même chez soi lorsqu’on va à Bayreuth, on renonce au droit de parler et de choisir, on renonce à son propre goût, même à sa bravoure telle qu’on la possède et l’exerce envers Dieu et les hommes, entre ses propres quatre murs. Personne n’apporte au théâtre le sens le plus subtil de son art, pas même l’artiste qui travaille pour le théâtre, — il y manque la solitude, tout ce qui est parfait ne tolère pas de témoins… Au théâtre, on devient peuple, troupeau, femme, pharisien, électeur, fondateur-patron, idiot — wagnérien : c’est là que la conscience la plus personnelle succombe au charme niveleur du plus grand nombre, c’est là que règne le voisin c’est là que l’on devient voisin… » (Nietzsche)

Jacques Chesnel dit: à

Le plus grand compositeur de musiques de films : BERNARD HERRMANN (notamment pour Welles, Mankiewicz, Eastwood, Hithcock, Scorcese…)

Jacques Chesnel dit: à

Comme pour la littérature, les arts et le cinéma, il serait intéressant de créer « La République de la Musique » et de réactiver « La république du Jazz » mais avec un autre taulier… urgent

rose dit: à

C’est beau Widergänger ce texte de Nietzsche même si je tique sur « on devient femme ».
Bollywood c’est à la sauce Bombay bracelets de verre et guirlandes de jasmin ds les cheveux passés à l’huile d’argan. C’est du cinéma pour les pauvres. Pour leur faire garder la foi.
JC vous êtes aimé ? vous ne vous êtes pas decarcassé pour rien… Suis trop contente pour vous !

Nicolas dit: à

Mozart aurait été génial si le cinéma avait existé à son époque https://youtu.be/pGe4o2jk2-E
Sinon John Barry pour James Bond, Mike Olfield pour l’exorcisme et Hans Zimmer pour plein de trucs

JC..... dit: à

« Comme pour la littérature, les arts et le cinéma, il serait intéressant de créer « La République de la Musique » et de réactiver « La république du Jazz » mais avec un autre taulier… urgent » (JCh)

Excellent ! Et tu devrais la prendre en mains …. parce que Kisseleff, le taulier !

rose dit: à

Jacques Chesnel pourquoi ne vous proposez vous pas pour celle du jazz ?

JC..... dit: à

Si Passou est d’accord, je prendrai bien « La République du Sexe » …

closer dit: à

« La police allemande a confisqué des centaines de milliers de copies d’une traduction la plus pure du coran, car il promeut la haine au nom d’une religion. »

Il serait intéressant de connaître l’opinion d’arabisants compétents et aussi objectifs que possible sur la fidélité de cette traduction au texte original…

JC..... dit: à

Pour que ce soit bien clair dans vos esprits, amis mélomanes, si Passou d’aventure me confie « la République des Sexe » comme un nombre croissant de erdéeliens le souhaitent, je sous-traiterai entièrement la partie LGBT que je considère comme une déviance inadmissible, puisque ne correspondant pas à la destinée première de nos instruments périphériques génitaux : procréer !

Nicolas dit: à

Zéro turlutte, on n’est pas la pour nourrir la planète.

Mohawk dit: à

(Bollywood) C’est du cinéma pour les pauvres.

Pas nécessairement. Le cinéma pour riches, ce serait quoi?

Diogène dit: à

Entre « frapper derrière la nuque » et « décapiter » les infidèles, quelle traduction choisir ? Celle qui édulcore ou celle qui est hard core ? Les salafistes ont simplement à cœur que le message du Coran soit le plus clair possible.

Petit Rappel dit: à

Accord complet avec le Chesnel de 10h 34 sur Bernard Hermann , à qui, d’ailleurs, on doit me semble-t-il le sauvetage de Charles Ives.

Rose, il me semble que les Maitres Chanteurs se terminent bien, en dépit du péan à l’Art Allemand qui conclut l’œuvre, et se pose là.

ML on siffle beaucoup à Bayreuth, ces temps-ci, dont les mises en scènes de Melle Wagner.

JC..... dit: à

« Ne tournons pas autour du pot » comme disait Perette, la laitière : quelle que soit la traduction de l’Alcoran, il faudra mentir grandement pour faire passer cette religion d’amour, de tolérance et de paix, pour une religion qui convienne aux gens sérieux, amoureux de la vie, se voulant libres…

Chaloux dit: à

Les extraits de Nietzsche donnés par Blabla sont particulièrement saugrenus. La perfection dans la solitude? Il ignorait tout du degré de communication silencieuse qui peut exister entre un exécutant et une salle.

christiane dit: à

Et Nina Rota ?
La Strada, La dolce vita, Rocco et ses frères, Huit et demi, Le Guépard, Amarcord, le Parrain…

Janssen J-J dit: à

Il en a du gros bon sens cet homme là, c’est çui qui nous fallait…
http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2017/01/02/32001-20170102ARTFIG00110-pour-lutter-contre-le-piratage-des-emails-donald-trump-preconise-le-retour-au-courrier.php
Sinon, pas besoin de RDS tenue par JC, la place est déjà trop bien occupée par la talentueuse agnès giard
http://sexes.blogs.liberation.fr/
Je crois que zerbinette n’a pas le pseudo qu’elle s’octroyait autrefois. Bonne chance pour 2017, après une 2016 bien ratée, c clair !

Janssen J-J dit: à

Il en a du gros bon sens cet homme là, c’est çui qui nous fallait…
http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2017/01/02/32001-20170102ARTFIG00110-pour-lutter-contre-le-piratage-des-emails-donald-trump-preconise-le-retour-au-courrier.php
Sinon, pas besoin de RDS tenue par JC, la place est déjà trop bien occupée par la talentueuse agnès giard et son blog de Q, dit les 400 coups.
Je crois que zerbinette n’a pas le pseudo qu’elle s’octroyait autrefois. Bonne chance pour 2017, après une 2016 bien ratée, c clair !

Janssen J-J dit: à

Il en a du gros bon sens cet homme Trump là, c’est çui qui nous fallait… Pour que vos mails soyent pas interceptés ni piratisés, envoyez vos courriers papier par la poste (modernitude)restante.
Sinon, pas besoin d’une nouvelle RDS tenue par JC….., la place est déjà trop bien occupée par la talentueuse agnès giard et son blog sur libé, dit des 400 coups.
Je crois que zerbinette n’a pas le pseudo qu’elle s’octroyait autrefois. Bonne chance pour 2017, après une 2016 bien ratée, c clair !

etudiant sérieux dit: à

« arabisants compétents et aussi objectifs que possible »

avec closer pour en juger?

la vie dans les bois dit: à

« Les extraits de Nietzsche donnés par Blabla sont particulièrement saugrenus. »

d’autant que Bousouflure 1er omet de remettre le lien donné hier soir à 21h19, texte auquel il n’a strictement rien compris.

Nietzsche contre Wagner
https://fr.wikisource.org/wiki/Nietzsche_contre_Wagner_(traduction_H._Albert)

Je trouve particulièrement amusant qu’un professeur de la Sorbonne, M. Berthier, se déclare malade de wagnérisme.

la vie dans les bois dit: à

Au moment où Nietzsche, écrit cette lettre turinoise de liquidation de l’idole, durant le période de Noël 1888, aux environs du 25 décembre, il envoie une autre lettre à la veuve de Wagner, qui commence ainsi :
Verehrte Frau,

im Grunde die einzige Frau, die ich verehrt habe…

la vie dans les bois dit: à

« Il a rendu la musique malade…. Wagner est une névrose… Avec lui, on est toujours à deux pas de l’hôpital » ».

c’est comme le flaubertisme, c’est une maladie parisienne.

« Ja, in’s Grosse gerechnet, scheint Wagner sich für keine andern Probleme interessirt zu haben, als die, welche heute die kleinen Pariser décadents interessiren. Immer fünf Schritte weit vom Hospital! Lauter ganz moderne, lauter ganz grossstädtische Probleme! »

F. Nietzsche in Der Fall Wagner

C’est cinq pas du granthôpital, Gus, à cinq pas de l’hosto. Pas deux.

la vie dans les bois dit: à

ça vaut le coup d’y aller voir, kan mem.
A l’akademie, vont vite en besogne…

— « Mais le contenu des textes wagnériens ! leur contenu mythique, leur contenu éternel ! » — Question : comment analyse-t-on ce contenu, ce contenu éternel ? — Le chimiste répond : on traduit Wagner dans le réel, dans le moderne, — soyons plus cruels encore ! dans le bourgeois ! Qu’advient-il alors de Wagner ? Entre nous, je l’ai essayé. Rien n’est plus divertissant, rien n’est plus à recommander aux promeneurs, que de se raconter Wagner en proportions rajeunies : par exemple, Parsifal comme candidat en théologie, ayant passé par l’enseignement d’un lycée (— ce dernier point est indispensable pour la pure insanité). Quelle surprise est alors la vôtre ! Le croiriez-vous, toutes les héroïnes de Wagner, sans exception, aussitôt qu’on les a débarrassées de leur affublement héroïque, ressemblent à s’y méprendre à Mme Bovary ! — On comprendra que réciproquement il était loisible à Flaubert de traduire son héroïne en scandinave ou en carthaginois, pour l’offrir ensuite, ainsi mythologisée, pour servir de livret, à Wagner. Oui, tout compte fait, Wagner ne semble pas s’être intéressé à d’autres problèmes qu’à ceux qui intéressent aujourd’hui les petits Parisiens décadents. Toujours à cinq pas de l’hôpital ! Véritables problèmes modernes ! véritables problèmes de grandes villes ! n’en doutez pas !… Avez-vous remarqué (cela appartient à cet ordre d’idées), que les héroïnes de Wagner n’ont pas d’enfants ? — Elles ne peuvent pas en avoir… Le désespoir que Wagner a mis à attaquer le problème de faire naître enfin Siegfried montre combien sa façon de sentir sur ce point était moderne. — Siegfried « émancipe la femme » — mais sans espoir de postérité. — Et voici, pour finir, un fait qui nous laisse rêveur : Parsifal est le père de Lohengrin ! Comment s’y est-il pris ? — Faut-il se rappeler ici que « la chasteté fait des miracles » ?…

Wagnerus dixit princeps in castitate auctoritas.

https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Cas_Wagner/trad._Albert

zerbinette dit: à

Janssen J-J dit: 3 janvier 2017 à 12 h 50 min :
« Je crois que zerbinette n’a pas le pseudo qu’elle s’octroyait autrefois. » ???

Aurais-je pris un coup de vieux ? Il y a tant de vieux qui donnent des coups par ici… Je vais peut-être retourner dans mon ermitage…

bouguereau dit: à

la télé les gonzesse wagner nietzlche dracul..sans robinoude le ciel srait moins bleu

bouguereau dit: à

Nietzsche contre Wagner

fridriche a dérouillé avec wagner..les gonzesses..les saucisse de francfort..il peut pas ête complétment mauvais

la vie dans les bois dit: à

Le nuage noir vient toujours de la même direction, marrant, aussi.

Si, depuis l’accord de Paris lors de la COP21, le monde a déclaré la guerre au charbon pour limiter le réchauffement climatique, la planète est loin d’en avoir fini avec cette énergie. Même en Europe, pourtant en pointe sur la transition énergétique, il faut encore compter avec 280 centrales au charbon. Quatre ONG (WWF, l’Alliance pour la santé et environnement (HEAL), le Réseau action climat Europe (CAN Europe) et Sandbag) viennent de publier un rapport sur l’impact pour la santé de ces centrales, le document est baptisé Europe’s Dark Cloud (le nuage noir de l’Europe).
http://www.usinenouvelle.com/article/l-europe-victime-du-charbon-polonais-et-allemand.N400937

bouguereau dit: à

Bonne chance pour 2017, après une 2016 bien ratée, c clair !

..bref tu veux socialiser tes pannes de calbut comme keupu

bouguereau dit: à

sans robinoud lmonde srait toumti..hon sfrait chmir

bouguereau dit: à

Le cinéma pour riches, ce serait quoi?

nice pipol comme oudi..ou du gros larsse..

la vie dans les bois dit: à

J’espère que le volume V de la Correspondance de Nietzsche, en français aux Editions Gallimard, paraitra bientôt.

bouguereau dit: à

si Passou d’aventure me confie « la République des Sexe »

savoir faire et bien parler..wagner et nitzchle..quelle est la meilleur part

bouguereau dit: à

Jacques Chesnel pourquoi ne vous proposez vous pas pour celle du jazz ?

y’est bien trop faignant

bouguereau dit: à

Bollywood est à Hollywood, ce que Fillon est à De Gaulle

fion c’est du cinéma d’pauvre..

la vie dans les bois dit: à

« Au fond, ce qu’il manque à cet essai original, c’est une large conclusion qui inclurait un rapide panorama de l’actuel wagnérisme littéraire, juste pour voir si la maladie a évolué et comment. »

eh bien assez mal, pour ce qui concerne F. Nietzsche.

Turin, 3 janvier 1889.
Télégramme à Cosima Wagner, à Bayreuth

Tu dois publier ce bréviaire pour l’humanité, à partir de Bayreuth, avec l’inscription :

La bonne nouvelle

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 3 janvier 2017 à 13 h 33 min
à cinq pas de l’hosto. Pas deux.

Ha ben oui… Rodrigue c’était à quatre pas ; pas besoin de SAMU à payer ni téléphoner, deux charclos pour brancarder c’est full OK.

M’en vais faire comme ça pour le prochain que je dessoude : à côté d’un hosto !

la vie dans les bois dit: à

Sergio dit: 3 janvier 2017 à 14 h 32 min

la vie dans les bois dit: 3 janvier 2017 à 13 h 33 min
à cinq pas de l’hosto. Pas deux.

Ah ben oui, sergio, bovary, c’est pas vous.

Chaloux dit: à

boumou, dit aussi Petit-Tête-Rond, montre le bout de sa bouille pour une république du g..-Michel, du string ficelle jaune derrière, marron devant, et du seau de nuit qui fuit, son habitat naturel.

Bloom dit: à

Wagner: tétralogie ou/et tératologie?

John Berger, Booker Prize pour « G » & Parisien de presque toujours, s’en est allé rejoindre le choeur invisible du Crépuscule des Vieux…Auteur plutôt surfait à mon goût.

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 3 janvier 2017 à 14 h 33 min
bovary

Plutôt genre Charbukowski… C’est un héros !

D’ailleurs faudrait refaire l’émission, mais avec Ruquier, sûr le ladre il lui mettrait la tête dans le sac !

Boudegras dit: à

A côté de Bernard Herrmann, Nino rota, c’est tout

Sergio dit: à

On observe le phénomène parfois en littérature, ou même en peinture (…) mais plus encore en musique.

Hildegarde professe que la musique est le premier des arts, donc ça serait normal ; maintenant on voit pas bien un classement des arts (libéraux) ; tout ce qu’on peut dire c’est que ça rentre par une horeille…

JC..... dit: à

Nino rota, Horatio fella, Niagara chuta, Georges Michael feta, Rabelais péta…

D. dit: à

Qu’est-ce que c’est que ces salades, Sergio ?

Sergio dit: à

D. dit: 3 janvier 2017 à 16 h 14 min
Qu’est-ce que c’est que ces salades

Ben c’est marqué dedans… Elle a composé, pas mal, même, mais surtout des trucs religieux, pas tellement de rock around the clock…

JC..... dit: à

PROJET EUROPEEN

Je porte à bout de bras un projet wagnérien : empailler Jean Claude Juncker, si par malheur il venait à défunter.

Pour une seule raison : le futur ne doit pas donner trop de pouvoir à des otaries de cet acabit !….

Envoyez vos dons, poste restante, Porquerolles.

Petit Rappel dit: à

Je ne sais pas si on peut trouver chez Rota l’équivalent de la suite symphonique que constitue la musique d’Obsession. J’en doute.

la fille à la voilette dit: à

Une chose est sûre :les descendants de Wagner ne connaissent pas M6 . En un tournemain Cristina Cordula, la Reine du Shopping, pourrait rhabiller toutes les Walkyries  » mes chéries, vous n’êtes pas dans le thème! ces hallebardes, voyons! armez-vous plutôt d’une minaudière…et vous le décorateur, vous n’avez pas rencontré Stéphane Plaza ? quel tort!avec 2 pots de peinture et 3 rouleaux de papier peint, il va vous transformer une sinistre forêt en carton-pâte, en pavillon coquet où les héros n’auront plus d’autre envie que de se cajoler, au lieu de hurler, habillés comme des fantômes en folie.. »
Je ne fréquente pas les cavernes de Bayreuth, j’écoute parfois quelques Wagnériens grand teint, sur CD, heureusement dénués d’images.

Jacques Chesnel dit: à

Entièrement d’accord avec le Petit Rappel de 16:57… rappelons que le film « Taxi Driver » de Scorcese, dont il a écrit la musique singulière, lui est dédié ; il est mort le dernier de l’enregistrement.
Un jour, il faudra bien parler d’ KURT WEIL, autre immense compositeur d’univers fort différent

JC..... dit: à

Honnêtement, ces Walkyries wagnériennes sont un must inventé par ces Teutons lubriques !

J’adore !

J’ai, pour être rentré à Delphes dans son trou exigu, un faible pour la Pythie : on ne se refait pas. D’autant qu’à certaines périodes, elles étaient trois pour répondre à la demande : un peu comme les pHutes sur les chantiers… !

bouguereau dit: à

heureusement dénués d’images

décidément c’est une idée fisque

JC..... dit: à

Excellent, La Rillette, vas-y ! Enfonce les portes du destin ! la musique, y a que ça de vrai ….

bouguereau dit: à

ces Teutons lubriques !

les valkiri de gotlib..en himage..de bas dpage avec dart vadeur et quelques morpions pensifs tempère

bouguereau dit: à

Excellent, La Rillette, vas-y ! Enfonce

hassez d’image..plus de concèpe

bouguereau dit: à

haprés le passo doble et gary gliteur vient de suite lalo chifrine

bouguereau dit: à

un jour hon m’a rfilé un fichier de 300 téra de chifrine..j’ai fait 400 000 km avec ma viva sport sans jamais dépleuger

Nicolas dit: à

Wagner inspire la rdl comme une perceuse sans fil un astronaute.

bouguereau dit: à

ça c’est bizarre une fois

Boudegras dit: à

La Rillette !… plus sympa que toi, pauvre andouille porquerollaise ménopausée

bouguereau dit: à

Hildegarde professe que la musique est le premier des arts

ça c’est vrai..combien de musicos j’ai oui le disant..ils ont un terribe complesque

JC..... dit: à

Lalo Shifrin est un dieu, de cette époque où la zique collait aux héros des serial.

Je ne me lasse pas de réécouter ses compositions géniales … j’en frémis d’aise telllement il est, comme Hermann, collé aux films qu’il anime, indissociable du travail du metteur en scène.

JC..... dit: à

Alors Bousegrasse ?….. Inguérissable, hein ! Trop avancée, la dégénérescence neuronale !

bouguereau dit: à

Encore faudrait-il savoir de quoi souffrent les wagnériens au départ

sinon hun peu les maitres chanteurs..ça rigole pas..comme certaines métaleuses à collier dchien à clou aux hellfest..dédé il le sait bien

christiane dit: à

DHH,
il me semble que vous aimeriez le récit de Brigitte Benkemoun Albert le Magnifique (Stock),que je viens de commencer (cadeau de Noël). Elle nous entraîne dans la vie de son arrière-grand-oncle Albert Achache, qu’elle n’a pas connu mais dont elle a retrouvé la trace sur les stèles du mémorial de la Shoah. De Oran à Nice, on découvre sa vie dans une Algérie bouleversée par la colonisation.
Ambitieux, ébloui par la France, il s’arrachera à la famille et ses traditions pour vivre librement loin de l’Algérie, avant d’être déporté et de mourir à Auschwitz.
Je pensais à vous car les premières pages révèlent la ville de son enfance, Tlemcen, dans toute la splendeur de cette fin du XIXe siècle : le palais de Mechouar, les remparts, les champs d’oliviers à perte de vue, les rites culinaires, familiaux, la musique arabo-andalouse, les différences entre Séfarades et Ashkénases … Puis la faille de la naturalisation qui sépare la communauté juive des musulmans, le déménagement, les ballots, les malles, les meubles dans la carriole pour Bel-Abbès (« Le petit Paris »). Albert sera inscrit à l’école Voltaire…
(Pourquoi la belle-sœur, à leur départ, lance-t-elle un verre d’eau sous le chariot ?)
Cela nous éloigne un peu de Wagner… c’est une autre musique, celle du passé…

christiane dit: à

@Petit Rappel dit: 3 janvier 2017 à 16 h 57 min
Mais qu’importe… j’aime sa musique et ces films. C’est plus mon univers que les films que vous venez de citer avec Jacques.

christiane dit: à

@Nicolas dit: 3 janvier 2017 à 17 h 35 min
Exact ! mais pourquoi voulez-vous qu’un astronaute ait besoin d’une perceuse ?

de nota dit: à

Je n’ai rien à dire sur la toxicologie wagnérienne, sinon que Philippe Berthier sera présent à Lyon à l’invitation du cercle Wagner et ce le 11 février, le cercle Wagner propose à de furieux et oisifs wagnériens des conférences dont l’intitulé seul suffit à sa prééminence, tel « Du Nibelheim au Walhalla, Représentation et dignité du minéral dans l’univers wagnérien, des Mines de Falun au Crépuscule des Dieux ». Nonobstant, je ne peux pas résister au plaisir de citer cette anecdote:
Billy Wilder raconte qu’invité à une représentation d’un opéra de Wagner qui débutait à 21 heures, il regarda sa montre une heure plus tard: il était 9 heures et quart…

Nicolas dit: à

On se l’demande…

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